Match entre l’Aj Auxerre u16 et Racing Besançon  terminé sur le score de 2-0.

Ce 23 mars l’Aj Auxerre du franco- Sénégalais Ibrahim KANOUTÉ à jouer contre racing Besançon.
A cheval entre les u16 et u17 nationaux, Ibrahima été aligné en piston gauche poste qu’il a géré a merveil. Sa performance été remarquable assortie d’une belle victoire de son équipe 2-0.

Solidarité/RSE: SWAMI Agri donne 2900 kits alimentaire aux populations de MBANE.

Swami Agri poursuit son engagement social à travers une troisième édition de distribution de kits alimentaires aux populations de la commune de Mbane. Cette année, 2 900 kits d’une valeur de 61 millions de francs CFA ont été offerts, marquant une augmentation par rapport aux 2 500 kits distribués l’an dernier.
Les populations de la commune de Mbane ont reçu 2 900 kits alimentaires, composés de riz, de pommes de terre, de sucre, d’huile, de dattes et de thé. Une initiative hautement saluée en cette période de Ramadan.

Selon Ousmane Niang, Directeur Administratif de Swami Agri, cette troisième édition de la distribution de « Soukeurou Koor » revêt une importance particulière, avec une augmentation notable du nombre de kits, passant de 2 500 l’année dernière à 2 900 cette année.

Profitant de la cérémonie de lancement officiel, M. Niang est revenu sur les autres actions entreprises dans le cadre de son programme de responsabilité sociétale d’entreprise (RSE). Parmi elles, l’adduction en eau potable pour plus de 15 villages, un programme d’appui à l’agriculture qui accompagne les paysans dans l’irrigation et l’aménagement des terres, ainsi que la construction de plusieurs infrastructures scolaires pour favoriser l’éducation des enfants de la localité.

Le volet sanitaire n’est pas en reste, les soins des populations souffrant de certaines pathologies ont été pris en charge gratuitement.

Présent lors de l’événement, l’adjoint au sous-préfet de l’arrondissement de Mbane, Abib Mbaye, a salué ces efforts et encouragé les initiateurs à pérenniser ces initiatives. Il a également lancé un appel aux autres entrepreneurs agricoles opérant dans la zone à  jouer leur partition pour le développement local.

Solidarité/RSE: SWAMI Agri donne 2900 kits alimentaire aux populations de MBANE.

Promovilles Rufisque/Canal de l’ouest: Les travaux prennent forme au bénéfice des rufisquois…

Ce mercredi 19 mars le nouveau coordonnateur national du PROMOVILLE S M. Serigne NDIAYE, accompagné de son équipe, a choisi la ville de Rufisque pour effectuer sa première visite des chantiers afin d’évaluer l’état d’avancement des travaux et rencontrer les populations bénéficiaires des ouvrages.
Cette visite est effectuée en présence du Préfet de Rufisque, du maire de la ville Dr Oumar CISSE et des autres maires, Après une présentation générale des projets d’infrastructures initiés pour la ville de Rufisque, par les chefs de projet Mme MBALLO Ndéye Saphie SEBOR et M. Balla Gueye, la délégation a visité l’ensemble des tronçons en cours de réalisation notamment :

les travaux de voiries assainies et éclairées du Boulevard Maurice Gueye en 2×2 voies, sur un linéaire de 2,91 km dont 0,5 km pour la réhabilitation de la route du quai de pêchel’installation et mise en service de 329 lampadaires ;les travaux de drainage des eaux pluviales sur le Boulevard Maurice Gueye avec sur un linéaire de 2,52 km ;les travaux de drainage des eaux usées sur le boulevard sur un linéaire de 1,100 km  ;la fermeture du canal de l’ouest sur un linéaire 600m ;la construction et l’équipement de la station de pompage ;la pose de pavés d’un linéaire de 11564 m2 sur le long du canal côté droit ;l’aménagement d’espace de détente sur le canal ;la pose de bancs publics.
Ce déplacement a aussi été l’occasion de visiter les travaux de pavage réalisés dans le cadre du programme XEYU NDAW NI sur le tronçon ACAPES – SOCOCIM d’un linéaire de 2,5 km.

Dans son intervention, le Coordonnateur  Nationale du PROMOVILLES à souligné la célérité actuelle des travaux et a remercié particulièrement l’engagement des autorités nationales notamment le Président de la République son Excellence M. Bassirou Diomaye Diakhar FAYE et le Premier Ministre M. Ousmane SONKO pour tous les efforts consentis à relancer les travaux du canal de l’Ouest et du Boulevard Maurice Gueye dès leur accession au pouvoir.

PROMOVILLES Rufisque/Canal de l'ouest: Les travaux prennent forme au bénéfice des rufisquois...

Swami agri/production de 105 000T : Mabouba DIAGNE s’en félicite et émet l’espoir pour l’autosuffisance…

Revenant sur sa présence a la cérémonie Dr Mabouba Diagne a salué les efforts de SWAMI AGRI, soulignant l’importance de cette collaboration pour atteindre la souveraineté alimentaire. » Swami agri nous a séduit avec ces infrastructures ultra moderne qui répond aux normes les plus récentes. »

il poursuit » l’Etat ne peut pas tout faire mais j’ai bon espoir qu’avec l’accompagnement d’un secteur privé fort nous pouvons être optimiste pour la souveraineté alimentaire. »

Cette inauguration marque un tournant décisif pour l’agriculture sénégalaise. Avec des infrastructures modernes, une production en hausse et une collaboration renforcée entre l’État et le secteur privé.

Swami agri/production de 105 000T : Mabouba DIAGNE s'en félicite et émet l'espoir pour l'autosuffi..

Inauguration de la chambre froide de 15 000 tonnes de SWAMI AGRI : Un pas de géant vers la souveraineté alimentaire du Sénégal.



Ce 14 mars 2025, une cérémonie historique a marqué l’inauguration de la nouvelle chambre froide de SWAMI AGRI, d’une capacité de 15 000 tonnes, en présence du Dr Mabouba Diagne, Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage, de son collègue Dr Serigne Gueye Diop, Ministre du Commerce et des Industries, et de son Secrétaire d’État au Développement des PME et PMI, Monsieur Ibrahima Thiam. Étaient également présents le gouverneur de la région de Saint-Louis, les autorités administratives et locales, les producteurs de Mbane, ainsi que les partenaires techniques et financiers. 

Cet événement symbolise une avancée majeure dans la quête de l’autosuffisance alimentaire du Sénégal. Avec cette nouvelle infrastructure, SWAMI AGRI porte désormais sa capacité totale de stockage à 105 000 tonnes, renforçant ainsi sa capacité à réguler le marché et à réduire les pertes post-récolte. Cette chambre froide, la huitième du genre, s’inscrit dans une vision stratégique visant à garantir une disponibilité continue de pommes de terre et d’oignons tout au long de l’année, tout en soutenant les petits producteurs locaux. 

**Des chiffres qui parlent d’eux-mêmes** 
– **95 milliards de FCFA** investis par SWAMI AGRI dans des infrastructures agricoles modernes, des équipements et des chambres froides. 
– **120 000 tonnes** de pommes de terre produites en 2025, avec une ambition d’atteindre **150 000 tonnes** en 2026. 
– **30 000 tonnes** d’oignons produits en 2025, en progression vers un objectif de **50 000 tonnes** en 2026. 
– **3 500 emplois** créés, contribuant au développement économique local et national. 

Une synergie public-privé au service de l’agriculture sénégalaise** 
Le Dr Mabouba Diagne a salué les efforts de SWAMI AGRI, soulignant l’importance de cette collaboration pour atteindre la souveraineté alimentaire. « Cette chambre froide est bien plus qu’une infrastructure ; c’est un pilier essentiel pour réduire les pertes post-récolte et garantir la disponibilité des produits agricoles toute l’année. »

Le Ministre du Commerce, Dr Serigne Gueye Diop, a quant à lui rappelé l’importance de la régulation des marchés et du soutien aux producteurs locaux. « Avec une production de 105 000 tonnes de pommes de terre cette année, nous sommes sur la bonne voie pour devenir autosuffisants et même excédentaires. Cette chambre froide est un outil clé pour y parvenir. »

Un avenir prometteur pour l’horticulture sénégalaise
SWAMI AGRI ne s’arrête pas là. La société prévoit d’installer sept nouvelles chambres froides équipées de systèmes solaires dans sept régions du Sénégal, pour un investissement total de 35,7 milliards de FCFA. Cette initiative vise à mailler le territoire national et à soutenir les petits producteurs, tout en réduisant la dépendance aux importations. 

Un appel à l’action
Le PCA de SWAMI AGRI, M. Souleymane Ndoye, a lancé un appel à l’ensemble des acteurs du secteur privé et public pour renforcer cette dynamique. « Investir dans l’agriculture, c’est investir dans l’avenir du Sénégal. Ensemble, nous pouvons faire de notre pays un leader régional en matière de production et de transformation agricole. »

Cette inauguration marque un tournant décisif pour l’agriculture sénégalaise. Avec des infrastructures modernes, une production en hausse et une collaboration renforcée entre l’État et le secteur privé, le Sénégal est sur la voie de la souveraineté alimentaire. 

Ensemble, cultivons l’avenir !

Chambre froide de 15 000 tonnes de SWAMI AGRI : Un pas de géant vers la souveraineté alimentaire.

Reprise du championnat nationale Français U17 ce 09 mars : l’AJ Auxerre d’Ibrahim KANOUTÉ fait match nul 1-1 contre le FC Lyon.

A l’issue d’un match apparemment disputé l’Aj Auxerre a fait match nul sur le score de 1-1 contre le FC Lyon.
Le Franco-sénégalais Ibrahim KANOUTÉ est rentré à la deuxième période, d’un apport précieux sur le flanc droit.
Le latéral droit agé de 16 ans a gagné de beaux duels en plus des montées offensives.
L’on peut dire que le Franco-sénégalais progresse remarquablement et constitue un apport pour la tanière sénégalaise.

AG DES ECLAIREUSES ET ECLAIREURS DU SENEGAL : Mody Ndiaye élu nouveau Commissaire Général.

Ce week-end, les Éclaireuses et Éclaireurs du Sénégal (Eeds) ont tenu leur assemblée générale annuelle, un événement marquant qui a rassemblé des membres venus des quatre coins du pays. À l’issue de cette rencontre, Mody Ndiaye a été élu nouveau Commissaire Général de l’association, succédant ainsi à Moussa Mbaye. Cette élection ouvre un nouveau chapitre pour le mouvement scout sénégalais, renforçant son engagement en faveur de la jeunesse et des valeurs citoyennes.L’assemblée générale, qui s’est déroulée dans une ambiance à la fois solennelle et fraternelle, a réuni des jeunes et des adultes engagés, tous animés par la volonté de contribuer au développement du scoutisme au Sénégal. Les débats et les échanges ont permis de dresser un bilan des actions passées et de définir les orientations futures pour l’association.Un nouveau leadership pour un avenir prometteurMody Ndiaye, le nouveau Commissaire Général, prend les rênes de l’association avec une vision claire et ambitieuse. Sous le slogan « Allumons la flamme d’un futur prometteur », il s’engage à renforcer l’impact du scoutisme sénégalais, à étendre le réseau des éclaireurs et à améliorer la formation des jeunes. Parmi ses priorités figurent la promotion des valeurs fondamentales du mouvement scout : la discipline, la solidarité et la responsabilité.Dans son discours d’investiture, Mody Ndiaye a souligné l’importance de l’inclusion et de l’engagement communautaire. « Le scoutisme est bien plus qu’un mouvement, c’est une école de vie qui forme des citoyens responsables et engagés. Notre mission est de préparer les jeunes à être des acteurs de changement dans leurs communautés », a-t-il déclaré.Une transition vers une nouvelle dynamiqueL’élection de Mody Ndiaye marque un tournant décisif pour les EEDS. Le mouvement scout sénégalais, fort de son héritage et de son ancrage dans les communautés, se projette désormais vers une nouvelle dynamique. L’objectif est de rendre le scoutisme plus inclusif, plus structurant et plus adapté aux défis actuels de la jeunesse sénégalaise.Moussa Mbaye, l’ancien Commissaire Général, a salué cette transition et exprimé sa confiance en la nouvelle équipe dirigeante. « Je suis fier du travail accompli et je suis convaincu que Mody Ndiaye saura porter haut les couleurs de notre mouvement. Le scoutisme sénégalais a un bel avenir devant lui », a-t-il affirmé.Un mouvement au service de la jeunesse

Les Éclaireuses et Éclaireurs du Sénégal continuent de jouer un rôle essentiel dans la formation des jeunes, en leur inculquant des valeurs de leadership, de service et de respect de l’environnement. Avec cette nouvelle équipe à sa tête, l’association entend renforcer ses programmes éducatifs, élargir sa présence sur l’ensemble du territoire national et collaborer davantage avec les institutions et les partenaires internationaux.Ce week-end a donc été l’occasion de célébrer non seulement une transition démocratique et pacifique, mais aussi de réaffirmer l’engagement des EEDS en faveur d’un scoutisme innovant et tourné vers l’avenir. La flamme allumée par ce mouvement continue de briller, portée par l’espoir d’un futur prometteur pour la jeunesse sénégalaise.

UC-FIATE SÉNÉGAL sponsorise la journée nationale de l’élevage prévue ce 22 février à Kaolack.

L’union coopérative des fournisseurs d’intrants agricole, des transformateurs et d’équipements par le biais de leur président M. Babou Khady Dieng, accompagne le secteur de l’élevage en perspective de la journée nationale de cette dernière prévue ce 22 février à Kaolack.


Créée le 27 juillet 2024, UC FIATE SÉNÉGAL est une société coopérative qui s’engage à transformer le secteur agricole au Sénégal avec un siège basé à hanne Mariste Dakar et un capital de 22 millions de FCFA.
Elle regroupe 39 membres fondateurs et attire continuellement de nouveaux adhérents dans toutes les régions du pays.


UC-FIATE se fixe pour mission de faciliter l’accès aux intrants agricoles de qualité, promouvoir des pratiques agricoles modernes et durables, et soutenir la transformation ainsi que la valorisation des produits agricoles pour répondre aux besoins du marché local et régional.


UC-FIATE favorise un élevage intensif et moderne grâce à nos solutions fourragères et alimentaires.

Éclaircissements de la cellule de Communication du maire de Rufisque Dr.Omar CISSÉ.

Nous avons appris avec surprise, ce dimanche matin 16 février 2025, l’annonce de la participation du Maire de la Ville de Rufisque, Dr Oumar Cissé, à l’émission Interpellation citoyenne sur le bilan à mi-parcours des Maires du département, diffusée sur la radio Jokko Fm.

Nous tenons à préciser que le Maire n’a jamais confirmé sa présence à cette émission en raison de contraintes liées à son agenda.

Par ailleurs, plusieurs invitations similaires nous ont été adressées par différents médias, certaines bien avant celle de Jokko Fm. Toutes ces sollicitations font l’objet d’un examen attentif dans le cadre d’un plan de communication structuré, garantissant une prise de parole organisée et efficace.

Le Maire et son équipe restent pleinement engagés à rendre compte de l’action municipale. Ainsi, une rencontre d’échanges avec les populations sera organisée, au moment opportun, pour présenter un bilan détaillé sur la gestion municipale en présence de la presse locale et nationale.

Le Maire de la Ville remercie chaleureusement l’ensemble des Rufisquois pour leur intérêt et leur engagement envers les actions municipales. Leurs contributions et encouragements témoignent de leur attachement au développement de notre ville.

Avec son équipe municipale, il demeure déterminé à poursuivre, avec rigueur et transparence, les efforts engagés pour le progrès de Rufisque.

Oumy Diakhate
Chargée de communication et porte-parole du Maire de la Ville de Rufisque.

Préserver au banc pour sa blessure au genoux, Ibrahima KANOUTÉ a assisté à la victoire de son équipe 1-0 face au FC Metz.

Blessé au genoux depuis environ deux semaines, Ibrahima KANOUTÉ à repris les entraînements en individuel.

Ce weekend passé, le latéral droit de l’AJ Auxerre âgé de 16ans a été préserver au banc devant la victoire de son équipe sur le score de 1-0 face au FC Metz en championnat U17.

Le franco-sénégalais demeure un atout majeur pour la sélection nationale du Sénégal.

Préserver au banc pour sa blessure au genoux, Ibrahima KANOUTÉ a assisté à la victoire de son équipe

Serigne Mansour GAYE : Un leader engagé pour le développement social et communautaireSerigne Mansour Gaye est une figure incontournable du développement social et communautaire au Sénégal.

Enseignant de formation, il a rapidement évolué vers la gestion des services sociaux en intégrant la Direction des Ressources Humaines du ministère de l’Éducation nationale en tant que Chef de bureau Promotion sociale. Son parcours exceptionnel est marqué par une expertise avérée dans l’accompagnement social et communautaire, renforcée par une licence en Développement communautaire et un diplôme de Conseiller en Travail Social (Hiérarchie A1 de l’administration sénégalaise, niveau bac +6).Au fil des années, il a consolidé ses compétences à travers des stages d’immersion dans des villages, lui permettant d’acquérir une compréhension fine des dynamiques locales et des besoins des populations vulnérables. Il a également élargi son champ d’action en obtenant un Master en Business Administration (MBA) en Gestion de projets au CESAG, faisant de lui un acteur clé capable d’allier sensibilité sociale et efficacité organisationnelle.Aujourd’hui, Chef du bureau Partenariat à la Direction Générale de l’Action Sociale (DGAS) du ministère de la Santé et de l’Action sociale, il continue d’œuvrer pour le renforcement des initiatives en faveur des couches les plus fragiles de la société.Un engagement associatif et politique affirméReconnu pour son leadership naturel et son engagement sans faille, Serigne Mansour Gaye est un modèle pour la jeunesse de sa communauté. Président de la plateforme Dangou Family, il a joué un rôle essentiel dans la gestion des urgences et crises locales, démontrant une grande capacité à mobiliser les ressources et à coordonner des interventions efficaces.Sur le plan politique, il a occupé le poste de Chargé de communication du parti ANDD-R et a été plénipotentiaire lors des élections locales de 2022, renforçant ainsi son expertise dans la gestion des affaires publiques et la compréhension des enjeux politiques et sociaux du pays.n tant que syndicaliste, il a exercé plusieurs responsabilités, notamment :Responsable des jeunes au sein du SNEEL/CNTS,Président du comité éducatif des jeunes au sein du central syndical CNTS,Secrétaire Général de l’Amicale des Conseillers en Travail Social.Le sport et l’éducation comme piliers du développementPassionné de football, il a évolué dans plusieurs équipes locales, notamment l’ASC Lébougui, et a participé activement aux Navétanes avec des clubs tels que Nguessou, Haloir, Deggo Darou Rahmane et Olympique de Missirah. Cette passion pour le sport a renforcé son engagement en faveur de l’éducation et de la jeunesse, le poussant à créer des initiatives favorisant l’insertion sociale par le sport et la formation.Le Réseau Social DIMBALENTE : Une vision pour l’avenirSerigne Mansour Gaye est aujourd’hui Président du Réseau Social DIMBALENTE, une organisation qui œuvre pour :L’insertion professionnelle des jeunes à travers des formations adaptées aux métiers de l’environnement et du développement durable.L’accompagnement des femmes, artisans et entrepreneurs vers des secteurs innovants liés au développement durable.L’information et l’orientation sociale pour faciliter l’accès aux services sociaux de base.La prise en charge des personnes âgées et leur intégration dans les dynamiques communautaires.Des résultats concrets et impactantsLors de la Journée exceptionnelle de consultation gratuite et de dons de médicaments organisée à l’école Ousmane Mbengue, le Réseau Social DIMBALENTE a enregistré :✅ 186 adultes consultés, dont 147 femmes.✅ 61 enfants (0-14 ans) consultés, dont 32 filles. 21 femmes dépistées pour le cancer du col.✅ 09 femmes en consultation gynécologique.✅ 29 femmes accompagnées en planification familiale.✅ 06 personnes handicapées enrôlées pour la carte d’égalité des chances.✅ 50 pulls offerts aux talibés.✅ 28 enfants en consultations psychologiques, avec des séances de psycho-éducation et de prévention des addictions comportementales.Un acteur clé du développement social au SénégalPar son engagement, sa vision et ses actions concrètes, Serigne Mansour Gaye incarne un modèle de leadership social. Son implication dans le développement communautaire, la formation, l’insertion professionnelle et la prise en charge des populations vulnérables fait de lui un acteur incontournable du progrès social au Sénégal.Toujours à l’écoute des besoins des citoyens, il continue d’œuvrer pour une société plus inclusive et solidaire, où chaque individu a les moyens de se construire un avenir meilleur.

Le retrait des Etats de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) de la CEDEAO : entre légitimité, effectivité et avenir de l’organisation régionale Ce mercredi 29 janvier 2025 marque la date de formalisation du divorce du Mali d’avec la CEDEAO.Un divorce regrettable…

Pourtant, lors des réunions (ministérielles et de Chefs d’Etat) de la CEDEAO de l’année 2023 sur les velléités des Etats de l’AES de quitter l’organisation, nous étions convaincus qu’ils n’allaient pas franchir le rubicond de claquer la porte de la maison communautaire et qu’ils allaient revenir sur leur volonté de se délier de l’organisation pour ne pas compromettre les acquis de plusieurs décennies de construction d’un modèle d’intégration, qui bien qu’imparfait, est bien meilleur que beaucoup d’autres expériences du genre sur le continent et dans le monde.
La lettre du Président de la Commission (Docteur Omar Alieu Touray) (en date du 13 janvier passé) adressée au ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale de la République du Mali, (Abdoulaye Diop) l’invitant à engager les formalités de séparation à compter du 29 janvier 2025 nous ramène à la dure et douloureuse réalité de l’effectivité du divorce avec plein d’incertitudes qui concernera aussi le Niger et le Burkina Faso.
Réserves sur des divorces engagés par des régimes de transition
Malgré le respect qu’il convient d’accorder à cette séparation qui constitue un risque sur la viabilité de l’organisation et l’avenir de l’intégration en Afrique de l’Ouest et, au-delà, en Afrique, l’on peut s’interroger sur le bien-fondé de la décision de retrait d’une organisation régionale de la part d’Etats dont les autorités sont dépourvues de la légitimité du suffrage universel et n’ont pas pris l’initiative d’une ratification populaire d’un acte de cette envergure de désaffiliation affectant le destin d’une communauté, quoi qu’on en dise, soudée par l’histoire, la géographie, la culture, l’économie et un ambitieux droit qui définit les principes de convergence constitutionnelle régissant le mode de vie politique de cet espace ; une communauté de droit qui récuse et sanctionne audacieusement la prise de pouvoir par des moyens portant atteinte aux bases ontologiques de l’intégration.
La décision unilatérale des juntes militaires de délier leurs Etats de leurs obligations vis-à-vis de la CEDEAO, même si elle est, bien sûr, conforme aux principes régissant les organisations internationales (dénonciation) et au traité fondateur de la Communauté (retrait), elle pose un problème de légitimité quant à la validité procédurale et substantielle de la démarche, tant en droit international qu’en droit interne. En effet, si, en droit international, l’effectivité du pouvoir peut parfois l’emporter sur la légitimité, en droit de l’intégration en revanche, on peut s’interroger sur l’admission automatique d’un retrait assumé par des autorités investies en violation des textes de la CEDEAO, notamment du Protocole de Dakar. Doit-on se limiter à la lettre du droit communautaire et laisser libre cours aux retraits ? Ou ne devrait-on pas, sans aller jusqu’à loi de l’enchaînement de l’Etat fédéré à l’Etat fédéral, davantage rigidifier la procédure de retrait, avec l’objectif de donner du temps et de la chance à la diplomatie intégrative. Ce qui pose le débat de la réforme institutionnelle de la CEDEAO après que le traité soit éprouvé par l’expérience.
Au surplus, la désintégration du processus d’intégration par des actions initiées dans le cadre de la dénonciation du traité peut-elle être accueillie et mise en œuvre sans consultation du peuple par voie référendaire, des parlements nationaux suspendus ou dissous, mais aussi des autres organes de l’organisation (Parlement au titre des saisines facultatives au moins, Cour de justice) ? Ces derniers devraient aussi, au nom de la logique institutionnelle, avoir leurs initiatives à prendre et leur mot à dire, même si le dernier mot revient à la Conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement.
A dire vrai, au-delà de la légalité de la démarche, ces retraits, spectaculaires et inédits depuis le départ en 2000 de la Mauritanie qui a envisagé heureusement son retour par la signature en 2017 avec l’organisation d’un accord d’association, doivent être pris au sérieux et subir le traitement juridique et politique requis. Ils pourraient souffrir d’un déficit de légitimité apaisante lié à l’absence d’onction démocratique tirée du défaut d’élection des dirigeants de la transition et de la non tenue de consultation référendaire, comme on l’a vu par exemple dans le cadre du BREXIT où après le référendum, la Cour suprême britannique avait exigé l’approbation parlementaire, avant d’activer l’article 50 du Traité de Lisbonne sur les négociations de sortie. A juste titre, car le référendum reste le procédé de droit commun de validation et de légitimation d’une décision d’un pays décidant se retirer d’un projet d’intégration cinquantenaire, dont l’Etat en question est membre fondateur.
Les réserves de principe démocratique sur l’initiative de désaffiliation de la CEDEAO de la part de régimes à vocation transitoire sont également valables pour celle de leur affiliation à l’AES. En tout état de cause, il est clair qu’après 50 ans de vie dans une organisation d’intégration, se retirer de celle-ci signifie tourner le dos à une expérience de fraternité africaine cinquantenaire, pourtant citée en exemple par les benchmarkings de fonctionnement de modèles d’intégration.
Une opportunité pour sécuriser le droit de retrait et sauver l’intégration
Bien entendu, le propos ne consiste pas ici à délégitimer ou à contester la décision de retrait des Etats de l’AES ou à critiquer la mise en branle de la procédure de séparation, mais plutôt à inciter la CEDEAO à transformer cette crise en opportunité pour sécuriser le processus d’intégration et éviter d’ultérieurs retraits liés notamment à des changements anticonstitutionnels de gouvernement (on le sait doublement condamnés par la CEDEAO et l’Union Africaine) qui peuvent se révéler des parenthèses bien circonscrites dans des périodes de transition d’une durée limitée. Ce besoin de sanctuarisation de l’organisation ne répond pas seulement aux Etats théâtres de coup d’Etat, mais à tous types de manifestations de volonté de rompre avec celle-ci. Il faut, à cet égard, prêter attention à la récente déclaration du ministre togolais des affaires étrangères Robert Dussey qui n’exclut pas une adhésion de son pays à l’AES. A l’évidence, un autre retrait et une éventuelle attractivité de l’AES (avec l’intention prêtée au Tchad d’y adhérer) seraient un coup dur pour les efforts méritoires de construction de l’intégration des Etats et des peuples de l’Afrique de l’Ouest.
L’organisation communautaire devrait, donc, marquer le coup en engageant, sans remettre en cause la souveraineté des Etats qui restent maîtres des traités, la réflexion sur la sécurisation de la clause du droit de retrait et définir une doctrine préventive y relative pour endiguer quelque tentation de cascades de décrochages qui saperaient la dynamique intégrative, mais aussi les efforts collectifs de construction de la paix et de la sécurité de la sous-région.
En définitive, parce qu’il y va de la survie de l’organisation, cet ajustement institutionnel salvateur de l’intégrité de l’organisation devrait être un des points de l’Agenda attendu des réformes de la CEDEAO.
L’urgence d’engager la réforme de l’architecture institutionnelle
Au total, pour éviter de se désagréger et plutôt s’élargir en se consolidant, la CEDEAO doit, d’urgence, se réformer dans le sens d’une meilleure balance entre la sauvegarde des principes constitutionnels, la gestion des susceptibilités souverainistes et l’atteinte des objectifs économiques.

Ismaila Madior Fall
Professeur des Universités
Ancien ministre des affaires étrangères
et des Sénégalais de l’Extérieur

Dans un match âprement joué du championnat nationale U17, le franco-sénégalais Ibrahima kanouté s’est encore Illustré malgré la défaite de l’équipe d’AJA.

Ce 11/01/2025, l’AJA d’Ibrahima kanouté a joué contre le PSG.
Entré en 2ème mi-temps, Ibrahima Kanoute latérale droite AJA des u17 nationales nous a livré une belle prestation ainsi que de beaux duels gagner.
Ce jeune prometteur Franco-sénégalais est un atout majeur pour la tanière.

TFC se sépare de son coach Cheikh Sidathy Sarr après l’élimination en 32e de finale coupe du Sénégal.

𝐂𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞́

Le Teungueth FC annonce la résiliation à l’amiable du contrat le liant avec son entraineur principal Sidath Sarr et son adjoint Assane Diallo. Nous leur souhaitons plein succès dans leurs projets futurs.
L’intérim sera assuré par le directeur technique, Badara Sarr secondé par Ousmane Gueye.

Navetane/Rufisque 2024 – 2025 le journaliste Babacar Seck, honoré par l’ODCAV.

Le journaliste Babacar Seck, administrateur de la plateforme « RUFISQUE NAVETANES » a été honoré par la Zone 1A de l’ODCAV de Rufisque, à l’occasion de sa finale de ce samedi 11 janvier 2025, au stade Ngalandou Diouf. Il a reçu une distinction pour service rendu au sport. Chapeau !

Démarrage 2eme phase des travaux du Boulevard Maurice GUEYE : le maire Oumar CISSÉ s’en réjouit…

Démarrage 2eme phase des travaux du Boulevard Maurice GUEYE : le maire Oumar CISSÉ s'en réjouit...

Ce mercredi 8 janvier 2025, le maire Dr Oumar Cissé a procédé a une visite de chantier aux côtés des équipes techniques du promoville pour la relance de la deuxième phase des travaux de modernisation du Boulevard Maurice Gueye sur le tronçon restant du Terminus P15 au rond-point Djoutiba et la réhabilitation du canal de l’Ouest.
De même le maire a invité les populations rufisquoises a une  collaboration harmonieuse pour permettre la livraison du chantier en Août 2025 comme la si bien indiqué le coordonnateur du projet promoville M. Balla GUEYE.

UN AN APRES LE RAPPEL A DIEU DU DIRPUB DE WA GRAND’PLACE, l’Ajpe promet de maintenir vivante la plume et les valeurs de Moussa GUEYE

Par son courage et son in-
tégrité, Moussa Gueye a in-
carné l’essence du
journalisme. Sa plume
éclairait les faits, donnant
une voix à ceux qui en
avaient le plus besoin. Il
laisse un héritage indélébile
dans la quête de la vérité.
29 décembre 2023 – 29 décembre 2024 ! Un an après avoir été ar-
rachée à notre affection, l’âme du défunt Directeur de publication
(Dirpub) de Wa Grand’Place a « ressuscité », hier. L’Association
des journalistes en presse écrite de Rufisque (Ajpe), qui en est l’ar-
tisan, a rendu un vibrant hommage à celui qui fut un des piliers de
ladite structure. Ces professionnels des médias ont initié une mat-
inée de prières pour se souvenir de Moussa Gueye comme d’un «
journaliste spécial qui a su se hisser au-dessus de la mêlée en re-
fusant toute forme de compromission tout au long de ses 27 années
d’expérience ». Les consœurs et confrères se sont engagés à « main-
tenir vivante la plume et les valeurs socio-professionnelles » d’un
homme « aussi généreux que loyal » connu, surtout, pour sa dignité
et sa grandeur d’esprit.
«Par ce symbolique du récital de Coran, nous avons voulu té-
moigner notre reconnaissance envers Moussa Gueye, qui a été plus
qu’un confrère. Dans la profession de journalisme, il fut un doyen
modèle et surtout affable toujours disponible et disposé à nous in-
culquer les valeurs cardinales d’un journaliste respectueux et re-
spectable. Sur le plan humain, grand Moussa, comme on aimait à
le nommer, était un exemple à suivre de par sa sagesse et sa tenue
toujours soignée au mieux, et qui force carrément le respect à son
égard. Il n’est plus parmi nous mais il est présent et nous guide
dans notre pratique professionnelle de tous les jours grâce à ses
précieux conseils et recommandations », témoigne Maguette
Ndong à la fin de la cérémonie de récital du Coran tenue, hier, à
Rufisque. Poursuivant le président de l’Ajpe rassure: « Nous nous
souviendrons toujours de Moussa Gueye, de sa rigueur dans le tra-
vail, de son sens aigu du dialogue, de sa générosité légendaire, de
sa loyauté exemplaire, de sa modestie remarquable. Nous ne
cesserons jamais de prier pour qu’il repose en paix au cote de notre
Bien Aimé Prophète Mouhammad (PSL)».
Denisia Sambou de Sud Fm Rufisque de se réjouir, pour sa part,
d’avoir partagé le cadre de l’Ajpe avec le Dirpub de Wa Grand’-
Place. « Tonton Moussa était un homme serviable très respecté
parce qu’il était très correct ». Salla Samb de la 2Stv d’exprimer
son « immense fierté » d’avoir connu le journaliste Moussa Gueye.
A noter que le Directeur de publication de Wa Grand’Place, ancien
patron du journal Exclusif et ancien correspondant du quotidien
Enquête, est décédé le vendredi 29 décembre 2023 des suites d’une
courte maladie à Rufisque où il a été inhumé au cimetière du
quartier Thiawlene.
Oumy NDIONE
MOUSSA EN CINQ PHRASES
Par ses mots, il a éclairé les zones d’ombre de notre société, donnant
une voix à ceux qui n’en avaient pas.
Sa passion pour la vérité et sa rigueur journalistique étaient une
source d’inspiration pour tous ceux qui le connaissaient.
Face aux défis, il n’a jamais reculé, portant haut les valeurs de
l’intégrité et de la justice.
Ses reportages et analyses resteront comme autant de témoi-
gnages de son engagement indéfectible.
Sa disparition laisse un vide que seuls ses écrits et le souvenir de
son sourire sauront combler.

Question de l’exclusion sociale : Une formation pour capacité les membres du CDPE de Keur massar…

Au cours d’une rencontre de formation initiale a l’approche méthodologique en travaille social de rue réunissant les membres du CDPE de Keur massar, la question de l’exclusion sociale est bien prise en charge…Dans l’extrait qui suit.

Question de l'exclusion sociale : Une formation pour capacité les membres du CDPE de Keur massar...

CEL/VA Rufisque : « aujourd’hui la ville n’est pas viable financièrement » le maire.

Le maire de Rufisque, Dr Oumar Cissé, a exprimé de vives préoccupations concernant la situation financière de sa ville lors de l’adoption du budget pour l’exercice 2025, qui s’élève à 4 639 821 438 FCFA. En marge de cette session municipale, il a souligné la fragilité de la situation financière de la commune et son impact direct sur le développement de la ville et le bien-être de ses habitants.

L’une des principales préoccupations du maire est la baisse significative des revenus issus de la Contribution Économique Locale de la Valeur Ajoutée (CEL/VA), un élément clé du financement de la commune. En 2020, la ville percevait 1,75 milliard de FCFA grâce à cette contribution, mais en 2024, cette somme est tombée à seulement 17 millions de FCFA, soit une réduction drastique de plus de 98 %. Cette baisse a des conséquences directes sur la capacité de la ville à financer ses projets et à répondre aux besoins croissants de la population.

Dr Oumar Cissé a averti que si cette situation persiste, Rufisque pourrait se retrouver dans une situation où seules les dépenses essentielles, comme le paiement des salaires et des dettes, seraient couvertes en 2025. Il a cependant affirmé qu’il était déterminé à redresser cette situation difficile. « La situation financière de la ville n’est pas viable, mais nous allons rendre viable financièrement la situation de la ville de Rufisque », a-t-il déclaré.

Le maire a également évoqué l’importance du foncier bâti et des impôts locaux pour le bon fonctionnement de la ville, tout en soulignant la nécessité d’un accompagnement extérieur pour soutenir ses projets ambitieux. Il a promis qu’en 2025, plusieurs innovations seraient mises en place pour redresser les finances de la ville tout en poursuivant les grands projets de développement qu’il a initiés. « Nous devons être accompagnés. Nous méritons d’être accompagnés », a-t-il insisté.

Cette prise de position reflète les défis financiers auxquels sont confrontées de nombreuses collectivités territoriales, et montre l’engagement de la ville de Rufisque à surmonter ces obstacles pour améliorer la vie de ses habitants.

CEL/VA Rufisque : "aujourd'hui la ville n'est pas viable financièrement" le maire.

Rufisque Cité Diaraf 1/2 : Les travaux de l’entreprise Elecnor étouffent les populations…

Rufisque Cité Diaraf 1/2 : Les travaux de l'entreprise Elecnor étouffent les populations...

Les habitants de Diarfa 1/2 se sentent étouffer face aux travaux de l’entreprise Elecnor.
En effet Elecnor qui est une prestataire de service de Millenium challenge pour des conduites d’électricité a entamé des travaux il ya de cela deux semaines.
les habitants de cette localité sont mis devant le fait accompli avec des travaux souterrains qui dégrade le calme qui raignait dans le quartier.
Des désagréments sur la population dont les indemnités promis n’ont toujours pas été donnés qui poussent ces derniers a crier leur ras le bol…

Exposition d’art plastique de l’artiste Abdourahmane FALL.

Lors d’une exposition d’art plastique, l’artiste Abdourahmane FALL a bien voulu initier les enfants qui sont dans les quartiers à l’art visuel tout en les laissant s’exprimer a leur manière .
Ceci fera d’eux des artistes en devenir

les enfants ce sont exprimés sur le style « Baye Fall » qui est un concept, un esprit, mais aussi une religion transmise par nos ancêtres, en l’occurrence Cheikh Ibra Fall. Ce style représente la manière de nous comporter devant nos parents, nos guides spirituels et dans le monde sans pour autant nous laisser submerger par des objets superflus.

Keur Ndiaye Lo 2 : Les habitants crient leur ras le bol et indexent le maire Pape SOW.

Les habitants de Keur Ndiaye Lo 2 se sont levés pour décrier le calvaire qu’ils vivent au quotidien.
En indexant le maire Pape SOW ils ont lister leurs doléances:
1- Accaparement des Espaces publics par certains agents de la Mairie en complicité avec
certains promoteurs.
Nous citons en Example : le Centre de santé, les cimetières, l’espace occupé par
l’actuel terrain de football, la mosquée, l’espace prévue pour la banque, le marché etc.
2- Obturation des certaines artères par vente illicite et non conforme par rapport au plan
de certains promoteurs
3- Dépôt d’ordures à côté des habitations dégageant une odeur nauséabonde empêchant
les populations de respirer convenablement au risque de les rendre malade.
4- Absence d’eau potable. Les populations se rabattent sur des puits.
5- Pas de courant pour certaines concessions. L’extension faite pour l’instant est à
l’œuvre de la population qui a cotisé pour le faire.
6- Pas de moyens de transport pour rallier la route principale qui se trouve à plus de 3 km
pour certaines concessions.
7- Pas d’école pour les enfants
Bref : Rien n’est fait par les autorités pour la population.

Keur Ndiaye Lo 2 : Les habitants crient leur ras le bol et indexent le maire Pape SOW.

Élections législatives/Koungheul: Babou Khady DIENG adresse des remerciements à ses militants.

Tête de liste départemental de la coalition « la marche des territoires, Andu Nawlé », Babou Khady DIENG lors d’une rencontre politique a remercier tout ses militants et sympathisants dont leur engagement n’ont nullement failli pour l’accompagner dans ces joutes électorales.

« Mes remerciements vont a l’endroit de tout les chefs religieux et coutumiers de Koungheul, a l’honorable Mouhamed DIENG, a ma famille, les comités électorales en particulier Mamadou CAMARA et Mbossé DIEYE et Amina sociale SOW , a M. le maire El Hadji Oumar NDAO.

« je ne pourrai ne pas citer le Mouvement pour l’émergence du département de Koungheul (MEDK) qui ne cesse de m’accompagner dans toutes mes activités. »

« je peux vous garantir que l’espoir que vous avez a m’a personne je le mesure a sa juste valeur et ce combat que nous menons pour l’émergence de Koungheul sera toujours notre sacerdoce. »

 » Je félicite aussi les têtes de liste de la coalition PASTEF de Koungheul qui ont remporté ces élections. »

« Pour finir je remercie mes frères qui ont initié le mouvement dolel Babou Khady DIENG qui nous ont rejoints pour redorer le blason au département de Koungheul. »

Quitter la version mobile