Actualités

Le top 10 des joueurs les mieux payés de la MLS : Lionel Messi domine la liste

La Major League Soccer (MLS) est depuis longtemps un aimant pour les stars du football mondial, attirant des joueurs de renom avec des salaires alléchants. Cette année ne fait pas exception, avec la révélation du top 10 des joueurs les mieux rémunérés de la ligue, mettant en lumière des noms emblématiques du football international.

Sans surprise, c’est Lionel Messi qui occupe la première place de ce classement prestigieux. L’Argentin, qui a rejoint l’Inter Miami, perçoit un salaire annuel phénoménal de 20,4 millions de dollars, faisant de lui le joueur le mieux payé de la MLS. Son transfert retentissant vers le championnat nord-américain a été largement médiatisé, renforçant ainsi l’attrait de la MLS pour les grandes stars mondiales.

En deuxième position, nous retrouvons Lorenzo Insigne, du Toronto FC, avec un salaire annuel impressionnant de 15,4 millions de dollars. L’attaquant italien apporte son talent et son expérience à la ligue, confirmant ainsi la volonté des équipes de la MLS de recruter des joueurs de calibre international pour renforcer leur effectif.

Sergio Busquets, ancienne gloire du FC Barcelone, occupe la troisième place du classement, avec des revenus annuels estimés à 8,8 millions de dollars. Son transfert vers la MLS a été salué comme un coup majeur pour le championnat nord-américain, apportant une expertise et une qualité technique inégalées au sein de la ligue.

Xerdan Shaquiri, joueur suisse évoluant pour les Chicago Fire, se classe quatrième avec un salaire annuel de 8,2 millions de dollars, confirmant ainsi la diversité des talents présents dans la MLS. Sebastian Driussi, avec des gains annuels de 6,7 millions de dollars, complète le top 5, démontrant la compétitivité financière croissante de la ligue.

Federico Bernardeschi, Emil Forsberg, Hector Herrera, Hany Mukhtar et Carles Gil complètent respectivement les sixième à dixième places du classement. Leurs salaires annuels témoignent de l’attractivité croissante de la MLS pour les joueurs internationaux de haut niveau, confirmant ainsi la position de la ligue en tant que destination de choix pour les stars du football mondial.

Pourtant, une absence notable dans ce top 10 est celle de Luis Suarez, ancien attaquant du FC Barcelone. Bien que renommé dans le monde du football, Suarez ne perçoit que 1,5 million de dollars par an dans le cadre de son contrat avec la MLS, illustrant ainsi la diversité des facteurs qui influent sur les rémunérations des joueurs dans le paysage du football mondial.

En conclusion, le top 10 des joueurs les mieux payés de la MLS met en lumière la richesse et la diversité du talent présent dans la ligue, tout en soulignant l’attrait croissant de la MLS pour les stars du football mondial.

Lutte : Le CNG salue l’appui décisif de Khady Diène Gaye pour le succès du Drapeau du chef de l’État

Le Comité national de gestion (CNG) de lutte du Sénégal exprime sa satisfaction quant au déroulement réussi du Drapeau du chef de l’État, qui s’est tenu le week-end dernier à Mbour. Dans une déclaration au journal spécialisé Record, Bira Sène, le responsable de l’instance dirigeante de la lutte sénégalaise, a tenu à saluer le soutien indéfectible du ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, Khady Diène Gaye.

« L’État s’était engagé dès le début à nous accompagner. Le ministre Khady Diène Gaye avait pris l’initiative d’organiser un Comité régional de développement à Thiès pour assurer le succès de l’événement. Ce geste est d’une grande importance à nos yeux », a déclaré avec enthousiasme l’ancien président du comité régional de gestion (CRG) de lutte de Kaolack, dans son entretien avec Record.

Bira Sène a ajouté : « Cela démontre l’intérêt qu’elle porte à la lutte. Au-delà de cela, elle a souhaité nous soutenir avec une enveloppe de 50 millions de francs CFA. C’est la première fois que le CNG reçoit un tel montant du ministère des Sports dans le cadre du Drapeau du chef de l’État. »

Cette marque de confiance et de générosité de la part du ministère des Sports a été largement saluée par la communauté de la lutte sénégalaise, démontrant ainsi la volonté des autorités de promouvoir et de soutenir ce sport emblématique au Sénégal.

Le Drapeau du chef de l’État, événement phare de la saison de lutte, a bénéficié d’une attention particulière de la part du gouvernement, sous l’impulsion du ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture. Cette implication directe des autorités témoigne de leur engagement envers la préservation et la promotion de la culture et des traditions sénégalaises, dont la lutte fait partie intégrante.

En plus de l’organisation logistique et financière, le ministère a également contribué à la sensibilisation et à la mobilisation des acteurs et des amateurs de lutte, assurant ainsi le succès de l’événement. L’engagement du ministre Khady Diène Gaye en faveur de la lutte sénégalaise a été unanimement salué, renforçant ainsi les liens entre le gouvernement et la communauté des lutteurs et des passionnés.

Au-delà du Drapeau du chef de l’État, cette collaboration fructueuse entre le CNG et le ministère des Sports ouvre de nouvelles perspectives pour le développement de la lutte au Sénégal. En renforçant les partenariats et en investissant dans l’organisation et la promotion de ce sport national, les autorités s’engagent à soutenir et à valoriser un pan important de l’identité culturelle sénégalaise.

Dans un contexte où la lutte sénégalaise connaît un engouement croissant, cette initiative gouvernementale témoigne d’une vision ambitieuse et progressiste pour l’avenir de ce sport emblématique. En soutenant les initiatives du CNG et en encourageant la participation active des acteurs de la lutte, le gouvernement contribue à renforcer la place de ce sport au sein de la société sénégalaise et à consolider son rayonnement sur la scène internationale.

Juventus : Massimiliano Allegri démis de ses fonctions d’entraîneur

Massimiliano Allegri, l’homme qui a dirigé la Juventus pendant plusieurs saisons, a été brutalement limogé de son poste d’entraîneur, selon plusieurs médias italiens. Cette décision, prise par la direction du club, met fin à une période marquante de l’histoire récente de la Juventus.

Allegri, âgé de 56 ans, a été convoqué cet après-midi pour une réunion avec la direction de la Juventus, où il lui a été annoncé son licenciement avec effet immédiat. Cette décision a pris de court de nombreux observateurs du football et a suscité de vives réactions dans le monde du sport.

Arrivé à la Juventus en 2014, Allegri a laissé une empreinte indélébile sur le club. Sous sa direction, la Juventus a remporté de nombreux trophées, dont plusieurs titres de Serie A et des succès en Coupe d’Italie. Son style de jeu pragmatique et son approche tactique ont été salués par les fans et les experts du football.

Cependant, malgré ses succès, des résultats décevants en Ligue des Champions et une saison en Serie A en deçà des attentes ont peut-être incité la direction de la Juventus à envisager un changement d’entraîneur. Dans le monde exigeant du football professionnel, les résultats sont souvent le critère ultime pour juger la performance d’un entraîneur.

La nouvelle du limogeage d’Allegri a immédiatement déclenché des spéculations sur son successeur potentiel et sur les prochaines étapes de sa carrière. Des noms d’entraîneurs renommés circulent déjà, alimentant les discussions sur l’avenir de la Juventus et sur la direction que prendra le club.

Quoi qu’il en soit, le départ d’Allegri marque la fin d’une ère pour la Juventus. Son héritage restera gravé dans l’histoire du club, mais il ouvre également la porte à de nouvelles opportunités et à de nouveaux défis pour le club et pour l’entraîneur lui-même. Le monde du football attend avec impatience de voir quelle sera la prochaine destination de Massimiliano Allegri et comment la Juventus se relèvera de ce changement majeur dans son encadrement technique.

Roi des Arènes : Aziz Ndiaye remettrait-il en cause le titre de Modou Lô ?

La lutte sénégalaise, sport traditionnel et emblématique du pays de la Teranga, est bien plus qu’un simple affrontement physique. C’est un spectacle haut en couleur, riche en traditions et en enjeux, où les lutteurs se disputent des titres prestigieux et la reconnaissance de toute une nation. Au cœur de ce monde se trouve le titre tant convoité de « Roi des Arènes », symbole ultime de réussite et de suprématie dans l’arène de lutte. Mais récemment, une déclaration du célèbre promoteur Aziz Ndiaye a semé le doute et ravivé les débats passionnés qui entourent ce titre mythique.

Aziz Ndiaye, figure incontournable de la lutte sénégalaise, a jeté un pavé dans la mare en remettant en question la légitimité du titre de Modou Lô en tant que Roi des Arènes. Pour lui, la véritable consécration se jouera lors du combat très attendu entre Balla Gaye 2 et Tapha Tine. Ce duel épique, prévu pour le 21 juillet 2024 et organisé par Al Bourakh Productions, est vu comme le moment décisif où émergera le véritable empereur de la lutte sénégalaise.

Aziz Ndiaye appuie son argumentation sur les performances passées de Balla Gaye 2, en particulier ses victoires sur Modou Lô, considéré actuellement comme le Roi des Arènes. Il cite également l’exemple d’Eumeu Sène, qui a vaincu à deux reprises Bombardier, un précédent détenteur du titre de Roi des Arènes. Pour Aziz Ndiaye, ces précédents illustrent la nature cyclique de la lutte sénégalaise, où de nouveaux champions émergent pour remplacer les anciens.

La déclaration d’Aziz Ndiaye a suscité des réactions diverses parmi les amateurs de lutte. Certains soutiennent son point de vue, voyant en Balla Gaye 2 un prétendant légitime au titre de Roi des Arènes. D’autres, en revanche, critiquent sa décision de ne pas reconnaître Modou Lô comme le champion actuel, arguant que ce dernier mérite pleinement son titre.

De plus, certains se demandent si le Comité national de gestion (CNG) de la lutte, l’organisme régissant le sport de la lutte au Sénégal, acceptera cette remise en cause du statu quo. Une telle décision pourrait avoir des répercussions importantes sur l’avenir de la lutte sénégalaise et sur la manière dont les titres sont décernés et reconnus.

Quel que soit le résultat du combat entre Balla Gaye 2 et Tapha Tine, il est clair que la lutte sénégalaise est en train de vivre une période de transition et de renouveau. Ce combat historique pourrait non seulement déterminer le sort des deux lutteurs, mais aussi redéfinir le paysage actuel de la lutte et influencer la manière dont le titre de Roi des Arènes est perçu et attribué.

Dans tous les cas, le 21 juillet 2024 promet d’être une date mémorable pour tous les passionnés de lutte sénégalaise, alors que le pays attend avec impatience de voir qui sera couronné comme le prochain empereur des arènes.

Promotion des Résultats de la Recherche : L’ANRSA Mise sur la Synergie Entre Acteurs

L’Agence nationale de la recherche scientifique appliquée (ANRSA) renforce son engagement en faveur d’une meilleure synergie entre les différents acteurs pour optimiser l’utilisation des résultats de la recherche scientifique au Sénégal. Moussa Sidibé, l’un des responsables de l’ANRSA, a souligné l’importance de cette collaboration lors d’un atelier à Ziguinchor, visant à partager et consolider les résultats de l’étude “Cartographie des acteurs, des résultats et des besoins en recherche-innovation au Sénégal”.

Objectifs et Enjeux

Le programme WaRRIWA (Valorisation des résultats de la recherche et l’innovation en Afrique de l’Ouest), coordonné par Moussa Sidibé pour l’ANRSA, se concentre sur la création d’un environnement favorable à la valorisation de la recherche, au transfert de technologies, et à l’innovation durable dans quatre pays ouest-africains : le Bénin, le Burkina Faso, le Sénégal et le Togo. Ce projet est soutenu financièrement par le Fonds ACP de l’UE et l’Union européenne, visant à renforcer la recherche et l’innovation en Afrique subsaharienne.

Synergie et Partenariats

L’atelier de Ziguinchor a réuni des professeurs d’université, des élus locaux, des représentants d’entreprises, des organisations de producteurs, et des membres de la société civile. Selon Moussa Sidibé, l’objectif est de mieux informer les acteurs locaux sur l’état de la recherche au Sénégal, les opportunités disponibles, et les besoins prioritaires des bénéficiaires. Stimuler les interactions et le réseautage autour de la recherche est également un objectif clé de cet atelier.

Défis et Perspectives

Les participants ont souligné plusieurs obstacles empêchant la recherche au Sénégal de jouer pleinement son rôle, notamment les problèmes de financement, l’insuffisance des infrastructures techniques de recherche, et les commissions scientifiques limitées. « La recherche se fait de façon très active dans les universités, mais la vulgarisation de cette recherche reste à être retravaillée, » a affirmé le professeur Diène Ngom, vice-recteur chargé de la recherche à l’université Assane Seck de Ziguinchor. Il a également noté que les résultats de la recherche sont souvent inaccessibles au grand public, soulignant l’importance d’initiatives comme cet atelier pour améliorer l’accès à l’information.

L’ANRSA, à travers le projet WaRRIWA, aspire à une meilleure synergie entre les secteurs de la recherche et les entreprises bénéficiaires, espérant ainsi maximiser l’impact des résultats de la recherche scientifique au Sénégal et dans la région ouest-africaine. La cartographie des acteurs et des résultats en recherche-innovation est un premier pas vers une appropriation et une valorisation efficace de la recherche, pour le développement durable et l’innovation dans la sous-région.

Renforcement des liens entre le Sénégal et le Ghana : Le président Diomaye Faye en visite diplomatique à Accra

Le président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, poursuit sa série de rencontres diplomatiques en Afrique avec une visite officielle au Ghana. Cette visite marque une étape significative dans les efforts du Sénégal pour renforcer ses relations avec ses voisins africains et promouvoir la coopération régionale.

Arrivé à Accra après une visite fructueuse au Nigeria, le président Diomaye Faye a été accueilli avec les honneurs à sa descente d’avion par les autorités ghanéennes, témoignant ainsi de l’importance accordée à cette visite bilatérale. Cette réception chaleureuse reflète l’engagement des deux pays à consolider leurs liens historiques et à travailler ensemble pour promouvoir la paix et le développement en Afrique.

Au cours de sa visite, le président sénégalais tiendra des entretiens bilatéraux avec son homologue ghanéen, le président Nana Akufo-Addo. Les discussions porteront sur une gamme de sujets, notamment l’intégration régionale, la coopération économique, et les défis communs auxquels sont confrontés les deux pays. Ces échanges visent à renforcer la collaboration entre le Sénégal et le Ghana dans des domaines clés tels que le commerce, l’investissement, la sécurité et le développement.

La rencontre entre les deux chefs d’État sera suivie d’une conférence de presse conjointe, offrant ainsi l’occasion de partager les résultats de leurs discussions et de souligner l’engagement des deux pays à approfondir leur coopération. Cette transparence dans la communication témoigne de la volonté des dirigeants de rendre compte à leurs citoyens des progrès réalisés dans le renforcement des liens entre le Sénégal et le Ghana.

En plus des discussions officielles, la visite du président Diomaye Faye au Ghana comprendra également des événements culturels et des rencontres avec la communauté sénégalaise vivant dans le pays. Ces moments permettront de célébrer les liens culturels et historiques entre les deux nations et de promouvoir les échanges humains et culturels.

En conclusion, la visite du président sénégalais au Ghana témoigne de l’engagement du Sénégal envers une diplomatie active et une coopération solide avec ses partenaires africains. Elle illustre également la volonté commune des deux pays de travailler ensemble pour un avenir meilleur pour l’Afrique et ses habitants.

« L’homosexualité est tolérée au Sénégal » : Ousmane Sonko immole encore la vérité (Par Moustapha Diakhaté)

Au Sénégal, l’homosexualité n’est pas tolérée. Elle est interdite. C’est un délit.

L’homosexualité est juridiquement punie et pénalement réprimée au Sénégal en tant qu’attentat aux mœurs. Elle y est qualifiée juridiquement d’ « acte impudique ou contre nature avec un individu de son sexe », et punie d’un à cinq ans de prison.

L’homosexualité est punie au Sénégal par l’article 319 du Code pénal, alinéa 3, issu de la loi 66-16 du 12 février 1966 qui dispose : « Sans préjudice des peines plus graves prévues par les alinéas qui précédent ou par les articles 320 et 321 du Code pénal, sera puni d’un emprisonnement d’un à cinq ans et d’une amende de 100 000 à 1 500 000 francs, quiconque aura commis un acte impudique ou contre nature avec un individu de son sexe. Si l’acte a été commis avec un mineur de 21 ans, le maximum de la peine sera toujours prononcé ».

Monsieur Ousmane Sonko doit retirer ses propos mensongers et présenter ses excuses aux étudiants et aux Sénégalais.

Cette déclaration est contraire à ses engagements antérieurs de criminaliser l’homosexualité une fois arrivé au pouvoir.

Comment Monsieur Sonko, Premier ministre du Sénégal, peut-il mentir sur la tolérance de l’homosexualité alors qu’elle est prohibée par le législateur sénégalais et qu’il n’y a guère longtemps le corps d’un présumé homosexuel a été déterré et entièrement brulé à Kaolack par une meute de jeunes fanatiques et barbares ?

Certes Ousmane Sonko était un député incompétent. Il était absentéiste et ne fréquentait guère la bibliothèque de l’Assemblée nationale.
Son absence de culture générale et de culture d’Etat peut-elle justifier d’ignore que le Sénégal a pénalisé l’homosexualité depuis 1966 ?

Contrairement à ses affabulations devant Mélenchon, le Sénégal réprime l’homosexualité. La loi y prévoit des sanctions. Les juges ont souvent prononcé des condamnations pénales et pécuniaires.

Dans notre pays, les relations homosexuelles sont passibles d’emprisonnement.

Le code pénal sénégalais considère explicitement les relations entre adultes de même sexe comme des délits.

L’homosexualité est punie par la loi, les personnes homosexuelles ou soupçonnées de l’être vivent dans la peur d’être arrêtées, condamnées ou lynchées.

Dans ces conditions, parler de tolérance de l’homosexualité est un gros mensonge. Mais il faut reconnaître que Sonko n’a jamais eu la moindre gêne de mentir en public ou face caméra. C’est même dans son ADN politique.

Le pire est que la déclaration de Sonko sur la gestion de l’homosexualité jure d’avec ses engagements antérieurs sur la question. 
Le 12 mars 2022, il promettait de durcir les sanctions contre l’homosexualité dans un retentissant tweet dont le contenu était le suivant : « Si je suis élu président du Sénégal, la loi criminalisant l’homosexualité sera l’une des premières que je ferai voter ». À l’époque il évoquait la religion et son souci « de préservation de notre humanité », pour justifier sa position anti homosexualité ».

Sur l’homosexualité au Sénégal, Sonko a menti et trahi sa promesse de criminalisation.

Sur la question de l’homosexualité, Ousmane Sonko a fait preuve d’une grande lâcheté devant Jean Luc Mélenchon lorsqu’il affirme, toute honte bue, que le phénomène est toléré au Sénégal. Il a trahi sa base fanatique et ses soutiens issus pour beaucoup des milieux extrémistes et des associations religieuses, qui avaient fait de la manipulation sur le sujet une arme contre le régime précédent.

Le discours de Sonko rappelle son recours systématique au double langage pour toujours dire ce qui plaît à son interlocuteur du moment. Et ce contrairement à Jean-Luc Mélenchon qui a fait preuve de plus d’honnêteté, de courage et de cohérence. Ce dernier est resté constant et conséquent avec la ligne de son parti La France insoumise. Ce qui est aux antipodes des reniements répétitifs du chef de Pastef et du gouvernement sénégalais.

Pour terminer, je voudrais condamner l’attitude opportuniste du Recteur de l’Université Cheikh Anta Diop.

Le Professeur Ahmadou Aly Mbaye a violé la décision du Conseil académique portant suspension de toutes les activités politiques dans le campus universitaire. Cette suspension n’est pas encore levée. Par conséquent, le Recteur ne devrait pas autoriser cette rencontre qui n’a aucun caractère officiel et scientifique encore moins y prendre part.

Il s’y ajoute que le Pastef est une association privée. Il peut recevoir Jean Luc Mélenchon et organiser une rencontre entre lui et ses militants où il veut sauf à l’Ucad aussi longtemps que reste en vigueur la décision du Conseil académique.

Vive le Sénégal !

Vive la République !

Dakar, le 17 mai 2024

Moustapha Diakhaté

Tiarra Sarr nommée maire intérimaire de Mérina Dakhar en remplacement d’Aymérou Gningue

La conseillère municipale Tiarra Sarr a été élue maire provisoire de la commune de Mérina Dakhar, suite à la démission d’Aymérou Gningue, selon les autorités administratives locales.

La nomination de Tiarra Sarr fait suite à l’acceptation de la démission d’Aymérou Gningue, précédemment en poste en tant que maire de Mérina Dakhar. Conformément aux dispositions du Code général des collectivités locales, Tiarra Sarr a été désignée comme maire intérimaire de la commune.

Dans un communiqué émis par le sous-préfet de l’arrondissement, il est indiqué que Tiarra Sarr assumera la fonction de maire provisoire de Mérina Dakhar. Cette nomination intervient suite à la décision de démission d’Aymérou Gningue, qui a quitté son poste pour des « convenances personnelles ».

Aymérou Gningue, par ailleurs président du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar (BBY) à l’Assemblée nationale, a choisi de démissionner de son mandat de maire, ouvrant ainsi la voie à une transition de leadership au sein de la municipalité.

La nomination de Tiarra Sarr comme maire provisoire témoigne de la volonté des autorités locales de maintenir la continuité administrative et de garantir une gestion efficace des affaires municipales dans la commune de Mérina Dakhar.

Déclaration du ministère de l’Industrie et du Commerce : Pas d’appel à candidatures pour des financements

Le ministère de l’Industrie et du Commerce a démenti la publication récente d’un appel à financement destiné aux petites et moyennes entreprises (PME) dans un communiqué diffusé ce vendredi 17 mai. Selon ce communiqué, aucune opération de financement d’entreprises n’a été lancée, contrairement à ce qui a été annoncé dans un appel daté du 21 avril 2024.

Le ministère a tenu à clarifier la situation, invitant les internautes à ne pas donner suite à cette annonce et à ne pas prendre en considération l’appel à candidatures pour des financements publié précédemment.

Cette déclaration vient dissiper toute confusion potentielle et clarifier la position officielle du ministère sur la question des financements destinés aux PME. Elle met en garde contre toute tentative de réponse à cet appel à candidatures qui pourrait être frauduleux ou trompeur.

Les autorités rappellent l’importance de vérifier la véracité des informations avant de répondre à de telles annonces, afin de protéger les entrepreneurs et les entreprises contre d’éventuelles arnaques ou fraudes.

Cette clarification témoigne de la vigilance du ministère de l’Industrie et du Commerce pour garantir la transparence et l’intégrité dans le processus de financement des entreprises, et pour éviter toute confusion ou malentendu parmi les bénéficiaires potentiels.

Vers une équité agricole : Le ministre de l’Agriculture octroie des quotas spécifiques aux femmes

Une nouvelle ère s’ouvre pour les femmes exploitantes de la terre au Sénégal, avec l’annonce du ministre de l’Agriculture, Mabouba Diagne, visant à favoriser leur autonomisation dans le secteur agricole.

Dans une lettre adressée à ses services et aux coordonnateurs de projets et programmes, le ministre a donné des directives claires pour la mise en œuvre de la circulaire 0989, visant à réduire les inégalités de genre dans les activités agricoles. Cette circulaire vise à garantir aux femmes un accès équitable aux intrants agricoles essentiels.

Désormais, les femmes bénéficieront d’un quota minimum de 15 % pour les nouveaux aménagements à partir des eaux de surface, 20 % pour les aménagements à partir des eaux souterraines, 20 % pour les semences d’arachide, 20 % pour les semences de riz, 15 % pour les tracteurs, 20 % pour le matériel de culture attelée et 40 % du financement global alloué au secteur agricole.

Cette mesure intervient à un moment crucial, alors que des études révèlent que seulement 11 % des femmes ont accès à la terre au Sénégal, selon les résultats de la campagne « Stand for her Land » menée par la Cicodev Afrique.

L’initiative du ministre Diagne vise à combler cette lacune historique et à créer des opportunités équitables pour les femmes dans le secteur agricole, reconnaissant ainsi leur rôle crucial dans la sécurité alimentaire et le développement rural. En donnant accès aux femmes à une part équitable des ressources agricoles, le gouvernement espère stimuler la productivité agricole tout en promouvant l’autonomisation économique des femmes rurales.

Visite de Mélenchon à Dakar : Mamoudou Ibra Kane critique les interventions françaises en Afrique

La visite de Jean-Luc Mélenchon, député de La France insoumise, à Dakar a suscité des réactions, notamment de la part du journaliste et homme politique sénégalais Mamoudou Ibrahim Kane. Ce dernier a exprimé ses opinions sur le discours de Mélenchon lors d’une intervention à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, en marge de sa visite au Sénégal sur invitation du président du Pastef Ousmane Sonko.

Dans un tweet, Kane a remis en question la pertinence de l’intervention française en Afrique, rappelant les précédentes visites de dirigeants français au Sénégal, notamment de Charles de Gaulle et François Hollande. Il s’interroge sur la réelle rupture dans la relation franco-sénégalaise, soulignant l’apparente continuité dans le discours et les attentes de la France à l’égard de l’Afrique.

Kane a critiqué le discours de Mélenchon, affirmant que ce dernier n’était pas venu remettre en cause les propos controversés de Jacques Chirac sur « l’homme africain ». Au contraire, selon Kane, Mélenchon aurait plutôt mis en avant ses réalisations politiques en France, notamment en matière de législation sur le mariage homosexuel. Cette focalisation sur des sujets internes à la France aurait été mal accueillie par une partie de l’auditoire, comme en témoignent les huées envers le recteur de l’université.

Le commentaire de Kane met en lumière les frustrations persistantes face aux interventions françaises en Afrique, perçues comme paternalistes et condescendantes. Il souligne également une volonté de la part des Africains de s’affirmer et de définir leur propre identité, sans l’ingérence de puissances étrangères.

Enfin, Kane interpelle sur la nécessité pour les pays africains de se réapproprier leur propre narration et de ne pas se laisser dicter leur destin par des acteurs extérieurs.

Le ministre de l’Urbanisme évalue les défis écologiques à la décharge de Mbeubeuss

Le ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement du territoire, Moussa Balla Fofana, s’est rendu ce vendredi 17 mai 2024 à la décharge de Mbeubeuss, dans le département de Keur Massar, afin d’évaluer la situation sur le terrain et d’identifier les défis liés à la gestion des déchets dans cette zone cruciale.

La visite a mis en lumière les conditions précaires dans lesquelles travaillent quotidiennement plus de 3000 récupérateurs dans cette décharge, qui reste une exploitation traditionnelle. Malgré les financements importants alloués par le projet de promotion de la gestion intégrée et de l’économie des déchets solides (PROMOGED), soit 206 milliards de F CFA, seulement 12% des fonds ont été utilisés sur une période de trois ans, selon les constatations du ministre. Cette sous-utilisation soulève des interrogations sur l’urgence écologique de la situation.

La décharge de Mbeubeuss constitue une menace écologique majeure, avec des conséquences environnementales et sanitaires graves pour les riverains. Le ministre Fofana a souligné l’impératif de mettre en place des solutions techniques et mécaniques pour traiter et valoriser les déchets de manière sécuritaire, afin de réduire l’impact sur l’environnement.

Dans le cadre des mesures immédiates, le gouvernement a décidé d’interdire la présence des enfants sur le site de la décharge, une mesure visant à protéger leur santé et leur sécurité.

Des discussions avec les partenaires techniques sont prévues pour poursuivre la collaboration malgré les défis actuels. Le ministre Fofana a également annoncé la mise en place de mesures strictes visant à améliorer les conditions de travail sur le site, en réponse aux doléances exprimées par les récupérateurs lors de sa visite.

Cette initiative est perçue comme le début d’une nouvelle ère dans la gestion des déchets à Mbeubeuss, avec l’espoir que des actions concrètes seront rapidement mises en œuvre pour atténuer les effets néfastes de cette décharge sur l’environnement et la santé publique.

Un mécanicien cambriole pour financer son voyage aux États-Unis, arrêté par la police de Diamaguène Sicap-Mbao

Un mécanicien de 29 ans, identifié comme M. M., a été appréhendé par la police de Diamaguène Sicap-Mbao alors qu’il tentait de réaliser son rêve d’émigrer aux États-Unis en commettant des cambriolages pour financer son voyage. Accompagné de son complice N. D. et de trois receleurs, il a été arrêté pour une série de délits graves.

L’arrestation fait suite à une plainte déposée concernant le cambriolage d’un magasin où une importante quantité de téléphones portables et d’airpods, d’une valeur de 1 300 000 F CFA, ont été dérobés. Les enquêteurs ont découvert que la porte d’entrée du magasin avait été forcée et ont constaté l’absence de caméras de surveillance fonctionnelles.

Grâce à l’exploitation des données téléphoniques des appels effectués par les voleurs, la police a pu identifier cinq suspects, dont M. M., décrit comme le cerveau de l’opération. Lors de son arrestation, deux téléphones portables ont été retrouvés en sa possession, ainsi que sur l’un des receleurs.

Lors des interrogatoires, M. M. a avoué être l’auteur du cambriolage. Il a expliqué avoir emporté un sac contenant des téléphones portables et des airpods, qu’il a ensuite vendus sur le marché avec l’aide de ses complices. Les recettes de la vente, soit 600 000 F CFA, auraient été confiées à un individu présenté comme un gendarme, sans plus de détails, pour financer son voyage aux États-Unis.

M. M. et ses complices ont été déférés au parquet à la suite de l’enquête menée par les autorités. Cette affaire souligne les efforts des forces de l’ordre pour lutter contre la criminalité et met en lumière les défis auxquels sont confrontés ceux qui cherchent à émigrer illégalement en recourant à des activités criminelles pour financer leur projet.

Scandale financier dans le secteur des paris en ligne : Révélations sur des détournements présumés et des liens suspects avec la Russie

Une affaire secoue le monde des paris en ligne au Sénégal alors qu’un homme d’affaires réclame 400 millions de francs CFA au directeur général de 1XBET pour des accusations de détournements de fonds et de connexions suspectes avec la Russie.

Les détails de cette affaire, basés sur une série de documents confidentiels obtenus par Seneweb, révèlent un différend financier entre Abdoulaye Loum, directeur général de Creative Agency, et Mouhamad Dieng, directeur général de 1XBET Sénégal. Une plainte pour abus de confiance, déposée en juillet 2023 à la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane, accuse Dieng de diverses malversations financières.

Selon les documents consultés, Creative Agency avait été mandatée par 1XBET pour installer 45 boutiques de paris à travers le Sénégal. Cependant, seulement dix-sept de ces boutiques ont été livrées dans les délais prévus. Le projet a ensuite connu des obstacles, notamment des problèmes de trésorerie que Loum attribue à des demandes de décaissements répétées de la part de Dieng, dont l’utilisation demeure obscure.

Des montants considérables, totalisant 499 millions 750 mille francs CFA, ont été décaissés pour le compte de Dieng, distribués entre lui-même, son frère, son chauffeur et même le frère de Loum, sans que la destination de ces fonds soit clairement établie.

La situation a abouti à la suspension officielle du projet par Loum, suite au refus de Dieng de décaisser des fonds supplémentaires pour le projet. Une escalade judiciaire s’en est suivie, avec l’arrestation de Loum à la suite d’une plainte déposée par Dieng.

Cependant, cette affaire prend une tournure encore plus sombre avec des allégations d’enrichissement illicite, de connexions suspectes avec des hommes d’affaires russes et même de fraude fiscale, selon des sources proches du dossier.

Alors que l’enquête se poursuit, cette affaire met en lumière les risques de corruption et de malversations dans le secteur des jeux en ligne, tout en soulevant des questions sur la transparence et l’éthique des entreprises opérant dans ce domaine.

Arrestation de deux suspects pour vol nocturne à Bel-Air

Deux individus, un Ivoirien nommé D. Nkrumah et un Guinéen identifié comme M. A. Ba, ont été appréhendés par la police de Bel-Air pour leur implication présumée dans un vol commis la nuit, avec usage de moyens roulants, ainsi que pour association de malfaiteurs.

Selon les informations obtenues auprès des autorités par Seneweb, les deux voleurs auraient pénétré dans les locaux d’une entreprise spécialisée dans le transport, la manutention et le stockage de conteneurs. Leur objectif était de dérober des batteries de camions, une activité criminelle qui aurait été interrompue par les vigiles alors qu’ils étaient en plein délit.

Les suspects ont été appréhendés sur le lieu du crime et ont été remis aux autorités policières de Bel-Air pour être placés en garde à vue.

Cet incident met en lumière les défis persistants auxquels sont confrontées les entreprises en matière de sécurité, en particulier celles opérant dans des secteurs sensibles tels que le transport et la logistique. Il souligne également l’importance de la vigilance des équipes de sécurité et de la coopération avec les forces de l’ordre pour prévenir et combattre les activités criminelles.

Les autorités locales ont salué l’action rapide des vigiles et de la police de Bel-Air dans cette affaire, démontrant ainsi leur engagement à maintenir la sécurité et l’ordre public dans la région. Les deux suspects devront répondre de leurs actes devant la justice, conformément à la loi en vigueur.

Accusations de complot dans l’affaire Abdoulaye Seck : Tensions politiques au Sénégal

Des allégations de complot surgissent après l’arrestation de huit individus, y compris le fils de l’ancien Premier ministre Abdoulaye Seck, dans le cadre d’une enquête sur un réseau international de trafic de drogue et de blanchiment d’argent menée par l’Office central de répression du trafic illicite de stupéfiants (OCRTIS).

Aly Nguer Faye, membre du Secrétariat national de la jeunesse de Rewmi, la formation politique dirigée par Idrissa Seck, a publiquement exprimé des doutes quant à la véracité de l’enquête, accusant le gouvernement actuel de manipuler les faits pour nuire à Seck et à sa famille.

Dans une déclaration relayée par Libération, Faye a dénoncé ce qu’il considère être une série de manipulations et de mensonges entourant l’affaire, affirmant qu’elle fait partie d’une stratégie orchestrée par le gouvernement pour discréditer l’opposition. Il a également fait référence à d’autres incidents, notamment le dossier foncier de Mbour 4, qu’il qualifie de manœuvres politiques visant à affaiblir Seck.

Faye remet en question les circonstances de l’arrestation du fils de l’ancien Premier ministre, contestant le lieu et les conditions de son interpellation. Il souligne également le fait que le nom de Seck soit apparu dans les communications d’un autre suspect sans que ce dernier ne fasse l’objet d’une attention médiatique comparable, ce qu’il interprète comme une tentative délibérée de cibler la famille Seck.

Ces déclarations mettent en lumière les tensions politiques persistantes au Sénégal, où les accusations de complot et les conflits entre le gouvernement et l’opposition ne sont pas rares. L’affaire Abdoulaye Seck risque donc de raviver ces divisions déjà profondes au sein de la société sénégalaise.

Alors que l’enquête suit son cours, il est clair que cette affaire soulève des questions cruciales sur l’indépendance de la justice, la transparence du processus judiciaire et la responsabilité politique au Sénégal.

Attouchements sexuels sur une fillette de 6 ans : Les aveux de D. Koné

La brigade des mœurs de la Sûreté urbaine de Dakar a déféré, hier jeudi, le Malien D. Koné pour attouchements sexuels et tentative de viol sur une fillette de 6 ans à Ouagou Niayes. Seneweb revient sur les détails de l’enquête.

Un scandale sexuel suscite l’émoi et l’indignation à Ouagou Niayes où une fillette âgée de 6 ans a été victime d’attouchements sexuels. Et n’eût été l’intervention de son oncle, elle aurait sans doute été violée. Ce dernier a surpris dans son salon le garçon de ménage D. Koné, de nationalité malienne, sur sa nièce en train de caresser ses parties intimes. Le bonhomme, âgé de 19 ans, avait sa main sur la bouche de la fillette pour l’empêcher de crier.
Le père de la fille M. S. B. a porté l’affaire devant la justice et a retracé sa version des faits aux enquêteurs de la brigade des mœurs qui ont arrêté le suspect.

Les aveux de D. Koné sur PV
Interrogé sur procès-verbal, D. Koné, recruté en qualité de garçon de ménage par la grand-mère de la victime, est passé à table. Mais il a eu toutes les peines du monde pour expliquer les raisons de son acte. « J’avais l’intention d’entretenir des rapports sexuels avec elle, n’eût été l’irruption de son oncle dans le salon. Mais je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête pour commettre un tel acte », selon des sources de Seneweb proches du parquet.
Au terme de l’enquête, D. Koné a été déféré hier jeudi au parquet pour attouchements sexuels et tentative de viol commis sur une fille mineure âgée de 6 ans.

Oncle de Birame Soulèye Diop égorgé à Thiès : Les meurtriers avouent et retracent le film du drame…

Trois individus présumés responsables du meurtre brutal de l’oncle de Birame Soulèye Diop ont été appréhendés par les forces de l’ordre à Thiès. Les faits remontent à la nuit du vendredi 26 au samedi 27 janvier 2024, lorsque le vigile Assane Diop a été roué de coups puis égorgé au marché Ngelaw de Thiès. L’enquête menée par les autorités a conduit à l’identification et à l’arrestation des trois suspects, nommément A. D., A. G. et O. N.

Selon des sources rapportées par Seneweb, les suspects ont avoué leur crime lors d’interrogatoires menés par les enquêteurs. Leurs aveux ont permis de reconstituer les circonstances du drame. Le vigile Assane Diop aurait surpris les trois voleurs en train de cambrioler, déclenchant ainsi leur attaque. Les malfaiteurs ont avoué avoir torturé et égorgé la victime après l’avoir immobilisée.

L’enquête a révélé que les trois suspects sont impliqués dans plusieurs autres actes de violence commis à Thiès. Ils sont actuellement en garde à vue pour association de malfaiteurs et assassinat avec acte de barbarie. Ils devraient être déférés devant le parquet dans les prochains jours.

Ce jeudi, les autorités ont organisé une reconstitution des faits sur les lieux du crime en présence du commissaire Malick Kane, chef de la Sûreté urbaine de Thiès, ainsi que des enquêteurs et du procureur intérimaire près le tribunal de grande instance. La foule présente a exprimé son indignation en scandant des slogans demandant justice pour la victime.

Les images de cette reconstitution seront versées au dossier judiciaire afin d’étayer l’accusation contre les suspects. Cette affaire souligne une fois de plus la nécessité de lutter contre la violence et le crime organisé dans la région de Thiès, et met en lumière les efforts des autorités pour traduire en justice les responsables de ces actes odieux.

Ouverture de la quatrième édition du salon numérique « Baol digital show » à Diourbel

La quatrième édition du salon numérique « Baol digital show » a débuté jeudi sur le thème « Le numérique, une solution pour éradiquer le chômage des jeunes au Sénégal ». Cet événement, qui se tient à Diourbel, vise à former les jeunes de la région aux métiers du numérique et à explorer les opportunités qu’offre le secteur pour l’emploi des jeunes.

L’ingénieur du salon, Ismaila Fall, a expliqué que cette édition prévoit la formation de 500 jeunes pendant quatre jours aux métiers du marketing digital, de community manager et du multimédia. L’objectif principal est de permettre aux jeunes et aux entrepreneurs de la région de Diourbel de tirer profit du numérique pour développer leurs activités commerciales et exploiter le potentiel des médias sociaux.

Pour M. Fall, le numérique représente une opportunité majeure pour absorber une partie du chômage des jeunes en offrant des perspectives d’emploi dans des secteurs en pleine croissance.

La cérémonie d’ouverture du salon a été présidée par le directeur général de la jeunesse au ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, Alassane Diallo. Ce dernier a salué l’initiative d’organiser un salon numérique dans la région de Diourbel, soulignant son importance pour permettre aux jeunes de bénéficier des avantages offerts par le numérique.

Il a également souligné le rôle crucial de ce type de rencontre dans la sensibilisation des jeunes à une utilisation responsable des réseaux sociaux, tout en mettant en lumière les nombreuses opportunités offertes par le secteur numérique.

En résumé, le « Baol digital show » s’impose comme un rendez-vous incontournable pour les jeunes de Diourbel, offrant des opportunités de formation et d’emploi dans un secteur en plein essor, tout en encourageant une utilisation responsable et productive des nouvelles technologies.

Saint-Louis : des milliers de fidèles attendus au 70ème Gamou de Serigne Babacar Sy

Ce samedi, la ville de Saint-Louis s’apprête à accueillir des milliers de disciples de la confrérie tidiane pour célébrer le 70ème Gamou de Serigne Babacar Sy. Cet événement religieux, instauré en 1954 par le parrain lui-même, est devenu un rendez-vous annuel majeur pour les fidèles de la région.

À ses débuts, le Gamou était organisé chaque année dans la « vieille ville » de Saint-Louis, au Camp-Nord (Stade Abdoulaye Diagne), le jour de la Pentecôte. Les fidèles venaient en masse, principalement par train, sur recommandation du guide religieux qui considérait que c’était le moyen de transport le plus confortable pour un tel déplacement.

Au fil des ans, cet événement est devenu un pilier de la fédération des dahiras de Saint-Louis, réunissant des fidèles de toutes les contrées du pays. Son organisation rigoureuse et méthodique, inspirée de Tivaouane, a permis à Serigne Babacar Sy de présider aux destinées de la fédération et de gérer efficacement ces activités religieuses.

Depuis la migration de l’événement vers le lycée Charles de Gaulle il y a une dizaine d’années, le Gamou continue d’attirer des milliers de fidèles chaque année. Cette migration vers un espace plus vaste était nécessaire pour accommoder le nombre croissant de participants et éviter les difficultés de déplacement liées au Festival de jazz de Saint-Louis, qui se déroule au même moment sur l’île.

L’organisation de cet événement mobilise une fédération des dahiras de Serigne Babacar Sy, qui apporte un soutien matériel et logistique aux dahiras participants. L’État apporte également son appui à travers des engagements financiers et logistiques, démontrant ainsi l’importance accordée au Gamou par les autorités étatiques.

Outre son aspect religieux, le Gamou a également un impact économique significatif sur la région. Des milliers de fidèles affluent vers Saint-Louis, ce qui stimule l’activité économique locale, notamment dans le secteur de la restauration et de l’hébergement.

Cette année encore, le Gamou promet d’être un moment de recueillement et de communion pour les fidèles tidianes, venus de toutes les régions du Sénégal pour honorer la mémoire de Serigne Babacar Sy et célébrer leur foi avec dévotion et ferveur.

Loi criminalisant l’homosexualité : Thierno Bocoum presse le gouvernement

Thierno Bocoum, président du mouvement AGIR, a réitéré l’importance pour le nouveau gouvernement de respecter sa promesse d’adopter une loi criminalisant l’homosexualité. Cette déclaration intervient après que le Premier ministre Ousmane Sonko a abordé la question lors d’une conférence co-animée avec Jean Luc Mélenchon le jeudi 16 mai.

Bocoum a rappelé que cette promesse de criminaliser l’homosexualité avait été faite publiquement par le gouvernement précédent et qu’elle avait également été inscrite dans le mémorandum des législatives 2022 de l’Association pour la préservation des valeurs (APV).

Dans son message, Bocoum exhorte les dirigeants actuels à adopter une position définitive et claire sur la question du gordjiguénisme, appelant à ce que cette position soit matérialisée par une loi. Il estime que simplement dire que cela ne fait pas partie des valeurs du pays n’est pas suffisant, soulignant que cela équivaudrait à ne pas aller au-delà de ce que le régime précédent avait fait, et que ce dernier avait été accusé de promouvoir l’homosexualité.

Cette prise de position de Thierno Bocoum met en lumière l’importance de la question de l’homosexualité dans le débat politique sénégalais et souligne l’attente de la société civile vis-à-vis du gouvernement actuel pour qu’il prenne des mesures concrètes sur cette question.

Pr. Issac Yancoba Ndiaye : Un Appel à la Culture Démocratique en Afrique

La 4ème édition de la formation annuelle en droit international, organisée par la Cour suprême du Sénégal, la Fondation Friedrich Naumann pour la Liberté, la Fondation René Cassin et l’Institut des Droits de l’Homme de Strasbourg, s’est clôturée sur une note de réflexion profonde. Lors de la conférence finale, le Professeur Issac Yancoba Ndiaye, agrégé de la Faculté de droit et des sciences juridiques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, a abordé la question brûlante du droit des transitions démocratiques en Afrique.

L’universitaire a souligné les défis persistants auxquels sont confrontés de nombreux régimes démocratiques sur le continent. Il a mis en lumière les lacunes des transitions de pouvoir, notant que celles-ci ne garantissent pas toujours une progression vers la démocratie. « Les transitions de pouvoir dans nos pays n’ont pas la vertu de se projeter vers la démocratie », a-t-il constaté, soulignant la courte durée de vie de nombreuses transitions démocratiques en Afrique de l’Ouest et au-delà.

Le Professeur Ndiaye a également pointé du doigt le manque de culture démocratique dans de nombreux pays africains, expliquant que cela entrave le développement de véritables démocraties. Il a appelé à une réflexion profonde sur la manière dont les normes internationales sont intégrées dans les systèmes juridiques nationaux, soulignant l’importance d’un renforcement des capacités des juges et des avocats pour garantir l’effectivité de l’Etat de droit.

La Directrice régionale de l’Afrique de l’Ouest de la Fondation Friedrich Naumann, Alexandra Heldt, a salué la qualité des échanges lors de cette session de formation, mettant en avant l’importance de poser le débat sur l’introduction des normes internationales dans les systèmes juridiques africains. Elle a souligné l’importance cruciale de cette question pour la gouvernance judiciaire et l’Etat de droit en Afrique.

En conclusion, cette conférence a mis en lumière l’urgence d’une réflexion approfondie sur la culture démocratique en Afrique et sur l’intégration des normes internationales dans les systèmes juridiques nationaux pour garantir une gouvernance juste et équitable.

Yewwi : Un Parti Allié Tente de Réconcilier Pastef et Taxawu

Le Parti pour le développement et la renaissance du Sénégal (PDRS) a récemment tenu une réunion de son Secrétariat exécutif national (SEN) pour évaluer les récentes élections présidentielles et discuter de la situation politique actuelle du pays. Dans un communiqué publié à l’issue de cette rencontre, le président du parti, Pathé Ndiaye, a exprimé son regret concernant ce qu’il qualifie de « décomposition » de la coalition Yewwi Askanwi (YAW), notamment en raison des conflits persistants entre le Pastef d’Ousmane Sonko et Taxawu Sénégal de Khalifa Ababacar Sall.

Le PDRS, tout en réaffirmant son engagement envers la coalition Taxawu Sénégal, a adressé un appel pressant aux dirigeants du Pastef et de Taxawu Sénégal pour mettre fin à leurs querelles internes. Pathé Ndiaye et ses collègues ont averti les intéressés, notamment Ousmane Sonko et Barthelemy Dias, sur les conséquences négatives de ces conflits fratricides sur l’unité et la solidarité de la coalition YAW.

Plaidant en faveur d’une réconciliation entre le Pastef et Taxawu Sénégal, le PDRS souligne qu’il existe une convergence de vues entre ces deux partis sur de nombreux enjeux nationaux, notamment dans leurs programmes de campagne. Ils estiment que la réconciliation serait dans l’intérêt national et celui des deux parties, notamment dans le contexte des réformes annoncées par le nouveau régime et qui nécessiteront une forte majorité à l’Assemblée nationale pour être adoptées.

Cette démarche du PDRS reflète une volonté de maintenir l’unité et la cohésion au sein de l’opposition sénégalaise, mettant en avant l’importance d’une collaboration étroite entre les différents partis politiques pour faire avancer les intérêts du pays. À l’approche des prochaines échéances électorales et des réformes législatives, la réconciliation entre le Pastef et Taxawu Sénégal pourrait jouer un rôle déterminant dans la consolidation de l’opposition et la promotion du changement démocratique au Sénégal.

Drame lors d’une Soirée dansante : Un Jeune Poignardé à Mort

Une soirée dansante a pris une tournure tragique dans les villages de Sinthiang Malafi et de Thiamène, situés dans la commune de Dinguiraye, département de Médina Yoro Foula. Alors que l’ambiance festive régnait, une bagarre a éclaté entre différents groupes de jeunes, conduisant à un drame irréparable. La victime, Boubacar Baldé, célibataire et sans enfant, originaire du village de Sinthiang Malafi, a été mortellement poignardée au niveau du thorax.

L’événement a rapidement mobilisé les autorités locales, avec l’intervention des éléments de la brigade de gendarmerie de Médina Yoro Foula. Des arrestations ont été effectuées dans le but de retrouver l’auteur de cet acte criminel, tandis qu’une enquête approfondie est ouverte pour faire toute la lumière sur les circonstances de cette tragédie.

Le corps sans vie de Boubacar Baldé a été transporté au district sanitaire de Médina Yoro Foula pour les procédures légales avant son inhumation. Cette affaire suscite une profonde consternation dans la région, mettant en lumière les conséquences tragiques des conflits et des tensions au sein des communautés locales.

Alors que la population locale pleure la perte de Boubacar Baldé, cette tragédie soulève également des questions sur la sécurité lors d’événements festifs et l’importance de prévenir les conflits et la violence au sein des communautés.

Éducation des Enfants Après un Divorce : Le Combat des Mères Célibataires

Être une mère célibataire peut être un défi de taille. Au fil du temps, alors que les enfants grandissent et atteignent l’adolescence, les soucis et les préoccupations se multiplient. Si certaines mères peuvent gérer les crises de leurs enfants, d’autres rencontrent des difficultés insurmontables.

Awa Ndoye, 36 ans, est mère de cinq enfants. Divorcée depuis sept ans, elle a obtenu la garde de ses enfants avec qui elle partage la même chambre.

Awa est femme de ménage et commerçante. Malgré ses deux emplois, elle peine à subvenir aux besoins de ses enfants. « Depuis mon divorce, mon ex-mari a totalement abandonné ses enfants. C’est moi qui les nourrit et les soigne quand ils sont malades », confie-t-elle.

Awa est confrontée à un sérieux problème ces derniers temps. Son fils aîné, âgé de 17 ans, est devenu ingérable. « Il s’en prend à ses sœurs en les frappant, se bat et amène même des filles dans ma propre chambre », se désole Awa, se sentant impuissante face à cette situation.

« J’ai même pensé à aller voir la police pour qu’on le corrige. Il y a quelques jours, il a retiré de l’argent de ma paie sur mon téléphone et a effacé toute trace de la transaction », raconte-t-elle, pensant avoir échoué en tant que mère. Elle en veut aussi énormément à son ex-mari et à sa famille pour leur manque de soutien.

Absa Faye est confrontée à une situation similaire. Son fils de 21 ans ne lui adresse plus la parole depuis cinq ans. Ayant commencé à manquer de respect, voler et se droguer dès l’âge de 16 ans, elle a dû porter plainte à la police. Bien que son fils ait arrêté ses mauvaises habitudes, leurs relations se sont détériorées.

Selon le psychologue Khalifa Diagne, l’absence d’un père peut être la cause de la révolte d’un jeune contre ses proches. Il est crucial d’adapter les solutions à chaque cas, en trouvant des personnes de confiance pour jouer le rôle de père aux côtés des mères célibataires.

Dans une société où l’autorité parentale est souvent associée au père, son absence rend les mères célibataires plus vulnérables et complique l’éducation des enfants.

Trouver des solutions adaptées et offrir un soutien adéquat aux mères célibataires est essentiel pour prévenir les comportements problématiques chez les jeunes et garantir un environnement familial stable et sain.

Vol de 12 Millions F CFA : Une Employée Domestique Accusée par son Amant et Patron

De retour d’un voyage à Dubaï, un homme d’affaires français découvre avec stupeur la disparition de 18 400 euros, soit l’équivalent de 12 millions de francs CFA, sur les 20 mille euros qu’il avait conservés dans son coffre-fort. Cette somme était destinée au paiement des taxes de sa société.

Soupçonnant sa nouvelle employée domestique, F. Touré, l’employeur porte plainte. Lors des enquêtes, le plaignant déclare n’avoir jamais été victime de vol au cours des six derniers mois, pointant du doigt la domestique.

Pourtant, selon Les Échos, F. Touré est innocentée par l’enquête. La surprise est totale lorsque l’identité du voleur est révélée : il s’agit de son ancienne domestique devenue sa compagne, A. Amar.

Initialement accusée par F. Touré, A. Amar nie fermement les faits, mais est rapidement confondue par des preuves de transactions bancaires effectuées près de son domicile. Sous pression, elle avoue avoir distribué l’argent volé à des tiers, dont son amie D. Sow et son marabout.

Lors de son procès, A. Amar tente de se justifier en déclarant avoir reçu la clé du coffre de son amant pour prendre de l’argent à chaque besoin. Elle avoue également avoir utilisé une partie de l’argent pour acheter un véhicule et effectué d’autres dépenses.

Le Procureur requiert deux ans de prison, dont un ferme, soulignant le comportement répréhensible de l’accusée qui, engagée comme femme de ménage, a fini par vivre en concubinage avec son employeur. D. Sow, complice présumée, est épargnée de la prison pour avoir restitué l’argent.

Le délibéré est prévu pour la semaine prochaine.

Appel à un Soutien Financier pour le Festival de Jazz de Saint-Louis : Mansour Faye En Appelle aux Autorités Gouvernementales

Lors de l’ouverture de la 32ème édition du festival international de jazz de Saint-Louis, le maire de la ville, Mansour Faye, a lancé un appel pressant aux autorités gouvernementales du Sénégal. Il a plaidé en faveur d’un soutien financier continu pour garantir le succès de cet événement culturel majeur.

Mansour Faye a souligné l’importance cruciale d’allouer un budget annuel d’au moins 100 millions de francs CFA pour couvrir les frais du festival. Il a exprimé l’espoir que cette initiative soit soutenue par le ministère de la Culture. Le maire a mis en avant la comparaison avec des festivals de renommée internationale tels que ceux de Rio et de Lausanne, mettant en lumière les 32 années d’existence du festival de jazz de Saint-Louis et son impact économique significatif sur la région.

Il a insisté sur la nécessité pour l’État et les partenaires de continuer à soutenir cet événement afin de le perpétuer pour les générations futures. Le festival de jazz de Saint-Louis, avec son héritage culturel riche et sa contribution à la vitalité économique de la région, mérite un soutien financier solide pour continuer à prospérer et à rayonner sur la scène nationale et internationale.

Cet appel de Mansour Faye souligne l’importance de la culture dans le développement socio-économique et identitaire d’une région et met en avant la nécessité pour les autorités gouvernementales de reconnaître et de soutenir les événements culturels locaux de grande envergure.

Le Président Bassirou Diomaye Faye Renforce les Liens avec la CEDEAO lors de sa Visite au Nigeria

Dans le cadre d’une visite de travail au Nigeria, le chef de l’État du pays, Bassirou Diomaye Faye, a rencontré le président de la Commission de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

Lors de cette rencontre, le président de la Commission de la CEDEAO, Omar Alieu Touray, s’est félicité des orientations et de l’engagement exprimés par le Président Bassirou Diomaye Faye en faveur de l’unité de la CEDEAO et de l’intégration régionale. Cette réunion témoigne de l’importance que le président du Sénégal accorde à la coopération régionale et à la consolidation des relations avec les institutions de la CEDEAO.

La visite de travail du Président Bassirou Diomaye Faye à Abuja a également été marquée par un accueil chaleureux de la part des autorités nigérianes à son arrivée à l’Aéroport International Nnamdi Azikiwe. Cette réception témoigne de la solidité des relations entre le Nigeria et le Sénégal, ainsi que de l’importance de la coopération bilatérale dans la promotion du développement économique et social dans la région ouest-africaine.

Cette visite et les rencontres qui l’ont accompagnée soulignent l’engagement du Président Bassirou Diomaye Faye en faveur de la coopération régionale et de l’intégration économique en Afrique de l’Ouest. En renforçant les liens avec la CEDEAO et en consolidant les relations avec ses partenaires régionaux, le Sénégal s’affirme comme un acteur majeur dans la promotion de la paix, de la stabilité et du développement dans la sous-région.

Réforme du Calendrier Académique : Dr El Hadj Abdourahmane Diouf s’Attaque aux Problèmes de l’Université Sénégalaise

Le système éducatif sénégalais, notamment dans le cadre universitaire, est confronté à d’importants défis. Dr El Hadj Abdourahmane Diouf, chargé des universités incluant l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, met en lumière les sérieux problèmes de chevauchement des années académiques. Ces défis sont exacerbés par des contraintes budgétaires et une pénurie d’espaces qui ont un impact direct sur la qualité de l’éducation.

Une réforme urgente s’impose, et selon Dr Diouf, une année bien planifiée pourrait suffire à normaliser le calendrier académique. Il insiste sur la nécessité d’un calendrier stable et prévisible, en contraste avec l’actuel, largement imprévisible, qui entrave même la planification des examens.

Dans un effort de rénovation, un séminaire est programmé pour harmoniser les visions et stabiliser définitivement le calendrier académique. Ce sommet réunira tous les acteurs clés, des recteurs aux étudiants, pour forger un consensus lors d’une retraite intensive de trois jours.

Cette initiative reflète la volonté de Dr El Hadj Abdourahmane Diouf et de son équipe de prendre des mesures concrètes pour résoudre les problèmes persistants de l’université sénégalaise. En impliquant toutes les parties prenantes dans le processus de réforme, ils cherchent à garantir une mise en œuvre efficace et durable des changements nécessaires pour améliorer la qualité de l’enseignement supérieur au Sénégal.

Affaire de Trafic de Cocaïne : Abdoulaye Seck, Fils d’Idrissa Seck, Arrêté dans une Opération Anti-Drogue

L’arrestation d’Abdoulaye Seck, fils de l’ancien Premier ministre sénégalais Idrissa Seck, dans le cadre d’une opération anti-drogue menée par l’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS), fait la une des médias. Les suspects sont placés en garde à vue pour des soupçons de trafic international de drogue et blanchiment de capitaux.

Bien que le rôle précis d’Abdoulaye Seck dans cette affaire ne soit pas encore spécifié, des détails émanant de l’enquête publiée par le journal « Libération » indiquent qu’il aurait joué un rôle actif dans le réseau récemment démantelé. Ce réseau était impliqué dans l’importation de cocaïne en provenance de Gambie et de Guinée-Bissau, destinée à être exportée à Marseille via le Sénégal.

Abdoulaye Seck aurait été appréhendé dans une clinique à Dakar, contrairement à ce qui avait été précédemment avancé. Selon les enquêteurs, il aurait été en contact régulier avec Sylvain Bathiapara Mendy, présumé cerveau de l’affaire. Ce dernier a été arrêté en possession de 18 kilogrammes de cocaïne à Karang, en tentant de franchir la frontière sénégalaise à bord d’un 4×4.

Les investigations en cours devraient permettre d’éclaircir la nature des liens entre Abdoulaye Seck et le réseau dirigé par Sylvain Bathiapara Mendy. L’enquête a déjà conduit à plusieurs arrestations et saisies dans différentes localités, mettant en lumière l’ampleur de ce trafic international de drogue.

Cette affaire souligne l’importance de la coopération internationale dans la lutte contre le trafic de drogue et met en évidence les défis persistants auxquels sont confrontés les autorités dans la région en matière de sécurité et de lutte contre la criminalité organisée.

ADHA Appelle à la Rationalisation des Ressources et à l’Implication des Jeunes dans le Nouveau Régime

L’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) adresse des recommandations au nouveau régime sénégalais, appelant à une rationalisation des ressources et à une implication accrue des jeunes dans la gouvernance. Dans un communiqué adressé à Senego, l’ADHA salue l’implication des jeunes dans des postes de haute responsabilité, tout en encourageant le nouveau régime à maintenir cette dynamique de rupture et à veiller à l’adéquation entre les profils et les postes.

Cependant, l’ADHA exprime sa déception concernant le maintien de certaines directions, notamment celles liées à la jeunesse, qui auraient pu être fusionnées pour une utilisation plus efficace des ressources financières, logistiques et humaines. L’ADHA souligne la nécessité de rationaliser ces structures, qui travaillent toutes sur des questions similaires telles que la jeunesse, la formation, l’employabilité et l’insertion professionnelle.

Dans cette optique, l’ADHA recommande vivement le regroupement de toutes les directions travaillant sur ces questions pour plus d’efficacité dans les résultats et le suivi. De plus, elle demande un audit complet de la gestion du Conseil National de la Jeunesse et du Conseil National pour l’Insertion des Jeunes, ainsi que la création d’un organe neutre chargé de fédérer les regroupements de jeunes et de veiller à la mise en œuvre de leurs travaux.

Parmi ses autres recommandations, l’ADHA demande l’abrogation de la loi d’amnistie relative aux infractions commises depuis 2021, un renforcement du contrôle et du suivi-évaluation des activités de pêche, et la suppression de structures budgétivores créées par l’ancien régime dans le but de recaser une clientèle politique.

En conclusion, l’ADHA encourage la reddition des comptes et exhorte les autorités compétentes à mener à bien toutes les procédures initiées. Cette démarche témoigne de l’engagement de l’ADHA en faveur de la transparence, de la responsabilité et de l’efficacité dans la gestion des ressources et des politiques publiques au Sénégal.

Ousmane Sonko et Jean-Luc Mélenchon : Alliance pour les Traditions Culturelles et les Droits Individuels

Lors d’une conférence conjointe avec Jean-Luc Mélenchon, fondateur de La France Insoumise, Ousmane Sonko, leader du parti Pastef, a abordé un sujet brûlant : la polygamie. Dans une déclaration audacieuse, Sonko a affirmé que même si la polygamie est interdite en France, cela ne l’empêcherait pas de se rendre à Paris avec ses deux épouses. Cette remarque a été perçue comme une affirmation de son identité culturelle et une défiance subtile des lois françaises.

La rencontre entre Sonko et Mélenchon avait pour objectif de discuter des relations entre la France et le Sénégal. Mélenchon, bien que soulignant les différences de programme entre les deux leaders, a souligné leur volonté commune de lutter contre ce qu’ils considèrent comme des dérives autoritaires dans leurs gouvernements respectifs.

Cette déclaration et cette collaboration entre Sonko et Mélenchon visent à renforcer les liens entre les mouvements politiques des deux pays, tout en défendant les traditions culturelles et les droits individuels. Sonko a fait preuve d’une détermination à défendre sa culture et ses valeurs, même dans un contexte où elles peuvent entrer en conflit avec les normes légales françaises.

Cependant, cette déclaration soulève également des questions sur les limites de la tolérance culturelle dans un contexte juridique différent. Alors que Sonko affirme son droit à pratiquer la polygamie, la France maintient une position ferme contre cette pratique, la considérant comme contraire aux principes d’égalité et de droits des femmes.

Au-delà de cette controverse, la collaboration entre Sonko et Mélenchon offre un exemple de solidarité transnationale entre les mouvements politiques progressistes, mettant en lumière l’importance de la diversité culturelle et de la défense des droits individuels dans un monde de plus en plus connecté et diversifié.

Ousmane Sonko Accuse Macron d’Avoir Encouragé la Répression sous le Régime de Macky Sall

Lors d’une conférence conjointe avec Jean Luc Mélenchon à l’UCAD ce jeudi 16 mai, Ousmane Sonko, leader du parti Pastef, a lancé des accusations explosives à l’égard du président français Emmanuel Macron. Sonko a dénoncé l’attitude de Macron pendant les périodes de répression sous le régime de Macky Sall, affirmant que Macron avait indirectement encouragé les persécutions politiques.

Dans ses propos rapportés par le journal « Le Patriote », Sonko a critiqué le gouvernement français pour son silence pendant les périodes de répression intense qui ont entraîné la mort de plus d’une soixantaine de personnes, des milliers de blessés et plus de 1 000 détenus politiques. Il a souligné le fait que Macron avait accueilli et félicité Macky Sall au moment le plus critique de la répression.

Pour Sonko, cette attitude de la part de Macron représentait une incitation à la répression et à la persécution des Sénégalais qui n’avaient commis d’autre crime que de soutenir un projet politique différent. Il a affirmé que de nombreux gouvernements européens, en particulier la France, étaient mal à l’aise avec le discours politique souverainiste de son parti et avaient donc choisi de rester silencieux face à la répression sanglante menée par le régime de Macky Sall contre Pastef.

Ces accusations de Sonko soulèvent des questions sur les relations franco-sénégalaises et la politique étrangère de la France envers ses anciennes colonies. Elles mettent également en lumière les tensions persistantes entre les gouvernements africains et leurs anciennes puissances coloniales, en particulier en ce qui concerne les questions de droits de l’homme et de démocratie.

Alors que Sonko continue de défendre son parti contre la répression politique, ses accusations contre Macron soulignent la nécessité d’un examen approfondi des politiques étrangères et des relations diplomatiques, mettant en lumière les enjeux de souveraineté et de démocratie dans le contexte africain contemporain.

Scandale à Louga : Djiby Ndiaye acquitté après avoir admis avoir engrossé la femme de son ami

Un verdict choquant a secoué la ville de Louga alors que Djiby Ndiaye, accusé de viol, a été acquitté par la Chambre criminelle du tribunal. L’affaire, qui a tenu en haleine la communauté depuis août 2022, a été marquée par des révélations troublantes sur fond de trahison et de scandale.

L’accusatrice, M. Diop, avait initialement affirmé avoir été violée à deux reprises par Djiby Ndiaye dans la brousse entre leurs villages respectifs. Elle avait témoigné que l’accusé l’avait attirée en lui faisant croire qu’il devait lui remettre de l’argent de la part de son mari. Ces allégations ont conduit à la détention préventive de Djiby Ndiaye pendant près de deux ans.

Cependant, lors du procès, une série de révélations a ébranlé le récit initial. Djiby Ndiaye a contesté les faits, affirmant que la plaignante avait consenti à leurs relations intimes. Il a admis avoir eu des relations sexuelles avec M. Diop, mais il a nié toute forme de coercition. De plus, il a révélé avoir engrossé la femme de son ami, ajoutant un élément de trahison à l’affaire.

Cette admission brutale a étonné la salle d’audience, mais malgré cela, Djiby Ndiaye a été acquitté. La décision du tribunal a soulevé des questions sur la justice et la moralité, laissant beaucoup se demander comment un homme pouvait être libéré après avoir admis un acte aussi répréhensible.

Le drame de Louga met en lumière les complexités des affaires judiciaires et soulève des préoccupations quant à la protection des victimes de violences sexuelles. La communauté locale est divisée, certains exprimant leur indignation face à l’acquittement, tandis que d’autres remettent en question la crédibilité du système judiciaire.

En fin de compte, cette affaire tragique laisse derrière elle des cicatrices profondes et soulève des questions sur la responsabilité, la loyauté et la justice dans notre société.

Les Jeunes de Kahi S’Engagent pour une Agriculture Durable : Révision de la Loi Agro-sylvo-pastorale

Dans la commune dynamique de Kahi, située dans la région de Kaffrine, une nouvelle vague d’engagement rural se lève. Les jeunes membres des organisations communautaires ont récemment pris part à une initiative révélatrice, orchestrée par le Collège des Jeunes Ruraux du Conseil National de Concertation et de Coopération des Ruraux (CNCR). L’événement a offert une opportunité unique : se familiariser avec les enjeux législatifs entourant l’agriculture, la sylviculture, l’élevage et la pêche, notamment à travers la loi d’orientation agro-sylvo-pastorale et halieutique.

Dirigée par Mamadou Diop, chargé du programme « Insertion et Installation des Jeunes dans les Différentes Chaînes de Valeur » au CNCR, cette formation a réuni des voix passionnées. Les discussions enflammées ont résonné dans la salle, appelant à un soutien accru de l’État envers les agriculteurs et, surtout, à l’accès des jeunes à la terre et aux semences.

« Nous sommes réunis aujourd’hui pour échanger avec la jeunesse rurale sur la révision de la loi d’orientation agro-sylvo-pastorale et halieutique, qui célèbre ses vingt ans cette année, ayant été instaurée en 2004 », a déclaré Mamadou Diop. Il a souligné l’importance cruciale de cette loi dans le paysage agricole du pays, tout en appelant à une révision collaborative impliquant tous les acteurs, en particulier les jeunes ruraux.

Sous le regard bienveillant du chef de village de Ndjigui, Amath Diaw, les jeunes ont été encouragés à exprimer leurs opinions, à faire des propositions et à contribuer aux décisions politiques concernant la révision de cette loi. Mamadou Diop a souligné l’urgence d’une telle révision, soulignant la nécessité de poursuivre l’objectif d’autosuffisance en riz et de garantir la sécurité alimentaire pour tous.

Cette rencontre, alliant formation, sensibilisation et partage d’informations, a marqué le début d’un dialogue essentiel entre les jeunes ruraux et les décideurs. À Kahi, la jeunesse se lève pour façonner l’avenir de son agriculture, mettant en avant l’importance de la durabilité, de l’égalité d’accès aux ressources et de la participation citoyenne dans la formulation des politiques agricoles.

Le Dakarois Quotidien N°178 – du 17/05/2024

🔴 APOLOGIE DE L’HOMOSEXUALITÉ EN TERRE RELIGIEUSE : QUELLE MOUCHE A PIQUÉ MÉLENCHON ?
🔴 Gestion des Inondations au Sénégal : Un plan intégré pour prévenir les catastrophes
🔴 NOUVELLE SAISIE RECORD DE BILLETS NOIRS : LES DOUANES INTERCEPTENT UNE CONTREVALEUR DE PLUS DE 7 MILLIARDS DE FRANCS CFA

Arrêté par la BR de Tamba, un charlatan accusé de viol sur sa fille adoptive de 12 ans

La brigade de recherches (BR) de la compagnie de gendarmerie de Tambacounda a déféré un charlatan de 73 ans  soupçonné de viol sur sa fille adoptive. Seneweb revient sur les détails de l’enquête.

Marié à deux femmes, le charlatan M. S.,  âgé de 73 ans, est accusé de viols répétés sur sa fille adoptive A. S. G., âgée de 12 ans, au moment des faits. Suite à la plainte déposée par la mère de la victime, il a été arrêté par la BR de Tambacounda. Il ressort du dossier qu’à son retour de La Mecque, M. S. a épousé la veuve D. S. Cette dernière a rejoint le domicile conjugal avec sa fille qu’elle avait eu de son premier mariage.
Le mari a profité de l’absence de son épouse pour violer sa fille dans sa chambre de consultance. Désemparée, elle s’en est ouverte à une amie de sa mère qui informa cette dernière. 
A cet effet, D. S. a porté plainte contre son mari pour viols répétés sur sa fille. Les gendarmes ont adressé une réquisition à un gynécologue pour examen. Le certificat médical transmis aux enquêteurs révèle des déchirures hymenales anciennes et multiples sur la fille.
Convoqué et interrogé sur procès-verbal, le charlatan a nié les faits. Malgré tout, il a été déféré au parquet pour viol, pédophilie et détournement de mineure.
Actuellement âgée de 16 ans, A. S .G est inscrite en classe de 4e dans un CEM de Tamba.

Montée de la stigmatisation des « Peul Fouta » : Une association recadre Tahirou Sarr

L’Initiative sénégalaise pour le dialogue interculturel Sanakuyaa a publié une note condamnant vivement les discours xénophobes et stigmatisants à l’encontre de la communauté « Peul Fouta », attribués au politicien Tahirou Sarr. Dans ce communiqué, l’association dénonce les propos jugés intempestifs de Sarr, qu’elle estime être relayés par certains médias et amplifiés sur les réseaux sociaux, mettant ainsi en péril la coexistence pacifique au Sénégal.

L’association souligne que ces discours alimentent des préjugés infondés et des stéréotypes nocifs, menaçant la cohésion sociale et la paix dans le pays. Elle conteste également les chiffres avancés sur le nombre de membres de la communauté « Peul Fouta » vivant illégalement au Sénégal, ainsi que les allégations mensongères sur leur prétendue implication dans des activités criminelles, les qualifiant de sans fondement.

Sanakuyaa déplore la complicité tacite de certains acteurs des médias sénégalais qui relaient ces discours xénophobes et stigmatisants. Elle rappelle que la diversité culturelle et ethnique est une richesse pour le pays et appelle à lutter contre la xénophobie en promouvant des messages d’inclusion, de tolérance et de respect mutuel.

En conclusion, l’Initiative Sénégalaise pour le Dialogue Interculturel réaffirme son engagement en faveur de la promotion de la paix, de l’harmonie et du respect des droits humains pour tous les citoyens du Sénégal, et appelle à un rejet collectif de la haine et de la discrimination.

Tentative d’assassinat : Un chauffeur attaque l’amant présumé de sa femme

O. Dia, chauffeur de profession, comparaissait devant la Cour de la Chambre criminelle de Mbour pour tentative d’assassinat sur A. Mboup, un boutiquier accusé d’entretenir une relation adultérine avec sa femme. Les faits remontent au 28 octobre 2020, lorsque O. Dia aurait attaqué A. Mboup avec un gourdin, causant cinq blessures au crâne de ce dernier et lui infligeant une incapacité temporaire totale de 21 jours.

Selon le récit d’O. Dia devant la cour, il aurait découvert un talisman dans sa chambre et aurait confronté sa femme à ce sujet, apprenant que le talisman appartenait à A. Mboup. Ce dernier aurait ensuite présenté des excuses à O. Dia, affirmant avoir perdu sa virilité après leur liaison. Plus tard, O. Dia aurait surpris A. Mboup et l’aurait violemment attaqué avec un gourdin.

Les avocats de la défense ont plaidé pour des circonstances atténuantes, tandis que le procureur a soutenu la préméditation des actes d’O. Dia et a requis 10 ans de réclusion criminelle contre lui. La partie civile a également réclamé une indemnisation de 2 millions de francs CFA pour le préjudice subi.

Cette affaire soulève des questions sur la violence conjugale et les répercussions des relations extraconjugales sur la vie des individus impliqués. La cour devra désormais rendre son verdict dans cette affaire délicate.

Le lutteur Lac de Guiers entre les mains de la justice pour escroquerie

Le lutteur Lac de Guiers 2 se retrouve au cœur d’une affaire d’escroquerie, ayant été arrêté par les forces de l’ordre du commissariat central de Guédiawaye. Accusé d’avoir escroqué un montant de 21 millions de francs CFA à neuf plaignants, le chef de file de l’écurie Walo a été présenté ce matin au procureur de la République du Tribunal de Grande Instance (TGI) de Pikine-Guédiawaye.

Cette affaire remonte à une prétendue escroquerie où Lac de Guiers 2, accompagné de son complice A. S. Diagne – actuellement en cavale et supposément localisé en Europe selon une source de Seneweb – aurait perçu de l’argent de candidats à l’émigration avant de disparaître.

Face aux plaintes des victimes, le parquet de Pikine-Guédiawaye a ordonné une enquête policière pour faire toute la lumière sur cette affaire. Cependant, les deux suspects étaient en fuite jusqu’à ce que Lac de Guiers 2 soit appréhendé à son retour à Dakar.

La situation actuelle laisse le sort du lutteur entre les mains de la justice sénégalaise, qui devra statuer sur cette affaire d’escroquerie présumée et décider des mesures à prendre à l’encontre des accusés.

Diop SY appelle à l’implication des maires dans le processus du PGIIS

Lors d’une intervention sur le Plan de Gestion Intégrée des Inondations au Sénégal (PGIIS), Diop SY a exprimé le besoin crucial d’associer les maires au processus. Ses propos soulignent l’importance de la participation des autorités locales pour une mise en œuvre efficace du PGIIS et une gestion proactive des inondations.

Intervention d’Ousmane Sonko lors du Conseil interministériel sur l’inondation et le PGIIS

Ousmane Sonko, leader politique et figure publique, a pris la parole lors du Conseil interministériel consacré à la gestion des inondations et au Plan de Gestion Intégrée des Inondations au Sénégal (PGIIS). Sa prise de parole a été marquée par des propositions et des observations pertinentes visant à renforcer l’efficacité des mesures prises pour faire face à ce problème majeur.

Conseil interministériel sur l'inondation/PGIIS: Discours de Ousmane Sonko...

Réunion interministérielle sur la gestion des inondations : Engagement et résolution pour un plan d’action efficace

Les autorités gouvernementales se sont réunies lors d’un conseil interministériel pour discuter de la gestion des inondations et du Plan de Gestion Intégrée des Inondations au Sénégal (PGIIS). Lors de cette réunion, des discours ont été prononcés mettant en avant l’engagement et la résolution à mettre en œuvre un plan d’action efficace pour faire face à ce défi majeur.

Conseil interministériel sur l'inondation/PGIIS: discours de la résolution...

Abdourahmane Diouf s’engage à instaurer un calendrier académique intangible au Sénégal

Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, El Hadji Abdourahmane Diouf, a annoncé son intention de mettre en place un calendrier académique intangible au Sénégal, lors d’une déclaration à Dakar jeudi dernier. Il a exprimé son engagement à travailler en collaboration avec les acteurs universitaires pour atteindre cet objectif.

Selon M. Diouf, le rétablissement d’un calendrier académique stable pourrait résoudre de nombreuses difficultés financières rencontrées par le secteur de l’enseignement supérieur. Il a souligné l’importance d’une concertation avec les parties prenantes lors d’un séminaire prévu à la fin du mois de mai, afin d’aborder diverses questions liées au calendrier universitaire, telles que le recrutement des enseignants-chercheurs, le statut des vacataires, et les chantiers inachevés du ministère.

Le ministre a souligné que depuis près d’une décennie, le Sénégal connaît des fluctuations constantes dans son calendrier académique, ce qui a des répercussions négatives sur le plan académique et financier. Par exemple, il a noté que de nombreuses licences sont délivrées sur une période de quatre années au lieu de trois, ce qui entraîne des coûts supplémentaires pour l’État et les étudiants.

Abdourahmane Diouf a également abordé la question de l’orientation des bacheliers, soulignant que les retards dans ce processus ont été un problème persistant. Il s’est fixé comme objectif d’orienter les étudiants avant la fin du mois d’août, et a assuré que des efforts étaient déployés dans ce sens.

En résumé, l’instauration d’un calendrier académique intangible représente un engagement majeur du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation en vue d’améliorer la qualité et la gestion de l’enseignement supérieur au Sénégal.

Nouvelles saisies de billets noirs au Sud et à Thiès: pour une contrevaleur totale de plus de sept (07) milliards de francs CFA

Les opérations de ciblage et d’investigation sur les courants de trafics criminels se poursuivent sur l’étendue du territoire douanier. Des résultats fort appréciables sont notés dans la totalité des régions douanières. Les dernières saisies en date portant sur des billets noirs se présente comme suit :

10 millions de dollars en billets noirs saisis par le GPR de Thiès
Le samedi 11 mai 2024 aux environs de 11heures, le Groupement polyvalent de Recherche et de Répression de la Fraude (GPRF) a procédé à l’arrestation de deux (02) individus en possession de 10 millions de dollars en billets noirs soit une contrevaleur de plus de six (six) milliards de francs CFA. L’opération fait suite à l’exploitation d’un renseignement et à la filature des prévenus. Les criminels ont été arrêtés sur l’autoroute à péage à leur descente de véhicule, à hauteur du quartier Thiès-Sud, où ils avaient vraisemblablement un rendez-vous d’affaire. Ils sont déférés au Parquet. L’enquête suit son cours.

Des billets noirs d’une contrevaleur de 01 milliard 300 millions saisis à Kolda
La saisie est réalisée par la Brigade mobile des Douanes de Kolda, Subdivision de Kolda, Région douanière du Sud. L’opération est le résultat de l’exploitation d’un renseignement sur un groupe de malfaiteurs qui s’adonne à la cession et au lavage de billets. Les agents des Douanes ont ainsi localisé et procédé à l’interpellation, ce mercredi 15 mai 2024, vers 23heures, de deux individus de nationalité étrangère dans un hôtel à Kolda ville. Les deux faussaires détenaient un carton contenant des billets noirs en coupures de 500 et 200 euros pour une contrevaleur totale d’un milliard 300 millions de francs CFA. Les trafiquants ont été déférés au Parquet de Kolda.

Des billets noirs d’une contrevaleur de 140 millions saisis à Ziguinchor
Durant la nuit du vendredi 10 mai, aux environs de 23h 30mn, les agents de la Brigade mobile de Ziguinchor, Subdivision de Ziguinchor, ont effectué une saisie de billets noirs grâce à l’exploitation d’un renseignement concernant un réseau de trafic de billets à Ziguinchor. L’opération menée par les agents de ladite unité a permis de saisir un lot de billets noirs composé de coupures en francs CFA et d’autres en Euros pour une contrevaleur totale de 140 millions de francs CFA. Trois individus de nationalité sénégalaise ont été arrêtés et mis à la disposition de la justice.

    Les unités douanières restent mobilisées pour éradiquer le phénomène du faux monnayage qui prend de l’ampleur et qui constitue une menace sérieuse à l’économie nationale.

    La Division de la Communication et des Relations publiques

    Les meurtriers d’Assane Diop, Oncle de l’ancien Maire de Thiès-Nord, arrêtés après des mois de cavale

    La traque des meurtriers d’Assane Diop, vigile au marché Ngelaw de Thiès et oncle de l’ancien maire de Thiès-Nord, Birame Soulèye Diop, a finalement abouti à l’arrestation de trois suspects. Après des mois d’enquête intensive, les éléments du commissariat central de Thiès ont réussi à appréhender A. D., A. G. et O. N., qui ont tous avoué leur implication dans le crime lors de leur interrogatoire.

    Le tragique événement s’est déroulé dans la nuit du vendredi 26 au samedi 27 janvier 2024, lorsque Assane Diop, âgé de 65 ans, a été violemment agressé et égorgé par trois individus au marché Ngelaw de Thiès. Son corps sans vie a été découvert tôt le matin, provoquant une onde de choc dans la communauté.

    L’enquête minutieuse menée par les forces de l’ordre a permis d’identifier formellement les trois auteurs du crime, grâce à un renseignement crucial provenant du milieu interlope. Les suspects, déjà incarcérés pour une autre affaire d’agression, ont été immédiatement extraits de leur cellule pour être interrogés sur le meurtre d’Assane Diop. L’un des suspects a avoué le crime, conduisant ainsi à l’arrestation de ses complices.

    Selon les aveux des suspects, Assane Diop aurait surpris les voleurs en flagrant délit de cambriolage au marché Ngelaw. Il aurait alors été attaqué, torturé et finalement égorgé par les malfaiteurs. La reconstitution du crime, supervisée par le commissaire Malick Kane et son équipe, a eu lieu sur les lieux du drame en présence du procureur intérimaire près le tribunal de grande instance. Les détails macabres de l’assassinat ont été immortalisés par des prises de vue et seront utilisés comme éléments de preuve lors du procès.

    L’enquête a également révélé que les trois suspects sont impliqués dans d’autres actes de violence commis à Thiès. Ils sont actuellement en garde à vue dans les locaux du commissariat central de Thiès pour association de malfaiteurs et assassinat avec acte de barbarie, en attendant leur comparution devant le parquet.

    Cette arrestation marque une étape cruciale dans la quête de justice pour Assane Diop et sa famille. Elle témoigne également de l’engagement des forces de l’ordre à combattre la criminalité et à assurer la sécurité des citoyens dans la région de Thiès.

    Rapatriement de 131 migrants sénégalais du Maroc : Une opération humanitaire coordonnée

    À partir de mardi prochain, un total de 131 migrants sénégalais, séjournant dans les centres d’accueil de Bir-Gandouz et d’Argoub au Maroc, seront rapatriés vers le Sénégal. Cette initiative découle des efforts conjoints entre les autorités sénégalaises et marocaines pour assurer la sécurité et le bien-être de ces ressortissants.

    Selon une source diplomatique, ces migrants ont été secourus dans l’océan Atlantique par la marine royale marocaine les 26 avril et 1er mai 2024. Après avoir séjourné dans les centres d’accueil, ils seront désormais rapatriés vers leur pays d’origine.

    Le premier convoi, composé de ces 131 ressortissants sénégalais, quittera le poste frontière de Guerguerate le mardi 21 mai 2024 à 10 heures pour arriver à Saint-Louis le lendemain en début d’après-midi. Cette opération de rapatriement s’inscrit dans le cadre des efforts visant à faciliter le retour sécurisé des migrants vers leur terre natale.

    Par ailleurs, il est signalé qu’aucune embarcation n’est arrivée dans la région de Dakhla-Oued entre le 2 et le 18 mai 2024. Cette information a été confirmée par la représentation diplomatique du Sénégal à Dakhla, une région du sud marocain.

    Ce rapatriement témoigne de l’engagement des autorités sénégalaises et marocaines à traiter de manière humanitaire la question des migrants en situation de vulnérabilité. Il souligne également l’importance de la coopération internationale dans la gestion des flux migratoires et la protection des droits des migrants.

    Démantèlement d’un réseau de trafic de drogue à Kédougou : Un Guinéen arrêté avec 2 kg de chanvre indien

    La brigade de proximité de la gendarmerie de Mako a récemment mis fin aux activités d’un réseau de trafic de drogue opérant dans la région de Kédougou. Dans une opération menée dans la nuit du mercredi au jeudi vers 2 heures du matin, les gendarmes ont agi sur la base d’informations concernant un trafic de drogue dirigé par un ressortissant guinéen.

    La descente des forces de l’ordre au village de Tenkotoding, situé dans la commune de Tomboronkoto à Kédougou, s’est soldée par un succès. Les gendarmes ont organisé une opération où ils ont simulé une commande de 2 kg de drogue auprès du suspect âgé de 58 ans. Ce dernier, sans se méfier, s’est rendu au rendez-vous avec son colis.

    Sur place, il a été appréhendé par les autorités et conduit dans les locaux de la brigade de Mako pour être interrogé. Après la période légale de garde à vue, le trafiquant sera déféré demain, vendredi, au parquet de Kédougou pour être jugé. Il est important de souligner que le trafiquant opérait principalement dans les sites d’orpaillage de la région.

    Cette opération réussie démontre l’efficacité et la détermination des forces de l’ordre à lutter contre le trafic de drogue et les activités criminelles dans la région de Kédougou. Elle contribue également à renforcer la sécurité et la tranquillité des citoyens dans cette partie du Sénégal.

    Ousmane Sonko dénonce l’attitude de la Présidence Macron pendant la répression au Sénégal

    Au cœur d’une scène politique marquée par des tensions et des divergences d’opinions, le nouveau Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a récemment soulevé des critiques virulentes à l’égard de l’attitude de la présidence Macron pendant la période de répression politique sous l’ancien président Macky Sall.

    Lors d’une intervention devant des étudiants à Dakar, Ousmane Sonko a exprimé son profond regret quant au silence persistant de la France et de l’Union européenne face à la violente répression qui a secoué le Sénégal. Cette répression, caractérisée par des actes de violence inouïs, a entraîné la mort de plus d’une soixantaine de personnes, des milliers de blessés et la détention de plus de 1 000 prisonniers politiques. Pour Ousmane Sonko, ce silence complice équivaut à une caution indirecte des actes répressifs du gouvernement sénégalais.

    Dans un discours chargé d’émotion, Ousmane Sonko a pointé du doigt le président Emmanuel Macron, l’accusant d’avoir accueilli et « félicité » son homologue sénégalais au plus fort de la répression. Selon lui, ces gestes ont constitué une incitation tacite à la persécution et à l’exécution de citoyens sénégalais innocents qui ne faisaient que défendre leurs convictions politiques. Cette accusation sans équivoque met en lumière les tensions diplomatiques entre le Sénégal et la France, mettant ainsi en péril les relations bilatérales entre les deux pays.

    Pour comprendre le contexte de ces accusations, il est essentiel de revenir sur la période de répression politique sous l’ancien président Macky Sall. Cette période sombre de l’histoire récente du Sénégal a été marquée par une répression brutale à l’encontre de l’opposition politique et des manifestants. Les protestations pacifiques ont été réprimées avec une violence inouïe, tandis que les voix dissidentes étaient réduites au silence par des arrestations massives et des détentions arbitraires.

    Dans ce climat de répression généralisée, la communauté internationale, et en particulier la France en tant qu’ancienne puissance coloniale, a été largement critiquée pour son silence complice. Malgré les appels répétés à l’action de la part des défenseurs des droits de l’homme et des organisations internationales, les gouvernements européens ont choisi de garder le silence, craignant peut-être de compromettre leurs intérêts économiques et politiques dans la région.

    Cependant, les accusations d’Ousmane Sonko ne se limitent pas seulement à la présidence Macron. Il a également critiqué l’Union européenne pour son inaction face à la répression au Sénégal. Cette critique met en lumière les défis auxquels est confrontée la politique étrangère européenne, souvent critiquée pour son manque de cohérence et d’efficacité dans la défense des droits de l’homme et de la démocratie à l’étranger.

    Il est important de souligner que les déclarations d’Ousmane Sonko ont été faites dans le cadre d’une conférence avec l’opposant de gauche française Jean-Luc Mélenchon. Cette alliance entre les opposants politiques sénégalais et français témoigne de la volonté de construire des ponts entre les mouvements progressistes à travers le monde et de défendre les valeurs démocratiques et les droits de l’homme.

    En conclusion, les accusations d’Ousmane Sonko contre la présidence Macron mettent en lumière les tensions politiques et les divergences d’opinions entre le Sénégal et la France. Ces accusations soulèvent également des questions importantes sur le rôle de la communauté internationale dans la promotion et la protection des droits de l’homme et de la démocratie dans le monde. Il reste à voir comment ces tensions diplomatiques évolueront dans les mois à venir et quelles seront les implications pour les relations bilatérales entre le Sénégal et la France.

    Le Président Sénégalais Bassirou Diomaye Faye en Visite de Travail au Nigeria

    Le Président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, a été chaleureusement accueilli par les autorités nigérianes à son arrivée à l’aéroport international Nnamdi Azikiwe d’Abuja. Sa visite de travail au Nigeria a débuté par un accueil cordial, démontrant ainsi les solides liens d’amitié et de coopération entre les deux nations.

    Le chef de l’État sénégalais a eu l’honneur d’avoir un entretien avec son homologue nigérian, lors duquel les deux chefs d’État ont passé en revue la coopération bilatérale entre le Sénégal et le Nigeria. Lors de cette rencontre fructueuse, ils ont également échangé leurs points de vue sur la situation politique et économique dans la sous-région ouest-africaine.

    Cette visite revêt une importance particulière dans le cadre du renforcement des relations entre le Sénégal et le Nigeria, deux acteurs majeurs en Afrique de l’Ouest. Elle témoigne de l’engagement des deux pays à travailler ensemble pour promouvoir la paix, la sécurité et le développement dans la région.

    Le Président Bassirou Diomaye Faye a exprimé sa gratitude pour l’accueil chaleureux qui lui a été réservé et a souligné l’importance de cette visite pour renforcer les liens d’amitié et de coopération entre le Sénégal et le Nigeria. Il a également réaffirmé l’engagement de son pays à travailler en étroite collaboration avec le Nigeria et les autres pays de la région pour relever les défis communs et saisir les opportunités de développement.

    Cette visite marque une étape importante dans les relations entre le Sénégal et le Nigeria et ouvre la voie à une coopération renforcée dans divers domaines d’intérêt mutuel, notamment le commerce, l’investissement, la sécurité et la stabilité régionale.

    Le Président Bassirou Diomaye Faye est accompagné d’une délégation de haut niveau comprenant des représentants du gouvernement et du secteur privé, démontrant ainsi l’engagement des deux pays à explorer de nouvelles opportunités de collaboration et à promouvoir le développement économique et social de la région.

    Cette visite de travail au Nigeria témoigne de la volonté du Président Bassirou Diomaye Faye de renforcer les relations bilatérales et de promouvoir la coopération régionale pour le bénéfice mutuel des peuples sénégalais et nigérian.

    Lancement officiel des conseils de quartiers à Richard-Toll : Un pas vers une gouvernance locale inclusive

    L’Agence Régionale de Développement (ARD) de Saint-Louis a marqué le début du processus de mise en place des conseils de quartiers à Richard-Toll, dans le cadre d’une initiative visant à promouvoir une gouvernance locale participative et inclusive. La cérémonie de lancement s’est tenue mercredi dernier au quartier Campement Sileymane de Richard-Toll, en présence des autorités administratives, des partenaires techniques et financiers.

    Abdourahmane Guèye, responsable de la division planification et renforcement des capacités et bonne gouvernance à l’ARD de Saint-Louis, a souligné l’importance de cette initiative pour accompagner la commune de Richard-Toll dans sa politique de bonne gouvernance. Il a expliqué que la mise en place des conseils de quartiers est un élément clé de la gouvernance territoriale, favorisant la participation citoyenne et renforçant la gestion des affaires locales.

    Ces conseils de quartiers, en renforçant la coordination entre les acteurs locaux, contribueront à promouvoir le « droit à la ville » et à garantir une gouvernance locale inclusive et équitable dans la municipalité de Richard-Toll. Monsieur Guèye a également appelé à la collaboration de la commune et des délégués de quartier pour une mise en place rapide des conseils dans les douze quartiers, comprenant la formation des bureaux et la mise en place des collectifs pour démarrer rapidement les activités en partenariat avec les différents intervenants.

    Abou Ly, membre du conseil économique, social et environnemental et représentant du maire Amadou Mame Diop, a salué la maturité des candidats et a encouragé le quartier à soutenir le président élu pour mener à bien son travail.

    Le nouveau président du conseil de quartier, Thierno Mountaga Amadou Diallo, s’est engagé, aux côtés des autres membres, à travailler en étroite collaboration pour répondre aux attentes des populations et faire progresser le développement local.

    Ce lancement officiel des conseils de quartiers à Richard-Toll constitue ainsi une étape importante vers une gouvernance locale plus participative et transparente, permettant aux citoyens d’être davantage impliqués dans la prise de décision et la gestion de leurs quartiers.

    Mauvaise qualité des repas au campus de Diourbel de l’UAD : Protestations des étudiants et réponses des autorités

    Les étudiants du campus de Diourbel de l’université Alioune Diop (UAD) de Bambey ont exprimé leur mécontentement face à la mauvaise qualité des repas servis au restaurant universitaire. Jeudi dernier, les étudiants en médecine et en santé communautaire ont organisé une journée sans ticket et ont interrompu leurs activités pédagogiques pour dénoncer cette situation.

    La représentante des étudiants en médecine, Astou Guèye, a déclaré devant la presse que depuis dix jours, le restaurant du campus de Diourbel propose des plats à base de poulets avariés, entraînant même des cas d’intoxication chez certains étudiants. Cette situation alarmante a conduit les étudiants à prendre des mesures drastiques pour attirer l’attention des autorités sur ce problème persistant.

    Face à cette mobilisation des étudiants, le directeur du centre régional des œuvres universitaires sociales (CROUS) de l’université Alioune Diop, Moustapha Guèye, a reconnu qu’il y avait eu des problèmes avec la restauration. Cependant, il a assuré que des mesures étaient prises pour améliorer la situation, notamment par l’acquisition de nouveau matériel et le renforcement de l’équipe de restauration.

    Malgré les efforts annoncés, les étudiants restent vigilants et appellent les autorités à prendre des mesures concrètes pour garantir une alimentation saine et de qualité sur le campus. Ils insistent sur le fait que leurs ventres ne doivent pas servir de décharge pour des repas de mauvaise qualité.

    Le campus de l’UAD à Diourbel, accueillant plus de quatre cents étudiants, dispose d’un seul restaurant universitaire, ce qui rend d’autant plus crucial d’assurer la qualité des repas servis pour la santé et le bien-être des étudiants.

    Lancement d’une réflexion sur le renforcement du secteur informel au Sénégal

    L’université numérique Cheikh Amidou Kane (UN-CHK) a ouvert le débat sur le renforcement du secteur informel lors d’un colloque visant à explorer les voies et moyens pour soutenir cette importante facette de l’économie sénégalaise. L’événement, qui se déroule sur deux jours, marque le début d’une réflexion approfondie en vue de la création future d’une licence, d’un master et ultérieurement d’un doctorat en sociologie économique axé sur le secteur informel.

    Le recteur de l’UN-CHK, le professeur Moussa Lô, a mis en avant l’objectif du colloque, qui vise à fournir un cadre scientifique pour une recherche-action interdisciplinaire visant à renforcer l’ancrage sociétal des groupes professionnels informels. Il a souligné l’engagement de l’université à identifier et à résoudre les principaux obstacles auxquels sont confrontés les travailleurs du secteur informel, tels que l’accès limité aux marchés, aux financements et aux services de soutien.

    L’initiative de l’UN-CHK s’inscrit dans une perspective de développement économique et social durable pour la communauté sénégalaise. En effet, le secteur informel, bien que souvent marginalisé, joue un rôle crucial en tant que pourvoyeur d’emplois et de biens essentiels. Le colloque vise ainsi à élaborer des solutions durables pour promouvoir le secteur informel et renforcer l’économie nationale.

    Pour le professeur Aladji Mamadou Sané, directeur du pôle lettres, sciences humaines et de l’éducation, le secteur informel représente à la fois un défi et une opportunité pour le pays. Malgré sa contribution incontestable à l’économie, il reste confronté à des défis tels que le manque d’accès aux services financiers et la précarité de l’emploi. Il est donc impératif de réfléchir collectivement à des moyens de soutenir et de renforcer ce secteur vital.

    Dr Absa Gassama, enseignante-chercheure à l’UN-CHK et présidente du comité d’organisation incubateurs du secteur informel, a souligné l’importance d’accompagner les acteurs du secteur informel. Des programmes de formation seront mis en place pour aider ces travailleurs à développer leurs entreprises informelles et à accéder à des emplois décents.

    Cette initiative de l’UN-CHK s’inscrit dans une vision à long terme visant à renforcer l’économie sénégalaise et à promouvoir le développement durable à travers tout le pays.

    Mise en œuvre du marché carbone : les acteurs concernés appelés à s’impliquer fortement

    La mise en œuvre du marché carbone au Sénégal suscite un appel à l’action et à l’engagement de la part des acteurs de l’environnement. Lors d’un atelier de validation du Manuel opérationnel pour la mise en œuvre des marchés carbone au Sénégal, la cheffe de la division changement climatique au ministère de l’Environnement et du Développement durable, Madeleine Diouf Sarr, a souligné l’importance d’une forte implication de tous les acteurs concernés.

    Ce manuel opérationnel est conçu pour combler les lacunes dans l’architecture du marché carbone national. Son objectif est de clarifier les règles de fonctionnement du marché et de renforcer le portefeuille de projets environnementaux à l’échelle nationale. Selon Madeleine Sarr, cette initiative contribuera à promouvoir un développement sobre en carbone et résilient au climat, une priorité pour un pays comme le Sénégal, confronté aux effets néfastes du changement climatique.

    L’appel à l’implication concerne tous les acteurs, qu’ils soient du secteur public, privé, de la société civile ou des collectivités locales. Il s’agit de garantir le succès du manuel et d’assurer une mise en œuvre efficace des politiques environnementales dans le pays. Cet engagement est crucial pour répondre aux objectifs nationaux de lutte contre le changement climatique et pour réaliser la Contribution déterminée au niveau national (CDN).

    L’atelier de validation du manuel représente une étape importante dans le processus de mise en place de sources de financement appropriées pour la lutte contre le changement climatique. Il vise également à créer les conditions optimales pour une participation active au marché carbone par toutes les parties prenantes impliquées.

    Pour Libasse Ba, président du comité national sur les changements climatiques, la participation du Sénégal aux marchés internationaux du carbone offre une opportunité majeure pour valoriser les actions du pays en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES). Cette participation peut non seulement contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, mais aussi stimuler le développement économique et social du Sénégal.

    La mise en œuvre du marché carbone au Sénégal représente un engagement majeur dans la lutte contre le changement climatique et offre des opportunités importantes pour le développement durable du pays.

    Nomination de Monsieur Elimane POUYE en tant que Directeur Général de la SOGEPA SN

    La Société de Gestion et d’Exploitation du Patrimoine Bâti de l’État (SOGEPA SN) accueille un nouveau leader en la personne de Monsieur Elimane POUYE, récemment nommé Directeur Général. Cette décision, prise avec discernement, marque une étape significative dans la gestion et la valorisation du patrimoine immobilier de l’État.

    Monsieur Elimane POUYE, Inspecteur des Impôts et des Domaines, apporte avec lui une expertise approfondie et une expérience éprouvée dans le domaine de la gestion patrimoniale. Son parcours professionnel exemplaire et sa connaissance pointue des mécanismes fiscaux en font un choix éclairé pour diriger les destinées de la SOGEPA SN.

    Sa nomination en tant que Directeur Général témoigne de la volonté gouvernementale de rationaliser et d’optimiser la gestion du patrimoine immobilier de l’État. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son dévouement, ainsi que la confiance en sa capacité à dynamiser cette société stratégique pour le développement économique et social du pays.

    En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Elimane POUYE s’engage à mettre en œuvre une gestion transparente et efficace du patrimoine immobilier de l’État. Sa vision stratégique et son leadership éclairé seront des atouts précieux pour valoriser les actifs immobiliers de l’État et en optimiser l’exploitation dans l’intérêt général.

    Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une SOGEPA SN plus performante et plus transparente, contribuant ainsi à la mobilisation des ressources financières pour le développement du pays. Nous sommes convaincus que Monsieur Elimane POUYE saura relever ce défi avec détermination et compétence, et contribuer ainsi à l’amélioration du patrimoine et à la création de valeur pour l’État et pour la nation dans son ensemble.

    En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Elimane POUYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions en tant que Directeur Général de la SOGEPA SN. Puissent ses actions contribuer à l’essor économique et à la valorisation du patrimoine immobilier de notre pays, pour le bien-être et la prospérité de tous.

    Nomination de Monsieur Habib SY en tant que Président du Conseil d’Administration de la Société Nationale d’Électricité (SENELEC)

    Une nouvelle page se tourne pour la Société Nationale d’Électricité (SENELEC) avec la nomination de Monsieur Habib SY au poste de Président du Conseil d’Administration. Cette décision, prise avec discernement, marque une étape cruciale dans la gestion et la direction de cette entreprise stratégique pour le développement énergétique du pays.

    Monsieur Habib SY, Commissaire aux Enquêtes Économiques à la retraite, apporte avec lui une riche expérience et une expertise avérée dans le domaine économique. Sa carrière exemplaire et son dévouement au service de l’intérêt général font de lui un choix judicieux pour diriger les destinées de la SENELEC.

    Sa nomination en tant que Président du Conseil d’Administration témoigne de la volonté gouvernementale de dynamiser et de moderniser le secteur de l’électricité. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son engagement, ainsi que la confiance en sa capacité à piloter cette entreprise stratégique vers de nouveaux horizons de performance et de développement.

    En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Habib SY s’engage à œuvrer pour renforcer la compétitivité et la fiabilité des services de la SENELEC. Sa vision stratégique et son leadership éclairé seront des atouts précieux pour répondre aux défis du secteur de l’électricité et pour garantir un approvisionnement énergétique stable et durable pour le pays.

    Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une SENELEC plus efficace et plus performante, capable de répondre aux besoins croissants en électricité dans un contexte de développement économique et social. Nous sommes convaincus que Monsieur Habib SY saura relever ce défi avec détermination et compétence, et contribuer ainsi à l’amélioration du quotidien des citoyens et au développement économique du pays.

    En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Habib SY et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions en tant que Président du Conseil d’Administration de la SENELEC. Puissent ses actions contribuer à l’avènement d’une ère nouvelle pour la fourniture d’électricité au Sénégal, pour le bien-être et la prospérité de tous.

    Nomination de Monsieur Amadou Mbaye GUISSE en tant qu’Agent Judiciaire de l’État

    Une nouvelle étape est franchie dans l’administration de la justice avec la nomination de Monsieur Amadou Mbaye GUISSE au poste d’Agent Judiciaire de l’État. Cette décision, prise avec discernement, vise à garantir la continuité et l’efficacité des services de l’État dans le domaine juridique.

    Monsieur Amadou Mbaye GUISSE, magistrat expérimenté, apporte avec lui une expertise approfondie et une connaissance pointue du système judiciaire. Son parcours exemplaire dans le domaine de la magistrature fait de lui un candidat idéal pour assumer les responsabilités stratégiques liées à la défense des intérêts de l’État devant les juridictions.

    Sa nomination en tant qu’Agent Judiciaire de l’État témoigne de la volonté gouvernementale de garantir une représentation efficace des intérêts de l’État dans les affaires judiciaires. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son intégrité, ainsi que la confiance en sa capacité à défendre les intérêts de l’État avec impartialité et fermeté.

    En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Amadou Mbaye GUISSE s’engage à assurer une représentation juridique de qualité pour l’État, en conformité avec les principes de justice et d’équité. Son expérience en matière de droit et sa rigueur professionnelle seront des atouts essentiels pour défendre efficacement les intérêts de l’État dans les procédures judiciaires.

    Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une administration judiciaire plus transparente et plus efficiente, au service de l’intérêt général. Nous sommes convaincus que Monsieur Amadou Mbaye GUISSE saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à garantir la primauté du droit et la protection des intérêts de l’État.

    En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Amadou Mbaye GUISSE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions en tant qu’Agent Judiciaire de l’État. Puissent ses actions renforcer la confiance des citoyens dans l’administration de la justice et consolider l’État de droit dans notre pays.

    Nomination de Madame Aïssatou MBODJ en tant que Déléguée Générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ)

    Une nouvelle impulsion est donnée à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ) avec la nomination de Madame Aïssatou MBODJ au poste de Déléguée Générale. Cette décision, prise avec clairvoyance, vise à renforcer et à dynamiser les initiatives en faveur de l’autonomisation économique des femmes et des jeunes entrepreneurs.

    Madame Aïssatou MBODJ, Docteur en Gouvernance Territoriale, apporte avec elle une expertise pointue et une profonde conviction en faveur du développement socio-économique. Son parcours académique remarquable et son engagement dans la gouvernance territoriale font d’elle une candidate idéale pour mener à bien les missions stratégiques de la DER/FJ.

    Sa nomination en tant que Déléguée Générale témoigne de la volonté gouvernementale de placer l’entrepreneuriat des femmes et des jeunes au cœur des priorités nationales en matière de développement économique et social. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son dévouement, ainsi que la confiance en sa capacité à piloter avec succès les programmes visant à promouvoir l’entreprenariat chez ces groupes cibles.

    En assumant ses nouvelles fonctions, Madame Aïssatou MBODJ s’engage à poursuivre et à renforcer les actions entreprises par la DER/FJ, en collaboration avec les différents partenaires et acteurs du développement. Son leadership éclairé, sa vision stratégique et sa capacité à mobiliser les ressources seront des atouts essentiels pour garantir le succès et l’impact positif des initiatives de la DER/FJ.

    Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une augmentation significative du nombre d’entreprises créées et gérées par les femmes et les jeunes, contribuant ainsi à la création d’emplois et à la réduction de la pauvreté dans notre pays. Nous sommes convaincus que Madame Aïssatou MBODJ saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à réaliser les objectifs ambitieux de la DER/FJ.

    En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Madame Aïssatou MBODJ et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions en tant que Déléguée Générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes. Puissent ses actions inspirer et encourager un élan entrepreneurial chez les femmes et les jeunes, pour un développement économique inclusif et durable.

    Nomination de Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE en tant que Secrétaire Général du Ministère du Tourisme et de l’Artisanat

    Une nouvelle ère s’annonce pour le Ministère du Tourisme et de l’Artisanat avec la nomination de Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE au poste de Secrétaire Général. Cette décision, prise avec sagacité par les autorités compétentes, marque une étape décisive dans la promotion du tourisme et de l’artisanat comme leviers de développement économique et culturel.

    Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE, Administrateur Civil Principal, apporte avec lui une expertise avérée et une passion indéfectible pour la promotion du tourisme et de l’artisanat. Son parcours distingué et son engagement sans faille en faveur de la valorisation du patrimoine culturel et de la diversité artisanale en font un acteur essentiel pour relever les défis qui attendent notre secteur du tourisme et de l’artisanat.

    Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer le tourisme et l’artisanat au cœur des stratégies de développement économique et culturel. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son dévouement, ainsi que la confiance en sa capacité à impulser les réformes nécessaires pour dynamiser ces secteurs clés de notre économie.

    En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE s’engage à mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en étroite collaboration avec les acteurs du tourisme, de l’artisanat et du développement local. Son leadership éclairé, sa vision stratégique et son aptitude à mobiliser les énergies seront des atouts majeurs pour promouvoir le tourisme durable, soutenir les artisans et valoriser notre patrimoine culturel.

    Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’un développement touristique harmonieux et d’une promotion accrue de l’artisanat local, contribuant ainsi à la création d’emplois et à la croissance économique dans notre pays. Nous sommes convaincus que Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE saura relever ce défi avec détermination et passion, et contribuer ainsi à bâtir un avenir plus rayonnant pour notre secteur du tourisme et de l’artisanat.

    En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service du tourisme et de l’artisanat. Puissent ses actions inspirer et enrichir notre secteur du tourisme et de l’artisanat, pour le bien-être et l’épanouissement de tous.

    Nomination de Monsieur Gorgui NDIAYE en tant que Secrétaire Général du Ministère de la Microfinance, de l’Économie Sociale et Solidaire

    Le Ministère de la Microfinance, de l’Économie Sociale et Solidaire se dote d’un nouveau pilier en la personne de Monsieur Gorgui NDIAYE, récemment nommé Secrétaire Général. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, marque une étape cruciale dans la promotion de l’économie inclusive et solidaire dans notre pays.

    Monsieur Gorgui NDIAYE, Administrateur Civil Principal, apporte avec lui une solide expérience et une profonde conviction en faveur du développement économique durable et équitable. Son parcours remarquable et son engagement sans faille dans le secteur public font de lui un acteur clé pour relever les défis socio-économiques auxquels notre société est confrontée.

    Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer la microfinance et l’économie sociale et solidaire au cœur des politiques de développement. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son dévouement, ainsi que la confiance en sa capacité à piloter les initiatives visant à renforcer l’inclusion financière et sociale dans notre pays.

    En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Gorgui NDIAYE s’engage à mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en collaboration étroite avec les acteurs du secteur et les organisations de la société civile. Son leadership éclairé, sa vision stratégique et sa capacité à mobiliser les ressources seront des atouts essentiels pour promouvoir l’entrepreneuriat social, soutenir les micro-entreprises et renforcer la résilience des populations les plus vulnérables.

    Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une économie plus inclusive et solidaire, où chaque individu a la possibilité de participer pleinement à la vie économique et sociale. Nous sommes convaincus que Monsieur Gorgui NDIAYE saura relever ce défi avec détermination et engagement, contribuant ainsi à bâtir un avenir plus prospère et plus équitable pour tous.

    En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Gorgui NDIAYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de la microfinance, de l’économie sociale et solidaire. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement notre société, pour le bien-être et la prospérité de tous.

    Nomination de Monsieur Ousmane MBAYE en tant que Secrétaire Général du Ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage

    Le Ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage accueille un nouveau leader en la personne de Monsieur Ousmane MBAYE, désormais nommé Secrétaire Général. Cette décision, prise avec éclairage par les instances dirigeantes, marque une étape capitale dans la promotion de l’agriculture et de la sécurité alimentaire dans notre nation.

    Monsieur Ousmane MBAYE, Commissaire Principal aux Enquêtes Économiques, apporte avec lui une expertise reconnue et un engagement indéfectible en faveur du développement agricole et de la souveraineté alimentaire. Son parcours remarquable et sa contribution significative à l’analyse économique dans le domaine agricole font de lui un atout majeur pour relever les défis complexes qui se posent à notre secteur agricole.

    Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer l’agriculture et la sécurité alimentaire au cœur des préoccupations nationales. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son mérite, ainsi que la confiance en sa capacité à impulser les réformes nécessaires pour moderniser et dynamiser ce secteur vital pour notre économie.

    En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Ousmane MBAYE s’engage à mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en collaboration étroite avec l’ensemble des acteurs concernés. Son leadership éclairé, sa vision stratégique et sa capacité à mobiliser les énergies seront des atouts essentiels pour stimuler la productivité agricole, promouvoir l’accès à une alimentation de qualité et renforcer la résilience de nos agriculteurs face aux défis climatiques et économiques.

    Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une agriculture plus productive, plus durable et plus inclusive, ainsi que d’une sécurité alimentaire renforcée pour l’ensemble de la population. Nous sommes convaincus que Monsieur Ousmane MBAYE saura relever ce défi avec détermination et engagement, contribuant ainsi à bâtir un avenir meilleur pour notre nation.

    En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Ousmane MBAYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de l’élevage. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement notre secteur agricole, pour le bien-être et la prospérité de tous.

    Nomination de Monsieur Moussa DIAGNE en tant que Secrétaire Général du Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture

    Le Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture accueille un nouveau leader en la personne de Monsieur Moussa DIAGNE, récemment nommé Secrétaire Général. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, marque une étape importante dans la promotion de la jeunesse, du sport et de la culture dans notre pays.

    Monsieur Moussa DIAGNE, Administrateur Civil, apporte avec lui une expertise reconnue et une passion indéfectible pour la promotion de la jeunesse, du sport et de la culture. Son engagement en faveur du développement socio-culturel et de l’épanouissement des jeunes en font un acteur clé pour relever les défis qui attendent notre société dans ces domaines cruciaux.

    Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer la jeunesse, le sport et la culture au cœur des priorités nationales. À travers cette nomination, c’est aussi la reconnaissance des compétences et du mérite de Monsieur DIAGNE, ainsi que la confiance en sa capacité à conduire les politiques ambitieuses qui contribueront à l’épanouissement de la jeunesse et à la promotion de la diversité culturelle de notre pays.

    En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Moussa DIAGNE s’engage à mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en collaboration étroite avec les différentes parties prenantes. Son leadership éclairé, sa capacité d’innovation et sa vision inclusive seront des atouts précieux pour dynamiser les secteurs de la jeunesse, du sport et de la culture, et pour favoriser leur contribution au développement global de notre société.

    Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une jeunesse plus engagée, d’une pratique sportive généralisée et d’une promotion accrue de la richesse culturelle de notre pays. Nous sommes convaincus que Monsieur Moussa DIAGNE saura relever ce défi avec détermination et passion, et contribuer ainsi à construire un avenir meilleur pour notre jeunesse et pour notre société dans son ensemble.

    En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Moussa DIAGNE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de la jeunesse, du sport et de la culture. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement la vie de nos concitoyens, pour le bien-être et la prospérité de tous.

    Le Président Bassirou Diomaye Faye entame une visite diplomatique au Nigeria et au Ghana

    Jeudi, le président Bassirou Diomaye Faye a quitté Dakar pour entamer une visite de travail au Nigeria et au Ghana. Au cours de cette tournée diplomatique, le chef de l’État sénégalais prévoit des échanges avec ses homologues des deux pays.

    Cette visite vise à renforcer la coopération bilatérale et l’intégration régionale entre le Sénégal, le Nigeria et le Ghana. Le président Faye cherchera à consolider les relations existantes et à explorer de nouvelles opportunités de collaboration dans divers domaines.

    La présidence sénégalaise a partagé cette information via un message diffusé sur les réseaux sociaux, soulignant ainsi l’importance de ces rencontres pour le développement et la stabilité de la région.

    Opération de démantèlement : 18 personnes arrêtées pour orpaillage clandestin à Saraya

    Les efforts visant à mettre fin aux activités d’orpaillage clandestin se poursuivent dans la région de Saraya, avec une nouvelle opération menée par les éléments de la brigade de gendarmerie territoriale. Après l’opération réussie à Bagué dans la commune de Missira Sirimana, l’adjudant Ndao et son équipe ont mis un terme à des activités illégales d’extraction de substances minérales à Sansamba.

    Lors d’une descente surprise, les forces de l’ordre ont appréhendé seize ressortissants burkinabé et deux Maliens en flagrant délit. En plus des arrestations, un important lot de matériel a été saisi, comprenant dix-sept motos, quatre motopompes, trois groupes électrogènes, deux pompes à eau, six poulies et 21 grammes d’or.

    Actuellement en garde à vue à la brigade de gendarmerie de Saraya, ces dix-huit individus seront présentés au parquet près du tribunal de grande instance de Kédougou pour répondre des accusations d’exploitation illégale de substances minérales et d’altération du domaine forestier.

    double accident sur l’Autoroute : Un mort et deux blessés

    Un tragique double accident s’est déroulé sur l’Autoroute, aux abords de l’école Mariama Niass, ce mercredi 15 mai, entraînant la perte d’une vie et causant des blessures à deux personnes. Tout a commencé lorsqu’un camion, circulant sur la voie d’arrêt d’urgence en direction du Centre de Dakar depuis la Patte d’Oie, a brusquement dévié vers la gauche. En effectuant cette manœuvre, il est entré en collision avec un autre poids lourd se trouvant au milieu de la chaussée. Pour éviter le pire, ce dernier s’est rabattu à gauche, provoquant la collision avec un bus Tata qui circulait sur la voie rapide.

    Les caméras de surveillance publique, scrutées par les enquêteurs de la section Accidents du commissariat central, ont enregistré toute la scène d’horreur à 4 heures 8 minutes, selon les informations relayées par L’Observateur.

    Les images capturées dépeignent une scène chaotique : deux jeunes à moto Jakarta sont témoins du drame. L’un d’eux, après avoir stationné sa moto sur la chaussée, traverse la route pour porter secours aux victimes. Malheureusement, un troisième camion, chargé de béton armé et roulant à vive allure, perd le contrôle de son véhicule en tentant d’éviter le carambolage. Il finit sa course dans les plantes, écrasant le motocycliste qui portait secours.

    La victime décédée, El. Kébé, a été retrouvée sous le camion qui l’a percutée, et son corps a été transporté à l’hôpital de Fann. Les deux blessés, M. Dia et M. Ndiaye, ont quant à eux été conduits dans une autre structure de santé.

    Selon les informations du Groupe futurs médias, le chauffeur d’un des camions impliqués, identifié comme K. Wade, a été placé en garde à vue pour homicide involontaire. Après avoir pris la fuite au moment du constat, il s’est rendu au commissariat central de Dakar vers 15 heures. Les autres chauffeurs ne sont pas encore inquiétés à ce stade de l’enquête.

    Ziguinchor : Découverte tragique d’un nouveau-né dans un canal d’eaux usées

    Une découverte macabre a bouleversé les habitants du quartier Grand-Yoff de Ziguinchor ce mercredi, vers 15 heures. Flottant dans un canal d’eaux usées, ils ont aperçu le corps sans vie d’un nouveau-né enveloppé dans un pagne.

    Selon les informations rapportées par L’Observateur, le bébé est une fille. Le corps présentait des lividités cadavériques sur tout le corps et une partie du cordon ombilical était encore attachée.

    La dépouille a été transportée à l’hôpital régional de Ziguinchor pour y subir une autopsie, tandis qu’une enquête a été ouverte pour élucider les circonstances de cette tragédie.

    « Opposants milliardaires » : La réplique cinglante de Mamoudou Ibra Kane à Waly Diouf Bodian

    La récente déclaration du nouveau directeur général du Port Autonome de Dakar continue de susciter des réactions vives, notamment de la part de Mamoudou Ibra Kane. Pour ce dernier, il est inacceptable qu’une autorité tienne des propos sans fondement, qualifiant certains individus d’« opposants milliardaires ». Le leader du mouvement « Demain, c’est Maintenant » a exigé du DG du PAD qu’il « publie la liste de ces opposants milliardaires s’il en a une ». À défaut, Mamoudou Ibra Kane estime que Waly Diouf Bodian devrait être « démis de ses fonctions ».

    Mamoudou Ibra Kane voit dans cette déclaration une tentative de museler les opposants, avec la justice comme bras armé. Dans un post sur X, celui qui avait soutenu le candidat Amadou Ba écrit : « le régime naissant voudrait réduire l’opposition à sa plus simple expression qu’il ne s’y prendrait pas autrement ». Il souligne le paradoxe de la situation, alors que l’opposant français Jean Luc Mélenchon est reçu, mettant en lumière la différence entre redevabilité et règlement de compte selon lui.

    Fin de la Validité des billets de la gamme BEAC de 1992 : Dernier appel aux détenteurs

    La Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC) annonce la fin imminente de la validité des billets de la gamme BEAC de 1992, incitant les détenteurs à les échanger avant le 1er juin 2024.

    Dans une note d’information publiée récemment, le gouverneur de la BEAC, Yvon Sana Bangui, a informé le public que les billets de la gamme BEAC type 1992 ne seront plus échangeables aux guichets de la BEAC à partir du 1er juin 2024. Cette décision fait suite à une délibération du Comité ministériel de l’Union monétaire de l’Afrique centrale lors de sa session du 7 novembre 2022.

    Les détenteurs de ces billets sont vivement encouragés à se présenter aux guichets de la BEAC avant la date limite munis d’une pièce d’identité pour les échanger. Passé le 1er juin 2024, ces billets n’auront plus aucune valeur et ne pourront plus être échangés.

    Il convient de rappeler que les billets de la gamme BEAC type 1992 ont été démonétisés et privés du cours légal ainsi que du pouvoir libératoire sur l’ensemble du territoire de la communauté depuis le 1er mars 2023. Par conséquent, il est essentiel pour les détenteurs de ces billets de prendre les mesures nécessaires avant la date limite afin d’éviter toute perte financière.

    La BEAC encourage tous les détenteurs de ces billets à agir rapidement et à se conformer à cette nouvelle directive. Pour toute question ou information supplémentaire, les détenteurs peuvent contacter les services de la BEAC.

    Cette annonce marque la conclusion d’un processus de transition monétaire visant à garantir la stabilité et la fiabilité du système financier de la région. La BEAC remercie le public pour sa coopération et sa compréhension tout au long de cette période de transition.

    Pour plus d’informations, veuillez vous référer à la note d’information officielle publiée par la BEAC ou contacter les services compétents de la banque.

    Ziguinchor, le gouverneur de région Mor Talla Tine, invite les autres factions du MFDC (Mouvement des  Forces Democratique de Casamance) a saisir la main tendue de l’état

    Un panel sous le thème « Diakaye un cas d’école », a réuni  hier lundi 13 mai 2024  les acteurs sous l’égide du gouverneur de Ziguinchor Mor Talla Tine. Il  a permis  en plus de célébrer les un an de la signature des accords de paix et le dépôt des armes de faction Mouvement des Forces Démocratique de Casamance de Diakaye  et l’état du Sénégal à  Mongone dans le département de Bignona le 13 mai 2023 et de se projeter sur ce qui reste à faire.

    « Aucune personne, aucun groupe ne doit se sentir exclu du processus. Acceptons tous d’être des ambassadeurs, des acteurs de la paix, une paix dans les cœurs, une paix dans les esprits, conditions sine qua non pour répondre aux attentes multiples des populations. Nous voulons une paix durable et définitive avec une forte contribution de la jeunesse. » A  précisé  le chef de l’exécutif régional Mor Talla Tine en marge du panel

    Selon lui,  » toutes les conditions sont désormais réunies pour que la région de Ziguinchor et la Casamance naturelle tournent définitivement la page du conflit armé pour se tourner résolument vers une dynamique de paix durable et définitive qui est l’ingrédient indispensable pour tout progrès économique et social. Le 13 mai 2023, un pas décisif a été franchi. Bien évidemment, nous sommes conscients qu’il y a encore beaucoup d’efforts à faire pour réussir à faire accepter à toutes les autres factions qui sont encore réticentes d’emprunter la voie de la paix. Un processus de négociation est une œuvre de longue haleine avec des hauts et des bas. Mais, le plus important, c’est que les acteurs affichent leur volonté et leur engagement de dépasser leurs divergences et de privilégier l’intérêt supérieur des populations qui ont longtemps souffert de ce conflit. » Toutefois,  il rendu hommage aux acteurs impliqués, notamment  aux ex-combattants de Diakaye et aux acteurs de la société civile de la région regroupée au sein de la Coordination des organisations de la société civile pour la paix en Casamance (COSPAC), dirigé par Henry Ndecky

    « A ce jour, 180 ex-combattants ont bénéficié du programme d’accompagnement de l’USAID et plus de 50 000 personnes disposeront bientôt d’un extrait de naissance.
    Dix mille adultes des trois départements de la région de Ziguinchor ont déjà obtenu leur extrait de naissance entre 2019 et 2023. Le programme aliwili 2 est en train de financer les projets communautaires dans des villages de la Casamance. La contribution de l’USAID a permis de renforcer la paix et la stabilité dans la zone de Diakaye », a souligné Alyssa Leggoc directrice de l’USAID, promettant de continuer à être aux côtés des populations du Sénégal pour promouvoir la paix et le développement en Casamance. L’USAID a pour objectif d’aider le Sénégal à réaliser ses objectifs de développement inclusif et de recherche d’une paix durable en Casamance.

    Ce panel qui entre dans le cadre de la commémoration de l’an un de l’accord de paix de Mongone a été initié par la société civile de la région de Ziguinchor en partenariat avec l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID).
    Il a enregistré, entre autres, la participation d’ex-combattants de Diakaye, d’élus, des autorités administratives, des acteurs de développement et des représentants de jeunes.
    Les accords de Mongone entre l’état du Sénégal et Mouvement des Forces Démocratique de Casamance signé le 13 mai 2024 a permis au moins à 250 combattants de déposer les armes à travers une cérémonie dédiée. Le panel tenu hier a servi  de faire la situation des accords, le rappel du processus qui a abouti aux accords, qu’elle démarche à suivre et enfin faire un plaidoyer…..

                                                   AS
                               Le Dakarois Ziguinchor

    Nomination de Madame Thioro Mbaye SALL en tant que Secrétaire Générale du Ministère de la Fonction Publique et de la Réforme du Service Public

    Une nouvelle page se tourne pour le Ministère de la Fonction Publique et de la Réforme du Service Public avec la nomination de Madame Thioro Mbaye SALL au poste de Secrétaire Générale. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, marque une étape cruciale dans la modernisation et l’efficacité de l’administration publique.

    Madame Thioro Mbaye SALL, Inspecteur du Travail et de la Sécurité Sociale de Classe Exceptionnelle, incarne l’excellence et la détermination au service de l’intérêt général. Son parcours remarquable et son engagement sans faille en faveur de la promotion de la fonction publique et de l’amélioration du service rendu aux citoyens en font une actrice incontournable dans le paysage administratif national.

    Sa nomination en tant que Secrétaire Générale témoigne de la volonté gouvernementale de placer la réforme de l’administration publique au cœur des priorités nationales. À travers cette nomination, c’est aussi la reconnaissance des compétences et du mérite de Madame SALL, ainsi que la confiance en sa capacité à conduire les réformes nécessaires pour moderniser et professionnaliser la fonction publique.

    En assumant ses nouvelles fonctions, Madame Thioro Mbaye SALL s’engage à mettre en œuvre les politiques de réforme de la fonction publique définies par le Ministère, en collaboration étroite avec l’ensemble des acteurs concernés. Son leadership éclairé, sa rigueur intellectuelle et sa vision stratégique seront des atouts précieux pour faire progresser la qualité des services publics et renforcer la confiance des citoyens dans l’action publique.

    Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une administration publique plus efficace, plus transparente et plus à l’écoute des besoins des citoyens. Nous sommes convaincus que Madame Thioro Mbaye SALL saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à bâtir un État moderne et performant, au service de tous.

    En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Madame Thioro Mbaye SALL et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de la fonction publique et de la réforme du service public. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement l’administration de notre cher pays, pour le bien-être et la prospérité de tous.

    Nomination de Monsieur Serigne MBAYE en tant que Secrétaire Général du Ministère de la Santé et de l’Action Sociale

    Le Ministère de la Santé et de l’Action Sociale accueille un nouveau pilier en la personne de Monsieur Serigne MBAYE, récemment nommé Secrétaire Général. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, reflète la volonté gouvernementale de renforcer les politiques de santé publique et d’action sociale pour le bien-être de tous.

    Monsieur Serigne MBAYE, Administrateur Civil Principal de Classe Exceptionnelle, apporte avec lui une expertise reconnue et une expérience riche dans le domaine de l’administration publique. Son engagement sans faille en faveur de la promotion de la santé et de l’amélioration des conditions de vie des populations en font un acteur clé pour relever les défis complexes auxquels est confronté notre système de santé.

    Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer la santé et le bien-être au cœur des priorités nationales. À travers cette nomination, c’est aussi la reconnaissance des compétences et du mérite de Monsieur MBAYE, ainsi que la confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à l’amélioration de la santé publique et de l’action sociale dans notre pays.

    En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Serigne MBAYE s’engage à œuvrer pour la mise en œuvre des politiques de santé et d’action sociale définies par le Ministère, en collaboration étroite avec l’ensemble des parties prenantes. Son leadership éclairé, sa rigueur intellectuelle et sa vision stratégique seront des atouts précieux pour faire face aux défis de santé publique et sociaux qui se posent à notre société.

    Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une santé accessible à tous, d’une action sociale renforcée et d’une amélioration significative du bien-être des populations les plus vulnérables. Nous sommes convaincus que Monsieur Serigne MBAYE saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à bâtir un avenir meilleur pour notre pays.

    En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Serigne MBAYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de la santé et de l’action sociale. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement le secteur de la santé et le tissu social de notre cher pays, pour le bien-être et la prospérité de tous.

    Nomination de Madame Khady Diop MBODJI en tant que Secrétaire Générale du Ministère de l’Éducation Nationale

    Une nouvelle ère s’ouvre pour l’Éducation nationale avec la nomination de Madame Khady Diop MBODJI au poste de Secrétaire Générale du Ministère. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, met en lumière le parcours exemplaire et l’engagement indéfectible de Madame MBODJI en faveur de l’éducation et du développement humain.

    Madame Khady Diop MBODJI, Inspecteur Principal de l’Enseignement Élémentaire de Classe Exceptionnelle, incarne l’excellence et la détermination au service de la jeunesse et de l’éducation. Son expertise dans le domaine de l’enseignement, son engagement envers l’amélioration de la qualité de l’éducation et sa vision progressiste en font une actrice incontournable dans le paysage éducatif national.

    Sa nomination en tant que Secrétaire Générale témoigne de la volonté gouvernementale de placer l’éducation au cœur des priorités nationales et de promouvoir un système éducatif plus inclusif, plus équitable et plus performant. À travers cette nomination, c’est aussi la reconnaissance des compétences et du mérite de Madame MBODJI, ainsi que la confiance en sa capacité à relever les défis complexes qui attendent le secteur de l’éducation.

    En assumant ses nouvelles fonctions, Madame Khady Diop MBODJI s’engage à mettre en œuvre les politiques éducatives définies par le Ministère, en concertation avec l’ensemble des acteurs concernés. Son leadership éclairé, sa rigueur intellectuelle et sa sensibilité aux enjeux sociaux seront des atouts précieux pour construire un système éducatif plus juste et plus performant, capable de former les citoyens de demain dans un monde en constante évolution.

    Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une éducation de qualité accessible à tous, d’une école inclusive et émancipatrice, à même de répondre aux besoins et aux aspirations de chaque enfant et de chaque jeune. Nous sommes convaincus que Madame Khady Diop MBODJI saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à bâtir un avenir meilleur pour notre pays.

    En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Madame Khady Diop MBODJI et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de l’éducation nationale. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement le paysage éducatif de notre cher pays, pour le bien-être et l’épanouissement de toute sa jeunesse.

    Nomination de Madame Mame Sané NDIAYE en tant que Secrétaire Général du Ministère de l’Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement des Territoires

    Le Ministère de l’Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement des Territoires accueille une nouvelle figure de proue en la personne de Madame Mame Sané NDIAYE, récemment nommée Secrétaire Général. Cette nomination, fruit d’une décision éclairée des autorités gouvernementales, reflète la volonté de dynamiser et de moderniser les politiques liées à l’urbanisme et à l’aménagement du territoire.

    Madame Mame Sané NDIAYE, une administratrice civile reconnue pour ses compétences et son dévouement, se voit ainsi confier une mission de haute importance au sein de l’appareil étatique. Son parcours exemplaire et son engagement sans faille en font une alliée de choix pour relever les défis complexes auxquels notre pays est confronté en matière d’urbanisme et de développement territorial.

    Dotée d’une solide expérience dans le domaine de l’administration publique, Madame NDIAYE apporte avec elle une vision novatrice et pragmatique, fondée sur le dialogue et la concertation avec l’ensemble des parties prenantes. Sa nomination témoigne de la volonté gouvernementale de promouvoir une gestion efficiente et transparente des affaires publiques, au service du bien-être des populations et de la construction d’un cadre de vie harmonieux.

    En sa qualité de Secrétaire Général, Madame Mame Sané NDIAYE aura pour mission de coordonner et de mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en collaboration étroite avec les différents acteurs impliqués dans le domaine de l’urbanisme et de l’aménagement des territoires. Son leadership éclairé et sa capacité à fédérer les énergies seront des atouts précieux pour conduire les réformes nécessaires et insuffler une nouvelle dynamique à l’action publique dans ce secteur stratégique.

    Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une gestion plus efficace et plus inclusive de nos villes et de nos territoires, dans le respect des principes de durabilité et d’équité. Nous sommes convaincus que Madame Mame Sané NDIAYE saura relever ce défi avec brio, en mettant son expertise et sa détermination au service de l’intérêt général.

    En cette heureuse occasion, nous adressons nos sincères félicitations à Madame Mame Sané NDIAYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nouvelles responsabilités. Puissent ses efforts contribuer à faire de notre pays un espace urbain et territorial plus inclusif, plus résilient et plus prospère pour tous.

    Nomination de Monsieur Abdoulaye GUEYE en tant que Secrétaire Général du Ministère du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions

    Le Ministère du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions vient de bénéficier d’un nouveau souffle avec la nomination de Monsieur Abdoulaye GUEYE au poste de Secrétaire Général. Cette décision, prise par les plus hautes instances gouvernementales, vient consacrer une carrière exceptionnelle au service de la planification et du développement.

    Monsieur Abdoulaye GUEYE, un cadre de grande valeur, a déjà fait ses preuves en tant que Conseiller en Planification de classe exceptionnelle, où il a démontré un engagement sans faille et une expertise incontestable. Son parcours professionnel témoigne d’une passion pour l’amélioration des conditions de travail, la promotion de l’emploi et le renforcement des relations institutionnelles.

    Sa nomination au poste de Secrétaire Général est une reconnaissance méritée de ses compétences et de sa capacité à mener à bien des missions d’une importance capitale. En assumant cette nouvelle responsabilité, Monsieur GUEYE aura pour mission de mettre en œuvre les politiques et les stratégies du Ministère, en collaboration étroite avec l’ensemble des acteurs concernés.

    Sa vision et son leadership seront des atouts précieux pour relever les défis actuels et futurs liés au monde du travail, dans un contexte marqué par des mutations rapides et des enjeux sociaux majeurs. Son expérience et sa détermination sont des gages de succès pour atteindre les objectifs ambitieux fixés par le Ministère.

    En tant que Secrétaire Général, Monsieur Abdoulaye GUEYE incarne l’espoir d’un avenir meilleur pour tous les travailleurs, les chercheurs d’emploi et les institutions partenaires. Sa nomination suscite ainsi l’enthousiasme et la confiance de l’ensemble de la communauté nationale, qui voit en lui un leader capable de conduire le Ministère vers de nouveaux horizons de progrès et de réussite.

    Nous lui adressons nos plus chaleureuses félicitations et lui souhaitons plein succès dans ses nouvelles fonctions, convaincus qu’il saura faire honneur à la confiance placée en lui et contribuer de manière significative à l’avancement de notre pays dans le domaine crucial du travail, de l’emploi et des relations institutionnelles.

    Ndiogou Diouf nommé Secrétaire général du Ministère de la Famille et des Solidarités

    Une nouvelle figure éminente rejoint les rangs du Ministère de la Famille et des Solidarités avec la nomination de Monsieur Ndiogou Diouf, Economiste de formation. Son matricule de solde est le numéro 653 779/E. Cette nomination reflète l’engagement continu du gouvernement envers le bien-être social et la solidarité nationale.

    Fort de son expertise en économie, Monsieur Diouf apporte une perspective nouvelle et des compétences pointues à un ministère chargé de promouvoir la cohésion sociale, de soutenir les familles et de renforcer les mécanismes de solidarité nationale.

    Sa mission consistera à élaborer et à mettre en œuvre des politiques et des programmes visant à améliorer la qualité de vie des familles, à promouvoir l’égalité des chances et à lutter contre toutes les formes d’exclusion sociale. Il travaillera en étroite collaboration avec les différentes parties prenantes, y compris les organisations de la société civile et les institutions internationales, pour relever les défis complexes auxquels sont confrontés les familles sénégalaises.

    Le Ministère de la Famille et des Solidarités exprime sa confiance en Monsieur Ndiogou Diouf pour mener à bien cette mission cruciale. Sa nomination témoigne de la volonté du gouvernement de placer les questions sociales au cœur de son action et de garantir le bien-être de tous les citoyens, en particulier des plus vulnérables.

    Monsieur Diouf est prêt à relever ce défi avec détermination et engagement, et à contribuer à la construction d’une société sénégalaise plus juste, plus solidaire et plus inclusive.

    Mamadou Bassirou Ndiaye nommé Secrétaire général du Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires

    Le pays avance dans sa quête d’une gestion efficace et durable de ses ressources maritimes avec la nomination de Monsieur Mamadou Bassirou Ndiaye, Magistrat, au poste de Secrétaire général du Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires. Son matricule de solde est le numéro 513 972/C.

    Cette nomination revêt une importance particulière dans un pays où les secteurs de la pêche et des infrastructures maritimes jouent un rôle crucial dans l’économie nationale, contribuant à la sécurité alimentaire, à la création d’emplois et à la croissance économique.

    Monsieur Ndiaye apporte avec lui une solide expérience dans le domaine juridique, qui sera précieuse pour assurer une gouvernance efficace et transparente dans le secteur des pêches et des infrastructures maritimes. Sa mission consistera à travailler en étroite collaboration avec les différentes parties prenantes pour élaborer et mettre en œuvre des politiques et des programmes visant à promouvoir une exploitation durable des ressources marines, à moderniser les infrastructures portuaires et à renforcer la sécurité maritime.

    Le Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires exprime sa confiance en Monsieur Mamadou Bassirou Ndiaye pour relever les défis complexes auxquels le secteur est confronté et pour contribuer à réaliser les objectifs nationaux en matière de développement maritime.

    La nomination de Monsieur Ndiaye témoigne de l’engagement continu du gouvernement envers la bonne gouvernance, la préservation des ressources marines et le développement durable du secteur maritime sénégalais.

    Nouveau Tournant dans l’Affaire des 94 Milliards : Victoire Judiciaire pour…

    Une étape décisive vient d’être franchie dans l’affaire des 94 milliards de francs CFA, qui secoue le pays depuis des années. Au cœur de cette saga juridique, le terrain immatriculé Tf 1451/R, d’une superficie de 200 hectares à Rufisque, est au centre d’un conflit opposant les héritiers de feu Ousmane Mbengue à la SN-HLM et à l’État sénégalais.

    Cette affaire a été marquée par des confrontations virulentes entre l’actuel Premier ministre, Ousmane Sonko, alors inspecteur des Impôts et Domaines, et Mamour Diallo, ancien directeur des Domaines. Mais aujourd’hui, un nouveau chapitre s’ouvre avec une décision judiciaire qui pourrait changer la donne.

    Le Tribunal de grande instance hors classe de Dakar a rendu un verdict favorable aux héritiers de feu Ousmane Mbengue en ordonnant la radiation de la prénotation inscrite sur le titre foncier au profit de la SN-HLM. Cette décision, prise à l’issue d’une audience publique ordinaire en mars dernier, constitue un véritable tournant dans ce litige complexe.

    L’équipe juridique des héritiers, dirigée par Me Assane Dioma Ndiaye, a remporté cette bataille judiciaire contre les représentants de la SN-HLM, mettant ainsi fin à des années de lutte acharnée pour défendre les droits de la famille sur ce précieux patrimoine.

    Cette victoire intervient après une série de démarches judiciaires qui ont abouti à une décision de la Cour d’Appel de Dakar ordonnant le retour du titre foncier à son état initial, sous peine d’astreinte financière.

    Demba Anta Dia, mandataire des héritiers, se réjouit de cette avancée significative et espère que cela permettra à la famille de jouir pleinement de ses droits sur ce bien immobilier, longtemps contesté.

    Cet épisode survient dans un contexte où l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC) a confirmé plusieurs accusations contre Mamour Diallo et d’autres, jetant ainsi une lumière crue sur les pratiques controversées entourant cette affaire.

    L’affaire des 94 milliards continue ainsi de captiver l’attention nationale et pourrait avoir des répercussions politiques et juridiques majeures dans les mois à venir.

    Opérations de sauvetage en mer : Interception de deux pirogues avec des migrants

    La Marine nationale sénégalaise a annoncé aujourd’hui qu’une opération conjointe avec l’Armée de l’air a permis l’interception d’une pirogue transportant 116 migrants, originaires du Sénégal et de la sous-région. L’incident s’est produit à environ 100 km au large de Dakar.

    Cette interception survient à la suite d’une autre opération menée il y a deux jours, le 13 mai, où une pirogue partie de Bargny a été interceptée à 30 km au large de Dakar. Cette action a été coordonnée par le Patrouilleur de haute mer (PHM) NIANI.

    Au total, 252 personnes, comprenant les occupants des deux pirogues, ont été secourues et remises aux services compétents. Ces opérations de sauvetage en mer sont cruciales pour prévenir les tragédies et assurer la sécurité des migrants qui entreprennent souvent des voyages périlleux dans l’espoir d’une vie meilleure.

    Le Dakarois Quotidien N°177 – du 16/05/2024

    🔴 RÉDUCTION DU COÛT DE LA VIE CE 15 MAI : JUSQUE-LÀ…TOUSS…NADA…RIEN !
    🔴 NOMINATIONS PARTISANES DU DUO DIOMAYE-SONKO : LE « TONG-TONG » AVANT « TAMXARITE »

    Fary Seye désigné Secrétaire général du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation

    Dans le cadre des récentes nominations lors du Conseil des ministres du 15 mai 2024, Monsieur Fary Seye, Administrateur civil principal, s’est vu confier le poste de Secrétaire général du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Son matricule de solde est le numéro 510 493/F.

    Cette nomination témoigne de la volonté du gouvernement sénégalais de renforcer le secteur de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, des domaines cruciaux pour le développement socio-économique du pays. Fort de son expérience en administration civile, Monsieur Seye apporte une expertise précieuse pour la coordination des activités du ministère et la mise en œuvre de politiques visant à promouvoir l’excellence académique et la recherche scientifique.

    Sa mission consistera notamment à œuvrer pour l’amélioration de la qualité de l’enseignement supérieur, la promotion de la recherche scientifique et technologique, ainsi que le développement de l’innovation et de l’entrepreneuriat dans le domaine de l’éducation. Il devra également veiller à renforcer les liens entre les universités, les centres de recherche et le secteur privé, afin de favoriser la valorisation des résultats de la recherche et leur transfert vers le marché.

    Le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation exprime sa confiance en Monsieur Fary Seye pour mener à bien cette mission stratégique et contribuer à l’avancement du système éducatif et scientifique du Sénégal. Sa nomination reflète l’engagement continu du gouvernement à investir dans l’éducation et l’innovation en tant que leviers essentiels pour la croissance et le progrès du pays.

    Makhtar Lakh nommé Secrétaire général du Ministère de l’Industrie et du Commerce

    Le paysage ministériel sénégalais voit l’arrivée de Monsieur Makhtar Lakh, Commissaire aux enquêtes économiques principal, au poste de Secrétaire général du Ministère de l’Industrie et du Commerce. Son matricule de solde est le numéro 604 656/E.

    Cette nomination intervient dans un contexte où le gouvernement s’efforce de dynamiser le secteur industriel et commercial pour stimuler la croissance économique et renforcer la compétitivité du pays sur les marchés nationaux et internationaux.

    Fort de son expérience en enquêtes économiques, Monsieur Lakh apporte une expertise précieuse pour la coordination des activités du ministère, notamment en matière de politiques industrielles et commerciales. Sa mission consistera à soutenir le développement des industries locales, à promouvoir les exportations, à faciliter l’accès aux marchés pour les entreprises sénégalaises, et à favoriser un environnement propice aux investissements dans le secteur industriel et commercial.

    Le Ministère de l’Industrie et du Commerce exprime sa confiance en Monsieur Makhtar Lakh pour relever les défis à venir et mettre en œuvre des stratégies innovantes visant à stimuler la croissance économique, à créer des emplois et à promouvoir le développement durable. Sa nomination illustre l’engagement continu du gouvernement à faire de l’industrie et du commerce des moteurs essentiels de la prospérité et du progrès pour le peuple sénégalais.

    Baboucar Mboundor Ngom nommé Secrétaire général du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement

    Lors du conseil des ministres du 15 mai 2024, Monsieur Baboucar Mboundor Ngom a été désigné pour occuper le poste stratégique de Secrétaire général du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement. Administrateur civil de formation, il est détenteur du matricule de solde numéro 661 345/C.

    Cette nomination intervient dans un contexte crucial où la gestion durable de l’eau et l’amélioration des infrastructures d’assainissement constituent des priorités majeures pour le gouvernement sénégalais.

    Monsieur Ngom apporte avec lui une expertise avérée dans le domaine de l’administration publique, ainsi qu’une connaissance approfondie des enjeux liés à l’hydraulique et à l’assainissement. Sa capacité à élaborer et à mettre en œuvre des politiques efficaces dans ces domaines sera un atout essentiel pour le Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement.

    Sa mission consistera notamment à coordonner les différentes actions visant à garantir un accès durable à l’eau potable pour tous les citoyens sénégalais, ainsi qu’à améliorer les infrastructures d’assainissement pour préserver la santé publique et l’environnement.

    Le Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement se félicite de la nomination de Monsieur Baboucar Mboundor Ngom à la tête de sa direction générale et exprime sa confiance en sa capacité à relever les défis du secteur. Sa nomination témoigne de l’engagement continu du gouvernement sénégalais en faveur de l’amélioration des conditions de vie des populations à travers une gestion efficiente des ressources en eau et des infrastructures d’assainissement.

    Fatou Bintou Ndiaye nommée Secrétaire général du Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique

    Lors du Conseil des ministres du 15 mai 2024, Madame Fatou Bintou Ndiaye a été nommée Secrétaire général du Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique. Magistrat de profession, elle détient le matricule de solde numéro 616 187/K.

    Cette nomination intervient à un moment crucial où les domaines de la communication, des télécommunications et du numérique jouent un rôle de plus en plus vital dans le développement socio-économique du Sénégal. Madame Ndiaye apporte avec elle une vaste expérience dans le domaine juridique ainsi qu’une connaissance approfondie des enjeux liés aux technologies de l’information et de la communication (TIC).

    Sa mission consistera notamment à coordonner les activités du ministère et à mettre en œuvre des politiques visant à promouvoir l’accès aux communications et aux technologies numériques à travers le pays. Elle devra également veiller à l’amélioration de la gouvernance dans le secteur des télécommunications et à la protection des droits des utilisateurs.

    Le Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique se réjouit de la nomination de Madame Fatou Bintou Ndiaye à ce poste stratégique et exprime sa confiance en sa capacité à relever les défis du secteur. Sa nomination témoigne de l’engagement continu du gouvernement sénégalais en faveur de la promotion des technologies de l’information et de la communication pour un développement inclusif et durable.

    Affaire d’escroquerie : Trois nouvelles plaintes déposées contre le lutteur Lac de Guiers 2

    Dans le monde feutré de la lutte sénégalaise, une affaire retentissante secoue les cercles sportifs et médiatiques. Lac de Guiers 2, célèbre lutteur et leader de l’écurie Walo, se retrouve au cœur d’un scandale d’escroquerie. Après son arrestation récente, de nouvelles révélations viennent élargir le spectre des préjudices présumés causés par ses agissements.

    L’affaire débute par l’arrestation de Lac de Guiers 2 pour son implication présumée dans une affaire d’escroquerie. Cette arrestation, initialement liée à une plainte déposée par une victime, a ouvert la voie à une série de révélations accablantes. Trois nouvelles personnes, portant le nombre total de plaignants à neuf, se sont présentées aux autorités pour dénoncer des pratiques frauduleuses attribuées au lutteur.

    Le préjudice financier provisoire, évalué à 21 millions de francs CFA, témoigne de l’étendue des dommages allégués. Ces accusations ne sont pas à prendre à la légère, d’autant plus qu’elles touchent un personnage aussi influent que Lac de Guiers 2. Parmi les plaignants figurent une femme ainsi que des jeunes, mettant en lumière l’impact potentiellement dévastateur de ces actions sur des individus variés et vulnérables.

    Un autre élément clé de l’affaire est la fuite présumée de l’acolyte de Lac de Guiers 2, identifié comme A. S. Diagne. Les autorités soupçonnent que cet individu aurait également joué un rôle central dans les manœuvres frauduleuses. Sa cavale, notamment en Europe, complique l’enquête et soulève des questions sur d’éventuelles complicités et ramifications internationales dans cette affaire.

    L’arrestation de Lac de Guiers 2 a suscité un profond émoi dans le monde de la lutte sénégalaise, traditionnellement considéré comme un bastion de valeurs telles que l’intégrité et l’honneur. Cette affaire soulève des questions cruciales sur la confiance et la responsabilité des figures publiques, en particulier dans le domaine du sport, où l’influence des icônes peut être immense. Les développements ultérieurs de cette affaire seront suivis de près par l’opinion publique, ainsi que par les acteurs du monde de la lutte et des autorités judiciaires.

    Mamadou Camara Fall nommé Secrétaire général du Ministère de la Formation Professionnelle

    Lors du dernier conseil des ministres du 15 mai 2024, Monsieur Mamadou Camara Fall a été désigné pour occuper le poste stratégique de Secrétaire général du Ministère de la Formation Professionnelle. Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale de profession, il est titulaire du matricule de solde numéro 515 710/C.

    Cette nomination revêt une importance particulière dans un contexte où le renforcement des compétences professionnelles et l’adaptation aux évolutions du marché du travail sont des enjeux cruciaux pour le développement économique et social du Sénégal.

    Fort de son expérience en tant qu’Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale, Monsieur Fall apporte une expertise pointue dans le domaine des relations professionnelles, de la législation du travail et de la sécurité au travail. Sa connaissance approfondie des questions liées à l’emploi et à la formation sera un atout précieux pour le Ministère de la Formation Professionnelle.

    Sa mission consistera notamment à élaborer et à mettre en œuvre des politiques visant à améliorer la qualité et la pertinence des formations professionnelles, à renforcer les liens entre les centres de formation et les entreprises, ainsi qu’à favoriser l’insertion professionnelle des jeunes et des demandeurs d’emploi.

    Le Ministère de la Formation Professionnelle se réjouit de l’arrivée de Monsieur Mamadou Camara Fall à la tête de sa direction générale et exprime sa confiance en sa capacité à relever les défis du secteur de la formation professionnelle. Sa nomination témoigne de l’engagement du gouvernement sénégalais en faveur du développement des compétences et de l’employabilité de la main-d’œuvre nationale, dans le cadre de la vision d’un Sénégal émergent et prospère.

    Fodé Fall nommé Secrétaire général du Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique

    Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Fodé Fall a été désigné pour occuper le poste de Secrétaire général du Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique. Administrateur civil de formation, il dispose du matricule de solde numéro 616 290/R.

    Cette nomination intervient dans un contexte où la préservation de l’environnement et la transition écologique sont au cœur des préoccupations mondiales. Le Sénégal, engagé dans une dynamique de développement durable, confie à Monsieur Fall la responsabilité de coordonner les actions visant à protéger l’environnement et à promouvoir des pratiques écologiquement responsables.

    En tant qu’Administrateur civil, Monsieur Fall apporte une expertise administrative précieuse qui sera mise au service de la mise en œuvre des politiques environnementales du pays. Sa connaissance des rouages de l’administration publique lui permettra d’assurer une gestion efficace des ressources et des programmes du Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique.

    Sa nomination reflète l’importance accordée par le gouvernement sénégalais à la protection de l’environnement et à la lutte contre les changements climatiques. Monsieur Fall aura pour mission de superviser la mise en œuvre des politiques de préservation de la biodiversité, de lutte contre la déforestation, de gestion durable des ressources naturelles, ainsi que de promotion des énergies renouvelables.

    Le Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique se félicite de l’arrivée de Monsieur Fodé Fall à la tête de sa direction générale et exprime sa confiance en sa capacité à relever les défis environnementaux auxquels le pays est confronté. Sa nomination marque une étape importante dans les efforts du gouvernement sénégalais pour construire un avenir plus durable et résilient pour tous.

    Football féminin D2 : L’AS Kaffrine bat Férus du Foot de Louga

    Dans un match hautement attendu cet après-midi, l’AS Kaffrine a dominé Férus du Foot de Louga avec une victoire convaincante de 3-0. Cette performance renforce la position de l’AS Kaffrine dans le classement alors que Férus du Foot de Louga continue de lutter en bas de tableau.

    L’AS Kaffrine, actuellement classée 3e avec 23 points, a démontré sa détermination à briguer la montée en D1 avec cette victoire. Chaque point est crucial à ce stade de la compétition, et cette victoire apporte un nouvel élan à l’équipe qui abordera la dernière journée avec confiance.

    En revanche, la défaite à domicile est un coup dur pour Férus du Foot de Louga, qui occupe la dernière place au classement avec seulement 1 point et une différence de buts de -28. Cette nouvelle défaite ne fait qu’aggraver la situation de l’équipe, qui aura fort à faire pour éviter la relégation.

    La rencontre a sûrement été un spectacle pour les fans présents, mais elle a également des implications importantes pour le dénouement de la saison. L’AS Kaffrine poursuit sa quête de promotion avec détermination, tandis que Férus du Foot de Louga devra redoubler d’efforts pour inverser sa tendance actuelle et éviter la descente en division inférieure.

    Navetanes : Matam accueillera les phases nationales 2024

    La région de Matam, située dans le nord du Sénégal, se prépare à accueillir les phases nationales des Navetanes cette année. Les activités se dérouleront dans plusieurs communes de la région, dont Matam, Ourossogui, Thilogne, Bokidiawé, Agnam, Kanel et Ranérou. Avec la participation de 40 équipes en catégorie seniors, 24 en cadets et 14 troupes théâtrales, ces phases nationales promettent d’être un événement majeur dans le calendrier sportif et culturel du pays.

    Au cœur de cet événement se trouveront des activités sportives telles que la lutte traditionnelle et l’athlétisme, ainsi que des activités récréatives qui renforceront les liens sociaux et culturels entre les différentes communautés. La 37e édition des phases nationales de l’Organisme national de coordination des activités de vacances (ONCAV), prévue du 29 août au 14 septembre, sera placée sous le thème inspirant : « Les ASC, socle du développement économique et social ».

    Un budget de 204 065 000 F CFA a été alloué pour cet événement, avec une contribution majoritaire de 70 % des collectivités territoriales, le reste étant pris en charge par l’ONCAV. Ce financement couvrira divers aspects, notamment les activités sportives, culturelles et scientifiques, le transport, la restauration des délégations et des officiels, ainsi que la sécurité et l’hébergement des délégations et des agents de sécurité.

    Lors du comité régional de développement (CRD) consacré aux préparatifs, présidé par le gouverneur de la région, les différents acteurs ont exprimé leur engagement à relever les défis logistiques et organisationnels. Parmi les priorités figurent notamment la garantie d’un hébergement de qualité, la mise en place de dispositifs de sécurité efficaces, ainsi que des mesures sanitaires et hygiéniques adéquates pour assurer le bien-être de tous les participants et spectateurs.

    Cette annonce a été accueillie avec enthousiasme par la population locale, qui voit dans cet événement une occasion de célébrer le sport, la culture et le vivre-ensemble. Les Navetanes sont bien plus qu’un simple tournoi sportif ; ils représentent un moment de rassemblement et de communion autour des valeurs de solidarité, de fair-play et d’unité nationale.

    La Juventus Turin soulève la 15e Coupe d’Italie : Un triomphe salvateur dans une saison mitigée

    La Juventus Turin a ajouté une page glorieuse à son histoire en remportant la Coupe d’Italie pour la 15e fois de son existence, marquant ainsi un moment de triomphe dans une saison autrement difficile. Dans une finale tendue et disputée, la Juve a triomphé sur l’Atalanta Bergame avec un score étriqué de 1 à 0, s’offrant ainsi un retour tant espéré sur le chemin de la gloire.

    Le Stade olympique de Rome, théâtre de cette confrontation intense, a été le témoin privilégié de la renaissance de la Juventus dans cette compétition prestigieuse. Alors que le club piémontais connaissait des turbulences en championnat, se classant au quatrième rang après une série de résultats décevants, cette victoire en Coupe d’Italie a apporté un baume au cœur des supporters et a redonné espoir aux joueurs.

    Cette 15e conquête de la Coupe d’Italie représente bien plus qu’un simple trophée pour la Juventus. Elle symbolise la ténacité, la résilience et la détermination d’un club à maintenir sa suprématie, même dans les moments les plus difficiles. Pour une équipe habituée aux sommets du football italien et européen, cette saison a été parsemée de défis inattendus, mais la Juve a su puiser dans son héritage prestigieux pour retrouver sa place sur le podium.

    Le chemin vers ce triomphe n’a pas été facile. Tout au long de la compétition, la Juventus a dû affronter des adversaires coriaces, mais elle a su relever le défi avec courage et détermination. En atteignant la finale et en s’imposant face à l’Atalanta Bergame, la Juve a démontré sa capacité à briller même dans les moments de doute et d’incertitude.

    Cette victoire revêt également une signification particulière pour les joueurs et le staff de la Juventus. Après une période de transition et de remaniement de l’équipe, cette Coupe d’Italie représente un premier pas vers la reconstruction et la consolidation. Elle offre un moment de répit dans une saison tumultueuse et rappelle à tous les acteurs du club la grandeur et la fierté qui accompagnent le maillot bianconero.

    Au-delà de l’aspect sportif, cette victoire en Coupe d’Italie a également des implications stratégiques pour la Juventus. Elle renforce la position du club sur la scène nationale et internationale, ravivant ainsi les ambitions et les aspirations des supporters et des dirigeants. Elle offre également une plateforme pour bâtir sur ce succès et poursuivre la quête de nouveaux triomphes dans les compétitions à venir.

    En conclusion, la Juventus Turin peut savourer sa victoire dans cette 15e édition de la Coupe d’Italie avec un sentiment de satisfaction et de soulagement. Dans une saison marquée par les hauts et les bas, cette conquête symbolise la résilience et la détermination d’un club à maintenir sa position parmi les grands. Alors que les projecteurs se tournent vers l’avenir, la Juventus peut se targuer d’avoir ajouté un nouveau chapitre glorieux à son histoire légendaire.

    Défi financier pour la 24e édition du tournoi international de judo de Saint-Louis : Seul 1 % du budget est disponible, lance le président du comité d’organisation

    La 24e édition du prestigieux tournoi international de judo de Saint-Louis se tiendra du 18 au 19 mai 2024 dans la ville tricentenaire. Malgré les défis rencontrés dans sa préparation, cet événement sportif d’envergure promet de réunir des judokas venus de six pays différents. Cependant, le président du comité d’organisation, Ngor Faye, a mis en lumière les difficultés financières auxquelles est confrontée l’organisation, avec seulement 1 % du budget disponible à ce jour.

    Lors d’une conférence de presse mercredi, Ngor Faye a évoqué les nombreux défis rencontrés dans la préparation de ce tournoi international. Parmi eux, le principal obstacle est le manque de soutien financier, notamment en raison du départ de certaines personnes qui appuyaient précédemment l’événement et qui ne sont plus en poste.

    Face à cette situation délicate, Ngor Faye a lancé un appel pressant aux nouvelles autorités pour obtenir leur soutien dans l’organisation de cet événement sportif majeur. Il a également sollicité la présence de la ministre des Sports à l’ouverture de la compétition, prévue le 18 mai au complexe Didier Marie de Sindoné. En outre, le comité d’organisation cherche à obtenir des fonds des partenaires pour compléter le budget total de 37 millions de francs.

    Malgré ces défis, la 24e édition du tournoi international de judo de Saint-Louis s’annonce comme un rendez-vous incontournable pour les passionnés de ce sport. Six pays seront représentés, en plus des clubs sénégalais, offrant ainsi une compétition de haut niveau dans laquelle s’affronteront des judokas de la sous-région et au-delà.

    La 24e édition du tournoi international de judo de Saint-Louis est un événement attendu qui fait face à des défis financiers importants. L’appel lancé par Ngor Faye pour obtenir le soutien des autorités et des partenaires revêt donc une importance cruciale pour la réussite de cette compétition sportive de renommée internationale.

    Communique du conseil des ministres du Mercredi 15 Mai 2024

    Le Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 15 mai 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres, au Palais de la République.

    A l’entame de sa communication, le Président de la République a mis l’accent sur le secteur de l’artisanat qui est un des moteurs de la vie économique et sociale du Sénégal.

    Le Chef de l’Etat a indiqué que l’artisanat contribue au développement de l’apprentissage des jeunes et à la vulgarisation d’un savoir-faire national. Dès lors, le Président de la République a demandé au Gouvernement d’accélérer les réformes juridiques et financières nécessaires pour inscrire l’artisanat dans la dynamique d’une croissance économique endogène et d’un entreprenariat national porteur de progrès social.

    Pour le Président de la République, les politiques de l’Etat dans le secteur de l’artisanat et la stratégie industrielle qui en découlent devront s’inscrire harmonieusement dans le PROJET d’un Sénégal souverain, juste et prospère.

    D’ailleurs, le Chef de l’Etat a informé le Conseil qu’il recevra, prochainement, avec le Premier Ministre et le Ministre en charge de l’artisanat, les présidents des quatorze (14) Chambres des métiers du Sénégal.

    Evoquant la question de la valorisation économique et sociale de notre patrimoine culturel, le Chef de l’Etat a relevé que celle-ci passe d’abord par la promotion de nos langues nationales, nos valeurs culturelles, ainsi que la création littéraire et artistique.

    Le Président de la République a d’ailleurs magnifié l’apport de tous nos artistes, hommes et femmes de culture dans la stabilité sociale et le rayonnement international du Sénégal.

    Le Chef de l’Etat, premier Protecteur des Arts et des Lettres du Sénégal au vu de la Constitution, a ainsi demandé au Gouvernement d’accorder une attention particulière aux aspirations des acteurs du secteur de la culture dans toutes ses composantes mais également de veiller à la capitalisation et au développement de l’expression littéraire, culturelle et artistique sur l’étendue du territoire national.

    Il a invité à la définition consensuelle avec les acteurs, d’un agenda culturel national cohérent et maitrisé capable de positionner le Sénégal en un véritable hub culturel international. 

    Le Président de la République est aussi revenu sur l’impératif de sauvegarder les bâtiments, édifices et sites historiques sur l’ensemble du territoire national par la mise en place d’un nouveau dispositif de préservation du Patrimoine historique dont le classement doit être actualisé et vulgarisé.

    Au titre de son agenda diplomatique, le Chef de l’Etat a rappelé la visite d’amitié et de travail que Son Excellence Monsieur Paul Kagamé, Président du Rwanda a effectuée au Sénégal du 11 au 13 mai 2024.

    Ce séjour a été ponctué par des échanges fructueux sur la coopération entre les deux pays. Enfin, le Président de la République a informé le Conseil qu’il effectuera une visite d’amitié et de travail au Nigéria et au Ghana, respectivement les 16 et 17 mai 2024.

    Dans sa communication au Conseil, le Premier Ministre a fait part des mesures envisageables pour la baisse du coût de la vie, après consultation des représentants des producteurs, des commerçants, des transporteurs ainsi que des associations consuméristes. Les denrées visées sont le riz brisé non parfumé, le pain, le sucre cristallisé et l’huile.

    A la fin de ces concertations, le Premier Ministre remettra un rapport avec des propositions précises à Monsieur le Président de la République.

    Le Premier Ministre a également informé le Conseil de la finalisation, par les départements ministériels, de leurs plans d’action d’urgence.

    Le Président de la République a invité les Ministres à en assurer l’exécution diligente, sur la base des ressources disponibles qui leur seront notifiées par le Ministre des Finances et du Budget.

    Le Premier Ministre a, par ailleurs, rendu compte des principales décisions issues de la réunion interministérielle sur l’évaluation de la préparation du Pèlerinage à La Mecque, édition 2024 et du Conseil interministériel consacré aux préparatifs de la Tabaski 2024.

    Il a, en outre, fait part des conseils interministériels programmés les jeudi 16 et samedi 18 mai 2024, relatifs respectivement à la prévention et à la gestion des inondations ainsi qu’à la préparation des examens et concours 2024. Enfin, le Premier Ministre a évoqué les préparatifs de sa Déclaration de Politique Générale.

    AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES

     le Ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères a fait une communication sur la situation internationale; 

    le Ministre de la Justice, Garde des Sceaux a fait une communication sur le traitement judiciaire du rapport de la Cour des Comptes portant sur la gestion des fonds COVID; 

    Le Ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique a fait une communication sur la plateforme de gestion des offres d’emploi de l’administration ; 

    le Ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des Territoires a fait une communication sur le personnel des collectivités territoriales ;

     le Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage a fait une communication sur les prévisions pluviométriques, la préparation de la campagne de production agricole 2024 et le suivi des exportations de produits horticoles.

    Serigne Ahmadou Bamba Sy nommé Secrétaire général du Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens

    Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Serigne Ahmadou Bamba Sy a été nommé Secrétaire général du Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens. Ingénieur centralien et géomaticien, et expert en sûreté et en management des projets, il apporte à ce poste une expertise solide et variée, ainsi qu’un matricule de solde numéro 751 991/B.

    Sa nomination revêt une importance particulière dans un contexte où les infrastructures et les transports sont des éléments essentiels pour le développement économique et social du Sénégal. En tant qu’Ingénieur centralien, Monsieur Sy possède une formation de haut niveau qui lui confère les compétences nécessaires pour aborder les défis complexes liés à la gestion des infrastructures et des transports.

    Son expérience en sûreté et en management des projets constitue un atout majeur pour assurer la sécurité et la fiabilité des infrastructures de transport, ainsi que pour superviser la mise en œuvre efficace des projets dans ce domaine. Sa connaissance approfondie des systèmes géomatiques lui permettra également de contribuer à une planification et une gestion plus efficaces des infrastructures et des réseaux de transport terrestres et aériens.

    En tant que Secrétaire général, Monsieur Sy sera chargé de coordonner les activités du Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens, de superviser la mise en œuvre des politiques et des programmes dans ce domaine, ainsi que de veiller à l’optimisation des ressources disponibles. Son rôle sera essentiel pour garantir le bon fonctionnement et la modernisation des infrastructures de transport du pays.

    Le Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens se réjouit de l’arrivée de Monsieur Serigne Ahmadou Bamba Sy à ce poste clé et exprime sa confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à l’amélioration et à la pérennisation des infrastructures et des réseaux de transport du Sénégal.

    Arrestation du fils d’Idrissa Seck pour trafic de drogue : Un coup dur pour la famille et la politique sénégalaise

    L’arrestation d’Abdoulaye Seck, fils de l’éminent homme politique sénégalais Idrissa Seck, pour trafic international de drogue, a secoué le pays et révélé les profondes ramifications de la criminalité dans la société sénégalaise. Cette affaire, qui a éclaté avec fracas, met en lumière les défis persistants auxquels sont confrontées les autorités dans leur lutte contre le trafic de drogue et d’autres activités criminelles.

    La nouvelle de l’arrestation d’Abdoulaye Seck a été accueillie avec stupéfaction et consternation par l’opinion publique sénégalaise. En tant que fils d’une figure politique influente, son implication présumée dans un réseau de trafic de drogue a ébranlé les fondements de la confiance du public dans les élites politiques et sociales du pays.

    Selon les informations rapportées par les médias locaux, Abdoulaye Seck aurait été appréhendé en possession de 18 kg de cocaïne lors d’une opération conjointe menée par l’Ocrtis et les forces de sécurité dans plusieurs régions du pays, notamment Dakar, Kaolack et Mbour. Cette saisie spectaculaire a mis en lumière l’ampleur du trafic de drogue et la sophistication des réseaux criminels qui opèrent au Sénégal.

    L’arrestation d’Abdoulaye Seck risque de porter préjudice à la réputation politique d’Idrissa Seck et de son parti, Rewmi. En effet, cette affaire met en lumière les défis auxquels sont confrontés les dirigeants politiques dans la préservation de l’intégrité de leur famille et dans la lutte contre la criminalité. Elle soulève également des questions sur la responsabilité et la transparence des élites politiques dans la gestion des affaires publiques.

    Cette affaire rappelle l’urgence pour les autorités sénégalaises de redoubler d’efforts dans la lutte contre le trafic de drogue et autres formes de criminalité. Il est impératif de renforcer les capacités des forces de sécurité, d’améliorer la coordination entre les différentes agences chargées de l’application de la loi et de garantir un système judiciaire efficace et équitable pour tous les citoyens.

    L’arrestation d’Abdoulaye Seck pour trafic de drogue représente un moment de vérité pour la société sénégalaise. Elle met en lumière les défis auxquels sont confrontées les autorités dans la lutte contre la criminalité et souligne l’importance de l’intégrité et de la responsabilité des élites politiques dans la préservation de la sécurité et de la stabilité du pays.

    Alioune Aïdara Niang nommé Secrétaire Général du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique

    Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Alioune Aïdara Niang a été désigné pour occuper le poste de Secrétaire Général du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Administrateur civil principal et titulaire du matricule de solde numéro 510 569/D, sa nomination témoigne de la confiance placée en lui pour assumer cette responsabilité cruciale au sein du ministère.

    Avec une solide expérience dans le domaine de l’administration publique, Monsieur Niang apporte son expertise à la gestion et à la coordination des activités du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Sa nomination intervient dans un contexte où la préservation de l’ordre public et la sécurité des citoyens sont des enjeux majeurs pour le gouvernement.

    En tant que Secrétaire Général, Monsieur Niang aura pour mission de veiller à la mise en œuvre des politiques et des directives du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Il sera chargé de coordonner les actions des différentes structures et départements relevant du ministère, ainsi que de superviser la gestion des ressources humaines et matérielles.

    Cette nomination reflète l’engagement continu du gouvernement sénégalais à renforcer les capacités opérationnelles et organisationnelles du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Elle souligne également la reconnaissance du professionnalisme et de la compétence de Monsieur Alioune Aïdara Niang dans le domaine de l’administration publique.

    Le Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique se réjouit de l’arrivée de Monsieur Niang à ce poste stratégique et exprime sa confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à la préservation de l’ordre public et à la sécurité des citoyens au Sénégal.

    Cheikh Niane nommé Secrétaire général du Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines

    Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Cheikh Niane a été désigné pour occuper le poste de Secrétaire général du Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines. Ingénieur énergéticien et titulaire du matricule de solde numéro 744 291/M, sa nomination témoigne de la confiance accordée à son expertise pour assumer cette fonction stratégique au sein du ministère.

    Avec une expérience avérée dans le domaine de l’énergie, Monsieur Niane apporte ses connaissances pointues à la gestion et à la coordination des activités du Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines. Sa nomination intervient dans un contexte où la gestion efficace des ressources énergétiques et minières revêt une importance capitale pour le développement économique du pays.

    En tant que Secrétaire général, Monsieur Niane sera chargé de superviser la mise en œuvre des politiques et des directives du Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines. Il aura pour mission de coordonner les actions des différentes entités et départements relevant du ministère, ainsi que de veiller à la gestion efficace des ressources humaines et matérielles.

    Cette nomination s’inscrit dans le cadre des efforts continus du gouvernement sénégalais pour promouvoir une gestion durable et efficiente des ressources énergétiques et minières du pays. Elle témoigne également de la reconnaissance du professionnalisme et de la compétence de Monsieur Cheikh Niane dans le domaine de l’ingénierie énergétique.

    Le Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines se réjouit de l’arrivée de Monsieur Niane à ce poste clé et exprime sa confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à la promotion d’une politique énergétique et minière cohérente et favorable au développement durable du Sénégal.

    Mamadou Diop nommé Secrétaire général du Ministère de la Justice

    Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Mamadou Diop a été nommé Secrétaire général du Ministère de la Justice. Magistrat de profession et détenteur du matricule de solde numéro 603 274/J, cette nomination témoigne de la confiance accordée à cet expert de la justice pour occuper un poste clé au sein du ministère.

    Fort d’une expérience probante dans le domaine judiciaire, Monsieur Diop apporte sa contribution à la gestion et à la coordination des activités du Ministère de la Justice. Sa nomination intervient dans un contexte où le renforcement de l’efficacité et de la transparence du système judiciaire est une priorité pour le gouvernement.

    En tant que Secrétaire général, Monsieur Diop sera chargé de veiller à la mise en œuvre des politiques et des directives du Ministère de la Justice. Son rôle consistera également à assurer la coordination entre les différentes structures et départements au sein du ministère, ainsi qu’à superviser la gestion des ressources humaines et matérielles.

    Cette nomination s’inscrit dans le cadre des efforts continus du gouvernement sénégalais pour promouvoir une justice équitable, accessible et efficace pour tous les citoyens. Elle marque également la reconnaissance du mérite et du professionnalisme de Monsieur Mamadou Diop dans le domaine de la magistrature.

    Le Ministère de la Justice se félicite de l’arrivée de Monsieur Diop à ce poste stratégique et exprime sa confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à l’atteinte des objectifs de réforme et de modernisation de la justice au Sénégal.

    Nominations en conseil des ministres du Mercredi 15 Mai 2024

    Monsieur Mamadou DIOP, Magistrat, matricule de solde numéro 603 274/J, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Justice ;

    Monsieur Alioune Aïdara NIANG, Administrateur civil principal, matricule de solde numéro 510 569/D, est nommé Secrétaire Général du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique ;

    Monsieur Cheikh NIANE, Ingénieur énergéticien, matricule de solde numéro 744 291/M, est nommé Secrétaire général du ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines ;

    Monsieur Serigne Ahmadou Bamba SY, Ingénieur centralien et géomaticien, Expert en sûreté et en management des projets, matricule de solde numéro 751 991/B, est nommé Secrétaire général du Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens ;

    Monsieur Fodé FALL, Administrateur civil, matricule de solde numéro 616 290/R, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique ;

    Monsieur Mamadou Camara FALL, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale, matricule de solde numéro 515 710/C, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Formation professionnelle ;

    Monsieur Baboucar Mboundor NGOM, Administrateur civil, matricule de solde numéro 661 345/C, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement ;

    Madame Fatou Bintou NDIAYE, Magistrat, matricule de solde numéro 616 187/K, est nommée Secrétaire général du Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique ;

    Monsieur Fary SEYE, Administrateur civil principal, matricule de solde numéro 510 493/F, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation ;

    Monsieur Makhtar LAKH, Commissaire aux enquêtes économiques principal, matricule de solde numéro 604 656/E, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Industrie et du Commerce ;

    Monsieur Mamadou Bassirou NDIAYE, Magistrat, matricule de solde numéro 513 972/C, est nommé Secrétaire général du Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires ;

    Monsieur Ndiogou DIOUF, Economiste, matricule de solde numéro 653 779/E, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Famille et des Solidarités ;

    Monsieur Abdoulaye GUEYE, Conseiller en Planification de classe exceptionnelle, matricule de solde numéro 602 820/B, est nommé Secrétaire général du Ministère Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions ;

    Madame Mame Sané NDIAYE, Administrateur civil, matricule de solde numéro 624 552/F, est nommée Secrétaire général du Ministère de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des Territoires ;

    Madame Khady Diop MBODJI, Inspecteur principal de l’Enseignement élémentaire de classe exceptionnelle, matricule de solde numéro 515 822/A, est nommée Secrétaire général du Ministère de l’Education nationale ;

    Monsieur Serigne MBAYE, Administrateur civil principal de classe exceptionnelle, matricule de solde numéro 516 909/H, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Santé et de l’Action sociale ;

    Madame Thioro Mbaye SALL, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale de classe exceptionnelle, matricule de solde numéro 604 145/H, est nommée Secrétaire général du Ministère de la Fonction publique et de la Réforme du Service public ;

    Monsieur Moussa DIAGNE, Administrateur civil, matricule de solde numéro 518 911/C, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture ;

    Monsieur Ousmane MBAYE, Commissaire principal aux enquêtes économiques, matricule de solde numéro 606 932/D, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage ;

    Monsieur Gorgui NDIAYE, Administrateur civil principal, matricule de solde numéro 606 940/G, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Microfinance, de l’Economie sociale et solidaire ;

    Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE, Administrateur civil principal, matricule de solde numéro 608 875/H, est nommé Secrétaire général du Ministère du Tourisme et de l’Artisanat ;

    Madame Aïssatou MBODJ, Docteur en gouvernance territoriale, est nommée Déléguée générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ), en remplacement de Madame Mame Aby SEYE ;

    Monsieur Amadou Mbaye GUISSE, Magistrat, est nommé Agent Judiciaire de l’Etat, en remplacement de Monsieur Yoro Moussa DIALLO ;

    Monsieur Habib SY, Commissaire aux Enquêtes économiques à la retraite, est nommé Président du Conseil d’administration de la Société nationale d’Electricité (SENELEC), en remplacement de Monsieur Serigne Mbaye DIA ;

    Monsieur Elimane POUYE, Inspecteur des Impôts et des Domaines, est nommé Directeur général de la Société de Gestion et d’Exploitation du Patrimoine Bâti de l’Etat (SOGEPA SN), en remplacement de Monsieur Yaya Abdoul KANE ;

    Monsieur Babo Amadou BA, titulaire d’un Doctorat en Sciences de Gestion, est nommé Directeur général du Fonds de Financement de la Formation Professionnelle et Technique (3FPT), en remplacement de Madame Sophie DIALLO ;

    Monsieur Ndane DIAGNE, titulaire d’un MBA en Audit et Contrôle de Gestion, est nommé Directeur de la Société nationale de Commercialisation des Oléagineux du Sénégal (SONACOS SA), en remplacement de Monsieur Kibily TOURE ;

    Monsieur Abdou DIOUF, ingénieur statisticien, est nommé Directeur général de l’Agence nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD), en remplacement de Monsieur Aboubacar Sédikh BEYE ; 

    Monsieur Isidore DIOUF, Expert-comptable, est nommé Directeur général de la Société Sénégal Numérique SA, en remplacement de Monsieur Cheikh BAKHOUM ;

    Monsieur Lamine NIANG, Titulaire d’un Diplôme d’Etudes Supérieures (DESS) en Technologie éducative, est nommé Directeur général de la Société Sénégalaise de Presse et de Publication Le Soleil, en remplacement de Monsieur Yakham MBAYE ;

    Monsieur Dame MBODJ, titulaire d’une Maitrise en Anglais, est nommé Directeur général de la Société de Gestion des Infrastructures Publiques dans les Pôles Urbains de Diamniadio et du Lac Rose (SOGIP SA), en remplacement de Monsieur Mamadou FAYE ;

    Monsieur Lamine Barra LO, Docteur d’Etat en Science politique et Sécurité, est nommé Directeur général de l’Office National de Formation Professionnelle (ONFP), en remplacement de Monsieur Souleymane SOUMARE ;

    Monsieur Toussaint MANGA, Médecin, est nommé Directeur général de la Loterie Nationale Sénégalaise (LONASE), en remplacement de Monsieur Abdourahmane BALDE ;

    Monsieur Diouma KOBOR, Professeur titulaire des Universités, est nommé Directeur général de l’Agence nationale pour les Energies Renouvelables (ANER), en remplacement de Monsieur Tamsir NDIAYE ;

    Monsieur Serigne Fall GUEYE, Titulaire d’un Master 2 en Communication, est nommé Directeur général du Grand Théâtre national, en remplacement de Monsieur Ansoumane SANE ;

    Monsieur Adama NDIAYE, Maitre de Conférences titulaire des Universités, est nommé Directeur général de l’Agence sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT), en remplacement de Monsieur Papa Mahawa DIOUF ;

    Monsieur Babacar NDIAYE, Avocat, est nommé Directeur général de la Société nationale de Recouvrement (SNR), en remplacement de Monsieur Bassirou NGOM ;

    Monsieur Cheikh Ibrahima NDIAYE, Ingénieur des Ponts et Chaussées, est nommé Directeur général de la Société nationale de Gestion du Patrimoine du Train Express Régional (SENTER SA), en remplacement de Monsieur Abdou Ndéné SALL ;

    Monsieur Seydina Oumar TOURE, Titulaire d’un Master 2 en Droit Public, est nommé Directeur général de l’Agence d’Assistance à la Sécurité de Proximité (ASP), en remplacement de Monsieur Mamadou Salif SOW ;

    Monsieur Ndiaga BASSE, Titulaire d’un Doctorat en Management des Affaires, est nommé Directeur général Agence nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie (ANACIM), en remplacement de Monsieur Sidy GUEYE ;

    Monsieur Samba KA, Maitre de conférences titulaire à l’Université du Sine Saloum El Hadj Ibrahima NIASS, est nommé Directeur général de l’Agence nationale de l’Aquaculture (ANA), en remplacement de Madame Tening SENE ;

    Madame Fatima MBENGUE, titulaire d’un Master 2 en Marketing social, est nommée Directeur général de l’Office national des Pupilles de la Nation (ONPN), en remplacement de Monsieur Alpha KOUNTA ;

    Monsieur Diamé SIGNATE, titulaire d’un Master 2 en Droit et Administration des Collectivités locales, est nommé Directeur général de l’Agence de Développement Local (ADL), en remplacement de Monsieur Abdoulaye NDAO ;

    Madame Soukèye DIOP, Ingénieur en Bâtiment et Travaux publics (BTP), est nommée Directeur général du Fonds d’Entretien Routier Autonome (FERA), en remplacement de Monsieur Papa Ibrahima FAYE ;

    Madame Sinna Amadou GAYE, titulaire d’un Master 2 en Gestion de Projets, est nommée Directeur de l’Agence nationale pour l’Emploi des Jeunes (ANPEJ), en remplacement de Monsieur Tamsir FAYE ;

    Madame Marième Soda NDIAYE, titulaire d’un Master 2 en Santé et Environnement, est nommée Directeur général du Commissariat à la Sécurité Alimentaire et à la Résilience, en remplacement de Monsieur Ibrahima DIAO ;

    Monsieur Babacar DIOP, Docteur en Sciences de l’Education, est nommé Directeur du Centre Régional des Œuvres Universitaires de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, en remplacement de Monsieur Ahmadou Bamba KA ;

    Monsieur Ibba SANE, Ingénieur en Planification Economique et Gestion des Organisations, est nommé Directeur général de l’Agence nationale de Relance des Activités Economiques et Sociales en Casamance (ANRAC), en remplacement de Monsieur Ansou SANE ;

    Monsieur Modou Mbéne DIOP, titulaire d’une Maitrise en Langue Etrangère Appliquée option Affaires et commerce international, est nommé Directeur général de l’Agence sénégalaise de Promotion des Exportations (ASEPEX), en remplacement de Madame Zahra Iyane THIAM ;

    Monsieur Bassirou DIOUF, Ingénieur en électrotechnique, est nommé Directeur général du Centre national de Qualification Professionnelle (CNQP), en remplacement de Monsieur Augustin NDIAYE ;

    Madame Diarra SOW, titulaire d’un Master 2 en Géographie, option gestion intégrée de l’Eau, est nommée Directeur général de l’Office des Lacs et Cours d’eau, en remplacement de Monsieur Alioune Badara DIOP ;

    Monsieur Cheikh Ahmet Bassirou SANE, titulaire d’un Doctorat en Ecologie et Gestion des Ecosystèmes, est nommé Directeur de l’Horticulture, en remplacement de Monsieur Macoumba DIOUF.

    Tabaski : Les 15 mesures de Ousmane Sonko pour garantir l’approvisionnement et la sécurité des citoyens

    À l’approche de la fête de Tabaski, le gouvernement sénégalais, sous la direction du Premier ministre Ousmane Sonko, a annoncé une série de 15 mesures visant à assurer un approvisionnement adéquat du marché en moutons et en denrées alimentaires à des prix raisonnables, ainsi que la sécurité et le bien-être des citoyens lors de cette célébration religieuse majeure.

    Lors d’un Conseil interministériel tenu à Diamniadio, le Premier ministre a chargé plusieurs ministres de veiller à la mise en œuvre de ces mesures cruciales. Parmi les points saillants de ces mesures figurent :

    1. L’assouplissement du contrôle des camions et véhicules transportant des moutons à destination du Sénégal, en garantissant la sécurité routière.
    2. L’identification, l’aménagement et la sécurisation des points de vente avec les commodités nécessaires par les gouverneurs des régions.
    3. La facilitation de l’importation de moutons en provenance de Mauritanie et du Mali, ainsi que le transit du bétail en provenance de Gambie vers les régions sud du pays.
    4. L’application stricte des mesures d’exonération des droits et taxes sur les moutons de Tabaski à l’entrée du Sénégal.
    5. Le respect de la tarification consensuelle pour le convoyage des animaux afin d’éviter la surenchère.
    6. L’installation de stocks rapprochés d’aliments usinés au niveau des points de vente autorisés.
    7. L’approvisionnement adéquat du marché en denrées de grande consommation et la lutte contre la spéculation.
    8. L’aménagement de points de vente autorisés avec la fourniture d’électricité, d’eau, de tentes, de toilettes et le désencombrement des sites.
    9. La mise en place de points sanitaires rapprochés et bien équipés, ainsi que des équipes de préventionnistes et de communicants sur la sécurité sanitaire et environnementale.
    10. Le désencombrement du parking du stade Léopold Sédar Senghor et le nettoyage du tunnel donnant accès au Foirail des petits ruminants de SOTIBA à Dakar.
    11. L’assurance de la mise à disposition des ressources destinées à l’achat de l’aliment de bétail subventionné.
    12. La diligence dans l’instruction des dossiers de crédit déposés par les opérateurs pour les besoins de l’opération Tabaski 2024.
    13. L’analyse de la problématique des créances impayées des acteurs de l’élevage et des retards de décaissements des fonds de refinancement étatiques.
    14. La disponibilité de mécanismes de financement d’opérations Tabaski sur des durées supérieures à un an.

    Ces mesures témoignent de l’engagement du gouvernement sénégalais à garantir une célébration de Tabaski sécurisée et prospère pour tous les citoyens, tout en assurant un approvisionnement adéquat du marché et en facilitant les conditions d’élevage pour les opérateurs du secteur.

    Nécrologie – Notre confrère Nouah Biaye. endeuillé… Sa grande soeur Mariama Mané n’est plus !

    C’est avec regret que nous avons appris la disparition de la grande sœur notre confrère Nouah Biaye . Survenu ce mercredi à Kaour dans le département de Goudomp.
    En effet, Mariama Mané puisqu’il s’agit d’elle est âgée de 62 ans.
    Elle a été inhumé ce mercredi au cimetière de son village natal
    Toute la rédaction de Le Dakarois le quotidien compatit et présente ses condoléances émues à notre confrère Nouah Biaye et à sa famille éplorée, Que Dieu accueille la disparue dans son paradis céleste au même titre que toute la Oumah Islamique

    Tournée de remobilisation au centre et au sud du pays : L’Apr en mode ‘’Némékou tour’’

    Alors que l’Alliance pour la République (Apr) a été évincée du pouvoir par ses rivaux du Pastef, le parti de Macky Sall affiche une détermination sans faille à occuper le poste d’opposant radical laissé vacant par Bassirou Diomaye Faye, Ousmane Sonko et leurs alliés.

    À peine un mois après la perte du pouvoir, l’Apr lance une vaste opération de remobilisation de ses troupes, avec pour objectif ultime de reconquérir le pouvoir. Forts de la mobilisation de leurs militants à Tambacounda et Kaffrine, qui ont réservé un accueil chaleureux à la délégation envoyée par Macky Sall au Daaka de Médina Gounass, le Secrétariat exécutif national (SEN) de l’Apr décide d’initier le « Némékou Tour ».

    Dans un communiqué signé par le porte-parole national, Seydou Guèye, le SEN de l’Apr exprime sa reconnaissance envers les populations de Kaffrine et de Tambacounda, premières étapes de la tournée nationale de remerciement et de remobilisation. Cette dynamique sera poursuivie à travers des étapes dans les régions de Sédhiou, Kolda, Ziguinchor, Kaolack, Fatick et Diourbel. L’objectif est d’effectuer une évaluation objective des résultats de l’élection présidentielle de mars 2024 et d’analyser le contexte politique actuel à la lumière des premiers actes posés par les nouvelles autorités.

    Le SEN appelle l’ensemble des militants, responsables et sympathisants à se mobiliser pour assurer le succès de ces moments d’animation politique, en mettant en avant la mobilisation, l’ouverture, la solidarité et le consensus. Seydou Guèye et ses collègues encouragent également à maintenir une démarche de proximité et invitent les forces militantes de la majorité présidentielle à se concentrer sur la valorisation du bilan du parti, l’unité, la veille active dans l’intérêt des populations, ainsi que la consolidation et l’élargissement de la coalition.

    Cette tournée s’annonce comme une étape cruciale pour l’Apr dans sa stratégie de reconquête du pouvoir, et elle témoigne de sa volonté de rester un acteur majeur sur l’échiquier politique sénégalais, malgré sa récente défaite électorale.

    Quitter la version mobile