À mi-parcours de cette journée électorale, la ville de Kaffrine, dans la région du même nom, témoigne d’une activité démocratique soutenue avec un taux de participation avoisinant les 30% à 14 heures, selon les données fournies par la préfecture. Cette progression constante confirme l’engagement civique des citoyens dans l’exercice de leur droit de vote.
Le préfet de Kaffrine, Moustapha Diaw, a souligné que le déroulement du scrutin se déroule sans incident majeur, reflétant ainsi le sérieux et la maturité de l’électorat local. « À 10 heures, c’est-à-dire après deux heures de vote, nous avions un taux de participation de 10,73%. Ce taux a grimpé à 29,49% à midi », a-t-il précisé, mettant en lumière une augmentation significative de la participation au cours de la matinée.
Les électeurs de Kaffrine semblent répondre massivement à l’appel des urnes, exprimant ainsi leur volonté de contribuer activement au processus démocratique en cours. Cette forte mobilisation témoigne de l’importance que revêt cette élection présidentielle pour la population locale, qui aspire à jouer un rôle déterminant dans le choix du prochain chef de l’État.
À ce stade, toutes les conditions sont réunies pour garantir un déroulement fluide et transparent du scrutin, avec une présence vigilante des autorités pour assurer la sécurité et le bon déroulement des opérations électorales.
La journée électorale se poursuit dans un climat serein à Kaffrine, et les résultats définitifs qui émergeront reflèteront l’expression démocratique et citoyenne de cette communauté.
Les élections présidentielles au Sénégal ont suscité une mobilisation remarquable des électeurs à travers différentes régions du pays, selon les autorités administratives. À midi, le taux de participation a déjà atteint 30 %, un chiffre considérable qui témoigne de l’engagement civique des Sénégalais dans ce processus démocratique.
Cette information a été communiquée par le Ministère de l’Intérieur, après la compilation des bulletins de vote déposés dans les urnes par les citoyens sénégalais jusqu’à midi. La présence de files d’attente importantes devant les bureaux de vote laisse présager une continuation de l’affluence jusqu’à la fermeture des bureaux, prévue à 18 heures.
Il est à noter que chaque localité bénéficie des prérogatives de ses autorités locales, notamment celles du préfet, qui peut décider de prolonger l’heure de clôture du scrutin si une affluence significative est encore constatée après l’heure normale de fermeture. Cette flexibilité permet d’assurer une participation maximale des électeurs et de garantir un processus électoral transparent et inclusif.
L’éventualité d’une élection record au Sénégal semble de plus en plus plausible, compte tenu de l’enthousiasme et de la détermination affichés par les citoyens dès les premières heures du vote. Cette journée électorale revêt ainsi une importance capitale pour la démocratie sénégalaise, témoignant de la vitalité et de la maturité politique de la nation.
Le Premier ministre sénégalais, Sidiki Kaba, a exercé son droit de vote ce dimanche 24 mars au centre de vote Sada Maka Sy, précisément dans le bureau numéro 1 de Tambacounda. Après avoir accompli son devoir citoyen, il a tenu à saluer la mise en place efficace du matériel électoral et la dynamique de bonne organisation du scrutin présidentiel dans la région.
Dans un message empreint de confiance et de sérénité, Sidiki Kaba a exprimé sa satisfaction quant au calme et à la discipline qui règnent à Tambacounda. Il a exprimé l’espoir que cette atmosphère paisible prévale dans tout le pays, permettant ainsi à chaque citoyen de voter et de rentrer chez lui en toute sécurité.
Le Premier ministre a souligné l’importance de la compétition électorale tout en rappelant que le dernier mot revient toujours au peuple sénégalais. Il a insisté sur le fait que le verdict des urnes doit être respecté par tous les acteurs politiques et que la volonté du peuple doit être la priorité absolue.
À travers ses paroles, Sidiki Kaba rappelle l’importance de la démocratie et de la participation citoyenne dans la construction d’un avenir meilleur pour le Sénégal. Son message encourage la discipline, le calme et le respect des règles démocratiques tout au long du processus électoral, renforçant ainsi les valeurs fondamentales de la nation sénégalaise.
Après avoir accompli son devoir civique à Fatick, le président sortant du Sénégal, Macky Sall, a adressé un rappel crucial à tous les acteurs politiques et à la population concernant les déclarations de victoire prématurées. Insistant sur le respect du processus électoral, il a souligné que personne n’avait le droit de proclamer les résultats avant que ceux-ci ne soient officiellement annoncés.
« Ni un candidat, ni un camp, ne peut proclamer une victoire ou annoncer des résultats. Ce soir, ce sont les bureaux de vote qui parleront, reflétant ainsi le choix démocratique des Sénégalais. Espérons que ce choix sera le meilleur pour le Sénégal », a déclaré Macky Sall.
Le président sortant a rappelé que les résultats officiels seront affichés devant chaque bureau de vote à l’issue du vote. Il a ensuite expliqué le processus qui suivra, mettant en lumière le rôle des commissions départementales de recensement de vote sous la supervision des magistrats de la Cour d’appel. Il a précisé que c’est à la Cour d’appel de fournir les résultats provisoires et au Conseil constitutionnel de délivrer les résultats définitifs.
Cette mise en garde de Macky Sall intervient dans un contexte où les déclarations prématurées de victoire sont monnaie courante lors des élections, souvent accompagnées de tensions et de contestations. En rappelant l’importance de respecter le processus électoral et de laisser les organes compétents annoncer les résultats, le président sortant cherche à garantir un scrutin transparent et démocratique, préservant ainsi la stabilité politique du pays.
Alors que le Sénégal se prépare à un nouveau chapitre de son histoire politique, la vigilance et le respect des règles électorales sont essentiels pour assurer une transition pacifique et légitime du pouvoir.
Comme à chaque élection, l’ancien président sénégalais Abdou Diouf a exercé son devoir citoyen en se rendant dans son bureau de vote pour choisir son candidat. Cette fois-ci, aucune déclaration n’a été faite par l’ancien chef de l’État lors de cet acte symbolique.
Selon le correspondant de la Rfm en France, Abdou Diouf a déjà voté sans émettre de commentaire. Cette discrétion contraste avec le protocole habituel où les personnalités politiques expriment souvent leur opinion ou leur soutien public envers un candidat ou un parti.
Il convient de rappeler que le processus de vote a débuté à 8 heures au Sénégal. À cette heure précoce, une présence massive de personnes âgées a été remarquée dans les bureaux de vote, soulignant ainsi l’importance accordée par les Sénégalais à cet exercice démocratique.
L’absence de commentaire de l’ancien président Diouf pourrait être interprétée comme un choix délibéré de rester neutre ou de préserver sa vie privée, sans pour autant émettre de prise de position publique. Cette démarche souligne l’importance de la neutralité et de la discrétion dans le processus électoral, permettant ainsi aux citoyens de voter en toute liberté, sans influence externe.
Alors que le Sénégal vit un moment historique avec cette élection présidentielle, chaque acte citoyen, qu’il soit accompagné de déclarations ou non, témoigne de l’engagement civique et démocratique de la population sénégalaise dans la construction de l’avenir politique du pays.
L'ancien président de la République du Sénégal🇸🇳, Abdou Diouf, est venu exercer son devoir citoyen🗳️. pic.twitter.com/axPILjdPOz
Les élections présidentielles au Sénégal ont débuté avec un impressionnant afflux d’électeurs dès l’aube, marquant ainsi le début d’une journée déterminante pour le pays. De Pikine à Guediawaye, en passant par Colobane et les Hlm, la mobilisation était forte malgré les défis posés par le jeûne observé et une chaleur intense. Cette tendance était également remarquée dans les régions plus éloignées du pays.
L’énergie électorale était particulièrement palpable parmi les personnes âgées, qui, malgré les conditions climatiques difficiles, attendaient avec patience leur tour pour exprimer leur choix pour la direction du pays. Ce fort engagement démontre la détermination du peuple sénégalais à participer activement à la vie politique de leur nation et à façonner son avenir.
Même en observant le jeûne en cette journée électorale, les électeurs se sont rendus massivement aux bureaux de vote, témoignant ainsi de leur volonté de jouer un rôle actif dans le processus démocratique. Cette mobilisation précoce laisse présager un taux de participation élevé à l’échelle nationale, soulignant l’importance accordée à cette élection présidentielle et l’engagement civique profond des Sénégalais.
À travers cette démonstration de citoyenneté active, les Sénégalais réaffirment leur attachement aux principes démocratiques et leur désir de contribuer à la gouvernance de leur pays. Cette journée électorale, malgré les défis logistiques et environnementaux, symbolise l’unité nationale alors que les citoyens se réunissent pour exercer leur droit de vote dans le respect mutuel et la paix.
Le Sénégal, en traversant ce moment historique, renforce sa réputation en tant que bastion de la démocratie en Afrique, où les valeurs de participation citoyenne et de gouvernance transparente continuent de guider le chemin vers un avenir meilleur.
En cette journée d’élection présidentielle au Sénégal, le ministre de l’Intérieur, Makhtar Cissé, a lancé un appel vibrant à la paix et à la sérénité à l’adresse de ses compatriotes. Après avoir accompli son devoir civique à Dagana, sa ville natale, le ministre a souligné l’importance fondamentale de cette journée comme un moment de respiration démocratique.
« Un jour de vote doit être un jour de respiration démocratique, et non un jour de tension et de violence. Parce que tout ce qui va être détruit devra être reconstruit », a déclaré le ministre Cissé, mettant en avant les conséquences durables des troubles sociaux sur le tissu même de la société.
Soulignant la fragilité des relations humaines et du tissu social, Makhtar Cissé a insisté sur la nécessité d’une vigilance accrue, en particulier de la part de ceux qui aspirent à diriger le pays. Cette mise en garde résonne comme un appel à la responsabilité et à la retenue, dans le but de préserver la paix et la cohésion nationale.
Après avoir exprimé son message de paix, le ministre de l’Intérieur s’apprête à retourner à Dakar pour superviser l’ensemble du processus électoral. Son engagement en faveur d’une journée de vote paisible reflète l’importance accordée à la stabilité et à l’intégrité du processus électoral au Sénégal.
Dans un pays reconnu pour sa tradition démocratique et son respect des droits civiques, la déclaration du ministre de l’Intérieur rappelle l’importance cruciale de la participation citoyenne dans le processus électoral, tout en mettant en lumière la responsabilité de chacun dans la préservation de la paix et de l’harmonie sociale.
Le Sénégal vit une journée historique en ce dimanche crucial où plus de 7,3 millions d’électeurs sont appelés à choisir leur cinquième président de la République. Cette élection se distingue par l’absence du président sortant parmi les candidats en lice. Après un contexte politique marqué par des controverses autour du report de l’élection, le pays semble maintenant prêt pour cet exercice démocratique majeur.
Dès 8 heures ce matin, les bureaux de vote ont ouvert leurs portes dans tout le pays. Des files d’attente impressionnantes se sont formées rapidement, laissant présager une participation électorale significative. Ce scrutin intervient dans un contexte particulier, puisque le jour du vote coïncide avec une journée de jeûne, soulignant ainsi l’engagement civique profond des Sénégalais envers le processus électoral.
Cette élection revêt une importance capitale pour l’avenir politique du Sénégal, marquant potentiellement le début d’une nouvelle ère pour le pays. Les électeurs sont confrontés à un choix déterminant pour le cours futur de leur nation, et l’issue de ce scrutin influencera indéniablement le paysage politique sénégalais pour les années à venir.
À travers ce processus électoral, le Sénégal démontre une fois de plus son engagement envers la démocratie et l’alternance pacifique au pouvoir, renforçant ainsi sa réputation de bastion de la stabilité politique en Afrique de l’Ouest.
À l’aube de l’élection présidentielle sénégalaise prévue le 24 mars 2024, l’attention se porte sur la répartition de l’électorat à travers les différents départements du pays. Avec 19 candidats en lice, l’enjeu de chaque vote est de taille. Voici une présentation détaillée des départements et de leur poids électoral, essentielle pour comprendre les dynamiques de cette élection.
Suite aux récentes déclarations prétendument attribuées à Maître Abdoulaye Wade, nous, membres du Cadre de Concertation des Libéraux et Démocrates du Sénégal, souhaitons exprimer notre profonde désapprobation et notre condamnation catégorique de ces manœuvres politiques douteuses.
Maître Abdoulaye Wade, figure emblématique du libéralisme en Afrique, a toujours défendu les valeurs de démocratie, de tolérance et de progrès. Son engagement indéfectible envers ces principes fondamentaux est indéniable et a marqué l’histoire politique du Sénégal et du continent africain.
Nous tenons à rappeler que Maître Abdoulaye Wade a toujours été opposé aux idées extrémistes et au fondamentalisme religieux, qu’il a combattus tout au long de sa vie politique. Les allégations selon lesquelles il soutiendrait un candidat aux idées radicales sont totalement infondées et constituent une insulte à son héritage politique.
Nous dénonçons fermement toute tentative visant à associer le nom de Maître Abdoulaye Wade à des idées et des actions contraires à ses convictions profondes. Les manipulateurs qui cherchent à instrumentaliser son image à des fins politiques doivent retirer son nom de leurs manœuvres frauduleuses.
En tant que Libéraux et Démocrates du Sénégal, nous sommes engagés à défendre les libertés individuelles, la tolérance et l’égalité des chances. Nous rejetons catégoriquement toute forme d’extrémisme, de fondamentalisme religieux et de violence politique.
Nous exhortons tous les membres du Cadre de Concertation des Libéraux et Démocrates du Sénégal, ainsi que tous les citoyens épris de liberté et de démocratie, à exprimer leur désapprobation face à cette alliance dangereuse. Il est essentiel que nous restions fidèles à nos valeurs fondatrices et que nous défendions avec détermination la démocratie et la tolérance au Sénégal et dans le monde.
En conclusion, nous réaffirmons notre engagement à barrer la route à la montée du fondamentalisme et de la pensée unique, et à œuvrer pour un Sénégal libre, démocratique et prospère.
Fait à Dakar, le 22 Mars 2024
Pour Le Cadre de Concertation des Libéraux et Démocrates du Sénégal:
LDR-YESSAL/ Fada DIAGNE PLD/ Omar SARR APR/ Macky SALL (Thérèse FAYE) UCS/ Abdoulaye BALDE BOKK GIS GIS/ Pape DIOP LSS/ Samuel Ahmet SARR ANC/ Moussa SY PLC/DJ Lamine BA MDR/ Pape DIOUF MPA/ Dior Diongue NDOYE PCDS/ Samba BATHILY Mankoo MUCC Babacar GAYE CLP/ Serigne Mbacké NDIAYE PAREL/ Omar SARR UFN/ Ibrahima BADIANE CDD/ Mamadou Lamine KEITA MNPAS PAS/ Waly FALL ALUR/ Fatou THIAM ADS/ Papa Ababacar BA FNP-SMS/ ElHadj Omar NDIAYE FAR-YOONWI/ Bathie SECK LSR/ Bassirou KEBE MFA – Victor Sadio DIOUF APS-LE CENTRE/ Bamol BALDE ADS-JËF REK/ Thierno Birahim THIOBANE Parti Africain pour la Souveraineté / Jammoo ngir Suxali Sénégal(PAS/2S) / Kalidou Niasse M2P-Yemale/ Bocar sadick kane And doolel Sénégal/ Daour Niang Ndiaye Mouvement des anciens maires/ Pape Momar Diop
Une controverse secoue le Parti démocratique sénégalais (PDS) suite à un événement survenu hier au domicile de Me Abdoulaye Wade. Alors que des responsables du parti étaient convoqués pour une réunion, Karim Wade aurait interdit l’accès à la majorité des participants, en particulier aux femmes.
L’événement était prévu comme une rencontre régulière des présidents et secrétaires généraux de fédération du PDS avec Me Abdoulaye Wade. Cependant, à la surprise générale, les responsables ont été empêchés d’entrer par Karim Wade lui-même.
Parmi les personnes interdites d’accès, on compte principalement des femmes, ce qui soulève des questions sur la nature de cette exclusion. La plupart des participants, espérant rencontrer leur leader et obtenir des conseils pour le scrutin présidentiel à venir, ont été frustrés par cette décision arbitraire.
Seule une délégation dirigée par Diomaye Faye a été autorisée à rencontrer Me Abdoulaye Wade. Cependant, aucune consigne de vote n’a été donnée en faveur de Diomaye Faye, ajoutant à la confusion quant aux motivations de cette exclusion sélective.
Cette action a suscité l’irritation de nombreux responsables du PDS qui se sont vus refuser l’accès à leur propre leader, Me Abdoulaye Wade. Cette situation soulève des questions sur la gestion interne du parti et les relations entre ses différents membres.
Depuis le début de la pandémie de COVID-19, aucun responsable du PDS n’a eu l’occasion de rencontrer Me Abdoulaye Wade. Cette interdiction de l’accès, orchestrée par Karim Wade, alimente les tensions au sein du parti et suscite des inquiétudes quant à l’équité et à la démocratie internes.
La liste des responsables interdits d’accès comprend des noms éminents du PDS, notamment des présidents et secrétaires généraux de fédération dans différentes régions du pays. Leur exclusion du processus de consultation avec Me Abdoulaye Wade soulève des préoccupations quant à la prise de décision au sein du parti.
Cette situation souligne les divisions internes au sein du PDS et soulève des interrogations quant à la direction future du parti à l’approche des élections présidentielles. Les membres du PDS attendent des éclaircissements sur cet incident et espèrent une résolution rapide pour garantir l’unité et la solidarité au sein du parti.
À l’approche du scrutin présidentiel de ce dimanche, le guide religieux Cheikh Modou Kara a pris position en donnant des consignes de vote à ses militants. Le président du Parti de la Vérité pour le Développement (PVD) a appelé ses partisans à apporter leur soutien au candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar, Amadou Bâ.
Cette déclaration de Cheikh Modou Kara revêt une importance particulière étant donné son influence auprès de ses fidèles et de la population en général. En appelant à voter pour Amadou Bâ, il contribue à façonner le paysage politique de la présidentielle et à influencer le choix des électeurs.
Amadou Bâ, en tant que candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar, bénéficie ainsi du soutien du guide religieux Cheikh Modou Kara et de son parti, le PVD. Cette recommandation pourrait avoir un impact significatif sur le vote dans certaines régions où l’influence de Cheikh Modou Kara est particulièrement forte.
Il est à noter que les consignes de vote émises par les leaders religieux et politiques peuvent jouer un rôle crucial dans le processus électoral, influençant les décisions des électeurs et contribuant à façonner le résultat final de l’élection présidentielle.
Avec l’appui de Cheikh Modou Kara, Amadou Bâ renforce sa position dans la course présidentielle et espère obtenir un soutien accru de la part des électeurs à travers le pays. La décision finale appartient désormais aux citoyens sénégalais, appelés à exprimer leur choix démocratique lors du scrutin de ce dimanche.
À l’approche de l’élection présidentielle prévue ce dimanche à Kaffrine, la Commission électorale départementale autonome (Ceda) se mobilise de manière significative pour assurer la supervision et la régularité du scrutin. Sous la direction énergique de son président, Elimane Malick Gaye, la Ceda de Kaffrine annonce le déploiement de 355 agents sur le terrain, dans le but de garantir une couverture exhaustive des opérations électorales.
Dans le cadre de cette initiative, les 126 superviseurs et les 229 contrôleurs ont déjà été envoyés dans les différents lieux de vote et bureaux de la région. Leur mission consiste à veiller au bon déroulement du processus électoral, en assurant la transparence et l’équité des opérations dans les 126 lieux de vote et 229 bureaux répartis à travers le département de Kaffrine.
Elimane Malick Gaye, président de la Ceda de Kaffrine, a lancé un appel vibrant à tous les citoyens afin qu’ils exercent leur devoir civique en se rendant massivement aux urnes. Il souligne l’importance de voter dans un climat de paix et de calme, appelant ainsi à une participation citoyenne responsable pour garantir le succès de l’élection démocratique.
Il est à noter que le département de Kaffrine compte un total de 98 791 électeurs inscrits, répartis dans les 126 lieux de vote et les 229 bureaux électoraux. Cette mobilisation sans précédent de la Ceda reflète l’engagement ferme des autorités électorales locales à organiser des élections transparentes et crédibles, tout en favorisant une participation citoyenne active et en préservant l’intégrité du processus démocratique.
Pikine, l’une des communes les plus peuplées du Sénégal, a été le théâtre de violences politiques lors du dernier jour de la campagne électorale en vue de l’élection présidentielle. Des affrontements violents ont éclaté entre partisans présumés de la coalition Diomaye Président et ceux de la coalition de Amadou Bâ, faisant plusieurs blessés et causant des dégâts matériels.
Les tensions ont atteint leur paroxysme vers 23 heures, près du marché Niétty Mbar, lorsque la caravane du maire de la commune de Djiddah Thiaroye Kao, Mamadou Guèye, également directeur des Domaines, a été violemment attaquée. Des individus armés, supposés appartenir à la coalition Diomaye Président, ont pris pour cible les partisans de Amadou Bâ, causant des scènes de chaos et de destruction.
Plusieurs personnes ont été blessées lors des affrontements et ont dû être évacuées d’urgence vers l’hôpital pour recevoir des soins médicaux. Les témoins sur place ont décrit des scènes de panique alors que les gens tentaient de se mettre à l’abri des violences qui ont éclaté de manière soudaine.
Ces violences surviennent dans un contexte déjà tendu, marqué par une série d’incidents similaires dans la région et des tensions croissantes entre les différents camps politiques. Quelques jours seulement auparavant, la permanence de la coalition Benno Bokk Yakaar avait été attaquée, alimentant ainsi les craintes d’une escalade de la violence à l’approche des élections.
Le maire de la commune de Djiddah Thiaroye Kao a vivement condamné ces actes de violence et a affirmé son intention de poursuivre en justice les responsables de ces attaques. Il a appelé au calme et à la retenue de toutes les parties impliquées, soulignant l’importance de garantir la sécurité et la tranquillité dans la région.
Ces événements soulignent la nécessité urgente pour les autorités locales et les forces de sécurité de prendre des mesures efficaces pour prévenir de nouveaux actes de violence et protéger la population civile. Il est impératif que les élections se déroulent dans un climat de paix, de sécurité et de respect des droits fondamentaux de tous les citoyens.
En cette période critique précédant les élections, il est essentiel que tous les acteurs politiques s’engagent à promouvoir le dialogue, la tolérance et le respect mutuel, afin de garantir un processus électoral libre, équitable et transparent pour le bien de la nation sénégalaise dans son ensemble.
Nous appelons à la vigilance et à la solidarité de tous les citoyens afin de préserver la paix et la stabilité dans notre pays, et de rejeter fermement toute forme de violence et d’intimidation politique.
À l’approche de l’élection présidentielle prévue ce dimanche 24 mars 2024 à Koungheul, la Commission électorale départementale autonome (Ceda) se mobilise massivement pour garantir la transparence et la fiabilité du processus électoral. Sous la houlette de son président, Ahmed Iyane Tounkara, la Ceda annonce le déploiement de 200 contrôleurs et 139 superviseurs à travers tout le département.
Cette décision stratégique vise à renforcer la surveillance des opérations électorales, assurant ainsi le respect des normes démocratiques et la légitimité des résultats. Néanmoins, le président Tounkara a souligné les défis auxquels la commission a été confrontée pour constituer ses équipes. Le manque de ressources humaines qualifiées a conduit la Ceda à intégrer des étudiants, afin de compléter les effectifs nécessaires pour couvrir l’ensemble du territoire.
Malgré ces contraintes, la Ceda a pris des mesures préventives cruciales en organisant des sessions de formation et de renforcement de capacités pour ses contrôleurs et superviseurs. Cette initiative vise à garantir qu’ils exercent leurs fonctions avec professionnalisme, impartialité et respect des normes électorales.
Sur le plan logistique, la commission a prévu un dispositif de transport adéquat avec la mobilisation de 18 véhicules pour faciliter les déplacements des contrôleurs et superviseurs sur le terrain. Cette planification méticuleuse vise à assurer une couverture efficace de tous les bureaux de vote de Koungheul, garantissant ainsi une surveillance optimale du processus électoral.
Cette mobilisation sans précédent de la Ceda reflète l’engagement résolu des autorités électorales locales à organiser des élections libres, justes et transparentes. En garantissant une surveillance minutieuse et rigoureuse du scrutin présidentiel, la commission renforce la confiance du public dans le système démocratique et consolide l’intégrité des institutions électives de Koungheul.
À l’approche de l’élection présidentielle au Sénégal, prévue pour le 24 mars 2024, la voix emblématique de la musique sénégalaise, Elhadji Beydi Baaba Maal, s’est élevée pour adresser un message inspirant à ses concitoyens. Dans un appel vibrant, le chanteur renommé a exhorté ses compatriotes à choisir un leader attentif aux besoins quotidiens de la population, en particulier de la jeunesse, tout en mettant l’accent sur la nécessité de maintenir la paix et la stabilité lors de ce processus démocratique crucial.
Alors que le pays se prépare pour cette élection présidentielle d’une importance capitale, Baaba Maal a choisi ces moments saints du Ramadan pour transmettre ses prières et ses vœux de sérénité et de réussite pour cette période électorale. Il a exprimé son espoir que ces élections se déroulent dans un climat empreint de grandeur et de respect mutuel, soulignant ainsi l’importance de valeurs telles que la paix, l’amour et le respect dans la vie démocratique du pays.
Le chanteur a également plaidé en faveur de l’élection d’un leader visionnaire, capable de répondre aux aspirations diverses de la société sénégalaise, en particulier des jeunes, des femmes et des hommes. Son appel résonne comme un rappel de l’importance de consolider les progrès réalisés jusqu’à présent et de maintenir le respect et la dignité dont jouit le Sénégal sur la scène mondiale.
Baaba Maal, par sa notoriété et son influence, incarne un symbole d’unité et d’espoir pour le peuple sénégalais, et son message revêt une signification particulière dans cette période pré-électorale où les enjeux sont nombreux. À travers son appel à une élection pacifique et inclusive, il rejoint la volonté collective du peuple sénégalais de voir le pays avancer vers un avenir meilleur, dans l’harmonie et la prospérité pour tous.
Alors que les Sénégalais se préparent à exercer leur droit de vote dans quelques jours, le message de Baaba Maal résonne comme une invitation à l’action collective pour la construction d’un avenir plus prometteur et plus solidaire pour leur cher pays.
Dans le monde du football, les offres de transfert astronomiques sont monnaie courante, surtout lorsqu’il s’agit de jeunes talents prometteurs. Cependant, la résolution de Joan Laporta, président du FC Barcelone, a récemment captivé l’attention de tous en refusant une offre de 200 millions d’euros pour le jeune joueur Lamine Yamal.
La décision de Laporta de rejeter cette offre colossale, provenant du Paris Saint-Germain selon des sources, a été confirmée lors d’une récente interview accordée au média officiel du FC Barcelone. Malgré les difficultés économiques auxquelles le club est confronté, Laporta a souligné son engagement envers la construction d’une équipe compétitive et solide, en misant sur les jeunes talents de La Masia.
Lamine Yamal, âgé de X ans, est l’une des pépites émergentes du FC Barcelone, et son potentiel a attiré l’attention de plusieurs grands clubs européens. Cependant, Laporta a clairement indiqué sa volonté de ne pas affaiblir l’équipe en vendant ses jeunes stars, préférant investir dans leur développement et leur intégration au sein de l’équipe première.
Cette décision de refuser une offre aussi lucrative démontre la vision à long terme de Laporta pour le club. Plutôt que de sacrifier l’avenir sportif du FC Barcelone pour des gains financiers immédiats, Laporta privilégie la stabilité et la croissance à long terme de l’équipe.
Alors que le FC Barcelone continue sa période de reconstruction, avec un accent particulier mis sur la promotion des jeunes talents, cette décision de Laporta envoie un message fort sur l’ambition et les valeurs du club. Bien que les défis économiques puissent être présents, le président catalan reste déterminé à maintenir le cap sur une stratégie qui place le développement sportif au premier plan.
L’absence du capitaine Lionel Messi n’a pas ralenti l’Argentine vendredi. Les champions du monde se sont préparés à défendre leur titre en Copa América en s’imposant 3-0 contre le Salvador à Philadelphie en match amical.
CristianRomero a ouvert le score à la 16e minute, Enzo Fernandez à la 42e et Giovani Lo Celso à la 52e ont complété la victoire au Lincoln Financial Field, domicile des Eagles de Philadelphie (NFL).
Messi, l’octuple Ballon d’Or qui joue maintenant pour l’Inter Miami en Major League Soccer, a été exclu du match de vendredi et du match amical de l’Argentine contre le Costa Rica à Los Angeles la semaine prochaine, après s’être froissé un ischio-jambier lors de la victoire 3-1 de Miami sur Nashville dans la Coupe des champions de la CONCACAF ce mois-ci.
Dans la nuit froide de Philadelphie, l’Argentine n’a pas eu besoin de lui pour remporter confortablement son premier match amical de l’année contre une équipe qui n’a plus gagné depuis 21 matches. Romero a été le premier à s’imposer face à l’équipe entraînée par l’Espagnol David Doniga, s’élevant pour reprendre de la tête un coup de pied de coin tiré par Angel Di Maria.
Quelques minutes avant la mi-temps, Di Maria recevait le ballon sur le flanc droit et lançait Rodrigo de Paul, dont la passe en retrait était reprise de la tête par Lo Celso pour Fernandez, qui marquait devant le but. Après la pause, c’est au tour de Lo Celso de conclure d’une frappe du pied gauche une nouvelle action brillante entre Di Maria et Lautaro Martinez.
Le match a permis au sélectionneur argentin Lionel Scaloni de donner quelques minutes aux jeunes Alejandro Garnacho et Valentin Barco, le latéral gauche de 19 ans recruté par Brighton en janvier et qui s’est distingué avec l’équipe des moins de 23 ans lors des qualifications pour les Jeux olympiques de Paris.
L’Angleterre, sans inspiration ni tous ses titulaires habituels, a baissé pavillon en fin de rencontre contre le Brésil (1-0), samedi à Londres dans un amical attendu mais finalement sans grande saveur, si ce n’est pour le phénomène Endrick, « super-remplaçant » buteur à 17 ans.
L’attaquant mineur de Palmeiras, entré moins de dix minutes plus tôt, a parfaitement exploité une frappe de son futur partenaire du Real Madrid, Vinicius, repoussée par Jordan Pickford (80e, 0-1).
Il a célébré ce but comme un fou, devant la tribune jaune et verte des supporters brésiliens, la plus animée de toutes.
Si Wembley a affiché complet pour cette affiche à paillettes opposant le vice-champion d’Europe et la Seleçao aux cinq étoiles mondiales, l’ambiance n’était pas celle des grands soirs.
Il manquait certes du beau monde des deux côtés. Et les présents, surtout côté anglais, sont apparus moins puissants et dominateurs qu’à l’accoutumée.
Le Brésil s’est déplacé à Londres sans Ederson, Marquinhos, Gabriel Martinelli ni Neymar, blessé longue durée. L’Angleterre de son côté était privée du capitaine Harry Kane, de cadres comme Trent Alexander-Arnold, Jordan Henderson et Bukayo Saka, ainsi que du jeune attaquant Cole Palmer.
Cela s’est ressenti sur la qualité du spectacle, globalement pas au rendez-vous. Les supporters anglais se sont davantage amusés avec les avions en papier fabriqués et lancés depuis les travées, qu’avec le jeu pratiqué sur la pelouse.
Même le grand baptême international de Kobbie Mainoo, l’espoir de 18 ans de Manchester United, a été gâché par la rentrée, également en seconde période, du prodige Endrick, parfait « super-sub » (super-remplaçant) comme disent les Anglais.
Ces derniers n’avaient plus vu leur équipe perdre à Wembley, du moins dans le temps réglementaire (ce qui exclut la défaite en finale de l’Euro contre l’Italie en 2021 aux tirs au but), depuis octobre 2020 et un revers 1-0 contre le Danemark en Ligue des nations.
Revue d’effectif
La rencontre aura au moins servi de revue d’effectif à Gareth Southgate, trois jours avant d’accueillir un nouvel invité prestigieux, la Belgique, mardi dans le nord de Londres, dans le cadre de la préparation à l’Euro-2024.
Le sélectionneur a offert une première cape d’entrée à Anthony Gordon, et l’ailier gauche de Newcastle, à 23 ans, s’est montré plutôt entreprenant et sans complexe.
Il a aussi vu pour la première fois Ezri Konsa, défenseur d’Aston Villa entré en jeu après vingt minutes seulement pour remplacer le capitaine du soir Kyle Walker, blessé plus tôt à une jambe.
Devant, Ollie Watkins a tenté de faire oublier l’absence de Kane, avec un style moins participatif que le « roi Harry », mais le peu de ballons et le manque d’élan collectif l’ont desservi.
Si l’attaque anglaise n’a pas brillé, la défense a elle montré des signes de fébrilité, notamment dans l’axe avec la paire formée par John Stones et Harry Maguire, souvent prise de vitesse ou de maladresse.
Seul le manque de détermination et de précision, côté brésilien, a permis aux Anglais de ne pas aller chercher le ballon au fond de leurs filets avant la pause.
Vinicius, par exemple, s’est échappé dans le dos de la défense et a pris le meilleur sur Pickford mais son tir, trop mou, a été bloqué par Walker, revenu à temps (12e).
Lucas Paqueta a lui vu sa frappe repoussée par un poteau (35e) avant que Raphinha ne manque le cadre (42e) après une erreur aux allures d’offrande signée Maguire, auteur d’une passe en retrait complètement ratée.
A cause d’Endrick, les « Three Lions » ont finalement mordu la poussière et confirmé leurs difficultés récurrentes face au Brésil. L’Angleterre n’a battu la Seleçao que quatre fois en 27 confrontations, il s’agit de son pire ratio face à une équipe qu’elle a affrontée au moins trois fois.
Dans un duel pré-Euro-2024 particulièrement attendu, l’Allemagne a infligé une défaite sans appel à l’équipe nationale française lors d’un match amical époustouflant qui s’est déroulé à Lyon. La Mannschaft a non seulement assommé les Bleus avec un but historique marqué dès les premières secondes, mais elle a également exposé les faiblesses béantes de la défense française, signant ainsi un avertissement sévère à moins de trois mois du début du championnat continental.
L’Allemagne, redevenue la bête noire des Bleus, a réitéré son succès précédent contre la France en septembre dernier. Cette fois-ci, c’est Florian Wirtz qui a ouvert les hostilités avec un but supersonique, inscrit à un rythme rarement vu dans l’histoire du football international. La France, surprise et débordée dès les premiers instants, n’a jamais réussi à reprendre pied face à un adversaire pourtant en difficulté sportive avant ce match.
Le milieu de terrain allemand, orchestré par Toni Kroos, a démontré une domination totale, exploitant les failles d’une défense française en plein chantier. Malgré la présence de talents offensifs tels que Kylian Mbappé et Ousmane Dembélé, l’équipe de Didier Deschamps a semblé désorientée et incapable de rivaliser avec la vigueur et la détermination de son adversaire.
La défaite de la France soulève des questions importantes quant à sa préparation pour l’Euro. Didier Deschamps devra opérer des ajustements significatifs, en particulier au niveau de la défense, où les associations de joueurs n’ont pas donné les résultats escomptés. L’équipe française doit également retrouver son agressivité et sa cohésion, des éléments cruciaux pour affronter des équipes de haut niveau telles que l’Allemagne.
D’un autre côté, la victoire éclatante de l’Allemagne sous la houlette de Julian Nagelsmann lui confère une confiance renouvelée avant l’Euro. La Mannschaft a su exploiter les faiblesses adverses avec une maîtrise impressionnante, ce qui en fait un sérieux prétendant au titre continental.
Pour la France, l’heure est à la réaction. Le prochain match amical contre le Chili sera une occasion cruciale pour montrer une amélioration et restaurer la confiance avant le début de l’Euro. Car une chose est claire : après cette défaite face à l’Allemagne, les Bleus ne peuvent plus se permettre de se laisser surprendre et devront être prêts à affronter tous les défis qui se dresseront sur leur chemin vers la gloire européenne.
En prévision de l’élection présidentielle prévue pour le dimanche 24 mars, le département de Tambacounda se prépare à accueillir 118 990 électeurs inscrits. Cette estimation inclut les électeurs répartis dans différentes communes de la région, avec Tambacounda en tête.
La Commune de Tambacounda, principal centre urbain du département, compte à elle seule 55 371 inscrits, représentant une part significative de l’électorat départemental. Ensuite, viennent les communes de Missirah, avec 13 587 électeurs, et Makacolibantang, totalisant 10 339 électeurs inscrits. Enfin, la commune de Niani Toucouleur complète la liste avec 3 748 électeurs.
Cependant, malgré le nombre élevé d’inscrits dans la Commune de Tambacounda, il est important de noter que le potentiel électoral dans les zones rurales est également crucial, représentant plus de 60 000 électeurs. Cette répartition souligne l’importance de prendre en compte les préoccupations et les intérêts des électeurs des zones rurales dans le processus électoral.
Dans l’ensemble, les 118 990 personnes inscrites sur les listes électorales du département de Tambacounda seront réparties dans 246 centres et 358 bureaux de vote. Cette répartition vise à assurer un accès facile et équitable aux sites de vote pour tous les électeurs, contribuant ainsi à garantir un processus électoral démocratique et transparent dans la région.
À l’approche de l’élection présidentielle du dimanche 24 mars 2024, Tivaouane se prépare fiévreusement, mais des défis subsistent quant à la distribution des cartes d’électeurs.
Dans cette importante circonscription départementale, comprenant 300 centres et 595 bureaux de vote, l’attention se porte sur les derniers ajustements avant le jour du scrutin. Avec un total de 256 345 électeurs inscrits, la distribution des cartes d’électeurs est un enjeu crucial pour assurer la participation démocratique de la population.
Cependant, à la veille de l’élection, un souci persiste : sur les 16 956 cartes d’électeurs prévues pour la révision, 5009 sont encore en attente au niveau des commissions de distribution. Ce retard dans la distribution pose un défi logistique de taille pour garantir la participation de tous les électeurs inscrits.
Par ailleurs, le taux de retrait des anciennes cartes d’électeurs demeure relativement bas, avec seulement 16% des cartes retirées à ce jour. Sur les 4135 cartes d’électeurs anciennes, 4135 sont encore en souffrance au niveau des commissions de distribution. Cette situation souligne l’importance de sensibiliser les électeurs à retirer leurs cartes dans les plus brefs délais pour garantir leur droit de vote lors du scrutin.
Malgré ces défis, les autorités préfectorales assurent que tout le matériel nécessaire est déjà sur place dans les centres de vote, prêt à garantir un déroulement fluide et transparent du scrutin. Cependant, la résolution des problèmes de distribution des cartes d’électeurs reste une priorité pour assurer une participation électorale maximale et une légitimité accrue des résultats.
Ce samedi 23 mars 2024 restera gravé dans les annales de Mbao, commune sénégalaise en plein essor. En effet, M. Abdou Karim Sall, le maire de la localité, a présidé l’inauguration tant attendue du tout nouveau bâtiment de l’état civil, situé au cœur même de la mairie.
La cérémonie, empreinte de solennité et de fierté, a rassemblé une foule impressionnante d’administrés mbaois ainsi qu’une pléthore d’élus municipaux, d’autorités locales et de représentants des forces de l’ordre. Parmi les invités de marque figuraient également les chefs de village, les figures religieuses et les délégués de quartiers, tous témoignant de leur soutien à cette étape cruciale pour le développement de Mbao.
Dans son discours inaugural, le Maire AKS, comme il est communément appelé, a exprimé sa gratitude envers Dieu avant de partager sa joie de voir ce projet longtemps attendu devenir une réalité tangible. « Ce nouveau bâtiment offrira aux agents municipaux de l’état civil des conditions de travail optimales », a souligné l’édile de la commune, salué par une foule acquise à sa vision pour Mbao.
Un sentiment partagé par Mme Pouye, la cheffe du service de l’état civil de la mairie, qui a exprimé sa satisfaction quant à l’impact positif que cette nouvelle infrastructure aura sur leur travail quotidien.
Avant la cérémonie officielle de coupure du ruban symbolique et du dévoilement de la plaque d’inauguration, M. Abdou Karim Sall a réaffirmé son engagement envers le développement de Mbao. « Nous avons les ressources humaines nécessaires et la volonté de réaliser nos projets », a-t-il déclaré, sous les applaudissements de l’assistance.
Le nouveau bâtiment de l’état civil, construit sur une superficie considérable, représente un investissement important pour la municipalité, s’élevant à près de 25 millions de francs CFA, sans compter les équipements bureautiques d’une valeur d’environ 10 millions. Cependant, ce n’est pas tout : le Maire de Mbao a également annoncé la livraison prochaine d’un autre bâtiment de deux étages, toujours dans l’enceinte de la mairie, dans le but d’améliorer les conditions de travail des agents municipaux et de faciliter l’accès aux services administratifs.
Pour financer ces ambitieux projets, AKS compte principalement sur le budget municipal, soulignant l’importance d’un taux de recouvrement élevé des taxes municipales. Et pour l’heure, les résultats sont encourageants. « Nous sommes déterminés à poursuivre nos efforts pour le bien-être de nos concitoyens », a-t-il conclu, clôturant ainsi une journée marquée par le progrès et l’espoir pour Mbao et ses habitants.
Après le match nul du Red Star contre Nancy vendredi soir (1-1), Habib Beye a pris la parole sur le débat grandissant autour du ramadan. L’entraîneur a exprimé son désaccord avec ceux qui ne voient que des inconvénients à cette pratique religieuse.
Dans une déclaration empreinte d’apaisement, Habib Beye a souligné les avantages du ramadan, une période qui s’étend jusqu’au 9 avril. Pour lui, cette pratique religieuse n’est pas seulement un défi, mais elle renforce également la cohésion, favorise les échanges et crée une solidarité au sein de l’équipe.
« Je respecte vraiment la foi de mes joueurs, quelle qu’elle soit », a déclaré Habib Beye en conférence de presse. « On se permet d’accompagner nos joueurs dans leur foi. On ne voit que les inconvénients. Moi, je ne vois que les avantages : ça crée de la cohésion, ça crée aussi des discussions, ça crée aussi une solidarité. »
Le coach du Red Star a également exprimé son malaise face aux polémiques entourant une éventuelle baisse de performance des joueurs pendant le ramadan. Pour lui, la religion est une source de force supplémentaire pour les joueurs qui la pratiquent.
« C’est une force supplémentaire pour eux », a-t-il souligné. « Je déteste ce débat qu’il y a autour de la religion parce qu’il ne devrait pas exister. Ça ne devrait être un problème pour aucun des entraîneurs qui entraînent des joueurs qui sont dans des fois multiples. »
Habib Beye a conclu en rappelant que le respect de la foi de chacun est essentiel et que les entraîneurs devraient soutenir leurs joueurs dans leurs pratiques religieuses, qui font partie de leur identité et de leur éducation en tant qu’hommes.
La position de la Fédération française de football, qui ne prévoit pas de pause pendant les matchs en période de ramadan, a également été critiquée. La FFF refuse de suivre l’exemple d’autres pays européens qui autorisent des pauses pour permettre aux joueurs musulmans de s’hydrater et de s’alimenter, invoquant des considérations politiques, idéologiques et religieuses.
L’équipe nationale du Sénégal a récemment été secouée par l’arrivée fulgurante d’un jeune prodige : Mikayil Ngor Faye. Avec sa performance remarquable lors d’un match amical contre le Gabon, ce joueur de 19 ans a immédiatement attiré l’attention et suscité des discussions passionnées quant à son avenir dans la sélection nationale.
Formé à l’académie Diambars, Mikayil Ngor Faye a fait ses débuts sous les feux des projecteurs en tant que défenseur polyvalent, capable d’évoluer à la fois en tant que latéral gauche et défenseur central. Sa première sélection avec l’équipe nationale sénégalaise a été marquée par un but spectaculaire et une performance globale impressionnante, ce qui lui a valu des éloges unanimes de la part des observateurs du football.
Cette montée en puissance rapide soulève des questions sur le rôle que pourrait jouer Mikayil Ngor Faye dans la défense sénégalaise à l’avenir. Alors que des joueurs expérimentés comme Kalidou Koulibaly et Moussa Niakhaté continuent d’être des piliers de l’équipe, la jeunesse et le talent de Mikayil Ngor Faye pourraient bien lui ouvrir la porte vers une place régulière dans la formation de l’entraîneur Aliou Cissé.
Sa performance exceptionnelle lors du match contre le Gabon a été le point culminant d’une ascension fulgurante. Avec son passage remarqué par l’équipe réserve du FC Barcelone, bien qu’il n’ait pas encore eu l’opportunité de jouer en championnat, Mikayil Ngor Faye a déjà démontré son potentiel et sa détermination à réussir au plus haut niveau.
Le Sénégal, qui cherche à renforcer son équipe nationale pour rivaliser au niveau international, pourrait bénéficier de l’apport de jeunes talents comme Mikayil Ngor Faye. Sa polyvalence, sa détermination et sa capacité à s’adapter rapidement au niveau international en font une pièce maîtresse pour l’avenir de la défense sénégalaise.
Alors que le football sénégalais continue de se développer et de produire des talents exceptionnels, Mikayil Ngor Faye émerge comme l’une des étoiles montantes les plus brillantes. Son histoire inspirante et son ascension fulgurante sont une source de fierté pour le football sénégalais et une raison d’espérer un avenir prometteur pour l’équipe nationale.
L’ancien footballeur international camerounais, Geremi Njitap, a récemment secoué le Cameroun en demandant le divorce à sa femme après une révélation dévastatrice. La saga a commencé lorsque Geremi a découvert, par le biais d’un test ADN, que les jumeaux qu’il avait élevés ne sont pas ses enfants biologiques. Une nouvelle qui a fait grand bruit dans tout le pays.
Geremi Njitap, âgé de 45 ans et ayant représenté son pays à 119 reprises sur les terrains de football, est une figure respectée au Cameroun. Son parcours au Real Madrid et à Chelsea a fait de lui une personnalité admirée dans le monde du sport. Cependant, cette nouvelle révélation a jeté une ombre sur sa vie personnelle.
En couple avec Toukam Fotso Laure depuis 16 ans, Geremi pensait être le père des jumeaux nés en juin 2008. Cependant, un test ADN a révélé que ces enfants étaient en réalité les enfants du précédent mariage de sa femme. Cette découverte a été un véritable choc émotionnel pour Geremi, qui a été contraint de réévaluer sa relation et sa vie de famille.
Dans sa demande de divorce, Geremi a dénoncé les mensonges et le mépris de son épouse, ainsi que le comportement jugé abject de celle-ci. Malgré une vie de couple apparemment harmonieuse avant leur mariage en 2012, la révélation de cette vérité troublante a bouleversé leur relation de manière irréversible.
La situation a atteint son paroxysme lorsque la fille de la compagne de Geremi aurait proféré des menaces à son encontre, le forçant à quitter le domicile familial. Cette affaire a suscité une forte réaction publique, mettant en lumière les défis émotionnels et familiaux auxquels sont confrontées même les personnalités publiques.
À ce stade, Geremi n’a pas encore commenté publiquement cette affaire délicate, mais elle continue de faire la une des journaux et de susciter des discussions animées au Cameroun et au-delà.
Alors que les Sénégalais se préparent à exercer leur droit de vote lors de l’élection présidentielle ce dimanche 24 mars, une attention particulière est portée à la période du ramadan qui coïncide avec le scrutin. Dans cette optique, le Préfet du département de Mbacké, Khadim Hann, a annoncé que des mesures spéciales seront prises pour assurer la restauration des membres des bureaux de vote pendant la rupture du jeûne.
« Nous avons pris en compte le ramadan. Certainement, le moment de la rupture du jeûne va coïncider avec les dépouillements des bulletins. Nous avons prévu des kits ndogou pour permettre aux membres des bureaux de vote de rompre leur jeûne sans se déplacer. C’est un moment crucial du processus électoral et extrêmement sensible », a déclaré le Préfet Hann.
Cette initiative vise à garantir que les membres des bureaux de vote puissent rompre leur jeûne de manière appropriée et sans interruption pendant le déroulement des opérations électorales. En fournissant des kits ndogou, comprenant des aliments traditionnels pour la rupture du jeûne, les autorités locales veulent s’assurer que les travailleurs électoraux puissent rester concentrés et énergisés tout au long de la soirée électorale.
La distribution de ces kits ndogou reflète l’importance accordée à la prise en compte des traditions culturelles et religieuses dans le processus électoral au Sénégal. En garantissant que les membres des bureaux de vote puissent observer leur rituel de rupture du jeûne de manière pratique et respectueuse, les autorités locales contribuent à créer un environnement propice à des élections pacifiques et transparentes.
À l’approche de l’élection présidentielle prévue ce dimanche 24 mars au Sénégal, le Conseil pour l’Observation des Règles d’éthique et de Déontologie (CORED) a émis un communiqué pour rappeler aux professionnels des médias les principes à respecter lors de la couverture de cet événement crucial pour la nation.
Dans ce communiqué, l’organe d’autorégulation exhorte les médias à faire preuve de prudence dans leur traitement de l’information, tenant compte des tensions et des violences pré-électorales observées ces derniers mois dans le pays.
Ainsi, il est recommandé aux médias d’éviter de relayer des propos incendiaires, haineux ou belliqueux, ainsi que des images ou des vidéos susceptibles d’inciter à la violence ou à la haine. Ces pratiques sont formellement interdites par l’Article 57 du Code de la presse et l’Article 10 de la Charte des journalistes du Sénégal.
La campagne électorale ayant pris fin vendredi à minuit, toute forme de propagande est désormais interdite. Le CORED souligne donc l’importance pour les journalistes d’éviter les questions ou les reportages qui pourraient favoriser la propagande, en respectant les règles établies pour assurer un scrutin libre et équitable.
Le rôle des médias étant crucial dans le processus électoral et la veille démocratique, le CORED rappelle qu’il appartient aux journalistes de relayer les informations de manière impartiale et objective, sans prendre parti ni proclamer de résultats. Leur mission consiste à informer le public avec précision et transparence, en se limitant à la présentation des chiffres officiels.
Par ailleurs, le CORED annonce la mise en place d’un dispositif de monitoring pour surveiller le travail des professionnels des médias tout au long de la journée du scrutin. Enfin, l’organe d’autorégulation lance un appel à la sérénité aux acteurs politiques, à leurs militants et sympathisants, afin de garantir une journée de vote paisible et démocratique pour tous les citoyens sénégalais.
Le département de Ranérou, niché dans la région de Matam au nord du Sénégal, s’apprête avec diligence pour l’élection présidentielle imminente, avec 27 396 électeurs prêts à exprimer leur voix dans 48 lieux de vote et 71 bureaux, selon les révélations du préfet, Ahmadou Coumba Ndiaye.
Dans cette région, la commune de Houdallaye se distingue par son nombre d’électeurs, totalisant 11 440 inscrits répartis entre 23 lieux de vote et 33 bureaux. Vélingara-Ferlo accueillera également une part significative du corps électoral, avec 9 314 électeurs attendus dans 16 lieux de vote et 23 bureaux. Louguéré Thioly et Ranérou elles-mêmes enregistrent respectivement 3 749 et 2 893 électeurs.
Malgré cette préparation minutieuse, des défis subsistent en ce qui concerne le retrait des cartes d’électeur. Seulement 745 cartes ont été distribuées jusqu’à présent, alors que 1 079 restent en attente dans les commissions de distribution à l’échelle départementale.
Cependant, le préfet a affirmé que le matériel électoral a été entièrement déployé, signifiant ainsi une avancée notable dans les préparatifs de l’élection.
La mise en place de ces bureaux de vote et la distribution du matériel électoral reflètent l’engagement des autorités locales à garantir un processus électoral transparent et équitable. L’importance accordée à la participation démocratique de tous les citoyens souligne l’essence même de la démocratie au Sénégal.
Dans ce climat d’anticipation, les habitants de Ranérou se préparent à jouer un rôle crucial dans la direction future de leur pays. La mobilisation de la population pour exercer son droit de vote est un témoignage vibrant de l’engagement citoyen et de la détermination à façonner un avenir démocratique pour le Sénégal.
C’est dans ce contexte que Youssoupha MBODJI, en tant que leader de l’Alliance Patriotique du Millénium, a pris la décision de recommander le vote en faveur du candidat Amadou Ba. Selon lui, Amadou Ba incarne le meilleur choix pour un Sénégal de paix, de stabilité et d’amélioration du Plan de développement actuel, que ce soit dans sa phase 3 ou à travers l’instauration d’un nouveau plan de développement.
Cette décision de Youssoupha MBODJI représente un tournant significatif dans le paysage politique sénégalais, apportant un soutien crucial à la candidature d’Amadou Ba et renforçant ainsi sa position dans la course à la présidence. Elle témoigne également de l’importance des évaluations rigoureuses et des choix éclairés dans le processus démocratique, soulignant l’engagement des acteurs politiques à promouvoir les intérêts supérieurs du pays.
La Place de la Nation témoigne d’une adhésion massive à la vision de continuité et d’émergence
La campagne électorale pour l’élection présidentielle du 24 mars 2024 a atteint son point culminant avec un spectacle grandiose à la Place de la Nation à Dakar, marquant la clôture de la campagne du candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY), Amadou Ba.
Dans une ambiance électrisante, animée par des artistes et rappeurs renommés tels que Bidew Bou Bess, Kane Diallo, Bousso, Big Mo, et Aby Ndour, la Place de la Nation a été le théâtre d’une démonstration de soutien sans précédent envers le candidat prônant la continuité, la paix, la stabilité et l’émergence.
Hommes, femmes, jeunes et adultes, tous vêtus d’effigies à l’image du candidat de BBY, ont afflué de tous les coins de la capitale dans un élan de mobilisation massive, exprimant ainsi leur ferme volonté de voir Amadou Ba triompher le soir du 24 mars.
La cérémonie a débuté avec des prières émouvantes formulées par Serigne Mansour Sy Djamil, exprimant le souhait que l’ancien Premier ministre devienne le 5ème président de la République du Sénégal.
Debout sur le podium, devant une foule enthousiaste, Amadou Ba a exprimé sa gratitude envers son mentor, le Président Macky Sall, pour son leadership indéfectible et sa vision pour le pays. Il a souligné que bien que des progrès aient été réalisés, le travail pour le Sénégal n’est pas achevé, appelant ainsi à maintenir la mobilisation.
Le candidat de BBY a réaffirmé son engagement à poursuivre l’œuvre du Président Sall, en continuant sur la voie du Plan Sénégal émergent (PSE). Il a également promis de rester aux côtés des jeunes, des femmes et des couches les plus vulnérables de la société.
Enfin, Amadou Ba a lancé un appel vibrant au parti de Me Abdoulaye Wade pour des retrouvailles au sein de la grande famille libérale, dans l’intérêt supérieur du Sénégal.
Cette clôture spectaculaire de la campagne électorale témoigne de l’engagement et du soutien massif envers la vision de continuité et de progrès incarnée par Amadou Ba, dans l’aspiration commune à un avenir meilleur pour le Sénégal.
Dans un geste significatif, l’Association Nationale des Imams et Oulémas du Sénégal a émis un appel émouvant à tous les citoyens sénégalais en vue de garantir un déroulement pacifique de l’élection présidentielle prévue ce dimanche.
Dans leur déclaration, parvenue à l’Agence de Presse Sénégalaise (APS) le vendredi précédent, ces érudits musulmans ont souligné leur responsabilité en tant qu’éducateurs et guides spirituels, appelant à l’unité et à la sérénité pendant cette période cruciale.
« Chers compatriotes sénégalais, notre pays se prépare à élire son 5e Président le 24 mars 2024. En tant qu’imams et oulémas, nous lançons un appel pour un scrutin pacifique », ont exprimé les membres de l’association.
Alors que le mandat du Président sortant, Macky Sall, arrive à son terme le 2 avril prochain, cette élection présidentielle revêt une importance capitale pour l’avenir politique du pays. Avec dix-sept candidats en lice, la campagne électorale, entamée le 9 mars dernier, s’est conclue vendredi à minuit.
Pour les Imams et Oulémas du Sénégal, cette élection est un test décisif pour la démocratie du pays et l’engagement civique de ses citoyens. Ils ont souligné la nécessité d’aborder cet événement avec calme, maturité et respect mutuel.
« Il s’agit d’un test pour notre engagement civique, notre maturité politique et notre esprit démocratique », ont-ils souligné.
Les religieux ont également mis en lumière le défi que représente ce moment pour l’unité nationale et l’amour de la paix au Sénégal, appelant les électeurs à voter en conscience et dans l’intérêt supérieur du pays.
« Nous exhortons les électeurs à voter avec discernement, en mettant en avant l’intérêt commun et en veillant à ce que ce processus se déroule dans le respect et la dignité », ont-ils ajouté.
En conclusion, les Imams et Oulémas ont lancé un appel poignant à tous les citoyens pour qu’ils œuvrent ensemble à préserver la paix et la cohésion sociale au Sénégal.
« Épargnons notre pays des actes et des gestes qui suscitent l’inquiétude, la honte et la souffrance », ont-ils exhorté.
Cette déclaration des Imams et Oulémas du Sénégal met en lumière le rôle crucial des leaders religieux dans la promotion de la stabilité et de la paix pendant les moments clés de la vie démocratique d’un pays. Elle souligne également l’appel à l’unité et à la responsabilité collective alors que le Sénégal s’apprête à franchir une étape décisive de son histoire politique.
Dans un geste généreux et empreint de reconnaissance envers sa communauté, Modou Lô, actuel roi des arènes, a offert un corbillard à la Mosquée de l’Unité 10 des Parcelles Assainies. Lors d’une cérémonie émouvante, le lutteur a remis les clés du véhicule à l’Imam de son quartier, saluant ainsi l’importance de ce lieu dans sa vie.
« Je suis heureux de venir ici. Ce quartier est mon fief. Cette Mosquée est la mienne. C’est ici que je suis né, c’est ici que j’ai grandi », a déclaré Modou Lô lors de la remise du don. Il a également exprimé sa gratitude envers l’Imam, soulignant le rôle essentiel de la Mosquée dans la vie quotidienne de la communauté.
Le lutteur a expliqué les motivations derrière son geste, soulignant l’importance d’équiper la Mosquée d’un corbillard. « Une Mosquée et une morgue ont besoin d’un corbillard. C’est pourquoi, j’ai eu cette idée », a-t-il expliqué. En plus du corbillard, Modou Lô a également remis une enveloppe à la Mosquée, bien que le montant exact n’ait pas été précisé.
En réponse, l’Imam a témoigné de sa relation étroite avec Modou Lô, révélant qu’il avait lui-même baptisé le lutteur il y a 38 ans. « Quand on me demande si je connais Modou Lô (Mamadou à l’état civil), je dis qu’il est mon fils », a déclaré l’Imam. Il a également loué la discipline et la fierté que Modou Lô apporte à l’Unité 10 des Parcelles Assainies, affirmant que le lutteur était une source de fierté pour la communauté.
Ce geste de générosité de Modou Lô témoigne de son attachement à sa communauté et de sa volonté de contribuer positivement à son développement. En offrant un corbillard à la Mosquée, il démontre son engagement envers le bien-être et le soutien des membres de sa communauté dans les moments difficiles.
À la veille de l’élection présidentielle du 24 mars, une rencontre stratégique est prévue entre le Secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais (PDS), Me Abdoulaye Wade, le candidat Bassirou Diomaye Faye, et Ousmane Sonko. Cette réunion, annoncée par le service de communication du parti libéral, souligne l’importance des alliances politiques dans le paysage électoral sénégalais.
Cependant, un événement notable s’est déroulé au sein de la Fédération PDS de Guédiawaye, où un choix surprenant a été fait : le soutien au candidat du pouvoir, Amadou Ba. Cette décision a été rapportée par Les Échos, mettant en lumière un renversement d’alliance inattendu au sein du parti.
Selon le quotidien, l’ancien ministre des Sports, Lat Diop, a joué un rôle central dans cette manœuvre politique. En effet, il a orchestré une série de réunions en coulisses avec les responsables du PDS au niveau local, déployant ainsi une stratégie habile pour parvenir à ce résultat surprenant.
Ce tour de force de Lat Diop démontre l’importance des négociations politiques en période électorale et souligne la capacité des acteurs politiques à façonner les alliances en fonction des intérêts du moment. Dans un paysage politique en évolution constante, ces manœuvres stratégiques peuvent avoir un impact significatif sur le résultat des élections et sur l’avenir politique du Sénégal.
Les tensions politiques montent d’un cran au Sénégal à l’approche de l’élection présidentielle. Dans un contexte déjà électrique, une polémique émerge autour d’un prétendu soutien du Parti démocratique sénégalais (PDS) au candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar, Amadou Ba.
Karim Wade, ancien ministre et candidat recalé à l’élection présidentielle, monte au créneau pour dénoncer ce qu’il qualifie de « fausses informations ». Dans un post relayé sur les réseaux sociaux, il accuse Amadou Ba et le journaliste Madiambal Diagne du « Quotidien » d’avoir fabriqué un document prétendument émanant du comité directeur du PDS.
Selon Karim Wade, ce document affirmerait que le PDS et plusieurs de ses fédérations soutiendraient la candidature d’Amadou Ba. Une assertion qu’il rejette catégoriquement, qualifiant cette information de « fausse et mensongère ».
Le fils d’Abdoulaye Wade estime que cette manœuvre est le signe d’une « tentative désespérée » de la part d’Amadou Ba, qu’il décrit comme étant « aux abois ». Selon lui, le candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar tenterait ainsi de justifier une éventuelle défaite anticipée en accusant le PDS de ne pas respecter sa prétendue alliance.
Karim Wade affirme également que le PDS et ses militants sont unis derrière la décision de soutenir le candidat Bassirou Diomaye Diakhar Faye à l’élection présidentielle.
Pour mettre fin à cette polémique, Karim Wade annonce que le PDS déposera dès la semaine prochaine une plainte contre Amadou Ba, Madiambal Diagne et d’autres personnes impliquées pour « faux, usage de faux et faux en écriture ». Cette démarche vise à rétablir la vérité et à faire entendre la voix du PDS dans cette période cruciale pour l’avenir politique du pays.
Ce vendredi 22 mars, le président sénégalais, Macky Sall, s’est rendu sur le chantier du nouvel hôpital Aristide Le Dantec à Dakar. Cette visite visait à évaluer l’avancement des travaux de cette infrastructure de santé de niveau 4, qui sera pourvue de 600 lits une fois achevée.
Le président Sall s’est exprimé avec satisfaction concernant le niveau de progression des travaux, saluant le professionnalisme et l’engagement des équipes impliquées dans ce projet d’envergure. Toutefois, conscient des enjeux de santé publique et de l’importance de cette nouvelle infrastructure pour le pays, il a également appelé à une accélération du rythme des travaux.
En effet, Macky Sall a insisté sur la nécessité de respecter les délais de livraison prévus pour le mois de décembre prochain. Cette date butoir revêt une importance cruciale pour répondre aux besoins croissants de la population en matière de santé et garantir un accès aux soins de qualité.
L’hôpital Aristide Le Dantec est destiné à jouer un rôle majeur dans le système de santé sénégalais, offrant une prise en charge médicale moderne et complète. Sa construction s’inscrit dans la vision du gouvernement visant à améliorer les infrastructures de santé du pays et à renforcer les services médicaux disponibles pour tous les citoyens.
Cette visite présidentielle témoigne de l’engagement ferme du gouvernement envers le secteur de la santé et de sa volonté de fournir à la population des installations médicales à la hauteur des défis actuels. En exhortant les équipes à intensifier leurs efforts, Macky Sall réaffirme son engagement à concrétiser ce projet dans les délais impartis, au bénéfice de tous les Sénégalais.
Lors d’un meeting récent, Ousmane Sonko, leader du parti Pastef, a mis en lumière un aspect souvent méconnu de la vie politique : le soutien conjugal. En effet, le candidat à la présidentielle, Bassirou Diomaye Faye, est épaulé par deux femmes remarquables : Marie Khone Faye et Absa Faye.
Marie Khone Faye, proche parente de son époux, est décrite comme une femme dévouée et pieuse. Mère de quatre enfants, elle incarne la force tranquille qui accompagne Bassirou Diomaye Faye dans son parcours politique.
D’autre part, Absa Faye, la deuxième épouse, est louée pour son élégance et son sens du style. Moderne et dynamique, elle s’engage pleinement dans le soutien de son mari, apportant charme et intelligence à sa campagne présidentielle.
La présence et le soutien indéfectible des épouses de Bassirou Diomaye Faye mettent en évidence l’importance de la famille dans sa vie et dans sa carrière politique. Leur engagement témoigne de la solidité de son foyer et renforce son image d’homme intègre et authentique.
Cette mise en avant des épouses lors d’un meeting politique souligne également l’importance des alliances familiales dans la politique sénégalaise. En mettant en lumière ses épouses, Bassirou Diomaye Faye affirme sa volonté de transparence et son attachement aux valeurs familiales, des éléments essentiels dans la vie publique.
Lors du match amical entre le Sénégal et le Gabon, les Lions ont offert une performance convaincante, remportant une victoire méritée de 3-0. Dans cette rencontre, plusieurs joueurs se sont distingués, marquant ainsi leurs débuts avec l’équipe nationale sénégalaise. Voici les notes attribuées aux joueurs après cette victoire :
Mory Diaw (6/10) : Le gardien de Clermont Foot 63 a eu une soirée relativement tranquille, mais il a été solide lorsqu’il a été sollicité. Il a été rassurant dans ses sorties et a montré de bonnes qualités de jeu au pied.
Abdoulaye Seck (7/10) : Capitaine lors de ce match, le défenseur du Maccabi Haïfa a fait preuve d’un bon leadership et a été propre dans ses interventions défensives. Malgré une faute à la limite de la surface en première période, il a été globalement solide.
Seydou Sano (6,5/10) : Aligné pour la première fois avec les Lions, le défenseur central d’Al-Gharafa SC a réalisé une prestation prometteuse. Malgré quelques erreurs, il a montré de bonnes qualités défensives et a réussi plusieurs interventions importantes.
Mikayil Ngor Faye (8/10) : Pour sa première sélection, le défenseur du Barça Atlètic a marqué les esprits avec une performance impressionnante. En plus de son but, il a été très actif offensivement et agressif dans les duels.
Ismaïla Sarr (7/10) : Aligné comme piston droit, l’ailier de l’Olympique de Marseille a bien rempli son rôle et s’est montré déterminé dans les duels. Il a également été impliqué dans plusieurs actions offensives dangereuses pour les Lions.
Pathé Ciss (6/10) : Positionné devant la défense, le milieu de terrain du Rayo Vallecano a rempli son rôle avec sérieux et a été précieux dans l’orientation du jeu de l’équipe.
Lamine Camara (5/10) : Le joueur du FC Metz a été actif sur le plan offensif, mais a parfois manqué de précision dans ses choix. Malgré quelques occasions manquées, il a fait preuve d’efforts constants tout au long du match.
Pape Matar Sarr (4,5/10) : Le joueur de Tottenham a eu du mal à trouver son rythme et a commis quelques erreurs qui ont mis son équipe en difficulté. Malgré cela, il a montré de bonnes intentions dans la distribution du jeu.
Iliman Ndiaye (6,5/10) : L’attaquant de l’Olympique de Marseille a été actif et inspiré dans son rôle de meneur de jeu, créant des opportunités pour ses coéquipiers. Sa performance globale a été encourageante pour l’avenir.
Nicolas Jackson (4/10) : Malgré son manque de réalisme devant le but, l’attaquant de Chelsea a été intéressant dans son jeu dos au but et dans la construction des actions offensives.
Cheikh Ahmadou Bamba Dieng (3/10) : Malgré plusieurs occasions, l’attaquant n’a pas réussi à concrétiser ses actions et a manqué d’efficacité devant le but.
Cette victoire convaincante témoigne du potentiel de l’équipe nationale du Sénégal et laisse entrevoir de belles perspectives pour l’avenir.
Dans un match amical très attendu, l’équipe nationale du Sénégal a offert une performance convaincante contre le Gabon, remportant la victoire avec un score final de 3-0. Ce match, qui fait suite à l’élimination précoce des Lions en huitièmes de finale de la CAN 2023, était une occasion pour l’équipe sénégalaise de retrouver sa forme et de préparer ses prochaines échéances.
Dès le début de la partie, les Lions ont pris les devants en ouvrant le score à la 13e minute grâce à un but contre son camp du défenseur gabonais Appinangoye, qui a malencontreusement dévié une frappe de Lamine Camara dans ses propres filets.
Le Sénégal a continué sur sa lancée offensive et a doublé la mise grâce à Mikail Ngor Faye, qui a marqué son premier but en sélection d’une superbe frappe à 35 mètres du but. Cette réalisation a démontré le talent et le potentiel du jeune défenseur, qui évolue au FC Barcelone.
En seconde période, l’entraîneur Aliou Cissé a effectué plusieurs changements en faisant entrer des joueurs clés tels que Sadio Mané, Boulaye Dia et Habib Diallo. Cette décision s’est révélée payante, car Habib Diallo, sur une action initiée par Boulaye Dia, a offert à Sadio Mané l’occasion de marquer le troisième but du Sénégal à la 90+2e minute.
Cette victoire convaincante permet au Sénégal de retrouver des couleurs après sa déception à la CAN 2023. Elle démontre également le potentiel de l’équipe et sa capacité à rebondir après une défaite. Les supporters des Lions peuvent désormais espérer de belles performances à venir dans les prochaines compétitions.
Lors du dernier jour de la campagne électorale, Barthélemy Dias, maire de Dakar, a pris la parole lors du meeting de Khalifa Sall à Grand-Yoff pour exprimer son point de vue sur le processus de sélection des candidats à la présidence du Sénégal. Sans mentionner de nom, Dias a indirectement visé le leader de la coalition Diomaye Président, remettant en question le concept de choisir un président par procuration.
Dias a déclaré que les Sénégalais ne recherchent pas un président désigné par une tierce personne, suggérant ainsi son désaccord avec le choix de soutenir un candidat choisi par quelqu’un d’autre que les électeurs eux-mêmes. Il a souligné que les citoyens ne veulent pas d’un chef de quartier ou d’un président d’Association sportive et culturelle (ASC) pour les diriger, insinuant ainsi que le processus de sélection du candidat ne devrait pas être dicté par des influences extérieures.
« J’avais dit que si Khalifa Sall n’est pas candidat, je vais soutenir une personne que je ne veux pas citer. Ce dernier ne pouvant plus être candidat a choisi un de ses proches. Je leur dis que les Sénégalais ne sont pas des animaux qu’on conduit comme on veut. Nous ne cherchons pas un chef de quartier, ni un président d’ASC », a déclaré Dias.
Cette prise de parole de Dias soulève des questions sur le processus démocratique de sélection des candidats à la présidence et met en lumière l’importance pour les électeurs de pouvoir choisir leur leader sans influence extérieure. Elle met également en évidence les tensions politiques et les désaccords au sein de la classe politique sénégalaise à l’approche des élections présidentielles.
La campagne électorale pour l’élection présidentielle du 24 mars 2024 s’est clôturée en apothéose ce vendredi, à minuit. À Dakar, le candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY), Amadou Ba, a marqué la fin de sa campagne par un méga meeting à la place de la Nation. Cet événement a été l’occasion pour les partisans de manifester leur soutien et leur enthousiasme pour le candidat de la continuité et de l’émergence.
Dans une ambiance électrique animée par des artistes renommés tels que Bidew Bou Bess, Kane Diallo, Bousso, Big Mo et Aby Ndour, les responsables politiques de la majorité présidentielle ainsi que les populations et militants de Dakar se sont rassemblés pour exprimer leur soutien indéfectible à Amadou Ba.
Les Dakarois, venus en masse, ont arboré fièrement les couleurs et les symboles de la coalition BBY, manifestant ainsi leur engagement pour une victoire éclatante lors du scrutin présidentiel.
La cérémonie a débuté par des prières formulées par Serigne Mansour Sy Djamil, exprimant l’espoir que Amadou Ba devienne le prochain président du Sénégal.
Amadou Ba, dans son discours, a exprimé sa gratitude envers le Président Macky Sall pour son leadership et sa vision. Il a souligné que malgré les progrès réalisés, il reste encore du travail à faire, appelant à maintenir la mobilisation.
Le candidat de BBY a réaffirmé son engagement envers la poursuite du Plan Sénégal émergent (PSE) et a promis de continuer à soutenir les jeunes, les femmes et les couches les plus vulnérables de la société.
Enfin, Amadou Ba a lancé un appel aux partisans du parti de Me Abdoulaye Wade, appelant à l’unité et à la réconciliation au sein de la grande famille libérale pour le bien du Sénégal.
Cette clôture de campagne à Dakar a été un moment fort de mobilisation et de solidarité en faveur du candidat de la continuité, symbolisant l’espoir et la détermination des partisans de BBY à poursuivre sur la voie du développement et de la prospérité pour tous.
Dans le cadre de la présidentielle sénégalaise de 2024, la transparence et l’intégrité des candidats sont au cœur des préoccupations des électeurs. Dans cette optique, Bassirou Diomaye Faye, candidat de la coalition Diomaye Président, a récemment pris une mesure significative en publiant sa déclaration de patrimoine.
Attendue avec impatience par les électeurs et les observateurs politiques, cette déclaration vise à offrir une vision claire des biens, des avoirs et des intérêts financiers du candidat. Cette démarche s’inscrit dans une volonté de transparence totale et de respect des normes éthiques dans la course à la présidence.
Dans le document parvenu à la rédaction de Senego, Bassirou Diomaye Faye affirme la sincérité et l’exhaustivité des informations fournies. Il précise que ces données seront également soumises au Conseil constitutionnel après une expertise des valeurs actualisées du foncier mentionné.
La déclaration de patrimoine de Bassirou Diomaye Faye comprend plusieurs catégories :
Biens immobiliers : Il inclut sa résidence principale à Dakar, une villa dans la région de la Petite-Côte et un terrain agricole situé dans la région de Fatick.
Véhicules : Le candidat déclare posséder une voiture de fonction ainsi qu’un véhicule personnel.
Comptes bancaires : Il détient un compte courant dans une banque nationale ainsi qu’un compte épargne.
Investissements : Bassirou Diomaye Faye mentionne des participations dans des entreprises du secteur agroalimentaire et des actions dans des sociétés immobilières.
Revenus et autres avoirs : Ses revenus proviennent de salaires et d’honoraires en tant que professionnel, de placements financiers et de loyers issus de biens immobiliers.
Cette démarche de transparence vise à rassurer les électeurs quant à l’intégrité et à la gestion responsable des affaires publiques. En publiant sa déclaration de patrimoine, Bassirou Diomaye Faye démontre son engagement envers la reddition de comptes et la lutte contre la corruption.
Cette initiative s’inscrit dans une volonté plus large de promouvoir une gouvernance transparente et responsable au Sénégal, offrant ainsi aux citoyens la possibilité de prendre des décisions éclairées lors des élections présidentielles.
À la veille de l’élection présidentielle au Sénégal, Karim Wade, ancien candidat recalé, a dévoilé publiquement les détails d’une conversation téléphonique qu’il a eue avec Bassirou Diomaye Faye, candidat de Pastef, et a adressé des critiques acerbes à l’endroit d’Amadou Ba, candidat de la coalition Bby.
Lors de cet échange, Karim Wade a partagé les discussions qu’il a eues avec Bassirou Diomaye Faye concernant la situation des libertés et de la démocratie dans le pays. Le candidat de Pastef a exprimé son souhait de renouveler l’alliance entre le PDS et le Pastef, soulignant l’importance de cette collaboration pour l’opposition. Karim Wade a promis de rapporter ces échanges à Maître Abdoulaye Wade, Secrétaire Général National du PDS.
Parallèlement, Karim Wade a également critiqué sévèrement Amadou Ba, candidat de la coalition Bby, l’accusant d’avoir corrompu certains membres du Conseil constitutionnel afin de rejeter sa propre candidature à l’élection présidentielle. Il a dénoncé une supposée tentative de confiscation de la volonté populaire par le candidat Bby, décrivant des manœuvres visant à détourner les suffrages des Sénégalais en sa faveur.
Ces révélations interviennent à un moment crucial de la campagne électorale, jetant une lumière crue sur les tensions et les rivalités politiques qui entourent l’élection présidentielle. Elles soulèvent également des questions sur l’intégrité du processus électoral et la transparence du système politique sénégalais.
Dans un contexte où les enjeux électoraux sont élevés et où chaque candidat cherche à rallier le soutien nécessaire, les déclarations de Karim Wade reflètent les luttes d’influence et les stratégies de chaque camp pour obtenir un avantage dans la course à la présidence.
À quelques heures du scrutin, ces révélations pourraient influencer l’opinion publique et façonner les choix des électeurs sénégalais lorsqu’ils se rendront aux urnes pour décider du futur dirigeant du pays.
À la veille de l’élection présidentielle au Sénégal, une rencontre d’une importance significative est prévue ce samedi 23 mars 2024. Me Abdoulaye Wade, ancien président de la République et Secrétaire Général National du PDS (Parti Démocratique Sénégalais), ouvrira ses portes à Bassirou Diomaye Faye, candidat à l’élection présidentielle, ainsi qu’à Ousmane Sonko, leader du parti Pastef.
Cette réunion, qui s’annonce comme un moment crucial dans le paysage politique sénégalais, se déroulera dans le cadre d’une audience accordée par Me Abdoulaye Wade. Cette rencontre revêt une importance particulière alors que le pays se prépare à choisir son prochain dirigeant.
L’initiative de cette réunion semble découler des récents développements politiques, notamment l’appel lancé par Me Abdoulaye Wade à voter pour le candidat de la coalition Diomaye-Président. Cette décision, prise à deux jours du scrutin présidentiel, a été validée par son fils, Karim Wade, lui-même candidat recalé.
L’audience prévue ce samedi est susceptible de catalyser de nouveaux développements dans la course à la présidence, en consolidant des alliances politiques ou en influençant les choix électoraux des citoyens. Elle pourrait également marquer une étape importante dans la stratégie de campagne des candidats impliqués.
Dans un contexte où chaque voix compte, cette rencontre entre des figures politiques de premier plan pourrait avoir un impact significatif sur l’issue de l’élection présidentielle et sur la configuration politique future du Sénégal. Les observateurs seront attentifs aux résultats de cette réunion et à ses éventuelles répercussions sur le paysage politique sénégalais.
Le Programme national de lutte contre la tuberculose (PNT) au Sénégal a élaboré une série de recommandations visant à éradiquer cette maladie infectieuse dans le pays. À l’approche de la Journée mondiale de la tuberculose, célébrée le 24 mars, le PNT met en lumière les défis et les solutions pour faire reculer cette maladie qui continue de menacer la santé publique.
D’après les données de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), l’incidence de la tuberculose au Sénégal était de 112 cas pour 100 000 habitants en 2022, avec un total de 20 449 nouveaux cas et rechutes attendus. Actuellement, le système de santé sénégalais a déclaré un nombre total de 16 656 patients, avec une couverture de traitement atteignant 81%, un progrès significatif par rapport aux années précédentes.
Le PNT souligne que malgré ces avancées, des défis persistent. Pour poursuivre les progrès réalisés et atteindre les objectifs fixés par l’OMS, le programme met en avant plusieurs axes d’action :
1. Mobilisation des décideurs et des communautés : Le PNT insiste sur l’importance de mobiliser l’ensemble de la communauté, y compris les décideurs politiques, pour intensifier la lutte contre la tuberculose.
2. Investissements adéquats : Une augmentation des investissements est nécessaire pour renforcer les infrastructures de santé, améliorer l’accès aux services de dépistage et de traitement, ainsi que pour promouvoir la recherche et l’innovation dans le domaine de la lutte contre la tuberculose.
3. Approches innovantes : Le PNT encourage l’adoption d’approches novatrices pour détecter les cas manquants et améliorer le succès thérapeutique au-delà de 90%. Cela comprend l’extension de l’utilisation du test Xpert MTB en première intention à tous les centres de diagnostic de la tuberculose et l’intensification du dépistage actif des groupes à risque.
4. Prise en charge des populations vulnérables : Le PNT met l’accent sur la nécessité de mieux prendre en charge les populations vulnérables, notamment les enfants et les adolescents, en intégrant les droits du patient et le genre dans les interventions menées.
En conclusion, le Programme national de lutte contre la tuberculose souligne que la mobilisation collective, l’investissement adéquat et l’adoption d’approches innovantes sont essentiels pour mettre fin à la tuberculose au Sénégal. Il appelle à une action concertée de tous les acteurs impliqués dans la santé publique pour relever ce défi et garantir un avenir sans tuberculose pour tous.
À deux jours de l’élection présidentielle, les populations du département de Malem Hodar, réputé être le « maillon faible » de la région de Kaffrine en raison de ses défis infrastructurels et économiques, ont eu l’occasion d’échanger avec certains candidats sur les enjeux et les attentes de leur localité.
Dame Seck, coordinateur départemental de Sos Consommateurs à Malem Hodar et représentant régional de l’Union Nationale pour la Promotion de l’Agriculture Durable (Unapad), a abordé plusieurs sujets liés à la situation agricole, aux difficultés des agriculteurs, au manque d’eau, à la question foncière et aux problèmes d’électricité.
Il a dénoncé l’inégalité dans la distribution des engrais aux agriculteurs, ainsi que le déficit en électricité dans le département de Malem Hodar. Il a également interpellé les candidats sur ces défis cruciaux.
Dame Seck a critiqué la répartition disproportionnée des engrais dans la région de Kaffrine, soulignant la nécessité pour le prochain président de prendre des mesures pour éviter les malversations et promouvoir l’égalité. Il a notamment dénoncé le manque de soutien de l’État après la récolte de cette année, alors que les agriculteurs font face à des difficultés croissantes.
Il a proposé que le futur dirigeant surveille de près le processus de distribution des engrais et des équipements agricoles, en créant un comité incluant des organisations telles que Sos Consommateurs et l’Unapad. Il a également recommandé la suppression de l’impôt par tête dans les ménages, en faveur d’un système de suivi plus simple impliquant les chefs de village et les délégués.
En ce qui concerne l’électrification des villages, Dame Seck a souligné les lacunes persistantes malgré quelques avancées.
Il a également plaidé en faveur d’une coopération accrue entre les banques et les agriculteurs, avec le soutien de l’État pour permettre aux agriculteurs d’ouvrir des comptes et de contracter des prêts à faible taux d’intérêt. Il a également appelé à une organisation plus structurée de la filière agricole, avec un encadrement technique approprié.
Dame Seck a exhorté les agriculteurs à voter pour le candidat qui pourrait résoudre leurs problèmes et les écouter attentivement.
Le département de Malem Hodar compte 116 bureaux de vote, 88 centres de vote et 40 413 électeurs inscrits. À ce jour, 1 690 cartes d’électeur ont été distribuées, tandis que 745 cartes sont encore en attente selon les informations fournies par la préfecture.
En cette ultime journée de campagne électorale, Serigne Mboup, candidat à la présidentielle, a choisi de clore sa campagne dans son fief politique de Kaolack. La maire de la capitale du Saloum a parcouru les rues animées de la commune, notamment Touba Ndorong, le marché local, le port et l’usine de transformation de l’arachide. Après une halte à la mosquée, il s’est également rendu à l’unité des femmes de la Fayda, chez Domitexka, et a fait une escale à la Chambre de commerce.
L’un des points phares de son programme électoral est la suppression du ministère de la Justice au profit de la création d’une Haute Autorité, dotée d’un collège électoral et d’un Conseil supérieur des cultes et religieux. Selon Serigne Mboup, cette mesure vise à renforcer l’indépendance judiciaire et à promouvoir une justice équitable et impartiale. Il prévoit également de mettre en place six pôles régionaux, dirigés par des ministres d’État résidents, chargés de superviser des secteurs clés tels que le partenariat privé et l’investissement, ainsi que les grands travaux d’intérêt public.
Serigne Mboup s’engage également à décentraliser l’économie en favorisant le développement régional, notamment à Kaolack, où il souhaite diversifier les activités économiques, notamment dans le secteur de l’arachide et du sel. Il propose également de moderniser les infrastructures de transport, y compris les ports secondaires et secs, pour stimuler le commerce et les échanges.
Le candidat du mouvement And Nawle promet également de soutenir l’agriculture, l’élevage et la pêche, ainsi que de créer des unités de transformation afin de valoriser les produits locaux. Dans le domaine de la santé, il envisage de remplacer la Couverture Maladie Universelle (CMU) par une caisse de maladie plus efficace et adaptée aux besoins des citoyens.
Enfin, Serigne Mboup a appelé tous les Sénégalais à voter pour lui, affirmant qu’il était le candidat le mieux placé pour conduire le pays vers le développement et la prospérité.
Cette dernière journée de campagne à Kaolack a été marquée par les engagements forts et les promesses de Serigne Mboup, qui a mobilisé ses partisans et ses sympathisants en vue du scrutin présidentiel.
Le cardiologue Mouhamadou Mounir Dia a lancé un appel pressant aux patients souffrant de pathologies cardiaques, les exhortant à se faire vacciner contre la Covid-19 et à maintenir à jour leur vaccination. Cette déclaration a été faite lors du Forum communautaire sur la vaccination contre la Covid-19, organisé par l’Association des journalistes en santé, population et développement (AJSPD), en partenariat avec Breakthrough Action.
Selon le Dr Dia, les personnes atteintes de maladies cardiovasculaires sont particulièrement vulnérables à la Covid-19 et risquent de développer des formes graves de la maladie. Il a souligné l’importance pour ces patients de bien gérer leur pathologie en suivant scrupuleusement les rendez-vous et les prescriptions de leur médecin traitant.
Le cardiologue a mis en garde contre les risques accrus chez les patients souffrant de maladies cardiovasculaires, notamment l’hypertension, le diabète, l’hypercholestérolémie et l’insuffisance rénale. Ces patients, ainsi que les personnes âgées de plus de 60 ans, sont considérés comme des sujets à risque élevé de développer des formes graves de Covid-19.
Le Dr Dia a également souligné que les complications cardiovasculaires, telles que les crises cardiaques, peuvent entraîner une mortalité importante chez les patients atteints de Covid-19. Il a insisté sur l’importance de la vaccination pour protéger ces populations à risque et réduire les complications liées à la maladie.
De son côté, le Dr Amadou Yéri Camara, directeur régional de la santé de Sédhiou, a souligné l’engagement du ministère de la Santé à protéger les personnes vulnérables, en particulier les personnes âgées et celles souffrant de comorbidités. Il a rappelé que ces personnes étaient considérées comme prioritaires pour la vaccination pendant la pandémie.
En conclusion, il a encouragé les personnes souffrant de maladies chroniques à intégrer la vaccination contre la Covid-19 dans leur plan de santé afin de se prémunir contre les risques de contamination, même si la maladie semble être moins présente dans le pays.
La région de Sédhiou, au sud du Sénégal, est sur le point de jouer un rôle crucial dans l’élection présidentielle prévue ce dimanche, avec un nombre total impressionnant de 210 260 électeurs répartis dans 589 bureaux de vote, couvrant 377 lieux de vote. Cette révélation a été faite par le gouverneur de la région, Serigne Babacar Kane, lors d’une récente interview avec l’Agence de Presse Sénégalaise (Ledakarois).
Le gouverneur Kane a tenu à rassurer quant à la préparation minutieuse du scrutin dans la région de Sédhiou, affirmant que toutes les dispositions nécessaires ont été prises pour garantir son bon déroulement. Il a souligné que les autorités locales, y compris les préfets et sous-préfets, travaillent sans relâche pour finaliser les préparatifs dans les lieux et bureaux de vote jusqu’à la veille du scrutin, en étroite collaboration avec les forces de sécurité et d’autres services gouvernementaux déconcentrés.
Cette organisation méticuleuse est un témoignage de l’engagement ferme des autorités à promouvoir un processus électoral transparent et équitable dans la région de Sédhiou. Le gouverneur Kane a insisté sur l’importance de cette collaboration entre les différentes entités gouvernementales, soulignant que la sécurité et l’intégrité du processus électoral sont des priorités absolues.
La participation de plus de 210 000 électeurs dans la région de Sédhiou témoigne de l’importance de cette élection pour les citoyens locaux, qui ont à cœur de faire entendre leur voix et de contribuer à façonner l’avenir de leur pays. Cette mobilisation massive souligne l’engagement démocratique des habitants de la région et renforce l’espoir en une gouvernance transparente et représentative.
En somme, la région de Sédhiou se prépare avec diligence et détermination pour accueillir le scrutin présidentiel, reflétant ainsi l’engagement du Sénégal envers la démocratie et le respect des droits civiques de ses citoyens.
Madame le Ministre de la Santé et de l’Action sociale, Dr Marie Khemesse Ngom NDIAYE, a marqué de son empreinte ce jeudi une étape majeure dans le domaine de la santé au Sénégal, en inaugurant le Service d’Accueil des Urgences (SAU) entièrement réhabilité et agrandi au Centre Hospitalier Régional de Thiès.
Cet événement revêt une importance capitale alors que la demande de soins médicaux ne cesse de croître dans la région. Le SAU dispose désormais de 30 lits équipés, d’une salle d’accueil dédiée aux urgences vitales, ainsi que de salles opératoires et de réanimation. Ces nouvelles installations permettront au centre hospitalier de gérer efficacement toutes les urgences médicales et chirurgicales, et d’offrir des soins de qualité aux patients.
La réhabilitation et l’extension du SAU, d’une valeur de 800 000 000 FCFA, ont été entièrement financées par le Ministère de la Santé dans le cadre du plan d’amélioration de la prise en charge des urgences au Sénégal pour la période 2022-2026. Cette initiative démontre l’engagement du gouvernement envers l’amélioration des infrastructures de santé et l’accessibilité aux soins médicaux de qualité dans tout le pays.
Par ailleurs, lors de cette cérémonie, le Ministre a lancé la mise en œuvre de la comptabilité analytique dans les hôpitaux, une étape essentielle pour tous les établissements de santé. Cette démarche vise à améliorer la gestion financière et la qualité des soins médicaux en permettant une meilleure allocation des ressources et une plus grande transparence dans la gestion des budgets hospitaliers.
D’ici la fin de l’année 2024, tous les Établissements Publics de Santé seront impliqués dans ce processus, marquant ainsi une nouvelle ère dans la gestion des services de santé au Sénégal. Cette initiative renforce l’engagement du gouvernement envers l’amélioration continue de la qualité des soins de santé et la promotion du bien-être de tous les citoyens.
À l’approche de l’élection présidentielle prévue ce dimanche au Sénégal, les préparatifs pour garantir un processus électoral transparent et équitable sont en cours, avec plus de 2400 observateurs accrédités prêts à surveiller le déroulement des opérations de vote.
Lors d’un atelier d’échange avec les observateurs sur le processus électoral, Birame Sène, Directeur de la formation et de la communication à la Direction générale des élections, a annoncé que 2457 observateurs, représentant une variété d’organisations et de structures, ont été officiellement accrédités pour observer le scrutin présidentiel.
Parmi ces observateurs, 1568 sont de nationalité sénégalaise tandis que 889 sont internationaux, reflétant ainsi un engagement international envers le suivi de cette élection cruciale pour la démocratie sénégalaise.
Birame Sène a souligné l’importance du rôle des observateurs dans le processus électoral, affirmant que leurs recommandations sont précieuses pour garantir la transparence et la crédibilité des élections. Il a également encouragé les observateurs à déposer leurs rapports après le scrutin, soulignant ainsi leur contribution à l’amélioration continue du processus démocratique.
La sélection des observateurs s’est faite de manière rigoureuse, avec seulement quelques dossiers rejetés en raison de certaines exigences non conformes. Cette approche vise à assurer que seules les personnes et les organisations légitimes et qualifiées sont impliquées dans le processus d’observation.
En soulignant l’importance de l’observation électorale, Birame Sène a rappelé les neuf dispositions spécifiques concernant l’observation électorale inscrites dans le Code électoral sénégalais, soulignant ainsi l’engagement du pays envers des élections libres et équitables.
La présence d’un nombre aussi important d’observateurs nationaux et internationaux témoigne de l’engagement du Sénégal envers la démocratie et la transparence électorale, renforçant ainsi la confiance du public dans l’intégrité de son processus électoral.
Le président de la République du Sénégal, Macky Sall, a présidé vendredi l’inauguration de la place « Capitaine Mbaye Diagne » à Dakar. Cette cérémonie solennelle marque la reconnaissance d’un homme d’exception, le Capitaine Mbaye Diagne, casque bleu sénégalais dont le courage et le sacrifice ont marqué l’histoire.
Située en face du cercle mess des officiers, cette place commémorative symbolise le dévouement et le sacrifice de Mbaye Diagne, qui a servi comme observateur militaire pour le compte de la Mission des Nations Unies pour l’assistance au Rwanda (MINUA) lors du génocide en 1994. Son action héroïque, au péril de sa vie, a permis de sauver près de 600 personnes.
Lors de la cérémonie, le président Macky Sall a rappelé la bravoure et le sens du devoir du Capitaine Mbaye Diagne, qui incarne « les valeurs cardinales de notre société ». Il a souligné l’importance de perpétuer la mémoire de ce héros national, dont le courage et le patriotisme ont honoré le Sénégal sur la scène internationale.
La famille de Mbaye Diagne, ses anciens camarades d’armes, ainsi que des représentants des forces armées et de la société civile, étaient présents lors de cette inauguration chargée d’émotion. Le président a également salué l’engagement et la détermination de Mbaye Diagne à servir son pays, rappelant que son exemple doit inspirer les générations futures.
Cette place « Capitaine Mbaye Diagne » s’ajoute aux nombreux hommages rendus à ce soldat exemplaire. En effet, depuis 2019, le Centre d’entraînement tactique de la base militaire de Thiès (CET 7) porte son nom, et le Conseil de sécurité des Nations unies a créé la « médaille du Capitaine Mbaye Diagne » en 2014.
En dédiant cette place à la mémoire du Capitaine Mbaye Diagne, le Sénégal rend un hommage mérité à un homme dont le courage et le dévouement ont marqué l’histoire du pays et inspiré le monde entier.
À l’approche des élections présidentielles prévues pour le 24 mars 2024 au Sénégal, l’Église catholique a émis un appel solennel à tous les électeurs. Dans un document intitulé les « 10 commandements de l’électeur », l’Église exhorte les citoyens à voter de manière éclairée et responsable, en accord avec leurs convictions et les valeurs morales fondamentales.
Ces recommandations, formulées par l’Église catholique, visent à garantir un processus électoral transparent et démocratique, ainsi qu’à promouvoir l’intégrité et la dignité de chaque électeur. Voici un aperçu des principaux points abordés dans ce document :
1. Vote conscient et respect du choix des autres : Chaque électeur est encouragé à voter selon sa conscience et à respecter la décision des autres citoyens, reconnaissant ainsi l’importance de la liberté de choix dans une démocratie.
2. Évaluation des candidats : Les électeurs sont invités à évaluer les candidats en fonction de leur intégrité, leur justice, leur compétence et leur capacité à gouverner dans l’intérêt supérieur de la nation.
3. Examen des solutions proposées : Il est recommandé aux électeurs d’examiner attentivement les solutions proposées par chaque candidat pour résoudre les problèmes auxquels le pays est confronté, afin de faire un choix éclairé.
4. Rejet de la corruption : L’Église condamne fermement toute forme de corruption et exhorte les électeurs à rejeter les candidats impliqués dans des actes de corruption, qu’ils soient corrupteurs ou corrompus.
5. Refus de la violence : Les électeurs sont appelés à condamner toute forme de violence ou de menace émanant des candidats ou de leurs partisans, affirmant ainsi leur engagement envers la paix et la stabilité.
6. Intégrité du processus électoral : Il est souligné l’importance de préserver l’intégrité du processus électoral en refusant de vendre son vote contre des faveurs matérielles ou des promesses de bénéfices personnels.
7. Dépassement des considérations partisanes : L’Église encourage les électeurs à ne pas se laisser influencer par des considérations religieuses, ethniques, familiales ou de popularité dans leur choix de vote.
8. Privilégier les valeurs morales : Les électeurs sont incités à privilégier les valeurs morales et l’amour du pays dans leur choix de candidat, plutôt que des intérêts personnels ou partisans.
9. Engagement envers le bien commun : Enfin, il est rappelé aux électeurs l’importance de choisir des dirigeants qui sont déterminés à servir l’intérêt général et à œuvrer pour le bien-être de tous les citoyens.
10. Responsabilité citoyenne : En conclusion, l’Église exhorte les citoyens à exercer leur devoir civique avec responsabilité et discernement, contribuant ainsi à l’édification d’une société juste, équitable et prospère.
Ces recommandations de l’Église témoignent de son engagement en faveur de la démocratie, de la justice sociale et du respect de la dignité humaine. Elles appellent les électeurs sénégalais à se montrer à la hauteur de leurs responsabilités civiques, en faisant preuve de sagesse et de discernement dans leur choix lors des élections présidentielles à venir.
Doudou Ka, éminente figure politique, a orchestré une mobilisation sans précédent dans les villes de Cap Skiring et Ziguinchor en faveur de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY). Cette démonstration de force a suscité un enthousiasme palpable parmi les habitants, qui se sont massivement rassemblés pour accueillir le Premier Ministre.
Les rues bondées ont témoigné de l’engagement indéfectible des citoyens envers la candidature d’Amadou Ba, ancien ministre de l’Économie. La mobilisation sans faille dans ces deux villes souligne la popularité croissante du candidat au sein de la population locale.
Dans un discours enflammé, Doudou Ka a exprimé sa gratitude envers les habitants de Ziguinchor pour leur mobilisation sans faille. Il a souligné l’importance de bâtir ensemble avec Amadou Ba, le seul candidat à présenter un projet concret pour la ville. Le Programme Spécial de Développement de Ziguinchor (PSDZ), doté d’un budget colossal de 1000 milliards FCFA, représente une opportunité majeure pour le développement socio-économique de la région.
Cette mobilisation impressionnante témoigne de l’adhésion massive à la vision et aux projets d’Amadou Ba. Les citoyens ont exprimé leur confiance en ce projet ambitieux et ont manifesté leur soutien sans réserve. La présence de Doudou Ka aux côtés du candidat renforce l’unité et la détermination de la population à œuvrer pour un avenir meilleur pour Ziguinchor et ses habitants.
En conclusion, l’engagement sans faille de Doudou Ka et la mobilisation exceptionnelle à Cap Skiring et Ziguinchor soulignent l’importance cruciale de l’unité dans la poursuite des aspirations de développement de la région. Cette démonstration de force renforce l’espoir d’un avenir prospère et prometteur pour la région et témoigne de la détermination collective à faire avancer la cause de Ziguinchor.
À l’approche des élections présidentielles au Sénégal, la question de l’avenir des Daara prend une place de plus en plus centrale dans le débat politique. Alors que les différents candidats présentent leurs programmes et promesses, le Mouvement National des Arabisants Républicains (MNAR) a pris la parole pour mettre en lumière les actions déjà entreprises en faveur des Daara et pour appeler à la vigilance face aux discours politiques trompeurs.
Le MNAR a dénoncé certains candidats qui prétendent avoir un programme spécifique pour les Daara, allant jusqu’à copier les initiatives déjà mises en place sous le gouvernement actuel dirigé par Amadou BA. Selon le MNAR, les réalisations et mesures prises pour les Daara au cours des dernières années ont été significatives et doivent être reconnues.
Parmi ces réalisations, on compte la création d’une direction des Daara, l’institutionnalisation de la journée nationale des Daara, ainsi que l’allocation d’une partie du fonds de dotation de l’éducation aux Daara. De plus, des actions concrètes ont été entreprises pour améliorer les conditions de vie et d’apprentissage dans les Daara, telles que le recrutement de maîtres coraniques dans la fonction publique et l’intégration des Daara dans la couverture maladie universelle (CMU).
Le MNAR a également souligné les efforts déployés pour moderniser l’enseignement dans les Daara, avec l’ouverture de nouvelles écoles et collèges franco-arabes, ainsi que l’élargissement de l’accès à des filières de formation professionnelle pour les élèves des Daara.
Face à la montée des discours politiques opportunistes, le MNAR appelle les Sénégalais, en particulier les arabisants et les acteurs des Daara, à rester vigilants et à ne pas se laisser duper par des promesses vides. Le mouvement invite également à démasquer les dirigeants d’associations islamiques qui cherchent à manipuler l’opinion publique pour servir leurs propres intérêts.
En conclusion, le MNAR réaffirme son soutien aux actions déjà entreprises en faveur des Daara et appelle à une prise de conscience collective pour garantir un avenir meilleur pour ces institutions essentielles à la société sénégalaise.
Le président du FC Barcelone, Joan Laporta, a évoqué l’avenir de Xavi dans une interview accordée à Mundo Deportivo.
Le président du FC Barcelone, Joan Laporta, souhaite que Xavi reste à la tête de l’équipe et n’envisage pas d’autres options tant qu’il n’aura pas pris sa « décision finale ».
« Oui, absolument. Il le sait déjà. J’aimerais qu’il reste. Il continue de dire qu’il partira en juin, mais nous verrons. Nous ne voulons pas nous mettre la pression pour prendre une décision parce que la façon dont les choses se déroulent nous convien », a-t-il déclaré dans une interview accordée à Mundo Deportivo.
L’ancien milieu de terrain a fait part de son intention de quitter le club catalan à la fin de la saison en début d’année.
Cependant, les spéculations sur un éventuel changement d’avis se sont multipliées ces dernières semaines, notamment en raison des bonnes performances de l’équipe de ces dernières semaines.
Joan Laporta, lui, a toujours souhaité que l’ancien capitaine du Barça reste la saison prochaine et a fait part de cette intention à Xavi lui-même. Affaire à suivre donc.
Selon Fabrizio Romano, l’un des noms qui plaît beaucoup au Real Madrid pour renforcer son couloir droit n’est autre que celui de Trent Alexander-Arnold, dont le contrat avec Liverpool expire en 2025.
Trent Alexander-Arnold a toujours été un joueur clé pour Jürgen Klopp à Liverpool. Cette saison, il a disputé 29 matches au cours desquels il a inscrit 2 buts et délivré 9 passes décisives. Grâce à ses excellentes performances, l’Anglais plaît à de nombreux géants du football européen dont le Real Madrid.
Fabrizio Romano affirme que le club espagnol a commencé à suivre la situation du joueur, qui est sous contrat avec les Reds jusqu’en juin 2025. Cependant, le journaliste précise qu’il n’y a pas encore eu de contact entre les parties concernées.
Liverpool n’a pas l’intention de laisser partir le latéral droit, mais n’a pas non plus entamé de discussions avec lui pour prolonger son contrat. Si le joueur de 25 ans ne prolongera pas, le club de la Mersey aura alors deux options : soit le vendre cet été, car ce sera la dernière chance d’encaisser un chèque grâce à son transfert, soit risquer de le voir partir gratuitement l’année suivante, en 2025.
Pour l’instant, Alexander-Arnold ne s’est pas exprimé sur son avenir et c’est lui qui aura le dernier mot.
Une cérémonie empreinte de reconnaissance et de solidarité s’est tenue ce jeudi 21 mars 2024 dans les locaux du Syndicat des Auxiliaires de Transport du Sénégal (SATS) à Bel Air. Organisée par le SATS, en collaboration avec le Conseil National du Patronat du Sénégal, cette rencontre a marqué la remise des carnets de Couverture Maladie Universelle (CMU) et la distribution d’équipements de sécurité à 550 dockers du syndicat.
Sous la direction de son président, Mohamed Abdoulaye Diop, également Directeur Régional d’Africa Global Logistics Afrique Atlantique, le SATS a souligné son engagement envers le bien-être de ses collaborateurs en fournissant des avantages tangibles pour leur sécurité et leur santé. Aux côtés du Secrétaire Général du SATS, Amadou Massar Sarr, la cérémonie a réuni les membres du syndicat, ainsi que des représentants du Port Autonome de Dakar et des entreprises membres du SATS telles que Dakar Terminal, CMA – CGM et SNTT.
La remise des carnets de CMU, offrant une couverture santé à toute la famille des dockers, a été saluée comme une avancée significative pour leur bien-être. De même, la dotation en équipements de sécurité comprenant des pantalons, des chemises, des casques, des chaussures de sécurité et des gilets fluorescents a été une mesure appréciée pour assurer des conditions de travail optimales.
Dans son discours, Mohamed Abdoulaye Diop a souligné l’importance de l’humanisation des relations de travail au sein du syndicat et a rappelé l’engagement du SATS à combler les lacunes dans la prise en charge des dockers, notamment en matière d’équipements de sécurité et de protection sociale.
Le président du SATS a également mis en avant l’engagement du syndicat envers la Couverture Maladie Universelle, soulignant que l’adhésion à ce programme permettait aux dockers d’accéder à des soins de santé essentiels. Il a également rappelé que le SATS distribuait annuellement gratuitement des équipements de sécurité aux dockers depuis deux ans, témoignant de l’importance accordée à leur sécurité au travail.
En conclusion, cette cérémonie a été l’occasion pour le SATS de réaffirmer son engagement envers le bien-être et la sécurité de ses membres. À travers des initiatives telles que la CMU et la fourniture d’équipements de sécurité, le syndicat démontre son souci constant du bien-être des travailleurs, réaffirmant ainsi son rôle crucial dans le secteur du transport au Sénégal.
L’ex-footballeur Robinho a été arrêté à Santos, au Brésil, après le rejet jeudi par la Cour suprême de sa demande de sursis, pour purger sa peine de neuf ans de prison à laquelle il a été condamné en Italie pour viol.
« L’ordre de détention est maintenu (…) afin qu’il puisse commencer à purger sa peine », a indiqué jeudi soir le juge de la Cour suprême du Brésil Luiz Fux.
Les avocats de Robinho avaient fait appel à la Cour suprême fédérale (STF) mercredi dans l’espoir qu’elle suspende l’ordre d’incarcération.
La police fédérale a indiqué à l’AFP que Robson de Souza, de son vrai nom, a été arrêté dans la ville portuaire de Santos, où il réside.
Une courte vidéo, publiée par la chaîne Globo, montre l’ancien attaquant de Manchester City à l’intérieur du quartier général de la police.
Robinho, 40 ans, sera transféré à la prison de Tremembé, à quelque 150 km de Sao Paulo (sud-est), a déclaré un membre de la police fédérale à la presse.
Le principal conseil de l’ancien joueur, José Eduardo Alckmin, a déclaré aux médias locaux qu’il ferait appel de la décision de M. Fux, dans l’espoir qu’elle soit infirmée par l’assemblée plénière de la Cour suprême.
L’ex-attaquant aux 100 sélections avec les quintuples champions du monde a été reconnu coupable du viol en réunion d’une jeune Albanaise qui fêtait ses 23 ans dans une boîte de nuit milanaise. Les faits remontent à 2013, époque où il évoluait au Milan AC.
La peine a été confirmée par la Cour de cassation d’Italie en janvier 2022.
L’ancien footballeur, a toujours clamé son innocence, comme il l’a fait une nouvelle fois dimanche, attribuant sa condamnation au « racisme ».
« C’était consenti. Je n’ai jamais nié (avoir eu des relations avec la victime, NDLR). J’aurais pu le nier car mon ADN n’a pas été retrouvé, mais je ne suis pas un menteur », a-t-il dit lors d’un entretien à la chaîne brésilienne TV Record.
Selon l’acte d’accusation, Robinho et cinq autres Brésiliens avaient fait boire leur victime « jusqu’à la laisser inconsciente et incapable de se défendre » et avaient eu ensuite des « rapports sexuels plusieurs fois de suite » avec elle.
Comme le joueur était rentré au Brésil au moment du procès en Italie en 2017 et que la Constitution brésilienne ne permet pas l’extradition de ses ressortissants, la justice italienne avait réclamé que Robinho purge sa peine dans son pays natal.
Une demande que le Tribunal supérieur de justice (STJ) de Brasilia a accepté mercredi, à une large majorité.
« Effet immédiat »
La présidente du STJ Maria Thereza de Assis Moura a signé jeudi après-midi le document actant la décision « à effet immédiat » de cette haute cour, permettant à un juge de Santos (sud-est) d’émettre un mandat de dépôt.
Ce feuilleton judiciaire est particulièrement commenté au Brésil, alors qu’une autre affaire de viol implique une autre star brésilienne, Daniel Alves. L’ancien latéral du FC Barcelone et du Paris Saint-Germain, incarcéré en Espagne, a été condamné fin février à quatre ans et demi d’emprisonnement pour le viol d’une jeune femme en décembre 2022 dans une discothèque de Barcelone, une peine très inférieure aux réquisitions du parquet qui réclamait neuf ans de prison.
Robinho ne pourra pas payer pour sa liberté en attendant l’épuisement de tous les recours car le Brésil « n’autorise pas la caution » pour le crime qu’il a commis, a déclaré à l’AFP l’avocat pénaliste Leonardo Pantaleão.
Jeudi, Leila Pereira, présidente du club brésilien de Palmeiras, a fustigé le silence des instances dirigeantes du football au sujet des de ces deux affaires de viol concernant des stars du ballon rond au Brésil.
« Personne ne dit rien (…) C’est comme une gifle adressée à nous toutes », a déploré, lors d’un entretien au site d’informations UOL, celle qui est l’une des rares femmes à la tête d’un club de première division à travers le monde.
Le président du Brésil Luiz Inacio Lula da Silva a lui estimé que Robinho devait « payer le prix de son irresponsabilité » pour un crime « impardonnable ». Puis affirmé que « l’argent que possède Daniel Alves », qui peut lui être remis en liberté surveillée contre la remise d’une forte caution, « ne peut pas racheter l’offense d’un homme envers une femme qu’il a violée ».
Le département de Kanel, situé dans le nord-est du Sénégal, se prépare activement pour l’élection présidentielle à venir, avec l’attente de plus de 117 000 électeurs répartis dans ses différents arrondissements et communes. C’est ce qu’a révélé le Préfet de la circonscription administrative, Cheikh Ahmadou Ndoye.
Dans l’arrondissement d’Orkadiéré, qui constitue une partie importante du département, environ 60 802 électeurs sont attendus pour voter dans 56 lieux et 132 bureaux de vote. Tandis que dans l’arrondissement d’Ouro Sidy, 48 792 électeurs se préparent à exercer leur droit de vote dans 44 lieux et 105 bureaux de vote.
La commune d’Orkadiéré se distingue avec 20 401 électeurs répartis dans 42 bureaux de vote et 15 lieux de vote, devançant d’autres municipalités telles que Ouro Sidy avec 15 676 électeurs et Ndendory avec 15 043 électeurs.
Cependant, la commune de Dembancané, dans le Dandé Mayo sud, affiche le plus faible nombre d’électeurs avec seulement 3 359 inscrits. Cette municipalité dispose de seulement 6 bureaux de vote et 2 lieux de vote.
Le département de Kanel compte au total douze communes et deux arrondissements, et tous sont mobilisés pour assurer un déroulement efficace et transparent du processus électoral. Les autorités locales mettent en place les infrastructures nécessaires et coordonnent les efforts pour garantir que chaque électeur puisse exercer son droit de vote dans des conditions optimales.
À l’approche du jour du scrutin, l’attention se tourne vers Kanel, où chaque électeur jouera un rôle crucial dans le choix du prochain président du Sénégal.
À Guinguinéo, dans la région de Kaolack au Sénégal, les autorités administratives ont annoncé que l’intégralité du matériel électoral nécessaire au scrutin présidentiel était désormais en place. Cette déclaration a été faite par le préfet de Guinguinéo, Ngoné Cissé, qui a assuré que tout était prêt pour garantir le bon déroulement du vote dans ce département.
Pourtant, à moins de deux jours du début du scrutin, le retrait des cartes d’électeur reste timide, selon les observations de la cheffe de l’exécutif départemental. Malgré les efforts déployés par la commission administrative de distribution, seulement dix cartes sont retirées en moyenne par jour, ce qui est jugé extrêmement faible. Le stock de cartes d’électeur disponibles est important, avec 1708 cartes provenant de révisions précédentes et 1108 cartes issues de la dernière révision exceptionnelle.
Ngoné Cissé a souligné l’importance de sensibiliser davantage la population à retirer leur carte d’électeur, afin de garantir une participation maximale au scrutin. Elle a rappelé que sur les 58 558 électeurs inscrits à Guinguinéo, plus de 3000 cartes ont déjà été retirées, mais qu’il reste encore un nombre considérable de cartes en attente de retrait.
Malgré ces défis, Ngoné Cissé a exprimé sa gratitude pour le calme qui a régné pendant la campagne électorale, sans incidents majeurs signalés. Elle a exprimé l’espoir que cette atmosphère sereine perdure pendant la journée du scrutin présidentiel, prévue pour le 24 mars prochain. Elle a également souligné la responsabilité et le sens civique de la population de Guinguinéo, tout en appelant à des efforts supplémentaires pour encourager le retrait des cartes d’électeur restantes.
En conclusion, malgré une organisation minutieuse et complète pour le scrutin présidentiel à Guinguinéo, l’enjeu majeur demeure la mobilisation des électeurs pour retirer leur carte d’électeur et participer pleinement à l’exercice démocratique.
Une rencontre d’une importance capitale s’est déroulée récemment à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), marquant un pas significatif dans le développement des ressources académiques et de la recherche au Sénégal. Une délégation du Comité de Gestion du Consortium des bibliothèques de l’enseignement supérieur et de recherche du Sénégal (COBESS) a été chaleureusement accueillie pour discuter des stratégies visant à renforcer les bibliothèques universitaires à travers le pays.
La délégation du COBESS, dirigée par la Présidente Fama Diagne Sène Ndiaye, également Directrice de la Bibliothèque centrale de l’Université Alioune Diop de Bambey, comprenait également le Coordonnateur Mandiaye Ndiaye, ainsi que les Directeurs des Bibliothèques universitaires des universités Cheikh Anta Diop, Gaston Berger de Saint-Louis, Iba Der Thiam de Thiès. La responsable de la Bibliothèque d’Odonto-stomatologie de l’UCAD, Astou Diop Cissokho, membre du Comité de gestion, faisait également partie de la délégation.
Lors de la réunion, le plan d’actions 2024-2026 a été présenté, mettant l’accent sur le développement de synergies pour favoriser la mutualisation des ressources. Le renforcement des capacités du personnel des bibliothèques et la formation des membres de la communauté universitaire aux compétences en information-communication ont été au cœur des discussions.
Un moment marquant de la rencontre a été l’annonce de la désignation du Recteur Ahmadou Aly Mbaye en tant qu’Ambassadeur du Consortium. Cette nomination illustre l’engagement de l’UCAD envers les objectifs du COBESS et renforce la coopération dans le domaine de l’éducation et de la recherche au Sénégal.
Cette rencontre représente une étape significative dans les efforts visant à renforcer les infrastructures académiques et à promouvoir l’excellence dans l’enseignement supérieur et la recherche au Sénégal. Elle témoigne de l’importance accordée à la collaboration et à la coopération entre les institutions pour atteindre des objectifs communs dans le domaine de l’éducation et de la recherche.
Dans le cadre de l’organisation du pèlerinage à la Mecque, Air Sénégal a pris des mesures décisives en louant deux avions allemands afin de garantir un voyage optimal pour les pèlerins. L’annonce a été faite par le Directeur général de la compagnie nationale, Alioune Badara Fall, lors d’une réunion avec les médias, comme rapporté par L’Observateur.
M. Alioune Badara Fall a souligné les performances impressionnantes d’Air Sénégal, rappelant que la compagnie assure déjà le transport quotidien de 3000 passagers à l’Aéroport Blaise Diagne. Face aux doutes émis quant à sa capacité à gérer 600 passagers par jour pour le pèlerinage à la Mecque, il a fermement défendu les capacités de la compagnie aérienne nationale.
« Ceux qui doutent de la capacité d’Air Sénégal d’effectuer les vols du pèlerinage à la Mecque ignorent les performances de la compagnie », a-t-il déclaré.
Cette décision d’affréter deux avions supplémentaires vise à renforcer les capacités d’Air Sénégal pour répondre à la demande accrue de voyages pendant le pèlerinage. Elle s’inscrit dans la volonté de la compagnie de garantir des services de qualité et une expérience de voyage sans faille pour les pèlerins.
Malgré ces efforts, M. Alioune Badara Fall a appelé les citoyens sénégalais à soutenir et à privilégier Air Sénégal. Il a souligné l’importance de faire confiance au pavillon national, soulignant le rôle central de la compagnie dans la connectivité nationale et internationale.
Cette initiative témoigne de l’engagement d’Air Sénégal à assurer la satisfaction et la sécurité des pèlerins lors de leur voyage vers la Mecque. En renforçant ses capacités opérationnelles, la compagnie confirme son engagement envers le service et son rôle crucial dans le transport aérien au Sénégal.
Le dimanche 24 mars 2024 sera une journée d’une importance capitale pour la démocratie sénégalaise, marquant le jour du scrutin présidentiel. Dans ce contexte crucial, le Président de la Commission électorale nationale autonome (CENA), M. Abdoulaye Sylla, a annoncé son intention de mener une tournée d’inspection dans plusieurs lieux de vote de la région de Dakar, afin de superviser personnellement le déroulement du processus électoral sur le terrain.
Selon un communiqué officiel relayé par Senego, M. Abdoulaye Sylla sera accompagné de membres éminents de la CENA, notamment M. Ndary Touré, Vice-président, Mmes Aminata Fall Niang et Fatou Kiné Diop, membres, ainsi que de M. Alioune Badara Mbengue, Secrétaire général de la CENA. Cette délégation aura pour mission de visiter successivement plusieurs bureaux de vote dans les localités de Keur Massar, Guédiawaye, Pikine et Dakar.
Le programme de la tournée d’inspection débute à 10h30 avec le départ de la CENA pour le département de Keur Massar, suivi d’une jonction avec la Commission électorale départementale autonome (CEDA) de Keur Massar à 11h00. La visite du centre de vote du lycée de la zone de recasement est prévue à 11h30. Cette démarche se répètera successivement dans les départements de Guédiawaye et de Pikine, avec des visites programmées dans les centres de vote désignés.
La tournée culminera à Dakar, où la délégation rencontrera la CEDA de la capitale à 14h30. Là, le Président de la CENA exercera son droit de vote dans son bureau de vote à l’École japonaise, Nord Foire. Cette journée marathon se clôturera par un point de presse sur place, au cours duquel le Président Sylla fera le bilan des faits marquants observés depuis le début du scrutin.
Il est à noter que les horaires prévus sont susceptibles d’être ajustés en fonction des conditions de circulation et de l’état des routes. Cette initiative de la CENA témoigne de son engagement envers la transparence et l’intégrité du processus électoral, assurant ainsi aux citoyens sénégalais un scrutin juste et démocratique.
Le Cadre unitaire de l’islam au Sénégal (CUDIS) a émis un appel pressant à tous les candidats en lice pour l’élection présidentielle de 2024. Dans un contexte où la nation sénégalaise aspire à préserver ses valeurs fondamentales de paix et de coexistence pacifique, le CUDIS exhorte les prétendants à la plus haute fonction de l’État à faire preuve d’un sens élevé de responsabilité.
Dr Cheikh Guèye, membre éminent de cette association, a insisté sur l’importance de préserver les acquis qui ont fait la force et la renommée du Sénégal. Ces valeurs, ancrées dans la parenté, le métissage et la tolérance religieuse, sont le fruit d’un héritage légué par les pères fondateurs du pays. Pour le CUDIS, la non-violence a toujours été un principe cardinal qui guide la nation sénégalaise depuis ses origines.
Dans une déclaration sur iRadio, Dr Cheikh Guèye a souligné le caractère crucial de l’élection présidentielle de 2024, qui représente un moment décisif pour l’expression de la volonté populaire. Malgré les défis et les turbulences des mois précédents, il est impératif que les candidats adoptent une attitude responsable, en mettant en avant les principes de paix et de coexistence qui font la richesse du Sénégal.
L’appel du CUDIS ne se limite pas aux candidats eux-mêmes, mais s’étend également aux citoyens sénégalais. Dr Cheikh Guèye rappelle à juste titre que l’amour pour son pays est un devoir religieux, et invite donc chaque individu à participer activement au processus électoral en choisissant le meilleur dirigeant pour le présent et l’avenir du pays. Dans cette optique, il encourage vivement les citoyens à retirer leurs cartes d’électeur et à exercer leur droit de vote de manière massive.
En cette période cruciale pour la démocratie sénégalaise, l’appel du CUDIS résonne comme un rappel à l’unité nationale et à la préservation des valeurs qui ont toujours défini le Sénégal. À travers cet appel, le CUDIS espère contribuer à faire de l’élection présidentielle de 2024 un moment de consolidation des principes républicains et de renforcement du tissu social sénégalais.
À la veille du vote prévu pour le 24 mars 2024, le ministre de l’Intérieur du Sénégal, Mouhamadou Makhtar Cissé, a confirmé que le matériel électoral avait été déployé avec succès dans les centres témoins de Thiès. Cette étape importante, annoncée lors de sa visite habituelle avant chaque élection, marque un pas significatif vers la réalisation d’un processus électoral transparent et incontestable, conformément à une directive présidentielle.
Alors que la date du scrutin approche, les autorités sénégalaises semblent déterminées à assurer un processus électoral transparent et démocratique. La mise en place réussie du matériel électoral dans les centres de vote témoigne de cet engagement, mais il reste essentiel pour toutes les parties prenantes de rester vigilantes contre toute tentative de perturbation du processus électoral.
Lors d’une récente intervention sur la TFM, Amadou Ba, candidat à l’élection présidentielle au Sénégal, a éclairci sa relation avec le président actuel, Macky Sall, et a partagé ses perspectives quant à son rôle dans le parti une fois élu, soulignant une relation de confiance et d’affection avec son mentor politique.
Interrogé sur la possibilité qu’il n’assume pas le rôle de chef de parti après son éventuelle élection, Amadou Ba a évoqué une relation fondée sur la confiance avec le président Macky Sall. Il a souligné que son parcours ministériel, notamment en tant que ministre des Finances pendant six ans et Premier ministre, avait été façonné par cette confiance mutuelle. Cette relation, a-t-il précisé, a également été déterminante dans sa sélection en tant que candidat présidentiel.
Malgré le fait que la présence publique du président Macky Sall dans sa campagne ne soit pas très apparente, Amadou Ba a affirmé que son soutien n’a jamais fait défaut. Il a révélé qu’il échangeait régulièrement avec le président, tirant profit de ses conseils et de son expérience politique.
Amadou Ba a également abordé la question de l’expression publique de la mécontentement présidentiel envers lui, soulignant que cela ne ternissait en rien leur relation. Selon lui, ces différends publics sont normaux dans le contexte politique, mais ne compromettent pas la relation personnelle et professionnelle qu’il entretient avec Macky Sall.
Cette déclaration d’Amadou Ba vise à clarifier sa position et à dissiper les éventuelles inquiétudes concernant sa relation avec le président Macky Sall ainsi que ses intentions en tant que potentiel futur président. Elle met en avant la confiance mutuelle et l’affection entre les deux hommes, tout en affirmant son engagement à maintenir cette relation même en cas de désaccord public.
Après l’annonce officielle du soutien du Parti démocratique sénégalais (PDS) à la Coalition DiomayePrésident pour l’élection présidentielle du 24 mars, Karim Wade, fils de l’ancien président Abdoulaye Wade et candidat recalé par le Conseil constitutionnel, a exprimé son soutien sans équivoque au candidat Diomaye Faye.
Dans une déclaration, Karim Wade a souligné l’importance de sécuriser le vote de chaque Sénégalais pour contrer toute tentative de fraude massive, qu’il attribue au candidat Amadou Ba. Il appelle à une action collective pour garantir la transparence du scrutin et le respect de la volonté du peuple sénégalais.
S’exprimant sur la décision du PDS de soutenir la Coalition DiomayePrésident, Karim Wade la qualifie de « décision éclairée » et souligne son importance dans la préservation de l’État de droit et de l’indépendance de la justice au Sénégal. Il insiste sur le fait que cette décision va au-delà des considérations politiques, constituant un engagement pour la protection des libertés et des droits des citoyens sénégalais.
Karim Wade appelle également à l’unité et à la collaboration entre les comités électoraux de la Coalition Karim 2024 et ceux de la Coalition DiomayePrésident, affirmant que cette collaboration est essentielle pour défendre les valeurs démocratiques et assurer l’avenir du pays.
Cette déclaration de Karim Wade souligne l’importance des enjeux électoraux au Sénégal et met en évidence les tensions politiques qui entourent cette élection présidentielle. La mobilisation en faveur du candidat Diomaye Faye est désormais renforcée par le soutien explicite de Karim Wade et du PDS, annonçant une compétition électorale intense dans les jours à venir.
Dans le cadre de la campagne électorale en vue de l’élection présidentielle qui se tiendra le 24 mars prochain au Sénégal, Bouna Kanté, membre de Benno Bokk Yakaar et Coordinateur du comité électoral Fann Point E Amitié, a orchestré une impressionnante « marche victorieuse » en soutien au candidat Amadou Ba.
Cette manifestation, qui s’est déroulée ce jeudi 21 mars, a rassemblé des habitants des quartiers des Sicap, Fann et Point E, démontrant ainsi un fort soutien populaire en faveur d’Amadou Ba. Bouna Kanté a souligné que cette marche symbolisait la culmination de deux semaines de campagne intense, marquées par des engagements forts, des propositions significatives et une vision claire d’une gouvernance axée sur la performance et le bien-être des Sénégalais ainsi que des communautés africaines résidant au Sénégal.
Selon Bouna Kanté, cette mobilisation massive témoigne de la confiance et de l’adhésion des populations locales aux idéaux et aux projets portés par Amadou Ba. Il affirme également que cette marche victorieuse est le reflet de l’engagement indéfectible de ses partisans à soutenir leur candidat jusqu’à la victoire finale.
Après cet événement réussi, Bouna Kanté et ses partisans ont promis de marquer de leur présence le meeting de clôture d’Amadou Ba prévu ce vendredi. Ils expriment leur détermination à contribuer activement à la réussite de la campagne et à assurer la victoire éclatante de leur candidat dès le premier tour de l’élection présidentielle.
Cette démonstration de soutien témoigne de la dynamique politique en cours au Sénégal, où les différents candidats et leurs partisans rivalisent d’efforts pour convaincre les électeurs de leur vision et de leur capacité à diriger le pays. La mobilisation de Bouna Kanté et de son équipe montre que la course à la présidence est intense et que chaque voix compte dans cette compétition démocratique.
Alors que le monde célèbre la Journée mondiale de l’eau ce 22 mars 2024, de nombreuses localités du département de Tivaouane au Sénégal font face à une pénurie persistante d’eau potable. Les habitants, principalement des agriculteurs et des maraîchers, expriment leur détresse et leur frustration face à cette situation qui les affecte profondément.
Dans le village de Ndomor, situé à proximité de Tivaouane, le manque d’eau est décrit comme un problème chronique. Selon les résidents, près de 95 % de la population locale dépend de l’agriculture pour sa subsistance, ce qui rend l’accès à l’eau encore plus crucial. Leur appel est un cri du cœur, soulignant l’évidence de leur soif et les difficultés que cela engendre au quotidien.
La situation n’est guère meilleure dans d’autres villages de la commune de Pékesse, où les habitants font également face à des défis similaires. La période actuelle, marquée par le mois de Ramadan, accentue davantage les difficultés, mettant en lumière l’urgence d’une solution à ce problème crucial.
La pénurie d’eau potable dans ces régions soulève des préoccupations majeures en matière de santé publique, d’agriculture et de bien-être communautaire. L’eau est une ressource vitale, essentielle à la vie quotidienne et à la prospérité économique des populations locales. Sans un accès fiable à cette ressource, les communautés sont confrontées à des difficultés croissantes pour subvenir à leurs besoins fondamentaux.
Face à cette situation préoccupante, il est impératif que les autorités locales et les organismes compétents prennent des mesures immédiates et efficaces pour remédier à la pénurie d’eau potable dans ces régions. Des investissements dans les infrastructures hydrauliques, la gestion des ressources en eau et la sensibilisation aux pratiques de conservation de l’eau sont essentiels pour garantir un accès équitable à l’eau potable pour tous les citoyens de Tivaouane.
En cette Journée mondiale de l’eau, il est crucial de rappeler l’importance de cette ressource précieuse et de redoubler d’efforts pour assurer sa disponibilité pour les générations présentes et futures. Les populations de Tivaouane et d’ailleurs méritent un accès sûr et durable à l’eau potable, et il est de notre devoir collectif de faire en sorte que cette aspiration devienne une réalité.
Dans un communiqué officiel publié aujourd’hui, Me Abdoulaye Wade, Secrétaire général du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), a annoncé que le parti soutiendrait Bassirou Diomaye Faye pour l’élection présidentielle qui se tiendra ce dimanche 24 mars. Cette déclaration marque un tournant significatif dans le paysage politique sénégalais, faisant écho à une série d’événements tumultueux qui ont précédé cette annonce.
Le communiqué exprime d’abord le profond mécontentement du PDS suite à la disqualification de leur candidat, Karim Wade, par le Conseil Constitutionnel. Cette décision a suscité une vague de protestations au sein du parti, remettant en question l’intégrité du processus électoral.
Me Wade souligne ensuite la responsabilité du PDS dans ce contexte crucial de l’histoire du pays, affirmant que le parti se doit de prendre position. Il évoque la nécessité de préserver l’État de droit et l’indépendance de la justice, des principes fondamentaux pour le développement d’un Sénégal prospère et équitable.
C’est dans ce cadre que le PDS décide de soutenir la Coalition Diomaye Faye, exprimant sa confiance dans les engagements de cette coalition en faveur de la démocratie et de la justice. Me Wade en appelle alors à tous les Sénégalais, sans distinction, pour les rejoindre dans cette démarche vers un renouveau politique.
L’appel de Me Abdoulaye Wade à voter pour Bassirou Diomaye Faye est clair et sans équivoque. Il exhorte les citoyens à voter dès le premier tour avec conviction pour la Coalition Diomaye Faye, affirmant que cette victoire symbolisera l’aspiration collective à une gouvernance morale, éthique et inclusive.
Cette déclaration marque un moment crucial dans la campagne électorale et pourrait avoir un impact significatif sur le résultat final de l’élection présidentielle. La mobilisation autour de la Coalition Diomaye Faye s’intensifiera à la lumière de ce soutien crucial du PDS, tandis que les autres candidats devront redoubler d’efforts pour convaincre les électeurs.
En somme, l’appel de Me Abdoulaye Wade résonne comme un appel à l’unité et à la mobilisation en faveur d’un Sénégal où les principes démocratiques et les droits fondamentaux sont respectés, et où l’État œuvre véritablement pour le bien-être de tous ses citoyens.
Dans les rues animées de Grand Yoff, de Arafat et des Hlm Grand Yoff, l’effervescence politique est à son comble alors que les élections présidentielles approchent à grands pas. La jeunesse de Benno Bokk Yaakar (Bby) de Grand-Yoff a récemment orchestré une marche dynamique, distribuant des bulletins au nom d’Amadou Ba, leur candidat emblématique.
Sous le slogan « Allons de l’avant avec notre bon candidat », les jeunes militants ont mis en avant l’expérience de leur candidat et ont exprimé une confiance palpable en une victoire dès le premier tour. Ancré dans la conviction que Grand Yoff est un bastion électoral crucial, ils ont redoublé d’efforts en organisant des visites de proximité et des caravanes pour rallier les électeurs à leur cause.
Lamine Lo, fervent partisan de Bby, conteste fermement l’idée que Grand Yoff soit toujours sous le joug de la coalition Taxawu Sénégal. Rappelant la victoire de Bby lors de l’élection présidentielle de 2019 dans la commune, il prédit avec assurance une répétition de ce succès lors du scrutin présidentiel à venir.
« Grand-Yoff n’est plus le fief de Taxawu Sénégal », déclare-t-il avec conviction, soulignant l’unité retrouvée des militants de Bby et leur détermination à remporter les élections. Cette vision optimiste est partagée par Mayacine Niass, un autre coordinateur de la jeunesse de l’Apr à Grand Yoff, qui appelle à des élections apaisées.
À mesure que la campagne électorale entre dans sa phase finale, l’élan et la détermination des jeunes de Benno Bokk Yaakar à Grand Yoff témoignent d’une mobilisation sans précédent. Avec leur candidat Amadou Ba comme fer de lance, ils aspirent à sculpter l’avenir politique de la commune et à faire entendre leur voix lors des élections présidentielles à venir.
Alors que les acteurs politiques s’adonnent à la formation de nouvelles coalitions, Kéba Kanté, a tenu à renouveler son engagement et sa fidélité au candidat Karim Meïssa Wade malgré son élimination par le Conseil constitutionnel de la course présidentielle prévue ce dimanche.
Sur une note parvenue au Dakarois quotidien dans la soirée d’hier, le responsable politique a affirmé que nonobstant les divergences de choix et d’opinions qui peuvent surgir, il reste résolument fidèle et loyal au Parti Démocratique Sénégalais (PDS). « Je comprends que certains puissent choisir d’accompagner d’autres candidats. Par contre, ma position reste inchangée. Je suis déterminé à me battre pour le Parti Démocratique Sénégalais », a déclaré le fils de l’ex DG du Part Autonome de Dakar, Dr Cheikh Kanté.
« Avec dévouement, je suis prêt à y mettre mes compétences et mes ressources pour faire face aux défis actuels ainsi que les prochaines échéances. Ensemble, nous travaillerons assidûment pour renforcer notre parti, unifier nos frères et soeurs et élaborer une stratégie solide en vue des futures élections. Je suis convaincu que notre engagement collectif et notre collaboration nous permettront de surmonter les obstacles auxquels nous sommes confrontés », a ajouté Kéba Kanté qui demeure optimiste quant à leur capacité à relever avec détermination et responsabilité les défis présents et futurs.
L’initiateur du mouvement Grande Offensive des Républicains (GOR) reste résolument engagé aux valeurs et aux idéaux du PDS, croyant en leur capacité à servir les intérêts du peuple Sénégalais, à promouvoir la démocratie et à apporter des solutions aux défis auxquels le Sénégal est confronté.
Une vive altercation a éclaté ce vendredi matin à Mermoz, impliquant les partisans de la coalition Diomaye President et les fidèles du guide religieux Cheikh Modou Kara. Cet incident survient dans un contexte électoral tendu à l’approche de la présidentielle de 2024, reflétant les divisions profondes au sein de la société sénégalaise.
Selon les informations rapportées par DakarActu, l’affrontement a nécessité l’intervention directe du leader spirituel Cheikh Modou Kara pour évaluer la situation. Les forces de gendarmerie ont également été dépêchées en nombre pour rétablir l’ordre dans la localité.
Cette confrontation entre partisans de différents camps politiques met en lumière les tensions croissantes qui entourent le processus électoral. Alors que les différents candidats intensifient leurs campagnes, les rivalités politiques s’intensifient et les passions s’exacerbent parmi leurs partisans.
Diomaye Faye, à la tête de la coalition Diomaye President, et Cheikh Modou Kara, une figure spirituelle influente, semblent être les principaux protagonistes de cet affrontement. Leur influence respective sur leurs partisans a contribué à exacerber les tensions dans cette région.
Il est impératif que les autorités prennent des mesures fermes pour prévenir de tels incidents à l’avenir. La préservation de la paix sociale et la garantie d’un processus électoral transparent et pacifique sont des priorités cruciales pour assurer la stabilité du Sénégal dans cette période critique.
Alors que la campagne électorale se poursuit, il est essentiel que les acteurs politiques et religieux exhortent leurs partisans au calme et à la retenue. Seule une approche pacifique et constructive permettra de surmonter les différences et de garantir un avenir démocratique pour le Sénégal.
En attendant, les habitants de Mermoz et des régions avoisinantes espèrent que cet incident ne sera qu’une parenthèse dans un processus électoral qui, espérons-le, se déroulera dans le respect mutuel et la dignité.
La signature de l’attaquant français Kylian Mbappé par le Real Madrid ne fait pas trembler le président du FC Barcelone, bien au contraire.
L’arrivée presque annoncée de Kylian Mbappé au Real Madrid l’été prochain est très attendue en Espagne, mais pas spécialement par Joan Laporta. Dans une interview accordée à Mundo Deportivo, le président du FC Barcelone estime que l’attaquant français sera de la dynamite dans le vestiaire du grand rival.
« Jaloux du Real Madrid ? Rien du tout. Nous verrons ce qui se passera. Pour que Mbappé arrive, il faudra vendre des joueurs et, si les chiffres dont on parle sont vrais, cela va créer un désordre dans le vestiaire. Ce n’est pas un cadeau« , a déclaré le patron du club catalan.
Kylian Mbappé a déjà annoncé aux dirigeants du Paris SG qu’il ne prolongerait pas son contrat, qui expire à la fin de la saison, et devrait s’engager pour cinq ans avec le club espagnol, avec une prime à la signature qui, selon les rumeurs, avoisinerait les 100 millions d’euros.
Le Portugal, privé de son attaquant vedette Cristiano Ronaldo, est parvenu à s’imposer sans difficulté jeudi soir face à la Suède (5-2) lors d’un match amical de préparation à l’Euro-2024 à Guimaraes (nord).
En l’absence de Ronaldo, qui devrait rejoindre l’équipe la semaine prochaine pour un autre match amical contre la Slovénie, le sélectionneur Roberto Martinez souhaitait procéder à une revue d’effectif afin d’être en mesure de « construire la meilleure liste » pour l’Euro prévu en Allemagne (14 juin-14 juillet).
Face à une équipe suédoise très offensive en début de match, son équipe a rapidement pris le dessus.
Les hommes de Martinez ont ouvert le score dès la 24e minute grâce à un but Rafael Leao.
Après avoir trouvé le poteau, l’attaquant de l’AC Milan a récupéré le ballon et l’a expédié dans la lucarne d’une frappe puissante pour tromper le gardien suédois.
Moins de dix minutes plus tard, le Portugal a creusé l’écart. Le milieu de terrain Matheus Nunes a récupéré le ballon, et a profité de la passivité de la défense suédoise pour progresser dans la surface de réparation et marquer d’un tir soudain (33e).
A la toute fin de la première période, Bruno Fernandes, servi par Nelson Semedo, a pu accroître l’écart en faveur des Lusitaniens (45e).
En seconde période, les Portugais ont continué à dominer leurs adversaires nordiques, qui ont eux raté leur campagne de qualification à l’Euro 2024.
L’attaquant Bruma a rapidement marqué (57e) avant que Gonçalo Ramos (61e) n’ajoute un autre but au compteur des Portugais.
La Suède a tenté de sauver l’honneur: les hommes de Jon Dahl Tomasson ont réduit l’écart, grâce à deux buts de Viktor Gyokeres (58e), qui évolue sous les couleurs du Sporting Portugal, et de Gustaf Nilsson (90e).
Qualifié pour l’Euro-2024 après un parcours sans faute de 10 victoires en 10 matches, le Portugal va poursuivre sa préparation le 26 mars prochain à Ljubljana pour affronter la Slovénie.
En juin, la Seleçao sera dans le groupe de la Turquie et de la République Tchèque, ainsi que du vainqueur du barrage entre la Géorgie et la Grèce.
Ce jeudi, la Fédération allemande de football (DFB) a annoncé avoir signé un nouveau contrat de partenariat avec Nike de 2027 à 2034.
La sélection allemande met fin à son partenariat de longue date avec Adidas et a signé un accord qui verra Nike fabriquer ses maillots à partir de 2027. Le contrat de la DFB avec Nike court jusqu’en 2034.
Adidas a signé pour la dernière fois un contrat de huit ans avec la Fédération allemande de football (DFB) en 2018, ce qui signifie que la Coupe du monde 2026 sera l’une des dernières fois où la tenue de l’Allemagne sera fabriquée par la société de vêtements de sport la plus célèbre du pays.
Au cours du partenariat entre Adidas et l’Allemagne, qui s’étend sur plus de sept décennies, la Mannschaft a remporté quatre Coupes du monde masculines, trois Euros masculins, deux Coupes du monde féminines et huit Euros féminins, la collaboration étant à l’origine de nombreux maillots emblématiques au cours des années 1980 et 1990.
« Nous sommes heureux de pouvoir à nouveau envisager un avenir économiquement stable en tant qu’association grâce à l’engagement de Nike », a déclaré Stephan Grunwald, trésorier de la DFB.
La Pologne et l’Ukraine se sont qualifiées jeudi pour la finale des barrages de l’Euro-2024 dont a été éliminé Israël, battu par l’Islande.
L’Ukraine l’a emporté (2-1) en Bosnie-Herzégovine et la Pologne, sans but cette fois de sa star Robert Lewandowski, a dominé à domicile l’Estonie (5-1) qui a joué à dix à partir de la 27e minute et l’exclusion après deux cartons jaune de Maksim Paskotsi.
Israël, dont le match a été délocalisé à Budapest, s’est incliné (4-1) avec des buts de Gudmunsson (39e, 83e, 87e) et Traustason (42e), contre un de Zahavi (31e) qui avait ouvert le score sur penalty, et qui en a raté un autre en seconde période. Israël a terminé à dix suite à l’exclusion de Reviro (73e).
En finale de ces barrages, qui délivreront les derniers qualifiés pour l’Euro en Allemagne (14 juin – 14juillet), la Pologne sera opposée mardi au pays de Galles, victorieux de la Finlande (4-1). Le vainqueur de ce match sera versé dans le groupe A de l’Euro avec la France, les Pays-Bas et l’Autriche.
L’Islande affrontera l’Ukraine et la Géorgie défiera la Grèce, qui s’est jouée jeudi du Kazakhstan (5-0).
Le directoire de campagne de la coalition Dionne 2024 a tenu à mettre fin aux rumeurs alarmantes concernant la santé du candidat Mahammad Boun Abdallah Dionne. Dans un communiqué officiel adressé à Senego, la coalition a réfuté catégoriquement ces allégations et a assuré que le candidat se porte bien, demeurant fermement engagé dans la course présidentielle prévue pour le 24 mars 2024.
Selon le communiqué, Mahammad Boun Abdallah Dionne continue de mener ses activités politiques sans relâche. Il rencontre régulièrement des leaders politiques de divers horizons afin de renforcer sa grande coalition et maintient une communication constante avec les membres de son directoire de campagne. Ceci démontre clairement sa capacité à participer activement à la vie politique du pays, malgré les rumeurs infondées sur sa santé.
La coalition Dionne 2024 a également exprimé sa reconnaissance envers les responsables et les sympathisants pour leur soutien indéfectible tout au long de la campagne électorale. De plus, elle a souligné l’accueil chaleureux réservé à ses caravanes dans différentes régions du Sénégal., le directoire de campagne a appelé à une mobilisation continue de tous les partisans afin d’assurer une victoire éclatante du candidat à l’élection présidentielle du 24 mars 2024. Ce démenti formel vise à dissiper tout doute sur l’état de santé du candidat et à réaffirmer son engagement inébranlable pour servir le pays.
Lors de sa récente visite à Diourbel, Déthié Fall, candidat à la présidence du Sénégal, a été chaleureusement accueilli par les habitants de la région. Son discours axé sur les préoccupations concrètes des citoyens a suscité un vif intérêt parmi les militants et sympathisants présents, qui voient en lui un leader capable de répondre à leurs besoins et de transformer positivement leur quotidien.
Déthié Fall a présenté en détail son programme pour le Sénégal, mettant en avant la nécessité de résoudre les problèmes liés aux logements sociaux afin d’améliorer la qualité de vie des ménages. Il a souligné l’importance de mener des réformes dans tous les secteurs pour faire progresser le pays vers l’émergence, affirmant ainsi sa volonté de transformer la réalité socio-économique du Sénégal.
Sa visite à Diourbel a permis aux habitants de la région de mieux comprendre ses propositions et ses engagements envers les populations à travers son programme. Il a mis en lumière des solutions concrètes telles que la construction de logements sociaux, tout en promettant des réformes ambitieuses dans tous les domaines pour répondre aux besoins de la population.
Les responsables politiques locaux ont également été témoins de l’engagement sincère de Déthié Fall envers le développement de la région et du pays dans son ensemble. Son discours axé sur les besoins réels des citoyens et ses propositions pour l’avenir du pays ont captivé l’attention à Diourbel, démontrant ainsi sa capacité à mobiliser et à inspirer les électeurs à travers tout le pays.
Dans une opération menée ce jeudi, le commandant de la brigade de gendarmerie de proximité de Mako, assisté de ses éléments, a réussi à démanteler l’un des plus grands sites d’orpaillage clandestins de Bagnomba, localité située dans la commune de Tomboronkoto, dans le département de Kédougou.
Cette action fait suite à un renseignement signalant une exploitation clandestine d’or dans la forêt de Bagnomba. En réponse à cet appel, les forces de l’ordre ont rapidement organisé une descente sur les lieux. Sur place, elles ont procédé à l’interpellation d’une dizaine d’individus impliqués dans cette activité illégale.
En plus des arrestations, les autorités ont également saisi plusieurs motos et du matériel utilisé pour l’extraction de l’or. Parmi les objets saisis figuraient des outils et des équipements spécifiques à cette activité.
Les personnes interpellées sont poursuivies pour exploitation illégale d’or et destruction de l’environnement, des infractions sévèrement réprimées par la loi sénégalaise. Après leur garde à vue à la brigade de gendarmerie de Mako, elles seront déférées au parquet de Kédougou pour répondre de leurs actes devant la justice.
Cette opération de démantèlement témoigne de la détermination des autorités à lutter contre les activités d’orpaillage clandestines, qui non seulement portent atteinte à l’environnement, mais contribuent également à l’instabilité sociale et économique de la région. Elle souligne également l’importance de la collaboration entre les forces de l’ordre et la population pour mettre fin à ces pratiques illégales et préserver les ressources naturelles du pays.
Dans une démonstration de dynamisme et d’engagement politique, Abdoulaye Diagne, député de Fatick, a mené une campagne de mobilisation impressionnante dans les communautés de Ndiop et de Fatick en faveur de la candidature d’Amadou Ba à l’élection présidentielle. Son objectif était clair : garantir la victoire d’Amadou Ba dès le premier tour.
À Ndiop, une commune où la jeunesse est active et motivée, Abdoulaye Diagne a su rassembler les jeunes de tous horizons pour soutenir la candidature d’Amadou Ba. Avec charisme et conviction, il a partagé sa vision et son soutien au candidat de Benno Bokk Yaakaar, suscitant ainsi un élan de solidarité et d’enthousiasme parmi les habitants de la région.
Lors des rassemblements à Fatick, où Amadou Ba était présent, Abdoulaye Diagne s’est démarqué comme l’un des principaux artisans de cette mobilisation. Les jeunes, inspirés par son leadership et sa détermination, ont massivement répondu à son appel, se joignant à lui pour promouvoir la candidature d’Amadou Ba.
Abdoulaye Diagne a su galvaniser les foules et créer une véritable dynamique de campagne, mobilisant des jeunes de tous horizons pour soutenir le candidat. Cette mobilisation exceptionnelle, témoignant du pouvoir de la jeunesse dans le processus démocratique, souligne également l’importance d’un leadership politique dynamique et inclusif.
Grâce à des leaders comme Abdoulaye Diagne, qui savent inspirer et mobiliser les jeunes générations, il est possible de créer un changement positif et constructif dans nos sociétés. La campagne menée par Abdoulaye Diagne pour la victoire d’Amadou Ba au premier tour de l’élection a été un succès retentissant, mettant en lumière le potentiel et l’impact des jeunes dans la vie politique. Leur engagement et leur détermination sont des forces essentielles pour construire un avenir meilleur et plus inclusif pour tous.
La caravane de Khalifa Sall a fait escale ce jeudi dans les rues de Saint-Louis, offrant à l’ancien maire de Dakar l’opportunité de recueillir les préoccupations des habitants, notamment ceux de Guet-Ndar. Ce quartier, principalement peuplé de pêcheurs, est confronté à de sérieux défis, en particulier en ce qui concerne l’érosion côtière, une problématique majeure pour la région.
Bamba Mbaye, porte-parole des résidents de Guet-Ndar, a exprimé les difficultés rencontrées par sa communauté lors du passage de Khalifa Sall dans leur quartier. « Le premier problème, c’est l’érosion côtière. Certaines personnes ont été déplacées, mais toutes leurs activités restent ici. Ils sont obligés, tous les jours, de payer le transport pour venir au travail », a-t-il souligné. « Il y a aussi les problèmes des pêcheurs avec les autorités mauritaniennes, parce que la frontière est à deux kilomètres. Tout cela est à l’origine de l’émigration clandestine qui n’était pas l’apanage des Guet-Ndariens ».
Pour Khalifa Sall, ces problèmes sont le résultat de l’échec politique du gouvernement en place depuis deux décennies. Il a ensuite proposé des pistes de solution concrètes en accordant une importance particulière à la consultation des populations locales.
« Pour nous, les problèmes doivent être résolus en collaboration avec les populations qui connaissent mieux leurs préoccupations », a affirmé Khalifa Sall. Concernant l’érosion côtière, il a critiqué les mesures inefficaces prises jusqu’à présent, proposant une approche plus proactive. « Ces pierres posées sur la plage ne peuvent rien régler. Il faut aller là où se trouve le problème pour le régler. Sinon, on va jeter des milliards dans l’eau », a-t-il souligné. Il a également mentionné l’impact de l’exploitation pétrolière sur les pêcheurs locaux, s’interrogeant sur l’absence de compensations financières pour ces communautés.
Khalifa Sall a enfin émis une proposition concrète pour faire face à l’érosion côtière, suggérant la construction d’habitats en hauteur pour les familles touchées, une mesure qui pourrait être appliquée dans toutes les villes côtières confrontées à des défis similaires.
Lors d’un meeting historique à Ziguinchor, Amadou Ba, le candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar, a dévoilé un plan audacieux visant à faire de la Casamance le grenier du Sénégal. Devant une foule enthousiaste, il a annoncé l’allocation d’une enveloppe colossale de mille milliards de francs CFA sur trois ans exclusivement pour la région de Ziguinchor, avec des initiatives similaires prévues pour les autres régions de la Casamance.
« La Casamance a un potentiel énorme dans l’agriculture, la pêche, le tourisme et l’artisanat », a déclaré Amadou Ba. « Nous devons exploiter pleinement ces ressources pour propulser la région vers le développement économique et social. C’est pourquoi nous investirons massivement dans des projets d’infrastructures et de développement humain. »
Ce programme ambitieux vise à résoudre les problèmes urgents auxquels est confrontée la région, notamment l’approvisionnement en eau, l’électricité, la mobilité, la voirie et l’assainissement. En investissant dans ces domaines clés, Amadou Ba espère créer un environnement propice à la croissance économique et à l’amélioration des conditions de vie des habitants de la Casamance.
Pour concrétiser cette vision, Amadou Ba propose également la formation d’un gouvernement d’union nationale, composé d’experts expérimentés en matière de gouvernance. En réunissant des compétences diverses et en s’appuyant sur l’expérience acquise au sein de la coalition Benno Bokk Yaakaar, il vise à mettre en œuvre des réformes essentielles pour faire avancer le Sénégal vers l’émergence d’ici 2030.
« Nous avons besoin d’un Sénégal de paix et de prospérité », a souligné Amadou Ba. « En travaillant ensemble, nous pouvons réaliser notre vision commune d’un pays émergent, où chaque citoyen a la possibilité de prospérer et de contribuer au développement national. »
À Ziguinchor, Amadou Ba a lancé un appel à l’unité et à la mobilisation, invitant tous les Sénégalais à se joindre à lui dans cette marche vers un avenir meilleur pour la Casamance et pour tout le pays.
Mbour a été le théâtre d’un événement politique majeur ce jeudi 21 mars 2024, alors que les habitants ont réservé un accueil triomphal à la candidate Anta Babacar Ngom aux abords du Stade Caroline Faye. L’ampleur de la foule rassemblée était si impressionnante que l’espace autour du stade était à peine suffisant pour contenir la marée humaine qui s’y était réunie. La procession d’Anta Babacar s’est trouvée submergée, mais aussi portée par l’enthousiasme de cette foule vibrante.
La ville de Mbour a déployé des efforts exceptionnels pour offrir une réception grandiose à cette figure emblématique de l’industrie sénégalaise. Anta Babacar Ngom, présidente du mouvement ARC, a été accueillie avec ferveur et excitation par les habitants, témoignant ainsi de l’engouement populaire autour de sa candidature à l’élection présidentielle.
La candidate, connue pour son expertise, son travail acharné et son expérience, incarne les valeurs fondamentales du Sénégal et de sa République. Son engagement politique, jusque-là méconnu, a suscité un véritable engouement et marque une rupture significative dans le paysage politique sénégalais.
Profitant de cette tribune, Anta Babacar Ngom a adressé un message cinglant à ses adversaires politiques. Elle a directement interpellé Bassirou Diomaye Faye sur sa gestion de la création d’emplois, tout en mettant en garde contre toute forme d’usurpation d’identité, faisant une allusion claire à la différence entre lui et Sonko.
Aucun candidat n’a été épargné par les critiques de la jeune candidate. Amadou Ba, représentant de la continuité, a également été la cible d’une critique acerbe : « La nécessité de rupture s’impose à nous. Que Dieu nous préserve de la continuité. Le pouvoir doit être donné aux jeunes, aux femmes et aux travailleurs pour créer des emplois ».
Cette journée à Mbour a non seulement démontré le soutien massif dont bénéficie Anta Babacar Ngom, mais elle a également souligné l’importance de sa candidature dans le débat politique actuel, mettant en lumière les enjeux cruciaux de cette élection présidentielle.
Une ombre de tristesse et de deuil plane sur la campagne électorale alors qu’un militant du Parti de l’Unité et de la Réconciliation (PUR) a été tragiquement fauché par un camion, perdant ainsi la vie dans un accident de la route dévastateur. La victime, identifiée comme P. Seck, se trouvait à bord de sa moto Jakarta au retour d’un meeting du candidat Aliou Mamadou Dia à Thiadiaye.
Le drame s’est produit lorsque la moto de P. Seck a été heurtée de plein fouet par un camion, mettant brutalement fin à la vie de ce fervent militant. Malgré les tentatives désespérées pour le sauver, la gravité de ses blessures a été fatale, plongeant ainsi la communauté politique dans le chagrin et la consternation.
Le corps sans vie de la victime a été transporté au centre de santé de Sandiara, marquant ainsi la fin tragique de cette journée de campagne électorale qui aurait dû être remplie d’espoir et d’enthousiasme.
En cette période de deuil, nos pensées et nos prières accompagnent la famille endeuillée de P. Seck, ainsi que ses amis, ses proches et tous les membres du Parti de l’Unité et de la Réconciliation (PUR). Que leur courage et leur résilience les soutiennent dans cette épreuve difficile.
Cet événement douloureux rappelle l’importance cruciale de la sécurité routière, en particulier pendant les périodes de campagne électorale où les déplacements sont nombreux et souvent précipités. Nous appelons à une plus grande vigilance sur nos routes pour éviter de telles tragédies à l’avenir.
En cette période sombre, nous nous unissons dans la tristesse et la solidarité, honorant la mémoire de P. Seck et nous engageant à œuvrer ensemble pour un avenir où de telles pertes évitables seront éradiquées.
Lors d’un rassemblement dans son fief à Thiadiaye, Aliou Mamadou Dia, candidat du Parti de l’Unité et de la Réconciliation (PUR), a dévoilé la future première dame au public local.
« Je suis fier de vous présenter en exclusivité la future première dame du Sénégal », a déclaré Aliou Mamadou Dia devant les habitants de Thiadiaye.
Au-delà de cette annonce symbolique, le candidat du PUR a exprimé sa volonté de remporter les élections avec une majorité écrasante dès le premier tour, non seulement à Thiadiaye, mais également dans les villes de Mbour, Thiès, et dans tout le Sénégal.
« Que Thiadiaye vote pour moi ou non, je m’engage à la reconstruire. Les politiciens précédents qui ont occupé des postes ministériels n’ont jamais réellement aidé la population. Les femmes sont laissées pour compte, sans accès aux financements nécessaires », a-t-il souligné, affirmant que si élu, Thiadiaye connaîtra un développement significatif et sera reconnue à l’échelle mondiale.
Aliou Mamadou Dia a pointé du doigt les lacunes dans les infrastructures de santé et d’éducation de Thiadiaye, promettant de les améliorer significativement. Il a également souligné que son objectif n’est pas simplement d’occuper un poste, mais de faire progresser le Sénégal vers le rang des nations développées.
« Le développement du Sénégal est notre priorité absolue », a-t-il insisté, s’engageant à tout mettre en œuvre pour réaliser cette vision ambitieuse.
À travers ses déclarations et ses promesses, Aliou Mamadou Dia cherche à convaincre les électeurs de Thiadiaye et de tout le Sénégal de lui accorder leur confiance lors des prochaines élections présidentielles, en lui donnant l’opportunité de diriger le pays vers un avenir meilleur.
La sphère politique sénégalaise est plongée dans la tristesse suite au décès tragique de Mamadou Yatassaye, entrepreneur et candidat recalé à l’élection présidentielle du 24 mars. Mamadou Yatassaye s’est éteint ce jeudi 21 mars 2024 après avoir été victime d’un malaise, selon ses proches.
À la tête du mouvement « S’unir pour demain », Mamadou Yatassaye avait lancé sa candidature à la présidentielle avec une grande ambition et une détermination sans faille. Malheureusement, malgré ses efforts acharnés, il n’a pas réussi à obtenir le nombre de parrainages requis, le privant ainsi de sa participation à la course à la magistrature suprême.
En cette période de deuil, Ledakarois présente ses plus sincères condoléances à la famille de Mamadou Yatassaye, à ses proches et à tous ceux qui ont partagé sa vision pour l’avenir du Sénégal. Que nos prières accompagnent son âme dans son dernier voyage, et que son engagement et son dévouement envers son pays laissent une marque indélébile dans l’histoire politique du Sénégal.
La ville de Tivaouane est endeuillée par la perte tragique de Mame Ousmane Sy Dabakh, fils de Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh, survenue ce jeudi 21 mars 2024 à Dakar. Héritier d’une lignée spirituelle prestigieuse et descendant d’El Hadj Malick Sy, ce marabout était le fils cadet de feu Mame Dabakh.
La nouvelle de son décès a plongé la communauté tidiane dans une profonde tristesse. Mame Ousmane Sy Dabakh était un homme respecté et aimé, connu pour sa piété et sa dévotion envers la voie soufie. Sa disparition laisse un vide immense dans le cœur de ceux qui l’ont connu et côtoyé.
En cette période de deuil, les pensées et les prières de toute la communauté se tournent vers le khalife général des tidianes ainsi que vers le khalife de son père, Maodo Sy Dabakh, et toute la Ummah islamique. Leur perte est ressentie profondément, et ils méritent tout notre soutien et notre réconfort dans cette épreuve douloureuse.
La rédaction de Seneweb adresse ses plus sincères condoléances à la famille Sy Dabakh et à tous les proches de Mame Ousmane Sy Dabakh. Que Dieu leur accorde la patience et la force nécessaires pour traverser cette période difficile. Que son âme repose en paix.
Dans le cadre des préparatifs de l’élection présidentielle prévue pour le dimanche 24 mars 2024, le ministère de l’Intérieur a pris des mesures exceptionnelles visant à assurer la sécurité et le bon déroulement du scrutin. Parmi ces mesures, l’interdiction de la circulation interrégions des véhicules constitue une disposition majeure.
Selon un communiqué officiel émis par le ministère de l’Intérieur, aucune circulation entre les régions du pays ne sera autorisée le jour du scrutin présidentiel. Cette mesure vise à garantir un environnement sécurisé et propice au déroulement harmonieux du processus électoral dans toutes les régions du pays.
Toutefois, des dérogations à cette interdiction peuvent être accordées à titre exceptionnel. Les personnes ayant un motif impérieux de se déplacer d’une région à une autre le jour de l’élection présidentielle doivent obtenir une autorisation de circulation délivrée par le ministère de l’Intérieur ou par les gouverneurs de région compétents.
Cette décision intervient dans le contexte de la mobilisation générale pour garantir la transparence et la crédibilité du scrutin présidentiel. En restreignant la circulation interrégions des véhicules, les autorités cherchent à limiter les risques potentiels d’incidents ou de perturbations pouvant affecter le bon déroulement du vote dans les différentes régions du pays.
Il est donc recommandé à tous les citoyens de respecter scrupuleusement ces consignes et de coopérer pleinement avec les autorités compétentes afin de garantir le succès de l’élection présidentielle et le respect des principes démocratiques fondamentaux.
Cette mesure d’interdiction de la circulation interrégions des véhicules témoigne de l’engagement du gouvernement à assurer la sécurité et la stabilité lors du processus électoral. Elle souligne également l’importance accordée à la préservation de l’intégrité et de la souveraineté du processus démocratique au Sénégal.
Une affaire troublante de viol et d’avortements secoue la ville, impliquant S. D. Fall, âgé de 38 ans, et la fille de son ex-épouse, M. A. S. Ndiaye. S. D. Fall, un menuisier des Hlm2, est accusé de viol par la jeune fille, qui l’accuse également d’avoir provoqué quatre avortements. Cependant, S. D. Fall nie les accusations, dénonçant un complot orchestré par son ex-épouse.
L’enquête, menée par la police des HLM, a conduit à l’arrestation de S. D. Fall le 2 février 2024. Il a été déféré devant le procureur de la République et inculpé avant d’être placé sous mandat de dépôt. La plaignante, une domestique de 19 ans, a déclaré avoir été victime de viols répétés par S. D. Fall depuis 2017, après le divorce de ses parents. Elle affirme qu’il l’a forcée à subir quatre avortements en lui administrant des comprimés et des substances dangereuses.
M. A. S. Ndiaye relate des épisodes de violences sexuelles et de menaces de mort de la part de S. D. Fall, allant jusqu’à le confronter dans son nouveau foyer où il s’est présenté comme son oncle. Face à ces accusations, S. D. Fall rejette la faute sur son ex-épouse, suggérant qu’elle aurait inventé cette histoire après leur divorce pour le discréditer.
Des éléments de preuve, y compris des messages vocaux confirmant des relations intimes entre S. D. Fall et la plaignante, ont été découverts. Cependant, S. D. Fall maintient que l’affaire est montée de toutes pièces par son ex-épouse, malgré les résultats d’un examen gynécologique montrant des signes de violence sexuelle ancienne.
L’affaire, qui a éclaté au grand jour, soulève des questions sur la protection des victimes de violences sexuelles et sur la manière dont les accusations de viol sont traitées par les autorités judiciaires. Elle met également en lumière les tensions et les conflits familiaux qui peuvent souvent compliquer la recherche de justice dans de telles affaires.
Dans la nuit du mardi 21 mars, un événement choquant a secoué la ville de Dahra Djoloff : trois individus ont été appréhendés en flagrant délit de vol de câbles téléphoniques en cuivre appartenant à la Société nationale des télécommunications Sonatel. Les suspects, nommés Amath Samba, Seydou Sow et Serigne Mbacké Ndiaye, ont été pris sur le fait alors qu’ils chargeaient le matériel volé dans une camionnette garée près des installations de la Sonatel en périphérie de la ville.
Amath Samba, technicien en fibre optique et en cuivre, Seydou Sow, marchand de bétail, et Serigne Mbacké Ndiaye, chauffeur, ont été immédiatement placés en garde à vue après la saisie du véhicule et la confiscation du matériel volé.
Les suspects font face à plusieurs accusations, notamment association de malfaiteurs, vol en réunion commis la nuit et complicité de vol, avec usage de moyen de location. Cette affaire a suscité une vive réaction dans la communauté locale et a été largement médiatisée, attirant l’attention sur les enjeux de sécurité et de prévention du vol de câbles dans la région.
Une enquête approfondie a été lancée par la gendarmerie de Dahra pour faire toute la lumière sur cette affaire et fournir des réponses à la population concernant les circonstances exactes du vol et les éventuels complices impliqués. Cette affaire rappelle l’importance de la vigilance citoyenne et de la coopération avec les autorités pour lutter contre la criminalité et protéger les infrastructures essentielles.
Le Ministère de l’Intérieur a annoncé dans un communiqué que la circulation interrégions des véhicules sera interdite le dimanche 24 mars 2024, jour de l’élection présidentielle. Cette mesure vise à garantir la sécurité et le bon déroulement du scrutin dans tout le pays.
Toutefois, des dérogations peuvent être accordées à titre exceptionnel. Les personnes nécessitant de se déplacer d’une région à une autre ce jour-là doivent obtenir une autorisation de circulation délivrée par le Ministère de l’Intérieur ou par les gouverneurs de région.
Cette restriction vise à limiter les déplacements non essentiels et à assurer la tranquillité publique pendant le processus électoral. Les autorités encouragent les citoyens à coopérer en respectant scrupuleusement ces mesures afin de garantir le bon déroulement de l’élection présidentielle.
Il est recommandé à tous les citoyens de se tenir informés des directives officielles et de planifier leurs déplacements en conséquence, en prenant en compte les éventuelles restrictions de circulation mises en place pour cette journée cruciale dans la vie démocratique du pays.
Un incendie d’une intensité rare a ravagé l’hôpital de Bala, laissant derrière lui un tableau de destruction massive. Heureusement, le personnel médical et les patients ont été évacués en sécurité, mais les dégâts matériels sont considérables. Les autorités ont dépêché la 61e compagnie d’incendie et de secours pour maîtriser les flammes, nécessitant une intervention d’urgence pour contenir le sinistre.
Cet événement tragique a secoué la communauté locale, plongeant l’établissement de santé dans le chaos et la désolation. Les images de l’incendie témoignent de la violence des flammes et de l’ampleur des dommages infligés à l’hôpital de Bala.
Une enquête a été lancée par les autorités locales pour déterminer les causes exactes de l’incendie, dans le but de comprendre les circonstances qui ont conduit à cette catastrophe. Les forces de l’ordre sont mobilisées pour recueillir des preuves et établir les responsabilités, dans l’espoir d’apporter des réponses à cette tragédie et d’empêcher qu’elle ne se reproduise à l’avenir.
En attendant, la communauté se rassemble pour soutenir les efforts de reconstruction et pour offrir un soutien aux personnes affectées par cet événement dévastateur. L’hôpital de Bala, bien qu’éprouvé, reste un pilier essentiel de la santé publique dans la région, et sa reconstruction sera un témoignage de la résilience et de la solidarité de la communauté face à l’adversité.
Dans le paysage politique sénégalais, les voix se multiplient et les soutiens se dessinent en vue de l’élection présidentielle de 2024. Parmi elles, celle du Collectif des Anciens de l’Union des Jeunesses Travaillistes Libérales du Parti Démocratique Sénégalais (CUJTL) en faveur de Idrissa Seck, candidat à la présidentielle, se fait entendre avec force.
Dans un communiqué récent, le collectif a clairement exposé les raisons de son choix en faveur de Idrissa Seck. Tout d’abord, le collectif reconnaît l’ancienneté et l’engagement de Idrissa Seck au sein du PDS. Ayant occupé des postes de responsabilité au sein du parti, il est perçu comme un acteur majeur dans son ascension jusqu’à la conquête du pouvoir.
Par ailleurs, le professionnalisme et les compétences avérées de Idrissa Seck sont mises en avant par le collectif. Ayant occupé des fonctions ministérielles, il a su démontrer son expertise et sa capacité à gérer les affaires de l’État avec rigueur et succès.
Le programme politique de Idrissa Seck, notamment son plan PACTE, est également salué par le collectif. Considéré comme un moyen de réconcilier les Sénégalais autour des enjeux essentiels et de restaurer l’autorité de l’État, ce programme incarne les valeurs défendues par le CUJTL.
Le collectif souligne également l’importance du culte du travail prôné par Idrissa Seck, ainsi que son expérience et sa sagesse acquises au fil des années. Ces qualités font de lui, selon le collectif, le candidat idéal pour conduire le Sénégal vers l’émergence et répondre aux défis actuels et futurs du pays.
Enfin, le Collectif des Anciens de l’UJTL appelle tous les Sénégalais, en particulier ceux qui partagent les valeurs de paix et de justice, à soutenir massivement la candidature de Idrissa Seck lors de l’élection présidentielle. Pour le collectif, Idrissa Seck est l’homme de la situation, capable de garantir la paix et la stabilité pour le Sénégal.
le soutien du Collectif des Anciens de l’UJTL à la candidature de Idrissa Seck témoigne de la confiance placée en lui par ceux qui ont contribué à l’histoire du PDS. Son expérience, son professionnalisme et son engagement en faveur du bien-être du Sénégal font de lui un candidat incontournable dans la course à la présidentielle de 2024.
Alors que l’Équipe Nationale du Sénégal se prépare pour son match amical contre le Gabon ce vendredi, le sélectionneur Aliou Cissé a annoncé quelques soucis physiques dans son effectif. Ainsi, Arouna Sangante et Pape Gueye seront absents pour cette rencontre.
Lors de sa conférence de presse avant le match, Aliou Cissé a expliqué que Arouna Sangante a reçu un coup à la jambe, tandis que Pape Gueye a rencontré un problème au niveau de son genou. Cependant, le sélectionneur s’est montré rassurant en affirmant que ces deux joueurs devraient être remis sur pied pour le prochain match contre le Bénin.
« En réalité, tout le monde sera apte pour mardi », a ajouté Aliou Cissé, soulignant ainsi sa confiance dans la récupération rapide de ses joueurs. Cette nouvelle apporte un soulagement pour l’Équipe Nationale du Sénégal, qui pourra compter sur son effectif complet pour le match suivant.
Le football international est de retour cette semaine avec ce match amical entre le Sénégal et le Gabon, offrant aux fans l’occasion de voir leurs équipes nationales en action. Malgré ces absences temporaires, l’équipe sénégalaise reste déterminée à offrir une performance de haut niveau et à poursuivre sa préparation en vue des prochains défis à venir.
La justice du Brésil a tranché: l’ex-footballeur brésilien Robinho va devoir purger dans son pays une condamnation à neuf ans de prison pour viol en réunion, une peine prononcée par contumace en Italie et qui pourrait s’appliquer dans les prochaines heures.
Par une large majorité de neuf votes sur onze, les magistrats du Tribunal supérieur de justice (STJ) – parmi lesquels une seule femme – ont décidé que Robson de Souza, dit Robinho, 40 ans, pourrait être incarcéré dans son pays natal.
L’ancien international aux 100 sélections a été reconnu coupable en Italie du viol en réunion d’une jeune Albanaise qui fêtait ses 23 ans dans une boîte de nuit milanaise. Les faits remontent à 2013.
L’ex-star de la « Seleçao » et du Real Madrid réside actuellement à Santos (sud-est) et n’assistait pas aux débats qui se sont tenus à Brasilia.
La décision du STJ est à effet « immédiat ». Mais après l’audience l’avocat de Robinho, José Eduardo Alckmin, a déclaré à des journalistes qu’il déposerait des recours devant le STJ et qu’il saisirait la Cour suprême pour éviter une incarcération.
« Robinho est à la disposition de la justice », a-t-il affirmé, reconnaissant que l’émission d’un ordre de détention pouvait être une « question d’heures ».
L’ex-attaquant, qui jouait à l’AC Milan au moment des faits, était déjà rentré au Brésil lors de sa condamnation à neuf ans de réclusion par la justice italienne en 2017, une peine confirmée par la Cour de cassation en janvier 2022.
La Constitution du Brésil ne permettant pas l’extradition de ses ressortissants, l’Italie a réclamé en février 2023 qu’il purge sa peine dans son pays natal, ce qui est possible depuis une loi brésilienne de 2017.
Si cette demande n’était pas acceptée, « l’Etat brésilien permettrait l’impunité face à un crime reconnu par un Etat étranger », a déclaré le premier juge à voter, Francisco Falcao.
Les magistrats n’ont pas jugé le fond de l’affaire, mais ont seulement évalué si la demande de la justice italienne était recevable d’un point de vue juridique.
La défense avait réclamé qu’un nouveau procès sur le fond ait lieu au Brésil, comme c’est « le droit, la garantie individuelle de tout citoyen brésilien ».
Selon l’acte d’accusation, Robinho et cinq autres Brésiliens avaient fait boire leur victime « jusqu’à la laisser inconsciente et incapable de se défendre » et avaient eu ensuite des « rapports sexuels plusieurs fois de suite » avec elle.
L’ancien footballeur a toujours clamé son innocence, comme il l’a fait une nouvelle fois dimanche, attribuant sa condamnation au « racisme ».
« C’était consenti. Je n’ai jamais nié (avoir eu des relations avec la victime, NDLR). J’aurais pu le nier car mon ADN n’a pas été retrouvé, mais je ne suis pas un menteur », a-t-il dit lors d’un entretien à la chaîne brésilienne TV Record.
« J’ai joué quatre ans en Italie et j’ai vu des tas d’histoires de racisme (…). Les personnes qui m’ont condamné sont les mêmes qui ne font rien contre le racisme », a-t-il lancé.
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva s’était dit favorable à ce que Robinho purge sa peine dans son pays, pour « payer le prix de son irresponsabilité ». Le viol est un crime « impardonnable », avait-il souligné.
Formé à Santos, le club du « Roi Pelé », Robinho a joué dans de grands clubs européens mais sa carrière n’a jamais atteint les sommets qui lui semblaient promis.
En 2020, il a tenté un dernier come-back à Santos, mais son contrat a été résilié sous la pression de supporters et de sponsors en raison de sa condamnation pour viol, mettant ainsi fin à sa carrière.
Le sort de Robinho s’est joué le jour où un autre ancien international brésilien, Daniel Alves, a vu sa demande de remise en liberté sous caution acceptée par la justice espagnole, après une condamnation le mois dernier à quatre ans et demi de prison pour viol en première instance.
L’ex-latéral du FC Barcelone et du Paris SG pourra ainsi quitter la prison dans l’attente de son jugement en appel, moyennant le paiement d’un million d’euros.
L’affaire Alves a eu un écho dans le monde entier, mais n’a pas suscité la moindre réaction de la part de la Confédération brésilienne de football (CBF), des clubs ou d’anciens coéquipiers l’ayant côtoyé au sein de la Seleçao.
Kylian Mbappé est le joueur le mieux rémunéré de France avec un salaire brut annuel de 6 millions d’euros, selon ‘L’Équipe’. Il devance d’autres coéquipiers du PSG tels qu’Ousmane Dembélé, Marquinhos, Lucas Hernández ou Milan Skriniar, mais il les surpasse tous de loin, car ils touchent environ un million d’euros.
Kylian Mbappé, avec un salaire brut de 6 millions d’euros par mois, est une fois de plus le footballeur le mieux payé de France, dépassant de loin ceux qui le suivent, Ousmane Dembélé, Marquinhos, Lucas Hernández et Milan Skriniar, tous également du Paris Saint-Germain.
Dans la liste des salaires des joueurs de la ligue française, publiée par ‘L’Équipe’ ce jeudi pour la huitième année consécutive, les 10 footballeurs de L1 les mieux payés sont du PSG, qui domine largement les autres clubs, avec une rémunération moyenne de 937 500 euros par mois. Ensuite viennent l’Olympique de Marseille, avec une moyenne de 261 000 euros, l’Olympique Lyonnais avec 180 000 et l’AS Monaco avec 155 000.
Mbappé, Dembélé, Marquinhos, Hernández et Skriniar sont les seuls à dépasser le seuil du million d’euros mensuel, et ensuite viennent les mieux rémunérés : Donnarumma (849 500 euros), Asensio (831 000), Kolo Muani (750 000), Hakimi (738 600) et Mukiele (700 000).
Les premiers de la liste qui ne portent pas les couleurs du PSG, aux onzième et douzième places, sont Aubameyang, de l’Olympique de Marseille (650 000) et BenYedder, de l’AS Monaco (650 000).
Au total, parmi les 30 joueurs français les mieux payés, 18 sont du club de la capitale, 6 de Lyon, 5 de Marseille et seulement un de Monaco. Malgré tout, la masse salariale du PSG diminue et continuera de le faire.