Visite discrète du Premier Ministre à Touba: Échanges fraternels avec Serigne Mountakha Mbacké

Ce mardi matin, le Premier Ministre a effectué une visite matinale discrète à Touba, où il a été chaleureusement accueilli par Serigne Mountakha Mbacké, Khalife Général des Mourides, en présence du député Cheikh Thioro Mbacké.

La rencontre, qui s’est déroulée à huis-clos dans la résidence de Serigne Mountakha Mbacké au quartier Darou Tanzil, a été marquée par des échanges prolongés et cordiaux entre les deux leaders. Selon les informations rapportées par Seneweb, Ousmane Sonko, accompagné de plusieurs membres de son gouvernement, a partagé un petit-déjeuner avec le guide religieux, renforçant ainsi les liens traditionnels et respectueux entre l’État et la communauté mouride.

À cette occasion, Serigne Mountakha Mbacké a généreusement offert à son visiteur des symboles importants de la foi mouride, notamment un exemplaire du saint Coran, une natte de prière, un chapelet et des parfums, en signe d’estime et de bienveillance.

Cette visite revêt une signification particulière dans le contexte de la relation entre l’État sénégalais et la confrérie mouride, soulignant l’importance du dialogue et de la coopération mutuelle pour le développement harmonieux du pays.

La communauté mouride, qui joue un rôle central dans la vie économique, sociale et religieuse du Sénégal, continue de représenter un pilier essentiel dans la construction de la nation sénégalaise, en prônant des valeurs de paix, de solidarité et de progrès.

Cette rencontre entre le Premier Ministre et Serigne Mountakha Mbacké témoigne de l’engagement de l’État à maintenir des relations ouvertes et constructives avec toutes les composantes de la société sénégalaise, dans le respect des traditions et des croyances qui forgent l’identité nationale.

En conclusion, cette visite à Touba marque un moment de communion et de respect réciproque, consolidant ainsi les liens de confiance entre les autorités et la confrérie mouride, pour le bénéfice de tous les citoyens sénégalais.

Mansour Faye : Son engagement à ramener Macky Sall au pouvoir

Dans une récente interview accordée à L’Observateur, Mansour Faye, maire de Saint-Louis et ancien ministre des Infrastructures du Sénégal, a clairement exprimé son soutien indéfectible à Macky Sall, ancien président du pays. Son principal objectif politique est de voir Macky Sall revenir à la tête de l’État sénégalais.

Faye, membre de l’Alliance pour la République (APR), a déclaré : « Je suis derrière le Président Macky Sall et y demeurerai jusqu’à mon dernier souffle ». Il est convaincu que Macky Sall conserve la confiance du peuple sénégalais et affirme que son engagement quotidien est de faciliter son retour au pouvoir.

L’ancien ministre a souligné que son soutien à Macky Sall ne se limite pas à lui seul : « Mon travail tous les jours, c’est qu’il puisse revenir et je ne suis pas le seul ». Cette déclaration reflète son dévouement à la cause politique de l’ancien président et son engagement envers l’avenir politique du Sénégal sous la direction de Macky Sall.

Faye, qui a occupé des postes clés dans l’administration sénégalaise, y compris celui de ministre des Infrastructures, entend utiliser toute son énergie et ses ressources pour soutenir l’APR et ses objectifs politiques. Son rôle en tant que maire de Saint-Louis renforce son influence et son potentiel à mobiliser un soutien local en faveur de Macky Sall.

En conclusion, Mansour Faye se positionne comme un fervent défenseur de Macky Sall et de l’APR, mettant en avant son engagement personnel à travailler pour le retour de l’ancien président à la tête du Sénégal, arguant que celui-ci conserve une confiance populaire significative.

Changements à la section de recherches de Colobane : Le commandant Alexandre Diouf prend les rênes

La Section de Recherches de la gendarmerie de Colobane se prépare à accueillir un nouveau leader. Le Commandant Alexandre Diouf, précédemment à la tête de la compagnie de gendarmerie de Ziguinchor, a été nommé pour diriger cette unité stratégique, selon les informations rapportées par Seneweb.

Cette nomination marque un tournant pour la SR de Colobane, où le Lieutenant-Colonel Arona Sarr, l’ancien chef respecté, prendra dorénavant les fonctions de commandant de la légion de gendarmerie de Thiès. Ces changements interviennent dans le cadre des ajustements réguliers au sein des forces de sécurité, visant à renforcer l’efficacité opérationnelle et à dynamiser les performances dans diverses régions du pays.

Le Commandant Alexandre Diouf apporte avec lui une expérience notable dans la gestion des affaires sécuritaires, ayant fait ses preuves à Ziguinchor. Sa nomination est perçue comme une réponse stratégique aux défis croissants en matière de sécurité dans la région de Colobane, connue pour son rôle clé dans les enquêtes criminelles et la lutte contre la criminalité organisée.

Les attentes sont élevées pour le nouveau commandant, qui devra poursuivre le travail accompli par son prédécesseur et maintenir la réputation de la SR de Colobane en tant que pilier essentiel de la sécurité nationale.

En conclusion, cette transition marque non seulement un changement de leadership à la SR de Colobane, mais aussi un engagement renouvelé envers l’excellence opérationnelle et la sécurité publique dans la région.

Appréhension du présumé meurtrier d’Awa Cissé : Un soulagement pour la population de Kafountine

Les habitants de Kafountine respirent enfin un air de soulagement avec l’arrestation du présumé meurtrier d’Awa Cissé, victime tragique d’une série d’agressions dans la région. La nouvelle a été confirmée par les autorités, indiquant que l’homme en question a été appréhendé par la gendarmerie locale.

Selon les informations recueillies, l’individu a été arrêté par la section de recherches de Ziguinchor et a été interrogé ce lundi après-midi. Face aux enquêteurs, il aurait avoué sa culpabilité dans le meurtre d’Awa Cissé, une mère de trois enfants, survenu la nuit du 28 juin dernier à Kafountine, quartier Nafacounda.

La tragédie avait suscité une vague d’indignation parmi les habitants, confrontés à une série d’agressions nocturnes perpétrées par le même individu, avec un total de onze plaintes enregistrées par les autorités locales. La brigade de Diouloulou avait pris en charge ces plaintes, avant que la section de recherches de Ziguinchor ne prenne le relais pour identifier et capturer le suspect.

Actuellement en garde à vue à Ziguinchor, le présumé coupable sera bientôt présenté devant le parquet pour répondre de ses actes. Cette arrestation marque un pas décisif vers la justice pour les victimes et leurs familles, ainsi qu’un signe d’espoir pour la communauté de Kafountine, désormais tournée vers la résolution de cette série d’agressions.

Les autorités continuent leur travail pour assurer que toutes les victimes obtiennent justice, dans un climat où la sécurité et la tranquillité sont essentielles pour tous.

Assemblée Nationale : Bras de fer autour du règlement intérieur

Une semaine après le dépôt de deux propositions de loi visant à réformer le règlement intérieur de l’Assemblée nationale, aucune réaction officielle n’a encore été observée. Cette inertie législative survient malgré les tensions grandissantes entre le gouvernement et une partie de la majorité parlementaire.

Les propositions en question visent à rectifier une lacune dans le règlement intérieur actuel, crucial pour permettre au Premier Ministre de prononcer son discours de politique générale hors de l’hémicycle si les modifications ne sont pas effectuées d’ici le 15 juillet 2024. Cette date butoir a été posée comme ultimatum par le Premier Ministre lui-même, menaçant de sacrifier à la tradition républicaine en agissant ainsi.

Cependant, l’Assemblée nationale semble pour l’instant préférer un bras de fer obstiné avec le gouvernement, retardant toute révision du règlement intérieur malgré l’urgence perçue. Cette situation laisse entrevoir un conflit potentiellement prolongé entre le pouvoir exécutif et une fraction déterminée de la majorité parlementaire, jetant ainsi une ombre sur l’avenir des réformes législatives cruciales.

Les prochains jours seront décisifs pour déterminer si un compromis peut être trouvé ou si le conflit s’intensifiera davantage, compromettant ainsi la stabilité politique à un moment crucial pour le pays.

Joe Biden dénonce les frappes en Ukraine et annonce de nouvelles mesures pour renforcer la défense antiaérienne

Lundi dernier, le président américain Joe Biden a vivement condamné les récentes frappes en Ukraine, qui ont causé la mort d’au moins 36 personnes. Dans une déclaration poignante, Biden a qualifié ces événements de rappel atroce de la brutalité manifestée par la Russie dans le conflit en cours. Il a promis des actions décisives pour renforcer la défense antiaérienne de l’Ukraine, visant à protéger ses centres urbains et ses civils des attaques aériennes russes.

« Ensemble, avec nos alliés, nous allons annoncer de nouvelles mesures pour renforcer la défense antiaérienne de l’Ukraine afin d’aider à protéger ses villes et ses civils des frappes russes », a affirmé le président Biden. Ces mesures seront discutées dans le cadre d’un sommet crucial de l’OTAN prévu à Washington, où il rencontrera notamment le président ukrainien Volodymyr Zelensky à partir de mardi.

Cette déclaration survient dans un contexte de tensions exacerbées entre la Russie et l’Ukraine, marqué par une escalade des violences qui a alarmé la communauté internationale. Biden a également souligné l’engagement des États-Unis et de leurs partenaires européens à soutenir l’Ukraine face à l’agression russe, et à renforcer les capacités défensives du pays dans cette période critique.

Le sommet de l’OTAN s’annonce ainsi comme une plateforme cruciale pour coordonner les efforts internationaux visant à endiguer le conflit et à protéger la souveraineté de l’Ukraine, tout en cherchant des voies diplomatiques pour une résolution pacifique du conflit.

Affaire Famara Ibrahima Cissé : Nouveau rebondissement judiciaire

Demain, mardi, une nouvelle étape cruciale se profile pour Famara Ibrahima Cissé, président de l’Association des clients et sociétaires des institutions financières (Acsif). Convoqué au tribunal de grande instance de Dakar, M. Cissé fait face à des accusations persistantes d’abus de confiance. Cette affaire découle d’allégations portées par Pathé Mboup, directeur de la société « Mboubène Transport logistics », concernant une somme de deux millions de francs CFA.

Malgré une précédente libération sous caution après le versement de deux millions FCFA par sa famille au plaignant, le parquet a choisi de continuer la procédure judiciaire en invitant M. Cissé à se présenter devant le tribunal des flagrants délits.

L’Association des clients et sociétaires des institutions financières, dirigée par M. Cissé, est reconnue pour son rôle dans la défense des droits des consommateurs et des épargnants. Cette affaire, cependant, jette une ombre sur sa réputation et soulève des questions sur les accusations portées contre lui.

À suivre demain pour les développements de cette affaire qui suscite déjà beaucoup d’attention et d’interrogations dans les milieux judiciaires et au sein de l’opinion publique sénégalaise.

Dr. Youssou Ndour , nouveau Docteur Honoris Causa de l’Université Berklee Valencia

Aujourd’hui, le 08 juillet 2024, marque une nouvelle étape significative dans la carrière déjà illustre de Youssou Ndour, avec la prestigieuse reconnaissance de l’Université Berklee Valencia en Espagne. L’institution a décerné à [Votre Nom] le titre honorifique de Docteur Honoris Causa, rejoignant ainsi une liste impressionnante de distinctions telles que le Praemium Imperiale, qui célèbrent son influence musicale mondiale.

En acceptant cette distinction, Youssou Ndour a souligné l’importance de cette reconnaissance comme un rappel constant de persévérer dans son engagement envers la préservation de l’identité culturelle africaine et la promotion de la compréhension mondiale à travers la musique et les actions quotidiennes.

« Pour moi, chaque récompense est une incitation à continuer de plaider pour ces causes essentielles, » a déclaré Youssou Ndour, reflétant son dévouement à utiliser sa musique comme un moyen de connecter les cultures et d’inspirer un dialogue interculturel profond.

Au cours de sa carrière, [Votre Nom] a non seulement redéfini les frontières de la musique, mais a également été un défenseur passionné de la diversité culturelle et de l’inclusion. Cette dernière distinction de l’Université Berklee Valencia vient renforcer son impact durable sur la scène musicale mondiale et son engagement envers un monde plus harmonieux et inclusif.

Gabriel Attal maintenu à son poste de Premier ministre après les élections législatives : Emmanuel Macron opte pour la stabilité

Après la défaite du camp présidentiel aux élections législatives du 7 juillet, Gabriel Attal avait présenté sa démission à Emmanuel Macron, cherchant à assumer la responsabilité politique des résultats décevants. Cependant, dans une décision inattendue, le président de la République a refusé cette démission ce lundi matin, optant plutôt pour la continuité et la stabilité gouvernementale.

Reçu à l’Élysée à 11h15, Gabriel Attal s’attendait à voir son mandat de Premier ministre prendre fin. Au contraire, Emmanuel Macron a prolongé sa confiance en lui et lui a expressément demandé de continuer à diriger le gouvernement « pour le moment ». Cette décision vise à « assurer la stabilité du pays » dans une période post-électorale délicate.

La déclaration du président Macron intervient dans un contexte où la France fait face à des défis économiques et sociaux significatifs, amplifiés par les résultats électoraux qui ont redistribué les cartes à l’Assemblée nationale. En maintenant Gabriel Attal à son poste, Emmanuel Macron envoie un signal fort de continuité et de volonté de stabiliser la gouvernance du pays malgré les turbulences politiques récentes.

La réaction des principaux acteurs politiques est attendue dans les heures à venir, alors que la France s’engage dans une nouvelle phase de son paysage politique avec un gouvernement resserré autour de Gabriel Attal.

Effondrement tragique à Médina Baye : Un jeune travailleur perd la vie

Ce lundi matin, aux alentours de 10 heures, un incident dramatique a frappé Médina Baye. La dalle d’un bâtiment en cours de démolition s’est effondrée, coûtant la vie à un travailleur. La victime, un ressortissant Haoussa de moins de 30 ans, était activement engagée sur le chantier lors du drame.

Le corps sans vie a été rapidement transporté au centre hospitalier de Kaolack, tandis que les autorités locales ont ouvert une enquête pour déterminer les causes exactes de cet accident dévastateur. Les premières informations indiquent que l’effondrement soudain de la dalle a été à l’origine de ce tragique décès.

Les habitants de Médina Baye ainsi que la communauté environnante sont profondément attristés par cette perte regrettable. Des mesures de sécurité renforcées sont attendues dans la zone concernée, alors que les enquêteurs poursuivent leurs investigations pour assurer la justice et la sécurité des travailleurs dans de tels environnements à risque.

Nous suivrons de près l’évolution de cette affaire et fournirons de nouvelles informations dès qu’elles seront disponibles.

La CEDEAO face à la crise au Sahel : Médiation et Réformes en Vue

Lors du récent sommet de la CEDEAO à Abuja, le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a été désigné comme médiateur pour faciliter le dialogue entre la CEDEAO et les pays de l’Alliance des Etats Sahélo-Sahariens (AES), à savoir le Burkina Faso, le Mali et le Niger. Cette désignation intervient dans un contexte tendu marqué par le retrait annoncé de ces trois pays de la CEDEAO, une décision préoccupante pour l’intégration régionale et la stabilité au Sahel.

Dans son discours lors du sommet, le président Faye a souligné l’importance de maintenir l’ancrage du Sénégal au sein de la CEDEAO en tant que membre fondateur, tout en plaidant pour des réformes nécessaires pour adapter l’organisation aux défis contemporains. Il a critiqué les sanctions sévères envisagées par la CEDEAO, soulignant leur impact négatif sur les populations et appelant à une approche plus nuancée et à un dialogue constructif avec les régimes militaires en question.

Les sanctions potentielles incluraient des restrictions diplomatiques, des exigences de visas pour les déplacements régionaux, ainsi que des implications pour les entreprises et les institutions régionales opérant dans ces pays. La perte des infrastructures régionales de la CEDEAO dans ces pays pourrait également compromettre l’intégration et le développement régional.

La mission de Bassirou Diomaye Faye en tant que médiateur est cruciale pour éviter le retrait des pays de l’AES, ce qui serait préjudiciable à l’idéal panafricain et à la cohésion régionale. Sa tâche est complexe, nécessitant un équilibre délicat entre la préservation des intérêts de la CEDEAO et la reconnaissance des préoccupations souverainistes des pays concernés.

En conclusion, la situation au Sahel et les défis auxquels fait face la CEDEAO exigent des ajustements institutionnels et une diplomatie proactive pour maintenir l’unité régionale et promouvoir la stabilité dans l’ensemble de la région ouest-africaine.

Tragédie en Mer : Amadou Bâ appelle à des solutions durables pour dissuader la migration irrégulière

L’ancien Premier Ministre sénégalais, Amadou Bâ, exprime une profonde tristesse à la suite du drame survenu au large des côtes mauritaniennes, où 89 personnes ont perdu la vie en tentant de rejoindre l’Europe. Pour lui, cet événement douloureux met en lumière les dangers extrêmes de la migration irrégulière et les conditions inhumaines auxquelles sont confrontés ceux qui choisissent ce chemin désespéré.

Dans un message poignant, Amadou Bâ a souligné qu’il est impératif de créer des conditions de vie dignes, des opportunités économiques et des structures de soutien afin de dissuader les jeunes de se risquer dans de telles aventures périlleuses. Il a adressé ses condoléances et sa solidarité aux familles endeuillées, appelant à l’unité dans la peine et dans l’action pour transformer cette réalité sombre.

La pirogue, partie récemment de la frontière sénégalaise avec la Gambie, transportait 170 passagers au total. Malheureusement, seuls 9 ont survécu, parmi lesquels une fillette de 5 ans, mettant en évidence la gravité de la situation et l’urgence de solutions concrètes.

Amadou Bâ a conclu en invitant tous les acteurs concernés à coopérer dans la recherche de solutions durables pour prévenir de telles tragédies à l’avenir. Ce drame, selon lui, devrait servir de catalyseur pour des actions concertées visant à changer le cours de cette histoire tragique qui coûte trop de vies innocentes chaque année.

Grave accident près de Ngaye : Deux morts et plusieurs blessés

Hier soir, une tragédie a frappé la route entre Ngaye et Tivaouane lorsqu’un bus en direction de Keur Momar Sarr Wallo a été impliqué dans un accident grave. Le drame a débuté par une collision avec un 4×4, qui a entraîné la perte d’un pneu du bus, le projetant violemment contre un arbre.

Les conséquences ont été dévastatrices : deux personnes ont perdu la vie sur le coup, tandis que plusieurs autres passagers ont été grièvement blessés. L’évacuation des victimes vers l’hôpital de Tivaouane a été marquée par un nouvel incident lorsque l’ambulance transportant les blessés a été impliquée dans un choc secondaire. Ce tragique enchaînement d’événements a malheureusement conduit à des blessures supplémentaires, dont deux fractures pour un brancardier.

Les autorités locales et les équipes de secours ont immédiatement réagi sur les lieux, déployant des efforts intenses pour prendre en charge les victimes et coordonner les opérations de sauvetage. Les détails exacts de l’accident et les causes précises sont actuellement en cours d’enquête, alors que la communauté locale exprime sa profonde tristesse face à cette terrible perte de vies et aux blessures infligées.

Cette tragédie rappelle l’importance de la sécurité routière et de la vigilance constante au volant. Nos pensées vont aux familles et aux proches des victimes, ainsi qu’aux blessés qui luttent actuellement pour leur rétablissement à l’hôpital.

Révision du code pénal et du code de la famille : les propositions des assises confrontées à l’opposition des acteurs religieux

Les conclusions des Assises nationales récemment transmises au chef de l’État ont suscité un débat animé autour de la réforme du Code pénal et du Code de la famille au Sénégal. Parmi les principales recommandations, les participants ont exigé une révision significative de plusieurs articles jugés obsolètes ou non conformes aux normes internationales.

Un des points de friction concerne l’article 305 du Code pénal, qui traite de l’avortement. Les propositions visent à aligner cette disposition sur les standards du Protocole de Maputo, permettant ainsi l’avortement médicalisé dans les cas de viol ou d’inceste suivis de grossesse. Cette initiative vise à répondre aux normes internationales, bien que des résistances soient observées de la part de certains groupes religieux.

Un autre sujet sensible est l’article 300 du Code pénal, qui concerne les relations sexuelles impliquant des mineurs de moins de 13 ans dans le cadre du mariage coutumier. Les débats ont porté sur l’ajustement de cet article pour refléter l’âge de la majorité sexuelle à 18 ans, conforme aux conventions internationales ratifiées par le Sénégal. Cette proposition n’a cependant pas trouvé de consensus favorable auprès des représentants religieux.

En parallèle, les Assises ont également recommandé des modifications au Code de la famille, notamment pour faciliter la procédure de divorce en l’absence de certificat de mariage, en acceptant des attestations de mosquée ou des actes de l’Église comme preuves valables. Cette mesure cherche à simplifier l’accès à la justice dans les affaires familiales, mais elle est également sujette à des désaccords.

En conclusion, bien que les propositions des Assises visent à moderniser le cadre juridique sénégalais et à le rendre conforme aux normes internationales, les divergences persistantes avec les acteurs religieux posent un défi significatif à leur adoption. L’issue de ces débats influencera directement la direction future des réformes législatives dans le pays.

La Loterie Nationale Sénégalaise clarifie la fin de contrats de prestation : Aucun licenciement selon la direction

La Loterie Nationale Sénégalaise (LONASE) a récemment fait face à des allégations de licenciement massif par certains médias, qu’elle tient à rectifier fermement. Dans un communiqué adressé à Seneweb, la direction générale a spécifié que les départs en question ne sont pas des licenciements, mais plutôt la conclusion naturelle de contrats de prestation.

Selon le communiqué, 173 prestataires arrivant à la fin de leurs contrats verront ceux-ci non renouvelés à la fin de juillet. Cette décision, conforme aux dispositions légales et aux conventions collectives en vigueur, s’inscrit dans une stratégie de rationalisation des effectifs et de gestion efficiente des ressources humaines, comme l’a souligné Toussaint Manga, directeur général de la LONASE. Il a insisté sur le respect scrupuleux des procédures légales tout au long du processus, assurant qu’aucun droit n’a été enfreint.

Reconnaissant les défis que cette décision peut engendrer pour les personnes concernées, la LONASE a exprimé sa volonté de répondre aux exigences du contexte actuel, affirmant son engagement continu envers le développement national à travers des initiatives sociétales, notamment dans le domaine du sport.

Cette clarification vise à dissiper toute confusion entourant la récente annonce, réaffirmant la transparence de la LONASE dans sa gestion des ressources humaines et son respect des lois en vigueur.

Emmanuel Macron retient Gabriel Attal à Matignon pour assurer la stabilité après la défaite du camp présidentiel

Le président français Emmanuel Macron a pris une décision stratégique en demandant à son Premier ministre Gabriel Attal de rester en fonction malgré sa démission annoncée. Cette décision vise à maintenir la stabilité du pays après les résultats décevants du camp présidentiel lors des élections législatives récentes.

Lundi midi, le palais présidentiel a confirmé qu’Emmanuel Macron avait demandé à Gabriel Attal de prolonger son mandat « pour le moment afin d’assurer la stabilité du pays ». Cette requête intervient après que l’union des partis de gauche ait remporté une victoire significative lors du second tour des élections législatives anticipées, reléguant le camp présidentiel ainsi que l’extrême droite.

Gabriel Attal, réélu dans la 10e circonscription des Hauts-de-Seine, avait initialement annoncé sa démission dimanche soir, exprimant toutefois sa volonté de continuer « aussi longtemps que le devoir l’exigera ». Son maintien en poste semble marquer une tentative de stabilisation au sein du gouvernement, en réponse aux défis politiques actuels.

La présidence a souligné l’appréciation d’Emmanuel Macron pour le travail de Gabriel Attal lors des récentes campagnes électorales, notamment aux élections européennes et législatives.

Les tensions politiques sont palpables avec la gauche qui exerce déjà une pression sur Matignon. Marine Tondelier, cheffe des écologistes, a appelé Macron à solliciter un nom de Premier ministre de la gauche. De son côté, Olivier Faure du parti socialiste a annoncé que le Nouveau front populaire proposerait un candidat pour le poste de Premier ministre cette semaine, suggérant un processus soit de consensus soit de vote.

Dans ce contexte, les choix stratégiques futurs du président Macron et les évolutions au sein de son gouvernement seront scrutés de près alors que la nouvelle législature s’apprête à débuter avec l’ouverture de l’assemblée prévue cet après-midi à 14 heures.

Les prochaines semaines s’annoncent cruciales pour déterminer l’orientation politique et le leadership au sein de l’exécutif français, alors que les différents courants politiques cherchent à s’affirmer dans un paysage post-électoral en mutation.

Accident tragique à Allou Kagne : Un car « Ndiaga-Ndiaye » impliqué, bilan dévastateur

Hier soir, une tragédie a frappé la localité d’Allou Kagne lorsqu’un car « Ndiaga-Ndiaye » a été impliqué dans un accident dévastateur. Selon les derniers rapports officiels, l’incident a causé la perte tragique d’une vie humaine, avec 25 victimes au total. Parmi celles-ci, 8 personnes sont grièvement blessées et 16 autres ont subi des blessures légères.

L’accident s’est produit après que l’une des lames arrières du véhicule se soit brusquement détachée alors qu’il circulait sur la route principale. Cette perte soudaine d’équilibre a entraîné le car dans une dérive incontrôlable, culminant avec sa chute spectaculaire dans un ravin voisin.

Les autorités locales et les secouristes ont immédiatement répondu à l’urgence, mobilisant des efforts considérables pour évacuer et soigner les blessés. Les survivants ont été transportés d’urgence vers les établissements de santé les plus proches pour recevoir des traitements appropriés.

À mesure que les détails émergent et que l’enquête progresse, des questions sur la sécurité et l’entretien des véhicules routiers sont susceptibles d’être soulevées. Les habitants d’Allou Kagne et des environs sont profondément choqués par cet événement tragique, qui rappelle la fragilité de la vie humaine face aux accidents routiers.

Les prochaines heures seront cruciales pour déterminer les causes exactes de cet incident et pour prendre les mesures nécessaires afin d’éviter que de telles tragédies ne se reproduisent à l’avenir.

Ousmane Sonko secours aux victimes d’accident à Kelle Guèye

Le Premier ministre, Ousmane Sonko, a été témoin d’un accident tragique survenu samedi dernier à Kelle Guèye, alors qu’il revenait d’une visite à Saint-Louis. Un bus en provenance de Louga a dérapé et s’est renversé, causant des blessures à dix personnes, dont deux grièvement.

Selon le quotidien Les Échos, qui rapporte les détails dans son édition du lundi 8 juillet, Ousmane Sonko a immédiatement réagi en descendant de son véhicule pour apporter son aide. Il s’est rendu sur les lieux de l’accident, où il a pris des nouvelles des blessés et inspecté les dégâts à bord du bus. Le Premier ministre a également échangé avec le chauffeur impliqué dans l’incident.

Les blessés ont été pris en charge par les sapeurs-pompiers et évacués vers l’hôpital Sakhir Diéguène de Louga pour recevoir les soins nécessaires. L’accident a suscité une mobilisation rapide des secours et une intervention immédiate des autorités locales et des services médicaux.

Cette réaction proactive d’Ousmane Sonko souligne l’importance de la gestion efficace des situations d’urgence et de l’engagement personnel envers le bien-être des citoyens.

Victoire du Nouveau Front Populaire à Dakar : Une réaffirmation de la politique de barrage contre l’extrême droite

Lors des récentes élections législatives anticipées dans la 9e circonscription de Dakar, le Nouveau Front Populaire a émergé victorieux, consolidant ainsi son rôle central dans la scène politique locale. Avec un impressionnant taux de soutien de plus de 74% des suffrages exprimés, Karim Ben Cheikh a maintenu sa position dominante, confirmant la tendance amorcée dès le premier tour.

Au premier tour, l’Union de la Gauche avait déjà affirmé sa prépondérance avec 53,22% des voix, tandis que le mouvement Ensemble avait obtenu un peu plus de 15%. Cette avance s’est non seulement maintenue, mais s’est renforcée au second tour, reléguant la majorité présidentielle à une position secondaire avec seulement 25,47% des voix.

Ce résultat marque non seulement une victoire électorale significative pour le Nouveau Front Populaire, mais aussi un rejet clair des politiques représentées par l’extrême droite, symbolisée ici par le Rassemblement National. La 9e circonscription de Dakar illustre ainsi la volonté affirmée des électeurs de faire barrage à l’extrémisme, préférant une voie politique ancrée dans les valeurs de la gauche unie.

À l’échelle nationale, ce scrutin contribue à une Assemblée nationale française sans majorité claire, soulignant les défis à venir en termes de gouvernance et de coalition politique. Néanmoins, une chose demeure certaine : le Rassemblement National ne gouvernera pas, confortant ainsi la position du Nouveau Front Populaire en tant que force politique émergente et influente.

En conclusion, la victoire du Nouveau Front Populaire à Dakar est bien plus qu’un simple succès électoral ; c’est un témoignage de la résilience de la coalition de gauche et de sa capacité à mobiliser un large soutien populaire face aux défis politiques contemporains.

Assainissement au Sénégal : Entre promesses et réalités

Lors de sa récente visite à l’occasion de la deuxième journée « Settal Sunu Reew », le Premier ministre a mis en lumière les déficiences persistantes dans le domaine de l’assainissement, notamment dans des quartiers comme Pikine. Ousmane Sonko a vivement interpellé les autorités sur la nécessité d’accélérer les efforts, pointant du doigt un projet évalué à 60 milliards destiné à assainir plusieurs localités, mais dont la réalisation suscite des interrogations sous l’actuel régime.

En réponse, le maire Mansour Faye a défendu son bilan, rappelant que le programme d’assainissement des dix villes avait été initié par le président Macky Sall en 2017 à Louga. Malgré l’achèvement des travaux dans certaines régions, des problèmes persistent à Saint-Louis et particulièrement à Pikine. Mansour Faye a exprimé sa volonté de voir ces chantiers aboutir pour améliorer les conditions de vie des populations affectées par leur arrêt prolongé.

« L’État a tous les moyens nécessaires pour mener les audits requis », a souligné Mansour Faye, faisant référence aux mécanismes de contrôle comme l’Inspection générale d’État (Ige) et la Cour des comptes, se disant prêt à coopérer pleinement pour garantir la transparence de sa gestion.

Par ailleurs, Mansour Faye a vigoureusement nié toute irrégularité dans la gestion des fonds alloués à la lutte contre la Covid-19 et à l’assainissement, rejetant toutes les accusations portées contre lui.

Alors que les débats sur la transparence et l’efficacité des projets d’assainissement au Sénégal continuent de faire rage, la question demeure : les promesses gouvernementales se traduiront-elles par des améliorations tangibles dans la vie quotidienne des citoyens de Pikine et d’ailleurs ?

Demba Diop alias Diop Sy condamné à payer plus d’un milliard de francs CFA

Le tribunal de Dakar a rendu son verdict dans l’affaire opposant Demba Diop, également connu sous le nom de Diop Sy, à « Abdou Samba Sy et consort ». Le député et maire de Tivaouane a été reconnu coupable de destruction de biens appartenant à autrui, et condamné à verser la somme de 1 milliard 93 millions 634 mille 155 francs CFA, selon les informations divulguées par Libération dans son édition du lundi 8 juillet.

L’affaire, qui a pris place devant les tribunaux, a vu les demandeurs, « Abdou Samba Sy et consort », partiellement satisfaits de leur requête, ayant été déboutés du surplus de leur demande. Bien que les détails précis du différend n’aient pas été explicitement mentionnés par Libération, il est signalé que le tribunal a exonéré l’État du Sénégal et la commune de Sangalkam, qui étaient également parties poursuivies dans cette affaire.

Cette décision judiciaire marque une étape significative dans le litige opposant Demba Diop à ses accusateurs, avec des implications potentielles importantes pour toutes les parties concernées.

Vent de changement à la Gendarmerie nationale du Sénégal : Nouvelles têtes et mutations attendues

Selon des informations exclusives obtenues par Dakaractu, un remaniement significatif est prévu dans les prochains jours au sein de la Gendarmerie Nationale du Sénégal. Cette réorganisation fait suite à la nomination du nouveau Haut Commandant de la Gendarmerie Nationale et Directeur de la Justice Militaire, le Général Martin Faye.

Le changement de leadership à ce niveau stratégique signifie que de nouvelles figures occuperont des postes clés, de Dakar à Ziguinchor, en passant par Saint-Louis et Tamba, parmi d’autres régions. Cette initiative vise à insuffler un vent de renouveau et de dynamisme, aligné avec les directives du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, pour renforcer l’efficacité et la performance de l’institution.

Une source proche du dossier indique que le chef du commandement de la Gendarmerie à Dakar verra l’arrivée d’un nouveau patron, tandis que des mutations profondes sont également prévues dans les autres commandements de légion de l’État-Major. Ces ajustements sont destinés à optimiser les opérations et à répondre de manière proactive aux défis sécuritaires actuels et futurs du pays.

Ce remaniement représente un tournant stratégique pour la Gendarmerie Nationale du Sénégal, marquant un engagement fort envers l’amélioration continue et l’adaptation aux besoins évolutifs de sécurité nationale. Les détails spécifiques des nouvelles nominations et des mutations seront annoncés dans les jours à venir, reflétant ainsi un effort concerté pour consolider et moderniser l’institution gendarmique.

Mélenchon appelle au changement après les élections législatives : rejette les négociations avec le parti présidentiel

À l’issue du second tour des élections législatives dimanche, Jean-Luc Mélenchon a lancé un appel vibrant en faveur du changement politique. Le leader de La France Insoumise a exhorté le Premier ministre Gabriel Attal à démissionner, affirmant que le président Emmanuel Macron porte désormais la responsabilité d’inviter un nouveau gouvernement de « Front populaire ».

« Notre peuple a clairement rejeté le pire des scénarios », a déclaré Mélenchon, soulignant qu’aucune forme de manœuvre ou de compromis ne serait acceptable. Il a catégoriquement refusé d’engager des négociations avec le parti au pouvoir, marquant une position ferme contre toute alliance potentielle.

Les résultats des élections législatives ont posé les bases d’une réorientation des dynamiques politiques en France, Mélenchon se positionnant en tête de l’opposition à l’administration actuelle. Alors que les appels au changement résonnent à travers le spectre politique, le chemin à suivre promet d’être tumultueux alors que des visions concurrentes de la gouvernance s’affrontent à la suite de ce moment électoral décisif.

Accident tragique à Allou Kagne : Un véhicule en provenance de Thiès se renverse, faisant un mort et plusieurs blessés graves

Dans un incident dévastateur survenu aujourd’hui à Allou Kagne, un véhicule de type « ndiaga-ndiaye » en provenance de Thiès a tragiquement fait une embardée, se précipitant dans un ravin après avoir mal négocié un virage. Les premiers rapports indiquent qu’au moins une personne a perdu la vie dans l’accident, tandis que plusieurs autres ont été grièvement blessées, parmi lesquelles des femmes.

Le bilan actuel reste provisoire, et les autorités locales ainsi que les services médicaux continuent de travailler sur place pour évaluer l’étendue des dommages et fournir une assistance médicale urgente aux blessés. Des informations supplémentaires sur les circonstances exactes de l’accident et sur l’identité des victimes seront communiquées dès qu’elles seront disponibles.

Nous suivons de près l’évolution de la situation et fournirons des mises à jour au fur et à mesure que de nouvelles informations seront disponibles.

Adama Bèye et Zeyna Ndour scellent leur union lors d’une belle cérémonie

Adama Bèye, PDG du Groupe AB Corporation, et Zeyna Ndour, fille de Bouba Ndour, directeur des programmes au Groupe Futurs Médias (GFM), ont échangé leurs vœux ce dimanche 7 juillet 2024 à la mosquée de Fann Résidence, près du Ministère de la Santé, à 16h30. La cérémonie sacrée scellant leur union s’est déroulée en présence de leurs proches.

Le couple était entouré de leur famille et de leurs amis alors qu’ils célébraient leur jour spécial dans un cadre empreint d’amour et de joie. À la suite de la cérémonie, les félicitations sont reçues au Boulevard de la République, angle Corniche, où une réception est organisée pour honorer les nouveaux mariés.

Adama Bèye, reconnu pour son leadership au sein du Groupe AB Corporation, et Zeyna Ndour, respectée pour ses contributions au GFM, ont entamé ce nouveau chapitre de leur vie ensemble, marquant le début d’un voyage prometteur en tant qu’époux et épouse.

Fortes pluies au Sénégal : Le Ministre de l’hydraulique et de l’assainissement, Dr Cheikh Tidiane Dieye, en mission à Kaolack

L’hivernage s’est fermement installé au Sénégal, marqué par des précipitations intenses qui ont récemment touché plusieurs régions du pays. La ville de Kaolack, dans la région du Saloum, a particulièrement souffert des effets de ces pluies torrentielles au cours des dernières 24 heures. Dr Cheikh Tidiane Dieye, ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, s’est rendu en urgence sur place pour évaluer les dégâts et coordonner les efforts de secours.

« J’étais ce matin en route vers le Lac de Guiers où je devais effectuer des visites avec les services techniques du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement. Après l’étape du barrage de Diama, j’ai décidé de changer de route pour me rendre à Kaolack. La forte pluie qui s’est abattue sur Kaolack a créé des difficultés dans plusieurs quartiers », a déclaré le ministre, soulignant l’ampleur des défis rencontrés par la population locale.

Le ministre Dieye a également annoncé son intention d’évaluer de près la situation sur le terrain et de renforcer les mesures d’assistance en collaboration étroite avec la mairie et les autorités administratives locales. Cette initiative vise à répondre aux besoins urgents des communautés affectées et à prévenir de futures crises liées aux conditions météorologiques extrêmes.

Les pluies saisonnières, bien que cruciales pour l’agriculture et les réserves d’eau, peuvent entraîner des défis importants en matière d’infrastructures et de sécurité publique. Le gouvernement sénégalais, par le biais du ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement, s’engage à assurer une réponse efficace et rapide face aux situations d’urgence causées par les intempéries.

En cette période critique, la solidarité nationale et la coopération entre les différents niveaux de gouvernement sont essentielles pour atténuer les impacts des catastrophes naturelles et protéger les communautés vulnérables.

Intempéries à Dakar : Les pluies perturbent les transports et la circulation

Depuis ce matin, la capitale sénégalaise, Dakar, est confrontée à des conditions météorologiques difficiles alors que de fortes pluies s’abattent sur la région. Vers 10 heures, plusieurs quartiers de la banlieue tels que Rufisque, Keur Massar, Tivaouane Peul, et Malika ont été les premiers touchés par les averses. Par la suite, aux alentours de midi, les localités d’Ouest-Foire, Yoff, Almadies ainsi que le centre-ville ont également été affectées, entraînant des perturbations majeures dans les transports et la circulation urbaine.

Les Bus Rapid Transit (BRT), une composante essentielle du réseau de transport urbain, ont été sévèrement impactés par les conditions météorologiques adverses. Des passagers ont rapporté que les bus étaient à l’arrêt en raison des importantes accumulations d’eau sur les voies, notamment sur l’avenue Hyacinthe Thiandoum à Grand Yoff et l’avenue Bourguiba en direction de la station Castors, rendant ces routes quasiment impraticables.

Les témoignages recueillis à Ouest-Foire et dans les quartiers comme Castors confirment un tableau similaire : des rues inondées perturbant la mobilité des résidents et des véhicules. La gestion de cette situation d’urgence est cruciale alors que les autorités locales s’efforcent de minimiser les impacts sur la vie quotidienne des citoyens.

Les habitants sont invités à la prudence et à éviter les déplacements non essentiels jusqu’à ce que les conditions météorologiques s’améliorent. Les équipes de secours sont mobilisées pour répondre aux urgences éventuelles causées par ces intempéries. Les prévisions météorologiques indiquent que les pluies pourraient se prolonger dans les prochaines heures, nécessitant une vigilance continue de la part de tous les résidents de Dakar.

En conclusion, ces précipitations abondantes soulignent l’importance de l’infrastructure urbaine résiliente face aux aléas climatiques et appellent à une réponse coordonnée pour atténuer les impacts sur la vie quotidienne et les infrastructures essentielles de la capitale sénégalaise.

Inondations à Kaolack : Les effets dévastateurs de l’hivernage

Les récentes pluies torrentielles qui se sont abattues sur la ville de Kaolack ont engendré d’importants dégâts matériels et des situations de crise pour de nombreux résidents. Tôt ce dimanche matin, Mbossé Coumba Djiguèn et plusieurs quartiers environnants ont été durement touchés par des inondations, laissant les habitants dans une situation précaire.

De Parcelles Assainies à Sara Ndiougary, en passant par Ndar Gou Ndaw et les Abattoirs Ndangane, les effets des eaux de pluie se sont fait sentir à travers toute la commune. Des résidences ont été submergées, certaines jusqu’à ce que l’eau pénètre dans les chambres, créant des conditions difficiles et souvent dangereuses pour les habitants.

Une des principales raisons avancées pour ces inondations est l’incapacité du canal de Médina Mbaba à drainer efficacement les eaux pluviales. La combinaison des eaux de pluie avec les eaux usées a exacerbé la situation, créant un cocktail destructeur qui a affecté de nombreux quartiers de la ville.

Les habitants affectés, comme ceux de Koutal Malick Ndiaye dans la commune de Ndiaffat, appellent désespérément les autorités étatiques à intervenir rapidement. Ils réclament un programme de canalisation urgent afin de prévenir de futures catastrophes similaires. Pour eux, l’heure est à l’action pour protéger les vies et les biens des résidents de Kaolack.

En réponse à cette crise, les autorités locales devront travailler de concert avec les communautés affectées pour développer des solutions durables. Cela pourrait inclure des mesures d’infrastructure améliorées, telles que la rénovation et l’extension des systèmes de drainage, ainsi que des programmes éducatifs pour sensibiliser les résidents aux pratiques de gestion des eaux pluviales.

Alors que la saison des pluies continue de sévir, il est impératif que des mesures concrètes soient prises rapidement pour atténuer les effets des inondations à Kaolack. La coordination efficace entre les autorités locales, les résidents et les organisations civiles sera cruciale pour assurer la résilience de la ville face aux défis futurs posés par l’hivernage.

En conclusion, la situation actuelle à Kaolack souligne l’urgence d’une planification urbaine proactive et de l’investissement dans des infrastructures robustes pour faire face aux impacts croissants du changement climatique.

Appel du Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko aux jeunes : « Votre avenir ne se trouve pas dans les pirogues »

Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a lancé un appel émouvant aux jeunes de son pays, les exhortant à ne pas risquer leur vie en empruntant la périlleuse route de l’Atlantique vers l’Europe. Son appel survient après le récent naufrage tragique d’un bateau transportant des migrants au large de la Mauritanie, qui a coûté la vie à près de 90 personnes.

Lors d’un discours à l’université Gaston Berger de Saint Louis, diffusé sur sa page Facebook, M. Sonko a exprimé sa consternation face à cette nouvelle tragédie et a souligné que « votre solution ne se trouve pas dans les pirogues ». Il a insisté sur le fait que les jeunes africains doivent trouver des opportunités en Afrique même, malgré les difficultés économiques.

Le Premier ministre a également critiqué les conditions précaires et les dangers inhérents à cette route migratoire, où les migrants voyagent souvent sur des bateaux surchargés et parfois non adaptés à la navigation en haute mer. « La route de l’Atlantique est particulièrement dangereuse en raison de ses forts courants et du manque d’eau potable à bord des embarcations », a-t-il expliqué.

M. Sonko a également mis en garde contre l’illusion d’une vie meilleure en Europe, soulignant que de nombreux pays européens font face à leurs propres défis économiques et sociaux. « Les pays que certains jeunes veulent rejoindre sont eux-mêmes en crise ou en début de crise », a-t-il affirmé.

Enfin, le Premier ministre a appelé la jeunesse africaine à croire en l’avenir de leur continent. « L’avenir du monde est en Afrique », a-t-il déclaré, insistant sur le potentiel de croissance et de développement que l’Afrique représente.

Cette intervention intervient dans un contexte où de plus en plus de jeunes africains tentent la traversée vers l’Europe, malgré les risques élevés de naufrage et les pertes humaines tragiques qui en découlent. Selon l’ONG espagnole Caminando Fronteras, plus de 5.000 personnes sont décédées en tentant de rejoindre l’Espagne par la mer au cours des cinq premiers mois de l’année, marquant ainsi un sombre record.

En conclusion, le message fort de M. Sonko résonne comme un appel à la responsabilité et à la prise de conscience collective pour trouver des solutions durables aux défis auxquels sont confrontés les jeunes africains, tout en les encourageant à explorer les opportunités disponibles sur leur propre continent.

La Nouvelle Lune Marque le Début du Mois de Mouharam

Aujourd’hui, samedi, la Commission Nationale de concertation sur le Croissant Lunaire s’est réunie pour observer attentivement le ciel. Réunissant des rapports de ses représentants à travers le pays et en concertation avec les leaders religieux, la Commission a conclu que le croissant lunaire n’a été aperçu dans aucune localité nationale.

En conséquence, la Commission annonce que le lundi 08 juillet marquera le premier jour du mois lunaire de Mouharam. Cette déclaration est cruciale pour la communauté musulmane, car elle fixe également la date de la célébration de la Tamxarit, prévue pour la nuit du mardi 16 juillet 2024.

Le mois de Mouharam est un temps de réflexion et de respect dans la tradition musulmane, marqué par des pratiques de piété et de commémoration. La décision de la Commission est le résultat d’une évaluation méticuleuse et d’une coordination étroite avec les observateurs locaux et les autorités religieuses, visant à assurer l’exactitude du calendrier lunaire pour l’ensemble de la nation.

Les membres de la Commission Nationale de concertation sur le Croissant Lunaire ont exprimé leur gratitude envers tous ceux qui ont contribué aux observations et ont appelé à l’unité et à la fraternité parmi tous les fidèles pour ce début de nouveau cycle lunaire.

Serigne Modou Kara Mbacké promet des révélations imminentes : « J’ai beaucoup de choses à dire dans ce pays! »

Hier, lors de la cérémonie de présentation de l’ouvrage « Phénoménal Général Kara », Serigne Modou Kara Mbacké a captivé l’audience avec une déclaration énigmatique : « J’ai beaucoup de choses à dire dans ce pays! » Le président du Parti de la vérité et du développement (PVD) a suscité l’anticipation en promettant des révélations sur l’actualité nationale dans les jours à venir.

Accompagné de son épouse, auteure de l’ouvrage célébré, et entouré d’invités attentifs, Cheikh Modou Kara a déclaré que trente minutes ne suffisaient pas à aborder tous les sujets qui lui tiennent à cœur. Ainsi, il a choisi de prendre date pour une conférence de presse prochaine où il prévoit de livrer ses perspectives sur les développements récents.

La communauté politique et médiatique est en effervescence suite à cette annonce. Connu pour ses prises de position marquantes et son influence dans les cercles politiques et religieux, Serigne Modou Kara Mbacké semble prêt à partager des analyses et des commentaires qui pourraient potentiellement redéfinir le débat public.

En attendant cette conférence de presse très attendue, les observateurs spéculent sur les sujets que le leader politique abordera et l’impact potentiel de ses déclarations sur la scène nationale. Restez à l’écoute pour plus de détails alors que Serigne Modou Kara Mbacké s’apprête à faire entendre sa voix de manière spectaculaire dans les jours à venir.

3 ème Camp de codage : L’ONU femmes sénégal forme 25 femmes aux métiers du numérique…

L’ONU Femmes, en collaboration avec le Groupe Polaris Asso et grâce au soutien crucial des ministères de la famille et de la solidarité, ministère de l’enseignement supérieur, et le ministère de la communication et du Numérique a organisé le troisième camp de codage de l’initiative African Girl Can Code, donc 25 seront formé pour une durée de 10 jours. Le camp, qui a rassemblé 25 de jeunes filles, et femmes s’est déroulé à Dakar et va permettre aux participantes d’acquérir des compétences en technologies de l’information.

Selon Mme Dieynaba Sow, l’Initiative AGCCI a été commandée par ONU Femmes, la Commission de l’Union africaine (CUA) et l’Union internationale des télécommunications (UIT). L’objectif est de former et d’habiliter un minimum de 2000 filles âgées de 17 à 25 ans, à travers l’Afrique, à devenir des programmeuses, des créatrices et des conceptrices informatiques, les mettant sur la bonne voie pour entreprendre des études et poursuivre des carrières dans l’information, la communication et la technologie (TIC), les secteurs de l’éducation et du codage. L’initiative a deux stratégies clés, à savoir : les camps de codage et l’intégration des TIC, du codage et du genre dans les programmes scolaires nationaux. En outre, elle encourage la mise en œuvre de campagnes médiatiques nationales impliquant des modèles et utilise une plate-forme en ligne qui sera hébergée sur l’Académie de l’UIT avec des capacités et des fonctionnalités améliorées pour soutenir la mise en réseau entre les filles, les formateurs et parrains. L’initiative est déployée dans 11 pays prioritaires (Burundi, RDC, Kenya, Mali, Mozambique, Niger, Rwanda, Sénégal, Afrique du Sud, Ouganda et Tanzanie).

 » Nous en sommes à la troisième édition ; en mai 2023 à l’Espace Numérique Ouvert, de l’Université Cheikh Amidou Kane avec une cohorte de 50 filles, en décembre 2024 ici même avec encore 50 filles ; avec 25 pour la clôture de la phase 2 au Sénégal. Avec l’appui de Polaris Asso et l’accompagnement des ministères partenaires du projet (Ministère de de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, le ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, ministère de la Famille et des solidarités) et de l’AUF. La culture digitale des jeunes filles de 100 jeunes fille a été améliorée afin de réduire les inégalités entre les garçons et les filles concernant l’accès aux technologies. Elles ont été considérablement renforcées sur la base de cours et d’exercices de groupe participatifs et se sont enrichies avec le partage d’expériences de brillantes personnes ressources qui évoluent dans la thématique pour partager leur vécu, leur montrer la voie et renforcer leur confiance en soi. Elles ont été aussi dotées d’ordinateurs portables. L’objectif est d’avoir les mêmes résultats que les deux premiers camps, et même d’optimiser les performances… » a déclaré Mme Dieynaba Sow, avant d’ajouter que la disparité entre les femmes et les hommes, et entre les filles et les garçons en ce qui concerne l’adoption du numérique et les possibilités d’accès, d’utilisation et de bénéfice de la technologie y relative restent un obstacle majeur à une participation égale dans la conception et la gouvernance de la technologie. Les femmes et les filles restent sous-représentées dans toute la création, l’utilisation et la réglementation de la technologie. Elles sont moins susceptibles d’utiliser les services numériques ou d’entamer des carrières liées à la technologie, et beaucoup plus susceptibles de faire face au harcèlement et à la violence en ligne. Cela limite non seulement leur propre autonomisation numérique, mais également le potentiel transformatif de la technologie et de l’innovation dans son ensemble. 

Mme Aissatou Ba, represente du ministère de l’enseignement supérieur et de l’innovation affirme que l’initiative d’ AGCCI s’aligne parfaitement avec la politique nationale, stimulant de nouveaux moteurs de développement.  » Vous avez été choisies parmi tant d’autres pour bénéficier de cette formation en TIC et codage, organisée sur une durée de dix jours avec des formateurs expérimentés. Je vous adresse toutes mes félicitations et vous souhaite un excellent camp. Le MESRI réitère sa collaboration avec ONU Femmes pour accompagner les filles dans l’acquisition de connaissances technologiques susceptibles de dynamiser des secteurs vitaux de l’économie. Le secteur de l’éducation ambitionne de contribuer à votre autonomisation pour faciliter votre insertion professionnelle.Ce programme de codage pour les filles revêt une importance particulière dans la promotion de l’égalité des sexes dans notre pays. Il stimule également le leadership et la confiance chez les jeunes filles sénégalaises, inspirant ainsi les décideurs politiques et les législateurs à intégrer les TIC, le genre et le codage dans les programmes nationaux pour un développement humain fondé sur la participation et l’égalité… » a-t-elle assuré.

Mme Dieynaba a terminé par faire savoir que l’innovation technologique peut permettre aux femmes d’acquérir des compétences, et d’avoir des opportunités pour prendre le contrôle de leur vie et de leur avenir.  » Cela inclut l’émancipation économique, l’accès à l’éducation et à la formation, la participation à la prise de décision politique et sociale, la reconnaissance de l’égalité des sexes… » A-t-elle conclu

Affaire de diffamation : Aminata Touré convoquée par le tribunal de Dakar

L’ancienne Première Ministre Aminata Touré a récemment annoncé sur sa page Facebook avoir reçu une convocation du tribunal de Dakar pour répondre à une plainte en diffamation déposée par Mansour Faye, ancien ministre du régime de Macky Sall. Cette action fait suite à des déclarations publiques de Mme Touré concernant la gestion des fonds alloués à la lutte contre la Covid-19, dont Faye avait la charge.

La polémique a éclaté après la publication du rapport final de la Cour des Comptes sur la gestion de ces fonds pour les années 2020-2021. Ce rapport a suscité une vive réaction parmi les députés du groupe parlementaire Yewwi Askan Wi, qui ont déposé une proposition de résolution visant à traduire en justice dix ministres, dont Mansour Faye, devant la Haute Cour de Justice. Ces parlementaires ont été soutenus par Aminata Touré, bien que celle-ci ne puisse plus siéger en raison de divergences avec le président Macky Sall.

Dans sa déclaration sur Facebook, Mme Touré a exprimé son étonnement face à la plainte de Mansour Faye, soulignant que de nombreux autres citoyens sénégalais avaient exprimé des préoccupations similaires quant à la gestion des fonds COVID. Elle a affirmé sa volonté de se défendre vigoureusement devant le tribunal.

Cette affaire promet de révéler davantage de détails sur la gestion controversée des fonds destinés à la riposte contre la Covid-19 au Sénégal. La confrontation prévue entre Aminata Touré et Mansour Faye le 27 juillet prochain attisera certainement l’intérêt public et médiatique.

Restez informés pour suivre l’évolution de cette affaire qui pourrait avoir des répercussions significatives sur la scène politique sénégalaise.

Appel urgent du Premier ministre sénégalais après un naufrage meurtrier de migrants

Le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a lancé un appel émouvant aux jeunes de son pays samedi dernier, les exhortant à éviter la dangereuse traversée de l’Atlantique vers l’Europe. Son discours intervient quelques jours après un tragique naufrage au large de la Mauritanie, où près de 90 migrants ont perdu la vie.

Lors d’un discours à l’université Gaston Berger de Saint Louis, M. Sonko a exprimé sa consternation face à cet incident, déplorant la perte de nombreuses vies jeunes. Il a souligné que les solutions pour l’avenir des jeunes ne résidaient pas dans les pirogues risquées qui tentent la traversée périlleuse vers l’Europe.

Le naufrage en question s’est produit lorsque 170 personnes à bord d’un bateau de pêche traditionnel ont chaviré au large de la côte mauritanienne. Jusqu’à présent, 89 corps ont été récupérés, laissant 72 personnes toujours portées disparues. Les conditions difficiles de cette route maritime, avec des courants forts et des embarcations surchargées et parfois inadaptées à la navigation, rendent cette traversée extrêmement dangereuse.

M. Sonko a également mis en lumière les défis économiques et sociaux que rencontrent également les pays européens, soulignant que l’Afrique offre elle-même des opportunités de développement et de croissance. Il a encouragé les jeunes à envisager un avenir prometteur sur leur continent d’origine.

Les chiffres alarmants de décès en mer Méditerranée soulignent l’ampleur de la crise humanitaire en cours. Selon l’ONG espagnole Caminando Fronteras, plus de 5.000 personnes ont péri en tentant de rejoindre l’Espagne par la mer au cours des cinq premiers mois de l’année, soit en moyenne 33 décès par jour, le bilan le plus lourd depuis le début de leur collecte de données en 2007.

En conclusion, le discours poignant de M. Sonko reflète l’urgence d’une action collective pour dissuader les jeunes de risquer leur vie dans des voyages clandestins périlleux et pour promouvoir des alternatives sécurisées et viables au développement sur le continent africain.

« L’Angleterre triomphe aux tirs au but et se qualifie pour les demi-finales de l’Euro 2024 ! »

L’Angleterre s’est qualifiée avec bravoure pour les demi-finales de l’Euro 2024 après une lutte acharnée contre la Suisse lors des quarts de finale. Dans un match tendu qui a nécessité les tirs au but pour départager les deux équipes, les Three Lions ont finalement triomphé 5-3 après un score de 1-1 à la fin du temps réglementaire.

L’ambiance était électrique alors que les deux équipes se disputaient une place tant convoitée dans le dernier carré. Breel Embolo avait ouvert le score pour la Suisse, mais l’Angleterre a répondu grâce à Bukayo Saka, ramenant ainsi l’égalité qui perdurera jusqu’à la fin du temps réglementaire.

La tension a atteint son paroxysme lors de la séance de tirs au but, où la précision et la résilience des joueurs anglais ont fait la différence. Gareth Southgate, le sélectionneur, a exprimé sa fierté après cette victoire difficile mais méritée, soulignant la détermination de son équipe à aller jusqu’au bout dans cette compétition.

Maintenant, l’Angleterre se tourne vers une autre bataille cruciale en demi-finale, où elle affrontera le vainqueur du match entre la Turquie et les Pays-Bas. Les supporters anglais retiennent leur souffle alors que leur équipe nationale poursuit son chemin vers le sommet de l’Euro 2024, portée par l’espoir d’ajouter un nouveau chapitre glorieux à leur histoire footballistique.

Crise au Sahel : Le Niger et ses voisins rejettent la Cedeao pour former une nouvelle alliance

Le chef du régime militaire au Niger, le général Abdourahamane Tiani, a déclaré lors d’un sommet historique à Niamey que le Niger, le Burkina Faso et le Mali avaient « irrévocablement tourné le dos à la Cedeao ». Cette déclaration marque un nouveau chapitre dans les relations tendues entre ces pays sahéliens et l’organisation ouest-africaine.

Lors du sommet de l’Alliance des États du Sahel (AES), nouvellement formée, le général Tiani a appelé à la création d’une « communauté souveraine des peuples » indépendante des influences étrangères. Cette alliance regroupe des nations dirigées par des gouvernements militaires, tous arrivés au pouvoir à la suite de coups d’État.

Les tensions entre l’AES et la Cedeao se sont intensifiées après le coup d’État de juillet 2023 qui a porté le général Tiani au pouvoir au Niger. En réponse, la Cedeao a imposé des sanctions économiques sévères et a menacé d’intervenir militairement pour restaurer le président déchu, Mohamed Bazoum. Bien que les sanctions aient été levées en février, les relations demeurent glaciales entre les deux camps.

L’AES affirme être une alternative efficace dans la lutte contre le terrorisme, critiquant la Cedeao pour son manque d’engagement dans cette lutte cruciale pour la région sahélienne.

Le sommet de Niamey a marqué la première réunion des présidents de l’Alliance des États du Sahel depuis sa création en septembre 2023. Les dirigeants ont discuté des défis sécuritaires communs, notamment la menace persistante des groupes jihadistes dans la région.

La Cedeao prévoit quant à elle de tenir un sommet à Abuja pour discuter des relations avec l’AES, mettant ainsi en lumière les divergences profondes qui continuent de marquer le paysage politique et sécuritaire de l’Afrique de l’Ouest.

Cette fracture croissante entre l’AES et la Cedeao reflète les défis complexes auxquels la région est confrontée, mêlant politique intérieure, sécurité régionale et relations internationales dans un contexte de lutte contre le terrorisme et de gestion des influences post-coloniales.

En conclusion, l’évolution de cette crise souligne la nécessité d’une coopération régionale renforcée et d’une diplomatie agile pour stabiliser une région aux prises avec des défis sécuritaires de plus en plus complexes.

Affaire de diffamation : Aminata Touré affronte Mansour Faye en justice

Le 27 juillet 2024 marquera un face-à-face judiciaire très attendu entre l’ancienne Première Ministre du Sénégal, Aminata Touré, et l’ancien ministre Mansour Faye. Ce dernier a déposé plainte contre Touré pour diffamation, suite à des critiques portées sur sa gestion des fonds COVID-19, totalisant 1000 milliards de francs CFA.

Sur sa page Facebook, Aminata Touré a vivement réagi, se déclarant victime d’une vendetta orchestrée par la famille Faye, qui est la belle-famille de l’ancien président Macky Sall. Elle a dénoncé une série de persécutions politiques, accusant notamment la Première Dame pour avoir brisé des carrières et le frère de cette dernière, Adama Faye, pour avoir interféré dans des affaires municipales à Dakar.

Touré a également affirmé que Mansour Faye aurait influencé son renvoi de l’Assemblée Nationale après qu’elle ait proposé une loi sur les incompatibilités familiales. Elle a appelé à une transparence totale de la part de Faye et de sa famille, exigeant la déclaration de leur patrimoine tant au Sénégal qu’à l’étranger.

La saga judiciaire entre Aminata Touré et Mansour Faye intervient dans un contexte post-Macky Sall, après une mobilisation populaire ayant conduit au départ de ce dernier et de sa belle-famille du pouvoir. La confrontation devant le juge le 27 juillet s’annonce comme un moment crucial dans cette affaire aux ramifications politiques et judiciaires importantes pour le Sénégal.

Restez connectés pour les développements de cette affaire qui continue d’attirer l’attention nationale et internationale.

Tragédie dans le monde du football égyptien : Ahmed Refaat décède à l’âge de 31 ans

Le football égyptien est en deuil suite au décès tragique d’Ahmed Refaat, attaquant international égyptien, survenu samedi à l’âge de 31 ans. Refaat avait souffert d’un arrêt cardiaque lors d’un match en mars dernier, alors qu’il jouait pour son club, le Modern Future FC au Caire.

L’incident grave s’était produit le 11 mars lors d’une rencontre de championnat contre Al-Ittihad Alexandrie. Après avoir été transporté en urgence à l’hôpital, Refaat avait été réanimé et placé en soins intensifs pendant près d’un mois. Malgré des efforts médicaux, son état de santé restait préoccupant.

Après son hospitalisation, Ahmed Refaat avait repris espoir de retourner sur le terrain, exprimant son désir lors d’une interview télévisée. Un stimulateur cardiaque lui avait été implanté pour réguler son rythme cardiaque, mais malheureusement, son parcours professionnel a été interrompu prématurément.

Refaat avait débuté sa carrière au Caire avec l’ENPPI, avant de jouer pour des clubs renommés tels que Zamalek, Al-Ittihad Alexandrie, et Al-Masry. En 2021, il avait rejoint le Modern Future FC, où il espérait continuer à contribuer au football égyptien.

Au niveau international, Ahmed Refaat avait représenté l’équipe nationale d’Égypte à sept reprises, marquant deux buts. Sa dernière participation avec les Pharaons remontait à la Coupe arabe au Qatar en novembre 2021, laissant derrière lui un héritage sportif honorable malgré sa courte carrière.

La communauté du football égyptien et au-delà pleure la perte d’un talent prometteur et se souvient d’Ahmed Refaat comme d’un joueur dévoué et passionné. Ses contributions sur le terrain et son ambition indomptable resteront gravées dans les mémoires des fans et de ses collègues.

En ces moments difficiles, les condoléances affluent pour sa famille, ses amis, ainsi que pour tous ceux qui ont été touchés par sa personnalité et son talent. Ahmed Refaat laisse derrière lui un vide immense dans le cœur de ceux qui l’ont connu et admiré.

Le Président Bassirou Diomaye Faye participe au 65ème Sommet de la CEDEAO à Abuja

Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a quitté Dakar ce samedi pour se rendre à Abuja, capitale du Nigeria, où il prendra part au 65ème sommet ordinaire des chefs d’État et de gouvernement de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Cette réunion, prévue pour le dimanche 7 juillet 2024, sera présidée par le Président nigérian Bola Ahmed Tinubu et rassemblera les dirigeants de la région ouest-africaine.

L’objectif principal de cette session est de discuter des défis socio-économiques et politiques actuels qui touchent la région, ainsi que de renforcer la coopération régionale pour promouvoir la paix, la stabilité et le développement durable. Des questions cruciales telles que la sécurité régionale, l’intégration économique et la gouvernance seront au cœur des discussions.

Le Président Faye, représentant le Sénégal, contribuera aux délibérations visant à trouver des solutions concertées aux défis communs auxquels sont confrontés les États membres de la CEDEAO. Parmi les points à l’ordre du jour figurent également les initiatives visant à promouvoir l’intégration régionale à travers des projets d’infrastructures transfrontalières et des programmes de développement économique.

En tant que pilier de la stabilité et du progrès dans la sous-région ouest-africaine, la CEDEAO continue de jouer un rôle crucial dans la promotion de la coopération multilatérale et de la gouvernance démocratique. Le Sommet de cette année offre une occasion précieuse pour les dirigeants de renforcer les liens et de trouver des solutions innovantes aux défis émergents, dans un contexte mondial en constante évolution.

Le retour du Président Faye à Dakar est prévu peu après la conclusion du Sommet, où il rendra compte des résultats des discussions et des engagements pris par la délégation sénégalaise pour renforcer la coopération régionale et promouvoir le développement durable en Afrique de l’Ouest.

Ousmane Sonko défend sa politique de proximité : « Si c’est ça le populisme, alors nous serons les premiers populistes du monde »

Le Premier Ministre Ousmane Sonko a répondu vigoureusement aux critiques qui l’accusent de populisme lors de sa récente sortie à Colobane, soulignant que sa stratégie de terrain vise à rester proche des réalités des Sénégalais. Lors de son passage à Saint-Louis dans le cadre de la deuxième journée de « Sétal Sunu Réew », il a affirmé : « J’entends des gens avancer que nous sommes dans le populisme. Nous avons décidé d’être proches de la population et pour cela, nous ne devons pas rester dans nos bureaux entre quatre murs pour prétendre résoudre les problèmes des Sénégalais. »

Cette déclaration forte intervient alors que Sonko et son équipe gouvernementale ont été vivement critiqués pour leur style de gouvernance axé sur la présence de terrain et l’écoute directe des préoccupations des citoyens. « Si c’est ça le populisme, alors nous serons les premiers populistes du monde », a-t-il ajouté, défendant ainsi une approche qu’il considère comme nécessaire pour une gouvernance efficace et inclusive.

Le Premier Ministre a également rappelé que cette approche est soutenue par le Président de la République lui-même, soulignant que ce dernier a également choisi de descendre sur le terrain pour écouter attentivement les besoins et les aspirations de la population sénégalaise.

L’engagement de Sonko en faveur d’une proximité accrue avec les citoyens constitue un élément central de sa politique, visant à rompre avec les pratiques politiques traditionnelles souvent critiquées pour leur éloignement des réalités quotidiennes des Sénégalais. Cette démarche semble répondre à une demande croissante de transparence et de responsabilité de la part des électeurs, même si elle suscite également des interrogations quant à ses véritables implications politiques et stratégiques à long terme.

En conclusion, alors que le débat sur le populisme et ses implications politiques continue de diviser les observateurs, Ousmane Sonko et son équipe maintiennent leur cap sur une gouvernance directement ancrée dans les préoccupations de la population, affirmant que cette approche est essentielle pour construire un Sénégal plus juste et plus prospère pour tous.

Départ de Mamadou Mbengue de Free Sénégal : Nouveaux horizons en vue

Mamadou Mbengue, qui a occupé le poste de Directeur général de Free Sénégal, a récemment annoncé son départ pour explorer de nouvelles opportunités. Vendredi dernier, il a officiellement fait ses adieux à ses collègues, marquant ainsi la fin d’une ère notable dans le paysage des télécommunications sénégalaises.

Son successeur désigné, Kamal Okba, apporte avec lui une vaste expérience en tant que Directeur général de Tigo Tanzanie, une filiale du groupe AXIAN Telecom, également propriétaire de Free Sénégal. Cette nomination souligne l’engagement continu d’AXIAN à renforcer sa présence et son influence dans le secteur des télécommunications au Sénégal.

La transition intervient après une série de changements significatifs au sein de Free Sénégal. En juillet 2023, le fondateur français Xavier Niel a cédé ses 40 % de parts dans l’entreprise, connue sous Saga Africa Holding, à AXIAN Telecom. Cette transaction a permis à AXIAN de consolider sa position en tant que principal actionnaire avec 80 % de contrôle sur le deuxième plus grand opérateur de télécommunications du pays.

Pour Free Sénégal, ces évolutions représentent une nouvelle phase de croissance et d’innovation sous la direction de Kamal Okba. Son leadership stratégique et son expertise devraient jouer un rôle crucial dans l’expansion continue des services télécoms offerts aux consommateurs sénégalais.

En conclusion, alors que Mamadou Mbengue tourne la page pour de nouvelles opportunités, l’avenir de Free Sénégal semble prometteur avec l’arrivée de Kamal Okba à la barre. Les prochains mois promettent d’être passionnants alors que l’entreprise continue de façonner l’avenir numérique du Sénégal.

Ousmane Sonko assure les pêcheurs sénégalais concernant l’exploitation des ressources naturelles

Lors d’une récente déclaration à Saint-Louis, le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a adressé des assurances aux pêcheurs locaux quant à l’impact de l’exploitation des ressources naturelles, notamment le pétrole et le gaz, sur leur activité. En marge de la journée de nettoiement (Set-setal), il a promis de prendre toutes les mesures nécessaires pour prévenir toute perturbation de l’activité de pêche due aux projets d’exploitation en cours, notamment au large des côtes Saint-Louisiennes et à Sangomar.

« Nous prendrons toutes les dispositions pour que l’exploitation des ressources gazières au large des cotes Saint-Louisiennes et ailleurs, l’exploitation des ressources pétrolières pour Sangomar, ne puisse pas avoir un impact sur l’activité de la pêche, » a déclaré Sonko, soulignant l’importance de ne pas sacrifier des secteurs essentiels comme la pêche, l’agriculture et l’élevage au profit d’industries plus éphémères.

Le Premier ministre a également mis en garde contre les conséquences à long terme de l’exploitation des ressources fossiles, rappelant que le pétrole et le gaz sont des ressources épuisables. Cette position souligne une volonté politique de concilier développement économique et préservation des ressources naturelles essentielles à la vie des communautés locales.

Les engagements de Sonko interviennent dans un contexte où le Sénégal cherche à maximiser les bénéfices de ses découvertes en hydrocarbures tout en protégeant les industries traditionnelles qui sont vitales pour de nombreuses populations côtières. La déclaration du Premier ministre témoigne d’une approche équilibrée visant à assurer la durabilité et la coexistence harmonieuse des différentes activités économiques dans la région.

Ousmane Sonko assure les pêcheurs sénégalais concernant l’exploitation des ressources naturelles

Lors d’une récente déclaration à Saint-Louis, le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a adressé des assurances aux pêcheurs locaux quant à l’impact de l’exploitation des ressources naturelles, notamment le pétrole et le gaz, sur leur activité. En marge de la journée de nettoiement (Set-setal), il a promis de prendre toutes les mesures nécessaires pour prévenir toute perturbation de l’activité de pêche due aux projets d’exploitation en cours, notamment au large des côtes Saint-Louisiennes et à Sangomar.

« Nous prendrons toutes les dispositions pour que l’exploitation des ressources gazières au large des cotes Saint-Louisiennes et ailleurs, l’exploitation des ressources pétrolières pour Sangomar, ne puisse pas avoir un impact sur l’activité de la pêche, » a déclaré Sonko, soulignant l’importance de ne pas sacrifier des secteurs essentiels comme la pêche, l’agriculture et l’élevage au profit d’industries plus éphémères.

Le Premier ministre a également mis en garde contre les conséquences à long terme de l’exploitation des ressources fossiles, rappelant que le pétrole et le gaz sont des ressources épuisables. Cette position souligne une volonté politique de concilier développement économique et préservation des ressources naturelles essentielles à la vie des communautés locales.

Les engagements de Sonko interviennent dans un contexte où le Sénégal cherche à maximiser les bénéfices de ses découvertes en hydrocarbures tout en protégeant les industries traditionnelles qui sont vitales pour de nombreuses populations côtières. La déclaration du Premier ministre témoigne d’une approche équilibrée visant à assurer la durabilité et la coexistence harmonieuse des différentes activités économiques dans la région.

Mort suspecte à Golf Sud : Deux personnes inculpées pour homicide volontaire

La commune de Golf Sud, située dans le département de Guédiawaye, est le théâtre d’un drame poignant qui a secoué la région ces derniers jours. L’affaire implique L. F. Mbodji, chanteur religieux respecté, et K. Baldé, amie de la défunte, Y. Ngom, toutes deux déférées pour homicide volontaire au Parquet de Guédiawaye-Pikine.

Le tragique incident a été découvert dans la nuit du 2 au 3 juillet, lorsque le corps sans vie de la commerçante Y. Ngom a été retrouvé dans la chambre de son amie K. Baldé, située à la Cité Fadia. Alertés, les officiers du poste de police de Golf Sud ont immédiatement investi les lieux, découvrant une scène troublante : des bouteilles d’alcool jonchaient le sol et une odeur de drogue planait dans l’air. Le lit était en désordre, ainsi que les meubles.

Simultanément, une équipe était dépêchée à l’hôpital Mame Abdou Aziz Sy des Parcelles assainies, où le corps avait été transporté. Le médecin de garde a confirmé que le corps avait été déposé tôt le matin, accompagné par L. F. Mbodji et d’autres individus.

Lors des interrogatoires, K. Baldé a expliqué qu’elle avait prêté sa chambre à Y. Ngom et à L. F. Mbodji. Elle a déclaré avoir été alertée par ce dernier vers 4 heures du matin, signalant que Y. Ngom avait subitement pris un malaise et qu’il avait tenté en vain de la réanimer. Arrivant sur les lieux, elle trouva son amie inerte sur le sol.

Lors de son interrogatoire, L. F. Mbodji a admis avoir consommé de la drogue et de l’alcool avec Y. Ngom avant que celle-ci ne succombe. Dans la panique, il a ventilé la chambre et tenté de rafraîchir la victime à l’eau, en vain. Il a ensuite alerté la logeuse avant de conduire Y. Ngom à l’hôpital avec l’aide d’amis.

Malgré l’autopsie initiale concluant à une mort naturelle, la police a émis une réquisition pour de nouveaux examens à l’hôpital Fann, notamment suite aux témoignages de voisins affirmant avoir entendu des bruits suspects cette nuit-là. Des enquêteurs de la police scientifique ont également relevé des traces de blessures et une joue tuméfiée sur le corps de la victime.

Y. Ngom, mère célibataire, résidait à la Cité Douanes selon ses proches.

L’affaire continue de susciter l’émoi dans la communauté de Golf Sud, tandis que les autorités poursuivent leur enquête pour faire toute la lumière sur cette tragédie qui a coûté la vie à Y. Ngom.

Mobilisation pour l’environnement : RTS à l’avant-garde lors de la journée nationale de nettoiement à Saint-Louis

Ce samedi, la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS) a pris part activement à la deuxième journée nationale de nettoiement, communément appelée Sét-sétal, à Saint-Louis. Le Directeur Général, Pape Alé Niang, s’est rendu sur le terrain aux côtés des équipes de la télévision nationale pour soutenir cette initiative environnementale cruciale.

Au cours de cette journée dédiée au nettoyage et à la sensibilisation, Pape Alé Niang a lancé un appel vibrant à tous les Sénégalais pour qu’ils s’engagent à pérenniser cette action. Il a particulièrement insisté sur l’importance de ne pas se limiter à une participation sporadique chaque premier samedi du mois, mais plutôt d’intégrer le nettoyage régulier dans les habitudes citoyennes.

Le président de la RTS, Bassirou Diomaye, qui avait initialement prévu de se joindre à cet événement à Saint-Louis, a malheureusement dû y renoncer en raison de ses obligations au sommet ordinaire de la CEDEAO à Abuja. Cependant, son soutien indéfectible à l’initiative de nettoiement a été souligné par Pape Alé Niang.

Cette journée a été l’occasion pour la RTS de démontrer son engagement envers la préservation de l’environnement et le bien-être des communautés locales. En participant activement à Sét-sétal, la RTS a montré l’exemple en tant qu’acteur clé dans la promotion des pratiques durables et de la responsabilité sociale envers l’environnement.

À l’avenir, la RTS continuera à jouer un rôle de premier plan dans la sensibilisation et la mobilisation pour des actions concrètes en faveur de la propreté et de la préservation des ressources naturelles au Sénégal.

Session de remplacement du Baccalauréat 2024 : Inscriptions ouvertes du 8 au 10 juillet

Le Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation a publié un arrêté concernant la session de remplacement du Baccalauréat 2024. Cette session exceptionnelle se déroulera du 1er octobre 2024 à Dakar, à l’exception des options T, S3, S4, S5, STIDD et F6 pour lesquelles elle n’est pas organisée.

Les inscriptions aux épreuves de remplacement seront ouvertes du 8 juillet 2024 au 10 juillet 2024. Conformément à l’article 12 du décret n° 95-947 du 18 octobre 1995, seuls les candidats remplissant les conditions requises seront autorisés à participer à cette session.

Les candidats intéressés sont invités à se préparer en conséquence et à soumettre leur dossier d’inscription dans les délais impartis. Le centre unique à Dakar accueillera l’examen, assurant ainsi des conditions équitables et sécurisées pour tous les participants.

Pour de plus amples informations, les intéressés sont priés de consulter les publications officielles du Ministère et de suivre les directives émises.

Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation

Réclamation de Justice : Les Frères d’armes de Fulbert Sambou appellent à la vérité

Dans une récente déclaration poignante tenue dans le jardin des HLM Patte d’Oie, les amis et frères d’armes de Fulbert Sambou, ainsi que de Didier Badji, ont exprimé leur indignation face aux déclarations de l’ancien ministre de la Justice. Celui-ci a affirmé que les décès de Fulbert Sambou et Didier Badji faisaient partie des faits amnistiés, provoquant une onde de choc parmi les proches des défunts et au sein de la société sénégalaise.

Les familles, soutenues par de nombreuses personnalités politiques et citoyens engagés, ont immédiatement réagi pour réclamer justice. Ils exigent que toute la lumière soit faite sur les circonstances entourant la mort tragique de ces hommes de tenue respectés. « Comment peuvent-ils prétendre que cette noyade est amnistiée ? » s’interroge Boubacar Sèye, l’un des frères de Fulbert Sambou, exprimant ainsi le désarroi et la frustration des proches des victimes.

Les témoignages des frères d’armes de Fulbert Sambou sont directs : ils pointent du doigt l’ancien régime, incluant le président Macky Sall, le Cemga de l’époque Cheikh Wade, le Général Moussa Fall, l’ancien ministre de l’Intérieur Antoine Félix Diome, ainsi que l’ancien ministre de la justice Ismaïla Madior Fall. Leur appel est clair et urgent : que la vérité soit établie et que justice soit rendue pour leurs camarades disparus.

L’appel est également adressé au Pr Bassirou Diomaye Faye et au Premier ministre Ousmane Sonko pour prendre des mesures immédiates afin d’élucider cette affaire qui continue de susciter l’émoi et l’incompréhension au sein de la société sénégalaise. La détermination des proches et des camarades de Fulbert Sambou et Didier Badji est palpable, leur quête de vérité et de justice étant une priorité absolue pour honorer la mémoire de ceux qui ne sont plus.

En attendant une réponse concrète des autorités, les familles et les soutiens continueront à faire pression pour que la disparition de Fulbert Sambou et Didier Badji ne soit pas laissée impunie, défendant ainsi les principes fondamentaux de justice et de transparence au Sénégal.

La critique de Pape Alé Niang envers ses confrères journalistes : Réflexions sur le processus de recrutement à la RTS

Pape Alé Niang, Directeur général de la RTS, a récemment suscité la controverse en exprimant ses opinions franches sur le processus de recrutement au sein de la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise. Sur sa plateforme médiatique, il a partagé ses réflexions ce vendredi 5 juillet, mettant en lumière ce qu’il perçoit comme une contradiction parmi ses pairs journalistes.

Dans ses déclarations, M. Niang a critiqué le comportement de certains journalistes qui, selon lui, sollicitent activement des opportunités de recrutement à la RTS tout en dénonçant publiquement le processus de recrutement comme étant partiel ou injuste. Il a déclaré : « Ce pays est vraiment bizarre. Les journalistes vous appellent en disant ‘Je veux travailler à la RTS’ ou passent par des autorités pour des recommandations. En retour, ils seront les premiers à dire ‘il ne fait que recruter’. »

Cette remarque pointe du doigt une potentielle hypocrisie au sein de la profession, où les journalistes peuvent chercher à influencer ou à faciliter leur recrutement à travers des recommandations politiques ou personnelles, pour ensuite critiquer le processus de recrutement comme étant non transparent ou partial.

Cependant, Pape Alé Niang a également souligné que malgré ces critiques, les besoins en personnel à la RTS seront évalués de manière objective et professionnelle. Cette déclaration laisse entendre que malgré les influences externes, l’équité et les compétences resteront au centre des décisions de recrutement à la RTS.

Il est important de noter que ces commentaires ont généré diverses réactions au sein de la communauté journalistique et au-delà, soulignant des questions fondamentales sur la transparence et l’éthique dans le secteur des médias au Sénégal.

En conclusion, les propos de Pape Alé Niang soulèvent un débat nécessaire sur les pratiques de recrutement et l’intégrité professionnelle dans le journalisme, invitant à une réflexion collective sur l’éthique et les normes de conduite au sein des institutions médiatiques du pays.

Rencontre entre Bassirou Diomaye Faye et les jeunes reporters : Engagement pour une presse libre et éthique au Sénégal

Aujourd’hui, au palais de la République, le président Bassirou Diomaye Faye a accueilli une délégation de la Convention des jeunes reporters du Sénégal (CJRS), marquant ainsi un engagement fort envers la presse sénégalaise.

Lors de cette rencontre significative, présidée par Migui Maram Ndiaye, président de la CJRS, plusieurs défis majeurs auxquels font face les journalistes sénégalais ont été abordés. Parmi eux figurent la précarité salariale, les besoins en formation continue et les questions de sécurité. Les jeunes reporters ont également plaidé pour une révision de la fiscalité appliquée aux médias, tout en insistant sur l’importance du strict respect du Code de la presse.

En réponse, le président Faye a chaleureusement salué l’engagement de la CJRS en faveur d’une presse éthique et dynamique, soulignant que ces préoccupations rejoignent la vision gouvernementale pour une bonne gouvernance. Il a particulièrement mis l’accent sur la nécessité d’une justice fiscale équitable et du respect rigoureux des lois, des fondements essentiels pour renforcer la démocratie au Sénégal.

Le chef de l’État a réaffirmé son soutien sans faille à la presse, la considérant comme un pilier central de la société sénégalaise. Il a souligné l’importance vitale du travail journalistique pour la nation, exprimant sa détermination à promouvoir une presse libre et responsable.

Cette rencontre revêt une importance particulière alors que la CJRS célèbre son 20e anniversaire cette année, marqué par un gala et la prestigieuse remise du prix Mame Less Camara récompensant l’excellence en journalisme d’investigation.

« Votre contribution est cruciale pour notre nation, et nous sommes engagés à soutenir une presse libre et responsable », a déclaré le président Faye, soulignant ainsi l’engagement continu du gouvernement envers un journalisme de qualité au Sénégal.

Cette rencontre entre le président Bassirou Diomaye Faye et les jeunes reporters représente un pas significatif vers le renforcement de la liberté de la presse et de l’intégrité journalistique au Sénégal, promettant un avenir prometteur pour la profession dans le pays.

Sandiara : Tensions politiques après l’élection municipale

La commune de Sandiara est le théâtre de vives tensions politiques à la suite de l’élection municipale du 1er juillet 2024, marquée par des conflits entre l’ancienne et la nouvelle administration municipale.

Après la démission du Dr Serigne Gueye Diop, précédent maire devenu ministre de l’industrie et du commerce, son intérim a été assuré par Aliou Gning, son premier adjoint. Cependant, le transfert de pouvoir s’est avéré tumultueux, l’ancien maire refusant initialement de céder les clés de son bureau au nouvel élu, Aliou Gning, invoquant la nature intérimaire de sa gestion.

Nakhla Tine, conseiller municipal et président de la Commission urbanisme et habitat, a rapporté que cette situation a nécessité l’intervention d’un huissier pour débloquer la situation. Malgré cette intervention, le bureau de l’ancien maire reste fermé jusqu’à ce jour.

L’élection a vu la victoire sans appel d’Aliou Gning, qui a remporté 40 voix contre seulement 14 pour son adversaire direct, Mouhamed Faye, soutenu par Serigne Gueye Diop. Cette défaite marque un tournant significatif pour le ministre, connu pour sa longue carrière politique aux côtés du président Macky Sall.

En parallèle, des développements juridiques compliquent encore davantage la situation pour l’ancien maire et son camp. Des allégations de spéculation foncière ont conduit à une plainte devant le tribunal de grande instance de Mbour contre le candidat soutenu par Serigne Gueye Diop.

Cette séquence politique agitée laisse entrevoir des jours incertains pour Serigne Gueye Diop et ses partisans, alors que la commune de Sandiara attend les répercussions à venir de cette élection mouvementée.

Tragédie en mer près de Ndiago : Chavirement d’une pirogue de migrants fait une trentaine de victimes

Dans la nuit du lundi 1er juillet 2024, une terrible tragédie s’est déroulée au large de Ndiago, une commune située dans le département de Keur Macéne, région de Trarza en Mauritanie. Une pirogue en provenance de Mbour, transportant environ une centaine de migrants en quête d’une vie meilleure, a chaviré.

Selon des informations exclusives obtenues par Dakaractu, parmi les passagers se trouvaient des ressortissants guinéens et gambiens. Malheureusement, l’accident a entraîné la perte d’au moins une trentaine de vies humaines, selon des premières estimations. Une source hospitalière a confirmé à ce stade que 14 décès sont officiellement confirmés, incluant tragiquement 9 femmes parmi les victimes.

Les opérations de sauvetage et de secours sont en cours, mobilisant les autorités locales et les équipes de secours mauritaniennes. Cette tragédie met en lumière une fois de plus les risques extrêmes que prennent les migrants lors de leurs voyages périlleux à travers l’océan, souvent dans des embarcations surchargées et non sécurisées.

Les détails exacts sur les circonstances du chavirement et les conditions à bord de la pirogue restent à clarifier, mais il est évident que cette catastrophe aura des répercussions dévastatrices pour de nombreuses familles et communautés concernées. Les autorités locales et internationales sont appelées à intensifier leurs efforts pour prévenir de telles tragédies à l’avenir et à fournir un soutien adéquat aux survivants et aux familles endeuillées.

Nous continuerons de suivre de près cette situation et de fournir des mises à jour au fur et à mesure que de nouvelles informations seront disponibles.

Mamadou Ibra Kane sonne l’alarme sur la gouvernance et l’économie nationale

Dans une déclaration percutante, Mamadou Ibra Kane, président du mouvement politique « Demain C’est Maintenant », a vivement interpellé le Chef de l’État Bassirou Faye sur l’état critique de la gouvernance institutionnelle au Sénégal. Après trois mois de mandat, Kane affirme que le pays « est au bord de l’ingouvernabilité » en raison de blocages persistants à l’Assemblée nationale. Il critique particulièrement l’inaction du président face à un bras de fer entre le Premier ministre et la majorité parlementaire, bloquant ainsi le fonctionnement régulier des institutions.

« Le verre est plutôt à moitié vide », déplore Kane, soulignant une gestion politique qui ne répond pas aux attentes de la population. Il exhorte le président à agir immédiatement, rappelant que la fonction présidentielle est essentielle pour assurer la stabilité et l’efficacité des institutions démocratiques.

Par ailleurs, Mamadou Ibra Kane exprime de vives inquiétudes concernant l’économie nationale, pointant du doigt la crise qui frappe des entreprises emblématiques comme SEDIMA, un pilier de la filière avicole au Sénégal. « Notre pays risque de perdre le contrôle de la filière avicole », alerte-t-il, dénonçant un manque de soutien du gouvernement à des entreprises cruciales pour la souveraineté alimentaire du pays.

La situation économique préoccupante et les dysfonctionnements institutionnels font de Mamadou Ibra Kane un critique acerbe du gouvernement actuel, exhortant les autorités à prendre des mesures urgentes pour inverser la tendance avant que la crise ne s’aggrave davantage.

Aliou Sall quitte l’APR pour explorer de nouvelles alliances politiques avec Amadou Ba et Aminata Mbengue Ndiaye

Aliou Sall, ancien maire de Guédiawaye et frère du président sénégalais Macky Sall, a récemment annoncé son départ de l’Alliance pour la République (APR), le parti au pouvoir au Sénégal. Lors d’une intervention sur la Rfm, il a confirmé sa décision de faire une pause politique et de se distancer de l’APR. Toutefois, il a également révélé avoir entamé des discussions avec des figures clés du Parti socialiste, notamment l’ancien Premier ministre Amadou Ba et Aminata Mbengue Ndiaye.

« Je ne suis plus militant de l’APR. Je suis en train d’observer, même si je discute beaucoup avec des acteurs politiques. J’ai eu à mener des discussions très approfondies avec, par exemple, le Parti socialiste, je l’ai fait aussi avec notre ancien candidat à la Présidentielle Amadou Ba. Mais à ce jour, mon option est encore de continuer à observer parce que je crois que compte tenu de ce qu’on a traversé en 2021 et en 2023, il est nécessaire de marquer une pause, surtout de réfléchir sur la façon de faire la politique, » a déclaré Aliou Sall.

Cette décision intervient après des années de service au sein de l’APR et à un moment où il estime crucial de prendre du recul après les événements politiques récents. Aliou Sall a également commenté avec humour l’affaire controversée des « 400 000 » qui l’avait précédemment impliqué, affirmant qu’il avait tourné la page et pardonné à ses détracteurs.

En parallèle de ses discussions politiques, Aliou Sall continue d’exercer en tant qu’administrateur à l’Université africaine des sciences et technologies, marquant ainsi une transition notable dans sa carrière politique.

Cette évolution souligne les changements en cours au sein du paysage politique sénégalais, alors que les acteurs clés comme Aliou Sall cherchent de nouvelles alliances et orientations pour l’avenir.

Ibrahima Lissa Faye: Pas de recrutement à la RTS – journaliste réagit

Répondant à une récente rumeur, Ibrahima Lissa Faye, actuel Directeur de Publication de Pressafrik Group, a formellement démenti toute intention de rejoindre la Radiodiffusion télévision du Sénégal (RTS) en tant que nouvelle recrue. Cette information avait été avancée par le journal Le Public dans son article intitulé « Bazar à la RTS ».

Dans une réaction sur les réseaux sociaux, M. Faye a affirmé sa satisfaction au sein de Pressafrik Group et a qualifié les spéculations de « affabulations ». Il a précisé: « Je suis très bien à Pressafrik Group. Je n’ai aucune visée ailleurs. »

Le journal Le Public avait rapporté que le Directeur général de la RTS, Pape Alé Niang, envisageait le recrutement de plusieurs journalistes, incluant Ibrahima Lissa Faye. Cependant, ces allégations ont été fermement réfutées par l’intéressé lui-même.

L’annonce de ce potentiel recrutement avait suscité diverses réactions parmi les observateurs des médias au Sénégal. Néanmoins, la clarification apportée par M. Faye semble mettre un terme à cette spéculation concernant son éventuelle transition vers la RTS.

À l’heure actuelle, Ibrahima Lissa Faye continue donc d’exercer ses fonctions au sein de Pressafrik Group, une position qu’il affirme apprécier et où il se sent parfaitement épanoui professionnellement.

En conclusion, les informations initiales sur le recrutement de M. Faye à la RTS se sont avérées infondées selon sa propre déclaration, mettant ainsi fin aux discussions sur ce sujet dans le paysage médiatique sénégalais.

Ilimane Ndiaye rejoint Everton : Nouvelle aventure en Premier League

Le jeune attaquant sénégalais, Ilimane Ndiaye, a officiellement fait ses débuts avec Everton après avoir signé un contrat de 5 ans avec le club anglais. Cette annonce intervient après une période mitigée à l’Olympique de Marseille, où Ndiaye cherche maintenant à relancer sa carrière prometteuse.

À 23 ans, Ndiaye est souvent comparé au légendaire Lionel Messi, surnommé affectueusement le « Messi sénégalais ». Sa montée en puissance a commencé à Sheffield United, contribuant à leur promotion en Premier League lors de la saison 2022/2023. Maintenant à Everton, il aspire à briller dans l’un des championnats les plus compétitifs au monde.

La Premier League est réputée pour sa rigueur et son niveau de jeu élevé, offrant à Ndiaye une plateforme idéale pour se développer et s’affirmer parmi les meilleurs. Pour les supporters d’Everton, l’arrivée de ce jeune talent prometteur suscite beaucoup d’enthousiasme et d’espoir pour l’avenir du club.

Cette nouvelle étape dans la carrière d’Ilimane Ndiaye représente non seulement une opportunité de progression personnelle, mais également un défi excitant à relever. Les attentes sont grandes pour voir comment il s’adaptera et prospérera dans son nouveau rôle au sein de l’équipe des Toffees.

Décès de l’homme d’affaires Abdoulaye Diao, fondateur de International Trade Oil and Shipping

Nous avons le regret d’annoncer le décès d’Abdoulaye Diao, plus connu sous le nom de Baba Diao Itoc, survenu ce mercredi 3 juillet 2024 à la suite d’une longue maladie. Homme d’affaires émérite et fondateur de la société International Trade Oil and Shipping, il laisse derrière lui un héritage remarquable dans le monde des affaires.

Abdoulaye Diao sera inhumé à Thiès demain, jeudi 4 juillet. En cette période de deuil, la rédaction de ledakarois adresse ses sincères condoléances à sa famille et à ses proches.

100 jours au pouvoir : « Diomaye Président » se prépare à faire le bilan

À l’approche du marqueur symbolique des 100 jours depuis son accession à la présidence à l’issue des élections du 24 mars dernier, la coalition « Diomaye Président » se mobilise activement pour célébrer cette étape significative de son mandat.

Selon les informations relayées par Les Échos, les préparatifs avancent à grands pas. Le journal rapporte que les différents groupes de travail spécialement constitués à cet effet ont presque achevé leurs missions préparatoires. Ces groupes sont essentiels pour coordonner les divers aspects logistiques, médiatiques et protocolaires nécessaires à une célébration réussie de cette période charnière.

Une communication officielle sur cet événement est attendue dans les prochains jours, anticipant ainsi une mise en lumière des réalisations et des initiatives entreprises par l’administration depuis son installation au pouvoir. Cette annonce promet de fournir une rétrospective détaillée des actions entreprises, ainsi qu’un aperçu des projets à venir sous la direction de « Diomaye Président ».

La commémoration des 100 premiers jours d’un mandat présidentiel est souvent considérée comme un moment crucial pour évaluer les premiers pas d’une nouvelle administration et pour définir les orientations futures. C’est également une occasion de rendre compte à la population des progrès réalisés et des défis encore à relever dans la mise en œuvre des engagements électoraux.

La préparation méticuleuse de cet événement par la coalition au pouvoir témoigne de son engagement à maintenir une transparence et une communication ouvertes avec ses citoyens, tout en soulignant l’importance de marquer les jalons importants dans la gouvernance démocratique du pays.

À mesure que les derniers détails sont finalisés, l’attente monte pour cette communication annoncée, qui promet d’offrir un panorama complet des réalisations et des ambitions futures de « Diomaye Président » pour le pays et ses citoyens.

Le Témoin: Entretien avec Dr Arona Coumba Ndoffène Diouf sur la gouvernance de Macky Sall

Dans une interview exclusive avec le journal Le Témoin, Dr Arona Coumba Ndoffène Diouf, ancien conseiller du Président Macky Sall, exprime des critiques sévères envers son ancien mentor et la direction actuelle du pays. Selon lui, ne pas poursuivre Macky Sall pour ses actions serait considéré comme de la haute trahison. Il souligne que le pays a été laissé divisé et surendetté par l’administration précédente.

Dr Diouf pointe du doigt un écart significatif de 14 000 milliards de FCFA entre la dette contractée et les investissements réalisés sous le règne de Macky Sall, exigeant des justifications transparentes de la part du Président actuel.

En ce qui concerne les perspectives politiques, Dr Diouf reconnaît la volonté du duo Sonko-Diomaye, mais il évoque également des zones d’ombre qui méritent attention. Il exprime des préoccupations quant à la fréquence des voyages présidentiels, suggérant que Macky Sall pourrait dépasser les records de ses prédécesseurs en ce domaine.

La récente déclaration de politique générale, sujet de controverses, divise également les opinions. Dr Diouf se range du côté de Sonko, soutenant que le Premier Ministre ne devrait pas présenter sa DPG devant l’Assemblée nationale, une position qui reflète les tensions politiques actuelles.

En conclusion, Dr Arona Coumba Ndoffène Diouf offre une critique incisive et un regard aiguisé sur les développements politiques récents, alimentant le débat sur la gouvernance et l’avenir politique du Sénégal.

Quatre prévenus placés sous mandat de dépôt suite aux manifestations à Ndane : Jugement prévu le 10 Juillet

A la suite des récents troubles survenus au village de Ndane, quatre individus ont été déférés au tribunal de Thiès et placés sous mandat de dépôt. Les accusés, identifiés comme Dame S., Talla D., Mamadou B. et Gora B., font face à des charges de participation à une manifestation non autorisée et de destruction de biens appartenant à autrui.

Les événements ont été déclenchés par un groupe de protestataires, qualifiés de frondeurs, qui ont endommagé les infrastructures d’une usine locale en exigeant sa délocalisation. Cette action a conduit à leur arrestation et à leur comparution devant les autorités judiciaires.

Selon des informations relayées par Dakaractu Thiès, les habitants prévoient de se réunir prochainement pour organiser la défense des accusés et envisager de nouvelles actions.

Le procès des quatre prévenus est programmé pour le 10 Juillet, où leur sort sera décidé par la justice suite aux accusations portées à leur encontre.

Réforme à la RTS : Les mesures de Pape Alé Niang sous le feu des critiques

La Radiotélévision nationale du Sénégal (RTS) traverse une période agitée suite aux récentes décisions de son directeur général, Pape Alé Niang.

La Radiotélévision nationale du Sénégal (RTS) est au cœur d’une controverse après la suspension de privilèges et l’ajustement des conditions salariales, sous la direction récente de Pape Alé Niang. Cette décision, motivée par une volonté de rationalisation des dépenses, a suscité des réactions vives parmi le personnel.

Dès son arrivée à la tête de la RTS, Pape Alé Niang a initié des mesures pour optimiser les ressources de l’institution. Cela inclut la suspension de 253 lignes budgétaires jugées non essentielles, telles que les allocations de véhicules, carburant et téléphones. Ces actions visent à assurer une gestion financière plus stricte et efficace.

Une autre décision controversée concerne les ajustements salariaux basés sur un accord signé juste avant son mandat, accord qui aurait un impact financier significatif. Pape Alé Niang a choisi de suspendre cet accord en attendant la garantie de son soutien budgétaire, critiquant le manque de couverture financière pour son application effective.

Répondant aux critiques potentielles et anticipant des tensions internes, le directeur général a affirmé sa détermination à assumer pleinement ses responsabilités. Il a également promis des efforts pour rétablir la confiance du public en renforçant la diversité et la qualité des programmes de la RTS, conformément aux principes de liberté et de responsabilité éditoriale.

Cette série de mesures a jeté une lumière crue sur les défis financiers et administratifs auxquels est confrontée la RTS sous sa nouvelle direction, suscitant un débat animé au sein de l’institution et parmi les observateurs extérieurs.

Pape Alé Niang se positionne comme un gestionnaire déterminé à moderniser et stabiliser la RTS, tout en faisant face aux inévitables résistances et critiques inhérentes à de telles réformes structurelles.

Sabodala Gold Opérations : Recommandations du Ministère des mines pour une coopération harmonieuse

Le directeur de cabinet du ministre des Mines a présidé la présentation du rapport annuel 2023 de Sabodala Gold Opérations, soulignant l’importance cruciale d’une collaboration efficace entre toutes les parties prenantes. Cette rencontre, qui a réuni l’administration de la société, la présidente du HCDS, ainsi que les autorités locales, a été marquée par des recommandations clés pour l’avenir de l’exploitation minière dans la région.

Dans son allocution, le directeur de cabinet a encouragé les entreprises minières à adopter une approche généreuse envers les populations locales. Il a particulièrement insisté sur la nécessité d’établir des relations positives avec les orpailleurs, mettant en garde contre l’instauration d’un climat conflictuel préjudiciable à une cohabitation harmonieuse.

Meïssa Diakhaté, quant à elle, a rappelé l’impératif de préserver l’environnement dans toutes les activités minières. Elle a également évoqué la mise en place de bourses d’excellence visant à préparer les futures générations de cadres.

Un point fort de la réunion fut l’appel du ministère des Mines pour une implication accrue de la société civile dans les prochains rapports annuels. Le directeur de cabinet a exprimé le souhait d’écouter attentivement les perspectives des populations locales et des élus pour enrichir les futures discussions.

Cette présentation du rapport annuel 2023 de Sabodala Gold Opérations marque ainsi une étape importante vers une gestion plus inclusive et durable des ressources minières, tout en renforçant les liens entre l’industrie minière, les communautés locales et les autorités régionales.

Dahra djoloff : Tristesse après le décès d’une élève de 17 ans des suites d’une crise cardiaque

La communauté scolaire du département de Linguère est plongée dans le deuil suite au décès soudain de Kiné Diaw, une jeune fille de 17 ans. Élève en classe de seconde au lycée Docteur Daouda Sow de Dahra Djoloff, Kiné Diaw a tragiquement perdu la vie à la suite d’un arrêt cardiaque survenu lundi dernier.

Selon les témoignages recueillis, la victime a été prise de malaise vers 17 heures dans un jardin près de son domicile au quartier Ngueth. Malgré l’intervention rapide des secours et du médecin du centre de santé de Dahra, Kiné Diaw n’a malheureusement pas pu être sauvée.

La nouvelle de son décès a profondément attristé ses camarades de classe, ses enseignants ainsi que l’ensemble de la communauté éducative. Ce mardi matin, une cérémonie d’inhumation émotive s’est tenue à Dahra Djoloff en présence de nombreux proches et amis de la famille.

En cette période difficile, les pensées et les prières accompagnent la famille de Kiné Diaw ainsi que tous ceux qui ont eu le privilège de la connaître.

Réformes syndicales et Immigration au centre des préoccupations : Le Ministre du Travail met en garde les entreprises contre les pratiques illégales

Le Ministre du Travail et des Relations avec les Institutions, Yankhoba Diémé, a lancé une série de visites nationales dans les entreprises, débutant par l’hypermarché Exclusive à Dakar. Lors de cette inspection, plusieurs irrégularités ont été relevées, suscitant des actions immédiates de la part du ministère.

L’une des principales lacunes constatées était l’absence de représentation syndicale parmi le personnel. Le Ministre a ordonné à la direction d’organiser des élections pour la désignation de représentants syndicaux, fixées au 6 juillet prochain. Cette mesure vise à renforcer les droits des travailleurs et à garantir une représentation équitable au sein de l’entreprise.

Un autre point de préoccupation majeur a été le recrutement de travailleurs étrangers. Yankhoba Diémé a donné un ultimatum de 10 jours à la direction pour fournir les dossiers de près de quarante employés étrangers, afin de vérifier leur conformité aux régulations en vigueur. La direction s’est engagée à coopérer pleinement avec cette exigence.

En outre, le ministère a exigé la régularisation rapide d’autres employés, au-delà des cinquante déjà mis en règle depuis le début des inspections du travail. Un délai de six jours a été donné à cet effet, soulignant la détermination du gouvernement à faire respecter les normes du travail et à protéger les droits des travailleurs.

Cette initiative marque une étape significative dans les efforts du gouvernement pour assurer la conformité aux lois du travail et promouvoir des conditions de travail équitables à travers le pays. Le Ministre a clairement indiqué que les entreprises devront se conformer strictement à ces directives pour éviter des sanctions potentielles et contribuer à un environnement de travail plus juste et plus sûr pour tous.

Mouvement de protestation à la RTS : Conflit ouvert entre employés et direction

Aujourd’hui, une tension palpable règne au sein de la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS) alors que les employés expriment leur mécontentement face aux récentes décisions prises par le directeur général nouvellement nommé, Pape Alé Niang.

Ce mardi, des agents de la RTS ont fait entendre leur voix de manière symbolique en arborant des brassards rouges lors d’un sit-in à l’intérieur des locaux. Leur protestation vise principalement la suspension d’un décret offrant des avantages financiers, décision justifiée par le directeur général par l’absence de couverture budgétaire adéquate pour supporter ces coûts supplémentaires. Cette mesure, selon lui, est cruciale pour stabiliser les dépenses de l’entreprise.

Cependant, les employés contestent vigoureusement cette décision. Ils affirment que la suppression du fonds commun, la réduction des lignes téléphoniques et les ajustements salariaux ont un impact direct sur leur bien-être financier et professionnel. Le Syndicat national des professionnels de l’audiovisuel public (SYNPAP) a exprimé son soutien total aux travailleurs, promettant d’explorer toutes les voies légales pour contester les mesures de la direction.

Dans une lettre ouverte poignante adressée à Pape Alé Niang, les employés rejettent catégoriquement les justifications de la direction et remettent en question la validité des actions entreprises. Ils menacent même d’une grève imminente si aucun compromis n’est atteint dans les prochains jours.

En réponse, le directeur général a affirmé qu’il maintiendrait ses décisions jusqu’à ce que leur faisabilité financière soit assurée, soulignant sa volonté de prendre ses responsabilités pour le bien-être à long terme de l’entreprise.

Cette situation tendue à la RTS montre des signes d’escalade, avec des perspectives incertaines quant à une résolution rapide du conflit. Les prochains jours pourraient être déterminants pour l’avenir des relations entre la direction et les employés de cette institution médiatique nationale.

64 Candidats exclus du Bac à Kaolack pour avoir amené leur téléphone portable au centre d’examen

Ce mardi matin, une décision radicale a été prise au nouveau Lycée de Sing-Sing à Kaolack : 64 candidats ont été disqualifiés de l’examen du Baccalauréat pour avoir enfreint la règle stricte interdisant l’apport de téléphones portables au centre d’examen. Ces exclusions ont été confirmées par Amath Ndiaye, Enseignant chercheur à l’Université de Dakar et président du Jury 1506, supervisant 418 candidats dans ce centre.

Selon les dires de M. Ndiaye, plusieurs candidats ont été surpris avec des téléphones dans leurs sacs pendant la session d’examen. Conformément aux directives de l’Office du Bac et du ministère de l’Éducation, même la présence de téléphones portables éteints est strictement prohibée dans les centres d’examen. Cela a conduit à la confiscation de 77 téléphones au cours de cette première journée d’épreuves.

Les candidats concernés par cette mesure disciplinaire seront envoyés à l’Office du Bac pour traitement. Cette décision souligne l’importance des règles strictes régissant les examens nationaux, visant à garantir l’équité et l’intégrité du processus d’évaluation académique.

Les autorités ont rappelé que la violation de ces règles peut entraîner des conséquences sévères, affectant non seulement la participation des candidats, mais aussi la réputation et la validité des résultats du Baccalauréat.

Kaolack / Bac 2024 : L’Inspection d’Académie a enregistré 11 725 candidats, dont 6 414 filles.

Les autorités administratives, éducatives, syndicalistes et parents d’élèves ont effectué une visite des centres d’examen du Baccalauréat 2024 ce mardi. « À l’instar des autres académies du Sénégal, nous avons entamé ce matin la visite de plusieurs centres d’examen des épreuves du Baccalauréat général 2024. Cette tournée a été dirigée par le préfet du département sur ordre du gouverneur de région. Après cette visite, nous sommes très satisfaits. Nous sommes heureux de constater que toutes les mesures et instructions relatives à l’organisation du Bac ont été respectées », a souligné Siaka Goudiaby, l’inspecteur d’académie de Kaolack.

Concernant le dispositif de surveillance actuel du Baccalauréat, qui inclut la nomination de surveillants et de coordinateurs de surveillance, ils assurent l’interface entre les présidents de jury et le chef de centre. Il y a également trois surveillants par salle, avec un surveillant responsable par salle ajouté par M. Goudiaby. « Un autre point clé est d’insister auprès des candidats sur le respect des consignes données par les préfets lors des CDD et lors du CRD, notamment concernant l’interdiction des téléphones portables dans les centres d’examen. Dans l’académie de Kaolack, nous avons 38 centres dont 10 sont des centres secondaires. Nous avons pu accueillir 11 725 candidats, dont 6 414 filles. En ce qui concerne les séries, la série L domine largement avec un total de 10 151 candidats, soit 86,76 % de l’effectif global. La série S2 compte 1 546 candidats, représentant 13,18 %, et la série S1 est minoritaire avec seulement 28 candidats », a rappelé Siaka Goudiaby.

Pour le Lycée Mixte Sénégalais de Banjul, qui accueille 17 nationalités africaines, européennes et asiatiques, il existe également un centre secondaire où les épreuves ont été acheminées depuis le week-end dernier. Le corps enseignant est déjà sur place pour la correction qui se fera à Karang, dans l’IA de Fatick. Les résultats seront ensuite transmis à l’IA de Kaolack. L’ambassadeur du Sénégal en Gambie prendra toutes les mesures nécessaires pour assurer une bonne organisation des examens du Baccalauréat », a conclu Siaka Goudiaby, inspecteur d’académie de Kaolack.

Objectif ambitieux pour le Baccalauréat 2024 au Sénégal : Entre 80,000 et 90,000 admis visés, selon le ministre de l’enseignement supérieur

Le ministre sénégalais de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, Abdourahmane Diouf, a exprimé aujourd’hui des ambitions élevées pour le Baccalauréat 2024. Lors de sa visite matinale dans divers centres d’examen à Dakar et sa banlieue, il a déclaré que le gouvernement espérait voir entre 80,000 et 90,000 candidats réussir l’examen cette année. Cette prévision représente un taux de réussite de plus de 52%, un objectif ambitieux mais réalisable selon le ministre.

« Nous espérons pouvoir faire mieux cette année », a déclaré le ministre Diouf, soulignant que la réussite des élèves ne devrait pas être un indicateur de la qualité de l’enseignement. Il a exprimé sa conviction que lorsque l’enseignement est bien dispensé par des enseignants éminents, les élèves moyens devraient être en mesure de réussir le Baccalauréat.

Le ministre a également critiqué l’idée que seulement 50% de réussite au Baccalauréat soit une performance satisfaisante. Selon lui, un tel résultat ne reflète pas nécessairement l’efficacité de l’enseignement. « L’échec n’est pas un bon indicateur de la qualité de l’éducation », a-t-il ajouté.

En conclusion, Abdourahmane Diouf a encouragé les établissements scolaires et les professeurs à redoubler d’efforts pour atteindre cet objectif ambitieux et à améliorer continuellement les standards éducatifs au Sénégal.

Les États-Unis annoncent une nouvelle aide militaire à l’Ukraine de 2,3 milliards d’euros

Le ministre américain de la Défense, Lloyd Austin, a révélé mardi dernier un soutien militaire renforcé à l’Ukraine, avec une aide financière atteignant 2,3 milliards de dollars. Cette initiative comprend des équipements essentiels tels que des systèmes de défense anti-aérienne avancés et des armes antichar, dans le but de renforcer les capacités défensives de l’Ukraine face à la menace croissante dans la région.

L’annonce a été faite lors d’une rencontre au Pentagone entre M. Austin et son homologue ukrainien, Roustem Oumerov. Le ministre américain a souligné l’importance de ce soutien pour garantir la sécurité de l’Ukraine et renforcer sa résilience face aux défis sécuritaires actuels.

Cette nouvelle tranche d’aide sécuritaire reflète l’engagement continu des États-Unis envers l’Ukraine, dans un contexte de tensions persistantes en Europe de l’Est. Les mesures incluront non seulement des équipements militaires cruciaux, mais aussi un appui stratégique pour renforcer la préparation et la capacité de réponse de l’Ukraine face à toute menace émergente.

L’aide américaine témoigne d’un soutien international significatif en faveur de l’Ukraine, qui continue de faire face à des défis géopolitiques complexes. Cette initiative marque une étape importante dans la coopération bilatérale entre les deux nations, soulignant l’engagement des États-Unis à défendre la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’Ukraine dans un climat de sécurité européenne en évolution constante.

Vol lors d’une tontine à Touba : Une dame et son complice déférés devant le parquet

À Touba, un récent incident a secoué la communauté de Mbacké Barry à Ndindy, où une somme de 1,1 million de francs CFA destinée à une tontine pour le Magal a été dérobée. Les protagonistes principaux de cette affaire sont S. Ndiaye et son complice, accusés d’association de malfaiteurs et de vol en réunion avec usage de moyen de locomotion.

L’histoire remonte au moment où les femmes du quartier avaient organisé une tontine sous la gestion d’A. Ngom, qui conservait le coffre-fort chez elle depuis quatre ans. Profitant de l’absence de cette dernière, S. Ndiaye et ses complices ont exécuté leur plan, arrivant sur les lieux à moto.

Lors de l’incident, la mise en cause a trouvé la belle-mère d’A. Ngom à son domicile. Usant de ruses, elle a permis à ses complices, Abdou K. et un autre individu actuellement en fuite, de s’emparer du coffre-fort contenant la somme volée.

L’intervention rapide des gendarmes de la brigade de proximité de Ndindy a conduit à l’arrestation de S. Ndiaye et d’un de ses complices. Lors de leur interrogatoire, ils ont avoué les faits, bien que l’argent ait déjà été partagé entre eux.

À ce stade, l’enquête se poursuit pour retrouver le troisième complice toujours en cavale. En attendant, S. Ndiaye et son acolyte ont été présentés devant le parquet de Diourbel pour répondre de leurs actes.

Cette affaire rappelle l’importance de la vigilance et de la sécurité dans la gestion des fonds communautaires, surtout en période de célébrations religieuses où les économies collectives sont souvent mises en jeu.

Tensions Politiques au Sénégal : Thierno Bocoum critique le Premier Ministre Ousmane

Les récentes déclarations du Premier Ministre du Sénégal, Ousmane Sonko, ont suscité une vive réaction de la part de Thierno Bocoum, ancien député et président de l’Alliance générationnelle pour les intérêts de la République (Agir). Lors d’un point de presse à Dakar, Bocoum a exprimé sa préoccupation quant aux actions de l’exécutif envers le législatif.

La polémique a commencé après que le Premier Ministre Sonko ait publié sur sa page Facebook officielle une mise en garde aux membres de l’Assemblée Nationale. Il a affirmé que si l’assemblée n’adoptait pas sa déclaration de politique générale d’ici le 15 juillet, il la présenterait devant une assemblée populaire constituée du peuple sénégalais souverain.

Pour Bocoum, cette déclaration est jugée « extrêmement grave », car elle constitue selon lui une tentative de l’exécutif de dicter ses termes au pouvoir législatif, indépendant en théorie. Il a souligné qu’aucun membre de l’exécutif ne devrait imposer d’ultimatum aux députés élus par le peuple.

La déclaration de politique générale (DPG) est un événement crucial dans le calendrier parlementaire, où le Premier Ministre expose sa vision et ses plans pour le pays, sujet à l’approbation ou au rejet par l’Assemblée Nationale. Les délais imposés par Sonko pour l’adoption de sa DPG ont intensifié les tensions politiques déjà existantes au Sénégal.

Cette controverse survient dans un contexte de mécontentement croissant face aux défis économiques et sociaux persistants, exacerbés par la pandémie de COVID-19. Les réactions publiques et médiatiques aux déclarations de Sonko reflètent une profonde division quant à la manière dont les institutions démocratiques devraient fonctionner dans le pays.

À mesure que la date limite fixée par le Premier Ministre approche, l’attention se concentre sur les prochains développements au sein de l’Assemblée Nationale et sur la manière dont les différents acteurs politiques et citoyens réagiront à cette impasse potentielle.

la confrontation entre l’exécutif et le législatif au Sénégal met en lumière les défis persistants de gouvernance démocratique dans le pays, rappelant l’importance de l’indépendance des pouvoirs et du respect des procédures parlementaires pour préserver la stabilité politique et sociale.

Crise à la RTS : Révocation d’accord et tensions syndicales

La République du Sénégal est en ébullition à la suite de la révocation de l’accord d’entreprise par Pape Alé Niang, le nouveau directeur général de la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS). Signé sous l’administration de l’ancien patron, Racine Talla, cet accord prévoyait plusieurs avantages substantiels pour certaines catégories de personnel, ce qui a suscité une vive réaction du Syndicat des professionnels de l’audiovisuel public (Synpap).

L’accord annulé octroyait des primes mensuelles significatives, notamment une « indemnité de fonction » variant de 350 000 F CFA pour les directeurs à 100 000 F CFA pour les chefs d’unité. Une autre prime mensuelle, dite « de responsabilité », distribuait une enveloppe de 850 000 F CFA pour les directeurs, et divers montants pour les autres catégories de cadres.

En outre, l’accord instaurait un fonds commun équivalent à 5% du chiffre d’affaires annuel, limité à une distribution maximale de 200 millions de F CFA.

La révocation de cet accord a provoqué une réaction rapide du Synpap, qui a convoqué une Assemblée générale pour discuter de la « situation de crise à la RTS ». Ce bras de fer entre Pape Alé Niang et le syndicat annonce des jours incertains pour la chaîne publique sénégalaise, avec des implications potentielles sur la stabilité interne et la gouvernance de l’entreprise.

Le dénouement de cette situation reste à déterminer, alors que les tensions montent au sein de l’équipe dirigeante et du personnel de la RTS.

(Source: Adapté de Libération)

Sanction disciplinaire : Ada Fass suspendu pour un an par le CNG de la lutte sénégalaise

Ada Fass, récemment victorieux contre Gouy Gui, se trouve maintenant confronté à une sérieuse épreuve après avoir été suspendu pour une durée d’un an par le Comité national de gestion (CNG) de la lutte au Sénégal. Cette décision fait suite à une réunion du bureau de l’instance, où le lutteur a été au centre des discussions.

Le motif principal de cette sanction est le temps excessif que Ada Fass a pris pour sa préparation mystique avant le combat contre Gouy Gui, dépassant apparemment une heure. Cette pratique est considérée comme contraire aux règlements et aux normes de la lutte sénégalaise, ce qui a conduit à une décision disciplinaire rigoureuse de la part du CNG.

Selon les informations rapportées par le quotidien Les Echos, cette suspension pourrait également être suivie de sanctions financières supplémentaires pour Ada Fass. Cette situation marque un sérieux revers pour le lutteur, dont la carrière et les perspectives à court terme dans l’arène sont maintenant sérieusement compromises.

Les réactions à cette décision au sein de la communauté des amateurs de lutte au Sénégal sont attendues, alors que Ada Fass fait face à une période difficile dans sa carrière sportive.

Bassirou Diomaye Faye encourage les candidats du Bac 2024 : « Le futur de notre nation repose entre vos mains »

Aujourd’hui marque le début des épreuves du baccalauréat au Sénégal, une étape cruciale pour près de 160 000 jeunes aspirant à ce diplôme emblématique. À cette occasion, le président de la république, Bassirou Diomaye Faye, a adressé un message d’encouragement poignant aux candidats.

Sur le réseau social X, le président Faye a exprimé sa confiance en ces jeunes, écrivant : « À tous les élèves du Sénégal qui passent le baccalauréat aujourd’hui, je vous souhaite bonne chance ! Soyez confiants, persévérants et donnez le meilleur de vous-mêmes. Le futur de notre nation repose entre vos mains. »

Ce geste souligne l’importance que le gouvernement accorde à l’éducation et à l’avenir des jeunes générations. Avec 159 487 candidats répartis dans 499 jurys et 486 centres d’examen à travers le pays, cette édition du bac revêt une importance particulière pour l’accès à l’enseignement supérieur.

Le baccalauréat représente bien plus qu’un simple diplôme ; il incarne une étape cruciale dans la vie de chaque étudiant, ouvrant la voie à de nombreuses opportunités académiques et professionnelles. Les encouragements du président Faye visent à inspirer confiance et détermination chez les candidats face à ce défi académique.

Alors que les épreuves débutent aujourd’hui, le Sénégal tout entier se joint à Bassirou Diomaye Faye pour souhaiter bonne chance à tous les candidats. Que chacun puisse donner le meilleur de lui-même et faire honneur à ses efforts dans cette quête de réussite académique et personnelle.

Défaite pour le groupe Summa dans son conflit avec l’administration fiscale Sénégalaise

Le groupe Summa a subi un revers significatif dans sa bataille juridique contre l’administration fiscale du Sénégal. Selon les informations rapportées par le quotidien Libération ce mardi, les tentatives des filiales Summa Turizm et Summa Construction Sénégal Sarl d’obtenir des mesures provisoires en référé ont été infructueuses.

Les deux entités du groupe Summa avaient initié des procédures en référé pour suspendre les actions fiscales en cours. Cependant, le 28 juillet, le juge des référés a statué en faveur de la poursuite immédiate des poursuites fiscales contre Summa Turizm, sans la possibilité d’un nouveau référé. Quant à Summa Construction Sénégal Sarl, sa requête a été jugée irrecevable.

Le litige découle d’un contrôle fiscal effectué sur Summa Construction Sénégal Sarl, une société turque ayant dirigé plusieurs projets d’envergure au Sénégal, notamment la construction de l’AIBD, du CICAD, du stade Me Abdoulaye Wade, de Dakar Aréna et du parc d’exposition. À la suite de ce contrôle, l’administration fiscale a identifié plusieurs irrégularités fiscales et a procédé à un redressement fiscal de l’ordre de 4 milliards de FCFA.

Summa Construction Sénégal Sarl a affirmé que les infractions présumées concernaient en réalité Summa Turizm Sénégal, une autre entité au sein du groupe. Cependant, l’administration fiscale a rejeté cette défense, affirmant sa détermination à recouvrer les montants réclamés.

Cette décision marque un développement significatif dans le conflit en cours entre le groupe Summa et l’administration fiscale sénégalaise, mettant en lumière les enjeux complexes entourant la conformité fiscale des entreprises opérant dans le pays.

Soutien de l’APR à Bah Diakhaté : Appel à la libération d’un détenu politique

Une délégation de hauts responsables de l’Alliance pour la République (APR), dirigée par l’ancien ministre des Forces Armées El Hadji Oumar Youm, s’est rendue aujourd’hui chez la famille de Bah Diakhaté, actuellement détenu. Cette visite, marquée par la présence du Président du Groupe Parlementaire BBY Abdou Mbow, des maires Abdoulaye Thimbo et Pape Ndong, ainsi que de la députée Aïda Sougou, visait à exprimer un soutien solidaire à la famille de l’activiste.

Bah Diakhaté, qualifié de détenu politique, a été au centre des discussions lors de cette rencontre. La délégation de l’APR a fait part de son engagement pour obtenir la libération inconditionnelle de Bah Diakhaté, soulignant l’importance de respecter les droits et la dignité des citoyens.

La famille de Bah Diakhaté, présente lors de cette visite, a témoigné de sa gratitude envers le président Macky Sall et les membres de l’APR pour leur soutien continu dans cette épreuve difficile. Ils ont également réaffirmé leur détermination à obtenir justice pour leur fils, un engagement soutenu par la solidarité affichée par la délégation aujourd’hui.

L’appel à la libération de Bah Diakhaté résonne ainsi comme une demande de justice et de respect des droits humains fondamentaux, soulignant l’importance de l’unité et du soutien familial dans de telles circonstances.

Adama Gaye plaide pour la dissolution immédiate de l’Assemblée nationale

Le journaliste sénégalais Adama Gaye a récemment suscité la controverse en appelant à la dissolution immédiate de l’Assemblée nationale. Dans un post publié mardi, Gaye a exprimé son désir de voir le peuple souverain choisir de nouveaux représentants dignes de leurs fonctions de députés.

« Dissoudre, oui, dissoudre, sans trembler ! Je suis partisan de la dissolution le plus rapidement possible de l’Assemblée nationale pour que le peuple souverain se choisisse des mandataires ayant la dignité de la charge de député.e.s », a-t-il affirmé.

Gaye a critiqué la procrastination autour de cette décision, rejetant les arguments constitutionnels et juridiques qu’il juge être des obstacles artificiels. Il a insisté sur la nécessité de suivre la volonté et la vision des citoyens pour faire avancer la nation.

Il a également souligné des motifs spécifiques derrière son appel à la dissolution, incluant une critique acerbe des membres actuels de l’Assemblée, déplorant notamment la présence de figures politiques qu’il juge néfastes pour le pays.

La prise de position d’Adama Gaye a suscité des réactions diverses dans le paysage politique sénégalais, certains soutenant son appel pour des réformes urgentes, tandis que d’autres expriment des réserves face à une dissolution qui pourrait aggraver les tensions politiques.

Pour l’instant, l’avenir de l’Assemblée nationale reste incertain, avec des débats probables à venir sur la faisabilité et les conséquences d’une dissolution immédiate.

Succès et défis du pèlerinage à la Mecque 2024 : Un bilan complet

Le ministère des transports aériens, en collaboration avec le ministère des Affaires Étrangères, a récemment dressé un bilan positif du pèlerinage à la Mecque de cette année. Malgré quelques incidents, notamment des retards de vols à l’aller et au retour, l’événement a été globalement couronné de succès.

Sur les 10,617 pèlerins sénégalais ayant pris part au Hajj, le ministère a enregistré 11 décès, dont 5 n’étaient pas encadrés par la Délégation Générale au Pèlerinage (DGP). De plus, deux pèlerins ont été hospitalisés et une disparition a été signalée, soulignant les défis logistiques et sanitaires inhérents à cet événement majeur.

Malgré ces obstacles, le ministère des transports aériens a rapporté que 29 vols retour ont été opérés par Air Sénégal et Flynas, avec un taux de réalisation des vols à 100%. Toutefois, la compagnie Air Sénégal a fait face à un taux de retard de 6%, ce qui a affecté une partie des retours des pèlerins.

Une réduction significative de la durée de séjour des pèlerins en Arabie Saoudite, réduite de 5 jours par rapport aux années précédentes, a été observée. Cette mesure a permis aux pèlerins de gagner du temps et de minimiser leurs dépenses, contribuant ainsi à une meilleure gestion des ressources.

À la lumière de ces résultats, le ministère envisage d’appliquer un dispositif similaire en collaboration avec le CINPEC pour le pèlerinage catholique prévu du 24 août au 15 septembre 2024. Cette initiative vise à garantir une organisation efficace et sécurisée pour tous les participants.

En conclusion, malgré les défis rencontrés, le pèlerinage à la Mecque 2024 a été marqué par des efforts concertés pour assurer le bien-être et la sécurité des pèlerins sénégalais, tout en visant à améliorer continuellement les processus logistiques et sanitaires pour les futures éditions.

Décès de Serigne Abdoulaye Diouf Lambaye : Un pilier de la communauté Mouride s’en est allé

La communauté mouride et plus particulièrement la localité de Lambaye sont plongées dans le deuil suite au décès de Serigne Abdoulaye Diouf Lambaye, survenu hier à Dakar. Homme de foi et gardien des enseignements de Serigne Touba et de Mame Cheikh Ibrahima Fall, il laisse derrière lui un héritage spirituel profondément ancré dans la tradition mouride.

Serigne Abdoulaye Diouf Lambaye était reconnu pour son dévouement et son attachement indéfectible à la voie tracée par Serigne Touba, ainsi que pour sa bienveillance envers les fidèles et la communauté. Son engagement exemplaire et sa sagesse ont marqué ceux qui l’ont côtoyé tout au long de sa vie dédiée au service de Dieu et de ses semblables.

Sa disparition laisse un vide immense au sein de la famille religieuse de Lambaye, où il occupait une place centrale en tant que khalife de Serigne Thierno Diouf Lambaye. Sa succession à la tête de cette illustre famille reviendra désormais à Serigne Diouf Lambaye, dans le respect des traditions et des valeurs chères à leur lignée.

Les funérailles de Serigne Abdoulaye Diouf Lambaye auront lieu ce mardi 02 juillet 2024 à Bakhiya, où il sera inhumé selon les rites funéraires mourides. En cette douloureuse circonstance, groupe ledakarois présente ses sincères condoléances à la communauté mouride, éprouvée par la perte de cet éminent guide spirituel et défenseur des valeurs de paix et d’unité.

À travers sa vie exemplaire et son engagement inébranlable, Serigne Abdoulaye Diouf Lambaye laisse un héritage précieux qui continuera d’inspirer et de guider les générations futures dans la voie de la foi, de la tolérance et de la fraternité. Que son âme repose en paix.

Crise Politique au Sénégal : Débat sur la Gouvernance et les Institutions

Le climat politique au Sénégal s’est intensifié avec les récentes déclarations du député Thierno Alassane Sall, président de la République des Valeurs (RV), critiquant sévèrement le Premier ministre Ousmane Sonko. Accusant ce dernier de privilégier une gouvernance par la rue au détriment des institutions établies, Sall a souligné les risques d’un tel comportement dans un pays confronté à de multiples crises.

Lors d’une récente intervention, Sall a déploré le choix de Sonko de mobiliser le soutien populaire à travers des manifestations au marché Colobane, plutôt que de chercher un consensus parlementaire à l’Assemblée nationale. Cette stratégie, selon lui, fragilise la stabilité politique et institutionnelle du Sénégal, déjà mise à mal par une polarisation croissante.

« Gouverner par la rue contre les institutions est un exercice périlleux dans un pays aux mille urgences », a averti Thierno Alassane Sall, exprimant sa préoccupation face à la théâtralisation de la politique sénégalaise. Pour lui, cette approche risque d’exacerber les tensions sociales et politiques, compromettant ainsi les efforts pour surmonter les défis nationaux.

Sall, qui a récemment été candidat à la présidentielle sans succès, a invité le Premier ministre à engager un dialogue constructif à l’Assemblée nationale pour trouver des solutions aux préoccupations urgentes des Sénégalais. Cette démarche vise à rétablir la primauté des institutions démocratiques et à canaliser les aspirations populaires de manière légale et structurée.

Alors que le Sénégal cherche à sortir d’une période de turbulences politiques, les critiques de Thierno Alassane Sall soulèvent des questions cruciales sur la gouvernance et l’équilibre entre la légitimité populaire et institutionnelle. Le débat promet de continuer à animer la scène politique, mettant en lumière les défis persistants de la démocratie et de la gouvernance au Sénégal.

En attendant, l’avenir politique du pays semble suspendu à la résolution de cette impasse entre gouvernement, opposition et institutions, avec des implications potentielles importantes pour la stabilité et le développement national.

Situation précaire des assistants infirmiers : l’ANAIDES interpelle la tutelle.

Lors de son assemblée générale ordinaire ce samedi à Kaolack, l’Association des Assistants Infirmiers Diplômés d’État du Sénégal (ANAIDES) a élu un nouveau bureau et en a profité pour appeler le gouvernement du Premier ministre Ousmane Sonko à accorder davantage d’attention à leur situation.

« De 1998 à 2000, l’État du Sénégal avait mis en place un programme appelé le Programme Intégré de Développement de la Santé, visant à combler le déficit en personnel infirmier dans les structures sanitaires du pays », a rappelé M. Ousseynou Kama, nouveau président de l’ANAIDES.

Selon M. Kama, à cette époque, seule l’École Nationale de Développement Sanitaire et Social (ENDSS) ainsi que quelques écoles privées formaient le personnel infirmier. « Le programme prévoyait la création de 230 nouveaux postes de santé, mais il a été constaté que 70 d’entre eux étaient déjà fermés faute d’infirmiers. C’est à cette période que l’État a cherché une solution pour combler ce déficit », a-t-il poursuivi.

« Mais le personnel infirmier formé en urgence dans les Centres Régionaux de Formation en Santé (CRFS) ne suivait pas le même cursus que celui de l’ENDSS. Ces derniers, appelés Assistants Infirmiers, suivaient une formation de deux ans contrairement aux trois ans des Infirmiers d’État », a précisé M. Ousseynou Kama, président de l’ANAIDES.

L’association dénonce le blocage du concours professionnel qui permettrait aux assistants infirmiers de rejoindre le corps des infirmiers d’État après 4 ans de travail dans la fonction publique. « Le recrutement n’est pas régulier, et concerne seulement 10 personnes au niveau national parmi des milliers de candidats. Seulement 5 postes sont alloués aux sages-femmes et 5 autres aux infirmiers d’État, avec une formation de 3 ans au lieu des 2 ans initialement prévus », a dénoncé M. Kama.

Pour résoudre définitivement le problème des assistants infirmiers diplômés d’État, l’association nationale a esquissé des pistes de solution. « La seule alternative est de suspendre le recrutement des assistants infirmiers afin de réduire les effectifs existants par une formation diplômante et une intégration dans la fonction publique. En effet, beaucoup de nos collègues sont au chômage ou sont exploités comme des esclaves dans les établissements hospitaliers publics et privés », a conclu Ousseynou Kama.

Rappelons que cette assemblée générale ordinaire de l’ANAIDES était la deuxième du genre. Fondée en avril 2018, l’association a tenu sa première assemblée la même année.

La paralysie du parlement sénégalais : « Le Benno Bokk Yakaar est victime de son passé », selon Cheikh Ibrahima Diallo.

L’Assemblée nationale du Sénégal a annulé le Débat d’Orientation Budgétaire (DOB) du gouvernement, dirigée par le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba. Le Président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, et ses collègues ont justifié cet acte comme une réponse à la déclaration du Premier ministre. Pour un ancien membre du Benno Bokk Yaakar, Cheikh Ibrahima Diallo, les élus se sont eux-mêmes piégés.

« L’histoire retiendra que parmi les 12 présidents que l’Assemblée nationale du Sénégal a connus, c’est sous le magistère d’Amadou Mame Diop que la dignité de notre chambre législative a été la plus ébranlée. En deux ans de présidence, l’actuel président de l’Assemblée nationale a battu tous les records : falsification du règlement intérieur en 2022, complot contre des juges constitutionnels, tentative de report de l’élection présidentielle, et maquillage des crimes contre des citoyens sénégalais par l’adoption d’une loi d’amnistie concernant des faits non enquêtés », a énuméré le secrétaire général du parti Justice et Développement (PJD).

Selon le chef des « Justiciers », sous la direction d’Amadou Mame Diop, le bureau de l’Assemblée nationale s’est illustré de la pire des manières en annulant le Débat d’Orientation Budgétaire (DOB) sur la base d’un prétexte fallacieux des menaces émanant du Premier ministre. « Les souverainistes de la classe politique sénégalaise, paralysée par leur passé, veulent dicter au Premier ministre Ousmane Sonko la marche à suivre. Leur méthode de fonctionnement du parlement et de ses lois est obsolète alors que le chef du gouvernement aspire à un parlement qui répond aux aspirations du peuple », a conclu M. Diallo.

Proposition de Modification du Règlement Intérieur de l’Assemblée Nationale : Une Initiative Cruciale pour l’Adaptation aux Nouvelles Réalités Politiques

Une récente proposition de modification du Règlement Intérieur de l’Assemblée Nationale du Sénégal, initiée par l’honorable député Cheikh Abdou Mbacké, marque un pas significatif vers l’adaptation nécessaire face aux récentes évolutions constitutionnelles. Cette initiative, déposée le 1er juillet, répond à l’urgence d’intégrer les implications de la restauration du poste de Premier ministre dans le cadre législatif.

Depuis la réforme constitutionnelle de décembre 2021, qui a rétabli le rôle prépondérant du Premier ministre, l’Assemblée Nationale se trouve confrontée à de nouveaux défis institutionnels. Pour pallier ces lacunes, la proposition de loi de M. Mbacké introduit des amendements stratégiques visant à renforcer la supervision parlementaire et à restaurer la crédibilité démocratique de l’Assemblée.

L’un des points saillants de cette initiative est l’instauration d’un mécanisme permettant au Premier ministre de présenter une déclaration de politique générale devant l’Assemblée Nationale, suivi d’un débat pouvant aboutir à un vote de confiance. De plus, des dispositifs tels que la question de confiance et la motion de censure sont renforcés pour assurer une gouvernance robuste et transparente.

Bara Dolli, fervent défenseur de cette modernisation parlementaire, souligne l’importance cruciale de cette initiative pour combler les failles historiques et assurer une gouvernance alignée sur les normes démocratiques contemporaines. Selon lui, cette proposition est essentielle pour consolider le rôle de l’Assemblée Nationale en tant que garante des procédures législatives et du contrôle parlementaire.

En réponse aux préoccupations exprimées lors de la déclaration de politique générale du Premier ministre Ousmane Sonko, la proposition de M. Mbacké offre un cadre amélioré pour la gouvernance parlementaire, visant à renforcer la transparence et l’efficacité des politiques publiques.

Enfin, cette démarche ambitieuse, bien que nécessitant un large soutien parlementaire et potentiellement celui du président de la République, Bassirou Diomaye Faye, représente un jalon crucial vers une adaptation nécessaire des pratiques parlementaires aux réalités contemporaines du Sénégal.

En conclusion, la proposition de modification du Règlement Intérieur de l’Assemblée Nationale par M. Mbacké est perçue comme une étape essentielle pour moderniser et renforcer le fonctionnement démocratique de l’institution parlementaire sénégalaise.

Crise à la RTS : Réunion Cruciale Prévue Demain

Le personnel de la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS) est convoqué à une assemblée générale d’informations cruciale le mardi 02 juillet 2024. Cette réunion intervient dans un contexte tendu, marqué par plusieurs décisions controversées prises par la Direction Générale :

  1. Situation de crise à la RTS : Des défis financiers importants sont mentionnés, nécessitant des ajustements drastiques.
  2. Mesures impopulaires de la Direction Générale : La baisse des salaires et la suppression des fonds communs sont des sujets de préoccupation majeurs pour le personnel.
  3. Licenciement des contractuels : Une mesure qui pourrait affecter de nombreux employés.
  4. Suspension de l’accord d’entreprise : Signé récemment, cet accord était destiné à apporter des avantages financiers après les récentes élections présidentielles, mais il est maintenant remis en question en raison de ses implications financières.
  5. Baisse des primes de prestation : Réductions significatives des primes jusqu’à 100 mille Francs.

La décision de suspendre l’application de l’accord d’entreprise, annoncée par le directeur Pape Allé Niang, soulève des inquiétudes parmi le personnel, qui cherche des réponses quant à l’avenir de leurs conditions de travail et de leurs rémunérations.

La réunion de demain sera cruciale pour discuter de ces questions et pour que le personnel exprime ses préoccupations face à ces développements récents à la RTS.

Les Bleus se qualifient en quart de finale de l’Euro 2024 après une victoire laborieuse sur la Belgique

Ce jeudi 1er juillet, l’équipe de France de football a assuré sa place en quart de finale de l’Euro 2024 en battant une équipe belge résistante. Malgré un match peu spectaculaire en termes d’occasions de but, les Français ont réussi à s’imposer grâce à un but chanceux marqué à la 85e minute par Randal Kolo Muani, dont le tir a été dévié par un défenseur belge.

Le match a débuté avec une intensité palpable des deux côtés, mais les deux équipes ont eu du mal à se créer des occasions nettes. Les Bleus ont progressivement pris l’ascendant en seconde période, poussant la défense belge à ses limites. C’est finalement sur une action imprévue que la France a trouvé l’ouverture, Muani bénéficiant d’un ricochet malheureux pour les Belges.

Avec cette victoire, la France se tourne désormais vers les quarts de finale où elle affrontera soit le Portugal, soit la Slovénie. Une éventuelle confrontation avec le Portugal serait particulièrement attendue, promettant un choc de titans entre deux des meilleures équipes du continent. Cette perspective rappelle également l’imminente confrontation entre l’Allemagne et l’Espagne, soulignant l’intensité de la compétition à ce stade avancé de l’Euro 2024.

Les supporters français retiennent leur souffle en attendant de savoir qui sera le prochain adversaire des Bleus. Avec leur détermination et leur capacité à saisir les opportunités, l’équipe dirigée par Didier Deschamps se prépare à défier toutes les prévisions pour avancer encore plus loin dans ce tournoi européen passionnant.

Ngoné Ndour Réélue Présidente du Conseil d’Administration de la SODAV avec 33 Voix

Ce lundi 1er juillet 2024, dans les locaux de la Société Sénégalaise du Droit d’Auteur et Droits Voisins (SODAV), s’est déroulée l’élection du Président du Conseil d’Administration (PCA). Cette élection faisait suite à une Assemblée Générale ordinaire où douze nouveaux membres ont intégré le conseil, portant à 36 le nombre total de membres, avec 34 présents et 2 votant par procuration.

Deux candidats étaient en lice pour le poste très convoité de PCA : Ngoné Ndour, déjà en poste et Djiby Guissé, artiste respecté. Après un dépouillement supervisé par un jury, Ngoné Ndour a été réélue pour la troisième fois consécutive avec une majorité écrasante de 33 voix, contre seulement 3 pour son adversaire, Djiby Guissé.

Dans une déclaration après sa réélection, Ngoné Ndour a exprimé sa gratitude pour la confiance renouvelée en sa personne et a souligné l’importance des défis à venir pour la SODAV : « Ce qui est important pour nous, ce sont les missions qui nous attendent. On a beaucoup de choses à faire, beaucoup de choses à corriger parce que nul n’est parfait. On a beaucoup de challenges à relever. » Elle a également mentionné des projets clés tels que la rémunération de la copie privée, le déplafonnement de l’agrément de la SODAV et les modifications du statut de l’entreprise.

La PCA réélue a félicité son adversaire, Djiby Guissé, pour sa participation démocratique et a remercié le directeur général Aly Bathily ainsi que tous les employés de la SODAV pour leur soutien et leur professionnalisme. « Je pense que c’est la continuité que les gens ont choisie. Merci beaucoup et je ne vous décevrai pas », a-t-elle conclu.

De son côté, Djiby Guissé a salué la victoire de Ngoné Ndour en affirmant : « J’ai essayé de faire mon devoir par rapport à mon avenir, par rapport à mon environnement culturel et je sais que j’ai la capacité de changer. Maintenant, c’est un travail, il n’y a pas deux clans. Ce qui compte, c’est l’amélioration des conditions des acteurs culturels. C’est ma sœur et elle restera toujours ma sœur. »

L’élection de Ngoné Ndour pour un troisième mandat consécutif à la tête de la SODAV marque un nouveau chapitre dans la gestion des droits d’auteur et droits voisins au Sénégal, promettant une continuité dans les efforts pour soutenir et protéger les artistes et créateurs culturels du pays.

Mauritanie : Réélection de Ghazouani au Milieu de Contestations et de Défis

Le président sortant de la Mauritanie, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a été réélu pour un second mandat dès le premier tour des élections présidentielles avec 56,12% des voix, selon les résultats provisoires annoncés par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). Cette victoire confirme sa position à la tête de ce pays stratégique de l’Afrique du Nord, situé à la frontière du Sahel.

Des partisans enthousiastes se sont rassemblés à Nouakchott pour célébrer la réélection de Ghazouani, saluant ce qu’ils considèrent comme une garantie de stabilité et de continuité dans un contexte régional marqué par l’instabilité due au jihadisme et aux coups d’État.

Contexte électoral et réactions :

L’élection a été marquée par la participation de plusieurs candidats, dont l’opposant Biram Dah Abeid, connu pour son combat contre l’esclavage persistant en Mauritanie. Abeid, arrivé deuxième avec 22,10% des voix, a contesté les résultats, dénonçant des « fraudes massives ». Cette contestation a conduit à des tensions et à des manifestations sporadiques à Nouakchott, malgré les appels à la paix lancés par Abeid.

Le gouvernement mauritanien, par l’intermédiaire du ministre de l’Intérieur, a averti contre toute forme de perturbation de l’ordre public, soulignant son engagement à maintenir la tranquillité nationale.

Défis et priorités pour le second mandat :

Ghazouani, ancien militaire élu pour la première fois en 2019, a placé la jeunesse et l’aide aux plus démunis au cœur de son programme. Avec une population où plus de 70% ont moins de 35 ans, il s’agit d’un enjeu crucial pour le pays, confronté à une émigration croissante des jeunes en quête de meilleures opportunités à l’étranger.

Sur le plan économique, la Mauritanie prévoit une croissance moyenne de 4,9% pour la période 2024-2026, soutenue par le début de la production de gaz prévu au second semestre 2024. La gestion de l’inflation, qui devrait diminuer à 2,5% en 2024, reste également un objectif prioritaire.

Stabilité régionale et perspectives internationales :

La réélection de Ghazouani intervient dans un contexte de relative stabilité sécuritaire en Mauritanie, le pays n’ayant pas subi d’attaque jihadiste majeure depuis 2011. Cette stabilité est cruciale alors que les pays voisins, comme le Mali, font face à des défis sécuritaires accrus.

En conclusion, alors que les résultats électoraux doivent encore être validés par le Conseil constitutionnel, la réélection de Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani souligne la volonté des Mauritaniens de poursuivre sur la voie de la stabilité et du développement économique. Les défis à venir incluront la consolidation des acquis économiques et sociaux ainsi que la gestion des tensions politiques internes.

La communauté internationale, observatrice attentive, attendra de voir comment le président réélu répondra aux défis nationaux et régionaux au cours de son second mandat.

AVENIR DU DUO DIOMAYE-SONKO : LES SALTIGUÉS PRÉDISENT UNE FIN TRAGIQUE

Ce dimanche à Sandiara, les Saltigués du Djeguem ont une fois de plus convoqué leurs pouvoirs divinatoires lors de la cérémonie annuelle de « Xoy ». Parmi les révélations notables de cette année, les devins sérères ont prédit un avenir semé de défis et de précautions pour le Sénégal.

Les devins ont évoqué des tensions potentielles entre le tandem politique constitué de Bassirou Diomaye Diakhar Faye et Ousmane Sonko. Ils recommandent des offrandes spécifiques pour apaiser les énergies et favoriser la stabilité politique du pays. Notamment, ils ont prescrit le sacrifice de deux bœufs blancs en l’honneur de Mama Ngedj, une divinité locale.

En ce qui concerne la sécurité routière, les Saltigués ont mis en garde les conducteurs de motos et de taxis sur le tronçon Sandiara-Ndiaganiao, prédisant une augmentation des accidents. Ils ont également prédit un hivernage particulièrement abondant, conseillant aux agriculteurs de récolter rapidement avant l’arrivée des pluies intenses.

Dans un geste de solidarité communautaire, les devins ont appelé chaque père de famille à donner un kilogramme de sucre en aumône pendant l’hivernage. Cette pratique vise à renforcer les liens sociaux et à promouvoir l’entraide au sein de la société sénégalaise.

Malgré les défis prévus, les Saltigués ont assuré que le Sénégal connaîtra une période de paix et de calme dans les années à venir. Leur optimisme reflète leur confiance dans la capacité du pays à surmonter les obstacles grâce à la vigilance et à la prévoyance.

En conclusion, la cérémonie de divination « Xoy » des Saltigués du Djeguem a une fois de plus captivé l’attention, offrant des insights précieux sur l’avenir du Sénégal et appelant à la préparation et à la résilience face aux défis à venir.

Le Magal de Touba 2024 : Une célébration de paix et d’unité au Sénégal

Lors du CRD du Grand Magal de Touba 2024, Cheikh Bassirou Mbacké Abdou Khadre, porte-parole du Khalife Général des Mourides, a souligné l’importance cruciale de cet événement religieux pour la stabilité et l’harmonie au Sénégal. Il a affirmé que le Magal joue un rôle essentiel dans la promotion d’une paix durable dans le pays.

Le Magal de Touba, commémorant le départ en exil de Cheikh Ahmadou Bamba, est non seulement une manifestation de dévotion religieuse mais aussi un rassemblement national. Selon Cheikh Bassirou Mbacké Abdou Khadre, cette célébration unit toutes les composantes de la société sénégalaise dans un même élan de ferveur et de fraternité. Il a souligné que même des non-disciples de Cheikh Ahmadou Bamba et des non-musulmans participent à cet événement spirituel majeur, témoignant de son caractère inclusif et de son impact transcendant les frontières religieuses.

Le CRD du Grand Magal s’est déroulé sous la supervision du gouverneur de la région de Diourbel, en présence de nombreux membres du comité d’organisation du 18 Safar. Cette rencontre a permis de mettre en lumière l’organisation impeccable de l’événement et son importance sociale et religieuse pour le Sénégal.

Le Magal de Touba ne se limite pas à une simple célébration religieuse, mais il est aussi un moment de réflexion collective sur les valeurs d’unité, de tolérance et de coexistence pacifique. En tant que symbole de la spiritualité et de la diversité sénégalaise, il continue de jouer un rôle central dans le maintien de la paix et de la solidarité nationale.

En conclusion, Cheikh Bassirou Mbacké Abdou Khadre a appelé à reconnaître pleinement l’impact positif du Magal sur la société sénégalaise, affirmant que son influence va bien au-delà des frontières religieuses pour englober tous les citoyens dans une quête commune de paix et de prospérité.

Cette déclaration souligne une fois de plus que le Magal de Touba reste une force unificatrice et un pilier de la paix au Sénégal, unissant les cœurs et les esprits dans un esprit de communion et de respect mutuel.

Deux jeunes perdent la vie dans une tragique course de motos à Tivaouane

La ville de Tivaouane est endeuillée après un terrible accident qui a coûté la vie à deux jeunes âgés entre 16 et 18 ans, survenu dans la nuit du samedi au dimanche dernier.

Les victimes ont trouvé la mort lors d’une course de motos tragique à l’entrée de Tivaouane. Selon un témoin oculaire, le premier jeune est tombé de sa moto, provoquant ainsi une chaîne d’événements fatals. Le second, roulant à grande vitesse, a perdu le contrôle et heurté violemment la moto du premier, aggravant encore la situation.

Les corps des victimes ont été transportés à la morgue de l’hôpital de Tivaouane, avant d’être remis à leurs familles pour les funérailles.

Il est à rappeler que l’entrée de Tivaouane est un endroit particulièrement dangereux pour les courses de motos, notamment celles impliquant des motos Jakarta. Les jeunes de la région ont l’habitude de converger vers ces zones tard le soir les week-ends pour des activités de ce genre, malgré les risques encourus.

Cet accident tragique soulève une fois de plus la nécessité de renforcer la sécurité routière dans cette région et de sensibiliser la jeunesse aux dangers des courses de motos non réglementées.

Nouveau Secrétaire Général au Conseil Supérieur de la Magistrature : Mamadou Diop nommé par le Président Diomaye

Un récent décret signé par le président Bassirou Diomaye Faye a marqué un changement notable au sein du secrétariat du Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM). Le magistrat Mamadou Diop a été désigné pour occuper le poste de secrétaire général, succédant ainsi à Alioune Ndiaye, appelé à d’autres responsabilités.

Mamadou Diop apporte une vaste expérience à cette fonction, ayant déjà servi en tant que secrétaire général au ministère de la Justice. Sa nomination, effective à partir du 27 juin selon le décret présidentiel, le voit cumuler ces deux rôles stratégiques.

Cette décision reflète l’engagement du président Diomaye Faye à renforcer l’administration judiciaire et à maintenir l’efficacité du CSM. Les ministres de la Justice, des Finances et du Budget sont chargés de veiller à l’exécution de cette nomination, soulignant ainsi l’importance accordée à cette transition au sein de l’appareil judiciaire national.

Le Conseil Supérieur de la Magistrature joue un rôle crucial dans la supervision et la gestion des magistrats au Sénégal, garantissant ainsi l’indépendance et l’intégrité du système judiciaire. La nomination de Mamadou Diop s’inscrit dans cette volonté de maintenir des normes élevées de professionnalisme et de transparence au sein de l’institution.

Cette nouvelle étape marque un tournant significatif pour le CSM, sous la direction éclairée du président Diomaye Faye, promettant une gestion dynamique et une gouvernance judiciaire robuste pour les années à venir.

Tensions Politiques au Sénégal : Conflit Entre Autorités Locales et Gouvernement Central

Une récente série de déguerpissements orchestrés par les autorités locales sénégalaises a ravivé les tensions politiques, mettant en lumière des divisions profondes au sein de la coalition au pouvoir. Le Premier ministre s’est retrouvé au centre de la controverse, suscitant des critiques acerbes de la part des partisans du maire de Grand-Yoff, Madiop Diop, affilié à Khalifa Sall.

L’incident a débuté avec une déclaration incisive de Madiop Diop, soulignant que le Premier ministre semblait ignoré des directives antérieures concernant les déguerpissements. Ces derniers, initiés conformément à la circulaire ministérielle du 7 mai 2024, visaient à désencombrer les voies publiques de commerces non autorisés. Le maire a réagi suite à un commentaire de Ousmane Sonko sur les réseaux sociaux, accusant le gouvernement de mener des opérations sans consultation adéquate avec les autorités locales.

La visite annoncée du Premier ministre à Colobane le 30 juin, lieu d’une des opérations de déguerpissement controversées, a alimenté les critiques. En déclarant ne pas être informé des actions locales, le gouvernement a intensifié les tensions avec les administrations municipales, déjà sensibles à l’ingérence perçue de la part du gouvernement central.

Madiop Diop n’a pas mâché ses mots, accusant les nouvelles autorités de chercher à discréditer les maires locaux, en particulier ceux affiliés à des groupes politiques indépendants comme Taxawu Sénégal. Il a souligné que les premières opérations de déguerpissement avaient eu lieu dans des municipalités sous leur contrôle, insinuant une manœuvre politique pour affaiblir leurs adversaires.

Cette série de rebondissements révèle des fissures significatives au sein de la coalition au pouvoir, exacerbées par des rivalités politiques préexistantes. Alors que le gouvernement cherche à consolider son soutien et à renforcer son contrôle sur les municipalités, les tensions entre les autorités locales et le pouvoir central pourraient continuer à influencer la dynamique politique du Sénégal dans les mois à venir.

Scandale Foncier à Mbour 4 : Révélations Choc de Ousmane Sonko

Lors d’une visite officielle à Anse Bernard, le Premier Ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a mis au jour un réseau de corruption foncière d’une ampleur ahurissante à Mbour 4. Il a déclaré que plus de 70 000 parcelles ont été illégalement récupérées des mains de fonctionnaires de l’État et de politiciens influents.

Ce scandale, selon M. Sonko, dépasse l’entendement avec des pratiques de « dispatching illégal foncier » qui ont proliféré dans la région. Les parcelles récupérées sont le résultat de lotissements clandestins orchestrés sans respect pour les procédures légales et administratives en vigueur.

Le Premier Ministre a souligné que des directives strictes émanant du chef de l’État ont été immédiatement mises en œuvre pour mettre un terme à ces pratiques illégales. Aucune négociation ne sera tolérée dans cette affaire, a-t-il affirmé.

Ce développement soulève de sérieuses préoccupations quant à la gestion transparente des ressources foncières au Sénégal et met en lumière l’ampleur de la corruption qui gangrène certains secteurs du gouvernement et de la politique locale.

Les autorités s’engagent à enquêter rigoureusement sur ces allégations et à prendre des mesures fermes contre tous ceux impliqués dans ces opérations frauduleuses. La lutte contre la corruption foncière reste une priorité essentielle pour restaurer la confiance du public et assurer une gestion équitable et responsable des ressources nationales.

Cette affaire met en lumière l’importance cruciale de la transparence et de la bonne gouvernance dans la gestion des terres au Sénégal, un aspect fondamental pour le développement durable et l’équité sociale à long terme.

Tensions et espoirs à Colobane : la visite d’Ousmane Sonko suscite débat et réflexion

Le quartier de Colobane à Dakar a été le théâtre d’une mobilisation impressionnante ce dimanche 30 juin, attirant une foule considérable venue écouter Ousmane Sonko, leader du mouvement Pastef. Cette visite survient dans le sillage d’une opération de désencombrement controversée, récemment menée dans cette zone historique de la capitale sénégalaise.

Depuis son véhicule, Sonko s’est adressé à ses partisans, affirmant n’avoir été informé de l’opération qu’au dernier moment, malgré une circulaire ministérielle datant du 7 mai. « Le président de la République m’a contacté avant-hier pour m’informer qu’il entendait parler de déguerpissements depuis plusieurs jours. Je lui ai répondu que je l’avais appris par la presse », a-t-il déclaré, soulignant une communication lacunaire entre les autorités et les parties concernées.

Les critiques de Sonko ne se sont pas limitées à la gestion de l’information. Il a exprimé des préoccupations quant aux conditions dans lesquelles les commerçants ont été contraints de quitter leurs lieux de travail. « L’occupation désordonnée est à déplorer, mais il est tout aussi regrettable de constater l’absence de mesures d’accompagnement », a-t-il martelé, appelant à un soutien adéquat pour les personnes affectées.

Face à la frustration palpable parmi les commerçants délogés, Sonko a appelé à la patience et à la compréhension : « Vous savez que tout le monde ne peut pas obtenir une place à Sandaga ou dans un autre marché. Il faut faire preuve de compréhension le temps que des solutions soient trouvées ».

En réponse à cette situation tendue, le gouvernement a annoncé une initiative de concertation. Le Premier ministre a déclaré : « Le président de la République réunira tous les acteurs concernés, y compris vous, les marchands, les municipalités, ainsi que les riverains, pour trouver une issue qui soit avantageuse pour chacun ». Cette démarche vise à restaurer l’équilibre dans un quartier emblématique en proie à des tensions grandissantes.

Le défi qui attend le gouvernement est de parvenir à concilier les intérêts divergents des commerçants déplacés, des autorités locales et des riverains, tout en assurant une gestion urbaine responsable et inclusive. Dans cette quête d’harmonisation, l’avenir de Colobane dépendra de la capacité à trouver des solutions durables et équitables pour toutes les parties prenantes.

La visite d’Ousmane Sonko et les réactions qu’elle a suscitées illustrent non seulement les défis urbains contemporains à Dakar, mais aussi la volonté de résoudre ces problèmes de manière transparente et concertée.

La dette sénégalaise sous scrutateur : Analyse des propos de Doudou Wade

L’ancien président du groupe parlementaire libéral, Doudou Wade, a exprimé des inquiétudes concernant la croissance rapide de la dette du Sénégal, atteignant un record de 1.150 milliards de francs CFA prévus pour octobre. Dans une récente interview à la Rts, Wade a souligné que cette augmentation est sans précédent dans l’histoire du pays, critiquant la gestion actuelle comme difficile et exigeant une approche sérieuse des problèmes urgents. Alors que le pays se concentre sur la gestion de cette dette croissante, Wade a averti contre la complaisance et l’importance de résoudre les problèmes laissés par les précédents régimes.

Réforme en profondeur à la RTS : Pape Alé Niang dévoile des pratiques controversées

Dans le cadre d’une récente inspection à la RTS, Pape Alé Niang, le nouveau directeur général, a révélé plusieurs anomalies financières et administratives qui secouent la chaîne publique. Selon un rapport exclusif du journal Libération, chaque 30 juin, les employés se partagent une enveloppe annuelle de 200 millions de francs CFA, désignée sous le nom de « fonds communs ». Cette pratique, similaire à celle des régies financières, fait l’objet d’un examen minutieux dans le contexte de la nouvelle gouvernance post-électorale.

En plus de ces révélations, Pape Alé Niang a déjà pris des mesures drastiques, incluant le blocage d’un accord salarial controversé signé juste avant le changement de régime, qui aurait augmenté les salaires des travailleurs de près de 80 %. Cette décision a été prise en attente des directives du Président Bassirou Diomaye Faye concernant un décret signé par l’ancien président Macky Sall, portant sur un nouveau mode de financement de la RTS, mais qui n’avait pas encore été mis en œuvre légalement.

Par ailleurs, une mission de l’Inspection Générale d’État est prévue à la RTS pour examiner de près les pratiques et les finances de la chaîne. Actuellement, un audit est également en cours par un cabinet externe pour évaluer la situation financière et administrative dans son ensemble.

Enfin, Pape Alé Niang a entrepris des actions pour rectifier d’autres irrégularités notables, telles que la suspension de plus de 200 lignes téléphoniques attribuées de manière inappropriée, notamment à des retraités, ainsi que la récupération de véhicules affectés « de manière illégale ».

Cette série de réformes et d’investigations vise à restaurer la transparence et l’efficacité au sein de la RTS, alignant ainsi la chaîne publique sur les standards de bonne gouvernance promus par le nouveau régime.

Crise à Colobane : Ousmane Sonko critique l’absence de mesures d’accompagnement et prône une meilleure communication

Lors d’une intervention à Colobane, le Premier Ministre Ousmane Sonko a exprimé des préoccupations concernant les récentes opérations de déguerpissement. Il a souligné que l’État, les collectivités locales et les citoyens partagent la responsabilité de l’occupation anarchique des marchés. Cependant, il a critiqué l’absence de mesures d’accompagnement après les déguerpissements, appelant à davantage de soutien pour les personnes affectées.

Accompagné du ministre de l’urbanisme Moussa Balla Fofana et du préfet local, le Premier Ministre a insisté sur la nécessité d’une communication accrue avec les commerçants, soulignant que ces derniers doivent être intégrés dans le processus de relocalisation. Il a également appelé les marchands ambulants à coopérer en acceptant les sites alternatifs proposés, en attendant des solutions durables pour leurs activités commerciales.

La situation à Colobane continue de susciter des inquiétudes, avec des appels pour une approche plus équilibrée entre régulation urbaine et soutien social aux populations touchées.

Oumar Sow critique vivement Ousmane Sonko pour son refus de présenter sa Déclaration de Politique Générale à l’Assemblée nationale

Dans un message directement adressé au Premier ministre, Oumar Sow, ancien ministre Conseiller, a exprimé de vives critiques à l’encontre d’Ousmane Sonko concernant son choix de ne pas présenter sa Déclaration de Politique Générale (DPG) devant l’Assemblée nationale. Oumar Sow a souligné l’importance fondamentale de cette obligation constitutionnelle et a mis en garde contre les possibles répercussions sur la stabilité démocratique et institutionnelle du Sénégal. Il enjoint le Premier ministre à respecter ses responsabilités et à témoigner du respect dû aux institutions de la République.

Voici l’intégralité de sa publication !

«A Monsieur le Premier Ministre, Ousmane Sonko

Il est regrettable de constater votre refus de vous soumettre à une obligation constitutionnelle aussi fondamentale que la présentation de votre Déclaration de Politique Générale (DPG) devant l’Assemblée nationale. La Constitution du Sénégal, en tant que loi suprême, est au-dessus de tout texte régissant notre Assemblée nationale. Ignorer cette obligation, c’est bafouer les principes mêmes de notre République.

Votre posture actuelle soulève de sérieuses inquiétudes quant à votre compréhension du rôle de Premier ministre dans notre régime présidentiel. Vous n’êtes pas au-dessus des lois ni des institutions. Votre devoir est de travailler en harmonie avec elles, et non de défier l’ordre établi.

Le refus de présenter votre DPG devant l’Assemblée nationale est un acte grave qui pourrait précipiter une crise institutionnelle. Cette attitude, loin d’être constructive, risque de fragiliser notre démocratie et de semer le désordre. Il est impératif que vous respectiez les engagements et les devoirs de votre fonction.

Il est crucial de comprendre que le Sénégal est une démocratie respectueuse de la séparation des pouvoirs. Vos actions doivent refléter cette réalité. Présenter votre DPG devant l’Assemblée nationale est non seulement une obligation légale, mais aussi un acte de transparence et de respect envers les représentants du peuple sénégalais.

Arrêtez votre « gatsa gatsa » à vos combats politiques.

Monsieur le Premier Ministre, le Sénégal mérite un leadership qui honore ses institutions et qui travaille pour le bien commun. Reconsidérez votre position et montrez à nos concitoyens que vous êtes un homme d’État digne de cette grande nation.

Respectueusement.
Oumar SOW »

Tensions en Asie : La Corée du Nord met en garde contre les exercices militaires conjoints

Le dimanche 30 juin, la Corée du Nord a vivement critiqué les récents exercices militaires entre la Corée du Sud, le Japon et les États-Unis, les qualifiant de « version asiatique de l’OTAN » et a averti des « conséquences fatales » qui pourraient en découler.

Les exercices de trois jours, nommés « Freedom Edge », se sont concentrés sur les missiles balistiques, la défense aérienne, la guerre sous-marine et la cyberdéfense et se sont terminés le samedi 29 juin.

L’année dernière, lors d’un sommet trilatéral, les dirigeants des États-Unis, de la Corée du Sud et du Japon ont décidé d’organiser ces exercices annuels pour montrer leur unité face aux menaces de la Corée du Nord, qui possède des armes nucléaires, ainsi que face à l’influence croissante de la Chine dans la région.

Dans un communiqué diffusé dimanche par l’agence KCNA, le ministère des Affaires étrangères nord-coréen a déclaré : « Nous dénonçons fermement (…) les provocations militaires contre la Corée du Nord. » Il a également averti que les relations entre les États-Unis, le Japon et la Corée du Sud ressemblent de plus en plus à une « version asiatique de l’OTAN » et a mis en garde contre des « conséquences fatales ». Pyongyang a affirmé qu’il ne tolérerait pas les actions visant à renforcer un bloc militaire dirigé par les États-Unis et leurs alliés.

Ces exercices ont vu le déploiement du porte-avions américain à propulsion nucléaire USS Theodore Roosevelt, du destroyer lance-missiles japonais JS Atago et de l’avion de chasse sud-coréen KF-16. Pour Pyongyang, de tels exercices combinés représentent des répétitions en vue d’une éventuelle invasion.

La situation reste tendue en Asie, avec des échanges de critiques et de mises en garde entre la Corée du Nord et ses voisins, ainsi qu’avec les États-Unis, dans un contexte où les tensions géopolitiques sont exacerbées par les ambitions nucléaires de Pyongyang et les dynamiques de puissance régionale.

Révélation Gouvernementale : Ousmane Sonko enquête sur les activités littorales à Dakar

Ce dimanche après-midi, le Premier Ministre Ousmane Sonko effectuera une série de visites stratégiques à Dakar, non pas pour une simple promenade, mais pour superviser de près les opérations du Jub Jubël Jubënti. « Depuis quelques jours, les collectivités territoriales ont lancé une série de déguerpissements et de désencombrements », a déclaré le gouvernement. À 15h30, à Colobane, Sonko transmettra un message urgent du président Bassirou Diomaye Faye. Ensuite, il se rendra à la plage Hanse Bernard pour révéler des découvertes troublantes dans le cadre des enquêtes sur le littoral.

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