Condamnation en Guinée : L’ex-numéro deux de la junte écope de cinq ans de prison

L’ancien chef d’état-major de l’armée guinéenne, le Général Sadiba Koulibaly, a été condamné à cinq ans de prison ferme par un tribunal militaire pour « désertion à l’étranger » et « détention illégale d’armes ». Cette décision fait suite à son retour précipité de Cuba en mai dernier, où il était en poste en tant que chargé d’affaires à l’ambassade de Guinée.

Le général Koulibaly, autrefois numéro deux de la junte dirigée par le général Mamadi Doumbouya après le coup d’État de septembre 2021, avait quitté son poste pour revenir en Guinée, arguant la nécessité de réclamer les salaires des personnels de l’ambassade. Son retour non autorisé aurait été à l’origine de son arrestation début juin, accompagnée de celle de six de ses gardes du corps, sous l’accusation d’abandon de poste et de détention d’armes illégales à son domicile.

Alors que le parquet avait requis dix ans de prison, la défense a vivement contesté cette décision, dénonçant une « machination » contre leur client. Me Lancinè Diabaté, avocat de Koulibaly, a qualifié la condamnation de « scandaleuse » et a annoncé faire appel.

Cette affaire survient dans un contexte politique tendu en Guinée, marqué par le coup d’État de 2021 qui a renversé le président Alpha Condé. Malgré les pressions internationales, la junte au pouvoir avait initialement promis de céder la place à un régime civil d’ici fin 2024, mais a depuis indiqué des réticences à respecter cet engagement.

Ousmane Sonko : « J’ai reçu M. Sadio Mané venu me parler de ses projets sportifs au Sénégal, mais surtout de ses ambitions d’investir dans l’agro-industrie.

Je l’encourage dans cette voie et lance un appel à tous les Sénégalais désireux de soutenir l’effort collectif vers un Sénégal meilleur à venir investir dans la transformation structurelle de notre économie. Ils trouveront l’écoute, l’attention et l’accompagnement nécessaires de la part de l’État, conformément au programme et aux instructions de son excellence, le président de la République.

Je magnifie également la décision patriotique de Sadio d’offrir gratuitement de la publicité à notre compagnie nationale Air Sénégal à travers un affichage sur les maillots du club de Bourges Foot 18 dont il est le propriétaire. »

Renforcement des capacités des actes d’assainissement : Le Groupe Walfadjri débloque ses comptes après un accord avec le Fisc

Le Groupe Walfadjri a annoncé dans un communiqué avoir effectué un paiement partiel à l’administration fiscale, accompagné d’un engagement à respecter un moratoire de paiement selon un échéancier convenu. Cette démarche a permis la levée des restrictions sur les comptes du groupe médiatique, qui étaient soumis à un Avis à Tiers Détenteur (ATD).

En réponse à cette action, les autorités fiscales ont délivré un quitus fiscal, officialisant ainsi le déblocage des comptes. Cette résolution positive a également ouvert la possibilité pour les employés du Groupe Walfadjri de solliciter une avance sur leur salaire du mois en cours, en remplacement de l’avance traditionnelle pour la fête de Tabaski.

La direction du groupe a exprimé sa gratitude envers les autorités administratives et fiscales pour leur collaboration, ainsi qu’envers les employés pour leur compréhension. Elle a également remercié la population sénégalaise, tant locale que de la diaspora, pour son soutien.

Ce dénouement témoigne de la volonté du Groupe Walfadjri de respecter ses obligations légales, sociales et fiscales, et réaffirme son engagement en ce sens pour l’avenir.

Tabaski 2024 : Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre honore la tradition en offrant des présents à la famille de Serigne Abdou Aziz Sy Al Amine

La tradition de générosité et de fraternité qui caractérise la célébration de la Tabaski a été une fois de plus honorée cette année par Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre, porte-parole du Khalife Général des Mourides. En remettant des présents, y compris des moutons, à la famille du vénéré Serigne Abdou Aziz Sy Al Amine, il a témoigné de son profond respect et de son attachement aux valeurs de solidarité qui unissent la communauté religieuse.

L’événement, qui s’est déroulé en présence du Khalife Serigne Babacar Sy Al Amine et de Serigne Moustapha Sy Al Amine, fils aîné de Serigne Abdou Aziz Sy Al Amine, a été l’occasion de renforcer les liens étroits entre les différentes branches de la famille religieuse. Serigne Moustapha Sy Al Amine a exprimé sa gratitude pour ce geste traditionnel, soulignant l’importance de perpétuer ces traditions ancestrales qui témoignent de l’unité et de la solidarité au sein de la communauté mouride.

Ce geste de générosité renforce également les relations fraternelles entre Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre et la famille de Serigne Abdou Aziz Sy Al Amine, soulignant l’importance des liens personnels et spirituels qui unissent les leaders religieux et leurs fidèles. En perpétuant cette tradition, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre démontre une fois de plus son engagement envers les valeurs de compassion, de partage et de solidarité qui sont au cœur de l’islam mouride.

Le premier baril de pétrole : un symbole du succès de la politique de Macky Sall

L’extraction du premier baril de pétrole du champ de Sangomar marque un tournant historique pour le Sénégal, et selon l’ancien ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération Doudou Ka, c’est le résultat d’une politique visionnaire engagée par l’ancien président Macky Sall entre 2012 et 2024.

Cet événement symbolise le début d’une nouvelle ère économique pour le pays, soulignant la réussite d’une vision éclairée et d’un engagement soutenu. Les deux mandats de Macky Sall ont laissé une empreinte significative dans l’histoire du Sénégal, grâce à une gouvernance responsable qui a favorisé des avancées économiques majeures.

En plaçant l’ambition d’un Sénégal émergent au cœur de ses actions, Macky Sall et ses gouvernements successifs ont offert de nouvelles perspectives positives pour la jeunesse sénégalaise, posant ainsi les fondations d’un « Grand Sénégal » prometteur pour les générations futures.

L’extraction du premier baril de pétrole représente donc bien plus qu’un simple exploit industriel ; c’est le symbole tangible du succès d’une politique visionnaire et du potentiel économique prometteur du Sénégal sous le leadership de Macky Sall.

Un Nouveau Chapitre à l’Administration Pénitentiaire : Aliou Ciss Prend les Rênes

Au Camp Pénal de Liberté 6, un moment historique a marqué ce vendredi 14 juin 2024 : la cérémonie de passation de service entre le Colonel Abdoulaye Diagne, directeur général sortant de l’administration pénitentiaire, et son successeur, l’Inspecteur Aliou Ciss.

Sous la haute présidence du Ministre de la Justice, Ousmane Diagne, cet événement symbolise bien plus qu’un simple changement de leadership. Il représente une étape cruciale dans la mise en œuvre des réformes discutées lors du dialogue national du 28 mai dernier, axées sur la modernisation et la réforme de la justice, avec une attention particulière portée à l’administration pénitentiaire.

« La question pénitentiaire, notamment le respect des droits des détenus, l’amélioration des conditions carcérales et du travail du personnel sont au cœur des préoccupations de son Excellence Monsieur le Président de la République », a souligné le Ministre de la Justice, mettant ainsi en lumière l’importance accordée à cette transition.

Malgré les progrès réalisés ces dernières années, notamment en matière de sécurité avec l’introduction de systèmes de vidéosurveillance et le renforcement de l’équipement, ainsi que le développement des programmes de réinsertion sociale, l’Inspecteur Aliou Ciss affiche une détermination sans faille à aller plus loin.

« Pour moi, il s’agira d’inscrire en priorité l’humain au cœur de mon action », a déclaré M. Ciss. « Je m’engage à améliorer les conditions de détention, à renforcer les capacités opérationnelles du personnel, et à revaloriser la fonction pénitentiaire. »

Cette vision audacieuse annonce un nouveau chapitre prometteur pour l’administration pénitentiaire de Liberté 6, où le respect des droits humains, la réhabilitation des détenus et le soutien au personnel seront au centre des préoccupations. Avec l’arrivée d’Aliou Ciss à sa tête, l’avenir s’annonce empreint de progrès et d’engagement envers une justice plus équitable et humaine.

Deux personnes trouvent la mort dans un accident de moto à Tivaouane

Jeudi soir, une tragédie s’est déroulée à Tivaouane, où un accident fatal entre une moto et un camion a coûté la vie à deux personnes. Le conducteur de la moto, âgé d’une trentaine d’années, ainsi que son passager du même âge, ont été tués sur le coup lors de la collision avec un camion de vidange sur la route nationale, à proximité du centre secondaire d’incendie et de secours de Tivaouane.

L’accident s’est produit vers 18h25, alors que le camion se dirigeait vers Thiès et la moto se déplaçait en sens inverse. Malheureusement, le choc fut fatal pour les deux occupants de la moto.

Suite à l’intervention de la police sur les lieux de l’accident, les pompiers ont rapidement pris en charge la situation et ont transporté les corps des victimes à l’hôpital Mame Abdou Aziz Dabakh de Tivaouane.

Cet incident tragique rappelle une fois de plus l’importance de la prudence sur les routes et soulève des questions sur la sécurité routière dans la région.

Réduction des prix des denrées alimentaires : Une baisse insuffisante selon Thierno Bocoum

Le président du mouvement AGIR, Thierno Bocoum, a réagi à l’annonce du gouvernement sénégalais concernant la réduction des prix des denrées de première nécessité. Bien qu’il reconnaisse l’importance de toute baisse de prix, même minime, il souligne que des réductions non accompagnées de mesures étatiques peuvent entraîner spéculation et hausse des prix.

Bocoum a rappelé l’exemple de novembre 2022, lorsque le président Macky Sall avait annoncé 11 baisses de prix lors du Conseil national spécial de la Consommation, conduisant à une baisse du prix du riz brisé ordinaire à 325 FCFA le kilogramme. Malgré la réduction annoncée récemment de 40 FCFA par les autorités actuelles, le prix reste plus élevé qu’il y a un an, s’élevant à 410 FCFA. Il souligne également que les prix peuvent être majorés dans certaines régions en raison de frais de transport supplémentaires, rendant les denrées encore plus coûteuses dans ces régions.

Pour Bocoum, les autorités doivent agir rapidement en mettant en place des réformes structurelles pour augmenter l’offre alimentaire de manière significative et endogène, en se concentrant sur la mobilisation des ressources pour soutenir ces réformes.

Il insiste sur la nécessité de supprimer les caisses noires et les structures inutiles, afin de réduire le train de vie de l’État et de créer des ressources supplémentaires pour mettre en place des politiques structurelles visant une baisse durable des prix des denrées alimentaires.

Bocoum salue également la suppression de la parafiscalité sur le ciment, tout en rappelant que des actions plus audacieuses sont nécessaires pour atteindre une réelle baisse des prix des denrées de première nécessité.

Inquiétudes au Burkina Faso suite à des événements près de la présidence

Une récente explosion près de la présidence burkinabè a ravivé les craintes de déstabilisation dans le pays. Les spéculations se multiplient sur une possible tentative visant le régime d’Ibrahim Traoré, confronté à une situation déjà tendue. L’explosion, suivie de tirs à la télévision publique, a alimenté un débat sur la sécurité du président de transition, actuellement introuvable.

Dans ce contexte, le général Célestin Simporé a ordonné le renforcement des mesures de sécurité, avec un retour des soldats dans leurs casernes. Les autorités, tout en démentant les rumeurs circulant sur les réseaux sociaux, assurent que le président Traoré se porte bien et a dirigé une opération anti-terroriste.

Pendant ce temps, le Premier ministre présidait un séminaire sur la cybersécurité, soulignant les multiples défis auxquels le pays est confronté. Les renforts ont été déployés dans la région du Sahel, où une base est tombée aux mains des terroristes, laissant un nombre important de soldats portés disparus.

Malgré ces incidents, les autorités tentent de rassurer la population en assurant un renforcement des mesures de sécurité. Pour l’instant, les causes précises de l’explosion et les responsables restent inconnus, mais le calme semble revenu dans la capitale, bien que sous tension.

Solidarité et Reconnaissance : Le Général Mbaye Cissé Honore les Anciens Militaires Blessés de Guerre à l’Approche de la Tabaski

À l’approche de la Tabaski, une fête sacrée célébrée par les musulmans à travers le monde, une lumière de solidarité et de reconnaissance brille sur les anciens militaires sénégalais blessés au combat. Le geste remarquable du général de corps d’armée Mbaye Cissé, chef d’état-major général des armées (Cemga) du Sénégal, réchauffe les cœurs et souligne l’engagement envers ceux qui ont sacrifié leur santé pour la nation.

En effet, le général Cissé a offert 100 moutons aux familles des anciens combattants gravement mutilés lors des conflits, ainsi qu’à l’association des anciens militaires invalides du Sénégal. Cette généreuse initiative, annoncée par la Direction de l’Information et des Relations Publiques des Armées (Dirpa), témoigne de l’importance accordée au bien-être et à la dignité de ceux qui ont servi avec courage et dévouement.

La remise officielle des moutons est prévue ce vendredi matin à Terme Sud, dans le quartier de Ouakam. Cet événement symbolique sera marqué par la reconnaissance et le soutien envers ces héros de la patrie, offrant aux familles des anciens militaires la possibilité de célébrer la Tabaski dans la dignité et la joie, grâce à la générosité et à la solidarité de toute la nation.

Dans un monde parfois marqué par l’oubli et l’indifférence, ce geste fort rappelle que la gratitude envers ceux qui ont sacrifié leur santé pour la liberté et la sécurité de tous demeure un pilier essentiel de notre société.

Sadio Mané : Un Retour en Europe en Vue ?

Selon les dernières rumeurs de transfert, l’avenir de Sadio Mané semble être en cours de discussion. Le joueur sénégalais, actuellement sous contrat avec Al-Nassr jusqu’en 2026, pourrait bientôt quitter l’Arabie saoudite pour rejoindre Al Qadisiya, selon des sources saoudiennes. Cependant, un retour en Europe semble également possible, avec Fenerbahçe montrant un vif intérêt pour l’attaquant.

Après un passage réussi au Bayern Munich, Mané pourrait envisager un retour sur le continent européen, avec Fenerbahçe comme destination potentielle. Le club turc, ambitieux dans ses projets de renforcement d’équipe, voit en Mané un atout précieux pour sa ligne offensive, aux côtés de joueurs tels que Rafa Silva et Robert Lewandowski.

Les discussions sont en cours entre les parties impliquées pour trouver la meilleure formule de transfert. Une réunion entre la direction de Fenerbahçe et le manager de Mané est prévue la semaine prochaine pour finaliser les détails de ce possible retour en Europe.

Restez à l’écoute pour les développements futurs alors que l’avenir de Sadio Mané continue de susciter l’intérêt des clubs à travers le monde.

Le Sénégal contracte des prêts de plus de 538 milliards de francs CFA auprès de compagnies pétrolières pour financer ses projets énergétiques

Dans le cadre du développement de ses ressources pétrolières et gazières, le Sénégal a contracté une série de prêts auprès de grandes compagnies énergétiques telles que Woodside, Bp et Kosmos. Ces prêts, totalisant plus de 538 milliards de francs CFA, ont été utilisés pour financer des besoins liés aux projets pétroliers et gaziers du pays.

Pour le projet pétrolier Sangomar, Petrosen, la compagnie pétrolière nationale du Sénégal, a emprunté 450 millions de dollars à l’opérateur Woodside Energy Ltd. Ce prêt, d’une durée initiale de 5 ans avec des extensions possibles, est assorti d’un taux d’intérêt de 6,5% par an. Les fonds seront remboursés à partir des revenus générés par la vente de pétrole brut, représentant la part de Petrosen dans le projet.

De même, dans le cadre du projet Gta, Petrosen a bénéficié de prêts de Bp et Kosmos pour financer sa part des coûts de développement. Bp a accordé un prêt de 290,0145 millions de dollars sur 7 ans, tandis que Kosmos a fourni une facilité de 144,9855 millions de dollars, également sur 7 ans. Les conditions de remboursement sont similaires, avec des taux d’intérêt de 6,5% par an et des remboursements planifiés sur les revenus provenant de la vente de gaz naturel.

Ces accords de prêt reflètent l’importance des partenariats entre le secteur public et privé dans le développement des ressources énergétiques d’un pays. Cependant, ils soulèvent également des questions sur la dépendance potentielle du Sénégal à l’égard des compagnies étrangères et sur la gestion des revenus futurs générés par ces projets. Il est crucial que ces fonds soient utilisés de manière transparente et efficace pour bénéficier à l’ensemble de la population sénégalaise et assurer un développement durable à long terme.

Birame Soulèye Diop nomme un ancien collaborateur de Ismaïla Madior Fall comme Directeur de cabinet

Le Ministre de l’Énergie, des Mines et du Pétrole, Birame Soulèye Diop, a récemment désigné le Professeur Meïssa Diakhaté comme Directeur de cabinet. Cette nomination a suscité l’intérêt, notamment en raison du parcours impressionnant de Meïssa Diakhaté, qui est décrit comme un juriste de haute facture, originaire de Thiès, tout comme le ministre lui-même.

Selon les informations relayées par Bés Bi, Pr Diakhaté a déjà occupé ce poste de Directeur de cabinet lors du premier mandat de Ismaïla Madior Fall au ministère de la Justice. Cette expérience préalable pourrait être un atout précieux pour son nouveau rôle au sein du cabinet ministériel.

La nomination de Pr Diakhaté reflète peut-être la volonté de Birame Soulèye Diop de s’entourer de collaborateurs compétents et expérimentés, ainsi que sa volonté de maintenir une certaine continuité dans la gestion ministérielle.

Cette décision souligne également l’importance accordée à l’expertise juridique et à la connaissance des rouages administratifs dans le secteur de l’énergie, des mines et du pétrole.

À la lumière de cette nomination, les attentes sont élevées quant à la contribution de Pr Diakhaté à la mise en œuvre des politiques et des projets du ministère, ainsi qu’à sa capacité à relever les défis complexes qui attendent le secteur.

L’athérapie de la cire du miel : Les bienfaits insoupçonnés révélés par Mamadou Ly, apiculteur de formation

Lors d’une conférence publique captivante, Mamadou Ly, apiculteur de formation, a partagé son expertise sur l’athérapie de la cire du miel, dévoilant les multiples avantages que cette pratique offre pour la santé et le bien-être.

L’athérapie, une méthode ancestrale de guérison, exploite les vertus curatives du miel et de ses dérivés. Selon Ly, le miel est bien plus qu’une simple douceur sucrée ; ses propriétés antibactériennes, anti-inflammatoires et antioxydantes en font un allié puissant pour combattre un large éventail de maux. De plus, il a souligné que le miel favorise la rétention du calcium et du magnésium, ainsi que l’augmentation du taux d’hémoglobine dans le sang.

En ce qui concerne le pollen et la gelée royale, Ly a partagé avec passion les bienfaits de ces produits souvent sous-estimés. Le pollen, riche en protéines, renforce le système immunitaire et agit comme un tonique naturel en cas de fatigue ou d’infection. Quant à la gelée royale, elle est vantée pour ses effets revitalisants sur l’ensemble de l’organisme, et peut être utilisée en cure saisonnière pour renforcer la vitalité.

Ly a également mis en lumière l’utilisation de la cire de miel dans l’industrie cosmétique. Selon lui, cette matière versatile offre un support idéal pour les mélanges organiques, tout en revitalisant la peau et en lui redonnant éclat, souplesse et tonicité.

En résumé, l’athérapie de la cire du miel, telle que présentée par Mamadou Ly, offre une approche holistique de la santé, exploitant les trésors de la ruche pour promouvoir le bien-être physique et mental. Son expertise apporte un éclairage précieux sur les pratiques traditionnelles qui continuent de nourrir notre santé moderne.

Maodo Malick Mbaye annonce sa démission de la direction de l’ANAMO pour se consacrer à la médiation en Afrique

Maodo Malick Mbaye a annoncé sa démission de son poste de Directeur Général de l’Agence Nationale de la Maison de l’Outil (ANAMO), après douze ans de service. Dans une lettre adressée au Président de la République du Sénégal, il a exprimé son désir de se consacrer exclusivement à la médiation en Afrique, en tant que Président du Groupe d’Initiatives Pour Une Médiation A L’Africaine (GIMA).

Dans sa note à la presse, Mbaye a souligné son engagement envers la médiation en Afrique, précisant qu’il rendrait son passeport diplomatique et se retirerait de ses fonctions dès ce vendredi. Il a également mis en avant son bilan à la tête de l’ANAMO, soulignant l’augmentation significative du nombre de maisons de l’outil et le nombre de jeunes et de femmes formés sous sa direction.

Malgré sa démission, Mbaye a assuré qu’il resterait disponible pour son pays, affirmant son engagement en faveur de la réconciliation et de la stabilité sur le continent, et se tenant prêt à contribuer au dialogue et à la concertation conformément au programme de gouvernance des nouvelles autorités.

Finale Historique de la Coupe du Sénégal 2024 : Mbour PC contre les Férus de Foot !

Dans une confrontation inédite et pleine de surprises, la finale de la Coupe du Sénégal 2024 verra s’opposer deux équipes de divisions inférieures : Mbour PC et l’Académie Les Férus de Foot. Ce choc des outsiders promet d’être un spectacle captivant alors que ces deux formations cherchent à décrocher le précieux trophée national.

La route vers la finale a été semée d’exploits pour ces deux clubs. Jeudi dernier, Mbour PC a résisté à la pression en éliminant la redoutable Jeanne d’Arc de Dakar aux tirs au but, après un match nul 1-1. Pendant ce temps, l’Académie Les Férus de Foot a créé la surprise en battant le tenant du titre, Jaraaf de Dakar, également aux tirs au but (0-0, 5-3 tab), lors des demi-finales mercredi.

Cette finale entre deux équipes modestes du football sénégalais marquera l’histoire de la Coupe du Sénégal. Issues des divisions inférieures, Mbour PC et les Férus de Foot auront l’opportunité de briller sous les feux des projecteurs et de créer l’exploit en soulevant le trophée national. L’excitation est à son comble alors que ces outsiders se préparent à en découdre sur le terrain et à écrire une nouvelle page dans l’histoire du football sénégalais.

De nouvelles installations d’équipements pour des formalités automatiques de police au profit des passagers

Dans une démarche visant à améliorer l’efficacité et la fluidité des contrôles aux frontières, le Commissariat Spécial de la Police de l’Aéroport a orchestré ce jeudi 13 juin 2024 une cérémonie marquant la mise en service de nouveaux équipements de contrôle automatique. Aux côtés du Commissariat, le Directeur général de LAS, gestionnaire de l’infrastructure aéroportuaire, a également pris part à cet événement d’importance.

Ces nouvelles installations, rendues possibles grâce à la collaboration avec Securiport, visent à rehausser la qualité du service public de la Police tout en améliorant l’expérience des passagers. Le déploiement de ces dispositifs, notamment les kiosques ABC, s’inscrit dans une volonté de réduire les délais d’attente aux postes de contrôle tout en maintenant des normes de sécurité strictes.

 » Avec ce tout nouveau dispositif ou kiosques ABC, le passager passera moins de temps à la police dans le respect des normes de sécurité. Une grande innovation de plus après l’installation des e-gates dans la même zone de l’aéroport », a-t-on lu dans le communiqué transmis à la rédaction de Dakaractu.

Cette initiative s’ajoute ainsi à la série d’innovations mises en œuvre dans la zone aéroportuaire, démontrant l’engagement continu des autorités à moderniser les processus tout en garantissant la sécurité et le confort des voyageurs.

Visite de travail : Le Président Bassirou Diomaye Faye chaleureusement accueilli à Freetown (Sierra Leone)

Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a entamé une visite d’amitié et de travail à Freetown, capitale de la Sierra Leone, sous les auspices d’une atmosphère empreinte de cordialité. Dès son arrivée à l’Aéroport international de Lungi, il a été accueilli avec chaleur et fraternité. La communauté sénégalaise, mobilisée à son débarquement du ferry, a également exprimé son soutien et son enthousiasme.

Au State House, lieu symbolique de la diplomatie, les deux Chefs d’État ont tenu des discussions substantielles, accompagnés de leurs délégations respectives. L’objectif principal était de révisiter et de renforcer la coopération bilatérale entre le Sénégal et la Sierra Leone. Parmi les sujets évoqués, l’intégration en région ouest-africaine a occupé une place de choix, démontrant la volonté commune de promouvoir le développement régional et la solidarité entre les nations de la sous-région.

Cette visite marque une étape importante dans les relations entre les deux pays, illustrant leur engagement mutuel en faveur de la paix, de la stabilité et du progrès économique dans la région ouest-africaine.

Kalidou Koulibaly construit un nouveau centre de santé à Ngano, Matam

Le défenseur sénégalais, Kalidou Koulibaly, étend son engagement philanthropique en construisant un centre de santé dans son village natal de Ngano, dans la région de Matam. Via son association « Capitaine du Cœur », Koulibaly vise à compléter ce projet d’ici la fin de l’année civile.

Dans une interview avec l’APS, Koulibaly a exprimé sa passion pour ces initiatives, affirmant : « Ces actions me tiennent à cœur. J’adore les réaliser. » Cette nouvelle construction s’ajoute à une série d’initiatives humanitaires, telles que la distribution de matériel scolaire à Diamaguène et la création d’une aire de jeu pour les enfants à Bafoussam, en Côte d’Ivoire.

Expliquant la genèse de son association, Koulibaly a souligné que son engagement philanthropique était intrinsèque : « Je faisais des opérations où j’aidais beaucoup de gens au Sénégal, à Napoli. Ces opérations n’étaient pas connues. J’aimais bien les faire discrètement parce que je suis une personne très discrète. » La création de « Capitaine du Cœur » vise à étendre cet impact positif aux populations en Afrique et dans le monde, dans l’espoir de « leur donner un sourire et faire des actions qui vont leur permettre de changer quelque chose dans leur vie. »

Le projet du centre de santé à Ngano incarne l’engagement continu de Kalidou Koulibaly envers le bien-être de sa communauté et démontre le pouvoir du sport comme catalyseur du changement social

Le gouvernement annonce des baisses de prix pour soulager le coût de la vie

Hier, lors du Conseil des ministres, le Premier ministre Ousmane Sonko a dévoilé les nouvelles mesures visant à alléger le fardeau financier des ménages les plus vulnérables. Ces mesures, conçues pour assurer la soutenabilité budgétaire, ont été présentées lors d’une conférence de presse animée par le ministre secrétaire général du gouvernement Ahmadou Al Aminou Lo, le ministre des Finances et du Budget Cheikh Diba, et leur collègue de l’Agriculture Mabouba Diagne.

Les réductions de prix touchent plusieurs denrées alimentaires de première nécessité ainsi que des produits et services à forte demande. Le sucre cristallisé homologué voit son prix diminuer de 50 F CFA, passant à 600 F CFA. De même, le riz brisé non parfumé bénéficie d’une réduction de 40 F CFA, tandis que le riz indien sera disponible à moins de 400 F CFA dès le mois d’août. L’huile raffinée enregistre une baisse significative de 100 F CFA.

Concernant le pain, une diminution de 15 F CFA a été retenue, en attendant la conclusion des discussions en cours. De plus, le gouvernement a pris la décision de suspendre la taxe de 2 000 F CFA sur le ciment.

Ces mesures devraient apporter un soulagement financier aux ménages les plus touchés par les hausses de prix récentes, tout en contribuant à la stabilité économique du pays.

Appel à dialoguer pour renforcer la presse sénégalaise : Alioune Tine met en garde contre la disparition imminente

Alioune Tine, fondateur du Think-Thank Afrikajom Center, lance un appel pressant au dialogue pour renforcer la presse sénégalaise, suite aux récentes mesures de blocage des comptes de la chaîne de télévision privée Walfadjri. Tine souligne l’importance vitale de préserver la presse nationale, avertissant que son déclin pourrait ouvrir la porte à une influence étrangère. Il exhorte les autorités sénégalaises à aborder la situation avec pragmatisme plutôt que sur une vision technocratique et dogmatique. Les premières notifications de paiements des arriérés d’impôts ont exacerbé la crise, culminant avec la saisie des comptes bancaires de certains groupes en début de semaine.

Tensions et Réactions suite à l’Incident de Mboro : Ambassade de Chine au Sénégal Prône la Vigilance et l’Harmonie

L’incident survenu à Mboro, où un chauffeur sénégalais a été violemment agressé par des ressortissants chinois et un sénégalais, a suscité une réponse ferme de l’ambassade de Chine au Sénégal. Dans un communiqué, l’ambassade a exprimé sa préoccupation tout en soulignant l’importance du respect de la législation sénégalaise par les ressortissants et entreprises chinois. Cependant, elle a également dénoncé les commentaires haineux sur les réseaux sociaux à l’égard de la Chine, appelant à la préservation des bonnes relations sino-sénégalaises.

Le communiqué a souligné l’engagement du gouvernement chinois à exhorter ses citoyens à respecter les lois et règlements locaux, à vivre en harmonie avec la population locale, et à condamner fermement toute forme de violence. Il a également mis en avant l’importance d’une enquête approfondie pour établir les faits de l’incident.

Par ailleurs, l’ambassade a appelé à la vigilance face à toute tentative de manipulation de l’affaire pour attiser les tensions intercommunautaires et ternir l’image des relations sino-sénégalaises, soulignant que ces relations ont résisté à l’épreuve du temps et ont contribué au bien-être des populations des deux pays.

Cet incident a entraîné l’arrestation des suspects impliqués, qui seront jugés le 26 juin. Il met en lumière la nécessité d’un dialogue continu et d’une coopération étroite entre les autorités sénégalaises et chinoises pour prévenir de tels incidents à l’avenir et renforcer les liens d’amitié entre les deux nations

Le Fisc cible les médias : après Madiambal et Walf, la RTS de Pape Alé Niang dans le collimateur

La Direction générale des impôts et domaines (DGID) a initié une série de mesures de redressement fiscal visant les médias locaux, avec pour cibles récentes les groupes Avenir Communication de Madiambal Diagne et Wal Fadjri de feu Sidy Lamine Niass. Ces entreprises ont vu leurs comptes bancaires saisis par le Fisc.

Mais la DGID ne s’arrête pas là. D’autres acteurs de la presse sont également dans le viseur des autorités fiscales, notamment le Groupe Futurs Médias de Youssou Ndour, D-Médias de Bougane Guèye Dany, et 3M Universel Communication de Maïmouna Ndour Faye, selon des sources concordantes.

Dans une tentative de dissiper toute impression de partialité, la DGID aurait également inclus la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS) dans ses actions. Dirigée par Pape Alé Niang, récemment nommé par le Président Diomaye Faye et associé au Premier ministre et président de Pastef, Ousmane Sonko, la RTS aurait vu son compte bancaire faire l’objet d’un Avis à tiers détenteur (ATD), selon des informations.

Cette démarche soulève des questions quant à la légitimité des saisies bancaires effectuées par le Fisc. Toutefois, Pape Alé Niang affirme n’avoir reçu aucune notification de redressement fiscal, ni de saisie de compte de la part de l’entreprise qu’il dirige. Il reste donc à voir comment cette affaire se développera dans les jours à venir.

L’augmentation significative de la masse salariale dans la fonction publique

L’exercice du premier trimestre 2024 a mis en lumière une hausse remarquable de la masse salariale dans la fonction publique, comme le rapporte Libération. Le budget, s’élevant à 353,491 milliards Fcfa, a enregistré une augmentation de 29,388 milliards, soit une augmentation de 9% par rapport à l’exercice précédent.

Cette augmentation est principalement attribuée aux dépenses de personnel, évaluées à 34,651 milliards en valeur absolue, représentant une augmentation de 11% en valeur relative. De plus, la prise en charge des engagements découlant des accords signés entre l’État et les organisations syndicales des secteurs de l’Éducation et de la Santé en 2022 a également contribué à cette tendance.

Le secteur de l’Éducation et de la Formation professionnelle reçoit la plus grande part de cette augmentation, avec un montant de 191,355 milliards, soit 56,2% du total. Il est suivi par les Forces de défense et de sécurité, avec 84,532 milliards, représentant 24,8% du budget.

Le secteur de la santé reçoit une allocation de 19,343 milliards, soit 5,7% du budget total, tandis que les dépenses de personnel des ministères des Finances et de la Justice sont respectivement estimées à 10,632 milliards (3,1%) et 8,807 milliards (2,6%). Les institutions comptabilisent quant à elles 8,507 milliards, soit 2,5% du budget.

En outre, il est noté que l’effectif des agents de la Fonction publique a atteint 181 947 agents à la fin du premier trimestre de 2024, enregistrant ainsi une progression de 3,0% par rapport au trimestre précédent.

Cette augmentation de la masse salariale dans la fonction publique soulève des questions quant à sa soutenabilité à long terme et met en évidence la nécessité d’une gestion prudente des ressources pour garantir la viabilité financière du secteur public.

Le Président Bassirou Diomaye Faye en visite diplomatique à Freetown

Le Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a entamé ce matin une visite d’amitié et de travail de 24 heures à Freetown, en Sierra Leone. Accompagné d’une délégation officielle, le Chef de l’État s’est envolé depuis Dakar pour rencontrer son homologue, Julius Maada Wonie Bio, dans le cadre de discussions visant à renforcer les liens bilatéraux entre les deux nations.

Au cours de cette rencontre diplomatique, les deux dirigeants aborderont une série de sujets d’intérêt commun, notamment la coopération économique, les échanges commerciaux, et la collaboration dans les domaines de la sécurité et du développement régional. Cette visite marque une étape importante dans les relations entre le Sénégal et la Sierra Leone, soulignant l’engagement mutuel à approfondir la coopération et à promouvoir la stabilité dans la région ouest-africaine.

La Présidence de la République a exprimé sa volonté de consolider les liens historiques et culturels qui unissent les deux pays, tout en explorant de nouvelles opportunités de partenariat dans divers secteurs. Cette visite diplomatique témoigne de l’importance que les deux nations accordent à la diplomatie régionale et à la promotion de la paix et de la prospérité en Afrique de l’Ouest.

La délégation présidentielle comprend également des représentants des secteurs clés tels que le commerce, l’agriculture, et la santé, témoignant de l’engagement du Sénégal à explorer des avenues de coopération dans des domaines variés. Cette visite renforce ainsi les liens historiques et culturels entre les deux nations et ouvre la voie à une collaboration fructueuse pour le bénéfice mutuel de leurs citoyens.

La visite du Président Bassirou Diomaye Faye à Freetown revêt une importance particulière dans le contexte actuel de dynamisme diplomatique en Afrique de l’Ouest, soulignant l’engagement du Sénégal à jouer un rôle constructif dans la promotion de la paix, de la stabilité et du développement dans la région.

Tabaski 2024 : Le Président Bassirou Diomaye Faye participera à la prière à la Grande Mosquée de Dakar

Alors que le Sénégal se prépare à célébrer l’Aid El Kebir, également connu sous le nom de Tabaski, le dimanche 16 juin pour une partie de la communauté musulmane, le président Bassirou Diomaye Faye a annoncé sa participation à la prière à la Grande Mosquée de Dakar.

Lors du conseil des Ministres de ce mercredi 12 juin 2024, le chef de l’État a exprimé son engagement à prendre part à cet événement majeur de la foi musulmane. Dans un communiqué émis à cette occasion, il a chargé le gouvernement, en particulier le Ministre de l’Intérieur, de veiller à ce que les cérémonies de prières soient organisées dans les meilleures conditions à travers le pays.

Dans un geste de solidarité et de respect envers la communauté musulmane du Sénégal, le Président Bassirou Diomaye Faye a également saisi l’occasion pour adresser ses chaleureuses félicitations et ses meilleurs vœux à l’Oummah Islamique, tout en appelant l’ensemble de la Nation à prier pour un Sénégal de paix, de justice et de prospérité.

Cette annonce souligne l’importance de la cohésion sociale et religieuse au sein de la nation sénégalaise, ainsi que l’engagement du président à être présent aux côtés de ses concitoyens lors des moments significatifs de leur vie spirituelle.

Le Président Bassirou Diomaye Faye en visite diplomatique en Sierra Leone

Le président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, entame une visite officielle à Freetown, la capitale de la Sierra Leone, ce jeudi 13 juin 2024. Cette rencontre revêt une importance majeure dans le renforcement des relations bilatérales entre les deux nations.

Au cœur des discussions entre le Président Faye et son homologue Julius Maada Bio, figurent la définition de nouveaux axes de coopération. Des secteurs clés tels que les mines, la souveraineté alimentaire et énergétique seront au centre des échanges, reflétant ainsi la volonté commune de dynamiser les relations économiques et politiques entre les deux pays.

Cette visite fait suite aux récentes rencontres entre les dirigeants des deux nations, dont la réception du Vice-président de la Sierra Leone, Mohamed Juldeh Jalloh, par le Premier ministre Ousmane Sonko en avril dernier. La consolidation des acquis et la réactivation des commissions mixtes ont été évoquées lors de cette réunion, soulignant l’engagement continu à renforcer les liens entre les deux États.

La présence du Président Faye en Sierra Leone témoigne de la volonté partagée de promouvoir la paix, la coopération et le développement régional. Cette visite marque ainsi une étape significative dans l’approfondissement des relations entre le Sénégal et la Sierra Leone, ouvrant la voie à de nouvelles opportunités de collaboration et de progrès mutuel.

Titre: « Les Subventions sur l’Électricité et le Carburant au Sénégal : Une Décision Cruciale Sous Pression du FMI »

Dans un rapport récent, le Fonds Monétaire International (FMI) a recommandé au gouvernement sénégalais de mettre fin progressivement aux subventions sur l’électricité et le carburant. Cette recommandation, basée sur le principe de la vérité des prix, vise à aligner les coûts de production et de distribution avec les prix des biens et services.

Cependant, cette mesure arrive à un moment délicat, alors que les subventions représentent une part significative du budget de l’État sénégalais. La mise en œuvre de cette recommandation entraînera inévitablement une augmentation des prix de l’électricité, du carburant et des denrées de grande consommation, impactant directement les ménages.

Cette décision contraste avec les promesses antérieures des autorités de maintenir des prix stables pour les biens essentiels. Sous l’ancien président Macky Sall, le Sénégal avait alloué près de 800 milliards de francs CFA à des subventions dans le secteur de l’énergie, dans le but d’atténuer les coûts pour les consommateurs.

L’annonce de cette recommandation a été qualifiée de « pilule amère » par le journal Walf Quotidien, soulignant les défis économiques et sociaux que pourrait entraîner la suppression des subventions d’ici 2025.

Cette décision représente un dilemme pour le gouvernement sénégalais, qui doit trouver un équilibre entre les exigences du FMI et les besoins économiques et sociaux de sa population. Les prochaines étapes seront cruciales pour déterminer comment le Sénégal naviguera à travers ces défis économiques complexes.

Annonce imminente de nouvelles mesures pour contrer la vie chère

Dans un contexte de pressions économiques croissantes, le gouvernement dirigé par le Président Bassirou Diomaye Faye se prépare à annoncer de nouvelles mesures visant à soulager le fardeau financier des ménages sénégalais. Lors du Conseil des ministres de ce mercredi, le Président a expressément chargé le Premier Ministre d’annoncer ces décisions dans les meilleurs délais.

En réponse à cette directive présidentielle, le Premier ministre a présenté les résultats des concertations menées avec toutes les parties prenantes, dans le but de trouver un équilibre entre le soulagement des ménages les plus vulnérables et la viabilité budgétaire.

Ces mesures, qui couvriront des denrées de première nécessité ainsi que des produits et services de grande consommation, seront dévoilées ce jeudi 13 juin 2024 par le porte-parole Ousmane Sonko. Parmi les secteurs concernés, l’accès au logement sera également facilité, dans le but de répondre aux besoins essentiels des citoyens.

Les autorités compétentes sont d’ores et déjà invitées à prendre toutes les dispositions nécessaires pour garantir la mise en œuvre effective des prix homologués qui seront annoncés. Cette annonce est attendue avec impatience par les ménages sénégalais, qui espèrent ainsi voir un allègement significatif du coût de la vie.

Guinée : Le Premier ministre refuse de s’engager sur une date de fin du régime militaire

Le Premier ministre guinéen, Amadou Oury Bah, a décliné mercredi tout engagement formel quant au retour des civils au pouvoir en 2025, alors que le départ des militaires, initialement prévu d’ici la fin de l’année, a déjà été repoussé.

Bah a souligné la nécessité de mettre en place un fichier électoral « incontestable », source de litiges par le passé, et d’organiser un référendum constitutionnel d’ici fin 2024, conformément à l’engagement du chef de la junte, le général Mamadi Doumbouya.

Cependant, il a évité de garantir catégoriquement la tenue d’élections en 2025, restant prudent sur ce point.

Amadou Oury Bah, quasi-unique porte-parole sur ces questions, a admis en mars dernier que les militaires ne respecteraient pas leur engagement de céder le pouvoir aux civils avant fin 2024, sous la pression internationale.

Il s’est également opposé à la levée de l’interdiction de six médias imposée par la junte en mai, malgré les critiques suscitées par cette mesure.

Sur les tensions entre la Cedeao et les membres de l’Alliance des États du Sahel (AES), dirigés par des militaires, Bah a estimé que l’existence de l’AES et son intégration dans la Cedeao ne sont pas contradictoires et peuvent même être complémentaires.

Le chef du gouvernement, nommé par la junte au pouvoir depuis le putsch de 2021, demeure ainsi au centre des débats sur l’avenir politique de la Guinée, alors que la situation reste tendue dans le pays.

 » Le Premier Ministre Ousmane SONKO souligne l’importance de l’équité dans l’exploitation des ressources naturelles du Sénégal « 

Premier Ministre Ousmane SONKO a récemment reçu un échantillon de la première extraction de pétrole du champ de Sangomar, soulignant ainsi un premier pas sur le chemin vers l’exploitation des ressources naturelles du Sénégal. Cependant, il est clair que la satisfaction ne sera complète que lorsque toutes ces ressources seront bénéfiques de manière équitable pour le peuple sénégalais, conformément à l’article 25-1 de la Constitution qui stipule que les ressources naturelles appartiennent au peuple et doivent être utilisées pour améliorer ses conditions de vie. Cet engagement envers le peuple sénégalais est primordial et doit être poursuivi avec détermination et transparence pour garantir le bien-être de tous les citoyens.

Titre : Enlèvement de Mousbila Sankara, oncle et compagnon de lutte de Thomas Sankara

Mardi dernier, Mousbila Sankara, ancien diplomate et oncle de Thomas Sankara, figure emblématique de la révolution burkinabè, a été enlevé à son domicile à Ouagadougou. Des individus se réclamant des services de renseignement sont responsables de cet acte, selon un proche de la victime qui a préféré rester anonyme. Âgé de 74 ans, Mousbila Sankara a été arrêté alors qu’il revenait de la prière matinale, et depuis lors, sa famille est sans nouvelles de lui, dénonçant fermement cet enlèvement.

Ce kidnapping survient dans un contexte de tensions politiques au Burkina Faso, où le régime militaire dirigé par le capitaine Ibrahim Traoré est accusé par certains d’entraver les droits fondamentaux et la liberté d’expression. Mousbila Sankara lui-même avait exprimé des inquiétudes quant à la conduite du régime dans une lettre ouverte publiée mi-mai, appelant à préserver les acquis des travailleurs et à garantir l’espace public pour l’expression citoyenne.

Ce n’est malheureusement pas un cas isolé, plusieurs personnalités considérées comme opposantes au régime ont été victimes d’enlèvements ces derniers mois à Ouagadougou. Parmi eux, l’avocat et leader de la société civile, Guy Hervé Kam, arrêté en janvier pour « complot contre la sûreté de l’Etat », a été libéré avant d’être à nouveau enlevé et incarcéré à la prison militaire. De même, l’ex-chef de corps militaire, le lieutenant-colonel Emmanuel Zoungrana, a été enlevé peu après sa remise en liberté provisoire.

Ces événements soulèvent de vives préoccupations quant à la situation des droits de l’homme et de la démocratie au Burkina Faso, et appellent à une action urgente pour garantir la sécurité et la liberté de tous les citoyens, ainsi que le respect de l’État de droit.

Le Sénégal reçoit les premières gouttes de pétrole de Sangomar

Dans une cérémonie solennelle au palais présidentiel, le chef de l’État sénégalais a reçu l’échantillon inaugural du pétrole extrait du gisement de Sangomar. Cette étape marque l’entrée du Sénégal dans le club des nations productrices de pétrole, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives économiques pour le pays.

Lors du conseil des ministres, en présence de tous les membres du gouvernement, le ministre des Énergies et du Pétrole, Birame Souleye Diop, a remis symboliquement cet échantillon au président. Cette occasion a été saisie par le chef de l’État pour réaffirmer son engagement en faveur d’une gestion transparente et équitable des ressources naturelles du pays.

Dans un discours empreint de vision et de responsabilité, le président a exprimé ses félicitations au gouvernement, au peuple sénégalais et à la compagnie Woodside Energy, partenaire dans ce projet. Il a également formulé des vœux sincères pour que cette nouvelle ressource contribue à la prospérité, à la paix et à l’unité nationale du Sénégal.

Cette étape marque le début d’une nouvelle ère pour le Sénégal, qui devra maintenant s’atteler à gérer avec prévoyance et équité les revenus tirés de cette précieuse ressource, dans l’intérêt de tous ses citoyens.

Les comptes du groupe Walfadjri bloqués par l’État pour non-paiement d’impôts : Pas d’avance Tabaski pour le personnel

Les tensions entre les autorités fiscales et les entreprises de presse continuent de s’intensifier, avec cette fois-ci le groupe Walfadjri dans le viseur de l’État. Les comptes bancaires du groupe ont été gelés pour défaut de paiement d’impôts, privant ainsi le personnel de l’entreprise de la traditionnelle avance Tabaski pour cette année.

Dans une note adressée au personnel, le Président Directeur Général, Cheikh Niass, a annoncé que la direction ne serait pas en mesure d’allouer l’avance Tabaski aux employés, en raison du blocage des comptes bancaires par les nouvelles autorités. Cette décision fait suite à un Avis à tiers détenteur émis pour des impôts non réglés sur la période 2016-2018.

L’avocat du groupe a souligné que cette action de l’État ciblait la gestion passée de Sidy Lamine Niass, ancien dirigeant du groupe décédé, sans fournir de détails supplémentaires sur les raisons exactes de ces impayés.

Cette affaire met en lumière les tensions croissantes entre les entreprises de presse et l’État en matière fiscale, soulevant des préoccupations quant à l’impact sur la liberté de la presse et le fonctionnement des médias dans le pays.

Sénégal : Les Alarmants Chiffres des Accidents de la Circulation

Lors de sa participation à la réunion du comité régional de développement de la région de Dakar, le Commandant Diène Ndiaye, à la tête du groupement motocycliste de la Gendarmerie nationale (GMGN), a exposé des données préoccupantes concernant les accidents de la circulation au Sénégal.

« Les chiffres des accidents sont alarmants », a déclaré le Commandant Ndiaye. « Malheureusement, c’est le comportement humain qui bloque cet investissement de sensibilisation. Le facteur humain cause 92% des accidents. » En effet, les statistiques révèlent une tendance inquiétante : en 2021, 665 décès ont été enregistrés, et en 2023, ce chiffre a grimpé à 733.

Parmi les tragédies marquantes de l’année dernière, l’accident de Sikilo se démarque avec ses 39 décès. Ces données mettent en évidence la nécessité urgente de revoir nos comportements sur la route. « Nous devons avoir la culture de la sécurité routière », insiste le Commandant Ndiaye, soulignant ainsi l’importance d’une prise de conscience collective.

La campagne nationale de lutte contre la recrudescence des accidents de la circulation vise à sensibiliser les populations et à promouvoir des comportements responsables sur la route. En effet, chaque personne partage la responsabilité de garantir la sécurité de tous les usagers.

Moustapha Guirassy annonce trois mesures phares pour l’éducation sénégalaise

Dans une récente note, le ministre de l’Éducation nationale du Sénégal, Moustapha Guirassy, a dévoilé trois mesures essentielles en collaboration avec les parties prenantes du secteur de l’éducation. Ces mesures visent à améliorer la qualité de l’environnement éducatif et à promouvoir la sensibilisation à l’hygiène et à la propreté dans les écoles.

La première mesure concerne la réhabilitation des infrastructures scolaires ainsi que l’amélioration des équipements tels que les tables-bancs, assurant ainsi un environnement plus propice à l’apprentissage pour les élèves.

La deuxième mesure, baptisée « Setal sunu ekol », met l’accent sur l’investissement humain en encourageant la participation active de la communauté éducative à des actions de sensibilisation sur l’importance de maintenir la propreté et l’hygiène dans les écoles.

Enfin, la troisième mesure vise à créer des espaces verts et à promouvoir le reboisement dans les écoles, avec pour devise « Un élève, un arbre », et « Une école, un jardin scolaire ». Cette initiative vise à sensibiliser les élèves à l’importance de la préservation de l’environnement tout en créant des espaces verts propices à la détente et à l’apprentissage en plein air.

Le ministre Guirassy a souligné que ces actions ne devraient pas être des initiatives ponctuelles mais devraient être intégrées de manière permanente dans les évaluations des élèves, des enseignants et des établissements scolaires, afin de favoriser une culture de responsabilité environnementale et de durabilité.

Ces mesures, initiées dans le cadre de l’initiative nationale pour un Sénégal propre « Setal sunu reew » et en collaboration avec plusieurs ministères, devraient contribuer à créer des écoles plus vertes et à renforcer les liens entre le secteur éducatif et d’autres secteurs de la société.

Arrestation des employeurs chinois à Darou Khoudoss pour agression sur un employé sénégalais

Selon les dernières informations, les employeurs chinois d’une société de carrière de béton basée à Darou Khoudoss ont été placés sous mandat de dépôt après avoir été arrêtés pour avoir violemment agressé un employé sénégalais nommé Ibrahima Fall, chauffeur de camion au sein de l’entreprise.

Les trois prévenus ont été capturés dans une vidéo choquante montrant l’acte de torture infligé à leur victime. La gendarmerie de Mboro est intervenue sur les lieux pour appréhender les coupables après que la vidéo ait circulé sur les réseaux sociaux, provoquant une indignation généralisée dans la communauté locale.

Cette arrestation soulève des questions sur les conditions de travail et le traitement des employés étrangers au Sénégal, et met en lumière l’importance de la justice et de la protection des droits des travailleurs dans toutes les entreprises, nationales ou étrangères, opérant sur le territoire sénégalais.

L’affaire est actuellement en cours d’enquête, et la justice sera chargée de faire toute la lumière sur cet incident et de garantir que les responsables soient tenus pour responsables de leurs actes.

Éventuel report de la CAN 2025 : la mainmise de la FIFA sur la CAF ?

La Confédération africaine de football (CAF) pourrait-elle reporter la prochaine Coupe d’Afrique des Nations (CAN) de 2025 au début de 2026 ? Cette éventualité suscite des craintes et soulève des questions sur l’influence de la FIFA sur la CAF.

Initialement prévue pour l’été 2025 au Maroc, la CAN pourrait être décalée afin d’éviter un conflit de dates avec la prochaine Coupe du monde des clubs et la nouvelle formule de la Ligue des champions. Cette décision, si elle se concrétise, pourrait être perçue comme une soumission de la CAF aux directives de la FIFA, mettant ainsi en péril l’indépendance et l’autonomie du football africain.

Face à ces spéculations, le président de la CAF, Patrice Motsepe, a maintenu un silence énigmatique, laissant planer le doute quant à la position de l’instance africaine. Bien que la CAF ait publié un démenti sur le report annoncé, la situation demeure incertaine, laissant entrevoir une possible ingérence de la FIFA dans les affaires internes de la CAF.

La proposition de Gianni Infantino, président de la FIFA, d’organiser la CAN tous les quatre ans au lieu de deux, semble avoir ravivé le débat. Cependant, cette suggestion est contestée, notamment en raison des performances remarquables de la CAN en termes d’audience et d’attractivité, telles que démontrées lors de la dernière édition en Côte d’Ivoire.

Si la CAN 2025 est reportée, cela pourrait entraîner une surcharge de calendrier pour les joueurs africains, qui devraient participer à la CAN en décembre-janvier, suivie de la Coupe du monde en juin-juillet de la même année, en plus des compétitions de clubs et des nouvelles formules des Coupes d’Europe.

Cette situation soulève des préoccupations quant à la priorisation des intérêts du football africain par rapport aux ambitions commerciales et politiques de la FIFA. Il est impératif que la CAF prenne des décisions souveraines et en phase avec les besoins et les aspirations du football africain, sans céder à des pressions externes.

En conclusion, le report éventuel de la CAN 2025 met en lumière les défis auxquels est confronté le football africain, notamment en ce qui concerne son autonomie et son intégrité face à l’influence grandissante de la FIFA. La préservation de la CAN en tant qu’événement emblématique du continent africain doit rester une priorité absolue pour tous les acteurs impliqués.

Tabaski 2024 : Dakar Dem Dikk se réorganise pour mieux desservir les zones reculées

Dans le cadre de sa mission de service public de transport, la société nationale Dakar Dem Dikk SA a entrepris une réorganisation majeure de ses ressources humaines et matérielles. Cette initiative vise à renforcer ses capacités opérationnelles afin d’assurer une desserte efficace, notamment dans les zones reculées, à l’approche de la fête de Tabaski.

Suite à un diagnostic approfondi de ses moyens, Dakar Dem Dikk annonce fièrement une augmentation significative de 59% des dessertes interurbaines à travers le territoire national. Cette mesure vise à garantir que chaque citoyen puisse rejoindre sa famille et ses proches en toute sécurité pour célébrer cette importante fête religieuse.

Cependant, cette intensification des services ne compromettra en rien l’exploitation des lignes urbaines et interurbaines existantes, qui continueront de desservir les localités de la capitale et des régions, telles que Kédougou et Podor. Malgré les défis liés au manque de services de maintenance adéquats, Dakar Dem Dikk reste résolu à offrir un service de qualité à ses usagers.

Le communiqué de Dakar Dem Dikk souligne également les efforts déployés pour remédier aux problèmes rencontrés, notamment la nécessité de réparer les bus en panne dans certaines régions. Dans cet esprit, la direction générale s’engage à renforcer le service de maintenance local afin de garantir la fiabilité et la sécurité de ses véhicules.

En conclusion, Dakar Dem Dikk réaffirme son engagement envers les populations et les usagers, promettant un service inclusif respectant les normes sécuritaires et l’équité territoriale. La société salue également les efforts constants de son personnel dévoué, qui œuvre sans relâche pour offrir un service de qualité à tous les citoyens.

« Sénégal : Engagement ferme pour la réunification de la CEDEAO, annonce le général Birame Diop »

Le général Birame Diop, ministre des Forces armées du Sénégal, a récemment annoncé l’engagement ferme du pays en faveur de la réunification des États membres de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao). Cette déclaration a été faite lors de la cérémonie d’ouverture de la célébration du 49e anniversaire de la Cedeao, où le général Diop a représenté son homologue des Affaires étrangères et de l’Intégration africaine.

Dans son discours, le général Diop a souligné que le Sénégal considère la réunification de la Cedeao comme une priorité, tout en mettant en avant la nécessité de garantir une paix durable dans la sous-région. Selon lui, cette stabilité est cruciale pour parachever l’intégration régionale.

Cette position s’inscrit dans la politique extérieure définie par le président sénégalais, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, qui accorde une importance particulière à l’intégration continentale. Le changement de dénomination du ministère des Affaires étrangères ainsi que les tournées effectuées par le président dans la sous-région témoignent de la volonté du Sénégal de parvenir à la réunification des pays membres de la Cedeao.

Le général Diop a également salué les réalisations de la Cedeao depuis sa création, soulignant les progrès significatifs et les réformes entreprises, notamment dans le domaine de la prévention des conflits.

La commémoration du 49e anniversaire de la Cedeao sous le thème « La Cedeao à l’aube de son cinquantenaire » offre une opportunité de réfléchir aux défis sécuritaires et aux perspectives de cette institution communautaire. Le Sénégal, à travers l’annonce du général Diop, réaffirme son engagement envers l’unité et l’intégration régionale en Afrique de l’Ouest.

Meurtre à Mbodiène : Prolongation de la garde à vue pour le présumé meurtrier, deux victimes l’identifient comme étant leur violeur

M. F. Sy, suspecté du meurtre du jeune Moustapha Dimé à Mbodiène, reste en garde à vue au commissariat urbain de Tivaouane alors que de nouveaux développements émergent dans l’affaire. En plus de ses aveux concernant le meurtre, Sy a également admis avoir violé deux femmes, passagères qu’il transportait en tant que chauffeur de « wargaïndé ».

Les enquêteurs se sont rendus sur les lieux où Sy a prétendument vendu la moto de sa victime, et ont interpellé l’acheteur. Par ailleurs, les deux femmes violées ont identifié Sy comme leur agresseur lors de leur passage au commissariat.

L’enquête progresse rapidement, avec les inspecteurs maintenant à la recherche des complices de Sy dans le meurtre de Dimé. On s’attend à ce que l’enquête soit bouclée dans les prochains jours.

Gabrielle Kane, présidente de l’APROFEV, réagit face à un mandat d’arrêt

Gabrielle Kane, éminente féministe et présidente de l’Association d’appui et de protection des femmes victimes de violation de leurs droits (APROFEV), se retrouve sous le coup d’un mandat d’arrêt. Cette annonce a secoué les réseaux sociaux, mais la réaction de Kane ne s’est pas fait attendre.

Sur ses plateformes en ligne, l’ancienne protectrice d’Adji Sarr a réagi avec une déclaration forte : « Si la prison est la récompense de mes combats de femme, de mère, j’irai donc avec une immense fierté pour ce que j’ai fait. Je ne regrette rien et mille fois, je recommencerai! ». Ces mots reflètent la détermination et le courage dont Kane fait preuve face à cette situation délicate.

La jeune dame fait l’objet de plusieurs plaintes, mais son engagement envers la cause des femmes reste inébranlable. Son attitude face à cette épreuve souligne son engagement sans faille envers la lutte pour les droits des femmes, et son message résonne comme un appel à la persévérance et à la résilience dans la quête de justice et d’égalité.

La CSA dénonce la convocation du SG du SATES par le Conseil de discipline de SEN’EAU

Le secrétariat exécutif permanent de la Confédération Syndicale Africaine (CSA) a vivement réagi à la convocation de Oumar BA, Secrétaire général du Syndicat Autonome des Travailleurs de l’Eau du Sénégal (SATES/SEN’EAU), par le Conseil de discipline de l’entreprise SEN’EAU.

Dans un communiqué officiel, la CSA a qualifié cette convocation de tentative d’intimidation visant à restreindre le droit syndical et à museler la voix des travailleurs qui ne font que revendiquer leurs droits légitimes et de meilleures conditions de travail.

Le secrétaire général de la CSA, actuellement à Genève pour une conférence du Bureau International du Travail (BIT), a fermement condamné cette mesure arbitraire, dénonçant son objectif sous-jacent de démanteler le SATES/SEN’EAU. Il a souligné que le camarade Oumar Ba n’a fait que remplir son devoir syndical en défendant les droits et intérêts des travailleurs.

La CSA exprime sa solidarité envers les membres du SATES/SEN’EAU et son engagement à lutter à leurs côtés pour le respect de leurs droits et de leur dignité. Elle exige ainsi l’annulation de toute sanction issue du Conseil de discipline et le respect du droit à l’activité syndicale.

En réponse à cette situation, la CSA appelle la Direction de SEN’EAU à entamer des négociations avec le SATES/SEN’EAU afin de trouver des solutions appropriées pour préserver un climat de travail sain et respectueux des droits des travailleurs.

Conflit salarial entre un employé sénégalais et des employeurs chinois : les dessous de l’affaire révélés

L’affaire qui a récemment éclaté, impliquant un chauffeur sénégalais et ses employeurs chinois, met en lumière les tensions autour du paiement des salaires et des conditions de travail dans certaines entreprises. Tout a commencé lorsque l’employé, Ibrahima Fall, a refusé de signer son bulletin de salaire après avoir constaté des déductions injustifiées. Cela a déclenché une série de confrontations, aboutissant à une mise à pied prolongée et finalement à un conflit ouvert.

Fall affirme avoir été injustement sanctionné pour des dommages causés au véhicule par un autre chauffeur, mais il a refusé de se plier aux demandes de son employeur chinois de signer le bulletin de salaire sans explication claire sur les déductions. Il a plutôt demandé une justification écrite pour régler le différend par le biais des autorités compétentes.

Lorsque les employeurs chinois ont tenté de confisquer son salaire, Fall a résisté, ce qui a conduit à une altercation physique, capturée dans des vidéos virales qui ont choqué l’opinion publique. L’intervention des autorités a finalement permis à Fall de récupérer son salaire et de reprendre son travail, après que l’Inspection du Travail ait tranché en sa faveur.

Cette affaire met en lumière les défis auxquels sont confrontés de nombreux travailleurs, en particulier dans le contexte des entreprises internationales où les barrières linguistiques et culturelles peuvent compliquer les relations employeur-employé. Elle souligne également l’importance d’une réglementation stricte pour protéger les droits des travailleurs et résoudre les conflits de manière équitable.

Mr Ousmane Sonko, le temps vous est compté 

Les sénégalais attendent impatiemment la réalisation de vos promesses electorales. 
Vous ne pouvez pas l’oublier et vous ne devez pas oublier comment les sénégalais se sont appropriés le projet pastef depuis sa création. 
Un projet qui fut et est toujours synonyme d’espoir car bâti sur une demande sociale < la rupture systémique>. 
Vous l’avez dit et vous l’avez redit < on doit rompre avec ceux qui se faisaient et surtout soulager les maux des sénégalais >, voilà vos dires avant les élections présidentielles de 2024 et voilà sans doute pourquoi les sénégalais ont adhéré massivement au projet pastef, votre score 54% lors des élections, une chose inédite en matière électorale montre à quel point les sénégalais compte sur votre personne 

Mais après tout juste 2 mois , on est pas rassuré de vos faits et gestes. Certes vous avez initié des actes forts ( suspension des licences de pêche , arrêts des travaux sur le littoral, Audits ) mais on attend de voir la suite. L’image que vous véhiculez me laisse perplexe, nous attendons que vous fassiez la part des choses désormais vous avez les reines de l’état, vous avez les commandes, vous devez dérouler. 

Mais les faits montrent que vous avez du mal à démarrer la machine, le projet pastef est devenu d’un coup flou et votre gouvernement semble tâtonner, dépassé par les événements. Les sénégalais continuent de souffrir en silence car si vous êtes toujours dans l’état de grâce, les maux des sénégalais restent entiers. Vous nous aviez promis la réduction du coût de la vie, mais rien toujours, l’ultimatum du 15 mai est dépassé largement. Le chômage et les conditions de travail dramatiques sont toujours là , votre sortie du dimanche sur le thème < la place de la jeunesse dans le projet > s’est soldée par des déballages, intimidations et menaces. La presse n’est pas votre cible, elle a joué pleinement son rôle dans la légitimation de votre combat auprès du Grand public, Mr le PM concentrez vous sur les priorités. 

Ressaisissez vous Mr le premier Ministre, nous attendons une autre version de vous pas celle d’avant les élections en tant qu’opposant. Nous voulons que vous vous comportiez comme un digne chef du gouvernement avec de la hauteur et d’être au dessus de la mêlée. Désormais c’est votre rôle de réconcilier le peuple sénégalais en créant un environnement propice à la cohésion sociale et au développement économique et social. 

Samba kanteye 
PDG Niomre avenir plus
Ancien conseiller municipal de la commune de Niomre.

« Le Sénégal entre dans l’ère pétrolière : les perspectives pour le peuple »

Le Sénégal, longtemps connu pour son agriculture et son tourisme, entre dans une nouvelle ère avec la découverte de ressources pétrolières prometteuses au large de ses côtes. Cette nouvelle a suscité à la fois l’enthousiasme et l’inquiétude au sein de la population sénégalaise, qui se demande si elle bénéficiera réellement de cette richesse.

D’un côté, l’industrie pétrolière offre des perspectives économiques importantes, avec la création d’emplois, le développement des infrastructures et l’augmentation des revenus pour l’État. Cependant, l’expérience d’autres nations africaines riches en pétrole met en garde contre les pièges potentiels de la « malédiction des ressources ».

La gestion transparente et efficace des revenus pétroliers est essentielle pour garantir que tous les citoyens du Sénégal bénéficient de cette nouvelle richesse. Cela nécessite une bonne gouvernance, une lutte contre la corruption et des mécanismes de redistribution équitables.

De plus, il est crucial que le Sénégal investisse dans des secteurs diversifiés de son économie afin de réduire sa dépendance à long terme vis-à-vis du pétrole. Cela garantira une croissance économique durable et résiliente pour les générations futures.

En fin de compte, le succès de l’industrie pétrolière au Sénégal dépendra de la manière dont le gouvernement, les entreprises et la société civile travaillent ensemble pour assurer que cette richesse profite à tous, et non seulement à une élite restreinte.

Condamné pour violences conjugales : Un agent du GIGN écope d’une peine avec sursis

Un agent du Groupement d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), M. L. Guèye, membre de la garde rapprochée de Babacar Diagne, président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA), a été condamné pour violences conjugales par le Tribunal d’instance de Dakar.

Sa femme, C. Faye, également policière, l’a accusé de violences physiques, menaces de mort et abandon de famille, lors de leur récente altercation. Selon les déclarations de l’accusatrice, les violences étaient récurrentes depuis leur mariage en 2019, mais ont atteint un sommet lorsqu’elle l’a confronté à son infidélité présumée.

Les témoignages rapportent que M. Guèye aurait agressé sa femme violemment, utilisant même son arme de service pour la menacer de mort. Des preuves médicales, des captures de messages WhatsApp compromettants et des photos de blessures ont été présentées devant le tribunal.

En réponse, l’accusé a nié certains faits, accusant plutôt sa femme de jalousie excessive et suggérant qu’elle se serait blessée elle-même lors de la dispute.

Le juge a fermement condamné le comportement de M. Guèye, soulignant qu’en tant que représentant de l’État, il se devait d’avoir un comportement exemplaire. Finalement, après le désistement de son épouse, il a été condamné à un mois de prison avec sursis et à une amende de 100 000 F CFA.

Cette affaire souligne l’importance de la lutte contre les violences conjugales et rappelle que personne n’est au-dessus de la loi, même les agents des forces de l’ordre.

L’influenceur Saydbamba convoqué à la division de la cybercriminalité

L’influenceur Saydbamba a été convoqué ce mardi 11 juin 2024 à la division de la cybercriminalité pour un interrogatoire. Sur sa page Facebook, il a partagé qu’il était présent dans les locaux de la cybercriminalité, en attendant ses avocats pour débuter l’interrogatoire. Actuellement, il reste sur place, soumis à un interrogatoire en cours.

L’influenceur, connu pour son activité sur les réseaux sociaux, se retrouve au centre de l’attention médiatique avec cette convocation. Les raisons précises de cette démarche des autorités n’ont pas encore été divulguées. Cependant, cela soulève des interrogations et suscite l’intérêt de ses nombreux abonnés et de la communauté en ligne.

L’évolution de cette affaire sera suivie de près et nous fournirons des mises à jour dès que de nouvelles informations seront disponibles.

Le Président Bassirou Diomaye Faye renforce le dialogue avec les leaders religieux avant la Tabaski

À la veille de la Tabaski, une période sacrée pour les musulmans, le Chef de l’État du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a tenu une réunion importante avec les imams et oulémas du pays. Cette rencontre a été marquée par des échanges fructueux et empreints de qualité, où les religieux ont exprimé leur appréciation pour cette initiative de dialogue.

Les représentants de la Ligue des imams, de l’Association des oulémas et du Rassemblement islamique ont exprimé leur engagement à collaborer étroitement avec le Président Faye pour promouvoir la paix, l’harmonie et la concorde au sein de la société sénégalaise.

Cette démarche souligne l’importance que le Président accorde à la coopération et au dialogue interreligieux dans la consolidation des fondements d’une nation prospère et unie. En renforçant les liens avec les leaders religieux, le gouvernement sénégalais montre sa volonté de travailler main dans la main avec toutes les composantes de la société pour préserver la stabilité et le bien-être de tous ses citoyens.

En cette période de célébration religieuse, cette rencontre revêt une signification particulière, soulignant l’importance de la compréhension mutuelle et du respect entre les différentes communautés religieuses du pays. Le dialogue constructif entre le gouvernement et les leaders religieux constitue un pas essentiel vers la consolidation des valeurs de tolérance et de coexistence pacifique au Sénégal.

Alors que la Tabaski approche, cette réunion témoigne de l’engagement commun en faveur de la paix et de l’unité, et renforce l’espoir d’un avenir où la diversité religieuse est célébrée comme une richesse nationale.

Début d’extraction historique du pétrole au champ de Sangomar : le Sénégal remboursera 70% des investissements avant le partage de la production

Aujourd’hui marque une étape décisive pour le Sénégal avec le lancement de l’extraction pétrolière dans le champ de Sangomar, un projet pionnier avec une capacité de 100 000 barils par jour. Cette réalisation est le fruit d’une collaboration entre PETROSEN, l’État sénégalais et des acteurs internationaux majeurs.

Woodside, entreprise australienne, annonce fièrement le début de cette extraction offshore, ouvrant ainsi la voie à une production significative de barils. Cependant, la fluctuation des prix du pétrole sur le marché mondial pose des défis quant à la fixation des prix.

Moussa Oumar, chercheur dans le secteur pétrolier, souligne l’importance de maximiser la production quotidienne de barils, soulignant la difficulté de pratiquer l’économie du pétrole au niveau des gisements. La capacité de production estimée du champ de Sangomar est de 100 000 barils par jour, marquant un pas crucial dans son exploitation.

Le contrat de partage de production entre le Sénégal et la compagnie pétrolière repose sur la production quotidienne de barils, déterminant ainsi les parts de chaque partie. Avant cela, il est essentiel de rembourser les investissements des opérateurs, comme le stipule l’article 34 du code pétrolier, avec un taux de remboursement d’environ 70%.

Après près de dix ans de recherche et de développement, l’heure est venue pour le Sénégal de rembourser les coûts engagés dans ce projet ambitieux. Une fois ce remboursement effectué, le partage de la production débutera, avec 40% pour l’État et 60% pour la compagnie pétrolière. Ce remboursement se fera progressivement selon des barèmes établis.

En conclusion, cette avancée dans le domaine pétrolier ouvre de nouvelles perspectives pour le Sénégal, tout en soulignant l’importance de gérer efficacement les revenus issus de cette ressource précieuse pour le développement économique du pays.

Le Directeur Général de l’Apix Sénégal promeut un partenariat « gagnant-gagnant » lors du forum économique Sino-Sénégalais

Dans le cadre d’un forum économique Sino-Sénégalais qui s’est tenu à Dakar ce mardi matin, le nouveau Directeur Général de l’Agence de Promotion des Investissements et des Grands Travaux (APIX SA), Bakary Séga Bathily, a adressé un message fort aux investisseurs étrangers intéressés par des partenariats avec l’État du Sénégal.

Bathily a affirmé l’engagement de l’Apix à établir des relations économiques bénéfiques pour toutes les parties impliquées. « Nous souhaitons établir un partenariat économique gagnant-gagnant avec nos partenaires internationaux », a-t-il déclaré. Cette déclaration reflète la volonté de l’Apix de favoriser des accords où toutes les parties tirent profit et bénéficient mutuellement des opportunités d’investissement.

Dans le but de renforcer la compétitivité des entreprises sénégalaises, Bathily a annoncé des mesures visant à faciliter l’accès au foncier et aux financements. Cette initiative vise à soutenir les entreprises locales et à les positionner avantageusement sur le marché, tout en favorisant un environnement propice à l’investissement étranger.

Cette vision d’un partenariat équilibré et bénéfique souligne l’engagement de l’Apix à promouvoir le développement économique durable au Sénégal, en encourageant des collaborations stratégiques et mutuellement avantageuses.

Hommage à Mansour Dieng, un pilier de la presse s’en est allé

C’est avec une profonde tristesse que la communauté journalistique a appris le décès de Mansour Dieng, le fondateur et directeur de « Icone Magazine ». Son départ laisse un vide immense dans le paysage médiatique, tant son engagement et sa passion pour le journalisme ont marqué des générations.

Mansour Dieng était bien plus qu’un simple journaliste. Il était un véritable pilier de la presse, un visionnaire qui a su élever le débat public à travers son magazine. Toujours à la recherche de la vérité, il a incarné l’éthique et le professionnalisme, inspirant ainsi toute une génération de journalistes.

Ses contributions ne se limitaient pas à son travail au sein de « Icone Magazine ». Mansour Dieng était également un défenseur infatigable de la liberté de la presse et des valeurs démocratiques. Il a toujours su se tenir aux côtés des opprimés, utilisant sa plume comme une arme pour combattre l’injustice et l’oppression.

Au-delà de son influence professionnelle, Mansour Dieng était également un être humain d’une grande générosité. Toujours prêt à aider ceux dans le besoin, il était respecté et aimé de tous ceux qui ont eu la chance de le côtoyer.

Aujourd’hui, alors que nous pleurons sa perte, nous nous souvenons également de l’héritage qu’il laisse derrière lui. Son engagement envers la vérité et la justice continuera d’inspirer les générations futures de journalistes à travers le pays.

À sa famille, ses amis et ses collègues, nous adressons nos plus sincères condoléances. Mansour Dieng restera à jamais dans nos cœurs et son influence perdurera à travers les pages de l’histoire de la presse.

Remaniement au Conseil Départemental de Ziguinchor : Nouveau Vice-Président Élu

Le Conseil départemental de Ziguinchor a connu un remaniement significatif avec le départ du ministre de l’Eau et de l’Assainissement, Cheikh Tidiane Dièye, de son poste de 2ème vice-président. Cette décision s’inscrit dans la volonté de lutter contre le cumul des mandats.

Alfousseyni Diédhiou, membre du parti Pastef dans le Boutoupa-Camaracounda, a été élu pour le remplacer après la démission de Cheikh Tidiane Dièye. Cette élection s’est déroulée lors d’une session ordinaire qui a débuté le lundi 10 juin et s’est achevée le mardi 11 juin 2024.

L’élection a été remportée par Alfousseyni Diédhiou avec 31 voix, face à son camarade de parti, Seydou Mandiang de Ziguinchor, qui a obtenu 27 voix.

Cette session ordinaire a également été marquée par le remplacement de Kaoussou Sané, décédé le 16 décembre 2023.

Grève de 48 heures à l’UGB : Les travailleurs exigent des solutions concrètes à leurs revendications

Le Syndicat des Travailleurs des Établissements Scolaires et Universitaires (STESU) Section UGB Rectorat a déclenché une grève de 48 heures renouvelables pour faire entendre leurs revendications au sein de l’Université Gaston Berger (UGB).

Cette mobilisation vise à exiger une rencontre avec le Recteur afin de poursuivre les négociations sur les 19 points revendicatifs soulevés par le syndicat. Parmi ces points, les conditions de travail précaires des techniciens de laboratoires de la ferme agricole de l’université sont particulièrement mis en avant. Malgré des débuts de solutions, les travailleurs déplorent un manque de suivi et d’engagement de la part des autorités universitaires, qui ont promis des rencontres mais n’ont pas tenu leurs engagements.

Amath Diallo, secrétaire général du syndicat, souligne le manque de respect manifesté par le Recteur envers les partenaires sociaux, et insiste sur la nécessité d’une rencontre pour résoudre les problèmes une fois pour toutes.

La grève a également entraîné des retards dans le versement des salaires des travailleurs vacataires, mettant en lumière l’impact direct de ce mouvement sur la communauté universitaire.

Malgré un récent engagement du vice-recteur à examiner les revendications, les syndicalistes maintiennent leur demande de rencontre avec le Recteur pour trouver des solutions concrètes à leurs préoccupations.

Appel à la Priorité des Vrais Problèmes : L’Énergie du Premier Ministre Ousmane Sonko devrait être consacrée à la Réduction de la Cherté de la Vie plutôt qu’à la Menace des Journalistes.

Dans un moment où les Sénégalais attendent des réponses concrètes aux défis quotidiens, il est regrettable de voir le Premier Ministre Ousmane Sonko détourner son attention des problèmes réels pour s’engager dans des conflits stériles avec la presse. Au lieu de chercher à museler la voix des journalistes, les dirigeants devraient écouter les préoccupations de leur peuple et agir en conséquence.

De plus, les attaques contre ceux qui ont soutenu le Premier Ministre dans ses moments les plus difficiles soulèvent des questions sur son engagement envers ceux qui ont cru en lui. Il est temps pour le Premier Ministre de faire preuve de calme et de raison, et de se concentrer sur les promesses faites à son peuple, notamment celle de réduire la cherté de la vie.

En tant que citoyen soucieux du bien-être de notre nation, j’appelle le Premier Ministre Ousmane Sonko à faire preuve de leadership en mettant de côté les querelles politiques et en se consacrant aux véritables défis auxquels notre pays est confronté. Les Sénégalais méritent un gouvernement qui les écoute et qui agit dans leur intérêt, et c’est à travers des actions concrètes que la confiance et le progrès peuvent être instaurés.

Classement des Puissances Militaires Africaines en 2024 : Le Sénégal en Baisse

Dans le paysage évolutif des puissances militaires en Afrique, le Sénégal se retrouve désormais à la 30e place sur 38 pays, selon le dernier classement établi par Global Fire Power (GFP), un site américain spécialisé dans l’évaluation de l’armement des nations. Cette position met le Sénégal derrière des pays tels que le Burkina Faso, le Mali et le Niger, membres de l’alliance des États du Sahel (AES).

Le classement, basé sur le Power Index (PwrIndx) de GFP, prend en compte une multitude de critères, dont la diversité des armes, l’effectif militaire, les ressources naturelles essentielles comme le pétrole, le budget militaire et la logistique. Pour le Sénégal, cette baisse dans le classement met en lumière la nécessité d’une réévaluation stratégique de son arsenal et de ses forces armées.

L’Égypte maintient sa position de leader incontesté dans ce classement africain, avec un PwrIndx de 0.2283, suivi de près par l’Algérie et l’Afrique du Sud. La présence remarquée de pays comme le Burkina Faso, le Mali et le Niger en tête du classement souligne l’importance croissante de la coopération régionale et de la réorganisation des forces militaires face aux menaces actuelles.

Malgré cette nouvelle donne, le Sénégal continue de jouer un rôle significatif dans la stabilité régionale et dans les opérations de maintien de la paix, notamment à travers sa participation aux missions de l’ONU et de l’Union africaine. Toutefois, cette position dans le classement soulève des questions quant à la capacité du pays à répondre efficacement à d’éventuelles menaces sécuritaires et à maintenir sa position dans un environnement géopolitique en évolution constante.

Ancienne DG de TDS Nafissatou Diouf convoquée par la brigade de recherches

L’ancienne directrice générale de Radiodiffusion Télévision du Sénégal (TDS), Dr Nafissatou Diouf, est convoquée ce mercredi 12 juin par la brigade de recherches. Cette convocation intervient dans le cadre d’une enquête concernant la restitution de véhicules attribués par la présidence, une mesure ordonnée par le président Bassirou Diomaye Faye.

Selon les enquêteurs, Dr Nafissatou Diouf figurerait sur la liste des personnalités devant rendre un véhicule de la présidence. Cependant, elle nie formellement avoir jamais travaillé pour la présidence et conteste cette attribution.

Cette convocation s’inscrit dans le contexte des instructions fermes émises par la Présidence de la République pour la restitution des véhicules et des maisons de fonction. Il s’agit probablement d’une étape dans l’état des lieux demandé par le président Bassirou Diomaye Faye.

Mame Seydou Ndour lance une offensive contre la criminalité à Thiaroye

Dans le cadre de sa nouvelle mission en tant que directeur général de la police nationale (DGPN), le contrôleur général Mame Seydou Ndour a initié une série d’actions visant à renforcer la sécurité dans la banlieue. Dès ses premiers jours en poste, il a dirigé une opération d’interpellation à Thiaroye, où il a précédemment servi.

Au cours du week-end dernier, 51 individus ont été appréhendés pour divers délits. Parmi eux, trois ont été arrêtés pour association de malfaiteurs, vol de bétail et recel, tandis que deux autres ont été pris en flagrant délit de vol en réunion avec l’utilisation de moyens de transport, notamment des motos. D’autres arrestations ont eu lieu pour des crimes tels que le trafic de drogue et les vols avec violence, démontrant ainsi l’engagement ferme de Mame Seydou Ndour à lutter contre toutes les formes de criminalité.

Lors de son installation la semaine précédente, le DGPN avait clairement exprimé sa détermination à éradiquer la criminalité, les agressions et le trafic de drogue. Ces récentes interpellations marquent le début d’une série d’actions prévues pour garantir la sécurité et la tranquillité dans la région de Thiaroye, et témoignent de la volonté résolue des autorités de faire respecter l’ordre et la loi.

Moundiaye Cissé rappelle à Ousmane Sonko l’inévitabilité des critiques de la presse

Dans une déclaration récente, Moundiaye Cissé, président de l’ONG 3D, a adressé un message de rappel au Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, concernant les critiques de la presse. Soulignant que Sonko ne devrait pas s’attendre à un traitement de faveur, Cissé a rappelé que les dirigeants précédents, tels que Diouf, Wade et Macky Sall, n’ont pas été épargnés par les médias.

Lors d’une conférence récente devant les jeunes du Pastef, Sonko a ouvertement attaqué la presse, une attitude qui a suscité des réactions négatives de la part de divers acteurs de la société civile, dont Moundiaye Cissé. Selon lui, la critique médiatique est une constante dans la vie politique sénégalaise, et Sonko doit apprendre à composer avec elle.

Cissé a souligné l’importance pour Sonko de se concentrer sur les solutions aux problèmes auxquels sont confrontés les Sénégalais, au lieu de chercher à intimider la presse. Il a également encouragé Sonko à faire preuve de retenue et de sérénité dans ses interactions avec les médias, soulignant que les menaces ne sont pas une méthode efficace pour changer la posture de la presse.

En fin de compte, Cissé a exhorté Sonko à adopter une approche de dépassement et à se concentrer sur les besoins réels de la population sénégalaise, soulignant que c’est là que réside sa véritable chance de faire une différence en tant que leader politique.

Woodside Energy démarre l’extraction de pétrole au large des côtes du Sénégal

La compagnie australienne Woodside Energy a annoncé aujourd’hui avoir commencé à extraire du pétrole du champ de Sangomar, situé au large des côtes du Sénégal. Cette étape marque un jalon significatif dans le développement du premier projet pétrolier offshore du pays.

Woodside Energy, en partenariat avec la Société des pétroles du Sénégal, a achevé avec succès la première extraction de pétrole du champ de Sangomar, confirmant ainsi le potentiel de cette région en matière de production énergétique.

Situé à environ 100 km au sud de Dakar, le champ de Sangomar est riche en pétrole et en gaz, et le projet vise à atteindre une production quotidienne de 100 000 barils. Cette initiative ouvre de nouvelles perspectives économiques pour le Sénégal et renforce sa position en tant qu’acteur majeur dans le secteur énergétique régional.

Le lancement de l’extraction de pétrole au Sénégal représente un progrès significatif dans le développement de l’industrie pétrolière et gazière du pays, tout en soulignant l’engagement de Woodside Energy à contribuer à la croissance économique et au développement durable de la nation sénégalaise.

Prise en charge de l’AVC au Sénégal : Les défis persistants selon le Dr. Mbagnick Bakhoum

Dans le cadre d’une récente activité visant à sensibiliser les patients aux maladies cardio-vasculaires, le Dr. Mbagnick Bakhoum, neurologue à l’hôpital Fann, a mis en lumière les défis persistants de la prise en charge des accidents vasculaires cérébraux (AVC) au Sénégal.

Lors de cette initiative axée sur les conseils hygiéno-diététiques, le Dr. Bakhoum a souligné les différents types d’AVC, notamment les hémorragies cérébrales et les accidents ischémiques, tout en mettant en avant l’hypertension artérielle comme principal facteur de risque, atteignant une prévalence alarmante de 30 % dans le pays.

Malgré ces constats, le Dr. Bakhoum a exprimé ses préoccupations quant à l’absence de données précises sur l’incidence des AVC au Sénégal, soulignant l’importance cruciale de telles informations pour évaluer et orienter les politiques de santé.

De plus, il a mis en évidence une pénurie de neurologues dans le pays, ce qui entrave la prise en charge adéquate des patients victimes d’AVC. Souvent, ces patients se retrouvent sous la supervision de cardiologues ou de médecins généralistes, faute de spécialistes en neurologie disponibles.

Face à ces défis, le Dr. Bakhoum a appelé à une sensibilisation accrue sur la prévention de l’hypertension artérielle et sur l’adoption d’une alimentation saine, notamment en réduisant la consommation de sel.

Cette mise en lumière des obstacles rencontrés dans la prise en charge des AVC au Sénégal souligne l’urgence d’une action concertée pour renforcer les ressources médicales et améliorer l’accès aux soins spécialisés pour les patients touchés par cette pathologie dévastatrice.

Le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye réaffirme son soutien à l’artisanat sénégalais à Soumbédioune

Le Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a récemment effectué une visite remarquée au village artisanal de Soumbédioune, aux côtés du Ministre du Tourisme et de l’Artisanat. Cette visite a été l’occasion pour le Chef de l’État de réaffirmer son engagement indéfectible envers l’artisanat sénégalais et sa volonté de promouvoir le « Made in Sénégal ».

Face aux acteurs locaux de ce secteur crucial de l’économie nationale, le Président a exprimé sa détermination à soutenir les artisans et à valoriser leur savoir-faire ancestral. Soucieux de préserver et de promouvoir l’authenticité des produits artisanaux sénégalais, le Chef de l’État a souligné l’importance de leur contribution à la diversification de l’économie et à la création d’emplois durables.

Le village artisanal de Soumbédioune, haut lieu de la créativité et de la tradition artisanale sénégalaise, a ainsi été le théâtre d’un engagement fort en faveur du développement de ce secteur vital. Cette visite présidentielle marque un pas significatif vers la consolidation de l’artisanat sénégalais comme un pilier essentiel de l’économie nationale, tout en préservant son héritage culturel et en favorisant son rayonnement à l’international.

À travers cette démarche, le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye confirme sa vision d’un Sénégal prospère, où l’artisanat occupe une place centrale dans la construction d’une économie résiliente et inclusive, au service de tous les citoyens.

Mbagnick N’diaye, le judoka sénégalais, triomphe à l’Open d’Abidjan en remportant l’or

Ce dimanche, lors de l’Abidjan African Open 2024, le judoka sénégalais Mbagnick N’diaye a écrit une nouvelle page de sa carrière en décrochant la médaille d’or dans la catégorie +100kg. Cette victoire couronne les talents et la détermination d’un athlète déjà double champion d’Afrique, qui s’apprête à participer pour la deuxième fois aux Jeux Olympiques, à Paris en 2024.

Mbagnick N’diaye s’était déjà distingué lors des précédents Jeux Olympiques en atteignant les huitièmes de finale. Son succès à l’Abidjan African Open 2024 atteste de son engagement à se dépasser et à porter haut les couleurs de son pays sur la scène internationale.

Alors que les Jeux Olympiques de Paris se profilent, Mbagnick N’diaye se prépare à réaliser son rêve ultime : décrocher une médaille olympique dans la catégorie reine du judo. Le monde entier aura les yeux rivés sur cet athlète talentueux, prêt à écrire une nouvelle page de l’histoire du sport sénégalais.

Diourbel : Violent accident de circulation impliquant un 4×4 et une moto Jakarta

Un grave accident de la circulation s’est produit aujourd’hui, lundi 10 juin, aux environs de 16h, en plein centre-ville de Diourbel, à proximité de la mairie. L’accident a impliqué un véhicule 4×4 et une moto Jakarta, mettant en lumière une nouvelle fois les dangers auxquels sont confrontés les conducteurs de motos dans la région.

Le conducteur de la moto, un jeune homme d’environ 20 ans, roulait à vive allure lorsqu’il est entré en collision avec le 4×4. La violence de l’impact a causé des blessures graves au jeune homme, qui a été rapidement pris en charge par les sapeurs-pompiers et évacué en urgence à l’hôpital Heinrich Lübke de Diourbel.

Les forces de police sont arrivées sur les lieux quelques minutes après l’accident pour effectuer les constats d’usage. Selon les premiers témoignages, la vitesse excessive du conducteur de la moto aurait joué un rôle majeur dans la survenue de cet accident.

Cet incident souligne une tendance inquiétante à Diourbel : la recrudescence des accidents de la route, particulièrement impliquant les conducteurs de motos Jakarta. Ces motos, très populaires dans la région pour leur accessibilité et leur facilité de déplacement, sont souvent conduites de manière imprudente, sans respect des règles de sécurité routière.

Les autorités locales ont maintes fois insisté sur l’importance du port du casque pour les conducteurs de motos. Malgré ces appels, beaucoup de jeunes continuent de négliger cette mesure de sécurité essentielle, augmentant ainsi leur vulnérabilité en cas d’accident.

Face à cette situation préoccupante, les autorités de Diourbel intensifient leurs efforts pour sensibiliser les conducteurs aux dangers de la route et à l’importance des mesures de sécurité. Des campagnes de sensibilisation sont régulièrement organisées pour encourager le port du casque et le respect des limites de vitesse.

Le maire de Diourbel, ainsi que les responsables des forces de l’ordre, ont exprimé leur préoccupation et leur détermination à réduire le nombre d’accidents dans la commune. Ils appellent à une coopération accrue de la part des citoyens pour adopter des comportements de conduite plus responsables.

L’accident de ce lundi rappelle tragiquement les risques associés à la conduite imprudente et à la négligence des mesures de sécurité routière. Il est impératif que les conducteurs de motos Jakarta, en particulier les jeunes, prennent conscience de ces dangers et respectent les règles de sécurité pour protéger leur vie et celle des autres usagers de la route. Les efforts combinés des autorités et des citoyens sont essentiels pour améliorer la sécurité routière à Diourbel et éviter de telles tragédies à l’avenir.

Papa Malick Ndour critique sévèrement le nouveau régime : « Apportez des solutions conformément à vos promesses ! »

Depuis le discours du Premier ministre Ousmane Sonko lors de la conférence organisée par la Jeunesse patriotique du Sénégal (JPS-Pastef) au Grand Théâtre de Dakar, les réactions fusent de toutes parts. Parmi les critiques les plus virulentes, celle de Papa Malick Ndour, ancien ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de l’Entreprenariat sous Macky Sall, se démarque par son ton incisif et ses piques à peine voilées contre les nouveaux dirigeants du pays.

Sur sa page Facebook, Papa Malick Ndour commence par déplorer la crise d’autorité qui sévit selon lui, lorsque la plus haute institution est reléguée à un simple rôle de représentation et de figuration, allant même jusqu’à être affublée d’un surnom peu flatteur, « Serigne Ngoudou ». Cette critique implicite vise directement le gouvernement actuel.

Il poursuit en taclant le président, qualifié ironiquement de « Guillaume II », pour son rôle peu enviable de Secrétaire d’État auprès de « Bismarck », une allusion à une relation de subordination et à un manque d’indépendance politique. Papa Malick Ndour dénonce également l’éloignement des préoccupations réelles du peuple, symbolisé par la demande simple de « la diminution du prix du pain, de l’huile et de la farine », face aux actions jugées provocatrices et menaçantes du gouvernement.

Le ton monte lorsque l’ancien coordonnateur du Programme des domaines agricoles communautaires (PRODAC) interpelle directement « Bismarck », en lui rappelant son pouvoir et son devoir d’apporter des solutions en accord avec les promesses faites lors de la campagne électorale. Une exigence de responsabilité politique et d’action concrète qui se veut un appel à la réalité et à l’efficacité gouvernementale.

En conclusion, Papa Malick Ndour réaffirme l’importance de l’autorité assumée, non déléguée, pour le bon fonctionnement de l’État, tout en laissant entendre qu’il ne se laissera pas intimider par les critiques de l’opposition et qu’il continuera à exprimer ses opinions dans le respect de la démocratie et de la république.

Cet article reflète les préoccupations et les critiques émises par Papa Malick Ndour à l’égard du nouveau régime, mettant en lumière un climat politique tendu et des attentes fortes de la part de la population sénégalaise.

Lamine Niang prend les rênes du journal Le Soleil : Cap sur une nouvelle ère de journalisme de qualité et de modernisation

Lamine Niang, fraîchement installé dans ses fonctions de directeur général du journal Le Soleil, a annoncé son ambition de redonner à ce pilier de l’information au Sénégal son éclat d’antan. Dans un discours enthousiaste devant le personnel, Niang a souligné son engagement à assumer pleinement le leadership en journalisme dans le pays.

Le nouveau directeur, revenant au pays après une carrière à l’étranger, a déclaré que sa décision de rejoindre Le Soleil était motivée par sa conviction en une nouvelle ère sous la direction du président Bassirou Diomaye Faye. « Nous ne devons pas manquer le train de l’histoire. Nous estimons qu’il n’y a pas de mission plus exaltante que de diriger ce pays », a-t-il affirmé.

Niang a reconnu les défis auxquels Le Soleil est confronté, notamment la concurrence des médias en ligne et les difficultés financières. Cependant, il reste confiant dans le potentiel de l’entreprise, soulignant la qualité de ses ressources humaines. Pour relever ces défis, Niang prévoit de mettre l’accent sur la transformation digitale, en modernisant l’infrastructure informatique et en développant de nouveaux produits pour répondre aux nouvelles habitudes de consommation des lecteurs.

En plus de la transformation digitale, Niang s’engage à améliorer la gouvernance et la gestion de l’entreprise, avec pour objectif ultime de retrouver la place de Le Soleil parmi les grandes entreprises. Il vise également à promouvoir un journalisme de qualité, équilibré et accessible sur plusieurs plateformes, tout en luttant contre les fake news et la désinformation.

Dans le cadre de sa vision de redynamisation, Niang prévoit un plan de relance de l’Agence de Distribution de Presse (ADP) ainsi que le lancement d’une Kiosque numérique.

En résumé, sous la direction de Lamine Niang, Le Soleil s’engage dans une nouvelle ère de journalisme de qualité, de modernisation et de transparence, avec pour objectif de renforcer son leadership dans le paysage médiatique sénégalais.

Mamoudou Ibra Kane Appelle à l’Action Face au Premier Ministre: ‘Arrêtons-le à Temps Avant qu’il ne soit Trop Tard!’

Dans une déclaration sans précédent, Mamoudou Ibra Kane, célèbre journaliste et commentateur politique, a lancé un appel vibrant à la mobilisation contre le Premier Ministre actuel. Avec des mots chargés de passion et d’urgence, Kane a averti que l’avenir du pays était en jeu et qu’il était impératif d’agir rapidement pour éviter des conséquences désastreuses.

« Soyons clairs : nous sommes face à une menace sérieuse pour la démocratie et le bien-être de notre nation », a déclaré Kane lors d’une conférence de presse hier soir. « Le Premier Ministre agit de manière autoritaire et préjudiciable à nos institutions et à nos valeurs fondamentales. Nous devons le stopper maintenant, avant qu’il ne soit trop tard. »

Kane a cité une série de décisions récentes prises par le Premier Ministre, qu’il a qualifiées de « dangereuses pour la stabilité et la prospérité du pays ». Parmi ces décisions figurent des mesures répressives contre la liberté d’expression, des politiques économiques favorisant les élites au détriment des plus vulnérables, et une gestion désastreuse de la crise sanitaire en cours.

« Nous ne pouvons pas rester les bras croisés pendant que notre démocratie est sapée et que notre peuple souffre », a déclaré Kane avec passion. « Il est temps de nous lever, de parler haut et fort, et d’exiger des changements. Nous devons tenir nos dirigeants responsables de leurs actes. »

L’appel de Kane à l’action a été largement salué par d’autres leaders d’opinion, des militants politiques et des citoyens engagés. Sur les réseaux sociaux, le hashtag #StopPremierMinistre est devenu viral, attirant l’attention sur la nécessité d’une action collective.

« Nous avons le pouvoir de changer les choses, mais nous devons agir ensemble, avec détermination et persévérance », a conclu Kane. « Ne laissons pas la peur ou l’apathie nous paralyser. L’avenir de notre pays est entre nos mains, et nous devons agir maintenant pour le sauver. »

« Thierno Bocoum critique le Premier ministre Sonko pour son retard dans la gouvernance et son activisme politique »

Le Premier ministre Ousmane Sonko est en retard. Le plan d’action gouvernemental qu’il annonce pour bientôt lui a été demandé depuis très longtemps.

Dans le premier communiqué du conseil des  ministres en date du 09 avril 2024, il a été dit ceci : « le Président de la République a demandé au Premier Ministre, sur la base du PROJET et des orientations présidentielles sus indiquées, de finaliser, avant la fin du mois d’avril 2024, le Plan d’actions du Gouvernement, avec un agenda précis de réalisation des objectifs fixés. »

Il est en retard de plusieurs mois mais trouve le temps de faire de la politique politicienne en mettant en exergue une compétence qui a déjà montré ses limites. 

Comment peut-on traiter certains magistrats de corrompus quand on décide de s’immiscer dans l’enclenchement de l’autosaisine  du procureur à travers son ministre de la justice ? 

Pourquoi ne pas demander au procureur de faire son travail sur son propre dossier pendant devant la justice ?

Encadrer la justice et la presse selon ses propres orientations est la pire des dérives d’un apprenti dictateur. 

S’attaquer à une opposition qui a décidé de laisser le temps de l’observation est une belle preuve d’incapacité face aux nouvelles charges étatiques. 

L’ingénieuse prouesse a été de trouver le temps de faire de la politique politicienne après avoir demandé du temps pour faire des résultats. 

À défaut de projet et de visions, les objectifs sont maintenant clairs : 

1 – Anticiper sur l’après Diomaye en muselant la presse non inféodée à sa doctrine, en intimidant certains peureux d’une opposition hésitante pour les dissuader dans l’exercice de leur droit et en accaparant un appareil politique à travers un discours populiste renouvelé. 

2 – Faire croire que le nouveau pouvoir est menacé dans sa volonté de prétendues éformes systémiques pour divertir les sénégalais sur un combat contre le néant et ainsi échapper à la récurrence des demandes de respect des engagements et de satisfaction des besoins majeurs des populations. 

Ousmane Sonko a décidé de gouverner et de s’opposer en même temps. Gouverner contre ses adversaires, s’opposer à ses adversaires. 

Celui qui était prêt à déloger du palais de la république un président légalement élu  pour prendre sa place fera tout pour remplacer son poulain.

Son temps sera dédié à la politique politicienne. La correcte prise en charge des intérêts majeurs des populations attendra malheureusement.

Qu’il sache que ceux qui ne sont pas dans le soutien aveugle, le fanatisme et la recherche de sinécures connaissent bien ce proverbe qui dit que « bien dire fait rire, bien faire fait taire. »

Malheureusement, il ne cherchera pas à faire taire en bien faisant mais plutôt en usant de formes d’intimidation ridicules, obsolètes et inopérantes.

Nous espérons que certaines ruptures annoncées et attendues survivront dans cette mare de populisme. 

Les sénégalais sont fatigués. Ils ne rempliront pas leur ventre par des paroles futiles et de l’arrogance. 
 

Thierno Bocoum

Président AGIR

Birahim Seck critique les propos de Sonko et appelle au renforcement de la liberté de presse

Le coordonnateur du Forum Civil, Birahim Seck, a vivement critiqué les récentes déclarations du président du parti Pastef, Ousmane Sonko, concernant la presse sénégalaise. Dans un tweet, Seck a souligné que le rôle du gouvernement devrait être de renforcer et de consolider la presse, plutôt que de proférer des menaces à son encontre.

« Mr le premier ministre, votre rôle est d’apporter des solutions durables pour fortifier la presse et la consolider. Elle ne doit pas être, ni se sentir menacée », a déclaré Seck dans son tweet.

Il a également souligné que le gouvernement, en tant que représentant du peuple, devrait adopter une posture rassurante et démocratique envers la presse, plutôt que d’adopter des attitudes menaçantes.

« Vous n’êtes plus dans l’opposition mais dans la position d’apporter des réponses rassurantes et démocratiques », a-t-il ajouté.

Cette réaction de Birahim Seck intervient après les propos controversés tenus par Ousmane Sonko, où ce dernier a semblé menacer certains médias en raison de leur couverture médiatique.

La liberté de la presse est un pilier fondamental de toute société démocratique, et les critiques de Seck soulignent l’importance de protéger et de promouvoir ce principe au Sénégal. En appelant à un renforcement de la presse et à une approche démocratique, Seck met en lumière la nécessité pour le gouvernement de respecter et de défendre la liberté d’expression et le rôle crucial des médias dans la société.

Ousmane Sonko : entre la phobie des médias et les défis du pouvoir

Dans un récent discours, Ousmane Sonko a affiché un côté peu connu de sa personnalité en s’en prenant vivement à la presse sénégalaise. Cette attitude soulève des questions sur sa relation avec les médias et sa gestion du pouvoir depuis son accession à la fonction de Premier ministre.

Depuis ses débuts en politique, Sonko a préféré les plateformes digitales aux conférences de presse traditionnelles, suscitant des interrogations sur sa volonté de transparence et de dialogue avec les médias.

Pourtant, la presse sénégalaise a souvent été confrontée à des pressions et des représailles pour son travail critique envers le gouvernement, ce qui soulève des inquiétudes quant à la récente attaque de Sonko contre les médias.

En outre, alors que les Sénégalais font face à des défis économiques et sociaux, Sonko promet des solutions rapides mais semble minimiser la complexité des problèmes auxquels le pays est confronté.

Cet article souligne la tension entre la phobie des médias d’Ousmane Sonko et les attentes du peuple sénégalais vis-à-vis de son leadership, mettant en lumière les défis auxquels il est confronté en tant que Premier ministre

Jeune conducteur de Jakarta retrouvé mort à Mbodiène: Un suspect arrêté

La tragédie a frappé la communauté de Thiès alors que le corps calciné de Moustapha Dème, âgé de seulement 18 ans et conducteur de Jakarta, a été découvert en pleine forêt à Mbodiène. Le jeune homme, résidant du quartier Takhikao, a été identifié par sa famille grâce à ses affaires retrouvées sur les lieux du crime.

L’histoire a commencé lorsque les proches de Dème ont signalé sa disparition au commissariat de Tivaouane. Leurs craintes se sont avérées lorsque des femmes à la recherche de bois mort ont découvert son corps dans un état choquant. Les funérailles, qui ont eu lieu hier dans le quartier Takhikao, ont été marquées par une profonde tristesse alors que la famille et les voisins pleuraient leur perte.

Des investigations approfondies ont révélé que Dème avait été vu pour la dernière fois en compagnie d’un ami, également conducteur de moto Jakarta. L’absence de cet ami a attiré l’attention des autorités, qui l’ont finalement arrêté pour interrogatoire.

L’inhumation de Moustapha Dème au cimetière de Mbodiène a marqué la fin d’une vie trop courte, mais l’enquête se poursuit pour faire la lumière sur les circonstances de sa mort. La communauté reste en deuil alors que justice est recherchée pour ce jeune homme dont la vie a été tragiquement interrompue.

Goudomp/ Éducation : Fête de l’excellence, l’IEF de Goudomp a fêté ses meilleurs potaches.

Les populations de Goudomp ont réservé un accueil chaleureux à leur fils Papis Modeste Boucal parrain de la fête de l’excellence organisée par l’inspection de l’éducation et de la formation ce samedi. Plus d’une soixantaine d’élèves issus de différentes écoles de la commune , qui se sont brillamment Illustré lors de L’année scolaire 2023-2024 se sont vu décerner des prix d’encouragement Remis par le parrain de l’événement. L’objectif visé par les autorités éducatives à travers cette initiative est selon elles de récompenser les élèves qui se sont distingués durant l’année scolaire 2023-2024 et de favoriser une émulation entre eux. Le parrain Papis Modeste Boucal s’est fortement réjoui de l’initiative et le choix porté à sa personne. » J’invite les autorités éducatives de la circonscription à pérenniser cette action pour encourager les élèves dans leurs études. Je vous exhorte à plus de dévouement et d’abnégation au travail afin de rester dans la même dynamique de l’excellence  » a indiqué le parrain Papis Modeste Boucal.

Ousmane Sonko promet de révéler le rapport PRODAC : Vers la lumière sur les malversations politiques au Sénégal

Ousmane Sonko, chef de file des Patriotes, a récemment ravivé le dossier brûlant de l’affaire PRODAC lors d’un discours passionné devant une foule de jeunes rassemblés à l’esplanade du Grand Théâtre. Avec une détermination palpable, Sonko a déclaré détenir désormais le fameux rapport sur les activités du PRODAC qui lui avait valu d’être poursuivi en justice par les autorités en place.

Rappelant les tumultes et les obstacles qu’il a dû affronter, Sonko a dénoncé avec véhémence les manœuvres orchestrées pour étouffer le rapport incriminant un ministre. Il a déploré avoir été victime de diverses formes de répression, allant de l’attaque contre sa personne jusqu’à la corruption de magistrats, dans le but de le réduire au silence et d’étouffer la vérité.

Aujourd’hui, fort de sa persévérance et du soutien de ses partisans, Sonko affirme que la lumière sera faite sur toutes les affaires entachées de corruption et de malversations. Il promet de révéler au grand jour tous les rapports occultés et de traduire en justice ceux qui ont manipulé et dissimulé la vérité au détriment du peuple.

À l’heure où la transparence et la lutte contre la corruption sont au cœur des préoccupations citoyennes, Ousmane Sonko se positionne comme un fervent défenseur de la justice et de l’intégrité. Son engagement à rétablir la vérité et à rendre des comptes sur les abus du pouvoir marque un tournant crucial dans le paysage politique sénégalais.

Le Premier ministre Sonko met en garde les médias contre l’impunité et exige des preuves dans l’affaire du général Kandé

Le Premier ministre et président du parti PASTEF, Ousmane Sonko, a réitéré ses mises en garde contre ce qu’il qualifie d’impunité dans le secteur de la presse lors d’une récente intervention publique à Dakar. En réagissant à l’affaire du général Kandé muté à New Delhi, Sonko a mis en garde les médias qui l’ont cité dans cette affaire, les exhortant à fournir des preuves de leurs allégations.

Sonko a déclaré : « S’ils osent ou s’ils ont l’audace, qu’ils écrivent ce qu’ils avaient écrit. » Cette déclaration intervient alors que des médias ont rapporté que le général Kandé avait été sanctionné par Sonko pour avoir prétendument combattu la rébellion.

Le chef du PASTEF a également appelé à la fin de ce qu’il considère comme l’impunité dans le secteur de la presse, invitant les journalistes à se conformer à l’article 13 du Code de la presse qui exige des preuves vérifiables. Il a critiqué le manque de transparence dans le traitement de telles affaires, dénonçant le recours à des sources peu fiables et anonymes.

« C’est fini ces agissements », a déclaré Sonko, soulignant la nécessité d’une presse responsable et éthique. Ses remarques reflètent une demande croissante de transparence et de responsabilité dans le journalisme sénégalais, ainsi qu’une volonté de mettre fin à la diffusion de fausses informations sans fondement solide

Paiement des impôts : L’appel de Serigne Bassirou Abdou Khadr

Lors de l’inauguration du centre commercial Lekku-fi Ndiouga Kébé à Touba, le porte-parole du khalife général des mourides, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr, a lancé un appel pressant aux citoyens pour s’acquitter de leurs impôts. S’exprimant devant le ministre de l’Industrie et du Commerce, Serigne Guèye Diop, il a souligné l’importance cruciale du paiement des impôts pour le fonctionnement normal de l’État.

« Les responsables des camions benne m’ont rendu visite vendredi dernier pour se plaindre de la cherté des taxes municipales. Mais ils se sont engagés à s’acquitter du paiement pour exécuter la recommandation du khalife. Je leur ai expliqué la différence entre l’impôt et le hadya », a déclaré Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr.

Il a insisté sur le fait que le paiement des impôts est une obligation pour tout citoyen, soulignant que sans cela, l’État ne peut pas fonctionner normalement. Il a également rappelé l’importance pour les habitants de Touba de payer leurs taxes municipales pour contribuer au développement de leur nation.

La présence notable du gouverneur de Diourbel, Ibrahima Fall, du préfet de Mbacké et d’autres autorités lors de cet événement témoigne de l’importance accordée à cet appel.

Dans un discours prononcé lors de la même cérémonie, le ministre de l’Industrie et du Commerce, Serigne Guèye Diop, a annoncé l’implantation de huit zones industrielles au Sénégal. Il a également révélé que le gouvernement mettra en place un fonds pour l’industrie et un fonds pour le commerce, tout en promettant une attention particulière aux huiliers de Touba. Il a souligné que toutes les usines fermées dans le pays seront rouvertes, commençant par les huiliers de Touba, qui jouent un rôle crucial dans la transformation de l’arachide et la production d’aliments pour le bétail.

Le Député Ayib Daffé annonce les details du projet de politique national du Sénégal

Lors de son récent passage à l’émission « Grand Jury » sur la RFM, le député de Pastef, Ayib Daffé, a offert des éclaircissements cruciaux sur le projet de politique nationale en cours de développement par le gouvernement sénégalais. Cette intervention a mis en lumière l’importance de cette initiative dans le paysage politique et économique actuel du Sénégal.

Le projet, initialement présenté aux Sénégalais peu avant l’élection présidentielle par le ministre actuel de l’Environnement, Daouda Ngom, a depuis fait l’objet d’une attention soutenue de la part du gouvernement. Ayib Daffé a souligné l’urgence de remplacer le Plan Sénégal Émergent (PSE) par un nouveau cadre politique et économique, démontrant ainsi une volonté de renouvellement et de progression.

Une comparaison intéressante a été établie par le député entre le processus actuel et celui du régime précédent, soulignant qu’il avait fallu deux ans pour élaborer le projet Sénégal Émergent. Cette réflexion met en évidence la rigueur et l’engagement nécessaires pour aboutir à un plan national cohérent et viable.

En ce qui concerne la mise en œuvre du nouveau projet, Ayib Daffé a annoncé un calendrier ambitieux, avec un début prévu dès septembre 2024. Ce projet sera intégré dans le cadre législatif existant, notamment à travers la loi d’orientation relative au système national de planification. Cette démarche garantit une approche structurée et réglementée pour assurer le succès et la durabilité du projet.

Le député a également souligné l’implication active du gouvernement dans l’élaboration d’un plan d’action gouvernemental cohérent avec les objectifs du nouveau projet. Cette synchronisation entre les différentes sphères du gouvernement est essentielle pour garantir une mise en œuvre efficace et harmonieuse.

Enfin, Ayib Daffé a conclu en rappelant l’essence même du projet : une vision pour un Sénégal souverain et prospère. Avec ses cinq axes stratégiques et quinze orientations, ce projet aspire à façonner un avenir meilleur pour tous les citoyens sénégalais, en mettant l’accent sur le développement économique et social du pays.

En résumé, l’intervention du député Ayib Daffé a permis de jeter un éclairage précieux sur le projet de politique nationale du Sénégal, soulignant son importance stratégique et les étapes à venir pour sa mise en œuvre réussie.

Vacance de pouvoir : Le commissaire Keita reproche à Sonko d’être le « président de la République »

Selon l’ex-Commissaire de Police Cheikhna Keita, le Premier Ministre Ousmane Sonko s’arroge les pouvoirs du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye. Invité devant le jury du dimanche relayé par iRadio, l’ancien Commissaire et son mouvement « Sauvons le Sénégal » croient dur comme fer qu’il y a bel et bien une vacance du pouvoir, dès lors que le Premier ministre s’est emparé des pouvoirs du Président élu par les Sénégalais.

« L’empiètement du PM sur les pouvoirs du Président de la République ne fait l’objet d’aucun doute », selon l’ancien Commissaire de Police en retraite, qui ajoute que si les ambassadeurs remettent leurs lettres de créances au PM au lieu du Président de la République, cela signifie que le pouvoir s’est incliné.

Pour étayer leur position, lui et son mouvement ont déposé une requête auprès du Conseil constitutionnel, une lettre de « Renseignements aux fins de constater la démission tacite et la vacance du pouvoir du président de la République Bassirou Diomaye Faye au profit de son Premier ministre. »

Le Sénégal et la gestion de sa dette : Vers une autonomie financière

Le Sénégal a émis plus de 3.691 milliards de francs CFA sur le marché des eurobonds entre 2009 et 2024, une stratégie visant à mobiliser des ressources financières pour le développement du pays. Les eurobonds permettent de mutualiser la dette des pays de la zone euro, offrant ainsi des conditions de remboursement avantageuses. Cependant, avec un endettement déjà proche du seuil critique des 70%, comment le Sénégal compte-t-il gérer cette dette et assurer sa stabilité financière ?

Malgré les bénéfices initiaux des eurobonds, le Sénégal se trouve confronté à un défi majeur : celui de la soutenabilité de sa dette. Pour répondre à cette urgence, le pays doit mettre en place des mesures stratégiques visant à réduire sa dépendance financière et à promouvoir son autonomie économique.

Une des priorités consiste à canaliser les fonds issus des emprunts vers des secteurs clés tels que l’éducation, la santé et les infrastructures. En investissant dans ces domaines, le Sénégal peut stimuler la croissance économique, renforcer sa compétitivité et réduire la pauvreté, tout en assurant un retour sur investissement à long terme.

Parallèlement, le gouvernement sénégalais devrait explorer des mécanismes de diversification des sources de financement, notamment en encourageant les investissements étrangers, en développant le secteur privé et en promouvant l’innovation financière.

En outre, une gestion prudente de la dette implique également de renforcer la transparence et la responsabilité dans la gestion des finances publiques. Cela nécessite une surveillance rigoureuse des dépenses, une évaluation périodique de l’impact des investissements et une gouvernance efficace des institutions financières.

En fin de compte, pour se libérer progressivement du fardeau de la dette, le Sénégal doit adopter une approche holistique qui combine réformes économiques, investissements stratégiques et bonne gouvernance. En prenant ces mesures, le Sénégal peut espérer atteindre une plus grande autonomie financière et assurer un avenir prospère pour ses citoyens.

Les Lions du Sénégal à la croisée des chemins : Victoire impérative contre la Mauritanie pour les qualifications au Mondial 2026

Après un départ mitigé dans les qualifications au Mondial 2026, l’équipe nationale du Sénégal se retrouve face à un défi de taille : décrocher la victoire contre la Mauritanie pour maintenir ses espoirs de qualification. Malgré une position confortable dans la poule B, les Lions de la Teranga doivent impérativement renouer avec la victoire après deux matchs nuls consécutifs.

Le sélectionneur Aliou Cissé est confronté à la pression de pousser ses joueurs à donner le meilleur d’eux-mêmes, sachant que chaque point compte dans cette phase cruciale des qualifications. La rencontre de ce dimanche au stade Cheikha Ould Boïdiya s’annonce décisive, alors que le Sénégal se bat pour conserver sa place parmi les prétendants au Mondial.

Malgré les difficultés rencontrées, il reste encore des opportunités pour les Lions, avec six matchs à disputer et 18 points en jeu. Une victoire contre la Mauritanie revêt donc une importance capitale pour relancer la dynamique de l’équipe avant d’entamer une campagne qui s’annonce intense.

Néanmoins, les Mauritaniens ne sont pas à sous-estimer, et les Lions devront rester vigilants face à leurs adversaires. Leur détermination et leur volonté de faire bonne figure dans ce derby ne doivent pas être négligées. Les joueurs sénégalais devront faire preuve de concentration et d’efficacité pour surmonter ce défi et raviver les espoirs de tout un pays.

Dans cette période décisive, les yeux seront rivés sur l’équipe nationale du Sénégal, alors qu’elle cherche à rebondir et à poursuivre sa quête pour une qualification tant attendue au Mondial 2026.

Latmingué: Le mouvement KEP finance un 100 femmes en hauteur de 8,8 millions avec l’appui de PAMECAS.

Le mouvement Kaolack Emergent et Prospère (KEP) en partenariat avec le Pamecas, a octroyé vendredi 7 juin, un financement de 8,8 millions de FCFA à 100 femmes de la commune de Latmingué. Selon Andel Kitane, président dudit mouvement, que c’est pour accompagner les femmes dans leurs activités génératrices de revenus « Les femmes vivant dans des zones rurales jouent un rôle clé dans la production alimentaire, la génération de revenus ainsi que le développement économique tant local que national.
L’égalité entre les genres et l’autonomisation des femmes sont essentielles pour lutter contre la pauvreté et la faim, et atténuer les effets des changements climatiques  » a ajouté M. Amdel kitane Les études mondiales montrent que les femmes entrepreneurs contribuent largement à la croissance économique et à la réduction de la pauvreté, tant dans les pays en développement que dans les pays à revenu élevé. En plus de stimuler l’emploi, l’entrepreneuriat féminin contribue à la diversification des activités et favorise l’innovation et la diversification de la gestion, de la production, des pratiques commerciales, et des produits et services  » conclu t-il. Rappelons, les femmes bénéficiaires ont salué l’accompagnement de ce donateur en partenariat avec PAMECAS et comptent rembourser dans les délais fixés afin que les autres puissent bénéficier. La cérémonie de remise de ce financement a eu lieu ce samedi.

COUPE DU MONDE 2026 : LA GAMBIE S’IMPOSE AVEC ÉCLAT FACE AUX SEYCHELLES

Dans un retournement de situation impressionnant, l’équipe nationale de football de la Gambie a inscrit une victoire éclatante contre les Seychelles lors de la troisième journée de la Coupe du Monde 2026. Après deux déceptions initiales contre la Côte d’Ivoire et le Burundi, la Gambie a renversé la vapeur dans un match délocalisé à Berkane, au Maroc.

Le match a été le théâtre d’une démonstration de force de la part de la Gambie, qui a dominé ses adversaires avec un score final de 5-1. Cette victoire marque un tournant crucial pour l’équipe gambienne, qui a ainsi décroché ses premiers points dans la compétition.

Menée par une performance exceptionnelle de ses joueurs, la Gambie a montré sa détermination et son potentiel sur le terrain, offrant à ses supporters une raison de célébrer. Cette victoire contre les Seychelles renforce la confiance de l’équipe alors qu’elle poursuit sa quête pour se qualifier pour les phases finales de la Coupe du Monde.

La Gambie prouve ainsi sa capacité à rebondir et à se surpasser, faisant preuve d’un esprit d’équipe et d’une détermination sans faille. Alors que la compétition se poursuit, les regards sont désormais tournés vers les prochains défis qui attendent l’équipe gambienne, avec l’espoir de continuer sur sa lancée et de réaliser des performances encore plus remarquables.

Les ferrailleurs du Sénégal interpellent les nouvelles autorités sur l’avenir du secteur métallurgique

Le patronat des ferrailleurs du Sénégal a récemment organisé un point de presse pour mettre en lumière les défis et les opportunités qui se présentent dans le secteur métallurgique du pays. Leur principale préoccupation réside dans la formalisation accrue de ce secteur vital pour l’économie nationale.

Le porte-parole des ferrailleurs a souligné l’importance de la démarche initiée par le gouvernement précédent pour développer le tissu industriel sénégalais. En mettant en place des dépôts agréés, ces travailleurs cherchent à réguler le secteur de la ferraille et à nationaliser les revenus qui en découlent.

« Nous avons constaté un désordre dans le secteur de la ferraille. En créant des dépôts agréés, nous souhaitons mieux encadrer ce domaine et favoriser le développement de l’industrie métallurgique nationale », a expliqué le porte-parole.

Un aspect crucial de leur demande aux nouvelles autorités est de concentrer l’octroi des licences vers les industries nationales et les dépôts agréés plutôt que de les accorder à des sociétés étrangères. Les ferrailleurs estiment que les nationaux possèdent les compétences nécessaires pour transformer ces matières premières localement, contribuant ainsi à la croissance économique et à la création d’emplois.

De plus, les membres du patronat ont invité les autorités à visiter leurs installations pour constater l’efficacité de leurs réalisations dans les dépôts. Ils ont également souligné le rôle moteur de leur organisation dans les exportations de fonte, provenant des industries métallurgiques établies au Sénégal.

Cette interpellation des ferrailleurs met en lumière l’importance de soutenir et de développer l’industrie métallurgique nationale, afin de promouvoir une croissance économique durable et inclusive au Sénégal.

 » Setal sunu Reew  » : le Centre hospitalier régional El Hadj Ibrahima Niass montre l’exemple. 

Le personnel du centre hospitalier régional El Hadj Ibrahima Niass de Kaolack ( CHREIN) en collaboration avec les usagers, les corps militaires, paramilitaires et la SONAGED, ont organisé ce samedi 8 juin une journée de nettoiement. L’objectif décliné est de rendre propre et plus attrayant le lieu qui accueille des patients même venant de la sous région. Ainsi, le directeur de la structure, M. Ousmane Guèye a exhorté les accompagnants à veiller à la propreté des lieux.

 » Nous avions envisagé d’organiser cette journée depuis longtemps, heureusement,  elle a coïncidé avec l’appel du Président de la République qu’il a lancé à tous les citoyens pour un investissement humain dans le domaine de l’assainissement. Le nettoiement d’aujourd’hui concerne les déchets ménagères issus des usagers qui vivent temporairement au niveau de la structure hospitalière  » a expliqué M. Ousmane Guèye, directeur général du centre hospitalier régional El Hadj Ibrahima Niass de Kaolack. 

Poursuivant ses explications, M. Guèye a rappelé qu’au niveau de la structure hospitalière, il y’a différents types de déchets qui nécessitent chacun un traitement spécifique.  » Il y’a des déchets issus des patients qui subissent des soins, ceux qui viennent des outils que nous utilisons pour certaines opérations médicales. Pour ceux là, nous avons des récipients spéciaux ou des sachets de couleurs spécifiques où nous les collectons pour les incinérer  » a-t-il détaillé.

Confronté à un manque de matériel pour l’incinération, le centre hospitalier régional El Hadj Ibrahima Niass de Kaolack a poussé un ouf de soulagement grâce au Ministère de la Santé et de l’Action Sociale qui leur a dotée d’un banaliseur qui va leur permettre de procéder au traitement des déchets issus de la structure sanitaire.  » En plus de la collecte des déchets, nous allons procéder aussi à l’embellissement des toilettes, à la réparation de leur étanchéité pour améliorer les conditions hygiéniques des usagers  » a-t-il révélé. 

Pour Mamadou Lamine Ndiaye, coordonnateur de la journée, le nettoiement est un acte indispensable car il est au début et à la fin de toutes les opérations médicales.  » Même pour prodiguer ses soins, l’infirmier ou la sage-femme a besoin du nettoiement de son lieu de travail, le chirurgien avant une opération a besoin de rendre propre son bloc. Donc la propreté est même un acte de piété conseillé par toutes les religions révélées  » a-t-il argumenté dans son propos.

 » Mais il faut aussi inciter les usagers pour qu’ils ne salissent pas les lieux car nettoyer est bon mais ne pas salir est mieux. Dans cette veine, des séances de sensibilisation vont être initiées pour amener les populations qui fréquentent les lieux à plus de tenue  » a conclu M. Ndiaye. 

Révélations accablantes sur la gestion des pontes de l’APR : un responsable du parti réclame le remboursement intégral des fonds détournés

Les récentes publications des rapports des corps de contrôle ont mis en lumière des pratiques de gestion désastreuses de certains hauts responsables du régime de Macky Sall, suscitant de vives réactions au Sénégal. Confronté à ces révélations accablantes, Mor Kane, responsable de l’APR à Ngaye, sort de son silence pour exprimer son indignation. Selon lui, les responsables ont complètement failli à leur mission : « Le président Macky Sall avait tout fait pour que ces rapports ne voient pas le jour. Ils ont gravement failli à leur devoir. Les rapports sont catastrophiques. C’est inacceptable. »

Dans un geste fort, le coordonnateur du parti en Mauritanie va encore plus loin en appelant au remboursement intégral des fonds détournés : « Si c’est bien ce qu’il en est, ils doivent tous rendre des comptes car il s’agit de l’argent du contribuable. En outre, ils ne devraient plus jamais occuper de postes de responsabilité dans ce pays. Les mettre en prison ne suffit pas, ils doivent tout rembourser », déclare-t-il, visiblement en colère contre les dirigeants de son propre parti.

Ces déclarations soulignent l’ampleur du scandale et la nécessité d’une réponse ferme pour restaurer la confiance du public et assurer la reddition de comptes. La pression monte sur les pontes de l’APR pour qu’ils rendent des comptes et réparent les dommages causés par leurs actions.

« La rencontre historique entre Ousmane Sonko et Juan Branco : Un dialogue transnational sur les enjeux politiques »

Le leader politique sénégalais Ousmane Sonko et l’avocat français Juan Branco se sont rencontrés pour la première fois ce samedi, suscitant un vif intérêt médiatique. Cette rencontre, qui s’est déroulée dans un contexte international tendu, a été l’occasion pour les deux hommes de discuter de divers sujets d’intérêt commun, notamment les enjeux socio-politiques en Afrique et en Europe. Les détails de leur échange et les implications de cette rencontre restent à voir, mais elle témoigne de l’importance croissante des échanges transnationaux dans le paysage politique contemporain.

Les maires s’engagent à résoudre les tensions sociales aux Industries Chimiques du Sénégal

Lors d’une récente cérémonie de remise d’équipements aux lycées de la Commune de Ngoundiane, le maire Mbaye Dione a abordé les difficultés actuelles rencontrées par les Industries Chimiques du Sénégal (ICS), entraînant un blocage de leurs activités. Soulignant l’importance de ces industries pour la nation, notamment pour l’arrondissement de Méouane où elles sont implantées, le maire a appelé à trouver des solutions en collaboration avec les populations et l’État.

« Je pense que nous autres maires devrons, avec les populations et avec l’État du Sénégal, réfléchir pour que les ICS reprennent leurs activités. Une industrie, quand elle est installée dans un pays, elle doit être en conformité avec les règles de fonctionnement de ce pays », a déclaré Mbaye Dione.

Évoquant l’importance de l’acquittement des obligations fiscales pour le succès des entreprises, le maire a également souligné la nécessité d’un effort collectif pour résoudre ces problèmes. Il a annoncé que les maires envisagent de plaider collectivement pour que la question minière soit prise en charge par l’Association des Maires du Sénégal, en collaboration avec l’État et les populations.

Les maires des communes abritant les carrières se sont engagés à mettre en place un cadre de concertation pour renforcer la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) et trouver des solutions aux tensions sociales. Cette initiative vise à créer une synergie d’actions pour le bien-être des populations et le développement durable des régions concernées.

En conclusion, la volonté des autorités locales et leur engagement à travailler de concert avec les parties prenantes témoignent d’une approche collaborative et proactive pour résoudre les défis socio-économiques auxquels sont confrontées les industries du pays.

« Décès de Christophe Deloire, Secrétaire Général de RSF : Un Hommage à un Défenseur de la Liberté de la Presse »

Christophe Deloire, le secrétaire général de Reporters Sans Frontières (RSF), est décédé à l’âge de 53 ans à Paris, après avoir été hospitalisé pendant plusieurs semaines à l’hôpital Saint-Louis. Le journaliste était atteint de tumeurs au cerveau, dont la découverte a été tardive.

Deloire, qui avait été confié en juillet 2023 par le président français Emmanuel Macron la direction d’un comité de pilotage des Etats généraux de l’information (EGI), est décédé avant la conclusion de cette mission. Les EGI, visant à réformer le paysage médiatique français, devraient aboutir à la fin du mois de juin.

RSF, une organisation non gouvernementale internationale fondée en 1985 et reconnue d’utilité publique en France, a pour mission la défense de la liberté de la presse et la protection des sources des journalistes. En 2005, RSF a été honorée par le prix Sakharov du Parlement européen pour son engagement indéfectible en faveur de la liberté d’expression.

BOUGANE « LA BANQUE AGRICOLE A TENTÉ DE M’ESCROQUER ET LE DOSSIER EST À LA COUR SUPRÊME »

Je tiens à rassurer mes amis et sympathisants au sujet d’une information diffusée par une certaine presse, motivée par un seul objectif : salir Bougane.

Ce dossier, Boss SA contre la Banque Agricole, est en pourvoi à la Cour suprême. Il s’agit d’une tentative d’escroquerie de la Banque Agricole. En 2015, j’ai été la caution solidaire d’un prêt de 400 millions entièrement remboursé, comme attesté par un expert judiciaire.

La société Boss SA ayant bénéficié d’un découvert de 600 millions, la Banque LBA a voulu utiliser frauduleusement l’ancienne caution solidaire pour garantir ce découvert, objet du litige. Or, tout le monde sait qu’une caution n’est ni cessible ni transférable.

Mes avocats ont introduit un pourvoi en cassation et le dossier suit son cours. Toute autre information est un pur mensonge et une machination visant à ternir l’image d’un Sénégalais qui a préféré investir dans son pays.

J’ai d’ailleurs instruit mes avocats pour engager une procédure pénale contre la Banque LBA pour abus de confiance et tentative d’escroquerie.

Demain il fera jour.
Bougane Guéye Dany

Scandale au CMS : Le FONGIP engage ses avocats pour faire toute la lumière sur les montants cités

Le Fonds de Garantie des Investissements Prioritaires (FONGIP) a pris des mesures décisives suite aux récentes révélations concernant les montants suspectés dans l’affaire du Crédit Mutuel du Sénégal (CMS). Face aux allégations impliquant des hauts responsables du FONGIP dans des opérations de garanties de financement, l’organisation a annoncé qu’elle adressera une lettre au Crédit Mutuel du Sénégal dans les prochaines heures pour clarifier la situation.

Selon des sources internes, le FONGIP sollicite l’expertise de ses avocats afin de comprendre pleinement les tenants et aboutissants de cette affaire ainsi que ses récents développements. Cette réaction fait suite aux inquiétudes croissantes exprimées par des syndicalistes agissant en tant que lanceurs d’alerte depuis plusieurs années, mettant en lumière des pratiques douteuses au sein du CMS, estimées à coûter des centaines de millions de francs CFA.

Le FONGIP, en tant qu’acteur majeur du secteur financier, affirme son engagement envers la transparence et la bonne gouvernance. Il se dit prêt à coopérer pleinement avec les autorités compétentes pour faire toute la lumière sur cette affaire et prendre les mesures nécessaires pour garantir l’intégrité de ses opérations. Les développements ultérieurs de cette affaire sont attendus avec intérêt.

Engagement du Dr Abdourahmane Diouf pour résoudre les problèmes à l’UASZ

Après les revendications des étudiants de l’université Assane Seck de Ziguinchor, le ministre de l’Enseignement Supérieur, Abdourahmane Diouf, s’engage à résoudre les problèmes persistants. Suite à sa visite à l’UASZ, le ministre a pris des mesures concrètes pour accélérer l’achèvement des chantiers en cours depuis 2015, identifiant les obstacles et promettant un plan d’action d’urgence. Les étudiants, rassurés par cette démarche, attendent désormais la matérialisation de ces engagements pour améliorer leurs conditions d’étude et de vie sur le campus.

Le tribunal fixe le prix de l’immeuble de Bougane Guèye Dani à 1,1 milliard de francs CFA

Dans le cadre du litige opposant la Banque agricole (LBA) à la société Boygues Solutions Systems Limited (BOSS) dirigée par Bougane Guèye Dani, une décision importante a été rendue par la chambre des saisies immobilières. L’immeuble situé à la Cité Keur Gorgui, à Dakar, et appartenant à Bougane Guèye Dani, a été mis en vente et son prix a été fixé à 1 milliard 100 millions de francs CFA.

Ce contentieux, qui concerne le Titre foncier numéro 19.652 / GR, a été suivi de près par les observateurs. La décision du tribunal, annoncée par le quotidien Les Échos, met fin à une phase de suspense et clarifie la situation quant à la valorisation de l’immeuble en question.

Bougane Guèye Dani, patron de D Médias, a ainsi vu la valeur de son bien immobilier être déterminée par cette décision judiciaire. Cette affaire illustre les enjeux économiques et juridiques auxquels font face les entreprises et les personnalités publiques dans le contexte sénégalais.

La fixation du prix de l’immeuble de Bougane Guèye Dani à 1,1 milliard de francs CFA ouvre la voie à de potentielles transactions futures et apporte une certaine stabilité dans ce dossier qui a fait couler beaucoup d’encre ces derniers temps.

Démantèlement d’un réseau indien impliqué dans le trafic de manganèse sénégalais, préjudice estimé à 19 milliards FCFA

Dans une affaire révélée par Libération, un réseau indien opérant au Sénégal a été démantelé pour son implication présumée dans un trafic de manganèse. L’affaire a débuté lorsque la société « Gh mining suarl » a attribué un permis d’exploitation de petite mine de manganèse et de plomb à la région de Tambacounda à la société « Falcon ressources ». Cependant, « Gh mining suarl » accuse maintenant « Falcon ressources » d’avoir exporté clandestinement des milliers de tonnes de manganèse à l’étranger, estimant le préjudice à 19 milliards de FCFA.

L’accord initial entre les deux sociétés prévoyait que « Falcon ressources » se chargerait de l’extraction des produits miniers tandis que « Gh mining suarl » s’occuperait des formalités de déclaration, de transport et d’exportation. Cependant, selon les allégations de « Gh mining suarl », « Falcon ressources » aurait outrepassé ses prérogatives en exportant illégalement le manganèse, notamment vers le Mali.

Les détails de l’accord entre les deux sociétés révèlent une cession de parts sociales et des obligations financières, avec un paiement en nature basé sur les résultats de la production. Cependant, les termes de l’accord n’ont pas empêché les tensions et les accusations entre les deux parties.

L’enquête a révélé l’existence d’un dépôt secret à Cambérène, où une importante quantité de manganèse a été trouvée. Les enquêteurs ont également mis en lumière les manœuvres visant à dissimuler les activités illicites, avec des agents maritimes et des sociétés de transport impliqués dans le processus.

Deux ressortissants indiens, Shubhasish Samanta et Surajit Chandra, ont été déférés par la Division des investigations criminelles (Dic) pour leur implication présumée dans ces activités illicites, notamment pour détention illicite, transport illicite, détournement, vol et vente illicite de substances minérales.

Cette affaire met en lumière les défis persistants liés à la gestion des ressources naturelles au Sénégal et souligne l’importance d’une surveillance accrue pour prévenir le trafic illicite et l’exploitation abusive des richesses minérales du pays.

Des condamnations en série pour Air Sénégal : La compagnie nationale dans la tourmente

La compagnie aérienne nationale Air Sénégal fait face à une série de condamnations devant les tribunaux, ajoutant à ses récents déboires. Trois affaires ont été jugées ce 7 juin devant la Chambre du contentieux des sociétés commerciales, des ventes commerciales et des transports du tribunal de Commerce de Dakar, révèle Libération.

Dans l’une des affaires, Air Sénégal a été sommée de verser à la Sci El Ali la somme de 29.240.980 Fcfa en principal, en plus de 3.000.000 Fcfa à titre de dommages et intérêts pour résistance abusive. La compagnie a également été condamnée dans un litige l’opposant au cabinet A&A Strategy and Investment Advisory Sas. Une autre affaire impliquant Protec Suarl et la compagnie aérienne nationale a également été évoquée le même jour.

Ces récentes condamnations s’ajoutent aux critiques déjà formulées à l’égard d’Air Sénégal, notamment en ce qui concerne les incidents survenus lors des voyages de ses clients. La compagnie se retrouve ainsi au cœur d’une tempête judiciaire, mettant en lumière des défis croissants pour redorer son image et assurer une gestion efficace de ses opérations.

Passation de service à l’ADL : Diamé Signaté décline ses ambitions pour le développement local

Le 7 juin 2024, l’Agence de Développement Local (ADL) a accueilli son nouveau Directeur Général, Monsieur Diamé Signaté, lors d’une cérémonie sobre marquée par la présence de nombreux parents, amis et collaborateurs du nouveau DG.

Dans son discours, le porte-parole du personnel de l’ADL a salué les réalisations du DG sortant, mettant en avant l’augmentation significative du budget, des salaires, et la mise en place de nouveaux projets de développement local tels que les boulangeries mobiles, les champs du savoir, la digitalisation des territoires, et Promovillage.

M. Abdoulaye Ndao, Directeur sortant, a exprimé sa gratitude envers le personnel et a souhaité bonne chance à M. Signaté dans ses nouvelles fonctions, tout en encourageant le principe du « Dialogue de Gestion » aux DG présents.

Pour sa part, M. Diamé Signaté, Directeur entrant, a exposé sa vision du développement local, soulignant son caractère global et multidimensionnel, basé sur des logiques culturelles, économiques et sociales visant à améliorer le bien-être des sociétés. Sa démarche stratégique à la tête de l’ADL se veut globale, territoriale, transversale et prospective, en harmonie avec la vision territoriale du « PROJET ».

Cette passation de service marque un nouveau chapitre pour l’ADL, avec des ambitions élevées pour le développement local sous la direction de M. Diamé Signaté.

Adama Faye, le beau-frère du Président sénégalais, échappe à la prison une fois de plus

Adama Faye, le beau-frère du Président sortant du Sénégal, Macky Sall, a été libéré jeudi après que son frère Ibou Faye ait payé une caution de 105 millions F CFA pour garantir sa sortie de prison. Moins de 24 heures après son placement en garde à vue dans une affaire d’escroquerie foncière, il a été convoqué à nouveau à la Section de recherches (SR) pour une autre affaire dès le lendemain.

Selon Les Échos, Adama Faye était convoqué pour répondre à des accusations concernant la vente d’un terrain dont le véritable propriétaire était remis en question par l’acheteur. Face aux enquêteurs, il aurait présenté des preuves pour défendre sa position et écarter les accusations de malversations.

Malgré sa libération, Adama Faye reste sous la menace d’éventuelles nouvelles plaintes, comme le souligne le journal. La situation soulève des questions sur la transparence et l’intégrité dans les transactions foncières impliquant des personnalités influentes.

Blessure de Jackson : un coup dur pour l’équipe nationale

Le joueur étoile de l’équipe nationale de football, Jackson, a été contraint de se retirer du prochain match contre la Mauritanie en raison d’une blessure à la cheville. Cette nouvelle a créé un véritable choc parmi les supporters et l’encadrement de l’équipe. Jackson, connu pour sa rapidité et sa précision sur le terrain, est un élément clé de l’équipe et sa présence aurait été cruciale pour affronter une équipe aussi redoutable que la Mauritanie.

La blessure de Jackson survient à un moment critique de la saison, alors que l’équipe nationale se prépare pour un match crucial. Son absence laisse un vide important dans l’effectif, et l’entraîneur devra trouver une solution rapide pour combler ce manque. Les supporters espèrent que d’autres joueurs pourront se démarquer et prendre le relais en l’absence de Jackson.

La santé de Jackson est désormais la principale préoccupation de l’équipe médicale, qui travaille d’arrache-pied pour lui permettre de récupérer au plus vite. Toute la nation attend avec impatience des nouvelles de sa condition et espère le voir revenir sur le terrain dès que possible.

Malgré ce coup dur, l’équipe nationale reste déterminée à remporter la victoire contre la Mauritanie et à poursuivre sa quête pour atteindre ses objectifs. Les joueurs savent qu’ils devront redoubler d’efforts et jouer avec encore plus de détermination pour compenser l’absence de leur coéquipier vedette.

Le match contre la Mauritanie s’annonce donc plus difficile que jamais, mais l’équipe nationale est prête à relever le défi et à tout donner sur le terrain. Les supporters seront derrière eux, les encourageant à chaque instant, dans l’espoir de voir leur équipe triompher malgré l’absence de Jackson.

La Première Ministre Danoise Victime d’une Attaque à Copenhague

La Première Ministre danoise, Mette Frederiksen, a été attaquée par un homme vendredi soir alors qu’elle se trouvait sur la place Kultorvet à Copenhague. L’homme a été arrêté par la suite, selon les services de Mme Frederiksen.

L’incident a laissé la Première Ministre choquée, comme l’a déclaré un communiqué de ses services. Les détails exacts de l’attaque n’ont pas été immédiatement révélés.

Cet événement souligne la vulnérabilité des personnalités politiques face aux agressions, même dans des pays réputés pour leur sécurité comme le Danemark. Les motivations de l’agresseur restent à déterminer.

L’incident suscite des préoccupations quant à la sécurité des dirigeants politiques et à la nécessité de renforcer les mesures de protection pour eux, ainsi que pour le public en général.

Vol de bagages à bord de bus Sénégal Dem Dikk : Le journaliste Ignace Ndeye porte plainte contre la Direction générale

Ignace Ndeye, journaliste pour Sudfm, a vécu une mésaventure inoubliable lors d’un récent voyage à bord des bus Sénégal Dem Dikk. Alors qu’il se rendait à Ziguinchor, ses bagages ont mystérieusement disparu lors d’une pause à Kaolack. Un passager, ayant pris le bus depuis le point de départ à Liberté 5, s’est avéré être le voleur, emportant non seulement son propre sac mais aussi celui d’un autre passager.

Le sac de voyage d’Ignace Ndeye renfermait des documents cruciaux, ainsi qu’une somme d’argent importante, en plus d’autres effets personnels. Malgré la plainte déposée contre la Direction Générale de Dakar Dem Dikk, peu de progrès ont été réalisés pour identifier le voleur ou même retrouver les biens volés.

Cette affaire soulève des questions sur la sécurité et la responsabilité au sein de l’entreprise de transport. L’incident met en lumière des lacunes dans les procédures de contrôle et de surveillance, suscitant des inquiétudes quant à la protection des passagers et de leurs biens lors de leurs voyages.

Le cas d’Ignace Ndeye n’est malheureusement pas isolé, et il met en évidence la nécessité pour les autorités compétentes de prendre des mesures rigoureuses pour prévenir de tels incidents à l’avenir. En attendant, les voyageurs doivent rester vigilants et prendre des précautions supplémentaires pour protéger leurs biens lors de leurs déplacements en bus.

Le Sénégal se prépare à célébrer la fête de la Tabaski le lundi 17 juin 2024

Selon l’annonce de la Commission nationale de concertation sur le croissant lunaire (Conacoc), le Sénégal s’apprête à célébrer la fête de la Tabaski le lundi 17 juin 2024. Aussi connue sous le nom de l’Aïd al-Adha, cette fête revêt une grande importance pour la communauté musulmane sénégalaise, marquant la fin du pèlerinage annuel à La Mecque et commémorant le sacrifice d’Abraham.

La Tabaski est un moment de joie, de partage et de solidarité, où les familles se réunissent pour prier ensemble et partager des repas festifs. Traditionnellement, les fidèles sacrifient un mouton, en souvenir de l’acte d’Abraham, qui a été prêt à sacrifier son fils Ismaël sur l’ordre de Dieu. Une partie de la viande est ensuite offerte aux nécessiteux, renforçant ainsi les liens communautaires et l’esprit de générosité.

Les préparatifs pour la fête de la Tabaski commencent plusieurs jours à l’avance, avec les marchés bondés de moutons à vendre, les rues animées par les achats de vêtements neufs et les familles qui planifient leurs repas festifs. C’est un moment de grande effervescence dans tout le pays, où l’esprit de solidarité et de partage est particulièrement palpable.

En cette occasion joyeuse, le Sénégal se prépare à accueillir la fête de la Tabaski avec enthousiasme, dans le respect des traditions et des valeurs qui lui sont chères.

Mandat d’arrêt contre Macky Sall : Abdou Mbow répond au collectif des victimes de l’ancien régime

Abdou Mbow, président du groupe parlementaire de Benno Bokk Yakaar, a vivement réagi aux demandes du collectif des victimes de l’ancien régime qui réclament un mandat d’arrêt contre l’ancien Président Macky Sall. Pour lui, ces demandes visent simplement à détourner l’attention des Sénégalais des attentes envers le nouveau régime. Selon Mbow, le véritable défi pour le gouvernement actuel est de répondre aux aspirations du peuple sénégalais, plutôt que de s’engager dans des controverses politiques. Il a également critiqué la proposition de révoquer la loi d’amnistie, soulignant que celle-ci avait permis la réconciliation nationale et bénéficié à des personnalités actuellement au pouvoir. Mbow a appelé à plus de sérieux dans le débat politique et à se concentrer sur les défis du pays plutôt que sur des querelles politiques stériles.

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