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Vol de Piano à l’Église de Dieuppeul : Un Étudiant Condamné pour un Larcin Insolite

E. O., un étudiant camerounais, a été condamné à deux ans de prison, dont deux mois ferme, pour un vol peu commun commis dans l’église Bethel de Dieuppeul. Selon les informations rapportées par le journal Le Soleil, le jeune homme de 25 ans s’est emparé d’un piano, estimé à 1,2 million de francs, dans le lieu de culte.

Les faits remontent au 14 mars dernier, lorsque le prévenu s’est rendu à l’église pour rencontrer son tuteur, le diacre du lieu. Ne le trouvant pas, il aurait été attiré par le piano qui se trouvait dans la salle et aurait décidé de le dérober. Cependant, il a été découvert grâce aux caméras de surveillance et conduit au commissariat de Dieuppeul.

L’étudiant, placé en garde à vue, a rapidement avoué son méfait, expliquant avoir vendu l’instrument au marché Colobane. Son receleur, identifié sous le nom de S. D., a également été appréhendé. Ce dernier a affirmé que le voleur était accompagné d’un Sénégalais, probablement un interprète, et lui a montré une photo du piano sur son portable.

Malgré les plaidoyers de l’avocat du receleur, Me Ndiack Ba, qui a plaidé la relaxe en arguant que son client ignorait l’origine frauduleuse du piano, la justice a rendu son verdict. E. O. a été condamné à une peine de prison, soulignant ainsi la gravité de son acte.

Ce vol inhabituel a suscité l’émoi et l’étonnement au sein de la communauté, mettant en lumière l’importance de la sécurité dans les lieux de culte et la nécessité de prévenir de tels actes délictueux.

Le Nouveau Gouvernement du Président Bassirou Diomaye Faye : Attente pour la Publication de la Liste

La tension est palpable au Sénégal alors que le pays attend avec impatience la publication de la liste du tout nouveau gouvernement du président Bassirou Diomaye Faye. Annoncée pour ce soir par la télévision nationale, cette liste suscite un vif intérêt tant au sein de la classe politique que parmi la population sénégalaise.

Bassirou Diomaye Faye, âgé de 44 ans, a récemment prêté serment devant les membres du Conseil constitutionnel lors d’une cérémonie publique à la salle des expositions du Centre international de conférences Abdou Diouf de Diamniadio. Cette prestation de serment s’est déroulée en présence de plusieurs chefs d’État africains, marquant ainsi le début officiel de son mandat présidentiel.

La composition du gouvernement est un moment crucial dans la vie politique d’un pays, car elle détermine les priorités et les orientations politiques de l’administration à venir. Les attentes sont donc élevées quant aux personnalités qui seront nommées aux différents postes ministériels.

De nombreuses spéculations circulent déjà sur les potentiels membres du gouvernement, avec des discussions animées dans les cercles politiques et médiatiques. Certains s’attendent à des nominations de figures éminentes de la politique sénégalaise, tandis que d’autres espèrent voir émerger de nouvelles personnalités, représentatives de la diversité et de la jeunesse du pays.

Cette attente pour la publication de la liste du gouvernement reflète l’importance de ce moment pour le Sénégal, qui aspire à une nouvelle ère de gouvernance sous la direction du président Bassirou Diomaye Faye. Les citoyens sont impatients de voir comment le nouveau gouvernement répondra aux défis et aux aspirations du peuple sénégalais, notamment en matière de développement économique, de justice sociale et de lutte contre la corruption.

En conclusion, la publication imminente de la liste du gouvernement marque le début d’un nouveau chapitre dans l’histoire politique du Sénégal. Les attentes sont grandes et les regards sont tournés vers le président Bassirou Diomaye Faye pour former une équipe capable de relever les défis du pays et de réaliser les aspirations de ses citoyens.

Un Arbitre Sénégalais, Issa Sy, Arbitrera le Match Retour Petro Luanda – TP Mazembe en Ligue des Champions CAF

Dans le cadre des quarts de finale de la Ligue des champions de la Confédération africaine de football (CAF), un arbitre sénégalais, Issa Sy, a été sélectionné pour officier le match retour entre le Petro de Luanda et le TP Mazembe. Cette information a été révélée par le journal spécialisé Stade.

La rencontre, prévue pour le samedi prochain, sera cruciale pour les deux équipes après un match aller qui s’est conclu sur un score nul vierge. Ce rendez-vous revêt donc une importance capitale dans la course à la qualification pour les demi-finales de la prestigieuse compétition continentale.

La désignation d’Issa Sy, un arbitre sénégalais, pour diriger cette rencontre atteste de la reconnaissance de la qualité et de la compétence des arbitres sénégalais sur la scène africaine du football. Sa présence au centre du terrain garantit un arbitrage impartial et professionnel, contribuant ainsi au bon déroulement du match.

Cette annonce met en lumière le rôle crucial des arbitres dans le football africain et souligne l’importance de leur contribution au développement et à la promotion du sport sur le continent. La désignation d’un arbitre sénégalais pour un match aussi important renforce également la réputation du Sénégal dans le domaine de l’arbitrage sportif.

Le match entre le Petro de Luanda et le TP Mazembe s’annonce donc comme un rendez-vous captivant, où l’enjeu sera élevé pour les deux équipes. Les supporters peuvent s’attendre à une confrontation intense et disputée, avec Issa Sy prêt à assurer un arbitrage de qualité et à maintenir l’intégrité de la compétition.

La présence d’Issa Sy en tant qu’arbitre central pour ce match retour témoigne de l’engagement du Sénégal dans le football africain et souligne la confiance accordée aux arbitres sénégalais pour garantir des rencontres équitables et compétitives dans les compétitions continentales.

Premier League : Tenu en échec par West Ham, Tottenham de Pape Matar Sarr fait la mauvaise affaire

Très tôt devant au score grâce à Brennan Johnson, Tottenham n’a pas réussi à tenir son avantage jusqu’au bout mardi soir, concédant un nul contre West Ham qui l’empêche de remonter à la quatrième place de Premier League (1-1).

Avec un Pape Matar Sarr qui a démarré sur le banc des remplaçants avant d’entrer en jeu pour les 20 dernières minutes, Tottenham a fait une mauvaise opération mardi en étant tenue en échec sur la pelouse de West Ham (1-1). Face à un adversaire qui sortait d’une défaite renversante contre Newcastle, les Spurs ont manqué l’occasion de réintégrer le top 4.

Les hommes d’Ange Postecoglou avait pourtant très bien engagé cette rencontre. Brennan Johnson a ouvert le score dès la 5e minute de jeu. Toutefois, le défenseur français Kurt Zouma a répondu avec sa tête pour égaliser à la 19e minute. Cinquième au classement, Tottenham est à deux unités de la quatrième place occupée par Aston Villa, avec une journée en retard.

wiwsport

Modou Lô : “Je n’ai aucun doute que Franc va battre Bombardier…”

Mentor de Franc (Jambaar Wrestling Academy) et lui même battu par le B52 il y’a plus huit ans, Modou Lô a prédit la victoire de son poulain qui va défier Bombardier (Mbour) le 1 er mai prochain à l’arène nationale. Le roi des arènes a mis en avant la jeunesse et la soif de victoire de Franc comme facteurs déterminants pour permettre au “Ndiago Or” de venir à bout de la légende de Mbour.

“Franc n’a rien à éviter de Bombardier et je n’ai aucun doute qui va le battre. C’est un jeune lutteur ambitieux et qui travaille beaucoup pour atteindre ses objectifs. Il est jusque là invaincu dans l’arène et j’espère qu’il le sera encore très longtemps. Il est assez mature pour savoir comment aborder ce genre de combat car ça fait maintenant plusieurs années qu’il est dans l’arène. C’est vrai qu’il ne va pas aller à l’abordage car il faut qu’il respecte son adversaire avant de dérouler sa stratégie” a t’il déclaré sur Lutte TV.

LDR/Yeesal Félicite le Président Bassirou Diomaye Faye et Encourage Amadou Ba

Le Comité Directeur du parti Les Libéraux Démocrates Réformateurs (LDR/Yeesal) s’est réuni pour évaluer l’élection présidentielle du 24 mars 2024. Sous la présidence de Modou Diagne Fada, le comité a salué la fiabilité du système électoral sénégalais et la maturité démocratique du pays. Dans un communiqué officiel, le LDR/Yeesal exprime ses chaleureuses félicitations au Président élu, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar Faye, et lui souhaite plein succès dans ses nouvelles fonctions.

Le parti a également exprimé son soutien et ses encouragements au candidat Amadou Ba, qui a représenté la coalition Benno Bokk Yaakaar avec dignité et élégance politique, réalisant un score honorable lors de l’élection présidentielle.

Le LDR/Yeesal a tenu à remercier l’administration territoriale sénégalaise et la direction générale des élections pour leur professionnalisme et leur neutralité dans l’organisation du scrutin. Des remerciements ont également été adressés au Président Macky Sall pour son engagement à garantir la transparence et la démocratie lors de cette élection.

Le communiqué souligne également le respect du choix du peuple sénégalais et prend acte de l’élection de Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar Faye comme cinquième Président de la République du Sénégal. Dans cette nouvelle phase, le LDR/Yeesal affirme son engagement à jouer un rôle constructif dans l’opposition, tout en poursuivant son objectif principal de conquête et d’exercice démocratique du pouvoir au service exclusif du peuple sénégalais.

Cette déclaration reflète l’engagement du LDR/Yeesal envers la démocratie et le respect des institutions, ainsi que sa détermination à jouer un rôle actif dans le paysage politique sénégalais pour le bien-être de la population.

Thierno Bocoum : Des Félicitations Sincères au 5e Président de la République du Sénégal

Le chef de file de AGIR, Thierno Bocoum, a pris la parole pour adresser ses félicitations au cinquième Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, suite à son investiture. Dans un message empreint de respect et de courtoisie, Bocoum exprime ses vœux les plus sincères pour un mandat fructueux et bénéfique pour le peuple sénégalais sous la direction du nouveau chef d’État.

À travers ses paroles, Thierno Bocoum transmet des vœux de succès et de prospérité, exprimant son espoir d’une gouvernance éclairée et axée sur le bien-être de tous les citoyens. En félicitant le président Faye, Bocoum témoigne également de son engagement envers le processus démocratique et l’avenir du Sénégal.

Cette déclaration reflète l’esprit de collaboration et de respect mutuel entre les différents acteurs politiques du pays, mettant en avant l’importance de l’unité et de la solidarité dans la construction d’un avenir meilleur pour tous les Sénégalais.

Les félicitations sincères de Thierno Bocoum au président Bassirou Diomaye Diakhar Faye témoignent de son engagement envers la démocratie et son désir de voir le Sénégal prospérer sous un leadership éclairé et bienveillant.

Drogue Dissimulée dans du Sucre à la Prison de Ziguinchor : Une Livraison Avortée

Une tentative d’introduction de drogue à la prison centrale de Ziguinchor a été déjouée grâce à la vigilance des gardes pénitentiaires. Quatre cornets de chanvre indien ont été découverts dissimulés dans deux kilogrammes de sucre, dans le but de tromper la surveillance des surveillants.

Selon les informations obtenues par Seneweb, le trafiquant présumé, B. A. Diédhiou, âgé de 20 ans et domicilié à Bignona, avait pour mission de livrer la drogue au détenu Y. Sow, également connu sous le nom de « Pouthie », en détention provisoire depuis le 28 août 2023 pour tentative de meurtre.

La drogue, camouflée dans le sucre, était destinée à Y. Sow, mais la vigilance des gardes pénitentiaires a permis de déjouer le plan. Le chef du poste a découvert la cachette lors d’une fouille régulière, et le livreur a été interpellé et remis aux autorités compétentes pour enquête.

Lors de son interrogatoire, B. A. Diédhiou a initialement accusé la petite amie de Y. Sow, identifiée comme N. M. C., d’être à l’origine de la livraison. Cependant, les investigations ultérieures ont révélé que cette dernière était innocente et ignorait tout de cette affaire. Il s’est avéré que le livreur avait faussement impliqué N. M. C. pour se disculper lui-même.

Au terme de l’enquête, B. A. Diédhiou a été déféré pour offre ou cession de chanvre indien en milieu carcéral, tout comme le destinataire de la drogue, Y. Sow alias « Pouthie ». Cette affaire met en lumière les défis auxquels les autorités pénitentiaires sont confrontées dans la lutte contre le trafic de drogue en milieu carcéral, ainsi que l’importance de la vigilance constante pour assurer la sécurité à l’intérieur des prisons.

Mamoudou Ibra Kane : Un Appel à l’Action et des Hommages Bien Mérités

Après l’investiture officielle de Bassirou Diomaye Diakhar Faye en tant que nouveau président de la République du Sénégal, Mamoudou Ibra Kane, fervent soutien du candidat Amadou Ba, a pris la parole pour encourager le nouveau chef de l’État à se mettre au travail dès maintenant. Dans un message succinct mais porteur d’importance, Kane a adressé ses meilleurs vœux de succès au président Faye, exprimant ainsi son engagement envers l’avenir du pays.

« Au travail maintenant! Plein succès au nouveau PR Bassirou Diomaye Diakhar Faye », a déclaré l’ancien président-directeur général d’Emedia, soulignant ainsi l’urgence d’agir pour répondre aux défis et aux attentes du peuple sénégalais.

Tout en se concentrant sur l’avenir, Mamoudou Ibra Kane a également pris le temps de rendre hommage à l’ancien président Macky Sall, lui souhaitant un bon repos après son mandat. Dans une démocratie fonctionnelle, Kane rappelle le rôle distinct de chaque acteur politique, soulignant l’importance de l’opposition et de la société civile dans le processus démocratique.

Par ailleurs, Kane n’a pas manqué de saluer les membres du Conseil constitutionnel, les « sept sages », pour leur sagesse et leur patriotisme dans des moments difficiles. Il reconnaît ainsi leur contribution essentielle à la stabilité et à la pérennité de l’État et de la République sénégalaise.

En résumé, les propos de Mamoudou Ibra Kane reflètent un appel à l’action et à l’unité, ainsi qu’une reconnaissance sincère envers ceux qui ont œuvré pour le bien-être et la stabilité du Sénégal. Alors que le pays entre dans une nouvelle ère sous la présidence de Bassirou Diomaye Diakhar Faye, Kane appelle à l’engagement de tous pour construire un avenir meilleur pour le Sénégal et ses citoyens.

Ziguinchor : Un trafiquant de drogue plonge dans le fleuve pour échapper aux policiers

Un incident insolite a secoué la ville de Ziguinchor, alors qu’un trafiquant de drogue a tenté une évasion spectaculaire en plongeant dans le fleuve Casamance pour échapper à l’arrestation par la police locale. L’histoire de cette évasion risquée est devenue virale, suscitant l’intérêt des médias et de la population locale.

Le suspect, identifié comme N. Mané, un dealer bien connu âgé de 23 ans, a été repéré par les autorités alors qu’il était sur le point de ravitailler ses clients en chanvre indien. Alerté par un renseignement, le commissaire Malick Dieng a organisé une opération de surveillance au niveau du pont Émile Badiane, un lieu stratégique pour intercepter les trafiquants.

Lorsque les policiers ont tenté de l’appréhender, Mané a décidé de prendre des mesures désespérées en plongeant dans les eaux du fleuve Casamance pour échapper à la capture. Cependant, la détermination des forces de l’ordre ne s’est pas laissée ébranler par cette manœuvre audacieuse. Ils ont poursuivi le fugitif à bord d’une pirogue, le traquant à travers les eaux tumultueuses du fleuve.

Après une course-poursuite intense, les policiers ont finalement réussi à maîtriser Mané et à le ramener à terre. Une fouille minutieuse de son sac à dos a révélé la présence de 6,5 kg de chanvre indien, confirmant les soupçons des autorités.

Le dealer présumé a été déféré devant le procureur de la République près le tribunal de grande instance après l’enquête menée par le commissariat central de Ziguinchor. Cet incident met en lumière les défis auxquels les autorités sont confrontées dans leur lutte contre le trafic de drogue, ainsi que la détermination des forces de l’ordre à faire respecter la loi et à maintenir la sécurité dans la région.

L’évasion spectaculaire de N. Mané et son arrestation ultérieure témoignent de la vigilance et de la persévérance des forces de l’ordre face aux tentatives de trafic de drogue dans la région de Ziguinchor. Ce cas souligne également l’importance de la coopération entre les autorités locales et la population pour combattre efficacement ce fléau qui menace la société.

Ibrahim Traoré salue Bassirou Diomaye Faye comme le symbole d’une Afrique décomplexée

Le capitaine Ibrahim Traoré, chef du régime militaire au Burkina Faso, a adressé ses félicitations à M. Bassirou Diomaye Faye, saluant en lui le symbole d’une nouvelle ère pour une Afrique décomplexée, libre et souveraine. Cette déclaration intervient après la prestation de serment de Bassirou Diomaye Faye en tant que cinquième président de la République du Sénégal, un événement qui a marqué le début d’une nouvelle ère pour le pays.

Dans ses propos, le capitaine Ibrahim Traoré exprime son admiration pour le président fraîchement investi, le considérant comme un catalyseur du changement pour tout un continent. En le qualifiant de symbole d’une Afrique décomplexée, libre et souveraine, Traoré met en lumière l’importance de leaderships forts et visionnaires pour l’émancipation et le progrès de l’Afrique.

De plus, en déclarant sa volonté de coopérer avec Bassirou Diomaye Faye pour la rénovation de la coopération sous-régionale et internationale, le chef du régime militaire burkinabè affiche son engagement envers une collaboration constructive entre les nations africaines, essentielle pour faire avancer les intérêts communs et relever les défis régionaux et mondiaux.

Cette déclaration souligne l’importance des relations interafricaines et de la coopération régionale dans la promotion de la paix, de la stabilité et du développement sur le continent. Elle met également en lumière le rôle crucial que les nouveaux dirigeants africains peuvent jouer dans la transformation de leur pays et de la région dans son ensemble.

Les mots d’Ibrahim Traoré reflètent l’espoir et l’optimisme pour un avenir meilleur pour l’Afrique, incarnés par la présidence de Bassirou Diomaye Faye. Ils témoignent de la volonté de coopération et de partenariat entre les nations africaines pour relever les défis communs et réaliser le plein potentiel du continent.

Bassirou Diomaye Faye : Engagement pour une nation juste et prospère

La prise de fonction de Bassirou Diomaye Faye en tant que cinquième président de la République du Sénégal a suscité des réactions positives, mettant en lumière son engagement envers la cohésion nationale et le progrès tant attendu par le peuple sénégalais.

Habib Sy, candidat à l’élection présidentielle du 24 mars dernier, a exprimé son admiration pour la détermination du président Faye à préserver la cohésion nationale dans un pays en quête de prospérité. Il a salué le discours d’investiture du nouveau président, mettant en avant l’importance de la construction d’un Sénégal juste et prospère au sein d’une Afrique en progrès.

Dans son discours inaugural, Bassirou Diomaye Faye a réaffirmé son engagement à travailler sans relâche pour garantir la paix et la cohésion nationale. Il a souligné que son élection représentait un engagement clair du peuple sénégalais en faveur d’un avenir meilleur, à la fois pour le Sénégal et pour l’Afrique dans son ensemble.

Pour Habib Sy, un soutien du président Faye, ces perspectives nationales, sous-régionales, africaines et mondiales présentées dans le discours d’investiture témoignent de l’engagement du président en faveur d’un avenir prometteur pour le Sénégal et le continent africain. Il a qualifié le discours d’investiture de « très belle prestation », exprimant son optimisme quant à la capacité du président Faye à mener à bien sa mission.

Reconnaissant les défis qui attendent le nouveau président, Habib Sy reste convaincu que Bassirou Diomaye Faye est à la hauteur de la tâche qui lui incombe. Avec son expérience politique et ses conseillers dévoués, le président Faye est bien équipé pour faire face aux défis à venir.

En conclusion, l’élection de Bassirou Diomaye Faye marque le début d’une nouvelle ère pour le Sénégal, caractérisée par un engagement renouvelé envers la justice, la prospérité et la cohésion nationale. Sous la direction du président Faye, le Sénégal aspire à un avenir meilleur, où chaque citoyen peut réaliser son plein potentiel et contribuer à la construction d’une nation forte et unie.

Bassirou Diomaye Faye élu président du Sénégal : Une transition vers un nouveau paradigme de gouvernance

L’élection du président Bassirou Diomaye Faye symbolise la volonté du peuple sénégalais ‘’de changer de paradigme dans sa gouvernance et de génération dans son gouvernement’’, a estimé, mardi, le président du Conseil constitutionnel.

Bassirou Diomaye Faye, ‘’choix incontestable et éclatant du peuple sénégalais’’ lors de l’élection présidentielle du 24 mars, symbolise ‘’la volonté de notre peuple de changer de paradigme dans sa gouvernance et de génération dans son gouvernement’’, a déclaré Mamadou Badio Camara, en s’adressant au nouveau de l’Etat lors de sa prestation de serment.

Selon lui, le nouveau président de la République porte désormais sur ses épaules ‘’les espoirs de toute une nation, en particulier de ces jeunes hommes et jeunes femmes, accompagnés parfois d’enfants, dont l’aspiration à un travail digne et une vie décente est encore intacte au point de risquer leurs vies en affrontant les océans ou l’immensité des sables du désert, dans une quête tragique et souvent illusoire d’une vie meilleure, ailleurs’’.

Mamadou Badio Camara a souligné que le serment du président de la République lui commande ‘’de toujours promouvoir et défendre les valeurs africaines en général et sénégalaises en particulier, afin d’encourager l’ouverture de notre pays au monde, à travers la coopération internationale, dans un contexte de lutte contre des idéologies qui divisent et qui stigmatisent’’.

‘’Cette exigence de solidarité, malgré nos diversités culturelles, géographiques, religieuses entre autres, justifie aujourd’hui la présence à vos côtés et aux côtés du peuple sénégalais, de Chefs d’États étrangers, de diplomates et de représentants d’institutions régionales et internationales, venus célébrer avec nous l’une des plus belles fêtes de la démocratie’’, a dit M. Camara, qui a remercié ces chefs d’Etat d’avoir rehaussé de leur présence la solennité de cette audience.

Le président du Conseil constitutionnel a invité le chef de l’Etat à se souvenir, ‘’à l’heure où surgiront les inévitables tentations du pouvoir, l’ivresse de la puissance, les démons de la division,’’ de ‘’la main de Dieu, dont la volonté domine et détermine inéluctablement les moments que nous vivons’’.

‘’Prions que cette bénédiction divine ne cesse de tirer notre pays de tous les traquenards tendus par la main de l’homme, en particulier dans la perspective d’une exploitation prochaine, et porteuse d’espoir, du pétrole et du gaz’’, a lancé Mamadou Badio Camara.

S’adressant au président de la République, il a conclu : ‘’Vous êtes désormais le garant de la démocratie sénégalaise, du respect des institutions, des droits et libertés, gage de la stabilité de l’État et de l’unité du Peuple sénégalais, dans sa diversité. Prions que les espoirs de notre peuple, placés en vous, Monsieur le Président de la République, fleurissent et portent fruits. Que Dieu Le Tout-Puissant vous assiste !’’.

Fatick exprime son attachement à Macky Sall et salue ses réalisations après son départ de la présidence

La ville de Fatick, berceau de l’ancien président sénégalais Macky Sall, témoigne de son attachement et de sa reconnaissance envers celui qui a dirigé le pays pendant douze ans. Alors que Macky Sall achève son mandat présidentiel, les habitants de Fatick expriment un profond sentiment de gratitude envers les réalisations qui ont marqué son règne et ont contribué au développement de leur région.

Durant ses deux mandats présidentiels, Macky Sall a insufflé un nouvel élan de développement à Fatick, à travers la mise en œuvre de projets d’infrastructures majeurs. La ville a vu émerger de nouvelles structures telles que les locaux de la mairie, la grande mosquée, un boulevard et le Tribunal de grande instance, qui ont considérablement amélioré le cadre de vie et ont renforcé l’identité de la région.

Ces réalisations ont eu un impact significatif sur la dynamique économique de Fatick, attirant de nouveaux investisseurs et créant des opportunités d’emploi pour les habitants. De nombreux commerces ont prospéré grâce aux efforts déployés par le gouvernement de Macky Sall pour moderniser les infrastructures de la ville, notamment dans le domaine des transports et de la connectivité.

Le leadership de Macky Sall a également été salué pour son engagement envers le développement humain et social de Fatick. Des programmes d’éducation, de santé et de formation ont été mis en place pour répondre aux besoins de la population locale, offrant ainsi de meilleures perspectives d’avenir pour les habitants de la région.

En outre, la présence constante de Macky Sall à Fatick a renforcé le sentiment d’appartenance des habitants à leur ville natale et a suscité un sentiment de fierté collective. Sa proximité avec la population locale et son engagement envers le développement de la région ont été unanimement salués par les résidents de Fatick.

Alors que Fatick s’apprête à tourner une nouvelle page de son histoire avec l’investiture du nouveau président, Bassirou Diomaye Faye, les habitants expriment leur reconnaissance pour le legs laissé par Macky Sall et leur espoir que les projets lancés sous sa présidence seront poursuivis et achevés avec succès pour le bien-être durable de la communauté de Fatick.

Présence significative du Maroc à l’investiture du président sénégalais : une délégation dirigée par le chef du gouvernement marocain Aziz Akhannouch

Lors de la cérémonie d’investiture du nouveau président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, une délégation de haut niveau dirigée par le chef du gouvernement marocain, Aziz Akhannouch, a marqué l’événement par sa présence remarquée. Cette participation souligne les solides liens d’amitié et de coopération entre le Maroc et le Sénégal, mettant en avant l’importance accordée aux relations bilatérales entre les deux nations.

Accompagné du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, Aziz Akhannouch a représenté le roi Mohammed VI à cette occasion historique. Cette invitation spéciale adressée au roi témoigne de l’estime et du respect mutuel entre les deux pays, ainsi que de leur volonté commune de renforcer leurs liens dans divers domaines.

La délégation marocaine, la seule à recevoir une invitation pour cet événement en dehors des leaders de la sous-région ouest-africaine, a été accueillie chaleureusement. Son déplacement au Sénégal démontre la profondeur des relations de fraternité, de solidarité et de considération entre le Maroc et le Sénégal, ainsi que leur engagement continu en faveur d’une coopération mutuellement bénéfique.

Maghreb Arabe Presse (MAP), l’agence de presse marocaine, souligne également l’importance du partenariat multidimensionnel entre le Maroc et le Sénégal, couvrant les domaines politique, économique, culturel, social et spirituel. La présence de la délégation marocaine à cette cérémonie d’investiture renforce les liens historiques et les échanges fructueux entre les deux pays.

Outre la délégation marocaine, la cérémonie d’investiture a vu la participation de plusieurs chefs d’État de la sous-région ouest-africaine, ainsi que de dignitaires internationaux de premier plan. Cette manifestation témoigne de l’importance de l’événement pour la région et de la volonté de la communauté internationale de soutenir le nouveau président sénégalais dans ses fonctions.

Bassirou Diomaye Faye, âgé de 44 ans, a prêté serment lors de cette cérémonie pour devenir le cinquième président de la République du Sénégal, après avoir remporté la victoire dès le premier tour du scrutin présidentiel du 24 mars dernier avec 54,28% des suffrages.

En conclusion, la présence marocaine à l’investiture du président sénégalais souligne l’importance des liens d’amitié et de coopération entre les deux pays, ainsi que leur engagement commun en faveur de la paix, de la stabilité et du développement régional.

Football/Espagne : Cheikh Sarr, Gardien Sénégalais, Victime d’Insultes Racistes Risque une Lourde Sanction

Une situation troublante s’est déroulée lors d’un match de football en Espagne impliquant Cheikh Sarr, gardien sénégalais du Rayo Majadahonda, évoluant en troisième division espagnole. Samedi dernier, lors d’une confrontation, Sarr a été la cible d’insultes racistes proférées par un spectateur. Alors qu’il tentait de dialoguer avec ce dernier pour comprendre la raison de ces attaques racistes, Sarr a été expulsé du match par l’arbitre.

Lors d’une conférence de presse ce mardi, Sarr a expliqué qu’il avait abordé le spectateur pour lui demander pourquoi il l’insultait. Il a insisté sur le fait qu’il avait abordé la situation de manière pacifique, cherchant simplement à comprendre les motivations de ces insultes. Cependant, l’arbitre lui a infligé un carton rouge, considérant qu’il avait quitté le terrain de jeu pour s’adresser aux spectateurs, ce qui est contraire aux règles du football.

Dans son rapport, l’arbitre a noté que Sarr avait agi de manière agressive envers lui-même, ce que le joueur conteste. Selon Sarr, son intention n’était pas d’agresser l’arbitre, mais simplement de chercher des explications de manière respectueuse. Malheureusement, l’incident a conduit à son expulsion du match.

En plus des gestes déplacés envers l’arbitre, Sarr risque une suspension de quatre à huit matchs en raison de cet incident. Malgré son désir de s’excuser pour sa réaction, Sarr estime que toute sanction à son encontre serait injuste, soulignant qu’il était lui-même victime dans cette situation.

Le soutien de Vinicius Jr, joueur évoluant au Real Madrid, ainsi que celui de ses coéquipiers, a été précieux pour Sarr. Ces derniers ont même refusé de continuer le match après l’expulsion de leur coéquipier, démontrant ainsi leur solidarité envers lui.

Cette affaire soulève une fois de plus la question persistante du racisme dans le football et la nécessité d’une réponse ferme des instances dirigeantes pour lutter contre ce fléau. La décision qui sera prise concernant la sanction de Sarr pourrait avoir des répercussions significatives sur la manière dont le football espagnol aborde les incidents de racisme à l’avenir.

Sénégal : Moustapha Guirassy salue le ‘’discours fédérateur’’ du président de la République

En tant que directeur de campagne de Bassirou Diomaye Faye pendant la campagne électorale, Moustapha Guirassy a souligné l’importance de ce discours, affirmant qu’il avait clarifié l’identité sénégalaise et rappelé l’héritage de lutte porté par de grands hommes du pays.

Moustapha Guirassy a relevé l’appel du président à l’adresse des partenaires et amis du Sénégal, insistant sur le respect des valeurs sénégalaises pour des partenariats sincères. Il a souligné que le président s’efforcera toujours de maintenir la stabilité du pays, comme il l’a promis.

Cet éloge de Moustapha Guirassy témoigne de la confiance et du soutien que le nouveau président de la République a su susciter auprès de ses alliés politiques. Le discours d’investiture de Bassirou Diomaye Faye semble avoir été bien accueilli, car il a réussi à inspirer l’unité et à réaffirmer les valeurs fondamentales du Sénégal.

Il reste à voir comment le président Bassirou Diomaye Faye mettra en œuvre ses engagements et ses promesses, mais pour l’instant, son discours inaugural semble avoir posé les bases d’une présidence axée sur la stabilité, le respect des valeurs et des partenariats sincères.

Macky Sall met à jour sa biographie sur les réseaux sociaux : Un signe de transition officielle

Après douze ans à la tête de l’État sénégalais, le mandat de Macky Sall a pris fin le mardi 2 avril 2024. Ce jour a également marqué la passation de pouvoir à son successeur, Bassirou Diomaye Faye. Dans un geste symbolique de transition officielle, Macky Sall a apporté des modifications significatives à sa biographie sur les réseaux sociaux.

Exit le titre de « Président de la République du Sénégal ». Désormais, Macky Sall se présente comme « Ancien Président de la République du Sénégal / Envoyé spécial du 4P (Pacte de Paris pour les Peuples et la Planète) ». Ce changement reflète clairement sa nouvelle position en tant qu’ancien chef d’État et son engagement en tant qu’envoyé spécial du Pacte de Paris pour les Peuples et la Planète.

Cette mise à jour de sa biographie sur les réseaux sociaux est significative à plusieurs égards. Tout d’abord, elle témoigne du respect des protocoles et des traditions démocratiques qui entourent le transfert de pouvoir dans le pays. En ajustant sa biographie pour refléter son nouveau statut, Macky Sall souligne son respect pour les institutions démocratiques et la primauté de la loi.

De plus, cette modification souligne la transition vers une nouvelle phase de sa carrière politique et de son engagement public. En tant qu’ancien président, Macky Sall entre dans une nouvelle étape de sa vie où il pourra mettre à profit son expérience et son expertise au service de causes importantes, telles que le Pacte de Paris pour les Peuples et la Planète.

Enfin, cette mise à jour de sa biographie sur les réseaux sociaux est également un moyen de communiquer avec le public et de partager ses nouveaux projets et engagements. Elle permet à Macky Sall de rester transparent et accessible, tout en continuant à jouer un rôle important dans la vie politique et publique du Sénégal et au-delà.

La mise à jour de la biographie de Macky Sall sur les réseaux sociaux marque une transition officielle vers une nouvelle phase de sa vie et de son engagement public. C’est un signe de respect pour les institutions démocratiques, ainsi qu’un moyen de communiquer avec le public et de partager ses nouveaux projets et engagements.

Nicolas Jackson Félicite Bassirou Diomaye Faye sur son Investiture Présidentielle

Ce mardi, Bassirou Diomaye Faye a été officiellement installé en tant que 5e président de la République du Sénégal. L’attaquant émérite de Chelsea, Nicolas Jackson, a saisi l’occasion pour adresser un message chaleureux au nouveau chef de l’État sénégalais via son compte Instagram.

« Notre nouveau Président de la République, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a prêté serment ce matin à Dakar. Toutes nos félicitations à lui, à sa coalition ainsi qu’au peuple sénégalais. Paix et prospérité sur le Sénégal », a partagé le footballeur international sénégalais, accompagnant son message d’une photo de Bassirou Diomaye Faye aux côtés d’Ousmane Sonko au Palais présidentiel.

Ce geste de félicitations et de soutien de la part de Nicolas Jackson témoigne de l’unité et de la solidarité qui règnent parmi les personnalités influentes du pays à l’égard de la nouvelle administration présidentielle. Il souligne également l’importance du rôle des figures sportives dans la promotion de l’unité nationale et du développement du pays.

À travers ce message, Nicolas Jackson exprime ses vœux sincères de paix et de prospérité pour le Sénégal sous la direction de Bassirou Diomaye Faye, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère dans l’histoire politique du pays.

Bassirou Diomaye Faye, le 22e Locataire du Palais : Un Pas dans l’Histoire du Sénégal

Ce mardi 2 avril, Bassirou Diomaye Diakhar Faye a été officiellement installé en tant que président de la République du Sénégal, succédant ainsi à son prédécesseur Macky Sall. Cette passation de pouvoir a marqué un moment important dans l’histoire du pays, car Bassirou Diomaye Faye est devenu le 22e haut dirigeant à résider au Palais présidentiel, une demeure emblématique qui a vu défiler les grandes figures de l’histoire sénégalaise.

Le Palais présidentiel, situé au cœur de Dakar sur l’avenue de la République, est une structure historique qui a été construite en 1902 sur ordre du ministre français des colonies de l’époque, Gaston Doumergue. Il était destiné à loger le Gouverneur général de l’Afrique occidentale française (AOF). Depuis son inauguration en 1907, le Palais a accueilli plusieurs gouverneurs de l’AOF, témoignant ainsi de l’histoire coloniale de la région.

Après l’indépendance du Sénégal en 1960, le Palais a été rebaptisé « Palais de la République du Sénégal », marquant ainsi une nouvelle ère pour le pays. Depuis lors, cinq présidents de la République se sont succédé dans cette résidence présidentielle, dont Bassirou Diomaye Faye est le dernier en date.

Il convient de noter que le Palais présidentiel a également hébergé Modibo Keïta, le premier africain à occuper ce poste, alors qu’il était président de la Fédération du Mali, avant que celle-ci ne se désintègre. Depuis lors, le Palais est devenu le symbole du pouvoir exécutif au Sénégal, et chaque nouveau président marque une nouvelle page de son histoire.

Il est intéressant de noter que malgré les annonces antérieures de construction d’une annexe du Palais à Diamniadio par l’ancien président Macky Sall, ce projet semble être tombé à l’eau. Cela souligne l’importance et la symbolique attachées à la résidence présidentielle historique, qui continue de jouer un rôle central dans la vie politique et institutionnelle du Sénégal.

En devenant le 22e locataire du Palais présidentiel, Bassirou Diomaye Faye entre dans l’histoire du Sénégal et se voit confier la lourde responsabilité de poursuivre le legs des précédents dirigeants tout en guidant le pays vers un avenir meilleur.

Inquiétudes soulevées par « Mediapart » concernant Bassirou Diomaye Faye : Bigamie et Homophobie

L’installation de Bassirou Diomaye Faye en tant que nouveau président du Sénégal a suscité un mélange d’espoir et d’inquiétude au sein de la communauté des droits de l’homme, selon le journal d’investigation « Mediapart ».

Edwy Plenel, co-fondateur et ancien directeur de « Mediapart », a exprimé ces préoccupations sur les réseaux sociaux, notant spécifiquement les inquiétudes concernant la bigamie présumée de Bassirou Diomaye Faye ainsi que l’homophobie présumée de son parti, le Pastef.

« Sénégal : devenu président à sa sortie de prison, l’opposant Diomaye Faye (44 ans) entend, sans fracas, remettre en cause le statu quo néocolonial. Mais sa bigamie et l’homophobie de son parti alarment les militant·es de l’égalité des droits », a écrit Plenel dans un post.

Cette publication a suscité de vives réactions, notamment de la part de l’avocat d’Ousmane Sonko, Juan Branco, qui a répondu en pointant du doigt l’hypocrisie apparente de Plenel en mentionnant les affaires personnelles de François Hollande, ancien président français.

« Ton meilleur ami François Hollande, il était quoi ? », a interrogé Juan Branco, insinuant les sorties nocturnes de l’ancien président français pour rencontrer sa compagne.

Ces échanges soulèvent des questions sur la responsabilité des dirigeants politiques en matière de vie privée et de respect des droits de l’homme, ainsi que sur la manière dont ces questions sont abordées et débattues dans le contexte politique et médiatique actuel.

Hommage de Mamadou Diagne Sy Mbengue à Macky Sall : « Le Peuple sénégalais vous dit merci… »

Dans un témoignage empreint de reconnaissance et de gratitude, Mamadou Diagne Sy Mbengue, Directeur Général de la SN HLM et Président de TBF, rend hommage au Président Macky Sall pour ses vingt années de service dévoué à la nation sénégalaise. Depuis avril 2004, date à laquelle leurs chemins se sont croisés, jusqu’à avril 2024, le parcours de Macky Sall a été marqué par des réalisations et des accomplissements qui ont profondément impacté le Sénégal.

Dans une lettre ouverte pleine de reconnaissance, Mamadou Diagne Sy Mbengue exprime sa gratitude envers Macky Sall pour son leadership éclairé et son engagement indéfectible envers son pays. Il souligne les multiples facettes de l’action présidentielle, de la construction d’infrastructures à l’amélioration de la vie quotidienne des Sénégalais, en passant par la promotion du développement économique et social à travers tout le pays.

Macky Sall quitte le Palais présidentiel

Le paysage politique sénégalais a été le témoin d’un moment historique alors que le président Macky Sall quittait le Palais présidentiel. Des photographies saisissantes capturant cet événement majeur ont circulé, offrant une perspective puissante sur ce moment symbolique pour le Sénégal.

Ces images, prises sur le vif, témoignent de l’importance des décisions présidentielles et de leur impact sur la nation. Le départ de Macky Sall du Palais présidentiel marque la fin d’un chapitre et le début d’un nouveau dans l’histoire gouvernementale du pays.

L’émotion et le poids de cette transition sont palpables dans chaque cliché, reflétant l’importance de cet événement pour le peuple sénégalais. Ces photographies offrent également un regard intime sur la vie politique du pays, mettant en lumière les moments clés qui façonnent son destin.

En immortalisant cet instant historique, les photographes ont capturé bien plus que des images : ils ont documenté un moment de changement et de renouveau pour le Sénégal. Ces photos resteront gravées dans l’histoire du pays, rappelant la transition démocratique et les aspirations d’un peuple vers un avenir meilleur.

Alors que le Sénégal entre dans une nouvelle ère avec un nouveau leadership, ces images serviront de témoignage visuel de ce moment crucial dans l’histoire du pays. Elles rappellent également l’importance de la transparence et de la responsabilité dans la gouvernance démocratique, valeurs essentielles pour le développement et la prospérité de la nation sénégalaise

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Replay – CICAD : Cérémonie d’investiture de Bassirou Diomaye Faye

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Bassirou Diomaye Faye : Un Hommage aux Valeurs Républicaines et aux Sacrifices du Peuple Sénégalais

Dans un discours chargé d’émotion et de solennité lors de son investiture, le nouveau président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a tenu à rendre un hommage vibrant aux valeurs républicaines qui ont façonné l’histoire et l’identité de la nation sénégalaise, ainsi qu’aux sacrifices inestimables consentis par son peuple pour la défense de la démocratie et de l’État de droit.

Au cœur de son allocution, le président Faye a rappelé avec gravité les moments sombres de l’histoire sénégalaise, marqués par les luttes pour l’indépendance et la démocratie. Il a évoqué les actes de courage et de détermination des Sénégalais, prêts à risquer leur vie et leur liberté pour défendre les valeurs qui leur sont chères.

« Ce grand peuple que nous sommes, au péril des vies perdues, des blessures irréversibles, des libertés confisquées, de carrières brisées, a démontré à maintes occasions et dans des moments critiques son attachement à la paix et aux valeurs républicaines », a souligné le président Faye, faisant écho à l’héritage de résilience et de dignité légué par les générations précédentes.

Le président a rendu un hommage appuyé aux martyrs de la démocratie sénégalaise, aux blessés et aux anciens prisonniers politiques, rappelant leur contribution essentielle à la consolidation des fondements démocratiques de la nation. Il a également exprimé sa profonde reconnaissance envers les aînés et les figures emblématiques de la lutte pour la liberté, dont l’engagement indéfectible a tracé la voie vers un avenir plus juste et plus inclusif.

« Nous leur sommes redevables pour les valeurs de liberté, de justice et de progrès qu’ils nous ont donné en héritage », a déclaré le président Faye, soulignant l’importance de préserver et de transmettre ces valeurs aux générations futures.

Dans un contexte marqué par les aspirations au changement et à la transformation sociale, le président Faye a affirmé sa détermination à répondre aux attentes du peuple sénégalais et à poursuivre l’œuvre de construction démocratique et de développement économique. « Je suis conscient que les résultats sortis des urnes expriment un profond désir de changement systémique », a-t-il affirmé, soulignant sa volonté de traduire cet élan démocratique en actions concrètes et en politiques publiques efficaces.

En conclusion, le discours d’investiture du président Bassirou Diomaye Faye témoigne d’un engagement résolu envers les valeurs démocratiques et républicaines, ainsi que d’une volonté affirmée de consolider les acquis démocratiques du pays. À travers son appel à l’unité et à la solidarité nationale, le président Faye incarne l’espoir d’un avenir meilleur pour le Sénégal, fondé sur les principes de justice, d’égalité et de progrès pour tous ses citoyens.

Le message de Karim Wade à Bassirou Diomaye Faye

Ce mardi 2 avril marque un tournant significatif pour le Sénégal, avec l’investiture du nouveau président, Bassirou Diomaye Faye, succédant ainsi à Macky Sall. Avant cette cérémonie historique, Karim Wade, qui a soutenu le président élu lors de la campagne présidentielle, a adressé un message empreint de félicitations et d’espoir à Bassirou Diomaye Faye.

« Aujourd’hui, une nouvelle ère commence pour le Sénégal avec votre investiture en tant que président. C’est une journée remplie d’espoir et de promesses pour notre nation », a déclaré Karim Wade dans son message. Il a exprimé ses félicitations au nouveau président, soulignant que sa victoire reflète la volonté du peuple sénégalais en faveur du changement, de la justice et du progrès.

Dans ce message, Karim Wade a également formulé des vœux sincères pour le succès de Bassirou Diomaye Faye, priant pour que chaque étape de son mandat soit guidée par la sagesse et renforce l’unité et la solidarité du pays. Il a souligné que le succès du président élu est étroitement lié à celui du Sénégal dans son ensemble.

Karim Wade a conclu en exprimant ses espoirs pour que cette investiture marque le début d’une ère de progrès sans précédent pour le Sénégal. Ses vœux de réussite accompagnent Bassirou Diomaye Faye dans ses nouvelles fonctions présidentielles, soulignant ainsi l’importance de cette transition pour l’avenir du pays.

Changement à la présidence sénégalaise : le colonel Pape Birane Dièye devient aide de camp du président Bassirou Diomaye Diakhar Faye

La présidence de la République du Sénégal connaît un remaniement significatif avec la nomination du colonel Pape Birane Dièye en tant qu’aide de camp du président Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Cette annonce, émise par la direction de l’information et des relations publiques des armées sénégalaises, marque le départ du général Meissa Cellé Ndiaye de cette fonction-clé.

Le parcours du colonel Dièye est marqué par une série d’accomplissements au sein de l’armée sénégalaise. Diplômé du Prytanée militaire de Saint-Louis et de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr en France, il a également exercé des postes de responsabilité tels que la direction du Prytanée militaire de Saint-Louis et du 12e Bataillon d’instruction Dakar-Bango.

Sa carrière au sein de l’état-major général des armées sénégalaises a été jalonnée de succès, notamment en tant que chef de cabinet du chef d’état-major général des armées. Cette nomination en tant qu’aide de camp du président témoigne de la confiance placée en lui par les plus hautes instances de l’État sénégalais.

L’arrivée du colonel Dièye à ce poste clé au sein de l’entourage présidentiel souligne l’importance de l’expertise militaire et de la compétence dans le soutien direct au chef de l’État. Son expérience variée et sa connaissance approfondie des affaires militaires font de lui un choix naturel pour accompagner le président dans ses fonctions et dans la gestion des affaires de l’État.

Ce changement au sein de la présidence sénégalaise reflète la volonté de l’administration de s’entourer de professionnels qualifiés pour relever les défis du pays. Les attentes sont grandes pour le colonel Dièye alors qu’il entre dans ce rôle crucial, et la population sénégalaise reste attentive aux actions de l’équipe présidentielle sous cette nouvelle configuration.

Nous suivrons de près l’impact de cette nomination sur la gouvernance et les politiques de l’État sénégalais, ainsi que sur la dynamique interne de l’administration présidentielle.

Le Colonel Pape Birane Dièye devient le nouvel aide de camp du Président Bassirou Diomaye Faye

Suite à l’investiture du nouveau président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, des changements importants s’opèrent au sein de son entourage proche. Parmi ces changements, la nomination du Colonel Pape Birane Dièye en tant que nouvel aide de camp du président attire l’attention.

Le Colonel Dièye, ancien chef de cabinet du chef d’état-major général des armées sénégalaises, apporte une solide expérience militaire et un engagement indéfectible à son nouveau rôle. Sa nomination témoigne de la confiance placée en lui pour assurer la sécurité et le bon fonctionnement des activités présidentielles.

Formé au prestigieux Prytanée militaire de Saint-Louis et à l’École spéciale militaire de Saint-Cyr en France, le Colonel Dièye a gravi les échelons avec distinction tout au long de sa carrière. Sa capacité à diriger et à inspirer confiance a été démontrée à maintes reprises, que ce soit en tant que commandant du Prytanée militaire de Saint-Louis ou du 12e Bataillon d’instruction Dakar-Bango.

Sa nomination intervient dans un contexte où le président Bassirou Diomaye Faye cherche à former une équipe solide et compétente pour accompagner son mandat. Avec le Colonel Dièye à ses côtés, le président peut compter sur un professionnel aguerri pour l’assister dans ses fonctions présidentielles.

Passation de pouvoir : Bassirou Diomaye Faye accompagne Macky Sall

Dans un geste de transition pacifique et symbolique, le nouveau président entrant, Bassirou Diomaye Faye, accompagne le président sortant Macky Sall, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère politique au Sénégal.

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Arrivée triomphale : Bassirou Diomaye Faye s’installe au Palais présidentiel

Après son investiture, le nouveau président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, fait son entrée au Palais dans une atmosphère chargée d’émotions et d’attentes, marquant ainsi le début de son mandat présidentiel.

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Pierre Goudiaby Atepa : Un appel à la patience et au travail sous le nouveau Président

Suite à la prestation de serment du président Bassirou Diomaye Faye devant la Nation sénégalaise, les réactions se multiplient quant aux défis qui attendent le nouveau chef d’État. Sur le plateau de la Rts, l’architecte renommé Pierre Goudiaby Atepa a pris la parole pour adresser un message d’encouragement et d’engagement envers l’avenir du pays.

D’emblée, Atepa a appelé les Sénégalais à faire preuve de patience et à se mettre résolument au travail. Il a souligné que le changement ne peut se produire du jour au lendemain et que des efforts soutenus seront nécessaires pour atteindre les objectifs fixés.

Selon Atepa, les attentes sont considérables et le président Diomaye sera à la hauteur de cette charge, bénéficiant à la fois du soutien populaire et d’un entourage compétent. Toutefois, il a insisté sur la nécessité de dépasser les querelles politiques et de se concentrer sur les actions concrètes pour le développement du pays.

Rejoignant les priorités énoncées par le nouveau président, Atepa a souligné l’importance de la cohésion nationale et du travail acharné pour sortir le pays de la pauvreté. Il a également appelé à une analyse approfondie de la situation et à la mise en œuvre de projets structurants pour stimuler le progrès.

Toussaint Manga, membre de l’ex-Pastef, a également exprimé son optimisme quant à l’avenir sous la présidence de Bassirou Diomaye Faye. Soulignant l’importance de la stabilité et de la paix pour le développement, il a affirmé que l’espoir renaît avec l’investiture du nouveau président.

Ensemble, ces réactions reflètent un sentiment d’optimisme et d’engagement envers un avenir meilleur pour le Sénégal, avec un appel à l’unité, à la patience et au travail acharné sous la direction du président fraîchement investi.

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Le Président Bassirou Diomaye Faye entame son mandat présidentiel

Après avoir prêté serment lors d’une cérémonie solennelle au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD), le nouveau Président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, s’est dirigé vers le Palais présidentiel. Sous les acclamations de la foule rassemblée pour l’occasion, ce départ marque le début officiel de son mandat présidentiel. Les attentes sont grandes alors que le Président Faye s’apprête à relever les défis et à diriger le pays vers un avenir prometteur.

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Meta abandonne CrowdTangle, un revers pour les fact-checkers

Meta, la société mère de Facebook et Instagram, a annoncé la fin de CrowdTangle, une plateforme essentielle pour les acteurs engagés dans la lutte contre les fausses informations. À partir du 14 août 2024, cet outil sera désactivé, laissant place à une nouvelle solution réservée aux entités non lucratives.

Pendant de nombreuses années, CrowdTangle a été un précieux allié dans la détection des contenus trompeurs sur les réseaux sociaux, notamment les théories conspirationnistes et les campagnes de désinformation. Cependant, le remplacement annoncé par Meta suscite des inquiétudes : le successeur prévu ne semble pas offrir les mêmes fonctionnalités.

Brandon Silverman, ancien responsable de CrowdTangle, a souligné à l’AFP que ce nouveau projet reste encore en phase de développement. Dans un contexte marqué par des échéances électorales nationales imminentes, des experts tels que Melanie Smith de l’Institute for Strategic Dialogue mettent en garde contre un risque accru de désinformation en l’absence d’un outil efficace de surveillance. Face à cette préoccupation, la fondation Mozilla a publié une lettre ouverte appelant Meta à maintenir CrowdTangle en activité au moins jusqu’en janvier 2025.

Cette décision de Meta de mettre fin à CrowdTangle soulève des préoccupations quant à l’avenir de la lutte contre la désinformation sur les plateformes de médias sociaux. Alors que la propagation de fausses informations continue de poser un défi majeur pour la société, la suppression d’un outil clé comme CrowdTangle pourrait affaiblir les efforts des fact-checkers et des organisations de vérification des faits pour contrer les contenus trompeurs en ligne.

Il reste à voir comment Meta répondra aux appels pour maintenir ou remplacer efficacement CrowdTangle, et comment les acteurs engagés dans la lutte contre la désinformation s’adapteront à cette évolution. Une chose est certaine : la préservation de la transparence et de l’intégrité de l’information en ligne demeure un enjeu crucial pour la santé démocratique et la confiance du public dans les plateformes de médias sociaux.

Bassirou Diomaye Faye devient le 5e Président du Sénégal après sa Prestation de Serment

Dans une cérémonie empreinte de solennité et de dignité, le Sénégal a accueilli la prestation de serment de son cinquième président depuis l’indépendance, en la personne de Bassirou Diomaye Faye. L’événement s’est déroulé au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD) en présence d’une foule attentive ainsi que de nombreux dignitaires nationaux et internationaux.

Le moment fort de la cérémonie a été le serment prononcé par le Président Faye, un engagement solennel devant Dieu et la Nation sénégalaise. En ces termes, il a promis de remplir fidèlement sa charge présidentielle, de respecter scrupuleusement la Constitution et les lois, de défendre les institutions constitutionnelles, l’intégrité du territoire et l’indépendance nationale, ainsi que de travailler sans relâche à la réalisation de l’unité africaine.

Cet engagement, exprimé avec force et détermination, témoigne de la volonté du nouveau président de diriger le pays avec intégrité, justice et dévouement envers le peuple sénégalais. En prêtant serment, Bassirou Diomaye Faye marque ainsi le début d’un nouveau chapitre dans l’histoire du Sénégal, un chapitre qui s’annonce rempli de défis mais aussi d’espoirs pour l’avenir.

La cérémonie d’investiture a également été marquée par la présence de nombreux chefs d’État africains et de représentants d’organisations régionales et internationales, signe de la reconnaissance et du soutien accordés au nouveau président dans sa mission de conduire le Sénégal vers un avenir meilleur.

Après avoir prêté serment, le Président Faye a prononcé son premier discours officiel, dans lequel il a exposé sa vision pour le pays et ses priorités en matière de développement économique, de justice sociale et de consolidation de la démocratie. Son discours a été accueilli avec enthousiasme par l’assistance, témoignant de l’espoir et de l’optimisme suscités par l’avènement d’un nouveau leadership au Sénégal.

En conclusion, la prestation de serment du Président Bassirou Diomaye Faye marque un moment historique et symbolique pour le Sénégal, ouvrant la voie à une nouvelle ère de progrès, de stabilité et de prospérité pour le pays et son peuple.

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Le Conseil Constitutionnel installe officiellement le nouveau Président du Sénégal, Bassirou Diomaye Diakhar Faye

Bassirou Diomaye Diakhar Faye, désormais investi en tant que chef d’État, a prêté serment devant Dieu et la nation sénégalaise, s’engageant solennellement à remplir fidèlement les fonctions de Président de la République du Sénégal. Dans son discours d’investiture, il a affirmé sa détermination à respecter scrupuleusement les dispositions de la Constitution et des lois, ainsi qu’à défendre les institutions constitutionnelles, l’intégrité du territoire, et l’indépendance nationale. De plus, il a exprimé son engagement envers la réalisation de l’unité africaine, soulignant ainsi l’importance de la coopération régionale et continentale dans la poursuite du développement et de la prospérité pour tous les citoyens sénégalais et africains.

CICAD -  Cérémonie d’investiture: le serment du Président Bassirou Diomay Faye

Cette passation de pouvoir marque un nouveau chapitre dans l’histoire politique du Sénégal, avec l’arrivée d’un nouveau leader chargé de guider le pays vers un avenir prometteur. Les attentes sont grandes, et la population sénégalaise espère que cette transition démocratique se traduira par des avancées significatives dans les domaines de l’économie, de l’éducation, de la santé et de la gouvernance.

Bassirou Diomaye Diakhar Faye entame ainsi son mandat avec la lourde responsabilité de répondre aux aspirations de tout un peuple, dans le respect des valeurs démocratiques et de l’État de droit. Les défis sont nombreux, mais avec le soutien de la population et le travail acharné de tous les acteurs de la société sénégalaise, le nouveau président est appelé à mener le pays vers un avenir de progrès et de prospérité pour tous.

CICAD – Cérémonie d’Investiture : Le premier Discours du Président Bassirou Diomaye Faye

Dans le cadre solennel de la cérémonie d’investiture au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD), le nouveau Président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a prononcé son premier discours en tant que chef d’État, devant une assemblée nationale et internationale attentive.

Dans son allocution inaugurale, le Président Faye a souligné l’importance historique de cet événement et a exprimé sa profonde gratitude envers le peuple sénégalais pour la confiance qu’il lui a témoignée en le choisissant comme leader. Il a également rendu hommage à ses prédécesseurs et aux institutions démocratiques du pays qui ont permis une transition pacifique et ordonnée du pouvoir.

Le Président Faye a tracé les grandes lignes de sa vision pour le Sénégal, mettant l’accent sur la nécessité d’œuvrer pour l’unité nationale, la stabilité politique et le progrès économique. Il a affirmé son engagement à lutter contre la corruption, à promouvoir la justice sociale et à renforcer les institutions démocratiques du pays.

Sur le plan international, le Président Faye a réaffirmé l’engagement du Sénégal envers la coopération régionale et internationale, tout en défendant les intérêts nationaux et en promouvant la paix et la sécurité dans la sous-région.

En conclusion, le Président Bassirou Diomaye Faye a appelé à l’unité et à la solidarité de tous les citoyens sénégalais, quelle que soit leur origine ou leur appartenance politique, pour relever les défis qui attendent le pays et construire un avenir meilleur pour les générations futures. Son discours inaugural a ainsi posé les bases d’une nouvelle ère pour le Sénégal, placée sous le signe de l’espoir, du progrès et de la dignité nationale.

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Fin de Règne : Macky Sall met fin aux fonctions du Premier Ministre et de Hauts Responsables du Gouvernement

Dans une série de décrets en date du 31 mars 2024, le Président de la République, Macky Sall, a mis fin aux fonctions de plusieurs hauts responsables du gouvernement, marquant ainsi la fin de son mandat en tant que chef de l’État.

Les décrets, numérotés 2024-914 à 2024-918, ont notamment mis fin aux fonctions du Premier Ministre, Sidiki Kaba, ainsi que du ministre Secrétaire Général de la Présidence, Oumar Samba Ba. De plus, le ministre Secrétaire Général du Gouvernement, Seydou Guèye, ainsi que les membres du Cabinet du président de la République ont également été affectés par ces décisions.

Parmi les autres hauts fonctionnaires dont les fonctions ont été mises fin par ces décrets, figurent M. Diatourou Ndiaye, Ministre et secrétaire Général adjoint de la Présidence de la République, ainsi que M. François Collin, Ministre et secrétaire Général adjoint de la Présidence de la République.

Ces décrets, publiés dans le journal officiel de la République du Sénégal, marquent la fin d’une ère politique et le début d’une transition vers une nouvelle direction gouvernementale. Il est attendu que de nouveaux responsables soient nommés pour assumer ces postes clés dans les prochains jours, alors que le pays se prépare à accueillir un nouveau chef d’État.

Fin de règne: Macky met fin par décrets aux fonctions du Pm, des membres de son Cabinet, du secrétaire Général du Gouvernement Seydou Guèye
Fin de règne: Macky met fin par décrets aux fonctions du Pm, des membres de son Cabinet, du secrétaire Général du Gouvernement Seydou Guèye

Cérémonie d’investiture : Karim Wade adresse un Message de Félicitations à Bassirou Diomaye Faye

À l’approche de la cérémonie d’investiture marquant le début du mandat de Bassirou Diomaye Faye en tant que président du Sénégal, Karim Wade, qui a soutenu le nouveau chef d’État lors de l’élection présidentielle, lui a adressé un message de félicitations et d’encouragement.

Dans ce message empreint de sincérité et d’optimisme, Karim Wade exprime ses vœux de réussite à Bassirou Diomaye Faye, soulignant que sa victoire reflète la volonté du peuple sénégalais pour le changement, la justice et le progrès. Il considère cette journée d’investiture comme le début d’une nouvelle ère pour le Sénégal, remplie d’espoir et de promesses pour l’avenir.

Karim Wade adresse également ses prières pour que chaque pas du mandat de Bassirou Diomaye Faye soit empreint de sagesse, et que chaque décision renforce l’unité et la solidarité du pays. Il insiste sur le fait que le succès du président nouvellement investi est étroitement lié à celui du Sénégal dans son ensemble.

En conclusion, Karim Wade exprime ses vœux les plus sincères de succès à Bassirou Diomaye Faye, souhaitant que son mandat soit marqué par un progrès inégalé pour le Sénégal. Ce message témoigne de la volonté de coopération et de soutien entre les acteurs politiques du pays, dans le but commun de contribuer au développement et au bien-être de la nation sénégalaise.

La SETER Dévoile une Rame aux Couleurs Nationales et à la Devise du Pays

La Société des Transports Express Régionaux (SETER) a récemment dévoilé une rame de train spécialement conçue aux couleurs emblématiques du pays, accompagnée de sa devise nationale.

Le Président du Conseil Constitutionnel répond aux accusations de Corruption

Lors de la cérémonie d’investiture de Bassirou Diomaye Faye, Mamadou Badio Camara, président du Conseil constitutionnel, a pris la parole pour répondre aux accusations de corruption portées contre l’institution suite au report de la présidentielle et à l’invalidation de la candidature de Karim Wade par le Parti Démocratique Sénégalais (PDS).

M. Camara a souligné que le Conseil Constitutionnel avait agi en toute légalité et impartialité, affirmant que le vainqueur de l’élection présidentielle avait été clairement identifié dans les heures suivant la fermeture des bureaux de vote. Il a ajouté que l’institution avait fait son devoir au nom du peuple sénégalais, en respectant la Constitution et en garantissant l’expression de la volonté populaire.

Face aux attaques visant à déstabiliser le Conseil Constitutionnel, M. Camara a réaffirmé la résilience des institutions du pays et leur capacité à fonctionner dans le cadre constitutionnel établi. Il a conclu en soulignant qu’il n’y avait pas de crise institutionnelle, mais plutôt une volonté commune de respecter les principes démocratiques et constitutionnels du Sénégal.

Cette déclaration intervient dans un contexte où la crédibilité des institutions et l’intégrité du processus électoral sont au centre des préoccupations politiques au Sénégal. Le discours de M. Camara vise à restaurer la confiance du public dans le fonctionnement démocratique du pays et à dissiper les soupçons de corruption qui pèsent sur le Conseil Constitutionnel.

Bassirou Diomaye Faye devient le 5e Président du Sénégal après sa Prestation de Serment

Dans un moment historique pour le Sénégal, Bassirou Diomaye Faye a officiellement prêté serment en tant que cinquième président du pays, ce mardi 2 avril. À l’âge de 44 ans, il devient ainsi le plus jeune président de l’histoire du Sénégal depuis son indépendance en 1960.

La cérémonie d’investiture s’est déroulée à Diamniadio, marquant le début d’un nouveau chapitre pour le pays. Bassirou Diomaye Faye succède à Macky Sall, qui a dirigé le pays pendant 12 années.

L’événement a été marqué par la présence de plusieurs chefs d’État africains, dont le président en exercice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Bola Ahmed Tinubu, ainsi que les dirigeants de la Mauritanie, de la Gambie, de la Guinée et de la Guinée-Bissau. Des représentants d’autres nations africaines, dont la Côte d’Ivoire, le Rwanda et le Mali, étaient également présents pour témoigner de ce moment historique.

Cette prestation de serment symbolise le début d’une nouvelle ère pour le Sénégal, avec des attentes élevées quant à la capacité de Bassirou Diomaye Faye à répondre aux besoins et aux aspirations de la nation sénégalaise.

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Discours Inspirant du Juge Badio Camara lors de la Cérémonie d’Investiture au CICAD

Dans le cadre de la cérémonie d’investiture qui s’est tenue au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD), le juge Badio Camara a livré un discours empreint de sagesse et d’espoir pour l’avenir du Sénégal.

Face à une assemblée attentive, le juge Camara a souligné l’importance de la démocratie et de l’état de droit dans la construction d’une société juste et équitable. Il a rappelé les valeurs fondamentales sur lesquelles repose la République et a appelé à l’unité et à la solidarité entre tous les citoyens sénégalais.

Le juge Camara a également évoqué les défis auxquels le pays est confronté, notamment sur le plan économique, social et environnemental. Il a encouragé le nouveau président et son gouvernement à faire preuve de courage et de détermination dans la mise en œuvre de politiques visant à améliorer la vie de tous les Sénégalais.

En conclusion, le juge Badio Camara a exprimé sa confiance dans le leadership du nouveau président et son engagement envers le bien-être de la nation. Son discours a été salué par l’ensemble des participants comme un appel à l’action et à la responsabilité collective pour relever les défis qui attendent le Sénégal dans les années à venir.

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Portrait de Bassirou Diomaye Faye : Une ascension fulgurante vers les Sommets de l’État

De son humble village jusqu’au pinacle du pouvoir, Bassirou Diomaye Faye incarne le parcours impressionnant d’un homme élu président, porté par la promesse d’un changement radical et le soutien d’un mentor charismatique.

Surnommé affectueusement « Diomaye » (« l’honorable » en sérère), cet homme, suppléant du dirigeant Ousmane Sonko, a été élu dès le premier tour le 24 mars avec 54,28% des voix, seulement dix jours après sa libération de prison.

À 44 ans, il devient ainsi le cinquième et le plus jeune président du Sénégal depuis l’Indépendance en 1960. Son élection a été marquée par un discours axé sur la réconciliation nationale, la baisse du coût de la vie et la lutte contre la corruption.

Issu d’un milieu modeste, Bassirou Diomaye Faye a fait ses premiers pas dans l’administration des Impôts et domaines, où il a rencontré Ousmane Sonko, son mentor politique. Ensemble, ils ont formé une alliance politique puissante, incarnant la lutte pour un Sénégal plus juste et plus équitable.

Pendant trois ans, Bassirou Diomaye Faye a gravi les échelons dans l’ombre de Sonko, jusqu’à devenir le visage de leur mouvement politique. Son accession au pouvoir consacre le succès du plan B de Sonko, qui l’a désigné comme son successeur après avoir été disqualifié de la course présidentielle.

Défenseur de la souveraineté nationale et de la justice sociale, Bassirou Diomaye Faye a promis de rétablir l’équilibre des partenariats internationaux et de lutter contre les inégalités au Sénégal. Son élection marque un tournant dans l’histoire politique du pays, promettant un nouveau départ pour ses citoyens.

Né dans un village reculé, Bassirou Diomaye Faye a suivi un parcours académique brillant avant d’intégrer l’administration et de se lancer en politique. Admirateur de figures emblématiques telles que Barack Obama et Nelson Mandela, il incarne une nouvelle génération de dirigeants engagés et visionnaires.

Son ascension vers le sommet de l’État est le résultat d’une détermination sans faille et d’un engagement indéfectible envers les valeurs de justice et d’égalité. En tant que président, il est appelé à relever des défis majeurs et à ouvrir une nouvelle ère de prospérité et de développement pour le Sénégal et ses citoyens.

avec Seneweb

Entrée solennelle du Président Bassirou Diomaye Faye au CICAD

La cérémonie d’investiture du nouveau président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD), est un moment historique et solennel, marquant le début d’une nouvelle ère pour le pays.

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Abdel Fattah al-Sissi prête serment pour un troisième mandat en Égypte

Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a officiellement prêté serment devant le Parlement pour entamer son troisième mandat à la tête du pays le plus peuplé du monde arabe.

Al-Sissi, qui est au pouvoir depuis une décennie, devrait maintenir sa position jusqu’en 2030, après avoir remporté l’élection présidentielle en décembre avec un soutien massif, obtenant 89,6% des voix. Ses adversaires lors de cette élection étaient peu connus du grand public.

Ce nouveau mandat soulève des questions sur la continuité du leadership et de la politique en Égypte, alors que le pays continue de faire face à des défis internes et externes, notamment sur le plan économique et sécuritaire. La consolidation du pouvoir entre les mains d’Al-Sissi suscite également des débats sur la démocratie et les droits de l’homme dans le pays.

La prestation de serment marque le début d’une nouvelle phase pour l’Égypte, sous la direction d’Al-Sissi, et souligne l’importance de la stabilité politique dans une région confrontée à de nombreux défis.

Réorganisation de la Gendarmerie : Clarifications d’un haut gradé sur le décret controversé

Le décret numéro 2024-824 du 29 mars 2024, émis par le Président sortant Macky Sall, intégrant officiellement la Gendarmerie dans l’Armée nationale, a suscité des débats. Pourtant, un haut gradé, interrogé par Les Échos et préférant garder l’anonymat, apporte des éclaircissements sur cette décision controversée.

Selon le haut gradé, le décret en question ne modifie pas fondamentalement le fonctionnement de la Gendarmerie. Au contraire, il s’agit d’une réorganisation interne visant à clarifier les attributions et les missions de chaque entité au sein de la Gendarmerie. En formalisant cette organisation, le décret vise à apporter une plus grande clarté et efficacité dans le fonctionnement de l’institution.

L’interlocuteur du journal suggère même que ce décret pourrait avoir été en préparation depuis un certain temps et simplement mis à jour avant d’être publié. Il insiste sur le fait qu’il n’y a rien de particulièrement extraordinaire dans cette décision, soulignant que la Gendarmerie fait déjà partie intégrante des Forces armées et que cette intégration n’est qu’une formalisation de cette réalité.

Les clarifications fournies par ce haut gradé mettent en lumière le caractère interne et pragmatique de la décision de réorganiser la Gendarmerie au sein de l’Armée nationale. Alors que le décret a suscité des débats, ces explications soulignent qu’il s’agit avant tout d’une mesure visant à améliorer l’efficacité et la clarté des opérations au sein de cette institution clé du maintien de l’ordre au Sénégal.

Polémique autour de onze nominations à la Sonacos en période de transition politique

Alors que le Sénégal traverse une période de transition entre le Président sortant, Macky Sall, et son successeur, Bassirou Diomaye Faye, certaines nominations dans des entités de l’État, dont la Sonacos, suscitent une vive controverse. La décision du directeur général de la Sonacos, Kibily Touré, de nommer onze nouveaux directeurs juste avant le changement de pouvoir est critiquée, certains observateurs estimant que cela aurait dû être reporté pour permettre au nouveau gouvernement de décider de l’opportunité de telles nominations.

La période de transition politique est particulièrement sensible, avec une attente palpable quant aux décisions et orientations du nouveau gouvernement. Dans ce contexte, les actions administratives telles que les nominations à des postes clés sont scrutées de près et peuvent être interprétées comme des manœuvres politiques.

Plusieurs observateurs ont exprimé leur désapprobation quant au moment choisi pour ces nominations. Ils soulignent que cela aurait été plus judicieux d’attendre l’installation des nouvelles autorités avant de procéder à de telles décisions, surtout étant donné les implications financières qu’elles entraînent.

La controverse soulève des questions sur la prudence et la transparence nécessaires dans les affaires administratives pendant les périodes de transition politique. Certains appellent à une révision des pratiques en matière de nominations pour éviter toute perception de partialité ou de favoritisme.

La polémique entourant les onze nominations à la Sonacos illustre les défis auxquels sont confrontés les organes administratifs pendant les périodes de transition politique. Il souligne également l’importance de la prudence et de la transparence dans la gestion des affaires publiques, en particulier lorsqu’il s’agit de décisions ayant un impact financier significatif.

Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko en consultations pour former un nouveau gouvernement au Sénégal

Introduction : La formation du nouveau gouvernement au Sénégal est en cours après la passation de service qui a eu lieu ce mardi 2 avril. Les regards sont tournés vers le président nouvellement élu, Bassirou Diomaye Faye, ainsi que vers le leader de l’opposition, Ousmane Sonko, qui mènent des consultations pour déterminer la composition de ce nouveau gouvernement.

Un processus consultatif : Selon des sources rapportées par Les Echos, les consultations sont menées de manière approfondie et inclusive. Un noyau dur, principalement composé de membres du parti de Sonko, Pastef, est activement engagé dans le processus. Cependant, d’autres leaders alliés sont également impliqués, ce qui reflète une volonté de prendre en compte les différentes perspectives politiques du pays.

Inclusivité et diversité des opinions : Les consultations ne se limitent pas à un petit groupe restreint. Les différents leaders et parties prenantes sont associés à travers des documents et des projets pour exprimer leurs points de vue sur les questions majeures. Cette approche inclusive vise à garantir une représentation équitable des diverses opinions et à assurer une gouvernance démocratique et participative.

Un processus transparent : Il est à noter que ces consultations se déroulent dans un cadre transparent. Les médias sont informés des développements et des progrès réalisés dans la formation du gouvernement, ce qui renforce la confiance du public dans le processus démocratique en cours.

La formation du nouveau gouvernement au Sénégal est un processus crucial qui nécessite une approche consultative et inclusive. Sous la direction du président Bassirou Diomaye Faye et avec la participation active d’Ousmane Sonko et d’autres leaders politiques, ces consultations visent à créer un gouvernement représentatif capable de répondre aux besoins et aux aspirations du peuple sénégalais.

Amadou Ba se Retire pour une retraite spirituelle après sa défaite à la Présidentielle

Après sa défaite lors de l’élection présidentielle récente face à Bassirou Diomaye Faye, Amadou Ba a décidé de se retirer pour une retraite spirituelle. Le candidat malheureux a été largement battu lors du scrutin, et pour trouver réconfort et inspiration, il s’est rendu à La Mecque pour accomplir la Oumra.

Cette démarche marque son retour après la victoire de son adversaire politique et ancien collègue à la direction générale des impôts et domaines. Bassirou Diomaye Faye sera d’ailleurs intronisé à la tête de la république ce mardi 2 avril, marquant ainsi une nouvelle ère politique pour le pays.

La décision d’Amadou Ba de se retirer pour une retraite spirituelle montre sa volonté de trouver la paix intérieure et la clarté après cette période intense de campagne électorale et de défaite. C’est également un acte de foi et de dévotion envers ses croyances religieuses, cherchant la guidance divine pour son avenir et celui de son pays.

Alors que le Sénégal entre dans une nouvelle phase de gouvernance avec l’intronisation de Bassirou Diomaye Faye, Amadou Ba prend le temps de se recentrer sur lui-même et sur ses valeurs spirituelles. Sa retraite spirituelle peut être vue comme un moment de réflexion profonde et de renouveau, lui permettant de repartir sur de nouvelles bases et de contribuer positivement à la vie politique de son pays à l’avenir.

Tragédie sur la Vdn 3 : 4 morts, une famille dévastée par un accident mortel

Une collision tragique entre un bus de transport Dakar Dem Dikk (DDD) et un taxi sur la Vdn 3 a endeuillé une famille entière, faisant quatre victimes. Selon les détails rapportés par L’Observateur, le terrible accident s’est déroulé lorsque le bus, spécialement affrété pour le transport du personnel d’une entreprise, roulant à grande vitesse en direction de Yoff, a percuté violemment le taxi qui était garé sur le bas côté de l’autoroute pour permettre à ses passagers de descendre.

Le conducteur du bus a tenté de dépasser le taxi par la droite, ce qui a entraîné la collision. Le taxi a été traîné sur plusieurs mètres, laissant le véhicule complètement détruit, avec quatre de ses occupants à l’intérieur.

Le bilan de cet accident est tragique. Parmi les victimes se trouvaient un couple nigérian, leurs deux enfants et l’un de leurs proches. Le père de famille, qui était descendu du véhicule, a été confronté à l’horreur de découvrir que ses deux enfants, âgés de 6 et 13 ans, ainsi que son épouse, ont perdu la vie sur le coup. Le taximan, identifié comme P. C. Ndoye, a également perdu la vie dans cet accident dévastateur.

Un cinquième ressortissant nigérian a été transporté en urgence à l’hôpital Dalal Jam de Guédiawaye pour recevoir des soins.

Le conducteur du bus s’est rendu à la police pour être entendu dans le cadre de l’enquête sur les circonstances exactes de l’accident.

Cette tragédie bouleversante rappelle l’importance cruciale de la sécurité routière et la nécessité pour tous les usagers de la route de respecter les règles de conduite. Alors que cette famille est dévastée par la perte soudaine de ses proches, la communauté toute entière pleure ces vies perdues dans cette collision évitable.

Polémique autour de onze nominations à la Sonacos

Alors que le Sénégal traverse une période de transition politique entre l’ancien président Macky Sall et son successeur, Bassirou Diomaye Faye, des vagues de nominations dans certaines entités de l’État suscitent des critiques et alimentent la polémique. De nombreux observateurs estiment que le timing de ces nominations est inopportun, soulignant qu’il aurait été plus approprié de laisser au nouveau gouvernement le soin de décider de la pertinence de telles actions.

La Société Nationale de Commercialisation des Oléagineux du Sénégal (Sonacos) se retrouve ainsi au cœur de cette controverse. Selon les informations relayées par Libération dans son édition de ce lundi, le directeur général de la Sonacos, Kibily Touré, a récemment procédé à la nomination de onze nouveaux directeurs, entraînant des implications financières importantes.

Pour de nombreux observateurs, il aurait été plus prudent de suspendre ces nominations en attendant l’installation des nouvelles autorités. La décision de procéder à ces promotions, qui entrent en vigueur ce 1er avril, est particulièrement critiquée pour son manque de sensibilité au contexte politique actuel.

Cette vague de nominations à la Sonacos soulève des questions quant à la transparence et à l’objectivité des processus de sélection. De plus, elle alimente les préoccupations concernant l’utilisation efficace des ressources publiques, notamment dans un contexte de transition politique où la priorité devrait être donnée à la stabilité et à la consolidation des institutions.

Alors que le Sénégal se prépare à une nouvelle ère politique, il est crucial que les décideurs politiques fassent preuve de responsabilité et de prudence dans leurs actions, afin de garantir la confiance du public et de promouvoir un environnement politique et économique sain et équitable pour tous les citoyens.

Accident Mortel à Yoff : Premières révélations sur le film de l’accident

Une tragédie a frappé la route de Yoff ce lundi, causant la perte de deux vies et blessant grièvement une autre personne. Selon les informations relayées par Libération, l’accident s’est produit aux alentours de 04h30 du matin sur l’autoroute Seydina Limoulaye, impliquant un véhicule particulier de marque Hyundai Sonata.

Le conducteur du véhicule, identifié comme S. Mboup, aurait perdu le contrôle de sa voiture alors qu’il circulait en direction de l’Aéroport Léopold Sédar Senghor vers la Patte d’Oie. Cette perte de contrôle serait survenue à la suite de l’éclatement de la roue arrière, entraînant une série de tonneaux avant que le véhicule ne vienne s’immobiliser sur un camion frigorifique garé sur le bas côté de la chaussée.

Malheureusement, les deux passagers du véhicule, S. S. Diagne âgé de 26 ans et P. Diakhaté âgé de 22 ans, ont perdu la vie sur le coup, tandis que le chauffeur a survécu à l’accident avec des blessures. La scène était déchirante alors que les secours s’efforçaient de venir en aide aux victimes et que les autorités menaient leurs premières investigations sur les lieux de l’accident.

Les circonstances précises de l’éclatement de la roue arrière et des événements ayant conduit à l’accident font actuellement l’objet d’une enquête approfondie. Les autorités cherchent à comprendre les facteurs qui ont contribué à cette tragédie afin de prévenir de futurs accidents similaires sur nos routes.

En ces moments difficiles, nos pensées vont aux familles et aux proches des victimes, alors qu’elles font face à la douleur insupportable de cette perte soudaine. Cette tragédie rappelle une fois de plus l’importance cruciale de la prudence au volant et de l’entretien régulier des véhicules pour assurer la sécurité de tous sur nos routes.

Affaire Seydina Mouhamed Diop : Arrestation de six policiers impliqués dans des circonstances troubles

La mort tragique de Seydina Mouhamed Diop dans des circonstances troubles à la suite d’une intervention policière à Pikine, dans la nuit du 24 au 25 mars, a secoué la communauté et a déclenché une enquête intense pour faire la lumière sur cet événement tragique.

Selon les informations relayées par Libération, six éléments du commissariat de Pikine, soupçonnés d’avoir causé les blessures ayant conduit au décès de la victime, ont été arrêtés et placés en garde à vue par leurs collègues de la Division des Investigations Criminelles (DIC). Ces arrestations font suite à une ordonnance du procureur de Pikine-Guédiawaye, signifiant une avancée significative dans l’enquête.

Cependant, un septième policier, qui faisait partie de l’équipe de nuit impliquée, a été disculpé, ajoutent les rapports. L’enquête s’est principalement appuyée sur le témoignage d’un jeune homme arrêté en même temps que la victime lors des événements en question. Il a révélé que les policiers avaient conduit les deux jeunes vers le Technopole pour les agresser. Alors que le témoin a survécu à ses blessures, Seydina Mouhamed Diop a malheureusement succombé après son hospitalisation.

L’intervention musclée du commissariat de Pikine avait provoqué des émeutes dans la localité, les résidents dénonçant fermement cette violence policière. Des manifestations avaient éclaté, bloquant certaines artères et conduisant même à l’incendie d’un bus de la compagnie Dem Dikk.

Ces développements récents marquent un tournant dans cette affaire qui a ému et indigné de nombreuses personnes. L’arrestation des suspects est un premier pas vers la justice pour Seydina Mouhamed Diop et sa famille, mais cela souligne également l’importance cruciale de la transparence et de la responsabilité dans les opérations de maintien de l’ordre.

«Mes chers alliés, je vous invite…» : Macky Sall adresse une lettre d’adieu à Benno Bokk Yaakaar

En ce lundi 1er avril, veille de son départ du pouvoir, le président sortant Macky Sall a adressé une lettre empreinte d’émotion à ses camarades de la majorité présidentielle, Benno Bokk Yaakaar. Dans ce message, le chef de l’État sortant remercie chaleureusement ses compagnons de route pour leurs douze années de collaboration et d’engagement au service du peuple sénégalais. Voici le texte intégral de cette correspondance historique :

Présidence de la République
Dakar, le 1er avril 2024

Lettre à tous mes camarades républicains

Mes Chers camarades,

Au moment de quitter le pouvoir ce 2 avril 2024, j’exprime au peuple sénégalais dans son entièreté, ma profonde gratitude pour sa confiance renouvelée à maintes occasions pendant les douze années où j’ai eu l’honneur de présider aux destinées de notre nation et à mes camarades de l’Alliance Pour la République, mes chaleureux et infinis remerciements.

Depuis le 1er décembre 2008, militants de l’Alliance Pour la République des premières heures, concitoyens de bonne volonté et autres fils de la République qui nous ont rejoints dans le vaste chantier de la construction nationale, vous n’avez cessé de me témoigner de votre soutien indéfectible dans la mise en œuvre de notre vision commune pour un Sénégal émergent. Un Sénégal de tous, un Sénégal pour tous.

Nous avons réussi ensemble à écrire de belles pages de l’histoire de notre pays. Nous continuerons ensemble à écrire de nouvelles pages, en toute responsabilité et dans la droite ligne de nos convictions démocratiques et républicaines.

Chers camarades de l’Alliance Pour la République, je vous exhorte, sur ce chemin de nouvelles conquêtes, de rester soudés, résolument tournés vers l’avenir. La démocratie est, d’abord, une succession de cycles. L’essentiel n’est pas de perdre ou de gagner. L’essentiel est d’être constamment en alerte lorsque l’intérêt de notre pays est en jeu, lorsque le bien-être des populations est en jeu.

Je vous recommande donc de rester en alerte, d’être plus que jamais ancrés dans notre tradition républicaine, de regarder fermement vers les nouveaux horizons pour de nouvelles victoires.

Je vous recommande de rester dignes et engagés en agissant dans le respect des institutions, de la République, des principes démocratiques et de l’éthique républicaine.

Je vous recommande de reprendre le travail à la base, parmi et aux côtés de nos vaillantes populations, car elles sont la source de la légitimité et le siège par excellence de la souveraineté.

Je vous recommande enfin de consolider la cohésion de notre parti et de perpétuer la solidarité avec nos partenaires de la grande coalition Benno Bokk Yaakaar, de procéder au niveau de toutes les communes, à l’évaluation exhaustive de l’élection présidentielle du 24 mars 2024 afin d’en tirer un bilan objectif et d’envisager les perspectives de relance et de remobilisation de notre organisation et de tous ses membres.

Mes chers camarades, en ma qualité de Président de l’Alliance Pour la République, je serai toujours avec vous, toujours à vos côtés, pour défendre les acquis de notre pays et dicter à l’histoire de nouvelles conquêtes pour que les aspirations de notre peuple se traduisent en réalité.

Je sais que nous pouvons, ensemble, compter sur les jeunes et les femmes de notre parti, l’Alliance Pour la République, fer de lance de tous nos combats, de toutes les mutations heureuses de notre société et garantes de la préservation de nos acquis.

Unis et mobilisés, les portes de l’avenir nous restent ouvertes.

Vive le Sénégal
Vive la République
Vive l’Alliance pour la République

SEM Macky SALL
Président de l’Alliance Pour la République

Le Dakarois Quotidien N°146 – du 02/04/24 – investiture du Président Bassirou Diomaye Faye : Les Grands Défis d’une Nouvelle Ère Nationale

Le Dakarois Quotidien N°146 – du 02/04/24
🔴 investiture du Président Bassirou Diomaye Faye : Les Grands Défis d’une Nouvelle Ère Nationale

Lettre à tous mes camarades républicains (Macky SALL)

Chers Camarades,

Alors que nous amorçons la transition vers de nouveaux horizons, je tiens à exprimer ma profonde gratitude envers le peuple sénégalais pour sa confiance continue, ainsi qu’à vous, mes camarades de l’Alliance Pour la République (APR), pour votre soutien indéfectible au cours de ces douze dernières années. Ensemble, nous avons entrepris un voyage vers un Sénégal émergent, et je suis fier des réalisations que nous avons accomplies ensemble.

Depuis le début de notre parcours en décembre 2008, vous avez été les piliers sur lesquels reposait notre vision commune pour notre nation. Votre dévouement et votre engagement ont été inestimables dans la construction d’un Sénégal meilleur pour tous ses citoyens. Nous avons écrit ensemble des chapitres importants de l’histoire de notre pays, et je suis convaincu que nous continuerons à écrire de nouvelles pages, en respectant nos valeurs démocratiques et républicaines.

Camarades de l’APR, je vous exhorte à rester unis dans notre quête de nouvelles réalisations. La démocratie est un processus en constante évolution, et notre responsabilité est de rester vigilants pour défendre les intérêts de notre nation et le bien-être de nos concitoyens. Que nous soyons dans l’opposition ou au pouvoir, notre engagement envers notre pays doit rester inébranlable.

Je vous encourage également à renforcer notre parti à la base, en travaillant aux côtés de nos concitoyens dans toutes les communautés. Les populations sont la source de notre légitimité et notre principal guide dans la poursuite de notre mission politique.

En tant que Président de l’APR, je m’engage à continuer à soutenir nos efforts collectifs pour défendre les acquis de notre pays et ouvrir la voie à de nouvelles réalisations. Je crois fermement en notre capacité à relever les défis qui se présentent à nous, en particulier avec l’appui des jeunes et des femmes, véritables forces vives de notre parti et de notre nation.

Ensemble, unis et mobilisés, nous avons un avenir prometteur devant nous. Restons fidèles à nos idéaux républicains et démocratiques, et continuons à travailler avec détermination pour un Sénégal meilleur pour tous.

Vive le Sénégal ! Vive la République ! Vive l’Alliance pour la République !

Avec gratitude et détermination,

SEM Macky SALL Président de l’Alliance Pour la République

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Lettre aux leaders et militants de Benno Bokk Yaakaar et de la Coalition de Grande Majorité Présidentielle

Depuis sa formation il y a douze ans, la Coalition Benno Bokk Yaakaar et la Coalition de Grande Majorité Présidentielle ont été des acteurs clés dans la scène politique du Sénégal. Ensemble, ces coalitions ont traversé des moments cruciaux de l’histoire politique du pays, laissant derrière elles un héritage de solidarité, de stabilité et de progrès. Alors que de nouveaux défis se profilent à l’horizon, il est temps de faire le bilan de ces douze années de coopération politique.

La solidarité a toujours été au cœur de l’identité de Benno Bokk Yaakaar et de la Coalition de Grande Majorité Présidentielle. Malgré les différences idéologiques et les divergences politiques, ces coalitions ont su maintenir une unité remarquable, faisant de la diversité une force plutôt qu’une faiblesse. Cette solidarité a été le fondement de la stabilité politique du Sénégal pendant une période de grands bouleversements régionaux et mondiaux.

Au cours de ces douze années, les coalitions ont œuvré sans relâche pour le progrès et le bien-être du peuple sénégalais. À travers des politiques audacieuses et des réformes progressives, elles ont contribué à transformer qualitativement et quantitativement le pays. Des initiatives telles que le Plan Sénégal Émergent ont été mises en œuvre pour propulser le pays vers l’émergence économique et le développement durable.

Malgré les succès, des défis persistent et de nouveaux défis émergent. Avec les récents changements à la tête de l’État, les coalitions sont confrontées à de nouveaux horizons politiques. Il est essentiel de maintenir la solidarité et l’unité pour surmonter ces défis et poursuivre la quête du progrès et de la prospérité pour tous les Sénégalais.

Les douze dernières années ont été marquées par la solidarité, la stabilité et le progrès sous l’égide de Benno Bokk Yaakaar et de la Coalition de Grande Majorité Présidentielle. Alors que de nouveaux chapitres s’écrivent dans l’histoire politique du Sénégal, il est crucial de rester fidèle à ces valeurs fondamentales et de continuer à travailler ensemble pour un avenir meilleur pour tous les citoyens sénégalais.

Investiture de Bassirou Diomaye Faye : Programme détaillé de la cérémonie au CICAD

La journée historique de ce mardi 2 avril marquera l’investiture officielle du nouveau Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, au Centre international de conférences Abdou Diouf (CICAD). Voici un aperçu détaillé du programme de cet événement solennel :

  • 08h00 : Accueil des invités Le Centre des Expositions de Diamniadio ouvrira ses portes pour accueillir les invités de marque, nationaux et internationaux, qui assisteront à cette cérémonie d’importance capitale.
  • 09h30 : Arrivée des membres du Conseil Constitutionnel Les membres du Conseil Constitutionnel prendront place au CICAD pour préparer le début des festivités.
  • 09h30 – 10h30 : Arrivée des Chefs d’État et de Gouvernement étrangers Les dignitaires étrangers, venus des quatre coins du monde, sont attendus pour participer à cet événement historique et témoigner de leur soutien au nouveau Président sénégalais.
  • 10h40 : Entrée du Président élu Bassirou Diomaye Faye fera son entrée au CICAD, où il sera chaleureusement accueilli par les membres du Conseil Constitutionnel avant de rejoindre le Salon d’attente pour les derniers préparatifs.
  • 11h00 : Séance officielle La séance officielle débutera avec l’annonce du programme par le maître de cérémonie, suivi de l’entrée des membres du Conseil Constitutionnel et de l’ouverture de la séance par le Président de cet organe.
  • 11h20 : Proclamation des résultats de l’élection présidentielle Le Chef du Greffe du Conseil Constitutionnel lira la décision proclamant les résultats de l’élection présidentielle du 24 mars 2024.
  • 11h25 : Discours officiel du Président du Conseil Constitutionnel
  • 11h40 : Prestation de serment Bassirou Diomaye Faye prêtera serment en tant que nouveau Président de la République du Sénégal, un moment solennel qui marquera le début de son mandat.
  • 11h45 – 12h00 : Remise des distinctions honorifiques Le nouveau Président recevra l’Écharpe de Grand Croix de l’Ordre national du Lion et le Collier du Grand-Maître de l’Ordre national du Lion, symboles de sa fonction présidentielle.
  • 12h00 : Discours d’investiture Bassirou Diomaye Faye prononcera son discours d’investiture, exposant sa vision et ses priorités pour le Sénégal sous son leadership.
  • 12h30 : Réception des félicitations La cérémonie se clôturera par la réception des félicitations du Conseil Constitutionnel, des premières dames des dirigeants étrangers présents, ainsi que des présidents de l’Assemblée nationale.

Cette journée historique marquera le début d’un nouveau chapitre pour le Sénégal sous la direction de Bassirou Diomaye Faye, dans un esprit de démocratie, d’unité et de progrès.

Forum du justiciable met en garde Tahirou Sarr contre les discours anti-étrangers

Dans un communiqué récent, le Forum du justiciable a exprimé sa préoccupation face aux récentes déclarations de Tahirou Sarr concernant les ressortissants étrangers vivant au Sénégal. L’organisation a appelé le leader nationaliste à la retenue et l’a averti contre tout discours de nature xénophobe, stigmatisante ou intolérante, susceptible de perturber la cohésion sociale du pays.

Dans son communiqué, le Forum du justiciable a rappelé que le Sénégal est réputé pour sa « teranga » et son ouverture aux autres cultures. Il a souligné l’importance de maintenir cet esprit d’accueil et de cohabitation pacifique avec des personnes de diverses nationalités.

L’organisation a exhorté Tahirou Sarr à faire preuve de prudence et de responsabilité dans ses actions et ses discours, soulignant que la réconciliation nationale doit être une priorité pour tous les acteurs politiques. Selon le Forum du justiciable, l’unité et l’harmonie entre les différentes communautés sont essentielles pour le développement et la stabilité du Sénégal.

En appelant à un dialogue constructif et inclusif, le Forum du justiciable a affirmé sa volonté de travailler avec toutes les parties prenantes pour promouvoir la paix, la tolérance et le respect des droits de l’homme dans le pays.

Cette mise en garde du Forum du justiciable souligne l’importance de la responsabilité des leaders politiques dans la préservation de l’unité et de la diversité du Sénégal, ainsi que dans la promotion des valeurs de tolérance et de respect mutuel.

Braquage à Sangalkam : Des bandits attaquent une usine, un vigile ligoté

Dans la nuit dernière, la localité de Sangalkam a été le théâtre d’un braquage spectaculaire, mettant en lumière les défis persistants en matière de sécurité dans certaines régions du Sénégal. Une usine locale a été la cible d’une attaque orchestrée par un groupe de huit individus déterminés.

Les bandits ont pris pour cible l’établissement industriel, maîtrisant le vigile en service et le ligotant avant de pénétrer à l’intérieur. Leur intrusion a été rapide et méthodique, laissant peu de temps pour une réaction adéquate.

L’alerte a été donnée et les autorités locales ont rapidement mobilisé les forces de l’ordre, en l’occurrence la gendarmerie, pour intervenir. Malheureusement, à leur arrivée sur les lieux, les malfaiteurs avaient déjà pris la fuite, emportant avec eux leur butin.

Cet incident souligne les préoccupations persistantes en matière de sécurité dans certaines zones du pays, mettant en évidence la nécessité pour les autorités de renforcer les mesures de sécurité et de surveillance. La protection des biens et des citoyens demeure une priorité absolue, nécessitant une vigilance constante et une action coordonnée des forces de l’ordre.

Les habitants de Sangalkam et des environs expriment leur inquiétude face à cette montée de la criminalité et appellent à des mesures plus efficaces pour assurer leur sécurité et celle de leurs biens.

Ousseynou Ly dans le gouvernement de Bassirou Diomaye Faye : Quelle fonction pour le stratège politique du Pastef Médina ?

Alors que le Sénégal se prépare à l’arrivée au pouvoir du président élu Bassirou Diomaye Faye, les spéculations vont bon train quant à la composition de son gouvernement. Parmi les figures politiques scrutées de près se trouve Ousseynou Ly, ancien coordonnateur du Pastef Médina et responsable de l’image d’Ousmane Sonko.

Ousseynou Ly a joué un rôle prépondérant dans la communication et la stratégie médiatique du Parti Pastef, contribuant ainsi à façonner l’image publique de son leader, Ousmane Sonko. De plus, sa responsabilité dans la gestion de l’image de Bassirou Diomaye Faye pendant la récente campagne présidentielle renforce son importance dans le paysage politique sénégalais.

L’implication potentielle de Ly dans le gouvernement de Bassirou Diomaye Faye suscite un vif intérêt et des interrogations quant au rôle qu’il pourrait jouer. Sa nomination à un poste ministériel pourrait être interprétée comme un signe de l’engagement du président élu à intégrer différentes sensibilités politiques dans son administration.

Cependant, aucune information officielle n’a été divulguée sur la fonction spécifique que pourrait occuper Ousseynou Ly dans le gouvernement à venir. Les observateurs politiques et le grand public restent donc dans l’attente de savoir quelle place sera réservée à cette figure éminente du Parti Pastef Médina.

Quelle que soit la décision finale, la participation éventuelle de Ly au gouvernement de Bassirou Diomaye Faye aura des répercussions importantes sur la gouvernance et la politique du Sénégal dans les années à venir. Son intégration pourrait également être perçue comme un geste de rassemblement et d’inclusion de différentes forces politiques, ce qui pourrait contribuer à renforcer la démocratie et la stabilité du pays.

Un incendie dévastateur ravage la boutique « Touba Bakhdad Cosmétique » à Castor

Dans une nuit tragique, un violent incendie a ravagé la boutique de cosmétiques « Touba Bakhdad Cosmétique » à Castor, laissant derrière lui un paysage de désolation et des pertes matérielles considérables. Gérée par un jeune entrepreneur célèbre sur TikTok, cette boutique était un lieu apprécié pour ses produits de beauté et ses cosmétiques.

L’incendie, d’une intensité impressionnante, a rapidement consumé l’ensemble de l’établissement, réduisant en cendres tout ce qui se trouvait à l’intérieur. Les flammes ont dévoré les produits, les étagères et le mobilier, provoquant des dégâts évalués à des dizaines de millions de francs CFA.

La nouvelle de ce drame a suscité une profonde émotion parmi la communauté locale et au-delà, notamment sur les réseaux sociaux où le jeune gérant de la boutique jouissait d’une grande popularité. De nombreux messages de soutien et de solidarité ont afflué de la part des habitants de Castor et des followers du jeune entrepreneur, témoignant de l’impact de cette tragédie.

Alors que les circonstances exactes de l’incendie demeurent encore à déterminer, une enquête est en cours pour en identifier les causes. En attendant, l’heure est au soutien envers le propriétaire de la boutique et tous ceux qui ont été affectés par cette catastrophe.

Cérémonie d’investiture de Bassirou Diomaye Faye : Tout est fin prêt à Diamniadio !

À quelques heures de la cérémonie d’investiture tant attendue du président élu Bassirou Diomaye Diakhar Faye, les préparatifs vont bon train à Diamniadio, lieu choisi pour cet événement historique. Cette cérémonie solennelle, prévue pour demain mardi 2 avril, marque un moment crucial dans l’histoire politique du Sénégal, et tout est mis en œuvre pour garantir son succès.

Depuis 1963, la tradition de la prestation de serment et de l’installation des présidents de la République est solidement ancrée dans la commune de Ndianganio, dans la région de Thiès. Cette année, Diamniadio a été choisie comme le lieu de cet événement majeur, symbolisant ainsi un nouveau chapitre dans l’histoire politique du pays.

Plusieurs chefs d’État et de gouvernement sont attendus à Dakar pour assister à cet événement historique. Le président élu, un inspecteur des impôts et des domaines, a remporté l’élection présidentielle du 24 mars dernier avec un pourcentage impressionnant de 54,28 % des voix dès le premier tour.

Dans ce contexte d’effervescence et d’attente, les autorités sénégalaises veillent à ce que tous les détails soient parfaitement orchestrés pour garantir le succès de la cérémonie. Les préparatifs minutieux reflètent l’importance de cet événement pour la nation sénégalaise et illustrent la transition pacifique et démocratique vers un nouveau leadership.

La cérémonie d’investiture de Bassirou Diomaye Diakhar Faye représente non seulement un moment historique pour le Sénégal, mais aussi une occasion de célébrer la démocratie et la stabilité politique du pays. Alors que les derniers ajustements sont apportés, l’ensemble du pays se prépare à accueillir son nouveau président avec enthousiasme et espoir pour l’avenir.

Voici les premières images du lieu de réception de la grande cérémonie.

Polémique autour de l’absence de Ndakhté Lo au mariage de Diarra Thiès : Diarra Thiès contredit les déclarations de Ndakhté Lo

La récente célébration du mariage de Diarra Thiès, membre éminent de la scène artistique sénégalaise, a été émaillée d’une controverse quant à l’absence de la chanteuse et actrice Ndakhté Lo à l’événement. Cette situation a suscité des réactions mitigées et des déclarations contradictoires, jetant ainsi une lumière crue sur les relations interpersonnelles au sein de la sphère artistique sénégalaise.

Ndakhté Lo, connue pour son rôle dans la série populaire « Virginie » et pour sa participation au groupe musical « Sen Petit Gallé », a initialement affirmé publiquement qu’elle n’avait pas assisté au mariage de Diarra Thiès faute d’avoir été invitée. Cependant, cette déclaration a été rapidement contredite par Diarra Thiès elle-même, qui a assuré que tous les invités avaient bel et bien reçu une invitation.

Cette controverse a mis en lumière des tensions sous-jacentes et des malentendus au sein de la communauté artistique sénégalaise. L’absence de Ndakhté Lo à l’événement, combinée à ses déclarations initiales, a suscité des interrogations quant aux relations entre les deux artistes et aux circonstances entourant l’invitation au mariage de Diarra Thiès.

Toutefois, la clarification apportée par Diarra Thiès selon laquelle tous les invités avaient été conviés met fin à une partie de la controverse. Il semble donc que l’absence de Ndakhté Lo au mariage de Diarra Thiès soit plutôt due à un choix personnel de ne pas y assister, plutôt qu’à un manquement de l’organisation en termes d’invitation.

Cette situation souligne l’importance d’une communication claire et ouverte dans tous les aspects de la vie sociale et professionnelle, en particulier au sein de la communauté artistique où les relations interpersonnelles jouent un rôle crucial. Espérons que cette controverse serve de leçon et encourage une meilleure compréhension et une résolution pacifique des malentendus à l’avenir.

Investiture historique du Président Bassirou Diomaye Faye : La RTS assure une diffusion en direct de l’événement

La scène politique sénégalaise s’apprête à vivre un moment historique avec l’investiture du président élu, Bassirou Diomaye Faye. Cet événement, symbole de la démocratie et du renouvellement démocratique, sera diffusé en direct sur la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS), offrant ainsi une couverture inédite à travers le pays et au-delà de ses frontières.

La cérémonie d’investiture revêt une importance capitale, marquant le passage de relais entre le président sortant, Macky Sall, et son successeur, Bassirou Diomaye Faye. La RTS s’engage à assurer une retransmission sans faille de cet événement majeur, permettant à tous les citoyens sénégalais, ainsi qu’aux observateurs internationaux, de suivre en direct ce moment historique.

Grâce à des informations techniques fournies à l’échelle mondiale, la RTS permettra une réception optimale de la diffusion. Des satellites stratégiquement positionnés garantiront une couverture étendue, depuis l’Afrique jusqu’en Europe et en Amérique, assurant ainsi une accessibilité universelle à cette investiture présidentielle.

La technologie de pointe utilisée par la RTS, incluant la modulation 8PSK et le codage Mpeg 4, garantit une qualité de transmission professionnelle. Les paramètres satellites précis permettront une diffusion fluide et sans interruption, offrant ainsi une expérience immersive aux téléspectateurs à travers le monde.

Cette diffusion en direct de l’investiture du président Bassirou Diomaye Faye témoigne de l’engagement du Sénégal envers les valeurs démocratiques et la transparence. Elle offre également une occasion unique de célébrer la continuité démocratique dans le pays et de souligner l’importance de la libre circulation de l’information dans la construction d’une société inclusive et éclairée.

Le Général de Corps d’Armée Mamadi Doumbouya assistera à l’investiture de Bassirou Diomaye Faye à Dakar

Dans le cadre de la cérémonie d’investiture du président élu du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, prévue pour demain à Diamniadio, un nombre impressionnant de dirigeants étrangers ont confirmé leur présence. Parmi eux, figure le président de la République de Guinée, le Général de Corps d’Armée Mamadi Doumbouya.

Selon un communiqué émanant du cabinet civil de la présidence guinéenne, le Général Mamadi Doumbouya quittera Conakry ce mardi 2 avril 2024 pour assister à la cérémonie d’investiture du président sénégalais. Cette annonce témoigne de l’importance accordée à cet événement régional majeur, marquant la transition démocratique au Sénégal.

Le départ du Général de Corps d’Armée Mamadi Doumbouya sera accompagné d’une délégation de haut niveau, comprenant notamment le président du Conseil national de la transition (CNT), le Premier ministre, chef du gouvernement, ainsi que d’autres figures importantes de l’État guinéen.

La direction du protocole d’État guinéen a également convié une liste sélecte de personnalités, notamment les chefs des forces armées, les représentants des organisations internationales, ainsi que les hauts fonctionnaires de divers ministères et institutions.

Le cérémonial de départ est prévu pour 7 h 30 à l’aéroport international Ahmed Sékou Touré, marquant ainsi le début de cette importante mission diplomatique vers Dakar, où le Général de Corps d’Armée Mamadi Doumbouya et sa délégation apporteront leur soutien et leur engagement à la consolidation de la démocratie et de la stabilité dans la région ouest-africaine.

Prestation de serment au Sénégal : Arrivée des dignitaires africains pour l’investiture de Bassirou Diomaye Faye

Une effervescence diplomatique saisissante a pris d’assaut le Sénégal en ce jour marquant l’investiture du président Bassirou Diomaye Faye. Le pays accueille une pléiade de chefs d’État et de hauts représentants africains, témoignant de l’importance et de la solennité de cet événement majeur.

Dès les premières lueurs de l’aube, l’aéroport militaire Léopold Sédar Senghor s’est paré de ses plus beaux atours pour accueillir les éminentes personnalités, parmi lesquelles figuraient les présidents de la Gambie, de la Guinée-Bissau et de la Sierra Leone, respectivement Adama Barrow, Umaru Sissoco Embaló et Julius Maada Bio. Sous les honneurs du Premier ministre Sidiki Kaba, ces hôtes de marque ont été reçus avec la solennité requise pour un événement d’une telle importance.

La liste des invités prestigieux ne s’arrête pas là. Le vice-président ivoirien Thiémoko Meyliet Koné et le président du Conseil national de transition malien, le colonel Malick Diaw, ont également fait leur entrée, ajoutant une touche supplémentaire de grandeur à cette journée historique.

Cependant, l’accueil des dignitaires ne s’est pas limité à l’aéroport militaire. L’aéroport international Blaise Diagne a également été le théâtre de ces arrivées remarquables, avec la présence de Moussa Faki de l’Union Africaine, des représentants de la CEDEAO et de l’Assemblée Nationale du Burkina Faso.

Dans les heures à venir, d’autres personnalités de haut rang sont attendues, dont les présidents de la Guinée, du Ghana, du Cap Vert et de la Mauritanie. Leur présence illustre l’importance de cet événement non seulement pour le Sénégal, mais aussi pour toute la région ouest-africaine.

En somme, l’investiture de Bassirou Diomaye Faye est bien plus qu’un simple événement politique. Elle est un symbole de démocratie, de stabilité et de coopération régionale, renforçant les liens entre les nations africaines et promouvant l’unité et la prospérité dans toute la sous-région.

Tiken Jah Fakoly évoque une « révolution » suite à l’élection de Bassirou Diomaye Faye à la présidence du Sénégal

Dans une déclaration récente, le chanteur reggae engagé Tiken Jah Fakoly a qualifié l’élection de Bassirou Diomaye Faye à la présidence du Sénégal comme une « révolution ». Vivant actuellement au Mali, l’artiste a partagé ses réflexions sur cet événement politique majeur, exprimant son soutien à ce qu’il considère comme un nouveau chapitre dans la gouvernance sénégalaise.

Expulsé du Sénégal en 2007 par le Président Abdoulaye Wade en raison de ses opinions critiques, Tiken Jah Fakoly est connu pour son engagement en faveur des droits et de la dignité des Africains à travers sa musique et ses prises de position. Sa résidence actuelle au Mali ne l’empêche pas de rester attentif à l’évolution politique de son pays d’origine.

Dans ses commentaires, le chanteur a salué l’élection de Bassirou Diomaye Faye comme une occasion de changement et de renouveau pour le Sénégal. Pour lui, cette transition politique représente bien plus qu’un simple changement de leadership, mais plutôt une véritable « révolution » dans la manière dont le pays est gouverné.

Tiken Jah Fakoly, par ses paroles, appelle probablement à une prise de conscience collective et à une action citoyenne pour un Sénégal meilleur. Son soutien à Bassirou Diomaye Faye et sa caractérisation de son élection comme une « révolution » soulignent l’importance de la participation politique et de l’engagement citoyen dans la construction d’une société plus juste et équitable.

À travers ses chansons et ses prises de parole, Tiken Jah Fakoly continue de défendre les valeurs de justice, de liberté et de dignité pour tous les Africains. Son implication dans le dialogue politique actuel au Sénégal offre une perspective unique sur les aspirations et les attentes de nombreux citoyens, tout en encourageant un débat constructif sur l’avenir du pays.

Élection de Bassirou Diomaye Faye : Appel à la transparence et à la clarté dans les coulisses du pouvoir

Suite à la victoire de la coalition « Diomaye Président » lors de l’élection présidentielle, un membre éminent de la mouvance présidentielle, Cheikh Ibrahima Diallo, a exprimé des préoccupations quant à la transparence et à la clarté des processus ayant conduit à ce résultat. Dans une note publique, le secrétaire général du parti Justice et Développement a appelé à des éclaircissements sur les coulisses de cette élection historique.

Dans un contexte où la démocratie et l’État de droit requièrent la transparence et la bonne gouvernance, Cheikh Ibrahima Diallo a souligné l’importance pour les candidats et leurs partisans de respecter les résultats électoraux, qu’ils soient victorieux ou non. Cependant, il a soulevé des questions concernant les circonstances entourant la victoire de la coalition « Diomaye Président », appelant à des réponses claires face aux spéculations et aux rumeurs qui circulent.

Le guide religieux a mis en lumière les allégations et les vidéos qui ont suscité un tollé dans l’opinion publique, mettant en doute la crédibilité des principaux acteurs politiques impliqués dans cette élection. Il a insisté sur la nécessité de distinguer la vérité des fake news, tout en soulignant l’importance de préserver la réputation des leaders politiques.

Cheikh Ibrahima Diallo a exprimé son inconfort face aux accusations portées contre certains leaders politiques avant et pendant les élections, ainsi que face aux allégations de manœuvres politiques visant à influencer les résultats électoraux. Il a appelé à une analyse objective des événements afin d’éclairer la population sur les tenants et aboutissants de cette élection et sur les responsabilités éventuelles des différents acteurs politiques impliqués.

Cheikh Ibrahima Diallo a plaidé pour la vérité, la transparence et la responsabilité dans la conduite des affaires politiques, soulignant l’importance de tirer des leçons de cette élection pour l’avenir de la démocratie au Sénégal.

Serigne Habib Sy Dabakh conseille le nouveau président sur la gouvernance et les relations avec les chefs religieux

À la suite de l’élection de Bassirou Diomaye Faye à la présidence de la République du Sénégal, l’illustre guide religieux Serigne Habib Sy Dabakh a exprimé sa satisfaction tout en prodiguant des conseils précieux pour le futur dirigeant, dans le but de guider le pays avec sagesse et intégrité.

Au cœur de ses recommandations, Serigne Habib Sy Dabakh souligne l’importance pour le nouveau président d’établir des liens solides avec les leaders religieux du pays. Il conseille à Bassirou Diomaye Faye de rendre visite à ces figures spirituelles respectées et de solliciter leurs prières avant d’entamer son mandat présidentiel. Cette démarche symbolise l’importance des valeurs spirituelles et de la guidance divine dans la gouvernance, tout en renforçant les liens entre le pouvoir politique et les sphères religieuses du pays.

En ce qui concerne la gouvernance, Serigne Habib Sy Dabakh encourage vivement Bassirou Diomaye Faye et son équipe à faire preuve de transparence et de reddition des comptes. Il met particulièrement l’accent sur la nécessité de lutter contre la corruption et les détournements de fonds publics, soulignant que cette démarche est cruciale pour renforcer la confiance du peuple dans les institutions gouvernementales.

Enfin, Serigne Habib Sy Dabakh exhorte le nouveau président à communiquer clairement avec les jeunes sur les défis et les objectifs du pays, tout en les encourageant à faire preuve de patience et d’engagement dans la construction d’un avenir meilleur.

Les conseils éclairés de Serigne Habib Sy Dabakh reflètent l’importance des valeurs éthiques et morales dans la gouvernance politique et soulignent le rôle central des leaders religieux dans la vie sociale et politique du Sénégal. En suivant ces recommandations, le président Bassirou Diomaye Faye pourrait poser des bases solides pour un leadership responsable, inclusif et en accord avec les aspirations du peuple sénégalais.

Entretien téléphonique entre Antony Blinken et Bassirou Diomaye Faye : Renforcement des relations entre les États-Unis et le Sénégal

À la veille de l’investiture de Bassirou Diomaye Faye en tant que nouveau président du Sénégal, un entretien téléphonique significatif a eu lieu entre le secrétaire d’État américain, Antony J. Blinken, et le président élu. Cette conversation revêt une importance particulière, mettant en lumière les relations entre les États-Unis et le Sénégal, ainsi que les engagements mutuels en matière de coopération et de partenariat.

Selon un communiqué officiel du Département d’État américain, Antony Blinken a adressé ses chaleureuses félicitations à Bassirou Diomaye Faye pour sa victoire électorale, soulignant la réussite d’un processus électoral pacifique et inclusif au Sénégal. Cette reconnaissance de la part des États-Unis témoigne de l’importance accordée à la démocratie et à la stabilité politique dans la région ouest-africaine.

L’entretien a également été l’occasion pour le secrétaire Blinken de réaffirmer l’engagement des États-Unis à renforcer les liens de partenariat avec le Sénégal. Cette déclaration souligne la volonté commune des deux pays de collaborer étroitement dans divers domaines, tels que la sécurité régionale, le développement économique, la santé publique et les échanges culturels.

La conversation téléphonique entre Antony Blinken et Bassirou Diomaye Faye revêt une importance stratégique à plusieurs égards. D’une part, elle marque le début d’une nouvelle ère de coopération entre les États-Unis et le Sénégal sous la direction du nouveau président. D’autre part, elle souligne l’engagement continu des États-Unis envers la région ouest-africaine et leur volonté de soutenir les initiatives visant à promouvoir la paix, la prospérité et le développement durable.

Dans un contexte mondial marqué par des défis complexes tels que la pandémie de COVID-19, les menaces sécuritaires et les enjeux économiques, la relation entre les États-Unis et le Sénégal revêt une importance capitale. L’entretien téléphonique entre Antony Blinken et Bassirou Diomaye Faye constitue donc un signal positif de l’engagement des deux pays à travailler ensemble pour relever ces défis et à promouvoir la paix et la prospérité dans la région.

En conclusion, cet échange témoigne de l’importance des relations bilatérales entre les États-Unis et le Sénégal, ainsi que de leur volonté commune de renforcer leur partenariat dans les années à venir.

Le CORED appelle à la responsabilité des médias pour préserver la cohésion sociale

Dans un contexte marqué par la montée de discours xénophobes et stigmatisants, le Conseil pour l’observation des règles d’éthique et de déontologie dans les médias (CORED) exhorte les professionnels des médias sénégalais à faire preuve de responsabilité et de vigilance. Dans un communiqué publié lundi, le CORED rappelle l’importance pour les médias de ne pas donner de tribune à des discours susceptibles de porter atteinte à la cohésion sociale et à l’intégrité des communautés.

L’Article 18 du Code de la presse est mis en avant pour rappeler aux médias leur responsabilité en matière de diffusion d’informations. Le CORED souligne que les professionnels des médias doivent éviter de véhiculer des propos xénophobes, racistes, stigmatisants ou intolérants, qui peuvent diviser la société et alimenter les tensions.

Un cas précis est cité dans le communiqué : celui de Monsieur Tahirou Sarr du Mouvement nationaliste sénégalais, dont les discours publics sur les étrangers vivant au Sénégal et sur l’immigration ont été jugés tendancieux. Le CORED exprime son inquiétude quant à la présence médiatique croissante de cette figure, mettant en garde contre la banalisation de discours visant à désigner l’étranger comme bouc émissaire, une rhétorique dangereuse qui peut nourrir la discrimination et la haine.

Dans un pays où la diversité ethnique, culturelle et religieuse est une richesse, il est primordial que les médias jouent un rôle constructif dans la promotion du vivre ensemble et de la tolérance. Le CORED appelle ainsi les professionnels des médias à censurer tout contenu susceptible de nuire à cette harmonie sociale et à renforcer leur engagement en faveur du respect des valeurs démocratiques et des droits de l’homme.

En concluant son communiqué, le CORED réaffirme son engagement à surveiller de près toute dérive éthique ou déontologique dans les médias et à intervenir lorsque cela est nécessaire pour garantir une information équilibrée et respectueuse des principes fondamentaux de notre société.

La Prestation de serment Présidentielle : Un rituel au cœur de la légitimité

La prestation de serment d’un président élu revêt une formalité substantielle, qui donne une connotation juridique, morale et de sacralité à la fonction de chef de l’État, a indiqué l’enseignant-chercheur en science politique, Maurice Soudieck Dione.

Le nouveau président élu Bassirou Diomaye Diakhar Faye va prêter serment au cours d’une audience publique du Conseil constitutionnel, prévue mardi dans la matinée, au Centre international de conférences Abdou Diouf de Diamniadio.

Il va dans la foulée se rendre au Palais de la République où il va s’entretenir avec son prédécesseur Macky Sall pour une passation de pouvoir et une investiture symbolique dans ses nouvelles fonctions.

“C’est un moment extrêmement fort et extrêmement crucial dans la vie d’une nation”, soutient l’universitaire en parlant de la prestation de serment du président nouvellement élu.

Le serment, après l’élection, occupe une des étapes les plus déterminantes au plan des formalités juridiques et républicaines, selon l’agrégé en science politique et enseignant à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.

Sur le plan juridique, le serment revêt une “formalité substantielle”, a-t-il fait observer dans un entretien avec l’APS. Cela veut dire que tant que le président de la République élu n’a pas prêté serment, il n’est pas encore entré en fonction, ne pouvant prendre aucune mesure ou prendre un acte rattaché à la fonction, précise l’universitaire.

“Monsieur le président, les Sénégalais sont fatigués”

Il note également que le serment a une portée à la fois juridique, politique, morale et même religieuse, dans la mesure où ”l’on jure devant Dieu et la nation”.

De son point de vue, “la prestation de serment donne une connotation morale et de sacralité à la fonction exercée”.

Constitutionnalisée au Sénégal depuis 1963, la prestation de serment du président de la République est reçue par le Conseil constitutionnel.

Le Président Léopold Sédar Senghor a prêté serment pour la première fois en décembre 1963 à l’Assemblée nationale, devant la Cour suprême.

Élu en 1960 par le Congrès, il n’était nullement écrit dans la Constitution qu’il devait prêter serment. Il a fallu attendre la modification de la Constitution en 1963 pour que le président Senghor soit soumis à une prestation de serment. Il avait fait cette prestation de serment le 9 décembre 1963 à l’Assemblée nationale.

Avec l’arrivée du président Abdou Diouf au pouvoir en 1981, “un cas exceptionnel” faisant suite à la démission en cours de mandat de Léopold Senghor, la prestation de serment s’est faite au palais de Justice devant Kéba Mbaye, le président de la Cour suprême d’alors.

Cette cérémonie solennelle est passée à la postérité à travers notamment la célèbre phrase du juge Mbaye : “Monsieur le président, les Sénégalais sont fatigués”.

 À partir de 1983, le président Diouf est revenu à l’Assemblée nationale où il va prêter serment devant le président de la Cour suprême. Les prestations de serment de 1988 et 1993 ont été toutefois reçues par le Conseil constitutionnel.

Son successeur Abdoulaye Wade a prêté serment en 2000 et 2007 au stade Léopold Sédar Senghor, devant le Conseil constitutionnel, donnant un cachet populaire à la solennité de l’exercice.

Le Président Macky Sall a prêté serment à l’entame de son premier mandat au King Fahd Palace en 2012. En 2019, la deuxième prestation de serment marquant sa réélection à la magistrature suprême s’est déroulée au Centre des Expositions de Diamniadio, à 30 km de Dakar.

Élu dès le premier tour avec 54, 28% lors du dernier scrutin, le nouveau président de la République, Bassirou Diomaye Faye, va perpétuer cette tradition, ce mardi, 2 avril.

Plus qu’un discours d’investiture

“Devant Dieu et devant la nation sénégalaise, je jure de remplir fidèlement la charge de président de la République du Sénégal, d’observer comme de faire observer scrupuleusement les dispositions de la Constitution et des lois, de consacrer toutes mes forces à défendre les institutions constitutionnelles, l’intégrité territoriale et l’indépendance nationale, de ne ménager enfin aucun effort pour la réalisation de l’Unité africaine”.

C’est en ces termes que le serment du président de la République est prononcé devant les juges constitutionnels, conformément à l’Article 37 de la Constitution du Sénégal qui stipule que “le président de la République est installé dans ses fonctions après avoir prêté serment devant le Conseil constitutionnel en séance publique”.

Sous cette forme, l’engagement du président de la République à “respecter la Constitution” et à “défendre l’intégrité du territoire”, renvoie à ce qu’on attendrait d’un chef dans la société traditionnelle, c’est-à-dire qu’il ne fuit pas devant l’ennemi, renseigne de son côté l’ancien directeur des archives nationales du Sénégal, Saliou Mbaye.

Outre des considérations matérielles, sociales et d’autres relatives à la paix, le texte termine toujours en faisant référence à l’unité africaine, le Sénégal ayant “toujours été partisan de l’unité africaine et cela se reflète dans la prestation de serment faite par le président de la République devant son peuple et devant Dieu”, a-t-il relevé.

Au Sénégal, comme dans beaucoup de pays d’Afrique francophone, seul le juge constitutionnel est habilité à recevoir le serment du président de la République élu.

Dans certains pays africains, il arrive que l’Assemblée nationale ou la Cour suprême soient chargées de recevoir le serment du président élu.

“La prestation de serment se fait toujours oralement”, a fait savoir le professeur Maurice Soudieck Dione.

Il y a, à cet effet, la jurisprudence ivoirienne, quand en 2010, par exemple, le Conseil constitutionnel avait rejeté, non pas pour défaut de qualité du jureur, le serment prêté par écrit d’Alassane Ouattara.

L’institution judiciaire avait été saisie afin d’interpréter la constitutionnalité de ce serment prêté par écrit, et non oralement comme le veut la tradition républicaine.

En 1996, le juge constitutionnel béninois avait sommé le président élu, Mathieu Kérékou, de reprendre sa prestation de serment au motif que ce dernier avait omis de prononcer l’expression “les mânes des ancêtres” contenue dans le serment.

En Guinée, le président élu, Alpha Condé, avait aussi repris, le 21 décembre 2015, sa prestation de serment pour avoir omis de prononcer “et de faire respecter la Constitution”.

Contrairement au Bénin, en Guinée, le président élu avait repris sa prestation de serment, non sur injonction du juge constitutionnel, mais à cause de la controverse doctrinale soulevée par la tribune d’un intellectuel du pays, souligne l’universitaire congolais, Sergelin Briguel Omboula, auteur d’une thèse de doctorat sur le juge constitutionnel africain et la prestation de serment du président de la République élu.

Le Sénégal sous Diomaye Faye : Une nouvelle ère économique en renégociant avec l’Occident

Depuis son accession à la présidence le 24 mars dernier, Bassirou Diomaye Faye, le nouveau chef d’État du Sénégal, promet une révolution dans la coopération internationale. Il a déjà entrepris la renégociation des contrats pétroliers et gaziers avec les compagnies occidentales, ouvrant ainsi une nouvelle ère économique pour le pays.

En partenariat avec la Russie, le Sénégal devrait lancer cette année les projets de gaz naturel liquéfié Grand Tortue Ahmeyim et de développement pétrolier Sangomar, d’une valeur de 4,8 milliards de dollars. Ces projets positionneront le Sénégal parmi les économies à la croissance la plus rapide au monde.

Le président Faye envisage également la renégociation des contrats relatifs aux projets pétroliers et gaziers développés par BP Plc, Kosmos Energy Ltd. et Woodside Energy Group Ltd, dans le but d’augmenter les revenus nationaux. Il remet notamment en question l’accord précédent qui attribuait les gisements offshore à BP.

Cette initiative devrait engendrer des retombées économiques significatives, telles que la création d’emplois et le développement des infrastructures locales. Elle intervient après une période où le Sénégal était largement sous le contrôle d’entreprises occidentales, principalement françaises, une situation perçue comme une forme de politique coloniale ayant nui à la population locale, confrontée à un coût de la vie élevé et à un chômage persistant malgré les changements de régime.

Sous le régime de Diomaye, ces projets visent à diversifier l’économie nationale et à créer une nouvelle source de richesse, synonyme d’indépendance économique et de développement durable. Le gouvernement prévoit-il des changements concrets pour répondre aux attentes de la population ? Est-il prêt à rejoindre l’Alliance des États du Sahel (AES) pour assurer la souveraineté économique en collaboration avec Bamako, Ouagadougou et Niamey ?

Au cours de la dernière décennie, les pays du Sahel ont revu leurs relations avec les pays occidentaux, visant une plus grande indépendance économique et militaire. Le Sénégal, avec son potentiel régional et sa situation géographique stratégique, pourrait jouer un rôle clé dans cette dynamique.

Communiqué : Mobilisation pour une Transition Démocratique au Sénégal

Alerte
En route vers l’élection présidentielle au Sénégal et à quelques heures du démarrage de la campagne électorale, le Président Macky Sall avait pris un décret abrogeant celui convoquant le coprs électoral en violation des principes et valeurs de la République du Sénégal dont le respect du calendrier républicain.
Le Mouvement Agir pour une Commune Active et Solidaire ( MACAS)dont j’ai l’insigne honneur de présider avait dénoncé cet acte anti républicain et pris en Assemblée Générale la décision de s’allier et de soutenir la coalition Diomaye Président à briguer les suffrages des Sénégalais particulièrement ceux de la commune de Dya.
Les résultats sortis des urnes au soir du scrutin du 24 mars 2024 donnent une victoire de 54,28% au candidat Bassirou Diomaye FAYE pour être élu 5e Président de la République du Sénégal,. Cette victoire au premier tour pour un opposant renseignent sur la percée exponentielle de ladite Coalition au niveau national particulièrement dans la commune de DYA .
Ce score constituant un tremblement de positions professionnelle et politique avec des résonances jusque dans les entrailles de tous les animateurs politiques de l’ex mouvance présidentielle , n’est que le point de départ d’une mort politique silencieuse et généralisée à parachever au soir des élections municipales à venir.
C’est pourquoi sentant leur mort politique prochaine, les maires de l’ex mouvance présidentielle ( Benno Bok Yakar) , dans le désarroi et le dénuement total, font partout des clins d’œil et tapent désespérément à toutes les portes des actuels tenants du pouvoir de peur que les sucettes dont ils se targuaient et avec lesquelles ils trompaient leurs électeurs ne soient pas otées de leur bouche pour ne pas se retrouver dans une famine financière et budgétaire agonisante .
Aux militants , militantes et sympathisants de la coalition Diomaye Président , barrons la route à ces prédateurs et refusons de compter parmi nos rangs des parasites qui ne pointent leur nez que quand la moisson est mûre pour en profiter sans scrupule. A ces maires renifleurs de saveurs budgétaires et financières nous leurs disons qu’ils ont gouverné et continuent à diriger leur localité dans la manipulation et la tromperie.
Nous les alertons à rester dans l’opposition avec dignité pour rendre la monnaie au Président Macky Sall qui leur a tout donné et de s’approprier cette maxime sociologique de notre société :« So tité nanga dessé fiit, So weté nanga goré ,So gnaké nanga mougne ».

Ibrahima DIOUF,
Contrôleur des Impôts et des Domaines
Président du Mouvement Agir pour une Commune Active et Solidaire (MACAS) ,
Arrondissement de Ngothie
Commune de Dya
Région de Kaolack

Luis Enrique montre qu’il est le patron

L’entraîneur du Paris Saint-Germain, Luis Enrique, a parlé au micro de ‘Prime Video’ après la victoire 2-0 contre Marseille et n’a pas caché sa colère lorsque on lui a demandé au sujet du remplacement de Mbappé.

Le PSG continue de dominer la Ligue 1. Les Parisiens ont battu Marseille 2-0 dans le « Classique », lors d’un match où Vitinha et Goncalo Ramos ont marqué, et restent en tête du classement avec huit points d’avance sur Brest.

Mbappé n’a joué aucun rôle significatif, Luis Enrique l’ayant même remplacé après 64 minutes. Ensuite, à la fin du match, l’entraîneur espagnol a été interrogé sur ce changement qui a suscité de la frustration chez l’homme de Bondy.

« Vous avez dit que vous compreniez ma décision de sortir Mbappé ? Eh bien, si ce n’est pas le cas, ça m’est égal (rires). C’est la même musique chaque semaine… Je suis très fatigué du sujet », a commencé l’Espagnol, voulant clairement indiquer qui est aux commandes.

« Je suis l’entraîneur, je prends les décisions chaque jour et je ferai la même chose chaque semaine jusqu’à mon dernier jour à Paris. J’essaie toujours de trouver la meilleure solution pour mon équipe », a commenté un Luis Enrique visiblement en colère.

Íñigo Martínez menace un jeune supporteur à la sortie de l’entraînement

A la sortie d’un entraînement avec le FC Barcelone, Íñigo Martínez a fait face à un jeune supporter qui, en entendant les paroles du défenseur central, l’avait traité de « tonto » (idiot). L’ancien joueur de l’Athletic est descendu de sa voiture pour confronter directement le supporter.

Ce lundi à midi, le profil Twitter d’un jeune nommé Julen a relayé une vidéo montrant Íñigo Martínez faisant face à un jeune supporter. L’incident semble avoir lieu après un entraînement du FC Barcelone. Dans la vidéo, on voit l’ancien joueur de l’Athletic sortir de sa voiture pour confronter directement le jeune homme, à très courte distance de son visage, entre des cris d’indignation.

« La prochaine fois que tu m’appelles idiot, tu vas voir, tu as entendu ? C’est la dernière fois que tu m’insultes, et ton ami aussi. La dernière fois que tu m’insultes. Non, non, la dernière fois que tu m’insultes, tu as entendu ? La dernière. Et ne fais pas le malin car… C’est la dernière fois que tu m’insultes », crie le défenseur avant de retourner vers son véhicule, où quelqu’un dit « ça ne vaut pas la peine, Íñigo » dans un geste pour le calmer.

Pour l’instant, ni le club ni le joueur n’ont réagi, bien que compte tenu de l’ampleur et de l’attention portée à la dispute, il est très probable qu’il y aura une réponse publique pour donner des explications à ce sujet. 

Ce n’est pas la première fois qu’un joueur de haut niveau fait face à un jeune qui l’attend à la sortie d’un entraînement. En fait, au FC Barcelone, il y a déjà eu un cas avec Joao Cancelo, qui a refusé une photo et quelques autographes à un garçon avant d’expliquer que le motif de son refus est qu’il a réalisé que ces cadeaux sont souvent utilisés pour être revendus sur internet par la suite. 

Mise en garde du CORED contre les discours xénophobes dans les médias

Le Conseil pour l’Observation des Règles d’Ethique et de Déontologie dans les médias (CORED) a émis une mise en garde contre la banalisation des discours tendancieux et xénophobes dans les médias sénégalais, mettant en lumière le cas de Tahirou Sarr du Mouvement nationaliste sénégalais.

Tahirou Sarr, connu pour ses discours publics controversés sur les étrangers vivant au Sénégal et sur l’immigration, a récemment bénéficié d’une présence médiatique accrue. Cette tendance a suscité des préoccupations au sein du CORED, qui considère que la diffusion de discours de ce type peut avoir des conséquences néfastes sur la cohésion sociale et la tolérance.

Dans un communiqué officiel, le CORED a fermement condamné cette tendance, soulignant que les médias ont un rôle crucial à jouer dans la préservation du vivre ensemble et de la diversité au sein de la société sénégalaise. L’instance a rappelé aux professionnels des médias leur responsabilité de ne pas accorder de plateforme à des discours xénophobes, racistes, stigmatisants ou intolérants, conformément aux principes éthiques et déontologiques qui régissent leur profession.

L’article 18 du Code de la presse sénégalais interdit explicitement la diffusion de contenus haineux ou discriminatoires, et le CORED exhorte les médias à respecter cette disposition légale. Il met en garde contre les risques potentiels que représentent les discours de haine pour la stabilité sociale et la paix au Sénégal.

Le CORED appelle les professionnels des médias à exercer une vigilance accrue dans le traitement de l’information et à rejeter toute forme de discours ou d’images susceptibles de diviser la société ou de promouvoir la violence et l’intolérance. Cette démarche vise à protéger les valeurs fondamentales de tolérance, de respect et de solidarité qui sont au cœur du tissu social sénégalais.

Bassirou Diomaye Faye : De l’ombre à la lumière, le parcours d’un président

Bassirou Diomaye Faye, originaire de Ndiaganiao, une commune rurale située dans le département de Mbour au Sénégal, s’apprête à entrer dans l’histoire en tant que plus jeune président élu de la République du Sénégal. Son ascension fulgurante, de l’obscurité à la scène politique nationale, est un témoignage de détermination, d’intégrité et de courage.

Né dans le village de Ndiayendiaye, Bassirou a été élevé dans une famille respectée, où les valeurs d’honneur et de dignité étaient inculquées dès son plus jeune âge. Malgré ses origines modestes, il a toujours été un brillant élève, se distinguant par son sérieux et son engagement dans ses études.

La politique n’était pas initialement au programme pour Bassirou. Cependant, son engagement dans des causes sociales et son refus de l’injustice l’ont finalement conduit à rejoindre le Pastef en 2014, un parti politique promettant un changement radical. Son adhésion au parti a marqué le début d’une carrière politique remarquable.

Sa campagne électorale pour la présidence a été marquée par une détermination sans faille et un message de renouveau et d’espoir pour le peuple sénégalais. Le 24 mars, jour de son 44e anniversaire, il a remporté une victoire historique, devenant ainsi le nouveau visage de la politique sénégalaise.

La transition de Bassirou de l’ombre à la lumière n’a pas été sans défis. En tant que président, il fait face à une série de problèmes complexes, allant de la gestion économique à la sécurité nationale. Cependant, sa réputation d’intégrité et de détermination lui a valu le soutien indéfectible de nombreux Sénégalais.

En conclusion, le parcours de Bassirou Diomaye Faye illustre le pouvoir de la détermination, de l’intégrité et du courage dans la réalisation des rêves. Son élection marque le début d’une nouvelle ère pour le Sénégal, avec l’espoir d’un avenir meilleur pour tous ses citoyens.

Réduire la taille du gouvernement et nommer des experts : les orientations du président Bassirou Diomaye Faye

Alors que le Sénégal attend avec impatience la composition du nouveau gouvernement sous la présidence de Bassirou Diomaye Faye, des indications émergent sur les orientations stratégiques du président fraîchement élu.

Selon Ndème Dieng, membre de la cellule de communication de DiomayePrésident, le nouveau chef d’État a clairement exprimé sa volonté de réduire la taille du gouvernement par rapport à son prédécesseur, Macky Sall. Cette décision vise probablement à rationaliser les dépenses publiques et à rendre l’administration plus efficace.

« Ce que je sais, c’est qu’il va réduire la taille du gouvernement. Ça, c’est sûr et certain, et c’est le premier élément. Le deuxième élément, c’est que Diomaye va nommer des personnes avec les compétences requises pour occuper les postes de responsabilité. Le troisième élément, c’est qu’il sera très rigoureux dans la gestion », a déclaré Ndème Dieng dans une interview accordée à Africa Globe.

Cette réduction de la taille du gouvernement pourrait également refléter la volonté du président Diomaye de promouvoir une gouvernance plus efficace et transparente, en se concentrant sur les ministères et les domaines prioritaires pour le développement du pays.

En outre, le président Diomaye cherche à constituer un gouvernement composé d’experts dans leurs domaines respectifs. Cette approche s’inscrit dans une volonté de garantir que les responsables gouvernementaux possèdent les compétences techniques nécessaires pour relever les défis complexes auxquels le pays est confronté.

« Le deuxième élément, c’est que Diomaye va nommer des personnes avec les compétences requises pour occuper les postes de responsabilité », a souligné Ndème Dieng.

Cette orientation stratégique pourrait signaler une nouvelle ère dans la gouvernance du Sénégal, mettant l’accent sur la compétence et la performance plutôt que sur des considérations politiques.

Alors que le président travaille avec son équipe pour finaliser la composition du gouvernement, l’annonce officielle devrait être faite dans un avenir proche, suscitant l’attention et les attentes de la population sénégalaise.

Marie Khone et Absa : Situation inédite, deux Premières dames au palais présidentiel

À quelques minutes seulement de la fin de la campagne présidentielle au Sénégal, Bassirou Diomaye Faye s’avance d’un pas mesuré sur une tribune, tenant la main de ses deux épouses, Marie et Absa. Une scène inédite dans l’arène politique nationale.

Applaudi par des milliers de sympathisants en liesse, le candidat de la rupture et du panafricanisme a fait le choix d’afficher ouvertement sa polygamie, une pratique traditionnelle et religieuse solidement ancrée dans la culture sénégalaise, avant son élection triomphante dès le premier tour du scrutin avec 54,28% des voix.

Méconnue jusqu’alors, Marie Khone, la première femme qu’il a épousée il y a quinze ans et avec laquelle il a 4 enfants, est originaire du même village que lui. Il s’est marié à la seconde, Absa, il y a un peu plus d’un an.

« C’est une consécration de la tradition de la polygamie au sommet de l’État avec une situation qui va coller à la réalité sénégalaise », estime le sociologue Djiby Diakhaté, ajoutant que cette pratique est « plébiscitée » par beaucoup d’hommes mais que de nombreuses femmes demeurent « méfiantes » sur les principes la régissant.

La polygamie est depuis longtemps sujet à controverse dans ce pays composé de plus de 90% de musulmans, mais l’apparition publique de « BDF » entouré de ses deux épouses a replacé le sujet au cœur des débats, dans les médias, sur les réseaux sociaux et au sein des ménages, suscitant diverses réactions.

Une sociologue réputée, Fatou Sow Sarr, a de son côté posté sur X que « la polygamie, la monogamie, la polyandrie sont des modèles matrimoniaux déterminés par l’histoire de chaque peuple », avant de publier rapidement un autre message sur le même réseau social: « ma pensée, profondément, est que l’Occident n’a aucune légitimité pour juger nos cultures ».

Toutefois, nombre de femmes au Sénégal se disent contre cette pratique, qu’elles jugent hypocrite et injuste à leur égard. Et la commission de l’ONU pour les droits de l’Homme a jugé dans un rapport publié en 2022 que la polygamie constitue une discrimination vis-à-vis des femmes qui doit être éradiquée.

« Maîtresse d’un homme marié »

Une des figures de la littérature sénégalaise, Mariama Ba, critiquait déjà sévèrement la polygamie dans son célèbre roman « Une si longue lettre » paru en 1979.

Elle y dépeint la douleur et la solitude d’une femme mariée après le second mariage de son mari avec une très jeune femme contrainte d’accepter cette union, une situation difficile vécue par de nombreuses Sénégalaises.

Plusieurs séries sénégalaises à succès consacrées à cette thématique ces dernières années comme « Maîtresse d’un homme marié » ou bien encore « Polygamie » ont mis en lumière les soubresauts et les tensions au sein des familles confrontées à la polygamie.

Pour l’ex-ministre de la Culture, la professeure d’histoire Penda Mbow, la nouvelle situation au palais présidentiel « est totalement inédite. Jusqu’à présent, il n’y avait donc qu’une seule Première dame. Cela signifie que tout le protocole doit être revu ».

Pratique religieuse et traditionnelle répandue au Sénégal notamment dans le monde rural, la polygamie est adoptée par un bon nombre de Sénégalais qui y voient généralement une façon d’élargir leur famille. La religion musulmane autorise en outre l’homme à épouser jusqu’à quatre femmes s’il en a les moyens.

En pareil cas, l’islam prévoit des jours d’alternance égaux entre les différentes coépouses pouvant varier entre deux ou trois jours.

« Signal fort »

Si elle est difficile à chiffrer car beaucoup de mariages ne sont pas enregistrés, 32,5% des Sénégalais mariés vivent en union polygame, selon un rapport en 2013 de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie.

L’âge moyen de la polygamie est de 43,9 ans avec une entrée plus précoce des femmes (40,4 ans) que des hommes (52,9 ans), ajoute le rapport.

Pour le sociologue Djiby Diakhaté, M. Faye a lancé un « signal fort pour que les autres hommes assument également leur polygamie, et pour qu’ils fassent preuve de transparence comme lui » avec « sans doute une volonté de mettre fin à la pratique de la polygamie cachée, appelée le « Takou Souf » (en wolof), ce qui, selon lui, « sera une bonne chose pour l’économie du pays et pour la situation matrimoniale ».

En réponse à ses détracteurs, le nouveau président sénégalais, lui, assume totalement sa polygamie.

« J’ai de beaux enfants parce que j’ai de formidables épouses. Elles sont très belles. Et je rends grâce à Dieu elles sont toujours à fond derrière moi », a-t-il déclaré lors de la campagne présidentielle.

La cérémonie d’investiture présidentielle au Sénégal : un rituel solennel décrypté par un ancien directeur du Protocole d’État

La prestation de serment du nouveau président de la République du Sénégal revêt une importance capitale, marquant le début officiel de son mandat et symbolisant la transition démocratique dans le pays. Pour mieux comprendre cet événement emblématique, nous nous sommes entretenus avec Chérif Oumar Diagne, un ancien directeur du Protocole d’État, qui nous a éclairés sur les étapes clés de cette cérémonie solennelle.

Selon M. Diagne, la constitution sénégalaise stipule que le président élu entre en fonction après la proclamation définitive de son élection et l’expiration du mandat de son prédécesseur. C’est à ce moment que la prestation de serment peut avoir lieu, et le 2 avril 2024 est désigné pour cet événement majeur.

La journée d’investiture, qui se déroulera à Diamniadio, revêt une grande signification. Elle sera présidée devant le Conseil constitutionnel en séance publique, conférant ainsi une solennité particulière à l’événement. M. Diagne anticipe également la présence probable de chefs d’État étrangers, soulignant l’importance de cette transition démocratique pour le Sénégal et pour la communauté internationale.

L’organisation minutieuse de cette cérémonie incombe au protocole, en collaboration avec le Conseil constitutionnel. Les membres du Conseil constitutionnel seront installés derrière un bouclier de fer à cheval, tandis que le président du Conseil constitutionnel désignera deux de ses pairs pour accueillir le président élu et l’escorter.

La séance débutera par un discours du président du Conseil constitutionnel, éclairant l’assemblée sur le sens et la symbolique de la cérémonie. Le président élu sera ensuite invité à prêter serment, un moment solennel où il exprimera son engagement envers le peuple sénégalais et sa constitution.

Après la prestation de serment, le président élu se rendra au Palais de la République, où il rencontrera son prédécesseur pour la passation de pouvoir. La cérémonie d’investiture se poursuivra avec le Grand chancelier de l’Ordre national, qui remettra au président élu le grand collier de la grande maîtrise de l’ordre national du Lion, symbole de son rôle en tant que nouveau chef de l’État.

Enfin, le président élu sera élevé à la dignité de Grand-croix de l’ordre national du Lion, marquant ainsi formellement son accession au plus haut rang de l’ordre national.

Ces rituels, orchestrés avec précision, témoignent du respect des traditions et de l’importance accordée à la transition démocratique au Sénégal. La journée d’investiture représente un moment historique où le pays célèbre le passage pacifique et démocratique du pouvoir entre ses dirigeants.

L’arbitre sénégalais Issa Sy au centre du choc pour les demi-finales de la Ligue africaine des Champions

La Ligue africaine des Champions se prépare à vivre un moment décisif samedi prochain, avec l’arbitre sénégalais Issa Sy en vedette principale pour le match retour très attendu entre Petro Luanda et le TP Mazembe. À 39 ans, Issa Sy dirigera cet affrontement crucial, où chaque décision pourrait avoir un impact majeur sur le déroulement de la compétition.

Après un match nul (0-0) lors de la première rencontre à Lumumbashi, l’enjeu est de taille pour les deux équipes qui visent une place en demi-finales. Issa Sy, représentant du Sénégal, se retrouve donc au cœur de cet affrontement où la pression sera intense et les attentes élevées.

Malgré l’absence de clubs sénégalais en quarts de finale, la présence d’Issa Sy assure une représentation du pays dans cette phase cruciale de la compétition. Sa performance sera scrutée de près lors de cet événement majeur, où chaque décision de l’arbitre pourrait influencer le résultat final.

Pour renforcer l’arbitrage de ce match crucial, la technologie sera également mise à contribution, avec Samir Guezzaz du Maroc à la tête de l’assistance vidéo à l’arbitrage (VAR), assisté par Zakaria Brinsi. Cette utilisation de la technologie souligne l’importance accordée à l’arbitrage de haut niveau dans le football africain, ainsi que la volonté d’assurer des décisions justes et équitables lors des matchs décisifs.

En somme, la nomination d’Issa Sy en tant qu’arbitre principal pour ce choc des demi-finales de la Ligue africaine des Champions témoigne de sa compétence et de son expérience dans ce domaine. Son rôle sera crucial dans la recherche de l’équité et de la justice sportive lors de cette rencontre déterminante pour les deux équipes en lice.

Benjamin Netanyahu hospitalisé pour une opération d’une hernie

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, fait face à un nouveau défi de santé alors qu’il est hospitalisé pour une opération d’une hernie. Selon des sources officielles, cette intervention chirurgicale est devenue nécessaire suite à la révélation d’une hernie lors d’examens médicaux réalisés récemment. Prévue pour ce dimanche 31 mars 2024 en soirée, l’intervention se déroulera sous anesthésie générale à l’hôpital Hadassah de Jérusalem.

Cette complication de santé survient alors que Benjamin Netanyahu a déjà subi une intervention en juillet dernier pour la pose d’un stimulateur cardiaque, suite à la détection d’anomalies cardiaques. Cette série d’ennuis de santé intervient dans un contexte politique et sécuritaire tendu pour le Premier ministre.

En effet, Benjamin Netanyahu est confronté à des accusations de fraude, de corruption et d’abus de confiance, qui ont pesé lourdement sur son mandat ces dernières années. De plus, le Premier ministre doit faire face à un conflit avec le Hamas à Gaza, ajoutant une pression supplémentaire à sa gouvernance.

Dans ce contexte délicat, c’est le ministre de la Justice en poste, Yariv Levin, qui assumera les fonctions de Premier ministre par intérim pendant l’incapacité de Netanyahu. Cette transition de pouvoir intervient alors que le gouvernement israélien est confronté à des défis politiques et sécuritaires complexes.

L’opération de Benjamin Netanyahu survient également dans un contexte international où son rôle dans la gestion de la crise avec le Hamas à Gaza est sous le feu des critiques. Des voix s’élèvent pour dénoncer son incapacité à libérer les otages détenus par le Hamas et son implication présumée dans les violences qui ont entraîné la mort de milliers de personnes, principalement des civils.

Cette hospitalisation soulève donc des questions quant à l’avenir politique de Benjamin Netanyahu et à l’impact que cela pourrait avoir sur la stabilité politique et sécuritaire d’Israël dans une région déjà instable. Les prochains jours seront cruciaux pour évaluer l’évolution de la situation et ses implications pour l’avenir du pays.

Diomaye-Sonko : « Possible de gouverner avec ces 2 têtes… », Pr Mamadou Diouf

L’élection historique de Bassirou Diomaye Faye à la présidence du Sénégal a suscité des réflexions et des analyses, notamment celle de l’éminent historien sénégalais, le Professeur Mamadou Diouf, enseignant à l’Université Columbia à New York. Sur les ondes de France 24, il a partagé son point de vue sur cette nouvelle ère politique qui s’annonce pour le pays.

Le Professeur Diouf a souligné l’importance de cette élection pour la démocratie sénégalaise, mettant en lumière le rôle crucial du Parti Pastef dans cette transition. Il a notamment relevé le rôle déterminant d’Ousmane Sonko, figure emblématique du parti, dans l’ascension de Bassirou Diomaye Faye à la présidence.

Cependant, le Professeur Diouf a également soulevé la question de savoir s’il y aura une rivalité entre Ousmane Sonko, potentiellement à la tête du parti, et Bassirou Diomaye Faye, désormais président de la République. Selon lui, il est tout à fait envisageable de gouverner avec ces deux leaders occupant des rôles distincts.

Il avance même l’idée d’un schéma de gouvernance avec deux têtes : l’une dirigeant le parti et l’autre la présidence de la République. La démission de Bassirou Diomaye Faye de son poste de secrétaire général du parti marque selon lui une nouvelle ère, démontrant sa volonté de séparer les responsabilités entre la direction du parti et la présidence.

Pour le Professeur Diouf, l’élection de Bassirou Diomaye Faye annonce ainsi une période de changement politique au Sénégal, où la coexistence de leaders politiques distincts pourrait être la clé d’une gouvernance efficace et d’une démocratie renforcée.

Alors que le pays se prépare à entrer dans cette nouvelle ère politique, les regards sont tournés vers l’avenir, avec l’espoir que cette transition marque le début d’une période de progrès et de prospérité pour tous les Sénégalais.

Cérémonie de prestation de serment – Madiambal Diagne : « Les invités sont déterminés de commun accord avec… »

À la veille de la cérémonie d’investiture du nouveau président de la République, Bassirou Diomaye Faye, prévue pour demain, mardi 2 avril, le célèbre journaliste Madiambal Diagne a partagé ses réflexions sur cet événement majeur.

Selon M. Diagne, les préparatifs de la cérémonie de prestation de serment ont été minutieusement orchestrés, avec une attention particulière portée à la liste des invités. Il a souligné que cette liste a été établie de manière concertée, en accord avec le président sortant, Macky Sall. Actuellement, seuls les chefs d’État de la CEDEAO et de la Mauritanie ont été conviés à l’événement.

Cette décision de limiter le nombre d’invités à la cérémonie d’investiture reflète probablement les mesures de sécurité et de distanciation sociale en vigueur, ainsi que le désir de garantir un déroulement fluide et sécurisé de l’événement.

La présence des chefs d’État de la CEDEAO et de la Mauritanie témoigne de l’importance de cette passation de pouvoir pour la région ouest-africaine et des relations étroites entre le Sénégal et ses partenaires régionaux.

Il est à noter que cette cérémonie marque le début d’un nouveau chapitre pour le Sénégal, avec l’entrée en fonction du président élu, Bassirou Diomaye Faye, et l’espoir d’un avenir prometteur pour le pays et ses citoyens.

Alors que le Sénégal se prépare à accueillir son nouveau chef d’État, l’attention se tourne vers les défis et les opportunités qui attendent le pays dans les années à venir, avec l’espoir que cette transition politique soit marquée par la stabilité, le progrès et la prospérité pour tous les Sénégalais.

Les attentes des Dakarois envers les nouvelles autorités : Réduction du coût de la vie, emploi, agriculture et bonne gouvernance en tête

Alors que le Sénégal se prépare pour une transition politique avec l’arrivée du nouveau président de la République, les Dakarois expriment leurs attentes et leurs préoccupations vis-à-vis des prochaines autorités. Interrogés par l’Agence de presse sénégalaise, ils ont mis en avant plusieurs points essentiels, allant de la réduction du coût de la vie à la promotion de la bonne gouvernance.

Pour Ndiaga Ndiaye, tailleur au marché Sham et originaire de Touba, la priorité absolue est la réduction du coût de la vie. « Nous demandons au futur gouvernement du Président Bassirou Diomaye Faye de prendre des mesures concrètes pour réduire le coût de la vie. Nous sommes très fatigués par la cherté des prix », a-t-il déclaré.

De son côté, Mouhamed Diop, vendeur d’habits et travailleur agricole pendant l’hivernage, insiste sur l’importance du développement de l’agriculture pour assurer une alimentation saine et permettre aux paysans de vivre dignement. Il appelle également à une amélioration de l’accès aux soins de santé et à l’éducation.

En ce qui concerne la bonne gouvernance, Mouhamed Diop souligne la nécessité de lutter contre la corruption et de simplifier les procédures administratives pour faciliter l’accès aux documents officiels tels que les passeports et les extraits de naissance. Il met également en avant le droit des citoyens à manifester pacifiquement, soulignant l’importance du respect des libertés civiques.

Khady Diop, une autre citoyenne rencontrée dans un marché dakarois, partage ces préoccupations et exprime son espoir en un gouvernement responsable qui apportera un changement significatif dans tous les domaines.

En somme, les Dakarois appellent à une action vigoureuse des nouvelles autorités pour répondre aux défis économiques, sociaux et politiques auxquels le pays est confronté, dans le but de garantir une meilleure qualité de vie pour tous les citoyens sénégalais.

Les conditions propices à la reprise de la liaison maritime Dakar-Ziguinchor, selon les responsables

Les directeurs généraux du Port de Dakar et du Consortium sénégalais d’activité maritime (COSAMA) ont récemment confirmé que toutes les conditions étaient réunies pour la reprise du trafic maritime entre Dakar et Ziguinchor. Cette annonce intervient après un voyage test réussi du navire Diambogne, qui avait été à l’arrêt depuis près d’un an.

Mountaga Sy, directeur général du Port de Dakar, a souligné que le commandant du navire Diambogne avait certifié que les conditions étaient désormais optimales pour assurer un trafic passager sécurisé entre Dakar et Ziguinchor, avec le navire Aline Sitéo Diatta et toute la flotte disponible.

Ce voyage test, effectué dans des conditions similaires à celles d’un voyage normal, a démontré la robustesse du trajet et la capacité des navires à naviguer en toute sécurité. Des mesures rigoureuses ont été prises pour garantir un couloir de navigation sûr, notamment des relevés de sondages et un reprofilage du couloir, avec un repositionnement des balises.

Le commandant Makhtar Fall du COSAMA a salué le succès de ce voyage test, soulignant que les profondeurs sur le trajet étaient conformes aux relevés effectués, assurant ainsi une navigation en toute sécurité.

Alimou Diallo, premier vice-président de la chambre de commerce de Ziguinchor, a exprimé sa gratitude envers tous les acteurs ayant contribué à cette phase de reprise. Il a souligné l’impact économique positif de cette reprise sur la ville de Ziguinchor et a exprimé l’espoir que les navires seront opérationnels d’ici la fête de la korité, permettant ainsi aux voyageurs de bénéficier de cette liaison maritime cruciale.

Le navire Aline Sitoé Diatta, qui assure la principale desserte maritime entre Ziguinchor et Dakar depuis 2008, devrait reprendre ses rotations hebdomadaires dans les prochains jours, contribuant ainsi au renforcement des échanges entre les deux villes et facilitant la mobilité des passagers.

Cette reprise de la liaison maritime Dakar-Ziguinchor représente une avancée significative pour la connectivité entre ces deux importantes villes sénégalaises, ouvrant de nouvelles perspectives pour le développement économique et social de la région.

Liste des invités à la Cérémonie d’investiture : Bassirou Diomaye Faye et Macky Sall doivent se mettre d’accord

Selon les informations relayées par le journaliste Madiambal Diagne, la cérémonie d’investiture et de prestation de serment du nouveau président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, prévue pour le 2 avril 2024, se déroulera avec la participation d’invités déterminés d’un commun accord entre le nouveau président et son prédécesseur, le président sortant Macky Sall.

À ce stade, seuls les chefs d’État membres de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de la Mauritanie ont été officiellement invités à assister à la cérémonie. Cependant, la liste complète des invités n’a pas encore été divulguée.

Il est donc attendu que Bassirou Diomaye Faye et Macky Sall se concertent pour finaliser la liste des personnalités qui seront présentes à cette cérémonie historique. Une fois que les deux dirigeants se seront mis d’accord sur les invités, la liste officielle sera rendue publique.

Cette démarche reflète le respect des traditions démocratiques et institutionnelles du Sénégal, où la transition du pouvoir se fait dans le cadre d’un processus transparent et concerté entre les différentes parties prenantes.

La nation sénégalaise attend avec impatience de connaître les détails de cet événement majeur, qui marquera le début d’un nouveau chapitre dans l’histoire politique du pays.

Les sages conseils de Serigne Habib Sy Dabakh à Bassirou Diomaye Faye

Serigne Habib Sy Dabakh, éminent religieux sénégalais, a adressé des conseils empreints de sagesse au nouveau président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye. Dans une entrevue accordée à la chaîne Asfiyahi et relayée par Senego, le religieux a insisté sur l’importance pour le président de rester fidèle à lui-même et de conserver son humilité.

Selon Serigne Habib Sy Dabakh, il est fréquent que les présidents, une fois au pouvoir, perdent leur modestie et leur simplicité. Il met en garde contre cette tentation, rappelant que les dirigeants doivent toujours se souvenir que ce sont les citoyens qui les ont élus, et non l’inverse. Il exhorte Bassirou Diomaye Faye à traiter les citoyens avec respect et dignité, évitant de les considérer comme des serviteurs.

En priant pour le succès de Bassirou Diomaye Faye, Serigne Habib Sy Dabakh souligne l’espoir immense que le peuple sénégalais a placé en lui. Toutefois, il appelle le nouveau président à faire un état des lieux complet avant de rendre compte à la nation. Il encourage une approche transparente où les problèmes sont identifiés clairement, et où les solutions envisagées sont expliquées au peuple. Il reconnaît que le chemin sera semé d’embûches, mais insiste sur la nécessité pour tous les acteurs de faire preuve de patience et de travail acharné.

Le chef religieux rend hommage à la détermination des jeunes et les encourage à continuer dans cette voie. Leurs aspirations et leur énergie sont des atouts précieux pour la construction d’un avenir meilleur pour le Sénégal.

Retrait israélien de l’hôpital al-Chifa à Gaza : bilan lourd en pertes humaines

Après une présence controversée, les forces israéliennes se sont retirées de l’hôpital al-Chifa à Gaza ce 1er avril 2024. Le départ des troupes, marqué par des actions aériennes et des tirs d’artillerie, a laissé un bilan macabre. D’après des sources palestiniennes, un nombre considérable de victimes a été retrouvé au sein même de l’établissement hospitalier.

Michel Paul, correspondant de RFI à Jérusalem, rapporte la confirmation israélienne d’une opération ciblant des membres de groupes considérés comme terroristes. L’armée a annoncé la neutralisation de combattants et la capture de nombreux individus affiliés au jihad islamique et au Hamas. En contrepartie, les pertes israéliennes s’élèvent à 600 soldats depuis l’escalade du conflit en octobre dernier.

Un fait marquant a été par ailleurs signalé : le Hamas a émis des excuses publiques aux résidents de Gaza, exprimant des regrets pour les conséquences de la guerre prolongée contre Israël. Ce discours est accompagné d’une reconnaissance des difficultés endurées par la population, et des tentatives d’atténuation des souffrances.

En parallèle, les autorités israéliennes ont arrêté une figure proche du Hamas, Sabah Abdel Salam Haniyeh, soeur d’Ismaïl Haniyeh, pour ses relations présumées avec le groupe et son soutien au terrorisme. Ce geste intervient dans un contexte de tension où chaque acte est potentiellement lourd de conséquences.

Position de Sonko aux côtés de Bassirou Diomaye Faye : Birame Souleye Diop tranche le débat

Dans un récent épisode de l’émission « Point de Vue » sur la Rts, Birame Souleye Diop, vice-président de Pastef, a apporté des éclaircissements sur la position d’Ousmane Sonko aux côtés de l’actuel président de la République, Bassirou Diomaye Faye.

En ce qui concerne la distinction entre l’État du Sénégal et le parti politique, M. Diop a souligné qu’il n’y a pas de conflit entre les deux entités. Il a rappelé que l’État est dirigé par le président élu, tandis que le parti politique représente une plateforme idéologique distincte. Ainsi, la décision d’impliquer Sonko dans le gouvernement relève de la compétence du président, sans que cela n’interfère avec les activités du parti.

Adama Barrow assistera à l’investiture de Bassirou Diomaye Faye à Dakar

Le président gambien, Adama Barrow, sera parmi les dignitaires présents à l’investiture de Bassirou Diomaye Faye en tant que président de la République du Sénégal. Prévue pour le 2 avril, cette cérémonie marquera le début du mandat de Diomaye Faye à la tête du pays.

L’élection de Bassirou Diomaye Faye a été accueillie avec des félicitations et des marques de soutien de la part de nombreux chefs d’État de la sous-région. Adama Barrow, qui a été parmi les premiers à adresser ses félicitations au nouveau président sénégalais, a décidé de marquer sa présence à cet événement historique.

L’investiture se tiendra au Centre international de conférence Abdou Diouf (Cicad) à Dakar. Outre Adama Barrow, plusieurs autres chefs d’État sont attendus pour assister à cette cérémonie symbolique.

La présence d’Adama Barrow à l’investiture de Bassirou Diomaye Faye souligne l’importance des relations entre le Sénégal et la Gambie, ainsi que le soutien mutuel entre les pays de la sous-région ouest-africaine.

Cette investiture marque le début d’une nouvelle ère pour le Sénégal, avec l’espoir d’un leadership fort et visionnaire sous la direction de Bassirou Diomaye Faye.

Alioune Tine propose l’érection d’un mémorial pour commémorer les événements tragiques de 2021 à 2024

Alors que le président Bassirou Diomaye Faye prête serment ce 2 avril, de nombreux citoyens se remémorent les événements tragiques qui ont marqué le pays entre 2021 et 2024. Des manifestations tumultueuses, souvent émaillées de violences, ont coûté la vie à de nombreuses personnes. Pour que ces drames ne soient pas oubliés et demeurent gravés dans la mémoire collective, Alioune Tine, fondateur du Think Thank Africajom Center et défenseur des droits de l’homme, propose l’érection d’un mémorial dédié à toutes les victimes de ces années sombres.

Dans un message publié sur le réseau social X, Alioune Tine exhorte les autorités à envisager la création d’un monument commémoratif. Selon lui, un tel mémorial servirait non seulement à honorer la mémoire des personnes décédées lors de ces événements tragiques, mais aussi à rappeler à tous l’importance de préserver la démocratie et les droits fondamentaux.

« Nous ne devons pas oublier et effacer de nos mémoires ce qui s’est passé entre 2021 et 2024, pour que nous puissions de nouveau remonter la pente et restaurer la démocratie », déclare Alioune Tine. Il souligne l’importance de marquer cette séquence historique sombre afin de prévenir toute répétition de tels événements à l’avenir.

Pour Alioune Tine, la création d’un mémorial constitue la première étape essentielle dans le processus de réparation pour les victimes. Il appelle également à la mise en place d’une Commission Paix, Vérité, Justice, Réconciliation, Pardon et Réparation, afin de reconnaître les souffrances endurées par les citoyens et d’assurer une transition vers un avenir plus pacifique et inclusif.

En proposant ces initiatives, Alioune Tine espère que le pays pourra tourner la page sur cette période tumultueuse et entamer un processus de guérison et de reconstruction nationale.

Exploitation du pétrole et du gaz : Birahime Seck encourage Woodside à renforcer sa communication avec la population de Fatick

Dans le cadre du programme USAID/TRACES, le Forum Civil a récemment organisé une formation pour les membres du Conseil de Jeunesse et des journalistes de la région de Fatick. L’objectif principal de cette initiative était d’informer et de sensibiliser la population sur la réglementation du secteur extractif, en mettant particulièrement l’accent sur l’exploitation du pétrole et du gaz.

Birahime Seck, Coordonnateur du Forum Civil, a souligné un problème majeur : le manque d’information de la population de Fatick concernant les activités de Woodside, l’entreprise chargée de l’exploitation pétrolière à Sangomar. Selon lui, les jeunes de la région ne sont pas suffisamment informés sur des aspects cruciaux tels que l’étude d’impact environnemental réalisée par l’entreprise et son plan d’investissement social.

Dans ce contexte, Birahime Seck a lancé un appel à Woodside, exhortant l’entreprise à intensifier ses efforts de communication et de dialogue avec la population locale. « Nous avons constaté un besoin urgent de communication entre Woodside et les jeunes de Fatick », a déclaré Birahime Seck. « Il est essentiel pour une entreprise s’implantant dans cette zone de discuter ouvertement avec les populations locales des éventuels impacts sociaux, environnementaux, économiques et financiers de ses activités. »

Cette invitation à une meilleure communication s’inscrit dans une tendance croissante vers la transparence et la participation communautaire dans les projets d’exploitation des ressources naturelles. En répondant à cet appel, Woodside pourrait renforcer sa relation avec les communautés locales et contribuer à un développement durable et équitable de la région de Fatick.

Il est essentiel que les entreprises opérant dans le secteur extractif adoptent une approche proactive en matière de communication et d’engagement communautaire. Une collaboration ouverte et transparente entre les entreprises et les populations locales est la clé pour garantir des avantages mutuels et durables pour toutes les parties concernées.

Tensions entre Walfadjri et la RTS : Une guerre de mots sur les réseaux sociaux

Une escalade verbale entre deux géants des médias sénégalais, Walfadjri et la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS), a secoué les réseaux sociaux ces derniers jours. Cette bataille de mots a mis en lumière les rivalités existantes dans le paysage médiatique sénégalais et les enjeux autour de la couverture médiatique dans un contexte politique en évolution.

L’incident a débuté lorsque la RTS a changé sa ligne éditoriale pour inclure une couverture plus large des événements politiques, notamment en ce qui concerne le nouveau président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye. Cette décision a suscité des réactions mitigées, avec des éloges pour l’ouverture à l’opposition mais aussi des critiques accusant la chaîne de s’aligner sur le gouvernement.

Walfadjri, un média bien connu pour son ton critique envers le gouvernement, a réagi avec sarcasme à certains articles de la RTS, suggérant un opportunisme dans ses nouveaux choix éditoriaux. Cette remarque a déclenché une réponse cinglante de la RTS 2, la branche numérique de la chaîne, soulignant les opportunités manquées par Walfadjri pour innover dans le domaine numérique.

Cette confrontation publique entre les deux médias a été largement commentée sur les réseaux sociaux, alimentant les discussions sur la liberté de la presse, la partialité médiatique et l’avenir du paysage médiatique sénégalais. Certains ont salué la RTS pour son ouverture apparente, tandis que d’autres ont critiqué Walfadjri pour ses commentaires cyniques.

Au-delà de cette querelle, cette confrontation soulève des questions importantes sur le rôle des médias dans la société sénégalaise et leur responsabilité envers le public. Alors que les médias continuent d’évoluer dans un environnement numérique en rapide mutation, il est probable que de telles tensions entre les médias traditionnels et les nouveaux acteurs numériques continueront à se manifester.

Cette guerre de mots entre Walfadjri et la RTS met en lumière les défis et les opportunités auxquels sont confrontés les médias sénégalais dans un paysage médiatique de plus en plus complexe et concurrentiel.

Pr Mbaye Thiam : « Bassirou Diomaye Diakhar Faye comme président n’est pas une révolution mais… »

Dans une analyse nuancée, le Professeur Mbaye Thiam, historien, archiviste et enseignant à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, met en perspective l’élection de Bassirou Diomaye Diakhar Faye à la présidence de la République du Sénégal. Selon lui, cette élection ne représente pas une révolution, mais plutôt une évolution marquée par des ruptures significatives.

Dans une récente intervention sur Iradio, le Professeur Thiam a souligné que le terme « révolution » implique un changement radical du système de gouvernance et des priorités nationales. Il estime que bien que des éléments de rupture soient présents dans l’arrivée de Bassirou Diomaye Diakhar Faye au pouvoir, ces changements ne sont pas suffisamment radicaux pour être qualifiés de révolutionnaires.

Il met en lumière le fait que l’histoire enseigne que les révolutions se caractérisent par des transformations profondes et radicales dans la manière dont un pays est gouverné et dans les priorités nationales. Alors que des changements significatifs sont attendus sous la nouvelle administration, le Professeur Thiam considère qu’ils ne représentent pas une révolution au sens historique du terme.

Il insiste sur l’idée que malgré ces nuances, l’arrivée de Bassirou Diomaye Diakhar Faye au pouvoir ouvre la voie à des évolutions importantes et à des ruptures dans la gouvernance et les politiques nationales. Ces changements peuvent être perçus comme une étape dans l’évolution démocratique et politique du Sénégal, même s’ils ne constituent pas une révolution à proprement parler.

Assemblée Générale de BBY à Saint-Louis : Mansour Faye s’engage à une opposition républicaine

Une semaine après les résultats de l’élection présidentielle et la défaite de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), une assemblée générale a été convoquée à Saint-Louis pour exprimer la reconnaissance envers les militants et discuter de leur nouveau rôle en tant qu’opposants.

Mansour Faye, responsable départemental de BBY et porte-parole de l’assemblée, a rappelé la tradition de la coalition, consistant à mobiliser les militants avant chaque élection et à les rassembler après pour les remercier et les encourager. Cette réunion revêtait une importance particulière pour BBY, car elle intervient après la victoire de la coalition Bassirou Diomaye Faye et l’élection de ce dernier à la présidence du Sénégal.

Faye a saisi l’occasion pour féliciter le président nouvellement élu et exprimer ses vœux de réussite à la nouvelle équipe dirigeante. Il a également remercié les militants de BBY et leurs alliés pour leur engagement lors de la campagne électorale, ainsi que les efforts déployés par Amadou Ba, candidat de la coalition.

Dans son discours, Faye a souligné l’importance de la démocratie sénégalaise et de l’implication du président Macky Sall dans le maintien de la paix et de la sérénité pendant le processus électoral. Il a insisté sur « la nécessité de mettre de côté les intérêts individuels au profit de l’intérêt supérieur de la nation sénégalaise ».

Cette assemblée marque le début d’une nouvelle phase pour BBY à Saint-Louis, qui se positionne désormais en tant qu’opposition constructive, prête à défendre les valeurs démocratiques du Sénégal tout en contribuant au développement et au bien-être de ses citoyens.

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