Lettre aux leaders et militants de Benno Bokk Yaakaar et de la Coalition de Grande Majorité Présidentielle

Depuis sa formation il y a douze ans, la Coalition Benno Bokk Yaakaar et la Coalition de Grande Majorité Présidentielle ont été des acteurs clés dans la scène politique du Sénégal. Ensemble, ces coalitions ont traversé des moments cruciaux de l’histoire politique du pays, laissant derrière elles un héritage de solidarité, de stabilité et de progrès. Alors que de nouveaux défis se profilent à l’horizon, il est temps de faire le bilan de ces douze années de coopération politique.

La solidarité a toujours été au cœur de l’identité de Benno Bokk Yaakaar et de la Coalition de Grande Majorité Présidentielle. Malgré les différences idéologiques et les divergences politiques, ces coalitions ont su maintenir une unité remarquable, faisant de la diversité une force plutôt qu’une faiblesse. Cette solidarité a été le fondement de la stabilité politique du Sénégal pendant une période de grands bouleversements régionaux et mondiaux.

Au cours de ces douze années, les coalitions ont œuvré sans relâche pour le progrès et le bien-être du peuple sénégalais. À travers des politiques audacieuses et des réformes progressives, elles ont contribué à transformer qualitativement et quantitativement le pays. Des initiatives telles que le Plan Sénégal Émergent ont été mises en œuvre pour propulser le pays vers l’émergence économique et le développement durable.

Malgré les succès, des défis persistent et de nouveaux défis émergent. Avec les récents changements à la tête de l’État, les coalitions sont confrontées à de nouveaux horizons politiques. Il est essentiel de maintenir la solidarité et l’unité pour surmonter ces défis et poursuivre la quête du progrès et de la prospérité pour tous les Sénégalais.

Les douze dernières années ont été marquées par la solidarité, la stabilité et le progrès sous l’égide de Benno Bokk Yaakaar et de la Coalition de Grande Majorité Présidentielle. Alors que de nouveaux chapitres s’écrivent dans l’histoire politique du Sénégal, il est crucial de rester fidèle à ces valeurs fondamentales et de continuer à travailler ensemble pour un avenir meilleur pour tous les citoyens sénégalais.

Le Sénégal sous Diomaye Faye : Une nouvelle ère économique en renégociant avec l’Occident

Depuis son accession à la présidence le 24 mars dernier, Bassirou Diomaye Faye, le nouveau chef d’État du Sénégal, promet une révolution dans la coopération internationale. Il a déjà entrepris la renégociation des contrats pétroliers et gaziers avec les compagnies occidentales, ouvrant ainsi une nouvelle ère économique pour le pays.

En partenariat avec la Russie, le Sénégal devrait lancer cette année les projets de gaz naturel liquéfié Grand Tortue Ahmeyim et de développement pétrolier Sangomar, d’une valeur de 4,8 milliards de dollars. Ces projets positionneront le Sénégal parmi les économies à la croissance la plus rapide au monde.

Le président Faye envisage également la renégociation des contrats relatifs aux projets pétroliers et gaziers développés par BP Plc, Kosmos Energy Ltd. et Woodside Energy Group Ltd, dans le but d’augmenter les revenus nationaux. Il remet notamment en question l’accord précédent qui attribuait les gisements offshore à BP.

Cette initiative devrait engendrer des retombées économiques significatives, telles que la création d’emplois et le développement des infrastructures locales. Elle intervient après une période où le Sénégal était largement sous le contrôle d’entreprises occidentales, principalement françaises, une situation perçue comme une forme de politique coloniale ayant nui à la population locale, confrontée à un coût de la vie élevé et à un chômage persistant malgré les changements de régime.

Sous le régime de Diomaye, ces projets visent à diversifier l’économie nationale et à créer une nouvelle source de richesse, synonyme d’indépendance économique et de développement durable. Le gouvernement prévoit-il des changements concrets pour répondre aux attentes de la population ? Est-il prêt à rejoindre l’Alliance des États du Sahel (AES) pour assurer la souveraineté économique en collaboration avec Bamako, Ouagadougou et Niamey ?

Au cours de la dernière décennie, les pays du Sahel ont revu leurs relations avec les pays occidentaux, visant une plus grande indépendance économique et militaire. Le Sénégal, avec son potentiel régional et sa situation géographique stratégique, pourrait jouer un rôle clé dans cette dynamique.

Communiqué : Mobilisation pour une Transition Démocratique au Sénégal

Alerte
En route vers l’élection présidentielle au Sénégal et à quelques heures du démarrage de la campagne électorale, le Président Macky Sall avait pris un décret abrogeant celui convoquant le coprs électoral en violation des principes et valeurs de la République du Sénégal dont le respect du calendrier républicain.
Le Mouvement Agir pour une Commune Active et Solidaire ( MACAS)dont j’ai l’insigne honneur de présider avait dénoncé cet acte anti républicain et pris en Assemblée Générale la décision de s’allier et de soutenir la coalition Diomaye Président à briguer les suffrages des Sénégalais particulièrement ceux de la commune de Dya.
Les résultats sortis des urnes au soir du scrutin du 24 mars 2024 donnent une victoire de 54,28% au candidat Bassirou Diomaye FAYE pour être élu 5e Président de la République du Sénégal,. Cette victoire au premier tour pour un opposant renseignent sur la percée exponentielle de ladite Coalition au niveau national particulièrement dans la commune de DYA .
Ce score constituant un tremblement de positions professionnelle et politique avec des résonances jusque dans les entrailles de tous les animateurs politiques de l’ex mouvance présidentielle , n’est que le point de départ d’une mort politique silencieuse et généralisée à parachever au soir des élections municipales à venir.
C’est pourquoi sentant leur mort politique prochaine, les maires de l’ex mouvance présidentielle ( Benno Bok Yakar) , dans le désarroi et le dénuement total, font partout des clins d’œil et tapent désespérément à toutes les portes des actuels tenants du pouvoir de peur que les sucettes dont ils se targuaient et avec lesquelles ils trompaient leurs électeurs ne soient pas otées de leur bouche pour ne pas se retrouver dans une famine financière et budgétaire agonisante .
Aux militants , militantes et sympathisants de la coalition Diomaye Président , barrons la route à ces prédateurs et refusons de compter parmi nos rangs des parasites qui ne pointent leur nez que quand la moisson est mûre pour en profiter sans scrupule. A ces maires renifleurs de saveurs budgétaires et financières nous leurs disons qu’ils ont gouverné et continuent à diriger leur localité dans la manipulation et la tromperie.
Nous les alertons à rester dans l’opposition avec dignité pour rendre la monnaie au Président Macky Sall qui leur a tout donné et de s’approprier cette maxime sociologique de notre société :« So tité nanga dessé fiit, So weté nanga goré ,So gnaké nanga mougne ».

Ibrahima DIOUF,
Contrôleur des Impôts et des Domaines
Président du Mouvement Agir pour une Commune Active et Solidaire (MACAS) ,
Arrondissement de Ngothie
Commune de Dya
Région de Kaolack

Pr Mbaye Thiam : « Bassirou Diomaye Diakhar Faye comme président n’est pas une révolution mais… »

Dans une analyse nuancée, le Professeur Mbaye Thiam, historien, archiviste et enseignant à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, met en perspective l’élection de Bassirou Diomaye Diakhar Faye à la présidence de la République du Sénégal. Selon lui, cette élection ne représente pas une révolution, mais plutôt une évolution marquée par des ruptures significatives.

Dans une récente intervention sur Iradio, le Professeur Thiam a souligné que le terme « révolution » implique un changement radical du système de gouvernance et des priorités nationales. Il estime que bien que des éléments de rupture soient présents dans l’arrivée de Bassirou Diomaye Diakhar Faye au pouvoir, ces changements ne sont pas suffisamment radicaux pour être qualifiés de révolutionnaires.

Il met en lumière le fait que l’histoire enseigne que les révolutions se caractérisent par des transformations profondes et radicales dans la manière dont un pays est gouverné et dans les priorités nationales. Alors que des changements significatifs sont attendus sous la nouvelle administration, le Professeur Thiam considère qu’ils ne représentent pas une révolution au sens historique du terme.

Il insiste sur l’idée que malgré ces nuances, l’arrivée de Bassirou Diomaye Diakhar Faye au pouvoir ouvre la voie à des évolutions importantes et à des ruptures dans la gouvernance et les politiques nationales. Ces changements peuvent être perçus comme une étape dans l’évolution démocratique et politique du Sénégal, même s’ils ne constituent pas une révolution à proprement parler.

Assemblée Générale de BBY à Saint-Louis : Mansour Faye s’engage à une opposition républicaine

Une semaine après les résultats de l’élection présidentielle et la défaite de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), une assemblée générale a été convoquée à Saint-Louis pour exprimer la reconnaissance envers les militants et discuter de leur nouveau rôle en tant qu’opposants.

Mansour Faye, responsable départemental de BBY et porte-parole de l’assemblée, a rappelé la tradition de la coalition, consistant à mobiliser les militants avant chaque élection et à les rassembler après pour les remercier et les encourager. Cette réunion revêtait une importance particulière pour BBY, car elle intervient après la victoire de la coalition Bassirou Diomaye Faye et l’élection de ce dernier à la présidence du Sénégal.

Faye a saisi l’occasion pour féliciter le président nouvellement élu et exprimer ses vœux de réussite à la nouvelle équipe dirigeante. Il a également remercié les militants de BBY et leurs alliés pour leur engagement lors de la campagne électorale, ainsi que les efforts déployés par Amadou Ba, candidat de la coalition.

Dans son discours, Faye a souligné l’importance de la démocratie sénégalaise et de l’implication du président Macky Sall dans le maintien de la paix et de la sérénité pendant le processus électoral. Il a insisté sur « la nécessité de mettre de côté les intérêts individuels au profit de l’intérêt supérieur de la nation sénégalaise ».

Cette assemblée marque le début d’une nouvelle phase pour BBY à Saint-Louis, qui se positionne désormais en tant qu’opposition constructive, prête à défendre les valeurs démocratiques du Sénégal tout en contribuant au développement et au bien-être de ses citoyens.

Salémata : Un handicapé moteur péri dans un incendie

Hier, aux alentours de 14 heures, un incendie a ravagé une partie de Koumafélé, un village situé dans la commune de Dakatéli, dans le département de Salémata. La victime de cette tragédie est Seyni Traoré, un handicapé moteur dont la case a été le point de départ des flammes. Malheureusement, malgré les efforts désespérés des voisins pour le sauver, Seyni n’a pas pu échapper aux feux dévastateurs.

Sous l’effet du vent, les flammes se sont rapidement propagées, engloutissant également la case voisine. Le bilan de cette tragédie est lourd : un corps retrouvé calciné, deux habitations réduites en cendres, et des dégâts matériels importants.

Les autorités locales ont réagi rapidement à l’incident, avec l’intervention des éléments de la brigade de gendarmerie territoriale de Salémata. Ils ont procédé aux constats d’usage et ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de l’incendie.

Suite à l’ordonnance du délégué du procureur de la République de Salémata, le corps de Seyni Traoré a été inhumé sur place en présence de ses proches, ajoutant une touche de tristesse à cette terrible tragédie.

Nos pensées vont aux proches et à la famille de Seyni Traoré, ainsi qu’à tous ceux affectés par cette perte déchirante. Puissent-ils trouver réconfort dans ces moments difficiles, et que des mesures soient prises pour éviter de telles catastrophes à l’avenir.

[Vidéo] – Tragédie sur l’échangeur de la Patte d’Oie : Deux morts, le chauffeur grièvement blessé

Une terrible tragédie s’est abattue sur l’échangeur de la Patte d’Oie il y a quelques instants, impliquant une Hyundai Sonota blanche immatriculée AA 503 AS. À bord de ce véhicule se trouvaient trois personnes au moment de l’accident. Cependant, la collision a eu des conséquences dévastatrices : les deux passagers ont malheureusement perdu la vie sur le coup.

Le conducteur, bien qu’il ait survécu à l’accident, est grièvement blessé. Les circonstances exactes de l’accident restent encore à déterminer, mais il est indéniable que cette tragédie laisse une marque indélébile sur tous ceux qui en ont été témoins.

Les secours sont rapidement intervenus sur les lieux pour prodiguer les premiers soins au conducteur et pour évaluer la situation. L’ampleur des dégâts sur la Hyundai Sonota est le reflet de la violence de l’impact, et elle témoigne de la gravité de la situation.

En cette période de deuil et de chagrin, nos pensées vont aux familles et aux proches des victimes. Nous leur adressons nos plus sincères condoléances, et nous espérons un prompt rétablissement pour le conducteur blessé.

Cet événement tragique nous rappelle l’importance cruciale de la sécurité routière et de la prudence au volant. Engageons-nous à redoubler d’efforts pour prévenir de telles tragédies à l’avenir.

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Reprise imminente de la liaison maritime Dakar-Ziguinchor : Les responsables confiants

Les directeurs généraux du Port de Dakar et du Consortium sénégalais d’activité maritime (COSAMA), Mountaga Sy et le commandant Makhtar Fall, ont exprimé leur confiance quant à la reprise prochaine du trafic maritime entre Dakar et Ziguinchor.

Cette déclaration fait suite à l’arrivée du navire Diambogne au port de Ziguinchor après un voyage test, marquant ainsi une étape significative dans les préparatifs de la reprise de la liaison maritime.

« Le commandant du navire qui a effectué le voyage a confirmé que les conditions sont désormais réunies pour que le trafic des passagers entre Dakar et Ziguinchor puisse se faire dans de bonnes conditions avec le navire Aline Sitéo Diatta et toute la flotte disponible », a déclaré Mountaga Sy, directeur général du port autonome de Dakar.

Il a souligné que le voyage test du navire Diambogne, effectué avec succès, démontrait la viabilité et la sécurité du trajet entre les deux villes.

Pour garantir la sécurité de la navigation, Mountaga Sy a également expliqué les mesures prises pour éviter les risques d’ensablement dans les zones à risque, notamment en procédant à des relevés de sondages et à un reprofilage du couloir de navigation.

Le commandant Makhtar Fall, directeur général du COSAMA, a salué la réussite du voyage test et a souligné que les profondeurs sur le trajet étaient conformes aux relevés effectués, assurant ainsi une navigation en toute sécurité.

Cette avancée est accueillie avec enthousiasme par les acteurs économiques de Ziguinchor, qui estiment que la reprise des liaisons maritimes stimulera l’économie locale. Alimou Diallo, premier vice-président de la chambre de commerce de Ziguinchor, a exprimé sa gratitude envers les acteurs impliqués dans ce processus et a exprimé son espoir de voir les navires opérationnels d’ici la fête de la Korité.

La reprise de la liaison maritime entre Dakar et Ziguinchor, suspendue depuis près d’un an, est donc attendue avec impatience, offrant ainsi de nouvelles perspectives pour les échanges et le développement économique dans la région.

Cardinal Ambongo lors de la messe pascale : Un appel poignant à l’action pour une RDC en crise

Lors de la messe de Pâques, l’archevêque de Kinshasa, le cardinal Fridolin Ambongo, a livré un message poignant, mettant en lumière la crise profonde que traverse la République démocratique du Congo (RDC). Devant une foule attentive à la cathédrale, le cardinal a dressé un tableau alarmant de la situation politique et sociale du pays.

Il a qualifié la RDC de « pays en agonie », soulignant l’incapacité des autorités à répondre efficacement aux défis auxquels est confronté le pays. Le cardinal a dénoncé l’activisme rebelle du M23 dans l’est de la RDC, tout en exprimant sa préoccupation quant à la violation des droits des citoyens et à l’incapacité de l’armée congolaise à protéger le territoire national.

Le prélat a également appelé les autorités à mettre fin à tout acte susceptible de conduire à une escalade de la violence et de l’instabilité. Il a souligné l’importance de la justice et de la solidarité nationale pour surmonter les défis auxquels est confronté le pays.

Les fidèles présents ont accueilli favorablement les paroles du cardinal, reconnaissant le courage de l’archevêque de Kinshasa pour avoir abordé des questions aussi sensibles et cruciales pour l’avenir de la nation congolaise.

Enfin, le cardinal Ambongo a appelé à une réflexion collective sur les causes profondes de la crise en RDC, pointant du doigt non seulement les autorités nationales mais également les compagnies minières et les pays voisins qui jouent un rôle dans la fragilisation du pays.

En conclusion, la messe pascale du cardinal Ambongo a été l’occasion d’un appel poignant à l’action pour une RDC en crise, rappelant à tous l’urgence de travailler ensemble pour restaurer la paix, la stabilité et la justice dans tout le pays.

Émission « Confidence » : Éva Touré, un vent de fraîcheur dans l’équipe

L’émission « Confidence » connaît un renouveau avec l’arrivée d’Éva Touré pour remplacer Mame Coumba. Avec son charme naturel, sa voix apaisante et son élégance, Éva Touré apporte une nouvelle énergie à l’équipe.

Les téléspectateurs sont impatients de découvrir cette nouvelle recrue, dont le profil promet d’apporter une touche de dynamisme et d’authenticité à l’émission. Son visage rayonnant et sa présence charismatique devraient séduire un large public.

Cette transition marque un tournant dans l’histoire de « Confidence », et les attentes sont grandes quant à la contribution d’Éva Touré à cette émission déjà appréciée du public. Nous lui souhaitons la bienvenue et avons hâte de la voir briller dans son nouveau rôle.

Birame Souleye Diop de Pastef : « Il n’y a qu’un seul président de la République, c’est Bassirou Diomaye Faye »

Lors de son passage à l’émission « Point de Vue » sur la Rts, Birame Souleye Diop, le 1er vice-président du Pastef, a abordé divers sujets politiques, notamment l’élection présidentielle et la victoire de Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Interrogé sur la position potentielle d’Ousmane Sonko aux côtés du nouveau président, Birame Souleye Diop met fin aux spéculations qui ont agité les débats ces derniers jours.

Il rappelle que lors de l’élection présidentielle, Ousmane Sonko, n’étant finalement pas candidat, a choisi de soutenir le candidat du Pastef, Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Malgré le slogan récent « Diomaye Moy Sonko, Sonko Moy Diomaye » durant la période électorale, Birame Souleye Diop précise que la situation est désormais claire : « Aujourd’hui, c’est Bassirou Diomaye Diakhar Faye qui est élu président. Et le Sénégal n’a qu’un seul président de la République. »

Il souligne que si le président estime qu’Ousmane Sonko possède les compétences nécessaires pour contribuer à alléger les souffrances des Sénégalais, il serait logique de faire appel à lui. Birame Souleye Diop insiste sur le fait que le président peut s’entourer de toutes les compétences disponibles, et que Sonko a joué un rôle important dans le processus électoral.

Cependant, il tient à faire la distinction entre l’État du Sénégal dirigé par le président de la République et le parti politique qui a soutenu le projet. Il souligne qu’il n’y a pas de dualité, de compétition ou de contradictions dans ce contexte, et que la décision d’impliquer Sonko revient au président lui-même.

Dans un contexte où les questions de gouvernance et de leadership sont cruciales, les remarques de Birame Souleye Diop mettent en lumière l’importance de l’unité et de la collaboration pour répondre aux défis nationaux et servir au mieux l’intérêt du peuple sénégalais.

Prestation de serment du nouveau Président : Bassirou Diomaye Diakhar Faye perpétue la tradition

Ce mardi 2 avril marquera un moment historique pour le Sénégal, alors que Bassirou Diomaye Diakhar Faye s’apprête à devenir le cinquième président de la République de ce pays d’Afrique de l’Ouest. À l’instar de ses prédécesseurs – Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf, Abdoulaye Wade et Macky Sall -, il sacrifiera à la tradition en prêtant serment devant le Conseil Constitutionnel, en présence de dignitaires nationaux et internationaux ainsi que d’invités de marque, à Diamniadio.

La cérémonie de prestation de serment revêt une symbolique particulière, marquant l’engagement solennel du nouveau président envers la Nation sénégalaise. En prononçant les mots prescrits par l’article 37 de la Constitution, Bassirou Diomaye Diakhar Faye s’engage à remplir fidèlement ses fonctions, à défendre les institutions constitutionnelles, l’intégrité du territoire et l’indépendance nationale, et à œuvrer pour la réalisation de l’unité africaine.

Cette tradition remonte à 1963, lorsque le premier président du Sénégal indépendant, Léopold Sédar Senghor, a inauguré cet acte symbolique devant la Cour suprême. Depuis lors, chaque président nouvellement élu a renouvelé ce serment, marquant ainsi le début de son mandat présidentiel. Bassirou Diomaye Diakhar Faye devient ainsi le dernier maillon d’une longue chaîne de dirigeants sénégalais à honorer cette tradition républicaine.

Après la prestation de serment, le nouveau président soumettra une déclaration écrite de son patrimoine au Conseil Constitutionnel, conformément aux exigences légales. Ce geste marque le début officiel de son mandat présidentiel et témoigne de son engagement envers la transparence et la bonne gouvernance.

Cette cérémonie, riche en symboles et en solennité, est un moment historique pour le Sénégal et pour Bassirou Diomaye Diakhar Faye, qui s’apprête à assumer les responsabilités et les défis inhérents à la plus haute fonction de l’État.

RSF Crée un Réseau d’Avocats pour soutenir les Journalistes en Afrique de l’Ouest

Reporters sans frontière (RSF) a lancé un réseau d’avocats destiné à fournir une assistance juridique aux journalistes, en particulier ceux spécialisés dans l’investigation, en Afrique de l’Ouest. Cette initiative vise à soutenir les journalistes confrontés à des persécutions et à des attaques en raison de leurs enquêtes révélatrices, selon Sadibou Marong, directeur du bureau Afrique subsaharienne de RSF.

Ce réseau a été établi lors d’une consultation organisée en février 2024 à Lomé (Togo), réunissant des avocats chevronnés du Togo, du Bénin, du Sénégal et du Niger, ainsi que des représentants d’autres organisations de journalistes.

Sadibou Marong souligne que cette mesure vise à protéger les journalistes victimes de persécutions, d’attaques physiques et d’arrestations arbitraires. L’assistance juridique sera notamment proposée en cas d’arrestation ou lorsque des recours devant les institutions judiciaires régionales seront nécessaires.

Cette initiative revêt une importance capitale pour la protection des journalistes d’investigation en Afrique de l’Ouest, confrontés à des attaques graves et récurrentes. Le réseau d’avocats permettra également d’informer les journalistes sur leurs droits et de mobiliser plusieurs avocats en cas de besoin sur une même affaire.

RSF s’engage à fournir une assistance juridique et à défendre les journalistes arrêtés arbitrairement, persécutés ou attaqués dans l’exercice de leur métier. Une dizaine d’avocats, reconnus pour leur engagement en faveur des droits de l’homme dans leur pays respectif, ont accepté de se mobiliser au sein de ce réseau.

L’ONG salue l’engagement de ces avocats et envisage d’élargir ce réseau pour couvrir l’ensemble de l’Afrique de l’Ouest, afin de garantir aux journalistes d’investigation la liberté d’informer sans crainte de représailles.

Manifestation à Cap Skirring : La jeunesse dénonce la hausse des violences

La jeunesse de la station balnéaire de Cap Skirring s’est mobilisée lors d’une marche pacifique ce samedi 30 mars 2024 pour dénoncer la récente série de meurtres dans la région. Depuis deux mois, cinq personnes ont été tuées à Cap Skirring, plongeant la communauté dans un état de peur et d’inquiétude croissante.

Mamadou Diouldé Diallo, président de la jeunesse de Cap Skirring, exprime son alarme face à cette situation, soulignant que ces incidents ont semé la panique et le stress parmi les habitants. La sécurité dans la région est assurée par la gendarmerie nationale, mais les manifestants demandent des mesures supplémentaires pour garantir la protection des citoyens.

Parmi leurs revendications figurent l’installation d’un poste de police, le renforcement des effectifs des forces de l’ordre et la création d’une base militaire pour sécuriser le quai de pêche. Ces demandes visent à renforcer la sécurité dans la région et à dissuader les actes de violence.

Cette manifestation survient après une réunion de sécurité présidée par le sous-préfet de l’arrondissement de Cabrousse, Alassane Hann, le 21 février à Cap Skirring, visant à examiner les cas de meurtres et d’assassinats dans la région. La mobilisation de la jeunesse témoigne de la gravité de la situation et de la volonté de la communauté de prendre des mesures pour mettre fin à la violence et restaurer la sécurité dans la région de Cap Skirring.

Réhabilitation de la Gare Routière de Rufisque : Entretien avec Eumeudy Sy, Pdt Gare routière de Rufisque

Dans un entretien exclusif, Eumeudy Sy, président de la gare routière de Rufisque, partage ses réflexions sur les défis initiaux et les progrès réalisés dans la gestion de cette infrastructure cruciale.

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Macky Sall renforce la Gendarmerie au sein de l’Armée pour la Sécurité Nationale

À quelques jours de la passation de pouvoir avec son successeur, le président Macky Sall a pris des décisions stratégiques en matière de sécurité nationale, notamment en ce qui concerne le secteur des Forces Armées.

Un décret présidentiel signé le 29 mars a marqué une étape importante en intégrant la gendarmerie dans les formations militaires prenant rang à la droite des autres forces lors des cérémonies officielles et défilant en tête des troupes. Cette réforme confère à la gendarmerie une position renforcée au sein de l’Armée, lui appliquant les lois et règlements militaires, sauf exception motivée par la spécificité de son organisation et de ses services.

La compétence territoriale de la Gendarmerie nationale est étendue sur l’ensemble du territoire national, lui permettant d’exercer ses fonctions de police administrative. Cette mesure vise à renforcer l’efficacité et la cohérence des opérations de sécurité à travers le pays.

Par ailleurs, dans le cadre de l’exercice de ses fonctions, le Haut Commandant de la Gendarmerie nationale sera désormais assisté par un officier général, nommé par décret, qui aura le titre de Haut Commandant en second de la Gendarmerie nationale et sera également sous-directeur de la justice militaire. Ce haut gradé bénéficiera du rang et des avantages du Sous-chef d’état-major général des Armées vis-à-vis du personnel de la Gendarmerie nationale.

Il convient de souligner que la Gendarmerie nationale, au Sénégal, est une force de police au statut militaire. Si elle reste subordonnée au ministère des Forces Armées pour les missions militaires, cette réorganisation la place sous l’autorité directe du ministère de l’Intérieur pour les missions de police, ce qui renforce son rôle dans le maintien de l’ordre et la sécurité intérieure du pays.

Cette réforme marque un tournant significatif dans la structure et le fonctionnement des forces de sécurité au Sénégal, démontrant l’engagement du gouvernement à renforcer la capacité opérationnelle des forces de l’ordre pour mieux répondre aux défis de sécurité nationale.

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« Un Deal Macky Sall – Ousmane Sonko » : Révélation explosive d’un conseiller de Macky Sall

Une révélation fracassante a secoué la scène politique sénégalaise, alors qu’un conseiller politique de Macky Sall a lâché une bombe dans les colonnes du journal Le Monde. Selon ses dires, le président sortant et Ousmane Sonko auraient eu des discussions avant les élections présidentielles, suggérant ainsi l’existence d’un accord secret entre les deux hommes.

Le diplomate sénégalais, conseiller politique du président Macky Sall, dont l’identité n’a pas été divulguée par Le Monde, a affirmé : « Macky Sall et Ousmane Sonko se sont parlés quand M. Sonko était encore en prison. Il doit y avoir un deal entre eux. » Les détails précis de cet accord demeurent flous, le conseiller n’ayant pas fourni plus d’informations à ce sujet.

Cependant, selon lui, le report des élections présidentielles, avant d’être finalement contraint par le Conseil Constitutionnel, était une manœuvre stratégique de Macky Sall. « Repousser le scrutin aurait permis à Karim Wade de se qualifier, au Pastef de présenter la candidature de leur leader. Et à Macky Sall de changer de candidat à l’heure où des sondages confidentiels annonçaient sa défaite », a-t-il ajouté.

Cette révélation soulève de nombreuses questions sur les coulisses de la politique sénégalaise et sur les alliances potentielles entre les acteurs politiques majeurs du pays. Elle met également en lumière les stratégies et les calculs politiques qui ont pu influencer le déroulement des élections présidentielles récentes, suscitant ainsi un débat intense au sein de la société sénégalaise.

Pikine: La famille de Seydina Mouhamed Diop réclame justice après sa mort tragique

Suite au décès tragique de Seydina Mouhamed Diop après son arrestation par la police de Pikine, sa famille a tenu un point de presse émouvant pour réclamer justice. Daouda Guèye, porte-parole de la famille, a exprimé avec fermeté leur demande de transparence et de responsabilité dans cette affaire.

« Face à cette tragédie, nos cœurs sont lourds. Seule une enquête sérieuse, permettant de déterminer les responsabilités et de punir les coupables, peut nous apporter un semblant de réconfort. Nous n’accepterons pas que cet acte soit minimisé ou ignoré. La seule réponse acceptable pour la famille de Seydina Mouhamed Diop est que justice soit rendue », a déclaré Daouda Guèye lors du point de presse.

La famille prévient également qu’elle prendra des mesures plus directes si aucune enquête n’est ouverte dans les prochains jours. Daouda Guèye a averti que des sit-in seraient organisés à l’intérieur même du commissariat de police de Pikine si aucune action n’est entreprise.

« Nous ferons entendre notre voix. Nous mobiliserons la population de Pikine pour réclamer justice pour notre frère Seydina Mouhamed Diop », a-t-il ajouté, soulignant la détermination de la famille à obtenir des réponses et à garantir que la vérité soit établie sur cette tragique affaire.

La déclaration de la famille met en lumière l’importance cruciale de la responsabilité et de la transparence dans les enquêtes sur les incidents impliquant les forces de l’ordre, ainsi que le besoin impérieux d’assurer que la justice soit rendue de manière équitable et impartiale.

Me Moussa Sarr salue la victoire de Bassirou Diomaye Faye comme une manifestation de la volonté de changement du peuple sénégalais

Suite à la victoire de Bassirou Diomaye Faye aux élections présidentielles, l’avocat Me Moussa Sarr, connu pour sa défense des opposants politiques et des détenus d’opinion au Sénégal, a exprimé ses réflexions sur cette issue historique.

Me Moussa Sarr a salué cette victoire comme une démonstration de la maturité politique du peuple sénégalais, affirmant que cela témoigne de sa volonté ferme de changement pour un Sénégal meilleur. Avec près de 55% des voix remportées dès le premier tour, Bassirou Diomaye Faye s’apprête à devenir le cinquième Président de la République du Sénégal.

Cette réaction de Me Moussa Sarr souligne l’importance de la participation civique et démocratique dans le processus électoral, ainsi que l’espoir d’un avenir meilleur porté par le désir de changement exprimé par le peuple sénégalais.

La victoire de Bassirou Diomaye Faye marque un tournant dans l’histoire politique du Sénégal, et Me Moussa Sarr, par ses mots, encourage un nouvel élan vers la construction d’une société plus juste et prospère

Démenti et Clarifications : Aucun recrutement récemment à l’ASP, affirme un proche du DG

Les récentes allégations concernant un supposé recrutement au sein de l’Agence d’Assistance à la Sécurité de Proximité (ASP) ont été catégoriquement démenties par Mamadou Salif Sow, Directeur Général de l’ASP, et son attaché de cabinet, Amadou Sow.

Selon Amadou Sow, aucune embauche n’a eu lieu les 27 et 28 mars 2024, comme le suggère un tweet du député Guy Marius Sagna. Il explique que les recrutements en question ont été effectués bien avant cette date, avec tous les processus administratifs et budgétaires nécessaires, y compris l’approbation du Conseil de Surveillance de l’ASP, du Ministère de l’Intérieur et du Ministère des Finances.

Amadou Sow a également souligné que le recrutement des Agents de Sécurité de Proximité (ASP) était le résultat d’une autorisation du Conseil de Surveillance de l’ASP, en réponse à un manque d’effectif criant après un audit physique des ASP.

Critiquant vivement les allégations du député Guy Marius Sagna, Amadou Sow a déclaré que ses affirmations étaient sans fondement et relevaient de la diffamation. Il a également appelé le député à se rapprocher de la Direction avant de diffuser de telles informations.

En outre, Amadou Sow a mis en avant les réalisations de Mamadou Salif Sow à la tête de l’ASP, notamment l’augmentation des émoluments des ASP et l’acquisition d’un nouveau siège pour la Direction Générale.

Enfin, concernant les salaires des employés de l’ASP, Amadou Sow a assuré qu’il n’y avait aucun arriéré de paiement et que tous les salaires étaient versés en temps voulu.

Cette clarification apportée par un proche du DG de l’ASP vise à dissiper les malentendus et à rétablir la vérité concernant les recrutements et les conditions de travail au sein de l’agence.

Vendredi Saint à Bignona : Les fidèles marchent sur les pas de Jésus lors du Chemin de Croix

À Bignona, le Vendredi Saint a revêtu une signification particulière pour les fidèles de la paroisse Notre-Dame de Lourdes, alors qu’ils ont suivi les pas de Jésus sur le chemin de croix, commémorant ainsi la passion et la crucifixion du Christ.

De la place publique du quartier Bassène à l’Église Notre-Dame de Lourdes, les fidèles ont parcouru les 14 stations du chemin de croix, méditant sur les moments clés de la condamnation et de la crucifixion de Jésus. Sous la direction de l’Abbé Xavier Ngandoul, directeur du séminaire Notre-Dame, cette marche de foi a été empreinte de réflexion et de dévotion.

« Aujourd’hui, malgré les 2000 ans écoulés, nous sommes témoins et participants renouvelés de la grâce de la croix, car cette grâce se renouvelle chaque jour », a déclaré l’Abbé Xavier Ngandoul, soulignant ainsi la vivacité de la foi chrétienne et l’espoir d’une résurrection joyeuse.

Après avoir suivi Jésus sur son chemin de souffrance, les fidèles ont ensuite vénéré la croix à l’intérieur de l’église Notre-Dame de Lourdes. L’Abbé Xavier a rappelé le sens du deuil de l’Église en ce jour, marquant la mort du Christ sur la croix.

Le Vendredi Saint marque également la fin du carême chrétien, tandis que les fidèles se préparent à vivre les derniers jours du Triduum Pascal, aboutissant à la célébration de Pâques, la résurrection du Christ.

Sénégal : China Henan International exclue des Appels d’Offres de la BAD pour Fraude

Une récente enquête menée par le Bureau de l’intégrité et de la lutte contre la corruption de la Banque africaine de développement (BAD) a mis en lumière des pratiques frauduleuses de la part de China Henan International, une entreprise attributaire de plusieurs projets au Sénégal. Cette révélation a entraîné l’exclusion de l’entreprise des appels d’offres de la BAD pour une période de 12 mois.

L’enquête a révélé que China Henan International Cooperation Group Company Limited avait omis de divulguer l’utilisation d’un commissionnaire lors de la soumission d’une offre dans le cadre d’un appel d’offres portant sur des travaux de génie civil pour la mise aux normes bitumineuses de la route Rukungiri-Kihihi-Ishasha/Kanungu, un projet soutenu par la BAD en Ouganda.

Cette omission a été considérée comme une pratique frauduleuse par le Bureau de l’intégrité de la BAD, qui a sanctionné China Henan International en l’excluant des appels d’offres pour une année entière.

Selon les informations rapportées par Libération, cette exclusion signifie que China Henan International ne pourra pas participer à des appels d’offres financés par la BAD jusqu’à ce qu’elle mette en œuvre un programme de conformité en matière d’intégrité conforme aux directives de la Banque.

Cette décision de la BAD souligne l’importance de la transparence et de l’intégrité dans les processus d’attribution de marchés publics, et envoie un message fort aux entreprises qui cherchent à contourner les règles établies.

Les répercussions de cette exclusion pourraient être significatives pour China Henan International, ainsi que pour d’autres entreprises qui opèrent dans le secteur des appels d’offres internationaux financés par des institutions telles que la BAD.

Bara Tall prépare une riposte légale face aux accusations de Clédor Sène

Dans une récente série d’événements médiatiques, une confrontation verbale a éclaté entre Bara Tall et Clédor Sène, jetant l’ombre sur des allégations d’enrichissement illicite et de gestion d’infrastructures routières au Sénégal.

Bara Tall, homme d’affaires et ministre-conseiller à la présidence de la République, a décidé de répondre juridiquement aux déclarations faites par Clédor Sène, un commentateur bien connu, en préparant une citation directe à son encontre, selon des sources citées par WalfQuotidien.

Les accusations portées par Clédor Sène ont été diffusées lors d’une émission télévisée sur Kewoulo Tv. Sène a soulevé des questions sur la source de la richesse de Bara Tall, le décrivant comme un « milliardaire » qui occupe un poste gouvernemental. Il a également remis en question la gestion par Bara Tall du tronçon de l’autoroute à péage Toglou et a insinué des activités suspectes liées à l’entreprise Jean Lefèvre.

En réponse, Bara Tall a rejeté catégoriquement ces allégations, soulignant qu’il n’avait pas été impliqué dans la gestion d’autoroutes depuis 2005, précisant que son entreprise, Jean Lefèvre, n’avait plus travaillé sur des projets routiers depuis cette époque.

La décision de Bara Tall de poursuivre Clédor Sène en justice marque une étape importante dans cette controverse médiatique. Les détails de la citation directe et les développements ultérieurs dans cette affaire sont très attendus.

L’issue de cette affaire pourrait non seulement affecter la réputation des personnes impliquées, mais aussi susciter des interrogations plus larges sur la transparence et l’intégrité dans les affaires publiques et les infrastructures au Sénégal.

Récompenses au HCCT pour les Membres de « Macky dans nos Veines »

Les nominations ne se limitent pas au Conseil économique, social et environnemental (CESE). Deux membres du mouvement « Macky dans nos veines », l’ancienne députée Awa Guéye et Dié Lèye Seck, ont été récemment nommées au Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT).

Cette décision intervient dans un contexte où le président sortant, Macky Sall, a déjà fait des ajustements au sein de son gouvernement, mettant de côté les proches d’Amadou Ba et nommant Thérèse Faye Diouf au poste de ministre de la Femme. Les nominations de Awa Guéye et Dié Lèye Seck au HCCT viennent renforcer la tendance de promotion des membres du mouvement « Macky dans nos veines ».

Cette reconnaissance par le président sortant souligne l’influence et l’importance du mouvement « Macky dans nos veines » dans les cercles politiques sénégalais. Ces nominations peuvent être interprétées comme un signe de gratitude et de fidélité envers les membres actifs du mouvement qui ont soutenu Macky Sall tout au long de son mandat.

Cependant, cette décision peut également susciter des interrogations quant à la nature des relations entre le gouvernement et les mouvements politiques, ainsi que sur la transparence et l’équité des processus de nomination.

Dans tous les cas, ces nominations soulignent l’importance des réseaux politiques et des alliances dans le paysage politique sénégalais, et mettent en lumière la nécessité pour les autorités de garantir la représentativité et la diversité au sein des institutions gouvernementales.

Retour des Ministres à l’Assemblée : Les députés qui risquent de perdre leur siège

À moins d’une dissolution de l’Assemblée nationale, les députés du Pastef, devenus ministres, sont désormais tenus de renoncer à leur mandat parlementaire. Cette obligation découle des nouvelles dispositions de l’article 54 de la Constitution, qui exigent que les députés-ministres « suspendent leur mandat ». Ces dispositions ont été votées lors de la suppression du poste de Premier ministre en 2019.

Cependant, une situation inverse pourrait se produire, selon des informations rapportées par WalfQuotidien. Huit responsables du camp présidentiel pourraient déclencher une procédure de réintégration à l’Assemblée nationale. Parmi eux figurent le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Abdoulaye Daouda Diallo, l’ancien Premier ministre et candidat malheureux de Benno Bokk Yakaar (BBY), Amadou Ba, ainsi que plusieurs ministres et anciens ministres tels que Abdoulaye Saydou Sow, Oumar Youm, Mariama Sarr, Fatou Diané, Aly Ngouille Ndiaye et Cheikh Abdoul Ahad Mbacké.

Ces responsables politiques avaient initialement cédé leur siège de député une semaine après l’installation de la 14e législature en septembre dernier. Aujourd’hui, ils ont la possibilité de déclencher la procédure de réintégration en écrivant au président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, pour récupérer leur mandat des mains de leurs suppléants respectifs : Demba Ba, Abdoulaye Wilane, Maïmouna Séne, Abdoulaye Diagne, Yoro Sow et Matar Diop.

L’ancien ministre de la Justice, Me Malick Sall, avait précédemment souligné que cette disposition restait en vigueur malgré le rétablissement du poste de Premier ministre. Cette possibilité de retour à l’Assemblée nationale ouvre ainsi la voie à d’éventuelles réorganisations politiques et à des changements au sein du paysage parlementaire sénégalais.

Aly Ngouille Ndiaye : Les conseils pour Bassirou Diomaye Faye

Aly Ngouille Ndiaye, candidat malheureux à l’élection présidentielle, a été parmi les premiers à féliciter le président nouvellement élu, Bassirou Diomaye Faye, à l’issue du scrutin du 24 mars dernier. Dans une interview accordée à L’Observateur, il a partagé ses conseils et ses réflexions sur les défis à venir pour le nouveau président.

Il a exprimé son soutien envers le nouveau président et a souligné la complexité de diriger un pays, surtout dans un contexte où de nombreux défis attendent d’être relevés. Aly Ngouille Ndiaye a également mis en avant la nécessité de respecter le suffrage des Sénégalais, la démocratie et l’État de droit.

Pour relever ces défis, il a souligné l’importance de faire un état des lieux exhaustif de la situation du pays. Selon lui, les Sénégalais ont voté pour le changement car ils ont des attentes urgentes en matière de santé, de sécurité, d’éducation et de cadre de vie.

Il a insisté sur l’importance de la reddition des comptes, soulignant que les attentes sont particulièrement élevées, notamment chez la jeunesse qui a massivement soutenu Bassirou Diomaye Faye lors de l’élection. Il a conseillé au futur ministre de l’Intérieur de mener cet exercice pour mieux comprendre le profil de l’électeur et répondre aux besoins de la population.

Aly Ngouille Ndiaye a également souligné l’importance de mobiliser les ressources humaines et les bonnes relations du Sénégal pour mettre en œuvre le programme du nouveau président. Il a appelé à miser sur la jeunesse engagée pour relever les défis du pays.

Enfin, il a exprimé son optimisme quant au duo formé par Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko, affirmant que, avec une équipe performante et efficace, ils pourraient surmonter les problèmes auxquels le pays est confronté. Il a conclu en leur souhaitant bonne chance dans leurs efforts futurs.

Canada : Deux Sénégalais décédés dans des conditions horribles

Abdoulaye Ndoye et Ndongo Sarr ont trouvé la mort dans des circonstances tragiques au Canada. Selon les informations fournies par le président de l’Association des Sénégalais d’Amérique, relayées par Les Échos, les deux compatriotes auraient succombé au froid.

La source indique que leurs corps ont été découverts à 5 km de la frontière canadienne, alors que les données météorologiques enregistraient des températures glaciales atteignant jusqu’à -15 degrés Celsius. Les victimes auraient traversé la frontière canadienne en provenance de New York.

Le consul général du Sénégal à New York, contacté par le journal, a confirmé la cause de leur décès.

« Les recherches se poursuivent pour retrouver un troisième Sénégalais porté disparu », rapporte le quotidien d’informations.

Cette tragédie soulève des préoccupations quant à la sécurité des migrants et des demandeurs d’asile, en particulier ceux qui entreprennent des voyages dangereux dans des conditions météorologiques extrêmes. Les températures glaciales de l’hiver canadien peuvent être mortelles pour ceux qui ne sont pas préparés ou équipés pour faire face à de telles conditions.

La communauté sénégalaise et les autorités locales doivent redoubler d’efforts pour sensibiliser sur les dangers potentiels de la migration irrégulière et fournir un soutien adéquat aux migrants vulnérables. Des mesures doivent également être prises pour renforcer la surveillance et la sécurité le long des routes migratoires afin d’éviter de telles tragédies à l’avenir.

En attendant, nos pensées vont aux familles et aux proches des victimes, alors qu’elles traversent cette période de deuil et de chagrin.

Analyse d’une Affaire au retentissement national Adji Sarr, réfugiée Politique en Suisse

L’affaire Adji Sarr, qui a secoué le Sénégal ces derniers mois, connaît un nouveau développement alors que la principale intéressée se retrouve désormais en Suisse sous le statut de réfugiée politique. Cette décision soulève des questions importantes et offre un regard approfondi sur les répercussions et les implications de cette affaire au retentissement national.

L’affaire a débuté lorsque Adji Sarr, une jeune masseuse, a accusé publiquement Ousmane Sonko, un leader politique sénégalais de premier plan, de viol. Les allégations ont rapidement suscité un tollé dans tout le pays, alimentant des débats passionnés et divisant l’opinion publique. La situation a été encore compliquée par le fait que Sonko était alors un candidat majeur à l’élection présidentielle.


L’affaire a été suivie de près par les médias sénégalais et internationaux, générant une couverture médiatique intense et des spéculations sans fin sur les circonstances entourant les allégations. Les déclarations publiques de toutes les parties concernées, les manifestations de soutien et de protestation, ainsi que les débats sur les réseaux sociaux ont contribué à alimenter le feu de cette controverse.


La nouvelle du départ d’Adji Sarr vers la Suisse, où elle a été accueillie en tant que réfugiée politique, a pris de court de nombreux observateurs. La décision de rechercher l’asile politique à l’étranger soulève des questions sur les motivations d’Adji Sarr et sur les conditions qui l’ont poussée à quitter le Sénégal. Certains ont interprété ce mouvement comme une tentative de fuir les pressions et les menaces perçues, tandis que d’autres ont remis en question la légitimité de sa demande d’asile politique.


Au Sénégal, la nouvelle du départ d’Adji Sarr a suscité une gamme de réactions. Certains ont exprimé leur soutien à sa décision, soulignant la nécessité de protéger les droits des victimes présumées de violences sexuelles. D’autres ont critiqué son choix de quitter le pays, remettant en question la crédibilité de ses allégations et suspectant des motivations politiques cachées derrière sa demande d’asile.


Sur le plan juridique, l’affaire continue de susciter des débats et des spéculations quant à son issue. Les partisans de Sonko maintiennent que les accusations portées contre lui sont infondées et politiquement motivées, tandis que les partisans d’Adji Sarr insistent sur la nécessité de mener une enquête approfondie et impartiale sur les allégations de viol.


Au-delà des aspects juridiques, l’affaire Adji Sarr soulève des questions plus larges sur les relations de pouvoir, la justice sociale et la représentation politique au Sénégal. Elle met en lumière les défis persistants auxquels sont confrontées les femmes en matière de violence sexuelle et d’accès à la justice, tout en illustrant les tensions politiques qui traversent la société sénégalaise.


En définitive, l’affaire Adji Sarr reste un sujet de débat et de controverse au Sénégal et au-delà. Son départ vers la Suisse en tant que réfugiée politique soulève des questions complexes sur la vérité, la justice et la responsabilité. Alors que l’enquête se poursuit et que les développements se multiplient, une chose est claire : cette affaire continuera de captiver l’attention du public et de façonner le paysage politique et social du Sénégal pour les années à venir.

Guinée : Répression violente contre les sinistrés de l’explosion de Coronthie

Cent jours se sont écoulés depuis l’explosion du principal site de stockage de carburants de la Guinée, situé dans le quartier de Coronthie à Conakry, sans que les raisons de cette tragédie ne soient encore élucidées. Pourtant, ce 28 mars, les sinistrés les plus durement touchés ont exprimé leur désespoir dans les rues de la capitale pour dénoncer le manque de soutien des autorités guinéennes.

Peu avant l’aube, des femmes victimes de l’explosion ont pris d’assaut les rues de Kaloum, le centre-ville de Conakry, érigeant des barricades pour attirer l’attention sur leur situation précaire. Cependant, leur protestation pacifique a été rapidement réprimée par les forces de l’ordre, qui ont fait usage de gaz lacrymogène et procédé à des arrestations, selon les médias locaux.

Les sinistrés, composés d’environ 150 ménages, dénoncent le silence et l’inaction des autorités, affirmant qu’aucune mesure de soutien n’a été prise pour les reloger décemment. Depuis la tragédie, ils sont contraints de vivre dans des conditions extrêmement précaires, dormant à la belle étoile ou chez des proches en périphérie de la ville, ce qui aggrave leur situation en favorisant le chômage et le décrochage scolaire.

Mamoudou Cifo Kè Touré, président du comité des sinistrés, souligne également que les victimes n’ont jamais reçu les dons qui leur étaient destinés, accentuant ainsi leur détresse et leur sentiment d’abandon par les autorités. Cette répression violente de leur manifestation pacifique ne fait qu’accentuer leur désespoir et renforcer leur détermination à obtenir justice et assistance.

Appels à la conformité Constitutionnelle : La Société Civile Burkinabè se mobilise

Dans une déclaration émise le 27 mars 2024, plusieurs organisations de la société civile au Burkina Faso ont adressé un appel solennel au gouvernement de transition, l’incitant à respecter rigoureusement les dispositions de la Constitution. Parmi les cosignataires de ce document de quatre pages, on retrouve des acteurs majeurs tels que le Balai citoyen, le Centre national de presse Norbert-Zongo, la Coalition nationale de lutte contre la vie chère, ainsi que l’association Kebayina des femmes du Burkina Faso, entre autres.

Cette déclaration exprime d’abord la solidarité des signataires envers les défenseurs du pays engagés dans la lutte contre le terrorisme. Toutefois, elle souligne également les préoccupations croissantes quant aux menaces qui pèsent sur la cohésion nationale. Les organisations de la société civile dénoncent fermement les pratiques contraires aux principes démocratiques, telles que les enlèvements de citoyens, qui ouvrent la voie à des dérives inacceptables.

De plus, les signataires appellent à la libération immédiate des personnes détenues de manière illégale ou arbitraire, en mettant en garde contre les conséquences néfastes des arrestations sans fondement. Ces actes, jugés contraires aux décisions des tribunaux burkinabè, suscitent également l’inquiétude au niveau international, comme en témoigne une récente rencontre entre le haut-commissaire aux droits de l’homme des Nations unies, Volker Türk, et le président de transition, Ibrahim Traoré, le 21 mars 2024.

Cette déclaration reflète ainsi une mobilisation croissante de la société civile burkinabè pour garantir le respect des principes constitutionnels et la protection des droits fondamentaux pendant la période de transition. Les organisations de la société civile restent fermement engagées dans la défense des valeurs démocratiques et continueront à exercer une pression sur le gouvernement pour assurer le respect de la Constitution et des libertés civiques.

Haïti: 243 évacués vers la Martinique, majoritairement des Français

De nouvelles évacuations ont été organisées depuis l’île tourmentée des Caraïbes, confrontée à l’instabilité politique et à des manifestations violentes. Le gouvernement français a coordonné des vols spéciaux pour permettre aux ressortissants français de quitter Haïti, suite à la suspension des liaisons aériennes commerciales avec le pays.

Un groupe de 243 personnes, dont 163 ressortissants français, a réussi à quitter Haïti, où ils étaient bloqués par des manifestations antigouvernementales, et est attendu ce vendredi en Martinique, selon le préfet de ce département français des Caraïbes. Trois navires de la Marine nationale sont attendus à Fort-de-France, ont déclaré jeudi lors d’une conférence de presse le préfet de Martinique et le commandant supérieur des Forces Armées aux Antilles.

Parmi les 243 évacués, 163 sont des Français et 80 sont des étrangers, dont la moitié sont des ressortissants de pays de l’Union européenne, a précisé le préfet de la Martinique, Jean-Christophe Bouvier. « Il sera proposé aux ressortissants français un retour immédiat sur l’Hexagone », a-t-il déclaré, ajoutant qu’ils « pourront profiter le jour même d’un vol affrété par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères ».

La préfecture a également indiqué que les ressortissants étrangers nécessitant une régularisation administrative de leurs visas passeront une nuit en Martinique avant un éventuel départ du territoire. Plusieurs groupes de ressortissants français ont été évacués ces derniers jours.

La Russie annonce le début de sa campagne de conscription militaire de printemps

La Russie s’apprête à lancer sa campagne de conscription militaire de printemps, une initiative qui soulève des inquiétudes alors que le pays est déjà engagé dans un conflit en Ukraine avec plus de 617 000 soldats déployés sur le terrain. Cette campagne, qui débutera le 1er avril, vise à enrôler des dizaines de milliers de jeunes âgés de 18 à 30 ans.

L’état-major russe a confirmé que la campagne de conscription se déroulera sur le territoire russe et que les nouveaux conscrits ne seront pas envoyés en Ukraine. Malgré les assurances selon lesquelles ces recrues ne participeront pas aux opérations militaires spéciales en Ukraine, de nombreux Russes redoutent une deuxième vague de mobilisation, rappelant la mobilisation de plus de 300 000 personnes à l’automne 2022.

L’année dernière, la campagne de conscription de printemps a concerné environ 147 000 hommes, tandis que celle d’automne a vu 130 000 conscrits rejoindre l’armée russe. Bien que le nombre de recrues visées par la campagne de printemps de cette année ne soit pas encore précisé, la récente modification de la loi russe a repoussé l’âge limite de conscription de 27 à 30 ans, ce qui suscite des préoccupations quant à une mobilisation accrue.

Les avancées militaires de la Russie en Ukraine, combinées à une aide occidentale en déclin pour l’armée ukrainienne, ont alimenté les craintes d’une escalade du conflit. Lors de sa conférence de presse annuelle en décembre dernier, le président russe Vladimir Poutine a déclaré que 617 000 soldats russes étaient présents en Ukraine dans le cadre de l’opération militaire en cours.

Cette nouvelle campagne de conscription de printemps s’inscrit dans un contexte tendu alors que les relations entre la Russie et l’Occident restent sous tension en raison du conflit en Ukraine et d’autres questions géopolitiques. Les réactions au sein de la population russe restent mitigées, certains exprimant des préoccupations quant à une possible escalade du conflit, tandis que d’autres appellent au soutien des opérations militaires de la Russie.

Oumar Sow Tire Sur le Macky , Il nous a Trahi Tabakh keur 1hectare Maroc yobou Ndiabotam sarakhé niou

Oumar Sow Tire Sur le Macky , Il nous a Trahi Tabakh keur 1hectare Maroc yobou Ndiabotam sarakhé niou

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Révélations explosives : Oumar Sow accuse Macky Sall d’avoir Injecté 350 000 Voix pour Diomaye Faye lors des Élections Présidentielles

Dans une déclaration fracassante, Oumar Sow, Ministre Conseiller, a mis en lumière les coulisses obscures des élections présidentielles de 2024 au Sénégal. Ses révélations, faites lors d’une interview exclusive, ont jeté une lumière crue sur les tactiques utilisées par le président sortant, Macky Sall, pour façonner son image et influencer le résultat des élections.

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Selon Oumar Sow, les événements qui se sont déroulés au palais présidentiel ne sont pas conformes à la norme démocratique. Il soulève des questions sur le fait que le président élu, Bassirou Diomaye Faye, n’a pas encore pris ses fonctions, mais a été invité au palais par Macky Sall, sans raison apparente. De plus, il accuse Macky Sall d’avoir partagé des dossiers confidentiels avec le président élu avant même sa prestation de serment, une pratique non conventionnelle qui suscite des interrogations sur les intentions réelles du président sortant.

Oumar Sow va plus loin en affirmant que Macky Sall cherchait simplement à créer une image positive de lui-même en immortalisant ces moments avec Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko, pour des raisons de relations publiques nationales et internationales. Cette révélation remet en question l’intégrité du processus électoral et soulève des préoccupations quant à la légitimité du mandat de Macky Sall.

De plus, Oumar Sow accuse ouvertement Macky Sall d’avoir manipulé les élections en utilisant diverses stratégies frauduleuses, telles que la fermeture tardive des bureaux de vote dans certaines régions et la création de bureaux de vote fictifs. Il affirme que Macky Sall a même ordonné l’injection de 350 000 voix supplémentaires en faveur de Bassirou Diomaye Faye pour influencer le résultat des élections.

Alors que le Sénégal se remet de ces accusations explosives, il est impératif que des mesures soient prises pour garantir la transparence et l’intégrité du processus électoral à l’avenir.

Le Dakarois Quotidien N°145 – du 30 et 31/03/24 : « Bassirou Diomaye Faye officiellement confirmé comme 5e président du Sénégal »

Le Dakarois Quotidien N°145 – du 30 et 31/03/24
🔴 « Bassirou Diomaye Faye officiellement confirmé comme 5e président du Sénégal »

Fou Malade Réagit à sa Nomination au Cese : « Je n’ai jamais été consulté »

La nomination de Malal Almamy Talla, plus connu sous le nom de Fou Malade, au Conseil économique social et environnemental (Cese) par décret présidentiel a suscité une vague de réactions dans tout le pays. Mais ce qui a le plus surpris, c’est la réaction du principal intéressé lui-même.

Fou Malade a confié à l’émission Jakaarlo Bi sa surprise face à cette décision présidentielle prise à seulement quatre jours de la fin du mandat de Macky Sall. « Je viens de l’apprendre comme tous les Sénégalais. En réalité, je n’ai jamais été consulté auparavant », a-t-il déclaré lors de son intervention sur le plateau de QG de la Tfm.

Cette déclaration a jeté une lumière crue sur le processus de nomination, mettant en évidence un manque de consultation et de transparence. Loin d’être flatté par cette nomination inattendue, Fou Malade a exprimé son désarroi et son indignation, qualifiant même la décision de « provocation ».

Il a souligné que cette nomination arrivait à un moment inopportun, surtout étant donné que le Cese, selon lui, est sur le point de disparaître. « Cette nomination est une provocation. Tout le monde sait que le Cese est à l’agonie, il ne lui reste plus que quatre jours puisque les nouveaux tenants du pouvoir l’ont listé parmi les institutions budgétivores à supprimer », a-t-il ajouté.

Cette réaction de Fou Malade reflète le mécontentement et le désarroi de nombreux Sénégalais face à ce qu’ils considèrent comme un jeu politique de dernière minute, mettant en lumière les failles du processus de nomination et les enjeux entourant l’avenir du Cese.

Il reste à voir comment cette nomination controversée de Fou Malade au Cese évoluera dans les jours à venir et quelles en seront les conséquences pour l’institution et pour le pays dans son ensemble.

Conseil supérieur de la magistrature : Voici les mesures prises par le chef de l’Etat à l’issue de la réunion ce vendredi

Ce vendredi, sous la présidence du chef de l’État, une réunion du Conseil supérieur de la magistrature s’est tenue. À l’ordre du jour de cette rencontre figurait l’examen des mesures individuelles, marquant ainsi une étape importante dans le fonctionnement de la justice au Sénégal. À l’issue de cette réunion, plusieurs décisions ont été prises, notamment des changements au sein de différentes juridictions à travers le pays.

Parmi les changements opérés, on note des mouvements au sein de la Cour suprême de Dakar, de la Cour d’appel, de l’administration centrale, ainsi que des cours d’appel de Saint-Louis et de Thiès. Ces ajustements représentent un véritable jeu de chaises musicales au sein du système judiciaire sénégalais, avec pour objectif de renforcer l’efficacité et l’impartialité de l’administration de la justice.

Les détails spécifiques de ces mesures individuelles n’ont pas été immédiatement divulgués, mais ils sont susceptibles d’avoir un impact significatif sur le fonctionnement des juridictions concernées. Il est probable que ces changements reflètent les priorités du gouvernement en matière de réforme judiciaire et de gestion des ressources humaines au sein du système judiciaire.

La transparence et l’objectivité dans la prise de ces décisions sont essentielles pour maintenir la confiance du public dans le système judiciaire. Il est donc crucial que ces mesures soient fondées sur des critères clairs et équitables, visant à promouvoir l’indépendance et l’intégrité de la magistrature.

En conclusion, la réunion du Conseil supérieur de la magistrature et les mesures prises par le chef de l’État témoignent de l’engagement du gouvernement sénégalais envers une justice équitable et efficace. Ces décisions, bien que souvent complexes, sont essentielles pour garantir le bon fonctionnement du système judiciaire et pour renforcer la confiance du public dans l’État de droit.

Conseil supérieur de la magistrature : Voici les mesures prises par le chef de l’Etat à l’issue de la réunion ce vendredi
Conseil supérieur de la magistrature : Voici les mesures prises par le chef de l’Etat à l’issue de la réunion ce vendredi
Conseil supérieur de la magistrature : Voici les mesures prises par le chef de l’Etat à l’issue de la réunion ce vendredi

Scrutin du 24 mars 2024: Le Conseil constitutionnel confirme Bassirou Diomaye Faye, 5e président de la République du Sénégal

Après des semaines d’attente et de suspense, le Conseil constitutionnel du Sénégal a finalement confirmé les résultats de l’élection présidentielle du 24 mars 2024, proclamant Bassirou Diomaye Faye comme le 5e président de la République du Sénégal. Cette décision historique fait suite à l’examen minutieux des résultats par la commission nationale de recensement des votes, confirmant ainsi la victoire éclatante de Bassirou Diomaye Faye.

La coalition Diomaye President peut désormais célébrer la victoire de son candidat, qui succède à une lignée de grands dirigeants sénégalais, notamment Senghor, Abdou Diouf, Abdoulaye Wade et Macky Sall. Bassirou Diomaye Faye entre ainsi dans l’histoire en tant que cinquième chef de l’État du Sénégal, avec la responsabilité immense de diriger le pays vers un avenir meilleur et plus prospère.

La décision du Conseil constitutionnel vient consolider la légitimité de la victoire de Bassirou Diomaye Faye, reflétant la volonté du peuple sénégalais telle qu’exprimée dans les urnes. Cette confirmation met fin à une période d’incertitude et ouvre la voie à une transition politique stable et ordonnée.

Dans sa déclaration, le Conseil constitutionnel a souligné l’intégrité et la transparence du processus électoral, saluant le professionnalisme et l’engagement des institutions impliquées dans l’organisation des élections. Cette validation officielle confirme la crédibilité du système démocratique sénégalais et renforce la confiance du peuple dans ses institutions.

Pour Bassirou Diomaye Faye, c’est le début d’un nouveau chapitre dans sa carrière politique, marqué par d’immenses responsabilités et des défis à relever. En tant que nouveau président, il devra travailler avec détermination et dévouement pour répondre aux attentes et aux aspirations du peuple sénégalais, tout en œuvrant pour la prospérité et le développement du pays.

En conclusion, la confirmation de Bassirou Diomaye Faye en tant que président de la République du Sénégal marque un moment historique pour le pays. C’est le début d’une nouvelle ère de leadership et d’espoir, où les défis seront nombreux mais où les opportunités de progrès et de réussite sont également immenses. Le peuple sénégalais se tourne désormais vers l’avenir avec optimisme et confiance, guidé par un nouveau leader prêt à relever les défis du présent et à construire un avenir meilleur pour tous.

Scrutin du 24 mars 2024: Le Conseil constitutionnel confirme Bassirou Diomaye Faye, 5e président de la République du Sénégal
Scrutin du 24 mars 2024: Le Conseil constitutionnel confirme Bassirou Diomaye Faye, 5e président de la République du Sénégal
Scrutin du 24 mars 2024: Le Conseil constitutionnel confirme Bassirou Diomaye Faye, 5e président de la République du Sénégal
Scrutin du 24 mars 2024: Le Conseil constitutionnel confirme Bassirou Diomaye Faye, 5e président de la République du Sénégal

DIOMAYE, SONKO, MACKY, EN TOUTE COMPLICITÉ : Après la guerre, l’amour ?

« Une image vaut mille mots » ! L’expression trouve tout son sens, voyant les photos de la visite du nouveau président de la République, Bassirou Diomaye Faye, accompagné de son mentor Ousmane Sonko, au chef de l’État sortant, Macky Sall, ce jeudi.

En effet, des images émanant de la Présidence de la République ont capturé les les moments de complicité des quatrième et cinquième chefs d’État sénégalais, en compagnie du farouche opposant d’antan de Macky Sall, Ousmane Sonko.

De telles prises laissent voir qu’il n’y a aucune animosité entre les trois hommes qui se sont mêmes faits des accolades, tout sourire. Au contraire, de ces clichés fusent la joie et une entende profonde qui, elle, n’est possible qu’entre des personnes qui se sont fréquentées pendant au moins un bout de temps. Ces portraits donnent raison aux personnes qui annonçaient qu’ils y avait des pourparlers entre Macky Sall, Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye avant que les deux derniers ne soient affranchis de prison.

Sur ces photos, les regards que portent Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko sur leur aîné, Macky Sall, montrent la profonde admiration qu’ils ont pour le président de la République sortant, Macky Sall qu’ils ont presque adoubé dans leur première déclaration quand ils ont été libérés, préférant s’attaquer au candidat de Benno Bokk Yakaar (BBY), Amadou Ba, sorti deuxième du scrutin présidentiel.

Cette réunion empreinte de courtoisie entre Macky Sall et Bassirou Diomaye Faye, ainsi que des préparatifs pour la passation de pouvoirs, met en lumière l’importance de cette transition politique qui s’est faite dans la douceur.

La cérémonie de passation de service prévue pour le 2 avril revêt une signification symbolique et institutionnelle cruciale, marquant le transfert formel des responsabilités présidentielles.

Les protocoles solennels, discours officiels et gestes symboliques qui accompagnent habituellement cette passation visent à garantir une transition paisible et transparente du pouvoir.

TOUS SECTEURS SOLLICITENT DIOMAYE FAYE : Des défis de taille se profilent

Un désir de renouveau et de leadership axé sur les défis actuels et les aspirations de la jeunesse sénégalaise a immensément contribué à l’élection du président de la République, Bassirou Diomaye Faye, ce 24 mars. Les Sénégalais reposent leur espoir sur le nouveau chef d’État pour apporter des changements positifs et répondre aux besoins et préoccupations les plus urgent.

Depuis l’élection du successeur du président de la République, Macky Sall, les travailleurs de beaucoup de secteurs lui ont soumis leurs doléances, alors que le cinquième président n’a même pas encore pris fonction.

Le secteur de la Santé demande à Diomaye de ne pas répéter les erreurs de son prédécesseur

Les défis prioritaires pour le nouveau président de la République dans le secteur de la santé incluent une gestion adéquate des ressources humaines, la résolution des problèmes liés aux contractuels, et la lutte contre le népotisme. Les syndicats insistent sur la nécessité de réformes pour une meilleure répartition des infrastructures et une gestion plus équitable des ressources humaines afin d’améliorer la qualité des services de santé et la satisfaction des populations.

Les syndicats du secteur de la santé au Sénégal, notamment le SAMES et le SDT3S, expriment leurs préoccupations concernant la gestion des ressources humaines, le traitement des contractuels, et la lutte contre le népotisme dans les structures sanitaires. Ils appellent à une réforme pour une meilleure répartition des infrastructures et une gestion plus équitable des ressources humaines, soulignant l’importance de ces mesures pour améliorer la qualité des services de santé et la satisfaction des populations.

Pour le Syndicat autonome des médecins, pharmaciens, chirurgiens et dentistes du Sénégal (SAMES) met l’accent sur la nécessité d’une nouvelle réforme, en particulier en ce qui concerne une gestion adéquate des ressources humaines. Cette priorité reflète les préoccupations des syndicalistes quant à l’amélioration des conditions de travail et des services de santé dans le pays. Par ailleurs, le Syndicat autonome des médecins, pharmaciens, chirurgiens et dentistes du Sénégal (SAMES) exprime son désaccord avec les politiques antérieures de gestion de la santé sous le régime de Macky Sall. Les syndicats exigent davantage de considération et élaborent des chartes que le gouvernement de Bassirou Diomaye Faye devra respecter. Mamadou Ndour, secrétaire général du SAMES, souligne que les principales priorités résident dans une répartition équitable des infrastructures de santé et une gestion appropriée des ressources humaines. Il insiste sur le fait que ces mesures sont essentielles pour garantir l’accès aux services de santé à la population et ainsi améliorer leur satisfaction globale.

Quant au Syndicat démocratique des travailleurs de la santé et du secteur social (SDT3S), il souligne l’urgence de résoudre la question des contractuels dans les établissements de santé. Les professionnels de la santé tirent des leçons du régime précédent et insistent sur l’importance de ne pas répéter les mêmes erreurs. Cheikh Seck, secrétaire général du SDT3S, met en évidence les effets néfastes du népotisme dans les établissements de santé, soulignant que cela a considérablement affaibli le secteur. Il insiste sur la nécessité d’agir fermement contre cette pratique, soulignant que certaines structures sont infiltrées par des proches de politiciens, ce qui compromet gravement leur fonctionnement. Il évoque également des cas où des individus sans expérience dans le domaine de la santé ont été placés dans des postes, notamment dans le cadre du programme « Xeyu Ndaw Yi » destiné à l’employabilité des jeunes, ce qui nuit à la qualité des services de santé.

Les deux syndicalistes susmentionnés sont d’accord sur le fait que la gestion adéquate des ressources humaines est essentielle pour restaurer la réputation du secteur de la santé. Mamadou Demba Ndour souligne que les professionnels de la santé sont souvent sous-estimés dans ce système, notamment en ce qui concerne la hiérarchie et les régimes indemnitaires. Il donne l’exemple de l’indemnité de logement, où les travailleurs de la santé reçoivent moins que d’autres catégories de fonctionnaires, ce qui contribue à leur sentiment de défavorisation.

Les travailleurs du tourisme demande la reconduction des équipes

Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, est dès à présent, confronté à une demande pressante du Comité de défense des intérêts du secteur du Tourisme, qui plaide pour une restructuration et une organisation structurelle du ministère du Tourisme. Cette demande inclut la réforme des textes, un audit du secteur pour garantir l’application des politiques de l’État, dans le but de redorer l’image de la destination Sénégal. La gestion efficace de ces demandes pourrait être cruciale pour l’avenir du secteur du tourisme dans le pays.

Après avoir adressé ses félicitations au président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, le président du comité, Mohamed Faouzou Dème, est revenu sur leurs aspirations pour le secteur du tourisme, en se concentrant sur trois points principaux. Ces points pourraient inclure des domaines tels que la promotion touristique, le développement des infrastructures et la formation du personnel. Il a également plaidé pour le maintien du personnel même s’il y a eu un changement du régime en ces termes : « nous avons vécu en 12 ans,  huit ministres dans ce même département, donc nous voulons une sérénité, une constance dans ce ministère mais également que nous mettions l’homme qu’il faut à la place qu’il faut », souligne le président Mohamed Faouzou Dème.

Le deuxième programme concerne la restructuration du secteur privé, considéré comme un élément crucial par M. Dème. Il met en avant l’importance d’une organisation claire du secteur privé, notamment en identifiant les acteurs clés et en définissant leurs rôles respectifs. Cette clarification permettrait de mieux aligner les actions du secteur privé sur les politiques définies par le Chef de l’État, afin de répondre aux attentes et aux objectifs du gouvernement dans le domaine du tourisme.

Pour conclure, le président du Comité de défense insiste sur la nécessité de réformer les textes régissant le secteur du tourisme, en se concentrant notamment sur la règlementation, les aspects liés au crédit et à la formation. Il a aussi parlé de l’urgence de réaliser un audit organisationnel pour déterminer le type de ministère nécessaire et pour organiser le secteur privé de manière à ce qu’il contribue de manière efficace à la création de richesse et au paiement des impôts. L’objectif est de garantir la clarté, la transparence et l’équilibre dans le fonctionnement du secteur touristique.

Ces recommandations du secteur touristique pourraient servir de guide pour le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, et son gouvernement dans leurs efforts pour répondre aux besoins de cette branche de l’économie sénégalaise qui subit beaucoup de problèmes accentués par la pandémie liée au Covid-19.

Le Dakarois Quotidien N°144 – du 29/03/24 : DIOMAYE, SONKO, MACKY, EN TOUTE COMPLICITÉ : Après la guerre, l’amour ?

Le Dakarois Quotidien N°144 – du 29/03/24
🔴 DIOMAYE, SONKO, MACKY, EN TOUTE COMPLICITÉ : Après la guerre, l’amour ?

Outrage Public : Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra convoquées par les autorités de Cybercriminalité

Une querelle en ligne entre Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra a pris une tournure judiciaire alors que les autorités de cybersécurité ont été alertées sur des échanges injurieux sur les réseaux sociaux. Selon des sources de Seneweb, les patrouilleurs du web de la Division spéciale de cybersécurité ont remarqué ces échanges et ont agi en conséquence.

Une convocation a été émise à l’encontre des deux protagonistes ce jeudi. Cependant, l’une des parties a demandé un report de convocation, préférant répondre à l’appel demain vendredi.

Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra pourraient faire face à des accusations d’outrage public aux bonnes mœurs, selon nos informations.

Cette affaire met en lumière les défis croissants posés par les échanges en ligne et souligne l’importance croissante pour les autorités de prendre des mesures contre les comportements répréhensibles sur Internet.

Des réformes drastiques : La suppression du CESE, du HCCT, des Fonds Politiques, et bien plus encore, par Bassirou Diomaye Faye

Après sa victoire dès le premier tour des élections, Bassirou Diomaye Faye s’apprête à prendre les rênes du pouvoir avec une série de changements radicaux qui pourraient remodeler le paysage politique sénégalais. Inspiré par le projet Pastef, son programme ambitieux prévoit des réformes profondes touchant à divers aspects de la gouvernance.

Parmi les points saillants de son programme figurent la suppression des fonds politiques présidentiels, ainsi que des organes tels que le HCCT, le CESE et le HCDS. Cette volonté de réduire l’influence politique et de promouvoir une plus grande transparence marque un tournant significatif dans la manière dont le pays est dirigé.

En matière de gouvernance, une indépendance totale des organismes de contrôle est prévue, avec notamment le détachement de l’IGE de la tutelle présidentielle. L’autonomie de l’IGE, de l’OFNAC, de la CENTIF et de la Cour des Comptes dans la définition et la mise en œuvre de leurs programmes est également envisagée, avec le pouvoir de saisir directement le procureur et le juge d’instruction.

Le recrutement pour les postes civils et militaires sera désormais basé sur des concours et des appels à candidatures pour les postes de directeurs généraux, marquant ainsi une rupture avec les pratiques antérieures.

Les femmes ne sont pas oubliées dans ce programme, avec des mesures visant à favoriser leur autonomie économique et à étendre le congé de maternité à six mois. De plus, la renonciation à tous les contrats défavorables pour le Sénégal dans les secteurs des hydrocarbures et de la pêche est annoncée.

Dans le domaine de l’éducation et de la formation, des initiatives telles que la promotion du bilinguisme en introduisant l’anglais dès l’école primaire, la lutte contre les inégalités salariales, et une réflexion sur l’intégration de l’enseignement religieux et des langues nationales sont envisagées. De plus, la création d’un ministère du Numérique est prévue pour répondre aux défis de la société numérique moderne.

En somme, le programme de Bassirou Diomaye Faye promet une ère de changements profonds et de réformes audacieuses qui pourraient redéfinir le paysage politique et social du Sénégal pour les années à venir. Attendons avec impatience de voir comment ces promesses se concrétiseront et quels impacts elles auront sur la vie des citoyens sénégalais.

Édito : Au-delà des Étiquettes, Vers la Compréhension Profonde

Dans le sillage de récentes élections, les discours passionnés et les étiquettes volent bas. Accuser, qualifier de traître, ou louer sans réserve semble être la norme. Mais dans ce tumulte d’opinions polarisées, il est crucial de faire un pas en arrière, de respirer, et d’explorer les nuances qui échappent souvent à la surface.

La politique, souvent tumultueuse et complexe, offre rarement des réponses simples. Les alliances d’hier peuvent se briser aujourd’hui, les actions bien intentionnées peuvent être mal interprétées, et les motivations peuvent être sujettes à des interprétations divergentes.

La question de la trahison, soulevée avec véhémence, nous pousse à nous interroger sur les véritables dynamiques à l’œuvre. Qui a réellement trahi qui, et à quel prix ? Est-ce une question de loyauté envers la patrie ou le parti ? Ou bien y a-t-il des forces cachées qui manipulent les marionnettes du pouvoir ?

Le président SALL, objet de tant de louanges et d’accusations, reste au cœur de ce débat. Est-il vraiment surpris par les résultats des urnes ? Peut-être que derrière ses actions, il y a des stratégies et des calculs politiques qui échappent à la vue du public.

Dans ce tourbillon d’opinions, une vérité demeure : la patrie importe plus que le parti. C’est une maxime qui résonne avec force pour ceux qui prennent le temps d’observer et de comprendre les enjeux réels.

Peut-être que demain, à la lumière de l’histoire, les véritables motivations du président SALL seront éclaircies. Peut-être que les témoins futurs seront en mesure de discerner la véritable victime de la trahison, s’il y en a une.

En fin de compte, alors que nous naviguons à travers les eaux tumultueuses de la politique, gardons à l’esprit l’importance de perdre avec dignité et d’avancer. Car c’est dans la compréhension mutuelle et le respect des différences que réside le véritable progrès vers un avenir meilleur pour tous.

Cheikh

[Photos – Vidéo] Une transition politique en marche: Macky SALL reçoit son successeur, Bassirou Diomaye Faye

Ce jeudi, le Président Macky SALL a accueilli son successeur fraîchement élu, le Président Bassirou Diomaye Faye, pour une rencontre importante marquant le début d’une transition politique au Sénégal. Faye a été élu lors du premier tour de l’élection présidentielle du 24 mars 2024, et cette rencontre entre les deux dirigeants revêt une grande importance pour l’avenir du pays.

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L’atmosphère de la rencontre était empreinte de courtoisie, illustrant le respect mutuel entre les deux hommes ainsi que leur engagement envers une transition pacifique et ordonnée du pouvoir. Au cours de cette rencontre, des discussions approfondies ont eu lieu sur les grands dossiers de l’État, mettant en lumière les défis et les opportunités qui attendent le nouveau gouvernement.

Parmi les sujets abordés figuraient notamment les questions économiques, sociales, et politiques auxquelles le Sénégal est confronté, ainsi que les priorités du nouveau gouvernement en matière de développement et de progrès pour le pays. La cérémonie de prestation de serment et la passation de service ont également été évoquées, soulignant l’importance de ces étapes symboliques dans le processus de transition démocratique.

Après cette rencontre, une visite du palais présidentiel a été organisée, offrant aux deux dirigeants l’occasion de poursuivre leurs discussions dans un cadre solennel et officiel. Cette visite marque le début d’une transition politique significative, où les anciens et les nouveaux dirigeants collaborent pour assurer la continuité et la stabilité de l’État.

En conclusion, la rencontre entre le Président Macky SALL et son successeur, le Président Bassirou Diomaye Faye, symbolise le passage harmonieux du pouvoir au Sénégal. Dans un esprit de coopération et de respect mutuel, les deux dirigeants s’engagent à travailler ensemble pour le bien-être et le progrès du pays, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère pour la nation sénégalaise.

PASSATION DE TÉMOIN AVEC DIOMAYE FAYE : Macky Sall bouscule ses équipes 

 

Le président de la République, Macky Sall, prépare activement la transition du pouvoir en vue de l’installation de son successeur Bassirou Diomaye Faye, élu le 24 mars dernier. Hier, le chef de l’État sortant a demandé au Gouvernement de tout mettre à la disposition de son successeur.

Ce mercredi, lors du dernier Conseil ministériel avec son Gouvernement, Macky Sall a donné des instructions claires pour réunir tous les dossiers à l’attention dunouveau chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye. Cela inclut la préparation minutieuse des dossiers de passation de pouvoirs afin que l’installation se déroule dans les meilleures conditions possibles.

Macky Sall a ainsi demandé au Gouvernement, au Ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République et au Ministre, Secrétaire général du Gouvernement de faire prendre toutes les dispositions requises pour assurer, notamment, la préparation des dossiers de passation de pouvoirs.

Il est noté que le Chef de l’État sortant, Macky Sall, a exprimé à nouveau ses félicitations au candidat Bassirou Diomaye Diakhar Faye pour sa victoire dès le premier tour, faisant de lui le cinquième président de la République du Sénégal depuis son indépendance.

Macky Sall a exprimé sa satisfaction quant à la participation élevée des électeurs, tant nationaux qu’internationaux, ainsi qu’à la transparence du processus électoral, soulignant ainsi le respect continu de l’État de droit au Sénégal.

De plus, il s’est réjoui du bon déroulement de l’élection présidentielle du 24 mars 2024 et a félicité le Ministre de l’Intérieur, l’administration territoriale, l’administration électorale, la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) ainsi que les forces de défense et de sécurité pour leur travail remarquable qui a permis la conduite du scrutin dans le calme et la sérénité.

Macky Sall a également mentionné qu’il a rencontré les missions d’observateurs, au nombre de 2462, qui ont donné des retours positifs sur l’organisation du scrutin. Cela témoigne de la maturité et de la solidité démocratique du Sénégal, où, depuis l’an 2000, en 24 ans, trois alternances au pouvoir se sont déroulées dans la paix et la stabilité.

Le Chef de l’État a continué ses travaux avec son équipe en abordant la conclusion de la mission du Gouvernement et en exprimant sa satisfaction pour les réalisations accomplies dans le cadre du Plan Sénégal Émergent (PSE). Il a saisi cette occasion, représentant le dernier Conseil des Ministres de son mandat pour exprimer sa gratitude envers le peuple sénégalais pour la confiance accordée pendant douze ans à la plus haute fonction de la République.

Le président de la République a exprimé sa reconnaissance envers les pays amis, les partenaires techniques et financiers, ainsi que tous ceux qui l’ont soutenu depuis 2012 dans son engagement envers les Sénégalais. Il a également mis en avant les réalisations importantes du Plan Sénégal Émergent dans divers domaines, soulignant ainsi son impact positif sur la vie économique, sociale, culturelle et environnementale du pays, et son importance en tant qu’héritage pour les générations présentes et futures.

Le président de la République a également rendu hommage aux forces de défense et de sécurité, à l’administration sénégalaise, au secteur privé, aux leaders religieux et coutumiers, ainsi qu’aux jeunes, aux femmes et à toutes les forces actives du pays. Il a appelé à poursuivre les efforts pour construire un Sénégal pacifique, réconcilié, prospère et solidaire.

En outre, il a discuté de la célébration de la fête nationale du 4 avril, demandant au Ministre des Forces Armées de coordonner avec les acteurs institutionnels pour garantir une organisation adéquate des événements à travers le pays.

 

 

Le chef de l’État sortant a exprimé sa satisfaction quant au déroulement de l’élection et a remercié le peuple sénégalais ainsi que les partenaires internationaux pour leur soutien. De plus, il a souligné les réalisations du Plan Sénégal Émergent et a appelé à la continuité du travail pour un Sénégal prospère et solidaire. Enfin, il a abordé la célébration de la fête nationale du 4 avril, soulignant l’importance d’une organisation adéquate des événements à travers le pays.

[Infographies ] Résultats provisoires des départements

COMMUNIQUE N° 0012-0324 : HOMMAGE AU PEUPLE SENEGALAIS ET FELICITATIONS AU NOUVEAU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

Faisant suite à l’élection du nouveau Président de la République, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) félicite le peuple sénégalais d’avoir encore une fois montré à la face du monde que le Sénégal est une grande Nation, que ses hommes et ses femmes le sont davantage, à travers leur maturité, leur tolérance, leur sens de l’acceptation de l’État de Droit et de la démocratie.

L’ADHA félicite le tout nouveau Président de la République, ainsi que l’ancien Président Monsieur Macky SALL pour avoir organisé les élections dans les meilleurs délais, avec une organisation matérielle satisfaisante dans l’ensemble.

L’ADHA félicite par ailleurs tous les autres candidats qui étaient en compétition et qui ont su reconnaitre la victoire de la coalition DIOMAYE PRÉSIDENT 2024 dès les premières heures suivant la clôture des opérations électorales.

L’ADHA invite ensuite toutes les forces vives de la nation à accompagner le nouveau Président de la République, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, pour une prise de fonction honorable.

Enfin, l’ADHA annonce qu’un mémorandum qui reprendra les points jugés essentiels ainsi que les possibles réformes qui s’imposent afin d’opérer une rupture, sera présenté à la future nouvelle équipe gouvernementale, en guise de contribution sur les attentes les plus cruciales du peuple Sénégalais.

Fait à Dakar, le 27 Mars 2024

Le Bureau exécutif de l’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA)

Le Président Bassirou Diomaye Faye et la Promesse du changement !

Dans un Sénégal vibrant d’espoir et de dynamisme, la promesse du changement s’incarne dans l’ascension politique du Président Bassirou Diomaye Faye. Sa récente élection est le reflet d’un peuple en quête d’équité et de justice, aspirant à remodeler le paysage politique et économique du pays.

Le Sénégal, avec son économie en croissance, fait face à des défis structurels significatifs. La répartition des richesses et des opportunités économiques reste un sujet de préoccupation, avec une tendance observée où les ressources nationales sont souvent gérées par une fraction de la population. Cette situation a contribué à un déficit public de 6,5% en 2022 et à une augmentation de la dette nationale à 75% du PIB. Ces indicateurs soulignent l’importance d’une gestion budgétaire plus équilibrée pour assurer un développement durable et inclusif pour tous les Sénégalais

La violence économique, résultat de cette disparité, est de plus en plus rejetée par les citoyens. Les urnes ont parlé, appelant à un changement radical face à un État budgétivore où moins de 200 000 fonctionnaires (171 634 agents en 2023 avec une masse salariale de 1 273 milliards) absorbent une part significative du budget national, laissant le secteur informel, qui représente 97% des entreprises, dans une précarité persistante.

L’élection du Président Bassirou Diomaye Faye marque un tournant dans l’histoire politique du Sénégal. Au-delà de la personne du nouveau président, elle traduit le désir ardent de la majorité des Sénégalais de mettre fin à des pratiques ancrées : le “took mouy dokh”, la captation des ressources par une minorité politique et sociale. Ces pratiques ont longtemps alimenté une économie de privilèges et d’exclusion.

La victoire du Président Faye, avec plus de 75% des voix concentrées sur les deux candidats de tête, révèle une volonté populaire de voir émerger un duel politique clair, signe d’une maturité démocratique grandissante. Cette physionomie des résultats appelle à une réorganisation du jeu politique, axée sur l’efficience et la rationalisation des ressources. Un contrôle rigoureux du financement politique et une structuration du pôle de l’opposition sont impératifs pour assurer une gouvernance transparente et responsable.

Le poids de la jeunesse sénégalaise, véritable bombe à retardement, ne peut être ignoré. Ces jeunes, qui ont majoritairement rejeté l’ancien régime, aspirent à une économie dynamique et inclusive. Il est crucial de favoriser l’adaptation des formations professionnelles aux besoins réels de l’économie et d’impulser un élan de consommation locale pour stimuler la production interne.

Enfin, la citoyenneté sénégalaise se trouve à un point d’inflexion. L’engouement des jeunes et leur expression populaire constituent une base solide pour construire un sentiment national fort. À partir de cette effervescence, il est possible de développer de nouveaux réflexes axés sur la propreté, le civisme et l’ordre, répondant ainsi aux besoins quotidiens des Sénégalais.

Alors que le Sénégal se tient à l’aube d’un renouveau, le mandat confié au Président Faye porte en lui le potentiel de transformer radicalement notre pays. Nous lui souhaitons de réussir à réconcilier les Sénégalais, et de relever les immenses défis qui se dressent sur son chemin.

Aboubakr Khalifa Kebe

khalifamakhtar@gmail.com

Le Dakarois Quotidien N°143 – du 28/03/24 : Résultats provisoires de la CDRV : Bassirou Diomaye faye confirmé avec 54,28%

Le Dakarois Quotidien N°143 – du 28/03/24
🔴 Résultats provisoires de la CDRV : Bassirou Diomaye faye confirmé avec 54,28%

Scandale Financier chez Orabank : Le Chef d’Agence accusé de vol de 400 Millions de F CFA

Après le récent scandale impliquant 6 milliards de francs CFA, Orabank se retrouve à nouveau au centre d’une affaire financière retentissante. Cette fois, selon les révélations de L’Observateur, un montant de 400 millions a été détourné du compte Wave au sein de l’établissement financier.

Selon les informations fournies, 11 suspects ont été appréhendés par la Division des investigations criminelles (DIC) et inculpés pour une série de délits, notamment l’association de malfaiteurs, le vol aggravé, l’intrusion frauduleuse dans un système bancaire, le faux et l’usage de faux en écritures privées de banque, ainsi que la complicité de ces mêmes chefs d’accusation.

L’enquête a été déclenchée suite à une plainte déposée par le directeur juridique et contentieux d’Orabank, Aliou Watt. Les investigations ont révélé que plusieurs membres du groupe de malfaiteurs étaient titulaires de comptes bancaires dans l’établissement, avec comme cerveau présumé le chef d’agence d’Orabank de Diamniadio, E. C. Dia.

Selon le mode opératoire détaillé par L’Obs, le chef d’agence aurait transféré les fonds volés dans 14 comptes différents afin d’éviter de soulever des suspicions chez les contrôleurs. Les clients de la banque étaient alors en mesure de retirer l’argent détourné. Par exemple, l’un des détenteurs de compte, P. D. Ka, aurait reçu un virement de 28 millions.

Lorsqu’il a été interrogé par son gestionnaire de compte sur l’origine de cette somme, le suspect a prétendu qu’elle provenait des États-Unis. Il aurait ensuite utilisé une partie de cet argent pour acheter un véhicule, avant de confier le reste à un ami, S. Keita, pour éviter les questions embarrassantes de son gestionnaire de compte. Ce dernier a été arrêté sur place par les autorités.

D’autres individus, tels que S. I. Sarr, A. Ciss, et G. O. A. Simba, également arrêtés, sont accusés d’avoir reçu des sommes allant de 7 à 27 millions.

Ce nouveau scandale financier secoue une fois de plus le secteur bancaire et soulève des questions sur la sécurité des fonds déposés dans les institutions financières. Il met également en lumière l’importance d’une surveillance accrue et de mécanismes de contrôle plus rigoureux pour prévenir de tels abus à l’avenir.

Affrontements violents à Pikine : Un bus incendié suite à des allégations de brutalité Policière

Des scènes de violence ont éclaté ce mercredi à Pikine, où des affrontements violents ont opposé des jeunes manifestants aux forces de l’ordre. Ces événements surviennent suite à des allégations selon lesquelles la police aurait battu à mort l’un des leurs.

La tension a atteint son paroxysme lorsque des individus en colère, accusant la brigade de Pikine d’être responsable de cette tragédie, ont pris pour cible un bus de la compagnie Dakar Dem Dikk, l’incendiant dans un geste de représailles.

Ces affrontements soulignent les profondes tensions et le mécontentement au sein de la population de Pikine, exacerbés par des allégations de brutalité policière et d’abus de pouvoir. Les manifestations et les émeutes qui en résultent mettent en lumière les préoccupations croissantes concernant le respect des droits de l’homme et la justice sociale dans la région.

La situation demeure volatile et évolutive, avec des informations supplémentaires attendues dans les heures à venir. Il est crucial que les autorités locales et nationales agissent avec diligence pour apaiser les tensions et rechercher une solution pacifique à cette crise.

Les événements à Pikine rappellent l’importance cruciale d’une réforme policière et d’un dialogue ouvert entre les autorités et la population pour répondre aux préoccupations légitimes et restaurer la confiance dans les institutions publiques.

Message de Mohammed VI à Bassirou Diomaye Faye : Renforcement des Liens entre le Maroc et le Sénégal

Le roi Mohammed VI du Maroc a formulé un message chaleureux de félicitations au président élu, Bassirou Diomaye Faye, exprimant sa détermination à renforcer le partenariat stratégique entre les deux nations.

Dans ce message transmis mardi, le souverain marocain a souligné son engagement envers la diversification et le renforcement du partenariat stratégique existant, visant à servir les jeunes générations des deux pays et à promouvoir une Afrique unie et prospère. L’Agence Marocaine de Presse (MAP) a relayé ces propositions, rapportées par l’Agence de Presse Sénégalaise (APS).

« Le peuple sénégalais vous a confié le soin de présider aux destinées de votre Nation en vous élisant, dès le premier tour, à la présidence de la République du Sénégal. Je vous félicite et vous adressez mes vœux les meilleurs de plein succès dans l’exercice de vos hautes fonctions », a déclaré le roi Mohammed VI dans son message.

Le souverain a également mis en avant les valeurs communes partagées par les peuples marocain et sénégalais, basées sur une tradition culturelle et spirituelle solide qui a toujours été au cœur des relations bilatérales.

« Le lien privilégié qui unit le Maroc et le Sénégal est un héritage précieux que nos deux pays ont toujours su honorer. Vous pouvez compter sur la fidèle disposition du Roya

Alerte ! 48 Sénégalais, dont 6 femmes, enfermés dans une maison au Maroc : Appel à l’aide lancé

Une nouvelle situation urgente s’ajoute aux défis du président nouvellement élu, Bassirou Diomaye Faye. L’ONG Horizon sans frontières (HSF) a sonné l’alarme sur le sort précaire des Sénégalais en détresse au Maroc.

Dans un appel pressant prévu aux autorités sénégalaises, le président de l’organisation, Boubacar Sèye, a informé que ces compatriotes sont au nombre de 48, parmi lesquels figurent 6 femmes.

« Ils sont tous enfermés dans une maison à 300 km de la capitale marocaine », précise la déclaration du spécialiste des questions migratoires, rapportée par Vox Populi.

La note continue : « D’après notre interlocuteur, qui a eu au téléphone l’un d’entre eux, ils seraient très fatigués et très mal nourris depuis des jours. Ils souhaitent que tous soient rapatriés ».

Cette situation critique nécessite une action rapide et coordonnée des autorités sénégalaises pour assurer la sécurité et le bien-être de ces concitoyens en détresse. Leur rapatriement et leur prise en charge doivent être une priorité absolue.

Il est également essentiel que la communauté internationale soit sensibilisée à cette situation et apporte son soutien pour garantir un dénouement rapide et à cette crise humanitaire.

Le président Bassirou Diomaye Faye et son gouvernement sont appelés à agir promptement pour venir en aide à ces Sénégalais en détresse au Maroc et à prendre les mesures nécessaires pour prévenir de telles situations à l’avenir.

Communiqué du Conseil des ministres du 27 Mars 2024

COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 27 MARS 2024
Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 27 mars 2024 au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Macky SALL.
A l’entame de sa communication, le Président de la République a salué le bon déroulement de l’élection présidentielle du 24 mars 2024, en félicitant le Ministre de l’Intérieur, l’administration territoriale, l’administration électorale, la CENA, ainsi que les forces de défense et de sécurité dont l’engagement et le travail de qualité ont permis la tenue du scrutin dans le calme et la sérénité.
Le Chef de l’Etat s’est aussi félicité de la forte mobilisation des électeurs sur l’étendue du territoire national et à l’étranger, ainsi que de la transparence du scrutin qui confirment que le Sénégal demeure un Etat de droit.
Le Président de la République est aussi revenu sur l’audience qu’il a accordée aux missions d’observateurs, au nombre de 2462, et qui ont porté une appréciation positive sur l’organisation du scrutin, confirmant ainsi la maturité et l’ancrage républicain de la démocratie sénégalaise, qui va connaître, depuis 2000, en 24 ans, trois (3) alternances au pouvoir qui se sont déroulées dans la paix et la stabilité.
Le Chef de l’Etat a également réitéré ses félicitations au candidat Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, élu au premier tour Président de la République du Sénégal, le 5ème du Sénégal indépendant.
En vue de l’installation dans les meilleures conditions du nouveau Président de la République élu, le Chef de l’Etat a demandé au Gouvernement, au Ministre, Secrétaire général de la Présidence de
la République et au Ministre, Secrétaire général du Gouvernement de faire prendre toutes les dispositions requises pour assurer, notamment, la préparation des dossiers de passation de pouvoirs.
Poursuivant sa communication sur la fin de mission du Gouvernement et sa satisfaction du travail accompli avec la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent, le Chef de l’Etat a saisi l’occasion de ce dernier Conseil des Ministres de son magistère, pour remercier le peuple sénégalais qui lui a fait confiance durant douze années, à la plus haute fonction de la République.
Le Président de la République a, en outre, remercié et félicité les pays amis, les partenaires techniques et financiers, l’ensemble des Gouvernements, son Cabinet, le Secrétariat général de la Présidence de la République et toutes les personnes civiles et militaires qui l’ont accompagné, depuis 2012, dans son action au quotidien au service des sénégalaises et des sénégalais.
Le Chef de l’Etat a rappelé sa satisfaction quant au bilan remarquable de la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent (PSE) avec des réalisations fondamentales dans tous les secteurs de la vie économique, sociale, culturelle et environnementale. Ce qui constitue un legs notable aux générations actuelles et futures.
Le Président de la République a, enfin, rendu un vibrant hommage aux forces de défense et de sécurité, à l’administration sénégalaise dans toutes ses composantes, au secteur privé, aux notabilités religieuses et coutumières, aux jeunes, aux femmes et à toutes les forces vives de la Nation qui doivent continuer à travailler ensemble pour un Sénégal apaisé, réconcilié, résilient, prospère et solidaire.
Revenant sur la célébration de la Pâques, le Chef de l’Etat a adressé ses chaleureuses félicitations et sa solidarité à la communauté chrétienne, à l’occasion de la Semaine sainte, et de la célébration de la Pâques.
Sur le climat social, le suivi et la gestion des affaires intérieures, le Président de la République a évoqué la célébration de la fête nationale du 4 avril, en demandant au Ministre des Forces armées,
de prendre toutes les dispositions avec les acteurs institutionnels concernés, pour la bonne organisation de la levée des couleurs au palais de la République et les célébrations sur l’étendue du territoire national.
Dans sa communication, le Premier Ministre a rendu un hommage appuyé et formulé ses remerciements sincères à l’endroit du Chef de l’Etat et à l’ensemble des membres du gouvernement qui, avec loyauté, force et détermination, se sont évertués, sans relâche, à la mise en œuvre des orientations du Président de la République.
Le Premier Ministre est aussi revenu sur le bilan élogieux du Chef de l’Etat à la tête du Sénégal, fait de progrès incontestables et de réalisations majeures au grand bénéfice des populations.

AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES
• le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur la situation internationale et le bilan de l’action diplomatique du Président de la République ces douze dernières années ;
• le Ministre de l’Agriculture, de l’Equipement rural et de la Souveraineté alimentaire a fait une communication sur le suivi de la campagne de commercialisation de l’arachide 2023/2024, la campagne de contre saison froide 2023/2024, les exportations de produits horticoles et le matériel agricole.

AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES
Le Conseil a examiné et adopté :
• le projet de décret fixant les règles d’organisation et de fonctionnement de l’Office des forages ruraux (OFOR) ;
• le projet de décret portant composition et fonctionnement du Conseil consultatif des Arts, des Lettres et de la Culture ;
• le projet de décret portant dénomination du Lycée scientifique d’excellence de Diourbel, « Lycée scientifique d’excellence Abdoul Aziz Wane de Diourbel »;
• le projet de décret portant dénomination du Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité (LINEQ) de Sédhiou « Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité Moctar Kébé de Sédhiou » ;
• le projet de décret portant dénomination du Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité (LINEQ) de Kaffrine « Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité Momar Talla Cissé de Kaffrine » ;
• le projet de décret portant dénomination du Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité (LINEQ) de Ndioum « Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité Ibra Mamadou Wone de Ndioum » ;
• le projet de décret portant dénomination du Lycée de Coki « Lycée Sacoki Ndiaye de Coki » ;
• le projet de décret portant dénomination du Lycée d’enseignement général de Kolda sis au quartier Bouna Kane à Kolda « Lycée Alassane Oumar Baldé de Kolda ».

Souleymane Jules Diop défend le nouveau président Bassirou Diomaye Diakhar Faye contre les critiques

Après la première apparition publique du président Bassirou Diomaye Diakhar Faye, bon nombre de Sénégalais ont exprimé des critiques concernant divers aspects de sa performance. Certains ont remis en question son style vestimentaire, tandis que d’autres ont souligné des répétitions et des hésitations dans son discours. Cependant, une voix s’est élevée pour défendre le président fraîchement élu, et cette voix appartient à Souleymane Jules Diop, ambassadeur et délégué permanent du Sénégal à l’UNESCO.

Sur sa page Facebook, Souleymane Jules Diop a exprimé son indignation face aux premières critiques dirigées contre le nouveau chef de l’État avant même son investiture officielle. Il a souligné que le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye avait été élu démocratiquement et largement par le peuple sénégalais, et qu’il mérite donc respect et soutien, quels que soient les choix individuels des électeurs.

Souleymane Jules Diop reconnaît que le président nouvellement élu peut avoir des lacunes, mais il insiste sur le fait que ces lacunes sont surmontables et que le président aura l’opportunité d’apprendre et de s’améliorer avec le temps. Il souligne également l’importance cruciale des conseillers, des ministres et de l’administration dans la prise de décision du président, tout en rappelant que personne n’est parfait et que des défauts subsisteront toujours.

En conclusion, Souleymane Jules Diop appelle à un soutien inconditionnel envers le nouveau président et à une attitude constructive vis-à-vis de ses actions et de ses décisions à venir. Il encourage la nation sénégalaise à se rassembler pour aider le président à exprimer au mieux ses qualités d’humilité et d’empathie, tout en travaillant ensemble pour surmonter les défis à venir.

La Cour d’appel de Dakar dévoilera les résultats provisoires de l’élection présidentielle 2024 à 17h

La nation sénégalaise retient son souffle alors que la Cour d’appel de Dakar s’apprête à révéler les résultats provisoires de l’élection présidentielle de 2024 aujourd’hui à 17h. Sous la présidence du Premier Président de la Cour, Amady Diouf, la Commission nationale de recensement des votes tiendra une session cruciale au tribunal de Dakar pour annoncer ces résultats tant attendus.

Le peuple sénégalais a participé massivement au scrutin présidentiel qui s’est tenu le dimanche 24 mars dernier, exprimant ainsi son engagement démocratique. Cette annonce des résultats provisoires marque une étape essentielle dans le processus électoral, précédant la proclamation officielle des résultats définitifs.

L’attention du pays est désormais tournée vers le tribunal de Dakar, où les regards sont rivés sur la Cour d’appel pour obtenir des indications cruciales sur l’avenir politique du Sénégal. Les résultats provisoires dévoilés aujourd’hui donneront le ton aux débats et aux spéculations qui animeront la scène politique dans les jours à venir.

Restez connectés pour les dernières mises à jour alors que le Sénégal attend avec impatience cette annonce historique qui façonnera le paysage politique pour les années à venir.

La Place de Sonko dans la Présidence de Diomaye : La Réponse d’Elimane Kane

Elimane Kane, président de l’ONG Legs Africa, a émis son point de vue sur la potentielle place d’Ousmane Sonko dans la présidence de Bassirou Diomaye Faye, soulignant qu’elle devrait être celle d’un conseiller, voire d’un membre du gouvernement si tel est son souhait.

Lors d’une intervention mardi sur RFM Matin, M. Kane a mis en avant le fait que bien que Sonko, en tant que leader politique, ait certainement eu une influence sur l’élection de Bassirou Diomaye Faye, c’est ce dernier qui détient désormais le pouvoir présidentiel et qui est responsable de la direction politique du pays.

Il a souligné le principe fondamental selon lequel, dans une République, le président est celui qui a le pouvoir de décider et de diriger la nation, tandis que Sonko ne peut être qu’un conseiller ou un membre du gouvernement. Kane a également insisté sur le fait que le fauteuil présidentiel n’est pas sujet à être partagé, et que les comptes à rendre sont ceux du président élu, en l’occurrence, Diomaye Faye.

En ce qui concerne une éventuelle recherche d’un deuxième mandat sans nécessairement contrôler le parti, Kane a souligné l’importance pour Diomaye Faye de comprendre qu’il a été élu par l’ensemble de l’électorat, pas seulement par les membres de son parti. Il a ainsi suggéré que le président élu doit être conscient de son mandat représentatif et de la nécessité de répondre aux attentes de l’ensemble de la population sénégalaise.

Thiès-Département : Bassirou Diomaye Faye devance Amadou Bâ de 93 852 Voix

Les résultats définitifs du dépouillement des votes dans le département de Thiès ont été annoncés à l’issue des travaux de la commission départementale de recensement, achevés tard dans la soirée du mardi 26 au mercredi 27 mars.

Selon les chiffres officiels, le département de Thiès compte un total de 395 942 électeurs inscrits. Sur ce nombre, 255 768 ont participé au vote, soit un taux de participation estimé à 64,60%. Parmi eux, 5 968 ont voté en dehors des bureaux de vote. Le nombre de bulletins nuls s’élève à 1 479, laissant ainsi 254 289 suffrages valablement exprimés.

Ces résultats placent en tête le candidat Bassirou Diomaye Diakhar Faye, qui a recueilli 152 047 voix, représentant 59,79% des suffrages exprimés. Il est suivi par l’ancien Premier ministre et candidat de la mouvance présidentielle, Amadou Bâ, avec 58 195 voix, soit 22,88%.

Idrissa Seck, président du parti Rewmi, occupe la troisième position avec 17 527 voix, soit 6,89%. Quant au candidat du PUR, Aliou Mamadou Dia, il a obtenu 12 020 voix, représentant 4,72% des suffrages exprimés.

Thierno Alassane Sall, leader de La République des Valeurs (RV), arrive en cinquième position avec 3 088 voix.

L’écart entre Bassirou Diomaye Faye et Amadou Bâ est significatif, avec une avance de 93 852 voix en faveur de Bassirou Diomaye Faye. Ces résultats marquent une étape importante dans la course à la présidence, reflétant les choix des électeurs dans ce département clé.

Célébration de la Fête de l’Indépendance : Bassirou Diomaye Faye Présidera la Prise d’Armes

Cette année, le traditionnel défilé militaire sur le boulevard du Centenaire ne sera pas au programme. Pour sa dernière célébration de la fête de l’indépendance en tant que président de la République, Macky Sall avait déjà opté pour la sobriété, suite au report projeté de l’élection présidentielle.

Selon les informations divulguées par Libération, la prise d’armes prévue à la Place de l’Indépendance le 4 avril prochain sera présidée par le successeur désigné de Macky Sall, Bassirou Diomaye Faye, élu lors du scrutin présidentiel du 24 mars dernier.

Cette cérémonie marquera ainsi la première apparition officielle de Bassirou Diomaye Faye en qualité de chef suprême des armées, puisqu’il entrera en fonction le 2 avril, deux jours avant l’événement.

Ce passage de témoin symbolique signifie le début d’un nouveau chapitre pour le pays, alors que Bassirou Diomaye Faye prend les rênes du pouvoir présidentiel. Les regards du pays seront tournés vers la Place de l’Indépendance pour cette occasion mémorable.

Le Dakarois Quotidien N°142 – du 27/03/24 : Scène d’horreur politique : Macky Sall critiqué par ses propres alliés

Le Dakarois Quotidien N°142 – du 27/03/24
🔴 Scène d’Horreur Politique : Macky Sall Critiqué Par Ses Propres Alliés

Adji Sarr : Révélations sur un Exil Annoncé

Les images de Adji Sarr poussant un charriot rempli de valises dans un aéroport étranger a fait le tour des réseaux sociaux. Certaines voix affirment que l’ancienne masseuse débarquait ainsi en Suisse. Mais L’Observateur rapporte dans son édition de ce mercredi qu’«il sembleraient que la réalité sur sa destination soit tout autre».

«Le point de chute de l’accusatrice de Ousmane Sonko serait le Canada, avance le journal. D’après une source proche de Adji Sarr, cette dernière aurait quitté le Sénégal il y a plusieurs jours, pour se rendre en Mauritanie. C’est via ce pays frontalier qu’elle aurait pris les airs en direction du Canada où elle est arrivée avant-hier [lundi 25 mars] dans la matinée.»    

Le quotidien du Groupe futurs médias déclare que «les raisons de ce voyage, en toute discrétion, restent encore inconnues». Il se demande si celui-ci ne serait pas lié à l’accession au pouvoir de Bassirou Diomaye Faye de Pastef, parti de Sonko.

 

Risques de famine au Sénégal : Le CILLS sonne l’alerte

Le Sénégal est confronté à une situation alarmante d’insécurité alimentaire avec plus de deux. Ent soixante-dix mille (270 000) personnes actuellement en phase de crise alimentaire dans plusieurs surtout localisées dans plusieurs localités dont Pikine, Dakar, Mbacké, Guiguinéo, Kédougou, Linguère et Goudiry, selon les conclusions de la concertation régionale sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel.

Le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) alerte sur la possibilité d’une période de soudure difficile pour les populations avec environ quarante-quatre (44) millions de personnes susceptibles de se retrouver en situation d’insécurité alimentaire et nutritionnelle.

Cette crise est exacerbée par des sanctions et des mesures de restriction de l’exportation des produits alimentaires, entraînant des perturbations dans la chaîne d’approvisionnement et des hausses des prix des produits de base.

Le CILSS prévoit une augmentation des populations vulnérables, avec une période critique projetée pour juin-juillet-août 2024, et une possible installation de la crise dans deux nouveaux départements, Goudiry et Salémata.

La diminution des stocks alimentaires et la hausse des prix contribuent à la dégradation de la situation alimentaire des ménages.

Paul Kagame félicité Bassirou Diomaye Faye pour sa victoire à la Présidentielle de 2024

Le président du Rwanda, Paul Kagame, s’est joint à la cohorte des dirigeants mondiaux pour adresser ses chaleureuses félicitations à Bassirou Diomaye Faye, fraîchement élu président du Sénégal. Cette salutation s’inscrit dans la lignée des messages de félicitations déjà exprimées par des personnalités telles qu’Emmanuel Macron, président français, à l’égard de l’ancien inspecteur des impôts et domaines.

Dans un post publié sur X, Paul Kagame a partagé ses vœux sincères envers le nouveau président sénégalais : « Mes sincères félicitations à Bassirou Diomaye Faye pour son élection comme Président du Sénégal. Votre victoire est un véritable témoignage de la confiance du peuple sénégalais, que je félicite pour le déroulement pacifique des élections. Je me réjouis de renforcer davantage les bonnes relations entre nos deux nations ».

Cette déclaration de félicitations reflète l’importance des relations bilatérales entre le Sénégal et le Rwanda, tout en soulignant le respect et l’admiration de Paul Kagame pour la démocratie et la volonté du peuple sénégalais. Elle témoigne également de l’engagement mutuel à renforcer les liens entre les deux pays dans les domaines politiques, économiques et sociaux.

La reconnaissance de la victoire de Bassirou Diomaye Faye par un leader africain influent comme Paul Kagame renforce l’importance et la légitimité du processus électoral sénégalais aux yeux de la communauté internationale. Cette marque de confiance et de soutien augure des relations prometteuses entre le nouveau président sénégalais et les autres nations africaines, renforçant ainsi la coopération et la solidarité sur le continent.

Alors que Bassirou Diomaye Faye entame son mandat présidentiel, les félicitations de Paul Kagame servent non seulement de témoignage de respect et d’encouragement, mais aussi d’engagement en faveur d’une collaboration constructive et fructueuse entre le Sénégal et le Rwanda dans les années à venir.

Tragique incident à Yeumbeul Layenne : Un homme décède subitement en pleine rue

Une tragédie a frappé la communauté de Yeumbeul Layenne ce mardi 26 mars 2024, lorsqu’un homme, avançant tranquillement dans la rue, a chuté et a perdu la vie sur le coup. L’incident, survenu de manière inattendue, a plongé la localité dans le choc et la tristesse.

Selon les témoins oculaires présents au moment des faits, l’homme, décrit comme étant d’un âge avancé, se déplaçait paisiblement dans la rue avant de tomber subitement, sans qu’aucune cause apparente ne soit identifiée dans l’immédiat.

Les sapeurs-pompiers ont été alertés et sont rapidement intervenus sur les lieux pour récupérer le corps de la victime, afin de procéder aux formalités nécessaires. Pendant ce temps, les autorités policières ont ouvert une enquête pour élucider les circonstances exactes de cet événement tragique et pour retrouver la famille de l’homme décédé.

La perte de cet individu a provoqué une profonde onde de choc au sein de la communauté de Yeumbeul Layenne, où les résidents sont encore sous le choc de cette nouvelle. Des messages de soutien et de condoléances affluents déjà en direction de la famille endeuillée, tandis que les habitants essayaient de comprendre et de surmonter cette douloureuse épreuve.

Dans ces moments difficiles, la solidarité et le réconfort de la communauté sont plus que jamais nécessaires pour soutenir ceux qui sont touchés par cette tragédie inattendue. Les pensées et les prières de toute la région accompagnent la famille du défunt dans cette période de deuil et de douleur.

Nous espérons que l’enquête en cours apportera des réponses et de la clarté sur les circonstances de cet incident, tandis que nous exprimons nos plus sincères condoléances à la famille et aux proches de l’homme décédé. Puissent-ils trouver la force et le réconfort nécessaire pour faire face à cette terrible épreuve.

Le Ministre de l’Intérieur s’exprime sur la transition présidentielle : Un hommage à Macky Sall et des vœux pour Bassirou Diomaye Faye

Dans une interview accordée à TV5 Monde, le Ministre de l’Intérieur, Mouhamadou Makhtar Cissé, a livré un message empreint de respect et de perspective sur la transition présidentielle au Sénégal. Ses paroles ont été marquées par un adieu à l’ancien Président Macky Sall, ainsi que des vœux de réussite et de prospérité pour le nouveau Président, Bassirou Diomaye Faye.

Tout d’abord, Mouhamadou Makhtar Cissé a tenu à rendre hommage à l’ancien chef de l’État, Macky Sall, en reconnaissant son rôle dans l’histoire du pays. « Le président de la République sortant Macky Sall, je lui souhaite un repos bien mérité », a-t-il déclaré. Il a souligné que bien que certaines actions puissent ne pas être comprises à l’époque, c’est souvent l’histoire qui a restauré la vérité et le mérite des grands hommes politiques.

En ce qui concerne le nouveau Président, Bassirou Diomaye Faye, le Ministre de l’Intérieur a exprimé des vœux sincères de paix, de santé et de succès. Reconnaissant la charge difficile qui représente la présidence, il a souhaité à Bassirou Diomaye Faye la sérénité et la lucidité nécessaire pour prendre les meilleures décisions au profit du peuple sénégalais.

« S’il réussit, c’est à notre profit », a affirmé Mouhamadou Makhtar Cissé, soulignant l’importance de la réussite du Président pour le bien-être de tous les Sénégalais. Il a également souligné le parcours et la préparation de Bassirou Diomaye Faye, le qualificatif de « produit de la haute administration de l’État ». Selon le ministre, cette expérience prépare le nouveau Président à la tâche qui l’attend.

En conclusion, les paroles du Ministre de l’Intérieur témoignent d’un respect profond pour le passé politique du pays tout en exprimant un optimisme mesuré quant à l’avenir avec le nouveau

ÉLECTION DE BASSIROU DIOMAYE FAYE : Les cheminots grévistes lèvent leur mot d’ordre

Les travailleurs ont exprimé leur mécontentement à la gare ferroviaire de Thiès ce mardi 26 mars, où les trains assurant la liaison Thiès-Diamniadio sont restés en gare. Ils déplorent le silence de l’État face à leurs revendications, ce qui a entraîné des perturbations dans le service ferroviaire.

Les cheminots retraités continuent de bloquer le trafic ferroviaire sur la ligne Thiès-Diamniadio pour réclamer une revalorisation de leurs pensions, qu’ils estiment être en attente de paiement de la part de l’État, à hauteur de deux (2) milliards de Francs CFA. Le président de l’Entente des ex-temporaires et régis des chemins de fer du Sénégal précise que ce blocage est une mesure d’urgence, effectuée à contrecoeur, pour attirer l’attention sur leur situation. Ces retraités considèrent qu’ils méritent une pension adéquate après avoir consacré leur carrière au service des chemins de fer.

Malgré l’appel à la patience lancé par le Directeur de l’Exploitation des Grands Trains du Sénégal (GTS), Mamadou Diop, les anciens cheminots retraités ont choisi de maintenir leur mobilisation à l’intérieur de la gare, exprimant ainsi leur détermination à faire entendre leurs revendications malgré le contexte politique actuel. En effet, un nouveau chef d’Etat a été élu dimanche dernier. « Actuellement, on va vers un changement de gouvernement et qu’il faudrait qu’ils attendent de nouveaux interlocuteurs, nouveau ministre de tutelle pour engager des discussions », a expliqué M. Diop.  

Finalement, les grévistes ont accepté les arguments du directeur et ont levé le mot d’ordre de grève. M. Diop a saisi cette opportunité pour rassurer les usagers quant à la reprise du trafic. Il a souligné l’engagement pris envers les usagers des Grands Trains du Sénégal en assurant que les trains continueront de circuler à partir de Diamniadio, en collaboration avec le TER. Cette mesure démontre un engagement envers la satisfaction des besoins des voyageurs.

ENTRE FAUX MÉDICAMENTS, AILERONS DE REQUINS ET CHANVRE INDIENS : Les saisies records de la douane

La douane sénégalaise a récemment mis en place de nouvelles orientations pour lutter contre le trafic illicite, notamment en renforçant les stratégies de sécurisation de la chaîne logistique internationale. Au cours du mois de mars, plusieurs saisies ont été réalisées. Parmi celles-ci, des agents de la Brigade spéciale des Douanes de l’AIBD ont saisi soixante-quinze (75) sacs d’ailerons de requin pesant deux mille neuf cent soixante-seize (2 976) tonnes à l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD). La marchandise, emballée dans du plastique et placée dans des caisses enveloppées de sacs en polystyrène banalisés, était destinée à l’exportation et sa valeur sur le marché intérieur est estimée à soixante-quatorze (74) millions de francs CFA. Deux individus de nationalité étrangère ont été arrêtés dans le cadre de cette affaire. De plus, des faux médicaments ont été interceptés à Gossas, où les agents de la Brigade mobile ont saisi cinquante-un (51) cartons de faux médicaments, y compris des médicaments vétérinaires, d’une valeur totale estimée à cent quarante-huit (148) millions de francs CFA.

Les agents de la Brigade maritime de Rufisque, Subdivision du Littoral Nord, Direction régionale des Unités maritimes (DRUM), ont réussi à intercepter deux motos Jakarta transportant du chanvre indien. Cette drogue, en provenance d’un pays limitrophe et transportée par voie maritime, a été fraîchement débarquée sur la plage de Yarakh. Le poids total du chanvre indien saisi s’élève à cent trente-sept (137) kg, pour une valeur estimée à près de dix (10) millions de francs CFA. La dernière saisie a eu lieu le 23 mars dernier à Keur-Ayip, dans le département de Nioro, suite à l’exploitation judicieuse d’un renseignement. Les forces douanières ont découvert trois paquets de chanvre indien soigneusement cachés dans les pneus de secours d’un bus en provenance du Sud.

Trois individus impliqués dans cette affaire ont été arrêtés et remis au Parquet de Kaolack. De plus, la veille, la même unité douanière a saisi sept (7) kg de chanvre indien conditionnés dans une valise à bord d’un car « Ndiaga Ndiaye » en provenance d’un pays limitrophe et à destination de Dakar, comme l’indique le communiqué de la douane.

Bassirou Diomaye Faye rafle tout à Mbour

Dans le département de Mbour, lors de l’élection présidentielle, le candidat de la Coalition “Diomaye Président”, Bassirou Diomaye Faye, a remporté la palme avec cent trente-neuf mille conq cent quatre-vingt-deux (139 582) voix tandis que le porte-drapeau de Benno Bokk Yakaar (BBY), Amadou Ba, a obtenu soixante-trois mille six cent vingt-deux (63 622) voix.

Sur les teois cent cinquante-un mille vingt-trois (351 023) électeurs inscrits, deux cent vingt-trois mille quatre cent trente-neuf (223 439) ont voté, dont quatre mille cent trente-trois (4 133) hors de leur bureau de vote d’origine et mille trois cent quatre-vingt-huit (1 388) bulletins ont été déclarés nuls. Le nombre total de suffrages valablement exprimés s’élève à deux cent vingt-six mille cent quatre-vingt-quatre (226 184).

Les autres candidats ont obtenu les résultats suivants :

Habib Sy : cent trente et une (131) voix ;

Cheikh Tidiane Dièye : sept cent vingt-cinq (725) voix ;

Déthié Fall : huit cent quatre-vingt et une (881) voix ;

Daouda Ndiaye : six cent trente-neuf (639) voix ;

Khalifa Ababacar Sall : deux mille huit cent vingt-huit (2 828) voix ;

Anta Babacar Ngom : mille trois cent quatorze (1 314) voix ;

Idrissa Seck : mille cinq cent trente-huit (1 538) voix ;

Aliou Mamadou Dia : neuf mille cinq cent trente-quatre (9 534) voix ;

Serigne Mboup : cinq cent quarante-sept (547) voix ;

Papa Djibril Fall : mille neuf cent dix-hiit (1 918) voix ;

Mahammed Boun Abdallah Dionne : trois cent quarante-quatre (344) voix ;

Mamadou Lamine Diallo : trois cent quinze (315) voix ;

El Hadji Malick Gakou : deux cent trente-six (236) voix ;

Aly Ngouille Ndiaye : trois cent vingt-huit (328) voix ;

El Hadji Mamadou Diao : trois cent dix (310) voix ;

Thierno Alassane Sall : neuf cent quatorze (914 voix).

RÉSULTATS PROVISOIRES PAR DÉPARTEMENT: Diomaye Faye remporte Dakar avec plus de 160 000 voix d’écart

Bassirou Diomaye Diakhar Faye arrive en tête dans le département de Dakar avec un total de 286 846 voix, tandis que le candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), Amadou Ba, a obtenu environ cent dix-huit mille trois cent vingt-trois (118 323 voix). Cela représente une différence de plus de cent soixante mille (160 000) voix entre les deux candidats, selon les informations fournies par la Commission départementale de recensement des votes de Dakar.

L’ancien maire de la capitale sénégalaise, Khalifa Ababacar Sall, arrive troisième avec un total de vingt-quatre mille trois cent six (24 306) voix dans le département de Dakar.

En effet, le département de Dakar compte environ sept cent sept mille huit cent seize (707 816) électeurs, parmi lesquels quatre cent cinquante sept mille quatre-vingt-dix-huit (457 098) ont exprimé leurs suffrages. En outre, il y a eu cinq cent deux (502) votants en dehors du bureau originel et deux mille deux cent quatre (2 204) bulletins ont été déclarés nuls.

La région de Dakar, composée de quatre arrondissements et dix-neuf (19) communes, représente le plus grand bastion électoral du pays, avec ses un million huit cent vingt-neuf mille huit cent vingt-trois (1 829 823) électeurs ; ce qui équivaut à 26,01% de l’électorat national.

La Guerre des Promoteurs : Reug Reug averti de respecter ses engagements contractuels

Dans le tumulte du monde de la lutte sénégalaise, une nouvelle bataille se profile, mettant en lumière les enjeux des contrats et des engagements dans le domaine de la promotion de ce sport emblématique du pays. Reug Reug, l’un des lutteurs les plus en vue du moment, se retrouve au cœur de cette guerre des promoteurs, avec des avertissements clairs lui enjoignant de respecter ses accords contractuels.

Makane Mbengue, fils du célèbre promoteur Gaston Mbengue, a émis une mise en garde ferme à l’adresse de Reug Reug, soulignant l’importance du respect total du contrat qui les lie. Cette mise en garde intervient alors que Reug Reug est également sous contrat avec un autre promoteur, Baye Ndiaye, pour affronter Ama Baldé, un autre lutteur renommé de la scène sénégalaise.

La situation se complique davantage avec le combat déjà programmé entre Reug Reug et Boy Niang 2, prévu pour le 1er janvier 2025. Selon Makane Mbengue, Reug Reug ne pourra s’engager dans un face à face avec Ama Baldé qu’après avoir honoré son combat contre Boy Niang 2. Cette condition semble être non négociable, soulignant ainsi l’importance du respect des contrats et des engagements pris dans le monde de la lutte sénégalaise.

La complexité de la situation réside dans le fait que Reug Reug est également autorisé à participer à des événements MMA, sous réserve de l’accord de Gaston Productions. Cette distinction entre les disciplines de lutte et de MMA montre la diversité des engagements contractuels dans le monde du sport et la nécessité pour les athlètes de respecter les termes de leurs contrats, quel que soit le domaine dans lequel ils évoluent.

Cette mise en garde de Makane Mbengue met en lumière les défis et les tensions inhérents à la gestion des lutteurs professionnels au Sénégal, où les promoteurs rivalisent pour attirer les meilleurs talents et organiser les combats les plus populaires. La bataille pour la suprématie dans le monde de la lutte continue, mais elle est réglementée par des règles strictes en matière de contrats et d’engagements, comme le rappelle cet avertissement lancé à Reug Reug.

En définitive, cette affaire illustre les enjeux complexes de l’industrie de la lutte au Sénégal et souligne l’importance cruciale du respect des accords contractuels pour assurer le bon fonctionnement et la crédibilité de ce sport emblématique du pays.

Victoire du Sénégal face au Bénin : Retour gagnant pour les Lions

Le Sénégal a conclu ses matchs amicaux du mois de mars sur une note positive en remportant une victoire face au Bénin sur le score de 1-0. Après avoir déjà dominé le Gabon sur un score de 3-0, les Lions de la Teranga ont confirmé leur forme retrouvée en venant à bout d’une équipe béninoise coriace.

Pour cette rencontre, l’entraîneur Aliou Cissé a opéré un remaniement complet de son onze de départ, offrant une opportunité à certains cadres de retrouver le terrain. Des joueurs tels que le capitaine Kalidou Koulibaly, Moussa Niakhaté, Idrissa Gana Guèye et Ismail Jakobs ont ainsi été réintégrés dans l’équipe de départ.

La première période a été particulièrement difficile pour le Sénégal, confronté à une équipe béninoise solide qui a même obtenu un penalty, bien stoppé par le gardien sénégalais Seny Dieng. Cependant, les Lions ont su relever le défi et ont pris l’ascendant en seconde période.

C’est grâce à un penalty obtenu suite à une faute sur Habib Diallo que le Sénégal a pris l’avantage, et c’est Sadio Mané, en célébrant sa 107e sélection, qui s’est chargé de le transformer avec sang-froid, inscrivant ainsi son 43e but en équipe nationale à la 58e minute de jeu.

Avec ces deux succès consécutifs face au Gabon et au Bénin en matchs amicaux, le Sénégal retrouve des couleurs après sa récente élimination en huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des nations contre la Côte d’Ivoire. Cette série de victoires constitue un encouragement pour l’équipe et ses supporters, alors que les prochaines échéances internationales se profilent à l’horizon.

Au-delà du succès collectif, ces matchs amicaux ont également été l’occasion de mettre en lumière certaines performances individuelles remarquables au sein de l’équipe sénégalaise.

Seny Dieng, le gardien de but des Lions, s’est illustré par ses arrêts décisifs, notamment en repoussant un penalty lors du match contre le Bénin. Sa prestation rassurante lui a permis de confirmer sa place comme l’un des meilleurs gardiens de sa génération.

Sadio Mané, le talentueux attaquant de Liverpool, a également brillé en inscrivant un but crucial sur penalty contre le Bénin. Sa capacité à faire la différence dans les moments clés témoigne de son importance pour l’équipe nationale et de son leadership sur le terrain.

Enfin, le retour de joueurs cadres tels que Kalidou Koulibaly et Idrissa Gana Guèye a apporté une stabilité et une expérience précieuses à l’équipe, renforçant ainsi sa solidité défensive et son efficacité au milieu de terrain.

Au-delà des matchs amicaux, ces victoires revêtent une importance capitale pour l’équipe nationale sénégalaise à l’aube de nouvelles compétitions internationales. Avec une équipe solide et des joueurs talentueux à sa disposition, le Sénégal aspire à briller lors des prochaines échéances, notamment les qualifications pour la Coupe du monde 2026.

Sous la direction d’Aliou Cissé, l’équipe nationale sénégalaise s’est affirmée comme l’une des meilleures d’Afrique et vise désormais à confirmer son statut sur la scène mondiale. Les supporters sénégalais peuvent ainsi nourrir de grands espoirs pour l’avenir de leur équipe, convaincus que les Lions de la Teranga sauront porter haut les couleurs du Sénégal dans les compétitions à venir.

Décret présidentiel : Nominations exceptionnelles dans l’Ordre national du Lion

Le Président de la République du Sénégal, Macky Sall, a récemment signé un décret le 19 mars, portant nomination exceptionnelle dans l’Ordre national du Lion. Cette décision vise à honorer des personnalités éminentes de divers domaines pour leur engagement et leur contribution remarquable au développement et au rayonnement du pays. Sur proposition du Grand Chancelier, plusieurs personnalités, notamment des artistes, des journalistes, des sportifs, ont été nommées au grade de commandeur, officier et chevalier.

Parmi les heureux récipiendaires figurent des noms illustres tels que Youssou Ndour, Robert Sagna, Abdoulaye Diop, Ibrahima Diop, Omar Pène, Fatou Kiné Lam, Hamidou Samba Kassé, Arame Ndao, Racine Tall, Coumba Gawlo Seck, Ahmadu Makhtar Kanté, Mademba Sock, et bien d’autres.

Selon un communiqué du ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République, cette nomination exceptionnelle s’inscrit dans le cadre de l’article 18 du décret 2018-1407 du 27 juillet 2018, modifiant le décret n° 72-24 du 1 janvier 1972, portant Code de l’Ordre national du Lion. En vertu de cet article, le Président de la République dispose de pouvoirs réglementaires pour honorer les citoyens sénégalais qui se sont distingués par leur dévouement dans les secteurs publics ou privés, contribuant ainsi au service de la Nation et de la République.

Cette liste témoigne de la diversité des contributions des récipiendaires à la société sénégalaise, qu’il s’agisse de leur engagement dans le domaine culturel, social, économique ou encore sportif. Leurs actions exemplaires ont permis de renforcer le tissu social et de promouvoir les valeurs de solidarité, d’excellence et de dépassement de soi.

Cette reconnaissance officielle souligne l’importance accordée par l’État aux efforts et aux réalisations de ces personnalités, qui continuent d’inspirer la jeunesse et de contribuer au rayonnement du Sénégal à l’échelle nationale et internationale.

Les premiers effets positifs de l’élection de Bassirou Diomaye Faye sur l’économie

La confirmation de l’élection de Bassirou Diomaye Faye en tant que 5ème Président de la République du Sénégal dès le 3 avril a déjà des répercussions positives sur l’économie du pays, notamment sur les marchés internationaux. En effet, les obligations en dollars du Sénégal ont enregistré une hausse significative, témoignant de la confiance des investisseurs dans la stabilité future de l’économie sénégalaise.

Selon les données rapportées par Bloomberg, le prix coté des obligations du Sénégal à échéance 2048 a augmenté de 1,4 cent à 75,88 cents pour un dollar à 12h11 à Londres, ce mardi 26 mars. Cette augmentation marque le plus haut chiffre enregistré depuis plus de deux semaines, reflétant ainsi un regain d’intérêt pour les investissements dans les obligations sénégalaises.

Avant l’élection présidentielle, les chiffres du Sénégal avaient stagné voire chuté, les investisseurs exprimant leur inquiétude quant à une éventuelle victoire de Bassirou Diomaye Faye. Cependant, cette tendance s’est inversée après l’annonce de sa victoire, dissipant ainsi les craintes initiales. Les investisseurs sont désormais optimistes quant à la continuité des politiques économiques mises en place par le gouvernement précédent, qui ont contribué à maintenir une croissance économique moyenne de plus de 5 % au cours de la dernière décennie.

Selon Samantha Singh-Jami, stratège Afrique à la Rand Merchant Bank, le Sénégal, devenant un producteur de pétrole et de gaz, devrait être l’une des économies les plus dynamiques d’Afrique. Cette perspective encourageante a renforcé la confiance des investisseurs, qui anticipent une accélération de la croissance économique, notamment grâce au secteur énergétique.

Il est important de souligner que les obligations sont des instruments financiers utilisés par les États pour financer de nouveaux projets ou infrastructures. La hausse des prix des obligations du Sénégal témoigne de la confiance accrue des investisseurs dans la capacité du pays à rembourser ses dettes et à maintenir la stabilité économique dans un contexte politique favorable.

Cheikh Ba annonce son retrait de la scène politique médinoise

Dans un geste marquant de respect envers la démocratie et de dévouement envers sa communauté, Cheikh Ba, une figure politique respectée de la Médina, a annoncé son retrait de la scène politique locale. Cette décision, mûrement réfléchie et empreinte de sincérité, intervient après une décennie d’engagement politique au service de sa commune.

« Le peuple doit être au cœur de toute action politique et publique », a déclaré Cheikh Ba, soulignant ainsi son attachement aux principes fondamentaux de la démocratie. Il a exprimé ses félicitations au nouveau Président élu, Bassirou Diomaye Faye, tout en saluant l’attitude exemplaire d’Amadou Ba pour avoir reconnu la victoire du nouveau dirigeant.

Depuis 1988, bien avant son entrée en politique, Cheikh Ba a consacré son temps et son énergie à des initiatives sociales et entrepreneuriales au service de sa communauté. Cependant, après une période d’introspection, il reconnaît que la politique locale n’a pas toujours été à la hauteur des attentes de ses concitoyens. C’est pourquoi il a décidé de prendre du recul et de transmettre le flambeau à la jeune génération.

Malgré son retrait de la scène politique, Cheikh Ba a tenu à réaffirmer son engagement envers sa commune et toutes ses composantes sociales. Il reste déterminé à contribuer au bien-être et au développement de la Médina, même en dehors des arènes politiques.

Cette décision de Cheikh Ba marque la fin d’un chapitre politique, mais ouvre également de nouvelles perspectives pour la Médina, en permettant l’émergence de nouveaux leaders prêts à prendre le relais dans la construction d’une communauté plus forte et plus prospère.


Media Sénégal

Guinée Bissau : Umaro Embalo lance un avertissement sans frais aux opposants qui l’insultent

Le président bissau-guinéen Umaro Sissoco Embalo a pris une position ferme contre les acteurs politiques et militants de l’opposition qui le prennent pour cible avec des insultes. Dans une déclaration récente, il a averti qu’il ne tolérerait plus de telles attaques et promet de poursuivre en justice quiconque le diffame, où qu’il se trouve.

Cette déclaration intervient après que le président Embalo a été la cible d’insultes de la part d’un militant politique bissau-guinéen du nom de Belmiro Pimentel, résidant au Portugal. Pimentel, largement suivi sur les réseaux sociaux, a ouvertement exprimé son désir de renverser le président Embalo à tout prix, l’accusant même d’avoir engagé des criminels pour l’attaquer.

Dans une vidéo virale, Pimentel a publié un enregistrement audio présumé du président Embalo commentant une fusillade dans laquelle Pimentel aurait été impliqué à Lisbonne. Cependant, le président bissau-guinéen a réfuté ces allégations, soulignant que toute personne pourrait imiter sa voix et diffuser de fausses informations.

Umaro Embalo a également noté qu’en tant que président de la République, il aurait la capacité d’utiliser les structures de l’État pour nuire à ses détracteurs, mais il refuse de s’abaisser à de telles pratiques.

Cette prise de position ferme du président Embalo illustre sa détermination à faire respecter sa dignité et sa fonction présidentielle, tout en mettant en garde ceux qui tentent de le discréditer par des attaques personnelles et diffamatoires.

Amadou Ba : les causes d’une déroute électorale

L’élection présidentielle du 24 mars a marqué une défaite sans appel pour Amadou Ba, candidat du pouvoir sortant. Face au nouveau président élu, Bassirou Diomaye Faye, Amadou Ba a dû concéder sa défaite dès le premier tour. Pour analyser les raisons de cette déroute, Dr Alassane Ndao, Docteur en Sociologie politique et Maître de conférences titulaire à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (UGB), identifie trois failles qui ont grippé la machine électorale du pouvoir sortant.

Tout d’abord, Dr Ndao souligne le bilan « immatériel » de Macky Sall, président sortant. Il pointe du doigt le fonctionnement du parti au pouvoir, l’APR, caractérisé par un déséquilibre et une verticalité où le président décide de tout. Cette situation a créé des rivalités internes exacerbées par l’absence du président sortant comme candidat, affaiblissant ainsi le choix fait en faveur d’Amadou Ba.

Ensuite, l’expert met en lumière la personnalité d’Amadou Ba, le qualifiant de lobbyiste plutôt que d’homme politique. Cette distinction souligne une incapacité à incarner les qualités de communication, de charisme et de leadership nécessaires pour séduire et convaincre l’électorat.

Enfin, la libération de Ousmane Sonko et de Bassirou Diomaye Faye, candidat rival, a précipité les choses, amplifiant la déroute électorale de Amadou Ba. Cependant, Dr Ndao souligne que cette libération n’est que la conséquence d’une dynamique enclenchée bien avant l’élection, remontant à l’année 2021.

Pour Moussa Diaw, Docteur en Sciences politiques à l’UGB, Amadou Ba a été trop attentiste et a commis l’erreur de s’inscrire dans la continuité de la politique du Président sortant, malgré un rejet croissant de cette politique par les citoyens en raison de la mal gouvernance, de l’impunité et de l’arrogance de certains responsables politiques.

En somme, cette défaite électorale de Amadou Ba semble être le résultat d’une combinaison de facteurs internes au parti au pouvoir, de la personnalité du candidat lui-même, et des dynamiques politiques et sociales plus larges dans le pays.

« Les médias internationaux ont eu honte », (expert électoral)

« Le Sénégal est et restera toujours en tête en matière de démocratie ». C’est le satisfecit exprimé par le doyen des observateurs de la coordination des experts électoraux africains (CEEA) au Sénégal, Jean Marie Ngondjibangante, à l’issue de la Présidentielle du 24 mars.

Repris par le Soleil, l’expert électoral international, présent au CEM Thierno Mamadou Sall, à Fatick, où Président sortant, Macky Sall, a voté, soutient d’abord que la décision de ce dernier de renoncer à une troisième candidature est « un exemple pour tous les chefs d’État africains. »

Ensuite, poursuit le journal, le Camerounais n’a pas raté les médias internationaux : « Ils ont eu honte aujourd’hui. Eux qui n’ont cessé de vouloir jeté le discrédit sur le Sénégal et sur le Président Macky Sall. »

Ngondjibangante de conclure : « C’est un avertissement à l’Union européenne et à tous les ennemis du Sénégal. Il ne faut pas qu’ils troublent les gens juste pour bénéficier de leurs ressources. »

Présent au Sénégal depuis 2012 dans le cadre de sa mission d’observation, l’expert électoral estime « qu’aujourd’hui, personne n’a gagné si ce n’est le peuple sénégalais. »

Présidentielle 2024 : Cheikh Ahmadou Kara Mbacké adresse ses félicitations au président Bassirou Diomaye Faye

À la suite du scrutin présidentiel du 24 mars au Sénégal, le « guide de la révolution pacifique », Cheikh Ahmadou Kara Mbacké, a ajouté sa voix à celles qui saluent la victoire du nouveau président élu, Bassirou Diomaye Faye. Dans une déclaration empreinte de respect et de chaleur, le chef religieux a exprimé ses félicitations au nouveau chef de l’État.

« J’ai l’honneur, en ce jour historique, de vous adresser mes salutations respectueuses et mes félicitations chaleureuses pour votre brillante accession à la magistrature suprême de notre cher pays », a déclaré Cheikh Ahmadou Kara Mbacké.

Dans sa lettre, il a également rendu hommage à Ousmane Sonko, leader du parti PASTEF et mentor du nouveau président, soulignant ses qualités de courage, d’endurance, d’humilité, de générosité et de patriotisme vibrant.

Le chef religieux a mis en lumière l’espoir que représente le nouveau président pour le peuple sénégalais, en particulier pour sa jeunesse, confrontée à des défis existentiels. Il a exprimé sa confiance dans la capacité du président élu à répondre aux aspirations du peuple et à guider le pays vers un avenir meilleur.

Cheikh Ahmadou Kara Mbacké a conclu sa lettre en formulant des prières pour le président Bassirou Diomaye Faye, invoquant l’assistance divine et la guidance à travers les bénédictions du prophète Mohamed et de Cheikh Ahmadou Bamba Khadimou Rassoul.

Cette déclaration reflète l’importance du soutien des leaders religieux dans le paysage politique sénégalais et souligne l’unité nationale dans la reconnaissance du nouveau leadership.

Amadou Bâ félicite Diomaye Faye : l’histoire d’un coup de fil à 13 h 58

Amadou Bâ, candidat malheureux de la coalition Benno Bokk Yakaar à l’élection présidentielle du dimanche 24 mars, a finalement pris l’initiative de féliciter son rival, Bassirou Diomaye Faye, le lendemain du scrutin. Cet acte significatif s’est déroulé en début d’après-midi au domicile d’Amadou Bâ, en présence de quelques proches.

Selon les informations rapportées par L’Observateur dans son édition de ce mardi, cet échange entre les deux hommes s’est concrétisé par un appel téléphonique d’Amadou Bâ à Bassirou Diomaye Faye, précisément à 13 heures 58 minutes. La conversation, d’une durée d’environ trois minutes, a été décrite comme chaleureuse et conviviale, marquée par des félicitations sincères et des échanges de prières.

Cet épisode met en lumière l’esprit de fair-play et le sens de l’unité nationale dans le contexte post-électoral, où les perdants reconnaissent la légitimité des résultats et expriment leur soutien au nouveau président élu. Il témoigne également de la maturité politique des acteurs sénégalais, qui, malgré les enjeux, privilégient le dialogue et la collaboration pour le bien-être du pays.

Présidentielle : La coalition Dionne2024 reconnaît la victoire de Bassirou Diomaye Faye

Suite aux tendances favorables à Bassirou Diomaye Faye lors de l’élection présidentielle, la coalition Dionne2024, représentée par son candidat évacué à l’étranger pour cause de maladie, a finalement réagi dans la soirée du lundi 25 mars.

Dans un communiqué officiel, la coalition a tenu à adresser ses félicitations à Bassirou Diomaye Diakhar Faye pour sa victoire à l’élection présidentielle du 24 mars 2024. Ils ont exprimé leurs félicitations chaleureuses, reconnaissant que cette victoire représente une confirmation de la solidité de la démocratie et de la maturité du peuple sénégalais.

La coalition a également souligné que le scrutin s’est déroulé dans un climat apaisé, serein et transparent, démontrant ainsi l’attachement du Sénégal aux valeurs démocratiques. Ils ont conclu en exprimant leurs meilleurs vœux de succès à Bassirou Diomaye Faye dans sa mission présidentielle, souhaitant son bonheur et celui de tous les Sénégalais.

Cette déclaration marque un pas important dans le processus de reconnaissance de la victoire de Bassirou Diomaye Faye par les différents acteurs politiques du pays, consolidant ainsi le consensus autour des résultats du scrutin.

Emmanuel Macron félicite Bassirou Diomaye Faye pour sa Victoire à la Présidentielle de 2024

Alors que la Commission électorale nationale autonome (CENA) n’a pas encore officiellement proclamé les résultats, les premières tendances laissent présager la victoire de Bassirou Diomaye Faye dès le premier tour de l’élection présidentielle au Sénégal.

Dans ce contexte, le président français, Emmanuel Macron, a adressé un message de félicitations à son homologue sénégalais : « Félicitations à Bassirou Diomaye Faye pour son élection comme Président de la République du Sénégal ».

Emmanuel Macron a également exprimé ses vœux de réussite à Bassirou Diomaye Faye, ajoutant qu’il se réjouissait à l’idée de travailler avec lui. Cette déclaration vient s’ajouter à la liste des messages de félicitations émanant de plusieurs dirigeants internationaux à l’égard du nouveau président sénégalais.

Cette reconnaissance internationale souligne l’importance de cette élection présidentielle pour le Sénégal et témoigne de l’intérêt porté par la communauté internationale à la stabilité et à la prospérité du pays.

En attendant la proclamation officielle des résultats par la CENA, ces félicitations viennent consacrer la victoire anticipée de Bassirou Diomaye Faye et ouvrir la voie à une nouvelle ère de coopération entre le Sénégal et ses partenaires internationaux sous sa présidence.

Le Dakarois Quotidien N°141 – du 26/03/24 : Bassirou Diomaye Faye: Une Présidence d’espoir pour le Sénégal

Le Dakarois Quotidien N°141 – du 26/03/24
🔴 Bassirou Diomaye Faye: Une Présidence d’espoir pour le Sénégal

Amadou Bâ réaffirme son engagement envers la démocratie Sénégalaise

Après avoir pris le téléphone pour féliciter son adversaire Bassirou Diomaye Diakhar Faye pour sa victoire à l’élection présidentielle, Amadou Bâ, candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar, a réitéré ses félicitations lors d’une conférence de presse entouré de ses proches collaborateurs.

Dans son allocution devant les médias, Amadou Bâ a souligné la mobilisation massive des citoyens sénégalais à travers le pays et même au sein de la diaspora, témoignant ainsi de la vitalité de la démocratie sénégalaise. Il a salué la participation active des électeurs dans les centres urbains ainsi que dans les zones rurales, soulignant que cette forte mobilisation démontre la profondeur de l’engagement démocratique des Sénégalais.

Réaffirmant son respect pour le processus électoral et les résultats exprimés par la volonté populaire, Amadou Bâ a adressé de nouvelles félicitations au Président élu, Bassirou Diomaye Faye. Il a exprimé ses vœux de réussite et de succès pour le nouveau chef de l’État dans l’exercice de ses fonctions à la tête du pays.

Cette démarche de la part d’Amadou Bâ témoigne de son engagement envers les principes démocratiques et son respect pour le verdict des urnes. En mettant en avant l’importance de la démocratie et en reconnaissant la légitimité de la victoire de son adversaire politique, il envoie un message fort de civisme et de responsabilité politique.

En fin de compte, la réaction d’Amadou Bâ après sa défaite électorale démontre son attachement à l’intégrité du processus démocratique et son désir de contribuer au bien-être et au progrès du Sénégal, quel que soit le résultat des élections.

Amadou Bâ : Un engagement indéfectible au service du Sénégal

Après une élection présidentielle historique qui a vu la victoire de son adversaire Bassirou Diomaye Faye, Amadou Bâ, candidat de la mouvance présidentielle, a réagi avec dignité et engagement envers son pays.

Dans une déclaration pleine de résilience et de détermination, Amadou Bâ a félicité le vainqueur de l’élection tout en réaffirmant son engagement à servir le Sénégal. Sa déclaration souligne son attachement indéfectible à son pays et à son peuple, mettant en avant l’idée que malgré les différences politiques, tous les citoyens sénégalais partagent un objectif commun : le bien-être et la prospérité du pays.

En affirmant qu’il reste plus que jamais déterminé au service de son pays, Amadou Bâ envoie un message fort de responsabilité et de patriotisme. Sa volonté de continuer à contribuer au développement et au progrès du Sénégal, même après une défaite électorale, témoigne de son engagement envers les valeurs démocratiques et de son respect pour la volonté du peuple.

Cette attitude exemplaire de leadership politique démontre que l’intérêt national prime sur les intérêts personnels ou partisans. En remerciant ses adversaires politiques pour leur participation au processus démocratique, Amadou Bâ montre son respect pour la diversité d’opinions et son ouverture au dialogue et à la coopération avec tous les acteurs politiques du pays.

En fin de compte, la réaction d’Amadou Bâ après sa défaite électorale illustre son engagement envers une démocratie forte et dynamique au Sénégal. Son message de détermination et de service continu envers son pays inspire l’espoir et la confiance en un avenir meilleur pour tous les citoyens sénégalais, quel que soit leur affiliation politique.

Bassirou Diomaye Faye : Une Présidence d’espoir pour le Sénégal

Dans un moment historique pour la nation sénégalaise, Bassirou Diomaye Faye a été élu président de la République dès le premier tour de l’élection présidentielle. Cette victoire sans équivoque, avec plus de 56 % des voix, marque non seulement le début d’une nouvelle ère politique, mais aussi un tournant significatif dans l’histoire démocratique du pays.

À l’âge de 43 ans, Bassirou Diomaye Faye devient le plus jeune président de la République du Sénégal depuis Abdou Diouf, inaugurant ainsi une nouvelle génération de leadership pour le pays. Sa victoire éclatante, obtenue avec une avance considérable sur ses adversaires, témoigne de la confiance et de l’adhésion massives qu’il a suscitées parmi les électeurs sénégalais.

Ce triomphe électoral revêt une signification particulière, car il s’agit de la première alternance dès le premier tour dans l’histoire politique du Sénégal. Cette transition politique rapide souligne l’urgence ressentie par la population pour un changement authentique et un renouveau dans la gouvernance du pays.

Bassirou Diomaye Faye incarne l’espoir et les aspirations d’une nation désireuse de progrès et de prospérité. Son parcours et son discours axé sur le changement et la justice sociale ont trouvé un écho favorable parmi les électeurs, qui ont exprimé leur désir de voir émerger une nouvelle ère de gouvernance fondée sur l’intégrité, la transparence et le développement durable.

Dans son discours de victoire, Bassirou Diomaye Faye a promis de travailler sans relâche pour répondre aux besoins et aux aspirations du peuple sénégalais. Il a souligné son engagement envers l’unité nationale, la promotion de l’éducation, la création d’emplois et le renforcement de l’état de droit.

Alors que le Sénégal entre dans une période de transition, les défis ne manquent pas. Bassirou Diomaye Faye devra faire face à des attentes élevées et à une série de problèmes complexes, allant de la gestion de l’économie à la lutte contre la corruption en passant par la promotion des droits de l’homme.

Cependant, avec son élection, le peuple sénégalais a exprimé sa confiance en sa capacité à relever ces défis et à ouvrir la voie à un avenir meilleur pour tous les citoyens. En tant que cinquième président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye a devant lui l’opportunité de laisser une marque indélébile dans l’histoire de la nation en menant le pays vers de nouveaux sommets de réussite et de prospérité.

Abdoul Mbaye : Appel à respecter la volonté du Peuple

Dans un communiqué rendu public, l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye a souligné l’importance de respecter la volonté exprimée par le peuple sénégalais lors de l’élection présidentielle du 24 mars 2024.

Selon lui, le suffrage exprimé librement par le peuple sénégalais manifeste son désir d’un avenir meilleur, incarné par une nouvelle génération de leaders politiques. Cette demande d’un nouveau destin, exprimée par une forte majorité des compatriotes dès le premier tour de l’élection, doit être respectée et honorée, sans être entravée ni trahie.

Abdoul Mbaye a également exprimé ses prières pour une gouvernance nouvelle, porteuse d’espoir, notamment pour la jeunesse qui réclame un changement, parfois au prix du sang et des vies perdues lors de manifestations ou en tentant de fuir leur pays à bord de pirogues.

Dans le même ordre d’idées, il a adressé ses félicitations chaleureuses à la coalition Diomaye Président pour sa victoire historique, confirmant ainsi l’existence d’une démocratie sénégalaise capable de provoquer les changements nécessaires face à la mauvaise gouvernance.

Abdoul Mbaye a également salué l’organisation du scrutin, soulignant qu’il s’est déroulé dans le calme et sans incident majeur, permettant à tous les citoyens de s’exprimer librement.

Ndiayendiaye : Bassirou Diomaye Faye remporte les 4 bureaux de vote de son centre

Lors de l’élection présidentielle qui s’est déroulée ce dimanche, le candidat Bassirou Diomaye Faye a remporté une victoire écrasante dans les quatre bureaux de vote de son centre à Ndiayendiaye, situé dans la commune de Ndiaganiao, département de Mbour.

Dans le bureau de vote numéro 1, Bassirou Diomaye Faye a recueilli 363 voix, tandis que son adversaire Amadou Ba en a obtenu 29.

Au bureau de vote numéro 2, Diomaye Faye a confirmé sa domination avec 376 voix, contre 21 pour Amadou Ba.

Dans le bureau de vote numéro 3, Bassirou Diomaye Faye a obtenu 364 voix, tandis qu’Amadou Ba en a récolté 24.

Enfin, au bureau de vote numéro 4, Bassirou Diomaye Faye a remporté une victoire écrasante avec 365 voix, contre seulement 8 pour Amadou Ba.

Ces résultats témoignent du soutien massif que Bassirou Diomaye Faye a reçu de la part des électeurs de son propre village, illustrant ainsi sa popularité et son ancrage local dans la région de Mbour.

Doudou Ka reconnaît la victoire de Bassirou Diomaye

Dans une déclaration sur ses réseaux sociaux, Doudou Ka, membre du camp de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), a reconnu la victoire de Bassirou Diomaye Faye à l’élection présidentielle. Ka a affirmé que le peuple sénégalais avait décidé d’accorder sa confiance au candidat de l’ex-Pastef, marquant ainsi un tournant dans la gouvernance du pays.

« Le peuple a voté pour l’alternance », a déclaré Doudou Ka dans son message, soulignant ainsi le choix clair exprimé par les électeurs lors du scrutin présidentiel. Cette reconnaissance de la victoire de Bassirou Diomaye Faye par un membre de la coalition BBY témoigne de l’importance des résultats électoraux et de la nécessité pour toutes les parties de respecter la volonté démocratique du peuple sénégalais.

La déclaration de Doudou Ka reflète également un esprit de démocratie et de respect des institutions, soulignant l’importance de la transition pacifique du pouvoir dans un pays où les élections jouent un rôle central dans la gouvernance et la stabilité.

Amadou Ba remporte le département de Kédougou

Lors des élections présidentielles de dimanche dernier, le candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), Amadou Ba, a remporté le département de Kédougou, situé dans l’est du Sénégal. Selon les résultats provisoires publiés par la commission départementale de recensement des votes, Amadou Ba a obtenu 10 833 voix, devançant ainsi Bassirou Diomaye Faye, arrivé deuxième avec 10 064 voix.

Khalifa Babacar Sall s’est classé troisième avec 257 voix, tandis que les autres candidats ont obtenu les résultats suivants : Boubacar Camara (334 voix), Cheikh Tidiane Diéye (242), Daouda Ndiaye (158), Déthié Fall (147), Mamadou Lamine Diallo (137), Serigne Mboup (129), Idrissa Seck (128), Aliou Mamadou Dia (99), Mohammed Boun Abdallah Dionne (72), Aly Ngouille Ndiaye (65), Anta Babacar Ngom (59), Habib Sy (52), Papa Djibril Fall (47 voix), El Hadj Mamadou Diallo Diao (aucune voix).

Le département de Kédougou compte un total de 41 434 électeurs inscrits, répartis entre 116 bureaux de vote. Sur ce nombre, 22 813 électeurs se sont rendus aux urnes, avec 305 bulletins nuls et 796 votants hors bureaux originels, soit un total de 23 304 suffrages valablement exprimés (SVE).

Cette victoire d’Amadou Ba dans le département de Kédougou reflète le paysage électoral diversifié du Sénégal, avec une compétition animée entre les différents candidats dans différentes régions du pays.

Idrissa Seck réagit après la Présidentielle : Attente des résultats officiels

Idrissa Seck, candidat malheureux à l’élection présidentielle de dimanche dernier, a livré sa première réaction. Le leader de Rewmi a choisi de ne pas féliciter explicitement Bassirou Diomaye Faye, préférant attendre la publication officielle des résultats par les instances compétentes.

« Dans l’attente de la publication des résultats de l’élection par les instances habilitées, je félicite le peuple sénégalais qui s’est exprimé clairement et dans le calme. Je félicite l’administration sénégalaise en charge de l’organisation du scrutin. Je remercie les leaders, militants et sympathisants de notre coalition et tous les Sénégalais qui ont voté pour nous. Vive le Sénégal. Vive la République », a déclaré Idrissa Seck.

Cette déclaration de Seck souligne son respect pour les processus démocratiques et les institutions en charge de l’organisation et de la certification des élections. En ne félicitant pas explicitement le vainqueur présumé, il préfère s’en remettre aux résultats officiels, mettant ainsi en avant son attachement au respect des procédures légales et à la transparence électorale.

Adji Mbergane Kanouté félicite Bassirou Diomaye Faye pour sa victoire

Adji Mbergane Kanouté, vice-présidente du groupe parlementaire de Benno Bokk Yakaar à l’Assemblée nationale, a été l’une des premières responsables du camp de Amadou Ba à reconnaître la défaite de ce dernier. Dans un message adressé à Seneweb, elle a félicité Bassirou Diomaye Faye pour sa victoire au premier tour de l’élection présidentielle.

« Le Sénégal, un grand peuple, le Président Macky Sall, un grand démocrate. Nous nous réjouissons du bon déroulement du scrutin. Félicitations au Président Bassirou Diomaye Faye. Tous nos encouragements à notre candidat Amadou Ba. Diam thi Sénégal », a-t-elle écrit.

Cette déclaration souligne le respect de la volonté populaire exprimée lors des élections, ainsi que la reconnaissance de la victoire de Bassirou Diomaye Faye. Elle met également en avant l’esprit démocratique et le sens du fair-play politique au sein de Benno Bokk Yakaar.

Selon Madiambal Diagne, journaliste politique réputé, Amadou Ba prévoit également d’appeler Bassirou Diomaye Faye pour le féliciter de sa victoire, marquant ainsi la fin d’une campagne électorale et le début d’une transition politique.

Thierno Bocoum félicite Bassirou Diomaye Faye, proclamé vainqueur

Thierno Bocoum, le leader de AGIR, a adressé un message de félicitation à Bassirou Diomaye Faye, qui a été proclamé vainqueur après les premiers résultats de l’élection présidentielle au Sénégal.

Dans son message, Thierno Bocoum exprime ses félicitations au « 5ème Président de la République du Sénégal », Monsieur Bassirou Diomaye Faye. Il lui souhaite ainsi qu’à son futur gouvernement plein de succès dans la construction d’un Sénégal uni et d’une Afrique solidaire.

Il tient également à saluer le peuple sénégalais pour avoir voté dans la paix et la concorde, confirmant ainsi la noblesse et la maturité de la démocratie sénégalaise.

Ces félicitations de la part de Thierno Bocoum reflètent non seulement un geste de courtoisie politique, mais aussi une reconnaissance de la volonté populaire exprimée lors des élections.

Commission de recensement des votes convoquée : Attente des Résultats Globaux

Dans un communiqué diffusé aujourd’hui, la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) a annoncé la convocation d’une réunion spéciale ce mercredi 27 mars. Cette réunion est destinée à la Commission Nationale de Recensement des Votes pour l’élection présidentielle récemment tenue au Sénégal.

La réunion se tiendra à partir de 09 heures dans la salle de la Cour d’appel située au palais de justice Lat-Dior. Il est important de noter que cette convocation soulève des attentes quant à la publication des résultats globaux de l’élection présidentielle, qui s’est déroulée ce dimanche.

Alors que les électeurs et les observateurs nationaux et internationaux attendent avec impatience les résultats officiels, les tendances actuelles montrent une avance significative pour le candidat Bassirou Diomaye Faye. Cette convocation à la réunion de la Commission de Recensement des Votes indique que les résultats pourraient être annoncés dans un avenir proche.

En attendant, le peuple sénégalais reste attentif et espère que les résultats reflèteront fidèlement la volonté exprimée par les électeurs lors du scrutin de dimanche.

Présidentielle : Amadou Ba remporte le département de Bakel

Lors de l’élection présidentielle qui s’est déroulée dimanche dernier, le candidat de la coalition Benno Bokk Yakar, Amadou Ba, a remporté la tête dans le département de Bakel, selon les résultats publiés par la commission départementale de recensement des votes.

Amadou Ba a obtenu un total de 21 162 voix, ce qui le place en tête des suffrages exprimés dans ce département. Il est suivi par Bassirou Diomaye Faye, qui a récolté 11 102 voix, selon le procès-verbal des résultats globaux rendus publics ce lundi.

Les autres candidats ont également obtenu des votes, avec Khalifa Sall totalisant 562 voix, Thierno Alassane Sall 290 voix et Aliou Mamadou Dia 263 voix.

Le département de Bakel comptait un total de 66 667 électeurs inscrits, répartis dans 175 bureaux de vote. Sur ce nombre, 35 104 électeurs ont participé au scrutin, avec 436 bulletins nuls et 16 électeurs votant en dehors de leur bureau originel, soit un total de 34 677 suffrages valablement exprimés.

Le taux de participation dans le département de Bakel est estimé à 52,60%, ce qui indique un engagement significatif de la part des électeurs de cette région lors de cette élection présidentielle.

Saint-Louis : Bassirou Diomaye Faye remporte une victoire écrasante avec 63% des voix

Les résultats provisoires de l’élection présidentielle dans la commune de Saint-Louis sont maintenant disponibles, et ils montrent une avance écrasante pour le candidat de la coalition Diomaye 2024, Bassirou Diomaye Faye. Avec 49 077 voix, Faye a obtenu 63,2% des suffrages exprimés, selon les données officielles.

Ces résultats placent Amadou Ba, de la coalition Benno Bokk Yakaar, en deuxième position avec 21 600 voix, représentant 28,4% du total des voix exprimées. Aliou Mamadou Dia arrive en troisième position avec 2 456 voix, ce qui représente 3,3% des voix exprimées.

La victoire écrasante de Bassirou Diomaye Faye dans la commune de Saint-Louis souligne un fort soutien de la population locale à sa candidature. Ces résultats renforcent également la tendance observée dans d’autres régions du pays, où Faye a également obtenu des résultats impressionnants.

Cette victoire de Faye à Saint-Louis pourrait avoir un impact significatif sur le résultat global de l’élection présidentielle, signalant un fort élan en faveur de sa coalition et de son programme politique.

Cependant, il convient de noter que ces résultats sont encore provisoires et que des résultats définitifs seront nécessaires avant de confirmer officiellement le vainqueur de l’élection présidentielle.

Cheikh Bamba Dieye : La victoire de Diomaye Faye marque le début d’une ère de justice

Cheikh Bamba Dieye, ancien maire de la ville de Saint-Louis et leader du Front pour le socialisme et la démocratie/Benno Jubël (FSD/BJ), a adressé ses félicitations à Bassirou Diomaye Faye, candidat de la coalition Diomaye Président, pour sa victoire présumée à l’élection présidentielle. Dans un message publié sur X, Cheikh Bamba Dieye exprime sa conviction que Diomaye Faye sera le prochain président de la République du Sénégal.

Pour Cheikh Bamba Dieye, l’élection de Bassirou Diomaye Faye marque le début d’une nouvelle ère de justice, de démocratie et de plein épanouissement pour le Sénégal. Il adresse ses prières à Allah pour que le nouveau président élu soit guidé par la lumière, la science, le courage et la rigueur dans l’accomplissement de ses fonctions.

L’ancien maire de Saint-Louis appelle également toutes les parties prenantes à faire preuve de patience et de vigilance dans l’attente des réformes et du travail que Bassirou Diomaye Faye et son équipe entreprendront. Il exhorte à accompagner le nouveau président avec une vigilance intelligente afin que les changements attendus se concrétisent.

Cette déclaration de Cheikh Bamba Dieye témoigne de son soutien indéfectible à la coalition Diomaye Président et de son optimisme quant aux perspectives de changement et de progrès sous la future présidence de Bassirou Diomaye Faye.

Boubacar Camara adresse ses félicitations à Bassirou Diomaye Faye après le premier tour de la présidentielle

Après l’annonce des résultats préliminaires du premier tour de l’élection présidentielle au Sénégal, Boubacar Camara Kamah, candidat malheureux à cette élection, a pris la parole pour féliciter son adversaire victorieux, Bassirou Diomaye Faye. Dans une déclaration publiée sur les réseaux sociaux, il exprime également ses remerciements à ses partisans et alliés politiques, tout en soulignant l’importance de la participation citoyenne et la nécessité d’œuvrer ensemble pour le bien-être du Sénégal.

Boubacar Camara commence par adresser ses vœux de prompt rétablissement à Mouhamed Boun Abdallah Dionne, un autre candidat qui n’a pas pu voter en raison de problèmes de santé, mettant ainsi en avant l’importance de la santé pour tous.

Il exprime ensuite sa gratitude envers les citoyens qui ont soutenu sa candidature et son programme politique, soulignant l’engagement et la cohérence de ses partisans. Il tient également à remercier ses alliés de la Coalition Kamâh 2024 et son équipe de campagne pour leur soutien indéfectible.

Malgré ses propres résultats décevants, Boubacar Camara se félicite du bon déroulement du scrutin et rend hommage à tous les acteurs qui ont contribué à son organisation, notamment le peuple sénégalais, la justice, la société civile, la presse et l’administration électorale. Il souligne ainsi la capacité du Sénégal à organiser des élections consensuelles et irréprochables.

Enfin, Boubacar Camara adresse ses chaleureuses félicitations à Bassirou Diomaye Faye pour sa victoire présumée au premier tour de l’élection présidentielle. Il exprime l’espoir que les préoccupations et aspirations du peuple sénégalais seront prises en compte dans les actions futures, dans un climat de paix et de sérénité, pour relever les défis nationaux et internationaux auxquels le Sénégal est confronté.

Cette déclaration de Boubacar Camara témoigne de son engagement en faveur de la démocratie et de son respect pour le processus électoral, malgré les résultats défavorables pour sa propre candidature.

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