Montée de la stigmatisation des « Peul Fouta » : Une association recadre Tahirou Sarr

L’Initiative sénégalaise pour le dialogue interculturel Sanakuyaa a publié une note condamnant vivement les discours xénophobes et stigmatisants à l’encontre de la communauté « Peul Fouta », attribués au politicien Tahirou Sarr. Dans ce communiqué, l’association dénonce les propos jugés intempestifs de Sarr, qu’elle estime être relayés par certains médias et amplifiés sur les réseaux sociaux, mettant ainsi en péril la coexistence pacifique au Sénégal.

L’association souligne que ces discours alimentent des préjugés infondés et des stéréotypes nocifs, menaçant la cohésion sociale et la paix dans le pays. Elle conteste également les chiffres avancés sur le nombre de membres de la communauté « Peul Fouta » vivant illégalement au Sénégal, ainsi que les allégations mensongères sur leur prétendue implication dans des activités criminelles, les qualifiant de sans fondement.

Sanakuyaa déplore la complicité tacite de certains acteurs des médias sénégalais qui relaient ces discours xénophobes et stigmatisants. Elle rappelle que la diversité culturelle et ethnique est une richesse pour le pays et appelle à lutter contre la xénophobie en promouvant des messages d’inclusion, de tolérance et de respect mutuel.

En conclusion, l’Initiative Sénégalaise pour le Dialogue Interculturel réaffirme son engagement en faveur de la promotion de la paix, de l’harmonie et du respect des droits humains pour tous les citoyens du Sénégal, et appelle à un rejet collectif de la haine et de la discrimination.

Tentative d’assassinat : Un chauffeur attaque l’amant présumé de sa femme

O. Dia, chauffeur de profession, comparaissait devant la Cour de la Chambre criminelle de Mbour pour tentative d’assassinat sur A. Mboup, un boutiquier accusé d’entretenir une relation adultérine avec sa femme. Les faits remontent au 28 octobre 2020, lorsque O. Dia aurait attaqué A. Mboup avec un gourdin, causant cinq blessures au crâne de ce dernier et lui infligeant une incapacité temporaire totale de 21 jours.

Selon le récit d’O. Dia devant la cour, il aurait découvert un talisman dans sa chambre et aurait confronté sa femme à ce sujet, apprenant que le talisman appartenait à A. Mboup. Ce dernier aurait ensuite présenté des excuses à O. Dia, affirmant avoir perdu sa virilité après leur liaison. Plus tard, O. Dia aurait surpris A. Mboup et l’aurait violemment attaqué avec un gourdin.

Les avocats de la défense ont plaidé pour des circonstances atténuantes, tandis que le procureur a soutenu la préméditation des actes d’O. Dia et a requis 10 ans de réclusion criminelle contre lui. La partie civile a également réclamé une indemnisation de 2 millions de francs CFA pour le préjudice subi.

Cette affaire soulève des questions sur la violence conjugale et les répercussions des relations extraconjugales sur la vie des individus impliqués. La cour devra désormais rendre son verdict dans cette affaire délicate.

Le lutteur Lac de Guiers entre les mains de la justice pour escroquerie

Le lutteur Lac de Guiers 2 se retrouve au cœur d’une affaire d’escroquerie, ayant été arrêté par les forces de l’ordre du commissariat central de Guédiawaye. Accusé d’avoir escroqué un montant de 21 millions de francs CFA à neuf plaignants, le chef de file de l’écurie Walo a été présenté ce matin au procureur de la République du Tribunal de Grande Instance (TGI) de Pikine-Guédiawaye.

Cette affaire remonte à une prétendue escroquerie où Lac de Guiers 2, accompagné de son complice A. S. Diagne – actuellement en cavale et supposément localisé en Europe selon une source de Seneweb – aurait perçu de l’argent de candidats à l’émigration avant de disparaître.

Face aux plaintes des victimes, le parquet de Pikine-Guédiawaye a ordonné une enquête policière pour faire toute la lumière sur cette affaire. Cependant, les deux suspects étaient en fuite jusqu’à ce que Lac de Guiers 2 soit appréhendé à son retour à Dakar.

La situation actuelle laisse le sort du lutteur entre les mains de la justice sénégalaise, qui devra statuer sur cette affaire d’escroquerie présumée et décider des mesures à prendre à l’encontre des accusés.

Diop SY appelle à l’implication des maires dans le processus du PGIIS

Lors d’une intervention sur le Plan de Gestion Intégrée des Inondations au Sénégal (PGIIS), Diop SY a exprimé le besoin crucial d’associer les maires au processus. Ses propos soulignent l’importance de la participation des autorités locales pour une mise en œuvre efficace du PGIIS et une gestion proactive des inondations.

Intervention d’Ousmane Sonko lors du Conseil interministériel sur l’inondation et le PGIIS

Ousmane Sonko, leader politique et figure publique, a pris la parole lors du Conseil interministériel consacré à la gestion des inondations et au Plan de Gestion Intégrée des Inondations au Sénégal (PGIIS). Sa prise de parole a été marquée par des propositions et des observations pertinentes visant à renforcer l’efficacité des mesures prises pour faire face à ce problème majeur.

Conseil interministériel sur l'inondation/PGIIS: Discours de Ousmane Sonko...

Réunion interministérielle sur la gestion des inondations : Engagement et résolution pour un plan d’action efficace

Les autorités gouvernementales se sont réunies lors d’un conseil interministériel pour discuter de la gestion des inondations et du Plan de Gestion Intégrée des Inondations au Sénégal (PGIIS). Lors de cette réunion, des discours ont été prononcés mettant en avant l’engagement et la résolution à mettre en œuvre un plan d’action efficace pour faire face à ce défi majeur.

Conseil interministériel sur l'inondation/PGIIS: discours de la résolution...

Abdourahmane Diouf s’engage à instaurer un calendrier académique intangible au Sénégal

Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, El Hadji Abdourahmane Diouf, a annoncé son intention de mettre en place un calendrier académique intangible au Sénégal, lors d’une déclaration à Dakar jeudi dernier. Il a exprimé son engagement à travailler en collaboration avec les acteurs universitaires pour atteindre cet objectif.

Selon M. Diouf, le rétablissement d’un calendrier académique stable pourrait résoudre de nombreuses difficultés financières rencontrées par le secteur de l’enseignement supérieur. Il a souligné l’importance d’une concertation avec les parties prenantes lors d’un séminaire prévu à la fin du mois de mai, afin d’aborder diverses questions liées au calendrier universitaire, telles que le recrutement des enseignants-chercheurs, le statut des vacataires, et les chantiers inachevés du ministère.

Le ministre a souligné que depuis près d’une décennie, le Sénégal connaît des fluctuations constantes dans son calendrier académique, ce qui a des répercussions négatives sur le plan académique et financier. Par exemple, il a noté que de nombreuses licences sont délivrées sur une période de quatre années au lieu de trois, ce qui entraîne des coûts supplémentaires pour l’État et les étudiants.

Abdourahmane Diouf a également abordé la question de l’orientation des bacheliers, soulignant que les retards dans ce processus ont été un problème persistant. Il s’est fixé comme objectif d’orienter les étudiants avant la fin du mois d’août, et a assuré que des efforts étaient déployés dans ce sens.

En résumé, l’instauration d’un calendrier académique intangible représente un engagement majeur du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation en vue d’améliorer la qualité et la gestion de l’enseignement supérieur au Sénégal.

Rapatriement de 131 migrants sénégalais du Maroc : Une opération humanitaire coordonnée

À partir de mardi prochain, un total de 131 migrants sénégalais, séjournant dans les centres d’accueil de Bir-Gandouz et d’Argoub au Maroc, seront rapatriés vers le Sénégal. Cette initiative découle des efforts conjoints entre les autorités sénégalaises et marocaines pour assurer la sécurité et le bien-être de ces ressortissants.

Selon une source diplomatique, ces migrants ont été secourus dans l’océan Atlantique par la marine royale marocaine les 26 avril et 1er mai 2024. Après avoir séjourné dans les centres d’accueil, ils seront désormais rapatriés vers leur pays d’origine.

Le premier convoi, composé de ces 131 ressortissants sénégalais, quittera le poste frontière de Guerguerate le mardi 21 mai 2024 à 10 heures pour arriver à Saint-Louis le lendemain en début d’après-midi. Cette opération de rapatriement s’inscrit dans le cadre des efforts visant à faciliter le retour sécurisé des migrants vers leur terre natale.

Par ailleurs, il est signalé qu’aucune embarcation n’est arrivée dans la région de Dakhla-Oued entre le 2 et le 18 mai 2024. Cette information a été confirmée par la représentation diplomatique du Sénégal à Dakhla, une région du sud marocain.

Ce rapatriement témoigne de l’engagement des autorités sénégalaises et marocaines à traiter de manière humanitaire la question des migrants en situation de vulnérabilité. Il souligne également l’importance de la coopération internationale dans la gestion des flux migratoires et la protection des droits des migrants.

Lancement officiel des conseils de quartiers à Richard-Toll : Un pas vers une gouvernance locale inclusive

L’Agence Régionale de Développement (ARD) de Saint-Louis a marqué le début du processus de mise en place des conseils de quartiers à Richard-Toll, dans le cadre d’une initiative visant à promouvoir une gouvernance locale participative et inclusive. La cérémonie de lancement s’est tenue mercredi dernier au quartier Campement Sileymane de Richard-Toll, en présence des autorités administratives, des partenaires techniques et financiers.

Abdourahmane Guèye, responsable de la division planification et renforcement des capacités et bonne gouvernance à l’ARD de Saint-Louis, a souligné l’importance de cette initiative pour accompagner la commune de Richard-Toll dans sa politique de bonne gouvernance. Il a expliqué que la mise en place des conseils de quartiers est un élément clé de la gouvernance territoriale, favorisant la participation citoyenne et renforçant la gestion des affaires locales.

Ces conseils de quartiers, en renforçant la coordination entre les acteurs locaux, contribueront à promouvoir le « droit à la ville » et à garantir une gouvernance locale inclusive et équitable dans la municipalité de Richard-Toll. Monsieur Guèye a également appelé à la collaboration de la commune et des délégués de quartier pour une mise en place rapide des conseils dans les douze quartiers, comprenant la formation des bureaux et la mise en place des collectifs pour démarrer rapidement les activités en partenariat avec les différents intervenants.

Abou Ly, membre du conseil économique, social et environnemental et représentant du maire Amadou Mame Diop, a salué la maturité des candidats et a encouragé le quartier à soutenir le président élu pour mener à bien son travail.

Le nouveau président du conseil de quartier, Thierno Mountaga Amadou Diallo, s’est engagé, aux côtés des autres membres, à travailler en étroite collaboration pour répondre aux attentes des populations et faire progresser le développement local.

Ce lancement officiel des conseils de quartiers à Richard-Toll constitue ainsi une étape importante vers une gouvernance locale plus participative et transparente, permettant aux citoyens d’être davantage impliqués dans la prise de décision et la gestion de leurs quartiers.

Mauvaise qualité des repas au campus de Diourbel de l’UAD : Protestations des étudiants et réponses des autorités

Les étudiants du campus de Diourbel de l’université Alioune Diop (UAD) de Bambey ont exprimé leur mécontentement face à la mauvaise qualité des repas servis au restaurant universitaire. Jeudi dernier, les étudiants en médecine et en santé communautaire ont organisé une journée sans ticket et ont interrompu leurs activités pédagogiques pour dénoncer cette situation.

La représentante des étudiants en médecine, Astou Guèye, a déclaré devant la presse que depuis dix jours, le restaurant du campus de Diourbel propose des plats à base de poulets avariés, entraînant même des cas d’intoxication chez certains étudiants. Cette situation alarmante a conduit les étudiants à prendre des mesures drastiques pour attirer l’attention des autorités sur ce problème persistant.

Face à cette mobilisation des étudiants, le directeur du centre régional des œuvres universitaires sociales (CROUS) de l’université Alioune Diop, Moustapha Guèye, a reconnu qu’il y avait eu des problèmes avec la restauration. Cependant, il a assuré que des mesures étaient prises pour améliorer la situation, notamment par l’acquisition de nouveau matériel et le renforcement de l’équipe de restauration.

Malgré les efforts annoncés, les étudiants restent vigilants et appellent les autorités à prendre des mesures concrètes pour garantir une alimentation saine et de qualité sur le campus. Ils insistent sur le fait que leurs ventres ne doivent pas servir de décharge pour des repas de mauvaise qualité.

Le campus de l’UAD à Diourbel, accueillant plus de quatre cents étudiants, dispose d’un seul restaurant universitaire, ce qui rend d’autant plus crucial d’assurer la qualité des repas servis pour la santé et le bien-être des étudiants.

Lancement d’une réflexion sur le renforcement du secteur informel au Sénégal

L’université numérique Cheikh Amidou Kane (UN-CHK) a ouvert le débat sur le renforcement du secteur informel lors d’un colloque visant à explorer les voies et moyens pour soutenir cette importante facette de l’économie sénégalaise. L’événement, qui se déroule sur deux jours, marque le début d’une réflexion approfondie en vue de la création future d’une licence, d’un master et ultérieurement d’un doctorat en sociologie économique axé sur le secteur informel.

Le recteur de l’UN-CHK, le professeur Moussa Lô, a mis en avant l’objectif du colloque, qui vise à fournir un cadre scientifique pour une recherche-action interdisciplinaire visant à renforcer l’ancrage sociétal des groupes professionnels informels. Il a souligné l’engagement de l’université à identifier et à résoudre les principaux obstacles auxquels sont confrontés les travailleurs du secteur informel, tels que l’accès limité aux marchés, aux financements et aux services de soutien.

L’initiative de l’UN-CHK s’inscrit dans une perspective de développement économique et social durable pour la communauté sénégalaise. En effet, le secteur informel, bien que souvent marginalisé, joue un rôle crucial en tant que pourvoyeur d’emplois et de biens essentiels. Le colloque vise ainsi à élaborer des solutions durables pour promouvoir le secteur informel et renforcer l’économie nationale.

Pour le professeur Aladji Mamadou Sané, directeur du pôle lettres, sciences humaines et de l’éducation, le secteur informel représente à la fois un défi et une opportunité pour le pays. Malgré sa contribution incontestable à l’économie, il reste confronté à des défis tels que le manque d’accès aux services financiers et la précarité de l’emploi. Il est donc impératif de réfléchir collectivement à des moyens de soutenir et de renforcer ce secteur vital.

Dr Absa Gassama, enseignante-chercheure à l’UN-CHK et présidente du comité d’organisation incubateurs du secteur informel, a souligné l’importance d’accompagner les acteurs du secteur informel. Des programmes de formation seront mis en place pour aider ces travailleurs à développer leurs entreprises informelles et à accéder à des emplois décents.

Cette initiative de l’UN-CHK s’inscrit dans une vision à long terme visant à renforcer l’économie sénégalaise et à promouvoir le développement durable à travers tout le pays.

Mise en œuvre du marché carbone : les acteurs concernés appelés à s’impliquer fortement

La mise en œuvre du marché carbone au Sénégal suscite un appel à l’action et à l’engagement de la part des acteurs de l’environnement. Lors d’un atelier de validation du Manuel opérationnel pour la mise en œuvre des marchés carbone au Sénégal, la cheffe de la division changement climatique au ministère de l’Environnement et du Développement durable, Madeleine Diouf Sarr, a souligné l’importance d’une forte implication de tous les acteurs concernés.

Ce manuel opérationnel est conçu pour combler les lacunes dans l’architecture du marché carbone national. Son objectif est de clarifier les règles de fonctionnement du marché et de renforcer le portefeuille de projets environnementaux à l’échelle nationale. Selon Madeleine Sarr, cette initiative contribuera à promouvoir un développement sobre en carbone et résilient au climat, une priorité pour un pays comme le Sénégal, confronté aux effets néfastes du changement climatique.

L’appel à l’implication concerne tous les acteurs, qu’ils soient du secteur public, privé, de la société civile ou des collectivités locales. Il s’agit de garantir le succès du manuel et d’assurer une mise en œuvre efficace des politiques environnementales dans le pays. Cet engagement est crucial pour répondre aux objectifs nationaux de lutte contre le changement climatique et pour réaliser la Contribution déterminée au niveau national (CDN).

L’atelier de validation du manuel représente une étape importante dans le processus de mise en place de sources de financement appropriées pour la lutte contre le changement climatique. Il vise également à créer les conditions optimales pour une participation active au marché carbone par toutes les parties prenantes impliquées.

Pour Libasse Ba, président du comité national sur les changements climatiques, la participation du Sénégal aux marchés internationaux du carbone offre une opportunité majeure pour valoriser les actions du pays en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES). Cette participation peut non seulement contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, mais aussi stimuler le développement économique et social du Sénégal.

La mise en œuvre du marché carbone au Sénégal représente un engagement majeur dans la lutte contre le changement climatique et offre des opportunités importantes pour le développement durable du pays.

Nomination de Monsieur Elimane POUYE en tant que Directeur Général de la SOGEPA SN

La Société de Gestion et d’Exploitation du Patrimoine Bâti de l’État (SOGEPA SN) accueille un nouveau leader en la personne de Monsieur Elimane POUYE, récemment nommé Directeur Général. Cette décision, prise avec discernement, marque une étape significative dans la gestion et la valorisation du patrimoine immobilier de l’État.

Monsieur Elimane POUYE, Inspecteur des Impôts et des Domaines, apporte avec lui une expertise approfondie et une expérience éprouvée dans le domaine de la gestion patrimoniale. Son parcours professionnel exemplaire et sa connaissance pointue des mécanismes fiscaux en font un choix éclairé pour diriger les destinées de la SOGEPA SN.

Sa nomination en tant que Directeur Général témoigne de la volonté gouvernementale de rationaliser et d’optimiser la gestion du patrimoine immobilier de l’État. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son dévouement, ainsi que la confiance en sa capacité à dynamiser cette société stratégique pour le développement économique et social du pays.

En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Elimane POUYE s’engage à mettre en œuvre une gestion transparente et efficace du patrimoine immobilier de l’État. Sa vision stratégique et son leadership éclairé seront des atouts précieux pour valoriser les actifs immobiliers de l’État et en optimiser l’exploitation dans l’intérêt général.

Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une SOGEPA SN plus performante et plus transparente, contribuant ainsi à la mobilisation des ressources financières pour le développement du pays. Nous sommes convaincus que Monsieur Elimane POUYE saura relever ce défi avec détermination et compétence, et contribuer ainsi à l’amélioration du patrimoine et à la création de valeur pour l’État et pour la nation dans son ensemble.

En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Elimane POUYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions en tant que Directeur Général de la SOGEPA SN. Puissent ses actions contribuer à l’essor économique et à la valorisation du patrimoine immobilier de notre pays, pour le bien-être et la prospérité de tous.

Nomination de Monsieur Habib SY en tant que Président du Conseil d’Administration de la Société Nationale d’Électricité (SENELEC)

Une nouvelle page se tourne pour la Société Nationale d’Électricité (SENELEC) avec la nomination de Monsieur Habib SY au poste de Président du Conseil d’Administration. Cette décision, prise avec discernement, marque une étape cruciale dans la gestion et la direction de cette entreprise stratégique pour le développement énergétique du pays.

Monsieur Habib SY, Commissaire aux Enquêtes Économiques à la retraite, apporte avec lui une riche expérience et une expertise avérée dans le domaine économique. Sa carrière exemplaire et son dévouement au service de l’intérêt général font de lui un choix judicieux pour diriger les destinées de la SENELEC.

Sa nomination en tant que Président du Conseil d’Administration témoigne de la volonté gouvernementale de dynamiser et de moderniser le secteur de l’électricité. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son engagement, ainsi que la confiance en sa capacité à piloter cette entreprise stratégique vers de nouveaux horizons de performance et de développement.

En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Habib SY s’engage à œuvrer pour renforcer la compétitivité et la fiabilité des services de la SENELEC. Sa vision stratégique et son leadership éclairé seront des atouts précieux pour répondre aux défis du secteur de l’électricité et pour garantir un approvisionnement énergétique stable et durable pour le pays.

Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une SENELEC plus efficace et plus performante, capable de répondre aux besoins croissants en électricité dans un contexte de développement économique et social. Nous sommes convaincus que Monsieur Habib SY saura relever ce défi avec détermination et compétence, et contribuer ainsi à l’amélioration du quotidien des citoyens et au développement économique du pays.

En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Habib SY et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions en tant que Président du Conseil d’Administration de la SENELEC. Puissent ses actions contribuer à l’avènement d’une ère nouvelle pour la fourniture d’électricité au Sénégal, pour le bien-être et la prospérité de tous.

Nomination de Monsieur Amadou Mbaye GUISSE en tant qu’Agent Judiciaire de l’État

Une nouvelle étape est franchie dans l’administration de la justice avec la nomination de Monsieur Amadou Mbaye GUISSE au poste d’Agent Judiciaire de l’État. Cette décision, prise avec discernement, vise à garantir la continuité et l’efficacité des services de l’État dans le domaine juridique.

Monsieur Amadou Mbaye GUISSE, magistrat expérimenté, apporte avec lui une expertise approfondie et une connaissance pointue du système judiciaire. Son parcours exemplaire dans le domaine de la magistrature fait de lui un candidat idéal pour assumer les responsabilités stratégiques liées à la défense des intérêts de l’État devant les juridictions.

Sa nomination en tant qu’Agent Judiciaire de l’État témoigne de la volonté gouvernementale de garantir une représentation efficace des intérêts de l’État dans les affaires judiciaires. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son intégrité, ainsi que la confiance en sa capacité à défendre les intérêts de l’État avec impartialité et fermeté.

En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Amadou Mbaye GUISSE s’engage à assurer une représentation juridique de qualité pour l’État, en conformité avec les principes de justice et d’équité. Son expérience en matière de droit et sa rigueur professionnelle seront des atouts essentiels pour défendre efficacement les intérêts de l’État dans les procédures judiciaires.

Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une administration judiciaire plus transparente et plus efficiente, au service de l’intérêt général. Nous sommes convaincus que Monsieur Amadou Mbaye GUISSE saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à garantir la primauté du droit et la protection des intérêts de l’État.

En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Amadou Mbaye GUISSE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions en tant qu’Agent Judiciaire de l’État. Puissent ses actions renforcer la confiance des citoyens dans l’administration de la justice et consolider l’État de droit dans notre pays.

Nomination de Madame Aïssatou MBODJ en tant que Déléguée Générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ)

Une nouvelle impulsion est donnée à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ) avec la nomination de Madame Aïssatou MBODJ au poste de Déléguée Générale. Cette décision, prise avec clairvoyance, vise à renforcer et à dynamiser les initiatives en faveur de l’autonomisation économique des femmes et des jeunes entrepreneurs.

Madame Aïssatou MBODJ, Docteur en Gouvernance Territoriale, apporte avec elle une expertise pointue et une profonde conviction en faveur du développement socio-économique. Son parcours académique remarquable et son engagement dans la gouvernance territoriale font d’elle une candidate idéale pour mener à bien les missions stratégiques de la DER/FJ.

Sa nomination en tant que Déléguée Générale témoigne de la volonté gouvernementale de placer l’entrepreneuriat des femmes et des jeunes au cœur des priorités nationales en matière de développement économique et social. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son dévouement, ainsi que la confiance en sa capacité à piloter avec succès les programmes visant à promouvoir l’entreprenariat chez ces groupes cibles.

En assumant ses nouvelles fonctions, Madame Aïssatou MBODJ s’engage à poursuivre et à renforcer les actions entreprises par la DER/FJ, en collaboration avec les différents partenaires et acteurs du développement. Son leadership éclairé, sa vision stratégique et sa capacité à mobiliser les ressources seront des atouts essentiels pour garantir le succès et l’impact positif des initiatives de la DER/FJ.

Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une augmentation significative du nombre d’entreprises créées et gérées par les femmes et les jeunes, contribuant ainsi à la création d’emplois et à la réduction de la pauvreté dans notre pays. Nous sommes convaincus que Madame Aïssatou MBODJ saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à réaliser les objectifs ambitieux de la DER/FJ.

En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Madame Aïssatou MBODJ et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions en tant que Déléguée Générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes. Puissent ses actions inspirer et encourager un élan entrepreneurial chez les femmes et les jeunes, pour un développement économique inclusif et durable.

Nomination de Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE en tant que Secrétaire Général du Ministère du Tourisme et de l’Artisanat

Une nouvelle ère s’annonce pour le Ministère du Tourisme et de l’Artisanat avec la nomination de Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE au poste de Secrétaire Général. Cette décision, prise avec sagacité par les autorités compétentes, marque une étape décisive dans la promotion du tourisme et de l’artisanat comme leviers de développement économique et culturel.

Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE, Administrateur Civil Principal, apporte avec lui une expertise avérée et une passion indéfectible pour la promotion du tourisme et de l’artisanat. Son parcours distingué et son engagement sans faille en faveur de la valorisation du patrimoine culturel et de la diversité artisanale en font un acteur essentiel pour relever les défis qui attendent notre secteur du tourisme et de l’artisanat.

Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer le tourisme et l’artisanat au cœur des stratégies de développement économique et culturel. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son dévouement, ainsi que la confiance en sa capacité à impulser les réformes nécessaires pour dynamiser ces secteurs clés de notre économie.

En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE s’engage à mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en étroite collaboration avec les acteurs du tourisme, de l’artisanat et du développement local. Son leadership éclairé, sa vision stratégique et son aptitude à mobiliser les énergies seront des atouts majeurs pour promouvoir le tourisme durable, soutenir les artisans et valoriser notre patrimoine culturel.

Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’un développement touristique harmonieux et d’une promotion accrue de l’artisanat local, contribuant ainsi à la création d’emplois et à la croissance économique dans notre pays. Nous sommes convaincus que Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE saura relever ce défi avec détermination et passion, et contribuer ainsi à bâtir un avenir plus rayonnant pour notre secteur du tourisme et de l’artisanat.

En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service du tourisme et de l’artisanat. Puissent ses actions inspirer et enrichir notre secteur du tourisme et de l’artisanat, pour le bien-être et l’épanouissement de tous.

Nomination de Monsieur Gorgui NDIAYE en tant que Secrétaire Général du Ministère de la Microfinance, de l’Économie Sociale et Solidaire

Le Ministère de la Microfinance, de l’Économie Sociale et Solidaire se dote d’un nouveau pilier en la personne de Monsieur Gorgui NDIAYE, récemment nommé Secrétaire Général. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, marque une étape cruciale dans la promotion de l’économie inclusive et solidaire dans notre pays.

Monsieur Gorgui NDIAYE, Administrateur Civil Principal, apporte avec lui une solide expérience et une profonde conviction en faveur du développement économique durable et équitable. Son parcours remarquable et son engagement sans faille dans le secteur public font de lui un acteur clé pour relever les défis socio-économiques auxquels notre société est confrontée.

Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer la microfinance et l’économie sociale et solidaire au cœur des politiques de développement. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son dévouement, ainsi que la confiance en sa capacité à piloter les initiatives visant à renforcer l’inclusion financière et sociale dans notre pays.

En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Gorgui NDIAYE s’engage à mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en collaboration étroite avec les acteurs du secteur et les organisations de la société civile. Son leadership éclairé, sa vision stratégique et sa capacité à mobiliser les ressources seront des atouts essentiels pour promouvoir l’entrepreneuriat social, soutenir les micro-entreprises et renforcer la résilience des populations les plus vulnérables.

Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une économie plus inclusive et solidaire, où chaque individu a la possibilité de participer pleinement à la vie économique et sociale. Nous sommes convaincus que Monsieur Gorgui NDIAYE saura relever ce défi avec détermination et engagement, contribuant ainsi à bâtir un avenir plus prospère et plus équitable pour tous.

En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Gorgui NDIAYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de la microfinance, de l’économie sociale et solidaire. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement notre société, pour le bien-être et la prospérité de tous.

Nomination de Monsieur Ousmane MBAYE en tant que Secrétaire Général du Ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage

Le Ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage accueille un nouveau leader en la personne de Monsieur Ousmane MBAYE, désormais nommé Secrétaire Général. Cette décision, prise avec éclairage par les instances dirigeantes, marque une étape capitale dans la promotion de l’agriculture et de la sécurité alimentaire dans notre nation.

Monsieur Ousmane MBAYE, Commissaire Principal aux Enquêtes Économiques, apporte avec lui une expertise reconnue et un engagement indéfectible en faveur du développement agricole et de la souveraineté alimentaire. Son parcours remarquable et sa contribution significative à l’analyse économique dans le domaine agricole font de lui un atout majeur pour relever les défis complexes qui se posent à notre secteur agricole.

Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer l’agriculture et la sécurité alimentaire au cœur des préoccupations nationales. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son mérite, ainsi que la confiance en sa capacité à impulser les réformes nécessaires pour moderniser et dynamiser ce secteur vital pour notre économie.

En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Ousmane MBAYE s’engage à mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en collaboration étroite avec l’ensemble des acteurs concernés. Son leadership éclairé, sa vision stratégique et sa capacité à mobiliser les énergies seront des atouts essentiels pour stimuler la productivité agricole, promouvoir l’accès à une alimentation de qualité et renforcer la résilience de nos agriculteurs face aux défis climatiques et économiques.

Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une agriculture plus productive, plus durable et plus inclusive, ainsi que d’une sécurité alimentaire renforcée pour l’ensemble de la population. Nous sommes convaincus que Monsieur Ousmane MBAYE saura relever ce défi avec détermination et engagement, contribuant ainsi à bâtir un avenir meilleur pour notre nation.

En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Ousmane MBAYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de l’élevage. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement notre secteur agricole, pour le bien-être et la prospérité de tous.

Nomination de Monsieur Moussa DIAGNE en tant que Secrétaire Général du Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture

Le Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture accueille un nouveau leader en la personne de Monsieur Moussa DIAGNE, récemment nommé Secrétaire Général. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, marque une étape importante dans la promotion de la jeunesse, du sport et de la culture dans notre pays.

Monsieur Moussa DIAGNE, Administrateur Civil, apporte avec lui une expertise reconnue et une passion indéfectible pour la promotion de la jeunesse, du sport et de la culture. Son engagement en faveur du développement socio-culturel et de l’épanouissement des jeunes en font un acteur clé pour relever les défis qui attendent notre société dans ces domaines cruciaux.

Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer la jeunesse, le sport et la culture au cœur des priorités nationales. À travers cette nomination, c’est aussi la reconnaissance des compétences et du mérite de Monsieur DIAGNE, ainsi que la confiance en sa capacité à conduire les politiques ambitieuses qui contribueront à l’épanouissement de la jeunesse et à la promotion de la diversité culturelle de notre pays.

En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Moussa DIAGNE s’engage à mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en collaboration étroite avec les différentes parties prenantes. Son leadership éclairé, sa capacité d’innovation et sa vision inclusive seront des atouts précieux pour dynamiser les secteurs de la jeunesse, du sport et de la culture, et pour favoriser leur contribution au développement global de notre société.

Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une jeunesse plus engagée, d’une pratique sportive généralisée et d’une promotion accrue de la richesse culturelle de notre pays. Nous sommes convaincus que Monsieur Moussa DIAGNE saura relever ce défi avec détermination et passion, et contribuer ainsi à construire un avenir meilleur pour notre jeunesse et pour notre société dans son ensemble.

En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Moussa DIAGNE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de la jeunesse, du sport et de la culture. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement la vie de nos concitoyens, pour le bien-être et la prospérité de tous.

Nomination de Madame Thioro Mbaye SALL en tant que Secrétaire Générale du Ministère de la Fonction Publique et de la Réforme du Service Public

Une nouvelle page se tourne pour le Ministère de la Fonction Publique et de la Réforme du Service Public avec la nomination de Madame Thioro Mbaye SALL au poste de Secrétaire Générale. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, marque une étape cruciale dans la modernisation et l’efficacité de l’administration publique.

Madame Thioro Mbaye SALL, Inspecteur du Travail et de la Sécurité Sociale de Classe Exceptionnelle, incarne l’excellence et la détermination au service de l’intérêt général. Son parcours remarquable et son engagement sans faille en faveur de la promotion de la fonction publique et de l’amélioration du service rendu aux citoyens en font une actrice incontournable dans le paysage administratif national.

Sa nomination en tant que Secrétaire Générale témoigne de la volonté gouvernementale de placer la réforme de l’administration publique au cœur des priorités nationales. À travers cette nomination, c’est aussi la reconnaissance des compétences et du mérite de Madame SALL, ainsi que la confiance en sa capacité à conduire les réformes nécessaires pour moderniser et professionnaliser la fonction publique.

En assumant ses nouvelles fonctions, Madame Thioro Mbaye SALL s’engage à mettre en œuvre les politiques de réforme de la fonction publique définies par le Ministère, en collaboration étroite avec l’ensemble des acteurs concernés. Son leadership éclairé, sa rigueur intellectuelle et sa vision stratégique seront des atouts précieux pour faire progresser la qualité des services publics et renforcer la confiance des citoyens dans l’action publique.

Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une administration publique plus efficace, plus transparente et plus à l’écoute des besoins des citoyens. Nous sommes convaincus que Madame Thioro Mbaye SALL saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à bâtir un État moderne et performant, au service de tous.

En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Madame Thioro Mbaye SALL et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de la fonction publique et de la réforme du service public. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement l’administration de notre cher pays, pour le bien-être et la prospérité de tous.

Nomination de Monsieur Serigne MBAYE en tant que Secrétaire Général du Ministère de la Santé et de l’Action Sociale

Le Ministère de la Santé et de l’Action Sociale accueille un nouveau pilier en la personne de Monsieur Serigne MBAYE, récemment nommé Secrétaire Général. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, reflète la volonté gouvernementale de renforcer les politiques de santé publique et d’action sociale pour le bien-être de tous.

Monsieur Serigne MBAYE, Administrateur Civil Principal de Classe Exceptionnelle, apporte avec lui une expertise reconnue et une expérience riche dans le domaine de l’administration publique. Son engagement sans faille en faveur de la promotion de la santé et de l’amélioration des conditions de vie des populations en font un acteur clé pour relever les défis complexes auxquels est confronté notre système de santé.

Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer la santé et le bien-être au cœur des priorités nationales. À travers cette nomination, c’est aussi la reconnaissance des compétences et du mérite de Monsieur MBAYE, ainsi que la confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à l’amélioration de la santé publique et de l’action sociale dans notre pays.

En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Serigne MBAYE s’engage à œuvrer pour la mise en œuvre des politiques de santé et d’action sociale définies par le Ministère, en collaboration étroite avec l’ensemble des parties prenantes. Son leadership éclairé, sa rigueur intellectuelle et sa vision stratégique seront des atouts précieux pour faire face aux défis de santé publique et sociaux qui se posent à notre société.

Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une santé accessible à tous, d’une action sociale renforcée et d’une amélioration significative du bien-être des populations les plus vulnérables. Nous sommes convaincus que Monsieur Serigne MBAYE saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à bâtir un avenir meilleur pour notre pays.

En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Serigne MBAYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de la santé et de l’action sociale. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement le secteur de la santé et le tissu social de notre cher pays, pour le bien-être et la prospérité de tous.

Nomination de Madame Khady Diop MBODJI en tant que Secrétaire Générale du Ministère de l’Éducation Nationale

Une nouvelle ère s’ouvre pour l’Éducation nationale avec la nomination de Madame Khady Diop MBODJI au poste de Secrétaire Générale du Ministère. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, met en lumière le parcours exemplaire et l’engagement indéfectible de Madame MBODJI en faveur de l’éducation et du développement humain.

Madame Khady Diop MBODJI, Inspecteur Principal de l’Enseignement Élémentaire de Classe Exceptionnelle, incarne l’excellence et la détermination au service de la jeunesse et de l’éducation. Son expertise dans le domaine de l’enseignement, son engagement envers l’amélioration de la qualité de l’éducation et sa vision progressiste en font une actrice incontournable dans le paysage éducatif national.

Sa nomination en tant que Secrétaire Générale témoigne de la volonté gouvernementale de placer l’éducation au cœur des priorités nationales et de promouvoir un système éducatif plus inclusif, plus équitable et plus performant. À travers cette nomination, c’est aussi la reconnaissance des compétences et du mérite de Madame MBODJI, ainsi que la confiance en sa capacité à relever les défis complexes qui attendent le secteur de l’éducation.

En assumant ses nouvelles fonctions, Madame Khady Diop MBODJI s’engage à mettre en œuvre les politiques éducatives définies par le Ministère, en concertation avec l’ensemble des acteurs concernés. Son leadership éclairé, sa rigueur intellectuelle et sa sensibilité aux enjeux sociaux seront des atouts précieux pour construire un système éducatif plus juste et plus performant, capable de former les citoyens de demain dans un monde en constante évolution.

Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une éducation de qualité accessible à tous, d’une école inclusive et émancipatrice, à même de répondre aux besoins et aux aspirations de chaque enfant et de chaque jeune. Nous sommes convaincus que Madame Khady Diop MBODJI saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à bâtir un avenir meilleur pour notre pays.

En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Madame Khady Diop MBODJI et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de l’éducation nationale. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement le paysage éducatif de notre cher pays, pour le bien-être et l’épanouissement de toute sa jeunesse.

Nomination de Madame Mame Sané NDIAYE en tant que Secrétaire Général du Ministère de l’Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement des Territoires

Le Ministère de l’Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement des Territoires accueille une nouvelle figure de proue en la personne de Madame Mame Sané NDIAYE, récemment nommée Secrétaire Général. Cette nomination, fruit d’une décision éclairée des autorités gouvernementales, reflète la volonté de dynamiser et de moderniser les politiques liées à l’urbanisme et à l’aménagement du territoire.

Madame Mame Sané NDIAYE, une administratrice civile reconnue pour ses compétences et son dévouement, se voit ainsi confier une mission de haute importance au sein de l’appareil étatique. Son parcours exemplaire et son engagement sans faille en font une alliée de choix pour relever les défis complexes auxquels notre pays est confronté en matière d’urbanisme et de développement territorial.

Dotée d’une solide expérience dans le domaine de l’administration publique, Madame NDIAYE apporte avec elle une vision novatrice et pragmatique, fondée sur le dialogue et la concertation avec l’ensemble des parties prenantes. Sa nomination témoigne de la volonté gouvernementale de promouvoir une gestion efficiente et transparente des affaires publiques, au service du bien-être des populations et de la construction d’un cadre de vie harmonieux.

En sa qualité de Secrétaire Général, Madame Mame Sané NDIAYE aura pour mission de coordonner et de mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en collaboration étroite avec les différents acteurs impliqués dans le domaine de l’urbanisme et de l’aménagement des territoires. Son leadership éclairé et sa capacité à fédérer les énergies seront des atouts précieux pour conduire les réformes nécessaires et insuffler une nouvelle dynamique à l’action publique dans ce secteur stratégique.

Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une gestion plus efficace et plus inclusive de nos villes et de nos territoires, dans le respect des principes de durabilité et d’équité. Nous sommes convaincus que Madame Mame Sané NDIAYE saura relever ce défi avec brio, en mettant son expertise et sa détermination au service de l’intérêt général.

En cette heureuse occasion, nous adressons nos sincères félicitations à Madame Mame Sané NDIAYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nouvelles responsabilités. Puissent ses efforts contribuer à faire de notre pays un espace urbain et territorial plus inclusif, plus résilient et plus prospère pour tous.

Nomination de Monsieur Abdoulaye GUEYE en tant que Secrétaire Général du Ministère du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions

Le Ministère du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions vient de bénéficier d’un nouveau souffle avec la nomination de Monsieur Abdoulaye GUEYE au poste de Secrétaire Général. Cette décision, prise par les plus hautes instances gouvernementales, vient consacrer une carrière exceptionnelle au service de la planification et du développement.

Monsieur Abdoulaye GUEYE, un cadre de grande valeur, a déjà fait ses preuves en tant que Conseiller en Planification de classe exceptionnelle, où il a démontré un engagement sans faille et une expertise incontestable. Son parcours professionnel témoigne d’une passion pour l’amélioration des conditions de travail, la promotion de l’emploi et le renforcement des relations institutionnelles.

Sa nomination au poste de Secrétaire Général est une reconnaissance méritée de ses compétences et de sa capacité à mener à bien des missions d’une importance capitale. En assumant cette nouvelle responsabilité, Monsieur GUEYE aura pour mission de mettre en œuvre les politiques et les stratégies du Ministère, en collaboration étroite avec l’ensemble des acteurs concernés.

Sa vision et son leadership seront des atouts précieux pour relever les défis actuels et futurs liés au monde du travail, dans un contexte marqué par des mutations rapides et des enjeux sociaux majeurs. Son expérience et sa détermination sont des gages de succès pour atteindre les objectifs ambitieux fixés par le Ministère.

En tant que Secrétaire Général, Monsieur Abdoulaye GUEYE incarne l’espoir d’un avenir meilleur pour tous les travailleurs, les chercheurs d’emploi et les institutions partenaires. Sa nomination suscite ainsi l’enthousiasme et la confiance de l’ensemble de la communauté nationale, qui voit en lui un leader capable de conduire le Ministère vers de nouveaux horizons de progrès et de réussite.

Nous lui adressons nos plus chaleureuses félicitations et lui souhaitons plein succès dans ses nouvelles fonctions, convaincus qu’il saura faire honneur à la confiance placée en lui et contribuer de manière significative à l’avancement de notre pays dans le domaine crucial du travail, de l’emploi et des relations institutionnelles.

Ndiogou Diouf nommé Secrétaire général du Ministère de la Famille et des Solidarités

Une nouvelle figure éminente rejoint les rangs du Ministère de la Famille et des Solidarités avec la nomination de Monsieur Ndiogou Diouf, Economiste de formation. Son matricule de solde est le numéro 653 779/E. Cette nomination reflète l’engagement continu du gouvernement envers le bien-être social et la solidarité nationale.

Fort de son expertise en économie, Monsieur Diouf apporte une perspective nouvelle et des compétences pointues à un ministère chargé de promouvoir la cohésion sociale, de soutenir les familles et de renforcer les mécanismes de solidarité nationale.

Sa mission consistera à élaborer et à mettre en œuvre des politiques et des programmes visant à améliorer la qualité de vie des familles, à promouvoir l’égalité des chances et à lutter contre toutes les formes d’exclusion sociale. Il travaillera en étroite collaboration avec les différentes parties prenantes, y compris les organisations de la société civile et les institutions internationales, pour relever les défis complexes auxquels sont confrontés les familles sénégalaises.

Le Ministère de la Famille et des Solidarités exprime sa confiance en Monsieur Ndiogou Diouf pour mener à bien cette mission cruciale. Sa nomination témoigne de la volonté du gouvernement de placer les questions sociales au cœur de son action et de garantir le bien-être de tous les citoyens, en particulier des plus vulnérables.

Monsieur Diouf est prêt à relever ce défi avec détermination et engagement, et à contribuer à la construction d’une société sénégalaise plus juste, plus solidaire et plus inclusive.

Mamadou Bassirou Ndiaye nommé Secrétaire général du Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires

Le pays avance dans sa quête d’une gestion efficace et durable de ses ressources maritimes avec la nomination de Monsieur Mamadou Bassirou Ndiaye, Magistrat, au poste de Secrétaire général du Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires. Son matricule de solde est le numéro 513 972/C.

Cette nomination revêt une importance particulière dans un pays où les secteurs de la pêche et des infrastructures maritimes jouent un rôle crucial dans l’économie nationale, contribuant à la sécurité alimentaire, à la création d’emplois et à la croissance économique.

Monsieur Ndiaye apporte avec lui une solide expérience dans le domaine juridique, qui sera précieuse pour assurer une gouvernance efficace et transparente dans le secteur des pêches et des infrastructures maritimes. Sa mission consistera à travailler en étroite collaboration avec les différentes parties prenantes pour élaborer et mettre en œuvre des politiques et des programmes visant à promouvoir une exploitation durable des ressources marines, à moderniser les infrastructures portuaires et à renforcer la sécurité maritime.

Le Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires exprime sa confiance en Monsieur Mamadou Bassirou Ndiaye pour relever les défis complexes auxquels le secteur est confronté et pour contribuer à réaliser les objectifs nationaux en matière de développement maritime.

La nomination de Monsieur Ndiaye témoigne de l’engagement continu du gouvernement envers la bonne gouvernance, la préservation des ressources marines et le développement durable du secteur maritime sénégalais.

Fary Seye désigné Secrétaire général du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation

Dans le cadre des récentes nominations lors du Conseil des ministres du 15 mai 2024, Monsieur Fary Seye, Administrateur civil principal, s’est vu confier le poste de Secrétaire général du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Son matricule de solde est le numéro 510 493/F.

Cette nomination témoigne de la volonté du gouvernement sénégalais de renforcer le secteur de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, des domaines cruciaux pour le développement socio-économique du pays. Fort de son expérience en administration civile, Monsieur Seye apporte une expertise précieuse pour la coordination des activités du ministère et la mise en œuvre de politiques visant à promouvoir l’excellence académique et la recherche scientifique.

Sa mission consistera notamment à œuvrer pour l’amélioration de la qualité de l’enseignement supérieur, la promotion de la recherche scientifique et technologique, ainsi que le développement de l’innovation et de l’entrepreneuriat dans le domaine de l’éducation. Il devra également veiller à renforcer les liens entre les universités, les centres de recherche et le secteur privé, afin de favoriser la valorisation des résultats de la recherche et leur transfert vers le marché.

Le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation exprime sa confiance en Monsieur Fary Seye pour mener à bien cette mission stratégique et contribuer à l’avancement du système éducatif et scientifique du Sénégal. Sa nomination reflète l’engagement continu du gouvernement à investir dans l’éducation et l’innovation en tant que leviers essentiels pour la croissance et le progrès du pays.

Makhtar Lakh nommé Secrétaire général du Ministère de l’Industrie et du Commerce

Le paysage ministériel sénégalais voit l’arrivée de Monsieur Makhtar Lakh, Commissaire aux enquêtes économiques principal, au poste de Secrétaire général du Ministère de l’Industrie et du Commerce. Son matricule de solde est le numéro 604 656/E.

Cette nomination intervient dans un contexte où le gouvernement s’efforce de dynamiser le secteur industriel et commercial pour stimuler la croissance économique et renforcer la compétitivité du pays sur les marchés nationaux et internationaux.

Fort de son expérience en enquêtes économiques, Monsieur Lakh apporte une expertise précieuse pour la coordination des activités du ministère, notamment en matière de politiques industrielles et commerciales. Sa mission consistera à soutenir le développement des industries locales, à promouvoir les exportations, à faciliter l’accès aux marchés pour les entreprises sénégalaises, et à favoriser un environnement propice aux investissements dans le secteur industriel et commercial.

Le Ministère de l’Industrie et du Commerce exprime sa confiance en Monsieur Makhtar Lakh pour relever les défis à venir et mettre en œuvre des stratégies innovantes visant à stimuler la croissance économique, à créer des emplois et à promouvoir le développement durable. Sa nomination illustre l’engagement continu du gouvernement à faire de l’industrie et du commerce des moteurs essentiels de la prospérité et du progrès pour le peuple sénégalais.

Baboucar Mboundor Ngom nommé Secrétaire général du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement

Lors du conseil des ministres du 15 mai 2024, Monsieur Baboucar Mboundor Ngom a été désigné pour occuper le poste stratégique de Secrétaire général du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement. Administrateur civil de formation, il est détenteur du matricule de solde numéro 661 345/C.

Cette nomination intervient dans un contexte crucial où la gestion durable de l’eau et l’amélioration des infrastructures d’assainissement constituent des priorités majeures pour le gouvernement sénégalais.

Monsieur Ngom apporte avec lui une expertise avérée dans le domaine de l’administration publique, ainsi qu’une connaissance approfondie des enjeux liés à l’hydraulique et à l’assainissement. Sa capacité à élaborer et à mettre en œuvre des politiques efficaces dans ces domaines sera un atout essentiel pour le Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement.

Sa mission consistera notamment à coordonner les différentes actions visant à garantir un accès durable à l’eau potable pour tous les citoyens sénégalais, ainsi qu’à améliorer les infrastructures d’assainissement pour préserver la santé publique et l’environnement.

Le Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement se félicite de la nomination de Monsieur Baboucar Mboundor Ngom à la tête de sa direction générale et exprime sa confiance en sa capacité à relever les défis du secteur. Sa nomination témoigne de l’engagement continu du gouvernement sénégalais en faveur de l’amélioration des conditions de vie des populations à travers une gestion efficiente des ressources en eau et des infrastructures d’assainissement.

Fatou Bintou Ndiaye nommée Secrétaire général du Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique

Lors du Conseil des ministres du 15 mai 2024, Madame Fatou Bintou Ndiaye a été nommée Secrétaire général du Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique. Magistrat de profession, elle détient le matricule de solde numéro 616 187/K.

Cette nomination intervient à un moment crucial où les domaines de la communication, des télécommunications et du numérique jouent un rôle de plus en plus vital dans le développement socio-économique du Sénégal. Madame Ndiaye apporte avec elle une vaste expérience dans le domaine juridique ainsi qu’une connaissance approfondie des enjeux liés aux technologies de l’information et de la communication (TIC).

Sa mission consistera notamment à coordonner les activités du ministère et à mettre en œuvre des politiques visant à promouvoir l’accès aux communications et aux technologies numériques à travers le pays. Elle devra également veiller à l’amélioration de la gouvernance dans le secteur des télécommunications et à la protection des droits des utilisateurs.

Le Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique se réjouit de la nomination de Madame Fatou Bintou Ndiaye à ce poste stratégique et exprime sa confiance en sa capacité à relever les défis du secteur. Sa nomination témoigne de l’engagement continu du gouvernement sénégalais en faveur de la promotion des technologies de l’information et de la communication pour un développement inclusif et durable.

Mamadou Camara Fall nommé Secrétaire général du Ministère de la Formation Professionnelle

Lors du dernier conseil des ministres du 15 mai 2024, Monsieur Mamadou Camara Fall a été désigné pour occuper le poste stratégique de Secrétaire général du Ministère de la Formation Professionnelle. Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale de profession, il est titulaire du matricule de solde numéro 515 710/C.

Cette nomination revêt une importance particulière dans un contexte où le renforcement des compétences professionnelles et l’adaptation aux évolutions du marché du travail sont des enjeux cruciaux pour le développement économique et social du Sénégal.

Fort de son expérience en tant qu’Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale, Monsieur Fall apporte une expertise pointue dans le domaine des relations professionnelles, de la législation du travail et de la sécurité au travail. Sa connaissance approfondie des questions liées à l’emploi et à la formation sera un atout précieux pour le Ministère de la Formation Professionnelle.

Sa mission consistera notamment à élaborer et à mettre en œuvre des politiques visant à améliorer la qualité et la pertinence des formations professionnelles, à renforcer les liens entre les centres de formation et les entreprises, ainsi qu’à favoriser l’insertion professionnelle des jeunes et des demandeurs d’emploi.

Le Ministère de la Formation Professionnelle se réjouit de l’arrivée de Monsieur Mamadou Camara Fall à la tête de sa direction générale et exprime sa confiance en sa capacité à relever les défis du secteur de la formation professionnelle. Sa nomination témoigne de l’engagement du gouvernement sénégalais en faveur du développement des compétences et de l’employabilité de la main-d’œuvre nationale, dans le cadre de la vision d’un Sénégal émergent et prospère.

Fodé Fall nommé Secrétaire général du Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique

Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Fodé Fall a été désigné pour occuper le poste de Secrétaire général du Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique. Administrateur civil de formation, il dispose du matricule de solde numéro 616 290/R.

Cette nomination intervient dans un contexte où la préservation de l’environnement et la transition écologique sont au cœur des préoccupations mondiales. Le Sénégal, engagé dans une dynamique de développement durable, confie à Monsieur Fall la responsabilité de coordonner les actions visant à protéger l’environnement et à promouvoir des pratiques écologiquement responsables.

En tant qu’Administrateur civil, Monsieur Fall apporte une expertise administrative précieuse qui sera mise au service de la mise en œuvre des politiques environnementales du pays. Sa connaissance des rouages de l’administration publique lui permettra d’assurer une gestion efficace des ressources et des programmes du Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique.

Sa nomination reflète l’importance accordée par le gouvernement sénégalais à la protection de l’environnement et à la lutte contre les changements climatiques. Monsieur Fall aura pour mission de superviser la mise en œuvre des politiques de préservation de la biodiversité, de lutte contre la déforestation, de gestion durable des ressources naturelles, ainsi que de promotion des énergies renouvelables.

Le Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique se félicite de l’arrivée de Monsieur Fodé Fall à la tête de sa direction générale et exprime sa confiance en sa capacité à relever les défis environnementaux auxquels le pays est confronté. Sa nomination marque une étape importante dans les efforts du gouvernement sénégalais pour construire un avenir plus durable et résilient pour tous.

Serigne Ahmadou Bamba Sy nommé Secrétaire général du Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens

Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Serigne Ahmadou Bamba Sy a été nommé Secrétaire général du Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens. Ingénieur centralien et géomaticien, et expert en sûreté et en management des projets, il apporte à ce poste une expertise solide et variée, ainsi qu’un matricule de solde numéro 751 991/B.

Sa nomination revêt une importance particulière dans un contexte où les infrastructures et les transports sont des éléments essentiels pour le développement économique et social du Sénégal. En tant qu’Ingénieur centralien, Monsieur Sy possède une formation de haut niveau qui lui confère les compétences nécessaires pour aborder les défis complexes liés à la gestion des infrastructures et des transports.

Son expérience en sûreté et en management des projets constitue un atout majeur pour assurer la sécurité et la fiabilité des infrastructures de transport, ainsi que pour superviser la mise en œuvre efficace des projets dans ce domaine. Sa connaissance approfondie des systèmes géomatiques lui permettra également de contribuer à une planification et une gestion plus efficaces des infrastructures et des réseaux de transport terrestres et aériens.

En tant que Secrétaire général, Monsieur Sy sera chargé de coordonner les activités du Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens, de superviser la mise en œuvre des politiques et des programmes dans ce domaine, ainsi que de veiller à l’optimisation des ressources disponibles. Son rôle sera essentiel pour garantir le bon fonctionnement et la modernisation des infrastructures de transport du pays.

Le Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens se réjouit de l’arrivée de Monsieur Serigne Ahmadou Bamba Sy à ce poste clé et exprime sa confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à l’amélioration et à la pérennisation des infrastructures et des réseaux de transport du Sénégal.

Alioune Aïdara Niang nommé Secrétaire Général du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique

Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Alioune Aïdara Niang a été désigné pour occuper le poste de Secrétaire Général du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Administrateur civil principal et titulaire du matricule de solde numéro 510 569/D, sa nomination témoigne de la confiance placée en lui pour assumer cette responsabilité cruciale au sein du ministère.

Avec une solide expérience dans le domaine de l’administration publique, Monsieur Niang apporte son expertise à la gestion et à la coordination des activités du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Sa nomination intervient dans un contexte où la préservation de l’ordre public et la sécurité des citoyens sont des enjeux majeurs pour le gouvernement.

En tant que Secrétaire Général, Monsieur Niang aura pour mission de veiller à la mise en œuvre des politiques et des directives du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Il sera chargé de coordonner les actions des différentes structures et départements relevant du ministère, ainsi que de superviser la gestion des ressources humaines et matérielles.

Cette nomination reflète l’engagement continu du gouvernement sénégalais à renforcer les capacités opérationnelles et organisationnelles du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Elle souligne également la reconnaissance du professionnalisme et de la compétence de Monsieur Alioune Aïdara Niang dans le domaine de l’administration publique.

Le Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique se réjouit de l’arrivée de Monsieur Niang à ce poste stratégique et exprime sa confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à la préservation de l’ordre public et à la sécurité des citoyens au Sénégal.

Cheikh Niane nommé Secrétaire général du Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines

Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Cheikh Niane a été désigné pour occuper le poste de Secrétaire général du Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines. Ingénieur énergéticien et titulaire du matricule de solde numéro 744 291/M, sa nomination témoigne de la confiance accordée à son expertise pour assumer cette fonction stratégique au sein du ministère.

Avec une expérience avérée dans le domaine de l’énergie, Monsieur Niane apporte ses connaissances pointues à la gestion et à la coordination des activités du Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines. Sa nomination intervient dans un contexte où la gestion efficace des ressources énergétiques et minières revêt une importance capitale pour le développement économique du pays.

En tant que Secrétaire général, Monsieur Niane sera chargé de superviser la mise en œuvre des politiques et des directives du Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines. Il aura pour mission de coordonner les actions des différentes entités et départements relevant du ministère, ainsi que de veiller à la gestion efficace des ressources humaines et matérielles.

Cette nomination s’inscrit dans le cadre des efforts continus du gouvernement sénégalais pour promouvoir une gestion durable et efficiente des ressources énergétiques et minières du pays. Elle témoigne également de la reconnaissance du professionnalisme et de la compétence de Monsieur Cheikh Niane dans le domaine de l’ingénierie énergétique.

Le Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines se réjouit de l’arrivée de Monsieur Niane à ce poste clé et exprime sa confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à la promotion d’une politique énergétique et minière cohérente et favorable au développement durable du Sénégal.

Mamadou Diop nommé Secrétaire général du Ministère de la Justice

Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Mamadou Diop a été nommé Secrétaire général du Ministère de la Justice. Magistrat de profession et détenteur du matricule de solde numéro 603 274/J, cette nomination témoigne de la confiance accordée à cet expert de la justice pour occuper un poste clé au sein du ministère.

Fort d’une expérience probante dans le domaine judiciaire, Monsieur Diop apporte sa contribution à la gestion et à la coordination des activités du Ministère de la Justice. Sa nomination intervient dans un contexte où le renforcement de l’efficacité et de la transparence du système judiciaire est une priorité pour le gouvernement.

En tant que Secrétaire général, Monsieur Diop sera chargé de veiller à la mise en œuvre des politiques et des directives du Ministère de la Justice. Son rôle consistera également à assurer la coordination entre les différentes structures et départements au sein du ministère, ainsi qu’à superviser la gestion des ressources humaines et matérielles.

Cette nomination s’inscrit dans le cadre des efforts continus du gouvernement sénégalais pour promouvoir une justice équitable, accessible et efficace pour tous les citoyens. Elle marque également la reconnaissance du mérite et du professionnalisme de Monsieur Mamadou Diop dans le domaine de la magistrature.

Le Ministère de la Justice se félicite de l’arrivée de Monsieur Diop à ce poste stratégique et exprime sa confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à l’atteinte des objectifs de réforme et de modernisation de la justice au Sénégal.

Nominations en conseil des ministres du Mercredi 15 Mai 2024

Monsieur Mamadou DIOP, Magistrat, matricule de solde numéro 603 274/J, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Justice ;

Monsieur Alioune Aïdara NIANG, Administrateur civil principal, matricule de solde numéro 510 569/D, est nommé Secrétaire Général du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique ;

Monsieur Cheikh NIANE, Ingénieur énergéticien, matricule de solde numéro 744 291/M, est nommé Secrétaire général du ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines ;

Monsieur Serigne Ahmadou Bamba SY, Ingénieur centralien et géomaticien, Expert en sûreté et en management des projets, matricule de solde numéro 751 991/B, est nommé Secrétaire général du Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens ;

Monsieur Fodé FALL, Administrateur civil, matricule de solde numéro 616 290/R, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique ;

Monsieur Mamadou Camara FALL, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale, matricule de solde numéro 515 710/C, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Formation professionnelle ;

Monsieur Baboucar Mboundor NGOM, Administrateur civil, matricule de solde numéro 661 345/C, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement ;

Madame Fatou Bintou NDIAYE, Magistrat, matricule de solde numéro 616 187/K, est nommée Secrétaire général du Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique ;

Monsieur Fary SEYE, Administrateur civil principal, matricule de solde numéro 510 493/F, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation ;

Monsieur Makhtar LAKH, Commissaire aux enquêtes économiques principal, matricule de solde numéro 604 656/E, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Industrie et du Commerce ;

Monsieur Mamadou Bassirou NDIAYE, Magistrat, matricule de solde numéro 513 972/C, est nommé Secrétaire général du Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires ;

Monsieur Ndiogou DIOUF, Economiste, matricule de solde numéro 653 779/E, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Famille et des Solidarités ;

Monsieur Abdoulaye GUEYE, Conseiller en Planification de classe exceptionnelle, matricule de solde numéro 602 820/B, est nommé Secrétaire général du Ministère Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions ;

Madame Mame Sané NDIAYE, Administrateur civil, matricule de solde numéro 624 552/F, est nommée Secrétaire général du Ministère de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des Territoires ;

Madame Khady Diop MBODJI, Inspecteur principal de l’Enseignement élémentaire de classe exceptionnelle, matricule de solde numéro 515 822/A, est nommée Secrétaire général du Ministère de l’Education nationale ;

Monsieur Serigne MBAYE, Administrateur civil principal de classe exceptionnelle, matricule de solde numéro 516 909/H, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Santé et de l’Action sociale ;

Madame Thioro Mbaye SALL, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale de classe exceptionnelle, matricule de solde numéro 604 145/H, est nommée Secrétaire général du Ministère de la Fonction publique et de la Réforme du Service public ;

Monsieur Moussa DIAGNE, Administrateur civil, matricule de solde numéro 518 911/C, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture ;

Monsieur Ousmane MBAYE, Commissaire principal aux enquêtes économiques, matricule de solde numéro 606 932/D, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage ;

Monsieur Gorgui NDIAYE, Administrateur civil principal, matricule de solde numéro 606 940/G, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Microfinance, de l’Economie sociale et solidaire ;

Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE, Administrateur civil principal, matricule de solde numéro 608 875/H, est nommé Secrétaire général du Ministère du Tourisme et de l’Artisanat ;

Madame Aïssatou MBODJ, Docteur en gouvernance territoriale, est nommée Déléguée générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ), en remplacement de Madame Mame Aby SEYE ;

Monsieur Amadou Mbaye GUISSE, Magistrat, est nommé Agent Judiciaire de l’Etat, en remplacement de Monsieur Yoro Moussa DIALLO ;

Monsieur Habib SY, Commissaire aux Enquêtes économiques à la retraite, est nommé Président du Conseil d’administration de la Société nationale d’Electricité (SENELEC), en remplacement de Monsieur Serigne Mbaye DIA ;

Monsieur Elimane POUYE, Inspecteur des Impôts et des Domaines, est nommé Directeur général de la Société de Gestion et d’Exploitation du Patrimoine Bâti de l’Etat (SOGEPA SN), en remplacement de Monsieur Yaya Abdoul KANE ;

Monsieur Babo Amadou BA, titulaire d’un Doctorat en Sciences de Gestion, est nommé Directeur général du Fonds de Financement de la Formation Professionnelle et Technique (3FPT), en remplacement de Madame Sophie DIALLO ;

Monsieur Ndane DIAGNE, titulaire d’un MBA en Audit et Contrôle de Gestion, est nommé Directeur de la Société nationale de Commercialisation des Oléagineux du Sénégal (SONACOS SA), en remplacement de Monsieur Kibily TOURE ;

Monsieur Abdou DIOUF, ingénieur statisticien, est nommé Directeur général de l’Agence nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD), en remplacement de Monsieur Aboubacar Sédikh BEYE ; 

Monsieur Isidore DIOUF, Expert-comptable, est nommé Directeur général de la Société Sénégal Numérique SA, en remplacement de Monsieur Cheikh BAKHOUM ;

Monsieur Lamine NIANG, Titulaire d’un Diplôme d’Etudes Supérieures (DESS) en Technologie éducative, est nommé Directeur général de la Société Sénégalaise de Presse et de Publication Le Soleil, en remplacement de Monsieur Yakham MBAYE ;

Monsieur Dame MBODJ, titulaire d’une Maitrise en Anglais, est nommé Directeur général de la Société de Gestion des Infrastructures Publiques dans les Pôles Urbains de Diamniadio et du Lac Rose (SOGIP SA), en remplacement de Monsieur Mamadou FAYE ;

Monsieur Lamine Barra LO, Docteur d’Etat en Science politique et Sécurité, est nommé Directeur général de l’Office National de Formation Professionnelle (ONFP), en remplacement de Monsieur Souleymane SOUMARE ;

Monsieur Toussaint MANGA, Médecin, est nommé Directeur général de la Loterie Nationale Sénégalaise (LONASE), en remplacement de Monsieur Abdourahmane BALDE ;

Monsieur Diouma KOBOR, Professeur titulaire des Universités, est nommé Directeur général de l’Agence nationale pour les Energies Renouvelables (ANER), en remplacement de Monsieur Tamsir NDIAYE ;

Monsieur Serigne Fall GUEYE, Titulaire d’un Master 2 en Communication, est nommé Directeur général du Grand Théâtre national, en remplacement de Monsieur Ansoumane SANE ;

Monsieur Adama NDIAYE, Maitre de Conférences titulaire des Universités, est nommé Directeur général de l’Agence sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT), en remplacement de Monsieur Papa Mahawa DIOUF ;

Monsieur Babacar NDIAYE, Avocat, est nommé Directeur général de la Société nationale de Recouvrement (SNR), en remplacement de Monsieur Bassirou NGOM ;

Monsieur Cheikh Ibrahima NDIAYE, Ingénieur des Ponts et Chaussées, est nommé Directeur général de la Société nationale de Gestion du Patrimoine du Train Express Régional (SENTER SA), en remplacement de Monsieur Abdou Ndéné SALL ;

Monsieur Seydina Oumar TOURE, Titulaire d’un Master 2 en Droit Public, est nommé Directeur général de l’Agence d’Assistance à la Sécurité de Proximité (ASP), en remplacement de Monsieur Mamadou Salif SOW ;

Monsieur Ndiaga BASSE, Titulaire d’un Doctorat en Management des Affaires, est nommé Directeur général Agence nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie (ANACIM), en remplacement de Monsieur Sidy GUEYE ;

Monsieur Samba KA, Maitre de conférences titulaire à l’Université du Sine Saloum El Hadj Ibrahima NIASS, est nommé Directeur général de l’Agence nationale de l’Aquaculture (ANA), en remplacement de Madame Tening SENE ;

Madame Fatima MBENGUE, titulaire d’un Master 2 en Marketing social, est nommée Directeur général de l’Office national des Pupilles de la Nation (ONPN), en remplacement de Monsieur Alpha KOUNTA ;

Monsieur Diamé SIGNATE, titulaire d’un Master 2 en Droit et Administration des Collectivités locales, est nommé Directeur général de l’Agence de Développement Local (ADL), en remplacement de Monsieur Abdoulaye NDAO ;

Madame Soukèye DIOP, Ingénieur en Bâtiment et Travaux publics (BTP), est nommée Directeur général du Fonds d’Entretien Routier Autonome (FERA), en remplacement de Monsieur Papa Ibrahima FAYE ;

Madame Sinna Amadou GAYE, titulaire d’un Master 2 en Gestion de Projets, est nommée Directeur de l’Agence nationale pour l’Emploi des Jeunes (ANPEJ), en remplacement de Monsieur Tamsir FAYE ;

Madame Marième Soda NDIAYE, titulaire d’un Master 2 en Santé et Environnement, est nommée Directeur général du Commissariat à la Sécurité Alimentaire et à la Résilience, en remplacement de Monsieur Ibrahima DIAO ;

Monsieur Babacar DIOP, Docteur en Sciences de l’Education, est nommé Directeur du Centre Régional des Œuvres Universitaires de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, en remplacement de Monsieur Ahmadou Bamba KA ;

Monsieur Ibba SANE, Ingénieur en Planification Economique et Gestion des Organisations, est nommé Directeur général de l’Agence nationale de Relance des Activités Economiques et Sociales en Casamance (ANRAC), en remplacement de Monsieur Ansou SANE ;

Monsieur Modou Mbéne DIOP, titulaire d’une Maitrise en Langue Etrangère Appliquée option Affaires et commerce international, est nommé Directeur général de l’Agence sénégalaise de Promotion des Exportations (ASEPEX), en remplacement de Madame Zahra Iyane THIAM ;

Monsieur Bassirou DIOUF, Ingénieur en électrotechnique, est nommé Directeur général du Centre national de Qualification Professionnelle (CNQP), en remplacement de Monsieur Augustin NDIAYE ;

Madame Diarra SOW, titulaire d’un Master 2 en Géographie, option gestion intégrée de l’Eau, est nommée Directeur général de l’Office des Lacs et Cours d’eau, en remplacement de Monsieur Alioune Badara DIOP ;

Monsieur Cheikh Ahmet Bassirou SANE, titulaire d’un Doctorat en Ecologie et Gestion des Ecosystèmes, est nommé Directeur de l’Horticulture, en remplacement de Monsieur Macoumba DIOUF.

Tabaski : Les 15 mesures de Ousmane Sonko pour garantir l’approvisionnement et la sécurité des citoyens

À l’approche de la fête de Tabaski, le gouvernement sénégalais, sous la direction du Premier ministre Ousmane Sonko, a annoncé une série de 15 mesures visant à assurer un approvisionnement adéquat du marché en moutons et en denrées alimentaires à des prix raisonnables, ainsi que la sécurité et le bien-être des citoyens lors de cette célébration religieuse majeure.

Lors d’un Conseil interministériel tenu à Diamniadio, le Premier ministre a chargé plusieurs ministres de veiller à la mise en œuvre de ces mesures cruciales. Parmi les points saillants de ces mesures figurent :

  1. L’assouplissement du contrôle des camions et véhicules transportant des moutons à destination du Sénégal, en garantissant la sécurité routière.
  2. L’identification, l’aménagement et la sécurisation des points de vente avec les commodités nécessaires par les gouverneurs des régions.
  3. La facilitation de l’importation de moutons en provenance de Mauritanie et du Mali, ainsi que le transit du bétail en provenance de Gambie vers les régions sud du pays.
  4. L’application stricte des mesures d’exonération des droits et taxes sur les moutons de Tabaski à l’entrée du Sénégal.
  5. Le respect de la tarification consensuelle pour le convoyage des animaux afin d’éviter la surenchère.
  6. L’installation de stocks rapprochés d’aliments usinés au niveau des points de vente autorisés.
  7. L’approvisionnement adéquat du marché en denrées de grande consommation et la lutte contre la spéculation.
  8. L’aménagement de points de vente autorisés avec la fourniture d’électricité, d’eau, de tentes, de toilettes et le désencombrement des sites.
  9. La mise en place de points sanitaires rapprochés et bien équipés, ainsi que des équipes de préventionnistes et de communicants sur la sécurité sanitaire et environnementale.
  10. Le désencombrement du parking du stade Léopold Sédar Senghor et le nettoyage du tunnel donnant accès au Foirail des petits ruminants de SOTIBA à Dakar.
  11. L’assurance de la mise à disposition des ressources destinées à l’achat de l’aliment de bétail subventionné.
  12. La diligence dans l’instruction des dossiers de crédit déposés par les opérateurs pour les besoins de l’opération Tabaski 2024.
  13. L’analyse de la problématique des créances impayées des acteurs de l’élevage et des retards de décaissements des fonds de refinancement étatiques.
  14. La disponibilité de mécanismes de financement d’opérations Tabaski sur des durées supérieures à un an.

Ces mesures témoignent de l’engagement du gouvernement sénégalais à garantir une célébration de Tabaski sécurisée et prospère pour tous les citoyens, tout en assurant un approvisionnement adéquat du marché et en facilitant les conditions d’élevage pour les opérateurs du secteur.

Tournée de remobilisation au centre et au sud du pays : L’Apr en mode ‘’Némékou tour’’

Alors que l’Alliance pour la République (Apr) a été évincée du pouvoir par ses rivaux du Pastef, le parti de Macky Sall affiche une détermination sans faille à occuper le poste d’opposant radical laissé vacant par Bassirou Diomaye Faye, Ousmane Sonko et leurs alliés.

À peine un mois après la perte du pouvoir, l’Apr lance une vaste opération de remobilisation de ses troupes, avec pour objectif ultime de reconquérir le pouvoir. Forts de la mobilisation de leurs militants à Tambacounda et Kaffrine, qui ont réservé un accueil chaleureux à la délégation envoyée par Macky Sall au Daaka de Médina Gounass, le Secrétariat exécutif national (SEN) de l’Apr décide d’initier le « Némékou Tour ».

Dans un communiqué signé par le porte-parole national, Seydou Guèye, le SEN de l’Apr exprime sa reconnaissance envers les populations de Kaffrine et de Tambacounda, premières étapes de la tournée nationale de remerciement et de remobilisation. Cette dynamique sera poursuivie à travers des étapes dans les régions de Sédhiou, Kolda, Ziguinchor, Kaolack, Fatick et Diourbel. L’objectif est d’effectuer une évaluation objective des résultats de l’élection présidentielle de mars 2024 et d’analyser le contexte politique actuel à la lumière des premiers actes posés par les nouvelles autorités.

Le SEN appelle l’ensemble des militants, responsables et sympathisants à se mobiliser pour assurer le succès de ces moments d’animation politique, en mettant en avant la mobilisation, l’ouverture, la solidarité et le consensus. Seydou Guèye et ses collègues encouragent également à maintenir une démarche de proximité et invitent les forces militantes de la majorité présidentielle à se concentrer sur la valorisation du bilan du parti, l’unité, la veille active dans l’intérêt des populations, ainsi que la consolidation et l’élargissement de la coalition.

Cette tournée s’annonce comme une étape cruciale pour l’Apr dans sa stratégie de reconquête du pouvoir, et elle témoigne de sa volonté de rester un acteur majeur sur l’échiquier politique sénégalais, malgré sa récente défaite électorale.

Les étudiants sénégalais en France expriment leur préoccupation face aux retards de paiement des bourses

L’Association des Étudiants Sénégalais en France (AESF) tire la sonnette d’alarme quant aux retards récurrents dans le versement des bourses, affectant gravement la vie quotidienne et les études des étudiants sénégalais. Dans un communiqué adressé aux autorités compétentes, l’AESF dénonce l’absence de préavis préalable pour ces retards de paiement, entraînant des difficultés financières significatives pour les étudiants.

La situation décrite par l’AESF est alarmante. Les retards de paiement des bourses compromettent non seulement la capacité des étudiants à subvenir à leurs besoins essentiels tels que le loyer et les frais de subsistance, mais ils ont également un impact dévastateur sur leur bien-être psychologique et leurs performances académiques. Ces retards engendrent un niveau de stress accru, des frais bancaires supplémentaires et une instabilité financière qui perturbent sérieusement le parcours académique des étudiants.

Face à cette situation préoccupante, l’AESF appelle les autorités compétentes à réagir en urgence et à mettre en place un système d’alertes préventives pour les retards de paiement. Ce mécanisme permettrait aux étudiants de mieux s’organiser et de minimiser l’impact négatif sur leur vie quotidienne et leurs études. L’AESF se propose également de collaborer avec les autorités pour trouver des solutions durables à cette problématique et garantir que les étudiants puissent poursuivre leurs études dans les meilleures conditions possibles.

Les témoignages poignants des étudiants boursiers soulignent l’urgence d’une action concrète. Aicha, Moussa, et Khady expriment unanimement l’impact dévastateur des retards de paiement des bourses sur leur vie quotidienne et leur avenir académique. Pour eux, il est crucial que le paiement des bourses soit honoré à temps afin de préserver leur dignité, leur stabilité financière et leur bien-être général.

Cette situation met en lumière la nécessité d’une gestion plus efficace et transparente des aides financières destinées aux étudiants sénégalais à l’étranger. En garantissant le paiement ponctuel des bourses, les autorités pourraient contribuer significativement à soutenir la réussite académique et le bien-être des étudiants sénégalais en France.

Cheikh Oumar Diagne nommé ministre conseiller par le Président Bassirou Diomaye Faye

Dans un récent remaniement au sein de la présidence de la République, Cheikh Oumar Diagne a été élevé au rang de ministre conseiller et nommé directeur des moyens généraux. Cette nomination, orchestrée par le Président Bassirou Diomaye Faye, marque une nouvelle étape dans la carrière de Diagne, témoignant de sa compétence et de sa fidélité au service de l’État.

La cérémonie d’installation s’est déroulée avec sobriété au palais de la République, mettant en lumière l’importance de cette nomination pour l’administration présidentielle. Cette nouvelle responsabilité confiée à Cheikh Oumar Diagne souligne la confiance accordée par le chef de l’État envers ce dernier, ainsi que sa capacité à assumer des fonctions de haute importance au sein de l’appareil gouvernemental.

Cheikh Oumar Diagne apporte avec lui une expérience et un dévouement sans faille au service de l’État, des qualités essentielles pour relever les défis et contribuer à la réalisation des objectifs fixés par l’administration présidentielle. Sa nomination témoigne également de la volonté du président Bassirou Diomaye Faye de renforcer son équipe autour de personnalités compétentes et dévouées.

En assumant ses nouvelles fonctions de ministre conseiller et directeur des moyens généraux de la présidence de la République, Cheikh Oumar Diagne s’engage à œuvrer avec rigueur et détermination pour servir au mieux les intérêts de la nation et soutenir la vision du président Bassirou Diomaye Faye pour un avenir prospère et harmonieux pour tous les citoyens.

Opération de sécurisation : 582 interpellations pour assurer la sécurité des citoyens

Dans le cadre des préparatifs de la fête de Tabaski, la police sénégalaise a intensifié ses actions pour garantir la sécurité des citoyens et de leurs biens. Une nouvelle opération de sécurisation a ainsi été menée dans la nuit du mardi au mercredi, de 20 h à 6 h, à travers tout le pays.

Plus de 700 policiers, en uniforme et en civil, ont été déployés dans les zones sensibles afin de traquer les délinquants et de prévenir la criminalité. Cette opération coup de poing a abouti à l’interpellation de 582 individus, dont les motifs varient.

Parmi les personnes arrêtées, 378 ont été appréhendées pour vérification d’identité, 83 pour ivresse publique et manifeste, 28 pour nécessité d’enquête, un pour escroquerie, et 24 pour détention et trafic de chanvre indien. D’autres infractions ont également été constatées, telles que la destruction de biens appartenant à autrui, le défaut de permis de conduire, le tapage nocturne, le vagabondage, le vol, l’homicide involontaire par accident, les coups et blessures volontaires, et bien d’autres.

Ces actions démontrent l’engagement des forces de l’ordre à assurer la sécurité publique et à lutter contre la criminalité, surtout en période de festivités où les risques d’infractions sont souvent accrus. Les autorités continuent ainsi à veiller sur la tranquillité des citoyens et à garantir un environnement sûr pour tous.

Crise dans le secteur semencier : Les opérateurs menacent de boycotter la campagne agricole hivernale

Une situation tendue règne dans le secteur semencier au Sénégal, alors que la campagne agricole hivernale approche à grands pas. Les opérateurs semenciers ont exprimé leur mécontentement lors d’un conclave tenu mardi, menaçant de boycotter les opérations si leurs dettes envers l’État ne sont pas réglées.

Lors d’un Conseil interministériel présidé par le Premier ministre Ousmane Sonko au Centre international de Conférence Abdou Diouf de Diamniadio (CICAD), plusieurs décisions ont été prises pour préparer la campagne agricole à venir. Cependant, malgré l’annonce d’un budget record de 120 milliards FCFA et l’implication des forces de défense et de sécurité dans la distribution des semences, les problèmes persistent.

Selon des informations rapportées par Source A, les opérateurs semenciers réclament toujours le paiement de leurs dettes par l’État, sans quoi ils menacent de ne pas fournir de semences pour la campagne agricole. Les dettes, estimées à 43 milliards de francs CFA, concernent notamment celles de l’année 2023-2024.

Un des opérateurs semenciers, ayant pris part au conclave, a déclaré à la source que « il nous sera impossible de nous engager à fournir des semences à l’État, si nous ne nous faisons pas rembourser nos dettes ». Il reproche également au gouvernement de n’avoir libéré qu’une partie des fonds promis, soit 20 milliards sur le montant total dû.

Malgré les virements effectués par le gouvernement, qui devraient être positionnés dans les comptes des opérateurs ce mercredi, les semenciers restent méfiants. De plus, ils contestent l’utilisation d’un audit comme argument pour retarder le paiement de leurs dettes, soulignant l’urgence de la situation et l’impact direct sur la préparation de la campagne agricole hivernale.

Face à cette crise potentielle, il est crucial pour les autorités de trouver rapidement une solution afin d’assurer le bon déroulement de la campagne agricole et de préserver les intérêts des opérateurs semenciers, essentiels à la sécurité alimentaire du pays.

Décès d’un conducteur de moto-Jakarta : Appel à la régularisation du secteur par le président du Réseau sénégalais des organisations d’usagers des deux-roues

Une tragédie de plus vient endeuiller les conducteurs de deux-roues au Sénégal, avec le décès d’un conducteur de moto-Jakarta survenu lundi dernier, à hauteur de l’école Mariama Niass. Ce nouvel accident ravive la colère et l’indignation du président du Réseau sénégalais des organisations d’usagers des deux-roues, Mamadou Ndiaye, qui dénonce un secteur non régulé et des comportements dangereux.

Dans une déclaration sur iRadio, Mamadou Ndiaye a vivement critiqué le comportement des motocyclistes et des chauffeurs de transport, pointant du doigt leurs manquements en matière de sécurité routière. « Le comportement des chauffeurs laisse à désirer. Les conducteurs de deux-roues sortent de tous les côtés. Ils coupent la route sans raison. Ils conduisent sans porter de casque et ne respectent aucune mesure de sécurité », a-t-il déploré.

Il a également mis en lumière les difficultés de cohabitation entre les conducteurs de deux-roues et les chauffeurs des autres moyens de transport, soulignant ainsi l’urgence pour les autorités d’intervenir afin de réguler ce secteur.

Mamadou Ndiaye a ainsi lancé un appel pressant au Président Bassirou Diomaye et au ministre en charge du secteur, El Malick Ndiaye, pour qu’ils prennent des mesures concrètes en faveur de la régularisation du secteur des deux-roues. « Nous appelons le président Diomaye et le ministre de tutelle El Malick Ndiaye d’essayer de régulariser notre secteur. En formant les jeunes afin qu’ils puissent avoir des permis de conduire », a-t-il affirmé.

En cette période où la mise en circulation du Bus à haut niveau de service (BRT) augmente le risque d’accidents impliquant des motos, Mamadou Ndiaye a également exhorté les conducteurs à faire preuve de vigilance et à respecter scrupuleusement le Code de la route pour éviter de nouveaux drames sur les routes sénégalaises.

Préparation du pèlerinage Marial de Popenguine : Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale supervise le dispositif sanitaire

En vue de la 136ème édition du pèlerinage Marial de Popenguine, le Ministre de la Santé et de l’Action sociale, Dr. Ibrahima Sy, a effectué une visite du dispositif sanitaire déployé pour assurer une prise en charge adéquate de cet événement religieux majeur. Cette démarche vise à garantir la sécurité et le bien-être des fidèles lors de cette manifestation religieuse très attendue.

Les agents du service d’hygiène sont déjà mobilisés et engagés dans des activités de prévention, de surveillance et de sensibilisation afin de prévenir tout risque sanitaire et d’assurer une réponse rapide en cas de besoin. Dans le cadre de ce dispositif, quinze postes médicaux avancés seront installés, et une trentaine d’ambulances seront déployées pour assurer la mobilité des équipes médicales et le transfert éventuel des patients vers les structures de santé appropriées.

Il est également prévu que des médecins du secteur privé, ainsi que des professionnels de la santé de l’armée et de la brigade nationale des sapeurs-pompiers, participent activement à ce dispositif afin de renforcer les capacités de prise en charge médicale sur le terrain.

Au-delà de son caractère religieux, le pèlerinage Marial de Popenguine représente un événement de grande envergure qui attire un grand nombre de fidèles. Le Ministre de la Santé, après avoir salué le dispositif mis en place, a souligné l’importance cruciale de la prévention dans de tels moments de grands rassemblements, insistant sur la nécessité de prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et la santé de tous les participants.

Cette visite du Ministre de la Santé témoigne de l’engagement du gouvernement sénégalais à garantir la sécurité sanitaire de ses citoyens lors de manifestations religieuses et événements de grande ampleur, démontrant ainsi sa volonté de promouvoir le bien-être et la santé de la population.

Conseil interministériel présidé par le Premier ministre Ousmane Sonko : Préparation de la Tabaski 2024

Le Premier ministre du Sénégal, Ousmane Sonko, a présidé un conseil interministériel au Centre international de conférences Abdou Diouf (CICAD) de Diamniadio, consacré à la préparation de la fête de la Tabaski 2024. Cette réunion a rassemblé une dizaine de ministres impliqués, dont le ministre en charge de l’élevage, le Dr. Mabouba Diagne.

L’objectif principal de cette rencontre était de faire le point sur l’état de préparation de la fête de la Tabaski, ainsi que d’écouter et de prendre en compte les préoccupations des différents acteurs impliqués, notamment les éleveurs, les opérateurs, les transporteurs et les consommateurs.

À l’issue de cette réunion, le Premier ministre a pris 14 décisions importantes relatives à divers aspects de la préparation de la Tabaski. Ces décisions portent notamment sur la sécurisation et la facilitation des différentes étapes du processus, l’aménagement et le fonctionnement des points de vente, ainsi que sur les questions de financement.

Il est également mentionné que ces décisions ne sont pas les seules mesures prises, mais qu’elles s’inscrivent dans le cadre de mesures structurelles plus larges visant à garantir l’autosuffisance en moutons, à mettre en œuvre les décrets d’application du Code pastoral, et d’autres initiatives visant à améliorer la situation de l’élevage au Sénégal.

Cette réunion souligne l’importance accordée par le gouvernement sénégalais à la préparation et à la réussite de la fête de la Tabaski, ainsi qu’à la prise en compte des préoccupations des différents acteurs impliqués dans cet événement majeur de la vie nationale.

Migration intense : 400 Sénégalais rejoignent l’Espagne en une journée

Une nouvelle vague de migrants sénégalais déferle sur les côtes espagnoles, mettant en lumière la gravité de la situation dans leur pays d’origine. Après l’arrivée récente de 176 Sénégalais à Las Palmas, dont malheureusement un décédé, des informations provenant de sources proches des garde-côtes espagnols révèlent que plus de 200 personnes supplémentaires ont atteint les îles de Fuerteventura et Tenerife à bord d’embarcations de fortune. Toutes ces personnes ont embarqué à Mbour, au Sénégal, selon les mêmes sources autorisées.

Cette nouvelle vague d’émigration témoigne des conditions économiques difficiles, du manque d’opportunités et des incertitudes politiques qui poussent de nombreux jeunes sénégalais à risquer leur vie en traversant l’Atlantique dans des embarcations souvent surchargées et dangereuses. Malgré les risques élevés et les tragédies humaines qui surviennent en mer, le désespoir pousse ces migrants à tenter cette dangereuse traversée dans l’espoir d’une vie meilleure en Europe.

Face à cette pression migratoire constante, les autorités espagnoles ont intensifié leurs efforts de surveillance et de sauvetage en mer. Elles déploient des ressources considérables pour patrouiller les eaux et secourir les migrants en détresse, mais les défis restent immenses. La coopération internationale et les efforts concertés pour s’attaquer aux racines profondes de l’émigration sont plus que jamais nécessaires pour répondre à cette crise humanitaire et offrir des solutions durables aux migrants qui fuient les difficultés dans leur pays d’origine.

Ousmane Sonko coanimera avec Jean-Luc Mélenchon une conférence sur l’avenir des relations Afrique-Europe

Ce jeudi 16 mai, une rencontre politique d’une grande importance se tiendra à Dakar, Sénégal. Le Président Ousmane Sonko, figure de proue du parti Pastef, et Jean-Luc Mélenchon, leader de la France Insoumise, uniront leurs voix lors d’une conférence pour discuter de l’avenir des relations entre l’Afrique et l’Europe.

La conférence, prévue à 16 heures à l’Amphi Ucad II, portera sur le thème : « Échanges sur l’avenir des relations Afrique-Europe ». Cet événement suscite un vif intérêt tant au Sénégal qu’en Europe, où les deux personnalités politiques jouissent d’une forte influence.

Il est à noter que les relations entre le parti Pastef et la France Insoumise sont marquées par une cordialité et une fraternité manifestes. De nombreux militants de Pastef résidant en France sont également membres de la France Insoumise, ce qui renforce les liens entre ces deux mouvements politiques.

Par ailleurs, l’amitié entre Ousmane Sonko et Jean-Luc Mélenchon s’illustre également par la présence de Me Juan Branco, un ami commun, qui a été candidat pour la France Insoumise. Ces liens étroits entre les deux dirigeants et leurs organisations respectives témoignent de leur engagement commun en faveur d’une coopération renforcée entre l’Afrique et l’Europe.

Cette conférence promet d’être une étape importante dans le dialogue politique entre les deux continents, offrant une plateforme pour des échanges constructifs et des perspectives nouvelles sur les enjeux cruciaux qui façonnent les relations entre l’Afrique et l’Europe.

Sergueï Choïgou écarté du ministère de la Défense russe suite à l’échec du Corps africain

Le Corps africain de la Russie, censé être une alternative efficace à la société militaire privée (SMP) Wagner, s’est avéré être un projet infructueux. Conçu pour remplacer les structures de la SMP Wagner opérant en Afrique après le décès du fondateur de la SMP, Evgueni Prigojine, en août 2023, le Corps africain n’a pas réussi à atteindre ses objectifs.

Les premiers rapports sur sa création ont émergé en novembre 2023, mais jusqu’à présent, la seule activité concrète a été le déploiement d’un contingent militaire russe de 100 soldats à Ouagadougou, au Burkina Faso, en janvier dernier. Les pays alliés comme le Burkina Faso, la Libye, le Mali et le Niger ont été déçus par le manque de progrès réels, ce qui a entraîné une baisse de la médiatisation et même des critiques négatives envers le Corps.

Le limogeage de Timur Ivanov, vice-ministre russe de la Défense chargé des questions de soutien financier du Corps africain, fin avril, est attribué à l’inefficacité et à la négligence dans sa gestion du projet. Il aurait été plus intéressé par les questions liées à la SMP Wagner que par le développement des relations internationales avec l’Afrique.

Le départ de Sergueï Choïgou, ministre de la Défense russe, le 12 avril, par Vladimir Poutine semble également lié à l’échec du Corps africain. Le projet n’a pas progressé depuis son lancement l’année dernière, ce qui a conduit les dirigeants russes à remettre en question sa gestion.

En outre, Choïgou aurait régulièrement affirmé que les activités africaines de la SMP Wagner étaient sous contrôle, ce qui ne correspondait pas à la réalité. Le groupe Wagner continue de travailler avec succès en Afrique, recrutant même de nouveaux combattants récemment.

Le succès de la SMP Wagner, comparé à l’échec du Corps africain, souligne les lacunes des efforts de Choïgou et de son équipe. Cet échec a finalement conduit à sa destitution de ses fonctions de ministre de la Défense de la Fédération de Russie.

Sénégal : Le président Bassirou Diomaye Faye annule les avantages financiers des ex-ministres

La politique de réforme entreprise par le nouveau président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, continue de faire parler d’elle. En effet, une décision radicale a été prise, marquant un changement significatif dans la gouvernance du pays : l’annulation de plusieurs avantages financiers accordés aux anciens ministres.

Parmi ces mesures, on compte notamment l’annulation des salaires mensuels qui étaient attribués aux ministres de l’ancien gouvernement juste avant le départ de l’ex-président Macky Sall. Selon un rapport de Seneweb, ces salaires s’élevaient entre 1,5 et 2,8 millions de francs CFA.

Cette décision, motivée par une volonté de rationalisation des dépenses de l’État, marque un tournant important dans la gestion des finances publiques au Sénégal. Elle témoigne de la détermination du président Faye à instaurer une gouvernance plus responsable et transparente, mettant ainsi fin à certaines pratiques qui étaient jugées excessives ou inappropriées.

Cette annonce suscite des réactions diverses au sein de la classe politique et de la population sénégalaise. Certains saluent cette mesure comme un pas vers une gestion plus saine des finances publiques, tandis que d’autres expriment des inquiétudes quant à ses implications à long terme.

Quoi qu’il en soit, cette décision montre la volonté du président Faye de mettre en œuvre des réformes audacieuses pour répondre aux attentes et aux besoins de la population sénégalaise, tout en assurant une gestion responsable et équitable des ressources du pays.

Autoroute Patte D’oie-Colobane : Un accident tragique entraîne la mort d’un conducteur de scooter et un énorme bouchon

Ce mercredi matin, aux alentours de 5 heures, un grave accident s’est produit sur l’autoroute Patte d’Oie-Colobane, à proximité de l’école Mariama Niass. L’accident, impliquant un camion et un bus TATA, a entraîné la mort d’un conducteur de scooter.

La collision a eu des conséquences immédiates sur la circulation, provoquant un énorme bouchon de Pikine jusqu’à la Patte d’Oie. Cette situation a rendu les voies d’accès vers le centre-ville et ses environs complètement obstruées.

Face à cette obstruction, les automobilistes se dirigeant vers le centre-ville ont dû trouver des itinéraires alternatifs. Certains ont choisi de bifurquer vers les Maristes, tandis que d’autres ont préféré prendre un détour par les axes menant à Grand-Yoff. Certains ont également emprunté la Voie de Dégagement Nord (VDN) pour contourner le bouchon.

Les services de secours ainsi que les forces de l’ordre ont rapidement réagi et sont sur place pour gérer la situation. Leur objectif est de rétablir la circulation le plus rapidement possible afin de limiter les perturbations pour les usagers de la route.

Cet accident tragique rappelle l’importance de la prudence et du respect des règles de circulation sur les routes, ainsi que la nécessité de rester vigilants en tout temps pour éviter de tels drames.

Louga : Deux voleurs détroussent un commerçant et se battent pour le butin

Une scène insolite s’est déroulée à Barkédji, dans le département de Linguère, où deux agresseurs ont été surpris en train de se battre pour le partage du butin qu’ils venaient de dérober à un commerçant. L’un d’eux, A. Ba, a réussi à prendre la fuite tandis que le second, S. Sow, a été rattrapé par des poursuivants.

Les faits remontent au 6 janvier 2022, lorsque le commerçant, de retour du marché hebdomadaire, a été attaqué par S. Sow et A. Ba armés de machettes. Sous la menace, le commerçant a été contraint de lâcher son sac contenant plusieurs objets de valeur. Malgré sa résistance, il a été violemment agressé, subissant des lacérations au cou et la perte de trois dents.

Après avoir pris la fuite avec le sac, les agresseurs ont décidé de partager le butin, mais une dispute a éclaté entre eux. Cette querelle les a conduit vers le forage de la localité, où le fils du commerçant, alerté par son père, les a retrouvés. Face à la menace de la foule en colère, A. Ba a réussi à s’échapper, laissant S. Sow sur place.

Arrêté par les autorités et conduit au poste de Gendarmerie de Linguère, S. Sow a avoué son implication dans l’agression. Il a cependant prétendu avoir agi sous l’influence de l’alcool et ne pas se souvenir de tous les détails.

Traduit devant la Chambre criminelle de Louga pour vol en réunion avec usage d’arme, S. Sow a été condamné à 10 ans de prison après que le Parquet ait requis la peine de perpétuité. Cette affaire met en lumière les conséquences tragiques de la criminalité et souligne l’importance de la justice dans la lutte contre de tels actes.

Guédiawaye : Le lutteur Lac De Guiers 2 arrêté par la police

Le célèbre lutteur Lac De Guiers 2, leader de l’écurie de lutte Walo, a été appréhendé par la police centrale de Guédiawaye après avoir été activement recherché pour escroquerie. Cette arrestation fait suite à plusieurs plaintes déposées par des personnes ayant versé des sommes importantes dans l’espoir de voyager en Angleterre, promesses qui n’ont jamais été tenues.

Les plaignants, ayant versé des montants allant de 2 à 5 millions de francs CFA à travers le bras droit de Lac De Guiers 2, A. S. Diagne, se sont retrouvés dans une situation difficile lorsque les départs promis ne se sont jamais matérialisés. Malgré des mois d’attente, les plaignants n’ont pas vu leurs projets de voyage se concrétiser, éveillant ainsi des soupçons d’escroquerie.

Les autorités ont ouvert une enquête préliminaire dès réception des plaintes et ont lancé une chasse à l’homme lorsque Lac De Guiers 2 et son associé sont devenus injoignables. Les efforts des forces de l’ordre, appuyés par des agents de terrain et des réseaux de renseignement, ont finalement permis de localiser le lutteur.

Selon Les Echos, après plusieurs mois de recherche, il a été découvert que Lac De Guiers 2 avait séjourné en France avant de retourner discrètement au Sénégal. Profitant de cette information, la police a organisé une opération qui a abouti à son arrestation à son domicile, situé à la cité des enseignants de Guédiawaye.

Lac De Guiers 2 a été placé en garde à vue et devra répondre de ses actes devant la justice. Le préjudice financier subi par les plaignants est estimé à environ vingt millions de francs CFA. Cette arrestation souligne l’importance de la vigilance face aux promesses trop belles pour être vraies et la nécessité pour les autorités de prendre des mesures contre les activités frauduleuses.

Diourbel, Sénégal: Évaluation collaborative du processus électoral pour renforcer la démocratie

Un atelier d’évaluation collaborative a récemment eu lieu à Diourbel, au Sénégal, réunissant divers acteurs impliqués dans le processus électoral. Parmi les participants figuraient des représentants des autorités administratives, des partis politiques, de la société civile et des médias. L’objectif principal de cette réunion était d’examiner de manière critique les performances des élections récentes afin d’identifier les points forts et les faiblesses, et ainsi de renforcer les futurs processus électoraux dans le pays.

Cet atelier s’inscrit dans le cadre du programme ‘Nietty élection’, une initiative conjointe entre le Sénégal et les États-Unis visant à soutenir le cycle électoral du pays. Alain Ayadokoum, représentant du National Democratic Institute, a salué la capacité de résilience du peuple sénégalais. Malgré les défis rencontrés, le Sénégal a su maintenir un climat pacifique après les élections, avec les candidats perdants reconnaissant rapidement la victoire du vainqueur. Cette réaction rapide et pacifique illustre la maturité démocratique du pays.

L’atelier a permis aux participants de discuter ouvertement des différents aspects du processus électoral, notamment la préparation des élections, le déroulement du scrutin, le dépouillement des votes et la publication des résultats. Les recommandations issues de ces discussions seront essentielles pour orienter les réformes nécessaires visant à améliorer l’intégrité et la transparence des futurs scrutins électoraux au Sénégal.

En conclusion, cet atelier d’évaluation collaborative marque une étape importante dans la consolidation de la démocratie au Sénégal. En encourageant le dialogue et la participation de tous les acteurs concernés, le pays démontre son engagement envers des processus électoraux libres, justes et transparents, essentiels pour assurer la stabilité et le progrès démocratique à long terme.

Accident à l’AIBD : rebondissement dans l’affaire

Une nouvelle étape vient d’être franchie dans l’affaire concernant la sortie de piste du Boeing 737-300 de la compagnie Transair, affrété par Air Sénégal pour assurer la liaison Dakar-Bamako.

LeQuotidien rapporte que le Parquet de Mbour a pris en charge le dossier. Une enquête a été ouverte « pour mise en danger de la vie d’autrui » dans l’accident survenu le 9 mai dernier, ayant entraîné 11 blessés, dont 4 dans un état grave, informe le quotidien.

En parallèle, une équipe de l’avionneur américain Boeing est sur le point d’arriver à Dakar. « Les Américains sont déterminés à faire la lumière sur cette affaire car leur réputation a été entachée après ce nouveau drame », indique le journal.

Pourtant, il convient de rappeler que les autorités aéroportuaires du Sénégal, par le biais du Bureau d‘Enquête et d’Analyse (BEA), ont déjà ouvert une enquête pour déterminer les causes de l’accident.

Ce rebondissement marque une nouvelle phase dans l’enquête sur cet accident aérien. Alors que les blessés se remettent encore de leurs traumatismes, l’ouverture de cette enquête judiciaire souligne l’importance de comprendre pleinement les circonstances de l’incident afin d’éviter de tels événements à l’avenir.

120 jeunes formés en entreprenariat bénéficient de kits d’insertion dans le secteur agro-sylvo-pastoral à Matam

Grâce au Projet de Renforcement de l’Auto-emploi des Jeunes (PRAEJ 2), financé par l’Agence Espagnole Coopération Internationale pour le Développement (AECID), 120 jeunes de la région de Matam ont reçu des kits d’insertion pour démarrer leurs activités dans le secteur agro-sylvo-pastoral. Ces jeunes, formés en entrepreneuriat et gestion de micro-entreprises, sont désormais prêts à se lancer dans des projets agricoles, d’élevage et autres domaines connexes.

La cérémonie de distribution, qui s’est tenue en présence de Tamsir Faye, directeur général de l’Agence nationale de promotion de l’emploi des jeunes (ANPEJ), a également été l’occasion de remettre des subventions aux jeunes bénéficiaires. Ces fonds serviront de capital de démarrage pour les aider à lancer efficacement leurs activités professionnelles.

Cette initiative vise à encourager l’auto-emploi parmi les jeunes, notamment dans des zones où la migration irrégulière est préoccupante. Les jeunes ont été encouragés à utiliser leurs nouveaux équipements de manière efficace et à suivre les plans de suivi afin d’assurer le succès de leurs entreprises.

Le projet PRAEJ 2 démontre l’engagement en faveur du développement économique et de la création d’emplois dans les régions rurales du Sénégal. En investissant dans la jeunesse et en les dotant des compétences et des outils nécessaires, cette initiative contribue à renforcer la résilience économique des communautés locales et à promouvoir la stabilité sociale.

Mermoz : La vie après Macky Sall, témoignages de voisins de l’ancien Président

Depuis le départ de l’ancien président de la République, Macky Sall, du quartier résidentiel de Mermoz à Dakar, ses voisins ressentent un certain vide et regrettent son absence, révèle L’Observateur. Rokhaya Fall, qui vit à quelques pas de la résidence de l’ex-président, partage ses impressions sur cette transition.

« Macky Sall était un hôte vraiment encombrant car la plupart des voisins étaient obligés de revoir leurs habitudes », admet-elle. Cependant, elle souligne : « Il y avait la sécurité et l’endroit demeurait tout le temps calme ». La présence constante des forces de l’ordre garantissait une tranquillité d’esprit pour les habitants.

Avec le départ de l’ancien président après la passation du pouvoir, un changement notable est observé dans le quartier. L’Observateur constate l’absence de dispositif de sécurité renforcé : « Les fourgonnettes des forces de défense et de sécurité sont invisibles, pas de barrières de police placées tout le long de la chaussée ». Seul un gendarme reste en faction devant le domicile de l’ex-chef de l’État.

Outre les problèmes de sécurité, les voisins se plaignent également de l’insalubrité croissante. Les opérations de nettoyage ne sont plus aussi fréquentes qu’auparavant. Les feuilles mortes jonchent les rues, ce qui contraste avec la propreté observée sous le mandat de Macky Sall.

Les employés de sécurité qui travaillaient pour l’ancien président témoignent également des changements dans leurs conditions de travail. Avant, ils bénéficiaient de repas fournis par l’épouse de Macky Sall, Mariéme Faye Sall, et recevaient des sommes d’argent conséquentes. Désormais, ils doivent subvenir à leurs besoins par eux-mêmes et rester sur leurs gardes en permanence pour éviter les intrusions.

Le départ de Macky Sall laisse donc un vide dans le quartier de Mermoz, marqué par des changements perceptibles dans la sécurité et la propreté, ainsi que dans la routine quotidienne de ses habitants.

FIT Sénégal vise l’insertion professionnelle de 3000 jeunes pour les JOJ Dakar 2026

L’initiative ‘FIT Sénégal’ se lance dans une ambitieuse mission : préparer trois mille jeunes Sénégalais pour l’insertion professionnelle en vue des Jeux Olympiques de la Jeunesse de 2026 à Dakar. Amadou Kane Diongue, chef de projet, a exposé les détails de cette initiative lors d’une réunion à Tambacounda. Ce programme novateur vise à doter la jeunesse sénégalaise des compétences nécessaires pour participer activement à cet événement sportif d’envergure internationale.

Le projet FIT, acronyme signifiant ‘courage’ en wolof, bénéficie du soutien de la Team Europe ainsi que du ministère sénégalais de la Formation professionnelle. Avec un budget dépassant 1,3 million d’euros, cette initiative prévoit une collaboration étroite avec les dispositifs locaux d’insertion professionnelle ainsi que les établissements de formation à travers le pays. L’objectif est de renforcer l’employabilité des jeunes Sénégalais en leur fournissant les compétences et les outils nécessaires pour réussir sur le marché du travail.

Ce programme ambitieux comprendra des formations spécialisées, des stages en entreprise et des opportunités d’apprentissage pratique. Il s’agit d’une réponse concrète aux défis auxquels sont confrontés les jeunes dans leur transition vers le monde du travail. En outre, cette initiative contribuera à dynamiser l’économie locale en offrant des opportunités de développement professionnel et en encourageant l’entrepreneuriat chez les jeunes.

En préparation des Jeux Olympiques de la Jeunesse de 2026, FIT Sénégal s’engage à faire de cet événement sportif une opportunité transformative pour la jeunesse sénégalaise. En investissant dans l’éducation et la formation professionnelle, ce programme vise à créer un héritage durable qui profitera à toute la société sénégalaise.

‘’Traumatisme’’ lié à l’intervention des Gendarmes : 3 membres d’une famille perdent la vie à Nder Peulh

Les habitants de Nder Peulh, une localité dans la commune de Darou Mouhty, vivent des jours de deuil et de chagrin après une tragédie survenue dans leur village les jeudi 9 et vendredi 10 mai 2024.

En l’espace de deux jours, la localité a été endeuillée par la perte de trois membres d’une même famille suite à une intervention musclée des forces de gendarmerie pour arrêter un jeune du village.

Tout a débuté le jeudi 9 mai vers 14 heures lorsque des gendarmes de la brigade de Darou Moukhty ont effectué une descente inattendue dans le village pour appréhender un jeune nommé Ousmane Sow, accusé de vol présumé de cheval.

Malheureusement, l’arrestation a viré au drame lorsque son homonyme, Ousmane Sow âgé de 93 ans, a fait une crise cardiaque et est décédé quelques minutes plus tard.

Sa dépouille a été transportée au centre de santé de Mbacké Cadior, où le certificat de décès a confirmé une mort par arrêt cardiaque suite à un malaise.

Le lendemain 10 mai, après l’enterrement du vieil homme, un autre drame a frappé la famille. Son petit-fils, Abdou Aziz Sow, âgé de 16 ans, a tragiquement perdu la vie en se poignardant alors qu’il était en état de transe.

Pire encore, la même journée, une femme enceinte de 4 mois, épouse de l’un des petits-fils du défunt Ousmane Sow, a fait une fausse couche après le décès du jeune Abdou Aziz Sow.

Selon des sources familiales, cette tragédie a été insupportable pour la jeune femme, qui a été victime d’une crise émotionnelle après les événements tragiques à Nder Peulh. Les habitants menacent désormais de porter plainte contre les membres de la brigade de gendarmerie de Darou Moukhty, qu’ils accusent d’être à l’origine de ces drames.

Trois individus de Nder Peulh, dont le jeune Ousmane Sow, ont été déférés au parquet de Louga et placés sous contrôle judiciaire après leur comparution devant le juge du deuxième cabinet du Tribunal de Grande Instance de Louga.

Cette série d’événements tragiques soulève des questions sur les méthodes d’intervention des forces de sécurité et suscite une profonde émotion dans la communauté de Nder Peulh, plongée dans le deuil et le traumatisme.

Opération anti-braconnage à Vélingara : Mobilisation contre l’abattage clandestin d’arbres à la frontière sénégalo-gambienne

Le Service départemental des Eaux et Forêts de Vélingara a lancé une opération d’envergure visant à lutter contre le braconnage forestier le long de la frontière entre le Sénégal et la Gambie. Cette initiative intervient en réponse aux nombreuses plaintes des populations locales concernant les abattages nocturnes d’arbres dans la région.

L’opération cible spécifiquement la zone de Médina-Mary, située à 25 km au nord-ouest de Vélingara. Selon un communiqué officiel, des scieries opérées par des individus présumés guinéens résidant en Gambie ont été identifiées à proximité, alimentant ainsi le trafic de bois. Ces scieries se spécialisent dans le débitage d’arbres séculaires de l’espèce Dimb, préalablement abattus puis exportés vers la Gambie.

Face à cette situation préoccupante, la communauté locale apporte un soutien massif aux autorités forestières et plaide pour la mise en place d’un poste forestier permanent afin de sécuriser la région. Depuis 2012, les habitants riverains de cette frontière mènent un combat pour l’installation d’un tel poste afin de protéger efficacement leur environnement naturel.

Cette opération anti-braconnage témoigne de l’engagement des autorités sénégalaises à préserver la biodiversité et les ressources forestières du pays. Elle souligne également l’importance de la collaboration entre les autorités, les communautés locales et les acteurs de la société civile pour lutter contre les activités illicites menaçant l’équilibre écologique de la région.

Affaire Ismaïla Madior Fall : Des enseignants-chercheurs se désolidarisent du communiqué du SAES

Au cœur d’une polémique impliquant l’ancien ministre des Affaires étrangères, Ismaïla Madior Fall, une affaire d’affectation à l’Institut fondamental d’Afrique noire (IFAN) Cheikh Anta Diop de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) a suscité une vive réaction de la part du Syndicat autonome de l’Enseignement supérieur (SAES). Toutefois, des enseignants-chercheurs de diverses facultés de l’UCAD se sont récemment désolidarisés du communiqué émis par la Coordination du SAES du Campus de Dakar.

Dans un communiqué conjoint publié le 14 mai 2024, ces enseignants-chercheurs ont critiqué le contenu du communiqué émis par le SAES, remettant en question ses partis pris et son analyse des faits. Ils ont souligné des incohérences dans les déclarations des protagonistes et des lacunes dans le respect des procédures académiques et administratives.

Les enseignants-chercheurs ont exprimé leur désaccord avec le communiqué du SAES, le qualifiant d’indigne par son contenu et indigent par sa forme. Ils ont également appelé le Bureau national du SAES à enquêter sur les circonstances entourant la publication de ce communiqué et ont exigé que la Coordination du SAES du Campus de Dakar convoque une Assemblée générale pour discuter de l’affaire de l’affectation du professeur Ismaïla Madior Fall à l’IFAN Cheikh Anta Diop.

Parmi les signataires du communiqué conjoint, on retrouve des enseignants-chercheurs de différentes facultés de l’UCAD, notamment de l’IFAN, de la Faculté des sciences juridiques et politiques (FSJP), de la Faculté des sciences économiques et de gestion (FASEG), de l’École supérieure polytechnique (ESP), de la Faculté des sciences et technologies (FST), et de la Faculté des lettres et sciences humaines (FLSH).

Cette désolidarisation des enseignants-chercheurs met en lumière les divergences au sein du milieu académique concernant l’affaire Ismaïla Madior Fall et souligne l’importance de garantir le respect des procédures et de la transparence dans les décisions administratives au sein de l’université.

Procès de Donald Trump à New York : l’ex-président confronté à des accusations de paiements secrets à Stormy Daniels

Le procès de l’ancien président américain Donald Trump continue de captiver l’attention à New York, alors qu’il est confronté à des accusations de paiements secrets à l’ancienne actrice pornographique Stormy Daniels pour acheter son silence. Les récents développements mettent en lumière le climat tendu de l’audience, avec le soutien affiché de Trump par des figures politiques notables, soulignant la politisation du procès.

Mike Johnson, le président de la Chambre des représentants, s’est rendu à l’audience pour exprimer son soutien à Trump, qualifiant les procédures de « chasse aux sorcières ». Cette présence de personnalités politiques éminentes renforce l’aspect hautement médiatisé et politisé du procès. Pendant ce temps, à l’extérieur de la salle d’audience, Trump et sa famille mobilisent leurs partisans, appelant à des contributions financières pour « vaincre les démocrates fous », selon leurs termes.

Dans une tournure critique du procès, la procureure a présenté des preuves de paiements effectués par Trump à Daniels, intensifiant les enjeux. Michael Cohen, l’ex-avocat de Trump devenu témoin à charge, a joué un rôle central en révélant des chèques signés par Trump, supposément pour rembourser des paiements à Daniels. Ces révélations pourraient potentiellement influencer l’opinion publique, en particulier l’électorat féminin, avec lequel Trump avait déjà du mal lors de sa campagne de 2016.

L’issue de ce procès est attendue avec impatience, car elle pourrait avoir des répercussions importantes sur la réputation et l’avenir politique de Donald Trump, ainsi que sur le paysage politique américain dans son ensemble.

Le Premier ministre du Niger critique l’attitude des États-Unis et rompt l’accord militaire

Dans une interview accordée au Washington Post, le Premier ministre nigérien Ali Mahamane Lamine Zeine a annoncé la rupture de l’accord de coopération militaire avec les États-Unis, dénonçant des menaces proférées par des fonctionnaires américains lors d’une visite en mars dernier. Cette décision intervient après des tensions lors de rencontres avec des représentants américains, au cours desquelles des ultimatums auraient été formulés par Molly Phee, secrétaire d’État adjointe aux affaires africaines, concernant les relations commerciales du Niger, notamment la vente d’uranium à l’Iran.

Le Premier ministre Zeine a exprimé son mécontentement face à ce qu’il considère comme une ingérence dans la souveraineté du Niger, soulignant que le pays avait été laissé seul face aux crises sécuritaires malgré la présence américaine. Il a également ouvert la porte à d’autres nations qui ont montré un soutien plus concret au nouveau gouvernement nigérien. Néanmoins, Zeine a réaffirmé son désir de poursuivre les relations économiques avec tous les pays, y compris les États-Unis, en mettant en avant les ressources naturelles disponibles au Niger.

Cette rupture de l’accord militaire avec les États-Unis marque un tournant dans les relations entre les deux pays et souligne les tensions croissantes entre le Niger et certaines puissances étrangères. Elle reflète également la volonté du gouvernement nigérien de défendre sa souveraineté et de rechercher des partenariats plus équilibrés et respectueux. L’avenir des relations entre le Niger et les États-Unis reste incertain, mais cette décision marque un moment important dans la politique étrangère du pays.

Suspension de Sidath, promesses de Sonko et Waly Diouf contre les opposants : Faits marquants de la matinale

Dans la matinale de Senego de ce mercredi 15 mai 2024, plusieurs sujets ont animé les discussions pendant la nuit et les premières heures de la journée. Voici un résumé des principaux faits saillants :

  1. Suspension de Sidath Thioune par El Hadj Assane Gueye : Le directeur de la RFM a pris la décision de suspendre l’animateur Sidath Thioune de son temps d’antenne pour une durée indéterminée, suite à des accusations d’insubordination et de manque de respect. Cette affaire met en lumière les tensions dans les médias et les relations parfois délicates entre les employés et les dirigeants.
  2. Promesses d’Ousmane Sonko sur la vie chère : Le Premier ministre a présidé un Conseil interministériel pour aborder la problématique de la vie chère au Sénégal. Ousmane Sonko a promis que les prix allaient bientôt baisser grâce à des stratégies de souveraineté alimentaire. Ces déclarations interviennent à un moment crucial pour le gouvernement qui cherche à stabiliser les conditions économiques du pays.
  3. Waly Diouf Bodian contre les opposants milliardaires : Le nouveau directeur du port autonome de Dakar a demandé des comptes aux opposants milliardaires. Cette position souligne les tensions entre les nouveaux dirigeants et les figures politiques établies, dans un contexte où la gestion des biens publics est un enjeu majeur.

En outre, d’autres sujets importants ont également été abordés :

  • Annonce d’une nouvelle chaîne télévisée de la Gendarmerie par le général de division Martin Faye.
  • Critiques de Moustapha Diop envers les transporteurs et appel à une régulation stricte après des accidents mortels.
  • Séries de questionnements parlementaires de Guy Marius Sagna sur divers problèmes allant du détournement de fonds à la corruption.
  • Inquiétudes des semenciers exprimées lors d’une conférence sur la campagne agricole 2024.
  • Intérêt d’un club saoudien pour l’attaquant sénégalais Sadio Mané.
  • Débat sur l’affectation du Professeur Ismaïla Madior Fall entre universités.

Nous vous remercions d’avoir suivi les débats les plus animés et les annonces importantes dans la matinale de Senego. Rejoignez-nous demain pour plus d’actualités et de discussions.

Tribunal de Grande Instance de Mbour : Une femme arrêtée avec 400 g de chanvre indien, accusée de piège par la maîtresse de son mari

Une restauratrice, Mamy Guèye, a été interpellée par la police avec 400 g de chanvre indien, et elle a choisi de pointer du doigt la maîtresse de son mari, l’accusant d’avoir orchestré un piège contre elle. L’affaire a été portée devant le tribunal de grande instance de Mbour lors d’une audience des flagrants délits.

Lors de son passage devant le juge, Mamy Guèye a relaté une série d’événements tumultueux impliquant la maîtresse de son mari. Elle a expliqué avoir surpris son mari avec cette femme sur leur lit et s’être battue avec elle. La maîtresse aurait alors proféré des menaces à son encontre. Plus tard dans la soirée, un sachet de chanvre indien aurait été jeté dans la cour de la maison, que la fille de Mamy Guèye aurait découvert. Lorsqu’elle examinait le contenu du sachet, la police est intervenue et l’a surprise avec le sachet en main.

Cependant, Mamy Guèye nie toute implication dans le trafic de drogue, affirmant ne fumer que des cigarettes et non du chanvre indien. Malgré cela, elle a été condamnée à un mois de prison ferme après des débats d’audience.

Les circonstances de cette affaire soulèvent des questions sur la rivalité entre les deux femmes et les conséquences tragiques qui en ont découlé.

Tragédie à la gare routière de Keur Massar : Un homme s’effondre et meurt subitement

Une atmosphère de tristesse et de consternation enveloppe la gare routière des cars Ndiaga Ndiaye de Keur Massar suite au décès subit d’un homme survenu dans la nuit du samedi dernier.

Selon les informations recueillies par Seneweb, la victime, un homme dont l’identité reste encore inconnue, a été retrouvée morte avec un sac à dos contenant ses effets personnels.

Les autorités ont été alertées vers 21 heures, et les gendarmes de la Brigade territoriale du 46e département du Sénégal se sont rapidement rendus sur les lieux pour procéder au constat.

D’après les témoignages recueillis par les forces de l’ordre, la victime marchait dans la gare routière avant de s’écrouler subitement. Âgé entre 30 et 40 ans, l’homme n’avait ni pièce d’identité ni téléphone portable sur lui.

Son corps sans vie a été transporté à la morgue du centre de santé de Keur Massar, où il reste en attente d’identification.

Une enquête a été ouverte pour élucider les circonstances exactes de ce décès brutal, alors que la communauté locale est plongée dans le deuil et cherche des réponses à cette tragédie inattendue.

Affaire de la « Casse du siècle » : Une magistrate retraitée réclame ses biens, estimés à près de 200 millions F CFA

Le Tribunal des flagrants délits de Dakar a récemment été le théâtre d’un procès retentissant, mettant en lumière une affaire d’abus de confiance d’une ampleur considérable. F. B. Ndao comparaît devant la justice, accusée par F. Ka, magistrate à la retraite âgée de 65 ans, d’avoir abusé de sa confiance et détourné ses biens.

Selon les détails rapportés par L’Observateur, F. Ka affirme avoir confié à la fille de sa défunte amie, qu’elle considérait comme sa propre fille, une somme importante en espèces, équivalant à près de 46 millions de francs CFA, ainsi que des bijoux en or et en diamant, lors de son départ pour le Canada en 2017. La valeur totale de ces biens est estimée à environ 200 millions de francs CFA.

Cependant, après six ans, en avril 2023, F. Ka décide de réclamer ses biens à la décoratrice, mais se heurte au silence de celle-ci. Face à cette situation, elle porte plainte et F. B. Ndao se retrouve devant la justice, accusée d’avoir détourné les biens qui lui avaient été confiés.

Au cours de l’audience, F. B. Ndao admet avoir reçu les biens de F. Ka, mais conteste leur contenu, affirmant ne pas avoir vérifié le contenu des sacs scotchés remis par la plaignante. De plus, elle prétend avoir perdu les biens lors de son déménagement en 2018, et avoue ne jamais les avoir déposés à la banque.

Le délibéré de cette affaire est prévu pour le 27 mai prochain, laissant en suspens la question de la restitution des biens à leur propriétaire légitime. Cette affaire, surnommée la « Casse du siècle », met en lumière les risques liés à la confiance et souligne l’importance de la vigilance dans les transactions financières et la gestion des biens précieux.

Le Bus Rapid Transit (BRT) 100% électrique au Sénégal : Un Pas en Avant pour le Transport Public

Le Sénégal accueille avec enthousiasme le lancement du Bus Rapid Transit (BRT) 100% électrique, une initiative qui promet de révolutionner le paysage du transport public. Doté de caractéristiques innovantes et axé sur l’efficacité, le BRT électrique offre une multitude d’avantages pour les citoyens sénégalais.

1. Transport à faible coût : Le BRT électrique offre une alternative de transport abordable pour la population. Grâce à des tarifs accessibles, il permet aux citoyens de se déplacer facilement et à moindre coût, contribuant ainsi à réduire les dépenses de transport pour les ménages.

2. Flotte importante : Avec environ 158 BRT en circulation, le réseau offre une grande disponibilité de véhicules, assurant ainsi une fréquence élevée de passage et une meilleure accessibilité pour les usagers.

3. Capacité de transport élevée : Chaque BRT a une capacité de transport impressionnante, pouvant accueillir jusqu’à 150 passagers à la fois. Cette grande capacité permet de réduire les temps d’attente et de transporter un grand nombre de personnes simultanément, ce qui est essentiel dans une métropole dynamique comme Dakar.

4. Confort et commodités à bord : Les BRT électriques offrent un confort accru aux passagers, avec des équipements tels que la climatisation, le wifi et des prises USB à bord. Ces commodités ajoutent une valeur supplémentaire à l’expérience de voyage, garantissant un trajet agréable pour tous.

5. Autonomie étendue : Avec une autonomie impressionnante de 250 km par charge, les BRT électriques sont parfaitement adaptés aux besoins du réseau de transport sénégalais. Cette autonomie permet de couvrir de longues distances sans nécessiter de recharge fréquente, assurant ainsi une continuité de service optimale.

6. Capacité de transport journalière importante : Grâce à sa flotte nombreuse et à sa grande capacité de transport, le BRT électrique est en mesure de transporter près de 300 000 passagers par jour, facilitant ainsi les déplacements quotidiens de milliers de citoyens à travers le pays.

Le Bus Rapid Transit 100% électrique représente une avancée majeure dans le domaine du transport public au Sénégal. Avec ses caractéristiques innovantes, sa capacité élevée et son engagement en faveur de la durabilité, le BRT électrique promet d’améliorer significativement la mobilité urbaine et de contribuer au développement économique et social du pays.

Réunion du Ministre de l’Éducation Nationale avec les Syndicats : Engagement pour une Éducation Inclusive et Équitable

Ce lundi 13 mai 2024, le Ministre de l’Éducation Nationale, Moustapha M. Guirassy, a tenu une réunion avec les secrétaires généraux d’une quarantaine de syndicats qui n’ont pas atteint un score de 10% lors des élections de représentativité. Cette rencontre s’inscrit dans la continuité des discussions entreprises depuis sa prise de fonctions au sein du ministère de l’Éducation Nationale.

Au cours de cette réunion, qui s’est étendue sur quatre heures, plusieurs sujets ont été abordés, notamment ceux liés à l’équité et à l’inclusion dans la gestion du système éducatif. Le Ministre a salué l’engagement et la détermination des syndicats à accompagner le projet de transformation systémique visant à construire une école où chaque acteur contribue à façonner l’avenir de la nation.

À la fin de la rencontre, le Ministre Guirassy s’est félicité des échanges fructueux et a promis d’engager des concertations avec tous les services techniques et les ministères concernés pour trouver des solutions à court terme. Il a également affirmé son engagement à prendre des décisions collégiales et concertées sur des questions telles que la signature des arrêtés d’admission au Certificat d’Aptitude Professionnelle (CAP) et le problème des enseignants décisionnaires.

Le Ministre s’est engagé à assurer davantage de paix et de stabilité dans le secteur de l’éducation, soulignant l’importance de travailler ensemble pour relever les défis et garantir un système éducatif de qualité pour tous les citoyens du pays.

Renforcement des partenariats dans le secteur de la santé au Sénégal : le Ministre de la Santé rencontre les représentants de l’OMS et de l’UNICEF

Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale, Dr Ibrahima Sy, poursuit ses audiences de prise de contact avec les acteurs clés du secteur de la santé au Sénégal. Dans cette dynamique, il a récemment reçu le représentant résident de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), Dr Jean-Marie Vianny Yameogo, accompagné de ses collaborateurs, ainsi que la représentante résidente de l’UNICEF, Silva Danailov.

Ces rencontres marquent une étape importante dans le renforcement des partenariats entre le ministère de la santé et les partenaires techniques et financiers internationaux. Elles ont permis d’échanger sur les priorités de santé publique du Sénégal, les défis rencontrés dans le secteur et les stratégies à mettre en œuvre pour y faire face.

Le Ministre Sy a souligné l’importance de la collaboration avec des organisations telles que l’OMS et l’UNICEF pour améliorer la santé et le bien-être des populations sénégalaises. Il a exprimé sa volonté de travailler en étroite collaboration avec ces partenaires pour renforcer les capacités du système de santé, améliorer l’accès aux services de santé de qualité et répondre aux besoins sanitaires prioritaires du pays.

De leur côté, les représentants de l’OMS et de l’UNICEF ont réaffirmé leur engagement à soutenir le gouvernement sénégalais dans ses efforts pour atteindre les objectifs de développement durable liés à la santé, notamment en matière de lutte contre les maladies transmissibles et non transmissibles, de promotion de la santé maternelle et infantile, et d’accès aux vaccins essentiels.

Ces rencontres témoignent de la volonté commune des autorités sénégalaises et de leurs partenaires internationaux de travailler ensemble pour garantir le droit à la santé pour tous, conformément aux engagements pris dans le cadre des initiatives mondiales de santé et de développement.

BRT : Mise en service de 14 gares entre Guédiawaye et Petersen

La mise en service du Bus Rapid Transit (BRT) entre Guédiawaye et Petersen au Sénégal est prévue pour ce mercredi 15 mai, marquant une étape importante dans l’amélioration des transports publics dans la région.

À ce jour, sur les 23 gares prévues, 14 sont fonctionnelles, marquant le début d’une phase de lancement progressif du service. Ces gares sont réparties le long du trajet entre Guédiawaye et Petersen et sont prêtes à accueillir les voyageurs.

Voici la liste des 14 gares fonctionnelles :

  1. Papa Gueye Fall
  2. Place de la Nation
  3. Grand Dakar
  4. Sacré Cœur
  5. Liberté 6
  6. Khar Yàlla
  7. Cardinal Hyacinthe Thiandoum
  8. Grand Médine
  9. Croisement 22
  10. Parcelles
  11. Ndingala
  12. Dalal Jàmm
  13. Golf Nord
  14. Préfecture Guédiawaye

Les autres stations seront mises en service une fois leur conformité en matière de sécurité confirmée. Une commission spéciale dirigée par le gouverneur, le Directeur du CETUD et d’autres membres concernés, donnera alors le feu vert pour l’exploitation de ces gares.

Pour assurer la sécurité des usagers et du service BRT, un commissaire dédié à la sécurité a été nommé par le ministre de l’Intérieur, garantissant ainsi une surveillance accrue.

En ce qui concerne les tarifs, ils varient entre 400 et 500 F CFA, avec un tarif social disponible pour 16% des usagers, offrant des tickets à des prix réduits entre 200 et 250 F CFA. De plus, le projet BRT prévoit de générer 1000 emplois directs, dont 700 ont déjà été pourvus, contribuant ainsi à l’économie locale et à la création d’emplois dans le secteur des transports.

Sénégal : Dates de démarrage de l’exploitation du gaz et du pétrole confirmées

Le Directeur Général de Petrosen T&S, Manar Sall, a confirmé que les dates de démarrage de l’exploitation du gaz et du pétrole au Sénégal sont maintenues. Selon ses déclarations, le premier mètre cube de gaz est prévu pour la fin de l’année 2024, tandis que la production de pétrole est attendue au cours du premier semestre de cette année.

Manar Sall a mis en avant l’importance de la valorisation qui accompagne l’exploitation de ces ressources. Il a souligné que le projet permettra de valoriser le gaz au niveau local, ce qui est crucial pour l’industrialisation et la création de contenu local. Cette valorisation comprend notamment la construction d’une usine qui devrait générer des milliers d’emplois, offrant ainsi un avantage significatif pour le développement économique du Sénégal.

Selon le DG Sall, l’entrée dans l’ère pétrolière et gazière est vue comme une opportunité majeure pour le pays. Cette transition ouvre des perspectives non seulement pour les revenus potentiels tirés de la vente de ces ressources naturelles, mais aussi pour les avantages économiques plus larges qu’elle apportera au Sénégal dans son ensemble.

Avec ces échéances confirmées et les efforts déployés pour garantir une exploitation efficace et responsable des ressources, le Sénégal s’engage sur la voie d’une nouvelle ère de développement économique et industriel, avec le gaz et le pétrole comme moteurs de croissance et de prospérité pour les années à venir.

Qualification de l’AS Douanes aux Finals 8 : Me Babacar Ndiaye exprime son optimisme

La qualification de l’AS Douanes pour les Finals 8 a suscité une grande satisfaction chez Me Babacar Ndiaye, président de la Fédération sénégalaise de basket-ball. Cette réussite témoigne du sérieux du travail des dirigeants et du staff, ainsi que de l’engagement des joueurs. «Je félicite l’équipe pour cette belle réussite qui reflète aussi la force du basket sénégalais. Nous avons là une équipe solide», a-t-il déclaré.

La présence remarquée de Bassirou Diomaye Diakhar Faye, président de la République, lors de cette rencontre, ajoute encore à ce succès. «C’était un honneur d’accueillir notre président pour sa première sortie sportive. Cela montre aussi l’importance du basket dans notre pays», a ajouté Me Ndiaye.

L’objectif est désormais clair : préparer minutieusement les Finals 8 à Kigali, avec l’ambition de décrocher le titre, après avoir frôlé la victoire la saison précédente. Avec la motivation et la détermination de l’équipe, ainsi que le soutien indéfectible des supporters et des autorités, l’AS Douanes est prête à relever ce défi et à porter haut les couleurs du basket sénégalais lors de cette compétition internationale.

Arrestation de « Nostradamus » et « Paco » : Coup de Grâce contre le Trafic de Cocaïne entre Dakar et Marseille

La Division opérationnelle de l’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) a frappé un coup décisif contre le trafic de cocaïne entre Dakar et Marseille. Selon les informations révélées par Libération, les limiers ont déjoué une tentative d’implantation d’une filière de trafic de drogue sur cet axe stratégique.

Tout a commencé par l’exploitation d’une information faisant état de la recherche de passeurs de cocaïne à l’Aéroport international Blaise Diagne de Diass (AIBD) par deux Franco-sénégalais surnommés « Nostradamus » et « Paco ». Ces individus avaient l’intention de rémunérer les mules jusqu’à 20 millions de francs CFA.

L’enquête ouverte a permis d’identifier « Nostradamus » et « Paco » comme étant les frères O. et A. Watte, des ressortissants sénégalais nés à Marseille. Un agent de l’OCRTIS a réussi à s’infiltrer parmi eux en faisant croire qu’il disposait d’agents pouvant effectuer le trafic.

Il est apparu que les suspects, âgés de 35 et 39 ans, cherchaient à mettre en place une filière de trafic de cocaïne entre Dakar et Marseille. Pour tester la fiabilité du réseau, une première expédition de 4 kg de cocaïne était prévue, mais elle a été réduite à 2 kg en raison de la grève des bagagistes en France.

Le 2 mai, lors du vol de la compagnie Transavia Dakar-Marseille, prévu pour transporter la drogue, les équipes de surveillance de l’OCRTIS étaient en embuscade à Keur Massar, lieu de la livraison. Mais les trafiquants ont tenté de prendre la fuite, conduisant à un affrontement avec la population locale et à leur arrestation.

Les frères Watte ont été appréhendés en possession d’une valise contenant 2 kg de cocaïne dissimulés dans des vêtements pour enfants, ainsi que de l’argent destiné au passeur. Lors d’une perquisition à leur domicile à Tivaouane Peulh, une somme de 2 mille euros a été retrouvée, en plus d’autres éléments saisis.

Selon les premiers éléments de l’enquête, les frères ont effectué plusieurs déplacements à Bissau. L’enquête se poursuit pour démanteler toute la filière de trafic de cocaïne entre le Sénégal et la France.

Un Engagement Renforcé pour la Transparence et la Redevabilité dans le Secteur Extractif au Sénégal

Dans le cadre du programme USAID TRACES, plusieurs acteurs clés se sont engagés à renforcer leurs efforts pour accroître la transparence et la redevabilité dans les secteurs minier, pétrolier et gazier au Sénégal. Le Conseil National de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (CN-ITIE), le Natural Resource Governance Institute (NRGI) et l’ONG 3D ont uni leurs forces pour atteindre cet objectif crucial.

Lors d’une récente rencontre, Mme Alyssa Leggoe, Directrice de l’USAID au Sénégal, a rendu visite à la Présidente du CN-ITIE afin d’échanger sur le programme de transparence et de redevabilité dans le secteur extractif. Ce programme, exécuté par NRGI en consortium avec l’ONG 3D et le Forum Civil, s’étend sur une durée de quatre ans.

L’objectif principal de cette initiative est de mettre en place des mécanismes solides de transparence et de redevabilité dans les secteurs minier, pétrolier et gazier du Sénégal. En travaillant ensemble, ces organisations visent à améliorer la gestion et la distribution des revenus tirés des ressources extractives, dans le but de bénéficier à l’ensemble des citoyens sénégalais.

Cet engagement renouvelé en faveur de la transparence et de la redevabilité est essentiel pour assurer une exploitation responsable des ressources naturelles du pays. En favorisant une meilleure gouvernance dans le secteur extractif, ces efforts contribueront à promouvoir le développement durable et à garantir que les bénéfices des ressources extractives profitent à tous les niveaux de la société sénégalaise.

Récit de l’Enquête : Comment les Enquêteurs ont Retrouvé les Cinq Adolescents Impliqués dans l’Incident Fatal

Les détails émergent sur les circonstances entourant l’arrestation des cinq adolescents impliqués dans l’incident tragique sur l’autoroute E42, où une plaque d’égout jetée depuis un pont a causé la mort d’un camionneur roumain. Cette affaire, qui a choqué la nation, a mobilisé les autorités et les communautés locales dans une quête de justice et de réponses.

Selon les derniers développements de l’enquête, les cinq adolescents, tous originaires d’Andenne, avaient passé une soirée sur le pont en question, comme l’ont révélé les images de vidéosurveillance d’un riverain. Ces images ont montré les jeunes tirant des feux d’artifice dans les environs avant de se rendre sur le pont en voiture, où ils ont commis l’acte fatal.

Les enquêteurs ont été en mesure de suivre la piste des suspects grâce à la coopération des riverains, dont l’un a partagé les images de sa caméra avec la police. Ces images ont été cruciales pour identifier le véhicule des adolescents et les localiser. Un témoignage précieux d’un résident de la rue a également contribué à cette identification, fournissant des détails sur l’activité des jeunes la nuit de l’incident.

L’enquête a révélé que les adolescents étaient sous l’emprise du protoxyde d’azote, également connu sous le nom de gaz hilarant, au moment des faits. Cette substance, souvent perçue comme inoffensive par les jeunes, peut avoir des effets néfastes sur les fonctions cérébrales et entraîner une perte de contrôle des actions.

Le psychiatre judiciaire, Hans Hellebuyck, a souligné que les jeunes étaient conscients du danger de leurs actes et ont agi par pur plaisir, rejetant l’idée que leurs actions étaient simplement des gamineries. Il a souligné que ce genre de mise en danger est souvent caractéristique de comportements antisociaux et peu empathiques, remettant en question la moralité des suspects.

L’arrestation des cinq adolescents, qui sont maintenant confrontés à des accusations graves, soulève des questions sur les mesures de prévention et d’éducation nécessaires pour éviter de tels drames à l’avenir. Alors que la nation pleure la perte tragique du camionneur roumain, elle cherche également à comprendre comment de tels actes peuvent être évités et punis dans le futur.

Retour Attendu d’Amadou BA au Sénégal : Le Nouveau Visage de l’Opposition

Après un séjour à Paris, l’ex-Premier Ministre, Amadou BA, s’apprête à regagner le sol sénégalais ce soir. Son retour est attendu avec impatience par ses partisans, qui le voient comme un leader incontesté de l’opposition face à ce qu’ils décrivent comme un régime de novices et d’amateurs.

Amadou BA, connu pour son brillant parcours politique et son expertise en matière de gestion économique, revient requinqué et prêt à assumer pleinement son nouveau rôle. Son séjour à Paris lui a permis de prendre du recul et de se ressourcer, mais aussi de rencontrer des membres de la diaspora sénégalaise et des partenaires politiques internationaux.

Son retour sur la scène politique sénégalaise marque un tournant majeur dans le paysage de l’opposition. En tant que figure de proue de l’opposition numéro 1, Amadou BA est attendu pour apporter une nouvelle dynamique et une vision claire pour l’avenir du Sénégal. Ses partisans espèrent qu’il saura rassembler les forces de l’opposition et proposer des alternatives crédibles au gouvernement en place.

Cependant, son retour ne sera pas sans défis. Il devra faire face à une opposition fragmentée et à des critiques de la part du gouvernement en place. Mais avec son expérience et son charisme politique, Amadou BA semble prêt à relever ces défis et à mener l’opposition vers de nouveaux horizons.

Ce retour est donc attendu avec beaucoup d’enthousiasme et de suspense, alors que les regards sont tournés vers Amadou BA pour voir comment il influencera le paysage politique sénégalais dans les mois à venir.

Grève Annoncée au SAMU National du Sénégal pour Améliorer les Conditions de Travail

Le personnel soignant du SAMU National du Sénégal, représenté par le Syndicat Autonome des Médecins du Sénégal (SAMES) et le Syndicat Unique des Travailleurs de la Santé et de l’Action Sociale (SUTSAS), prévoit de débuter une grève de 48 heures chaque semaine à partir du 15 mai 2024. Cette action, programmée les mercredis et jeudis de chaque semaine, affectera plusieurs villes du pays, y compris Dakar et Saint-Louis, tout en garantissant la continuité de la prise en charge des urgences primaires.

Les revendications soulevées par le personnel du SAMU National sont diverses et touchent à plusieurs aspects de leurs conditions de travail. Parmi celles-ci figurent le non-paiement des heures supplémentaires et les retards de salaire. Face à des conditions de travail éprouvantes, le personnel exprime un profond désarroi et appelle à une intervention urgente du Ministère de la Santé et de l’Action Sociale pour résoudre leurs problèmes.

Malgré une précédente grève et des discussions avancées avec les autorités, le personnel déplore le manque de réponse favorable à leurs légitimes demandes. Le représentant du SAMU National a déclaré : « Malgré nos multiples tentatives pour dialoguer, le directeur persiste dans une intransigeance qui nous pousse à cette grève. » Les professionnels de la santé insistent sur la nécessité d’une résolution rapide de ces conflits afin de pouvoir reprendre un service normal et assurer la continuité des soins d’urgence pour la population.

Cette grève souligne les défis auxquels est confronté le secteur de la santé au Sénégal et met en lumière les difficultés rencontrées par le personnel soignant dans l’exercice de leurs fonctions. Il est impératif que les autorités prennent des mesures concrètes pour répondre aux préoccupations légitimes du personnel du SAMU National afin de garantir des conditions de travail décentes et un service de santé efficace pour tous les citoyens.

Ousmane Abarchi conclut sa tournée des mines au Niger pour renforcer la souveraineté nationale

Ousmane Abarchi, le ministre nigérien des Mines, a récemment terminé une visite étendue des sites miniers aurifères et d’uranium dans la région d’Agadez. Cette tournée, entamée fin avril, s’est achevée ce mardi 14 mai, symbolisant un pas significatif vers l’affirmation de la souveraineté du Niger sur ses ressources naturelles. Dans un contexte où le pouvoir est centralisé sur la gestion autonome des richesses minérales, cette initiative revêt une importance stratégique pour le pays.

Le ministre s’est rendu de Dasa à Tchibarkaten, en passant par Arlit, pour inspecter les progrès des opérations minières et dialoguer avec les acteurs locaux, y compris des entreprises internationales telles qu’Orano (France) et CNUC (Chine). Cette démarche s’inscrit dans la volonté du gouvernement de Niamey d’optimiser l’exploitation minière tout en préservant les intérêts nationaux et locaux.

La présence de nombreuses ONG lors de cette visite a également souligné l’importance de l’intégration des communautés locales et de la protection de l’environnement dans les projets miniers. Le Niger, quatrième plus grand producteur d’uranium mais l’un des pays les plus pauvres du monde, cherche à redéfinir sa politique minière sous la nouvelle autorité militaire en place depuis juillet 2023.

Cette initiative reflète l’engagement du gouvernement nigérien à garantir que l’exploitation des ressources minérales profite à la nation dans son ensemble, tout en tenant compte des préoccupations environnementales et sociales. En renforçant sa présence sur les sites miniers et en dialoguant avec les parties prenantes, le Niger aspire à une gestion plus transparente et efficace de ses ressources, contribuant ainsi au développement durable et à la prospérité de ses citoyens.

Adji Sarr en Exil, Sidath Thioune Critique El Hadj, Amadou Ba de Retour : Les Faits Marquants de la Nuit

La nuit dernière, plusieurs événements ont retenu l’attention des Sénégalais, notamment les développements autour d’Adji Sarr, Sidath Thioune et le retour d’Amadou Ba.

Adji Sarr, figure controversée suite à ses accusations contre Ousmane Sonko, Premier ministre actuel du Sénégal, a tenté de trouver refuge en Europe. Cependant, sa demande d’asile en Suisse a été rejetée, laissant son avenir incertain. Elle se tourne désormais vers la France, confrontée à des implications politiques lourdes. Pour plus de détails sur cette affaire, vous pouvez consulter Senego.

Sur les ondes de la Rfm, une vive altercation a opposé Sidath Thioune à El Hadj Assane Gueye. Sidath Thioune a accusé ce dernier de ne pas retenir ses critiques sous le régime précédent. L’intégralité de leur échange est disponible sur Senego, reflétant une tension palpable entre les deux parties.

De son côté, Amadou Ba, ex-Premier ministre et candidat malheureux aux dernières élections, est revenu à Dakar. Accueilli par ses partisans, il semble déterminé à renforcer sa position dans l’opposition sénégalaise. Vous pouvez voir leur accueil chaleureux sur Senego.

Outre ces événements, d’autres faits marquants ont également eu lieu :

  • Un conflit à l’UCAD sur la nomination controversée d’Ismaïla Madior Fall, mal perçue par le syndicat SUDES-ESR.
  • Pape Alé Niang cherche à apaiser les tensions à la RTS, en pleine crise interne précédente.
  • Le président Diomaye Faye s’inspire d’Oumar Ibn Abdoul Aziz pour prôner une gouvernance vertueuse.
  • Le drame du jeune Mamadou Seck, tué lors d’une lutte entre Liss Ndiaga et Pokola Baldé, interpelle sur la sécurité.
  • Un rapprochement commercial entre la Gambie et le Sénégal à la suite d’une rencontre entre ministres.
  • Un séisme en Guinée qui a semé la confusion et la peur, sans faire de victimes.
  • Le sauvetage de 252 personnes en mer par la Marine nationale sénégalaise, évitant une tragédie.

Cette revue des événements de la nuit permet de mieux comprendre les enjeux et les défis auxquels le Sénégal est confronté. Restez à l’écoute pour de nouvelles mises à jour dès demain dans notre matinale.

Ziguinchor : Une Randonnée Pédestre pour une Paix Durable en Casamance

Le comité restreint de gestion du projet de désarmement de la faction Diakaye, dirigé par le gouverneur Mor Talla Tine, a organisé une randonnée pédestre à Ziguinchor, dédiée à la paix définitive en Casamance. Cette initiative, réalisée en partenariat avec l’USAID à travers ses projets ALIWILI 2 et le Catholic Relief Services, célèbre l’anniversaire de l’acte symbolique de dépôt des armes par environ 250 combattants de la faction Diakaye le 13 mai 2023 à Mongone, dans le département de Bignona.

Les participants, vêtus de blanc et portant des banderoles, ont parcouru les artères de la ville, marquant ainsi leur engagement en faveur de la paix durable en Casamance. La randonnée, intitulée « Diakhaye, un cas d’école », a été saluée par la population locale, y compris des jeunes, des femmes, des personnes âgées et des ex-combattants de Diakaye.

Le gouverneur Mor Talla Tine a souligné l’importance de cet événement dans la consolidation de la paix régionale. Il a appelé à l’unité et à la solidarité, exhortant les autres factions du MFDC à suivre l’exemple de Diakaye pour le bien-être collectif du Sénégal.

Les participants à la marche ont remis un mémorandum au gouverneur Mor Talla Tine, exprimant leur engagement en faveur de la paix et de la stabilité en Casamance. Ils ont également plaidé en faveur de la poursuite des initiatives de développement économique et social dans la région.

La représentante de la société civile, Élie Sophie Sagna, a appelé les autorités à consolider les acquis du processus de paix en poursuivant la mise en œuvre des accords signés en mai 2023. Elle a souligné l’importance du désenclavement, de la construction d’infrastructures de base, de l’accès à l’eau et à l’électricité, et du soutien aux populations déplacées.

La jeunesse de Ziguinchor a exprimé sa joie et sa satisfaction face à cette marche pour la paix, témoignant de son désir ardent de mettre fin à des décennies de conflit et de construire un avenir meilleur pour la région.

La Casamance, marquée par des années de conflit, aspire désormais à une paix durable et à un développement économique et social. La remise des armes par la faction Diakaye en 2023 a été un pas significatif vers cet objectif, symbolisant l’espoir d’un avenir de paix et de prospérité pour la région.

Atelier de Formation sur la Gestion du Climat Social : Vers un Progrès Socio-Économique

Des organisations syndicales du secteur des transports et diverses parties prenantes ont entamé lundi un atelier de formation axé sur la gestion du climat social dans une optique de progrès socio-économique.

Pendant deux jours, les participants se pencheront sur des sujets tels que les droits fondamentaux au travail, les mécanismes internes de gestion des différends, la promotion de l’égalité et de l’équité de genre, et bien d’autres encore.

Le coordonnateur du projet « Ensemble vers la réforme du travail » à l’agence de coopération allemande au Sénégal (GIZ), Demba Diop, a souligné l’importance de ces thématiques, affirmant qu’elles permettront aux acteurs du marché du travail de s’armer pour progresser socio-économiquement. Il a également noté que les conflits en milieu professionnel ne devraient pas être perçus comme des forces destructrices, mais plutôt comme des opportunités d’amélioration des droits sociaux et économiques des travailleurs.

Pour Mor Diop, secrétaire général du syndicat national des auxiliaires de transport du Sénégal (SNATS), cette formation offre l’opportunité d’analyser en profondeur les causes des conflits au travail afin de formuler des recommandations pour leur prévention et leur résolution. Il a également souligné l’importance de trouver des solutions pour lutter contre la violence et le harcèlement en milieu professionnel.

Le secrétaire général de la Confédération du syndicat autonome du Sénégal (CSA), Elimane Diouf, a quant à lui souligné l’importance de renforcer les capacités des travailleurs. Il a mis en avant le rôle crucial de la gestion du climat social dans l’engagement des salariés, soulignant que des conditions de travail favorables encouragent la motivation des employés et les incitent à donner le meilleur d’eux-mêmes.

Cet atelier reflète l’engagement des parties prenantes à travailler ensemble pour créer un environnement de travail harmonieux et productif, où les droits des travailleurs sont respectés et où les conflits sont résolus de manière constructive, contribuant ainsi au progrès socio-économique global.

Grève dans les collectivités territoriales : Aminata Mbengue Ndiaye appelle à “donner la chance au dialogue”

Aminata Mbengue Ndiaye, présidente du Haut Conseil des collectivités territoriales (HCCT), a appelé l’Intersyndicale des travailleurs des collectivités territoriales à suspendre son mot d’ordre de grève, afin de favoriser le dialogue et de trouver une solution constructive à la crise actuelle.

Lors de la clôture de la deuxième session ordinaire de l’année 2024 de l’institution, Aminata Mbengue Ndiaye a lancé un appel solennel à l’Intersyndicale, soulignant l’importance de donner une chance au dialogue pour résoudre les problèmes rencontrés. Elle a également proposé le HCCT comme médiateur social pour faciliter les négociations et parvenir à une résolution satisfaisante.

Cette déclaration survient alors que l’Intersyndicale des travailleurs des collectivités territoriales maintient un mouvement d’humeur depuis plusieurs mois, revendiquant notamment de meilleures conditions de travail.

La deuxième session ordinaire de l’année du HCCT était axée sur le thème “Fonction publique locale : enjeux et perspectives pour une meilleure gouvernance des territoires”, mettant en lumière les défis et les opportunités liés à la gestion des collectivités territoriales.

Ce geste d’Aminata Mbengue Ndiaye reflète une volonté de recherche de solutions consensuelles et de préservation du dialogue social, dans le but d’aboutir à un compromis bénéfique pour toutes les parties impliquées.

En attendant une éventuelle réponse de l’Intersyndicale, l’appel au dialogue lancé par la présidente du HCCT ouvre la voie à des discussions constructives et à la recherche de solutions durables pour résoudre les tensions au sein des collectivités territoriales.

Incubateur UGB : Opportunités Entrepreneuriales en Projets Cleantech

Dans le cadre de ses efforts visant à encourager l’innovation au service du développement durable et de l’économie verte, le Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique, avec le soutien du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) et de l’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI), lance le projet de promotion de l’Innovation en matière de Technologies Propres pour l’Action climatique au Sénégal.

Ce projet vise à promouvoir l’entrepreneuriat vert en organisant des compétitions annuelles destinées aux porteurs de projets dans plusieurs domaines clés, notamment la Valorisation des déchets, l’Utilisation rationnelle de l’Eau, l’Efficacité énergétique, les Énergies renouvelables, la Construction écologique, le Transport durable et les Matériaux et produits chimiques.

Destiné aux auto-entrepreneurs, start-ups, PMEs-PMIs et TPEs, ce projet s’inscrit dans le cadre du Programme mondial « Global Cleantech Innovation Program (GCIP) », déployé par l’ONUDI dans seize autres pays.

Vous êtes chaleureusement invités à une session d’informations qui se tiendra à l’incubateur de l’Université Gaston Berger le mardi 14 mai à 09h30. Cette session fournira des informations détaillées sur la procédure de candidature à cet appel et offrira l’occasion de poser des questions pour mieux comprendre les opportunités offertes.

Pour vous inscrire à cette session d’information, veuillez suivre le lien : Inscription à la session.

Ne manquez pas cette opportunité de contribuer à la lutte contre le changement climatique tout en développant votre activité entrepreneuriale dans le domaine des technologies propres. Rejoignez-nous pour découvrir comment votre projet pourrait bénéficier de ce programme d’accompagnement et de financement.

Pour plus d’informations sur la procédure de candidature, veuillez consulter : Procédure de candidature.

Grande opportunité pour les titulaires de baccalauréat et de certifications en éducation physique et sportive

Si vous êtes titulaire d’un baccalauréat ou d’un certificat d’aptitude en éducation physique et sportive (CAMEPS), ou encore d’un certificat d’aptitude aux fonctions de professeur de collège d’enseignement moyen en éducation physique et sportive, une opportunité unique s’offre à vous ! L’Unité de Formation et de Recherche en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives (UFR SEFS) lance un appel à candidatures pour le recrutement d’étudiants en licence en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives.

Cette annonce représente une véritable chance pour les passionnés de sport et d’éducation physique de poursuivre leurs études dans un domaine qui les passionne. Que vous soyez fraîchement diplômé du baccalauréat ou déjà détenteur d’un certificat dans le domaine de l’éducation physique et sportive, cette opportunité vous ouvre les portes d’une formation enrichissante et valorisante.

La licence en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives offre un cursus complet et diversifié, permettant aux étudiants d’acquérir des compétences théoriques et pratiques dans différents domaines liés au sport et à l’exercice physique. Des enseignements variés, allant de la physiologie du sport à la psychologie en passant par la gestion et l’organisation des événements sportifs, sont dispensés par une équipe pédagogique qualifiée et passionnée.

En plus de bénéficier d’une formation de qualité, les étudiants en licence STAPS ont également la possibilité de participer à des activités extra-scolaires et à des projets de recherche dans le domaine du sport et de la santé. Ces opportunités permettent non seulement de développer des compétences supplémentaires, mais aussi de tisser des liens avec d’autres étudiants et des professionnels du secteur.

Ne manquez pas cette occasion de transformer votre passion pour le sport en une carrière enrichissante et stimulante ! Pour postuler, rendez-vous sur le site web de l’UFR SEFS où vous trouverez toutes les informations nécessaires sur les modalités d’inscription et les pièces à fournir. La date limite de dépôt des candidatures approche, alors n’hésitez pas à saisir cette opportunité dès maintenant et à prendre votre avenir en main !

Un concours de joutes oratoires sur l’accès aux données du secteur extractif lancé à l’UGB

Le club OHADA de l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis a inauguré samedi dernier une compétition de joutes oratoires centrée sur l’accès aux données du secteur extractif, en partenariat avec l’Agence américaine pour le développement international (USAID). Sous le thème évocateur « Exploitation des hydrocarbures et développement socio-économique du Sénégal : un fardeau déguisé ? », cet événement s’est déroulé dans l’amphithéâtre de l’Unité de formation et de recherche Civilisations, religions, arts et communication (UFR CRAC).

L’objectif de cette compétition est d’impliquer les étudiants, les universitaires, les jeunes et les femmes dans les questions cruciales de gouvernance des ressources naturelles du pays. Selon Mamadou Yéro Baldé, chef du projet USAID/TRACES ‘´Seytou Momel’’, l’accès à l’information dans le secteur extractif revêt une importance capitale pour permettre aux populations, notamment aux étudiants, de suivre les obligations légales et contractuelles des entreprises et de participer à la gouvernance transparente des ressources minières, pétrolières et gazières du Sénégal.

Le vice-recteur de l’UGB, le professeur Saliou Diouf, a salué cette initiative, soulignant l’accompagnement de l’USAID à l’université depuis plusieurs années. Cette cérémonie a également été marquée par la signature d’une convention de partenariat entre l’UGB et le projet USAID/TRACES.

Des personnalités éminentes telles que Birahim Seck, coordinateur du Forum civil, et Papa Fara Diallo, président de la section sénégalaise de la coalition ‘´Publiez ce que vous payez’’, ont pris part à cette cérémonie.

Organisée dans le cadre du programme TRACES (Transparence et Redevabilité dans le Secteur extractif au Sénégal), cette compétition de joutes oratoires se déroulera jusqu’au mois de juillet. Elle a débuté avec un match inaugural opposant l’Unité de formation et de recherche Lettres et sciences humaines (UFR LSH) à l’équipe de l’UFR CRAC.

Cet événement constitue une initiative majeure visant à promouvoir la transparence et la redevabilité dans les industries extractives sénégalaises, contribuant ainsi à une gestion plus éclairée et responsable des ressources naturelles du pays.

Cheikhou Oumar Sy critique le traitement des demandes de Visa et propose des réformes

Dans une récente déclaration, Cheikhou Oumar Sy a exprimé son avis sur le traitement des demandes de Visa, notamment par les ambassades, et a appelé à des réformes importantes dans ce domaine.

Selon Sy, le journal « 2 Minutes » sous-estime largement les montants perçus par les ambassades dans le cadre du traitement des demandes de Visa. Il estime que l’ambassade de France à elle seule aurait empoché au minimum 2 milliards 500 millions de francs CFA. Cette affirmation souligne l’ampleur des sommes en jeu et met en lumière les questions de transparence et de gouvernance dans ce secteur.

L’un des aspects les plus critiqués par Sy est le recours à des services de livraison privés, tels que DHL, pour la remise des passeports une fois que le Visa est accordé. Il trouve cela aberrant, surtout lorsque La Poste est disponible comme service public au sein du pays. Selon lui, il est injuste que les demandeurs de Visa soient contraints de payer des frais supplémentaires à une entreprise étrangère pour recevoir leurs documents, alors qu’ils devraient pouvoir bénéficier des services de La Poste.

Pour remédier à cette situation, Sy propose une restructuration rapide de La Poste afin qu’elle puisse assumer toutes les fonctions liées au traitement des demandes de Visa. Il estime que les services actuellement assurés par des entités privées comme VFS Global devraient être transférés à La Poste, permettant ainsi un meilleur contrôle des coûts et une plus grande accessibilité pour les demandeurs de Visa.

Cette prise de position de Cheikhou Oumar Sy met en lumière les défis auxquels sont confrontés les demandeurs de Visa au Sénégal et souligne la nécessité d’une réforme significative dans ce domaine. En appelant à une implication plus forte de La Poste et à une meilleure gestion des coûts et des services, Sy espère contribuer à une amélioration de l’expérience des demandeurs de Visa et à une plus grande équité dans le processus.

Ousmane Sonko reçoit les conseils des éminents guides religieux

Au cours du week-end écoulé, le leader politique sénégalais Ousmane Sonko a eu l’opportunité de rencontrer et de recevoir les précieux conseils de trois figures religieuses éminentes : Serigne Cheikh Saliou Mbacké, Serigne Habib Sy Dabakh et Serigne Fallou Chouaïb Mbacké.

Ces rencontres ont été l’occasion pour Sonko de bénéficier de la sagesse et de l’expérience de ces guides spirituels respectés, qui occupent des positions importantes dans la communauté religieuse du Sénégal. En écoutant attentivement leurs conseils, Sonko exprime son désir de bénéficier des prières et des bénédictions de ces personnalités spirituelles influentes pour le bien-être et le progrès du Sénégal.

Serigne Cheikh Saliou Mbacké, Serigne Habib Sy Dabakh et Serigne Fallou Chouaïb Mbacké sont des figures respectées non seulement pour leur engagement spirituel, mais aussi pour leur implication dans des initiatives visant à promouvoir le développement socio-économique et le bien-être de la population sénégalaise.

La visite de Sonko à ces guides religieux témoigne de son engagement à écouter et à prendre en compte les avis et les recommandations des différentes composantes de la société sénégalaise, y compris la sphère religieuse. En s’entourant de ces personnalités religieuses, Sonko cherche à renforcer ses liens avec la communauté et à bénéficier de leur sagesse dans sa quête de servir au mieux les intérêts du peuple sénégalais.

Cette série de rencontres souligne l’importance pour les dirigeants politiques de rester en contact avec les leaders religieux et de chercher leur guidance dans la prise de décisions qui affectent la société dans son ensemble. Ousmane Sonko semble vouloir intégrer ces conseils dans son action politique, en mettant en avant l’importance de la spiritualité et de la sagesse dans la gouvernance.

Enjeux fonciers au Sénégal : l’importance d’une réforme prudente et inclusive

Dans le paysage juridique sénégalais, la question foncière occupe une place centrale, tant elle touche à des enjeux économiques, sociaux, et culturels cruciaux. Amsatou Sow Sidibé, Professeure agrégée des Facultés de Droit et ancienne directrice de l’Institut des Droits de l’Homme et de la Paix (IDHP) à l’UCAD, souligne avec justesse dans son récent article l’importance vitale de ce sujet.

Fondamentalement, le droit à la terre est un droit humain essentiel. Il s’agit d’une ressource vitale qui va bien au-delà de sa simple dimension économique. La terre est le symbole de l’identité culturelle et cultuelle, et constitue souvent le seul refuge de l’humain, tant dans cette vie que dans l’au-delà.

L’article met en lumière l’évolution de la législation foncière au Sénégal, en remontant à la loi n° 64-46 de 1964, promulguée sous la présidence de Léopold Sédar Senghor. Cette loi, qui s’inspirait à la fois de la tradition négro-africaine et des impératifs du développement économique, visait à instaurer un régime foncier équilibré et à consacrer la conception africaine de la propriété collective de la terre.

Cependant, malgré ses intentions louables, l’application de cette loi s’est avérée complexe et sujette à des défis multiples. La multiplicité des textes relatifs au foncier et leur défaut d’harmonisation ont entravé sa mise en œuvre efficace. De plus, certaines pratiques, telles que l’immigration des terres par l’État au détriment des communautés locales, ont soulevé des questions quant à l’équité et à la justice dans l’accès à la terre.

Sidibé souligne également les risques potentiels liés à une éventuelle privatisation du domaine national, mettant en garde contre les inégalités et les conflits sociaux qui pourraient en découler. Elle plaide plutôt en faveur d’un dialogue inclusif entre toutes les parties prenantes, afin de trouver des solutions adaptées aux besoins et aux aspirations de la population.

L’article souligne la nécessité d’une réforme foncière prudente et réfléchie, qui prend en compte les réalités socio-économiques et culturelles du Sénégal. Il rappelle que le foncier est une question trop importante pour être laissée entre les mains de quelques-uns, et insiste sur l’importance de légiférer avec prudence et avec le souci de l’intérêt général.

Gorgui Sy Dieng reçoit un Doctorat Honorifique pour ses contributions exceptionnelles

Le célèbre joueur de basketball sénégalais, Gorgui Sy Dieng, a été récompensé ce week-end aux États-Unis en se voyant décerner un doctorat honorifique. Cette prestigieuse reconnaissance vient saluer les contributions remarquables de Gorgui Sy Dieng dans le domaine du sport et au service des autres.

Sur sa page Facebook, Gorgui Sy Dieng s’est exprimé avec humilité et gratitude : « Je suis sincèrement honoré de recevoir ce doctorat honorifique. Je suis également reconnaissant envers les personnes remarquables qui ont fait partie de ce voyage au service des autres ».

Cette distinction témoigne de l’impact positif que Gorgui Sy Dieng a eu non seulement sur le monde du basketball, mais aussi sur les communautés auxquelles il appartient, tant au Sénégal qu’à l’étranger. Son engagement envers le service communautaire et son dévouement à soutenir les initiatives humanitaires ont fait de lui un exemple inspirant pour de nombreux jeunes.

Gorgui Sy Dieng a su allier succès sur le terrain et engagement hors du terrain, démontrant ainsi les valeurs de solidarité, de générosité et d’altruisme. Cette reconnaissance honorifique vient souligner l’importance de ses actions et l’impact positif qu’il continue d’avoir sur la société.

Au-delà du basketball, Gorgui Sy Dieng continue de laisser une empreinte indélébile dans le cœur de ceux qu’il touche, et ce doctorat honorifique est une juste récompense pour son dévouement et son leadership exemplaires.

Une Gambienne arrêtée pour chantage à l’aide de photos et vidéos obscènes : Un expert comptable sénégalais témoigne

A. Fatty, une ressortissante gambienne, a été arrêtée à Karang, à la frontière sénégalo-gambienne, dans le cadre d’une affaire de chantage contre A. Thiam, un expert comptable sénégalais. Cette arrestation fait suite à des mois de recherche et met fin à une histoire qui a secoué l’opinion publique depuis l’année dernière.

L’affaire remonte à février 2021, lorsque A. Fatty et A. Thiam se sont rencontrés par l’intermédiaire d’une amie de ce dernier. À l’époque, la Gambienne était au Sénégal pour des soins médicaux. Une relation amoureuse s’est développée entre les deux, malgré la distance géographique entre le Sénégal et la Gambie. Pour pallier cette séparation, le couple avait recours à des appels vidéo, parfois intimes.

Cependant, ce que A. Thiam ignorait, c’est que sa compagne enregistrait secrètement ces séances vidéo, capturant des images compromettantes de lui dénudé. Cette manipulation a pris une tournure sombre lorsque A. Fatty a commencé à menacer A. Thiam de divulguer ces vidéos sur les réseaux sociaux, utilisant ainsi le chantage pour obtenir de l’argent.

Face à ces menaces, A. Thiam a déposé plainte contre son ex-compagne pour chantage et tentative d’extorsion de fonds auprès de la Division spéciale de la cybersécurité (Dsc). Depuis lors, A. Fatty était activement recherchée, jusqu’à son arrestation récente à Karang.

Cette affaire met en lumière les dangers de l’utilisation irresponsable des nouvelles technologies et souligne l’importance de la prudence lors des interactions en ligne. Les autorités encouragent les victimes de ce type de chantage à signaler rapidement les cas aux autorités compétentes, afin de garantir la sécurité et la protection de tous les citoyens.

Exploitation du pétrole à Sangomar : Les jeunes de Fatick expriment leurs préoccupations à Woodside

À l’initiative du Forum civil, le Conseil régional de la jeunesse de Fatick et Woodside ont organisé un atelier de deux jours à Ndagane, visant à permettre aux jeunes de la région d’obtenir davantage d’informations sur les points clés de l’étude d’impact et du plan de gestion environnementale concernant l’exploitation du pétrole à Sangomar. Au cours de cet atelier, de nombreuses préoccupations ont été exprimées par le Président du conseil régional de la jeunesse de Fatick, Cheikh Faye.

« Nous avons pris connaissance du rapport sur l’étude d’impact environnemental, mais cela ne suffit pas à nous éclairer pleinement, d’où l’importance de cet atelier avec Woodside afin qu’elle puisse nous fournir des explications supplémentaires sur l’exploitation du pétrole », a souligné Cheikh Faye.

Il a également soulevé certaines inquiétudes concernant le Plan de gestion environnementale (PGE). « Le PGE implique une compensation pour les populations impactées. Contrairement aux engagements pris par Woodside, nous avons constaté qu’elle a réalisé des projets à Dakar et non à Fatick. Cela nous surprend, car comment se fait-il que le projet soit situé dans notre région et que Woodside mène des actions à Dakar, qui n’est pas impactée ? », ont interrogé les jeunes.

Cheikh Faye a déploré le fait que les jeunes locaux ne soient pas suffisamment impliqués dans le projet Sangomar. « C’est la première fois que je rencontre les responsables de Woodside. De même, les jeunes des zones impactées n’ont pas eu l’opportunité de participer. Cet atelier, organisé par le Forum civil, nous offre l’occasion de faire part de nos préoccupations », a-t-il ajouté.

Toutefois, Cheikh Faye espère que les responsables de Woodside trouveront des solutions à leurs préoccupations à la fin de cet atelier.

Prenant la parole, Birahime Seck, le coordonnateur du Forum Civil, a souligné le rôle d’intermédiation joué par leur programme Usaid Traces pour faciliter le dialogue entre l’entreprise opératrice et la jeunesse de Fatick. « À l’issue de cette rencontre, nous tirerons des conclusions et continuerons à encourager Woodside à s’engager davantage dans un échange avec les jeunes de Fatick », a-t-il conclu.

Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale renforce les partenariats avec l’OMS et l’Unicef

Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale, Dr Ibrahima Sy, a poursuivi ses audiences de prise de contact avec les acteurs clés du secteur de la santé, démontrant ainsi son engagement à renforcer les partenariats pour améliorer les services de santé au Sénégal.

Lors de rencontres successives, le Ministre a accueilli le représentant résident de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), Dr Jean-Marie Vianny Yameogo, accompagné de son équipe, ainsi que la représentante résidente de l’UNICEF, Silva Danailov. Ces échanges marquent une étape importante dans le renforcement des liens entre le ministère de la Santé et les partenaires techniques et financiers.

L’objectif de ces rencontres est de consolider la collaboration entre le gouvernement sénégalais et ces organisations internationales, afin de mettre en œuvre des programmes et des initiatives visant à améliorer la santé et le bien-être des populations. Le Ministre Sy a exprimé sa volonté de travailler en étroite collaboration avec l’OMS et l’UNICEF pour relever les défis majeurs du secteur de la santé au Sénégal.

Ces échanges ont également permis de discuter des priorités nationales en matière de santé publique, des besoins spécifiques du pays et des stratégies pour renforcer les systèmes de santé et fournir des services de qualité à tous les citoyens.

Le Ministre a souligné l’importance de ces partenariats pour atteindre les objectifs de développement durable liés à la santé, ainsi que pour faire face aux défis émergents tels que la pandémie de COVID-19 et d’autres menaces sanitaires.

En consolidant ces partenariats avec des organisations internationales de premier plan telles que l’OMS et l’UNICEF, le Sénégal renforce sa capacité à répondre aux besoins de santé de sa population et à progresser vers une couverture sanitaire universelle et des soins de santé de qualité pour tous.

Grève des médecins à Kaolack : Revendications pour de meilleures conditions de travail et de protection

Le Syndicat autonome des Médecins pharmaciens, chirurgiens dentistes (SAMES) a tenu son comité exécutif les 10 et 11 mai à Kaolack, Sénégal, pour réaffirmer ses demandes de meilleures conditions de travail auprès de l’État. Le secrétaire général, Dr Mamadou Demba Ndour, et ses collègues ont exprimé leur frustration quant à la lenteur des négociations avec le gouvernement, entamées en décembre 2023 à la suite d’un préavis de grève.

Les médecins exigent une augmentation de salaire, une revalorisation des pensions de retraite à hauteur d’au moins 80% du dernier salaire, et le recrutement de personnel qualifié dans les hôpitaux afin d’améliorer l’accès aux soins de santé. Ils réclament également une protection juridique spéciale pour garantir leur sécurité dans l’exercice de leurs fonctions. La nécessité de reprendre rapidement les discussions découle des effets négatifs des grèves sur la coordination des services d’urgence et la continuité des soins médicaux.

En plus des revendications salariales et structurelles, le SAMES exprime son soutien aux autres syndicats en conflit et demande au ministère de la Santé de prendre des mesures efficaces pour apaiser la situation. Ils préconisent une approche basée sur l’écoute et l’anticipation de la part des autorités, tout en appelant à la mise en place de mesures préventives pour répondre aux besoins des professionnels de la santé.

Cette mobilisation des médecins sénégalais à Kaolack met en lumière les défis persistants auxquels sont confrontés les travailleurs de la santé, ainsi que l’importance cruciale de garantir des conditions de travail sûres et dignes pour assurer la qualité des soins prodigués à la population.

Le Front Polisario adresse un message aux nouvelles autorités sénégalaises sur la question du Sahara Occidental

Dans une déclaration marquante prononcée le 3 mai à l’occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse, Birahim Ghali, président du Front Polisario, a exprimé son espoir quant à une nouvelle dynamique dans les relations entre le Sénégal et le Maroc, concernant le conflit du Sahara Occidental.

Soulignant la victoire du président Bassirou Diomaye Faye et la présence du Premier ministre Ousmane Sonko, Ghali a mis en avant leurs valeurs panafricaines et leur engagement pour la défense des intérêts de l’Afrique. Cette perspective, selon lui, offre un souffle nouveau d’espoir pour le règlement de la question sahraouie.

Dans ses propos, Ghali a rappelé les tensions historiques entre le Sénégal et les intérêts impérialistes, déclarant que les nouvelles autorités sénégalaises se démarquent des compromissions passées avec les « valets de la France ». Il exprime ainsi sa confiance dans le leadership de Bassirou Diomaye Faye pour consolider cette nouvelle ère et promouvoir une alliance contre les forces hostiles à l’Afrique et au Sahara.

Le président du Front Polisario, tout en se félicitant de cette potentielle collaboration, appelle à la préservation de ces espoirs et à la concrétisation du changement tant attendu. Il conclut en exprimant sa foi en un avenir meilleur pour le Sahara Occidental, sous la bannière de cette nouvelle direction politique au Sénégal.

Cette déclaration risque de susciter des réactions au sein du Royaume du Maroc, qui revendique la souveraineté sur le Sahara Occidental. Les observateurs attendent avec intérêt les évolutions dans les relations entre le Sénégal et le Maroc, notamment sur cette question épineuse qui divise depuis des décennies la communauté internationale.

Faits Marquants de la Semaine : Honneurs, Nominations et Fraternité Sportive à Dakar

Cette semaine, l’actualité sénégalaise et africaine a été marquée par des personnalités influentes et des événements significatifs, témoignant du dynamisme et de l’engagement sur le continent.

1. Ousmane Sonko Honoré : Le Premier Ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a été sélectionné pour recevoir le prestigieux Trophée Myriam Makeba, mettant en lumière son influence grandissante et son dévouement envers le développement du Sénégal. Cette reconnaissance internationale sera célébrée lors d’une cérémonie à Paris le 18 mai 2024.

2. Fatou-Kiné Diakhaté Nommée : Fatou-Kiné Diakhaté entre dans l’histoire en devenant la première femme nommée Directrice adjointe de Cabinet du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye. Cette nomination reflète son parcours remarquable dans les domaines des finances et de la politique, mettant en avant ses compétences et son engagement.

3. Ovation pour Diomaye Faye à Dakar Arena : Lors de la Basketball Africa League, Diomaye Faye a été ovationné à Dakar Arena aux côtés de son homologue rwandais, soulignant ainsi le pouvoir du sport en tant que catalyseur de diplomatie et de fraternité pan-africaine. Le match, qui a réuni les équipes sénégalaises et rwandaises, a symbolisé l’unité continentale à travers le sport.

Autres Points Notables de la Semaine :

  • Ayib Daffé clarifie les récentes nominations, soulignant l’importance de la mise en œuvre du projet présidentiel.
  • La gestion de la mairie de Kaffrine est critiquée suite aux révélations de la Cour des comptes ; l’ancien maire réagit.
  • Me Patrick Kabou critique l’ancien régime pour son manque de vision dans l’amélioration des conditions de vie.
  • Pastef promeut le panafricanisme avec la prochaine tournée africaine d’Ousmane Sonko, visant à renforcer l’unité continentale.
  • Une nouvelle biographie d’Omar Blondin Diop rend hommage à son militantisme contre le colonialisme.
  • Ousmane Sonko rencontre le guide Serigne Fallou pour un échange spirituel respectueux.
  • La crise foncière et l’appel au Président sont soulignés par le Khalif de Bambilor, mettant en avant les enjeux de gestion des terres.

Cette édition de la Matinale Senego vous a tenus informés des faits marquants de la semaine. Restez connectés pour plus d’actualités et bonne journée !

Conflit Foncier à Thiès : Fandène Réclame la Restitution de 9 Hectares Rattachés à Mbour 4

Les conseillers municipaux de Fandène, une commune de la région de Thiès, ont lancé un appel jeudi pour la restitution d’une bande de 9 hectares qui aurait été indûment incluse dans le lotissement de la nouvelle ville de Thiès, appelée Mbour 4. Cette affaire, qui a attiré l’attention des nouvelles autorités du pays, suscite une vive préoccupation dans la région.

Selon Cheikh Diop, conseiller municipal de Fandène, les aménagements effectués dans la forêt classée pour accueillir la nouvelle ville de Thiès ont eu un « impact considérable » sur leur commune, affectant une superficie d’un peu plus de 9 hectares.

« La commune de Fandène se retrouve privée d’une superficie d’au moins 9 hectares destinée à être rattachée à la ville de Thiès », a déclaré Diop lors d’une conférence de presse des membres du conseil municipal de Fandène, tenue à Mbour 4.

Il a souligné que le droit de propriété de la commune de Fandène sur cette parcelle de terre avait été « attesté et confirmé » par l’Agence nationale de l’aménagement du territoire (ANAT).

Diop a rappelé que la commune de Fandène avait obtenu, auprès de l’ancien président de la République, Macky Sall, l’exclusion de cette surface, très proche de la forêt classée, du lotissement de Mbour 4, après l’annonce du déclassement de cette partie de la forêt du Plateau de Thiès pour répondre à la demande foncière.

« Cependant, nous avons été grandement surpris lorsque le lotissement de Mbour 4 a été publié, de constater que cette partie de notre commune était incluse dans ledit lotissement », s’est-il indigné.

Les conseillers municipaux de Fandène ont d’abord introduit une réclamation auprès du gouverneur de Thiès le 24 juillet 2023, suivie d’une autre présentée par le maire de Fandène lui-même le 7 mars 2024, afin de rétablir les droits de leur collectivité territoriale et de leur population.

Ils appellent maintenant à l’arbitrage du président de la République, Bassirou Diomaye Faye, qui s’est rendu sur le site de Mbour 4 le 1er mai dernier pour constater la situation sur le terrain.

Succession d’Ousmane Sonko : Les Habitants de Ziguinchor Aspirent à la Continuité du Développement

La démission officielle du Premier ministre, Ousmane Sonko, de son poste de maire de la commune de Ziguinchor a ouvert la voie à une nouvelle ère pour cette ville du sud du Sénégal. Alors que la bataille pour sa succession s’intensifie, les habitants expriment leurs attentes pour le futur édile, espérant qu’il poursuivra l’action entamée par son prédécesseur.

La directive présidentielle demandant à tout membre du nouveau gouvernement cumulant des mandats électifs de se démettre de ses fonctions a conduit à la démission de M. Sonko de son mandat de maire de Ziguinchor. Cette décision a suscité un vif intérêt parmi les habitants, qui scrutent désormais l’avenir de leur ville avec attention.

Quatre conseillers municipaux se sont déjà manifestés comme candidats potentiels pour succéder à Ousmane Sonko. Parmi eux, Dame Bèye de la coalition Benno Book Yakaar (BBY) et trois autres membres du parti Pastef : Aïda Bodian, Djibril Sonko, Alassane Diédhiou, et Abdou Sané. En attendant l’organisation d’une élection, c’est Aïda Bodian, première adjointe au maire, qui assure l’intérim.

Dans les rues animées de Ziguinchor, les discussions vont bon train sur le profil du futur maire. Les habitants expriment le désir de voir un leader qui s’inscrira dans la lignée des ambitions et du programme de développement initié par Ousmane Sonko. Certains évoquent notamment le projet « Burok », un programme social lancé par le maire sortant, comme une référence pour le futur édile.

Des commerçants, des conducteurs de motos « Jakarta » et des citoyens ordinaires expriment leur souhait de voir Ziguinchor se développer sous l’impulsion d’un maire déterminé et compétent. L’ambition, le dévouement et la capacité à travailler pour le bien-être de la ville sont des qualités unanimement recherchées.

Alors que les candidats se préparent à prendre la relève, les habitants de Ziguinchor restent mobilisés et attentifs, espérant que le futur maire saura répondre à leurs attentes et poursuivre la trajectoire de développement tracée par son prédécesseur.

Suspension des titres Fonciers : Les Populations de Dougar Ouest en lutte pour la préservation de leurs terres

La décision récente du président de la République de suspendre les procédures domaniales dans certaines zones du pays, dont Mbour 4, a été accueillie avec soulagement et espoir par les collectifs de victimes de spoliation foncière. Réunis devant la presse dans la commune de Keur Mousseu, ils ont exprimé leur gratitude pour cette mesure qui pourrait enfin leur permettre de défendre leurs droits et de préserver leurs terres.

Les collectifs, représentés par leurs porte-parole, ont appelé les autorités compétentes à inclure les litiges fonciers les opposant à d’autres personnes ou entreprises sur la liste des cas à examiner. À Keur Mousseu, les habitants réclament la restitution de plus de 700 hectares à la société agroalimentaire Filfili, ainsi que 200 hectares appartenant au monastère de Keur Mousseu. Dans la commune de Mbour 4, les populations de Keur Mousseu exigent la restitution de 299 hectares.

Quant à Dougar, un village de la commune de Diamniadio, les populations sont en conflit foncier avec la société Peack up Investment. Daouda Faye, coordonnateur du Cadre d’échange, de réflexion et d’action pour le développement de Dougar (Cerad), a déclaré que des individus malintentionnés cherchent à s’approprier des titres sur des terres appartenant à la population. Il a également souligné que les quartiers de Dougar Yam ont été délestés de près de 40 hectares, tandis qu’à Dougar Potou, des personnes riches ont accaparé une grande partie de la forêt classée de Sébikotane, en attendant son déclassement.

Les populations de Dougar Ouest luttent depuis des années pour la préservation de leurs terres, confrontées à des prédateurs fonciers qui les entourent d’un « mur de feu ». Daouda Faye a donc appelé les autorités à se concentrer sur les litiges fonciers qui pourraient engendrer d’autres problèmes à Keur Mousseu, à Diamniadio et à Sébikotane.

Cette suspension des titres fonciers marque un pas en avant dans la lutte contre la spoliation foncière et donne de l’espoir aux populations qui se battent pour la préservation de leurs droits et de leurs terres ancestrales.

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