Place des femmes dans le Gouvernement : Rassemblement pour la préservation de leurs droits

Le Cadre de concertation des citoyens pour la préservation et la sauvegarde des droits des femmes et des filles au Sénégal a annoncé dans un communiqué un rassemblement prévu ce samedi 04 mai à la Place du Souvenir. Ce mouvement vise à « dénoncer collectivement la sous-représentativité des femmes dans le 1er gouvernement du nouveau régime sénégalais ».

Dans leur communiqué, reçu à Seneweb, le cadre déclare : « Dakar, le 03 mai 2024, le cadre de concertation des citoyens pour la préservation et la sauvegarde des droits des femmes et des filles au Sénégal organise le Samedi 04 Mai 2024 à partir de 10h à l’Auditorium de la Place du Souvenir Africain un rassemblement populaire pour présenter publiquement un Manifeste pour la prise en compte des besoins spécifiques des femmes et des filles dans la formulation et la mise en œuvre des politiques publiques ainsi que le renforcement de leur participation dans les instances de gouvernance. »

Ce cadre, regroupant des citoyens et citoyennes sénégalais de tous horizons, des organisations de la société civile nationale et des organisations de défense des droits des femmes, dénonce « collectivement la sous-représentativité des femmes dans le 1er gouvernement du nouveau régime sénégalais » suite aux élections présidentielles du 25 Mars 2024. Sur 34 postes, seules 4 femmes sont présentes, ce qui est jugé comme une « inqualifiable sous-représentation ».

Le communiqué souligne également la revendication contre la suppression du mot « FEMME » dans la nouvelle dénomination du ministère de la Famille et des Solidarités, considérée comme une « marque de régression » après des décennies de plaidoyer pour les droits des femmes.

Le manifeste qui sera présenté lors du rassemblement vise à alerter sur la nécessité d’une gouvernance démocratique inclusive, avec une représentativité substantielle des femmes aux sphères de décisions publiques.

Les 10 plus grandes puissances économiques mondiales en 2024

Forbes a récemment publié le classement des dix plus grandes puissances économiques mondiales en 2024, basé sur le produit intérieur brut (PIB). Ce classement met en lumière les pays qui dominent l’économie mondiale et influence les tendances économiques mondiales.

1. États-Unis Les États-Unis conservent leur statut de plus grande puissance économique mondiale, avec une économie diversifiée soutenue par des secteurs tels que les services, l’industrie manufacturière, la finance et la technologie. Leur marché de consommateurs important, l’innovation et les infrastructures solides contribuent à maintenir leur position au sommet.

2. Chine La Chine se maintient à la deuxième place, avec une économie en plein essor reposant sur l’industrie manufacturière, les exportations et les investissements. Son marché de consommateurs en expansion, ses infrastructures croissantes et son soutien gouvernemental solide contribuent à sa croissance continue.

3. Allemagne L’Allemagne occupe la troisième place avec une économie axée sur les exportations et des secteurs solides tels que l’ingénierie, l’automobile et la chimie. Son engagement en faveur de l’innovation et de la recherche et développement renforce sa position sur la scène économique mondiale.

4. Japon Le Japon maintient sa quatrième place avec une économie caractérisée par sa technologie de pointe, son industrie manufacturière et ses services. Sa réputation pour l’excellence dans des secteurs tels que l’automobile et l’électronique contribue à son statut économique.

5. Inde L’Inde occupe la cinquième place avec une économie diversifiée en croissance rapide, tirée par des secteurs clés tels que les technologies de l’information, les services et l’agriculture. Son vaste marché intérieur et sa main-d’œuvre compétente alimentent sa croissance économique.

6. Royaume-Uni Le Royaume-Uni se classe sixième, avec une économie composée de services, d’industries manufacturières et financières, et soutenue par sa capitale, Londres, un centre financier mondial. Ses alliances commerciales et la mondialisation contribuent également à son développement économique.

7. France La France se place en septième position avec une économie diversifiée mettant l’accent sur des industries telles que l’aérospatiale, le tourisme, les produits de luxe et l’agriculture. Son système de protection sociale solide et ses investissements dans la recherche renforcent son économie.

8. Italie L’Italie occupe la huitième place avec un marché développé, notamment dans le secteur commercial, le tourisme et l’industrie agricole. Malgré des défis économiques, elle reste une puissance économique importante en Europe.

9. Brésil Le Brésil se classe neuvième avec une économie diversifiée comprenant l’agriculture, l’exploitation minière et l’industrie manufacturière. Ses exportations de produits agricoles contribuent à son économie, malgré les défis économiques récents.

10. Canada Le Canada ferme le top 10 avec une économie reposant sur ses ressources naturelles abondantes, son secteur de services florissant et son industrie manufacturière bien établie. Malgré une croissance modérée, il reste une puissance économique mondiale.

Ces pays influencent les tendances économiques mondiales et jouent un rôle crucial dans la dynamique économique mondiale.

L’agriculture au cœur de la lutte contre le chômage, l’émigration clandestine et la pauvreté, affirme le Premier ministre

Le Premier ministre Ousmane Sonko a souligné vendredi l’importance cruciale du secteur agricole dans la création d’emplois pour les jeunes et les femmes, ainsi que dans la lutte contre l’émigration clandestine et la pauvreté.

S’exprimant lors de l’ouverture d’un conseil interministériel consacré à la campagne agricole 2024-2025, au Centre international de conférences Abdou Diouf de Diamniadio, le Premier ministre a insisté sur le rôle prépondérant que l’agriculture devra désormais jouer dans ces domaines.

« C’est désormais à l’agriculture de jouer un rôle prépondérant dans la création d’emplois pour les jeunes et les femmes, la lutte contre l’émigration clandestine et la pauvreté », a déclaré Ousmane Sonko.

Il a également souligné que cette réunion interministérielle constituait une première depuis l’arrivée au pouvoir du président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, ce qui témoigne de l’importance accordée par le gouvernement au secteur agricole et au monde rural.

Le Premier ministre a affirmé que la doctrine de la souveraineté alimentaire guiderait désormais les interventions de l’État, marquant ainsi le début d’une nouvelle dynamique pour l’atteinte de cette souveraineté alimentaire lors de la campagne agricole 2024-2025.

« Avec la doctrine de la souveraineté alimentaire, il s’agit de faire de l’agriculture le levier essentiel du développement inclusif et durable de notre pays », a-t-il ajouté.

Cette orientation souligne l’engagement du gouvernement à promouvoir une agriculture plus efficace et inclusive, qui non seulement répond aux besoins alimentaires de la population, mais aussi contribue à la création d’emplois et à la réduction de la pauvreté, tout en dissuadant l’émigration clandestine.

Pose de la première pierre d’un bureau foncier à Diass : Vers une sécurisation foncière accrue

Le maire de Diass, Mamadou Ndione, et le coordinateur du Projet cadastre et sécurisation foncière (Procasef), Mouhamadou Moustapha Dia, ont officié vendredi la pose de la première pierre du bureau foncier de la commune de Diass, située à Mbour dans la région de l’Ouest sénégalais.

Cette cérémonie marque une étape significative dans le vaste projet de mise en place d’un cadastre à l’échelle nationale, visant à assurer une sécurisation foncière effective dans les zones rurales du pays, s’est félicité Mamadou Ndione.

La future infrastructure comprendra un bureau équipé pour accueillir le public, une salle d’archivage et un local technique destiné à héberger le système d’information foncière prévu, a expliqué Moustapha Dia.

L’objectif principal de ce bureau foncier est de garantir la traçabilité dans la gestion foncière au niveau communal, depuis la demande jusqu’à la finalisation de la procédure, a-t-il ajouté.

Pour le maire de Diass, sécuriser le foncier est essentiel pour attirer les investissements familiaux et privés dans la région. Il a souligné que la commune et le Procasef travaillent ensemble sur deux fronts : assurer que les documents existants répondent aux normes établies par l’État sénégalais en matière foncière, et garantir la sécurisation foncière future pour tous les citoyens de Diass.

La convention signée entre la commune et le Procasef reflète les objectifs communs et les préoccupations partagées pour le bien-être des citoyens, a assuré Mamadou Ndione.

Le Procasef, financé par la Banque mondiale à hauteur de 80 millions de dollars américains, vise à améliorer la gouvernance foncière dans 138 communes du Sénégal. Son objectif principal est d’instaurer un système d’information foncière transparent et traçable, favorisant ainsi la transparence et la sécurité dans la gestion des terres.

Pèlerinage de Popenguine : Appel à la modération dans la location des maisons

Dans le cadre des préparatifs de la 136ème édition du pèlerinage marial de Popenguine, les autorités locales et les organisateurs ont lancé un appel pressant aux habitants de la localité pour éviter la surenchère dans la location des maisons pendant cet événement religieux majeur au Sénégal.

Lors d’une réunion de préparation dirigée par l’adjointe au gouverneur de Thiès, Téning Faye Bâ, il a été noté que l’année précédente avait été marquée par une hausse excessive des tarifs de location, ce qui avait rendu difficile l’hébergement des pèlerins.

Mme Bâ a souligné l’importance de cet événement religieux en tant qu’occasion de dévotion et de recueillement, exhortant les propriétaires de maisons à faire preuve de générosité en facilitant l’hébergement des visiteurs. Elle a encouragé ceux qui louent leurs maisons à rendre les tarifs abordables, voire à les mettre gratuitement à la disposition des pèlerins.

Jean-Pierre Dasilva, secrétaire général adjoint du Comité national du pèlerinage de Popenguine, a renforcé cet appel en soulignant l’importance de l’hospitalité dans l’esprit du pèlerinage. Il a appelé les habitants de Popenguine à faire preuve de générosité envers les pèlerins, soulignant que cet acte est également un acte de dévotion.

Le pèlerinage de Popenguine, qui se déroulera cette année du 18 au 20 mai, attire des milliers de fidèles venant de tout le Sénégal pour trois jours de prières et de célébrations. Pour faciliter le bon déroulement de l’événement, les organisateurs ont recommandé aux pèlerins de se munir de badges pour faciliter le contrôle par les forces de l’ordre.

Une nouveauté cette année est le départ des marcheurs des doyennés pour se retrouver à Popenguine le lundi. Les organisateurs ont également pris des mesures pour assurer la sécurité des marcheurs, notamment sur la route de Sindia, étroite et escarpée par endroits.

En outre, plusieurs services, dont la santé, la sécurité, l’approvisionnement en denrées alimentaires et l’aménagement des infrastructures, se sont engagés à assurer le bon déroulement du pèlerinage.

L’appel à la modération dans la location des maisons reflète l’importance accordée à l’esprit d’entraide et de solidarité dans cet événement religieux majeur au Sénégal, mettant en avant les valeurs de générosité et de partage qui caractérisent le pèlerinage de Popenguine.

Nouveau Directeur général à la Société nationale des Chemins de Fer du Sénégal (CFS) : Monsieur Ibrahima Ba

Lors du Conseil des ministres du Jeudi 02 Mai 2024, une annonce majeure a été faite concernant la Société nationale des Chemins de Fer du Sénégal (CFS) : la nomination de Monsieur Ibrahima Ba au poste de Directeur général. Il succède ainsi à Monsieur El Hadji Malick Ndoye.

Ingénieur électromécanicien de formation, Monsieur Ba apporte avec lui une expertise technique approfondie et une expérience significative dans le domaine des transports et de la logistique.

Sa nomination intervient à un moment crucial pour la CFS, alors que l’entreprise s’efforce de moderniser ses infrastructures, d’améliorer la qualité de ses services et de renforcer sa position dans le secteur ferroviaire.

En tant que nouveau Directeur général, Monsieur Ba aura pour mission de superviser l’ensemble des activités opérationnelles et stratégiques de la CFS, en veillant à ce que l’entreprise atteigne ses objectifs de performance et de rentabilité.

Il devra également travailler en étroite collaboration avec les autorités gouvernementales, les partenaires commerciaux et les parties prenantes du secteur pour développer et mettre en œuvre des initiatives visant à moderniser et à étendre le réseau ferroviaire du Sénégal.

Parmi les défis auxquels Monsieur Ba sera confronté figurent l’amélioration de l’efficacité opérationnelle, la sécurité des transports ferroviaires, ainsi que le développement de nouveaux services et de partenariats stratégiques.

Sa nomination suscite des attentes quant à sa capacité à apporter des innovations et des solutions créatives pour stimuler la croissance et le développement de la CFS, tout en contribuant à la promotion d’un système de transport ferroviaire moderne et durable au Sénégal.

Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Monsieur Ba s’engage à œuvrer pour le succès et la prospérité de la CFS, tout en mettant en œuvre une vision ambitieuse pour l’avenir du transport ferroviaire dans le pays.ChatGPT peut faire des erreurs. Envisager de vérifier les informations importan

Nouveau Directeur général à la Société Africaine de Raffinage (SAR) : Monsieur Mamadou Abib Diop

Une décision importante a été prise lors du Conseil des ministres du Jeudi 02 Mai 2024, avec la nomination de Monsieur Mamadou Abib Diop au poste de Directeur général de la Société Africaine de Raffinage (SAR). Il succède ainsi à Madame Mariame Ndoye Decraene.

Ingénieur en Génie des procédés industriels et spécialiste en Management d’entreprises, Monsieur Diop apporte avec lui une solide expertise technique et une vaste expérience dans le domaine industriel.

Sa nomination à la tête de la SAR intervient à un moment crucial pour l’industrie pétrolière du Sénégal, alors que le pays cherche à renforcer son secteur énergétique et à maximiser la valeur ajoutée de ses ressources naturelles.

En tant que Directeur général de la SAR, Monsieur Diop sera chargé de superviser l’ensemble des opérations de raffinage de pétrole de la société, en veillant à ce que celles-ci se déroulent de manière efficiente, sûre et respectueuse de l’environnement.

Sa mission consistera également à promouvoir l’innovation et la modernisation des infrastructures de raffinage, ainsi qu’à renforcer la compétitivité de la SAR sur le marché national et international.

Monsieur Diop devra également relever des défis importants, tels que l’optimisation des processus de production, la gestion des ressources humaines et financières, ainsi que le développement de partenariats stratégiques avec d’autres acteurs de l’industrie pétrolière.

Sa nomination suscite des attentes quant à une gestion efficace et transparente de la SAR, ainsi qu’à des initiatives visant à renforcer la contribution de la société au développement économique et social du Sénégal.

Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Monsieur Diop est appelé à collaborer étroitement avec les autorités gouvernementales, les partenaires internationaux et les acteurs du secteur privé pour relever les défis et saisir les opportunités qui se présentent dans le secteur du raffinage au Sénégal.

Nouveau Directeur général à la Société Nationale des Eaux du Sénégal (SONES) : Monsieur Abdoul Niang

Lors du Conseil des ministres du Jeudi 02 Mai 2024, une annonce majeure a été faite concernant la direction de la Société Nationale des Eaux du Sénégal (SONES). Monsieur Abdoul Niang, Ingénieur Hydraulicien, a été nommé Directeur général de la SONES, succédant ainsi à Monsieur Charles Fall.

Cette nomination intervient dans un contexte où la gestion des ressources hydriques est cruciale pour le développement durable et la qualité de vie des populations sénégalaises. En tant qu’Ingénieur Hydraulicien, Monsieur Niang apporte une expertise spécialisée qui sera précieuse pour relever les défis complexes auxquels fait face la SONES.

Sa désignation à la tête de la SONES témoigne de la volonté du gouvernement de mettre en place une direction compétente et expérimentée pour assurer la fourniture d’eau potable de manière efficace et durable à travers tout le pays.

Monsieur Niang devra superviser la gestion opérationnelle et stratégique de la SONES, en veillant à ce que les services fournis répondent aux normes de qualité les plus élevées et aux besoins croissants de la population sénégalaise en matière d’eau potable.

Il sera également chargé de promouvoir l’innovation et la modernisation des infrastructures hydrauliques, tout en veillant à une utilisation durable des ressources en eau du pays.

La nomination de Monsieur Niang à la tête de la SONES suscite des attentes quant à une gestion efficace et transparente de l’approvisionnement en eau au Sénégal, ainsi qu’à des initiatives visant à étendre l’accès à l’eau potable dans les zones les plus reculées du pays.

Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Monsieur Niang est appelé à travailler en étroite collaboration avec les autorités locales, les partenaires internationaux et la société civile pour relever les défis liés à la gestion des ressources hydriques et contribuer au développement socio-économique du Sénégal.

Nouvelle direction au Conseil Sénégalais des Chargeurs (COSEC) : Madame Ndeye Rokhaya Thiam nommée Directrice générale

Lors du Conseil des ministres du Jeudi 02 Mai 2024, une nomination importante a été annoncée pour la direction du Conseil Sénégalais des Chargeurs (COSEC). Madame Ndeye Rokhaya Thiam, titulaire d’un Master II en Droit International, a été désignée pour occuper le poste de Directrice générale, en remplacement de Monsieur Abdoulaye Diop.

Cette nomination marque une nouvelle ère pour le COSEC, un organisme crucial dans le secteur du transport et de la logistique au Sénégal. Madame Thiam apporte avec elle une solide expertise en droit international ainsi qu’une expérience professionnelle diversifiée, ce qui la positionne comme une candidate idéale pour diriger le COSEC dans les années à venir.

En tant que Directrice générale, Madame Thiam sera chargée de superviser et de coordonner les activités du COSEC, en veillant à ce qu’elles soient menées de manière efficace et conforme aux normes nationales et internationales en vigueur dans le domaine du transport et de la logistique.

Sa nomination témoigne de la volonté du gouvernement de promouvoir une gestion professionnelle et transparente des organismes publics, ainsi que de renforcer le secteur du transport et de la logistique pour soutenir le développement économique du pays.

Madame Thiam est appelée à relever les défis complexes du COSEC, notamment en matière de facilitation des échanges commerciaux, de modernisation des infrastructures portuaires et de promotion des meilleures pratiques en matière de transport maritime, terrestre et aérien.

Cette nomination est perçue comme une étape importante dans la poursuite des objectifs de croissance et de développement du secteur du transport et de la logistique au Sénégal. Madame Thiam est attendue pour diriger le COSEC avec intégrité, compétence et engagement envers la mission de l’organisme et les intérêts économiques du pays.

Nouvelle nomination à la tête de la TDS-SA : Madame Aminata Sarr nommée Directrice générale

Lors du Conseil des ministres du Jeudi 02 Mai 2024, une annonce importante a été faite concernant la direction de la Société anonyme Télédiffusion du Sénégal (TDS-SA). Madame Aminata Sarr, titulaire d’un doctorat en Lettres et Sciences humaines, a été nommée en tant que nouvelle Directrice générale de la TDS-SA.

Cette nomination fait suite au départ de Madame Nafissatou Diouf de ses fonctions. Madame Sarr apporte avec elle une vaste expérience dans le domaine des sciences humaines, ainsi qu’une expertise en gestion et en leadership.

La TDS-SA joue un rôle crucial dans le paysage médiatique sénégalais, en assurant la diffusion et la distribution des programmes audiovisuels à travers le territoire. En tant que Directrice générale, Madame Sarr sera chargée de superviser et de coordonner les activités de la société, en veillant à ce qu’elles soient menées de manière efficace et conforme aux normes et réglementations en vigueur.

Sa nomination reflète la volonté du gouvernement de promouvoir une gestion professionnelle et transparente des médias au Sénégal, ainsi que de renforcer l’accès à l’information pour tous les citoyens.

Madame Sarr est appelée à relever les défis complexes du secteur de la télédiffusion, notamment en matière de numérisation et de modernisation des infrastructures, tout en garantissant une diffusion équitable et diversifiée des contenus.

Cette nomination est perçue comme une étape importante dans le développement continu du secteur des médias au Sénégal. Madame Sarr est attendue pour diriger la TDS-SA avec intégrité, compétence et engagement envers la mission de la société et les intérêts du public sénégalais.

Nouvelle nomination à la tête de la SOMISEN : Monsieur Ngagne Demba Touré nommé Directeur général

Lors du Conseil des ministres du Jeudi 02 Mai 2024, une annonce significative a été faite concernant la direction de la Société des Mines du Sénégal (SOMISEN). Monsieur Ngagne Demba Touré, titulaire d’un Master II en Droit et Gouvernance des Energies et des Mines, a été nommé en tant que nouveau Directeur général de la SOMISEN.

Cette nomination intervient suite au départ de Monsieur Ousmane Cissé de cette fonction. Monsieur Touré apporte avec lui une solide formation et une expertise spécialisée dans le domaine du droit minier et de la gouvernance des ressources énergétiques et minières.

La SOMISEN joue un rôle crucial dans le secteur minier du Sénégal, en supervisant et en régulant les activités minières dans le pays. En tant que Directeur général, Monsieur Touré aura pour mission de diriger et de coordonner les opérations de la société, en veillant à ce qu’elles soient menées de manière responsable et conforme aux réglementations en vigueur.

Sa nomination reflète la volonté du gouvernement de renforcer la gouvernance et la transparence dans le secteur minier, ainsi que de promouvoir une exploitation durable des ressources naturelles du pays.

Monsieur Touré est appelé à relever les défis complexes auxquels est confronté le secteur minier sénégalais, tout en cherchant à maximiser les retombées économiques et sociales pour le pays et ses communautés locales.

Cette nomination est perçue comme une étape importante dans la poursuite du développement du secteur minier du Sénégal et dans la consolidation de sa position sur la scène internationale. Monsieur Touré est attendu pour diriger la SOMISEN avec intégrité, compétence et engagement envers les intérêts du pays et de ses citoyens.

Nouvelle direction au COUD : Monsieur Ndéné Mbodj nommé Directeur

Lors du Conseil des ministres du Jeudi 02 Mai 2024, une annonce importante a été faite concernant la direction du Centre des Œuvres universitaires de Dakar (COUD). Monsieur Ndéné Mbodj, Maître de Conférences titulaire à l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar, a été nommé en tant que nouveau Directeur du COUD.

Cette nomination fait suite au départ de Monsieur Maguette Sene de ce poste. En tant que Maître de Conférences titulaire, Monsieur Mbodj apporte avec lui une vaste expérience dans le domaine de l’enseignement et de la gestion universitaire.

Le COUD joue un rôle essentiel dans la vie estudiantine à Dakar, en assurant la gestion des résidences universitaires, des restaurants universitaires et des services sociaux destinés aux étudiants. La nomination de Monsieur Ndéné Mbodj à la tête de cette institution témoigne de la volonté du gouvernement de renforcer et d’optimiser les services offerts aux étudiants.

En tant que nouveau Directeur, Monsieur Mbodj aura pour mission de poursuivre et d’améliorer les initiatives visant à garantir le bien-être et la réussite des étudiants universitaires. Il devra également veiller à assurer une gestion efficace des ressources du COUD et à répondre aux besoins croissants de la communauté estudiantine.

Cette nomination est perçue comme une opportunité de dynamiser et de moderniser davantage les services universitaires à Dakar, en offrant un environnement propice à l’épanouissement académique et personnel des étudiants. Monsieur Mbodj est appelé à diriger le COUD avec dévouement et compétence, contribuant ainsi à l’amélioration de la qualité de vie et des conditions d’études des étudiants de l’Université Cheikh Anta DIOP et des autres établissements d’enseignement supérieur à Dakar.

Nouvelle nomination à la tête de Dakar Dem Dikk : Monsieur Assane Mbengue nommé Directeur général

Lors du Conseil des ministres du Jeudi 02 Mai 2024, une annonce importante a été faite concernant la direction de la Société Dakar Dem Dikk. En effet, Monsieur Assane Mbengue, titulaire d’un Master II en Administration des Affaires, a été nommé en tant que nouveau Directeur général de Dakar Dem Dikk.

Cette nomination intervient suite au départ de Monsieur Ousmane Sylla de ce poste. Monsieur Mbengue apporte avec lui une expérience solide dans le domaine de l’administration des affaires, ainsi qu’une expertise en gestion stratégique, financière et opérationnelle.

Dakar Dem Dikk joue un rôle crucial dans le secteur des transports urbains à Dakar, en assurant la gestion et l’exploitation des services de transport en commun dans la capitale sénégalaise. La nomination de Monsieur Assane Mbengue à la tête de cette société témoigne de la volonté du gouvernement de renforcer et d’optimiser la gestion de ce service public vital pour les citoyens.

En tant que nouveau Directeur général, Monsieur Mbengue aura pour mission de poursuivre et d’améliorer les initiatives visant à moderniser et à améliorer la qualité des services de transport offerts par Dakar Dem Dikk. Il devra également veiller à assurer une gestion efficace des ressources et à répondre aux besoins croissants des usagers en matière de mobilité urbaine.

Cette nomination est perçue comme une opportunité de dynamiser et de professionnaliser davantage le secteur des transports urbains à Dakar, en garantissant des services de qualité, accessibles et fiables pour tous les citoyens. Monsieur Mbengue est appelé à diriger Dakar Dem Dikk avec engagement et compétence, contribuant ainsi à l’amélioration de la qualité de vie des habitants de Dakar.

Nouvelle nomination à la tête de l’ARTP : Monsieur Dahirou Thiam prend les rênes en tant que Directeur général

Lors du Conseil des ministres du Jeudi 02 Mai 2024, une annonce majeure a été faite concernant la direction de l’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP). En effet, Monsieur Dahirou Thiam, un Ingénieur spécialisé en Informatique et Télécommunications, a été nommé en tant que nouveau Directeur général de l’ARTP.

Cette nomination intervient suite au départ de Monsieur Abdou Karim Sall de ce poste. Monsieur Thiam, qui possède une solide expertise dans le domaine de l’informatique et des télécommunications, apporte avec lui une vision innovante et stratégique pour guider l’ARTP dans ses missions de régulation du secteur des télécommunications et des postes.

L’ARTP joue un rôle essentiel dans la régulation et le développement du secteur des communications au Sénégal, en veillant à garantir un environnement équitable et concurrentiel pour les opérateurs et en protégeant les droits des consommateurs. La nomination de Monsieur Dahirou Thiam à sa tête témoigne de la volonté du gouvernement de maintenir une régulation efficace et adaptée aux évolutions technologiques du secteur.

Cette nomination est perçue comme une opportunité de dynamiser davantage le secteur des télécommunications et des postes, en favorisant l’innovation, l’investissement et l’accès aux services numériques pour tous les citoyens. Monsieur Thiam est appelé à diriger l’ARTP avec détermination et vision, contribuant ainsi au développement numérique du pays et à son intégration dans l’économie mondiale numérique.

Nouvelle nomination à la tête du FONSIS : Monsieur Babacar Gning prend les rênes en tant que Directeur général

Lors du Conseil des ministres du Jeudi 02 Mai 2024, une annonce importante a été faite concernant la direction du Fonds Souverain d’Investissements Stratégiques (FONSIS). En effet, Monsieur Babacar Gning, un Ingénieur spécialisé en Finances et Stratégie, a été nommé en tant que nouveau Directeur général du FONSIS.

Cette nomination intervient suite au départ de Monsieur Abdoulaye Diouf Sarr de ce poste. Monsieur Gning, qui occupait auparavant le poste de Directeur général Adjoint du FONSIS, apporte avec lui une expertise solide dans le domaine des finances et de la stratégie.

Le FONSIS joue un rôle crucial dans le développement économique du pays en investissant dans des projets stratégiques et des infrastructures. La nomination de Monsieur Babacar Gning à sa tête reflète la volonté du gouvernement de maintenir une gestion efficace et stratégique des fonds souverains pour soutenir la croissance économique et favoriser le développement durable.

Cette nomination est perçue comme une transition en douceur, bénéfique pour la continuité des activités du FONSIS et pour la mise en œuvre de sa stratégie d’investissement à long terme. Monsieur Gning est appelé à diriger le FONSIS avec engagement et compétence, contribuant ainsi au progrès économique et social du pays.

Le rôle des médias sociaux dans le dialogue interculturel au cœur des débats à Baku

Au cours du deuxième jour du 6e Forum mondial de Baku sur le dialogue interculturel, qui s’est tenu à Baku, en Azerbaïdjan, les participants se sont penchés sur l’impact des médias sociaux sur la promotion du dialogue entre les peuples. Les panélistes, venant de diverses régions du monde, ont examiné la manière dont les réseaux sociaux peuvent servir de ponts pour favoriser le dialogue des cultures, mais aussi comment ils peuvent parfois contribuer à ériger des barrières entre les peuples et leurs cultures.

Si les médias sociaux offrent une plateforme de communication sans frontières, ils peuvent également véhiculer des rumeurs, des fausses informations (Fake news), ainsi que des stigmatisations, limitant ainsi le dialogue interculturel. Ce débat sur l’impact des médias sociaux figurait parmi les nombreux panels organisés lors du forum.

Le premier jour du forum avait également abordé la question de l’autonomisation des femmes comme un élément clé pour renforcer le dialogue des cultures. Les participants, principalement des femmes, ont souligné l’importance de sortir les femmes de la pauvreté pour favoriser le progrès mondial. Ils ont mis en lumière le lien entre l’autonomisation des femmes et le développement, la compréhension et le dialogue interculturel.

La sixième édition du Forum de Baku sur le dialogue interculturel, qui a réuni 700 participants représentant une centaine de pays, a été ouverte en présence du chef de l’État azerbaïdjanais, Ilham Aliyev. Ce forum, initié par Aliyev dans le cadre du processus de Baku sur la paix mondiale, vise à promouvoir le dialogue interculturel et à renforcer la paix et la sécurité mondiales.

Forum de Baku sur le dialogue interculturel : L’appel à l’accroissement des efforts pour la paix

Le 6e Forum de Baku sur le dialogue interculturel s’est tenu à Baku, en Azerbaïdjan, avec la participation de plus de 700 représentants venant d’une centaine de pays. Cette rencontre, qui s’est déroulée sous le thème « Le dialogue pour la paix et la sécurité mondiales : coopération et interconnexion », a été marquée par les interventions de hauts responsables internationaux et de représentants d’organisations culturelles et religieuses.

Parmi les intervenants, le haut représentant des Nations unies pour l’Alliance des civilisations, Miguel Angel Moratinos, a souligné l’urgence d’intensifier les efforts pour promouvoir la paix et la stabilité dans toutes les régions du monde. Il a mis en avant l’importance de la solidarité et de l’intégration entre les civilisations et les cultures comme moyen de résolution des conflits. Moratinos a affirmé que l’alliance entre les civilisations était cruciale pour garantir la dignité humaine et protéger les droits fondamentaux.

De son côté, le directeur général de l’Organisation mondiale islamique pour l’éducation, la science et la culture (ISESCO), Salim Al Malik, a appelé les centres de recherche à adopter des normes de fiabilité dans la production d’informations et d’analyses. Il a souligné que la paix et la sécurité étaient les prérequis indispensables pour assurer un avenir prometteur à chacun.

Le forum a été l’occasion d’organiser plusieurs panels sur différentes sous-thématiques liées à l’avenir de l’humanité. La manifestation a pris fin ce jeudi, après deux jours de débats et d’échanges, laissant entrevoir la nécessité d’une coopération internationale accrue pour favoriser le dialogue interculturel et renforcer la paix et la sécurité mondiales.

Tensions à Gibraltar : Les habitants s’opposent à la construction de toilettes publiques

Une vive tension règne actuellement à Gibraltar, dans la commune de Médina, où les habitants se sont opposés fermement au projet de construction de toilettes publiques par le maire Bamba Fall. Les populations locales ont exprimé leur mécontentement lors d’une manifestation dans les rues, exigeant l’arrêt immédiat des travaux.

Construction de toilette publique à Gibraltar : les habitants disent niet...

Le principal point de discorde réside dans l’utilité perçue de ces installations sanitaires. Les habitants affirment que la plupart des maisons du quartier disposent déjà de leurs propres toilettes, de même que les écoles et les commerces. Ils remettent donc en question la nécessité d’ajouter des toilettes publiques qui, selon eux, ne feront qu’aggraver les problèmes d’insalubrité dans la région.

Le porte-parole des manifestants, Mohamed Souleymane Sy, souligne l’importance pour tout projet municipal de répondre aux besoins réels de la population. Il critique le manque de consultation préalable et de transparence dans la prise de décision du maire. De plus, il rapporte des incidents survenus lors de l’arrivée des ouvriers pour entamer les travaux, avec des échanges tendus entre un jeune du quartier et un garde du corps du maire.

Cette situation conflictuelle reflète un profond désaccord entre les autorités municipales et les citoyens sur la manière dont les ressources publiques devraient être utilisées pour améliorer la qualité de vie dans la communauté. Les habitants de Gibraltar se disent prêts à aller jusqu’au bout pour faire valoir leurs droits, envisageant même de recourir à la justice pour faire entendre leur voix.

Par ailleurs, les manifestants ont également soulevé d’autres préoccupations, notamment la transformation de certaines maisons par des investisseurs chinois en entrepôts contenant des produits inflammables, ce qui suscite des craintes en matière de sécurité publique.

Révélations accablantes de la Cour des comptes : Détournements de fonds et irrégularités à l’Agence nationale pour les énergies renouvelables (ANER)

Dans un rapport détaillé, la Cour des comptes du Sénégal met en lumière des pratiques scandaleuses à l’Agence nationale pour les énergies renouvelables (ANER), notamment des rémunérations versées à des stagiaires sans respect des règles établies et la prise en charge indue d’une employée en détachement dans un ministère.

Selon le rapport, sur la période 2017-2020, l’ANER a signé 23 contrats de stage avec des jeunes diplômés, mais seuls quatre de ces contrats respectaient les exigences légales en matière de mention de l’emploi de référence. Les stagiaires ont perçu des rémunérations globales totalisant 133 708 750 FCFA, alors que la mention de la catégorie de l’emploi de référence manquait dans la plupart des contrats.

De plus, une employée en détachement dans un ministère a continué de percevoir son salaire de l’ANER, alors même qu’elle n’assurait plus la tutelle de l’agence. Cette situation a entraîné un détournement de fonds publics, avec une rémunération brute de 31 150 900 FCFA versée à cette employée entre 2017 et 2020.

Le rapport pointe également le non-respect du plafond mensuel des dotations de carburant, avec des quantités attribuées dépassant largement les limites fixées par la réglementation.

Interpellé sur ces violations, le directeur général de l’ANER a tenté de justifier la prise en charge de l’employée en détachement, mais la Cour des comptes a insisté sur la nécessité de mettre fin à cette pratique.

Ces révélations mettent en lumière des dysfonctionnements sérieux au sein de l’ANER et soulignent l’importance de renforcer les contrôles internes et externes pour garantir une gestion transparente et responsable des ressources publiques.

Conseil des ministres au Palais présidentiel : Les attentes après le report exceptionnel

La traditionnelle réunion hebdomadaire du Conseil des ministres se déroulera exceptionnellement ce jeudi 2 mai au Palais présidentiel. Ce changement de jour fait suite au report de la réunion qui aurait dû avoir lieu mercredi, en raison de la cérémonie de remise des cahiers de doléances des centrales syndicales à l’occasion de la fête du Travail.

Cette rencontre avec le gouvernement revêt une importance particulière, d’autant plus qu’elle intervient dans un contexte marqué par les récentes déclarations du chef de l’État lors de sa visite à Mbour 4, à Thiès. Bassirou Diomaye Faye a en effet exprimé sa préoccupation quant à la situation des terres dans cette localité, soulignant l’ampleur des dégâts causés par le partage des terres entre certains acteurs politiques.

Dans ce contexte, des mesures importantes sont attendues à l’issue du Conseil des ministres. Il est probable que des décisions soient prises pour remédier à la situation observée à Mbour 4 et pour prévenir de telles situations à l’avenir. Ces mesures pourraient concerner la réglementation foncière, la protection des terres agricoles, et des actions visant à assurer une gestion équitable des ressources naturelles.

Par ailleurs, d’autres sujets d’importance nationale pourraient être abordés lors de cette réunion, notamment ceux liés à la santé, à l’éducation, à l’économie, et à la sécurité. Le Conseil des ministres représente une opportunité pour le gouvernement de faire le point sur les différentes politiques et initiatives en cours, et de prendre des décisions stratégiques pour l’avenir du pays.

En somme, cette réunion revêt un caractère crucial dans le cadre de la gouvernance du pays, et les attentes sont grandes quant aux mesures et décisions qui seront annoncées à l’issue de cette rencontre au sommet de l’État.

Le Président Bassirou Diomaye Faye réaffirme son engagement envers les travailleurs lors de la cérémonie de la fête du Travail

Dans le cadre des célébrations de la fête du Travail, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a présidé aujourd’hui une cérémonie solennelle au palais présidentiel, lors de laquelle il a reçu les cahiers de doléances des centrales syndicales. Cette traditionnelle rencontre a été l’occasion pour le Chef de l’État de rendre hommage aux travailleurs du Sénégal, mettant en lumière leur contribution essentielle à la société et à l’économie nationale.

Dans son discours, le Président a souligné l’importance cruciale du travailleur sénégalais, reconnaissant leur dévouement et leur engagement quotidien au service du pays. Il a salué leur contribution inestimable à la construction d’un Sénégal souverain, juste et prospère, dans un contexte où le pays aspire à un développement continu au sein d’une Afrique en progression.

Évoquant la question des conventions collectives, le Chef de l’État a encouragé les travailleurs et les employeurs à poursuivre le processus d’évolution du droit négocié, soulignant l’importance de son adaptation aux mutations du marché du travail. Cette démarche, selon lui, contribuera à renforcer les relations de travail et à garantir de meilleures conditions pour tous les acteurs du monde du travail.

Dans un geste symbolique, le Président Faye a réaffirmé son engagement ferme envers la promotion et le renforcement du dialogue social. Il a souligné l’importance de la cohésion sociale et de la prospérité nationale, qui passent inévitablement par un dialogue ouvert et constructif entre les différentes parties prenantes de la société.

Cette cérémonie marque ainsi la volonté du Président de placer le travailleur au cœur des préoccupations nationales et de garantir un avenir meilleur pour tous les citoyens sénégalais.

Nouvelle Nomination à la Présidence Sénégalaise : Pape Mada Ndour Devient Chef de Cabinet

Dans un récent mouvement au sein du cabinet présidentiel, le chef de l’État sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, a officialisé la nomination de Monsieur Pape Mada Ndour au poste de chef de Cabinet du président de la République. Cette nomination a été effectuée par le décret 2024-992 en date du mardi 30 avril 2024.

Pape Mada Ndour, un diplomate de carrière, occupait précédemment le poste de premier secrétaire à l’ambassade du Sénégal au Maroc jusqu’en juin 2023. Sa carrière a été marquée par une interruption due à ses liens avec le parti Pastef, ce qui a entraîné son rappel. Sa proximité avec le Président élu, Bassirou Diomaye Faye, a été notable lors de plusieurs occasions publiques, notamment lors de l’audience avec l’ex-président Macky Sall au Palais, juste avant la prise de fonctions officielle de M. Faye.

Le décret précise que le ministre, directeur de cabinet du président de la République, le secrétaire général de la Présidence de la République, ainsi que le ministre des Finances et du Budget, sont chacun chargés de l’exécution de cette nomination, qui sera également publiée au Journal officiel.

Cette nomination est perçue comme un signe de la confiance renouvelée du Président Faye envers Pape Mada Ndour, et elle est interprétée comme un signal fort de la continuité de la coopération entre les anciens membres du parti Pastef et le nouveau gouvernement. Elle reflète également la volonté du président de s’entourer de professionnels expérimentés et de confiance pour mener à bien son mandat dans un contexte politique sénégalais en pleine évolution.

Visite présidentielle à Mbour 4 : Suspension des opérations foncières pour promouvoir l’équité

Ce matin, le Président de la République du Sénégal, Monsieur Bassirou Diomaye Faye, a effectué une visite significative sur le site de Mbour 4, un vaste terrain qui s’étend sur plus de 2000 hectares et se divise entre la commune de Thiès Ouest et la commune de Keur Mousseu. Cette visite intervient dans un contexte de préoccupations croissantes concernant la gestion et la distribution équitable des terres dans la région.

Au cours de sa visite, le Président Faye a rencontré divers responsables gouvernementaux, dont des directeurs centraux, régionaux et départementaux, pour discuter de la répartition des parcelles et de leur affectation. Ces discussions ont révélé des distorsions graves affectant l’égalité et l’équité parmi les citoyens dans l’attribution des terrains.

En réponse à ces constatations, le Président de la République a pris une mesure drastique en décidant de suspendre toutes les opérations sur les terrains de Mbour 4 ainsi que sur tous les terrains présentant des problématiques similaires. Cette décision vise à corriger les inégalités observées et à assurer une gestion plus juste et transparente des ressources foncières.

La présence de figures importantes, telles que le maire de Thiès, les maires des communes de Thiès Est et Thiès Ouest, quatre ministres, plusieurs directeurs centraux, le gouverneur, ainsi que des membres de l’administration régionale et départementale, souligne l’importance de cette visite et la détermination du gouvernement à aborder ces enjeux de front.

Cette initiative du Président Faye est perçue comme un pas en avant vers la réforme des politiques foncières au Sénégal, promettant de mettre fin aux pratiques injustes et de promouvoir une distribution équitable des terres. Elle est également vue comme une affirmation de sa volonté de gouverner dans l’intérêt de tous les Sénégalais, en veillant à ce que les droits fonciers soient respectés et que la justice prévale dans toutes les sphères de l’administration publique.

Rencontre du Ministre de la Santé avec les Associations de Sages-femmes et Infirmières d’État du Sénégal

Dans le cadre de sa démarche visant à renforcer les liens et la collaboration avec les acteurs clés du secteur de la santé et de l’action sociale, le Ministre de la Santé et de l’Action sociale, Dr Ibrahima Sy, a récemment tenu une série de rencontres avec des associations professionnelles. Parmi celles-ci figuraient l’Association Nationale des Sages-femmes d’État du Sénégal (ANSFES) et l’Association Nationale des Infirmières et Infirmiers d’État du Sénégal (ANIIDES).

Ces réunions ont offert une plateforme d’échange et de dialogue constructif entre le ministre et les membres des associations, permettant de discuter des défis, des opportunités et des préoccupations spécifiques aux professions de sage-femme et d’infirmière.

L’ANSFES et l’ANIIDES, en tant que représentantes des sages-femmes et infirmières d’État du Sénégal, ont eu l’occasion de partager leurs perspectives, leurs besoins et leurs suggestions pour améliorer les conditions de travail, la qualité des soins de santé et le système de santé dans son ensemble.

Le Ministre de la Santé, pour sa part, a exprimé son engagement envers le bien-être des professionnels de la santé et a souligné l’importance de leur contribution précieuse au système de santé du pays. Il a également réaffirmé sa volonté de travailler en étroite collaboration avec les associations professionnelles pour résoudre les problèmes et promouvoir le développement du secteur de la santé.

Ces rencontres marquent un pas important vers une collaboration renforcée entre le Ministère de la Santé et les associations de professionnels de la santé, démontrant ainsi l’importance de la consultation et de la participation des parties prenantes dans l’élaboration et la mise en œuvre des politiques de santé.

Préoccupations syndicales à Matam : Santé, éducation, mines et collectivités territoriales au cœur des revendications

À l’occasion de la journée internationale du Travail, des travailleurs affiliés à la Coalition des centrales syndicales du Sénégal ont exprimé leurs préoccupations lors d’une procession à Matam, remettant un cahier de doléances au préfet de la région. Les principales revendications portent sur les secteurs de la santé, de l’éducation, des mines et des collectivités territoriales.

Les travailleurs, représentant divers syndicats affiliés à la Coalition, dont la CNTS, l’UNSAS et la CSA, ont souligné les difficultés rencontrées dans les hôpitaux régionaux et les centres de santé, appelant à des assises régionales pour résoudre ces problèmes. En outre, la surexploitation des agents des collectivités territoriales a été dénoncée, ainsi que le non-respect de la loi sur l’augmentation des salaires des travailleurs municipaux.

La situation des populations impactées par l’exploitation minière dans le département de Kanel a également été abordée, avec des revendications concernant les indemnités jugées insuffisantes. Les syndicalistes ont également pointé du doigt les injustices subies par les enseignants récemment retraités, appelant à une révision des montants de pension pour assurer une stabilité sociale.

Le secrétaire général de la CNTS régionale, Mamadou Demba Sy, a insisté sur la nécessité pour l’État d’harmoniser les traitements salariaux et de prendre des mesures concrètes pour améliorer les conditions de vie et de travail des travailleurs de divers secteurs à Matam.

Cette mobilisation syndicale reflète les défis persistants auxquels sont confrontés les travailleurs sénégalais dans divers domaines, et souligne l’importance d’une action concertée pour garantir le respect des droits des travailleurs et promouvoir des conditions de travail dignes et équitables.

Accident grave à Kédougou/Mako : Des professeurs victimes d’un tragique choc sur la route

Un accident tragique a frappé la communauté éducative de Mako alors que des professeurs se rendaient à Kédougou pour célébrer la Journée internationale du Travail. Le mini-car transportant les vaillants soldats de l’éducation a été impliqué dans un grave choc à la sortie de Tenkotoding (RN7), vers 9 heures ce mercredi 1er mai 2024.

Le bilan provisoire de l’accident fait état d’un décès et de plusieurs blessés parmi les occupants du véhicule. Les autorités locales, notamment les gendarmes et les sapeurs-pompiers, sont immédiatement intervenues pour sécuriser les lieux, évacuer les blessés et déterminer les circonstances exactes de l’accident.

Cet incident met en lumière une fois de plus les dangers persistants sur les routes du Sénégal, où les accidents continuent de faire des victimes. Il est impératif que des mesures efficaces soient prises pour garantir la sécurité des usagers de la route et prévenir de tels drames à l’avenir.

Au nom d’Actu Kédougou, nous présentons nos plus sincères condoléances à la famille endeuillée et souhaitons un prompt rétablissement à tous les blessés. Il est urgent d’agir pour mettre fin à cette série noire d’accidents et assurer la sécurité de tous sur nos routes.

Affaire Mbour 4 : Implication de membres de l’ancien régime dans un scandale d’attribution de parcelles

Le journal Les Echos révèle un scandale lié à l’attribution controversée de parcelles à Mbour 4, dans la région de Thiès, mettant en cause des membres de l’ancien régime.

Selon le quotidien, certains bénéficiaires de terrains ont même commencé des travaux de construction, malgré des irrégularités dans le processus d’attribution. Cette affaire a suscité l’intervention du gouverneur de la région, agissant sur instruction des autorités supérieures, qui a ordonné la suspension immédiate des travaux en attendant des mesures appropriées.

L’implication de membres de l’ancien régime dans ce scandale soulève des questions sur la transparence et l’équité dans le processus d’attribution des parcelles. Les autorités compétentes devront mener une enquête approfondie pour déterminer les responsabilités et prendre les mesures nécessaires pour remédier à la situation.

Cette affaire met en lumière les défis persistants liés à la gestion foncière au Sénégal et souligne l’importance de garantir la légalité et la transparence dans toutes les transactions immobilières. Il est essentiel que les processus d’attribution de parcelles soient conformes aux lois et réglementations en vigueur, afin de prévenir les abus et d’assurer l’égalité des chances pour tous les citoyens.

Constructions illégales au Sénégal : Examiner chaque cas individuellement

La récente mise en place d’un Comité Ad Hoc chargé d’examiner les dossiers de constructions susceptibles de bénéficier d’une dérogation aux mesures de suspension des procédures domaniales et foncières souligne la volonté des autorités de concilier la rigueur de l’application des règles avec la protection des droits légitimes des particuliers.

Cette approche marque un tournant significatif dans la gestion des constructions illégales, en permettant un examen minutieux de chaque cas, tenant compte des circonstances spécifiques, plutôt que d’appliquer une décision uniforme à toutes les situations. En adoptant cette approche individualisée, les autorités s’efforcent de garantir une justice équitable pour tous les concernés.

La transparence du processus est renforcée par le fait que tous les actes administratifs en cours d’approbation seront automatiquement soumis au Comité Ad Hoc. Cette mesure rassure les parties prenantes quant à l’équité et à l’impartialité de l’examen de leurs dossiers.

Par ailleurs, il est important de noter que les instructions concernant les dossiers domaniaux dans les autres localités et zones non couvertes par la suspension des procédures continueront d’être traitées conformément aux textes et procédures en vigueur. Cette approche vise à assurer une cohérence et une stabilité dans la gestion foncière à travers le pays.

En somme, cette nouvelle approche représente un compromis sage entre la nécessité de réglementer le secteur foncier et la protection des droits des individus. Elle témoigne de la volonté des autorités de trouver des solutions équilibrées et justes pour résoudre les défis liés aux constructions illégales tout en respectant les droits légitimes des citoyens.

Retour de Jean Baptiste Diouf : les socialistes dans tous leurs états

Le retour du maire de Grand-Dakar, Jean Baptiste Diouf, semble avoir suscité des réactions mitigées au sein du Parti socialiste (PS), selon les informations rapportées par Les Échos. En effet, le quotidien indique que ce retour est loin de faire l’unanimité parmi les responsables du parti, certains exprimant même une colère palpable.

La source souligne que certains responsables du PS seraient particulièrement mécontents du retour de Jean Baptiste Diouf, estimant qu’il peut partir et revenir comme bon lui semble, sans subir les conséquences de ses actions.

Cette réaction peut s’expliquer par divers facteurs, notamment des divergences politiques ou des tensions internes au sein du parti. Cependant, il est également possible que ce retour soit perçu comme un ballon de sonde en vue de possibles retrouvailles avec d’autres figures politiques telles que Khalifa Sall et ses partisans.

Dans tous les cas, le retour de Jean Baptiste Diouf semble agiter les eaux au sein du PS et suscite des interrogations quant à ses motivations et à ses intentions politiques à l’avenir.

Conseil municipal de Dakar : un ancien ministre retrouve son siège

Le Conseil municipal de la Ville de Dakar s’est réuni vendredi dernier, et parmi les participants, l’ancien ministre de l’Environnement, du Développement durable et de la Transition écologique, ainsi que maire de Dakar Plateau, Alioune Ndiaye, était présent. Son retour a été remarqué après une absence prolongée lors des réunions précédentes du Conseil.

Selon les informations rapportées par Les Échos, Alioune Ndiaye avait manqué plusieurs réunions du Conseil municipal avant sa réapparition lors de la réunion de vendredi. Sa présence a été notée et soulignée par le quotidien d’information.

L’article mentionne également un moment particulier lors de la réunion, où un échange d’embrassades a eu lieu entre le député du Pastef, Abass Fall, et certains membres de l’équipe du maire de Dakar, Barthelemy Dias, qui est également membre de Taxawu Sénégal. Cette séquence d’accueil chaleureux a été qualifiée d’inattendue et a suscité l’intérêt des observateurs présents lors de la réunion du Conseil municipal.

La réunion a sans aucun doute été marquée par ces moments de retrouvailles et de convivialité, témoignant des dynamiques politiques et sociales qui animent la scène municipale à Dakar.

Le FMI en discussion à Dakar pour réévaluer les accords financiers suite aux élections

Une délégation du Fonds monétaire international (FMI) est actuellement à Dakar depuis vendredi dernier pour réévaluer les accords financiers conclus en juin dernier. Ces discussions surviennent dans un contexte post-électoral où de nouvelles orientations pourraient émerger, influençant les engagements pris précédemment par le Sénégal, notamment en ce qui concerne la réduction des subventions.

Les nouvelles autorités sénégalaises se trouvent confrontées à une situation délicate, alors qu’elles doivent jongler entre les impératifs économiques actuels et les termes des accords conclus avec le FMI. En effet, ces accords, notamment le Mécanisme élargi de crédit, la Facilité élargie de crédit et la Facilité pour la résilience et la durabilité, imposent des obligations qui pourraient nécessiter une révision à la lumière des récents développements politiques.

L’objectif de ces discussions est de trouver un équilibre entre les besoins économiques urgents du pays et les termes des accords avec le FMI, tout en explorant des alternatives financières qui ne contribueraient pas à accroître davantage la dette nationale. Cette réévaluation intervient alors que le gouvernement sénégalais cherche à assurer une gestion financière responsable tout en répondant aux demandes pressantes de la population en matière de développement et de bien-être économique.

Pastef : dans les coulisses d’une réunion secrète

Samedi dernier, une réunion secrète du parti Pastef a réuni plusieurs membres influents, dont le Bureau politique, les députés, les élus locaux, les coordonnateurs départementaux, les commissariats du Mouvement national des cadres patriotes (MNCP) et la haute autorité de régulation de la formation politique. La rencontre, présidée par Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko, était la première du genre depuis la victoire du parti à l’élection présidentielle du 24 mars dernier.

Selon les informations rapportées par Source A, plusieurs sujets ont été abordés lors de cette réunion. Tout d’abord, il a été question du financement des activités et des projets du parti, notamment la construction d’un siège. De plus, des discussions ont eu lieu concernant les nominations dans les postes de direction et la restructuration du Pastef.

Une proposition majeure émanant du Premier ministre Ousmane Sonko a retenu l’attention des responsables du parti : celle de nommer le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye, au poste de Président d’honneur du Pastef. Faye avait déjà démissionné de son poste de Secrétaire général conformément aux règles internes du parti après avoir prêté serment en tant que cinquième président de la République du Sénégal le 2 avril dernier.

Par ailleurs, les nominations aux postes de responsabilités ont été discutées avec attention. Ousmane Sonko a souligné l’importance de ces choix et a insisté sur le fait qu’ils se feraient avec rigueur, sans complaisance. Il a également mis l’accent sur la nécessité de former les militants, notamment en matière de communication, afin de maintenir le lien avec le peuple et les membres du parti.

Bassirou Diomaye Faye a également pris la parole pour souligner l’importance de la contribution financière des membres nommés aux postes de responsabilité. Il a insisté sur le fait qu’ils devaient participer à l’effort de guerre en mobilisant des ressources financières pour la construction du siège du parti et le financement de ses activités.

Enfin, la possibilité d’organiser un Congrès pour lancer le processus de restructuration du Pastef a été évoquée. Cependant, Ousmane Sonko a exprimé son souhait que ce Congrès se déroule sans la présence des transfuges avant et après la victoire du 24 mars 2024.

Cette réunion a ainsi permis de définir les orientations stratégiques du Pastef dans les prochains mois, dans un contexte politique marqué par la consolidation de sa position en tant que parti au pouvoir.

La Foire Internationale de l’Agriculture au Sénégal introduit des innovations et un salon international en Mai 2024

La 24ème édition de la Foire internationale de l’agriculture et des ressources animales (Fiara) se tiendra du 4 au 26 mai 2024 au Centre International du Commerce Extérieur du Sénégal (Cices). Cette année, l’événement sera marqué par plusieurs innovations, dont la création d’un Salon international de l’agriculture et des ressources animales (Siara) du 14 au 18 mai.

Lors d’une conférence de presse, le directeur général de la Fiara, Pape Abdou Fall, a dévoilé les principaux axes de cette édition, mettant en avant le thème « le défi de la Souveraineté Alimentaire face au changement climatique ». Ce choix vise à susciter des discussions constructives sur le rôle crucial des producteurs dans le développement rural, ainsi que sur les solutions à apporter pour faire face aux défis environnementaux.

L’introduction du Siara constitue une réponse à une demande croissante des participants occidentaux, qui avaient auparavant exprimé des réserves concernant la longueur de l’événement. En concentrant les activités sur une période plus courte, ce salon international permettra des échanges plus dynamiques et efficaces, favorisant notamment la conclusion rapide de contrats et partenariats.

Cette nouvelle formule de la Fiara s’inscrit dans une volonté d’adaptation aux besoins et aux attentes des acteurs du secteur agricole, tout en renforçant son attractivité à l’échelle nationale et internationale. Elle offre également une plateforme propice au partage d’expériences, à la promotion des innovations agricoles et à la recherche de solutions concrètes pour relever les défis alimentaires et environnementaux auxquels fait face le Sénégal et l’Afrique dans son ensemble.

Play-offs NBA : LeBron James, éliminé, reste flou sur son avenir à 39 ans

La superstar du basketball, LeBron James, 39 ans, a été éliminée des play-offs NBA au premier tour avec les Los Angeles Lakers, suscitant des interrogations sur son avenir dans la ligue.

Après la défaite face aux Denver Nuggets, James a rendu hommage à ses adversaires, saluant leur performance et leur cohésion en tant qu’équipe. Cependant, en ce qui concerne son propre avenir, le joueur emblématique reste prudent et ne donne pas de réponses claires.

Alors qu’il pourrait activer une année de contrat supplémentaire avec les Lakers ou devenir agent libre, James préfère se concentrer sur sa famille pour le moment. Il évoque également son implication avec l’équipe olympique américaine en vue des Jeux de Paris, mettant en avant ses priorités à court terme.

Concernant la possibilité de jouer avec son fils Bronny James Jr., qui sera inscrit à la draft du mois de juin, James reste évasif, déclarant que son fils prendra ses propres décisions quant à sa carrière.

LeBron James laisse ainsi planer le doute sur son avenir avec les Lakers, refusant de confirmer ou de nier la possibilité qu’il ait disputé son dernier match avec l’équipe. Son avenir dans la NBA reste donc incertain, et les fans devront attendre pour connaître la décision finale de la superstar du basketball.

Serigne Dia Bombardier affronte Franc à l’Arène nationale le 1er mai pour un duel décisif

Un affrontement épique se prépare à l’Arène nationale de Dakar le 1er mai, alors que Serigne Dia, également connu sous le nom de Bombardier, se prépare à affronter Franc, le jeune prodige des Parcelles Assainies, dans un combat très attendu. Organisé par Jambars Production, cet événement marque une rencontre décisive entre l’ancienne génération de lutteurs représentée par Bombardier et la nouvelle vague incarnée par Franc.

Bombardier, originaire de Mbour, fait son retour sur le ring après une série de défaites qui ont semé le doute sur son avenir dans le monde de la lutte sénégalaise. Malgré les rumeurs de retraite, le lutteur expérimenté est déterminé à prouver qu’il reste un adversaire redoutable, prêt à défier la jeunesse montante.

En face de lui se dresse Franc, un jeune lutteur des Parcelles Assainies qui fait sensation depuis ses débuts dans l’arène. Avec douze victoires consécutives à son actif, Franc représente l’avenir de la lutte sénégalaise et cherche à asseoir sa domination en battant un adversaire de renom comme Bombardier. Confiant en ses capacités, Franc a même promis de mettre fin au combat en seulement 20 secondes, démontrant ainsi sa détermination à remporter la victoire.

Ce duel entre Bombardier et Franc est plus qu’un simple affrontement sportif. Il symbolise également un passage de flambeau entre l’ancienne garde et la nouvelle génération de lutteurs. Les amateurs de lutte sénégalaise attendent avec impatience de voir qui sortira victorieux de ce combat historique, qui promet d’être intense et spectaculaire.

Le Ministre de la Santé, Dr Ibrahima Sy, participe aux négociations pour les amendements au Règlement Sanitaire International

Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale, Dr Ibrahima Sy, a activement participé à la réunion consultative ministérielle de haut niveau pour les négociations entre le Groupe de Travail sur les Amendements au Règlement Sanitaire International (RSI) et l’Organe Intergouvernemental de Négociations. Cette réunion cruciale s’est tenue le 27 Avril 2024 à Addis-Abeba, en Ethiopie.

L’objectif de cette réunion était d’engager des discussions stratégiques et politiques pour parvenir à des amendements significatifs au Règlement Sanitaire International, un instrument essentiel pour la gestion des pandémies et des crises sanitaires mondiales. Le Ministre Sy a représenté le Sénégal et a apporté sa contribution à ces discussions vitales pour la santé publique mondiale.

CDC Afrique, l’agence régionale de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Afrique, a également exprimé son engagement à soutenir la coordination stratégique et politique des dirigeants de l’Union Africaine dans ces négociations cruciales. Par le biais de ses missions diplomatiques, CDC Afrique s’engage à promouvoir les intérêts collectifs de l’Afrique et à veiller à ce que les amendements au RSI reflètent les besoins et les réalités de la région africaine.

La participation active du Ministre Sy et l’engagement de CDC Afrique témoignent de la détermination du Sénégal et de la communauté internationale à renforcer les capacités de réponse aux crises sanitaires mondiales. Alors que le monde continue de faire face à des défis sans précédent en matière de santé publique, ces négociations revêtent une importance capitale pour garantir la sécurité sanitaire et le bien-être de tous les citoyens du monde.

En travaillant ensemble à travers ces forums internationaux, le Sénégal et les autres pays africains peuvent contribuer de manière significative à façonner un avenir où la santé est une priorité mondiale et où la solidarité internationale est renforcée pour faire face aux défis de santé publique.

Consultations publiques au Sénégal pour une loi sur les données de santé

Le Sénégal fait un pas significatif vers la protection des données de santé avec l’organisation de consultations publiques pour l’élaboration d’une loi régulant ces informations sensibles. L’initiative, menée conjointement par Enda Santé et Transform Health Sénégal, vise à recueillir des avis et des contributions pour renforcer le cadre juridique entourant la gestion des données personnelles de santé.

Lancées le 7 avril dernier, ces consultations marquent une étape importante dans la volonté du Sénégal de s’adapter aux défis posés par la numérisation croissante du secteur de la santé. Pape Djibril Ndoye, directeur adjoint chez Enda Santé, a souligné l’absence actuelle d’une loi nationale régissant les données sanitaires comme un obstacle à surmonter. Cependant, il a également souligné les efforts déployés pour combler cette lacune et créer un cadre réglementaire robuste.

La proposition de loi sur les données de santé vise à établir des normes claires pour la collecte, le stockage, le traitement et la protection des données de santé des citoyens sénégalais. Cette démarche reflète l’engagement du gouvernement sénégalais à assurer la confidentialité et la sécurité des informations médicales des individus, tout en facilitant leur utilisation à des fins médicales et de recherche.

Nnenna Nwakanma, assistante technique chez Transform Health pour les pays africains, a souligné l’importance de cette loi non seulement pour le Sénégal, mais aussi pour d’autres pays où la santé est une priorité. Elle a encouragé les pays intéressés à s’inspirer de cette initiative pour élaborer leurs propres lois sur la protection des données de santé.

Les consultations publiques offrent une plateforme d’échange ouverte à toutes les parties prenantes, y compris les professionnels de la santé, les experts juridiques, les représentants de la société civile et les citoyens. Cette approche inclusive permettra de garantir que la future loi reflète les besoins et les réalités du Sénégal en matière de gestion des données de santé.

En fin de compte, cette initiative témoigne de l’engagement du Sénégal à promouvoir la transparence, la protection des données personnelles et le respect des droits des individus dans le domaine de la santé numérique.

GTA : Sénégal et Mauritanie demandent un audit sur les dépenses du projet gazier

Les gouvernements du Sénégal et de la Mauritanie ont conjointement lancé un audit du projet gazier Grande Tortue Ahmeyim (GTA) afin d’élucider un surcoût inexplicable sur les dépenses engagées pour la mise en place de la plateforme. Cette décision fait suite à la découverte de dépenses excessives de la part de la compagnie BP, chargée de la gestion du gaz.

Hamada Bacar, chargé de communication au Comité national mauritanien de l’Initiative pour la transparence des industries extractives (ITIE), a confirmé cette démarche lors d’une cérémonie de dissémination du rapport 2022 de l’ITIE. Selon M. Bacar, les deux pays ont identifié des anomalies financières du côté de BP, justifiant ainsi la nécessité d’un audit approfondi.

Cette initiative intervient dans le cadre des efforts visant à assurer la transparence et la responsabilité dans la gestion des ressources naturelles, en particulier dans le secteur gazier. L’objectif de l’audit est de clarifier les dépenses engagées par la compagnie BP et d’évaluer si ces dépenses sont justifiées et conformes aux accords contractuels.

La collaboration entre le Sénégal et la Mauritanie dans ce processus démontre leur engagement commun à garantir une gestion responsable des ressources gazières partagées. Les résultats de cet audit fourniront des informations cruciales pour éclairer les décisions futures concernant le projet GTA et contribueront à renforcer la confiance des parties prenantes dans la gestion des ressources gazières de la région.

Louga : Confrontation violente lors d’une perquisition chez un dealer, les policiers séquestrés et dépouillés de la drogue saisie

Une opération de routine de la brigade régionale de l’Office central de répression du trafic illicite de stupéfiants (OCRTIS) à Louga a tourné à l’affrontement avec des villageois, mettant en lumière les dangers auxquels sont confrontées les forces de l’ordre dans la lutte contre le trafic de drogue.

L’incident a débuté avec la traque d’un trafiquant de chanvre indien suspecté d’approvisionner des clients à Louga depuis le village de Thiégne, dans la région de Thiès. Suite à l’arrestation du suspect, identifié comme C. A. A, des informations ont été obtenues sur son fournisseur, M. Thégne, également résident à Thiégne.

Dans le cadre d’une opération planifiée, C. A. A a collaboré avec les enquêteurs pour tendre un piège à M. Thégne en passant une nouvelle commande de drogue. Lors de la perquisition chez M. Thégne, les policiers ont découvert de la drogue cachée, déclenchant une réaction violente de la part des villageois qui ont encerclé les policiers.

Dans l’affrontement qui a suivi, trois policiers ont été blessés et dépouillés de la drogue saisie, tandis que leur véhicule et d’autres biens ont été endommagés ou volés par la foule. Les villageois ont également retenu trois policiers pendant deux heures sous un arbre.

Malgré les risques, les policiers ont choisi de ne pas utiliser la force pour éviter une escalade de violence, et ont été secourus par l’intervention de la gendarmerie locale. Le dealer M. Thégne a été arrêté et placé en garde à vue, ainsi que C. A. A. L’incident souligne les défis auxquels sont confrontées les forces de l’ordre dans la lutte contre le trafic de drogue, et met en évidence la nécessité de mesures renforcées pour assurer la sécurité des agents et poursuivre les trafiquants de drogue.

Bassirou Diomaye Diakhar Faye intensifie la lutte contre les accidents routiers à Yamong, Sénégal

L’Association nationale de la presse sportive du Sénégal (ANPS) a exprimé une vive réprobation suite à l’attaque survenue contre un journaliste de Wiwsport lors du match de football entre l’As Pikine et le Jaraaf, le dimanche 28 avril 2024. L’incident s’est produit au stade Alassane Djigo, immédiatement condamné par l’ANPS comme un acte ‘barbare’ perpétré par des pseudo-supporters.

L’ANPS a souligné que ce n’était pas une première, mentionnant d’autres agressions similaires dans le passé. Dans un communiqué envoyé aux médias, l’association a sollicité l’intervention de la Fédération sénégalaise de football et de la Ligue sénégalaise de football professionnel, leurs demandant d’assurer la sécurité des journalistes et de mettre en œuvre des mesures pour prévenir de telles violences à l’avenir.

Cette attaque contre le journaliste de Wiwsport soulève de sérieuses préoccupations quant à la sécurité des professionnels des médias lors des événements sportifs. L’ANPS a rappelé que les journalistes sportifs jouent un rôle essentiel dans la couverture des événements sportifs et dans la diffusion d’informations auprès du public. Par conséquent, il est impératif de garantir un environnement sûr et respectueux pour leur permettre d’exercer leur profession en toute sécurité.

L’association a également souligné l’importance de la responsabilité des autorités sportives dans la protection des journalistes. En appelant à l’intervention de la Fédération sénégalaise de football et de la Ligue sénégalaise de football professionnel, l’ANPS demande des mesures concrètes pour assurer la sécurité des journalistes lors des matchs de football et d’autres événements sportifs à l’avenir.

En fin de compte, cette attaque souligne la nécessité d’une action immédiate pour mettre un terme à la violence contre les journalistes sportifs et pour garantir leur sécurité dans l’exercice de leurs fonctions. L’ANPS continuera de surveiller de près la situation et de plaider en faveur de mesures visant à assurer la sécurité et le bien-être de tous les membres de la presse sportive au Sénégal.

Macky Sall lance l’opération de remobilisation de l’APR

Dans une démarche visant à raviver l’engagement et la détermination de son parti politique, l’Alliance pour la République (APR), l’ancien Président du Sénégal, Macky Sall, lance une opération de remobilisation. Malgré son absence du pays, Macky Sall demeure déterminé à maintenir la vitalité de l’APR, même après la perte du pouvoir, rapporte le quotidien L’AS dans son édition de ce mardi.

Pour ce faire, une délégation de haut niveau de l’APR se rendra, dès samedi prochain, dans les régions de Kolda, Kaffrine et Tamba. L’objectif principal de cette mission sera de remobiliser les militants, de leur exprimer la reconnaissance du parti pour leur engagement passé, et de les préparer aux défis à venir.

L’AS souligne que cette initiative revêt une importance particulière, alors que l’APR traverse une période de transition et de réajustement après avoir perdu le pouvoir. Macky Sall, en envoyant ses émissaires dans ces régions clés, souhaite adresser un message clair : l’APR reste un acteur politique majeur dans le paysage sénégalais et continuera à jouer un rôle significatif dans le futur politique du pays.

La délégation de Macky Sall sera également présente au Daaka de Médina Gounass, où elle aura l’occasion de transmettre le message de l’ancien chef de l’État au khalife, renforçant ainsi les liens entre l’APR et les autorités religieuses de la région.

Cette opération de remobilisation témoigne de la détermination de Macky Sall à maintenir l’unité et la cohésion au sein de l’APR, tout en préparant le terrain pour les futures batailles politiques à venir.

L’ANPS dénonce fermement l’agression d’un journaliste sportif à Dakar

L’Association nationale de la presse sportive du Sénégal (ANPS) a exprimé une vive réprobation suite à l’attaque survenue contre un journaliste de Wiwsport lors du match de football entre l’As Pikine et le Jaraaf, le dimanche 28 avril 2024. L’incident s’est produit au stade Alassane Djigo, immédiatement condamné par l’ANPS comme un acte ‘barbare’ perpétré par des pseudo-supporters.

L’ANPS a souligné que ce n’était pas une première, mentionnant d’autres agressions similaires dans le passé. Dans un communiqué envoyé aux médias, l’association a sollicité l’intervention de la Fédération sénégalaise de football et de la Ligue sénégalaise de football professionnel, leurs demandant d’assurer la sécurité des journalistes et de mettre en œuvre des mesures pour prévenir de telles violences à l’avenir.

Cette attaque contre le journaliste de Wiwsport soulève de sérieuses préoccupations quant à la sécurité des professionnels des médias lors des événements sportifs. L’ANPS a rappelé que les journalistes sportifs jouent un rôle essentiel dans la couverture des événements sportifs et dans la diffusion d’informations auprès du public. Par conséquent, il est impératif de garantir un environnement sûr et respectueux pour leur permettre d’exercer leur profession en toute sécurité.

L’association a également souligné l’importance de la responsabilité des autorités sportives dans la protection des journalistes. En appelant à l’intervention de la Fédération sénégalaise de football et de la Ligue sénégalaise de football professionnel, l’ANPS demande des mesures concrètes pour assurer la sécurité des journalistes lors des matchs de football et d’autres événements sportifs à l’avenir.

En fin de compte, cette attaque souligne la nécessité d’une action immédiate pour mettre un terme à la violence contre les journalistes sportifs et pour garantir leur sécurité dans l’exercice de leurs fonctions. L’ANPS continuera de surveiller de près la situation et de plaider en faveur de mesures visant à assurer la sécurité et le bien-être de tous les membres de la presse sportive au Sénégal.

Des rescapés d’une pirogue de migrants secourus au large d’El Hierro

Ce lundi, des rescapés d’une pirogue de migrants ont été secourus au large d’El Hierro, une des îles des Canaries, après que leur embarcation a chaviré il y a deux jours. L’opération de sauvetage a été menée par un hélicoptère du Salvamento Marítimo, et les survivants ont été pris en charge par le personnel médical et la Croix-Rouge à l’aéroport d’El Hierro.

Selon les informations recueillies, la pirogue transportait environ soixante personnes originaires d’Afrique subsaharienne lorsqu’elle a chaviré. Les rescapés ont raconté aux secouristes qu’ils avaient quitté les côtes sénégalaises il y a environ dix à douze jours dans l’espoir d’atteindre les îles Canaries. Après deux jours à la dérive, ils ont été secourus alors qu’ils étaient les seuls à avoir réussi à retourner à l’embarcation partiellement submergée.

Les autorités n’ont pas encore révélé la nationalité des rescapés, ni le nombre exact de personnes présentes à bord de la pirogue au moment du naufrage. Cependant, cette tragédie rappelle une série d’incidents similaires qui ont récemment frappé la région, notamment le cas d’un autre bateau dérivant jusqu’au Brésil avec neuf cadavres à bord, venant de la Mauritanie.

La crise migratoire continue de faire des ravages en Méditerranée et dans l’Atlantique, mettant en lumière les risques extrêmes auxquels sont confrontés les migrants en quête d’une vie meilleure. Alors que les rescapés reçoivent des soins médicaux et une assistance humanitaire, cette nouvelle tragédie souligne l’urgence de trouver des solutions durables pour prévenir de telles pertes de vies humaines en mer.

Progrès remarquables des élèves de l’Académie de Kédougou aux examens du CFEE et du BFEM en 2023

L’année 2023 a été marquée par d’importants progrès dans les résultats des examens du Certificat de fin d’études élémentaires (CFEE) et du Brevet de fin d’études moyennes (BFEM) au sein de l’Académie de Kédougou, avec des taux de réussite impressionnants. Selon les données fournies par l’Inspecteur Mamadou Niang, le CFEE a enregistré un taux de réussite de 81,41%, tandis que le BFEM a atteint un taux remarquable de 93,25%.

Mamadou Niang, Inspecteur d’Académie de Kédougou, s’est exprimé lors de la revue annuelle de l’éducation, soulignant la satisfaction des performances scolaires de l’année écoulée. Il a noté avec fierté que l’Académie de Kédougou s’est classée première au niveau national pour le BFEM et quatrième pour le CFEE.

Cependant, malgré ces réussites, des défis subsistent, notamment en ce qui concerne le taux de réussite au baccalauréat, qui se situe à 41,06% dans la région. L’objectif est de dépasser la barre des 50%, ce qui nécessitera des efforts supplémentaires de la part de l’académie.

Mamadou Niang a également mis en lumière les défis auxquels sont confrontés certains établissements scolaires en raison du déficit d’enseignants et des problèmes liés à la formation initiale des enseignants. Il a exprimé sa confiance dans la résolution de ces problèmes, soulignant ses échanges avec le ministre de l’Éducation à ce sujet.

Par ailleurs, l’inspecteur a souligné la question préoccupante de l’état civil de nombreux enfants, avec plus de 1034 cas recensés dans l’académie. Il a appelé les parents à déclarer automatiquement leurs enfants à la naissance, soulignant les facilités mises en place par l’État pour cette procédure.

Pour assurer le bon déroulement des examens scolaires en 2024, l’adjoint au gouverneur chargé des Affaires administratives, Georges Samba Faye, a annoncé une série de mesures, notamment la sécurisation des centres d’examens par les forces de sécurité et la désinfection des salles de classe par le service d’hygiène.

En somme, malgré les défis persistants, l’Académie de Kédougou fait preuve d’une détermination et d’un engagement remarquables pour garantir la réussite éducative de ses élèves, tout en travaillant à résoudre les problèmes structurels qui entravent leur apprentissage et leur développement.

Installation du Bureau du Conseil Local de Pêche Artisanale de Podor

Ce lundi, une étape cruciale a été franchie dans le domaine de la pêche artisanale à Podor, avec l’installation officielle du bureau du Conseil local de la pêche artisanale. Sous la direction de l’adjoint au Préfet de Podor, Ousmane Sidibé, cette cérémonie a marqué le début d’un nouveau chapitre dans la gestion et la régulation des activités de pêche dans la région.

Ibrahima Maal a été élu pour diriger le Conseil local de pêche artisanale pour un mandat de deux ans, suite à une élection démocratique impliquant des délégués venus de différentes communes. Cette structure vise à rassembler tous les acteurs de la filière de la pêche continentale dans le but de redynamiser et de mieux gérer les ressources halieutiques de la région.

Ndèye Mbeugué Gaye Fall, cheffe de la division Régénération à la Direction de la Pêche continentale, a souligné l’importance de ce changement majeur dans le contexte actuel marqué par le changement climatique et ses effets sur les ressources halieutiques. Elle a rappelé que les textes régissant les Conseils de pêche datent de 1963, une époque où la pêche générait beaucoup plus de production qu’aujourd’hui.

La mise en place du Conseil local de pêche artisanale marque une évolution significative, car elle implique désormais tous les acteurs de la chaîne de valeur de la pêche, depuis les pêcheurs jusqu’aux transformateurs et aux mareyeurs. Cette approche inclusive vise à garantir une gestion durable des ressources halieutiques et à favoriser le développement socio-économique de la région.

La présence du chef du service départemental de Pêche, Serge Emile Ntap, lors de cette cérémonie témoigne de l’engagement des autorités locales envers le développement durable du secteur de la pêche artisanale à Podor. Avec la participation de tous les corps de métiers, le Conseil local de pêche artisanale s’engage à travailler de manière collaborative pour assurer un avenir prospère pour la pêche dans la région.

Touba : Achèvement des Travaux de Raccordement du Poste Touba 2

La Société nationale d’électricité du Sénégal (SENELEC) a annoncé la conclusion réussie des travaux de raccordement de la nouvelle ligne à très haute tension (225 KV) reliant l’ancien poste électrique de Touba 1 au nouveau poste Touba 2. L’achèvement de ces travaux, réalisé dimanche, marque une étape importante dans le renforcement et la modernisation du réseau électrique de la région.

Abdou Khadre Ndiaye, coordinateur des travaux, a exprimé sa satisfaction quant au déroulement sans heurts de cette opération. Il a souligné que les équipes ont travaillé avec efficacité pour assurer l’interconnexion réussie de la haute tension entre les deux postes, tout en effectuant la maintenance nécessaire du poste Touba 1 pour garantir la disponibilité de l’électricité pendant le Magal de Touba.

La mise en service finale de la nouvelle ligne à haute tension est prévue d’ici la fin du mois de juin, offrant ainsi une alimentation électrique stable et fiable à la région de Touba-Mbacké. Pendant le week-end, certaines localités ont été temporairement privées d’électricité en raison des travaux de raccordement, mais cette interruption était nécessaire pour finaliser la construction de la nouvelle ligne et du poste Touba 2, équipé d’une capacité de 2×40 MVA.

Ces travaux s’inscrivent dans le cadre du projet « Boucle du Ferlo », visant à moderniser et à développer le réseau de transport et de distribution d’électricité dans le nord du Sénégal. Avec un coût estimé à près de 106 millions d’euros (environ 70 milliards de FCFA), ce projet comprend la construction d’une nouvelle ligne électrique de près de 280 kilomètres, reliant les villes de Touba à Ndioum, dans le département de Podor.

Outre la construction de la ligne électrique, le projet comprend également la création de trois postes de transformation, l’extension d’un poste existant, ainsi que des améliorations dans les équipements de distribution et de maintenance. Ces initiatives contribueront à renforcer l’infrastructure électrique régionale, à assurer un approvisionnement plus fiable en électricité et à soutenir le développement économique et social de la région de Touba-Mbacké et de ses environs.

Accident Mortel au Rond-Point EMG : Un Bus Renversé Fait un Mort et Plusieurs Blessés

Ce lundi, une journée qui aurait dû être ordinaire s’est transformée en tragédie au rond-point EMG, avec le renversement d’un bus de marque « Tata ». Aux alentours de 13 heures, un incident brutal a secoué la tranquillité de la circulation routière, laissant dans son sillage une perte tragique et des blessures pour plusieurs autres.

Les détails précis de l’accident demeurent encore flous, mais les premiers rapports suggèrent que le bus a subi une perte de contrôle avant de se renverser, entraînant ainsi ce triste événement. Les enquêtes sont en cours pour élucider les circonstances exactes qui ont conduit à cette tragédie, que ce soit une défaillance mécanique, une erreur humaine ou d’autres facteurs encore inconnus.

Dans l’urgence de la situation, les secours se sont mobilisés rapidement, avec l’intervention des sapeurs-pompiers pour porter assistance aux victimes. Vingt-quatre blessés ont été évacués vers les établissements de santé locaux pour recevoir les soins nécessaires, tandis qu’une âme a été malheureusement perdue dans cet accident.

Cet événement tragique rappelle de manière poignante les risques inhérents à la circulation routière et souligne l’importance cruciale de la sécurité sur nos routes. Alors que nous pleurons la perte d’une vie et prions pour le rétablissement des blessés, il est essentiel que chacun redouble de vigilance et que les autorités intensifient leurs efforts pour prévenir de tels incidents à l’avenir.

En cette période de deuil et de réflexion, nous exprimons notre solidarité envers les familles des victimes et adressons nos pensées aux blessés dans l’espoir d’un prompt rétablissement. Puissions-nous tous tirer des leçons de cette tragédie et travailler ensemble pour faire de nos routes un endroit plus sûr pour tous.

Rencontre du Ministre de la Santé avec les Badjenu Gox et les Acteurs Communautaires : Renforcement de la Santé Communautaire

Le Ministre de la Santé, Dr Ibrahima Sy, poursuit ses efforts pour améliorer le secteur de la santé au Sénégal en rencontrant les Badjenu Gox et les Acteurs Communautaires. Ces rencontres s’inscrivent dans le cadre d’une série d’activités visant à renforcer la santé communautaire et à mieux répondre aux besoins de santé des populations, en particulier dans les zones rurales et reculées.

Les Badjenu Gox, souvent appelés « relais communautaires », sont des membres de la communauté formés pour fournir des services de santé de base et des informations aux populations locales. Leur rôle est crucial dans la sensibilisation aux pratiques de santé préventive, la promotion des services de santé maternelle et infantile, ainsi que dans la lutte contre les maladies endémiques telles que le paludisme et la diarrhée.

Les Acteurs Communautaires, quant à eux, sont des représentants de la société civile et des organisations locales qui collaborent avec les autorités sanitaires pour identifier les besoins de la communauté et mettre en œuvre des initiatives de santé publique au niveau local. Leur implication est essentielle pour garantir que les programmes de santé répondent aux besoins spécifiques de chaque communauté.

Lors de ces rencontres, les Badjenu Gox et les Acteurs Communautaires ont eu l’occasion de partager leurs expériences, leurs défis et leurs suggestions pour améliorer la prestation des services de santé au niveau local. Le Ministre de la Santé a exprimé sa reconnaissance pour leur travail et a souligné l’importance de renforcer la collaboration entre le gouvernement et la société civile pour relever les défis en matière de santé publique.

Ces échanges témoignent de l’engagement du gouvernement sénégalais à impliquer activement les acteurs communautaires dans la planification, la mise en œuvre et le suivi des politiques de santé. En travaillant ensemble, le secteur de la santé peut progresser vers une prestation de services plus inclusive et accessible à tous les citoyens.

Le Ministre de la Santé a réaffirmé son engagement à soutenir les Badjenu Gox et les Acteurs Communautaires dans leurs efforts pour améliorer la santé des populations locales. Ces rencontres marquent une étape importante dans la consolidation de la santé communautaire au Sénégal et dans la réalisation des objectifs de développement durable en matière de santé pour tous.

Des Lycéens de Richard-Toll Formés à la Lutte Contre la Corruption et les Flux Financiers Illicites

Dans un effort pour promouvoir l’éducation citoyenne et la sensibilisation à la lutte contre la corruption, des lycéens de la ville de Richard-Toll, dans le nord du Sénégal, ont récemment participé à une série d’ateliers de formation. Organisée dans le cadre de la Conférence départementale sur l’éducation citoyenne par le Forum civil en collaboration avec le club d’intégrité et à la citoyenneté active (CICA) de Richard-Toll, cette initiative vise à doter les jeunes d’outils et de connaissances pour devenir des acteurs du changement dans leur communauté.

Pendant ces ateliers, les lycéens ont eu l’opportunité d’approfondir leur compréhension des enjeux liés à la mobilisation des ressources et à la lutte contre les flux financiers illicites. Sous la supervision de spécialistes en gouvernance fiscale et en lutte contre la corruption, les participants ont discuté de l’importance de la transparence, de l’intégrité et de la responsabilité dans la gestion des finances publiques.

Le coordinateur général du Forum civil, Birahim Seck, a souligné l’engagement de son organisation à impliquer les jeunes dans la promotion de la bonne gouvernance et de la citoyenneté active. Il a noté que cette formation s’inscrit dans une série d’initiatives similaires menées dans différentes régions du Sénégal, démontrant ainsi la volonté de toucher un large éventail de jeunes à travers le pays.

L’objectif principal de ces ateliers est de donner aux lycéens les compétences et les connaissances nécessaires pour devenir des agents de changement dans leur communauté. En les encourageant à partager ce qu’ils ont appris avec leurs pairs et dans d’autres établissements, les organisateurs espèrent créer un effet multiplicateur qui favorisera une culture de responsabilité et de transparence à tous les niveaux de la société.

Au-delà de la sensibilisation des lycéens, le Forum civil prévoit également des ateliers d’échanges avec les journalistes afin de mieux informer les populations vivant dans des zones reculées du pays. Cette approche holistique de sensibilisation témoigne de l’engagement continu du Sénégal dans la lutte contre la corruption et la promotion d’une gouvernance transparente et responsable.

La participation des lycéens de Richard-Toll à ces ateliers de formation représente un pas important vers la création d’une génération de jeunes citoyens conscients de leur rôle dans la construction d’un avenir meilleur pour le Sénégal. En investissant dans l’éducation citoyenne et en responsabilisant la jeunesse, le pays renforce ses fondements démocratiques et consolide sa lutte contre la corruption et les pratiques financières illicites.

Moudéry Déplore le Manque d’Infrastructures Routières : Appel aux Nouvelles Autorités

Au cœur de la région de Bakel, dans l’est du Sénégal, réside la commune de Moudéry, où les résidents se trouvent confrontés à un défi majeur : le manque criant d’infrastructures routières. Lors d’une cérémonie d’intronisation marquante du nouveau chef de village, Samba Moussa Ndiaye, le porte-parole de la communauté, Souaibou Ndiaye, a donné voix au sentiment partagé par de nombreux habitants : l’urgence de voir les nouvelles autorités du pays accorder une attention particulière à cette problématique.

La communauté de Moudéry, bien que dotée de certaines infrastructures essentielles telles que des écoles, une mairie, un centre de santé et des forages, a dû prendre en charge leur construction elle-même, grâce aux contributions de ses ressortissants résidant à l’étranger. Cependant, l’absence de routes adéquates reliant Moudéry à d’autres localités, notamment à Bondji et à Bakel, se révèle être un obstacle majeur au développement de la région.

Souaibou Ndiaye souligne avec justesse que la construction de routes dépasse les capacités financières de la communauté locale, mettant en exergue la nécessité d’une intervention gouvernementale. Il appelle ainsi les nouvelles autorités à considérer cet appel avec sérieux, reconnaissant l’impact significatif que des infrastructures routières adéquates pourraient avoir sur la vie quotidienne des habitants de Moudéry.

La présence du sous-préfet de Moudéry, Pape Dieng, et du maire, Diakoye Tounkara, lors de la cérémonie d’installation du nouveau chef de village témoigne de la volonté des autorités locales de répondre aux besoins de la communauté. Leur engagement à soutenir le nouveau chef de village dans ses efforts pour lutter contre le « grand banditisme » dans la région est louable, mais il est crucial que cet engagement s’étende également à la résolution des défis infrastructurels auxquels Moudéry est confrontée.

La situation à Moudéry reflète les défis auxquels sont confrontées de nombreuses communautés rurales à travers le Sénégal. L’accessibilité aux infrastructures routières est un élément essentiel du développement économique, social et humain, et son absence entrave le progrès des régions éloignées du pays.

Ainsi, l’appel de Moudéry résonne comme un appel à l’action, une invitation à investir dans l’avenir de ces communautés en leur fournissant les infrastructures de base dont elles ont désespérément besoin pour prospérer. En répondant à cet appel, les nouvelles autorités auront l’opportunité de démontrer leur engagement envers un développement inclusif et équitable pour toutes les régions du Sénégal.

La Journée Sargal : Un Hommage Vibrant et un Engagement Renouvelé

Hier, une journée mémorable et chargée d’émotions a illuminé le paysage politique sénégalais avec la célébration de la journée « Sargal », un événement dédié à honorer Son Excellence M. Bassirou Diomaye Diakhar Faye et le Premier Ministre M. Ousmane Sonko, ainsi que les populations de Karang, du Niombato, du département de Foundiougne et de tout le Sénégal.

Cet événement, organisé avec succès, a été l’occasion de rendre un hommage appuyé à ces figures politiques éminentes, mais aussi de saluer l’engagement et le dévouement des populations locales et des responsables politiques du département de Foundiougne et de Karang.

Le Comité d’organisation, dirigé par M. Balla Dramé et son équipe, mérite une reconnaissance particulière pour avoir coordonné avec succès cet événement et pour avoir permis à chacun de vivre des moments chargés d’émotions et de solidarité.

Les commissions du protocole et de la communication, représentées par des personnalités telles que MM. Nouha Sané, Abdoulaye Sock, Samba Bâ, Balla Samoura, Lamine Diouf et Aliou Bâ, ont également joué un rôle essentiel dans la réussite de cette journée en assurant un déroulement fluide et une couverture médiatique adéquate.

Un moment de recueillement et de prières a été dédié aux disparus et aux blessés, soulignant ainsi l’importance de se souvenir de ceux qui ont contribué à notre cause et de soutenir ceux qui continuent à lutter pour elle.

La journée Sargal a également été l’occasion de reconnaître et de remercier les donateurs ainsi que certains individus pour leurs services rendus à la Coalition Diomaye Président. Leur soutien et leur engagement sont essentiels pour la poursuite de notre mission commune.

Enfin, cet événement a symbolisé l’unité et la détermination de la Coalition Diomaye Président à poursuivre son combat pour un Sénégal meilleur. Ensemble, nous marchons vers de nouveaux défis, conscients que notre travail ne fait que commencer.

La journée Sargal restera gravée dans nos mémoires comme un moment de solidarité, de reconnaissance et de renouvellement de notre engagement envers un avenir plus juste et prospère pour tous les Sénégalais.

Jean Baptiste Placca Conseille le Sénégal sur ses Relations avec la France : Un Éclairage sur la Diplomatie Pragmatique

Dans un contexte où les relations internationales revêtent une importance cruciale, les conseils avisés de personnalités éminentes comme Jean Baptiste Placca offrent un éclairage précieux sur la manière dont les pays peuvent naviguer avec succès dans le paysage diplomatique mondial. Lors de son intervention dans l’émission Grand Jury, Placca a partagé des réflexions perspicaces sur les relations entre le Sénégal et la France, offrant des conseils pertinents aux nouvelles autorités sénégalaises.

Placca a souligné que les dirigeants sénégalais semblent adopter une approche pragmatique et réfléchie dans leurs relations avec la France, faisant preuve d’une maturité politique et diplomatique appréciable. Comparativement à d’autres pays de la région qui ont été témoins de transitions politiques tumultueuses, le Sénégal semble privilégier la stabilité et la continuité dans ses relations internationales.

Il est à noter que Placca met en avant l’importance de maintenir des relations équilibrées et bénéfiques avec la France, soulignant que le Sénégal a autant à apporter à son partenaire français qu’il n’en reçoit. Cette approche reflète un souci de coopération mutuellement avantageuse et de partenariat durable entre les deux pays.

L’analyste souligne également la nécessité pour le Sénégal de ne pas s’isoler diplomatiquement, mais plutôt de rechercher des partenariats variés et équilibrés avec une diversité de pays. Dans un monde en constante évolution, où les États africains ont un rôle de plus en plus influent, il est crucial de saisir les opportunités de coopération et d’établir des alliances judicieuses.

Placca met en garde contre les choix politiques qui pourraient entraîner l’isolement du Sénégal ou compromettre ses intérêts nationaux. Il encourage plutôt les autorités sénégalaises à agir avec prudence et discernement, en tenant compte des réalités géopolitiques changeantes et en agissant dans l’intérêt supérieur de la nation.

En conclusion, les conseils de Jean Baptiste Placca offrent une perspective éclairante sur la diplomatie pragmatique et équilibrée que le Sénégal devrait poursuivre dans ses relations avec la France et le reste du monde. En suivant ces conseils, le Sénégal peut continuer à jouer un rôle de leadership sur la scène internationale et à promouvoir la stabilité, la prospérité et le développement durable pour ses citoyens et au-delà.

Le Sénégal s’illustre dans l’Initiative Elsie pour un Secteur de la Sécurité Plus Inclusif

Le DCAF (Centre pour le Contrôle Démocratique des Forces Armées) est fier de mettre en lumière les efforts continus du Sénégal au sein de l’Initiative Elsie, une plateforme multipartite dirigée par le Canada, visant à promouvoir un secteur de la sécurité plus inclusif.

L’Initiative Elsie représente une collaboration internationale essentielle pour renforcer la gouvernance et la responsabilité dans le domaine de la sécurité. En tant que participant actif, le Sénégal démontre son engagement envers des réformes démocratiques et inclusives dans son secteur de la sécurité.

Nous exprimons notre gratitude envers nos partenaires au Sénégal, notamment le Ministère des Forces Armées, le Repsfeco Regional, et le Centre des Hautes Études de Défense et de Sécurité (CHEDS), pour leur collaboration précieuse dans ce travail. Leur engagement et leur soutien sont indispensables pour faire avancer notre mission commune de renforcer la transparence, la responsabilité et l’inclusivité dans le secteur de la sécurité.

Ensemble, nous travaillons à créer des environnements sécuritaires où les droits de tous les citoyens sont respectés, où la diversité est valorisée, et où la participation de toutes les parties prenantes est encouragée. Grâce à notre collaboration continue, nous sommes convaincus que nous pourrons contribuer à bâtir des sociétés plus stables, pacifiques et prospères, tant au Sénégal que dans le monde entier.

Le DCAF s’engage à poursuivre son soutien et son partenariat avec le Sénégal et d’autres acteurs engagés dans l’Initiative Elsie, afin de faire progresser ensemble notre vision commune d’un secteur de la sécurité véritablement inclusif et démocratique.

Décès de Ibrahima Ndiaye, Ancien Directeur Général de l’Ageroute : Hommage à un Leader Visionnaire

Le Sénégal pleure la perte d’un de ses cadres émérites avec le décès de Ibrahima Ndiaye, ancien Directeur Général de l’Agence des Travaux et de Gestion des Routes (Ageroute). Selon des sources concordantes, M. Ndiaye s’est éteint ce dimanche à l’étranger, où il recevait des soins médicaux.

Ibrahima Ndiaye était bien plus qu’un administrateur compétent ; il était un visionnaire dont les réalisations ont laissé une marque indélébile sur l’infrastructure routière du Sénégal. En tant que Directeur Général de l’Ageroute, il a dirigé avec détermination et ingéniosité les grands projets autoroutiers du pays.

Son leadership éclairé a été essentiel dans la conduite de chantiers d’envergure, contribuant ainsi à moderniser et à renforcer l’infrastructure routière du Sénégal. Sous sa direction, l’Ageroute a joué un rôle crucial dans la construction, la réhabilitation et l’entretien des routes, des ponts et des ouvrages d’art à travers le pays.

Au-delà de ses réalisations professionnelles, Ibrahima Ndiaye était également reconnu pour sa probité, son dévouement et son sens du service public. Son engagement envers l’amélioration des infrastructures routières du Sénégal était profondément ancré dans sa conviction que des routes de qualité sont essentielles pour favoriser le développement économique et social du pays.

Sa disparition laisse un vide immense dans le secteur de l’infrastructure routière du Sénégal et dans le cœur de ceux qui ont eu le privilège de travailler à ses côtés. Mais son héritage perdurera à travers les routes qu’il a construites, les ponts qu’il a réhabilités et les vies qu’il a améliorées grâce à son travail acharné et son engagement indéfectible envers le progrès de son pays.

En ces moments de deuil, nous rendons hommage à la vie et à l’œuvre de Ibrahima Ndiaye. Son dévouement exemplaire et son leadership inspirant resteront gravés dans les mémoires, et son influence continuera de se faire sentir à travers les routes qu’il a tracées vers un avenir meilleur pour le Sénégal et ses citoyens.

Cheikhou Oumar Sy : Pour des Champions Nationaux – L’Appel à l’Excellence dans la Gestion des Entreprises Publiques

Dans un appel passionné, Cheikhou Oumar Sy souligne l’importance cruciale pour les nouveaux directeurs récemment nommés de faire de la Poste, la Caisse de Dépôt et de Consignation (CDC) ainsi que du Port Autonome de Dakar (PAD) des champions nationaux. À travers des exemples frappants, il met en lumière le potentiel inexploité de ces institutions à contribuer de manière significative au développement économique du Sénégal.

Le premier exemple évoqué est celui de la Poste France, dont le bénéfice net en 2023 s’élève à 514 millions d’euros, soit près de 334,1 milliards de FCFA. Cette somme remarquable représente presque le budget annuel entier du ministère de l’Éducation nationale au Sénégal. Une comparaison qui met en évidence le potentiel financier considérable de la Poste sénégalaise et l’opportunité qu’elle représente pour générer des revenus importants.

Ensuite, M. Sy évoque la Caisse de Dépôt et de Consignation du Maroc, dont le poids financier atteint 26 milliards de dirhams, soit environ 1,576 milliard de FCFA. Cette institution marocaine, par sa gestion efficace et ses investissements stratégiques, démontre le rôle essentiel que peut jouer une caisse de dépôt et de consignation dans le développement économique d’un pays.

Enfin, il cite l’exemple du Port Autonome d’Abidjan, dont le capital est passé de 16 à 100 milliards en 2020. Cette augmentation spectaculaire du capital reflète la croissance et le dynamisme que peut connaître un port bien géré, et souligne l’importance d’investir dans les infrastructures portuaires pour stimuler le commerce et la croissance économique.

À travers ces exemples, Cheikhou Oumar Sy appelle les nouveaux directeurs des institutions clés du Sénégal à adopter une approche visionnaire et axée sur la performance pour transformer ces entités en véritables moteurs de développement économique. Il met en avant l’importance de la gestion efficace, de la transparence et de la responsabilité dans la réalisation de cet objectif ambitieux.

Cet appel à l’excellence dans la gestion des entreprises publiques représente un engagement envers un avenir économique prospère et durable pour le Sénégal. Il incite à exploiter pleinement le potentiel des institutions nationales pour créer des champions économiques qui contribueront à l’épanouissement et à la prospérité de toute la nation sénégalaise.

La Nouvelle Stratégie pour le Sénégal : Réintroduction de la planification auto-gestionnaire

Dans une déclaration audacieuse, le Premier Ministre sénégalais, M. Ousmane Sonko, a récemment plaidé en faveur de la réintroduction de la planification auto-gestionnaire pour stimuler l’économie du pays. Cette proposition intervient dans un contexte où le Sénégal cherche à revoir ses stratégies économiques pour assurer une croissance plus inclusive et durable.

La planification auto-gestionnaire, un modèle économique qui donne plus de contrôle aux communautés locales sur leurs propres ressources et développement, est présentée comme une alternative aux plans économiques centralisés et souvent déconnectés des réalités locales.

Cette nouvelle approche vise à répondre de manière plus adaptée aux déséquilibres économiques régionaux et aux besoins spécifiques des différentes communautés à travers le pays. En remettant le pouvoir décisionnel entre les mains des acteurs locaux, la planification auto-gestionnaire cherche à favoriser un développement plus équilibré et participatif.

Cette proposition marque un tournant dans la politique économique du Sénégal, remettant en question les paradigmes traditionnels de développement et mettant l’accent sur l’autonomie et la responsabilité des communautés locales.

Alors que le pays cherche à consolider ses progrès économiques et à relever les défis persistants de développement, la réintroduction de la planification auto-gestionnaire offre une nouvelle voie prometteuse pour réaliser ces objectifs.

Cependant, cette approche ne manquera pas de susciter des débats et des discussions, notamment en ce qui concerne sa mise en œuvre pratique et ses implications à long terme. Des questions telles que la gouvernance locale, la capacité institutionnelle et les mécanismes de financement devront être soigneusement examinées pour garantir le succès de cette nouvelle stratégie.

En fin de compte, la proposition de M. Sonko ouvre la voie à une réflexion plus approfondie sur les modèles de développement économique et la manière dont ceux-ci peuvent mieux servir les intérêts des populations locales et nationales au Sénégal.

La société civile sénégalaise presse pour la mise en œuvre des recommandations des Assises nationales

Dans un mouvement de mobilisation sans précédent, des associations de la société civile au Sénégal ont uni leurs voix sous le collectif « Sursaut citoyen et Demain Sénégal », exhortant le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, à concrétiser les recommandations formulées lors des Assises nationales de 2008-2009. Ces recommandations, consignées dans le « Pacte national de bonne gouvernance démocratique », visent à remodeler les institutions pour renforcer la démocratie, l’état de droit et la gouvernance responsable.

Lors d’une rencontre poignante avec les médias le samedi dernier, les représentants de ce collectif ont annoncé avoir officiellement adressé une lettre au chef de l’État, sollicitant un dialogue constructif sur la mise en application de ce pacte historique. Mamadou Ndoye, l’un des piliers fondateurs du collectif, a déclaré avec conviction : « Nous avons adressé une lettre au président de la République, Bassirou Diomaye Faye, pour une rencontre d’échanges afin de l’inviter à la mise en œuvre du Pacte national de bonne gouvernance démocratique ».

Ce geste courageux est accompagné d’un engagement sans faille de la part du collectif, prêt à mobiliser une cohorte d’intellectuels pour soutenir les décideurs dans cette entreprise capitale. Il est à noter que le président Faye lui-même a apposé sa signature sur ce pacte lors de sa campagne présidentielle, témoignant ainsi de son engagement envers ces valeurs démocratiques.

Le « Pacte national de bonne gouvernance démocratique » constitue un appel pressant à la refonte des institutions en vue de placer le citoyen au cœur du processus démocratique. Pour traduire cet idéal en actions concrètes, le collectif a élaboré une stratégie en deux volets. Tout d’abord, il vise à mobiliser le soutien des acteurs clés de la société ainsi que de l’opinion publique en général. Ensuite, une stratégie de surveillance constante sera mise en place pour garantir que les décisions prises respectent les principes du pacte.

Mamadou Ndoye a souligné l’importance cruciale de détecter rapidement tout signe de menace pour le pacte, annonçant la mise en œuvre d’un dispositif participatif impliquant toutes les organisations membres du collectif. « Déjà nos membres dans le réseau ont perçu quelques signaux sur la gestion de la question de la femme et la question religieuse », a-t-il relevé, démontrant ainsi la nécessité d’une vigilance permanente.

La société civile sénégalaise se dresse avec détermination pour garantir que les idéaux et les recommandations des Assises nationales ne restent pas lettre morte. Elle affirme sa volonté inébranlable de surveiller de près la mise en œuvre du « Pacte national de bonne gouvernance démocratique », et promet de tenir le public informé sur les développements dans ce processus crucial pour l’avenir démocratique du pays.

Benno: Le Parti Socialiste cherche la porte de sortie

Après la présidentielle du 24 mars dernier, le Parti Socialiste (PS) est en plein examen de conscience. Lors de sa première réunion du Secrétariat exécutif national (SEN) depuis le scrutin, les responsables socialistes ont discuté des perspectives de leur formation politique au sein de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY).

Selon les informations rapportées par Les Échos, la majorité des intervenants ont exprimé l’idée que Benno Bokk Yakaar est en déclin, mais que le PS ne devrait pas être le premier parti à se retirer de la coalition.

Il a été convenu de maintenir le contact en participant à toutes les activités de la coalition, tout en mettant l’accent sur le renforcement du PS. Cela se traduira notamment par l’organisation d’un grand séminaire ouvert aux coordonnateurs, au cours duquel la commission chargée de l’évaluation de la participation du PS à la présidentielle présentera ses conclusions et définira de nouvelles perspectives pour le parti.

Une décision importante a été prise concernant la direction future du PS : le parti sera progressivement remis entre les mains des jeunes, avec le soutien des anciens, d’ici à 2029.

En outre, il semble que des retrouvailles avec Khalifa Sall et ses partisans soient en bonne voie, selon les sources du journal.

Cette réunion du SEN marque donc le début d’une période de réflexion et de réorganisation pour le Parti Socialiste, alors qu’il cherche à redéfinir son rôle au sein de la coalition et à se préparer pour l’avenir politique du Sénégal.

Les transporteurs de Mbour appellent à des mesures gouvernementales face aux restrictions et à la concurrence déloyale

À Mbour, le collectif des chauffeurs et transporteurs, dirigé par Aly Seye et le syndicaliste Pierre Mbakhane Gomis, a récemment exprimé son mécontentement lors d’une conférence de presse. Ils ont mis en lumière plusieurs défis majeurs auxquels ils sont confrontés dans l’exercice de leur activité.

La principale préoccupation soulevée concerne l’interdiction pour les véhicules de transport de circuler après minuit. Cette restriction force souvent les conducteurs à stationner dans des zones isolées jusqu’à l’aube, exposant ainsi les travailleurs à un risque accru d’insécurité. Le collectif demande des ajustements dans les horaires de circulation afin de garantir la sécurité des travailleurs et des passagers.

De plus, les transporteurs ont souligné l’impact négatif des services de transport illégaux tels que Allo Dakar et Waar gaindé, qui opèrent sans autorisations officielles et attirent la clientèle aux abords des gares routières. Cette concurrence déloyale nuit gravement à leur activité réglementée et régulière, créant des déséquilibres sur le marché du transport.

En ce qui concerne le renouvellement du parc automobile, en particulier des taxis ‘7 places’, les transporteurs ont déploré les conditions peu avantageuses proposées par l’Agence de la sécurité routière pour la reprise des véhicules. Ils appellent à une intervention rapide du gouvernement pour revoir ces conditions et faciliter le renouvellement du parc dans des conditions plus favorables.

Le collectif des transporteurs de Mbour demande des mesures gouvernementales urgentes pour résoudre ces problèmes, assurer leur sécurité et garantir des conditions équitables pour leur activité professionnelle.

Plus de 60 employés mis au frigo : Le Sg du Synpics/Rts en appelle au nouveau Directeur, Pape Alé Niang

Lors de son intervention dans l’émission « Midikeng » sur « Pressafrik », Moustapha Cissé, Secrétaire général du Synpics /Rts (Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal), a révélé une situation préoccupante au sein de la Radio-télévision sénégalaise (Rts). Selon lui, plus de 60 employés ont été mis au frigo depuis 2019 en raison de divergences concernant l’accord d’entreprise.

Cissé a expliqué que ces mises au frigo sont survenues à la suite de désaccords sur l’accord d’entreprise, en particulier sur la clause de mobilité proposée par l’ancien Directeur général, Racine Talla, ainsi que sur les indemnités jugées excessives accordées à certains directeurs. Ces négociations, entamées en 2018, ont duré deux ans et ont provoqué des tensions au sein du personnel, aboutissant à la mise au frigo de certains membres du personnel, y compris lui-même.

Face à cette situation, Moustapha Cissé a appelé le nouveau Directeur général, Pape Alé Niang, à trouver rapidement des solutions pour désamorcer la crise et rétablir un dialogue constructif entre la direction et le personnel. Cette affaire souligne les défis auxquels est confrontée la Rts en matière de relations de travail et la nécessité d’une gestion efficace des ressources humaines pour assurer un environnement de travail harmonieux et productif.

Sénégal : Débat sur la vente de l’avion Présidentiel pour améliorer les écoles proposée par l’Ex-premier Ministre

L’achat récent de l’Airbus A-320 Neo, baptisé ‘La Pointe Sarène’, par le Sénégal pour un montant de 58 milliards de francs CFA, suscite une vive controverse dans le pays. L’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye a suggéré de vendre cet avion présidentiel afin de transformer les abris provisoires en salles de classe, une proposition adressée aux nouvelles autorités dans le cadre de leurs efforts pour rationaliser les dépenses de l’État.

Abdoul Mbaye a critiqué la gestion économique actuelle, qu’il estime embellie par des chiffres irréalistes, et a proposé des mesures symboliques pour réduire le déficit budgétaire. Cependant, Mactar Dabo, Commissaire scientifique du Pastef, a argué que l’avion est un actif stratégique dont la vente pourrait ne pas résoudre les problèmes structurels de la gestion financière du pays.

Cette proposition soulève des questions fondamentales sur les priorités de dépenses du gouvernement sénégalais et sur la manière de répondre aux besoins urgents de la population, notamment en matière d’éducation. Alors que certains voient la vente de l’avion présidentiel comme une mesure pragmatique pour améliorer les infrastructures scolaires, d’autres mettent en avant la nécessité de trouver des solutions plus globales et durables pour relever les défis économiques du pays.

Ce débat met en lumière les tensions entre les impératifs budgétaires et les besoins sociaux, soulignant l’importance pour les dirigeants de prendre des décisions éclairées et équilibrées pour répondre aux attentes et aux aspirations de la population sénégalaise.

Maison de la presse : Les travailleurs privés d’eau, le compteur disparu

Une situation alarmante prévaut à la Maison de la presse, où les travailleurs sont confrontés à une pénurie d’eau et à des conditions de vie précaires. Selon Les Échos, l’eau a été coupée dans les locaux et le compteur a même été enlevé, laissant les occupants sans accès à cette ressource essentielle.

Depuis plusieurs jours, les travailleurs sont contraints de faire face à cette situation difficile, privés d’eau courante pour leurs besoins quotidiens. Pour pallier ce manque, les sapeurs pompiers ont dû intervenir en fournissant de l’eau à travers un camion citerne.

Cette situation met en lumière les conditions de vie difficiles auxquelles sont confrontés les travailleurs de la Maison de la presse, affectant leur bien-être et leur capacité à travailler dans des conditions optimales. Espérons que des mesures seront prises rapidement pour résoudre ce problème et rétablir l’accès à l’eau dans ces locaux essentiels pour le fonctionnement de la presse sénégalaise.

Nouvelles enquêtes sur la fraude fiscale : Deux sociétés dans le collimateur du Procureur

Le scandale de fraude fiscale continue de secouer le monde des affaires au Sénégal, avec deux nouvelles sociétés visées par des enquêtes du Procureur. Selon les informations rapportées par Le Témoin, ces affaires portent sur des montants considérables de détournement de deniers publics.

La première société concernée est la Société de génie civil (SOGEC), active dans le secteur des BTP, accusée d’avoir causé un préjudice financier estimé à près de 2 milliards de francs CFA. Cette affaire soulève des inquiétudes quant à l’intégrité du secteur de la construction et à la transparence des transactions financières.

La seconde affaire concerne Aramine Mbacké, le frère du défunt Kader Mbacké de Dangote, qui est à la tête de MRS Oil and Gas. Bien que le montant exact de l’évasion fiscale n’ait pas été révélé, il est clair que cette affaire est également très sérieuse. Le fait qu’Aramine Mbacké ait quitté le pays, laissant ses avocats se charger de sa défense, ajoute une dimension supplémentaire à cette affaire.

Ces développements surviennent peu de temps après l’arrestation et le défèrement au parquet de Mamadou Bâ, le directeur général actuel de FS Oil, et de son prédécesseur, Daouda Gaye. Ils sont accusés de fraude fiscale et de détournement de deniers publics, suite à une plainte déposée par la Direction générale des impôts et domaines (DGID).

Pour Daouda Gaye, l’ardoise fiscale s’élève à 412 millions 264 mille 516 francs CFA pour la période où il était à la tête de FS Oil, tandis que Mamadou Bâ doit s’acquitter d’un passif de 513 millions 427 mille 617 francs CFA pour la période où il a dirigé la société.

Face à cette série d’affaires de fraude fiscale, les autorités fiscales mettent en garde contre de futures poursuites et annoncent une série de régularisations pour mettre fin à ces pratiques illicites et préserver l’intégrité du système fiscal sénégalais.

Saint-Louis : Impatience des commerçants face à l’inactivité des ponts bascules

Les membres de la Chambre de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture de Saint-Louis expriment leur frustration face à l’inactivité persistante des trois ponts bascules de Mbodiène, Mboundom et Ndioum, installés il y a maintenant trois ans. Ces équipements, qui devraient permettre de mesurer précisément le tonnage des productions locales, notamment celui du riz, demeurent toujours non fonctionnels.

Le président de la chambre consulaire de Saint-Louis, Cheikh Mouhamadou Sourang, a exprimé son mécontentement face à cette situation. Selon lui, ces ponts bascules sont d’une importance capitale pour l’évaluation et le développement de l’agriculture dans la région.

Lors d’une récente visite avec des représentants de l’Union Nationale des Chambres de Commerce, d’Industries et d’Agricultures du Sénégal, l’urgence de la mise en service de ces ponts bascules a été clairement soulignée. Financés par le Conseil Sénégalais des Chargeurs (COSEC), ces équipements sont attendus pour jouer un rôle crucial dans la dynamisation de l’économie régionale.

Il est impératif que ces ponts bascules entrent en fonction le plus rapidement possible afin de permettre aux acteurs économiques locaux de bénéficier d’une infrastructure essentielle pour leurs activités. Leur activation contribuera à faciliter les transactions commerciales et à soutenir le secteur agricole, ce qui aura un impact positif sur l’économie de la région de Saint-Louis.

La BNDE sécurise un financement de 70 millions d’euros auprès de la Banque Sud-Africaine de Développement

La Banque Nationale pour le Développement Economique (BNDE) du Sénégal vient d’annoncer une nouvelle majeure dans le domaine financier. En effet, la BNDE a réussi à mobiliser un financement important de 70 millions d’euros, soit environ 46 milliards de francs CFA, auprès de la Banque Sud-Africaine de Développement (DBSA). Ce partenariat financier, structuré sur une période de sept ans, vise à soutenir de manière significative les projets économiques clés dans le pays.

Cette annonce, faite à travers un communiqué officiel, marque une étape importante pour la BNDE dans son rôle de moteur du développement économique au Sénégal. En effet, ce financement important va permettre à la BNDE d’appuyer davantage les initiatives entrepreneuriales, en particulier les petites et moyennes entreprises ainsi que les industries de taille intermédiaire.

La BNDE souligne également l’importance de ce partenariat Sud-Sud, soulignant qu’il s’agit d’une démarche stratégique visant à renforcer ses capacités à soutenir l’économie locale. En s’appuyant sur cette collaboration avec la Banque Sud-Africaine de Développement, la BNDE affirme son engagement à jouer un rôle essentiel dans le développement économique du Sénégal.

Cette nouvelle initiative s’inscrit dans la volonté de la BNDE de continuer à améliorer ses services et de consolider sa position en tant que banque de développement de référence. En mobilisant des ressources financières importantes, la BNDE montre sa détermination à accompagner la croissance économique du Sénégal et à contribuer à la création d’emplois et à la réduction de la pauvreté dans le pays.

Wakhinane Nimzatt : Deux bandits toujours en fuite, trois interpellés

La paisible commune de Wakhinane Nimzatt, dans la banlieue dakaroise, a été le théâtre d’un acte de violence choquant alors que cinq malfaiteurs ont attaqué une boutique, selon Les Échos.

Les faits se sont déroulés lorsque les agresseurs ont fait irruption dans le magasin et ont violemment pris à partie une cliente qui effectuait des achats. Malgré les supplications de la victime, les bandits ont continué leur agression et ont finalement arraché son sac.

Face à cette situation alarmante, le boutiquier a tenté de s’interposer, mais il a été accueilli par une pluie d’injures de la part des assaillants avant qu’ils ne prennent la fuite. Par la suite, sur les conseils du gérant de la boutique, la victime s’est rendue immédiatement au poste de police pour signaler l’incident.

Grâce au récit de la victime et à son identification des agresseurs, la police locale a rapidement lancé une opération de recherche et a réussi à localiser et arrêter trois des suspects : M. G. M., E. M. et L. G.

Malgré leurs tentatives de nier leur implication, les trois suspects ont été confondus par le témoignage du boutiquier, présent lors de l’attaque. Ils ont été déférés devant les autorités hier et font face à des accusations de vol en réunion commis la nuit avec violence.

Cependant, la chasse aux deux autres membres du gang reste en cours, et les autorités continuent leurs efforts pour les localiser et les appréhender.

Cet incident rappelle l’importance de la vigilance et de la collaboration entre la communauté et les forces de l’ordre pour assurer la sécurité publique et protéger les citoyens contre de tels actes de violence et de criminalité.

Wave Sénégal renforce la sécurité financière face à la montée de la fraude dans le secteur du mobile money

La croissance rapide du secteur des services financiers au Sénégal s’accompagne malheureusement d’une hausse alarmante des cas de fraude et d’escroquerie. En réponse à cette tendance inquiétante, Wave Sénégal a annoncé la mise en place de nouvelles mesures de sensibilisation pour lutter contre la fraude financière.

Cette initiative intervient à un moment où l’utilisation des services financiers, notamment le mobile money, connaît une expansion remarquable. En effet, selon le dernier rapport sur l’inclusion financière dans l’Uemoa, le taux d’utilisation des services financiers est passé de 40,9% en 2012 à 93,5% en 2022.

Malheureusement, cette augmentation de l’usage du mobile money est accompagnée d’une recrudescence des cas de fraude. Le commissaire Aly Kandé de la Division de lutte contre la cybercriminalité de la police nationale a souligné une augmentation significative des plaintes, passant de 212 en 2017 à 5600 en 2024.

Coura Tine Sène, directrice régionale de Wave pour la zone Uemoa, a révélé que l’Afrique de l’Ouest détient le record mondial du nombre de comptes de monnaie électronique actifs, avec 290 millions entre 2018 et 2023. Cette dynamique du paiement mobile, représentant environ 8% du PIB en Afrique subsaharienne, continue de croître malgré les défis économiques.

Dans le cadre de la lutte contre la fraude financière, Wave Sénégal a établi un partenariat avec la police nationale et les forces de sécurité pour renforcer la surveillance et accélérer les réponses aux incidents de cybercriminalité, notamment les transactions illicites et le blanchiment de capitaux.

Cette initiative vise à protéger les utilisateurs des services financiers contre les fraudes et les arnaques, tout en favorisant un environnement sûr et sécurisé pour les transactions financières. En sensibilisant les utilisateurs aux risques liés à la fraude, Wave Sénégal espère contribuer à la préservation de la confiance dans le secteur financier et à la protection des consommateurs.

Ministère de la Fonction publique : Lancement du système de pointage biométrique

À partir de ce lundi 29 avril 2024, le ministère de la Fonction publique met en œuvre son nouveau système de pointage biométrique, comme l’a annoncé le ministre Olivier Boucal à travers une circulaire adressée à l’ensemble du personnel.

Ce système, déjà mis en place, vise à assurer un contrôle et un suivi efficaces de la présence des agents. Il comprend un dispositif de vidéo-surveillance permettant non seulement de contrôler l’accès au bâtiment, mais aussi de surveiller le temps de présence, les retards et les absences des agents.

Dans sa circulaire, le ministre rappelle les horaires de travail fixés du lundi au vendredi, de 8 heures à 17 heures, avec une pause d’une heure entre 13h30 et 14h30, conformément au décret n° 96-677 du 07 août 1996. Il souligne également que se signaler à l’arrivée et au départ par empreinte digitale sera obligatoire pour tous les agents, sauf le personnel d’encadrement et les agents dûment autorisés.

Cette initiative vise à améliorer la gestion du temps de travail, à renforcer la discipline au sein du ministère et à promouvoir une culture de présence et de responsabilité. Elle s’inscrit dans le cadre des efforts du ministère pour moderniser ses pratiques administratives et assurer une gestion efficace des ressources humaines.

El Malick Ndiaye exprime sa gratitude lors de son pot de départ

El Malick Ndiaye, dans un élan de reconnaissance et de gratitude, a tenu à exprimer ses sincères remerciements à ses collègues et amis lors de son pot de départ. Ce moment empreint de chaleur humaine restera gravé dans sa mémoire comme une illustration éloquente de l’équipe exceptionnelle qu’ils ont formée ensemble.

Dans un message touchant, El Malick Ndiaye a partagé combien il avait apprécié travailler avec chacun de ses collègues. Il a souligné que leur soutien, leur collaboration et leur amitié avaient enrichi son parcours professionnel d’une manière qu’il n’aurait jamais pu imaginer.

Alors qu’il entame un nouveau chapitre de sa vie, El Malick Ndiaye a assuré à ses collègues qu’il conservera précieusement les souvenirs des moments partagés. Il reste convaincu que leurs chemins se croiseront à nouveau dans le futur.

Il a conclu en exprimant sa gratitude pour la générosité, la gentillesse et l’amitié sincère dont il a été entouré. Ce message témoigne de l’impact positif qu’El Malick Ndiaye a eu sur ses collègues et de la profondeur des liens tissés au sein de leur équipe.

L’initiative du président des États-Unis contre le paludisme (PMI) renouvelle son engagement envers le Sénégal

Depuis 2007, l’Initiative du président des États-Unis contre le paludisme (PMI) a été un partenaire essentiel dans la lutte contre le paludisme au Sénégal. En collaboration avec l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et le Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), la PMI a apporté une contribution significative à la réduction de l’incidence de cette maladie mortelle.

À ce jour, la contribution totale de la PMI s’élève à 238 milliards de FCFA depuis 2007, avec un déblocage supplémentaire de 14 milliards de FCFA en 2023. Cette aide financière a permis de soutenir divers programmes de prévention, de diagnostic et de traitement du paludisme à travers le Sénégal.

En cette Journée mondiale du paludisme, Alyssa Leggoe, Directrice de l’USAID au Sénégal, a réaffirmé l’engagement continu de la PMI envers le pays. Elle a souligné que malgré les progrès remarquables réalisés, la lutte contre le paludisme est loin d’être terminée.

Elle a également exprimé la volonté de la PMI de consolider les acquis des années précédentes et d’aider le Sénégal à atteindre son objectif ambitieux d’éliminer le paludisme d’ici 2030. Cette déclaration témoigne de la détermination des États-Unis à soutenir le Sénégal dans ses efforts pour combattre cette maladie endémique.

La PMI continuera à travailler en étroite collaboration avec le gouvernement sénégalais et d’autres partenaires pour renforcer les initiatives de lutte contre le paludisme, assurant ainsi la santé et le bien-être de la population sénégalaise.

Pape Alé à la RTS, décès du juge Modou Seck, et Diomaye honore la mosquée Omarienne : Résumé des événements du jour au Sénégal

La nomination de Pape Alé Niang à la tête de la Radio-télévision sénégalaise (RTS) a suscité un débat animé au sein de la société sénégalaise. Ancien directeur de Dakar Matin, Pape Alé est perçu par certains comme étant proche du nouveau Premier ministre, Ousmane Sonko, soulevant ainsi des questions sur son impartialité. Cette diversité d’opinions soulève des inquiétudes quant à la neutralité de la RTS dans sa mission de service public.

Une triste nouvelle a également touché le Tribunal de grande instance de Ziguinchor avec le décès soudain du juge Modou Seck, victime d’une crise cardiaque pendant un séminaire à Saly. Cette disparition a plongé la communauté judiciaire dans le deuil, mettant en lumière les défis de santé auxquels sont confrontés les professionnels du secteur.

Par ailleurs, le Président de la République, Diomaye Faye, a exprimé son engagement envers la communauté omarienne en promettant de finaliser les travaux de la mosquée Omarienne de Dakar. Cette décision renforce les liens spirituels entre le gouvernement et les leaders religieux du pays, soulignant l’importance de la coopération entre l’État et les institutions religieuses pour promouvoir la paix et l’harmonie sociale.

En parallèle, le président a également rendu visite à l’archevêque de Dakar, Monseigneur Benjamin Ndiaye, témoignant ainsi de la solidité des relations entre l’État et l’église. Cette rencontre a été l’occasion d’échanges sur des sujets d’intérêt commun et de formuler des prières pour la réussite du mandat présidentiel.

Enfin, la météo annonce des nuages de poussière dans plusieurs régions du pays, et le film sénégalais « Camp de Thiaroye » a été honoré dans la catégorie ‘Cannes Classics’ au Festival de Cannes, mettant ainsi en lumière la richesse culturelle et cinématographique du Sénégal.

Dans l’ensemble, ces événements reflètent la diversité et la dynamique de la vie politique, sociale et culturelle au Sénégal, soulignant les défis et les réalisations du pays dans divers domaines.

Le Président Bassirou Diomaye Faye rencontre l’Archevêque de Dakar, Monseigneur Benjamin Ndiaye

Cet après-midi, SEM Bassirou Diomaye Faye, Président de la République, a effectué une visite de courtoisie chez l’Archevêque de Dakar, Monseigneur Benjamin Ndiaye. Cette rencontre a été marquée par des échanges fructueux sur divers sujets, notamment les travaux de finition du sanctuaire marial de Popenguine.

Visite de Bassirou Diomaye Faye chez l'Archevêque de Dakar

L’église a saisi cette occasion pour formuler des prières pour la réussite du mandat présidentiel de Bassirou Diomaye Faye. La discussion a également porté sur les progrès et les défis auxquels est confronté le Sénégal.

Concernant le sanctuaire marial de Popenguine, le Président a exprimé sa volonté de prendre les dispositions nécessaires pour finaliser les travaux en cours. Cette déclaration témoigne de l’engagement du gouvernement à soutenir les initiatives religieuses et à promouvoir la diversité culturelle et religieuse du pays.

De son côté, Monseigneur Benjamin Ndiaye a exprimé sa confiance en la capacité du Président Bassirou Diomaye Faye à guider le Sénégal vers la prospérité. Cette marque de soutien souligne l’importance du dialogue interreligieux et de la coopération entre l’État et les institutions religieuses pour le développement harmonieux du pays.

Cette rencontre témoigne de l’importance de la collaboration entre l’État et l’église dans la promotion des valeurs de paix, de solidarité et de justice sociale au Sénégal.

Le Président Bassirou Diomaye Faye effectue la prière du vendredi à la Grande Mosquée Omarienne de Dakar

Accompagné de plusieurs membres de son gouvernement, dont son directeur de cabinet Mary Teuw Niane, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a participé à la prière du vendredi à la Grande Mosquée Omarienne de Dakar. Cette traditionnelle visite a été l’occasion pour le Chef de l’État de rencontrer le Khalife de la communauté, Thierno Madani Tall, ainsi que l’imam Seydou Nourou Tall.

Visite du Pdt Bassirou Diomaye Faye à la Grande mosquée Omarienne

Lors de cette rencontre, le Khalife a exprimé son honneur de recevoir le Chef de l’État dans leur mosquée et a transmis les salutations de la famille au Président. Il a également abordé le sujet de la construction de la mosquée en chantier, un projet religieux emblématique de la ville.

Prenant la parole, le Président Faye a souligné l’importance de la mosquée en tant que lieu de rassemblement pour tous les musulmans. Il a également rappelé le rôle crucial des chefs religieux dans la stabilité du pays, affirmant l’engagement de l’État à poursuivre les travaux de la mosquée et à collaborer avec les autorités religieuses.

Le Chef de l’État a sollicité des prières auprès du Khalife Thierno Madani Tall, conscient des nombreuses attentes de la population et de son souhait de répondre à leurs préoccupations.

En signe de considération, la famille Omarienne a offert au Président un livre de Cheikh Oumar Foutiyou Tall, ainsi qu’un ouvrage retraçant l’histoire de Thierno Seydou Nourou, marquant ainsi la valeur de leur rencontre et leur reconnaissance envers le Chef de l’État.

Nioro du Rip/ Dinguiraye : 3 morts et 5 blessés dans un accident de la route.

Encore la route tue à Dinguiraye ! Le drame s’est produit, hier jeudi 25 Avril vers 21 heures sur la route de Nioro à hauteur du village de Keur Souleye Thiam. Bilan :  3 morts sur le coup et 5 blessés. Selon nos sources ( sapeurs pompiers du département de Nioro du Rip) sur place une charrette a été heurtée par un véhicule. Finalement les blessés ont été acheminés au district sanitaire de Nioro du Rip.

Mariama Massaly correspondante à kaolack.

Général Martin Faye : Cinq Faits à Savoir sur le Nouveau Patron de la Gendarmerie

Le journal Enquête a récemment levé le voile sur le nouveau commandant des hommes en bleu, successeur du général Moussa Fall. Voici cinq faits marquants sur l’homme aux 35 ans de carrière au sein de la maréchaussée :

  1. Promotion au Numéro 1 : Le général Martin Faye a pris ses fonctions de haut commandant de la gendarmerie et directeur de la justice militaire à partir du 24 avril. Il remplace ainsi le général Moussa Fall, dont il était précédemment l’adjoint en tant que haut commandant en second de la gendarmerie.
  2. Parcours jusqu’au Grade de Général : Promu général le 2 mars 2021, Martin Faye a gravi les échelons depuis son entrée dans l’armée en 1990, après avoir réussi le concours d’entrée à l’École nationale des officiers d’active (ENOA).
  3. Commandant du GIGN : Le nouveau patron de la gendarmerie a dirigé plusieurs unités opérationnelles, dont le Groupement d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), unité d’élite de la maréchaussée, pendant six ans.
  4. Réputation de Professionnalisme : Martin Faye est décrit comme un leader efficace et respecté, doté d’un grand professionnalisme et de compétences reconnues au sein de la gendarmerie. Marié et père de deux enfants, il jouit d’une excellente réputation au sein de l’institution.
  5. Expérience Internationale : Tout au long de sa carrière, le général Martin Faye a été déployé sur plusieurs théâtres d’opérations internationales. Sa première mission à l’étranger remonte à 1998 dans le cadre de l’opération Gabou. Plus tard, il a été chef des opérations de la composante police de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en République centrafricaine (Minusma) et a également occupé un poste similaire au Congo pendant deux ans.

Martin Faye apporte à son nouveau poste une expérience riche et diversifiée, ainsi qu’un engagement indéfectible envers la sécurité et la protection des citoyens.

Affaire de tentative d’assassinat à Mbour : Un maçon risque la réclusion à perpétuité pour actes de barbarie sur son épouse

Ng. Sène, un maçon âgé de 50 ans, est confronté à la perspective de passer le reste de sa vie derrière les barreaux. Devant la chambre criminelle du tribunal de grande instance de Thiès, il fait face à des accusations de tentative d’assassinat avec actes de barbarie sur son épouse, M. Diop, âgée de 25 ans. Le procureur a requis contre lui la peine de réclusion à perpétuité, et le verdict sera prononcé le 28 mai prochain.

Les événements se sont déroulés dans la nuit du 30 décembre 2017. Suite à une altercation avec une voisine, Ng. Sène a prétendu vouloir corriger son épouse. Il l’a enfermée dans leur chambre, l’a ligotée avec un foulard, puis a commencé à la torturer. En plus de la battre avec une corde, il a inséré un tuyau dans ses parties intimes et a écrasé des mégots de cigarettes sur son corps.

Les cris de détresse de M. Diop ont alerté un voisin nommé M. I. Fall, qui est intervenu en défonce la porte pour secourir la victime. Il a trouvé Ng. Sène tenant une corde et un couteau. Après avoir emmené la femme chez lui, puis à l’hôpital, M. I. Fall a informé la police de l’incident.

Munie d’un certificat médical, M. Diop a déposé une plainte contre son mari pour tentative d’assassinat avec actes de barbarie. Ng. Sène a été arrêté et placé sous mandat de dépôt le 15 janvier 2018.

Devant le tribunal, Ng. Sène a nié les accusations portées contre lui, prétendant que son épouse avait comploté avec M. I. Fall contre lui. Cependant, ses explications n’ont pas convaincu le procureur, qui a requis la réclusion à perpétuité. La décision finale sera prise par le juge dans un peu plus d’un mois.

Cheikhou Oumar Sy écrit au Président Bassirou Diomaye Faye : Une Lettre sur la Gestion du Temps et de l’Ambition

Dans une lettre ouverte adressée au Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye, Cheikhou Oumar Sy souligne l’importance de ne pas se laisser emprisonner par la tyrannie du temps et de l’urgence. Référençant l’ouvrage de Jérôme Baschet, « Défaire la tyrannie du temps », Sy met en lumière les défis posés par la pression constante de l’efficacité et de la rapidité dans un monde moderne saturé d’écrans et d’exigences à court terme.

L’auteur met en garde contre la tentation de se laisser submerger par les urgences et les priorités immédiates, soulignant que chaque secteur semble revêtir une importance capitale nécessitant une action immédiate. Il encourage plutôt le Président à adopter une vision plus ambitieuse, axée sur des solutions durables et structurelles qui positionneront le Sénégal sur la voie du développement à long terme.

En faisant référence aux précédents présidents du Sénégal, Sy souligne que malgré leurs efforts, ils ont souvent laissé derrière eux une série d’urgences à résoudre. Il exhorte le Président Faye, qui a 44 ans au moment de sa prise de fonction, à adopter une perspective à plus long terme, en envisageant un quart de siècle de développement systémique.

Pour Sy, le mandat des urgences et des priorités est synonyme de tyrannie du temps, et le véritable ennemi des bonnes décisions politiques. Il encourage le Président Faye à éviter la tentation de la chirurgie esthétique des politiques publiques, privilégiant plutôt une approche méthodique et réfléchie qui permettra de dégager les voies du développement pour chaque secteur.

En conclusion, Sy encourage le Président Faye à envisager son mandat comme une opportunité de poser les fondations d’un développement durable qui portera ses fruits sur le long terme. Il l’invite à prendre son temps, à ne pas être obsédé par les échéances électorales à court terme, mais à se concentrer sur la réalisation d’une vision ambitieuse pour le Sénégal dans les décennies à venir.

Célébration du centenaire de l’AIPS en Espagne avec un focus sur l’avenir du journalisme sportif

L’Association internationale de la presse sportive (AIPS) s’apprête à célébrer un moment historique ce lundi à Santa Susana, en Espagne, lors de son 86e congrès. Fondée en 1924, l’AIPS atteint le jalon impressionnant de son centenaire, marquant ainsi un siècle de contributions majeures au journalisme sportif mondial.

Sous la présidence de l’Italien Gianni Merlo, l’AIPS a non seulement été un pilier du monde du sport, mais a également été un fervent défenseur des valeurs éthiques et professionnelles dans le journalisme sportif. Tout au long de son histoire, l’association a été un vecteur de promotion du fair-play, de l’équité et de la déontologie journalistique.

Le 86e congrès de l’AIPS rassemblera des personnalités éminentes du domaine, représentant une occasion unique de réfléchir sur les défis actuels et futurs du journalisme sportif. Des discussions cruciales seront au cœur des débats, mettant en lumière les enjeux liés à l’évolution des médias, à l’impact des nouvelles technologies et aux questions éthiques auxquelles les journalistes sportifs sont confrontés.

Au-delà de la célébration du passé glorieux de l’AIPS, cet événement se veut une plateforme pour envisager l’avenir du journalisme sportif. Les participants auront l’opportunité d’échanger des idées, d’explorer de nouvelles avenues pour le métier et de renforcer les liens au sein de la communauté journalistique sportive mondiale.

En cette période de célébration et de réflexion, l’AIPS réaffirme son engagement envers l’excellence journalistique, l’intégrité et le respect des normes les plus élevées de professionnalisme. Alors que le monde du sport continue d’évoluer, l’AIPS demeure un acteur essentiel, guidé par sa mission de promouvoir et de protéger les intérêts des journalistes sportifs à travers le monde.

Palais : Diomaye Faye convoque l’ancien ministre des pêches et le DG de la SIRN

Une convocation inhabituelle émanant du Palais présidentiel a récemment fait grand bruit au Sénégal. Le 5 avril dernier, le Président Bassirou Diomaye Faye a demandé la présence de l’ancien ministre des Pêches, Pape Sagna Mbaye, ainsi que du Directeur général de la Société des infrastructures de réparation navale (SIRN), Serigne Saliou Samb. Cette convocation fait suite à des développements récents dans l’affaire de la concession des chantiers de réparations navales de Dakar, suscitant des soupçons et des interrogations croissants.

Selon les informations relayées par l’Observateur, cette affaire revêt une importance particulière, avec des intérêts financiers estimés à environ 80 milliards de francs CFA. Le président sortant, Macky Sall, aurait, juste avant son départ, désigné le groupement sénégalo-turc « DakarNaval-Ozata Shipyard » pour bénéficier de la nouvelle concession, à la suite de l’expiration de la convention précédemment attribuée à Dakarnave.

Suite à un appel d’offres, « DakarNaval-Ozata Shipyard » aurait remporté la mise avec une offre jugée plus avantageuse que celle de son principal concurrent, le consortium « Damen-Atmar-Maritalia ». L’entreprise sénégalo-turque aurait proposé un ticket d’entrée de 3 milliards contre 550 millions pour le consortium rival, en plus de conditions plus avantageuses concernant la prise en charge des impératifs du service public, de la sécurité et de la défense nationale.

Malgré la victoire apparente de « DakarNaval-Ozata Shipyard », le consortium « Damen-Atmar-Maritalia » aurait contesté la procédure en saisissant l’Autorité de Régulation de la Commande Publique (ARCOP), ce qui a entraîné une suspension provisoire de la procédure et la demande d’éléments d’informations supplémentaires à la SIRN par l’ARCOP.

Face à cette situation complexe, le nouveau ministre des Pêches, Fatou Diouf, a été chargé par le président sénégalais de suivre de près l’évolution de cette affaire, soulignant ainsi l’importance que revêt ce dossier aux yeux des plus hautes autorités du pays.

Assemblée nationale : le coup de fil de Macky Sall

Lors de la réunion récente des députés de Benno Bokk Yakaar à l’Assemblée nationale, un événement inhabituel s’est produit : Abdou Mbow, le président du groupe, et ses collègues ont eu l’opportunité de parler au téléphone avec l’ancien président Macky Sall. Selon les informations relayées par Les Échos, Macky Sall était en conversation avec l’un des participants à la réunion lorsqu’il a demandé que l’appareil soit mis en mode haut-parleur afin de pouvoir s’adresser directement à l’ensemble de l’assistance.

Sans perdre de temps, la demande de l’ancien chef de l’État a été exécutée, et Macky Sall a ainsi pu adresser des mots d’encouragement aux députés présents, tout en soulignant que passer dans l’opposition n’est pas la fin du monde. Cette intervention téléphonique a certainement été un moment surprenant et marquant pour les parlementaires de la majorité.

Cependant, selon les informations rapportées par Les Échos, cette conversation téléphonique ne s’est pas limitée aux députés de Benno Bokk Yakaar. Le journal indique que récemment, depuis New York où il séjournait en tant qu’envoyé spécial du Pacte de Paris, Macky Sall a également eu des échanges avec certains de ses alliés. Cette communication visait à les encourager, les féliciter et à leur rappeler l’importance de rester unis, quel que soit le contexte politique. Macky Sall aurait également assuré à ses interlocuteurs qu’ils pouvaient toujours compter sur son soutien, renforçant ainsi les liens au sein de son cercle politique.

Cette intervention de Macky Sall, tant à l’Assemblée nationale qu’à l’international, souligne son implication continue dans les affaires politiques du pays et son désir de maintenir la cohésion au sein de son camp politique, même après son passage dans l’opposition.

Mouvement d’humeur à l’AIBD : Les agents de la TSA, soutenus par Guy Marius Sagna, durcissent le ton…

La tension persiste à l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) alors que le différend entre les agents de la Transportation Security Administration (TSA) et leur direction semble loin de se résoudre après quatre jours de conflit. Le collège représentant les travailleurs de la société de sûreté aéroportuaire a rencontré le député Guy Marius Sagna ce jeudi 25 avril, dans les locaux de FRAPP.

La délégation, reçue par le parlementaire, a présenté l’intégralité de son cahier de revendications. Les employés de la Teranga Sûreté Aéroportuaire, société de sûreté établie à l’AIBD, ont arboré des brassards rouges depuis lundi dernier, exprimant leur mécontentement face à des promesses non tenues, des accords non respectés et des conditions de travail pénibles dans une précarité insoutenable. Le mercredi 24 avril, ces travailleurs se sont rassemblés devant les locaux de l’inspection du travail de Thiès pour déposer leur lettre de revendications.

Cette fois, le collège a décidé de faire appel au député Guy Marius Sagna pour plaider en leur faveur. Les agents de sûreté dénoncent en premier lieu l’insensibilité de leur employeur face à leurs interpellations répétées, avant de détailler les différents points de discorde. Le député a écouté attentivement leurs plaintes et les a assurés de prendre des mesures appropriées.

À la suite de cette audience, le collège a annoncé son intention de poursuivre le mouvement d’humeur, en attendant de voir comment la situation évoluera dans les prochains jours. La détermination des agents de la TSA soutenus par Guy Marius Sagna semble donc rester intacte, tandis qu’ils continuent à revendiquer leurs droits et à se battre pour des conditions de travail plus justes et dignes.

Taux de Paludisme Variés au Sénégal : Dr Doudou Sène Souligne les Disparités Régionales et les Défis de Dépistage

Le Sénégal, comme de nombreux pays africains, fait face à un défi persistant dans sa lutte contre le paludisme, une maladie toujours endémique qui présente des disparités régionales significatives. Selon le dernier rapport du Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp), les zones du Sud et Sud-Est enregistrent toujours les taux de transmission les plus élevés du pays, tandis que certaines régions du Nord présentent une prévalence plus faible de la maladie.

Le Dr Doudou Sène, directeur du Pnlp, met en évidence l’importance cruciale du maintien d’un haut niveau de dépistage, avec une complétude des données à au moins 99%. Il souligne également les défis posés par l’insuffisance des données pour des analyses épidémiologiques précises, en particulier dans les régions les plus touchées telles que Kolda, Tambacounda et Kédougou. Une meilleure gestion des données est essentielle pour mieux cibler les interventions et lutter efficacement contre le paludisme.

La Journée mondiale du paludisme, célébrée le 25 avril, a mis en lumière le thème de ‘L’équité en santé, genre et droits humains’. Ce thème revêt une importance particulière au Sénégal, où le paludisme affecte de manière disproportionnée différentes couches de la population. Les zones de forte transmission, principalement dans le Sud et Sud-Est, contrastent avec le Nord où la maladie est moins présente.

En ce qui concerne la prévention, le taux d’utilisation des Moustiquaires imprégnées à longue durée d’action a diminué, soulignant ainsi la nécessité continue d’améliorer la distribution et le suivi des interventions. Le Dr Sène appelle également à une meilleure gestion transfrontalière du paludisme et à un ciblage accru des populations à haut risque pour réduire la prévalence de la maladie dans tout le pays.

Accusations de gestion opaque et manquements pénaux contre le maire de Gandé, Sénégal en 2022

Le rapport d’activités 2022 de l’Office National de Lutte contre la Fraude et la Corruption (Ofnac) a jeté une lumière crue sur la gestion municipale de Gandé, une commune sénégalaise, révélant plusieurs accusations graves à l’encontre de son maire. Parmi ces allégations, la rétention des comptes administratifs annuels et une gestion peu transparente des recettes municipales ont été mises en évidence.

Le maire est également suspecté de manquer de transparence dans l’exécution d’un protocole d’accord avec un promoteur privé, soulignant ainsi des pratiques opaques dans les transactions municipales. Une enquête rigoureuse a été diligentée, impliquant des personnalités locales clés telles que l’adjoint au Sous-préfet et le chef du Centre des services fiscaux de Louga.

Les résultats de cette enquête ont mis en lumière des manquements sérieux et des infractions à caractère pénal, jetant une ombre sur la gestion des affaires municipales de Gandé. Ces révélations ont suscité une attention critique et soulevé des préoccupations quant à la gouvernance locale dans la commune.

La transparence et la responsabilité dans la gestion des ressources publiques sont des piliers fondamentaux de la bonne gouvernance, et ces accusations mettent en évidence la nécessité urgente de renforcer les mécanismes de contrôle et de surveillance dans les administrations locales. Il est essentiel que les autorités compétentes prennent des mesures appropriées pour enquêter sur ces allégations et traduire en justice toute personne trouvée responsable de malversations ou de comportements répréhensibles.

Accident tragique en Gambie impliquant des militaires sénégalais : un décès et huit blessés

Un accident grave s’est produit le mardi 23 avril en Gambie, entraînant la mort d’un militaire sénégalais et blessant huit autres personnes. L’incident s’est déroulé lors d’une mission entre Keur Ayib et Kafenda, impliquant un véhicule du détachement de la Mission de la CEDEAO en Gambie (MICEGA).

Selon les informations fournies par la Direction de l’Information et des Relations Publiques des Armées (DIRPA), l’accident a été causé par le renversement du véhicule militaire alors qu’il tentait d’éviter une collision avec un véhicule civil. Parmi les blessés, l’un se trouve dans un état grave. Toutes les victimes ont été évacuées à Dakar afin de recevoir les soins médicaux appropriés.

Cet accident tragique a suscité une profonde tristesse au sein des forces armées sénégalaises ainsi que dans la communauté en général. Les autorités ont exprimé leurs condoléances aux familles des victimes et ont assuré que toute la lumière sera faite sur les circonstances exactes de l’accident.

Des enquêtes sont en cours pour déterminer les causes précises de l’accident et pour prendre les mesures nécessaires afin d’éviter de tels incidents à l’avenir. En attendant, des mesures ont été prises pour assurer le suivi médical et le soutien approprié aux blessés et à leurs familles.

Cet événement tragique rappelle l’importance de la prudence et de la vigilance sur les routes, en particulier lors de missions militaires. Les autorités continueront de veiller à ce que toutes les précautions nécessaires soient prises pour assurer la sécurité et le bien-être des forces armées lors de leurs missions à travers le pays et au-delà.

Pourparlers stratégiques entre la CEDEAO et l’Union africaine sur la mise en œuvre des missions de soutien à la paix en Afrique

Une délégation de haut niveau de l’Union africaine (UA), du Conseil des droits de l’homme des Nations unies et de l’Union européenne (UE) s’est réunie avec le département des affaires politiques, du maintien de la paix et de la sécurité de la Commission de la CEDEAO. Cette rencontre avait pour objectif d’intégrer et de mettre en œuvre le cadre de conformité et de responsabilisation de l’Union africaine (AUCF) dans le cadre des missions de maintien de la paix à travers la région.

La réunion, dirigée par le Commissaire aux affaires politiques de la CEDEAO, Dr Abdul-Fatau Musa, a mis l’accent sur le respect du droit international des droits de l’homme et du droit international humanitaire dans le cadre des opérations de soutien à la paix (OSP). Les discussions ont souligné l’importance de l’engagement de tout le personnel civil, militaire et policier impliqué dans ces missions à respecter les normes les plus élevées de conduite, de comportement, d’intégrité et de redevabilité.

Dr Musa a souligné l’engagement ferme de la CEDEAO envers la responsabilisation et le respect des normes en matière de droits de l’homme dans les opérations de maintien de la paix de l’institution. Il a souligné l’importance cruciale de la responsabilisation dans la mise en œuvre de ces missions de paix, en insistant sur le strict respect des directives énoncées dans le cadre.

Dans son allocution, l’Ambassadeur Bankole Adeoye, Commissaire aux affaires politiques de l’UA, a souligné le rôle central des droits de l’homme dans la promotion du respect des dispositions légales et de la redevabilité, en particulier dans la lutte contre le terrorisme. Il a évoqué le plan de l’UA visant à étendre le cadre de conformité à tous les organismes régionaux pour garantir le respect des meilleures pratiques mondiales en matière de droits de l’homme.

S.E. Mme Ilze Brands Kehris, sous-Secrétaire générale des Nations unies pour les droits de l’homme, a mis en lumière les défis entravant les efforts de maintien de la paix à l’échelle mondiale et a appelé à une approche systématique pour traiter les conflits au niveau stratégique.

L’ambassadeur Nino Perez, Chef de la délégation de l’UE auprès de l’UA, a réaffirmé l’engagement de l’UE envers l’AUCF, notant que l’UE avait consacré plus de 5 milliards de dollars à des missions de maintien de la paix à travers le continent au cours des deux dernières décennies.

Les discussions techniques et stratégiques se poursuivront avec la participation d’experts des quatre organisations, dans le but de renforcer la coopération et la collaboration pour assurer le respect des normes internationales en matière de droits de l’homme dans les missions de soutien à la paix en Afrique.

Accident à Koungheul : les images du drame

Des images poignantes ont émergé de l’accident tragique survenu à Koungheul, mettant en lumière l’ampleur du drame et la gravité des blessures subies par les victimes. Ces images témoignent de l’impact dévastateur de l’accident et soulignent l’urgence d’une action immédiate pour secourir les blessés et prévenir de nouveaux accidents.

Sur les photos, on peut voir des véhicules gravement endommagés, certains renversés sur le côté de la route, tandis que d’autres ont subi des dégâts importants suite à la collision. Des secouristes et des passants s’activent autour des véhicules, portant assistance aux victimes et les transportant vers les centres de soins les plus proches.

Les images montrent également l’arrivée des services d’urgence, des ambulances et des équipes médicales sur les lieux de l’accident, témoignant de la mobilisation rapide des autorités pour répondre à la situation d’urgence. Des scènes de désarroi et de détresse sont perceptibles parmi les survivants et les proches des victimes, illustrant l’émotion et le choc provoqués par cet événement tragique.

Ces images, bien que difficiles à regarder, sont un rappel poignant de la fragilité de la vie humaine et de la nécessité d’une vigilance accrue sur nos routes pour prévenir de tels accidents à l’avenir. Elles appellent également à la solidarité et à la compassion envers les victimes et leurs familles, ainsi qu’à un renforcement des mesures de sécurité routière pour protéger la vie et la santé de tous les usagers de la route.

Avis d’appel d’offres pour Contrats-Cadres de services non consultants

La direction des marchés publics lance un avis d’appel d’offres pour la conclusion de contrats-cadres de services non consultants. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la politique gouvernementale visant à garantir la transparence et l’efficacité dans la passation des marchés publics.

Les contrats-cadres de services non consultants représentent une opportunité pour les entreprises et les prestataires de services de proposer leurs offres pour une variété de besoins dans différents secteurs. Ces contrats permettent une flexibilité dans la gestion des dépenses publiques tout en assurant la qualité des services fournis.

Les entreprises intéressées sont invitées à soumettre leurs offres conformément aux spécifications et aux exigences détaillées dans le dossier d’appel d’offres. Les services concernés peuvent inclure, entre autres, des services techniques, des services de maintenance, des services de formation, ou encore des services de soutien administratif.

Les critères de sélection seront basés sur la qualité des offres, la capacité technique et financière des soumissionnaires, ainsi que le respect des délais et des normes requises. Il est important que les soumissionnaires lisent attentivement les termes et conditions de l’appel d’offres avant de soumettre leur proposition.

La date limite de dépôt des offres ainsi que les modalités de soumission sont disponibles sur le site web officiel de la direction des marchés publics. Toutes les informations pertinentes relatives à cet appel d’offres sont également disponibles auprès des services compétents de la direction des marchés publics.

Cet avis d’appel d’offres reflète l’engagement du gouvernement à promouvoir la concurrence équitable et à garantir l’utilisation efficiente des ressources publiques. Les entreprises sont encouragées à saisir cette opportunité de participer à la fourniture de services essentiels pour le bien-être de la population et le développement du pays.

Accident à Koungheul : Visite des Ministres des Transports et de l’Intérieur

Suite au tragique accident survenu à Koungheul, le Ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et Aériens, ElMalick Ndiaye, se rendra sur les lieux de l’accident pour évaluer la situation. Sa visite comprendra également une rencontre avec les blessés admis au district sanitaire de Koungheul, afin de leur apporter soutien et réconfort.

Par ailleurs, selon nos sources, le Ministre de l’Intérieur, Jean Baptiste Tine, est prévu pour une visite demain à Kaffrine. Cette initiative vise probablement à coordonner les efforts des autorités locales et nationales pour gérer les conséquences de cet événement tragique.

Ces visites ministérielles témoignent de la prise en charge rapide et proactive des autorités face à cette situation difficile. Elles visent à exprimer la solidarité du gouvernement envers les victimes et à coordonner les mesures nécessaires pour faire face à cette tragédie.

Nous restons attentifs à l’évolution de la situation et continuerons à vous tenir informés des développements à venir.

60ème session ministérielle de la CONFEMEN à Abidjan

Le Ministre de l’Éducation nationale, M. Moustapha Mamba GUIRASSY, a participé activement à la 60ème session ministérielle de la CONFEMEN qui s’est tenue à Abidjan le jeudi 25 avril 2024. Cette rencontre, placée sous le thème « Enseignement général, enseignement technique et orientation vers les filières scientifiques et technologiques : enjeux, stratégies et perspectives pour l’atteinte de l’ODD4 dans l’espace francophone », a réuni des acteurs de haut niveau autour de questions cruciales pour le développement de l’éducation dans la région francophone.

Pour sa première participation à une rencontre internationale, le Ministre Guirassy a salué l’initiative de la CONFEMEN de réunir des experts pour réfléchir aux défis actuels et futurs de nos systèmes éducatifs. Il a souligné l’importance de cette réunion dans un contexte de remise en question des pratiques éducatives à la suite de crises récentes et de défis permanents.

Le Ministre a exprimé son engagement à travailler en étroite collaboration avec ses homologues pour renforcer la qualité de l’éducation dans la région. Il a notamment mis en avant la nécessité de réorienter le système éducatif vers les sciences, la technologie et le numérique, afin de mieux préparer la jeunesse aux défis du XXIe siècle.

À cet égard, M. Guirassy a évoqué les réformes en cours au Sénégal, notamment la révision des curricula et la création d’établissements scientifiques d’excellence. Il a également souligné l’urgence de mettre en place une stratégie d’orientation systématique vers la formation professionnelle, en vue de répondre aux besoins du marché du travail.

Le Ministre a conclu en saluant les recommandations et contributions des différents participants, qui contribueront à renforcer l’action en faveur de la transformation qualitative de nos systèmes éducatifs.

Enfin, il a adressé ses félicitations à la Côte d’Ivoire, pays hôte, ainsi qu’à la CONFEMEN pour l’organisation réussie de cet événement, et a remercié ses collègues ministres et les chefs de délégation pour leur engagement et leurs contributions enrichissantes.

Ousmane et Diomaye nominent sans sélection, Publication des rapports OFNAC, Alerte de JAMRA contre l’agenda LGBT

Dans un contexte politique chargé, marqué par des nominations gouvernementales controversées et des révélations sur la corruption, le paysage médiatique sénégalais s’anime de débats et d’interrogations.

La décision du Premier Ministre Ousmane Sonko et du Président Bassirou Diomaye Faye de procéder à des nominations directes, sans appel à candidature, suscite des critiques acerbes. Parmi les personnalités nommées se trouvent des figures telles que Pape Alé Niang et Cheikh Bamba Dièye, déclenchant des débats sur la transparence et l’intégrité des engagements électoraux. Cet épisode met en lumière les tensions entre les promesses électorales et la réalité du pouvoir politique.

Parallèlement, le rapport de l’OFNAC 2022, révélant des cas de corruption et de fraude au sein du gouvernement, alimente les discussions sur la gestion des ressources publiques. Les révélations sur les non-déclarations de patrimoine de certains responsables politiques soulèvent des inquiétudes quant à l’honnêteté et à la probité des dirigeants.

Dans un autre registre, l’alerte lancée par l’organisation islamique JAMRA contre l’agenda LGBT met en lumière les tensions sociales et culturelles autour des questions d’orientation sexuelle et d’identité de genre. Cette alerte souligne les défis auxquels est confrontée une société conservatrice comme le Sénégal, où les valeurs traditionnelles entrent en conflit avec les normes occidentales.

En parallèle de ces événements majeurs, d’autres sujets brûlants continuent de marquer l’actualité sénégalaise, notamment les défis liés à la sécurité routière, les luttes syndicales dans le secteur médiatique, et les enquêtes sur la gestion municipale dans certaines localités.

À travers ces différents sujets, c’est la vitalité démocratique et la volonté de transparence qui se trouvent au cœur des débats, reflétant les aspirations d’une société en quête de justice, d’intégrité et de progrès.

Lutte contre le paludisme en Afrique : Distribution massive de deux vaccins approuvés par l’OMS

Le paludisme demeure une menace mortelle en Afrique, responsable de plus de 600 000 décès en 2022, principalement parmi les enfants. Pour répondre à cette crise de santé publique, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a approuvé l’utilisation de deux nouveaux vaccins dès 2023.

Le vaccin RTS,S, approuvé en 2021 après des années de tests, a été déployé avec succès au Ghana, au Kenya et au Malawi, où près de 2 millions d’enfants à haut risque ont été vaccinés. Cette initiative a entraîné une baisse significative de 13% du taux de mortalité infantile, selon l’UNICEF.

En novembre 2023, le Cameroun a reçu ses premières doses de vaccin et a rapidement lancé une campagne de vaccination gratuite et systématique en janvier, visant les nourrissons dès l’âge de 5 mois dans les zones à risque. Gavi, l’alliance du vaccin, prévoit que le Burkina Faso et une vingtaine d’autres pays africains intégreront ces programmes de vaccination dans leur stratégie de lutte contre le paludisme cette année.

Ces initiatives marquent une avancée majeure dans la lutte contre le paludisme en Afrique, offrant un nouvel espoir pour la réduction de la mortalité infantile et la protection des populations les plus vulnérables contre cette maladie dévastatrice.

Accès aux marchés publics : les nouvelles conditions fixées aux patrons sénégalais

Lors d’une récente rencontre entre le patronat sénégalais et le Président Diomaye Faye, des conditions claires ont été établies pour accorder la priorité aux entreprises nationales sur les marchés publics et garantir leur soutien par l’État, rapporte Source A.

Tout d’abord, les entreprises sénégalaises souhaitant soumissionner aux marchés publics devront se conformer aux lois et règlements en vigueur dans le pays et être en règle avec l’administration fiscale. De plus, elles devront s’engager à respecter les délais de livraison des commandes publiques tout en garantissant la qualité des produits ou services fournis.

Mais ce n’est pas tout. Le Président de la République a également souligné l’importance de la signature d’accords d’entreprise entre employeurs et employés, visant à assurer le meilleur traitement possible pour ces derniers. Cette mesure vise à promouvoir des relations de travail équitables et à améliorer les conditions de vie des travailleurs.

En outre, le chef de l’État a appelé les entrepreneurs à faire preuve de solidarité entre eux et envers le peuple sénégalais, qui est confronté à des défis économiques, notamment une inflation croissante. Cette solidarité est vue comme essentielle pour relever les défis actuels et garantir une prospérité partagée dans le pays.

Ces nouvelles conditions reflètent la volonté du gouvernement de soutenir et de renforcer le secteur privé national, tout en promouvant des pratiques commerciales et des relations de travail justes et équitables.

Soupçons de connexions LGBT : Jamra reproche à Diomaye Faye d’avoir reçu Charles Michel

La récente rencontre entre le Président Diomaye Faye et le président du Conseil européen, Charles Michel, lors de sa visite à Dakar, suscite des critiques de la part de l’ONG Jamra. Selon Source A, Mame Makhtar Guèye, président de l’organisation islamique, prévoit d’organiser une conférence de presse pour exprimer son mécontentement.

L’ONG Jamra exprime ses inquiétudes quant aux liens présumés entre Charles Michel et les mouvements LGBT. Elle affirme que le président du Conseil européen aurait un agenda caché visant à promouvoir des actes qualifiés d’« contre-nature ». Cette conviction découle notamment de la participation de Charles Michel en tant que président du jury à un concours de beauté créé par les LGBT, ainsi que de sa désignation en tant qu’homme de l’année par ces mêmes groupes pour ses prétendus services rendus à leur cause.

Pour Jamra, ces éléments constituent des preuves suffisantes du soutien de Charles Michel aux revendications LGBT. En conséquence, l’ONG estime que le Président Diomaye Faye aurait dû éviter de le recevoir, affirmant que cette rencontre pourrait potentiellement légitimer les actions de ces mouvements au Sénégal.

Ces accusations soulignent les tensions persistantes autour des questions relatives aux droits LGBT dans le pays, ainsi que les préoccupations de certains groupes quant à une possible influence étrangère dans ce domaine.

Motion de censure : Doudou Wade et le «penalty» du porte-parole du gouvernement

Doudou Wade, ancien président du groupe parlementaire Libéral et Démocratique (PDS), a exprimé son désaccord concernant les propos du porte-parole du gouvernement, Moustapha Sarré, au sujet de l’éventualité d’une motion de censure de l’opposition contre l’équipe dirigée par Ousmane Sonko. Dans une interview parue ce mercredi dans Source A, il a qualifié cette polémique de « gênante » et a remis en question l’intérêt du gouvernement à soulever cette question alors que la situation nécessitait un climat serein pour permettre à chaque institution de faire son travail.

Pour Doudou Wade, la déclaration du ministre de la Formation professionnelle a suscité des réactions négatives et a exposé davantage le Premier ministre à une motion de censure du groupe parlementaire Benno (opposition) lors de sa Déclaration de politique générale. Il souligne que les députés de Benno pourraient envisager une telle action, et il ne serait pas surpris si cela se produisait.

Doudou Wade insiste sur le fait que de telles erreurs ne devraient pas être commises par un gouvernement nouvellement en place, soulignant que causer un « penalty » en début de match complique les choses. Ses commentaires reflètent les préoccupations quant à l’impact des déclarations du gouvernement sur la stabilité politique et la confiance dans les institutions.

En mettant en lumière cette controverse et en exprimant son point de vue critique, Doudou Wade souligne l’importance d’une communication gouvernementale prudente et réfléchie pour maintenir la cohésion et la confiance au sein de la société sénégalaise.

Vie chère : Diomaye pour des solutions concrètes aux préoccupations majeures des Sénégalais

Le Président Bassirou Diomaye Faye adopte une approche proactive et réfléchie dans la lutte contre la vie chère et la cherté des loyers, des problématiques cruciales pour améliorer les conditions de vie des Sénégalais et renforcer la cohésion sociale.

La mise en place d’un plan d’urgence opérationnel avant le 15 mai 2024 démontre la volonté du gouvernement d’agir rapidement face à ces défis. Les mesures hardies prévues pour baisser les prix des denrées de consommation courante et des services essentiels devraient être accueillies favorablement par la population.

L’implication des associations de consommateurs, des industriels et des opérateurs économiques est également essentielle pour garantir l’efficacité et la durabilité des nouvelles mesures. Cette collaboration favorisera la construction d’un consensus et assurera une mise en œuvre effective des décisions prises.

Le contrôle permanent des prix sur le terrain est une mesure clé pour prévenir toute spéculation et garantir que les avantages de la baisse des coûts se répercutent effectivement sur le consommateur.

En outre, la création d’un dispositif d’alerte précoce et de suivi des prix et approvisionnements, ainsi que le suivi continu de l’évolution des coûts des loyers, sont des initiatives intelligentes pour assurer une surveillance constante et réagir rapidement aux éventuelles hausses abusives.

En adoptant ces mesures concrètes, le gouvernement sous la direction du Président Bassirou Diomaye Faye montre son engagement à répondre aux préoccupations majeures des Sénégalais et à œuvrer pour un mieux-être économique et social pour tous.

Assemblée nationale : les anciens ministres bloqués dans leur retour

Certains anciens ministres ayant cédé leur siège de député pour rejoindre le dernier gouvernement sous Macky Sall espéraient retrouver leur place à l’Assemblée nationale à la fin du mandat de ce dernier. Selon Les Échos, ces anciens ministres auraient même entrepris des démarches en ce sens, en écrivant au président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop.

Cependant, leurs espoirs seront déçus, car l’article 54 de la Constitution s’oppose à leur retour. Cet article stipule qu’un « député nommé membre du gouvernement ne peut siéger à l’Assemblée nationale pendant la durée de ses fonctions ministérielles ». Mais, comme le souligne le journal, cette disposition constitutionnelle n’a pas été complétée par une loi organique définissant les modalités d’application de cette mesure.

Selon Alioune Souaré, ancien député et expert électoral, il n’y a eu aucun suivi de la part du gouvernement qui avait porté le projet de loi, ni des députés qui avaient la possibilité de proposer une loi pour son adoption.

Ainsi, les députés nommés ministres dans le dernier gouvernement sous Macky Sall ont définitivement laissé leur siège à leurs suppléants, faute de cadre légal permettant leur retour à l’Assemblée nationale.

Saer Diop lance un programme novateur pour réduire les coûts énergétiques de l’administration sénégalaise à Diourbel

Le Directeur général de l’Agence pour l’économie et la maîtrise de l’énergie, Saer Diop, a inauguré hier à Diourbel un programme révolutionnaire dénommé « Roof top Solar », visant à réduire considérablement la facture d’électricité de l’administration sénégalaise. Cette initiative a été marquée par la remise de matériel de climatisation à l’hôpital régional Heinrich Lukbe, avec l’objectif ambitieux de réaliser des économies de l’ordre de 30 milliards de francs CFA sur les coûts énergétiques.

Dans le cadre de ce projet pilote, dix climatiseurs ont été installés à l’hôpital Heinrich Lukbe, tandis que quatre autres ont été mis en place au centre de santé local. « Ce projet pilote sera étendu à toutes les structures sanitaires », a affirmé Saer Diop, soulignant ainsi l’ambition de ce programme à avoir un impact significatif dans le secteur de la santé, un domaine vital pour la communauté mais également très gourmand en énergie.

Concrètement, ce programme vise à équiper les structures de santé avec des équipements moins énergivores, intégrant une composante solaire pour assurer une certaine autonomie énergétique des bâtiments publics. Bocar Sow, directeur de l’hôpital Heinrich Lukbe, a exprimé son soulagement face à cette initiative, rappelant les défis énergétiques auxquels son établissement était confronté.

Cette initiative de Saer Diop s’inscrit dans une démarche plus large de promotion de l’utilisation des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique dans le secteur public. Elle témoigne de l’engagement du gouvernement sénégalais à trouver des solutions innovantes pour réduire les coûts énergétiques et à investir dans des infrastructures durables pour le bien-être de la population.

Magatte Diakhate nommé Directeur de la Législation et de la Coopération Internationale : Une expertise au service de la fiscalité sénégalaise

Monsieur Magatte Diakhate, Inspecteur des Impôts et des Domaines, se voit confier de nouvelles responsabilités en tant que Directeur de la Législation et de la Coopération Internationale, succédant ainsi à Mouhamadou Lamine Sy. Cette nomination représente une reconnaissance de son expertise et de son engagement en matière de fiscalité.

Fort d’une expérience solide dans le domaine des impôts et des domaines, Monsieur Magatte Diakhate apporte une connaissance approfondie des enjeux fiscaux et une compétence avérée dans la législation fiscale. Son parcours professionnel exemplaire et son engagement envers l’intégrité et la transparence font de lui un choix judicieux pour ce poste stratégique.

En tant que Directeur de la Législation et de la Coopération Internationale, Monsieur Magatte Diakhate sera chargé de superviser le développement et la mise en œuvre de la législation fiscale au Sénégal. Son rôle consistera également à renforcer la coopération avec les partenaires internationaux dans le domaine fiscal, ce qui revêt une importance cruciale dans un contexte de mondialisation croissante.

Sa nomination intervient à un moment où le gouvernement sénégalais s’efforce de moderniser son système fiscal et de promouvoir un environnement propice aux investissements. Monsieur Magatte Diakhate sera appelé à jouer un rôle clé dans l’élaboration de politiques fiscales efficaces et équitables, visant à stimuler la croissance économique et à garantir une répartition équitable des charges fiscales.

Sa capacité à anticiper les évolutions du paysage fiscal national et international, ainsi que sa volonté d’œuvrer pour le bien-être économique et social du Sénégal, font de Monsieur Magatte Diakhate un atout précieux pour le gouvernement et pour le secteur fiscal dans son ensemble. Sa nomination est perçue comme un signe positif pour l’avenir de la fiscalité au Sénégal et pour la promotion d’une gouvernance fiscale responsable et transparente.

Amnesty International dénonce les violences et les atteintes aux droits de l’homme en Afrique en 2024

Dans son rapport annuel de 2024, Amnesty International a mis en lumière les nombreuses violations des droits de l’homme persistantes qui ont eu lieu en Afrique au cours de l’année écoulée. Les violences sexuelles et basées sur le genre en contexte de conflit ont été particulièrement préoccupantes, avec des cas de viols et d’enlèvements signalés dans plusieurs régions. Amnesty International souligne également le manque d’assistance médicale et psychosociale adéquate pour les victimes de ces violences, mettant en évidence une lacune importante dans la protection des droits des femmes et des filles en situation de conflit.

Outre les violences sexuelles, le rapport souligne également la répression de la dissidence et la restriction de la liberté de réunion pacifique dans de nombreux pays africains. Des manifestations ont été violemment dispersées par les forces de sécurité dans plusieurs pays, entraînant des décès et des blessures parmi les manifestants. Parmi les pays concernés figurent l’Angola, l’Éthiopie, le Kenya, le Mali, le Mozambique, le Sénégal et la Somalie, où les autorités ont réagi de manière excessive aux manifestations pacifiques.

La liberté d’expression est également de plus en plus menacée sur le continent, avec des cas d’arrestations et de détentions arbitraires de journalistes, de défenseurs des droits humains et de militants politiques. Des meurtres ont même été perpétrés en réponse aux critiques envers les politiques gouvernementales. Le rapport cite notamment l’assassinat de Thulani Maseko, défenseur des droits humains en Eswatini, ainsi que les morts suspectes de plusieurs journalistes en Afrique, dont John Williams Ntwali au Rwanda et Martinez Zogo au Cameroun, qui enquêtait sur la corruption.

Amnesty International appelle les gouvernements africains à respecter les droits de l’homme et à mettre fin à toutes les formes de violence et de répression à l’égard de leur population. L’organisation exhorte également la communauté internationale à faire pression sur les gouvernements pour qu’ils rendent des comptes pour les violations des droits de l’homme et à soutenir les efforts visant à promouvoir la justice et la démocratie en Afrique.

Abdou Gning nommé Directeur des Domaines : Une expertise au service de la gestion foncière au Sénégal

Monsieur Abdou Gning, Inspecteur des Impôts et des Domaines, se voit confier de nouvelles responsabilités en tant que Directeur des Domaines, succédant ainsi à Monsieur Mamadou Gueye. Cette nomination témoigne de la reconnaissance de son expérience et de son engagement en matière de gestion foncière.

Doté d’une solide expertise dans le domaine des impôts et des domaines, Monsieur Abdou Gning apporte une connaissance approfondie des enjeux liés à la gestion des biens immobiliers et fonciers. Son parcours professionnel exemplaire et son engagement en faveur de l’intégrité et de la transparence font de lui un choix judicieux pour ce poste stratégique.

En tant que Directeur des Domaines, Monsieur Abdou Gning sera chargé de superviser la gestion et l’administration des domaines publics et privés au Sénégal. Son rôle consistera également à garantir une gestion efficace et transparente des biens fonciers de l’État, tout en veillant au respect des lois et réglementations en vigueur.

Sa nomination intervient à un moment où le gouvernement sénégalais s’efforce de moderniser et de rationaliser la gestion foncière dans le pays. Monsieur Abdou Gning sera appelé à jouer un rôle clé dans l’élaboration et la mise en œuvre de politiques visant à promouvoir une utilisation judicieuse et équitable des ressources foncières.

Sa capacité à anticiper les défis liés à la gestion foncière, ainsi que son engagement envers une gouvernance transparente et responsable, font de Monsieur Abdou Gning un atout précieux pour le gouvernement et pour le secteur foncier dans son ensemble. Sa nomination est perçue comme un pas significatif vers une gestion foncière plus efficace et équitable au Sénégal.

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