Accident mortel sur la VDN : 3 victimes dénombrés…

La route fait encore des victimes. Le drame s’est produit dans la capitale sénégalaise, sur la voie de dégagement Nord (Vdn).

Une collision entre deux bus Tata 44 a fait trois morts d’après des témoins qui ont contacté Seneweb.

Nous y reviendrons avec plus de détails…

Saïfond Baldé : Une Success Story Guinéenne Qui Rayonne à l’International

Saïfond Baldé, de son vrai nom Saifoulaye Baldé, incarne le talent musical guinéen à l’échelle mondiale. Avec un parcours remarquable, il s’est hissé au sommet de l’industrie musicale, devenant l’un des artistes les plus vendus et les plus sollicités sur la scène internationale.

Son dernier exploit ? Le décrochage d’un Disque d’Or en France, une reconnaissance prestigieuse pour son album “Sabou no weli”, lancé avec succès le 21 novembre 2022. Cet opus, véritable bijou musical, a su conquérir les cœurs à travers l’Afrique et l’Europe, devenant ainsi la production guinéenne la plus prisée à l’international ces dernières années.

La consécration de Saïfond Baldé ne s’arrête pas là. De vendeur de cassettes à une figure emblématique de la musique, il a su tracer son chemin avec brio, notamment en développant l’afro-pastorale, un genre musical novateur mêlant l’afrobeat à la musique traditionnelle guinéenne. Ses chansons, portées par une voix unique et des textes émouvants, ont séduit un public varié et lui ont valu une place de choix parmi les grandes stars de la musique africaine.

Ce succès retentissant n’est pas passé inaperçu au Sénégal, où Saïfond Baldé est très attendu pour un concert exceptionnel au stade municipal de Tambacounda, prévu pour le 18 mai. Ce rendez-vous promet d’être un moment inoubliable, marqué par la magie de la musique et le talent incontestable de cet artiste hors pair.

À travers son parcours inspirant et ses réalisations remarquables, Saïfond Baldé incarne parfaitement le potentiel illimité de la musique africaine et continue de rayonner sur la scène internationale, portant haut les couleurs de la Guinée et de tout un continent.

Armée guinéenne : Doumbouya crée une Ecole de l’air et une Usine militaire de confection

En Guinée, le président de la Transition Mamadi Doumbouya a pris plusieurs décrets hier mercredi 1er mai 2024, pour créer une Ecole de l’Air et une Usine militaire de confection.
Former le personnel de l’armée de l’air dans les domaines de l’enseignement militaire…
L’Ecole de l’Air est en réalité une école de formation du personnel de l’Armée de l’air dans les domaines de l’enseignement militaire et aéronautique. Elle bénéficie d’une allocation budgétaire annuelle imputable au budget du ministère de la Défense. 
Un arrêté du patron dudit ministère viendra fixer les modalités d’organisation et de  fonctionnement de cette École placée sous l’autorité directe du chef d’état-major de l’Armée de l’air. 
Elle a son siège au niveau de la base aérienne de Conakry. On peut toutefois la transférer en tout autre lieu du territoire national en raison de la  nécessité du service ou lorsque les circonstances l’exigent, précise le décret de Doumbouya. 
Confection des uniformes , chaussures et accessoires civilo-militaires
Quant à l’Usine militaire de confection,  elle a pour mission la mise en œuvre de la politique du gouvernement dans le domaine de la confection des uniformes , chaussures et accessoires civilo-militaires. Elle est placée sous la tutelle du ministère de la Défense nationale. 
La première personnalité de ce ministère se chargera de prendre un arrêté pour définir les modalités d’organisation et de fonctionnement de cette industrie.

Elle bénéficiera d’une allocation budgétaire annuelle imputable au budget du ministère en question. Son siège peut être transféré en tout autre lieu sur le territoire national en raison des nécessités de service ou lorsque les circonstances l’exigent. 
Outre l’Ecole de l’Air et l’Usine militaire de confection, le général Doumbouya a aussi acté la création d’une nouvelle unité d’élite dans la Gendarmerie. Celle-ci aura pour rôle d’assurer le maintien et le rétablissement de l’ordre sur toute l’étendue du territoire national, de participer à la lutte contre le terrorisme , le grand banditisme et la protection des sites sensibles.

LE JEUNE REPORTER SÉNÉGALAIS, CET ESCLAVE DES TEMPS MODERNES

La crise économique qui secoue le monde entier n’épargne aucun secteur ; elle frappe singulièrement celui des médias. Rappeler cet état de fait relève de l’évidence et ça ne date pas d’avril 2024. Malheureusement, depuis quelques jours, à la suite de la troisième alternance consacrant l’accession au pouvoir du Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye, on assiste à une hypermédiatisation que l’on a du mal à comprendre de la part de certains patrons. Les plus fatalistes vont jusqu’à décréter que les médias sont en quasi faillite depuis cinq ans. Ces sorties aux allures d’investisseurs qui pleurnichent sans cesse sur leur sort ne nous émeuvent plus. 

Nous, journalistes, reporters, techniciens et professionnels des médias, refusons d’être une nouvelle fois les dindons de la farce. Nous ne nous laisserons plus embarqués dans des combats qui ne servent qu’à renflouer les poches et les comptes de l’employeur, laissant les travailleurs en rade et dans une situation de misère extrême continue. Nous sommes pour des solutions efficaces et efficientes qui bénéficient à l’entreprise en la rendant plus viable, plus prospère au bénéfice de toute la chaîne de production de l’information, en particulier des reporters qui font le gros du travail en allant sur le terrain et en rapportant la matière première. Malheureusement, ces derniers vivotent dans des conditions lamentables. Leur vie est loin d’être reluisante. En attestent les résultats de l’étude menée dans différentes rédactions par la Convention des Jeunes Reporters du Sénégal (CJRS). Les statistiques révèlent que sur un échantillon représentatif de 216 journalistes-reporters, seulement 21,1% ont un contrat à durée indéterminée (CDI) et 11,1% un contrat à durée déterminée (CDD). Ce tableau peu reluisant indique que 22,2% des reporters interrogés disposent d’un statut de prestataires, 17,1% sont en position de stage, ces éternels stages sans aucune indemnité dans les entreprises sénégalaises. Plus grave, 26,4% des journalistes reporters ne bénéficient d’aucun des différents types de contrats énumérés ci-dessus. « Maanam daniouy xeuy di daan sen doole, te ken douléne fay dara ». WAAY LII NIAAW NEU !!!

L’étude montre également que 70% des contractuels ne disposent pas d’une copie de leur contrat. Pis, moins de 20% sont enregistrés à l’Inspection du Travail ; tandis que 77,7% d’entre eux n’ont pas de bulletins de salaire ; enfin 14% seulement ont une couverture maladie et un numéro à l’IPRES. A cela s’ajoutent des conditions de travail difficiles, des cas de harcèlement et de violences basées sur le genre dont sont particulièrement victimes les femmes dans certaines rédactions et quelquefois sur le terrain. Que dire de l’exploitation honteuse des correspondants à qui on paie des miettes. 1000 FCFA pour un reportage en français, 1000 FCFA pour la version wolof. Voilà les tristes réalités que vivent les reporters de la presse sénégalaise à l’aune du 21e siècle. 

Face à cette situation déroutante qui perdure, aucune des mesures jusque-là prises par les différents gouvernements ne profitent aux travailleurs. Toutes sont en faveur du patronat. Il est temps de changer de paradigme. Certains patrons qui foulent aux pieds les droits des travailleurs ne méritent aucune considération, aucune compassion, aucun soutien. Et le plus triste dans cette histoire, c’est que la presse, qui attire l’attention sur les abus et se positionne en sentinelle de la démocratie et de l’État de droit, est dirigée par des bonhommes et bonnes dames qui continuent de piétiner la législation en matière de droit du travail au vu et au su de tous. Tous inclus le pouvoir, l’opposition, les syndicats, la société civile, les inspecteurs du travail pour ne citer que ces acteurs passifs face à un drame de grande envergure. La définition du mot « paradoxe » n’est plus à chercher dans le dictionnaire, elle est matérialisée par ces patrons qui passent leur temps à demander un meilleur accompagnement pour les entreprises, mais qui font fi des doléances des reporters. Aussi, pour nous jeunes reporters, le seul combat qui vaille actuellement demeure l’application effective de la convention collective. Sans oublier les points en rapport avec les revendications des professionnels des médias. A l’image des organes de presse, les acteurs devraient réfléchir sur la mise en place d’un fonds d’appui destiné exclusivement aux reporters pour un renforcement de leurs capacités, la formation initiale et continue, la prise en charge des accidents de travail. Oui, les journalistes subissent des accidents de travail souvent causés par la force publique. L’État n’a qu’à prendre ses responsabilités. Si des entreprises sont en faillite ou ne sont pas viables, les dispositions de l’acte uniforme de l’OHADA sur les procédures collectives sont claires. Quand une entreprise est en faillite ou n’arrive plus à régler ses obligations envers ses créanciers, elle doit déposer son bilan auprès des juridictions compétentes pour subir soit une procédure de redressement soit une procédure de liquidation des biens. Si elle ne le fait pas, l’autorité compétente doit s’autosaisir pour veiller à l’application des textes en vigueur. La CJRS dispose d’une bonne recette pour que l’entreprise ne meure. 

Pour conclure, nous lançons un appel à l’aide au Président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye, qui a suscité beaucoup d’espoir chez les jeunes reporters pour avoir compris et exprimé la principale problématique des entreprises de presse. « Les problèmes des patrons de presse sont différents des problèmes des journalistes reporters. Et si on règle les difficultés d’une partie sans prendre en compte l’autre, le problème reste entier. Je pense qu’il faut le prendre en charge cette problématique dans sa globalité », avait dit le candidat Bassirou Diomaye Faye face aux journalistes lors de sa campagne. Aujourd’hui, nous faisons un poli rappel au Président de la République pour qu’il applique l’approche holistique qu’il avait annoncée afin que les préoccupations des journalistes, reporters et techniciens de médias soient prises en compte. Sans cette politique, le reporter demeurera dans une « jungle où le fort dévore toujours le faible »

PS : « Le fort xawma kane leuh mais takk na niarel, tabakh ay keur, dieunde ay autos mais di dounde lou extraordinaire pendant que le reporter biy nekk ci naathie bi amoul agn té bouy xeuy daniukoy may pass mba mou dokh »

Bisbilles dans les rangs de Pastef/Saint-Louis : La coordination des des femmes monte au créneau…

Qui l’aurait cru. Selon nos confrères de Seneweb, un mois après l’élection de Bassirou Diomaye en tant que 5ème président du Sénégal, le parti Pastef Saint-Louis fait face à ses premiers problèmes internes. En effet, le Mouvement des Femmes (Mojip) au sein du parti des Patriotes est en proie à des dissensions. Ce mardi, lors de leur assemblée générale, ces divergences ont éclaté au grand jour. Certains membres du mouvement ont lancé un appel à la coordinatrice nationale pour qu’elle intervienne à Saint-Louis afin de résoudre le conflit. Nancy Sow, responsable du Mouvement national Jiguen Pastef (MOJIP), a dénoncé les injustices au sein du MOJIP et a demandé à la coordinatrice nationale, Maïmouna Dièye, d’intervenir pour mettre fin à ces problèmes.
“Nous demandons la venue de la coordinatrice à Saint-Louis. Il y a des problèmes au niveau de la coordination. Nous voulons réparer ces injustices. Nous réclamons notre droit à une reconnaissance. Nous voulons le renouvellement du bureau afin de nous préparer pour les élections législatives. Nous voulons nous réunir dans l’unité, surmonter nos divergences et travailler ensemble”, a déclaré Nancy Sow. 
Ndèye Coumba Sow, une autre responsable du parti, a également appelé à l’unité au sein du MOJIP pour mieux se préparer aux prochaines échéances. Maguette Mané, membre du cadre de concertation du parti Pastef, a rappelé les nombreux efforts des femmes pour la libération de leurs leaders, Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye, avant de demander à la responsable nationale d’intervenir à Saint-Louis pour aplanir les divergences.
 “Les femmes se sont battues depuis l’emprisonnement de nos leaders, Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye. Nous avons même sollicité les chefs religieux pour des prières en faveur de leur libération. Nous sommes même allées voir Said Abidine Diop, le marabout qui a enseigné le Coran à notre leader Ousmane Sonko. Nous avons fait du porte-à-porte lorsque les gens n’osaient pas sortir. Nous demandons à notre coordinatrice nationale de venir le plus rapidement possible à Saint-Louis pour résoudre ces problèmes, d’autant plus que nous nous approchons des élections municipales et législatives. Nous appelons la responsable nationale à venir à Saint-Louis pour le renouvellement des instances”, a-t-elle soutenu. L’autre camp qui n’était pas présent à l’assemblée générale, n’a pas souhaité s’exprimer sur la situation.

Abdou Khadre… à Diomaye…Son excellence…,Attention aux conflits d’intérêts…

L’expérience…, c’est très bien mais n’oublions pas L’éthique au cœur de nos actions.

Les conflits d’intérêts et le risque d’abus d’une fonction
publique pour en tirer un avantage privé ont toujours existé à
tous les niveaux de gouvernance , du fait qu’un grand nombre
de personnes qui travaillent pour des autorités publiques ont
également divers autres rôles et responsabilités .

Le Peuple souverain Souffre…

Notre Cher Sénégal a connu des conflits d’intérêts ,sociaux et environnementaux liés à l’exploitation de nos ressources minérales. Ces conflits ont souvent des causes profondes qui sont à la fois économiques, sociales, politiques et environnementales.

Il semblerait
cependant, qu’en raison de la liberté entière accordée
aux dirigeants, d’une plus forte mobilité entre les secteurs
publics et privés et d’un certain brouillage des frontières entre
ces derniers, de même qu’entre vie publique et privée, les
autorités sénégalaises doivent faire face à l’apparition
de risques nouveaux pour l’intégrité publique.

Les évolutions
de la societé actuelle vers plus d’individualisation, de numérisation et de globalisation engendrent
également de nouveaux risques d’atteinte à l’intégrité dans le secteur public
.

Le débat actuel autour des conflits d’intérêts
est d’évaluer l’efficacité des divers instruments et politiques de nos gouvernants.
To be continued……

Ensemble, vers un devenir MEILLEUR….
Abdou khadre DIOKHANE l’Officiel…..
Sn-adjoint PDS chargé de l’industrie et des mines
Responsable PDS -Italia

Justice : Le blogueur guinéen Djibril Agi Sylla entame les procédures d’asile au Sénégal

Bonne nouvelle pour notre compatriote guinéen, Agi Sylla, quelques jours après sa libération.

Seydi Gassama, directeur exécutif d’Amnesty international section Sénégal, a félicité les nouveaux gouvernants d’avoir libéré Agi Sylla. “Le blogueur guinéen Djibril Agi Sylla est libre et a entamé la procédure d’asile au Sénégal. Les nouvelles autorités du pays ont entendu les appels en sa faveur, dont ceux de nombreux militants et responsables de PASTEF. Le Sénégal est et reste une terre d’asile qui a accueilli tous ceux qui luttent contre l’oppression. Il a accueilli les responsables et militants de la SWAPO, de l’ANC et du PAIGC. Il a accueilli les haïtiens fuyant la dictature des Duvalier et des africains de toutes nationalités”, a-t-il écrit. 

Retour sur le décès du Professeur Cheikh Tahirou Doucouré, Khalifa Général de la Famille Doucouré de Malicounda Bambara

Triste nouvelle qui plonge l’islam en deuil au Sénégal.

Ce dimanche 28 avril, le Professeur Cheikh Tahirou Doucouré, Khalifa général de la famille Doucouré de Malicounda Bambara, s’est éteint.

Il laisse derrière lui un héritage remarquable en tant que l’un des plus éminents théoriciens du hamallisme, un mouvement religieux dont l’un des sanctuaires majeurs se trouve à Malicounda, commune située dans le département de Mbour, région de Thiès.

Hamalisme :

Le hamallisme, hamalliyya ou hamawiyya, surnommé « onze grains », est une branche de la tariqa (confrérie soufie) Tidjaniyya fondée par le cheikh Hamallah.

Les ressources Minières et La Jeunesse face à son Destin… (Par Abdou Khadre Diokhané)

Une mauvaise suivie de la politique minière tendant à ameliorer les interêts de nos gouvernants et NON ceux de la population, surtout de la jeunesse consciente, se trouvant desesperée sur leur futur, dans un pays qualifié comme développé et émergent, qui dispose d’un sous-sol riche avec diverses ressources minières.
La confiance sur une jeunesse dynamique et bien formée, est la force d’un devenir MEILLEUR de notre SENEGAL et fera à ce que ces jeunes soit:

-Une jeunesse considérée et respectée
-Une jeunesse forte dans les débats d’interêts Nationaux..
-Une jeunesse réfléchie sur son Avenir
-Une jeunesse responsabilisée sur les grands défis de Developpement
-Une jeunesse professionnelle au centre des grands projets…
Le Sens de la responsabilité doit nous animer TOUS pour un Senegal bon à vivre.

Ensemble, vers un devenir MEILLEUR…

Abdou khadre DIOKHANE l’Officiel…
Sn-adjoint PDS, chargé de l’industrie et des Mines
Coordonnateur Karimistes -Italia (UKADSI)

Électricité: pourquoi la Guinée fait-elle face à des délestages depuis des décennies ?

Une quarantaine de quartiers de Conkary ont été plongés dans le noir après un incendie à la centrale électrique de la capitale et la rupture d’un câble. Avant cela, la Guinée était également affectée par le manque de mazout après l’explosion du principal dépôt d’hydrocarbures en décembre. Mais ces dysfonctionnements ne sont que les derniers d’une très longue indique nos confrères de Rfi

Le barrage de Kaléta, ici lors de son inauguration au nord de Conakry le 28 septembre 2015, a amélioré la desserte en électricité de la capitale guinéenne, mais ne suffit pas à lui seul.

Pour les citoyens âgés de moins de 30 ans, majoritaires dans le pays, le courant n’a presque jamais pris en Guinée : les habitants ont connu de sérieux délestages toute leur vie. Après des années d’une économie nationalisée en quasi-totalité sous le président Sékou Touré, son successeur Lansana Conté lance le chantier du premier grand barrage hydroélectrique. Garafiri a été mis en service en 1999 mais était insuffisant pour alimenter la seule capitale Conakry.

Il faut attendre 16 ans et l’élection du président Alpha Condé pour voir s’ériger les barrages Kaléta et Souapiti. Ceux-ci sont présentés comme la solution au problème d’énergie de la région du Grand Conakry. L’amélioration est réelle, la lumière est disponible 24 heures par jour, 7 jours sur 7, mais elle dépend beaucoup de solutions ponctuelles, comme l’utilisation de groupes électrogènes géants. Ceux-ci sont efficaces, mais extrêmement coûteux.

Le barrage de Kaléta, ici lors de son inauguration au nord de Conakry le 28 septembre 2015, a amélioré la desserte en électricité de la capitale guinéenne, mais ne suffit pas à lui seul.

Depuis 2010, au moins quatre directeurs se sont succédé aux rênes de l’entreprise publique Électricité de Guinée (EDG), tous limogés par la présidence pour leur gestion jugée mauvaise. La compagnie est actuellement dirigée par un intérim depuis le licenciement du dernier directeur par le président Mamadi Doumbouya à la mi-mars.

Deux jours auparavant, une importante coupure a plongé la quasi-totalité de la capitale dans l’obscurité provoquant plusieurs émeutes. Et sur ces difficultés chroniques de desserte en énergie, l’Union de la défense des consommateurs de Guinée fustige l’absence de plan et de vision des autorités qui se sont succédé à la tête du pays. Elle dénonce également la communication et la sensibilisation de l’entreprise publique Électricité de Guinée (EDG), jugée « irresponsable » par le président de l’Union M’bany Sidibé.

rfi

Conakry : 5 membres d’une famille meurent dans un incendie à Hafia 2

Une tragédie déchirante a frappé la commune de Dixinn à Conakry, où un incendie d’origine électrique a emporté la vie de cinq membres d’une même famille, selon des sources locales.

Le terrible événement s’est déroulé dans la nuit du 30 au 31 mars 2024, vers 2 heures du matin, alors que les victimes étaient endormies chez elles.

Cet incident tragique a plongé la communauté dans la consternation et le deuil. Nos pensées vont aux familles endeuillées en ces moments difficiles.

Guinée: deux enfants tués lors de manifestations contre les coupures d’électricité dans l’ouest (RFI)

En Guinée, deux enfants de 8 et 14 ans ont été tués par balle mardi lors de manifestations dans la ville de Kindia, à 130 km de Conakry. Les jeunes protestaient contre des coupures répétées d’électricité.

Mardi, les autorités locales ont réquisitionné l’armée pour tenter de ramener le calme dans le centre-ville alors que les forces de sécurité étaient dépassées par les évènements. Les témoignages recueillis par RFI indiquent que, ce mardi soir, l’armée continuait les patrouilles dans les quartiers de Cacia, Tapioca, abattoir et Wondy afin d’empêcher tout attroupement.

Selon des ONG de défense des droits de l’homme et des décomptes de la presse, au moins une trentaine de personnes ont été tuées dans des manifestations depuis le coup d’État qui a renversé l’ancien président Alpha Condé en septembre 2021

Agression contre Maimouna Ndour Faye : Sheikh Alassane Sène apporte son soutien

En ces heures d’inquiétude, j’apporte mon soutien à la journaliste #MaimounaNdourFaye (MNF) lâchement agressée la nuit dernière.
La coagulation des colères notée dernièrement ne doit point susciter des actes barbares d’une telle violence qui ternissent l’image flamboyante de notre cher pays.
La gravité du moment avec ses enjeux divers et variés ne doivent pas être un prétexte qui attise les feux de la violence. Une raison suffisante pour condamner avec véhémence l’acte ignoble qui vient d’être commis. Les coupables sont à identifier et à punir.

Plus jamais ça!

Je souhaite enfin à MNF un prompt rétablissement et vivement qu’elle retrouve les plateaux pour continuer à promouvoir la liberté d’expression sous toutes ses formes.

Sheikh Alassane Sène

Nécrologie – Lutte : Mame Gorgui Ndiaye de Fass n’est plus

L’ancienne gloire de la lutte sénégalaise, Mame Gorgui Ndiaye de Fass surnommé l’enfant chéri de Dakar est rappelé à Dieu ce vendredi 9 février 2024, chez lui, à Dakar.

Ledakarois présente ses condoléances à la famille éplorée et au milieu de la lutte sénégalaise

Sheikh Alassane Sène : ”Je condamne avec fermeté un report anticonstitutionnel d’une élection”

Dans un communiqué parvenu à la rédaction, le leader de la Coalition JAMMI REEW MI, Sheikh Alassane Sène a adressé son message d’indignation au peuple sénégalais suite au ”report anticonstitutionnel” de la présidentielle du 24 février 2024. Voici le document in extenso :

Mes chers compatriotes

En ces moments de lourdes peines, j’appelle à l’élévation, à l’union sacrée autour des valeurs qui nous lient, qui dépassent nos personnes, poussière que nous sommes. Le peuple Sénégalais est plus fort que cette crise, plus doué que ceux qui nous l’imposent.

À cette crise, s’ajoutent l’incompréhension et la haine viscérale qui nous poursuivent jusque dans nos foyers, et qui font coaguler des colères en nous-mêmes. Cette situation pourtant n’est que la résultante d’actes éhontés, qui ont agressé notre vœu fort d’aller de l’avant au soir du 25 février 2024. Nous ne l’accepterons pas!

Je ne suis pas d’accord avec un processus électoral biaisé qui a été émaillé de bout en bout par une chaine de corruption et de trahison. Tout comme je condamne avec fermeté un report anticonstitutionnel d’une élection aussi cruciale pour notre pays.

Nous sommes capables de renverser cette situation, capables de réinventer les fondamentaux qui nous lient et de ne plus, à l’avenir, accepter un tripatouillage de notre constitution ou un affaissement de nos institutions sous le prétexte fallacieux d’une quelconque hypertrophie d’un pouvoir issu de la survivance des lois monarchiques.

J’appelle l’opposition, annoncée victorieuse à cette élection finalement reportée, à mettre en place un gouvernement dès le 2 Avril, date à laquelle Macky Sall n’aura plus aucune légitimité à la tête du pays. Travaillons tous ensemble pour cette nouvelle alternance. L’ère du changement a sonné, rien ni personne ne pourra l’arrêter

Sheikh Alassane SÈNE
Coalition JAMMI REEW MI

Portrait : Macky Sall, un président de temps troubles

Le Parlement du Sénégal a entériné dans une grande confusion le projet de loi visant à repousser la présidentielle au 15 décembre 2024, un vote qui plonge mardi le pays dans l’inconnu et fait craindre une ébullition. Au pouvoir depuis 2012, le président sénégalais Macky Sall est accusé de “dérive autoritaire”.

Lui s’enorgueillit d’avoir transformé le Sénégal en douze années de présidence à force de réformes et de grands travaux. Les adversaires de Macky Sall voient en lui l’auteur du dernier coup de force en date en Afrique pour se maintenir au pouvoir. 

Au pouvoir depuis 2012

“Le Sénégal de 2023 est sans commune mesure avec le Sénégal de 2012”, disait Macky Sall en présentant le 31 décembre à 62 ans des vœux aux airs de bilan. Élu en 2012, réélu en 2019, il a maintenu pendant des mois l’incertitude sur une nouvelle candidature en 2024. Le non à un troisième mandat a été l’un des mots d’ordre de la contestation qui a ensanglanté le pays à différentes reprises depuis 2021.

En décrétant en 2023 qu’il en resterait là, même s’il maintient qu’il avait “le droit de (se) représenter”, il avait apporté un soulagement. “Le 2 avril 2024, s’il plaît à Dieu, je transmettrai le pouvoir à mon successeur”, déclarait-il le 31 décembre en se projetant vers la fin officielle de son mandat. Depuis, la crise toujours latente a resurgi.

Le report de la présidentielle, “un coup d’État constitutionnel”

Macky Sall a annoncé samedi le report de la présidentielle au 15 décembre 2024, dans un pays qui considérait le respect du calendrier électoral comme un signe d’inviolabilité de la pratique démocratique, malmenée ou anéantie par les putschs et les faits accomplis ailleurs dans la région.

L’opposant Khalifa Sall (sans lien de parenté) a dénoncé “un coup d’État constitutionnel” qui dissimulerait le dessein d’assouvir un “rêve d’éternité”, même si le président a répété son engagement à ne pas se représenter.

L’ancien compagnon de route Abdou Latif Coulibaly a dit ne pas comprendre lui-même. “Peut-être est-ce simplement que quand on exerce le pouvoir on croit que tout est possible”, a-t-il déclaré à la radio française RFI après avoir démissionné du gouvernement. Il a été parmi les nombreux à rappeler les propos tenus en 2012 par Macky Sall : le président “ne peut pas prolonger son mandat, c’est impossible”, même d’une journée.

Visage sévère, stature imposante

L’incompréhension est d’autant plus grande que Macky Sall faisait partie à l’époque de ceux qui ont combattu au nom de la Constitution la candidature d’Abdoulaye Wade à un troisième mandat dans un contexte déjà troublé. Macky Sall a rompu en 2008 avec celui qui avait été son mentor et dont il a été le ministre et le Premier ministre. Il avait fédéré l’opposition et avait battu M. Wade au second tour.

Dans son autobiographie Le Sénégal au cœur, Macky Sall propose deux traductions de son nom de famille : “entêté” et “qui refuse”. Le visage sévère et la stature imposante mais le propos affable, il se revendique, par sa mère, d’une lignée de guerriers qui “préfèrent mourir que de perdre la face”. Ses dernières années à la tête du pays ont été marquées par la confrontation sans merci entre le pouvoir et l’opposant anti-système Ousmane Sonko et les accès de violence auxquels elle a donné lieu.

L’ingénieur géologue de formation préfère qu’on se souvienne de lui pour ses nombreux chantiers au service du développement : nouvel aéroport, ville nouvelle de Diamniadio, parcs industriels, train express régional et autoroutes, triplement des capacités électriques…

Un interlocuteur écouté

À l’étranger, Macky Sall a été un interlocuteur écouté, en 2022-2023 en tant que président de l’Union africaine ou au sein de l’organisation ouest-africaine Cedeao. Il a été le chantre d’une réforme de la gouvernance politique et financière mondiale. Il a porté la parole d’une Afrique qui “a assez subi le fardeau de l’histoire”, libre de ses choix, comme celui de continuer à investir dans les hydrocarbures quand elle ne produit que 4% des émissions polluantes, ou de réprimer l’homosexualité.

“Il ne peut y avoir de légitimité pour certains de définir et imposer à tous une seule façon de vivre, comme un prêt-à-porter civilisationnel”, proclamait-il à la tribune de l’ONU en 2023. Il y disait condamner fermement “toute forme de changement anticonstitutionnel de gouvernement”, face à la succession de coups d’Etat en Afrique de l’Ouest.

Accusé de remettre en cause les principes qu’il a défendus

Avec le report de la présidentielle, Macky Sall se retrouve accusé de remettre en cause les principes qu’il a défendus. L’opposition dénonce une dérive autoritaire. Elle accuse le pouvoir d’instrumentaliser la justice. Leurs ennuis judiciaires ont empêché Khalifa Sall et Karim Wade de concourir contre lui à la présidentielle de 2019. En 2024, Ousmane Sonko a connu le même sort.

Human Rights Watch écrivait récemment que, depuis trois ans, 37 personnes avaient été tuées dans des troubles sans que “personne (n’ait) eu à répondre de ces actes”, et des centaines d’autres arrêtées. Ousmane Sonko le traite de “dictateur”. “Si le Sénégal était une dictature, comme certains veulent le faire croire, pensez-vous sincèrement qu’ils auraient pu passer une seule journée à m’insulter en boucle ?”, répondait M. Sall en novembre dans le magazine Jeune Afrique. “Ceux qui veulent l’anarchie et le chaos pour assouvir leurs ambitions me trouveront sur leur chemin”.

Avec Europe 1 et AFP

Abdou Latif Coulibaly démissionne de son poste de Secrétaire général du gouvernement

Abdou Latif Coulibaly a démissionné de son poste de Secrétaire général du gouvernement ce samedi 23 janvier. “Ayant constaté les faits qui se déroulent à l’Assemblée nationale et ayant également pris très bonne note de l’adresse au peuple sénégalais, j’ai décidé de partir. Après mûre réflexion, j’ai pris la décision de tirer toutes les conséquences de tout cela, pour quitter le Gouvernement. Je recouvre ainsi ma pleine et entière liberté, pour pouvoir défendre mes opinions et mes convictions politiques. Cette liberté m’est indispensable, en cette période”, a-t-il déclaré dans un texte que nous publions in extenso.

“J’ai communiqué cette après-midi au Chef de l’Etat ma décision de quitter mes fonctions de Ministre Secrétaire général du gouvernement. Je lui indiquais qu’en ayant constaté les faits qui se déroulent à l’Assemblée nationale et ayant également pris très bonne note de l’adresse au peuple sénégalais, j’ai décidé de partir. Après mûre réflexion, j’ai pris la décision de tirer toutes les conséquences de tout cela, pour quitter le Gouvernement. Je recouvre ainsi ma pleine et entière liberté, pour pouvoir défendre mes opinions et mes convictions politiques. Cette liberté m’est indispensable, en cette période.

J’ai par ailleurs, expliqué au président de la République que j’’attendais enfin sa parole, pour procéder à l’envoi de ma lettre de démission. Je lui ai aussi expliqué que je tenais à partir, en réaffirmant que durant toute ma carrière de journaliste mon frère, Cheikh Ahmed Tidiane Coulibaly, n’a jamais été mêlé, ni de près, ni de loin à mon travail, sinon que de lire, à chaque fois qu’il en avait envie. 

Vive la République. En elle nous croyons profondément. Et en elle nous continuerons toujours de croire. Car c’est elle, le seul rempart fiable, parce que solide comme un roc, face à toutes les aventures périlleuses vers lesquelles tentent de nous mener certains !

La leçon magistrale du professeur de philosophie, Alassane Kitane à ceux qui ”huent” Aliou Cissé

Huer cet homme !

Ce pays a choisi l’ensauvagement, l’insolence, la violence, l’ignorance et l’ingratitude. Huer cet homme. Pourquoi ? Vous le déifiez hier, aujourd’hui vous le vouez aux gémonies, bande d’ingrats. Vous êtes qui ? Le Brésil certainement ?

Vous le huez pour un problème de coaching ? Qu’ils sont prétentieux ces petits badauds ! Savez-vous ce qu’il endure ? Combien il souffre de ne pas avoir atteint son objectif ? Aimez-vous cette équipe plus que lui ? Problèmes de coaching ! Et s’il avait gagné ?

Quant à toi Aliou Cissé, je sais que tu sais à qui tu as affaire. Ces gens ont hué tous leurs héros : ils vénèrent bruyamment leurs saints et les insultent quand ils sont dans d’autres sphères ; ils élisent des « démons » pour se venger des leurs rois ; ils compensent leur faiblesse par la projection sur les autres ; ils sont inconstants, versatiles, impulsifs, bavards et peu féconds. Ces gens ont un problème non avec toi, mais leur éducation : le défaut d’éducation abrutit l’homme. Ce pays est foutu, je le jure !

Quand des députés sont installés dans la bagarre générale il n’y a pas de raison d’espérer que la bagarre ne devienne pas son “règlement” intérieur. Cette législature porte en elle-même les germes de l’ensauvagement de la société. La bagarre, l’insolence et l’ignorance sont en réalité l’ADN de cette institution qui est censée nous représenter. Les jeunes apprennent tout difficilement et avec peu de génie, mais ils apprennent l’insolence à la vitesse de éclair.

Je ne suis pas un fan d’Aliou Cissé, mais je respecte son travail et ses résultats : il est jusqu’à maintenant le meilleur. Je peux le critiquer et peut-être souhaiter son départ, mais je ne peux pas comprendre qu’on exerce sur sa personne cette violence morale. Mais Aliou est un Rasta, il comprend qu’en fin de compte ceux qui l’ont hué se huaient eux-mêmes. Ce pays est en train de sombrer, et les élites (la véritable écume !) en sont responsable. Nous avons choisi de nous morfondre dans une tradition de l’insulte et ça va nous coûter cher.

Ce pays est en train d’instaurer la culture de l’intolérance : la médiocrité s’est arrogée le droit de mener la société. Les insulteurs jouent les premiers rôles ; à la télévision, c’est la haine, la vulgarité, la bouffonnerie et le mensonge qui sont distillés à longueur de journée. C’est quoi cette société où le plus grand criminel devient un saint dès que les manigances télévisuelles réussissent à en faire un « client préféré » ?

Alassane K. KITANE

Liberté 6 : Un immeuble de trois étages s’est effondré

Un immeuble habité de trois étages s’est effondré dans la nuit du lundi 29  au mardi 30 janvier  à Liberté 6 près du rond-point Derklé, renseignent nos confrères de la RFM.

Des éléments de la Brigade Nationale des Sapeurs-Pompiers sont sur place pour effectuer les premiers secours.

Pour l’instant, aucun bilan humain n’a été dévoilé par ces derniers.

Plus d’infos à venir avec nos confrères de Seneweb

Présidentielle 2024 : Bonne nouvelle pour les patriotes, Serigne Abdou Mbacké, marabout de Sonko de retour à Dakar….

Serigne Abdourahmane Mbacké, khalife de Baye Cheikh Khady (Paix à son âme) est de retour à Dakar après un long séjour en Europe.

Marabout et soutien de première heure du leader des patriotes, Ousmane Sonko, Serigne Abdou affiche une bonne mine et semble être prêt pour la présidentielle.

Pour rappel, des rumeurs circulaient sur son absence vu ses relations avec les responsables de l’ex-pastef dans leur implication sur les récents événements qui ont secoué le Sénégal.

D’après nos informations, l’homme et loin de toute implication dans tout ce qui peut déstabiliser ce pays. Son amour pour le Sénégal et son développement est la raison de ses relations avec Ousmane Sonko

Présidentielle à Koungheul : Le responsable BBY, Mamadou Djigo se démarque de l’installation du nouveau comité électoral…

Les préparatifs de la présidentielle à Koungheul ont démarré dans un froid polaire ce dimanche 28 janvier 2024.

L’installation du comité électoral de Koungheul a été faite loin de tout esprit inclusif dans la démarche selon Mamadou Djigo, responsable politique APR, membre de la majorité présidentielle et par ailleurs directeur général de l’agence nationale de l’aménagement du Territoire (Anat).

Selon ce leader politique qui incarne l’espoir et le renouveau politique dans ce fief conservé par le régime, l’heure est à l’unité et à la mobilisation sans complaisance pour élire Amadou Bâ au soir du 24 février. Cependant, il dénonce avec vigueur les méthodes déloyales dans l’installation qui s’est faite sans son aval.

Les détails en images

Koungheul -Elections présidentielles : Mamadou DJIGO  se démarque du comité électoral et interpelle

Urgent-Bataille rangée au montage du comité électoral de Yoff : Mamadou Guèye du MRV dément Diouf Sarr, sa responsable des femmes blessée…

Un incident malheureux s’est produit cet après-midi à Yoff lors de l’installation du comité électoral de ladite commune.

Selon Mamadou Guèye, leader du MRV ce sont le partisans de Abdoulaye Diouf qui sont à l’origine du rififi qui a occasionné des dégâts dont une voiture caillassée et coups et blessures volontaires sur la responsable des femmes du mouvement

les détailles en images :

Urgent- Usa : L’ancien lutteur Dieuf-Dieul porte plainte contre le mari de Amina Poté, Malick pour escroquerie…

Malick Fall, mari de la célèbre animatrice, qui vit actuellement au Sénégal est dans de sales draps.

Dans une vidéo virale sur les réseaux sociaux, l’ancien lutteur, Dieuf Dieul basé aux Usa l’accuse d’escroquerie. D’ailleurs selon lui, il devait être présent au tribunal pour solder ses comptes avec eux par rapport à des plaintes sur une affaire d’argent.

Ecoutez les détails partagés sur la page Tik Tok Lamb Diaspora

Audience des candidats recalés au palais : Mimi Touré déballe toute la vérité et répond à Bougane (Vidéo)

L’ancienne Première ministre, Mimi Touré n’a pas encore dit son dernier mot. Récemment au coeur de tous les combats du collectif des recalés qui réclamaient justice, jusqu’à interpeller le président de la République, elle a fait face à nos confrères de Sans limites pour édifier la lanterne des sénégalais sur cette question.

Pour rappel, face à leurs protestations, Macky Sall a finalement décidé de les recevoir et de les écouter.

Regardez

Audience des candidats recalés, Mimi révèle toute la vérité & répond à Bougane "meussouniouko lathié

Sénégal-Côte d’ivoire : Niakhaté catégorique, ”Match bi dou niou ko dieul à la légère…”

Le jeune défenseur des Lions s’est prononcé sur le match en huitième de finale face à la Côte d’Ivoire et s’est également confié sur la vie dans le vestiaire sénégalais dans cette CAN.

Les choses sérieuses commencent :

Niakhaté catégorique : ''Match bi dou niou ko dieul à la légère...''

Can 2023/ Pape Matar Sarr sur la côte d’ivoire : ”Essayer de les aborder de la plus belle des façons…”

A quelques jours de leur match comptant pour les 8es de finale de la Can 2023 face à l’équipe organisatrice, la côte d’ivoire, l’international sénégalais Pape Matar Sarr se lâche sur cette rencontre.

Il a fait savoir que : « C’est une belle affiche. On essaiera d’aborder ce match de la meilleure façon… Nous allons rester les pieds sur terre et continuer à travailler… Je suis là pour progresser et faire le maximum pour aider l’équipe » a-t-il déclaré

Can 2023/ Pape Matar Sarr sur la côte d'ivoire : ''Essayer de  les aborder de la plus belle des...''

Mamadou Djigo de l’Anat et Hapsatou Sy du Greentech-Sénégal vous présentent le PAVART (Images + vidéos)

Vous suivez en direct une alliance stratégique d’envergure portée par le Directeur général de l’Agence Nationale d’Aménagement du Territoire (Anat), Mamadou Djigo et la présidente de Greentech Afrique de l’Ouest et fondatrice de Africa Mith, Hapsatou Sy pour promouvoir l’industrialisation et créer des opportunités économiques au Sénégal

Cliquez sur le lien

PAVART : (Programme national d’appui à la valorisation des ressources territoriales), un ambitieux projet visant à promouvoir l’industrialisation du Sénégal, la création d’emplois et à mettre en lumière les opportunités d’investissements dans le pays

Report de la Présidentielle, audience annoncée des candidats recalés avec Macky Sall : Les vérités crues de Djibril Diop

Le Président Front pour la République du Sénégal et ex membre de Yewwi Askan, Djibril Diop a profité d’une tribune sur sa page Facebook pour recadrer une certaine opposition qui n’est intéressée que par ses propres intérêts.

” On ne doit pas confier ce pays à des gens qui n’ont pas d’expérience ni de carnet d’adresses que passer tout leur temps a parlé et manipulé les gens” a réagi le leader politique, homme fort de l’opposition dans la banlieue Dakaroise.

Face à la rumeur qui fait état d’une probable rencontre entre le président Macky Sall et les candidats “spoliés” et l report probable de la présidentielle, Djibril Diop est catégorique :

”Pas de report pour les élections présidentielles de 2024. Les recalés ! aller soutenir vos camarades candidats c’est plus cohérent.” , mieux ”Opposant recalé! Écrire et accepter d’aller à la rencontre du Président Macky Sall veut dire que le Président Macky a raison sur toute la ligne” a t-il écrit sur ses réseaux

Nouvelle technique de combat russe au Sénégal : Les bénéficiaires en stage d’initiation du ”Golden Triangle Système” (Images + vidéo)

Une première en Afrique. Un système de combat rapproché dénommé ”Golden Triangle Système” a été lancé ce week-end au Sénégal, plus précisément à Ouakam sous la houlette de son fondateur russe Alexander Shlychkov.

Dans son discours de présentation face à la presse sénégalaise, le pédagogue, spécialiste en sciences des arts martiaux de la Fédération de Russie ambitionne de développer la nouvelle technique dans toute l’Afrique mais ” le Sénégal sera la base du Golden Triangle dans le continent ”
Retour en images sur la conférence de presse et le stage pour la promotion de cet art de combat qui vise à défendre la personne contre toute attaque à couteaux ou armes blanches.

conférence de presse des nouveaux arts martiaux ici au Sénégal Jeux Olympiques 2026 Dakar

Guinée : Colonel Mamadi Doumbouya élevé au grade de Général de corps d’armée…

Le chef de la Transition guinéenne vient de monter en grade. Le colonel Mamadi Doumbouya a été élevé ce mardi 24 janvier 2024, par ses frères d’armes, au grade de Général de corps d’armée à titre exceptionnel.

La cérémonie de distinction a eu lieu au Palais Mohamed V, siège de la Présidence en présence des Commandants de la hiérarchie militaire, a appris Africaguinee.com.

Ils étaient plus de 450 membres des Forces de défense et de sécurité présents, selon la présidence guinéenne.

Avec cette élévation, le chef de la Transition Guinéenne quitte le Groupement des forces spéciales.

Africaguinee.com

Va t-on vers un report de la présidentielle ? : Pape Alé Niang alerte et appelle à la vigilance

Pape Alé Niang est contre tout report de la présidentielle du 24 février 2024. Le patron du site d’informations Dakarmatin l’a fait savoir dans une publication ce mardi soir

” Des personnes tapies dans l’ombre des lambris dorés du pouvoir manœuvrent pour un report des élections uniquement pour leurs propres intérêts. Restons fermes et vigilants. Le peuple a vraiment hâte de tourner cette page. ” a réagi le journaliste-chroniqueur

Can 2023 : Le message d’Amadou Bâ aux Lions après la victoire contre la Guinée

Le Premier ministre Amadou Bâ, a exprimé sa joie et sa fierté sur Facebook à l’égard de l’équipe nationale de football, les Lions, suite à leur qualification en huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN).

Le Sénégal réalise ainsi un carton plein à la CAN après une belle victoire face à la Guinée, ce mardi au stade de Yamoussoukro.

” Quelle joie de vous voir remporter ce match! Que votre détermination, votre solidarité et votre talent soient encore et toujours votre moteur pour la suite de la compétition.
Nous sommes fiers de vous! ” a réagi le candidat de la coalition BBY à la présidentielle de 2024

Présidentielle 2024 : Après l’exclusion de Karim Wade, l’avenir politique de Kéba Kanté est-il en jeu ?

Il y’a juste 3 mois, le responsable politique, Kéba Kanté, fils de l’ancien Directeur Général du Port Autonome de Dakar (PAD), et ancien Ministre chargé du Plan Sénégal émergent (PSE ), Cheikh Kanté et initiateur du mouvement ” la Grande offensive des républicains (GOR) ” avait rallié le PDS.

Un ralliement politique de taille, qui annonça la fin de Benno dans le Ndiambour et qui apporta la joie dans les rangs des libéraux sous la houlette de Karim Wade pour la reconquête du pouvoir perdu en 2012 avec le règne de Macky. 

Poisse ou malchance, l’espoir vient de s’estomper avec la décision du conseil constitutionnel. Karim Wade, fils et ministre de l’ancien président Abdoulaye Wade et premier adjoint du secrétaire général du parti démocratique sénégalais (PDS), a été définitivement écarté de la course présidentielle du 25 février prochain. En effet, il  ne figure pas sur la liste définitive des vingt candidats validés par le Conseil constitutionnel, publiée tardivement ce samedi 20 janvier  après une longue journée d’attente. Motif : sa double nationalité qui fait débat depuis plusieurs jours dans le pays suite au recours déposé par le député Thierno Alassane Sall malgré un décret en attestant soit publié par le ministère français de l’intérieur.

Le fils de Cheikh Kanté avait promis de remporter la victoire contre la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) à Fatick, Louga et Dakar. « Je m’adresse au président Karim Meissa Wade. Au soir du 25 février 2024, je prends l’engagement devant tout le monde que je vais battre le Bby à Fatick, à Louga et à Dakar, » avait-t-il déclaré

Pour mémoire, le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et Karim Wade ont publié une déclaration ce 21 janvier, portant de graves accusations à l’encontre de deux juges du Conseil constitutionnel, Cheikh Tidiane Coulibaly et Cheikh Ndiaye. Le PDS suspecte ces juges de corruption, sans toutefois fournir de détails précis.

Cette situation embarrassante ne pourrait-il pas, à terme, fortement réduire l’offre politique avec le risque d’un désistement de la base militante ?

Face à cette situation, le nouveau lion du PDS poursuivra t-il le combat du recours entre enquête parlementaire et saisie des juridictions internationales ?

Que va t-il faire de ses bases politiques éparpillées entre Fatick, Dakar, Louga et Mbacké ? Mieux, quel sera son discours lors de son meeting du 11 Février prochain qui suscite moult interrogations sur son avenir politique ?

Le Sénégal accueille la présentation d’un nouveau modèle des arts martiaux – le système innovant de combat rapproché dénommé “Système du Triangle d’Or ou Golden Triangle Système ”

Dans un communiqué reçu à la rédaction la capitale sénégalaise accueille ce Dimanche, 21 janvier 2024 la présentation d’un nouveau modèle des arts martiaux – le système innovant de combat rapproché dénommé “Système du Triangle d’Or ou Golden Triangle Système ”

Brèves informations sur le système :

Lors du développement initial du « Système Triangle d’Or », l’objectif principal était de minimiser le temps consacré à la maîtrise de la motricité appliquée, de créer des réflexes adaptés aux situations extrêmes, formant un modèle de comportement stable qui permet de supprimer les attaques de l’agresseur. dans les plus brefs délais et avec un minimum de pertes possibles pour le personnel militaire, les forces de l’ordre et divers groupes sociaux de la population.

La formation aux compétences militaires appliquées intégrées dans les tactiques de conduite de guerres hybrides locales nécessite de repousser les limites des connaissances et des compétences particulières liées aux réflexes naturels.
Le système est une plate-forme innovante qui combine divers sports militaires appliqués, arts martiaux traditionnels, connaissances militaires en ingénierie et formation chimique, formation canine, formation en parachute et premiers secours sur le terrain.

Les méthodes développées du Système permettent de passer rapidement du travail en combat rapproché sans armes à l’utilisation de moyens spéciaux, d’armes blanches et d’armes à feu. La base de la méthodologie d’enseignement est l’expérience pratique acquise lors d’opérations militaires en Afghanistan, d’opérations antiterroristes dans le Caucase et en Syrie, ainsi que des programmes originaux et innovants des employés du Centre de recherche scientifique de l’Institut militaire de culture physique du ministère de la Défense de la Fédération de Russie.

Le conseil méthodologique du « Système du Triangle d’Or » comprend des instructeurs de niveau international dans divers types d’arts martiaux qui ont une expérience de service dans les forces armées de la Fédération de Russie, des unités des forces de l’ordre russes qui ont pris part aux hostilités, qui ont été décerné des prix départementaux et d’État, ainsi que des enseignants et des médecins titulaires de diplômes scientifiques et auteurs de techniques russes brevetées de santé et de réadaptation.

L’utilisation généralisée de la méthodologie de l’auteur vise à former les employés des forces de l’ordre, des organisations de sécurité privées et des jeunes.

La méthodologie du « Système du Triangle d’Or » est utilisée dans la préparation des participants aux compétitions dans les sports d’application militaire « Tir tactique de l’armée tous azimuts » et « Athlétisme pratique général ». Le premier sport a été enregistré par le ministère des Sports de la Fédération de Russie dans la quatrième section du Registre panrusse des sports – « Sports militaires et militaires » en mars 2021 et est en cours de développement par le ministère de la Défense de la Fédération de Russie. Fédération. Le deuxième sport est actuellement en cours d’accréditation et s’adresse à la population civile.

Le système du «Triangle d’Or» a été à juste titre très apprécié non seulement en Russie – le système a déjà reçu une réponse internationale au format international, en ouvrant des bureaux de représentation au Kirghizistan, en Ouzbékistan, à Chypre, aux Philippines, au Myanmar et au Japon.

Brèves informations sur le newsmaker :

Alexander Shlychkov – Pédagogue , spécialiste aux sciences des arts martiaux de Fédération de la Russie , président de l’Association européenne de boxe traditionnelle birmane (Lethwei), président de l’Organisation publique panrusse de culture physique et sportive pour le développement des arts martiaux en philippins , membre du présidium de la Fédération de tir tactique de l’armée de Russie, auteur du système de combat rapproché “Triangle d’Or” et d’un nouveau format de la discipline fitness Close combat studio, titulaire du cinquième dan en taekwondo (WT)

Organisateurs d’événements :

Système du Triangle d’Or au Sénégal
Bureau de représentation de l’Association internationale des experts en sécurité « G3 » (Association « G3 »)

Titre:
Expérience russe : le système innovant du Triangle d’Or arrive au Sénégal.

Plomb:
Le 21 janvier, dans la capitale de la République du Sénégal, Dakar, aura lieu une présentation du système innovant de combat rapproché de dénommé « Golden Triangle System ».

Le nouveau format du Système combine harmonieusement l’utilisation d’espaces de lancer de couteaux et de pratique de tâches sportives et tactiques avec des simulateurs de tir, des espaces de fitness cyclique et fonctionnel, un tapis de lutte avec une « cage » improvisée pour les arts martiaux mixtes, des espaces d’entraînement à la frappe. techniques sur simulateurs, et bien plus encore.

Corps de libération :
Dans le monde moderne, au cours de la vie quotidienne, une personne interagit inévitablement avec l’environnement, se retrouvant parfois dans des situations extrêmes. Dans des situations dangereuses et critiques, les personnes risquent de subir des blessures de gravité variable et sont également confrontées à des dangers qui constituent une menace directe pour leur vie et leur santé.

Les formes existantes de culture physique, y compris les sports militaires et militaires, ne peuvent pas résoudre complètement le problème de la préparation d’une personne à relever les défis de la société moderne. La raison principale est avant tout la disponibilité limitée de ces disciplines pour un large éventail de personnes. Compte tenu de ce facteur, il est urgent de faire émerger un système universel, un système accessible aux différentes couches de la population et aux différentes tranches d’âge.
Les créateurs du « « Golden Triangle System », sous la direction du candidat en sciences pédagogiques, chef du Centre de formation spécial du DOSAAF de Russie Alexander Shlychkov, ont proposé la mise en œuvre d’un nouveau type universel d’activité compétitive – le concours multiple athlétique pratique. Le format original de fitness « Close Combat Studio », ouvert à Dakar, prend en compte l’intérêt des jeunes pour les nouvelles formes d’activité physique allié à la nécessité d’introduire un entraînement physique et appliqué universel, comme l’une des formes d’éducation physique pour tous. strates et groupes de population correspondant au niveau et à la variabilité des menaces directes et indirectes pour la santé et le bien-être humains.
Les représentants de la presse invités auront l’occasion de recevoir de nombreuses informations de la part de professionnels sur des questions qui les intéressent.

Représentant officiel de l’Association Internationale des Experts en Sécurité « G3 » au Sénégal, instructeur certifié du « Système Triangle d’Or » maître Dadouda Fall

Décès de la mère de Wally Seck : Youssou Ndour présente ses condoléances

Suite au décès de Ndèye Fatou Kiné Diouf Diaga, Youssou Ndour présente ses condoléances à la famille Seck. Il partage la douleur à travers un post sur sa page Facebook. 

”Diaga, Tu as été le premier public, 1re Fan et très grande contributrice de la carrière de celui que tu as tant aimé et protégé. Tu tires ta révérence, douce moitié de Thione, mais tu resteras à jamais dans nos prières. En ces moments douloureux, j’exprime toute ma tristesse en direction de tous ses enfants et à sa famille au premier rang duquel Wally à qui je présente mes sincères condoléances.” a réagi la star planétaire.

Urgent – Can 2023 : Aliou Cissé hospitalisé (Canal Plus)

Le sélectionneur sénégalais, Aliou Cissé a eu un malaise, suite à la victoire (3-1) face aux Lions indomptables, rapporte Canal +. Il a été hospitalisé à l’hôpital de Yamoussoukro, où il a passé la nuit.

Selon Canal+, il va sortir dans les prochaines heures.

Décès de maman Diaga : Les condoléances de Mamadou Guèye, leader du MRV à la famille Seck

Le rappel à Dieu de Ndèye Fatou Diouf Diaga, maman du célèbre chanteur sénégalais Wally Ballago Seck, décédée en France où elle recevait des soins médicaux à fait réagir la classe politique.

Mamadou Guèye, leader du mouvement pour la refondation des valeurs (MRV) nous partage sa tristesse et consternation à la suite de cette mauvaise nouvelle.

”Je vous témoigne toute ma compassion pour le décès de votre tendre mère, Maman Fatou Kiné Diouf ”Diaga”. Je garderai toujours dans mon cœur les souvenirs que nous avons partagés avec cette belle âme. Je présente mes sincères condoléances à toute la famille Seck plus particulièrement à Seydina Alioune Seck. C’est un coup dur pour un jeune de son âge. Je lui témoigne ma solidarité et mon soutien indéfectible. Repose en Paix Diaga”, a réagi le responsable politique de la coalition BBY

Nécrologie – Dernière minute : Décès de Fatou Kiné Diouf Diaga, mère du chanteur Wally Seck

Une très mauvaise nouvelle a encore frappé la famille de feu Thione Seck. Celle qui était son épouse, Fatou Kiné Diouf ”Diaga”, maman du célèbre chanteur, Wally Ballago Seck n’est plus.

Plusieurs sources proches de la famille ont confirmé son rappel à Dieu.

Un décès survenu ce samedi 20 janvier à Paris, des suites d’une longue maladie.

Notre rédaction exprime ses condoléances à toute la famille Seck.

Ziarra annuelle de Thierno Elimane Boubacar Kane : Retour sur la vie et l’œuvre d’un saint multidimensionnel

A Dimath dans la région de Saint-Louis, est revisitée chaque année l’épopée d’un patriarche qui a participé au rayonnement de l’Islam tolérant au Sénégal. Ledakarois Media à titre d’hommage vous plonge dans l’univers d’un homme d’action et marabout célèbre du Fouta qui a vécu entre 1721 et 1851.

Il était un homme de Dieu qui incarnait les principes fondamentaux de la foi en Dieu. Il vivait selon les préceptes du coran, il était guidé par la prière et cherchait à aider les autres dans leur vie spirituelle selon son arrière petit-fils, Mamadou Djigo, directeur général de l’agence nationale de l’aménagement du territoire et responsable politique APR à Koungheul.

Mieux, le saint homme incarnait une sagesse légendaire inspirée de la tradition prophétique (Sunnah) poursuit la tête initiatrice des grands projets de développement à travers le ressources territoriales du Sénégal.

Résumé sur la vie et l’œuvre de ce saint multidimensionnel

Né en 1721, est décédé le 26 Mars 1851 à Dimath (région de Saint Louis), Elimane Boubacar Kane s’est particularisé par son exceptionnelle longévité (130 ans selon les sources traditionnelles). Ce qui a fait de lui un témoin du début de la domination coloniale sur la partie occidentale de notre continent. Une domination qu’il a combattue jusqu’à sa mort.
Homme d’Etat d’une rare perspicacité politique, Elimane Boubacar Kane, a forcé jusqu’à sa mort le respect de ses pairs et se fera connaître des puissances coloniales pour avoir formé la première coalition des royaumes du Sénégal et de la Mauritanie du Sud.

Considéré au début du XIXème siècle comme «le plus puissant de la Nigritie», il fut un grand rénovateur, pour avoir été l’un des sept disciples du foyer de cadi Khaly Amar Fall de Pire Sagnokhor, qui organisèrent l’avènement de l’Almamyat du Fouta-Toro (1776-1881) contre le joug d’une monarchie fortement liée à la traite négrière. Condisciple de grands savants maures, tels que Cheikh Mohamed Al Aqil, Mohamed Djikaniou, des wolofs comme Serigne Koki Ndiaga, Issa Diop et des Pulaars comme Thierno Souleymane Baal, Almamy Abdoul Kader Kane etc. Elimane Boubacar Kane sera également l’un des premiers guides spirituels d’El Hadji Oumar Tall qu’il reçut à plusieurs reprises à Dialmath et encadré, avant son pèlerinage à La Mecque et soutenu dans son action d’islamisation sur le plan mystique nous informe le site Asfiyahi.

Can2023 – Victoire du Sénégal face au Cameroun : Le message de ”fierté” de Macky Sall aux Lions qualifiés en 8es de finale

Can 2023 : La joie immense de Macky Sall dans son vol après la qualification des Lions

Le Tweet n’a pas tardé ! Le président de la République, Macky Sall a félicité les Lions pour leur victoire face aux Lions indomptables, qui leur assure le ticket de qualification pour les 8es de finale de la Can 2023 en terre des Éléphants.

Can 2023 : La belle Aissatou de ”Cœurs brisés” se dévoile sublime en mode 12e Gaindé pour soutenir les Lions

Belle à l’image du Vénus Callipyge au physique à couper le souffle, Aissatou a fini de s’installer dans le cœur des Sénégalais à travers les séries.

La fille du célèbre Dj Edouardo se dévoile dans ses clichés en mode amateur de foot pour apporter son soutien aux Lions de la Teranga pour la Can 2023 en Côte d’ivoire.

Exclusif : Absent du Sénégal, le marabout de Sonko, Serigne Abdourahmane Mbacké réapparait avec des révélations inédites

Absent du territoire sénégalais depuis des mois, le guide religieux et par ailleurs marabout de Ousmane Sonko en tournée européenne est réapparu dans un entretien sur la télévision des patriotes, Jotna TV, à moins d’un mois de la présidentielle.

Sa famille religieuse, son parcours, ses relations avec les hommes politiques mais surtout ce qui le lie avec le leader des patriotes, Ousmane Sonko, qui selon lui incarne l’espoir de tout un pays ont été au menu de échanges.

Regardez

Grand Entretien reçoit Serigne Abdou Mbacké

Urgent (Vidéo) : L’émission Balance de Pape Ndiaye Walf arrêtée après une violente dispute sur l’affaire Sonko

No comment ! L’émission Balance de Walf a été interrompue pour sa diffusion de ce mardi suite à des échanges houleux sur le plateau entre le responsable politique de la coalition BBY, Cheikh Gadiaga et les représentants des familles des détenus sur l’affaire Sonko.

Regardez!!

Les lions du Sénégal endeuillés : Décès du père de Cheikhou Kouyaté

Le Père de Cheikhou Kouyaté, international sénégalais actuellement en Côte d’Ivoire pour les besoins de la CAN 2023 vient de nous quitter.

L’info est de Mamadou Ndiaye de la TFM.
Paix à son âme et que Dieu l’accueille dans son paradis.


Courage Champion!

Nécrologie : Serigne Gallas Mbacké Sindidi, fils ainé de Serigne Abdou Karim Mbacké Falilou rappelé à Dieu

C’est à Allah que nous appartenons et c’est vers Lui que nous retournerons.

C’est avec une grande tristesse que nous vous faisons part du décès de Serigne Gallas Mbacké Sindidi, fils ainé de Serigne Abdou Karim Mbacké Falilou.

Une mauvaise nouvelle, qui plonge la communauté mouride dans un profond émoi à quelques mois de la célébration du Magal de son homonyme et grand-père, Serigne Fallou Mbacké, ”Kazu Rajab”.

Qu’Allah l’accueille dans sa satisfaction en compagnie des Prophètes – Paix sur eux – des Véridiques, des Martyrs, des Pieux et des Rapprochés.

Présidentielle 2024 : La Diaspora valide Karim 2024

Dans une note parvenue à la rédaction, les militants de la Coalition Karim 2024 de la diaspora sous la houlette de Abdou Khadre Diokhané, secrétaire national adjoint du PDS et responsable PDS-Italie sont montés au créneau pour bénir la candidature de leur leader.

Face au débat soulevé par certains, qui posent des questions relatives à sa nationalité française, M. Diokhané dans son discours fait ”Focus” sur la présidentielle et tresse des lauriers à ses infatigables soldats qui ont exécuté un travail remarquable lors des parrainages.

” Je tenais à vous féliciter de votre engagement et dévouement que vous avez démontré durant ce processus électoral qui est les parrainages dans vos pays respectifs.” fait-il savoir d’emblée

FOCUS KARIM 2024

”Cette belle collaboration familiale nous a permis de faire un travail au-dessus de nos attentes…. FOCUS KARIM 2024….” poursuit -il avec optimisme avant de terminer son discours pour l’unité et espoir de gagner ces joutes électorales au soir du 24 février 2024.

”L’espoir,que le peuple conscient surtout la Diaspora porte sur le candidat qui rassure Karim Meissa Wade, est un défi très prometteur pour le senegal.
Conscient de cette Responsabilité,notre frère président Karim Meissa Wade sera le président de L’ASSURANCE. Avec le frère président Karim Meissa Wade,notre cher Sénégal sera un pays dans le concert des grandes Nations. Les secteurs moteurs d’un pays Développé, industrialisé mais surtout porteurs d’espoir de la jeunesse seront considérés piliers dans le Grand Programme d’un Sénégal Pour Tous.En tant que Suppléant Délégué Régional de la Diaspora,je vous remercie de la collaboration mais surtout de la confiance envers notre frère président candidat de la Coalition K24…Ensemble, vers un devenir MEILLEUR…” a-t-il conclu

Musique : La chanteuse Abiba signe son come-back avec la chanson “Bonus”

Chose promise il y’a quelques jours, la chanteuse Abiba vient de dévoiler son clip intitulé ”Bonus”.

La talentueuse artiste démontre encore une fois son génie dans une alchimie envoûtante, qui risque de ne laisser personne indifférent.

Suivez :

ABIBA - BONUS LE (Clip Officiel)

Images – Prise de contact : Mamadou Djigo reçoit Modou Diagne Fada, Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires

Le Directeur général de l’Agence nationale d’aménagement du territoire (Anat), Mamadou Djigo a reçu Modou Diagne Fada, Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires pour une prise de contact par rapport aux perspectives de leurs départements respectifs, ce jeudi 11 janvier dans les locaux de l’Anat.

Retour en image de cette cérémonie solennelle qui vise à consolider les relations intrinsèques entre ces deux entités indissociables pour le développement du Sénégal à partir de ses territoires.

Culture : Mohamed Diagne, fils du Grand Serigne de Dakar, feu Bassirou Diagne célèbre la communauté léboue

Rare des radars depuis un bon moment, Mohamed Diagne, fils du Grand Serigne de Dakar, feu Bassirou Diagne réapparaît avec une annonce de taille.

Le leader du mouvement Taxawu, l’homme politique et social décide de rendre hommage à la communauté léboue, ce 14 janvier pour un ”Takkussan” inédit.

L’objectif selon lui est de, ”faire découvrir les potentialités culturelles de cette belle communauté dont certaines pratiques semblent être perdues dans l’obscurité du temps avec la nouvelle génération. C’est pourquoi j’ai décidé avec mes collaborateurs de présenter une facette cet héritage qui doit servir de repères face à un monde en perpétuel devenir. Mais rendre également hommage à 3 personnalités qui symbolisent le patrimoine lébou. Je veux nommer, le grand avocat, Me Doudou Ndoye, l’ancienne ministre, Sokhna Ngoné Ndoye et celui que j’appelle affectueusement l’historien de la communauté léboue, Abdou Khadre Gaye de l’Emad. ”

Ce dialogue culturel sera le rendez-vous de toute la noblesse des lébous sous toutes ses formes mais également une occasion pour les sommités qui y seront de la collectivité de « se retrouver » et de repenser sa marche vers la modernité selon Mohamed Bachir Diagne.

Last bu not least, il invite tous à cette rencontre pour célébrer l’essence lébou, son héritage culturel et à sa connexion profonde avec le monde à la maison de culture Douta Seck.

Babacar Fall de Rfm victime de menaces de mort et d’injures après sa chronique salée sur Macky Sall

Depuis ce mercredi matin, le journaliste Babacar Fall de la Rfm reçoit des menaces de mort, des messages audio et écrit, des appels, injures de toute sorte. Ce, à la suite de sa chronique de 12 h.

Dans cette chronique, le journaliste qui a pris la défense de ses confrères a, d’emblée, souligné que : ” le chef de l’état, Macky Sall dans sa gouvernance, n’a cessé de tirer sur les médias sénégalais ”. 

Pour rappel, le chef de l’État Macky Sall a pointé du doigt certains journalistes sur leur manière de faire la revue de presse. Et ce, en marge de la cérémonie officielle d’ouverture de la 50e édition des assises de l’Union internationale de la presse francophone (UPF) qu’il présidait ce mardi 09 janvier.

Second tour de vérification des parrainages: Anciens Premiers ministres recalés

A la une aujourd’hui, le Conseil constitutionnel dévoile les résultats du second tour de vérification des parrainages pour l’élection présidentielle. Sur les 23 candidats initialement admissibles, 12 ont réussi à valider leurs tickets, tandis que 8, dont des anciens Premiers ministres, ont été recalés. Trois candidats n’ont pas complété les formalités nécessaires.

Les candidats ayant validé leurs parrainages :
Rose Wardini
Idrissa Seck
Aliou Mamadou Dia
Malick Gackou
Aly Ngouille Ndiaye
Mamadou Lamine Diallo
Serigne Mboup
Pape Djibril Fall
Bassirou Diomaye Diakhar Faye
Mame Boye Diao
Mouhamed Boun Abdalah Dione
Thierno Allassane Sall
Les candidats recalés :
Maître El Hadj Diouf
Serigne Gueye Diop
Souleymane Ndene Ndiaye
Abdoul Mbaye
Aminata Touré
Abdourahmane Diouf
Amadou Ly
Bougane Gueye Dany

Candidats n’ayant pas complété les formalités :
Pape Momar Ngom
Aliou Camara
Amadou Seck
Ces résultats marquent un tournant crucial dans la course présidentielle, avec des personnalités politiques éminentes se trouvant parmi les recalés.

Analyse des candidats retenus
Parmi les candidats qui ont réussi à valider leurs parrainages, on retrouve des figures bien connues de la scène politique sénégalaise. Rose Wardini, Idrissa Seck, et Aliou Mamadou Dia font partie des favoris, chacun avec son propre soutien et programme politique.

Rappel des candidats déjà admis au premier tour
Rappelons que neuf candidats avaient déjà passé avec succès le premier tour de validation des parrainages. Parmi eux, on retrouve des personnalités telles que Boubacar Camara, Khalifa Ababacar Sall, et Karim Meïssa Wade.

Les neuf pièces indispensables pour une déclaration de candidature
Certificat de nationalité sénégalaise
Carte d’identité nationale Cédéao (35-75 ans)
Extrait de naissance récent (moins de 6 mois)
Casier judiciaire vierge (moins de 3 mois)
Attestation d’investiture (coalition ou candidat indépendant)
Liste de parrainage avec l’option choisie (élue ou parrainage citoyen)
Déclaration sur l’honneur (nationalité sénégalaise, capacité de lire et écrire)
Déclaration sur l’honneur (conformité à la législation fiscale)
Quittance avec attestation signée par le président de la Caisse de dépôt et de consignation (CDC)
Le processus de candidature à une élection présidentielle au Sénégal requiert la présentation de neuf pièces essentielles, garantissant la légitimité et l’éligibilité des candidats. Ces pièces comprennent le certificat de nationalité sénégalaise, la carte d’identité nationale Cédéao, un extrait de naissance récent, un casier judiciaire vierge, une attestation d’investiture, une liste de parrainage, deux déclarations sur l’honneur, et une quittance avec attestation de la Caisse de dépôt et de consignation (CDC).

Restez avec nous pour toutes les mises à jour sur l’évolution de la scène politique sénégalaise en cette période électorale cruciale.

*Cheikh Kane

Qui est Gabriel Attal, le nouveau Premier ministre français ?

Le populaire ministre de l’Éducation, Gabriel Attal, est devenu mardi 9 janvier à 34 ans le plus jeune chef du gouvernement de l’histoire de la République française, à l’issue d’un remaniement ministériel censé donner un nouveau souffle à la présidence d’Emmanuel Macron.

Le président Emmanuel Macron a nommé, mardi 9 janvier à Matignon, Gabriel Attal, 34 ans, qui devient le plus jeune Premier ministre de l’histoire de la République.

Le jeune et populaire ministre de l’Éducation nationale va succéder à Elisabeth Borne, contrainte lundi 8 janvier à la démission après 20 mois passés à la tête du gouvernement.

Peu avant cette annonce, il parlait encore redoublement dans une réunion en visioconférence avec des chefs d’établissement. “L’école c’est l’arme la plus puissante que nous ayons pour changer la société” et “quelles que soient les évolutions à venir, cette conviction et cette cause ne cesseront jamais de m’habiter“, a-t-il dit en conclusion.

Le nouveau Premier ministre, était devenu la personnalité la plus populaire du gouvernement et de la majorité, convainquant un Français sur deux, alors que plus d’un tiers d’entre eux réclamaient sa nomination à Matignon dans une récente étude. Gabriel Attal aurait pour mission d’offrir au président Emmanuel Macron l’élan que son second quinquennat n’a jamais trouvé.

Sa première tâche sera de former un nouveau gouvernement sous le signe du “réarmement” vanté par le chef de l’État lors de ses voeux du Nouvel An : “réarmement industriel, économique, européen” mais aussi “civique“, autour notamment du vaste chantier de l’école que Gabriel Attal a porté depuis l’été en initiant de nombreuses réformes d’ampleur.

La nomination de Gabriel Attal offre des garanties aux tenants du “dépassement” du traditionnel clivage droite-gauche.

Son nom est remonté en haut de la liste lundi 8 janvier pour Matignon alors que deux favoris tenaient jusque-là la corde : le discret ministre des Armées, Sébastien Lecornu, 37 ans, venu de la droite, et l’ancien ministre de l’Agriculture, Parti dans le privé, Julien Denormandie, 43 ans.

À la tête du prestigieux portefeuille de l’Éducation nationale depuis juillet 2023, le jeune ministre, omniprésent sature l’espace médiatique et séduit les populations âgées qui constituent le cœur de l’électorat macroniste avec ses prises de position en faveur de l’uniforme ou l’interdiction de l’abaya à l’école.

Gabriel Attal est le quatrième Premier ministre nommé depuis 2017 sous la présidence Macron.

Il “incarne un élan, une dynamique, une audace dont on a sûrement besoin“, résume un cadre de la majorité.

Emmanuel Macron avait salué le 20 décembre sur France 5 chez son jeune ministre un responsable politique qui “partage (ses) combats depuis le début” et qui a “l’énergie, le courage” pour “porter les réformes” à venir, voire, tel un héritier, “continuer le combat“.

AFP/VNA/CVN

Khalifa Ababacar Sall, le choix de la raison (Par Made Codé Ndiaye)

Nul besoin de ressasser, ici, les persécutions et les péripéties -mais aussi les belles conquêtes- qui ont jalonné son parcours de «militant», comme il aime à se faire appeler. Khalifa Ababacar Sall, capable de grandeur quand tout l’autorisait à être porté à la rancune, fait bonne impression et offre le meilleur profil de serviteur de la République dans le contexte de la multitude de candidats qui se bousculent actuellement. 
Servir la République, ce n’est ni ce révolutionnarisme à la mode, ni les harangues pompeuses et impétueuses, encore moins ce manichéisme effréné et délirant. 
Servir la République, c’est une posture, une certaine élévation d’esprit sans toutefois verser dans un mysticisme patriotique. Khalifa Ababacar Sall l’a encore démontré lors de son dernier exercice oratoire du mercredi 3 janvier 2024 à la chaîne de télévision, 2STV.  
Servir la République, c’est s’évertuer à donner vie aux nobles aspirations du peuple. On y confère de la noblesse à l’action politique. Il ne s’agit, en effet, que de cela malgré, les rancœurs et les flots de diatribes ou d’éloges au gré du vent en ces temps tumultueux, en ces moments qui commandent la lucidité. 
Jusqu’ici, dans sa posture et dans sa formulation du discours, Khalifa Ababacar Sall, reste fidèle à ses convictions ; il est le seul homme politique de sa stature dont le nom figure dans deux registres. 
Primo, il n’a jamais cédé aux sirènes des deux derniers régimes malgré les offres et les brimades. Vingt-quatre ans de constance ! Vingt-quatre ans à conformer son action politique à ses principes et convictions  ! Vingt-quatre ans de fidélité à son serment depuis la perte du pouvoir par le régime socialiste en 2000.
Secundo, Khalifa Sall n’est pas en proie à cette excitation populiste tendant à l’anarchisme très en vogue ici et ailleurs. Au sein de la classe politique nationale, c’est comme si la tempérance était devenue un délit. Un leader politique ne doit pas avoir la phobie de la clameur quand l’intérêt commun est en jeu. Khalifa Sall reste guidé par la claire conscience de sa responsabilité  face aux défis et enjeux qui interpellent le pays, sur le plan national et international. S’engouffrer dans la brèche de la surexcitation est devenu le chemin le moins rocailleux pour exploiter la crédulité de certains esprits et nourrir sa boulimie de puissance.  Le temps du verbiage embrouillé n’a jamais été une option pour le leader de la plateforme Taxawu Sénégal. Et face aux périls de l’heure et à la détresse des populations laissées à elles-mêmes, l’égotisme obsédant d’une certaine classe politique est d’une abjection dégoûtante. La politique n’est pas le champ d’expérimentation des turpitudes. Elle est la sphère de l’honneur.
Le prochain président de la République du Sénégal, quel qu’il soit, devra surtout amoindrir les clivages, réconcilier les Sénégalais fortement marqués par les troubles politiques de ces trois dernières années. Qui d’autre peut mieux provoquer ce sursaut que celui qui a été capable de pardonner après avoir été injustement privé de liberté, opprimé et éliminé des compétitions électorales ?
Le régime actuel a montré ses limites. Les contrecoups des crises exogènes mal appréhendés, le profond désarroi des populations et la déliquescence des institutions en témoignent largement. Notre pays a plus besoin de retrouver les fondamentaux que de s’embarquer dans une périlleuse aventure que n’autorise plus ce monde plongé dans des incertitudes. Le Sénégal a besoin d’un homme d’Etat aux compétences et vertus éprouvées et dont la trajectoire et la posture ne laissent aucune place au doute sur sa capacité à fédérer les esprits, à mener les réformes utiles, à consolider notre vivre-ensemble, à préserver notre pays de l’érosion démocratique en Afrique de l’Ouest, à bâtir de grandes espérances, à arrêter ce cycle de représailles au plus haut sommet de l’Etat, à établir une ligne de démarcation entre le tolérable et l’indéfendable…
Khalifa Sall a montré, tout au long de son parcours politique, qu’il saura être un président de la République réconciliateur, un rassembleur capable de restaurer la respectabilité de nos institutions, piliers de notre vivre-ensemble. L’exigence de nos compatriotes pour une pratique politique saine et leur impatience grandissante de se situer au premier rang des préoccupations de la classe politique suscitent un écho chez lui. La République doit être une allée des possibles, un accotoir d’espoir pour tous ses fils. Sans distinction. C’est ce que traduisent le parcours, la posture et le discours de Khalifa Ababacar Sall. 
La jeunesse, omniprésente dans son discours et sa pratique politique, doit être prise en charge dans ses légitimes aspirations. Car, elle est un atout. Les jeunes, en recréant le lien social se projettent dans un monde passionnant qui leur dévoile d’autres horizons auxquels nous ne devons pas être insensibles. Le monde a changé. Leurs plaintes qu’ils font entendre dans les réseaux sociaux sont un appel au secours qu’il faut écouter pour envisager l’avenir avec sérénité ; cette sérénité dont ne s’est jamais départi Khalifa Sall et sans laquelle toute gouvernance est vouée à l’insuccès et à la désillusion. 2024 est un temps de lucidité.

Made Codé Ndiaye

Coordonnateur de la cellule des cadres de Taxawu Sénégal

Franz Beckenbauer, légende du football allemand, est mort à l’âge de 78 ans

Champion du monde en tant que joueur (1974) puis sélectionneur (1990), président du Bayern et grand organisateur du Mondial-2006 : pendant plus d’un demi-siècle Franz Beckenbauer  a rythmé le quotidien des Allemands devenant le “Kaiser” aux multiples facettes de l’Allemagne de l’après-guerre.

C’est une histoire que Franz Beckenbauer, décédé dimanche à l’âge de 78 ans, aimait raconter, une anecdote qui a influencé ses choix futurs. À 12 ans, le gamin du quartier populaire et ouvrier d’Obergiesing, dans le sud de la capitale bavaroise, découvre le foot depuis quelques années au SC 1906 Munich.

À l’été 1958, dans un tournoi de jeunes, il affronte le grand club munichois de 1860, qu’il doit rejoindre plus tard. Il a maille à partir pendant la rencontre avec l’un des joueurs des “Löwen”, Gerhard König, qui lui met une gifle.

Après la rencontre, Beckenbauer prévient : il refuse d’aller dans “ce club de bagarreurs” et s’engage fièrement avec le rival, le Bayern. Le début d’une très longue histoire entre le Bayern et le jeune Franz, qui va devenir en quelques années le “Kaiser” (l’empereur) allemand.

Né en septembre 1945 dans les ruines de l’Allemagne d’après-guerre, fils d’un directeur de bureau de poste, Franz Beckenbauer rejoint le Bayern en 1964 alors qu’il n’a pas encore 19 ans, et y passe la majeure partie de sa carrière.

Il se créé sur mesure un poste adapté à son talent : libéro, évoluant derrière sa défense mais venant régulièrement faire le surnombre en milieu de terrain, d’où il a marqué la majorité de ses plus beaux buts.

Ce joueur racé et élégant, au port toujours altier, s’est bâti un palmarès exceptionnel : quatre titres de champion et autant de Coupe d’Allemagne, deux Ballons d’Or, trois succès d’affilée en Coupe d’Europe des clubs champions, l’ancêtre de la ligue des Champions.

Le bras droit en écharpe  

Avec la sélection, il a réalisé le doublé Championnat d’Europe (1972) et Coupe du monde (1974). Cerise sur le gâteau, le sacre planétaire a lieu chez lui, dans le stade olympique de Munich, à quelques encablures de sa maison natale.

Plus encore que Gerd Müller ou Sepp Maier, ses coéquipiers au sein de la Nationalmannschaft et du Bayern de Munich, Franz Beckenbauer a incarné la puissance du football allemand dans les années 1970.

Une photo est restée dans la légende, symbole de son abnégation : Beckenbauer, le bras droit en écharpe, continuant jusqu’au bout et malgré la douleur d’une clavicule cassée la demi-finale du Mondial-1970 perdue contre l’Italie (4-3 en prolongation), dans ce qui est resté le “Match du siècle”.

Il joue ses dernières saisons entre New York et Hambourg, avant de raccrocher en 1983 et de débuter une carrière d’entraîneur, lui qui affirmait comme joueur qu’il n’en avait pas la moindre intention.

Appelé au chevet de la Mannschaft à l’été 1984 après un Euro en France manqué, il hisse la sélection allemande en finale du Mondial-1986, perdue contre l’Argentine de Maradona, avant de prendre sa revanche quatre ans plus tard, contre cette même Argentine, à Rome.

Beckenbauer s’inscrit ainsi dans la légende, devenant le deuxième homme champion du monde comme joueur et sélectionneur, après le Brésilien Mario Zagallo. Le Français Didier Deschamps, qui comme le Kaiser a soulevé le trophée de la Coupe du monde à domicile en 1998, a rejoint ce club très fermé en 2018.

Peu attiré par le banc d’entraîneur, il rend son tablier de sélectionneur au sommet, et d’entraîneur après un court passage à Marseille.

Soupçons de corruption

C’est en revanche tout logiquement qu’il prend les rênes de “son” Bayern au début des années 1990, au sein d’un triumvirat aux côtés de Karl-Heinz Rummenigge et Uli Hoeness. Il double parfois sa casquette de président avec celle d’entraîneur intérimaire à deux reprises, avec succès.

Sollicité de toutes parts, il siège au comité exécutif de la Fifa, et l’Allemagne lui confie la mission d’obtenir l’organisation de la Coupe du monde 2006, qu’il décroche en 2000 lors d’un vote serré aux dépens de l’Afrique du Sud (12 à 11).

Le “Sommermärchen”, un conte de fées d’été, de 2006 tourne toutefois une décennie plus tard au cauchemar, lorsque des soupçons de corruption viennent écorner un temps l’image du Kaiser.

“Les Allemands souhaitaient obtenir le Mondial, y compris moi. Et nous étions contents d’avoir un Franz Beckenbauer. Il y a un peu d’hypocrisie, on devrait nous tous s’auto-accuser”, a récemment estimé l’ancien ministre allemand des Affaires étrangères, Joschka Fischer (Verts).

Beckenbauer sera également suspendu pendant 90 jours par la Fifa de toute activité dans le football (sanction levée au bout de 14 jours), lui l’ancien vice-président de l’instance entre 2007 et 2011 au moment de l’attribution polémique du Mondial 2022 au Qatar en décembre 2010.

Omniprésent dans les médias et à la télévision, star de la publicité pendant et après sa carrière de joueur, Beckenbauer a vu son image, seulement un temps, écornée par ces soupçons.

Avec AFP

Exclusif – Présidentielle de 2024 : Serigne Modou Kara propose le report du scrutin du 24 février 2024

Reporter l’élection présidentielle comme le voulait le candidat Boubacar Camara, est l’avis du guide religieux, Serigne Modou Kara Mbacké.

Dans une conversation téléphonique avec le journaliste-chroniqueur, Yamoussa Camara, ce dimanche soir, le général de Bamba propose le report de l’élection présidentielle du 25 février 2024 au Sénégal.

” Le gouverneur général d”’Al Xadiimiya”, Serigne Modou Kara m’a appelé vers 22h. Au menu des échanges, il m’a fait savoir qu’il porte à l’attention des Sénégalais, de la presse nationale et internationale qu’il propose le report de la présidentielle pour le bien tous les citoyens. ” Fait-il savoir d’emblée.

Ambassadeur international de la paix, Serigne Modou Kara Mbacké pense que le pays ne mérite pas de renouer avec les tensions politiques et appelle à une reprise du scrutin sous un nouveau format.

”Je suis un visionnaire, on doit reporter ces élections et les reprendre sous format d’élection générale et inclusive avec la participation de tous ceux qui doivent y figurer. Je le propose sur inspiration divine. Je sais de quoi je parle. Non seulement elle doit être reportée mais elle doit être reprise et très bien préparée sur des bases claires. Mieux vaut prévenir que guérir pour épargner le Sénégal d’une crise post-électorale majeure. ” a-t-il expliqué au journaliste et promet que si rien n’est fait, une sortie médiatique sera prévue pour plus de détails.

(Vidéo et Images) Mariage de Sadio Mané: Voici les images exclusives de sa belle femme qui affolent la toile

l’identité de la femme qui a volé le cœur de Sadio Mané enfin dévoilée par Mag Vision ce dimanche 7 janvier sur sa page Facebook.

🥳✨Mariage Sadio Mané : (en images)découvrez l'heureuse élue !

Voici les premiers clichés de celle qui a fait chavirer le cœur du fils de Bambali, notre Nianthio national.

Macky Sall veut préserver “l’héritage de Cheikh Ahmadou Bamba “

L’héritage du fondateur du mouridisme, Cheikh Ahmadou Bamba attire les convoitises dans le monde. Un intérêt indéfectible que Macky Sall, présidant la cérémonie de clôture de la Semaine du patrimoine de Cheikh Ahmadou Bamba (du 2 au 6 janvier), a dévoilé par son attachement au patrimoine du serviteur privilégié  du prophète Muhammad Psl, ” en tant que Sénégalais, en tant que musulman, en tant que Noir ”.

Serigne Touba et les valeurs

Mieux, Macky Sall est déterminé à “protéger l’héritage de Serigne Touba contre les maux de notre époque” car ” Aujourd’hui, notre humanité est blessée par les contre-valeurs de notre temps : l’ignorance, l’obscurantisme, les extrémismes de tout bord et l’égo surdimensionné. (…) Le vénéré Cheikh Ahmadou Bamba combattait [les contre-valeurs] par son mode de vie et sa plume célébrant Dieu et son prophète Mohamed (PSL) ”, a rappelé Macky Sall devant la famille du fondateur du mouridisme sous la houlette du porte-parole du khalife général des mourides, Serigne Bassirou Abdou Khadre Mbacké.

Pour réussir une telle entreprise, le président Sall a appelé à l’unité et à combattre farouchement, ” des courants de pensée et des forces déterminés à remettre en cause notre pratique de l’islam en s’attaquant à nos confréries. C’est une tendance qu’il faut prendre très au sérieux, et qu’il faut combattre fermement, en lui opposant une détermination supérieure pour protéger notre héritage spirituel. (…) Tous ensemble, nous devons défendre haut et fort notre patrimoine spirituel historique et le transmettre à nos enfants ”.. a-t-il ajouté, ce samedi 6 janvier à la cérémonie de clôture du patrimoine de Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké

Mamadou Djigo de l’ANAT, lauréat du grand prix ”Ragnée de l’excellence” au Sénégal

Le directeur général de l’agence nationale de l’aménagement du territoire (ANAT), Mamadou Djigo s’est illustré à la grande cérémonie de remise des trophées ”Ragnée” qui célèbre les personnalités remarquées et remarquables de l’année 2023 au Sénégal.

Placé sous le thème : Ressources extractives, un enjeu de génération, le plus grand prix ”Ragnée” de l’excellence lui a été décerné.

Coïncidant avec le jour de son anniversaire, la tête initiatrice des grands projets de l’Anat pour le développement du Sénégal se dit très fier de la distinction.

”Je suis très ému de cette distinction, aussi c’est un sentiment de satisfaction. Beaucoup de sacrifices sont faits par les agents de l’agence nationale de l’aménagement du territoire. Notre pays est doté d’un excellent outil d’organisation spatial à savoir le plan national d’aménagement et de développement territorial du Sénégal sur plusieurs facettes qui permet d’ici 2025 d’avoir une parfaite maîtrise de son territoire, à la mise en place de certains équipements. Aussi le visa de localisation qui permet aux populations de ne pas habiter dans des
zones à risque. Sans oublier le Pavart qui va permettre d’industrialiser le pays etc…” a-t-il expliqué

Pour rappel, l’ingénieur aménageur et développeur de territoires est dans son domaine d’expertise. Ce fils de Koungheul a redonné vie à cette agence grâce à une série d’innovations qu’il a introduites. Nous pouvons citer le PAVART (Programme national d’appui à la valorisation des ressources territoriales). Retour en détails sur le parcours d’un génie qui rythme l’émergence du Sénégal.

Sa longévité marque certainement sa compétence. Mamadou Djigo est Directeur Général de l’Agence Nationale de l’Aménagement du Territoire (ANAT). L’ingénieur aménageur et développeur de territoires est dans son domaine d’expertise. Le natif de Koungheul a redonné vie à cette agence grâce à une série d’innovations qu’il a introduites.

Il est dans son milieu à l’Agence Nationale de l’Aménagement du Territoire ( ANAT). Mamadou Djigo était décontracté dans son bureau sis à Hann. Ici, on le retrouve avec son ordinateur posé sur une table et un écran plasma suspendu au mur. De là, par un clic, on se retrouve dans un village de Ndoffane et on assiste à un éventaire des habitants, des arbres sur un rayon d’un kilomètre. Cerise sur le gâteau, on peut avoir une lecture sur les phénomènes naturels. Il dévoile, la révolution, en cours et qui a été entamée, à la vérité, depuis sa nomination en juillet 2012. L’ingénieur aménageur et développeur de territoire, âgé de 46 ans, a réussi le pari de mettre en œuvre la vision de M. le Président de la République en matière d’aménagement du territoire. Ce travail est un outil d’aide à la prise de décisions politiques et de restauration de l’équité.

La répartition des infrastructures, des équipements, des activités dans l’espace de façon équilibrée et équitable et fiable ne peut que se faire sur la base solide qui s’appelle : le Plan d’Aménagement et de Développement Territorial ( PNADT). C’est sous sa direction que le nouveau PNADT a été élaboré car celui de 1977-1997 avait atteint ses limites. A la vérité, il n’a pas été mis en œuvre à cause de l’absence d’une loi. « Quand le Président de la République, Macky Sall est venu en 2012. Il nous a instruits d’élaborer un plan d’aménagement en prenant en compte le développement des territoires. Donc, nous venons d’avoir un Plan National d’Aménagement et de Développement Territorial. Son objectif, c’est de développer le Sénégal, à partir de ses territoires par une bonne structuration de l’espace et une valorisation durable de toutes ses ressources », raconte Monsieur Djigo. Il a une vision claire de sa mission. Il a compris qu’une bonne politique d’aménagement du territoire a toujours des répercussions sur les autres secteurs de la vie active et sur l’avenir du pays. À l’heure, des comptes, certains outils et juridiques ont été validés et promulgués comme la loi d’orientation pour l’aménagement durable des territoires ( Loadt) et le visa de localisation.

« Quand, on a fini d’élaborer le plan, nous avons identifié toutes les zones à risques (inondations, technologiques, érosions côtières…) et toutes les autres zones que nous devons protéger pour des intérêts géopolitiques et géostratégiques. Si une personne veut aller s’installer dans une zone inondable non constructible, nous sommes en mesure de l’interdire. Nous avons la loi avec nous, le visa de localisation. Nous avons des outils de dernière génération qui nous permettent sur l’ensemble du territoire de dire aux gens qu’ils peuvent encourir des risques en s’installant dans telle ou telle zone », explique Monsieur Djigo. Ce plan allant jusqu’en 2035, prend en compte, les besoins en eau, d’électricité, d’écoles, de voirie, d’universités… Et, la population du Sénégal qui passera de 25 à 26 millions d’habitants d’ici à 10 ans. « Ce sont autant de raisons qui ont poussé l’ANAT à mettre en place une politique cohérente pour équilibrer les territoires », a signifié Mamadou Djigo. Ces réalisations ont valu au DG de l’ANAT d’être élevé au rang de chevalier de l’Ordre National du Mérite par le Président de la République en 2021.

Un passionné de l’aménagement

Cette trajectoire a une source. Il a vu le jour à Koungheul, dans la région de Kaffrine. C’est dans la capitale du Bambouck où il a commencé ses études avant de rejoindre la ville de Tamba pour les poursuivre. Mais c’est à Rio Fresco ( Rufisque) qu’il a fait sa première et sa terminale. Une fois le baccalauréat en poche, il s’inscrit à l’Université Joseph Fourier de Grenoble où il est sorti avec un diplôme ingénieur aménageur de territoire. Il fera une année complémentaire à l’Université Pierre Mendes de France pour une formation en économie des territoires. « Ma passion, c’est mon métier : l’aménagement du territoire, le développement territorial, comment faire pour créer des entreprises et des emplois ? On a appris à aimer cela et c’est devenu une passion », confia-t-il.

Le diplôme d’ingénieur décroché, il officie d’abord au Conseil général de l’Isère, ensuite dans des entreprises et travaille pour le compte des projets en France. Il renonce pour revenir servir son pays. Au Sénégal, il a enseigné aussi à L’IST (l’Institut Supérieur des Transports). Il a été aussi le consultant de l’Etat pour l’élaboration de la première maquette de l’Observatoire national des territoires. Mamadou Djigo fait partie des jeunes brillants diplômés qui ont été détectés par Macky Sall pour élaborer son projet. C’est ainsi qu’il a été porté à la tête de l’ANAT en 2012.

Bernard Pecqueur, Son maître à penser

Très proche de ce professeur émérite français qui est le concepteur par excellence du développement territorial. Nous parlant de son ami, Dg Djigo dit : Bernard Pecqueur est un économiste territorial qui a eu un impact sur ma façon de voir les territoires. J’ai beaucoup appris à ses côtés !

Militant par conviction

Il ne pouvait pas rester insensible à cette marque de confiance, du Président Macky Sall. Il décide alors de rejoindre l’Alliance pour la République. « La politique est très noble quand elle est bien faite. Malheureusement, ces derniers temps, on assiste à des débats de bas niveaux », regrette-t-il. L’amour de servir son pays l’a donc poussé à militer à l’APR.

« Quand on voit le déséquilibre qu’il y a entre l’Afrique et l’occident, quand on a la chance de faire le tour du monde et le privilège de savoir quelque chose, de pouvoir d’apporter quelque chose de positive, on se dit qu’on n’a pas le droit de ne pas participer’’, se justifie-t-il.

Aujourd’hui le Dg de l’ANAT milite à Koungheul et compte des militants, un peu partout. Lors des élections locales et des élections législatives, il ne sera pas investi sur les listes par son patron. Si certains avaient, dans d’autres localités, décidé de créer des listes parallèles, Mamadou Djigo lui, s’est soumis aux décisions du chef de leur parti Macky Sall. ‘’En tant que militant loyal et fidèle au Président de la République, j’avais décidé de suivre la décision du parti’’, soutient-il.

Daniel Amokachi d’abord, Roberto Baggio après

L’homme politique était aussi un bon joueur de football. Il a laissé ses marques dans les navétanes. À Koungheul, les défenseurs de l’Asc Gombé et Walidane se souviennent encore de ses frappes foudroyantes. C’est pour cela qu’il a été surnommé, Daniel Amokachi, ancien international du Nigéria. A Rufisque, il portera le nom d’un international italien, Roberto Baggio. ‘’J’étais attaquant et je marquais beaucoup de buts. Je n’aimais pas les surnoms, mais on m’appelait souvent Baggio et Amokachi’’, se souvient-il. Et en France, le jeune footballeur amorce sa reconversion dans le milieu en devenant arbitre. ‘’Beaucoup de gens pensaient que j’étais en France pour jouer au football. Je continuais à suivre le sport », rapporte-il. Après tout, il fallait que celui qui était devenu arbitre officiel de football choisisse entre l’arbitrage et les études. « Finalement, j’ai décidé de me focaliser sur les études parce que ce sont les raisons qui m’avaient amené en France », avait opté l’ingénieur. Aujourd’hui, il lit beaucoup les livres sur l’aménagement du territoire pour quitter le monde réel sans s’éloigner de la réalité du terrain partageait notre confrère Ousmane Dicko de Seneweb sur la vie et l’œuvre de Mamadou Djigo.

Musée des Civilisations noires : Les photos de Serigne Touba font recette

Des disciples mourides et d’autres musulmans se sont pressés, jeudi, au musée des Civilisations noires, hôte de l’exposition organisée à Dakar, dans le cadre de la semaine du patrimoine de Cheikh Ahmadou Bamba (1853-1927), se ruant sur les six photographies du guide spirituel des mourides qui se sont vendues comme des petits pains indique nos confrères de l’APS.

Ce rush est une manière pour eux de participer à la construction du musée Cheikhoul Khadim à Touba, à laquelle sont dédiés les fonds collectés.

Les clichés du fondateur du mouridisme, retrouvés dans une collection privée en France, ont été acquis le 8 mars 2023 par des disciples mourides lors d’une vente aux enchères à Lyon. Ils datent du 11 mars 1918, jour de la pose de la première pierre de la mosquée de Ndiarem, dans la commune de Diourbel (centre).

Mouhamed Ndiaye, ingénieur en génie civil, vient d’effectuer sa visite. Selon lui, il est ‘’impensable de rentrer à la maison sans acheter des photos du fondateur de la confrérie mouride, qui constituent un patrimoine pour tout fidèle’’.

“En achetant ces photos, certes, je participe à la construction du musée de Cheikhoul Khadim, mais cette acquisition constitue également un patrimoine inestimable pour moi’’, déclare-t-il, après avoir acquis un cliché à 5000 francs CFA.

Selon lui, “le fait d’acheter ces images et de les garder à la maison peut faire resurgir d’autres enseignements de Serigne Touba juste en les contemplant’’.

“La photo qui m’a le plus marqué, c’est celle où on voit Cheikh Ahmadou Bamba debout en train de prier. Cette image me parle énormément, car elle démontre le dévouement de l’homme envers Dieu’’, explique-t-il.

Pour Elias Diallo, ces photos viennent montrer une autre image de Serigne Touba avec des détails beaucoup plus clairs.

‘’Dire le sentiment qui m’anime après avoir acheté ces clichés me semble difficile, car jusqu’ici nous n’avions qu’une seule image de lui et aujourd’hui, d’autres images viennent s’y ajouter, avec des détails beaucoup plus clairs’’, se réjouit-il.

Il estime que ces photos viennent corroborer les écrits des témoins de l’époque, à l’image de Serigne Mouhamadou Lamine Diop Dagana, secrétaire du fondateur de la confrérie mouride.

‘’Quand je regarde les photos, j’ai l’impression d’être en face à face avec Cheikh Ahmadou Bamba. C’est impressionnant’’, lance-t-il.

Abdoul Khadre Diop, membre du comité finance de cette semaine du patrimoine de Cheikh Ahmadou Bamba, salue la détermination des fidèles à acheter massivement les photos du guide religieux en guise de participation à la construction du musée Cheikhoul Khadim.

Il assure que la vente des photos se passe très bien.

“Nous pouvons dire que depuis le début de l’événement, les clients ne cessent de venir afin d’obtenir des photos de Serigne Touba. Nous n’avons même pas de répit. Nous travaillons de 9 heures du matin à 20 heures’’, se félicite-t-il.

Il souligne qu’il y a d’autres points de vente à Dakar, avec la différence qu’‘’ici les prix sont plus abordables’’.

“En plus de cela, nous ne nous limitons pas uniquement à la vente, nous permettons également aux clients d’avoir des explications, s’ils le désirent, sur le contexte et la période où les photos ont été prises’’, a-t-il expliqué.

Plusieurs catégories de photos sont proposées aux visiteurs, avec des prix variant selon leurs dimensions.

“C’est entre 2500 et 5000 francs CFA. Mais en ce qui concerne la collection qui regroupe les six photos, son prix est fixé à un million FCFA’’, précise-t-il.

Il indique qu’il est difficile, à l’heure actuelle, d’évaluer la somme récoltée depuis le démarrage de l’exposition. “Il faut attendre la fin de l’évènement pour pouvoir communiquer sur cela’’, explique-t-il.

Il invite les fidèles à venir se procurer les images avant la fin de l’exposition.

La semaine du patrimoine de Cheikh Ahmadou Bamba sera clôturée samedi, par la tenue d’un colloque, à l’hôtel King Fahd Palace sous la présidence du chef de l’Etat, Macky Sall, selon le comité d’organisation.

Actes contre nature à Mbacké : Le fils d’un imam en fuite après être surpris sur un jeune de 15 ans

Moustapha Sèye natif de Mbacké, plus précisément à Gawane, fils de Imam Ndiaga Sèye et responsable de boulangerie a été surpris sur un adolescent ayant la quinzaine vers les coups de 10 h, ce 19 août 2023.

Recherché par la police, il est en fuite. Les pandores ignorent sa destination.
Loin d’être son premier forfait, Moustapha a déjà eu par le passé un même problème en 2011. Il s’était réfugié au Maroc. Pour cette fois ci encore il s’est éclipsé. La population furieuse a saccagé sa voiture dans laquelle il commettait cette abomination et promet de le tuer si toutefois elle met la main sur lui.
Ce qui s’est réellement, selon certaines indiscrétions, Moustapha a corrompu l’adolescent pour profiter de lui dans sa voiture. Il paraît qu’il est coutumier des faits.

En effet, l’homosexualité est bannie au Sénégal, tant sur le plan religieux que culturel.
Pour terminer la population de Mbacké, dans le quartier de Gawane promet de le tuer si toutefois elle l’attrape. Sa famille loin de le soutenir s’est joint à la volonté du quartier. Son papa, imam l’a lui même banni et ne veux plus parler de lui selon nos informations.
Nul ne sait où il est actuellement, mais sa vie est en danger car sa tête est mise à prix.

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