Selon les dernières informations, les employeurs chinois d’une société de carrière de béton basée à Darou Khoudoss ont été placés sous mandat de dépôt après avoir été arrêtés pour avoir violemment agressé un employé sénégalais nommé Ibrahima Fall, chauffeur de camion au sein de l’entreprise.
Les trois prévenus ont été capturés dans une vidéo choquante montrant l’acte de torture infligé à leur victime. La gendarmerie de Mboro est intervenue sur les lieux pour appréhender les coupables après que la vidéo ait circulé sur les réseaux sociaux, provoquant une indignation généralisée dans la communauté locale.
Cette arrestation soulève des questions sur les conditions de travail et le traitement des employés étrangers au Sénégal, et met en lumière l’importance de la justice et de la protection des droits des travailleurs dans toutes les entreprises, nationales ou étrangères, opérant sur le territoire sénégalais.
L’affaire est actuellement en cours d’enquête, et la justice sera chargée de faire toute la lumière sur cet incident et de garantir que les responsables soient tenus pour responsables de leurs actes.
Le paysage commercial de Touba vient de s’enrichir d’une nouvelle grande surface avec l’ouverture du supermarché « Lekku Fii ». Fondé par l’homme d’affaires sénégalais Khadim Kébé, ce supermarché représente un investissement de 4 milliards de FCFA, destiné à révolutionner l’expérience d’achat dans la région.
« Lekku Fii », qui se traduit par « Notre Place », est plus qu’un simple supermarché. Il se distingue par son engagement à promouvoir la consommation de produits locaux. Khadim Kébé, conscient des richesses du terroir sénégalais, a fait le choix de mettre en avant les produits du terroir dans les rayons de son établissement.
Khadim Kébé a déclaré lors de l’inauguration :
« Nous avons une richesse immense dans notre pays, que ce soit en agriculture, en artisanat ou en produits alimentaires transformés localement. ‘Lekku Fii’ est un hommage à cette richesse et un outil pour encourager les consommateurs à valoriser ce que nous produisons ici. »
L’ouverture de « Lekku Fii » s’inscrit également dans une perspective de développement économique et social pour la ville de Touba. En mettant l’accent sur les produits locaux, le supermarché contribue à soutenir les producteurs et artisans sénégalais, créant ainsi des opportunités d’emploi et stimulant l’économie locale.
La grande surface propose une large gamme de produits, allant des fruits et légumes frais aux produits laitiers, en passant par les articles d’artisanat et les produits de transformation locale. Cette diversité vise à répondre aux besoins des consommateurs tout en offrant une plateforme de visibilité et de vente pour les producteurs locaux.
« Lekku Fii » aspire à devenir un lieu de rencontre et de convivialité pour les habitants de Touba. En plus des courses quotidiennes, le supermarché prévoit d’organiser régulièrement des événements tels que des dégustations de produits locaux, des ateliers de cuisine et des rencontres avec les producteurs. Ces initiatives visent à renforcer les liens entre les consommateurs et les producteurs, tout en éduquant le public sur les bienfaits de la consommation locale.
L’ouverture de « Lekku Fii » est une étape importante dans le développement du commerce de détail à Touba. Khadim Kébé envisage déjà d’étendre ce concept à d’autres villes du Sénégal, avec l’objectif de créer un réseau de supermarchés qui met en valeur les produits locaux et soutient l’économie nationale.
En conclusion, l’ouverture du supermarché « Lekku Fii » à Touba est une initiative audacieuse et prometteuse qui marque une nouvelle ère dans le commerce de détail sénégalais. En encourageant la consommation locale et en soutenant les producteurs du terroir, Khadim Kébé et son équipe offrent une nouvelle perspective de développement économique et social pour la région et au-delà.
L’enquête sur la disparition de 100 véhicules appartenant à la présidence de la République s’intensifie, révélant des implications surprenantes parmi les élites sénégalaises. Dans une tournure inattendue, Dr Nafissatou Diouf, ancienne directrice générale de la Société de Télédiffusion du Sénégal (TDS), a été convoquée par la gendarmerie dans le cadre de cette investigation.
Selon le quotidien Libération, cette affaire n’est que la partie émergée de l’iceberg. La présidence de la République a alerté le haut commandement de la gendarmerie pour récupérer les véhicules disparus de son parc automobile. En réponse, le commandement a déployé la Légion ouest et la Section de recherches (SR), qui ont déjà récupéré une vingtaine de véhicules. Cependant, la traque continue, ciblant divers détenteurs présumés de ces véhicules.
Les détenteurs présumés de ces véhicules incluent des personnalités influentes, telles que des généraux, des anciens ministres, des députés, et des anciens chargés de mission et conseillers à la présidence. Fait notable, des personnes extérieures, y compris des marabouts, sont également visées par cette enquête. Cette large implication montre l’ampleur et la complexité de l’affaire, soulignant des failles potentielles dans la gestion des ressources de l’État.
Bien que prête à coopérer pleinement avec les autorités pour faire la lumière sur cette affaire, Dr Nafissatou Diouf a précisé qu’elle n’a jamais reçu ni conduit l’un de ces véhicules. Sa convocation met en lumière l’étendue des investigations en cours et l’engagement des autorités à récupérer les biens publics.
Cette affaire soulève des questions cruciales sur la gestion et la supervision des biens de l’État. L’implication de hauts responsables et de figures influentes accentue la gravité de la situation, appelant à une transparence accrue et à une responsabilisation rigoureuse.
La révélation de cette enquête a suscité de nombreuses réactions au sein de l’opinion publique. Beaucoup voient cette traque comme une étape nécessaire pour restaurer la confiance dans les institutions publiques et assurer une gestion responsable des ressources nationales. D’autres, cependant, expriment des inquiétudes sur l’impact potentiel de cette enquête sur les relations entre le gouvernement et les figures influentes de la société sénégalaise.
Alors que l’enquête se poursuit, la récupération des véhicules manquants demeure une priorité pour la présidence et les forces de sécurité. Cette affaire pourrait marquer un tournant dans la gestion des biens publics et la lutte contre l’impunité au Sénégal. Les prochaines étapes de l’enquête seront cruciales pour déterminer l’étendue des responsabilités et pour établir des mesures visant à prévenir de telles situations à l’avenir.
La situation reste en développement, et l’opinion publique ainsi que les observateurs politiques continueront de suivre de près les avancées de cette enquête majeure.
L’affaire judiciaire impliquant Cheikh Bara Ndiaye et Thérèse Faye a atteint une nouvelle étape. La Division des investigations criminelles (DIC) a terminé son enquête et transmis le dossier au parquet de Dakar sous forme de renseignement judiciaire, selon des informations exclusives de Seneweb. Désormais, le sort du chroniqueur de Walf TV, Cheikh Bara Ndiaye, dépend du procureur de la République, Abdou Karim Diop.
Cheikh Bara Ndiaye, un chroniqueur renommé de Walf TV, avait publiquement accusé Thérèse Faye, ancienne ministre du Développement communautaire, de la Solidarité nationale et de l’Équité sociale et territoriale, de s’être enrichie de manière illicite. Ces allégations ont porté atteinte à la réputation de l’ex-ministre, qui a décidé de porter plainte pour diffamation afin de défendre son honneur.
Le procureur de la République a confié l’enquête au commissaire principal Adramé Sarr, chef de la DIC. Durant l’enquête, Cheikh Bara Ndiaye a été convoqué et interrogé sur procès-verbal. Cependant, il n’a pas été en mesure de fournir des preuves concrètes pour soutenir ses accusations contre Thérèse Faye. La DIC a donc conclu son enquête et remis le dossier au procureur.
Le procureur Abdou Karim Diop doit maintenant décider de la suite à donner à cette affaire. Plusieurs options s’offrent à lui : il pourrait décider de classer l’affaire sans suite, de poursuivre Cheikh Bara Ndiaye pour diffamation, ou d’ordonner des investigations supplémentaires si nécessaire. Cette décision sera déterminante pour l’avenir du chroniqueur et pour la réputation de Thérèse Faye.
L’affaire a suscité de nombreuses réactions au sein de l’opinion publique. Les partisans de Thérèse Faye considèrent cette plainte comme une démarche légitime pour protéger son intégrité et sa réputation. De l’autre côté, les soutiens de Cheikh Bara Ndiaye dénoncent une tentative d’intimidation et une atteinte à la liberté d’expression.
Cette affaire met en lumière les défis auxquels sont confrontés les journalistes et chroniqueurs dans l’exercice de leur métier, en particulier lorsqu’ils abordent des sujets sensibles impliquant des personnalités politiques. Elle soulève également des questions sur la transparence et la responsabilité des dirigeants publics.
Le sort de Cheikh Bara Ndiaye repose désormais sur la décision du procureur de la République. Quelle que soit l’issue, cette affaire restera un cas emblématique des tensions entre la liberté de la presse et les droits à la réputation des personnalités publiques au Sénégal. Les prochains jours seront décisifs pour déterminer les conséquences judiciaires et médiatiques de cette confrontation.
En attendant, l’opinion publique et les acteurs du secteur médiatique suivront de près les développements de ce dossier, qui pourrait avoir des répercussions importantes sur le paysage médiatique et politique sénégalais.
Le ministre de l’Éducation nationale, Moustapha Guirassy, a dévoilé trois mesures majeures destinées à transformer et améliorer le système éducatif sénégalais. Ces initiatives, développées en collaboration avec divers acteurs de l’éducation, visent à réhabiliter les infrastructures scolaires, à promouvoir un investissement humain dans la propreté des écoles, et à intégrer des pratiques environnementales durables.
Trois mesures clés pour l’Éducation
Dans une note reçue par Seneweb, le ministre a précisé les trois mesures phares :
Réhabilitation des infrastructures et des tables-bancs : Le ministère de l’Éducation nationale s’engage à restaurer et améliorer les installations scolaires ainsi que le mobilier, assurant ainsi un environnement de travail adéquat pour les élèves et les enseignants.
Investissement humain « Setal Sunu Ekol » : Cette initiative vise à impliquer directement les élèves, enseignants et membres de la communauté dans des activités de nettoyage et d’entretien des établissements scolaires. Elle s’inscrit dans le cadre de l’initiative nationale « Setal Sunu Reew » lancée par le Président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
Aménagement d’espaces verts et reboisement autour du thème « Un élève, un arbre », « Une école, un jardin scolaire » : Cette mesure encourage la création de jardins scolaires et la plantation d’arbres, avec l’objectif de sensibiliser les élèves à l’importance de l’environnement et de la durabilité.
Le communiqué du ministre Moustapha Guirassy met en lumière l’engagement du gouvernement à promouvoir une éducation environnementale de qualité. En collaboration avec les ministères des Forces armées, de la Jeunesse et de l’Environnement, le ministère de l’Éducation nationale souhaite sensibiliser la communauté à l’importance de la propreté et de l’hygiène dans les écoles. Ces actions visent à créer des synergies entre l’école et les autres secteurs de la société, notamment le secteur privé, la société civile et les acteurs communautaires.
Afin de pérenniser ces actions et d’encourager les bonnes pratiques, le ministre Guirassy propose d’intégrer ces initiatives dans l’évaluation des élèves, des enseignants et des établissements scolaires. Cela vise à créer une culture de responsabilité et de respect de l’environnement parmi les jeunes générations.
Ces mesures phares annoncées par le ministre Moustapha Guirassy représentent un pas significatif vers une transformation positive du système éducatif sénégalais. En mettant l’accent sur la réhabilitation des infrastructures, l’engagement communautaire dans la propreté et l’hygiène, ainsi que la promotion de pratiques environnementales durables, le ministère de l’Éducation nationale s’engage à offrir aux élèves un environnement propice à l’apprentissage et à l’épanouissement.
Ces initiatives sont également en ligne avec les efforts nationaux pour une éducation plus inclusive et durable, contribuant ainsi à la construction d’un avenir meilleur pour les générations futures au Sénégal.
En cette veille de la fête de Tabaski, les femmes leaders affiliées au Président honoraire du conseil départemental de Kaolack, Baba Ndiaye, ont renouvelé leur engagement envers leur communauté en distribuant plus de 500 kits alimentaires. Ce geste, qui s’inscrit dans une tradition bien établie, vise à soutenir les familles démunies pendant cette période festive.
Sous la direction de Mme Sophie Ndoye, présidente des femmes leaders, l’initiative a vu la distribution de kits comprenant des pommes de terre, des oignons et des tablettes de cuisson aux groupements de femmes de 45 quartiers de la commune de Kaolack. Mme Ndoye a souligné que ce n’est pas la première fois que Baba Ndiaye, président du Conseil de surveillance de l’Agence de Construction de Bâtiments et Édifices publics (ACBEP), se montre généreux. « Depuis que nous le connaissons, non seulement il a autonomisé les femmes par des financements, mais il nous appuie lors de chaque fête, que ce soit le mois de Ramadan, la Korité ou la Tabaski, il met toujours la main à la poche mais de manière discrète », a-t-elle déclaré. Ce qui distingue cette initiative, c’est son approche inclusive. Selon Mme Ndoye, « Nous ne faisons pas le distinguo entre militants du président Baba Ndiaye ou ceux des autres leaders, l’essentiel pour notre leader est de mettre sur la table ses moyens pour partager avec les démunis. Telle est la philosophie de cet acte qui n’a rien de politique. » Cette démarche démontre un engagement envers la communauté qui transcende les affiliations politiques et met l’accent sur l’humanité et le partage. Les bénéficiaires de ces kits alimentaires sont des familles qui, sans cette aide, auraient eu du mal à célébrer la Tabaski de manière digne. En période de fête, où les dépenses augmentent, cette assistance est cruciale pour alléger le fardeau financier de nombreuses familles. La joie et la reconnaissance étaient palpables parmi les bénéficiaires, soulignant l’impact positif de cette initiative sur la communauté. Depuis la fin de la présidentielle, rares sont les leaders de la mouvance Benno Bokk Yaakar qui sont restés actifs sur le terrain. Cette action de Baba Ndiaye pourrait bien inciter d’autres leaders à suivre son exemple et à redoubler d’efforts pour soutenir leurs communautés. En cette période de préparation pour la Tabaski, l’initiative de Baba Ndiaye rappelle l’importance de la solidarité et de l’entraide, valeurs fondamentales de la société sénégalaise. L’initiative des femmes leaders de Baba Ndiaye, symbolisée par la distribution de 500 kits alimentaires, est un exemple puissant de solidarité et de soutien communautaire. En s’engageant de manière continue et discrète, Baba Ndiaye et ses collaborateurs démontrent que le leadership ne se limite pas à la politique, mais s’étend à des actions concrètes qui améliorent la vie des gens. Alors que la Tabaski approche, cette initiative renforce les liens communautaires et apporte un soulagement bienvenu à de nombreuses familles, incarnant ainsi les valeurs de partage et de compassion.
Après une longue attente, les contractuels de la mairie de Diourbel ont enfin perçu leurs salaires ce lundi 10 juin. Les agents ont reçu quatre mois d’arriérés ainsi que le salaire du mois de mai, juste à temps pour la fête de Tabaski.
Cette situation avait plongé de nombreuses familles dans une grande précarité, créant une atmosphère de vulnérabilité parmi les employés contractuels. Un contractuel, souhaitant rester anonyme, a partagé son soulagement : « Rien n’est plus dur pour un père de famille de rester des mois sans percevoir de salaires car les responsabilités n’attendent pas. » La régularisation des salaires a apporté une grande joie aux contractuels de la mairie, particulièrement en cette période de préparation de la Tabaski. Les agents, qui ne savaient plus à quel saint se vouer, ont exprimé leur soulagement et leur gratitude en voyant leurs salaires versés. Le maire de la commune, Malick Fall, a exprimé ses regrets concernant les retards de paiement, soulignant que la situation était indépendante de la volonté de son équipe et de la municipalité. « Nous regrettons amèrement les arriérés de salaires. C’est une situation qui est indépendante de notre volonté. Toutefois, nous sommes à pied d’œuvre pour que ces genres de situations ne se répètent plus, » a-t-il déclaré. Les contractuels se réjouissent de cette délivrance qui, selon eux, vient à son heure avec la Tabaski qui approche. Cependant, ils espèrent que ce genre de situation ne se reproduira plus, afin d’éviter d’être exposés à la vulnérabilité financière. Cette initiative de la mairie de Diourbel montre une volonté de soutenir ses employés et de garantir leur bien-être, particulièrement en cette période de festivités. Le maire et son équipe s’engagent à mettre en place des mesures pour prévenir de tels retards à l’avenir, assurant ainsi la stabilité financière des contractuels de la commune. Cette action en faveur des contractuels est également perçue comme un signe de bonne gouvernance et de respect des droits des travailleurs, ce qui est essentiel pour le développement harmonieux de la commune de Diourbel.
Le Sénégal célèbre un moment historique avec le démarrage de la production de pétrole au champ Sangomar, marquant ainsi une nouvelle ère pour l’industrie pétrolière du pays. Annoncée par la compagnie australienne Woodside Energy via un communiqué, cette réalisation est le fruit de plusieurs années de développement et d’investissement.
Situé à 100 km au sud de Dakar, le champ Sangomar renferme à la fois du pétrole et du gaz, offrant ainsi des perspectives économiques importantes pour le Sénégal. Les travaux de développement du champ ont débuté en 2020 et ont abouti à la mise en service en toute sécurité de l’unité flottante de production, de stockage et de déchargement (FPSO), avec une capacité de production estimée à cent mille (100 000) barils par jour pour cette première phase.
Meg O’Neill, PDG de Woodside, exprime l’importance de ce jalon pour le Sénégal et pour son entreprise, soulignant que le projet Sangomar devrait générer de la valeur pour les actionnaires conformément aux termes du contrat de Recherche et de Partage de production. Cette étape marque ainsi la concrétisation de la stratégie de Woodside dans la région.
Pour Petrosen, l’entreprise d’État sénégalaise détentrice de 18% dans le projet, le démarrage de la production de pétrole à Sangomar ouvre une nouvelle ère pour l’industrie pétrolière du pays ainsi que pour son économie et ses populations.
La première phase de développement du champ comprend 23 puits et représente un investissement estimé entre 4,9 et 5,2 milliards USD. Cette phase devrait permettre une production de gaz naturel liquéfié de 10 millions de tonnes par an avec les phases 2 et 3 à venir.
Un autre projet minier majeur pour le Sénégal est le projet Grand Tortue Ahmeyim (GTA), partagé avec la Mauritanie et développé par British Petroleum et Kosmos Energy. Il est prévu que sa production de 2,5 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié par an démarre d’ici la fin de l’année, consolidant ainsi la position énergétique régionale du Sénégal. En somme, le début de la production de pétrole au champ Sangomar marque une progression significative pour le pays, ouvrant de nouvelles perspectives économiques et attestant de son potentiel dans le domaine de l’énergie. Ce succès met en relief l’importance de la coopération internationale et de l’investissement dans la durabilité des ressources énergétiques nationales.
La Confédération africaine de football (CAF) pourrait-elle reporter la prochaine Coupe d’Afrique des Nations (CAN) de 2025 au début de 2026 ? Cette éventualité suscite des craintes et soulève des questions sur l’influence de la FIFA sur la CAF.
Initialement prévue pour l’été 2025 au Maroc, la CAN pourrait être décalée afin d’éviter un conflit de dates avec la prochaine Coupe du monde des clubs et la nouvelle formule de la Ligue des champions. Cette décision, si elle se concrétise, pourrait être perçue comme une soumission de la CAF aux directives de la FIFA, mettant ainsi en péril l’indépendance et l’autonomie du football africain.
Face à ces spéculations, le président de la CAF, Patrice Motsepe, a maintenu un silence énigmatique, laissant planer le doute quant à la position de l’instance africaine. Bien que la CAF ait publié un démenti sur le report annoncé, la situation demeure incertaine, laissant entrevoir une possible ingérence de la FIFA dans les affaires internes de la CAF.
La proposition de Gianni Infantino, président de la FIFA, d’organiser la CAN tous les quatre ans au lieu de deux, semble avoir ravivé le débat. Cependant, cette suggestion est contestée, notamment en raison des performances remarquables de la CAN en termes d’audience et d’attractivité, telles que démontrées lors de la dernière édition en Côte d’Ivoire.
Si la CAN 2025 est reportée, cela pourrait entraîner une surcharge de calendrier pour les joueurs africains, qui devraient participer à la CAN en décembre-janvier, suivie de la Coupe du monde en juin-juillet de la même année, en plus des compétitions de clubs et des nouvelles formules des Coupes d’Europe.
Cette situation soulève des préoccupations quant à la priorisation des intérêts du football africain par rapport aux ambitions commerciales et politiques de la FIFA. Il est impératif que la CAF prenne des décisions souveraines et en phase avec les besoins et les aspirations du football africain, sans céder à des pressions externes.
En conclusion, le report éventuel de la CAN 2025 met en lumière les défis auxquels est confronté le football africain, notamment en ce qui concerne son autonomie et son intégrité face à l’influence grandissante de la FIFA. La préservation de la CAN en tant qu’événement emblématique du continent africain doit rester une priorité absolue pour tous les acteurs impliqués.
Dans le cadre de sa mission de service public de transport, la société nationale Dakar Dem Dikk SA a entrepris une réorganisation majeure de ses ressources humaines et matérielles. Cette initiative vise à renforcer ses capacités opérationnelles afin d’assurer une desserte efficace, notamment dans les zones reculées, à l’approche de la fête de Tabaski.
Suite à un diagnostic approfondi de ses moyens, Dakar Dem Dikk annonce fièrement une augmentation significative de 59% des dessertes interurbaines à travers le territoire national. Cette mesure vise à garantir que chaque citoyen puisse rejoindre sa famille et ses proches en toute sécurité pour célébrer cette importante fête religieuse.
Cependant, cette intensification des services ne compromettra en rien l’exploitation des lignes urbaines et interurbaines existantes, qui continueront de desservir les localités de la capitale et des régions, telles que Kédougou et Podor. Malgré les défis liés au manque de services de maintenance adéquats, Dakar Dem Dikk reste résolu à offrir un service de qualité à ses usagers.
Le communiqué de Dakar Dem Dikk souligne également les efforts déployés pour remédier aux problèmes rencontrés, notamment la nécessité de réparer les bus en panne dans certaines régions. Dans cet esprit, la direction générale s’engage à renforcer le service de maintenance local afin de garantir la fiabilité et la sécurité de ses véhicules.
En conclusion, Dakar Dem Dikk réaffirme son engagement envers les populations et les usagers, promettant un service inclusif respectant les normes sécuritaires et l’équité territoriale. La société salue également les efforts constants de son personnel dévoué, qui œuvre sans relâche pour offrir un service de qualité à tous les citoyens.
Le général Birame Diop, ministre des Forces armées du Sénégal, a récemment annoncé l’engagement ferme du pays en faveur de la réunification des États membres de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao). Cette déclaration a été faite lors de la cérémonie d’ouverture de la célébration du 49e anniversaire de la Cedeao, où le général Diop a représenté son homologue des Affaires étrangères et de l’Intégration africaine.
Dans son discours, le général Diop a souligné que le Sénégal considère la réunification de la Cedeao comme une priorité, tout en mettant en avant la nécessité de garantir une paix durable dans la sous-région. Selon lui, cette stabilité est cruciale pour parachever l’intégration régionale.
Cette position s’inscrit dans la politique extérieure définie par le président sénégalais, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, qui accorde une importance particulière à l’intégration continentale. Le changement de dénomination du ministère des Affaires étrangères ainsi que les tournées effectuées par le président dans la sous-région témoignent de la volonté du Sénégal de parvenir à la réunification des pays membres de la Cedeao.
Le général Diop a également salué les réalisations de la Cedeao depuis sa création, soulignant les progrès significatifs et les réformes entreprises, notamment dans le domaine de la prévention des conflits.
La commémoration du 49e anniversaire de la Cedeao sous le thème « La Cedeao à l’aube de son cinquantenaire » offre une opportunité de réfléchir aux défis sécuritaires et aux perspectives de cette institution communautaire. Le Sénégal, à travers l’annonce du général Diop, réaffirme son engagement envers l’unité et l’intégration régionale en Afrique de l’Ouest.
M. F. Sy, suspecté du meurtre du jeune Moustapha Dimé à Mbodiène, reste en garde à vue au commissariat urbain de Tivaouane alors que de nouveaux développements émergent dans l’affaire. En plus de ses aveux concernant le meurtre, Sy a également admis avoir violé deux femmes, passagères qu’il transportait en tant que chauffeur de « wargaïndé ».
Les enquêteurs se sont rendus sur les lieux où Sy a prétendument vendu la moto de sa victime, et ont interpellé l’acheteur. Par ailleurs, les deux femmes violées ont identifié Sy comme leur agresseur lors de leur passage au commissariat.
L’enquête progresse rapidement, avec les inspecteurs maintenant à la recherche des complices de Sy dans le meurtre de Dimé. On s’attend à ce que l’enquête soit bouclée dans les prochains jours.
Gabrielle Kane, éminente féministe et présidente de l’Association d’appui et de protection des femmes victimes de violation de leurs droits (APROFEV), se retrouve sous le coup d’un mandat d’arrêt. Cette annonce a secoué les réseaux sociaux, mais la réaction de Kane ne s’est pas fait attendre.
Sur ses plateformes en ligne, l’ancienne protectrice d’Adji Sarr a réagi avec une déclaration forte : « Si la prison est la récompense de mes combats de femme, de mère, j’irai donc avec une immense fierté pour ce que j’ai fait. Je ne regrette rien et mille fois, je recommencerai! ». Ces mots reflètent la détermination et le courage dont Kane fait preuve face à cette situation délicate.
La jeune dame fait l’objet de plusieurs plaintes, mais son engagement envers la cause des femmes reste inébranlable. Son attitude face à cette épreuve souligne son engagement sans faille envers la lutte pour les droits des femmes, et son message résonne comme un appel à la persévérance et à la résilience dans la quête de justice et d’égalité.
Le secrétariat exécutif permanent de la Confédération Syndicale Africaine (CSA) a vivement réagi à la convocation de Oumar BA, Secrétaire général du Syndicat Autonome des Travailleurs de l’Eau du Sénégal (SATES/SEN’EAU), par le Conseil de discipline de l’entreprise SEN’EAU.
Dans un communiqué officiel, la CSA a qualifié cette convocation de tentative d’intimidation visant à restreindre le droit syndical et à museler la voix des travailleurs qui ne font que revendiquer leurs droits légitimes et de meilleures conditions de travail.
Le secrétaire général de la CSA, actuellement à Genève pour une conférence du Bureau International du Travail (BIT), a fermement condamné cette mesure arbitraire, dénonçant son objectif sous-jacent de démanteler le SATES/SEN’EAU. Il a souligné que le camarade Oumar Ba n’a fait que remplir son devoir syndical en défendant les droits et intérêts des travailleurs.
La CSA exprime sa solidarité envers les membres du SATES/SEN’EAU et son engagement à lutter à leurs côtés pour le respect de leurs droits et de leur dignité. Elle exige ainsi l’annulation de toute sanction issue du Conseil de discipline et le respect du droit à l’activité syndicale.
En réponse à cette situation, la CSA appelle la Direction de SEN’EAU à entamer des négociations avec le SATES/SEN’EAU afin de trouver des solutions appropriées pour préserver un climat de travail sain et respectueux des droits des travailleurs.
L’affaire qui a récemment éclaté, impliquant un chauffeur sénégalais et ses employeurs chinois, met en lumière les tensions autour du paiement des salaires et des conditions de travail dans certaines entreprises. Tout a commencé lorsque l’employé, Ibrahima Fall, a refusé de signer son bulletin de salaire après avoir constaté des déductions injustifiées. Cela a déclenché une série de confrontations, aboutissant à une mise à pied prolongée et finalement à un conflit ouvert.
Fall affirme avoir été injustement sanctionné pour des dommages causés au véhicule par un autre chauffeur, mais il a refusé de se plier aux demandes de son employeur chinois de signer le bulletin de salaire sans explication claire sur les déductions. Il a plutôt demandé une justification écrite pour régler le différend par le biais des autorités compétentes.
Lorsque les employeurs chinois ont tenté de confisquer son salaire, Fall a résisté, ce qui a conduit à une altercation physique, capturée dans des vidéos virales qui ont choqué l’opinion publique. L’intervention des autorités a finalement permis à Fall de récupérer son salaire et de reprendre son travail, après que l’Inspection du Travail ait tranché en sa faveur.
Cette affaire met en lumière les défis auxquels sont confrontés de nombreux travailleurs, en particulier dans le contexte des entreprises internationales où les barrières linguistiques et culturelles peuvent compliquer les relations employeur-employé. Elle souligne également l’importance d’une réglementation stricte pour protéger les droits des travailleurs et résoudre les conflits de manière équitable.
Les sénégalais attendent impatiemment la réalisation de vos promesses electorales. Vous ne pouvez pas l’oublier et vous ne devez pas oublier comment les sénégalais se sont appropriés le projet pastef depuis sa création. Un projet qui fut et est toujours synonyme d’espoir car bâti sur une demande sociale < la rupture systémique>. Vous l’avez dit et vous l’avez redit < on doit rompre avec ceux qui se faisaient et surtout soulager les maux des sénégalais >, voilà vos dires avant les élections présidentielles de 2024 et voilà sans doute pourquoi les sénégalais ont adhéré massivement au projet pastef, votre score 54% lors des élections, une chose inédite en matière électorale montre à quel point les sénégalais compte sur votre personne
Mais après tout juste 2 mois , on est pas rassuré de vos faits et gestes. Certes vous avez initié des actes forts ( suspension des licences de pêche , arrêts des travaux sur le littoral, Audits ) mais on attend de voir la suite. L’image que vous véhiculez me laisse perplexe, nous attendons que vous fassiez la part des choses désormais vous avez les reines de l’état, vous avez les commandes, vous devez dérouler.
Mais les faits montrent que vous avez du mal à démarrer la machine, le projet pastef est devenu d’un coup flou et votre gouvernement semble tâtonner, dépassé par les événements. Les sénégalais continuent de souffrir en silence car si vous êtes toujours dans l’état de grâce, les maux des sénégalais restent entiers. Vous nous aviez promis la réduction du coût de la vie, mais rien toujours, l’ultimatum du 15 mai est dépassé largement. Le chômage et les conditions de travail dramatiques sont toujours là , votre sortie du dimanche sur le thème < la place de la jeunesse dans le projet > s’est soldée par des déballages, intimidations et menaces. La presse n’est pas votre cible, elle a joué pleinement son rôle dans la légitimation de votre combat auprès du Grand public, Mr le PM concentrez vous sur les priorités.
Ressaisissez vous Mr le premier Ministre, nous attendons une autre version de vous pas celle d’avant les élections en tant qu’opposant. Nous voulons que vous vous comportiez comme un digne chef du gouvernement avec de la hauteur et d’être au dessus de la mêlée. Désormais c’est votre rôle de réconcilier le peuple sénégalais en créant un environnement propice à la cohésion sociale et au développement économique et social.
Samba kanteye PDG Niomre avenir plusAncien conseiller municipal de la commune de Niomre.
Le Sénégal, longtemps connu pour son agriculture et son tourisme, entre dans une nouvelle ère avec la découverte de ressources pétrolières prometteuses au large de ses côtes. Cette nouvelle a suscité à la fois l’enthousiasme et l’inquiétude au sein de la population sénégalaise, qui se demande si elle bénéficiera réellement de cette richesse.
D’un côté, l’industrie pétrolière offre des perspectives économiques importantes, avec la création d’emplois, le développement des infrastructures et l’augmentation des revenus pour l’État. Cependant, l’expérience d’autres nations africaines riches en pétrole met en garde contre les pièges potentiels de la « malédiction des ressources ».
La gestion transparente et efficace des revenus pétroliers est essentielle pour garantir que tous les citoyens du Sénégal bénéficient de cette nouvelle richesse. Cela nécessite une bonne gouvernance, une lutte contre la corruption et des mécanismes de redistribution équitables.
De plus, il est crucial que le Sénégal investisse dans des secteurs diversifiés de son économie afin de réduire sa dépendance à long terme vis-à-vis du pétrole. Cela garantira une croissance économique durable et résiliente pour les générations futures.
En fin de compte, le succès de l’industrie pétrolière au Sénégal dépendra de la manière dont le gouvernement, les entreprises et la société civile travaillent ensemble pour assurer que cette richesse profite à tous, et non seulement à une élite restreinte.
Un agent du Groupement d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), M. L. Guèye, membre de la garde rapprochée de Babacar Diagne, président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA), a été condamné pour violences conjugales par le Tribunal d’instance de Dakar.
Sa femme, C. Faye, également policière, l’a accusé de violences physiques, menaces de mort et abandon de famille, lors de leur récente altercation. Selon les déclarations de l’accusatrice, les violences étaient récurrentes depuis leur mariage en 2019, mais ont atteint un sommet lorsqu’elle l’a confronté à son infidélité présumée.
Les témoignages rapportent que M. Guèye aurait agressé sa femme violemment, utilisant même son arme de service pour la menacer de mort. Des preuves médicales, des captures de messages WhatsApp compromettants et des photos de blessures ont été présentées devant le tribunal.
En réponse, l’accusé a nié certains faits, accusant plutôt sa femme de jalousie excessive et suggérant qu’elle se serait blessée elle-même lors de la dispute.
Le juge a fermement condamné le comportement de M. Guèye, soulignant qu’en tant que représentant de l’État, il se devait d’avoir un comportement exemplaire. Finalement, après le désistement de son épouse, il a été condamné à un mois de prison avec sursis et à une amende de 100 000 F CFA.
Cette affaire souligne l’importance de la lutte contre les violences conjugales et rappelle que personne n’est au-dessus de la loi, même les agents des forces de l’ordre.
La ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, Khady Diène Gaye, a annoncé le lancement imminent d’un programme ambitieux visant à instaurer des fermes agricoles citoyennes dans chaque commune du Sénégal. Ce programme s’inscrit dans une démarche de souveraineté agricole et vise à inclure les jeunes à différents niveaux de compétences et de formation.
Khady Diène Gaye a déclaré : « Nous voulons une agriculture de souveraineté », soulignant l’importance de ce programme pour l’autosuffisance alimentaire du pays. Elle a précisé que le programme débutera par une campagne de sensibilisation et mettra la digitalisation au cœur de ses actions, permettant aux jeunes de s’insérer à différentes étapes du processus agricole en fonction de leurs compétences.
Cette annonce a été faite lors de la cérémonie de lancement de la première Consultation nationale sur la Résolution 2250 (2015) concernant la jeunesse, la paix et la sécurité au Sénégal. L’événement, co-organisé avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), a réuni le gouverneur de Ziguinchor, Mor Talla Tine, des représentants de jeunes des quatorze régions du Sénégal et des élus locaux.
Le programme cible une large tranche de la jeunesse, y compris ceux ayant suivi une formation académique, technique et professionnelle, ainsi que ceux qui n’ont pas eu cette opportunité ou qui ont bénéficié d’une éducation populaire. « Nous avons le devoir de mettre l’accent sur l’inclusion sociale. Nous voulons donner la chance à tous les jeunes du Sénégal où qu’ils puissent se trouver », a-t-elle ajouté.
Khady Diène Gaye a insisté sur le fait que le développement économique du Sénégal passe par une amélioration du secteur agricole. « Pour parler d’essor économique, il faut un processus. Au Sénégal, nous sommes au stade primaire de ce processus. Pour que nous puissions parler d’autres étapes de développement, il nous faut impérativement mettre l’accent sur le développement du secteur agricole », a-t-elle souligné.
Le programme sera mis en œuvre en collaboration avec le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire et celui des Collectivités territoriales, facilitant ainsi la libération des terrains nécessaires pour les fermes agricoles citoyennes.
La Résolution 2250 du Conseil des Nations Unies, adoptée le 9 décembre 2015, encourage l’inclusion des jeunes dans les processus décisionnels pour prévenir les crises et promouvoir la paix et la sécurité. Le Sénégal vise à adopter, ratifier et intégrer cette résolution dans son cadre juridique national.
Luc Gonlonfoun, représentant du PNUD, a précisé que cette consultation nationale vise à développer un Plan d’action national provisoire pour les cinq prochaines années. Le PNUD soutient également un projet d’autonomisation des jeunes pour qu’ils contribuent pleinement au développement du Sénégal, éloignant ainsi les jeunes des vices et des conflits.
En conclusion, le programme de fermes agricoles citoyennes représente une initiative prometteuse pour l’avenir agricole et économique du Sénégal, en mettant l’accent sur l’inclusion sociale et le développement des jeunes à travers des opportunités économiques durables.
L’affaire du chauffeur Ibrahima Fall, victime de tortures infligées par des ressortissants chinois et des collègues sénégalais aux Industries Chimiques du Sénégal (ICS) de Taïba, connaît un développement significatif. Suite à la diffusion des informations et des preuves vidéo, la Gendarmerie nationale a pris des mesures décisives en intervenant sur les lieux.
Des sources fiables sur place confirment que la Gendarmerie nationale a procédé à l’interpellation des présumés tortionnaires. Cette action marque une étape cruciale dans la quête de justice pour Ibrahima Fall, dont l’agression avait soulevé une vague d’indignation au sein de la communauté locale et parmi les défenseurs des droits de l’homme.
Ibrahima Fall, chauffeur pour l’entreprise chinoise DIYAN, opérant aux ICS de Taïba, avait refusé de signer une fiche de paie comportant des déductions salariales injustifiées. En représailles, deux Chinois et deux Sénégalais l’avaient immobilisé au sol, genoux sur le cou, rappelant tristement les circonstances de la mort de George Floyd. Un collègue de Fall avait réussi à filmer la scène, ce qui a joué un rôle crucial dans l’intervention des autorités.
L’interpellation des suspects par la Gendarmerie a été largement saluée par les travailleurs, les syndicats, et les militants des droits humains. Ils espèrent que cette action rapide et décisive mènera à une enquête approfondie et à des poursuites judiciaires appropriées contre les responsables de cette agression.
Cette affaire met en lumière les conditions de travail difficiles et parfois abusives au sein des entreprises étrangères opérant au Sénégal. Elle souligne la nécessité d’une vigilance accrue de la part des autorités et d’une réforme des politiques de travail pour garantir la protection des droits des travailleurs.
L’intervention de la Gendarmerie marque le début d’un processus judiciaire qui devra être mené avec rigueur et transparence. Les autorités doivent s’assurer que justice soit rendue à Ibrahima Fall et que de tels abus ne se reproduisent plus.
L’affaire du chauffeur de Taïba est un rappel poignant des défis auxquels sont confrontés les travailleurs, notamment ceux employés par des entreprises étrangères. L’intervention de la Gendarmerie nationale constitue un pas important vers la justice et la protection des droits des travailleurs au Sénégal. Les actions à venir détermineront l’impact de cette affaire sur les politiques de travail et les relations industrielles dans le pays.
Le championnat de la Ligue 1 sénégalaise s’est terminé le samedi passé. Le Teungueth FC a été sacré champion à l’issue d’une saison passionnante marquée par les performances de plusieurs jeunes joueurs. Seneweb, qui a suivi le championnat de bout en bout, vous livre son onze préféré.
Marc Philippe Arouna Diouf, gardien de but (Teungueth FC)
Sacré champion du Sénégal, Marc Philippe Arouna Diouf a réussi une excellente saison dans les cages du club rufisquois. Auteur de 17 clean sheet et d’une passe décisive, l’imposant gardien (1m86) formé à l’AJEL de Rufisque a également arrêté deux penalties. Des performances qui ont beaucoup contribué au sacre de Teungueth FC. Cette année, il a été incontestablement le meilleur gardien du championnat.
Cheikh Sarr, latéral droit (Teungueth FC)
Meilleur latéral droit de Ligue 2 la saison dernière sous les couleurs du Jamono Fatick, Cheikh Sarr a confirmé sa montée en puissance cette saison. Pour sa première année avec Teungueth FC, il a fortement participé au sacre en distillant quatre passes décisives à ses attaquants. Aussi bon offensivement que défensivement, l’ancien capitaine du Jamono Fatick a réalisé une belle saison.
Nouha Coly, défenseur central (Sonacos)
Formé au Casa Sports, Nouha Coly a quitté la capitale du Sud pour rejoindre la Sonacos qui venait de revenir dans l’élite. Un challenge réussi par le puissant défenseur central qui a réalisé une belle saison. Défenseur très technique doté d’une bonne relance, Nouha Coly a été cette saison l’un des meilleurs éléments de la formation diourbellois.
Aliou Souané, défenseur central (Jaraaf)
Avec 23 matchs disputés pour un but marqué, Aliou Souané a joué un rôle important dans les performances de l’ASC Jaraaf. Défenseur technique et très solide dans les duels, le roc (1m86) formé à l’AS Darou Salam des HLM Grand-Yoff a réalisé une bonne saison. Avec son calme, sa sobriété et sa régularité dans les performances, il a été l’homme fort de la défense du club de la Médina.
Joseph Layouss Samb, latéral gauche (Teungueth FC)
Latéral gauche très offensif, Joseph Layouss Samb a marqué la saison par de belles performances. Auteur de quatre buts et de six passes décisives, le défenseur de Teungueth FC a fait mieux que certains attaquants du championnat. Très régulier dans ses performances, le gaucher formé à Génération Foot a été l’un des hommes forts du sacre du club rufisquois.
Ahmed Ben Makha Ba, milieu de terrain (Linguère)
La Linguère a disputé une saison plutôt moyenne, mais un joueur est sorti du lot : Ahmed Ben Makha Ba. Auteur de trois buts, le milieu de terrain défensif a été incontestablement le meilleur joueur de la Linguère cette saison. Régulier dans la performance et capable de jouer à plusieurs postes, le capitaine de la Linguère, qui a disputé les 26 journées du championnat, a été l’élément incontournable de son équipe.
Mame Saër Guèye, milieu de terrain (Stade de Mbour)
Il est très rare de voir un milieu de terrain marquer plus de quatre buts dans notre championnat où même les attaquants ne marquent pas beaucoup. Pourtant, Mame Saër Guèye a réussi à planter six buts. Une belle performance pour un milieu de terrain défensif. Même si la saison a été très difficile pour le Stade de Mbour, le capitaine des piroguiers a incontestablement marqué le championnat par ses performances.
Aimé Tendeng, milieu de terrain (Jaraaf)
Meneur de jeu très technique et doté d’une bonne vision de jeu, Aimé Tendeng a incontestablement franchi un palier en rejoignant le Jaraaf. Même s’il n’a pas marqué cette saison, il a été l’inspirateur du jeu du Jaraaf avec six passes décisives. Avec ce qu’il a montré cette saison, le Jaraaf aura du mal à le garder dans son effectif, la saison prochaine.
Naby Laye Soumah, milieu de terrain (Jamono Fatick)
Capitaine et meneur de jeu du Jamono Fatick, Naby Laye Soumah, a joué un rôle déterminant dans le maintien du club du Sine. Auteur de quatre buts et d’une passe décisive, le Guinéen a livré une belle saison. Outre ses buts, ses qualités techniques, son comportement irréprochable et son charisme ont été bénéfiques au club fatickois.
Souleymane Cissé, attaquant (Jaraaf)
La saison dernière, Souleymane Cissé avait brillé avec la Linguère de Saint-Louis en marquant sept buts et en délivrant six passes décisives. Cette saison encore, le joueur natif de Tambacounda, qui a rejoint le Jaraaf, a montré qu’il reste une valeur sûre du championnat. Auteur de neuf buts, il a été le joueur du Jaraaf le plus décisif de la saison. Des performances qui lui ont valu une invitation du sélectionneur national Aliou Cissé.
Abdoulie Kassama, attaquant (Guédiawaye FC)
Meilleur buteur la saison dernière sous les couleurs du Casa Sports (12 buts), Abdoulie Kassama a rejoint cette saison le Guédiawaye FC. Mais malgré ce changement de club, l’attaquant gambien n’a rien perdu de ses qualités de buteur. Pour preuve, le jeune avant-centre a inscrit sept buts et délivré quatre passes décisives. Une grosse performance pour l’ancien du Casa Sports, qui n’a manqué que quatre matchs de championnat.
L’influenceur Saydbamba a été convoqué ce mardi 11 juin 2024 à la division de la cybercriminalité pour un interrogatoire. Sur sa page Facebook, il a partagé qu’il était présent dans les locaux de la cybercriminalité, en attendant ses avocats pour débuter l’interrogatoire. Actuellement, il reste sur place, soumis à un interrogatoire en cours.
L’influenceur, connu pour son activité sur les réseaux sociaux, se retrouve au centre de l’attention médiatique avec cette convocation. Les raisons précises de cette démarche des autorités n’ont pas encore été divulguées. Cependant, cela soulève des interrogations et suscite l’intérêt de ses nombreux abonnés et de la communauté en ligne.
L’évolution de cette affaire sera suivie de près et nous fournirons des mises à jour dès que de nouvelles informations seront disponibles.
Le transfert de Sadio Mané vers le club saoudien Al Qadisiyah, récemment promu en première division, semble sur le point d’échouer. Selon les informations rapportées par le journaliste sportif Falah Al-Qahtani, les négociations entre les représentants de Mané et le club n’ont pas abouti à un accord satisfaisant pour les deux parties.
Sadio Mané, qui a marqué 19 buts et délivré 11 passes décisives en 46 matchs avec Al-Nassr, est pourtant considéré comme un flop par certains observateurs. Son club actuel, Al-Nassr, souhaiterait se séparer de lui lors de ce mercato estival, malgré ses contributions significatives sur le terrain.
Al Qadisiyah, champion de la deuxième division saoudienne, a des ambitions élevées pour la saison prochaine et souhaite renforcer son effectif en recrutant des joueurs de renom comme Sadio Mané. Cependant, les négociations autour du salaire proposé n’ont pas abouti. Le club promu semble incapable de satisfaire les exigences financières de Mané et de ses agents, ce qui compromet sérieusement la conclusion du transfert.
Parallèlement, Sadio Mané suscite l’intérêt d’autres clubs, notamment Gérone en Espagne, qui jouera la Ligue des champions la saison prochaine et cherche à remplacer son meilleur joueur, Savio. Ce développement pourrait indiquer un possible retour en Europe pour la star sénégalaise, où il pourrait retrouver un environnement plus familier et compétitif.
Le désaccord sur les termes financiers est un facteur crucial dans ce transfert avorté. Al Qadisiyah, malgré ses ambitions, doit respecter ses contraintes budgétaires, tandis que Sadio Mané, ayant déjà atteint un niveau de performance élevé, cherche une rémunération à la hauteur de sa valeur sur le marché.
À moins d’un revirement de situation inattendu, le transfert de Sadio Mané à Al Qadisiyah semble voué à l’échec. L’attaquant sénégalais pourrait donc explorer d’autres options, notamment un retour en Europe, où des clubs comme Gérone pourraient lui offrir non seulement une place en Ligue des champions, mais aussi des conditions salariales plus attrayantes.
Cette situation souligne l’importance des négociations contractuelles dans les transferts de football, où les aspects financiers et les aspirations personnelles des joueurs jouent un rôle déterminant. Pour Sadio Mané, la décision finale sera cruciale pour la suite de sa carrière, tant au niveau sportif que financier.
La 4e journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 en Afrique a offert son lot de surprises et de confirmations. Plusieurs équipes ont su tirer leur épingle du jeu, que ce soit à domicile ou en déplacement.
Groupe I : Les Comores En Tête
Les Comores ont réalisé une belle opération en allant s’imposer 2-0 au Tchad. Cette victoire, la troisième en quatre matchs, place les Comores en tête du groupe avec 9 points, devant le Ghana qui compte également 9 points mais une différence de buts inférieure (+4 contre +2). Dans ce même groupe, Madagascar et le Mali ont fait match nul 0-0. Les Malgaches, avec ce point gagné, se positionnent à la 3e place avec 7 points, tandis que le Mali, avec 5 points, est en 4e position, déjà distancé par le Ghana et les Comores.
Groupe C : Le Rwanda Prend La Tête
Le Rwanda a créé la surprise en battant le Lesotho 1-0 à l’extérieur. Ce succès permet aux Rwandais de prendre la tête du groupe avec 7 points, devançant l’Afrique du Sud à la différence de buts. L’Afrique du Sud, quant à elle, a assuré à domicile en dominant le Zimbabwe 3-1, se maintenant ainsi à la 2e place du groupe avec également 7 points.
Groupe D : Le Cap-Vert Se Relance
Après avoir été battu par le Cameroun, le Cap-Vert a rebondi en s’imposant 1-0 contre la Libye. Cette victoire permet aux Requins Bleus de rejoindre le Cameroun en tête du groupe avec 7 points chacun. Cependant, le Cameroun reste leader à la différence de buts et doit affronter l’Angola lors de la prochaine journée. Dans ce groupe, l’île Maurice a infligé une quatrième défaite consécutive à l’Eswatini, leur permettant de grimper à la 5e place avec 4 points.
Groupe E : La Tanzanie S’impose En Zambie
La Tanzanie a réalisé une belle performance en s’imposant 1-0 en Zambie. Cette victoire cruciale permet aux Tanzaniens de prendre la 2e place du groupe avec 6 points, mettant la pression sur le Maroc, qui affronte le Congo plus tard dans la journée.
Groupe F : La Côte d’Ivoire Accrochée Par Le Kenya
Championne d’Afrique en titre, la Côte d’Ivoire a été tenue en échec par le Kenya avec un score nul de 0-0. Malgré ce résultat, les Ivoiriens restent en tête du groupe F avec 10 points, continuant à viser une qualification directe pour la Coupe du Monde 2026.
Cette journée a vu des équipes comme les Comores et le Rwanda prendre des positions avantageuses dans leurs groupes respectifs. La lutte pour la qualification reste ouverte avec plusieurs équipes en position de force pour la suite des éliminatoires. Les prochains matchs seront décisifs pour confirmer ces tendances et déterminer les équipes qui continueront leur route vers le Mondial 2026.
Les éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 continuent de surprendre et de bousculer les pronostics. Dans le groupe B, le Soudan a pris les commandes du classement, tandis que la Côte d’Ivoire et le Mali ont déçu leurs supporters avec des performances mitigées.
Groupe B : Le Soudan Surprend le Sénégal
Dans un match crucial pour la qualification, le Soudan a brillamment battu son voisin et rival, le Soudan du Sud, sur un score sans appel de 3-0. Cette victoire permet au Soudan de totaliser 10 points, deux de plus que le Sénégal, qui se retrouve maintenant à la deuxième place du groupe. Les Soudanais ont montré une solide performance, confirmant leur ambition de se qualifier pour le mondial 2026.
Groupe I : Le Mali Patauge Contre Madagascar
Le Mali continue de décevoir dans les qualifications, ne parvenant qu’à décrocher un match nul 0-0 contre Madagascar, malgré une supériorité numérique pendant une grande partie du match. Cette contre-performance place le Mali à la 4e position du groupe avec seulement 5 points. Les supporters maliens espéraient une victoire qui aurait relancé leurs espoirs de qualification, mais l’équipe n’a pas su capitaliser sur ses opportunités.
Groupe F : La Côte d’Ivoire Freinée par le Kenya
Dans le groupe F, la Côte d’Ivoire a connu un coup d’arrêt en ne parvenant pas à battre le Kenya. Le match s’est terminé sur un score nul de 0-0. Malgré ce résultat, les Ivoiriens conservent la tête du groupe avec 10 points. Toutefois, ce match nul pourrait coûter cher si leurs poursuivants immédiats parviennent à rattraper leur retard dans les prochaines rencontres.
Les prochaines journées des éliminatoires s’annoncent décisives pour ces équipes. Le Soudan, en tête de son groupe, doit maintenir son rythme pour sécuriser sa place pour le mondial. Le Sénégal, de son côté, devra impérativement gagner ses prochains matchs pour reprendre la tête du groupe B.
Pour le Mali, les espoirs de qualification s’amenuisent, et l’équipe devra montrer un visage différent dans les prochains matchs pour espérer se hisser parmi les meilleurs. Quant à la Côte d’Ivoire, elle doit rapidement retrouver le chemin de la victoire pour éviter toute mauvaise surprise.
Ces résultats montrent à quel point les éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 sont imprévisibles et pleins de rebondissements. Les équipes doivent rester concentrées et performantes pour atteindre leur objectif de qualification.
À la veille de la Tabaski, une période sacrée pour les musulmans, le Chef de l’État du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a tenu une réunion importante avec les imams et oulémas du pays. Cette rencontre a été marquée par des échanges fructueux et empreints de qualité, où les religieux ont exprimé leur appréciation pour cette initiative de dialogue.
Les représentants de la Ligue des imams, de l’Association des oulémas et du Rassemblement islamique ont exprimé leur engagement à collaborer étroitement avec le Président Faye pour promouvoir la paix, l’harmonie et la concorde au sein de la société sénégalaise.
Cette démarche souligne l’importance que le Président accorde à la coopération et au dialogue interreligieux dans la consolidation des fondements d’une nation prospère et unie. En renforçant les liens avec les leaders religieux, le gouvernement sénégalais montre sa volonté de travailler main dans la main avec toutes les composantes de la société pour préserver la stabilité et le bien-être de tous ses citoyens.
En cette période de célébration religieuse, cette rencontre revêt une signification particulière, soulignant l’importance de la compréhension mutuelle et du respect entre les différentes communautés religieuses du pays. Le dialogue constructif entre le gouvernement et les leaders religieux constitue un pas essentiel vers la consolidation des valeurs de tolérance et de coexistence pacifique au Sénégal.
Alors que la Tabaski approche, cette réunion témoigne de l’engagement commun en faveur de la paix et de l’unité, et renforce l’espoir d’un avenir où la diversité religieuse est célébrée comme une richesse nationale.
Aujourd’hui marque une étape décisive pour le Sénégal avec le lancement de l’extraction pétrolière dans le champ de Sangomar, un projet pionnier avec une capacité de 100 000 barils par jour. Cette réalisation est le fruit d’une collaboration entre PETROSEN, l’État sénégalais et des acteurs internationaux majeurs.
Woodside, entreprise australienne, annonce fièrement le début de cette extraction offshore, ouvrant ainsi la voie à une production significative de barils. Cependant, la fluctuation des prix du pétrole sur le marché mondial pose des défis quant à la fixation des prix.
Moussa Oumar, chercheur dans le secteur pétrolier, souligne l’importance de maximiser la production quotidienne de barils, soulignant la difficulté de pratiquer l’économie du pétrole au niveau des gisements. La capacité de production estimée du champ de Sangomar est de 100 000 barils par jour, marquant un pas crucial dans son exploitation.
Le contrat de partage de production entre le Sénégal et la compagnie pétrolière repose sur la production quotidienne de barils, déterminant ainsi les parts de chaque partie. Avant cela, il est essentiel de rembourser les investissements des opérateurs, comme le stipule l’article 34 du code pétrolier, avec un taux de remboursement d’environ 70%.
Après près de dix ans de recherche et de développement, l’heure est venue pour le Sénégal de rembourser les coûts engagés dans ce projet ambitieux. Une fois ce remboursement effectué, le partage de la production débutera, avec 40% pour l’État et 60% pour la compagnie pétrolière. Ce remboursement se fera progressivement selon des barèmes établis.
En conclusion, cette avancée dans le domaine pétrolier ouvre de nouvelles perspectives pour le Sénégal, tout en soulignant l’importance de gérer efficacement les revenus issus de cette ressource précieuse pour le développement économique du pays.
Ce lundi 10 Juin 2024 au Maroc, le Prince héritier Moulay El’Hassan prend date avec ses sujets en lançant la plus grande usine de dessalement de l’Afrique d’une capacité annuelle de 300 millions de m3 d’eau pour couvrir les besoins de 8 000 000 de marocains autour de la grande agglomération de CASABLANCA.
La puissance économique de l’Afrique, presque six fois le PIB du Sénégal, le royaume anticipe ainsi l’urbanisation exponentielle et surtout les changements climatiques qui affectent les ressources en surface et sous surface du territoire chérifien.
La méga – station de 50 HA fonctionnant au renouvelable, a nécessité un investissement de 650 millions d’euros en partenariat public-privé structuré en deux phases. La première phase opérationnelle en 2026 avec une capacité de 548.000 m3 par jour. La seconde phase, pour mi-2028 atteindra un pic autour de 822.000 m3 par jour, ajoutant ainsi 100 millions de m3 annuels supplémentaires, dont 50 millions seront destinés à l’agriculture. C’est inédit, un vrai signe d’émergence. L’optimisation financière et technologique du projet permet de baisser le coût de du m3 à 280 F cfa…Deux sociétés marocaines et leur partenaire espagnol sélectionnés à l’issu d’un appel d’offre international transparent vont assurer la mise en œuvre de l’usine de dessalement dernier cri.
Au Sénégal avec 50 millions d’euros – soit 40 milliards de plus que le Maroc nous aurons 200 000 m3/jour avec l’usine de dessalement de la Grande Côte qui lie en PPP la société nationale SONES et l’opérateur -financeur saoudien ACWA Power. Previsionellement en deux phases comme au maroc avec 200 000 m3/jour en 2027 et un autre 200 000 m3/jour en 2030 le tout pour 459 milliards FCFA..
Notre pays à de loin les meilleurs corpus de texte sur les PPP que le Maroc malheureusement pour le contrat SONES – ACWA aucune règle , aucune diligence, même environnementale n’a été respectée.
L’unité nationale d’appui aux PPP, l’ARMP – ARCOQ et la DCMP sont absents du dossier, aucune clause et aucune obligation en conformité avec Loi n°2021-23 du 02 mars 2021 sur les PPP n’a été respectés, le secteur prive’ national complètement mis sur la touche.
Avec 400 milliards FCFA le Maroc obtient 548 000 m3 par jour, alors que le Sénégal pour 459 milliards obtient seulement 200 000 m3 par jour avec des conditions physiques nettement plus favorables ici au Sénégal. Même le profil de risque du Sénégal n’explique pas les surfacturations d’Acwa Power.
C’est juste des dirigeants – ministres et DG – sans fibre patriotique pour leur pays. C’est un fiasco honteux pour notre système de surveillance et de régulation des marchés – ARCOQ et DCMP – avec des directeurs aux mandats expirés depuis…..
Probablement beaucoup de commissions et rétro- commissions ont été distribuées pour obtenir une signature in extrémis d’un contrat aussi illégal sans aucun intérêt pour le Sénégal. L’optimisation du maastrichtien sénégalais permet même de se passer du dessalement de l’eau de mer surtout dans une zone où l’écosystème est si fragile comme la petite côte.
Toutes les parties prenantes du contrat SONES – ACWA ont trahi nos intérêts et les intérêts supérieurs du Sénégal et sont passibles de haute trahison, un crime qui doit s’ajouter à notre code pénal.
Moustapha DIAKHATE Expert en Infrastructures et Politique Énergie
Dans le cadre d’un forum économique Sino-Sénégalais qui s’est tenu à Dakar ce mardi matin, le nouveau Directeur Général de l’Agence de Promotion des Investissements et des Grands Travaux (APIX SA), Bakary Séga Bathily, a adressé un message fort aux investisseurs étrangers intéressés par des partenariats avec l’État du Sénégal.
Bathily a affirmé l’engagement de l’Apix à établir des relations économiques bénéfiques pour toutes les parties impliquées. « Nous souhaitons établir un partenariat économique gagnant-gagnant avec nos partenaires internationaux », a-t-il déclaré. Cette déclaration reflète la volonté de l’Apix de favoriser des accords où toutes les parties tirent profit et bénéficient mutuellement des opportunités d’investissement.
Dans le but de renforcer la compétitivité des entreprises sénégalaises, Bathily a annoncé des mesures visant à faciliter l’accès au foncier et aux financements. Cette initiative vise à soutenir les entreprises locales et à les positionner avantageusement sur le marché, tout en favorisant un environnement propice à l’investissement étranger.
Cette vision d’un partenariat équilibré et bénéfique souligne l’engagement de l’Apix à promouvoir le développement économique durable au Sénégal, en encourageant des collaborations stratégiques et mutuellement avantageuses.
Ce matin, les élèves de l’école Keur Mame Diarra de Pikine Aynoumadi 3 ont eu l’opportunité unique de visiter le Palais de la République. Lors de leur visite, le Président de la République, SEM Bassirou Diomaye Faye, bien que plongé dans ses dossiers, a pris quelques minutes pour les rencontrer et échanger avec eux sur des sujets importants.
Le Président a profité de cette rencontre pour rappeler aux jeunes l’importance de prendre soin de notre environnement. Il a insisté sur la nécessité de planter et d’entretenir des arbres, soulignant que chaque geste compte pour préserver notre planète. « Les arbres sont essentiels pour notre survie, et c’est à vous, les jeunes, de continuer à protéger et embellir notre environnement », a-t-il déclaré.
Dans un contexte marqué par l’exploitation du pétrole et du gaz au large des côtes sénégalaises, le Président Faye a également abordé des questions cruciales concernant les ressources naturelles du pays. Il a exprimé son engagement à sauvegarder les intérêts intergénérationnels et à assurer une gestion transparente et équitable des richesses provenant de ces ressources. « Notre avenir dépend de la manière dont nous gérons nos richesses aujourd’hui. Je m’engage à veiller à ce que ces ressources profitent à tous, maintenant et pour les générations futures », a-t-il affirmé.
Cette visite au Palais de la République a été une expérience enrichissante pour les élèves de l’école Keur Mame Diarra. Non seulement ils ont eu l’occasion de découvrir un lieu symbolique de leur pays, mais ils ont également reçu des messages inspirants de la part du Chef de l’État.
La visite des élèves de l’école Keur Mame Diarra au Palais de la République, marquée par les échanges avec le Président Bassirou Diomaye Faye, a été un moment fort. Le Président a su transmettre des valeurs essentielles concernant la protection de l’environnement et la gestion responsable des ressources naturelles, inspirant ainsi les jeunes à jouer un rôle actif dans la construction d’un avenir durable pour le Sénégal.
C’est avec une profonde tristesse que la communauté journalistique a appris le décès de Mansour Dieng, le fondateur et directeur de « Icone Magazine ». Son départ laisse un vide immense dans le paysage médiatique, tant son engagement et sa passion pour le journalisme ont marqué des générations.
Mansour Dieng était bien plus qu’un simple journaliste. Il était un véritable pilier de la presse, un visionnaire qui a su élever le débat public à travers son magazine. Toujours à la recherche de la vérité, il a incarné l’éthique et le professionnalisme, inspirant ainsi toute une génération de journalistes.
Ses contributions ne se limitaient pas à son travail au sein de « Icone Magazine ». Mansour Dieng était également un défenseur infatigable de la liberté de la presse et des valeurs démocratiques. Il a toujours su se tenir aux côtés des opprimés, utilisant sa plume comme une arme pour combattre l’injustice et l’oppression.
Au-delà de son influence professionnelle, Mansour Dieng était également un être humain d’une grande générosité. Toujours prêt à aider ceux dans le besoin, il était respecté et aimé de tous ceux qui ont eu la chance de le côtoyer.
Aujourd’hui, alors que nous pleurons sa perte, nous nous souvenons également de l’héritage qu’il laisse derrière lui. Son engagement envers la vérité et la justice continuera d’inspirer les générations futures de journalistes à travers le pays.
À sa famille, ses amis et ses collègues, nous adressons nos plus sincères condoléances. Mansour Dieng restera à jamais dans nos cœurs et son influence perdurera à travers les pages de l’histoire de la presse.
Le Conseil départemental de Ziguinchor a connu un remaniement significatif avec le départ du ministre de l’Eau et de l’Assainissement, Cheikh Tidiane Dièye, de son poste de 2ème vice-président. Cette décision s’inscrit dans la volonté de lutter contre le cumul des mandats.
Alfousseyni Diédhiou, membre du parti Pastef dans le Boutoupa-Camaracounda, a été élu pour le remplacer après la démission de Cheikh Tidiane Dièye. Cette élection s’est déroulée lors d’une session ordinaire qui a débuté le lundi 10 juin et s’est achevée le mardi 11 juin 2024.
L’élection a été remportée par Alfousseyni Diédhiou avec 31 voix, face à son camarade de parti, Seydou Mandiang de Ziguinchor, qui a obtenu 27 voix.
Cette session ordinaire a également été marquée par le remplacement de Kaoussou Sané, décédé le 16 décembre 2023.
Mr Ousmane Sonko, le temps vous est compté Les sénégalais attendent impatiemment la réalisation de vos promesses electorales. Vous ne pouvez pas l’oublier et vous ne devez pas oublier comment les sénégalais se sont appropriés le projet pastef depuis sa création. Un projet qui fut et est toujours synonyme d’espoir car bâti sur une demande sociale < la rupture systémique>. Vous l’avez dit et vous l’avez redit < on doit rompre avec ceux qui se faisaient et surtout soulager les maux des sénégalais >, voilà vos dires avant les élections présidentielles de 2024 et voilà sans doute pourquoi les sénégalais ont adhéré massivement au projet pastef, votre score 54% lors des élections, une chose inédite en matière électorale montre à quel point les sénégalais compte sur votre personne
Mais après tout juste 2 mois , on est pas rassuré de vos faits et gestes. Certes vous avez initié des actes forts ( suspension des licences de pêche , arrêts des travaux sur le littoral, Audits ) mais on attend de voir la suite. L’image que vous véhiculez me laisse perplexe, nous attendons que vous fassiez la part des choses désormais vous avez les reines de l’état, vous avez les commandes, vous devez dérouler. Mais les faits montrent que vous avez du mal à démarrer la machine, le projet pastef est devenu d’un coup flou et votre gouvernement semble tâtonner, dépassé par les événements. Les sénégalais continuent de souffrir en silence car si vous êtes toujours dans l’état de grâce, les maux des sénégalais restent entiers. Vous nous aviez promis la réduction du coût de la vie, mais rien toujours, l’ultimatum du 15 mai est dépassé largement. Le chômage et les conditions de travail dramatiques sont toujours là , votre sortie du dimanche sur le thème < la place de la jeunesse dans le projet > s’est soldée par des déballages, intimidations et menaces. La presse n’est pas votre cible, elle a joué pleinement son rôle dans la légitimation de votre combat auprès du Grand public, Mr le PM concentrez vous sur les priorités.
Ressaisissez vous Mr le premier Ministre, nous attendons une autre version de vous pas celle d’avant les élections en tant qu’opposant. Nous voulons que vous vous comportiez comme un digne chef du gouvernement avec de la hauteur et d’être au dessus de la mêlée. Désormais c’est votre rôle de réconcilier le peuple sénégalais en créant un environnement propice à la cohésion sociale et au développement économique et social.
Le Syndicat des Travailleurs des Établissements Scolaires et Universitaires (STESU) Section UGB Rectorat a déclenché une grève de 48 heures renouvelables pour faire entendre leurs revendications au sein de l’Université Gaston Berger (UGB).
Cette mobilisation vise à exiger une rencontre avec le Recteur afin de poursuivre les négociations sur les 19 points revendicatifs soulevés par le syndicat. Parmi ces points, les conditions de travail précaires des techniciens de laboratoires de la ferme agricole de l’université sont particulièrement mis en avant. Malgré des débuts de solutions, les travailleurs déplorent un manque de suivi et d’engagement de la part des autorités universitaires, qui ont promis des rencontres mais n’ont pas tenu leurs engagements.
Amath Diallo, secrétaire général du syndicat, souligne le manque de respect manifesté par le Recteur envers les partenaires sociaux, et insiste sur la nécessité d’une rencontre pour résoudre les problèmes une fois pour toutes.
La grève a également entraîné des retards dans le versement des salaires des travailleurs vacataires, mettant en lumière l’impact direct de ce mouvement sur la communauté universitaire.
Malgré un récent engagement du vice-recteur à examiner les revendications, les syndicalistes maintiennent leur demande de rencontre avec le Recteur pour trouver des solutions concrètes à leurs préoccupations.
Dans un moment où les Sénégalais attendent des réponses concrètes aux défis quotidiens, il est regrettable de voir le Premier Ministre Ousmane Sonko détourner son attention des problèmes réels pour s’engager dans des conflits stériles avec la presse. Au lieu de chercher à museler la voix des journalistes, les dirigeants devraient écouter les préoccupations de leur peuple et agir en conséquence.
De plus, les attaques contre ceux qui ont soutenu le Premier Ministre dans ses moments les plus difficiles soulèvent des questions sur son engagement envers ceux qui ont cru en lui. Il est temps pour le Premier Ministre de faire preuve de calme et de raison, et de se concentrer sur les promesses faites à son peuple, notamment celle de réduire la cherté de la vie.
En tant que citoyen soucieux du bien-être de notre nation, j’appelle le Premier Ministre Ousmane Sonko à faire preuve de leadership en mettant de côté les querelles politiques et en se consacrant aux véritables défis auxquels notre pays est confronté. Les Sénégalais méritent un gouvernement qui les écoute et qui agit dans leur intérêt, et c’est à travers des actions concrètes que la confiance et le progrès peuvent être instaurés.
Dans le paysage évolutif des puissances militaires en Afrique, le Sénégal se retrouve désormais à la 30e place sur 38 pays, selon le dernier classement établi par Global Fire Power (GFP), un site américain spécialisé dans l’évaluation de l’armement des nations. Cette position met le Sénégal derrière des pays tels que le Burkina Faso, le Mali et le Niger, membres de l’alliance des États du Sahel (AES).
Le classement, basé sur le Power Index (PwrIndx) de GFP, prend en compte une multitude de critères, dont la diversité des armes, l’effectif militaire, les ressources naturelles essentielles comme le pétrole, le budget militaire et la logistique. Pour le Sénégal, cette baisse dans le classement met en lumière la nécessité d’une réévaluation stratégique de son arsenal et de ses forces armées.
L’Égypte maintient sa position de leader incontesté dans ce classement africain, avec un PwrIndx de 0.2283, suivi de près par l’Algérie et l’Afrique du Sud. La présence remarquée de pays comme le Burkina Faso, le Mali et le Niger en tête du classement souligne l’importance croissante de la coopération régionale et de la réorganisation des forces militaires face aux menaces actuelles.
Malgré cette nouvelle donne, le Sénégal continue de jouer un rôle significatif dans la stabilité régionale et dans les opérations de maintien de la paix, notamment à travers sa participation aux missions de l’ONU et de l’Union africaine. Toutefois, cette position dans le classement soulève des questions quant à la capacité du pays à répondre efficacement à d’éventuelles menaces sécuritaires et à maintenir sa position dans un environnement géopolitique en évolution constante.
L’ancienne directrice générale de Radiodiffusion Télévision du Sénégal (TDS), Dr Nafissatou Diouf, est convoquée ce mercredi 12 juin par la brigade de recherches. Cette convocation intervient dans le cadre d’une enquête concernant la restitution de véhicules attribués par la présidence, une mesure ordonnée par le président Bassirou Diomaye Faye.
Selon les enquêteurs, Dr Nafissatou Diouf figurerait sur la liste des personnalités devant rendre un véhicule de la présidence. Cependant, elle nie formellement avoir jamais travaillé pour la présidence et conteste cette attribution.
Cette convocation s’inscrit dans le contexte des instructions fermes émises par la Présidence de la République pour la restitution des véhicules et des maisons de fonction. Il s’agit probablement d’une étape dans l’état des lieux demandé par le président Bassirou Diomaye Faye.
Dans le cadre de sa nouvelle mission en tant que directeur général de la police nationale (DGPN), le contrôleur général Mame Seydou Ndour a initié une série d’actions visant à renforcer la sécurité dans la banlieue. Dès ses premiers jours en poste, il a dirigé une opération d’interpellation à Thiaroye, où il a précédemment servi.
Au cours du week-end dernier, 51 individus ont été appréhendés pour divers délits. Parmi eux, trois ont été arrêtés pour association de malfaiteurs, vol de bétail et recel, tandis que deux autres ont été pris en flagrant délit de vol en réunion avec l’utilisation de moyens de transport, notamment des motos. D’autres arrestations ont eu lieu pour des crimes tels que le trafic de drogue et les vols avec violence, démontrant ainsi l’engagement ferme de Mame Seydou Ndour à lutter contre toutes les formes de criminalité.
Lors de son installation la semaine précédente, le DGPN avait clairement exprimé sa détermination à éradiquer la criminalité, les agressions et le trafic de drogue. Ces récentes interpellations marquent le début d’une série d’actions prévues pour garantir la sécurité et la tranquillité dans la région de Thiaroye, et témoignent de la volonté résolue des autorités de faire respecter l’ordre et la loi.
Dans une déclaration récente, Moundiaye Cissé, président de l’ONG 3D, a adressé un message de rappel au Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, concernant les critiques de la presse. Soulignant que Sonko ne devrait pas s’attendre à un traitement de faveur, Cissé a rappelé que les dirigeants précédents, tels que Diouf, Wade et Macky Sall, n’ont pas été épargnés par les médias.
Lors d’une conférence récente devant les jeunes du Pastef, Sonko a ouvertement attaqué la presse, une attitude qui a suscité des réactions négatives de la part de divers acteurs de la société civile, dont Moundiaye Cissé. Selon lui, la critique médiatique est une constante dans la vie politique sénégalaise, et Sonko doit apprendre à composer avec elle.
Cissé a souligné l’importance pour Sonko de se concentrer sur les solutions aux problèmes auxquels sont confrontés les Sénégalais, au lieu de chercher à intimider la presse. Il a également encouragé Sonko à faire preuve de retenue et de sérénité dans ses interactions avec les médias, soulignant que les menaces ne sont pas une méthode efficace pour changer la posture de la presse.
En fin de compte, Cissé a exhorté Sonko à adopter une approche de dépassement et à se concentrer sur les besoins réels de la population sénégalaise, soulignant que c’est là que réside sa véritable chance de faire une différence en tant que leader politique.
La compagnie australienne Woodside Energy a annoncé aujourd’hui avoir commencé à extraire du pétrole du champ de Sangomar, situé au large des côtes du Sénégal. Cette étape marque un jalon significatif dans le développement du premier projet pétrolier offshore du pays.
Woodside Energy, en partenariat avec la Société des pétroles du Sénégal, a achevé avec succès la première extraction de pétrole du champ de Sangomar, confirmant ainsi le potentiel de cette région en matière de production énergétique.
Situé à environ 100 km au sud de Dakar, le champ de Sangomar est riche en pétrole et en gaz, et le projet vise à atteindre une production quotidienne de 100 000 barils. Cette initiative ouvre de nouvelles perspectives économiques pour le Sénégal et renforce sa position en tant qu’acteur majeur dans le secteur énergétique régional.
Le lancement de l’extraction de pétrole au Sénégal représente un progrès significatif dans le développement de l’industrie pétrolière et gazière du pays, tout en soulignant l’engagement de Woodside Energy à contribuer à la croissance économique et au développement durable de la nation sénégalaise.
Dans le cadre d’une récente activité visant à sensibiliser les patients aux maladies cardio-vasculaires, le Dr. Mbagnick Bakhoum, neurologue à l’hôpital Fann, a mis en lumière les défis persistants de la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux (AVC) au Sénégal.
Lors de cette initiative axée sur les conseils hygiéno-diététiques, le Dr. Bakhoum a souligné les différents types d’AVC, notamment les hémorragies cérébrales et les accidents ischémiques, tout en mettant en avant l’hypertension artérielle comme principal facteur de risque, atteignant une prévalence alarmante de 30 % dans le pays.
Malgré ces constats, le Dr. Bakhoum a exprimé ses préoccupations quant à l’absence de données précises sur l’incidence des AVC au Sénégal, soulignant l’importance cruciale de telles informations pour évaluer et orienter les politiques de santé.
De plus, il a mis en évidence une pénurie de neurologues dans le pays, ce qui entrave la prise en charge adéquate des patients victimes d’AVC. Souvent, ces patients se retrouvent sous la supervision de cardiologues ou de médecins généralistes, faute de spécialistes en neurologie disponibles.
Face à ces défis, le Dr. Bakhoum a appelé à une sensibilisation accrue sur la prévention de l’hypertension artérielle et sur l’adoption d’une alimentation saine, notamment en réduisant la consommation de sel.
Cette mise en lumière des obstacles rencontrés dans la prise en charge des AVC au Sénégal souligne l’urgence d’une action concertée pour renforcer les ressources médicales et améliorer l’accès aux soins spécialisés pour les patients touchés par cette pathologie dévastatrice.
I. Fall a sans doute était plus chanceux que George Floyd. Le chauffeur de camion, victime d’étranglement par ses supérieurs chinois à l’entreprise minière Diyan Exploitation Minière SUARL des Industries Chimiques du Sénégal (ICS) Taïba, a frôlé la mort.
Si ce n’était l’intervention d’un de ses collègues, I. Fall aurait pu mourir de l’étranglement sanguin dont il a été victime, ce lundi, en début d’après-midi midi, aux abords de 14 heures. Le collègue de ce chauffeur de camion qui a entendu des cris atroces, a eu le réflexe de sortir son téléphone et de filmer la scène horrible jusqu’à ce qu’il arrive à hauteur de la violente altercation. Sur les images, apparaît I. Fall, officiant à l’entreprise minière de silex, Diyan Exploitation Minière SUARL des Industries Chimiques du Sénégal (ICS) Taïba, suffocant et haletant. En effet, il a été maîtrisé au sol par strangulation, un genou à son cou, par trois hommes – eux Chinois et un Sénégalais – pendant qu’un autre Chinois, insensible à la scène, regardait sans intervenir. Quand les agresseurs présumés du chauffeur de camion se sont rendus compte qu’il y avait un témoin, ils se sont dépêchés d’arrêter leur supplice.
Après cet incident, I. Fall s’est immédiatement rendu au cabinet médical de Darou Khoudouss où il a été soigné. Muni d’un certificat d’Incapacité Totale de Travail (ITT) de sept (7) jours, le trentenaire a porté plainte contre ses patrons chinois à la Brigade de gendarmerie de Mboro. Après s’être acquitté de cette procédure légale, la victime présumée a fait un audio WhatsApp transmis à la rédaction du Dakarois pour expliquer la maltraitance subie.
MISE À PIED
I. Fall explique que suite à l’éraflure du pare-brise du camion qu’il conduit, sa hiérarchie a décidé de lui imputer l’accident avec une mise à pied de deux (2) jours. Il a alors rétorqué que c’est injuste. Ceci a déplu, selon lui, à ses patrons chinois qui lui ont indiqué qu’il n’a point son mot à dire. C’est ainsi qu’il lui rajoute sept (7) jours de mise à pied. Le père de famille, en désarroi, surtout avec l’approche de la Tabaski, leur a demandé de lui remettre une pièce justificative d’une telle décision afin qu’il se rende à l’Inspection du travail de Thiès. Ce que ses patrons ont refusé d’entendre. Toutefois, cela n’empêche pas à I. Fall de s’y rendre. D’après lui, les inspecteurs lui ont dit qu’il peut se rendre à son lieu de travail car cette mise à pied est « irrégulière ». « Donc, je suis retourné travailler. Chaque jour, ils procédé au pointage. À la fin du mois, je leur demande mon salaire, ils ont refusé. Aujourd’hui, 10 juin 2024, ils m’ont remis un papier avec une somme d’argent, et m’ont demandé d’émarger avant de compter l’argent. Ce que j’ai refusé. C’est ainsi qu’il m’ont attrapé et torturé », regrette-t-il.
Endormi à cause des médicaments prescrits par le corps médical, le Dakarois Quotidien n’a pas pu parler de vive voix avec I. Fall mais la rédaction s’est entretenu au téléphone avec son grand frère, S. Fall. Contacté par les collègues d’I. Fall alors qu’il réglait les derniers détails des funérailles de leur grand frère décédé dimanche dernier, ce dernier a confirmé les allégations de son cadet. Il a précisé que si les Chinois ont refusé que son petit frère compte l’argent remis, c’est parce que son salaire total ne lui a pas été payé. Ils ont défalqué un montant. Il a avancé, en outre, qu’I. Fall n’est pas à l’origine des dégâts sur le pare-brise du camion puisqu’il y a un autre chauffeur qui le relève et utilise le même véhicule. S. Fall demande ainsi que justice soit faite car c’est un « acte de barbarie ».
Mohamed Tidiane Ndiaye, un joueur de football sénégalais, a débuté sa carrière professionnelle en 2015 avec Teungueth FC. Sa passion pour le football et ses compétences exceptionnelles l’ont rapidement propulsé à travers différents clubs et niveaux de compétition au Sénégal.
En 2015, Mohamed a commencé à jouer pour Teungueth FC, où il a immédiatement montré son potentiel. Sa performance remarquable lui a permis de se faire un nom dans le milieu du football sénégalais. Après Teungueth FC, il a rejoint l’AS Port, puis Jamono de Kaolack. C’est à cette période, marquée par l’épidémie de COVID-19 en 2022, qu’il a été sacré meilleur buteur en National 1 ; un exploit exceptionnel pour un latéral gauche.Mohamed a ensuite continué son parcours en rejoignant Port FC, où il a passé une période significative avant de signer avec l’Ajel de Rufisque l’année dernière. Sa carrière a pris un nouveau tournant lorsqu’il a signé avec Guédiawaye FC, son club actuel. À son arrivée, le club évoluait en Ligue 2, mais grâce à son dévouement et à son travail acharné, il a contribué à la montée du Guédiawaye FC en Ligue 1.
Tout au long de sa carrière, Mohamed Tidiane Ndiaye a accumulé des réalisations impressionnantes. À Jamono de Fatick, il a été nommé meilleur joueur du championnat, et avec Tegueh FC, il a atteint la demi-finale de la Coupe du Sénégal contre le Casa Sports. Dans son quartier, avec l’ASC Téranga, il a remporté de nombreux trophées, étant souvent nommé meilleur joueur et meilleur buteur en catégories cadet et sénior. D’après Mohamed, le niveau en Ligue 1 sénégalaise est désormais très élevé. La compétition est féroce, et il faut être prêt physiquement et moralement pour y évoluer. Les coachs et préparateurs physiques sont bien formés, ce qui contribue à l’augmentation du professionnalisme dans la ligue.
Cependant, Mohamed tient à souligner les défis financiers auxquels les joueurs sont confrontés. Les salaires sont souvent insuffisants pour couvrir leurs besoins. En outre, les joueurs restent trois mois sans salaire quand la saison est clôturée. « Les joueurs ne perçoivent plus de salaire dès la fin de saison. Les clubs ne paient plus les mois de juin, juillet et août. C’est une situation très difficile. Parfois, j’ai même des problèmes de budget pour le transport. Quand je dois aller à l’entraînement, rien que pour le TER, je paie deux mille (2000) F CFA la journée. Il faut également compter la somme que je dois débourser pour la voiture que je dois prendre quand je descends du train pour rallier Guédiawaye », explique le joueur. Ceci, dit-il, oblige de nombreux joueurs à chercher des revenus supplémentaires à travers d’autres activités. Malgré sa passion pour le football, Mohamed n’hésiterait pas à saisir une opportunité à l’étranger où les conditions financières seraient meilleures.
Par ailleurs, cette année, le jeune athlète n’était initialement pas prévu pour jouer avec Guédiawaye FC, mais il a été rappelé par le club et a répondu présent. En dépit des difficultés qui ont laissé l’équipe en bas du tableau, il reste déterminé. C’est pourquoi, il insiste sur la nécessité de revoir son contrat pour continuer avec son équipe, sinon il envisagera de nouvelles opportunités.
Mohamed Tidiane Ndiaye est un exemple de dévouement et de résilience dans le football sénégalais. Sa carrière atteste de son talent et de sa détermination, et il continue d’inspirer de nombreux jeunes joueurs à poursuivre leurs rêves dans ce sport passionnant.
L’Association Jokko Sénégal-Deutschland a récemment fait un geste significatif en offrant deux nouvelles salles de classe au Collège d’Enseignement Moyen (CEM) de Daga Diakhaté, une localité de la commune de Ngathie Nawdé, dans le département de Guinguinéo. La cérémonie de réception s’est tenue le samedi 8 juin 2024, en présence de Vieux Guédel Mbodji, président de l’association, ainsi que des autorités académiques locales, du facilitateur Dialigué Faye et de nombreux dignitaires de la région.
Lors de la cérémonie, Vieux Guédel Mbodji a souligné l’importance de l’investissement dans l’éducation. « Jokko Sénégal-Deutschland intervient dans ce domaine depuis plusieurs années. Nous nous sommes dit que lorsque vous voulez aider un environnement, une commune, etc., il faut investir dans la santé et l’éducation, particulièrement l’éducation, car c’est la base d’une société. C’est pourquoi, par l’entremise de Dialigué et malgré la forte demande, nous avons fait une discrimination positive pour offrir ces deux salles de classe au CEM de Daga, » a-t-il déclaré.
Mbodji a également encouragé les élèves à se concentrer sur leurs études, les qualifiant d’avenir du pays. Il a profité de l’occasion pour rendre hommage au défunt président de l’association, M. Helmut Buschmeyer, qui a investi près de 400 millions de francs CFA au Sénégal.
Mamadou Kane, principal du CEM de Daga Diakhaté, a profité de l’occasion pour évoquer les besoins urgents de l’école. « Qui dit nouvelles salles de classe dit l’affectation de nouveaux enseignants. Ici au CEM de Daga Diakhaté, nous avons un manque criard de professeurs. Malgré tout, nous continuons à enregistrer de bons résultats aux examens. Nous demandons l’accompagnement des autorités éducatives et territoriales afin d’instaurer l’excellence et la performance, » a-t-il déclaré.
Kane a également mentionné le besoin de tables-bancs, de photocopieuses, d’imprimantes, et de solutions pour les vols répétitifs de matériels didactiques. Il a plaidé pour l’affectation d’un vigile et a demandé que Daga Diakhaté soit reconnu comme centre secondaire pour les épreuves du BFEM, qui coïncident souvent avec la saison des pluies.
Dialigné Faye, facilitateur du projet de construction, a souligné l’engagement continu de Jokko Sénégal-Deutschland dans la réduction des abris provisoires à travers le pays. « L’association accompagne le gouvernement du Sénégal dans le domaine de la santé, du sport et surtout de l’assistance aux personnes handicapées en leur offrant des bourses d’études, des kits scolaires et même des frais d’inscription, » a-t-il précisé.
Faye a exprimé l’espoir que ces nouvelles salles de classe amélioreraient les conditions de travail des élèves du CEM de Daga Diakhaté. Il a également rendu hommage à la Fondation Caritas Osnabrück Allemagne et au président national de l’association, Guédel Mbodji, pour leur soutien.
La donation de Jokko Sénégal-Deutschland vient comme une bouffée d’air frais pour le CEM de Daga Diakhaté, apportant non seulement des infrastructures cruciales mais aussi une lueur d’espoir pour un avenir meilleur. Les élèves, les enseignants et toute la communauté de Daga Diakhaté peuvent maintenant envisager des conditions d’apprentissage et d’enseignement améliorées, grâce à cet acte de générosité et de solidarité internationale.
L’AS Douanes continue de dominer le tournoi du Final 8 du National 1 Masculin de basket. Lors de la troisième et dernière journée de la phase aller des play-offs, les Gabelous ont confirmé leur supériorité en battant l’UGB avec un score impressionnant de 63-34 au stadium Marius Ndiaye ce lundi 10 juin.
L’AS Douanes, sous la direction de Mamadou Gueye Pabi, a une fois de plus démontré pourquoi elle est considérée comme l’une des meilleures équipes de la compétition. Dès le début du match, les Douaniers ont imposé leur rythme et leur stratégie, ne laissant que peu de chances à l’UGB de prendre l’avantage. À la mi-temps, l’AS Douanes menait déjà avec un score de 24-16, établissant une base solide pour la seconde moitié du match.
À la reprise, l’équipe a continué à exercer une pression constante sur l’UGB. Grâce à une défense solide et une attaque efficace, les Douaniers ont nettement dominé la seconde mi-temps, ajoutant 39 points supplémentaires contre seulement 18 pour leurs adversaires. Ce niveau de jeu a permis à l’AS Douanes de sécuriser une victoire confortable et de se rapprocher encore plus de la qualification pour le Final 4. Cette victoire marque la troisième consécutive pour l’AS Douanes dans cette phase aller des play-offs, renforçant leur position en tête du classement. L’équipe est désormais bien placée pour se qualifier pour le Final 4, confirmant ainsi les attentes élevées placées en elle depuis le début de la saison. Les performances constantes et les stratégies bien exécutées de Mamadou Gueye Pabi et de ses joueurs ont été déterminantes dans leur parcours jusqu’à présent.
Pour l’UGB, cette défaite complique leur parcours vers la qualification pour le prochain tour. Avec deux défaites en trois matchs, l’équipe doit maintenant faire face à des défis importants pour maintenir ses espoirs de progression. Le match contre l’AS Douanes a révélé des faiblesses que l’UGB devra corriger rapidement pour rester compétitive dans les phases retour.
Le Final 8 du N1 Masculin de basket continue de montrer un niveau de compétition élevé avec des équipes déterminées à se qualifier pour le Final 4. L’AS Douanes, avec ses performances impressionnantes, se distingue comme un prétendant sérieux au titre. Cependant, les prochains matchs seront cruciaux pour toutes les équipes, car chaque victoire compte dans cette compétition serrée.
Pour l’AS Douanes, l’objectif est clair : maintenir cette dynamique victorieuse et se préparer pour les phases finales avec la même détermination et la même efficacité. Pour l’UGB, il est temps de revenir à la planche à dessin, d’analyser les erreurs et de renforcer leurs stratégies pour les matchs à venir. La capacité à s’adapter et à surmonter les défis sera essentielle pour toutes les équipes dans cette compétition intense.
En conclusion, la victoire écrasante de l’AS Douanes contre l’UGB est un témoignage de leur force et de leur préparation. Tandis que l’AS Douanes se rapproche de la qualification pour le Final 4, l’UGB devra redoubler d’efforts pour rester dans la course. Les prochains matchs promettent d’être passionnants alors que les équipes se battent pour une place dans le Final 4.
La Jeanne d’Arc (JA) continue de briller dans le Final 8 du National 1 Masculin de basket. Ce lundi, lors de la troisième journée de la phase aller, la JA a battu l’US Rail avec un score de 65-54 au stadium Marius Ndiaye, signant ainsi sa deuxième victoire consécutive après une première défaite face à l’AS Douanes.
La Jeanne d’Arc, finaliste malheureuse de la saison précédente, a connu un début de match difficile. Les Cheminots de Rail, adversaires redoutables, ont pris le contrôle dès les premières minutes. Leur performance solide en première mi-temps leur a permis de mener avec un avantage de 39-30. Les joueurs de Rail ont démontré une défense efficace et une attaque bien coordonnée, mettant ainsi la JA en difficulté. Cependant, la seconde mi-temps a été marquée par une transformation spectaculaire de la Jeanne d’Arc. Les ajustements stratégiques effectués par l’entraîneur ont porté leurs fruits. Les joueurs de la JA sont revenus sur le terrain avec une nouvelle détermination et une énergie renouvelée. Leur jeu est devenu plus entreprenant, leur défense plus rigoureuse et leur attaque plus incisive. Cette évolution a permis à la JA de dominer la seconde période avec un score de 35-15, renversant ainsi l’avantage initial de 9 points des Cheminots.
Cette victoire est cruciale pour la Jeanne d’Arc. Avec deux victoires consécutives, la JA se positionne désormais en deuxième place du groupe B, renforçant ainsi ses chances de se qualifier pour le Final 4. Ce succès n’est pas seulement une victoire sur le terrain, mais aussi un témoignage de la résilience et de la capacité d’adaptation de l’équipe. La capacité à rebondir après un début de match difficile est un signe prometteur pour les défis à venir.
De son côté, l’US Rail fait face à une situation délicate. Avec trois défaites en autant de matchs, les Cheminots devront réaliser un véritable exploit lors des phases retour pour espérer se qualifier pour le Final 4. Leur performance en première mi-temps contre la JA montre qu’ils ont le potentiel, mais il faudra plus de constance et de stratégie pour surmonter les défis à venir.
Pour la Jeanne d’Arc, l’objectif est clair : maintenir le cap et continuer sur cette lancée positive. La performance de l’équipe en seconde période contre l’US Rail est un modèle à suivre. L’entraîneur et les joueurs devront analyser ce qui a bien fonctionné et le reproduire dans les matchs à venir. La cohésion d’équipe, la discipline et la capacité à s’adapter aux situations changeantes seront des facteurs clés de leur succès.
Pour l’US Rail, le chemin vers la qualification est semé d’embûches, mais pas impossible. Les Cheminots devront revoir leurs stratégies et se préparer à des matchs intenses. Leur performance en première mi-temps montre qu’ils ont les compétences nécessaires, mais il faudra plus pour assurer une place dans le Final 4. La résilience, la concentration et la préparation seront cruciales pour les phases retour.
La Jeanne d’Arc et l’US Rail ont montré des aspects différents de leurs capacités lors de ce match. La JA a démontré une capacité impressionnante à rebondir après un début difficile, tandis que l’US Rail a montré qu’elle pouvait être un adversaire redoutable malgré les défis. La suite de la compétition promet d’être passionnante avec des équipes prêtes à tout pour atteindre le Final 4. Les prochains matchs seront déterminants, et chaque équipe devra donner le meilleur d’elle-même pour espérer remporter le titre tant convoité.
Le Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a récemment effectué une visite remarquée au village artisanal de Soumbédioune, aux côtés du Ministre du Tourisme et de l’Artisanat. Cette visite a été l’occasion pour le Chef de l’État de réaffirmer son engagement indéfectible envers l’artisanat sénégalais et sa volonté de promouvoir le « Made in Sénégal ».
Face aux acteurs locaux de ce secteur crucial de l’économie nationale, le Président a exprimé sa détermination à soutenir les artisans et à valoriser leur savoir-faire ancestral. Soucieux de préserver et de promouvoir l’authenticité des produits artisanaux sénégalais, le Chef de l’État a souligné l’importance de leur contribution à la diversification de l’économie et à la création d’emplois durables.
Le village artisanal de Soumbédioune, haut lieu de la créativité et de la tradition artisanale sénégalaise, a ainsi été le théâtre d’un engagement fort en faveur du développement de ce secteur vital. Cette visite présidentielle marque un pas significatif vers la consolidation de l’artisanat sénégalais comme un pilier essentiel de l’économie nationale, tout en préservant son héritage culturel et en favorisant son rayonnement à l’international.
À travers cette démarche, le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye confirme sa vision d’un Sénégal prospère, où l’artisanat occupe une place centrale dans la construction d’une économie résiliente et inclusive, au service de tous les citoyens.
Ce dimanche, lors de l’Abidjan African Open 2024, le judoka sénégalais Mbagnick N’diaye a écrit une nouvelle page de sa carrière en décrochant la médaille d’or dans la catégorie +100kg. Cette victoire couronne les talents et la détermination d’un athlète déjà double champion d’Afrique, qui s’apprête à participer pour la deuxième fois aux Jeux Olympiques, à Paris en 2024.
Mbagnick N’diaye s’était déjà distingué lors des précédents Jeux Olympiques en atteignant les huitièmes de finale. Son succès à l’Abidjan African Open 2024 atteste de son engagement à se dépasser et à porter haut les couleurs de son pays sur la scène internationale.
Alors que les Jeux Olympiques de Paris se profilent, Mbagnick N’diaye se prépare à réaliser son rêve ultime : décrocher une médaille olympique dans la catégorie reine du judo. Le monde entier aura les yeux rivés sur cet athlète talentueux, prêt à écrire une nouvelle page de l’histoire du sport sénégalais.
Le Chef de l’État, accompagné du Ministre du Tourisme et de l’Artisanat, a effectué une visite significative au village artisanal de Soumbédioune et à la bergerie GALOYA. Cette visite, riche en symboles, a permis de réaffirmer son engagement en faveur de l’artisanat sénégalais et de la promotion du « Made in Sénégal ».
Lors de cette visite, le Chef de l’État a rencontré des artisans locaux et observé de près leurs techniques de travail et leurs créations. Il a souligné l’importance de l’artisanat comme vecteur de développement économique et de préservation des traditions culturelles du Sénégal. En dialoguant avec les artisans, il a promis de renforcer les mesures de soutien pour favoriser leur croissance et leur visibilité sur les marchés nationaux et internationaux.
Promotion du « Made in Sénégal »
Le Chef de l’État a également insisté sur la nécessité de promouvoir les produits fabriqués au Sénégal. Il a mis en avant le label « Made in Sénégal » comme un gage de qualité et d’authenticité qui doit être valorisé et soutenu par tous les acteurs économiques. « Nous devons encourager la consommation locale et montrer au monde entier la richesse de notre artisanat », a-t-il déclaré.
Le Ministre du Tourisme et de l’Artisanat, présent lors de cette visite, a rappelé les initiatives déjà en place pour soutenir les artisans, notamment les programmes de formation, les subventions et les projets d’infrastructure. Il a également évoqué de nouvelles mesures en préparation pour renforcer encore davantage ce secteur crucial pour l’économie nationale.
Cette visite s’inscrit dans une stratégie plus large de développement économique et culturel. Le Chef de l’État a réitéré sa vision d’un Sénégal où l’artisanat joue un rôle central dans le développement durable, en créant des emplois et en préservant le patrimoine culturel du pays. Il a appelé à une collaboration accrue entre les secteurs public et privé pour atteindre ces objectifs.
La visite du Chef de l’État au village artisanal de Soumbédioune et à la bergerie GALOYA témoigne de son engagement à soutenir et promouvoir l’artisanat sénégalais. En mettant l’accent sur le « Made in Sénégal », il encourage une plus grande appréciation et consommation des produits locaux, tout en renforçant l’économie nationale. Cette initiative souligne l’importance de l’artisanat comme pilier de développement économique et culturel pour le Sénégal.
Ce lundi 10 juin 2024, au Cedeps de Ziguinchor, une cérémonie marquante a eu lieu en présence de nombreuses femmes, du gouverneur de région Mor Talla Tine, et du coordonnateur du Programme d’urgence de modernisation des axes et territoires frontaliers (PUMA), Moussa Sow. Maimouna Dièye, ministre de la Famille et des Solidarités, a officiellement remis 35 moulins à mil et deux ambulances médicalisées aux femmes de la région de Ziguinchor.
« Ces équipements, offerts aux femmes de la région de Ziguinchor, vont sans doute alléger leurs conditions d’existence en favorisant leur autonomisation et l’accès des ménages à des activités génératrices de revenus, » a souligné Maimouna Dièye lors de la cérémonie. Les moulins à mil sont destinés à faciliter les travaux domestiques des femmes, leur permettant ainsi de consacrer plus de temps à des activités économiques et sociales.
Les deux ambulances médicalisées viennent compléter le dispositif de santé existant dans la région. Elles s’ajoutent à un bateau ambulance et à dix autres ambulances déjà livrées à Elinkine par le PUMA. « Ces ambulances faciliteront les évacuations sanitaires en améliorant le plateau médical, » a précisé la ministre.
Selon Maimouna Dièye, cette dotation témoigne de l’importance particulière que les autorités étatiques accordent à la région de Ziguinchor. « Le chef de l’État, dans sa volonté d’améliorer sensiblement les conditions de vie des populations sénégalaises, a mis en place un projet de transformation systémique visant à corriger les disparités et à promouvoir le développement économique et social du Sénégal, » a-t-elle déclaré. Une place importante est réservée à l’épanouissement des femmes dans la famille et au renforcement de la solidarité pour un Sénégal prospère, juste et souverain.
La ministre a rassuré les femmes de Ziguinchor de l’engagement des autorités à développer les infrastructures socioéconomiques de base et de sécurité. « Les nombreux investissements du PUMA dans la région de Ziguinchor portent sur plusieurs secteurs : éducation, santé, électrification, jeunesse, promotion d’activités économiques, désenclavement, sécurité terrestre et appui à l’installation des populations déplacées, » a-t-elle énuméré.
Maimouna Dièye a ajouté que ces investissements seront renforcés conformément aux instructions du chef de l’État et de son Premier ministre, visant à promouvoir le développement économique intégré de la région naturelle de la Casamance. Cette initiative s’inscrit dans un cadre global de soutien et de développement pour les zones frontalières et enclavées, répondant ainsi concrètement aux aspirations des populations locales.
La cérémonie s’est clôturée avec des applaudissements nourris, symbolisant l’espoir et la reconnaissance des bénéficiaires envers les efforts continus du gouvernement pour améliorer leurs conditions de vie et promouvoir leur autonomisation économique.
La conférence politique tenue par le Premier ministre et leader de Pastef, Ousmane Sonko, ce dimanche au Grand Théâtre, a suscité de vives réactions au sein de la classe politique sénégalaise. Parmi les critiques les plus marquées, celle de Babacar Fall, journaliste à la Radio Futurs Médias (RFM), se distingue. Lors de son émission « RFM Matin » ce lundi 10 juin, où il recevait Adama Gaye, Babacar Fall n’a pas mâché ses mots.
Selon Babacar Fall, Ousmane Sonko a démontré une arrogance palpable lors de sa prise de parole. « C’est Ousmane Sonko l’arrogant qui parlait là, il y a de l’arrogance dans ce qu’il a fait hier », a-t-il affirmé, soulignant le ton et le contenu de l’intervention du Premier ministre.
Adama Gaye, invité de l’émission et journaliste de renom, a partagé cet avis. De retour au Sénégal après cinq ans d’exil en Égypte, Gaye a analysé la symbolique de l’action de Sonko. « On semble voir dans la symbolique de son action qu’il veut occuper l’espace du leadership politique », a-t-il déclaré. Il a également fait un parallèle troublant avec les mouvements de foules qui ont conduit aux dictatures en Europe et en Amérique latine, suggérant que les méthodes de Sonko pourraient être perçues comme inquiétantes.
Ces critiques interviennent dans un contexte où Ousmane Sonko, depuis son élection, tente de consolider son pouvoir et d’imposer sa vision pour le Sénégal. Cependant, ses discours et actions semblent diviser profondément la classe politique et l’opinion publique, provoquant des débats intenses sur la direction que prend le pays.
La conférence du Grand Théâtre, qui visait à exposer les grandes lignes du projet politique de Sonko, a donc plutôt exacerbé les tensions. La communauté politique et les citoyens sénégalais restent attentifs aux prochaines actions et déclarations du Premier ministre, alors que les critiques se multiplient et que le débat politique s’enflamme.
Un grave accident de la circulation s’est produit aujourd’hui, lundi 10 juin, aux environs de 16h, en plein centre-ville de Diourbel, à proximité de la mairie. L’accident a impliqué un véhicule 4×4 et une moto Jakarta, mettant en lumière une nouvelle fois les dangers auxquels sont confrontés les conducteurs de motos dans la région.
Le conducteur de la moto, un jeune homme d’environ 20 ans, roulait à vive allure lorsqu’il est entré en collision avec le 4×4. La violence de l’impact a causé des blessures graves au jeune homme, qui a été rapidement pris en charge par les sapeurs-pompiers et évacué en urgence à l’hôpital Heinrich Lübke de Diourbel.
Les forces de police sont arrivées sur les lieux quelques minutes après l’accident pour effectuer les constats d’usage. Selon les premiers témoignages, la vitesse excessive du conducteur de la moto aurait joué un rôle majeur dans la survenue de cet accident.
Cet incident souligne une tendance inquiétante à Diourbel : la recrudescence des accidents de la route, particulièrement impliquant les conducteurs de motos Jakarta. Ces motos, très populaires dans la région pour leur accessibilité et leur facilité de déplacement, sont souvent conduites de manière imprudente, sans respect des règles de sécurité routière.
Les autorités locales ont maintes fois insisté sur l’importance du port du casque pour les conducteurs de motos. Malgré ces appels, beaucoup de jeunes continuent de négliger cette mesure de sécurité essentielle, augmentant ainsi leur vulnérabilité en cas d’accident.
Face à cette situation préoccupante, les autorités de Diourbel intensifient leurs efforts pour sensibiliser les conducteurs aux dangers de la route et à l’importance des mesures de sécurité. Des campagnes de sensibilisation sont régulièrement organisées pour encourager le port du casque et le respect des limites de vitesse.
Le maire de Diourbel, ainsi que les responsables des forces de l’ordre, ont exprimé leur préoccupation et leur détermination à réduire le nombre d’accidents dans la commune. Ils appellent à une coopération accrue de la part des citoyens pour adopter des comportements de conduite plus responsables.
L’accident de ce lundi rappelle tragiquement les risques associés à la conduite imprudente et à la négligence des mesures de sécurité routière. Il est impératif que les conducteurs de motos Jakarta, en particulier les jeunes, prennent conscience de ces dangers et respectent les règles de sécurité pour protéger leur vie et celle des autres usagers de la route. Les efforts combinés des autorités et des citoyens sont essentiels pour améliorer la sécurité routière à Diourbel et éviter de telles tragédies à l’avenir.
En préparation de la fête de la Tabaski, le commissariat de Thiaroye a mené des opérations intensives ce week-end pour renforcer la sécurité des citoyens et de leurs biens. Ces efforts ont permis l’interpellation de 51 individus pour divers délits.
Selon les sources de Seneweb, cette initiative de la police visait principalement à lutter contre les vols qualifiés. Au cours de ces opérations, trois individus ont été arrêtés pour association de malfaiteurs, vol de bélier et recel. De plus, deux personnes ont été appréhendées en flagrant délit de vol en réunion, commis avec des motos.
Les forces de l’ordre ont également capturé deux suspects pour association de malfaiteurs et vol en réunion avec violence, perpétré de nuit. Un autre individu a été arrêté pour trafic de drogue, portant sur 53 cornets de Kush et du vrac. Un suspect a été pris en flagrant délit de vol, tandis que deux autres ont été arrêtés pour association de malfaiteurs, détention et trafic de drogue, incluant 9 comprimés de Valium. Ils étaient également en possession d’une machette. Enfin, neuf personnes ont été interpellées pour ivresse publique manifeste.
Ces opérations illustrent la détermination des forces de l’ordre à maintenir la sécurité à Thiaroye, particulièrement à l’approche de la Tabaski, période souvent marquée par une augmentation des activités criminelles. Les autorités locales espèrent dissuader les délinquants et rassurer la population quant à leur sécurité.
La police de Thiaroye réaffirme son engagement à protéger les citoyens et à maintenir l’ordre public. Elle appelle la population à rester vigilante et à coopérer avec les forces de l’ordre pour garantir une Tabaski paisible et sécurisée.
Un drame suscite une vive émotion dans la commune de Paroumba, située dans le département de Vélingara. Gnaly Gnabaly, un jeune homme, aurait été tabassé et torturé à mort dans le camp militaire de Dialadiang. L’incident, rapporté par la société civile de Vélingara, soulève des questions graves sur les pratiques au sein de cette installation militaire.
Le corps sans vie de Gnaly Gnabaly a été transporté au centre de santé de Vélingara, où des signes de blessures et de torture ont été constatés. Une autopsie doit être réalisée à Kolda pour déterminer les circonstances exactes de sa mort.
La société civile de Vélingara, dans un communiqué publié ce lundi 10 juin 2024, détaille les mesures prises suite à cet incident. Informés de la situation, ses membres se sont rendus au centre de santé de Vélingara pour vérifier les faits. Ils ont ensuite rencontré le préfet de Vélingara, avant que le dossier ne soit transféré au sous-préfet de Pakour.
Face à cette situation, la société civile de Vélingara exige l’ouverture d’une enquête judiciaire pour faire toute la lumière sur ce drame. « Compte tenu de tout ce qui a été raconté par la famille de la victime, les tortures et blessures notées, nous exigeons que justice soit faite, » déclare le communiqué. Ils appellent également tous les mouvements de la société civile du département de Vélingara et toutes les populations locales éprises de justice à se mobiliser.
Cet incident soulève de nombreuses interrogations sur les pratiques au sein du camp militaire de Dialadiang et appelle à une transparence totale dans l’enquête. Les habitants de la région et les défenseurs des droits humains insistent sur la nécessité de justice pour Gnaly Gnabaly et de garanties que de tels actes ne se reproduiront plus.
L’appel à l’action lancé par la société civile de Vélingara est un signal fort pour les autorités, indiquant que la population ne tolérera pas l’impunité dans de tels cas de violence et de violations des droits humains. La communauté attend désormais avec impatience les résultats de l’enquête judiciaire et les mesures qui seront prises pour prévenir de futures atrocités.
La réputation de Sadio Mané, star internationale du football et originaire de Bambali, dépasse désormais largement les frontières du Sénégal. Connu non seulement pour ses prouesses sur le terrain, mais aussi pour ses actions philanthropiques, Mané continue d’inspirer des milliers de personnes à travers le monde. En 2022, il a été honoré du prix Socrates pour ses nombreuses réalisations sociales.
Récemment, au Maroc, la reconnaissance de Sadio Mané a pris une tournure éducative. Lors des épreuves du baccalauréat, un sujet d’anglais a mis en lumière le parcours impressionnant du double Ballon d’Or africain ainsi que ses gestes bénévoles. Ce sujet a été partagé sur le compte X du média « Taggat », soulignant l’influence positive de Mané sur la jeunesse et l’éducation.
Cette inclusion dans un examen national illustre non seulement la portée mondiale de l’impact de Mané mais aussi l’importance accordée à ses contributions sociales et humanitaires. Il est clair que les actions de Mané, allant de la construction d’écoles et d’hôpitaux dans son village natal à ses divers dons pour des causes humanitaires, résonnent fortement avec les valeurs éducatives et sociales que les systèmes scolaires cherchent à inculquer.
Sadio Mané n’est pas seulement un athlète d’élite, il est également un modèle de générosité et d’engagement communautaire. Parmi ses réalisations notables, on compte :
La construction d’une école dans son village natal de Bambali, permettant à de nombreux enfants d’accéder à une éducation de qualité.
La construction d’un hôpital pour améliorer les soins de santé dans une région sous-desservie.
Des dons réguliers à des œuvres caritatives et des initiatives locales visant à améliorer la vie des habitants de sa communauté.
L’inclusion de Sadio Mané dans un sujet d’examen au Maroc est une reconnaissance méritée de son impact global. Cela montre comment les figures sportives peuvent transcender leurs disciplines et devenir des symboles d’espoir et de changement positif. Pour les étudiants marocains, et pour les jeunes du monde entier, Mané représente la concrétisation du potentiel humain lorsque talent et altruisme se combinent.
En mettant en avant Sadio Mané dans un sujet du baccalauréat, le Maroc souligne l’importance des valeurs de solidarité, d’engagement communautaire et d’inspiration. Mané continue de montrer qu’au-delà des succès sportifs, ce sont les actions humanitaires et sociales qui laissent une empreinte durable sur le monde. Son exemple illustre parfaitement le pouvoir du sport pour influencer positivement les sociétés et inspirer les jeunes générations à suivre ses pas, non seulement sur le terrain, mais aussi dans la vie.
Ousmane Sonko est l’homme politique qui fait et défait l’actualité. Il inspire une grande partie de la population, notamment la jeunesse avec qui, il a un lien particulier. Homme résilient, il a balayé tout un système et est très envié, surtout par la classe politique de sa génération. Contrairement à ces politiciens de circonstance, à ces mannequins ou « opposants de salon » qui n’ont jamais eu le courage d’affronter le terrain politique et qui se contentent de parcourir les médias pour parler des discours de Sonko au lieu de se concentrer sur leurs propres mouvements, insignifiants du reste sur la scène politique sénégalaise. Votre amertume est compréhensible chers « politiciens ». Ousmane Sonko incarne tout ce que vous souhaiteriez être en tant que jeunes politiciens, mais vous n’atteindrez jamais son niveau : vous manquez de cran, de courage et de créativité pour accomplir ce qu’il a réussi. Il n’est en rien responsable de votre déception face à votre quasi-inexistence ou à vos défaites successives lors des différentes échéances électorales. Connaissez-vous la volonté divine ? Que pensez-vous des efforts consentis et des sacrifices faits depuis une décennie ? Et son parcours professionnel avant même d’entrer en politique ? Sans oublier son passage à l’Assemblée en tant que député « du plus fort reste ». Vous avez souffert en le voyant dominer la scène, et vous souffrirez encore de le voir triompher dès le premier tour des élections, en tant que président d’un parti autrefois dissous. Quant à ce petit politicien pleurnichard, limité, président d’un mouvement qui n’a jamais dépassé le stade des parrainages et toujours en attente de deuxième tour, il est en crise d’oubli. Ousmane est un leader qui réussit, contrairement à ces soi-disant leaders frappés par leur inculture et leur manque criant de vision politique. Retournez dans l’ombre, le fisc est à votre recherche. De plus, nous n’accordons aucune importance à ces hommes et femmes qui se cherchent et se croient être la relève. Allez vous former, vous avez encore du chemin à parcourir avant de pouvoir prétendre « faire du Sonko ». Enfin, nous nous réjouissons du succès de cette conférence politique qui a même offert de la matière à des délinquants fiscaux préoccupés par leur avenir de voleurs. Nous sommes très heureux d’avoir accueilli et écouté notre président de parti, qui nous encourage encore une fois à des actions citoyennes et à une participation active aux politiques publiques à venir, en tant que jeunes fer de lance d’un Sénégal juste, souverain et prospère.
Salimata Dieng, Secrétaire Générale Adjointe, JPS nationale
Le Premier Ministre et leader du Pastef, Ousmane Sonko, subit actuellement une vague de critiques de la part de presque toute la classe politique après sa conférence au Grand Théâtre ce dimanche. Amadou Ba, membre influent du Pastef et mandataire de Bassirou Diomaye Faye lors de la présidentielle du 24 mars dernier, a réagi vivement sur sa page Facebook, défendant Sonko et son projet politique. Voici un aperçu de sa réponse.
Attaques tous azimuts contre Diomaye, Sonko et le PROJET ou comment remettre en cause le suffrage universel…
« En réalité, ceux qui feulent de rage contre Diomaye, Sonko et le PROJET en veulent réellement au PEUPLE sénégalais dont pensent-ils, l’immaturité politique et l’indigence intellectuelle auraient porté ces trublions et le parti Pastef au Pouvoir. »
Amadou Ba commence par souligner que les critiques adressées à Sonko et Diomaye sont en fait des attaques déguisées contre le peuple sénégalais, qu’il accuse les opposants de considérer comme politiquement immature et intellectuellement indigent. Selon lui, cette vision méprisante des électeurs sert à discréditer la légitimité du Pastef.
« Mais ne nous y trompons guère, ces tire-au-flanc qui poussent des cris d’orfraie à chaque bruissement de Sonko, sont les mêmes qui hier le critiquaient déjà dans ses habits d’opposants, houspillaient son manque de raffinement langagier, dénonçaient les hordes de jeunes inconscients et désœuvrés qui lui servaient de bouclier, se gaussaient de son plus fort reste qui l’avait catapultait à l’assemblée nationale et appelaient ouvertement Macky Sall à user de la force illégitime pour sauver la République contre Pastef. »
Il rappelle que ceux qui critiquent Sonko aujourd’hui sont les mêmes qui l’ont attaqué lorsqu’il était dans l’opposition. Ba accuse ces détracteurs d’être hypocrites et opportunistes, ne cherchant qu’à maintenir le statu quo.
« Qu’ils vous sortent un post, vidéo ou article dans lesquels ils exigeaient des enquêtes sur la disparition de Didier Badji et Fulbert Sambou, une pensée à leur familles éplorées, une attention à leurs enfants désespérés. »
Amadou Ba défie les critiques de prouver leur cohérence en montrant qu’ils ont déjà exigé des enquêtes sur des affaires importantes, comme les disparitions de Didier Badji et Fulbert Sambou, insinuant ainsi qu’ils ne sont intéressés que par l’attaque de Sonko.
« Que n’avaient ils montré de colère lorsque le Président Macky Sall enchaînait les consultations à domicile immédiatement après la réunion du Conseil supérieur de la magistrature pour réaffecter des magistrats en fonction de l’agenda judiciaire contre la candidature de Ousmane Sonko? »
Il accuse également ces critiques d’être silencieux face aux manœuvres politiques de Macky Sall, suggérant que leur indignation actuelle est sélective et politiquement motivée.
Amadou Ba conclut en affirmant que les critiques envers Sonko et Diomaye sont en réalité des tentatives de remettre en question la volonté du peuple sénégalais, exprimée par le suffrage universel. Il insiste sur le fait que le projet de Sonko est légitime et soutenu par une majorité de Sénégalais. Ba appelle à une refonte de la presse pour garantir son indépendance financière, et défend la nécessité de maintenir une justice impartiale et une presse libre.
En somme, cette réponse de Amadou Ba met en lumière les tensions politiques actuelles au Sénégal et reflète les profondes divisions entre le gouvernement et ses opposants. Elle témoigne également de la détermination du Pastef à défendre son programme et ses leaders contre toute tentative de discréditation.
Depuis sa nomination à la tête de la Radio Télévision Sénégal (RTS), Pape Alé Niang n’a pas tardé à imprimer sa marque sur l’institution en effectuant un premier recrutement significatif. En engageant Momo Wade, ancien animateur vedette de la Sentv, Pape Alé Niang envoie un signal fort sur ses intentions pour le futur de la RTS.
Momo Wade est bien connu dans le paysage médiatique sénégalais. Avec une carrière solide à la Sentv, il a su captiver un large public grâce à son charisme, son professionnalisme et sa capacité à aborder des sujets divers avec profondeur et pertinence. Son passage à la RTS est perçu comme un mouvement stratégique visant à renforcer l’équipe de la chaîne publique et à rehausser son image.
Le recrutement de Momo Wade est aligné avec les objectifs déclarés de Pape Alé Niang pour la RTS : moderniser la chaîne, attirer une audience plus large et diversifiée, et renforcer la crédibilité et la qualité du contenu. En intégrant une personnalité aussi dynamique que Momo Wade, Pape Alé Niang montre sa détermination à transformer la RTS en un média de référence.
La nomination de Pape Alé Niang en tant que directeur de la RTS a été accueillie avec un mélange d’anticipation et de scepticisme. Son parcours et sa réputation dans le journalisme d’investigation suggèrent qu’il apportera une nouvelle rigueur et une nouvelle vision à l’organisation. Le recrutement de Momo Wade est la première étape visible de ce vent de changement.
Momo Wade, avec son expérience et son style distinctif, est bien placé pour apporter une nouvelle dynamique à la RTS. Son expertise en animation et son sens de l’engagement envers les téléspectateurs sont des atouts précieux qui devraient aider la chaîne à améliorer son offre de programmes et à engager davantage le public.
Les réactions à ce recrutement sont largement positives. Les collègues de Momo Wade et les observateurs de l’industrie médiatique voient en ce mouvement une indication claire des ambitions de Pape Alé Niang pour la RTS. Ils estiment que cette nomination pourrait être le début d’une série de changements destinés à redéfinir le rôle de la chaîne dans le paysage médiatique sénégalais.
Cependant, certains expriment des réserves, soulignant que la réussite de cette initiative dépendra de la capacité de Pape Alé Niang à naviguer les défis institutionnels et à obtenir le soutien nécessaire pour ses réformes.
Avec l’arrivée de Momo Wade, la RTS semble prête à entrer dans une nouvelle ère sous la direction de Pape Alé Niang. Ce recrutement, à la fois symbolique et stratégique, marque le début d’une période de transformation pour la chaîne. Il reste à voir comment ces changements se matérialiseront et quels seront leurs impacts sur le paysage médiatique sénégalais.
Le public, de son côté, attend avec impatience de voir comment ces nouvelles énergies seront canalisées pour offrir un contenu de qualité qui répondra mieux à leurs attentes et besoins.
Depuis le discours du Premier ministre Ousmane Sonko lors de la conférence organisée par la Jeunesse patriotique du Sénégal (JPS-Pastef) au Grand Théâtre de Dakar, les réactions fusent de toutes parts. Parmi les critiques les plus virulentes, celle de Papa Malick Ndour, ancien ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de l’Entreprenariat sous Macky Sall, se démarque par son ton incisif et ses piques à peine voilées contre les nouveaux dirigeants du pays.
Sur sa page Facebook, Papa Malick Ndour commence par déplorer la crise d’autorité qui sévit selon lui, lorsque la plus haute institution est reléguée à un simple rôle de représentation et de figuration, allant même jusqu’à être affublée d’un surnom peu flatteur, « Serigne Ngoudou ». Cette critique implicite vise directement le gouvernement actuel.
Il poursuit en taclant le président, qualifié ironiquement de « Guillaume II », pour son rôle peu enviable de Secrétaire d’État auprès de « Bismarck », une allusion à une relation de subordination et à un manque d’indépendance politique. Papa Malick Ndour dénonce également l’éloignement des préoccupations réelles du peuple, symbolisé par la demande simple de « la diminution du prix du pain, de l’huile et de la farine », face aux actions jugées provocatrices et menaçantes du gouvernement.
Le ton monte lorsque l’ancien coordonnateur du Programme des domaines agricoles communautaires (PRODAC) interpelle directement « Bismarck », en lui rappelant son pouvoir et son devoir d’apporter des solutions en accord avec les promesses faites lors de la campagne électorale. Une exigence de responsabilité politique et d’action concrète qui se veut un appel à la réalité et à l’efficacité gouvernementale.
En conclusion, Papa Malick Ndour réaffirme l’importance de l’autorité assumée, non déléguée, pour le bon fonctionnement de l’État, tout en laissant entendre qu’il ne se laissera pas intimider par les critiques de l’opposition et qu’il continuera à exprimer ses opinions dans le respect de la démocratie et de la république.
Cet article reflète les préoccupations et les critiques émises par Papa Malick Ndour à l’égard du nouveau régime, mettant en lumière un climat politique tendu et des attentes fortes de la part de la population sénégalaise.
Lamine Niang, fraîchement installé dans ses fonctions de directeur général du journal Le Soleil, a annoncé son ambition de redonner à ce pilier de l’information au Sénégal son éclat d’antan. Dans un discours enthousiaste devant le personnel, Niang a souligné son engagement à assumer pleinement le leadership en journalisme dans le pays.
Le nouveau directeur, revenant au pays après une carrière à l’étranger, a déclaré que sa décision de rejoindre Le Soleil était motivée par sa conviction en une nouvelle ère sous la direction du président Bassirou Diomaye Faye. « Nous ne devons pas manquer le train de l’histoire. Nous estimons qu’il n’y a pas de mission plus exaltante que de diriger ce pays », a-t-il affirmé.
Niang a reconnu les défis auxquels Le Soleil est confronté, notamment la concurrence des médias en ligne et les difficultés financières. Cependant, il reste confiant dans le potentiel de l’entreprise, soulignant la qualité de ses ressources humaines. Pour relever ces défis, Niang prévoit de mettre l’accent sur la transformation digitale, en modernisant l’infrastructure informatique et en développant de nouveaux produits pour répondre aux nouvelles habitudes de consommation des lecteurs.
En plus de la transformation digitale, Niang s’engage à améliorer la gouvernance et la gestion de l’entreprise, avec pour objectif ultime de retrouver la place de Le Soleil parmi les grandes entreprises. Il vise également à promouvoir un journalisme de qualité, équilibré et accessible sur plusieurs plateformes, tout en luttant contre les fake news et la désinformation.
Dans le cadre de sa vision de redynamisation, Niang prévoit un plan de relance de l’Agence de Distribution de Presse (ADP) ainsi que le lancement d’une Kiosque numérique.
En résumé, sous la direction de Lamine Niang, Le Soleil s’engage dans une nouvelle ère de journalisme de qualité, de modernisation et de transparence, avec pour objectif de renforcer son leadership dans le paysage médiatique sénégalais.
Le député Guy Marius Sagna rejette l’appuie de la Tabaski de l’assemblée nationale.
Sur sa page facebook, le député expose ses raisons.
In texto sa publication
200.000 FCFA ce que l’Assemblée nationale du Sénégal vient de me proposer comme appui Tabaski AUJOURD’HUI.
Une assemblée qui refuse d’appuyer, c’est à dire de représenter, le peuple sénégalais dans la commission ad-hoc chargé du contrôle et de la vérification des titres et occupations sur les anciennes et nouvelles dépendances du Domaine Public Maritime (DPM) dans la région de Dakar mais qui appuie ses membres de 200.000 FCFA pour la Tabaski.
Une assemblée nationale qui refuse d’appuyer le peuple sénégalais travailleurs fonds d’entretien routier autonome (FERA) qui courent derrière plus de 10 mois d’arriérés de salaire. Une Assemblée qui refuse d’appuyer les populations du département de Saraya et de tout le long de la Falémé. Une Assemblée qui refuse d’appuyer les enfants Sénégalais après l’information selon laquelle Nestlé empoisonnerait nos enfants avec du sucre ajouté dans ses produits Nido et Cérélac. Une Assemblée qui refuse de faire éclater la vérité pour les veuves des 93 Jambars au Golfe. Une Assemblée qui refuse d’appuyer les paysans sénégalais.
J’ai refusé de prendre les 200.000 FCFA de l’Assemblée nationale. 200.000 FCFA X 165 députés = 33 millions de francs CFA. Ce n’est que la partie visible de l’iceberg de gestion antidémocratique du budget de l’Assemblée nationale.
Je reviens du département de Ziguinchor où avec mon collègue député Oulimata Sidibé nous avons fait face aux populations de la commune de Enampor, de la commune de Boutoupa Camaracounda et de la commune de Nyassia. Les députés aussi doivent rendre compte c’est pourquoi chaque mois nous rencontrerons les populations du département de Ziguinchor pour qu’elles jugent et critiquent notre travail de député, qu’elles nous disent leurs problèmes. Nous allons transmettre aux ministres concernés les demandes des populations.
Nous avons aussi dit aux populations de Ziguinchor – et c’est valable pour les populations de tout le Sénégal – que nous ne devons pas laisser seuls le président de la république du Sénégal Bassirou Diomaye Diakhar Faye, son premier ministre Ousmane Sonko et les membres du gouvernement. Oui, quand ils prendront des mesures pour exproprier les expropriateurs fonciers, pour faire payer les entreprises qui ne paient pas l’impôt, pour reprendre l’argent du peuple volé par des responsables du régime de Macky Sall, pour renégocier les contrats et accords léonins Bassirou Diomaye Diakhar Faye, Ousmane Sonko et le gouvernement ne devront pas être seuls car ce combat sera celui du peuple.
C’est parce que notre argent a été volé, des impôts pas payés, nos ressources bradées, nos terres spoliées…que plusieurs localités n’ont pas d’eau, n’ont pas d’électricité, n’ont pas de route, n’ont pas de matériel agricole, n’ont pas de structure de santé et de personnel de santé suffisant…C’est de notre enfer qu’est fait le paradis des voleurs de deniers publics, des impérialistes…
Préparons-nous à mener ce combat nous peuple sénégalais car ce n’est pas le combat du président Bassirou Diomaye Diakhar Faye et du premier ministre. Du moins ils le mènent en notre nom et nous ne devons pas être derrière eux mais devant eux.
Les propos du Premier ministre Ousmane Sonko, proférés lors d’une conférence politique ce dimanche, ont suscité une vive réaction de la part du Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (Synpics). Sonko a été accusé de menacer la presse, ce qui a immédiatement déclenché des critiques.
Maguette Ndong, chargé de communication du Synpics, a exprimé son mécontentement face aux déclarations de Sonko. « Nous avons suivi comme tous les Sénégalais la conférence publique d’Ousmane Sonko au Grand Théâtre. Mais ce qui nous a le plus surpris, c’est qu’il semble pointer du doigt la presse sénégalaise, en tout cas les journalistes de manière générale. Il profère, malheureusement, des menaces à l’encontre des journalistes, » a-t-il déclaré.
Ndong a rappelé que les journalistes sont tenus de respecter les principes de leur métier et que ce n’est pas à Sonko de les menacer. Il a reconnu qu’il peut y avoir des « brebis galeuses » dans toute corporation, y compris la presse, mais cela ne justifie pas des menaces généralisées contre les journalistes.
« Nous rappelons tout simplement à M. Sonko que les responsables de Pastef étaient avec nous quand ils étaient dans l’opposition. Quand on faisait des manifestations ou des sit-in pour défendre la liberté de la presse, » a ajouté Ndong, soulignant l’importance de la liberté de la presse et la nécessité de la défendre constamment.
Les propos menaçants d’Ousmane Sonko à l’égard de la presse ont été vivement critiqués par le Synpics, qui a rappelé l’importance de respecter le travail des journalistes. Le syndicat a souligné que la critique constructive est bienvenue, mais que les menaces sont inacceptables et nuisent à la liberté de la presse.
Les unités de l’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) de Thiès et de Kaolack ont réalisé une saisie majeure ce week-end, interceptant 326 kg de chanvre indien. Cette opération résulte de vastes investigations menées par cette unité spécialisée de la police dans la lutte contre le trafic de stupéfiants.
À Ngousse, près de Palmarin Joal, la brigade régionale des stupéfiants de Thiès a arrêté un dealer en possession de 41 kg de drogue. Parallèlement, à Latmingué, les agents de l’OCRTIS de Kaolack ont appréhendé un trafiquant avec 285 kg de chanvre indien dans la forêt du village de Hanene.
Ces arrestations marquent un succès significatif dans la lutte contre le trafic de drogue, démontrant l’efficacité et la vigilance des forces de l’ordre. L’OCRTIS continue de jouer un rôle crucial dans la protection de la société contre les ravages des stupéfiants.
Dans une déclaration sans précédent, Mamoudou Ibra Kane, célèbre journaliste et commentateur politique, a lancé un appel vibrant à la mobilisation contre le Premier Ministre actuel. Avec des mots chargés de passion et d’urgence, Kane a averti que l’avenir du pays était en jeu et qu’il était impératif d’agir rapidement pour éviter des conséquences désastreuses.
« Soyons clairs : nous sommes face à une menace sérieuse pour la démocratie et le bien-être de notre nation », a déclaré Kane lors d’une conférence de presse hier soir. « Le Premier Ministre agit de manière autoritaire et préjudiciable à nos institutions et à nos valeurs fondamentales. Nous devons le stopper maintenant, avant qu’il ne soit trop tard. »
Kane a cité une série de décisions récentes prises par le Premier Ministre, qu’il a qualifiées de « dangereuses pour la stabilité et la prospérité du pays ». Parmi ces décisions figurent des mesures répressives contre la liberté d’expression, des politiques économiques favorisant les élites au détriment des plus vulnérables, et une gestion désastreuse de la crise sanitaire en cours.
« Nous ne pouvons pas rester les bras croisés pendant que notre démocratie est sapée et que notre peuple souffre », a déclaré Kane avec passion. « Il est temps de nous lever, de parler haut et fort, et d’exiger des changements. Nous devons tenir nos dirigeants responsables de leurs actes. »
L’appel de Kane à l’action a été largement salué par d’autres leaders d’opinion, des militants politiques et des citoyens engagés. Sur les réseaux sociaux, le hashtag #StopPremierMinistre est devenu viral, attirant l’attention sur la nécessité d’une action collective.
« Nous avons le pouvoir de changer les choses, mais nous devons agir ensemble, avec détermination et persévérance », a conclu Kane. « Ne laissons pas la peur ou l’apathie nous paralyser. L’avenir de notre pays est entre nos mains, et nous devons agir maintenant pour le sauver. »
Le Premier ministre Ousmane Sonko est en retard. Le plan d’action gouvernemental qu’il annonce pour bientôt lui a été demandé depuis très longtemps.
Dans le premier communiqué du conseil des ministres en date du 09 avril 2024, il a été dit ceci : « le Président de la République a demandé au Premier Ministre, sur la base du PROJET et des orientations présidentielles sus indiquées, de finaliser, avant la fin du mois d’avril 2024, le Plan d’actions du Gouvernement, avec un agenda précis de réalisation des objectifs fixés. »
Il est en retard de plusieurs mois mais trouve le temps de faire de la politique politicienne en mettant en exergue une compétence qui a déjà montré ses limites.
Comment peut-on traiter certains magistrats de corrompus quand on décide de s’immiscer dans l’enclenchement de l’autosaisine du procureur à travers son ministre de la justice ?
Pourquoi ne pas demander au procureur de faire son travail sur son propre dossier pendant devant la justice ?
Encadrer la justice et la presse selon ses propres orientations est la pire des dérives d’un apprenti dictateur.
S’attaquer à une opposition qui a décidé de laisser le temps de l’observation est une belle preuve d’incapacité face aux nouvelles charges étatiques.
L’ingénieuse prouesse a été de trouver le temps de faire de la politique politicienne après avoir demandé du temps pour faire des résultats.
À défaut de projet et de visions, les objectifs sont maintenant clairs :
1 – Anticiper sur l’après Diomaye en muselant la presse non inféodée à sa doctrine, en intimidant certains peureux d’une opposition hésitante pour les dissuader dans l’exercice de leur droit et en accaparant un appareil politique à travers un discours populiste renouvelé.
2 – Faire croire que le nouveau pouvoir est menacé dans sa volonté de prétendues éformes systémiques pour divertir les sénégalais sur un combat contre le néant et ainsi échapper à la récurrence des demandes de respect des engagements et de satisfaction des besoins majeurs des populations.
Ousmane Sonko a décidé de gouverner et de s’opposer en même temps. Gouverner contre ses adversaires, s’opposer à ses adversaires.
Celui qui était prêt à déloger du palais de la république un président légalement élu pour prendre sa place fera tout pour remplacer son poulain.
Son temps sera dédié à la politique politicienne. La correcte prise en charge des intérêts majeurs des populations attendra malheureusement.
Qu’il sache que ceux qui ne sont pas dans le soutien aveugle, le fanatisme et la recherche de sinécures connaissent bien ce proverbe qui dit que « bien dire fait rire, bien faire fait taire. »
Malheureusement, il ne cherchera pas à faire taire en bien faisant mais plutôt en usant de formes d’intimidation ridicules, obsolètes et inopérantes.
Nous espérons que certaines ruptures annoncées et attendues survivront dans cette mare de populisme.
Les sénégalais sont fatigués. Ils ne rempliront pas leur ventre par des paroles futiles et de l’arrogance.
Le coordonnateur du Forum Civil, Birahim Seck, a vivement critiqué les récentes déclarations du président du parti Pastef, Ousmane Sonko, concernant la presse sénégalaise. Dans un tweet, Seck a souligné que le rôle du gouvernement devrait être de renforcer et de consolider la presse, plutôt que de proférer des menaces à son encontre.
« Mr le premier ministre, votre rôle est d’apporter des solutions durables pour fortifier la presse et la consolider. Elle ne doit pas être, ni se sentir menacée », a déclaré Seck dans son tweet.
Il a également souligné que le gouvernement, en tant que représentant du peuple, devrait adopter une posture rassurante et démocratique envers la presse, plutôt que d’adopter des attitudes menaçantes.
« Vous n’êtes plus dans l’opposition mais dans la position d’apporter des réponses rassurantes et démocratiques », a-t-il ajouté.
Cette réaction de Birahim Seck intervient après les propos controversés tenus par Ousmane Sonko, où ce dernier a semblé menacer certains médias en raison de leur couverture médiatique.
La liberté de la presse est un pilier fondamental de toute société démocratique, et les critiques de Seck soulignent l’importance de protéger et de promouvoir ce principe au Sénégal. En appelant à un renforcement de la presse et à une approche démocratique, Seck met en lumière la nécessité pour le gouvernement de respecter et de défendre la liberté d’expression et le rôle crucial des médias dans la société.
Dans un récent discours, Ousmane Sonko a affiché un côté peu connu de sa personnalité en s’en prenant vivement à la presse sénégalaise. Cette attitude soulève des questions sur sa relation avec les médias et sa gestion du pouvoir depuis son accession à la fonction de Premier ministre.
Depuis ses débuts en politique, Sonko a préféré les plateformes digitales aux conférences de presse traditionnelles, suscitant des interrogations sur sa volonté de transparence et de dialogue avec les médias.
Pourtant, la presse sénégalaise a souvent été confrontée à des pressions et des représailles pour son travail critique envers le gouvernement, ce qui soulève des inquiétudes quant à la récente attaque de Sonko contre les médias.
En outre, alors que les Sénégalais font face à des défis économiques et sociaux, Sonko promet des solutions rapides mais semble minimiser la complexité des problèmes auxquels le pays est confronté.
Cet article souligne la tension entre la phobie des médias d’Ousmane Sonko et les attentes du peuple sénégalais vis-à-vis de son leadership, mettant en lumière les défis auxquels il est confronté en tant que Premier ministre
La tragédie a frappé la communauté de Thiès alors que le corps calciné de Moustapha Dème, âgé de seulement 18 ans et conducteur de Jakarta, a été découvert en pleine forêt à Mbodiène. Le jeune homme, résidant du quartier Takhikao, a été identifié par sa famille grâce à ses affaires retrouvées sur les lieux du crime.
L’histoire a commencé lorsque les proches de Dème ont signalé sa disparition au commissariat de Tivaouane. Leurs craintes se sont avérées lorsque des femmes à la recherche de bois mort ont découvert son corps dans un état choquant. Les funérailles, qui ont eu lieu hier dans le quartier Takhikao, ont été marquées par une profonde tristesse alors que la famille et les voisins pleuraient leur perte.
Des investigations approfondies ont révélé que Dème avait été vu pour la dernière fois en compagnie d’un ami, également conducteur de moto Jakarta. L’absence de cet ami a attiré l’attention des autorités, qui l’ont finalement arrêté pour interrogatoire.
L’inhumation de Moustapha Dème au cimetière de Mbodiène a marqué la fin d’une vie trop courte, mais l’enquête se poursuit pour faire la lumière sur les circonstances de sa mort. La communauté reste en deuil alors que justice est recherchée pour ce jeune homme dont la vie a été tragiquement interrompue.
Ousmane Sonko s’est une nouvelle fois attaqué à la presse ce dimanche. Cette sortie a soulevé des réactions appelant le leader de Pastef à la retenue et à ne pas créer une diversion afin de se dérober pour défaut de ne pas trouver solution aux problèmes les plus urgents des Sénégalais surtout celui de la cherté de la vie avec la Tabaski qui s’approche a grands pas.
Ce dimanche, lors d’une conférence politique, le leader de Pastef, Ousmane Sonko, a fait une déclaration teintée de menaces vis-à-vis des journalites sur lesquels il ne cesse de jeter l’opprobre, surtout depuis qu’il a été porté à la tête de la Primature. « Ce qui existait ne sera plus toléré. C’est révolu ces personnes qui écrivent ce qu’elles veulent au nom de la liberté de la presse. C’est fini ! (…) S’ils son courageux, qu’ils réécrivent ce qu’ils avaient écrit », a affirmé le président de Pastef, faisant référence aux journaux qui avaient repris l’information portant sur les motifs présumés de la mutation du Général Kandé.
Ousmane Sonko a aussi parlé de pratiques qu’il juge frauduleuses dans les médias, accusant certains de détourner des fonds publics en prélevant des montants sur les salaires pour les mettre dans leurs poches. Il a insisté sur la nécessité de ne pas laisser ces actes impunis, soulignant les sanctions prévues par le Code général des impôts.
Selon Maguette Ndong du Synpics, il « n’appartient pas à monsieur Sonko de menacer des journalistes qui font leur travail. C’est vrai que dans toutes corporations, il y a des brebis galeuses mais cela ne peut pas expliquer des menaces pointées sur des journalistes sénégalais », fustige-t-il.
D’après le journaliste, Bachir Fofana, « les Sénégalais n’ont pas envie de voir un Premier ministre qui se comporte toujours comme un opposant au pouvoir. Il n’a pas encore compris que sa préoccupation première, c’est de s’attaquer aux urgences de l’heure ».
Justement, parmi ces urgences de l’heure : la fête de la Tabaski. Beaucoup de Sénégalais sont préoccupés par l’obtention d’un mouton pour la fête de l’Aïd El Fitr. En guise d’exemple : les marchands ambulants qui ont déploré leur déguerpissement à cette veille de célébration alors qu’ils sont des soutiens de famille.
L’autre souci qui taraude l’esprit des Sénégalais est bien la cherté de la vie. Un problème dont Sonko avait promis de venir à bout dès leur élection. À en croire, Bougane Gueye Dany, « Ousmane Sonko doit comprendre que la communication de conquête repose sur des promesses, mais l’exercice du pouvoir exige des actes rapides et concrets. Les Sénégalais attendent toujours la baisse des prix des denrées, l’emploi des jeunes et la relance de notre économie. Les goorgorlous restent préoccupés par la vie chère et la quête du mouton par ces temps durs ». Le président du mouvement Gueum Sa Bopp et patron du groupe de presse D Médias, de poursuivre : « les VAR continueront de te rappeler tes promesses et tes prises de positions, toutes oubliées au lendemain de ta victoire tait candidat recalé à la présidentielle, exprime ainsi les attentes pressantes de la population en matière d’action gouvernementale ».
La sortie politique d’Ousmane Sonko hier, laisse penser, en réalité, à un contre-feu pour taire les polémiques touchant les maux des Sénégalais. En effet, sur internet, les internautes ne cessent de faire des vidéos « VAR » rappelant les promesses non réalisées du Gouvernement Sonko 1 et les revirements sur certaines questions telles dernièrement celle portant sur les eurobonds. Récemment, le nouveau régime a soulevé 450 milliards francs CFA d’eurobonds avec un taux nominal de 7, 75 % sur maturité de 7 ans contre 5,3 pour 16 ans en 2021. Ce qui est surprenant car, étant dans l’opposition, les gouvernants actuels décriaient l’endettement progressif du Sénégal.
L’Intersyndicale des travailleurs de Sen’Eau, composée notamment du SATES et affiliée à la Confédération des Syndicats Autonomes du Sénégal (CSA), a lancé un ultimatum sévère à la Direction Générale de Sen’Eau lors d’une conférence de presse tenue samedi au siège de la confédération. Les représentants syndicaux ont exprimé leur mécontentement face à l’inactionx et aux représailles de la direction, annonçant une grève potentielle et une journée de port de brassard rouge le mardi 11 juin 2024.
Selon Omar Ba, secrétaire général de l’intersyndicale, les négociations annuelles de 2024 ont été un échec total, avec 0% de satisfaction des revendications des travailleurs. La Direction Générale de Sen’Eau aurait retardé volontairement ces négociations de six mois, causant un préjudice financier significatif aux employés. En outre, la direction tente d’imposer une nouvelle grille salariale et une cotation des postes défavorable aux travailleurs. Un autre point de tension majeur est la gestion des soins de santé des travailleurs et de leurs familles. L’IPM de Sen’Eau est en difficulté, ce qui entraîne des refus de prise en charge dans les structures sanitaires autrefois agréées. La direction propose une nouvelle formule d’assurance rejetée par les travailleurs. Omar Ba a dénoncé une gestion caractérisée par un « régime continu de cure d’amaigrissement », qui a conduit à une perte cumulée de plus de 15 milliards de francs CFA.
Les revendications de l’intersyndicale sont claires : Cessation immédiate de la persécution des délégués du personnel. Organisation des élections du représentant des travailleurs au conseil d’administration de Sen’Eau. Organisation des élections des délégués du personnel sans vote digital. Restitution des cotisations des travailleurs au fonds commun de placement Ibrahima, représentant du SG de la CSA, a dénoncé la mauvaise gestion de la direction et a averti que si aucune action n’est prise, l’intersyndicale passera à des mesures plus sévères. Les travailleurs appellent également l’État du Sénégal à intervenir pour mettre fin à cette gestion problématique. Les travailleurs prévoient de porter un brassard rouge le 11 juin 2024 en solidarité avec le Secrétaire Général du SATES, convoqué en conseil de discipline. Un point de presse sera tenu ce jour-là devant la Direction Générale de Sen’Eau à Hann. « Le SATES et ses alliés de l’UTIS, avec la CSA, resteront toujours engagés dans la défense des intérêts des travailleurs et travailleuses de la Sen’Eau et du secteur de l’eau », a conclu Omar Ba. La situation à Sen’Eau est donc à un point critique, avec des travailleurs déterminés à obtenir des changements significatifs dans leurs conditions de travail et la gestion de l’entreprise. Les prochains jours seront décisifs pour voir si la direction répondra aux revendications ou si une grève paralysante sera inévitable.
La vague d’indignations des acteurs de la presse se poursuit de plus belle! C’est autour du journaliste Bachir Fofana de se joindre à d’autres confrères qui ont fustigé la sortie du président du Pastef, ce dimanche au Grand Théâtre lors d’une conférence face à la JPS. « Le premier ministre est attendu pour faire sa déclaration de politique générale. Il nous faut savoir où est-ce qu’il compte nous amener. Jusqu’à présent, il est difficile de se faire une idée de son PROJET qui est selon moi du Naxee Mbaay. À défaut d’une déclaration de politique générale, c’est une déclaration de guerre qu’il a présentée contre la presse… », a regretté Bachir Fofana qui s’est exprimé sur le discours de Ousmane Sonko.
Selon le journaliste, « les sénégalais n’ont pas envie de voir un premier ministre qui se comporte toujours comme un opposant au pouvoir. Il n’a pas encore compris que sa préoccupation première, c’est de s’attaquer aux urgences de l’heure.. son énergie et son temps ne doivent pas être utilisés pour combattre cette presse qui n’est pas son ennemi. La presse est là pour être la conscience du pouvoir. Il doit lui rappeler ses engagements », indiquera-t-il, considérant que cette même presse que l’on semble menacer, c’est elle qui a été debout jusqu’à ce que certains soient confondus comme étant des partisans de Pastef. « Des journalistes ont pris fait et cause pour Sonko au point même de tordre l’éthique et la déontologie dans le traitement de l’information». Il ne faut pas ouvrir un conflit permanent avec la presse, selon Bachir Fofana qui rappelle que les journalistes doivent savoir que leur métier, c’est d’être la conscience des gens au pouvoir et de faire le travail de journaliste correctement. « Il faut savoir que ce qui fait mal à Ousmane Sonko, ce sont ses VAR qu’on lui rappelle. Aujourd’hui, les VAR sont une discipline dans la presse parce qu’on parle de fact checking ». « Ousmane Sonko n’a rien fait pour rendre à la presse sa dignité. En tant qu’opposant, tout le monde l’a vu accorder des interviews qu’à des médias qui lui sont favorables», martèle le journaliste. Pour ce qui est de la situation fiscale des médias, le journaliste Bachir Fofana estime qu’elle doit être réglée : « tous les acteurs économiques se doivent de payer l’impôt. Je ne suis pas d’accord pour une amnistie fiscale. Cela encourage la médiocrité. Mais ce qu’il faut, c’est une fiscalité propre aux médias. Nous invitons Ousmane Sonko à s’assoir avec les acteurs des médias pour trouver ensemble des solutions consensuelles face aux problèmes…mais ce n’est pas en menaçant les journalistes que nous allons parvenir à régler cette situation » conclut-il.
Le dimanche 9 juin 2024, les habitants de Fogny Diabancounda ont exprimé leur adhésion à l’exploitation du zircon de Niafrang lors d’un grand rassemblement tenu à la place publique d’Abéné. L’événement a réuni notables, hommes, femmes et jeunes venus des villages de Kabadio, de Badjikaky, de Kafountine, de Katak et de Colomba, à travers un point presse.
Omar Diabang, porte-parole du jour, a déclaré : « Nous avons jugé nécessaire de tenir ce point de presse pour informer les nouvelles autorités que nous demeurons favorables à ce projet, malgré les manipulations et la campagne de désinformation menée par un lobby de chasseurs de primes et maîtres chanteurs qui n’habitent pas nos villages. »
Les populations ont dénoncé l’utilisation de la presse par ces lobbies comme moyen de pression sur les promoteurs du projet pour obtenir une part indue. Omar Diabang a précisé : « Notre adhésion à ce projet s’explique par le fait que nous avons visité plusieurs sites en cours d’exploitation et déjà exploités et réhabilités. Lors de ces visites, nous avons constaté que des activités agricoles, pastorales et même de transformation de produits halieutiques se pratiquaient à proximité. Un couvert végétal est visible sur les sites réhabilités. Cela signifie que contrairement aux allégations des manipulateurs, l’exploitation du zircon se fait sans usage de produit chimique. »
Les habitants se défendent d’être taxés de corrompus et rejettent les propos de certains représentants d’ONG ou de la société civile qui vont à l’encontre de leur position. Ils affirment avoir signé un protocole d’accord avec le promoteur, qui a commencé à être exécuté avant même le début de l’exploitation. L’organisation de la société civile Vision Citoyenne a pris note de la manifestation et promet d’étudier la situation pour décider de la position à adopter. Il est à rappeler que l’exploitation du zircon de Niafrang dans le département de Bignona fait l’objet de divergences, bien que la tendance en faveur de l’exploitation soit en progression.
Une attaque à main armée a fait un mort ce dimanche, dans la soirée, aux environs de 21 heures. Cet acte d’une vionence inouïe a eu lieu à Bambaraya, une localité située près de la commune de Sabodala, dans le département de Saraya à Kédougou. Les assaillants ont abattu un jeune qui se trouvait sur les lieux d’une balle sur la tête. Ce drame rappelle la nécessité pour l’État de démanteler les sites d’orpaillage clandestins qui sont, pour la plupart, occupés par des étrangers qui ont créé leurs propres villages à l’intérieur de la brousse. Ces villages qui, à la longue sont devenus, le terreau des bandits.
SONKOMILLEH…Le Sénégal est décidément entré dans une volcanique zone de turbulences
Qui, pour arrêter l’éruption avant qu’elle ne se transforme en lave incandescente déferlant sur le pays pour le consumer ? Trouvons vite des abris. Des menaces au nazisme noir, il n’y a qu’un pas…
Était-ce ça le fameux POROJET ? Sa composante nucléaire provoque ce soir une panique générale.
Ousmaaanooo, Sonkomilleh, binbin waaay, douniou nangou kouniouy nott deh wakhatoumak kouniouy nappeu! Fii deh, Kousellki, boumou jaamm dogg naffi bou yagga yagg teh mayou niou kenn mou teunkatt niou dans des cales de bateaux de négriers….
La liberté chèrement acquise sera défendue quoi qu’il nous en coûte, UGH !
Monsieur le Premier Ministre, vous avez mieux à faire Nous avons besoin d’un chef de gouvernement pas d’un chef de clan ou de guerre
« Tout ce qui est excessif est insignifiant ». Encore une fois Sonko a été excessif dans ses attaques contre les magistrats et la presse. Ce sont les excès de l’opposant Monsieur Ousmane Sonko qui rendent insignifiants la quête de respectabilité et de prestige du Premier Ministre Ousmane Sonko. L’Etat c’est le prestige et il n’y a pas de prestige sans distance et apparemment il est impossible à Monsieur Sonko de se hisser à la hauteur qu’exige la fonction de Premier Ministre. Il a failli devenir Président par accident et il est devenu Premier Ministre par inadvertance. Comment le Premier Ministre peut accuser les magistrats de corruption parce qu’ils ont pris des décisions qui ne lui sont pas favorables quand il était opposant. Donc les bons magistrats sont ceux qui ont pris les décisions qui lui ont été favorables. Ce n’est pas une attitude de chef de gouvernement mais de chef de clan. On comprend maintenant l’idée initiale d’organiser des « assises de justice pour redorer le blason terni de la justice » dans le discours du Président le 03 avril. Heureusement que le Président a mis beaucoup d’eau dans le bissap. Nous n’avons pas un chef de gouvernement mais un chef de clan, un chef de guerre qui va plus se préoccuper de vendetta politique, judiciaire et médiatique, de règlement de comptes que de régler les préoccupations de Sénégalais. C’est quand même inquiétant avec l’ampleur des urgences du pays que notre Premier Ministre ait le temps de s’occuper du détail de la fiscalité de la presse qui au mieux doit relever d’un inspecteur des impôts. On ne demande pas à notre Premier Ministre de faire des conférences publiques mais de prendre des décisions, bref de gouverner au lieu de faire un « one man show ». Un gouvernement agit. Monsieur le Premier Ministre, la parenthèse de l’élection est fermée. Vous n’êtes plus dans l’opposition. Agissez Votre croisade contre la presse est perdue d’avance. Malgré les excès et les dérives qu’il faut corriger, le Sénégal doit beaucoup à sa presse. La presse nous a permis d’atteindre des « seuils de démocratisation » en contribuant à l’élargissement de la base de la démocratie avec l’ouverture médiatique des années 90 et à la transparence électorale qui a permis à notre pays de rompre avec le cycle des violences post électorales. Le régime de Macky Sall assume l’aide qu’il a toujours apportée à la presse parce qu’il n’y a pas de démocratie sans presse. Thomas Jefferson le 3e Président des Etats Unis disait « La base de nos gouvernements étant l’opinion du peuple, le premier objectif devrait être de préserver ce droit ; et s’il m’appartenait de décider si nous devrions avoir un gouvernement sans journaux ou des journaux sans gouvernement, je n’hésiterais pas un seul instant à choisir la dernière hypothèse. » « L’amnistie » fiscale que nous assumons est une façon d’aider la presse pour qu’elle se hisse au niveau de notre grande démocratie par contre votre politique d’asphyxie fiscale est une façon de tuer la presse pour avoir un gouvernement sans presse comme chez les nazis et les fascistes dans les années 30. Monsieur le Premier Ministre, les Sénégalais ont ouvert les yeux et ce sont vos excès et l’hubris du pouvoir qui seront les freins de votre « résistible ascension » vers la fonction suprême. Heureusement pour notre République qui n’aura pas à sa tête quelqu’un qui a menacé les généraux, insulté les juges et demandé aux jeunes de transformer notre Président en Samuel Doe. Autant d’excès que rappellent les VAR au quotidien et qui rendent insignifiante votre quête de prestige d’homme d’Etat. Un homme d’Etat prend de la hauteur, ne s’époumone pas dans les détails et ne réduit pas l’Etat à sa personne ou à des règlements de comptes crypto-personnels, ce qui est le propre d’un chef de clan ou de guerre. Les urgences sont ailleurs. Cette conférence publique est une diversion, une autre arme de distraction massive.
La scène politique sénégalaise a récemment été secouée par une intervention marquante d’Anta Babacar Ngom, qui a exprimé sa déception et ses attentes élevées vis-à-vis du Premier ministre Ousmane Sonko. Cette réaction fait suite à une conférence politique animée par Sonko, président du PASTEF, qui, selon Ngom, n’a pas répondu aux attentes des Sénégalais en quête d’actions concrètes.
Anta Babacar Ngom a débuté son message en soulignant la patience dont ont fait preuve l’opposition et la majorité des Sénégalais depuis l’élection de Sonko. « Si l’opposition et la majorité des Sénégalais sont restées aussi discrètes depuis votre élection, c’est qu’elles vous observent, mais surtout qu’elles vous accordent le temps nécessaire pour mettre le pays au travail. » Cette déclaration met en lumière le fait que la population sénégalaise, bien qu’impatiente de voir des changements tangibles, a accordé à Sonko une période de grâce pour instaurer des réformes et des politiques efficaces.
Ngom a vivement critiqué la tendance de Sonko à privilégier les discours et les promesses au détriment des actions concrètes. Elle a souligné que l’heure n’est pas à la politique politicienne qui se concentre sur la rhétorique plutôt que sur des mesures effectives. « L’heure n’est pas à la politique, encore moins à cette politique politicienne qui privilégie les discours et les promesses plutôt que les actes concrets. » Ce commentaire reflète une frustration croissante parmi les citoyens qui attendent des résultats tangibles. Rappelant à Sonko ses responsabilités en tant que Premier ministre, Ngom a insisté sur le fait que les Sénégalais jugeront son gouvernement sur ses résultats, et non sur des discours populistes ou des attaques verbales. « Vous serez jugés sur vos résultats, et non sur une propagande populiste ou des invectives. » Cette déclaration met en lumière l’importance de passer des promesses aux réalisations concrètes.
Elle a également souligné que Sonko doit reconnaître son rôle actuel en tant que chef du gouvernement et mettre le pays au travail. « Vous êtes désormais Premier ministre. Vous avez remporté l’élection présidentielle. Que vous le croyiez ou non, vous êtes maintenant au pouvoir ! Mettez donc le Sénégal au travail et faites moins de politique, au risque de remettre notre pays entre les mains de politiciens qui nous ont pris en otage ces dernières années. »
Le message central de Ngom est clair : les actions parlent plus fort que les mots. Elle a exhorté Sonko à se concentrer sur la mise en œuvre de politiques et de réformes concrètes qui amélioreront la vie des Sénégalais. « Actions speak louder than words ! Le temps des discours est révolu ! Mettez-vous au travail ! »
Les attentes des Sénégalais sont élevées, en particulier dans des domaines critiques tels que la réduction des prix des denrées alimentaires, la création d’emplois pour les jeunes et la relance de l’économie nationale. Ngom a rappelé que les préoccupations quotidiennes des citoyens, comme la vie chère et la quête du mouton pour les fêtes religieuses, sont des priorités que le gouvernement doit adresser de manière urgente.
L’intervention d’Anta Babacar Ngom constitue un appel fort à l’action pour Ousmane Sonko et son gouvernement. Elle reflète une impatience croissante parmi les Sénégalais qui attendent des résultats concrets et immédiats. En rappelant à Sonko ses responsabilités et en insistant sur la nécessité de passer des discours aux actes, Ngom a réaffirmé l’importance de l’efficacité et de la réactivité dans l’exercice du pouvoir. Les prochains mois seront cruciaux pour Sonko et son équipe, qui devront prouver qu’ils sont à la hauteur des attentes placées en eux et qu’ils peuvent véritablement transformer le Sénégal.
Le mouvement Kaolack Épanouie et Prospère (KEP), en collaboration avec PAMECAS, a octroyé un financement de 8,8 millions de FCFA à 100 femmes de la commune de Latmingué ce vendredi 7 juin. Cette initiative vise à soutenir les femmes dans leurs activités génératrices de revenus et à promouvoir leur autonomisation économique.
Lors de la cérémonie de remise des fonds, Andel Kitane, président du mouvement KEP, a souligné l’importance de ce soutien pour les femmes vivant en milieu rural. « Les femmes vivant dans des zones rurales jouent un rôle clé dans la production alimentaire, la génération de revenus ainsi que le développement économique tant local que national, » a déclaré M. Kitane. Il a également mis en avant l’importance de l’égalité des genres et de l’autonomisation des femmes dans la lutte contre la pauvreté et la faim, ainsi que dans l’atténuation des effets des changements climatiques. M. Kitane a fait référence à des études mondiales montrant que les femmes entrepreneurs contribuent significativement à la croissance économique et à la réduction de la pauvreté, tant dans les pays en développement que dans les pays à revenu élevé. « En plus de stimuler l’emploi, l’entrepreneuriat féminin contribue à la diversification des activités et favorise l’innovation et la diversification de la gestion, de la production, des pratiques commerciales, et des produits et services, » a-t-il ajouté. Les femmes bénéficiaires ont exprimé leur gratitude envers le mouvement KEP et PAMECAS pour cet accompagnement. Elles se sont engagées à rembourser les fonds dans les délais fixés afin de permettre à d’autres femmes de bénéficier de ce soutien. La cérémonie de remise des financements, qui a eu lieu ce samedi, a été marquée par des témoignages de reconnaissance et des engagements forts pour le développement économique de la commune de Latmingué. Cette initiative du mouvement KEP, en partenariat avec PAMECAS, est un exemple concret de soutien à l’entrepreneuriat féminin et de promotion de l’égalité des genres en milieu rural, contribuant ainsi à la croissance économique locale et nationale.
Le samedi 8 juin 2024, vers 19 heures, la Brigade spéciale des Douanes de l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD) a réalisé une saisie historique de vingt (20) kilogrammes de cocaïne. Cette opération, effectuée par la Subdivision des Douanes de l’AIBD, Direction régionale Ouest, représente un coup dur porté aux réseaux de trafic international de drogue.
La marchandise illégale était astucieusement dissimulée dans un lot de sacs de gingembre destinés à l’exportation vers un pays de l’Union européenne. Les douaniers ont intercepté le véhicule transportant cette cargaison au niveau de la zone fret de l’aéroport, où la drogue devait être déposée avant son expédition. Suite à cette première saisie, les agents de la Brigade spéciale se sont rendus à Popenguine pour une double opération de filature et de livraison surveillée. Cette manœuvre a permis d’appréhender à l’aérogare passager de l’AIBD le présumé cerveau du trafic, un homme d’une quarantaine d’années de nationalité maghrébine, qui s’apprêtait manifestement à quitter le pays. La filature et la livraison surveillée ont mené à la découverte d’éléments de preuve du conditionnement de la drogue dans une villa située à Popenguine, non loin de la mer, qui servait de refuge aux trafiquants. Sur les lieux, les agents ont saisi vingt-six (26) sacs de sulfate de potassium et divers autres matériels utilisés dans le conditionnement de la drogue. La contrevaleur totale de la saisie est estimée à un milliard six cent millions (1 600 000 000) de francs CFA. Au total, quatre personnes ont été arrêtées au cours de ces opérations. Cette saisie record de cocaïne, destinée à l’exportation par voie aérienne, a été possible grâce à l’exploitation d’un renseignement précis, menée avec professionnalisme par la Douane sénégalaise et ses partenaires nationaux et internationaux. L’Administration des Douanes réaffirme son engagement à établir des collaborations et des partenariats efficaces avec tous les acteurs compétents dans la lutte contre la Criminalité transnationale organisée (CTO). L’autorité douanière invite les populations à soutenir la Douane et les autres Forces de Défense et de Sécurité dans leur combat contre le trafic international de drogue, un fléau mondial qui requiert une vigilance et une coopération sans faille.
Suite à la conférence tenue par Ousmane Sonko, Bougane Guéye Dany, président du Mouvement Gueum Sa Bopp, a réagi vivement en appelant à des actions concrètes plutôt qu’à de simples promesses.
Bougane souligne que les Sénégalais attendent toujours des mesures tangibles pour alléger le coût de la vie, créer des emplois pour les jeunes, et revitaliser l’économie. Les préoccupations quotidiennes, telles que la cherté de la vie et la recherche du mouton pour les fêtes, demeurent des priorités pour la population.
Critiquant sévèrement les propos de Sonko envers les journalistes, Bougane a rappelé : « Cette presse t’a tiré des griffes de Macky Sall en mars 2021. Aujourd’hui, tu veux la liquider ? C’est peine perdue. » Il dénonce l’attitude de Sonko envers les médias et insiste sur l’importance de la liberté de la presse dans une démocratie.
Pour Bougane, les priorités ne résident pas dans les grandes manifestations ou les discours, mais dans des actions concrètes pour répondre aux besoins urgents des Sénégalais. Il conclut en rappelant la nécessité pour Sonko de se concentrer sur les vrais enjeux : « Reewmi dafa Diomaye, me dit-on, moytoul mou faye ci say loxo. » (Le pays est en crise, on dit qu’il ne faut pas le laisser tomber entre de mauvaises mains.)
Avec ces déclarations, Bougane Guéye Dany met en avant une exigence claire : que les promesses de campagne se transforment rapidement en réalisations palpables, afin de répondre aux attentes pressantes de la population sénégalaise.
Les populations de Goudomp ont réservé un accueil chaleureux à leur fils Papis Modeste Boucal parrain de la fête de l’excellence organisée par l’inspection de l’éducation et de la formation ce samedi. Plus d’une soixantaine d’élèves issus de différentes écoles de la commune , qui se sont brillamment Illustré lors de L’année scolaire 2023-2024 se sont vu décerner des prix d’encouragement Remis par le parrain de l’événement. L’objectif visé par les autorités éducatives à travers cette initiative est selon elles de récompenser les élèves qui se sont distingués durant l’année scolaire 2023-2024 et de favoriser une émulation entre eux. Le parrain Papis Modeste Boucal s’est fortement réjoui de l’initiative et le choix porté à sa personne. » J’invite les autorités éducatives de la circonscription à pérenniser cette action pour encourager les élèves dans leurs études. Je vous exhorte à plus de dévouement et d’abnégation au travail afin de rester dans la même dynamique de l’excellence » a indiqué le parrain Papis Modeste Boucal.
L’affaire impliquant le général Kandé, muté à New Delhi en tant qu’attaché de défense, refait surface sur la scène publique. S’adressant aux militants de son parti sur l’esplanade du Grand Théâtre de Dakar, le Premier Ministre, également président des Patriotes Africains du Sénégal pour le Travail, l’Éthique et la Fraternité (PASTEF), a mis en garde les journalistes et les médias qui l’ont mentionné dans cette affaire.
« Je le dis haut et fort : s’ils osent ou s’ils ont l’audace, qu’ils réécrivent ce qu’ils avaient écrit », a averti le chef patriote.
Dans son discours, il a dénoncé ce qu’il considère comme une impunité généralisée dans le secteur de la presse. « L’impunité est trop répandue dans la presse », a-t-il déclaré. « J’invite les journalistes à se référer à l’article 13 du Code de la presse. Au lieu de présenter des preuves tangibles, certains rapportent des informations non vérifiées, affirmant que le général Kandé a été sanctionné par Ousmane Sonko pour avoir combattu la rébellion. On demande des preuves, et à la place, on cite des sources douteuses. Ces agissements doivent cesser », a-t-il ajouté avec fermeté.
Cette déclaration marque une position forte contre ce que Sonko considère comme une mauvaise pratique journalistique et un appel à une plus grande responsabilité dans le traitement des informations, particulièrement dans les affaires impliquant des personnalités publiques.
Ayib Daffé, le secrétaire général de Pastef, a pris la parole devant une foule nombreuse réunie à l’esplanade du Grand Théâtre de Dakar pour représenter le président du parti, Ousmane Sonko.
Dans son discours vibrant, il a galvanisé l’assistance, mettant en avant l’importance cruciale du PROJET pour le développement du Sénégal. Daffé a souligné le sacrifice et l’engagement de la jeunesse, appelant à une vigilance accrue et à une détermination inébranlable pour faire avancer la vision du parti.
« Le sacrifice que vous avez consenti ne sera pas vain », a-t-il affirmé, insistant sur l’impératif de mobilisation et d’action pour concrétiser les objectifs du PROJET. Il a appelé les jeunes à rester debout et engagés, soulignant que l’avenir du Sénégal dépend de leur détermination et de leur implication.
Cette allocution marque un appel puissant à la mobilisation de la jeunesse en faveur du PROJET, soulignant l’importance cruciale de son rôle dans la réalisation des aspirations du parti et du pays.
Ousmane Sonko, chef de file des Patriotes, a récemment ravivé le dossier brûlant de l’affaire PRODAC lors d’un discours passionné devant une foule de jeunes rassemblés à l’esplanade du Grand Théâtre. Avec une détermination palpable, Sonko a déclaré détenir désormais le fameux rapport sur les activités du PRODAC qui lui avait valu d’être poursuivi en justice par les autorités en place.
Rappelant les tumultes et les obstacles qu’il a dû affronter, Sonko a dénoncé avec véhémence les manœuvres orchestrées pour étouffer le rapport incriminant un ministre. Il a déploré avoir été victime de diverses formes de répression, allant de l’attaque contre sa personne jusqu’à la corruption de magistrats, dans le but de le réduire au silence et d’étouffer la vérité.
Aujourd’hui, fort de sa persévérance et du soutien de ses partisans, Sonko affirme que la lumière sera faite sur toutes les affaires entachées de corruption et de malversations. Il promet de révéler au grand jour tous les rapports occultés et de traduire en justice ceux qui ont manipulé et dissimulé la vérité au détriment du peuple.
À l’heure où la transparence et la lutte contre la corruption sont au cœur des préoccupations citoyennes, Ousmane Sonko se positionne comme un fervent défenseur de la justice et de l’intégrité. Son engagement à rétablir la vérité et à rendre des comptes sur les abus du pouvoir marque un tournant crucial dans le paysage politique sénégalais.
Lors de la conférence politique tenue ce dimanche par la Jeunesse Patriotique du Sénégal (JPS), Ousmane Sonko, Premier Ministre du Sénégal, a dévoilé une échéance pour les mesures visant à atténuer le coût de la vie. Il a promis des actions concrètes dès la semaine prochaine, marquant ainsi un engagement ferme pour soulager les Sénégalais face à cette préoccupation majeure.
Dans un discours chargé d’espoir et de détermination, Sonko a souligné l’urgence d’agir contre la vie chère, tout en critiquant ceux qui jugent le gouvernement trop rapidement. « La semaine prochaine, les gens verront ce que nous avons prévu comme mesures contre la vie chère », a-t-il déclaré, appelant à la patience et à la confiance dans la capacité de son administration à répondre aux besoins du peuple.
L’annonce de Sonko survient alors que le Sénégal fait face à des défis économiques croissants, avec une inflation qui pèse sur les ménages et les rendant vulnérables. Les attentes sont donc élevées pour les actions à venir, qui seront scrutées de près par la population.
En reconnaissant les difficultés actuelles, Sonko a réaffirmé son engagement à améliorer la situation et à œuvrer pour le bien-être de tous les Sénégalais. Il a également encouragé les jeunes à rester mobilisés et à contribuer activement à la construction d’un avenir meilleur pour leur pays.
Cette annonce marque une étape importante dans les efforts du gouvernement pour répondre aux préoccupations économiques de la population, tout en renforçant la confiance dans l’administration actuelle et sa capacité à apporter des changements significatifs.
Ce dimanche 9 juin 2024, lors d’une conférence politique majeure organisée sur l’esplanade du Grand Théâtre, le Premier Ministre du Sénégal, Ousmane Sonko, a demandé une minute de prière en hommage aux martyrs palestiniens.
Cet événement, qui a attiré des milliers de participants venus de tout le pays, a été marqué par un appel poignant à la solidarité internationale envers le peuple palestinien, « victime d’une oppression soutenue par la complicité des grandes puissances mondiales », selon les mots de Sonko.
Devant une audience attentive, Sonko a déclaré : « En tant que citoyens du monde et en tant qu’êtres humains, nous devons nous montrer solidaires de ceux qui souffrent. Aujourd’hui, je vous demande de vous unir à moi pour une minute de prière en hommage à nos frères et sœurs palestiniens qui ont perdu la vie dans leur lutte pour la liberté et la justice. »
Ce geste symbolique a été salué par les participants, soulignant l’importance de la cause palestinienne pour de nombreux Sénégalais. La minute de prière a été un moment de recueillement et de réflexion, mettant en lumière l’engagement du Sénégal en faveur des droits de l’homme et de la justice internationale.
Ousmane Sonko a également profité de l’occasion pour appeler à une action concrète en soutien à la Palestine. « Nous ne devons pas seulement prier, mais aussi agir. Il est de notre devoir de dénoncer l’injustice et de soutenir les efforts pour mettre fin à l’oppression. Le Sénégal doit continuer à jouer un rôle actif dans la promotion de la paix et des droits de l’homme partout dans le monde », a-t-il affirmé.
Cette conférence, initialement axée sur l’implication de la jeunesse dans le projet de changement systémique au Sénégal, a ainsi pris une dimension internationale avec cet appel à la solidarité. En demandant une minute de prière pour les martyrs palestiniens, Ousmane Sonko a rappelé l’importance de la compassion et de la solidarité dans la lutte contre l’injustice, quelle que soit la distance géographique.
Le Premier ministre et président du parti PASTEF, Ousmane Sonko, a réitéré ses mises en garde contre ce qu’il qualifie d’impunité dans le secteur de la presse lors d’une récente intervention publique à Dakar. En réagissant à l’affaire du général Kandé muté à New Delhi, Sonko a mis en garde les médias qui l’ont cité dans cette affaire, les exhortant à fournir des preuves de leurs allégations.
Sonko a déclaré : « S’ils osent ou s’ils ont l’audace, qu’ils écrivent ce qu’ils avaient écrit. » Cette déclaration intervient alors que des médias ont rapporté que le général Kandé avait été sanctionné par Sonko pour avoir prétendument combattu la rébellion.
Le chef du PASTEF a également appelé à la fin de ce qu’il considère comme l’impunité dans le secteur de la presse, invitant les journalistes à se conformer à l’article 13 du Code de la presse qui exige des preuves vérifiables. Il a critiqué le manque de transparence dans le traitement de telles affaires, dénonçant le recours à des sources peu fiables et anonymes.
« C’est fini ces agissements », a déclaré Sonko, soulignant la nécessité d’une presse responsable et éthique. Ses remarques reflètent une demande croissante de transparence et de responsabilité dans le journalisme sénégalais, ainsi qu’une volonté de mettre fin à la diffusion de fausses informations sans fondement solide
Lors d’une conférence politique organisée par la Jeunesse Patriotique du Sénégal (JPS) sur l’esplanade du Grand Théâtre ce dimanche 9 juin 2024, le Premier ministre Ousmane Sonko a créé la surprise en louant les qualités du président actuel, Bassirou Diomaye Faye.
Devant des milliers de participants venus de tout le pays ainsi que de pays voisins et d’autres nations, Sonko a déclaré : « Il est préférable que Diomaye Faye soit président plutôt que Sonko ne le soit. » Cette déclaration a non seulement capté l’attention de l’auditoire, mais a aussi suscité de nombreuses réactions.
Sonko a souligné l’importance de l’unité et de la collaboration pour le bien-être du pays. « Nous devons mettre de côté nos ambitions personnelles pour le bénéfice de notre nation. Diomaye Faye a démontré une capacité remarquable à diriger avec intégrité et vision, et c’est ce dont le Sénégal a besoin en ce moment », a-t-il ajouté.
Le Premier ministre a insisté sur le fait que la priorité devait être donnée à l’intérêt collectif plutôt qu’aux ambitions personnelles. « La jeunesse, en particulier, doit comprendre que le leadership est avant tout un service envers les autres. En soutenant Bassirou Diomaye Faye, nous soutenons une vision commune pour un Sénégal prospère et uni », a-t-il affirmé.
Cette prise de position de Sonko, lors de cet événement majeur de la jeunesse de la mouvance présidentielle, montre sa volonté de promouvoir une culture politique basée sur la coopération et le respect mutuel. La conférence, qui avait pour but de discuter de l’implication des jeunes dans le projet de changement systémique, a ainsi pris une dimension plus large avec cet appel à l’unité et à la solidarité.
La déclaration d’Ousmane Sonko en faveur de Bassirou Diomaye Faye a été bien accueillie par le public présent, renforçant l’idée que la politique doit être un moyen de servir le peuple et non un outil de division.
Le 9 juin 2024, la jeunesse patriotique du Sénégal s’est rassemblée pour une conférence organisée par Pastef – Les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité. L’événement visait à discuter de l’implication des jeunes dans le projet de changement systémique du parti.
En attendant l’intervention du président de Pastef, Ousmane Sonko, qui doit s’exprimer sur « l’apport de la jeunesse dans le projet », c’est Ngagne Demba Touré, président de la Jeunesse Patriotique du Sénégal (JPS), qui a pris la parole.
« C’est un grand rendez-vous auquel nous assistons ce dimanche. Quelle est la contribution des jeunes dans le projet de Pastef ? Ces jeunes de la JPS, depuis 2017, ont commencé à montrer le chemin vers la victoire. En mars 2021, Ousmane Sonko avait soutenu que le lien avec la jeunesse doit être maintenu et à vue. Ce lien particulier a deux volets : des droits et des obligations », a déclaré Ngagne Demba Touré, soulignant l’importance de la jeunesse dans le mouvement.
Il a insisté sur la nécessité d’un changement systémique et définitif : « Nous avons besoin d’une jeunesse formée, instruite et qui peut, en conséquence, servir son pays. Toutefois, il nous faut accomplir notre devoir et protéger ce projet que le président Ousmane Sonko nous a proposé. »
Ngagne Demba Touré a conclu en affirmant l’engagement continu de la jeunesse à soutenir le parti : « Cette force populaire continuera à accompagner ce régime jusqu’à l’atteinte des objectifs. »
Cette conférence a réaffirmé l’importance de la jeunesse dans le projet de Pastef et a renforcé la détermination des jeunes à protéger et à promouvoir les idéaux du parti.
Lors de la conférence politique organisée ce dimanche par la Jeunesse Patriotique du Sénégal (JPS), le Premier ministre Ousmane Sonko a vivement critiqué la gestion fiscale dans le secteur de la presse sénégalaise. S’exprimant devant une foule attentive, il a accusé certains médias de détourner des fonds publics, appelant à une plus grande transparence et responsabilité.
Le Premier ministre a pointé du doigt une pratique qu’il considère comme frauduleuse et répandue dans le secteur. « Chaque jour, tu mets à la une dans tes médias qu’untel a détourné, qu’un autre a volé ou qu’on a épinglé une autre personne. À chaque fin du mois, ils déduisent des salaires un montant pour les mettre dans les caisses de l’État. Et cet argent des impôts, ils le mettent dans leur poche. Ça, c’est des détournements de deniers publics », a-t-il affirmé sous un torrent d’acclamations.
Ousmane Sonko a insisté sur la nécessité de punir ces actes, rappelant les dispositions du Code général des impôts qui prévoient des sanctions sévères pour de tels manquements. « Le Code général des impôts dit que l’on doit les poursuivre pénalement », a-t-il ajouté, soulignant que la loi doit s’appliquer sans distinction ni favoritisme.
Au-delà des accusations de détournement, le Premier ministre a dénoncé une culture de l’impunité au sein de certains médias. « Il y a des moins que rien qui assument leur vol et veulent que personne ne parle et qu’on leur pardonne tout. Ça doit cesser ! » a-t-il martelé.
Cette prise de position ferme du Premier ministre reflète son engagement pour la transparence et la justice fiscale au Sénégal. Son discours a résonné auprès des jeunes patriotes présents, renforçant leur détermination à soutenir les réformes proposées par leur leader.
Le Sénégal a remporté une victoire cruciale contre la Mauritanie avec un score de 1-0 grâce à un but de Diallo à la 27ème minute. Ce succès permet aux Lions de reprendre provisoirement la tête du groupe B, renforçant ainsi leurs chances de qualification. Une performance solide qui démontre la détermination et le talent de l’équipe sénégalaise.
Le Sénégal a pris l’avantage sur la Mauritanie lors de la première mi-temps de leur match à Nouakchott, menant 1-0 à la pause.
C’est Habib Diallo qui a marqué l’unique but jusqu’à présent, trouvant le fond des filets à la 27e minute de jeu.
Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la quatrième journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 pour la poule B.
Les Lions du Sénégal, sous la direction de leur sélectionneur Aliou Cissé, ont montré une bonne performance en première mi-temps et espèrent conserver leur avance pour remporter ce match crucial.
Les supporters sénégalais attendent avec impatience la seconde mi-temps, espérant voir leur équipe continuer sur cette lancée et sécuriser une victoire importante.
Ce dimanche 9 juin, la Jeunesse Patriotique du Sénégal (JPS) s’est réunie au Grand Théâtre de Dakar pour une conférence politique sous le thème « Apport de la jeunesse dans le projet ». Le conférencier, Ousmane Sonko, Premier ministre du Sénégal, devait intervenir à 16 heures. Cependant, l’événement a été décalé pour permettre aux participants de suivre le match de football des Lions du Sénégal.
Les Lions disputaient leur quatrième match des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 contre la Mauritanie à la même heure. Pour satisfaire les nombreux supporters présents, les organisateurs ont installé deux écrans géants près du podium, transformant l’esplanade du Grand Théâtre en une véritable fanzone.
La mobilisation de la jeunesse a été impressionnante. Les jeunes, majoritairement vêtus d’écharpes aux couleurs du Sénégal, ont créé une ambiance festive en attendant le début de la conférence. Les chants et les encouragements pour l’équipe nationale résonnaient à travers la foule, créant une atmosphère de soutien et d’enthousiasme.
Les activités commerciales autour de l’événement ont également prospéré. Les marchands ambulants ont proposé une variété d’articles liés au PASTEF et à Ousmane Sonko, tels que des photos, t-shirts, écharpes et bracelets. Ces produits se sont vendus rapidement, démontrant l’engouement des participants pour la conférence et le soutien à leur équipe nationale.
Finalement, après la fin du match, la conférence a débuté avec un public déjà captivé et prêt à écouter les idées du Premier ministre sur l’engagement de la jeunesse dans le développement du Sénégal. Cette combinaison unique de sport et de politique a non seulement permis aux participants de profiter de leur passion pour le football, mais aussi de s’engager activement dans des discussions politiques cruciales pour l’avenir du pays.
Lors de l’inauguration du centre commercial Lekku-fi Ndiouga Kébé à Touba, le porte-parole du khalife général des mourides, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr, a lancé un appel pressant aux citoyens pour s’acquitter de leurs impôts. S’exprimant devant le ministre de l’Industrie et du Commerce, Serigne Guèye Diop, il a souligné l’importance cruciale du paiement des impôts pour le fonctionnement normal de l’État.
« Les responsables des camions benne m’ont rendu visite vendredi dernier pour se plaindre de la cherté des taxes municipales. Mais ils se sont engagés à s’acquitter du paiement pour exécuter la recommandation du khalife. Je leur ai expliqué la différence entre l’impôt et le hadya », a déclaré Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr.
Il a insisté sur le fait que le paiement des impôts est une obligation pour tout citoyen, soulignant que sans cela, l’État ne peut pas fonctionner normalement. Il a également rappelé l’importance pour les habitants de Touba de payer leurs taxes municipales pour contribuer au développement de leur nation.
La présence notable du gouverneur de Diourbel, Ibrahima Fall, du préfet de Mbacké et d’autres autorités lors de cet événement témoigne de l’importance accordée à cet appel.
Dans un discours prononcé lors de la même cérémonie, le ministre de l’Industrie et du Commerce, Serigne Guèye Diop, a annoncé l’implantation de huit zones industrielles au Sénégal. Il a également révélé que le gouvernement mettra en place un fonds pour l’industrie et un fonds pour le commerce, tout en promettant une attention particulière aux huiliers de Touba. Il a souligné que toutes les usines fermées dans le pays seront rouvertes, commençant par les huiliers de Touba, qui jouent un rôle crucial dans la transformation de l’arachide et la production d’aliments pour le bétail.
Lors de son récent passage à l’émission « Grand Jury » sur la RFM, le député de Pastef, Ayib Daffé, a offert des éclaircissements cruciaux sur le projet de politique nationale en cours de développement par le gouvernement sénégalais. Cette intervention a mis en lumière l’importance de cette initiative dans le paysage politique et économique actuel du Sénégal.
Le projet, initialement présenté aux Sénégalais peu avant l’élection présidentielle par le ministre actuel de l’Environnement, Daouda Ngom, a depuis fait l’objet d’une attention soutenue de la part du gouvernement. Ayib Daffé a souligné l’urgence de remplacer le Plan Sénégal Émergent (PSE) par un nouveau cadre politique et économique, démontrant ainsi une volonté de renouvellement et de progression.
Une comparaison intéressante a été établie par le député entre le processus actuel et celui du régime précédent, soulignant qu’il avait fallu deux ans pour élaborer le projet Sénégal Émergent. Cette réflexion met en évidence la rigueur et l’engagement nécessaires pour aboutir à un plan national cohérent et viable.
En ce qui concerne la mise en œuvre du nouveau projet, Ayib Daffé a annoncé un calendrier ambitieux, avec un début prévu dès septembre 2024. Ce projet sera intégré dans le cadre législatif existant, notamment à travers la loi d’orientation relative au système national de planification. Cette démarche garantit une approche structurée et réglementée pour assurer le succès et la durabilité du projet.
Le député a également souligné l’implication active du gouvernement dans l’élaboration d’un plan d’action gouvernemental cohérent avec les objectifs du nouveau projet. Cette synchronisation entre les différentes sphères du gouvernement est essentielle pour garantir une mise en œuvre efficace et harmonieuse.
Enfin, Ayib Daffé a conclu en rappelant l’essence même du projet : une vision pour un Sénégal souverain et prospère. Avec ses cinq axes stratégiques et quinze orientations, ce projet aspire à façonner un avenir meilleur pour tous les citoyens sénégalais, en mettant l’accent sur le développement économique et social du pays.
En résumé, l’intervention du député Ayib Daffé a permis de jeter un éclairage précieux sur le projet de politique nationale du Sénégal, soulignant son importance stratégique et les étapes à venir pour sa mise en œuvre réussie.