EDITO COMMUN – TENTATIVE D’EXTERMINATION DES MEDIAS : L’HÉRÉSIE DU MONSTRE !

 » L’autoritarisme commence toujours par la police de la pensée et de l’opinion « , disait l’autre. En effet, depuis plusieurs mois, coïncidant avec l’avènement de l’Etat-Pastéfien, la presse sénégalaise vit ses heures les plus sombres. Rien ne justifie l’acharnement dont elle fait l’objet de la part des tenants du nouveau pouvoir. Non content d’avoir asphyxié financièrement la quasi-totalité des entreprises de presse, l’Etat-Pastéfien vient de déclarer la guerre totale aux « médias hostiles », en décidant de publier ce vendredi une short liste d’entreprises de presse « reconnues ». Pour être dans les starting-blocks, il faut avoir une ligne éditoriale politiquement correcte qui cadre avec les desiderata du Prince. Ce dernier a désormais droit de vie ou de mort sur les médias. Cette hérésie d’un autre âge se passe à Ndoumbélane, et nulle part ailleurs. L’Etat-Pastéfien ne s’interdit plus rien. Il a franchi le rubicon oubliant qu’au Sénégal, pays des libertés, la création d’un média n’est soumise à l’approbation d’aucune autorité administrative. Quid des « médias hostiles » ? C’est la géhenne: intimidation, mise en demeure, suspension, poursuites judiciaires… et la liste des sanctions prévues pour non conformité avec la vision du Grand Manitou, est loin d’être exhaustive. « On nous tue mais on ne nous déshonore pas ». La presse, comme le sphinx, renaît toujours de ses cendres. A bon entendeur, salut !


L’ASSOCIATION SÉNÉGALAISE DES ÉDITEURS DE LA PRESSE (ASEP)

Rufisque : Réunion d’urgence face à une dotation jugée insuffisante de la Contribution Économique Locale

Le Bureau municipal de la ville de Rufisque a tenu une réunion d’urgence ce mardi 26 novembre 2024 à l’hôtel de ville, à la demande du maire. La rencontre a été convoquée suite à la publication de l’arrêté portant répartition de la Contribution Économique Locale (CEL/VA), qui alloue à la ville un montant qualifié de dérisoire : 17 231 396 francs CFA pour l’exercice 2023.

Lors de cette réunion, les membres du Bureau municipal ont examiné en profondeur les enjeux et les implications de cette répartition jugée inadéquate. Selon le communiqué publié à l’issue de cette session, la décision soulève de sérieuses inquiétudes quant à sa capacité à répondre aux besoins financiers de la ville, mettant ainsi en péril son fonctionnement et ses projets.

Le Bureau municipal a donné carte blanche au maire de Rufisque pour engager des discussions avec les autorités étatiques compétentes. L’objectif de ces démarches est double :

Informer sur les graves conséquences financières de la répartition actuelle.

Trouver des solutions urgentes et appropriées pour corriger cette situation.

    En parallèle, il a été décidé de convoquer une réunion élargie du Conseil municipal, incluant des représentants des différentes couches de la population. Cette rencontre vise à partager les détails de la décision gouvernementale, ses implications pour la ville et les actions à envisager pour préserver l’avenir de Rufisque.

    La dotation actuelle de la CEL/VA, qui constitue une part essentielle des ressources financières locales, est jugée largement insuffisante pour couvrir les besoins de fonctionnement et de développement de la ville. Le communiqué de la Cellule de Communication de la Ville de Rufisque met en garde contre les « terribles implications financières » de cette décision, soulignant les menaces qu’elle fait peser sur la « survie de la ville ».

    Le maire de Rufisque est désormais au cœur des négociations pour obtenir des mesures correctives urgentes, et la mobilisation des élus locaux et des citoyens est attendue dans les prochains jours pour soutenir les démarches entreprises.

    West African Energy : Samuel Sarr se dit victime d’une manœuvre injuste

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE

    Rentrant d’un voyage ce 22 novembre 2024, Monsieur Samuel SARR a été interpellé dans le cadre d’un dossier qui l’oppose à Monsieur Moustapha NDIAYE , actionnaire et ancien Président du conseil d’administration de West African West.

    Cette interpellation de Monsieur Samuel SARR est plus que surprenante d’autant plus qu’elle survient à la suite de ses auditions au cours desquelles, il avait fourni tous les éléments nécessaires aux enquêteurs.

    Mieux encore, Monsieur Samuel SARR en personne avait déposé une plainte contre Monsieur Moustapha NDIAYE. Seulement, il semble que sa plainte n’a pas été instruite par les enquêteurs pour des raisons que nous ignorons.

    Il est utile de rappeler que Monsieur Moustapha Ndiaye qui a été remplacé à son poste de Président du conseil d’administration de West African Énergy, n’a plus qualité pour agir en tant que tel et surtout pour des faits qui n’ont jamais existé.

    En effet, les alertes qu’il a reçues avant de son arrivée à AIBD, n’ont pas dissuadé Monsieur Samuel Sarr à rentrer librement au Sénégal.

    Ses conseillers sont en train de suivre le dossier. Et nous espérons qu’il sera rétabli dans ses droits dans les plus brefs délais et que sa plainte déposée contre Moustapha NDIAYE connaîtra enfin une suite.

    Pour finir, nous tenons à rappeler que West African Energy est une société privée qui a mobilisé ses financements et réalisé ses projets sur fonds propres.

    Son attaché de presse

    COMMUNIQUE

    Chers lectrices et lecteurs,

    Nous avons le plaisir de vous informer que votre journal Le Dakarois Quotidien est désormais accessible via l’application Gopress.
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    COMMUNIQUÉ : la Coalition Takku Wallu Sénégal dénonce les innombrables irrégularités de nature à entacher la sincérité du vote au Sénégal et dans la diaspora.

    A quelques heures de la clôture du scrutin pour les élections législatives anticipées du 17 novembre 2024, la Coalition Takku Wallu Sénégal dénonce avec la dernière énergie les innombrables irrégularités de nature à entacher la sincérité du vote au Sénégal et dans la diaspora.

    La coalition Takku Wallu Sénégal exprime  sa vive préoccupation par apport à la mascarade et au sabotage du scrutin a Touba et environs. Les bulletins de vote et les listes de ses représentants et mandataires de bureaux de votes ont fait l’objet de rétention de la part des autorités administratives.

    A Mbour jusqu’à 13h 30 près de 2000 électeurs ne savaient pas où voter ! Des bourrages d’urnes sont signalés à ZIGUINCHOR ! A Kadam – Beinteigner – Toglou dans la commune de Diass, des irrégularités manifestes nous ont été signalées  au bureau 2 et la qualité de l’encre indélébile pose problème !

    A Paris des vidéos démontrent les travers constatés dans l’organisation du vote.

    Par conséquent , la Coalition Takku Wallu Sénégal tient le Ministre de l’intérieur, le Général Jean Baptiste Tine pour responsable de cette mascarade indigne de notre grande démocratie, reconnue comme majeure de par le monde. Monsieur le Ministre de l’intérieur votre responsabilité qu’il vous faudrait bien mesurer est d’organiser un scrutin régulier et  transparent et non de faire gagner votre camp. Le Sénégal a dépassé ce type de pratique d’un autre âge au regard de notre trajectoire démocratique.

    La Coalition Takku Wallu Sénégal interpelle également la Cena chargée de la supervision des opérations électorales en plus  de ses prérogatives propres. Son silence et son inaction devant une telle forfaiture et un tel sabotage pourraient être compris comme une complicité passive ou un choix délibérément  partisan.

    En tout état de cause, la Coalition Takku Wallu Sénégal prend à témoin, l’opinion nationale et internationale devant cette fraude massive organisée par le  PASTEF avec la complicité active de l’administration

    La coalition Takku Wallu  Sénégal compte ainsi saisir ses conseillers juridiques pour l’annulation pure et simple du vote à Touba, où manifestement la sincérité du vote a été fortement entachée d’irrégularités

    La Coalition Takku Wallu Sénégal appelle les démocrates et républicains à s’opposer avec détermination à toute stratégie de sabotage et de confiscation du suffrage des citoyens sénégalais.

    Fait à Dakar, le 17 novembre 2024

    Violences à Saint-Louis : La police interpelle plusieurs individus et saisit des armes lors d’une manifestation politique

    Le lundi 11 novembre 2024, une manifestation politique organisée à Saint-Louis a dégénéré en violences, causant plusieurs blessés. Selon un communiqué officiel de la Division Communication et Relations Publiques de la Police nationale, les forces de l’ordre ont rapidement réagi pour contenir les débordements et rétablir l’ordre.

    La manifestation a été marquée par des actes de violence, entraînant des interventions musclées des forces de sécurité. Quatre individus ont été interpellés pour coups et blessures volontaires. Ils sont actuellement placés en garde à vue au commissariat central de Saint-Louis.

    Poursuivant leurs investigations, les autorités ont intercepté, vers 1h30 du matin, une caravane appartenant à une coalition de partis politiques sur la route nationale, au point kilométrique 50. L’opération a été menée par un détachement de la Brigade d’Intervention Polyvalente (BIP), appuyé par le Groupement Mobile d’Intervention (GMI). La fouille des véhicules de la caravane a permis de saisir un arsenal inquiétant : bombes asphyxiantes, bâtons télescopiques, douilles, tasers, couteaux, et lance-pierres figuraient parmi les objets saisis.

    En plus des armes découvertes, les forces de l’ordre ont interpellé 77 individus, majoritairement des gardes du corps, qui se trouvaient à bord des véhicules de la caravane. Sept véhicules ont été immobilisés, dont certains contenaient des armes blanches. Les enquêtes se poursuivent pour déterminer l’implication de ces personnes dans les actes de violence observés.

    Face à ces événements, la Police nationale a rappelé son engagement à assurer la sécurité des personnes et des biens, en particulier dans un contexte de processus électoral sensible. Les autorités ont insisté sur la nécessité de respecter la réglementation en vigueur, surtout en cette période marquée par une intensification des activités politiques.

    La situation à Saint-Louis reste sous haute surveillance, les forces de sécurité demeurant mobilisées pour prévenir d’éventuelles escalades de violence à l’approche des élections.

    Fait à Dakar, le 12 novembre 2024

    Source : Communiqué officiel de la Division Communication et Relations Publiques de la Police nationale

    Crise politique : Bougane Guéye Dany dénonce les attaques et appelle à une intervention internationale

    Le leader du mouvement Gueum Sa Bopp accuse Ousmane Sonko de vouloir semer le chaos à Dakar à quelques jours des élections législatives anticipées du 17 novembre.

    Plus de 40 éléments de sécurité de Barth et de moi-même ont été alpagués par la police tard dans la nuit d’hier sur ordre du ministre Jean Batiste Tîne.
    O. SONKO a également donné l’ordre à sa milice de s’attaquer à notre coalition Saam Sa Kaddu. Cela montre encore son degré d’irresponsabilité.
    C’est l’expression publique d’une peur de perdre le scrutin de dimanche prochain. Il est en train de chercher un prétexte pour annuler l’élection qu’il a déjà perdue.

    Toujours peu courageux, il fait des enfants d’autrui des boucliers humains. C’est dommage de remarquer que SONKO cherche encore à verser le sang de notre jeunesse.

    Pastef veut installer le chaos à Dakar durant ces derniers jours de campagne. Face au refus du ministre de l’intérieur de prendre ses responsabilités suite à l’attaque du siège de SAAM Sa KADDU et à l’appel lancé par Abass Fall aux militants de Pastef à s’armer, voilà Ousmane Sonko dans un post, demander à ses militants d’attaquer les leaders de la coalition Samm Sa Kaddu.

    Nous lançons un appel aux FDS à rester républicaines face aux ordres illégaux du candidat Ousmane Sonko et de son ministre de l’intérieur. Nous invitons la communauté internationale à réagir pour le respect des droits constitutionnels de tous les sénégalais électeurs et candidats aux législatives anticipées du 17 Novembre prochain.

    Bougane Guéye Dany
    Mouvement Gueum Sa Bopp « les jambaars »
    Membre de Saam Sa Kaddu.

    Macky Sall rompt le silence et critique la nouvelle ère politique

    L’ancien président défend son bilan et annonce sa candidature aux élections législatives pour contrer la gouvernance du duo Diomaye-Sonko.

    Dans sa lettre, Macky Sall critique l’actuel régime et avertit les citoyens sénégalais. 

    Avant tout propos, je tiens à renouveler ma solidarité et ma compassion à nos concitoyens victimes des inondations. 

    Alors que la campagne électorale pour les législatives du 17 novembre bat son plein, j’ai souhaité m’adresser à vous pour vous entretenir des raisons qui m’ont déterminé à accepter de diriger la liste de la coalition Takku Wallu Sénégal.

    En avril dernier, après votre choix souverain du 24 mars, et fidèle à notre tradition de démocratie majeure et apaisée, j’ai assuré la transmission ordonnée et pacifique du pouvoir. 

    Dans le même esprit, par courtoisie républicaine, je me suis imposé un temps de recul et de réserve pour permettre à mon successeur et à son gouvernement de commencer en toute sérénité l’exercice de leur mandat. 

    Avec le soutien d’hommes et de femmes de valeurs, dévoués et compétents, j’ai laissé un pays résolument installé sur la trajectoire de l’émergence, avec une des rares économies au monde à afficher un taux de croissance positif après l’impact ravageur de la COVID-19, et malgré les effets collatéraux d’une guerre majeure. 

    J’ai laissé un pays apaisé, avec une loi d’amnistie adoptée dans un esprit de pardon et de réconciliation nationale après trois années de violences destructrices.

    J’ai lassé un pays dont la parole compte au plan international ,un pays écouté et respecté par ses partenaires bilatéraux et multilatéraux. J’ai laissé un pays dont la gouvernance publique et la sécurité juridique inspirent la confiance propice à l’investissement qui génère la croissance et l’emploi. 

    J’ai laissé un pays dont la fonction publique, toutes catégories confondues, a été renforcée en effectifs et revalorisée en traitement.

    J’ai laissé un pays avec des infrastructures structurantes, indispensables au développement économique et social : des routes, des autoroutes, des ponts et pistes de désenclavement, le TER, le BRT, des centrales électriques, des  aéroports modernes, le plus grand investissement privé de l’histoire de notre pays avec le chantier du port du futur à Ndayane, un projet de dessalement d’eau mer en partenariat public-privé, de nouvelles universités, des hôpitaux clefs en mains, des infrastructures sportives de dernière génération et un projet finalisé de conquête de l’espace qui a abouti au lancement du premier satellite de notre pays.

    J’ai laissé un pays avec des instruments d’inclusion économique et de justice sociale opérationnels, notamment la DER/FJ, le 3FPT, le programme Xëyu ndaw yi, les Bourses de sécurité familiale et la Couverture maladie universelle. 

    Huit mois après, hélas, nous constatons tous avec regret que ces acquis sont gravement menacés : l’économie est en berne, comme en témoignent la situation catastrophique de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche, de l’artisanat, du petit commerce qui occupe des millions de compatriotes, et celle du BTP avec des milliers d’ouvriers au chômage et autant d’activités connexes qui sont à l’arrêt.

    Huit mois après, et deux fois en l’espace de quelques semaines, la note souveraine de notre pays a été dégradée par deux agences d’évaluation, suite à des affirmations intempestives, calomnieuses et sans fondement, dont la dernière, encore plus grotesque, qui porte sur un prétendu compte bancaire aux mille milliards de fcfa a été vite démentie par des professionnels de la banque et n’a pu tromper personne. Au même moment, les scandales présumés de l’ONAS et de l’ASER tardent à être élucidés. 

    Voilà ce qui n’inspire la confiance d’aucun bailleur, ni investisseur. Voilà ce qui va assombrir davantage les perspectives de l’économie nationale, mettre en péril des entreprises et des emplois, aggraver le chômage des jeunes, et tuer à petit feu le secteur privé, formel et informel. 

    Aujourd’hui, mes chers compatriotes, le reniement, le populisme, les contre-vérités et la manipulation tiennent lieu de mode de gouvernance, comme hier ils avaient servi de promesses électoralistes. 

    Aujourd’hui, le temps de la parole stérile a remplacé le temps de l’action utile aux populations, au moment où des urgences sont partout signalées, et des compatriotes victimes des inondations appellent  désespérément au secours.

    Aujourd’hui, celui qui vous avait dit qu’il n’a pas besoin d’état de grâce pour régler immédiatement tous vos problèmes vous demande de patienter, en vous disant droit dans les yeux que même un mandat ne suffirait pas pour diminuer le coût de la vie et résoudre vos difficultés. 

    Aujourd’hui, celui qui vous avait promis le paradis sur terre peine à payer les bourses des étudiants et celles de la sécurité familiale. 

    Aujourd’hui, celui qui vous avait dit qu’il ne faut pas donner au pouvoir exécutif la majorité à l’assemblée nationale vous réclame une majorité écrasante. 

    Aujourd’hui, celui qui vous avait promis son PROJET comme solution miracle à tous vos maux s’est finalement résigné à une mauvaise copie du Plan Sénégal Emergent ; une copie sans cohérence ni ambition, qui fait reculer notre objectif  d’émergence de 2035 à 2050. Bref, les VARS se suivent, innombrables, révélant au grand jour les limites  d’une gouvernance incohérente, tatillonne et calamiteuse. 

    Faut-il encore croire à de nouveaux engagements et de nouvelles promesses sans lendemain ? Assurément non.

    Et notre pays ne va pas mieux sur le plan institutionnel. L’Assemblée nationale a été dissoute dans un jeu de cache-cache indigne de l’Etat et de la République, alors même qu’elle était régulièrement convoquée en session extraordinaire et que la Déclaration de politique générale du premier Ministre était inscrite en bonne et due forme à son ordre du jour. 

    Ce triste épisode confirme le dysfonctionnement de nos institutions, engluées dans une grave inversion des rôles entre le premier Ministre et le Chef de l’Etat, dont la remise en cause publique des décisions par des exécutants en est  un exemple patent.   

    Je n’oublie pas les règlements de compte infligés à des agents de l’Etat, les arrestations et sanctions arbitraires, les violences et menaces contre des opposants et toute voix discordante, les vaines tentatives de musellement de la presse, ainsi que les attaques répétées et impunies contre nos communautés religieuses

    Je vous le dis avec gravité mes chers compatriotes : autant de dérives et de dérapages en si peu de temps n’augurent rien de bon. Liy raam ci ñak bi la jëm. Le populisme et l’autoritarisme mènent directement à la dictature, à la destruction des fondements de notre démocratie, de notre économie et de notre vivre ensemble dans la paix, la liberté et la cohésion nationale ; autant d’idéaux et de valeurs que nous chérissons, et qui fondent notre héritage commun. 

    Ces idéaux et valeurs qui nous rassemblent, nous ne pouvons les laisser dépérir, parce que c’est un héritage reçu des anciens, un héritage qui nous sert de viatique sur le chemin qui nous réunit, et un héritage que nous devons  transmettre aux générations futures. 

    Devant ce tableau sombre, j’aurais pu ne pas agir, rester dans le confort de ma réserve et garder la distance par rapport aux affaires nationales. Ce serait fuir mes responsabilités de citoyen suffisamment averti des affaires de l’Etat, de la République et de la Nation, à l’épreuve du pouvoir. 

    Voilà, mes chers compatriotes ce qui a justifié ma décision d’accepter de diriger la grande coalition Takku  Wallu Sénégal, avec des hommes et des femmes d’expérience, non pour un quelconque positionnement politique, mais pour créer les conditions d’un sursaut citoyen d’envergure qui transcende les clivages partisans, afin de nous mobiliser tous pour enrayer les dangers qui s’accumulent sur notre pays et engager les redressements nécessaires. 

    Sur cette base, si vous lui accordez votre confiance le 17 novembre, la coalition Takku Wallu Sénégal prend les engagements suivants : 

    ➢ Premièrement, la restauration du fonctionnement régulier des Institution de la République et de la stabilité nationale par la mise en place d’un Gouvernement d’Union, de Stabilité et de Réconciliation nationales qui travaillera en bonne intelligence avec le Président de la République dans l’intérêt supérieur de la nation ; 

    ➢ Deuxièmement, la convocation, dans les trois mois qui suivent, des Assises de la Réconciliation et de la stabilité nationales associant toutes les forces vives de la nation ; 

    ➢ Troisièmement, un Programme d’urgence en faveur des impactés des inondations ;

    ➢ Quatrièmement, un Programme d’urgence pour la formation professionnelle, l’entreprenariat et l’emploi des jeunes, la lutte contre l’émigration clandestine, et l’institution d’un mécanisme de soutien aux jeunes diplômés de l’enseignement supérieur en attendant leur insertion ; 

    ➢ Cinquièmement, un Programme de rationalisation des Institutions et de réduction du train de vie de l’Etat et du Secteur parapublic ; 

    ➢ Sixièmement, la réduction du coût de la vie par la maîtrise de l’inflation des prix des denrées de première nécessité ; 

    ➢ Septièmement, l’accélération de la mise en œuvre des programmes, projets et réformes phares du PSE et la reprise de tous les chantiers à l’arrêt. 

    Toutes ces mesures sont à notre portée. Et la coalition TakkuWallu Sénégal dont toutes les composantes sont habituées à la gestion des affaires publiques, est suffisamment préparée à leur mise en œuvre immédiate. 

    Ce faisant, nous restons convaincus qu’en démocratie ce qui doit prédominer, c’est le débat d’idées, c’est la force des arguments, c’est la cohérence et la faisabilité des propositions.Ce qui doit être exclu, c’est la violence, c’est la haine, c’est le bellicisme, c’est la calomnie outrancière. C’est l’occasion pour moi de saluer avec respect et affection notre doyen, le Président Abdoulaye Wade, et lui rendre un vibrant hommage pour avoir encouragé et soutenu notre coalition. 

    De même, je salue et remercie l’ensemble des leaders de partis et mouvements de notre coalition, et de l’inter coalition avec qui nous partageons la volonté de rétablir les équilibres de nos Institutions, aider à faire redémarrer notre économie, redonner espoir à notre jeunesse, travailler à la réduction du coût de la vie, et revitaliser les mécanismes d’inclusion économique et de justice sociale. 

    Après toutes ces années de tensions inutiles et de violences, le souhait ardent que je partage avec nos alliés, c’est qu’au sortir de l’échéance décisive du 17 novembre, notre pays entre dans un nouveau cycle de démocratie apaisée, de compromis dynamique et de dialogue serein entre les Institutions. 

    C’est ainsi que nous pourrons  construire ensemble le Sénégal de nos rêves, un Sénégal réconcilié avec lui-même, pour continuer sa marche résolue vers le progrès, dans la paix et la cohésion nationale. C’est à cela que je vous convie, mes chers compatriotes. 

    Bougane Gueye condamné à un mois avec sursis mais déterminé à poursuivre son combat politique

    Le candidat aux législatives du 17 novembre, Bougane Gueye, leader du mouvement Gueum Sa Bopp, a été condamné à un mois de prison avec sursis pour « refus d’obtempérer » après avoir tenté de forcer un barrage de gendarmes pour accéder à Bakel, une zone sinistrée par les inondations. Malgré ce revers judiciaire, il réaffirme sa détermination à s’opposer au pouvoir en place.

    COMMUNIQUE DE PRESSE

    Mesdames et Messieurs,
    Heureux de pouvoir reprendre langue avec vous, après douze jours de séquestration et de privation de liberté. Cette dernière, bien qu’elle soit précieuse et vitale, ne vaut cependant pas plus que, le bonheur de chacun de nos compatriotes d’où le sens de mon combat.

    Je réaffirme ici avec fermeté, mon engagement à œuvrer pour le développement de mon pays.

    Ma conviction est qu’au finish, il n’y a ni vainqueur ni vaincu dans le procès d’hier à Tamba. Disons seulement que la Justice a démonté qu’elle reste le dernier rempart pour le respect de nos libertés individuelles souvent confisquées.

    Notre détermination reste inoxydable et, telle une sentinelle, nous serons debout, pour combattre l’arbitraire.

    Aujourd’hui, le seul COMBAT qui devrait mobiliser toutes les énergies, c’est la satisfaction des revendications du peuple sénégalais fatigué et déçu.

    En sortant de la MAC de Tambacounda, dans la chaleur torride de la nuit, toutes mes pensées ont convergé vers les populations sinistrées de Bakel. Il en est de même pour tous ces détenus souvent dépourvus de tout et laissés à eux-mêmes.

    Par cette occasion, j’invite l’Etat à revoir les conditions de détention des prévenus afin de préserver leur dignité humaine dans tous les lieux de détention du pays.

    J’adresse toute ma reconnaissance aux militants du mouvement Gueum Sa Bopp qui ont porté le combat en dénonçant cette prise d’otage dont j’ai été victime, sans jamais baisser les bras.

    Mes remerciements sont également adressés à toutes les organisations de la Société civile sénégalaise sans exception, à toute la classe politique dans sa globalité, à mes colistiers de « Samm Sa Kaddu », aux Sénégalais de la Diaspora réunis autour de ATEL et à leurs alliés, aux familles religieuses chrétiennes et musulmanes, particulièrement au Khalife Général Serigne Mountakha Mbacké Bachir.

    J’associe à ces remerciements toute la presse sénégalaise, les correspondants des médias étrangers, les lanceurs d’alerte, nos Forces de défenses et de sécurité et particulièrement l’Administration pénitentiaire.

    Je remercie très sincèrement et j’encourage, le personnel du Groupe DMEDIA sans exception. J’ai eu écho de leur travail remarquable et inlassable pour la défense de la démocratie sénégalaise et des libertés.

    Aux jeunes reporters, à mes consœurs et mes confrères de toute la presse, j’ai su garder de bons souvenirs de votre engagement pour la sauvegarde des libertés.

    J’adresse ma plus haute considération à mon pool d’avocats. Ces hommes intègres ont su trouver les mots justes pour écarter toute accusation qui visait à me qualifier de délinquant et de renégat. Qu’ils en soient remerciés. Ma proximité avec eux durant cette épreuve m’a permis de comprendre que « la Justice, ce n’est pas quand on gagne le procès ». C’est plutôt, quand le Juge, dans son intime conviction, libère le prévenu faute de faits compromettants.

    C’est le lieu de saluer, de soutenir et de défendre l’indépendance de notre Justice dont nous avons l’obligation de renforcer.

    Mon cœur est libéré de toute rancune et de toute haine. Ainsi, par la grâce d’Allah, je pardonne.

    J’ai pardonné parce que, j’ai estimé que le combat pour mon pays, le Sénégal, vaut plus qu’une hypothétique liberté.

    Par ailleurs, je présente mes excuses à ma famille, à mes proches pour ces moments qu’ils ont vécus difficilement.
    Je suis reconnaissant de la compassion dont ils ont fait montre à mon égard.

    Merci au Peuple sénégalais dans son unité et dans sa diversité.

    Le combat continue
    Vive le Sénégal
    Vive l’Afrique

    Bougane Gueye Dany
    Président de Gueum Sa Bopp Les Jambars
    Candidat sur la liste Samm Sa Kaddu.

    NOTE RECTIFICATIVE

    Suite à une notification de l’auteure de L’idée de la Casamance autonome, Le Dakarois informe ses lecteurs qu’une erreur s’est glissée dans l’illustration de notre article, disponible sur ce lien

    https://ledakarois.sn/livre-sur-lidee-de-la-casamance-autonome-karthala-annule-la-seance-de-dedicace/.

    La photo utilisée pour illustrer l’article, empruntée auprès de nos confrères du Quotidien, ne représente pas l’auteure.
    Pour des raisons de sécurité, la véritable photo de Mme Séverine Awenengo Dalberto ne sera pas publiée.
    Le Dakarois présente ses sincères excuses à la personne apparaissant par erreur dans cette illustration et encourage le maintien de la cohésion nationale ainsi que de la liberté d’opinion dans le débat public.

    Ousmane Sonko réagit à la polémique autour de la nomination de Samba Ndiaye et appelle ses partisans à la vigilance

    « Chers militants et sympathisants,

    Nous accusons réception des multiples expressions de votre indignation suite à une nomination intervenue récemment.

    En tant que président du parti, je me réjouis de votre vigilance qui témoigne de la maturité de notre démocratie interne et prend sa source de ce douloureux souvenir des épreuves auxquelles nous avons été soumis pour en arriver là où Dieu a bien voulu.
    Soyez convaincus que ce souvenir est plus vivant et tenace en nous qu’en chacun de vous.
    Je puis vous assurer que le Président Diomaye, qui a certainement pris la décision sur proposition alliée, n’avait aucune connaissance des faits dénoncés.

    Je rappelle la position historique de notre parti : il reste ouvert à collaborer avec tous les Sénégalais convaincus par le projet et soucieux de son succès. En revanche, il reste fermé à toute personne impliquée dans une gestion scandaleuse d’une responsabilité publique, ou ayant fait montre d’un zèle excessif dans l’inimitié contre le parti, ses leaders ou ses membres.

    Je ne doute pas que les mesures correctives idoines seront apportées au plus vite.

    Chers militants et sympathisants,

    À 48 heures du début de la campagne pour les élections législatives, je vous demande à tous de rester mobilisés et concentrés pour garantir une victoire éclatante et une majorité écrasante au soir du 17 novembre 2024. »

    Communiqué de Presse du Mouvement des Élèves et Étudiants Franco-Arabes du Sénégal (MEEFAS)

    Le MEEFAS, une structure engagée depuis une dizaine d’années pour la défense des intérêts des arabophones et franco-arabophones, exprime sa vive inquiétude face à l’annonce récente concernant le concours de l’École Nationale d’Administration (ENA). Sur 125 places disponibles, seulement 3 sont réservées aux candidats arabophones.

    Cette situation illustre une lacune inacceptable dans la prise en compte de la diversité linguistique au Sénégal. L’arabe est non seulement une langue essentielle pour des millions de citoyens, mais il constitue aussi une part intégrante de notre patrimoine culturel et de notre identité collective. Ignorer cette réalité en limitant les opportunités pour les arabophones dans des concours aussi cruciaux est une forme d’exclusion qui nuit à l’équilibre et à la représentativité dans notre administration.

    Nous appelons les autorités à maximiser les chances des candidats arabophones dans tous les concours organisés au Sénégal. La diversité linguistique doit être valorisée et intégrée dans les processus de sélection, afin de garantir que tous les citoyens, quelle que soit leur formation, aient une chance équitable de contribuer à la gouvernance de notre pays.

    Nous demandons également une révision immédiate des politiques d’attribution des places pour assurer une représentation adéquate des arabophones. Il est essentiel d’engager un dialogue constructif avec les acteurs concernés pour créer des conditions favorables à l’inclusion de toutes les communautés linguistiques.

    Nous ne cesserons de défendre ces principes avec détermination et appelons à l’unité pour une société plus juste et inclusive.

    Mactar FALL, Président National du Mouvement des Élèves et Étudiants Franco-Arabes du Sénégal (MEEFAS)

    Crue du fleuve Sénégal 2024 : L’OMVS émet une alerte orange et appelle à la vigilance

    Le 19 octobre 2024, l’Organisation pour la Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS) a émis un communiqué annonçant une vigilance orange en raison de la crue exceptionnelle du fleuve Sénégal, marquée par de fortes pluies ayant provoqué des débits importants.

    Dans ce communiqué, l’OMVS met en garde contre les débits élevés attendus pour le 20 octobre 2024. Les prévisions hydrologiques estiment un débit de 712 m³/s sur le Bakoye, 609 m³/s sur le Falémé et 2 000 m³/s sur le Bafing. Ces augmentations de débits sont préoccupantes, notamment en raison de la tendance générale à la hausse, mettant en péril les zones à proximité du fleuve.

    Le communiqué souligne plusieurs conséquences liées à la crue :

    Haut-Bassin : La baisse des précipitations devrait stabiliser la situation dans cette zone, malgré la persistance de débits élevés.

    Moyen-Bassin et Vallée : La vigilance est renforcée avec un maintien des alertes. Les risques d’inondations dans ces zones sont accrus, et des mesures d’urgence doivent être envisagées.

    Les autorités ont également précisé les tendances actuelles pour diverses zones, avec une alerte maintenue dans plusieurs localités, notamment Matam, Bakel, et Kaedi, où la tendance à la hausse des débits se poursuit.

    Recommandations de l’OMVS

    Face à cette situation, l’OMVS recommande l’application de son plan d’alerte, élaboré pour faire face aux occurrences de crue. Ce plan prévoit notamment :

    L’identification des zones inondables,

    La définition de seuils d’alerte spécifiques,

    La mise en place d’un dispositif de diffusion de l’alerte impliquant les autorités locales et les médias.

    Le plan d’alerte est consultable en ligne pour les différents pays concernés via le lien fourni dans le communiqué. Les autorités invitent également les populations à suivre de près les consignes de sécurité et à éviter les zones à risque.

    Contact : Papa Demba CISSOKHO, Responsable communication Haut-Commissariat OMVS, est à disposition pour toute information complémentaire.

    En résumé, la crue du fleuve Sénégal en 2024 nécessite une vigilance accrue, et l’OMVS appelle les populations et autorités à se préparer à des éventuelles inondations dans les zones à risque.

    Pour le Sénégal, je suis prêt à tous les sacrifices : le combat continue (Bougane Guéye Dany)

    Je renouvelle mon appel à la résistance face à l’oppression que PASTEF a fini d’installer dans ce pays.

    Empêcher une mission humanitaire de l’opposition, conformément à son devoir d’assistance pour exprimer sa solidarité aux sinistrés, est la dernière des forfaitures qu’on veut nous imposer.

    Nous avons constaté l’indifférence de PASTEF, enivré dans une jouissance festive entre le Grand Théâtre, le CICAD et Dakar ARENA depuis le 26 septembre, sans aucune compassion à l’égard des milliers de sinistrés privés de tout moyen de survie et abandonnés à eux-mêmes.

    Je condamne ce gouvernement incompétent et insouciant, qui, ayant pleine et claire conscience de la montée des eaux du fleuve, n’a pris aucune mesure de précaution pour anticiper cette catastrophe pourtant prévisible.

    Ne devons-nous pas reconnaître la pertinence de ceux qui soupçonnent une stratégie électorale savamment planifiée pour empêcher le vote dans les circonscriptions électorales du nord, perdues d’avance par PASTEF aux prochaines législatives du 17 novembre ?

    À tous les Sénégalais d’ici et ceux de la diaspora, je demande de rester debout pour combattre la dictature rampante de PASTEF, qui n’épargnera personne si l’on y prend garde.

    Nous avons été à Bakel et serons partout où ce sera nécessaire sur le territoire sénégalais.

    Les droits et libertés de circuler, consacrés par la constitution sénégalaise, s’imposent au Président de la République, à son Gouvernement et à toutes les institutions, même judiciaires.

    Le Sénégal ne sera jamais le titre foncier de Sonko ou de Diomaye. Et nous ne comptons pas renoncer ou céder devant l’arbitraire, encore moins négocier l’exercice des libertés qui nous sont conférées par la Constitution et le Pacte de 1966 sur les droits civils et politiques.

    Je suis prêt à l’ultime sacrifice pour la préservation des libertés publiques et la dignité de notre nation.

    Bougane Guéye Dany
    Mouvement Gueum Sa Bopp « les Jambaars »

    Communiqué de Senstock : Démenti sur les allégations de vol de carburant dans ses dépôts

    La Direction générale de la Sénégalaise de stockage, plus connue sous le nom de Senstock, a publié un communiqué ce mardi, démentant formellement les récentes accusations circulant dans certains médias et sur les réseaux sociaux. Ces informations faisaient état de vols de carburant qui auraient eu lieu dans ses dépôts situés au kilomètre 18, sur la route de Rufisque, à Mbao. Senstock affirme que ces allégations sont infondées.

    Selon le communiqué, certaines agences de presse ont prétendu que le vol, impliquant plusieurs acteurs, se serait produit à l’intérieur des locaux de l’entreprise. Cependant, la direction générale de Senstock réfute ces affirmations avec vigueur. « Aucun des faits ainsi relatés ne s’est produit dans l’enceinte de SENSTOCK », a déclaré la société.

    Le communiqué souligne que les dépôts de Senstock sont placés sous contrôle douanier, conformément aux réglementations en vigueur et aux contrats signés avec les clients. « Lorsque les camions franchissent le cordon douanier, ils sont hors du périmètre de SENSTOCK et ne sont plus sous notre responsabilité », a précisé la société.

    Pour clarifier davantage, la direction a tenu à rappeler que les infractions signalées se sont produites à l’extérieur du site de Senstock, et non dans ses installations. Des enquêtes sont actuellement menées par la Section de recherches de la Gendarmerie afin d’identifier les responsables présumés de ces actes criminels.

    Senstock conclut son communiqué en réaffirmant son engagement envers ses clients et le public, garantissant la sécurité et l’intégrité de ses opérations.

    Synergies Afrique : Défense Vigoureuse contre les Accusations de Mody Niang

    Le groupe Synergies Afrique, sous la direction de son Président Directeur Général, Khalifa Babacar Camara, a récemment fait l’objet d’allégations concernant la gestion de projets d’électrification scolaire au Sénégal. Ces accusations, formulées par Monsieur Mody Niang sur les réseaux sociaux, ont été vivement contestées par l’entreprise, qui a tenu à clarifier la situation.

    En mai 2017, Synergies Afrique a été invitée par la Direction des Constructions Scolaires (DCS) du Ministère de l’Éducation nationale à soumissionner pour quatre lots de construction dans le cadre du programme de remplacement des abris provisoires dans les écoles. L’entreprise a répondu à l’appel d’offres, proposant la construction de 1850 salles de classe, 1372 blocs administratifs, 730 blocs d’hygiène, et 70500 mètres linéaires de murs de clôture.

    En juillet 2017, l’entreprise a été notifiée de l’attribution provisoire du marché pour le lot 1. Après avoir négocié des accords de prêt avec la BOAD pour le financement des travaux, le marché a été signé et notifié à Synergies Afrique en novembre 2017.

    Les travaux ont débuté en janvier 2018, avec une cérémonie de lancement présidée par le Ministre de l’Éducation nationale. Au total, 1850 salles de classe ont été construites, ainsi que des blocs administratifs et d’hygiène dans 14 régions du Sénégal. L’entreprise affirme que tous les paiements ont été certifiés par la DCS avant d’être traités par la BOAD.

    Synergies Afrique a également souligné son impact positif sur l’emploi, ayant créé plus de 33 000 emplois directs durant l’exécution du lot 1. Ce chiffre ne prend pas en compte les emplois indirects générés autour des chantiers.

    Face aux allégations de Monsieur Mody Niang, Synergies Afrique dénonce une campagne de désinformation. L’entreprise insiste sur le fait que les 25 milliards évoqués par Niang concernent un prêt signé pour le financement du lot 2 du programme, attribué à une autre entreprise.

    De plus, la société a précisé que les accusations de condamnation par le tribunal du commerce sont liées à une affaire distincte avec l’entreprise CCE, qui a reconnu sa dette envers Synergies Afrique.

    Synergies Afrique réaffirme sa volonté de poursuivre ses activités en toute transparence et se réserve le droit d’agir en justice pour défendre sa réputation face à ces accusations infondées. Le groupe appelle à une vérification rigoureuse des faits avant de diffuser des informations qui pourraient nuire à son image et à celle de ses dirigeants.

    COMMUNIQUE

    Nous avons vu une plainte sur laquelle le nom de Penda Thiam, directrice de la Rédaction, est cité circuler sur internet. Elle émanerait d’Abass Fall, responsable de Pastef, accusé par le doyen Adama Gaye d’avoir reçu cinq (5) milliards de francs CFA de la part des Espagnols de l’entreprise AEE POWER EPC. À ce propos, le Groupe Le Dakararois tient à faire savoir à l’opinion que l’édition du journal de ce jeudi 10 octobre 2024 n’a fait que reprendre les propos du journaliste Adama Gaye. Ce qui n’est pas puni par la Loi d’après ce que nous connaissons des règles qui encadrent la profession de journaliste.

    Par ailleurs, nous attestons qu’aucune convocation n’a été remise à notre journaliste jusqu’à aujourd’hui, 23h15, jeudi 10 octobre.

    Nous aimerions rappeler, d’autre part, que la liberté de la presse est un levier fondamental de la démocratie. Personne ne peut museler les journalistes. Tous ceux qui ont été embarqués dans cette folie en sont sortis perdants.

    Si cette plainte s’avère, le Groupe Le Dakarois, ne cèdera au chantage, sous aucune forme, et continuera « in shaa Allah » à garantir le droit à l’information des populations.

    Notre plume est libre et non partisane !

    La Direction

    Communiqué de presse : Synergie républicaine condamne l’agression verbale contre Macky Sall et appelle à la retenue

    Synergie républicaine condamne avec la dernière énergie l’agression verbale perpétrée par Mme Aicha Camara contre le Président Macky Sall dans un avion de la RAM, qui transportait des passagers de différentes nationalités. Cet acte, teinté d’une indiscipline caractérisée et d’une insouciance qui frise le suicide, aurait pu virer au pire si le Président Macky Sall ne s’était pas retenu pour adopter la posture de calme et de sérénité qui sied à son rang, lui qui a incarné le statut de père de la nation pendant douze années consécutives.

    Malheureusement, la réaction du ministre des affaires étrangères, Yassine Fall, qui n’honore pas le Sénégal, est un précédent dangereux qui incite tacitement les Sénégalais à s’en prendre gratuitement et lâchement à d’anciennes autorités. C’est une posture à effet boomerang, puisque les autorités actuelles sont souvent dans des avions et y croisent des militants de l’opposition.

    Sous un autre registre, Synergie républicaine demande au Président Bassirou Diomaye Faye de mettre fin aux agissements de tous ceux qui demandent l’arrestation du Président Macky Sall dès son retour en terre sénégalaise. Macky Sall est un ancien Président de la République protégé par la constitution, qui est au cœur de la gouvernance mondiale et qui bénéficie encore d’une popularité incontestable dans son pays. Une tentative de mise aux arrêts de Macky Sall serait immédiatement fatale à tout régime qui s’y aventurerait. À bon entendeur !

    Aussi, imputer au président Macky Sall l’entière responsabilité des conséquences des événements malheureux de mars 2021 à février 2024 procède d‘une logique simpliste et très sélective. Qui a incité les jeunes à participer à des manifestations interdites, à s’en prendre à des autorités, à saccager des biens publics, des maisons, des commerces, des stations-services, des véhicules de particuliers, etc. ? Qui a incendié le bus à bord duquel on a retiré deux corps carbonisés d’enfants innocents ? Qui a tué tous ces jeunes ? L’Etat ? Des infiltrés ? Des forces occultes ?

    Enfin, Synergie républicaine demande au gouvernement de surseoir aux mesures de pression fiscale qui asphyxient les entreprises, de suspendre les chantiers et les conventions en cours d’exécution qui font grimper le taux de chômage, ainsi que de bloquer les comptes bancaires avec des ATD. Ces décisions impopulaires et contre-productives ont fini d’exercer leurs effets néfastes sur les conditions socio-économiques des Sénégalais, qui se sont gravement détériorées. Nous demandons par ailleurs qu’il soit mis fin aux interdictions de sortie du territoire sans cause et aux convocations arbitraires pour des supposés délits d’opinion ou de libre expression.

    Dakar, le 9 octobre 2024
    Pour le Parti Mohamed Moustapha Diagne
    Citoyen Président

    COMMUNIQUE DE PRESSE DU MOUVEMENT GEUM SA BOPP

    « Le pantalon Maculé, souillé dans les eaux puantes du jacuzzi de Sweet Beauty condamné pour « corruption de la jeunesse » et ses sbires sur pied de diversion
    L’ex Agent de comptoir , le plus nul des ministres du Gouvernement du Sénégal, Monsieur El Malick NDIAYE et sa bande d’incompétents ont tenu une conférence de presse pour s’attaquer au Président Bougane Gueye DANI leader de notre mouvement Geum Sa Bop et candidat aux élections législatives sur la liste de SAAM SA KADDU.

    En effet, leur inquiétude et leur manque de sérénité témoignent de leur échec lamentable suite à leur tentative de freiner l’élan populaire autour du Président Bougane Gueye DANI. La légèreté de leurs propos est suffisante comme preuve de leur incompétence face aux difficultés qui harcèlent les sénégalais dans les foyers, dans les marchés, dans les bureaux etc.
    Le Sénégal est en faillite.

    Vous ne pourrez jamais étouffer votre échec à travers des attaques contre le président Bougane Gueye est plus préoccupé à apporter des solutions aux préoccupations de ses compatriotes. Le président Bougane Gueye DANI n’a pas le temps de payer des séances de massage. Il travaille constamment.
    Illustrons l’échec du Gouvernement de Sonko :
    Nous sommes le 09 Octobre et les étudiants n’ont toujours pas reçu leur bourse. Cela n’est jamais arrivé. Ce gouvernement est une bande d’incapables un fardeau pour le peuple
    Est-ce qu’on a besoin de majorité à l’assemblée pour :

    • Réduire le train de vie de l’état ?
    • ⁠rationaliser les directions et agences ?
    • ⁠pour supprimer les fonds politiques du PR et du PM ?
    • ⁠sortir du Francs CFA ?
    • ⁠demander le retrait des militaires ? Français du Sénégal ?
    • ⁠réduire le coût de la vie ?
    • ⁠appels à candidature pour les postes à pourvoir ?
    • ⁠criminaliser l’homosexualité ?
    • ⁠poursuivre en justice les autorités épinglées par les rapports ?
    • ⁠abroger la loi d’amnistie
      -supprimer le haut conseil du dialogue social ?
      Toutefois, Tu as la latitude de jouer avec ta parole, si cela relève d’un choix politique. En revanche, la crédibilité des institutions reste à préserver on ne fait de la com politique Avec les finances publique.
      Les sénégalais vous réclament des éclairages sur :
      Le scandale des 91 milliards de l’ASER envenimé par un supposé pot de vin de plus de 4 milliards 500.000
      Le scandale de l’ONAS
      Le scandale des 450 milliards d’Eurobond , les commissions et les critères de choix de JP Morgan.
      Le scandale des marchés de L’AIBD octroyé à un rappeur devenu PCA.
      Le scandale du TER qui n’arrive plus à satisfaire les usagers dont la majeure partie sont en danger de mort à cause des conditions difficiles de transport. Aujourd’hui, des filles ont échappé à une mort par étouffement.
      Qui plus est, Les sénégalais attendent aussi la publication de la déclaration de patrimoine du Premier ministre Ousmane Sonko. A cet effet, nous demandons au Conseil constitutionnel de publier la fortune d’Ousmane Sonko.
      Tandis que le Pauvre El Malick NDIAYE, le ministre des Transports qui a enregistré le triste bilan de 1200 accidents et plus de 350 morts depuis son arrivée à la tête de ce département, accuse les transporteurs de vampires.
      « L’opposition cœur brisée « comme ironise El Malick NDIAYE, est prête à affronter « le pantalon Maculé « souillé dans les eaux puantes du jacuzzi de Sweet Beauty condamné pour « corruption de la jeunesse ».
      Sachant que l’espoirs du peuple est brisé, le projet brisé le conséquence logique est que nos cœurs sont brisées
      Nous cesserons par soucis de transparence et de bonne gouvernance, de réclamer ceci :
      Le Conseil constitutionnel doit publier la déclaration de patrimoine du PM
      Pastef est derrière 23 coalitions pour participer aux législatives dont celle qui a déposé le recours contre Barthélemy. SONKO est derrière le recours déposé contre Barthélemy . Il manque de courage pour affronter Barth après qu’il ait échoué avec le Pdt Bougane. Nous invitons le conseil constitutionnel à se démarquer de la tutelle de SONKO qui cherche à écarté Barthélemy.

    D’ailleurs, Il est important qu’on nous disent où est ce qu’on en est avec cette histoire de corruption au conseil constitutionnel lors de la présidentielle ?
    Ce pouvoir cherche à installer le chaos dans le pays à l’occasion de ces législatives. Ainsi, nous invitons l’armée à rester du côté du peuple à tout instant. Aussi, nous invitons les officiers de l’armée à rester vigilants.
    Car, Jean Baptiste TINE ne peut pas organiser des élections crédibles . C’est un Général partisan il est devenu élève de Sonko. Pathétique !
    Ce qui est plus scandaleux, c’est le transferts d’électeurs qui est en train de se dérouler au niveau de certains centres de vote du stade Iba Mar Diop à l’insu des électeurs. C’est le cas dans plusieurs autres localités dont Touba .
    Nous sommes en train de collecter d’avantage d’informations sur ça.
    C’est scandaleux cette aux allures de fraudes qui hante la Démocratie.

    Fait à Dakar le 09 Octobre
    Cellule des Cadres de Guëm Sa Bopp
    Les Jambaars

    Réponse à Fadilou Keita : Samuel Sarr réfute les accusations et dénonce une attaque personnelle

    Le climat politique sénégalais s’enflamme après les récentes déclarations de Fadilou Keita, directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), qui a publiquement accusé Samuel Sarr de détournement de fonds liés à des opérations remontant à plusieurs années. Dans une réponse catégorique, la cellule de communication du Parti Libéral Sénégalais pour le Succès (LSS) a publié un communiqué, dénonçant ce qu’elle qualifie de « mensonges infondés » et une tentative de discréditer Samuel Sarr à des fins purement personnelles.

    Lors d’une interview médiatisée, Fadilou Keita a fait référence à un prétendu rapport datant de 2013 ou 2014, dans lequel Samuel Sarr aurait été impliqué dans une affaire de détournement de fonds publics liés à l’achat et la vente de véhicules de l’État. Ces accusations, formulées sans preuves détaillées, visent à ternir la réputation de l’ancien ministre de l’Énergie, un acteur de premier plan sur la scène politique sénégalaise.

    Fadilou Keita affirme que Samuel Sarr, ainsi que d’autres personnalités publiques, doivent rembourser à l’État une somme estimée à 3,5 milliards de francs CFA. Selon lui, ces fonds seraient liés à des transactions frauduleuses concernant des véhicules initialement destinés à l’État, mais revendus à ce dernier par les accusés. Ces propos, largement diffusés dans la presse, ont immédiatement suscité des réactions, notamment du camp de Samuel Sarr.

    Dans un communiqué publié peu après les déclarations de Fadilou Keita, la cellule de communication de la section jeune du Parti Libéral Sénégalais pour le Succès (LSS) a fermement démenti ces accusations. Le communiqué dénonce « une campagne de diffamation orchestrée » visant à nuire à l’image de Samuel Sarr, que le parti décrit comme un homme intègre et concentré sur les enjeux stratégiques pour le Sénégal et l’Afrique.

    Le communiqué souligne que ces attaques ne sont rien d’autre qu’une tentative de vengeance personnelle. La cellule de communication fait ainsi allusion à des affaires impliquant la mère de Fadilou Keita, Mme Nafy Ngom Keita, anciennement directrice de l’Inspection Générale d’État (IGE). Selon le LSS, les déclarations de Fadilou Keita seraient motivées par le fait que Mme Keita, elle-même, aurait été citée dans des scandales liés aux chantiers de Thiès ainsi que dans une tentative d’acquisition illégale d’une villa de l’État.

    Le communiqué de la section jeune du LSS décrit cette situation comme un exemple classique d’attaques politiques déguisées en affaires financières. Selon eux, les allégations de Fadilou Keita manquent de crédibilité et ne reposent sur aucun document concret. Samuel Sarr, quant à lui, ne serait pas impliqué dans cette affaire d’acquisition de véhicules, et ces accusations seraient, selon la cellule de communication, une manœuvre pour détourner l’attention des véritables dossiers d’État dans lesquels la famille de Keita serait impliquée.

    En outre, le communiqué critique également Fadilou Keita pour sa gestion de la CDC et ses récentes sorties médiatiques. Le parti LSS considère que cette affaire est une distraction orchestrée pour détourner le débat des questions politiques et économiques de plus grande importance pour le pays. Ils réaffirment que Samuel Sarr est concentré sur les véritables enjeux nationaux et panafricains, notamment dans le secteur de l’énergie et du développement économique, loin de ces « règlements de comptes politiciens ».

    Le communiqué de la section jeune du LSS se termine par un appel à la transparence et à un débat plus sain dans l’espace public. Le parti critique la propension de certaines figures politiques à recourir aux attaques personnelles pour déstabiliser leurs adversaires, plutôt que de se concentrer sur les véritables défis auxquels le Sénégal est confronté.

    Les proches de Samuel Sarr exhortent le public à ne pas se laisser influencer par des accusations sans fondement et rappellent que l’ancien ministre continue de travailler pour le développement du Sénégal. Le parti appelle également les autorités compétentes à clarifier cette affaire afin que toute la vérité soit révélée.

    Alors que la polémique autour des accusations de Fadilou Keita contre Samuel Sarr continue de faire la une des médias sénégalais, cette réponse de la section jeune du Parti Libéral Sénégalais pour le Succès marque une étape importante dans la défense de Samuel Sarr. Face à ce qu’ils considèrent comme des attaques infondées, le camp de Samuel Sarr reste déterminé à laver l’honneur de leur leader et à tourner la page sur ce qu’ils qualifient de « campagne de diffamation ». L’avenir dira si cette affaire sera relancée ou si elle finira par s’éteindre faute de preuves tangibles.

    Le Bureau Politique de FEPP TAWFEKH salue les efforts du Parti et exprime son soutien à PASTEF

    Le Bureau Politique du Parti FEPP TAWFEKH s’est réuni ce mercredi 25 septembre 2024 pour discuter de la situation nationale et de la vie du parti. Lors de cette rencontre, plusieurs points ont été abordés, notamment les relations avec la communauté mouride, la solidarité envers les victimes des inondations, ainsi que le soutien aux forces progressistes dans la dynamique politique actuelle.

    Le Khalif Général des Mourides, Serigne Mountakha Bassirou Mbacké, a été au cœur des remerciements du Bureau Politique pour l’accueil réservé à la délégation du parti dirigée par le président Dr Cheikh Dieng. Le Bureau a également souligné l’importance des conseils et des prières du Khalif à l’endroit de la direction du parti, marquant ainsi la continuité des liens entre le FEPP TAWFEKH et la communauté mouride.

    Dans une démarche de solidarité nationale, le parti s’est réjoui de la contribution symbolique apportée aux victimes des inondations à Touba. Les efforts coordonnés par la Fédération départementale de Mbacké ont permis une mobilisation efficace et l’expression d’une solidarité active de la part du parti, renforçant ainsi son ancrage au niveau local.

    Sur le plan politique, le Bureau Politique a réitéré son engagement dans la coalition Diomaye Président, tout en insistant sur l’importance de rester fidèle à la ligne directrice du parti : la transparence, l’éthique et la justice sociale. Le Parti FEPP TAWFEKH a, par ailleurs, salué les efforts de pré-investitures, notamment au sein de la diaspora, et a félicité l’unité retrouvée des membres pour les prochaines élections législatives anticipées.

    Le Bureau Politique a également réaffirmé son soutien à la coalition PASTEF dans l’objectif de créer une synergie avec toutes les forces du progrès, dans la perspective de porter un projet politique basé sur les principes de Jub – Jubal – Jubanti. La coalition présidentielle est appelée à jouer un rôle crucial dans la conduite des réformes nécessaires, en particulier dans les domaines économiques, sociaux, et institutionnels.

    En conclusion, le Bureau Politique a réitéré sa volonté d’accompagner le Président Bassirou Diomaye Faye dans ses réformes, tout en appelant à la vigilance face aux velléités de déstabilisation institutionnelle. Il invite toutes les structures du parti à rester mobilisées pour assurer une victoire éclatante lors des prochaines élections, et à poursuivre le travail entamé pour un Sénégal plus juste et prospère.

    Pour le Bureau Politique de FEPP TAWFEKH,
    Dr Cheikh Dieng, Président

    Pour la stabilité économique, majorité à DIOMAYE-SONKO

    L’examen des élections législatives anticipées du 17 novembre 2024 au Sénégal, dans le contexte actuel, révèle une situation où le soutien à une majorité parlementaire en faveur du régime DIOMAYE-SONKO est non seulement souhaitable, mais nécessaire pour l’avenir politique et économique du pays. En raison des récents blocages institutionnels, notamment les rejets systématiques des projets de lois proposés par l’exécutif et le refus du parlement de tenir des sessions cruciales pour adopter la loi d’orientation budgétaire, le Sénégal se trouve dans une impasse qui pourrait gravement entraver la gouvernance. Ces obstacles, orchestrés par la précédente majorité désormais défaite, témoignent de la nécessité de renouveler la législature pour permettre au nouveau régime de mettre en œuvre son programme réformateur.

    Le président Bassirou Diomaye Faye a été contraint de dissoudre l’Assemblée nationale le 12 septembre 2024, après des mois de tensions avec un parlement manipulé par les alliés de l’ancien président Macky Sall. Ces derniers ont tenté de bloquer systématiquement l’action gouvernementale, allant jusqu’à menacer le Premier ministre Ousmane Sonko de motions de censure. Ce climat de confrontation permanente a non seulement paralysé l’adoption des réformes économiques indispensables, mais a également fragilisé la stabilité politique du pays. Dans ce contexte, il est clair qu’un parlement renouvelé, soutenant le régime DIOMAYE-SONKO, est crucial pour débloquer la situation et permettre au gouvernement d’agir efficacement.

    L’échec de la 14e législature, qui a été un exemple frappant de dysfonctionnement institutionnel, ne doit pas se répéter. Cette législature, marquée par des scandales, des luttes intestines, des défiances du Conseil constitutionnel, et des tentatives de prolonger le mandat présidentiel par des moyens détournés, a exacerbé la défiance envers les institutions. La dissolution du parlement doit être perçue comme une opportunité de rompre avec cette page sombre et d’offrir au Sénégal un parlement capable de collaborer avec le pouvoir exécutif pour répondre aux aspirations de la population. Une majorité parlementaire en faveur de DIOMAYE-SONKO permettrait de tourner définitivement cette page et de restaurer la confiance dans les institutions démocratiques.

    En matière économique, le Sénégal traverse une période délicate. La révision à la baisse par le FMI de la prévision de croissance économique 2024 de 7,1% à 6 %, combinée à un déficit budgétaire qui dépasse 7,5 % du PIB, souligne l’urgence d’adopter des réformes structurelles pour stabiliser l’économie. Ces réformes nécessitent une majorité parlementaire capable de soutenir les projets de loi du gouvernement, sans quoi les blocages institutionnels persisteront et gêneront la relance économique du pays.

    L’importance de ces élections législatives réside également dans leur capacité à rétablir l’équilibre institutionnel. Le Sénégal, confronté à une crise institutionnelle majeure, a besoin d’un parlement qui œuvre pour l’intérêt général et non pour des ambitions partisanes ou personnelles. Le soutien d’une majorité parlementaire permettrait non seulement de faciliter l’adoption des réformes économiques, mais aussi de stabiliser la scène politique en évitant les tensions inutiles entre l’exécutif et le législatif. Un parlement favorable à DIOMAYE-SONKO garantirait que les priorités économiques et sociales du gouvernement soient mises en œuvre efficacement.

    Le renouvellement du parlement offre également une opportunité unique de renforcer la démocratie sénégalaise. Après les échecs de la 14e législature, marquée par la manipulation politique et les querelles internes, le Sénégal aspire à un retour à des pratiques politiques plus transparentes et responsables. Le peuple, lassé par les scandales et les blocages, exprime un désir de voir émerger un parlement qui reflète les aspirations démocratiques du pays. Une majorité parlementaire pour DIOMAYE-SONKO permettrait de répondre à ce besoin en instaurant une législature engagée à travailler en harmonie avec l’exécutif, dans l’intérêt de la nation.

    Enfin, ces élections ne doivent pas être perçues uniquement sous l’angle de la stabilité politique. Elles représentent également une chance pour le Sénégal de relancer son développement économique de manière durable et inclusive. Les réformes fiscales, budgétaires et sociales proposées par le régime DIOMAYE-SONKO ne pourront se concrétiser que si le parlement accorde son soutien à ces mesures ambitieuses. Un échec à obtenir cette majorité risquerait de prolonger la crise institutionnelle et de compromettre les progrès réalisés jusqu’ici en matière de développement.

    Ainsi, pour le Sénégal, les élections législatives du 17 novembre 2024 doivent être un tournant décisif. En soutenant une majorité parlementaire en faveur du régime DIOMAYE-SONKO, le peuple sénégalais offrirait au pays la possibilité de surmonter les blocages actuels et d’adopter des réformes indispensables à la relance économique et à la stabilité politique. Il s’agit d’une opportunité unique de restaurer la confiance dans les institutions démocratiques et de garantir que le Sénégal puisse répondre aux défis de son développement dans les années à venir.

    En tant que Président du Mouvement BATIR (Bâtir l’Avenir pour un Téranga Inclusif et Résilient), je soutiens pleinement la liste DIOMAYE-SONKO pour les élections législatives du 17 novembre 2024, car elle s’aligne avec notre vision d’un Sénégal inclusif, durable et résilient. Nous partageons l’ambition de bâtir un avenir où chaque citoyen aura l’opportunité de contribuer à une société équitable, où les ressources du pays sont gérées de manière responsable pour assurer le bien-être de tous. Ce soutien est essentiel pour garantir que les réformes proposées, en matière de transparence et d’innovation, puissent répondre aux défis contemporains, tout en renforçant la solidarité sociale et la résilience du pays face aux crises futures.

    Dr. Abdourahmane Ba
    Ingénieur Statisticien, Docteur en Management
    Président du mouvement Bâtir l’Avenir pour un Téranga Inclusif et Résilient (BATIR)

    Le Président Bassirou Diomaye Faye a démis de leurs fonctions Aminata Mbengue Ndiaye, présidente du Haut Conseil des Collectivités Territoriales, ainsi qu’Abdoulaye Daouda Diallo, président du Conseil Économique, Social et Environnemental.

    Pétition Internationale pour la Transparence et la Justice : Scandale à l’ONAS

    Sous l’initiative du Mouvement « NA LÉR », nous, citoyens concernés et responsables, lançons une pétition internationale pour exiger la lumière sur les graves allégations de scandales financiers au sein de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS). Ces accusations, portées par le Directeur Général sortant, Cheikh Dieng, impliquent directement le Ministre de l’Assainissement, Cheikh Tidiane Dieye, qui, jusqu’à présent, a choisi de répondre par le silence et le mépris aux interrogations légitimes du peuple sénégalais.

    Malgré l’engagement public du gouvernement à travers la doctrine « Jub, Joubeul, Joubanti », qui prône la transparence et la redevabilité, il est inacceptable que des questions aussi graves soient ignorées. Le peuple sénégalais mérite des réponses claires et une gestion transparente de ses ressources.

    Les exigences

    Ouverture d’une Information Judiciaire : Nous demandons au procureur de la République d’ouvrir une enquête judiciaire immédiate pour faire toute la lumière sur ces accusations et déterminer les responsabilités.

    Mise en Place d’une Commission d’Enquête Parlementaire : Nous appelons à la création d’une commission d’enquête parlementaire indépendante pour examiner les allégations de malversations au sein de l’ONAS.

    Protection des Deniers Publics : Il est crucial que les fonds publics soient utilisés de manière transparente et responsable. Nous devons protéger notre patrimoine national contre toute forme de corruption ou de mauvaise gestion.

    La signature de cette pétition est un acte de citoyenneté et de responsabilité. En tant que citoyens, nous devons exiger des comptes de ceux qui sont au pouvoir et veiller à ce que nos ressources publiques soient gérées dans l’intérêt de tous.

    En signant cette pétition, nous montrons notre détermination à lutter contre la corruption et à promouvoir la transparence dans la gestion des affaires publiques au Sénégal.

    Protégeons les deniers publics, signons cette pétition pour faire éclater la vérité.

    https://www.mesopinions.com/petition/politique/petition-contre-scandale-onas/233093

    UCAD : Le Collectif des Amicales exige un report de la fermeture du campus social

    Le Collectif des Amicales de l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar (UCAD) a récemment publié un communiqué en réponse à une décision controversée émanant du Centre des Œuvres Universitaires de Dakar (COUD) concernant la fermeture imminente du campus social. Cette fermeture, prévue pour le jeudi 22 août 2024 à 18 heures, a suscité une vive réaction de la part des représentants des étudiants, qui dénoncent une mesure qu’ils jugent unilatérale, précipitée et non concertée.

    Selon le Collectif des Amicales, la décision de fermer le campus social intervient à un moment particulièrement inapproprié. Actuellement, une grande partie des étudiants de l’UCAD a quitté le campus pour se rendre à Touba dans le cadre de la célébration du Grand Magal. Cet événement religieux mobilise chaque année un nombre considérable d’étudiants, en particulier ceux originaires des régions environnantes. Par ailleurs, certaines facultés, telles que la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion (FASEG) et la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques (FSJP), n’ont pas encore achevé leurs cours, ce qui rend la fermeture du campus d’autant plus problématique.

    Le Collectif critique sévèrement la manière dont la décision a été prise, la qualifiant d’irréfléchie et d’amateurisme de la part du COUD. Le manque de concertation avec les parties prenantes, notamment les représentants des étudiants, est vivement dénoncé. Pour le Collectif, une telle décision, prise sans tenir compte du contexte actuel et sans consulter les principaux intéressés, ne peut être perçue que comme un acte unilatéral qui ignore les réalités du terrain.

    Face à cette situation, le Collectif des Amicales appelle les autorités universitaires à revenir sur leur décision et à reporter la fermeture du campus social. Cette mesure permettrait aux étudiants partis pour le Magal de revenir à Dakar, de récupérer leurs affaires, et aux étudiants encore en pleine période académique de terminer sereinement leur année universitaire. Le Collectif insiste sur la nécessité d’agir dans l’intérêt des étudiants, afin de garantir leur sécurité et leur bien-être.

    Malgré la gravité de la situation, le Collectif des Amicales de l’UCAD appelle au calme et à la sérénité parmi les étudiants. Il les rassure que des décisions de cette nature ne peuvent être appliquées sans consultation préalable et sans une prise en compte des conditions particulières des étudiants.

    En conclusion, le Collectif réaffirme son engagement à défendre les intérêts matériels et moraux de tous les étudiants de l’UCAD, sans distinction. Il attend désormais une réponse favorable des autorités universitaires, afin que les étudiants puissent aborder la fin de leur année académique dans des conditions optimales.

    TAIS- TOI CHOGUEL MAÏGA, TAIS- TOI!

     » AU Sénégal il y avait une démocratie en théorie. Mais, aucune démocratie véritable ne permettrait d’emprisonner…, de détenir plus 1000 Militants…de tuer plus de 60 personnes…de tenter de manipuler la Justice…La démocratie ne fait pas cela… »
    C’est en ces termes accusateurs, agressifs et discourtois, nattés du fil rouge de l’offense, de l’outrage et du mensonge, que le PM du Mali, Choguel MAÏGA, s’est autorisé à juger la situation du Sénégal sous la direction du Président Macky Sall.
    Ces propos, rompant avec les exigences normatives du Droit international et des relations diplomatiques centrées sur le sacro- saint principe de non – ingérence dans les affaires intérieures d’un État ont fait frémir de dégoût, tous nos Compatriotes et tous les démocrates du monde.
    Pourtant, ils ont été tenus devant le Premier Ministre du Sénégal, M. Ousmane Sonko (MOS), muet comme une carpe, impassible devant cette injure, cette attaque frontale contre notre pays.
    L’attitude de MOS, anti- nationale et anti-patriotique, révèle, si besoin en était, la vanité et la vacuité du discours prétendument « patriotique » du chef du Pastef. Car, aucune posture politique, aucune contradiction intérieure, aucune animosité entre les différents Acteurs politiques nationaux, ne saurait autoriser l’acceptation d’une quelconque attaque contre notre pays.
    L’attitude apatride de MOS renseigne sur la volonté pour ce dernier, de bâtir des Alliances avec la Junte malienne pour renouer avec les « Panafricanistes » qui l’ont lâché.
    Ce faisant, il abdique ses options originelles, déshonore sa Charge et jette aux orties ses obligations fondamentales, sur l’autel de ses intérêts crypto- personnels!
    Quant au matamor, Tartarin tropical, guignol politique de 1ère classe, Choguel MAÏGA, sa trajectoire, suffit à elle seule, pour nous faire comprendre les modifications de sa logorrhée infecte et abjecte.
    Pour une grande majorité de Maliens et d’Analystes, Choguel MAÏGA est un caméléon politique du désert, changeant de camps au gré des saisons politiques et prompt à ingurgiter ses vomissures du passé.
    C’est connu : Choguel MAÏGA a fait ses premières armes politiques aux côtés du Colonel/ Général Moussa Traoré qui renversa le Président Modibo Keïta en 1968.
    Depuis lors, Choguel s’est appliqué à se rapprocher et à devenir un maillon essentiel de la quasi- totalité des pouvoirs qui ont dirigé le Mali.
    Ministre, à plusieurs reprises, dans les Gouvernements du Colonel/Général Amadou Toumani Touré ( qui, en 1991, avait renversé le Général Traoré, parrain de Choguel), du Président Ibrahim Boubacar Keïta et, aujourd’hui, du Colonel/ Général Asimi GOÏTA, le sieur Choguel incarne ce qu’il y a de plus malsain dans la chose politique. Il est la figure achevée et répugnante du  » Transhumant », le pensionnaire des poubelles pestilentielles et des pâquerettes. Son appétence pour les Régimes militaires est flagrante tout comme son adduction à la servitude volontaire pour exister politiquement, le préposé aux Charges d’éternel Chambellan et de  » whatchdog »!
    C’est cet individu qui s’est autorisé à manquer de respect au Sénégal et au Président Macky Sall dont le nom rime avec République, État de Droit, Démocratie, profond attachement à la Cause, aux intérêts et à la prospérité du grand peuple sénégalais !
    Il est hors de question de confondre une girouette pareille, exclue du cadre des Forces Vives du Mali qu’est le M5, depuis mars 2024, avec le peuple malien frère. Celui – là même, qu’une histoire millénaire et la géographie, nous lient à tout jamais !

    La CAVE
    ( Cellule d’Appui à la Veille Stratégique de l’APR)

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE : Application de l’article 94 du Code de la presse : L’APPEL invite à une mise à jour du CNRA d’abord

    L’Association des Éditeurs et Professionnels de la Presse en Ligne (APPEL) a appris à travers un communiqué que «le Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) rappelle aux éditeurs, distributeurs et diffuseurs que selon l’article 94 de la loi n°2017-27 du 13 juillet 2017 portant Code de la presse : « L’exercice de toute activité d’édition, de distribution et de diffusion de services de communication audiovisuelle quelle que soit la technologie utilisée, est subordonné à une autorisation délivrée par le Ministre chargé de la Communication, après avis conforme de l’organe de régulation, dans les conditions définies par le présent Code». Elle est surprise que le CNRA attende maintenant pour rappeler cette importante disposition. Et pourtant, il a eu le temps d’organiser des concertations avec les radios et télévisions traditionnelles en février 2021 jusqu’à signer des conventions et cahiers de charges avec leurs directions. Pourquoi les éditeurs de la presse en ligne notamment des WebTV et WebRadio n’étaient pas conviés dans ces pourparlers ?

    APPEL a, toujours, eu cette position de principe qui consiste à rappeler aux autorités compétente que le CNRA est caduque et qu’il ne peut plus assurer la régulation d’un secteur où le numérique a fini par s’imposer. Elle la réitère et demande ainsi à tous ses membres et acteurs de l’écosystème digital média à ne pas donner suite à cette injonction du CNRA.

    L’article 94 du Code de la presse parle de « communication audiovisuelle quelle que soit la technologie utilisée ». Or, le CNRA est créé par la loi n° 2006-04 du 4 janvier 2006. A l’époque la presse en ligne était à ses balbutiements et les médias sociaux pas encore aussi développés en Afrique. Jusqu’à présent, ces textes n’ont pas fait l’objet de mise à jour malgré les prescriptions du Code de la presse. De plus, cette disposition énonce, mais il n’y a aucun encadrement prévu par les dispositions légales du CNRA qui précisent et fixent les conditions ainsi que les modalités d’application. Au-delà des normes, APPEL estime que ce communiqué de l’autorité de régulation devrait être précédé par des discussions afin d’étudier avec les acteurs les pièces et modalités de mise en œuvre de l’article 94 du Code.

    Le Code de la presse qui est fortement en avance sur les textes du CNRA propose la création d’un nouvel organe de régulation adapté au contexte et aux enjeux de l’heure. L’avant-projet de loi instituant la Haute Autorité de Régulation des Communications Audiovisuelles (HARCA) a été adopté par consensus par les acteurs du secteur, le ministère de la communication, des membres du CNRA qui ont tous convenu qu’il faut désormais une régulation transversale, une autorité qui coiffe tous les types de médias avec des prérogatives étendues qui permettent de mettre de l’ordre durablement dans la profession.

    Cette conviction est davantage motivée par l’article 229 dudit Code qui dispose : « le Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel, organe de régulation au moment de l’adoption du présent Code, poursuit SA mission, jusqu’à l’installation du nouvel organe de régulation de la chaîne de valeur audiovisuelle».

    Aussi, il serait surprenant que nos entreprises de presse soient soumis à la fois aux dispositions qui concernent la presse en ligne et à celles qui concernent la presse audiovisuelle. La presse en ligne, faut-il le rappeler, agrège plusieurs contenus : l’écrit, la photo et la vidéo. Et les autres supports utilisés (Facebook, X, youtube) ne sont que des réseaux sociaux affiliés au médias en ligne pour lui permettre de disséminer son contenu. D’où la nécessité de mettre en place un régulateur qui comprenne les enjeux et les spécificités de chaque type de médias.

    Les Editeurs de la presse en ligne souhaitent se conformer à la loi. Ils n’ont de cesse de le clamer. Toutefois, ils appellent les nouvelles autorités à rouvrir les discussions sur l’avant-projet de la HARCA qui est au secrétariat général du gouvernement pour opérer les mises à jour nécessaires. C’est le moment d’engager ces travaux qui seront d’un grand apport dans la normalisation du secteur des médias.
    Le Bureau Exécutif National de l’APPEL

    PROJETS DE TÉLÉPHONIE ET DE LARGE BANDE À FIBRES OPTIQUES PILOTÉS PAR L’EX ADIE : Le RESTIC exige un audit sur les 200 milliards F CFA alloués

    Le RESTIC (Réseau des Entreprises de Services et de Technologies de l’Information et de la Communication) a publié un communiqué, ce lundi, appelant à un audit global des projets de téléphonie en mode CDMA et de large bande à fibres optiqued initiés par l’ex-Agence de l’Informatique de l’État (ADIE), aujourd’hui renommée SENUM (Sénégal Numérique SA).

    Selon la note reçue par Le Dakarois, le RESTIC « attend toujours avec impatience les audits de l’ex-ADIE concernant deux projets majeurs ». Le premier, lancé en 2013 avec un budget de 60 milliards de francs CFA, en partenariat avec la Chine, visait à « introduire la technologie cryptée CDMA » pour optimiser les coûts de téléphonie de l’administration. Cependant, « la téléphonie a été abandonnée », ainsi que les services continuent de recourir aux trois opérateurs pour leurs besoins en téléphonie et en connectivité.

    Le second projet concernait l’« extension de l’intranet gouvernemental et l’interconnexion à large bande par fibres optiques », financé par des prêts coréens et chinois pour un montant dépassant les 120 milliards de francs CFA. Dix ans après le lancement, le RESTIC note que « nous n’avons aucune évaluation de ces deux projets » et déplore leur « absence d’impact sur la productivité de l’administration ». Les administrations continuent ainsi de dépendre des services de télécommunication existants sans bénéficier des améliorations attendues.

    Le RESTIC précise que ces deux projets, totalisant 200 milliards de francs CFA d’endettement auprès de partenaires extérieurs, doivent être audités en urgence pour évaluer leur efficacité et leur impact. « Le RESTIC lance un appel pressant au Président de la République et au Premier Ministre pour un audit urgent de ces deux projets publics dans les TIC et les télécoms à fort impact d’endettement mais sans aucun résultat. »

    Le communiqué se conclut par un rappel de la nécessité de « restructurer le collège de régulation de l’ARTP et de remplacer les mandats expirés », mentionnant que le Président du Collège est actuellement à son troisième mandat.

    Ainsi, le RESTIC plaide pour une révision approfondie des projets de téléphonie et de fibre optique pour garantir une gestion transparente et efficace des fonds publics.

    Le Dakarois

    Suspension de projet à Mbour : Le FERA dément les rumeurs

    Le Fonds d’Entretien Routier Autonome (FERA) a publié un communiqué de presse pour démentir les informations récentes selon lesquelles un projet de construction de 3 km de voie urbaine dans la commune de Mbour aurait été supprimé. Le FERA affirme que ces informations sont fausses et proviennent de la mauvaise foi de leurs auteurs.

    Contrairement aux rumeurs, aucune convention de financement pour un tel projet n’a été signée ou paraphée avec la commune de Mbour.

    Les allégations de suspension ou de transfert de projets sont totalement infondées. Le FERA regrette la confusion et l’inquiétude causées parmi les citoyens et les parties prenantes par ces fausses informations.

    Le FERA réitère son engagement à maintenir une communication transparente et invite toute personne ou entité à contacter directement l’organisme pour obtenir des informations vérifiées et fiables.

      Le FERA poursuit ses efforts pour améliorer les infrastructures routières du pays et encourage le public à se référer aux communications officielles pour toute information concernant ses activités et projets.

      Pour toute question ou clarification, le FERA peut être contacté au +221 33 859 29 49 ou à leur adresse à Dakar.

      Ce démenti vise à rassurer la population et à clarifier la situation concernant les projets de construction routière à Mbour.

      DECLARATION DU SECRETARIAT EXECUTIF NATIONAL : 100 jours de confinement d’un Président de la République par un Premier ministre encombrant

      Le 24 mars 2024, les Sénégalais ont opéré un changement en optant pour l’élection de nouvelles autorités à la tête du pays. En réalisant ainsi la troisième alternance démocratique en 24 ans, le peuple sénégalais, en toute souveraineté, a tenu sa place, honoré son rang et ouvert une séquence nouvelle dans le cours politique, économique et social de notre pays.

      En bons démocrates, nous responsables et militants de l’Alliance Pour la République (APR), restons convaincus que lorsque le peuple s’exprime par la voie des urnes, il faut s’incliner, assumer avec fierté et dignité le rôle et la mission que nous confie l’histoire à l’issue de l’élection présidentielle, celui d’être l’alternative, celle de bâtir, dans un esprit d’ouverture et de rassemblement, une opposition intelligente mais ferme, républicaine mais déterminée pour la défense des intérêts supérieurs de la nation. C’est tout le sens qu’il faut donner à notre posture depuis l’installation des nouvelles autorités, en dépit des multiples affabulations, accusations et provocations, affirmations et menaces de toutes sortes.

      Faire face et ne rien lâcher, placer d’abord et toujours la cause et les intérêts de nos compatriotes et du Sénégal au cœur de notre action, tels sont les fondamentaux structurants de notre orientation politique depuis le 1er décembre 2008 marquant la création de notre parti, dans le respect des institutions de la République, de l’État de droit et de la continuité de l’État.

      Incontestablement, entre 2012 et 2024, le Sénégal a été qualitativement transformé à la faveur d’une vision et d’orientations ambitieuses ainsi que d’une méthode de travail cohérente. De même, le Sénégal, sous la période en revue a toujours fait preuve de résilience. Le régime sortant avait très tôt indiqué et mis en œuvre les impératifs à prendre en compte par les politiques publiques pour faire face aux crises, en atténuer les impacts sur l’économie afin de poursuivre la trajectoire d’émergence.

      Parmi ceux-ci, la réduction de la dépendance vis-à-vis de l’extérieur, l’industrialisation durable et inclusive, l’accélération de l’atteinte des souverainetés alimentaire, sanitaire et pharmaceutique, la consolidation de la protection sociale et de l’équité territoriale ainsi que le renforcement du secteur privé national et de la bonne gouvernance.

      Sans verser dans le triomphalisme les politiques publiques conduites par les différents gouvernements du Président Macky Sall ont mis le Sénégal en expansion économique dans tous les territoires et tous les secteurs, permis un rattrapage infrastructurel dans les villes et le monde rural, renforcé le capital humain, la mobilité collective (TER, BRT), la connexion et l’aménagement du territoire, la justice sociale et l’équité territoriale. Au surplus, il convient de consigner la mise en place d’un écosystème cohérent (l’adhésion du Sénégal à l’ITIE, le COS Petrogaz, l’Institut National du Pétrole et du Gaz, la loi sur le contenu local, la loi sur la répartition des ressources tirées de l’exploitation du pétrole et du gaz, la mise à jour des codes pétrolier et minier) favorable à l’épanouissement d’une véritable économie pétrolière et gazière qui nourrit aujourd’hui toutes les espérances. En témoignent les prévisions de croissance et les avis des partenaires techniques et financiers du Sénégal. A l’épreuve du pouvoir nous avons mis en œuvre une vision audacieuse avec des résultats tangibles.

      Il est aujourd’hui aisé de reconnaitre que ce legs constitue un point de confort majeur et incontestable pour les nouvelles autorités que ne manquent pas de saluer nos compatriotes.

      En vérité, le Sénégal à l’instar de beaucoup d’autres pays en Afrique et dans le monde est pris en tenailles, depuis des décennies par des impatiences démocratiques et des urgences sociales qui exigent de tout gouvernant, l’élaboration d’un ordre de priorités et d’un agenda de reformes pour porter le développement et faire face aux mutations de notre époque. De ce point de vue, nos compatriotes, attendent du pouvoir actuel, un nouveau souffle et une nouvelle impulsion.

      Paradoxalement, les actes inauguraux posés par le nouveau pouvoir ont semé le doute et l’incertitude. Les excès du Premier Ministre qui, cherchant à masquer l’insignifiance de l’actif des 100 premiers jours, saturent l’espace public par une parole qui crispe et irrite bon nombre de nos compatriotes. La dernière en date, relative à la Déclaration de Politique Générale est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase au mépris de son obligation de se présenter devant la représentation nationale, conformément aux dispositions de la Constitution. Son refus d’honorer son rang reste à nos yeux une attitude inacceptable mais digne de Ousmane Sonko, dans la droite ligne de son manque de respect pour les institutions de la République et dans la continuité de ses discours clivant et dangereux pour la cohésion sociale.

      Les Sénégalais, qui avaient fondé beaucoup d’espoir sur l’élection du Président Bassirou Diomaye Faye, restent préoccupés par l’inexistence du « Projet » dont la gestation proclamée semble avoir mis fatalement notre pays en mode pause.

      Nous le savons de science certaine, l’économie se fonde sur la confiance. Mais aujourd’hui, après cent jours, la conviction d’une très large frange de l’opinion est que le Président Diomaye et son Premier ministre n’ont pas de direction. Cette perception accentue la déception et le manque de confiance.

      « Il n’y a point de bons vents pour celui qui ne sait pas naviguer ». Les vents n’ont jamais été aussi favorables avec la stabilité politique, le pétrole, les ressources humaines mais le duo Diomaye-Sonko non seulement ne sait pas naviguer, mais n’a ni cap ni direction.

      Notre pays aborde un tournant décisif. Les nouvelles autorités surfent sur la nécessaire reddition des comptes aux relents de chasse aux sorcières pour occulter l’absence de perspectives et le confinement du Président de la République par un Premier ministre de plus en plus encombrant et dont la compétence est sujette à caution.

      A cet égard, l’Alliance Pour la République exige avec fermeté et solennité du premier ministre qu’il respecte la Constitution de République et l’Assemblée nationale, en se rendant sans délai devant la représentation nationale pour sa déclaration de politique générale afin d’édifier nos compatriotes sur les grandes lignes et les orientations des nouvelles politiques publiques ou sur ce qui en tient lieu.

      Pour l’Alliance Pour la République, en vue de construire l’alternative, le temps est à l’unité et à la remobilisation des forces, à la concertation et à la consolidation de la Coalition Bennoo Bokk Yaakaar et à l’ouverture politique, dans une dynamique de consensus, de solidarité afin de préparer dans les meilleures conditions les échéances à venir et tracer ainsi les perspectives porteuses d’espérance pour nos vaillantes populations.

      L’Alliance Pour la République (APR) appelle tous les militants et responsables à l’unité, à la mobilisation, à l’engagement et à la reprise de l’initiative politique à tous les échelons du territoire national et dans la diaspora, pour poursuivre le travail d’évaluation de notre participation aux dernières élections, conformément aux directives de son leader le Président Macky Sall.

      Vive l’APR
      Vive Benno Bokk Yaakaar
      Vive le Sénégal

      Fait à Dakar, le 11 juillet 2024
      Le Secrétariat Exécutif National (SEN)

      GIM-UEMOA et Mastercard concrétisent un partenariat stratégique historique afin de stimuler l’innovation et promouvoir l’inclusion financière dans la région UEMOA

      Dakar, Sénégal, 10 juillet 2024 : Mastercard (entreprise technologique mondiale et schéma de paiement international) s’associe avec le GIM-UEMOA (schéma de paiement régional) afin d’intensifier les efforts conjoints visant à accelerer l’inclusion financière dans les pays membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).

      Ce partenariat entre Mastercard et le GIM-UEMOA représente une initiative transformatrice pour stimuler l’innovation en matière de paiement numérique dans la région et créer un environnement financier inclusif au bénéfice de la population de l’UEMOA. En outre, la collaboration permettra à GIMUEMOA de libérer de nouveaux potentiels avec ses banques affiliées pour offrir un large éventail d’avantages aux parties prenantes et offrira aux entreprises et aux consommateurs un meilleur accès à des offres avancées de cartes prépayées et de débit ainsi qu’à des solutions de paiement numérique innovantes.

      « Le GIM-UEMOA s’est engagé à construire un écosystème numérique plus solide et sécurisé en Afrique de l’Ouest qui démocratise l’accès aux finances. Nous sommes convaincus que cette collaboration avec Mastercard apportera des avantages significatifs à nos concitoyens et contribuera à une croissance économique durable  », a déclaré Minayegnan Coulibaly, DG du GIM-UEMOA.

      « Chez Mastercard, nous exploitons la puissance de la technologie et des partenariats pour faire progresser la transformation numérique et pour cocréer des solutions de paiement robustes, transparentes et sécurisées. Nous sommes impatients de travailler avec le GIM-UEMOA pour accélérer l’adoption des méthodes de paiement émergentes en Afrique de l’Ouest et permettre aux entreprises et aux clients de libérer tout leur potentiel », a déclaré Dimitrios Dosis, Président EEMEA chez Mastercard.

      A propos du GIM-UEMOA

      Le Groupement Interbancaire Monétique de l’UEMOA (GIM-UEMOA), schéma de paiementrégional, Switch et Processeur régional, fédère 150 Membres qui sont les banques, les établissements financiers et postaux, les structures de microfinance et les Etablissements de Monnaie Electronique. Notre principale mission est de promouvoir les systèmes et moyens de paiement électroniques auprès des secteurs bancaires et financiers, des administrations et des populations de l’UEMOA.

      Composée de huit pays – le Sénégal, le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée-Bissau, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger et le Togo – la région de l’UEMOA compte 141 millions d’habitants.

      Plus d’informations : www.gim-uemoa.org

      A propos de Mastercard (NYSE : MA) www.mastercard.com

      Mastercard est un geant technologique mondiale dans le secteur des paiements. Notre mission est de connecter et d’alimenter une économie numérique inclusive qui profite à tous, partout, en rendant les transactions sûres, simples, intelligentes et accessibles. Grâce à des données et des réseaux sécurisés, des partenariats et de la passion, nos innovations et nos solutions aident les individus, les institutions financières, les gouvernements et les entreprises à réaliser leur plus grand potentiel. Avec des connexions dans plus de 210 pays et territoires, nous construisons un monde durable qui ouvre des possibilités inestimables pour tous.

      QUELQUES RÉFLEXIONS SUR LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES DANS LE SECTEUR DE LA SANTÉ Par le Dr Mohamed Lamine LY

      Il est souvent reproché au système sanitaire sénégalais un déficit chronique et permanent en ressources, aussi bien humaines, matérielles que financières. Pour la présente contribution, nous nous appesantirons sur la gestion des ressources humaines, en prenant prétexte des récentes nominations controversées au niveau du Ministère de la Santé et de l’Action sociale, qui ont suscité des protestations véhémentes du syndicat des médecins, pharmaciens et chirurgiens-dentistes (SAMES) et semé la zizanie dans la famille des professionnels de santé.
      S’il y a un secteur, où l’appel à candidatures mentionné dans le projet de transformation systémique du PASTEF aurait eu toute sa pertinence, c’est bien celui de la Santé et de l’Action sociale, car la gestion démocratique du personnel n’y a jamais été une réalité, tout au moins, pour ce qui est de celle des cadres supérieurs de santé (et du secteur social), désignés, sans concertation formelle, même si c’est par note de service, arrêté ou décret.


      C’est donc dire que le nouveau ministre de la Santé n’a fait que perpétuer d’anciennes traditions de gestion discrétionnaire de cette question importante et sensible, avec la complicité de divers groupes de pression, dont l’Exécutif central et les syndicats.
      Au Sénégal, l’atmosphère du secteur socio-sanitaire est polluée par des accusations itératives de « médicalisation » du secteur de la Santé, à savoir, l’accaparement par le corps des médecins de la quasi-totalité des postes de directions.
      Qu’en est-il réellement ?


      UNE GESTION ARCHAIQUE DES RESSOURCES HUMAINES

      a) Au niveau des districts et régions
      Il est vrai que les districts, unités opérationnelles par excellence du système socio-sanitaire, chargées d’activités de santé publique et de mise en œuvre opérationnelle du PNDS, sont tous gérés par des médecins. Cela vient essentiellement du fait que la fonction de chef de district et celle (très orientée vers le curatif) de chef de centre de santé sont encore confondues. Les dissocier offrirait l’opportunité à d’autres cadres supérieurs de santé non médecins (docteurs en pharmacie, en chirurgie dentaire, en sciences infirmières ou obstétricales) d’occuper le poste de chef de district et même de région. En l’absence de règles du jeu claires, les organes de participation communautaire et dévolus au transfert de la compétence Santé aux collectivités territoriales (comité de développement sanitaire) restreignent considérablement la marge de manœuvre des gestionnaires de district ou conduisent à une collusion au détriment des usagers et travailleurs.
      Par ailleurs, les équipes des districts sanitaires et des directions régionales de santé incluent des techniciens supérieurs de santé, des assistants sociaux et même des agents paramédicaux expérimentés (IDE, SFE), dont la plupart acquièrent de nouveaux diplômes (master, doctorat) dans les domaines les plus variés (gestion des programmes, administration des services de santé, épidémiologie…), sans compter l’expertise acquise sur le terrain.


      b) Au niveau des hôpitaux
      Par contre, la gestion de l’écrasante majorité des structures hospitalières échoit à des non-médecins, qui ne sont parfois même pas du secteur de la santé, mais qui ont acquis des diplômes d’administration des services de santé. Ces directeurs nommés par décret présidentiel constituent une sorte de « lobby administratif et financier » dans les structures sanitaires, dont certains membres issus du monde politico-syndical, pensent devoir s’acquitter d’un devoir de gratitude envers l’Exécutif.
      Cet état de fait est en contradiction flagrante avec la prétendue autonomie hospitalière, qui a permis, jusque-là aux ministres politiciens de vampiriser les structures hospitalières à leur profit, à travers des instances délibérantes ravalées au rang de caisses de résonnance.
      Les cadres supérieurs de santé sont réduits au rôle d’observateurs impuissants, confinés dans des commissions médicales honorifiques, ayant peu de prise sur la réalité hospitalière. Il en est de même pour les agents paramédicaux, dont les commissions techniques ont un statut encore moins valorisé.
      c) Au niveau de l’administration centrale
      La nomination aux postes de direction du niveau central obéit à un faisceau de critères dont aucun ne renvoie à une compétition saine et loyale ou en rapport avec le profil des postulants :

      • Critère politicien, pour récompenser les cadres de la mouvance présidentielle, qui n’hésitent d’ailleurs pas à transhumer, à l’occasion,
      • Critère académique, qui devrait poser le débat sur les plans de carrière des cadres de santé publique, par rapport aux universitaires, qui viennent occuper des postes au niveau du Ministère,
      • Critère lié à l’appartenance à un groupe de pression syndical, associatif voire religieux…
        En lien avec la gestion verticale du système sanitaire, occasionnant une foultitude de programmes, on note une pléthore de cadres supérieurs de santé et d’action sociale, dont certains n’ont même pas de bureau, au du siège du Ministère en charge de la Santé.
        En l’absence de coordination optimale, avec pour objectif principal, le déroulement de leurs plans d’action et l’absorption des financements reçus, les gestionnaires de programmes et leurs équipes se télescopent aux niveaux régional et de district, jusqu’aux postes et cases de santé.
      • NOUVELLES RÉALITES DU SYSTÈME SANITAIRE
        Les exigences liées à la multi-sectorialité, mais aussi à la philosophie des soins de santé primaires, adoptée à Alma-Ata en 1978 commandent de réformer la gouvernance sanitaire et de faire la place aux nouveaux corps intervenant dans la Santé prise au sens large. En effet, partout dans le monde, la Santé est, de plus en plus caractérisée par une multiplicité d’intervenants, ayant des statuts et des employeurs différents, dont les agents et relais communautaires.
        Dans ce contexte caractérisé par une complexité croissante, il faut en arriver à une organisation des acteurs, qui les pousse à se réinventer, pour s’adapter à plusieurs innovations technologiques en cours (génomique, numérique, liée à l’intelligence artificielle…), se déroulant en marge du système sanitaire, qui peine à se les approprier entièrement.
        Dans le même ordre d’idées, le secteur de la Santé a vu, en quelques décennies, un élargissement de son champ d’action aux sciences sociales, y compris à la participation communautaire et au travail social, à la digitalisation, à l’économie, au droit, à la communication et même aux mathématiques (statistiques)…
        Toutes ces considérations doivent induire un changement de paradigme dans la gestion des ressources humaines, laquelle devra reposer sur un socle démocratique, qui devra, de plus en plus bannir l’approche discrétionnaire, ouvrant la porte à des considérations extra-sanitaires voire à la complaisance et au népotisme.

      • POUR UNE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES BASÉE SUR DES CRITÈRES

      Pour corriger les impairs dans la gestion des ressources humaines, il faut en revenir aux bonnes vieilles recettes, à savoir la représentation des professionnels de la Santé dans les réunions de redéploiement, à tous les niveaux et à l’appel à candidatures pour les postes de direction.
      Il faudra également, en amont du processus de sélection des candidats, définir des critères minimaux auxquels doit satisfaire tout postulant, parmi lesquels, outre le profil, l’expérience, le parcours professionnel, les diplômes requis pour le poste … Ces critères devront transcender la qualification professionnelle ou le corps d’origine, mais être fondé sur la hiérarchie et le niveau d’études, mais surtout sur les compétences requises pour satisfaire à la description de poste.
      De manière pratique, nous pensons, qu’on peut envisager que des cadres de santé non médecins (pharmaciens, chirurgiens-dentistes, docteurs en sciences infirmières ou obstétricales) puissent occuper le poste de directeur régional de la Santé. Pour les autres cadres, acteurs de la Santé comme les anthropologues, les sociologues, les géographes, les travailleurs sociaux ayant au moins le doctorat, ils pourraient, par contre, postuler, au même titre que les cadres de santé, pour être des coordonnateurs de la Santé, au niveau départemental, rattaché à la préfecture), pouvant abriter un service territorial de santé publique.
      Dans le même ordre d’idées les directeurs d’hôpitaux devraient avoir des niveaux académiques élevés, leur accordant une pleine légitimité pour gérer tous les cadres de santé de la structure.


      L’implication des nombreux acteurs de la Santé non médecins ne doit pas avoir pour corollaire l’éviction injuste des médecins des sphères de gestion administrative et de santé publique, pour les confiner au rôle de cliniciens exécutants, au service d’autres catégories socioprofessionnelles.
      De même, des plans de carrière stimulants et des passerelles entre les différentes catégories d’acteurs de la santé permettront une flexibilité et une complémentarité pour mettre fin aux malentendus et préjugés.

      Dr Mohamed Lamine LY
      Spécialiste en santé publique

      Communiqué de Presse : Services de Radiothérapie Pleinement Opérationnels à Dalal Jamm et Cheikh Ahmadoul Khadim

      Le Ministère de la Santé et de l’Action sociale a émis un communiqué pour clarifier la situation des services de radiothérapie dans les hôpitaux de Dalal Jamm et Cheikh Ahmadoul Khadim. Contrairement à certaines informations erronées circulant récemment, le ministère tient à assurer au public que ces services sont pleinement opérationnels et continuent de délivrer efficacement les soins nécessaires pour le traitement des cancers.

      Selon le communiqué, les hôpitaux de Dalal Jamm et Cheikh Ahmadoul Khadim maintiennent un niveau élevé de qualité et de fiabilité dans la prestation des soins de radiothérapie. Cette technologie de pointe est cruciale pour les patients atteints de cancers, permettant des traitements ciblés et efficaces sous la supervision de professionnels qualifiés.

      Le ministère réagit ainsi à des rumeurs récentes qui auraient semé le doute quant à la disponibilité et à l’efficacité des services de radiothérapie dans ces établissements de santé. Ces informations inexactes ont pu créer une confusion parmi les patients et leurs familles, d’où l’importance de ce communiqué pour rétablir la vérité et rassurer la population.

      En affirmant la pleine fonctionnalité des services de radiothérapie à Dalal Jamm et Cheikh Ahmadoul Khadim, le Ministère de la Santé et de l’Action sociale réaffirme son engagement envers la santé publique. Il encourage également les patients nécessitant ces traitements à consulter leurs médecins et à suivre les recommandations médicales appropriées.

      Ce communiqué vise non seulement à informer mais aussi à dissiper toute confusion potentielle concernant l’accès aux soins de radiothérapie pour les patients atteints de cancer. Le ministère assure que les équipes médicales et les équipements nécessaires sont en place pour assurer un traitement efficace et sûr à ceux qui en ont besoin, renforçant ainsi la confiance dans le système de santé du pays.

      Tragédie en mer : Message de l’ancien Premier Ministre Amadou Ba

      C’est avec une immense tristesse et une profonde consternation que j’ai appris le drame survenu au large des côtes mauritaniennes, où 89 de nos frères et sœurs ont perdu la vie en tentant de rejoindre l’Europe. Ces hommes, femmes et enfants, en quête d’un avenir meilleur, ont tragiquement péri dans les eaux de l’Atlantique.

       

      Cette pirogue, partie il y a quelques jours de notre frontière avec la Gambie, transportait 170 passagers, tous animés par le désir d’une vie meilleure, fuyant la misère et les difficultés de leur quotidien. Leur périple tragique, loin d’être un cas isolé, reflète une réalité poignante : le désespoir qui pousse tant de nos concitoyens à risquer leur vie en mer.

       

      Les garde-côtes mauritaniens ont repêché les corps de ces 89 migrants. Ils ont également réussi à secourir 9 survivants, dont une fillette de 5 ans. Nous devons à ces sauveteurs toute notre gratitude pour leurs efforts courageux.

       

      Ce drame nous rappelle cruellement les dangers de la migration irrégulière et les conditions inhumaines auxquelles sont confrontés ceux qui choisissent cette voie désespérée. Il est de notre devoir de créer des conditions de vie dignes, des opportunités économiques et des structures de soutien qui dissuadent nos jeunes de se lancer dans de telles aventures périlleuses.

       

      À toutes les familles endeuillées par cette catastrophe, j’adresse mes condoléances les plus sincères et toute ma solidarité. Que nos prières et notre soutien leur apportent réconfort en ces moments de douleur.

       

      Puisse ce drame éveiller nos consciences et renforcer notre détermination à bâtir un Sénégal où chacun peut espérer et prospérer.

       

      Restons unis dans la peine et l’action. Ensemble, nous pouvons et devons changer cette sombre réalité.

       

       Dakar, le 6 juillet 2024

      Amadou BA

      Ancien Premier Ministre du Sénégal

      Tragédie à Ndiago : ADHA, MET et MIAMSI-SENEGAL appellent à une action urgente suite au naufrage d’une pirogue de migrants

      COMMUNIQUÉ DE PRESSE CONJOINT

      C’est avec beaucoup de tristesse que l’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA), le Mouvement pour l’Éthique et la Transparence (MET), et MIAMSI-SENEGAL ont appris le naufrage d’une pirogue transportant près de 184 candidats à la migration dite irrégulière.

      Cet incident dévastateur et poignant s’est produit au large de la plage de Niago, au sud-ouest de la Mauritanie, alors que des migrants tentaient de rejoindre les îles Canaries.

      Nos trois organisations déplorent la perte de 87 vies humaines, dont une majorité de sénégalais, 36 secourus et expriment leur vive inquiétude pour la soixantaine de portés disparus pour lesquels les autorités mauritaniennes poursuivent les recherches. 

      La pirogue aurait quitté Niodior au Sénégal.

      Cet énième drame met en lumière les conditions de désespoir qui poussent de nombreux jeunes à risquer leur vie dans des traversées périlleuses, avec l’objectif de trouver de meilleures opportunités ailleurs.

      Il y a assurément un besoin impératif de changement de paradigme en mettant en place une politique de jeunesse plus efficace, capable de faire face à ce sérieux drame qui affecte cruellement le Sénégal. Nous rappelons que malgré les dispositifs mis en place par FRONTEX dans le cadre des accords de coopération entre l’Union Européenne et le Sénégal, les financements, les rencontres et la création de structures comme le Conseil National pour la Jeunesse, le Conseil National pour l’Insertion et l’Emploi de la Jeunesse, ainsi que les nombreuses directions visant à contrer la migration dite irrégulière, les résultats attendus n’ont guère été au rendez-vous.

      Nous lançons un appel aux nouvelles autorités sénégalaises à intensifier leurs efforts pour prévenir de telles tragédies. 

      Il est certes crucial de renforcer les mécanismes de surveillance et de secours en mer, mais il faut surtout mettre l’accent sur l’amélioration des conditions de vie des populations sénégalaises et la promotion de voies de migration sûres et légales.

      L’ADHA, le MET, et MIAMSI-SÉNÉGAL réaffirment leur engagement à œuvrer pour la protection des droits des migrants et à sensibiliser les populations aux dangers des migrations irrégulières.

      Fait le 4 juillet 2024, à Dakar

      Les signataires :

      Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA)

      Mouvement pour l’Ethique et la Transparence (MET)

      –  Mouvement International d’Apostolat des milieux indépendants (MIAMSI SÉNÉGAL).

      Crise à la RTS : Réunion Cruciale Prévue Demain

      Le personnel de la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS) est convoqué à une assemblée générale d’informations cruciale le mardi 02 juillet 2024. Cette réunion intervient dans un contexte tendu, marqué par plusieurs décisions controversées prises par la Direction Générale :

      1. Situation de crise à la RTS : Des défis financiers importants sont mentionnés, nécessitant des ajustements drastiques.
      2. Mesures impopulaires de la Direction Générale : La baisse des salaires et la suppression des fonds communs sont des sujets de préoccupation majeurs pour le personnel.
      3. Licenciement des contractuels : Une mesure qui pourrait affecter de nombreux employés.
      4. Suspension de l’accord d’entreprise : Signé récemment, cet accord était destiné à apporter des avantages financiers après les récentes élections présidentielles, mais il est maintenant remis en question en raison de ses implications financières.
      5. Baisse des primes de prestation : Réductions significatives des primes jusqu’à 100 mille Francs.

      La décision de suspendre l’application de l’accord d’entreprise, annoncée par le directeur Pape Allé Niang, soulève des inquiétudes parmi le personnel, qui cherche des réponses quant à l’avenir de leurs conditions de travail et de leurs rémunérations.

      La réunion de demain sera cruciale pour discuter de ces questions et pour que le personnel exprime ses préoccupations face à ces développements récents à la RTS.

      Le Communiqué du Conseil des ministres de ce mercredi 26 juin 2024

      Le Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 26 juin 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres, au Palais de la République.

      Le Président de la République a entamé sa communication par la présentation de ses meilleurs vœux au Conseil à l’occasion de la Tabaski. Il a félicité le Gouvernement pour toutes les mesures et dispositions prises au profit des populations en vue du bon déroulement des célébrations de cette fête sur l’étendue du territoire national.

      Le Chef de l’Etat a salué l’application, dès le 24 juin 2024, de la baisse des prix de certains produits et services de consommation courante. Il a relevé les efforts budgétaires importants consentis par le Gouvernement pour assurer cette baisse significative.

      Le Président de la République a demandé au Gouvernement de poursuivre les concertations avec l’ensemble des acteurs économiques impliqués, les meuniers et les boutiquiers en particulier, en vue d’une application rigoureuse, sur l’ensemble du pays, des prix des produits homologués.

      Le Président de la République a demandé au Premier Ministre de travailler à l’élaboration d’une loi sur la souveraineté économique afin de mieux protéger les entreprises des secteurs stratégiques et de donner au Gouvernement un droit de regard plus soutenu sur les modifications pouvant intervenir dans le capital.

      Le Chef de l’Etat a indiqué au Premier Ministre la nécessité d’accélérer la transformation locale des produits agricoles par l’industrialisation, la promotion du consommer local et la modernisation du commerce de proximité avec les boutiques et magasins de référence.

      Il s’agit aussi, selon le Président de la République, de mettre en branle une politique cohérente de maitrise des prix des produits de grande consommation avec le recours, à court terme, à l’option des appels d’offres en ce qui concerne les approvisionnements du pays en produits alimentaires essentiels et hydrocarbures principalement.

      Pour le Chef de l’Etat, la souveraineté alimentaire du Sénégal passe par la relance de l’industrie nationale qui demeure une priorité de l’action gouvernementale. La souveraineté économique du Sénégal devra reposer sur la valorisation du potentiel industriel national et la densification du tissu industriel en Grandes, Petites et Moyennes industries.

      Dès lors, il a demandé au Premier Ministre et aux Ministres en charge de l’Industrie et de l’Economie, de mettre en œuvre un programme national de restructuration et de réhabilitation du tissu industriel.

      La vision de territorialisation de la politique industrielle, s’articule autour d’une dynamique soutenue de développement de la formation professionnelle et technique, de promotion de la recherche et des transferts de technologies, de spécialisation des régions, en pôles industriels attractifs, et de création d’emplois locaux. Le Président de la République, sous ce rapport, a demandé au Premier Ministre de superviser la montée en puissance rapide des agropoles et des Zones économiques spéciales (ZES). Ces entités d’impulsion, doivent concourir, dans la complémentarité, à l’accélération de l’industrialisation du Sénégal.

      Le Chef de l’Etat a appelé le Premier Ministre à préparer avec les Ministres concernés et les acteurs du secteur privé, une stratégie consensuelle d’accompagnement et d’incitations fiscales et foncières, pour améliorer la compétitivité des industries locales et leur potentiel effectif d’exportation et de création d’emplois.

      Le Président de la République a indiqué l’urgence de maitriser le répertoire des entreprises industrielles du Sénégal avec les emplois réels annoncés et les bilans sociaux révélés. Cet exercice de recensement exhaustif et de transparence permettra à l’Etat de mieux cibler ses interventions pour la promotion d’un secteur privé national fort, encadré et soutenu.

      D’ailleurs, le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre de préparer, d’ici la fin de l’année, avec l’ensemble des acteurs impliqués, un projet de loi de transformation du secteur industriel intégrant notamment le principe directeur de territorialisation de la politique industrielle et la création d’un dispositif concerté, efficient et viable de financement de l’accélération du développement industriel du Sénégal.

      Abordant la question de la nouvelle politique budgétaire du Sénégal, le Président de la République a fait savoir que l’exploitation des ressources pétrolières et gazières de notre pays va changer le profil stratégique et les instruments techniques de nos finances publiques. Le prochain débat d’orientation budgétaire sera l’occasion, pour le Gouvernement, de décliner devant l’Assemblée nationale, la nouvelle stratégie des finances publiques.

      Le Chef de l’Etat a rappelé au Gouvernement son attachement à la transparence, à la reddition des comptes et à une gouvernance sobre axée sur les résultats. D’où son ambition d’asseoir une politique budgétaire crédible qui renforce les ressources de l’Etat et rationnalise, en permanence, les dépenses publiques. Il a demandé, à ce titre, au Premier Ministre d’intensifier l’exécution d’un plan spécial de rationalisation des dépenses de fonctionnement dans les secteurs public et parapublic et de veiller, avec le Ministre en charge des Finances et du Budget, à la qualité des dépenses publiques. Il a indiqué que les ressources publiques doivent impérativement être orientées vers le financement de l’investissement productif et les interventions sociales prioritaires.

      Le Président de la République a, en outre, souligné l’urgence de mettre en œuvre une stratégie innovante d’amélioration de la mobilisation des recettes fiscales et non fiscales.

      Il a aussi appelé à la mise en œuvre d’une politique de subvention juste et transparente et à l’application rigoureuse d’un programme de rationalisation des exonérations avec, notamment, l’actualisation du Code des investissements et de la législation fiscale au besoin.

      Il a, à cet égard, rappelé l’impérieuse nécessité d’une digitalisation intégrale et d’une interopérabilité des systèmes d’information des régies financières, ainsi que la généralisation intensive du paiement dématérialisé des impôts et taxes, source de transparence, d’efficacité, d’efficience et de qualité du service public.

      Par ailleurs, le Chef de l’Etat a invité le Premier Ministre à veiller au suivi interne et interministériel des programmes budgétaires validés et à l’opérationnalisation intégrale du contrôle de gestion dans les ministères, en vue de faciliter, d’une part, la présentation, à temps, des rapports annuels de performance et du projet de loi de règlement de l’année n-1 et, d’autre part, l’évaluation des politiques publiques, prérogative constitutionnelle de l’Assemblée nationale depuis 2016.

      Il a également appelé à l’apurement de la dette intérieure objective et à la bonne maitrise de l’endettement du Sénégal.

      Evoquant le renforcement de la lutte contre la drogue au Sénégal, le Président de la République a saisi l’occasion de la célébration ce 26 juin de la Journée mondiale contre l’abus et le trafic de drogues pour féliciter les Forces de Défense et de Sécurité auteures des résultats remarquables obtenus ces derniers mois.

      Il a demandé au Gouvernement, particulièrement au Ministre de l’Intérieur, de poursuivre, avec efficacité, la mise en œuvre de la stratégie nationale de lutte contre la drogue tout en renforçant la sensibilisation des populations, notamment les jeunes, sur le fléau. Le Chef de l’Etat a exhorté le Gouvernement à s’atteler, sans délais et de manière inclusive, à la révision et à l’actualisation rapide du Code des drogues.

      Au titre de son agenda, le Président de la République a fait part de sa visite au niveau de la plateforme pétrolière de Sangomar. Il a aussi évoqué sa participation au Forum mondial pour la souveraineté et l’innovation vaccinales tenu le 20 juin 2024 à Paris. Le Chef de l’Etat a particulièrement attiré l’attention du Gouvernement sur la nécessité de veiller à la réussite de la plateforme que l’Institut Pasteur de Dakar est en train de finaliser à Diamniadio avec le soutien de l’Etat et des partenaires pour un investissement de plus de 250 millions de dollars.

      En marge du Forum, le Président de la République a discuté avec le Président Emmanuel MACRON de questions d’intérêt commun touchant à la coopération franco-sénégalaise et de la nécessité de rénover les relations entre les deux pays.

      Le séjour à Paris du Chef de l’Etat a été également marqué par d’autres entretiens notamment avec :

      – Le Président Paul KAGAME du Rwanda ;
      – La Secrétaire générale de la Francophonie ;
      – Le Directeur général de l’OCDE ;
      – Le Président du Développement global de la Fondation Bill Gates ;
      – La Commissaire de l’Union européenne chargée des partenariats ;
      – Le Directeur général de l’AFD ;
      – Le Président du Groupe Eiffage.
      Avant son retour au Sénégal, le Président de la République a rencontré la communauté sénégalaise en plusieurs groupes.

      A l’entame de sa communication, le Premier Ministre a évoqué l’impérieuse nécessité pour les départements ministériels concernés d’accorder une attention particulière aux actions requises en matière de sécurité civile, notamment pour la prévention des inondations, des noyades pendant les vacances ainsi que des chavirements de pirogues de pêche causés par les intempéries.

      Dans ce cadre, il a appelé à rendre opérationnels, avant l’installation de la saison des pluies sur l’ensemble du territoire national, le système d’alerte des risques d’inondation ainsi que la Cellule de crise et d’alerte pour une prise en charge efficace notamment du soutien social, des impacts sur la circulation routière et des risques d’électrocution.

      Il a également invité le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique à prendre les dispositions requises en vue d’une surveillance efficace des plages.

      Abordant le second point de sa communication, le Premier Ministre a informé le Conseil que conformément à la décision de Monsieur le Président de la République d’organiser la commémoration du 80ème anniversaire du massacre des tirailleurs sénégalais et africains en 1944 au camp de Thiaroye, un Comité ad hoc chargé des préparatifs de l’événement sera mis en place. Le rapport de ce comité sera soumis à sa haute attention au mois de septembre 2024.

      Le Premier Ministre est également revenu sur les mesures de baisse du coût de la vie entrées en vigueur le lundi 24 juin 2024. À cet égard, il a demandé au Ministre de l’Industrie et du Commerce de veiller à la mobilisation de ses services en vue du strict respect des prix sur l’ensemble du territoire national. En particulier, il a souligné la détermination du Gouvernement à poursuivre les investigations afin de tirer au clair les constats de pratiques commerciales douteuses par certaines entreprises, en commençant par celles évoluant dans la minoterie.

      Il a, en outre, exhorté le Ministre de l’Industrie et du Commerce à entreprendre les démarches nécessaires en vue de finaliser les travaux d’élaboration des projets de décrets et d’arrêtés d’application de la loi numéro 2021-25 du 12 avril 2021 sur les prix et la protection des consommateurs.

      Par ailleurs, le Premier Ministre a rappelé aux Ministres l’exigence de veiller à la mise en œuvre de la plénitude de leurs attributions en matière de tutelle technique et financière des entités du secteur parapublic, au regard des pratiques de mauvaise gouvernance caractérisée relevées. À cet effet, il convient d’asseoir une communication claire et ferme sur les attentes en la matière, en recevant les Directeurs généraux, Directeurs et premiers

      responsables de ces entités pour réitérer les exigences de « JUBAL », de « JUBANTI » et
      de culture de résultat comme règles fondamentales de gestion. La vigilance doit également
      être systématiquement exercée sur le fonctionnement optimal des organes de contrôle
      interne, des organes délibérants ainsi que des comités spécialisés desdits organes en matière
      d’audit et de rémunération.

      Il en est de même de la tenue régulière des réunions de pré-conseil des entités du secteur parapublic dotées de Conseils d’administration ou de surveillance.

      Enfin, le Premier Ministre, après s’être félicité des actions entreprises à chaque fois que de besoin par les Ministres concernés depuis l’installation du nouveau Gouvernement, notamment en termes de proactivité et d’écoute, a souligné l’impérieuse nécessité pour les entreprises de respecter les accords conclus avec les populations locales, et de répondre à leurs préoccupations légitimes, tout en demandant à ces populations de s’abstenir de tout acte de nature à porter préjudice à l’activité économique.

      AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES :

       Le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique a fait une communication portant sur le Comité interministériel de lutte contre la migration irrégulière ;

       Le Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération a fait le point sur les principaux résultats du Recensement général de la Population et de l’Habitat (RGPH-5) et a annoncé la présentation prochaine du document relatif à la transformation systémique du Sénégal ;

       Le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation a fait le point sur la stabilisation de l’année universitaire et le lancement du premier satellite du Sénégal ;

       Le Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement a fait le point sur la préparation de la journée nationale « Setal sunu réew » prévue le 06 juillet 2024 ;

       Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale a fait le point sur le dispositif de sécurité sanitaire des pèlerins durant la phase de retour au Sénégal.

      AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES :

      Le Conseil a examiné et adopté :

       Le Projet de loi de règlement gestion 2023 ;

       Le Projet de décret portant création et fixant les règles d’organisation et de fonctionnement du Bureau d’Information et de Communication du Gouvernement (BIC- Gouv) présenté par le Ministre, Secrétaire général du Gouvernement ;

       Le Projet de décret portant code de l’urbanisme, partie réglementaire ;

       Le Projet de décret portant code de la construction, partie réglementaire ;

       Le Projet de décret modifiant le décret 2020-986 du 24 avril 2020 instituant une taxe parafiscale au profit du fonds pour l’habitat social dénommée « taxe sur le ciment »

      AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES,

      Le Président de la République a pris les décisions suivantes :

       Monsieur Mouhamadou Bamba DIOP, Ingénieur statisticien économiste, matricule de solde n° 615 996/D, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Économie, du Plan et de la coopération, en remplacement de Monsieur Allé Nar Diop appelé à d’autres fonctions ;

       Madame Ndèye Fatou LO, Conseiller des Affaires étrangères, matricule de solde n°616 254/J, est nommée Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères, en remplacement de Madame Amy MBACKE appelée à d’autres fonctions. ;

       Madame Marième GUEYE, Inspecteur principal du Trésor, matricule de solde n° 624 689/A, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens ;

       Monsieur El Hadj SALL, Economiste-Environnementaliste spécialisé en audit et contrôle interne, matricule de solde n° 515 409/D, est nommé Inspecteur des Affaires administratives et financières au Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique ;

       Monsieur El Hadji Mamadou GUEYE, Juriste, matricule de solde n° 662 513/E, est nommé Inspecteur des Affaires administratives et financières au Ministère de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des Territoires ;

       Monsieur Mamadou Boye DIALLO, Juriste financier, matricule de solde n° 642 620/Z, est nommé Inspecteur des Affaires administratives et financières au Ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage.

      Le Ministre de la Formation Professionnelle, Porte-Parole du Gouvernement

      Amadou Moustapha Njekk SARRE

      Déguerpissement de commerçants, baisse des prix : Bougane et Cie critiquent Diomaye et Sonko

      Entre Bougane Guèye et le nouveau régime, le divorce est définitivement consommé. Après avoir vivement critiqué le Premier ministre Ousmane Sonko lors de la prière de la Tabaski, le leader de Gueum Sa Bopp a de nouveau pris pour cible le gouvernement. Dans un communiqué de presse, Bougane et ses alliés ont critiqué plusieurs décisions du gouvernement, notamment la réduction des prix de denrées alimentaires comme le pain.

      La coalition Gueum Sa Bopp condamne fermement cette réduction des prix, qualifiant la décision de « contre-productive » et dénonçant l’absence de concertation entre les autorités et les boulangers. Selon Bougane et ses partisans, cette mesure va à l’encontre des principes de bonne gouvernance.

      La coalition s’insurge également contre la décision du ministre des Transports, El Malick Ndiaye, d’affréter des bus de Dakar Dem Dikk pour transporter des Sénégalais pendant la période de Tabaski. Gueum Sa Bopp critique l’approche « populiste » du ministre, qui n’a pas consulté les acteurs du secteur, et accuse le gouvernement de la situation chaotique dans divers secteurs d’activité.

      Bougane Guèye et ses camarades ont également dénoncé les récentes initiatives de déguerpissement qui ont touché les jeunes commerçants de Colobane, Petersen, Keur Massar et Sandaga. Ils considèrent ces actions comme « improductives et asociales », reprochant au gouvernement de stigmatiser et de réprimer arbitrairement les marchands ambulants sans proposer de mesures d’accompagnement. La coalition appelle à encadrer, organiser, formaliser et soutenir ces jeunes entrepreneurs pour créer des conditions propices à l’emploi.

      En outre, Gueum Sa Bopp a réagi aux affrontements de Médina Gounass et à la mutinerie à la prison du Camp pénal de Liberté 6. Concernant Médina Gounass, la coalition appelle à la retenue et à la promotion de la cohésion sociale pour garantir une paix durable. Pour ce qui est des tensions au Camp pénal, Gueum Sa Bopp exprime sa solidarité avec les familles des détenus victimes de répression et demande des sanctions disciplinaires contre les responsables. La coalition exhorte également l’Observateur national des lieux de privation de liberté à améliorer les conditions de détention et à veiller au respect des libertés fondamentales des détenus.

      Ce communiqué de presse de Gueum Sa Bopp souligne les nombreux désaccords entre Bougane Guèye et le nouveau régime, et met en lumière les critiques sévères envers les récentes décisions du gouvernement.

      Mawdo Malick Mbaye démissionne de l’Anamo et rend son Passeport diplomatique

      El Hadji Malick Mbaye, connu sous le nom de Mawdo, a démissionné de son poste de Directeur général de l’Agence nationale de la maison de l’outil (Anamo). Dans une lettre datée du lundi 12 juin 2024, adressée par voie hiérarchique au chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, Mawdo Malick Mbaye a annoncé sa décision de quitter ses fonctions.

      Ce responsable de Benno Bokk Yakaar (Bby) a également restitué son passeport diplomatique. Dans une note que nous vous livrons intégralement, Mawdo Malick Mbaye a exprimé sa gratitude envers le Président sortant, Macky Sall, pour la confiance placée en lui tout au long de son mandat.

      Chers amis , parents et concitoyens


      – Démission du poste de DG de l’ANAMO 
      – Remise de mon passeport diplomatique au MAE 
      – Reconnaissance au Président Macky Sall 
      – Vœux de succès au Président BDF , le PM et son gouvernement 
      – Cap sur la médiation au Sénégal et en Afrique avec le GIMA – Groupe D’Initiatives Pour Une Médiation A L’Africaine
      J’ai le privilège de vous informer que  je me suis volontairement déchargé de mes fonctions de Directeur Général de l’Agence Nationale de la Maison de l’Outil (ANAMO), par courrier n° 00002 /ANAMO/DG/Conf/ en date du lundi 12 juin 2024 adressée sous couvert de la voie hiérarchique à son Excellence Bassirou Diomaye Diakhar Faye Président de la République du Senegal. 
      Dans la même foulée, je rendrai dés demain mon passeport diplomatique au Ministère des Affaires Étrangères. 


      Je rappelle que depuis  le 31 mai 2012, le Président Macky Sall m’avait investi de sa confiance en me plaçant à la tête de l’ANAMO , m’offrant ainsi l’occasion de servir mon pays dans un domaine aussi prioritaire que l’insertion socioprofessionnelle de mes concitoyens .  Je lui réitère ,ici , mes sincères remerciements pour sa confiance renouvelée et son soutien constant. 
      En cet instant précis , mes pensées de gratitude se tournent vers ma famille mais aussi mes anciens  collaborateurs et collaboratrices qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour m’épauler dans l’exercice de mes responsabilités. Mon ultime remerciement s’adresse au Conseil de Surveillance de l’ANAMO  et à ses successifs Présidents . 


      J’ai aussi le souci de magnifier la pertinence de l’ANAMO comme instrument d’encadrement, de formation et d’insertion des jeunes et des femmes .  À ce propos il m’est agréable de souligner que durant mon passage à la tête de la structure les maisons de l’outil sont passées de deux(02) à quinze (15) avec plus de douze (12) milles jeunes et femmes formés dans divers corps de métiers.


      Aujourd’hui mon vœu le plus ardent est de me consacrer aux tâches de méditation en Afrique qui me sont confiées par le Groupe d’initiatives pour une Médiation à l’Africaine ( GIMA) basé à Rabat et dont j’ai l’honneur d’être le Président. 


       Mon engagement dans la quête de la reconciliation et de la stabilité sur le continent ne pourrait m’éloigner de mon pays pour lequel ma disponibilité reste entière notamment dans le sillage du Dialogue et de la concertation qui figurent en bonne place dans le programme de gouvernance des nouvelles autorités. 
       J’anticipe mes remerciements et formule les vœux de succès pour le Président de la République, son Premier Ministre et l’ensemble du gouvernement suite à l’élection présidentielle 24 Mars dernier chargée d’espoirs pour le peuple sénégalais. 


      El hadji Malick Mbaye 
      Ex Directeur Général de l’Agence Nationale
      de la Maison de l’Outil ( ANAMO )

      Les nominations en Conseil des Ministres du Mercredi 05 Juin 2024

      Le Président de la République a procédé aux nominations suivantes :

      Monsieur Matar SENE, titulaire d’un Master 2 en Gestion des Ressources humaines, est nommé Délégué général à la Protection sociale et à la Solidarité nationale en remplacement de Madame Aminata SOW.

      Madame Amsatou Sow SIDIBE, professeure agrégée des Facultés de droit de classe exceptionnelle, est nommée Présidente du Comité sénégalais des Droits de l’homme, en remplacement de Maître Papa SENE.

      Monsieur Papa Toby GAYE, ingénieur électronicien, précédemment Secrétaire général de la Société nationale d’électricité (SENELEC SA), est nommé Directeur général de la Société nationale d’électricité (SENELEC SA), en remplacement de Monsieur Papa Mademba BITEYE.

      Monsieur Alioune GUEYE, expert-comptable, est nommé Directeur général de la Société des Pétroles du Sénégal (PETROSEN Holding SA), en remplacement de Monsieur Adama DIALLO.

      Monsieur Mouhamadou DIOP, ingénieur polytechnicien des ponts et chaussées, est nommé Directeur général de la Société des Pétroles du Sénégal (PETROSEN Trading and Services SA), en remplacement de Monsieur El hadj Manar SALL.

      Monsieur Jean Michel SENE, ingénieur électronicien et énergéticien spécialisé en instrumentation nucléaire, est nommé Directeur général de l’Agence sénégalaise d’Electrification rurale (ASER), en remplacement de Monsieur Baba DIALLO.

      Madame Mame Coumba NDIAYE, ingénieur statisticienne et économiste de l’énergie, est nommée Directrice générale de l’Agence pour l’Economie et la Maitrise d’Energie (AEME), en remplacement de Monsieur Saër DIOP.

      Monsieur Mor BAKHOUM, maître de conférence assimilé en droit de la concurrence, est nommé Secrétaire technique du Conseil national de Suivi du Contenu Local au Ministère de l’Énergie, du Pétrole et des Mines.

      Monsieur Amadou GUEYE, ingénieur automobile, est nommé Directeur général de l’Agence de Promotion des sites industriels (APROSI), en remplacement de Monsieur Momath BA.

      Madame Aïssatou DIALLO, ingénieur agro-industrielle, est nommée Coordonnatrice du Programme national de Développement des Agropoles du Sénégal, en remplacement de Monsieur Djily LO.

      Monsieur Justin CORREA, titulaire d’un Master 2 en Comptabilité et Finances, est nommé Directeur du Centre international du Commerce extérieur du Sénégal (CICES), en remplacement de Monsieur Salihou KEITA.

      Madame Rougui Aladji SOW, titulaire d’un Master en Audit et Contrôle de gestion, est nommée Coordonnatrice nationale du Programme de Modernisation et de Gestion des Marchés (PROMOGEM), en remplacement de Madame Yaye Fatou DIAGNE.

      Monsieur Sambou BIAGUI, titulaire d’un Diplôme d’Études supérieures spécialisées en Communication évènementielle et Planification stratégique, est nommé Directeur général de la Maison de la presse « Babacar TOURE », en remplacement de Monsieur Bara NDIAYE.

      Madame Ndeye Fatou NDIAYE, ingénieur en Électronique et en Systèmes de Communication, est nommée Coordonnatrice de l’Unité de Coordination et de Gestion du Fonds de Développement du Service universel des Télécommunications (FDSUT), en remplacement de Monsieur Modou Mamoune NGOM.

      Monsieur Aliou FALL, titulaire d’un Diplôme d’Études Approfondies en lettres modernes, est nommé Directeur de l’Alphabétisation et des Langues nationales, en remplacement de Madame Ndèye Name DIOUF.

      Monsieur Abdoulaye NDIAYE, Docteur en droit, juriste-conseil, spécialisé en passation des marchés, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère de l’Énergie, du Pétrole et des Mines.

      Monsieur Aboubakry BOCOUM, Inspecteur du Trésor, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture.

      Monsieur Al Hassane DIOP, Économiste, spécialiste en Gestion des Entreprises et de projets, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Abdoulaye NDIAYE, appelé à d’autres fonctions.

      Ces nominations reflètent les efforts continus du gouvernement pour optimiser la gestion des ressources humaines et renforcer les institutions nationales en plaçant des personnes qualifiées à des postes stratégiques.

      APPEL A CANDIDATURES POUR LE POSTE DE RECTEUR DE L’UCAD: Le SUDES interpelle l’État 

      Le SUDES-ESR section UCAD se dit très préoccupé concernant le retard dans l’appel à candidature du recteur de l’université Cheikh Anta Diop de Dakardont le mandat termine le 20 juillet 2024.

      Dans un communiqué, le Syndicat Unitaire et Démocratique des Enseignants du Sénégal estime que ce retard est une violation flagrante du decret n 2021-846 du 24 juin 2021. « En effet, ledit décret en son article 2 stipule que : « Quatre-vingt-dix (90) jours avant le terme du mandat du Recteur en fonction, ou, au plus tard, trente (30) jours après la fin de son mandat pour une raison autre que la fin légale de son mandat, un comité de validation et de sélection des candidatures pour la nomination d’un nouveau recteur est mis en place. Ce comité examine les candidatures reçues à l’issue de l’appel à candidatures rédigé par le conseil d’administration, selon l’article 3 du même décret. », peut-on lire dans le communiqué parvenu au Dakarois Quotidien.

      D’après le syndicat, l’appel à candidatures devait être lancé il y a déjà 45 jours, étant entendu qu’en l’espèce aucune « […] raison autre que la fin légale de son mandat, […] ne saurait justifier ce retard qui apparait comme calculé et programmé. ».

      À ce propos, le SUDES- ESR section UCAD interpelle l’Etat sur la stabilité de l’administration de l’UCAD. « Devant cette inaction incompréhensible, injustifiée et injustifiable, le SUDES-ESR section UCAD manifeste son indignation et avertit que le non-respect des délais légaux pour la nomination d’un nouveau recteur pourrait compromettre gravement la continuité et la stabilité administrative de l’UCAD en installant un vide à la tête de notre institution, au soir du 22 juillet 2024. Cette incertitude affecterait les prises de décisions et la gestion quotidienne de l’université, déjà délicate, ne serait-ce que par le paiement tardif des salaires. », martèlent les enseignants.

      Enfin, le Syndicat exige :

      o Du Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, la mise en place immédiate du comité de validation et de sélection des candidatures tel que stipulé dans les articles 2 et 6 du décret 2021-846 du 24 juin 2021 ;

      o Du Conseil d’Administration de l’UCAD, le lancement sans délai de l’appel à candidatures pour le poste de recteur, avec une communication claire et transparente sur le calendrier de recrutement ; et

      o L’engagement du Conseil d’Administration et du Ministère à respecter les procédures de gouvernance des universités publiques et à garantir une gestion transparente et équitable de ce processus de sélection.

      Le Dakarois

      ERRATUM : Le Dakarois Quotidien a eu à reprendre une information dans la bonne…

      Le Dakarois Quotidien a eu à reprendre une information dans la bonne foi qu’elle émane d’un média de confiance comme Confidentiel Afrique. Mais à sa grande surprise, l’organe a vu qu’il a lui aussi été victime de manipulations. Nous nous en excusons face à nos lecteurs et aux autorités concernées.
      Par contre, il s’agit bien du site d’information Afrique Confidentielle différent de Confidentiel Afrique qui est l’auteur de l’information en question.

      In extenso, la note du Directeur de Confidentiel Afrique, Chérif Aïdara.

      Communiqué

      Un post d’un article est attribué à Confidentiel Afrique. Je précise à l’endroit de tous les lecteurs que Confidentiel Afrique que je dirige avec mon équipe rédactionnelle, n’a jamais réalisé ou publié sur son site Web un article qui évoque la nomination du Général Kandé à New Dehli. Beaucoup de fidèles lecteurs et de collègues m’interpellent depuis 20h sur ce sujet. Une publication qui se respecte doit avoir un ours précis avec les noms de l’équipe de journalistes et le lieu du siège avec la signature des auteurs. CONFIDENTIEL AFRIQUE qui fait 13 millions de lecteurs est connu pour sa notoriété, sa crédibilité et son influence dans le champ médiatique sénégalais et panafricain.

      COMMUNIQUE : Le maire de Thiès n’est pas un valet aux mains de l’impérialisme néocolonial

      Il est opportun de rappeler à nos « amis de la Ville de Dakar » que le Maire de Thiès n’est pas à la recherche de titres honorifiques au sein d’organisations internationales.

      Dr Babacar Diop a d’autres préoccupations plutôt que de s’accrocher à des strapontins de postes de vice-président d’une organisation francophone.

      Son engagement s’étend à la résolution des problèmes concrets qui affectent la vie quotidienne de nos compatriotes.

      Il a toujours placé les intérêts de sa ville, de son pays voire de l’Afrique au sommet de ses priorités. Ses actions et ses décisions sont constamment guidées par une seule et unique motivation : le progrès et l’épanouissement des populations.

      Le Maire de Thiès n’est donc pas un pantin aux mains de l’impérialisme de Paris et de Anne Hidalgo.
      Il n’est non plus un laquais programmé pour défendre des intérêts étrangers.

      Il n’est encore moins une caisse de résonnance pour répondre à des Communiqués destinés à l’Association internationale des maires francophones (AIMF) dont il est membre au même titre que la Ville de Dakar.

      Aujourd’hui, Thiès, Ville souveraine et décomplexée, est prête à écrire sa propre histoire, libre des contraintes impérialistes.

      Sur un autre registre, si la mairie de Thiès n’est pas à jour dans ses cotisations depuis 10 ans, ce manquement ne saurait être imputé à la nouvelle équipe élue aux Locales de 2022.

      Pour clore, la Ville de Thiès n’a aucune leçon de diplomatie â recevoir de personne.

      La Direction de la Coopération et des Partenariats de la mairie de Ville

      Fait à Thiès, le 28 mai 2024

      Communique du RESTIC : Le RESTIC exige une restructuration urgente du FDSUT

      Le RESTIC signale aux nouvelles autorités l’urgence d’une évaluation exhaustive des outils et programmes de lutte contre la fracture numérique et digitale au Sénégal avec le lancement des offres 5G en milieu urbain par les  operateurs.

      La fracture numérique demeure plus que jamais au Sénégal, des zones grises et même des zones rouges demeurent au Nord et Sud du pays malgré le taux de pénétration – plus de 90% –  très avancé du mobile et la disponibilité du courant électrique – 65% pour l’accès universel électrique-.

      L’accès à internet et aux données n’est pas uniforme surtout le territoire et c’est handicap majeur pour le déploiement des startup et des initiatives à valeur ajoutée comme l’e – santé et l’e- administration dans nos terroirs de l’intérieur. Dakar jouit des services mobiles de dernière génération ce qui n’est pas le cas à Touba, à Ziguinchor , à Kaolack, à Kolda ou à Kédougou.

      Ainsi le RESTIC voudrait une restructuration urgente et en profondeur du FDSUT après bien entendu une évaluation et un audit exhaustif des mécanismes du fonds et de sa trésorerie. . C’est un fond sans contribution majeure dans l’écosystème du numérique.

      Aussi le RESTIC exige du Ministère de l’économie numérique la même évaluation des licences de téléphonie rurale – la seule qui existe à Matam – et d’accélérer la mise en place ici dans notre pays des operateurs d’infrastructures dans les télécoms pour plus d’emplois et d’investissement en capital et technologie dans le secteur globalement.

       Juin 02, 2023
      Le Bureau exécutif

      FDSUTTélécharger

      La Police Nationale éclaircit les accusations de corruption impliquant des Policiers et la fille de Mansour Faye

      La Police nationale a tenu à rétablir la vérité suite à des informations publiées dans le quotidien « BÉS Bi-LE JOUR » et sur le site seneweb.com concernant une présumée corruption impliquant des policiers. Un communiqué officiel a été diffusé pour clarifier les faits autour de l’affaire impliquant la fille de Mansour Faye, Aïssatou Faye.

      Selon le communiqué de la Police nationale, le commissariat urbain de Kébémer a reçu, le 25 avril 2024, une plainte de Mme Aïssatou Faye, affirmant avoir été victime d’une extorsion de fonds de 300 000 F CFA par des policiers le 23 avril 2024. Lors de son audition, Mme Faye a indiqué que lors d’un contrôle de routine, les agents ont découvert en sa possession une somme de 21 000 000 F CFA.

      Mme Faye a déclaré que les policiers lui ont signifié qu’elle n’avait pas le droit de circuler avec un tel montant d’argent. Sous la menace d’une éventuelle poursuite pénale, les agents auraient extorqué 300 000 F CFA de la jeune femme.

      Les investigations menées par le chef de service ont permis d’identifier les deux policiers impliqués, qui ont admis avoir reçu l’argent, mais ont soutenu que la somme leur avait été remise de manière gracieuse.

      Face à ces accusations, la Police nationale a pris des mesures disciplinaires sévères. Les deux agents de police ont été relevés de leurs fonctions et placés en salle de discipline. La Police nationale a souligné l’importance de maintenir l’intégrité et la confiance du public envers les forces de l’ordre.

      Cette affaire intervient dans un contexte de sensibilisation accrue à la corruption et aux abus de pouvoir. Les mesures prises par la Police nationale visent à renforcer la transparence et à montrer que de tels comportements ne seront pas tolérés.

      Le traitement de cette affaire est suivi de près par l’opinion publique, d’autant plus que la présumée victime est la fille d’une personnalité publique, ce qui ajoute une dimension supplémentaire à l’enquête et aux mesures prises.

      La Police nationale réitère son engagement à faire respecter la loi et à agir avec impartialité, quel que soit le statut ou les relations des personnes impliquées.

      Communiqué

      Sidy Alpha Ndiaye nommé ministre-conseiller juridique et Dircab adjoint du Président

      Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a récemment pris une décision importante en nommant le professeur Sidy Alpha Ndiaye en tant que ministre-conseiller juridique et directeur de cabinet adjoint du Président. Cette nomination renforce l’équipe juridique de l’administration présidentielle et attache directement le nouveau ministre à la présidence.

      Sidy Alpha Ndiaye, agrégé de droit public à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), est une personnalité respectée dans le domaine juridique. Il s’est notamment illustré au début de l’année 2024 lors des débats judiciaires concernant l’éligibilité d’Ousmane Sonko et le report de l’élection présidentielle. Critiquant les décisions prises par l’ancien président Macky Sall, qu’il jugeait non conformes à la Constitution, Sidy Alpha Ndiaye avait rédigé un argumentaire juridique détaillé.

      Désormais nommé ministre, Sidy Alpha Ndiaye apportera son expertise juridique au service du Président Diomaye Faye, en particulier dans les questions de droit. Sa nomination intervient à un moment crucial, alors que le Président a consacré la journée du Dialogue national du 28 mai 2024 à la refondation complète de la justice. Dans ce contexte, le rôle de Sidy Alpha Ndiaye sera particulièrement attendu pour contribuer à cette réforme majeure.

      Cette nomination témoigne de la volonté du Président de s’entourer de collaborateurs compétents et de renforcer l’équipe présidentielle dans le domaine juridique. Sidy Alpha Ndiaye apportera ainsi sa contribution à la réalisation des objectifs et des réformes prioritaires du gouvernement, dans le respect des principes de l’État de droit et de la Constitution.

      Communiqué du conseil des ministres du Mercredi 22 Mai 2024

      Le Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 22 mai 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres, au Palais de la République.
      A l’entame de sa communication, le Président de la République a fait part de l’importance particulière qu’il accorde au développement du secteur de l’élevage et des productions animales dans notre quête de souveraineté alimentaire.
      Le Chef de l’Etat a félicité les éleveurs, les opérateurs privés du secteur et les services de l’Etat pour leurs actions résolues et engagées dans l’autonomisation du Sénégal en moutons, le développement du cheptel, la santé animale et la valorisation des produits d’élevage et dérivés sur les marchés nationaux et internationaux.
      Le Président de la République a demandé au Premier Ministre et au Ministre en charge de l’Elevage de parachever l’actualisation du Programme national de production fourragère en corrélation avec une bonne maîtrise des prix de l’aliment de bétail et une stratégie avancée de lutte contre les feux de brousse. Dans le même sillage, le Chef de l’Etat a demandé au Gouvernement d’engager, sans délai, la mise en œuvre d’un plan d’aménagement consensuel des parcours du bétail et espaces de pâturage notamment dans la zone sylvopastorale.
      En outre, le Président de la République a souligné la nécessité d’un recensement national régulier et d’une identification nationale précise du cheptel afin de mieux orienter les ressources et les interventions de l’Etat dans le secteur.
      Par ailleurs, le Chef de l’Etat a demandé au Ministre des Forces armées et au Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique d’intensifier les actions préventives conjointes de lutte contre le vol de bétail.
      Il a également fait valoir l’urgence d’un recensement général des infrastructures d’élevage et équipements pastoraux réalisés par l’Etat et appelé à une réflexion stratégique sur leur mode d’exploitation et d’entretien au profit des acteurs du secteur.
      Le Président de la République a invité le Ministre en charge de l’Elevage en liaison avec le Ministre de l’Industrie et du Commerce à soutenir le développement des filières avicole, viande et lait de notre pays et favoriser la consommation des productions animales nationales.
      Dans cet esprit, il a sollicité la révision du cadre d’intervention du Fonds de Stabulation (FONSTAB) dont les dotations financières et les critères d’attribution doivent être évalués et réorientés.
      Le Chef de l’Etat a aussi demandé au Gouvernement de veiller au renforcement des ressources humaines spécialisées du secteur de l’élevage et de poursuivre, sans relâche, les campagnes nationales de vaccination du cheptel, les actions de promotion de la santé animale et la recherche en matière d’amélioration des races bovines.
      Evoquant l’autonomisation et la promotion économiques des femmes, le Président de la République a rappelé que le PROJET d’un Sénégal souverain, juste et prospère accorde une importance primordiale aux femmes et à leur rôle déterminant dans la consolidation de la famille, du développement économique et du renforcement des solidarités dans notre société.
      Il a saisi l’occasion de ce Conseil, pour magnifier la contribution significative des femmes pour un Sénégal prospère dans la justice sociale.
      Sur cette lancée, le Chef de l’Etat a demandé au Gouvernement de procéder à un audit des mécanismes et instruments de promotion économique et sociale des femmes et l’actualisation des plans, stratégies et actions destinés au renforcement de leur autonomie.
      Dans cette dynamique, le Président de la République a invité le Gouvernement à préparer, en accord avec l’ensemble des organisations féminines du Sénégal, un projet de loi d’orientation sur l’autonomisation économique durable des femmes. Enfin, au titre de son agenda diplomatique, le Chef de l’Etat est revenu sur les visites d’amitié et de travail qu’il a effectuées au Nigéria et au Ghana respectivement les 16 et 17 mai 2024.
      Dans sa communication au Conseil, le Premier Ministre est revenu sur les priorités gouvernementales. À cet égard, il a donné aux ministres concernés des orientations en vue de la réduction du train de vie de l’Etat, avec notamment les démarches à entreprendre pour la récupération de son patrimoine foncier et bâti cédé à des privés dans des conditions irrégulières, alors que des services administratifs font recours à la location.
      Il a également indiqué la nécessité d’accorder une attention urgente aux programmes de construction de logements sociaux recentrés sur les nouvelles orientations du Gouvernement et de consacrer un traitement particulier aux prêts DMC.
      Le Premier Ministre a, en outre, évoqué les diligences relatives au réexamen de certaines conventions notamment dans les secteurs miniers, pétroliers et 3 halieutiques ainsi que la revue des finances publiques sur la période allant du 1er janvier 2019 au 31 mars 2024.
      Il a rendu compte au Conseil des premiers résultats des concertations en cours avec les parties prenantes, sur la réduction du coût de la vie pour les produits de première nécessité et les services de connexion à l’Internet.
      Le Premier Ministre a fait part des conclusions des Conseils interministériels consacrés à la prévention et à la gestion des inondations ainsi qu’à la préparation des examens et concours au titre de l’année scolaire 2024.
      Il a également annoncé le programme des prochaines rencontres interministérielles sur le secteur de l’hydraulique, les infrastructures maritimes et portuaires ainsi que sur la prévention et la sécurité routière. Le Premier Ministre a demandé aux ministres et secrétaires d’Etat de proposer les mesures et ajustements à envisager à l’issue de la réalisation de l’état des lieux des programmes et projets, du capital humain et des ressources budgétaires trouvés dans leurs ministères respectifs à leur prise de fonction.
      Enfin, le Premier Ministre a partagé avec le Conseil les orientations qu’il compte imprimer à la relance du Service civique national.
      AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES : 

      • Le Ministre de l’Energie, du Pétrole et des Mines a fait une communication sur l’état d’avancement des projets pétroliers et gaziers d’une part, et d’autre part, sur l’exploitation des phosphates de Ndendory-Ouali Diala ; 
      • Le Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture a fait une communication sur la situation du programme Xeyu ndaw yi et sur l’état de construction des Maisons de la jeunesse et de la citoyenneté ;
      • Le Secrétaire d’Etat aux Coopératives et à l’Encadrement paysan a fait une communication sur la préparation de la campagne de production agricole 2024.

      Le Ministre de la Formation Professionnelle,

      Porte-Parole du Gouvernement

      Amadou Moustapha Njekk SARRE

      Diop SY appelle à l’implication des maires dans le processus du PGIIS

      Lors d’une intervention sur le Plan de Gestion Intégrée des Inondations au Sénégal (PGIIS), Diop SY a exprimé le besoin crucial d’associer les maires au processus. Ses propos soulignent l’importance de la participation des autorités locales pour une mise en œuvre efficace du PGIIS et une gestion proactive des inondations.

      Intervention d’Ousmane Sonko lors du Conseil interministériel sur l’inondation et le PGIIS

      Ousmane Sonko, leader politique et figure publique, a pris la parole lors du Conseil interministériel consacré à la gestion des inondations et au Plan de Gestion Intégrée des Inondations au Sénégal (PGIIS). Sa prise de parole a été marquée par des propositions et des observations pertinentes visant à renforcer l’efficacité des mesures prises pour faire face à ce problème majeur.

      Conseil interministériel sur l'inondation/PGIIS: Discours de Ousmane Sonko...

      Réunion interministérielle sur la gestion des inondations : Engagement et résolution pour un plan d’action efficace

      Les autorités gouvernementales se sont réunies lors d’un conseil interministériel pour discuter de la gestion des inondations et du Plan de Gestion Intégrée des Inondations au Sénégal (PGIIS). Lors de cette réunion, des discours ont été prononcés mettant en avant l’engagement et la résolution à mettre en œuvre un plan d’action efficace pour faire face à ce défi majeur.

      Conseil interministériel sur l'inondation/PGIIS: discours de la résolution...

      Nomination de Monsieur Elimane POUYE en tant que Directeur Général de la SOGEPA SN

      La Société de Gestion et d’Exploitation du Patrimoine Bâti de l’État (SOGEPA SN) accueille un nouveau leader en la personne de Monsieur Elimane POUYE, récemment nommé Directeur Général. Cette décision, prise avec discernement, marque une étape significative dans la gestion et la valorisation du patrimoine immobilier de l’État.

      Monsieur Elimane POUYE, Inspecteur des Impôts et des Domaines, apporte avec lui une expertise approfondie et une expérience éprouvée dans le domaine de la gestion patrimoniale. Son parcours professionnel exemplaire et sa connaissance pointue des mécanismes fiscaux en font un choix éclairé pour diriger les destinées de la SOGEPA SN.

      Sa nomination en tant que Directeur Général témoigne de la volonté gouvernementale de rationaliser et d’optimiser la gestion du patrimoine immobilier de l’État. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son dévouement, ainsi que la confiance en sa capacité à dynamiser cette société stratégique pour le développement économique et social du pays.

      En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Elimane POUYE s’engage à mettre en œuvre une gestion transparente et efficace du patrimoine immobilier de l’État. Sa vision stratégique et son leadership éclairé seront des atouts précieux pour valoriser les actifs immobiliers de l’État et en optimiser l’exploitation dans l’intérêt général.

      Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une SOGEPA SN plus performante et plus transparente, contribuant ainsi à la mobilisation des ressources financières pour le développement du pays. Nous sommes convaincus que Monsieur Elimane POUYE saura relever ce défi avec détermination et compétence, et contribuer ainsi à l’amélioration du patrimoine et à la création de valeur pour l’État et pour la nation dans son ensemble.

      En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Elimane POUYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions en tant que Directeur Général de la SOGEPA SN. Puissent ses actions contribuer à l’essor économique et à la valorisation du patrimoine immobilier de notre pays, pour le bien-être et la prospérité de tous.

      Nomination de Monsieur Habib SY en tant que Président du Conseil d’Administration de la Société Nationale d’Électricité (SENELEC)

      Une nouvelle page se tourne pour la Société Nationale d’Électricité (SENELEC) avec la nomination de Monsieur Habib SY au poste de Président du Conseil d’Administration. Cette décision, prise avec discernement, marque une étape cruciale dans la gestion et la direction de cette entreprise stratégique pour le développement énergétique du pays.

      Monsieur Habib SY, Commissaire aux Enquêtes Économiques à la retraite, apporte avec lui une riche expérience et une expertise avérée dans le domaine économique. Sa carrière exemplaire et son dévouement au service de l’intérêt général font de lui un choix judicieux pour diriger les destinées de la SENELEC.

      Sa nomination en tant que Président du Conseil d’Administration témoigne de la volonté gouvernementale de dynamiser et de moderniser le secteur de l’électricité. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son engagement, ainsi que la confiance en sa capacité à piloter cette entreprise stratégique vers de nouveaux horizons de performance et de développement.

      En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Habib SY s’engage à œuvrer pour renforcer la compétitivité et la fiabilité des services de la SENELEC. Sa vision stratégique et son leadership éclairé seront des atouts précieux pour répondre aux défis du secteur de l’électricité et pour garantir un approvisionnement énergétique stable et durable pour le pays.

      Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une SENELEC plus efficace et plus performante, capable de répondre aux besoins croissants en électricité dans un contexte de développement économique et social. Nous sommes convaincus que Monsieur Habib SY saura relever ce défi avec détermination et compétence, et contribuer ainsi à l’amélioration du quotidien des citoyens et au développement économique du pays.

      En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Habib SY et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions en tant que Président du Conseil d’Administration de la SENELEC. Puissent ses actions contribuer à l’avènement d’une ère nouvelle pour la fourniture d’électricité au Sénégal, pour le bien-être et la prospérité de tous.

      Nomination de Monsieur Amadou Mbaye GUISSE en tant qu’Agent Judiciaire de l’État

      Une nouvelle étape est franchie dans l’administration de la justice avec la nomination de Monsieur Amadou Mbaye GUISSE au poste d’Agent Judiciaire de l’État. Cette décision, prise avec discernement, vise à garantir la continuité et l’efficacité des services de l’État dans le domaine juridique.

      Monsieur Amadou Mbaye GUISSE, magistrat expérimenté, apporte avec lui une expertise approfondie et une connaissance pointue du système judiciaire. Son parcours exemplaire dans le domaine de la magistrature fait de lui un candidat idéal pour assumer les responsabilités stratégiques liées à la défense des intérêts de l’État devant les juridictions.

      Sa nomination en tant qu’Agent Judiciaire de l’État témoigne de la volonté gouvernementale de garantir une représentation efficace des intérêts de l’État dans les affaires judiciaires. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son intégrité, ainsi que la confiance en sa capacité à défendre les intérêts de l’État avec impartialité et fermeté.

      En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Amadou Mbaye GUISSE s’engage à assurer une représentation juridique de qualité pour l’État, en conformité avec les principes de justice et d’équité. Son expérience en matière de droit et sa rigueur professionnelle seront des atouts essentiels pour défendre efficacement les intérêts de l’État dans les procédures judiciaires.

      Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une administration judiciaire plus transparente et plus efficiente, au service de l’intérêt général. Nous sommes convaincus que Monsieur Amadou Mbaye GUISSE saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à garantir la primauté du droit et la protection des intérêts de l’État.

      En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Amadou Mbaye GUISSE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions en tant qu’Agent Judiciaire de l’État. Puissent ses actions renforcer la confiance des citoyens dans l’administration de la justice et consolider l’État de droit dans notre pays.

      Nomination de Madame Aïssatou MBODJ en tant que Déléguée Générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ)

      Une nouvelle impulsion est donnée à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ) avec la nomination de Madame Aïssatou MBODJ au poste de Déléguée Générale. Cette décision, prise avec clairvoyance, vise à renforcer et à dynamiser les initiatives en faveur de l’autonomisation économique des femmes et des jeunes entrepreneurs.

      Madame Aïssatou MBODJ, Docteur en Gouvernance Territoriale, apporte avec elle une expertise pointue et une profonde conviction en faveur du développement socio-économique. Son parcours académique remarquable et son engagement dans la gouvernance territoriale font d’elle une candidate idéale pour mener à bien les missions stratégiques de la DER/FJ.

      Sa nomination en tant que Déléguée Générale témoigne de la volonté gouvernementale de placer l’entrepreneuriat des femmes et des jeunes au cœur des priorités nationales en matière de développement économique et social. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son dévouement, ainsi que la confiance en sa capacité à piloter avec succès les programmes visant à promouvoir l’entreprenariat chez ces groupes cibles.

      En assumant ses nouvelles fonctions, Madame Aïssatou MBODJ s’engage à poursuivre et à renforcer les actions entreprises par la DER/FJ, en collaboration avec les différents partenaires et acteurs du développement. Son leadership éclairé, sa vision stratégique et sa capacité à mobiliser les ressources seront des atouts essentiels pour garantir le succès et l’impact positif des initiatives de la DER/FJ.

      Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une augmentation significative du nombre d’entreprises créées et gérées par les femmes et les jeunes, contribuant ainsi à la création d’emplois et à la réduction de la pauvreté dans notre pays. Nous sommes convaincus que Madame Aïssatou MBODJ saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à réaliser les objectifs ambitieux de la DER/FJ.

      En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Madame Aïssatou MBODJ et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions en tant que Déléguée Générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes. Puissent ses actions inspirer et encourager un élan entrepreneurial chez les femmes et les jeunes, pour un développement économique inclusif et durable.

      Nomination de Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE en tant que Secrétaire Général du Ministère du Tourisme et de l’Artisanat

      Une nouvelle ère s’annonce pour le Ministère du Tourisme et de l’Artisanat avec la nomination de Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE au poste de Secrétaire Général. Cette décision, prise avec sagacité par les autorités compétentes, marque une étape décisive dans la promotion du tourisme et de l’artisanat comme leviers de développement économique et culturel.

      Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE, Administrateur Civil Principal, apporte avec lui une expertise avérée et une passion indéfectible pour la promotion du tourisme et de l’artisanat. Son parcours distingué et son engagement sans faille en faveur de la valorisation du patrimoine culturel et de la diversité artisanale en font un acteur essentiel pour relever les défis qui attendent notre secteur du tourisme et de l’artisanat.

      Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer le tourisme et l’artisanat au cœur des stratégies de développement économique et culturel. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son dévouement, ainsi que la confiance en sa capacité à impulser les réformes nécessaires pour dynamiser ces secteurs clés de notre économie.

      En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE s’engage à mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en étroite collaboration avec les acteurs du tourisme, de l’artisanat et du développement local. Son leadership éclairé, sa vision stratégique et son aptitude à mobiliser les énergies seront des atouts majeurs pour promouvoir le tourisme durable, soutenir les artisans et valoriser notre patrimoine culturel.

      Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’un développement touristique harmonieux et d’une promotion accrue de l’artisanat local, contribuant ainsi à la création d’emplois et à la croissance économique dans notre pays. Nous sommes convaincus que Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE saura relever ce défi avec détermination et passion, et contribuer ainsi à bâtir un avenir plus rayonnant pour notre secteur du tourisme et de l’artisanat.

      En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service du tourisme et de l’artisanat. Puissent ses actions inspirer et enrichir notre secteur du tourisme et de l’artisanat, pour le bien-être et l’épanouissement de tous.

      Nomination de Monsieur Gorgui NDIAYE en tant que Secrétaire Général du Ministère de la Microfinance, de l’Économie Sociale et Solidaire

      Le Ministère de la Microfinance, de l’Économie Sociale et Solidaire se dote d’un nouveau pilier en la personne de Monsieur Gorgui NDIAYE, récemment nommé Secrétaire Général. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, marque une étape cruciale dans la promotion de l’économie inclusive et solidaire dans notre pays.

      Monsieur Gorgui NDIAYE, Administrateur Civil Principal, apporte avec lui une solide expérience et une profonde conviction en faveur du développement économique durable et équitable. Son parcours remarquable et son engagement sans faille dans le secteur public font de lui un acteur clé pour relever les défis socio-économiques auxquels notre société est confrontée.

      Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer la microfinance et l’économie sociale et solidaire au cœur des politiques de développement. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son dévouement, ainsi que la confiance en sa capacité à piloter les initiatives visant à renforcer l’inclusion financière et sociale dans notre pays.

      En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Gorgui NDIAYE s’engage à mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en collaboration étroite avec les acteurs du secteur et les organisations de la société civile. Son leadership éclairé, sa vision stratégique et sa capacité à mobiliser les ressources seront des atouts essentiels pour promouvoir l’entrepreneuriat social, soutenir les micro-entreprises et renforcer la résilience des populations les plus vulnérables.

      Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une économie plus inclusive et solidaire, où chaque individu a la possibilité de participer pleinement à la vie économique et sociale. Nous sommes convaincus que Monsieur Gorgui NDIAYE saura relever ce défi avec détermination et engagement, contribuant ainsi à bâtir un avenir plus prospère et plus équitable pour tous.

      En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Gorgui NDIAYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de la microfinance, de l’économie sociale et solidaire. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement notre société, pour le bien-être et la prospérité de tous.

      Nomination de Monsieur Ousmane MBAYE en tant que Secrétaire Général du Ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage

      Le Ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage accueille un nouveau leader en la personne de Monsieur Ousmane MBAYE, désormais nommé Secrétaire Général. Cette décision, prise avec éclairage par les instances dirigeantes, marque une étape capitale dans la promotion de l’agriculture et de la sécurité alimentaire dans notre nation.

      Monsieur Ousmane MBAYE, Commissaire Principal aux Enquêtes Économiques, apporte avec lui une expertise reconnue et un engagement indéfectible en faveur du développement agricole et de la souveraineté alimentaire. Son parcours remarquable et sa contribution significative à l’analyse économique dans le domaine agricole font de lui un atout majeur pour relever les défis complexes qui se posent à notre secteur agricole.

      Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer l’agriculture et la sécurité alimentaire au cœur des préoccupations nationales. C’est également la reconnaissance de ses compétences et de son mérite, ainsi que la confiance en sa capacité à impulser les réformes nécessaires pour moderniser et dynamiser ce secteur vital pour notre économie.

      En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Ousmane MBAYE s’engage à mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en collaboration étroite avec l’ensemble des acteurs concernés. Son leadership éclairé, sa vision stratégique et sa capacité à mobiliser les énergies seront des atouts essentiels pour stimuler la productivité agricole, promouvoir l’accès à une alimentation de qualité et renforcer la résilience de nos agriculteurs face aux défis climatiques et économiques.

      Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une agriculture plus productive, plus durable et plus inclusive, ainsi que d’une sécurité alimentaire renforcée pour l’ensemble de la population. Nous sommes convaincus que Monsieur Ousmane MBAYE saura relever ce défi avec détermination et engagement, contribuant ainsi à bâtir un avenir meilleur pour notre nation.

      En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Ousmane MBAYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de l’élevage. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement notre secteur agricole, pour le bien-être et la prospérité de tous.

      Nomination de Monsieur Moussa DIAGNE en tant que Secrétaire Général du Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture

      Le Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture accueille un nouveau leader en la personne de Monsieur Moussa DIAGNE, récemment nommé Secrétaire Général. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, marque une étape importante dans la promotion de la jeunesse, du sport et de la culture dans notre pays.

      Monsieur Moussa DIAGNE, Administrateur Civil, apporte avec lui une expertise reconnue et une passion indéfectible pour la promotion de la jeunesse, du sport et de la culture. Son engagement en faveur du développement socio-culturel et de l’épanouissement des jeunes en font un acteur clé pour relever les défis qui attendent notre société dans ces domaines cruciaux.

      Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer la jeunesse, le sport et la culture au cœur des priorités nationales. À travers cette nomination, c’est aussi la reconnaissance des compétences et du mérite de Monsieur DIAGNE, ainsi que la confiance en sa capacité à conduire les politiques ambitieuses qui contribueront à l’épanouissement de la jeunesse et à la promotion de la diversité culturelle de notre pays.

      En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Moussa DIAGNE s’engage à mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en collaboration étroite avec les différentes parties prenantes. Son leadership éclairé, sa capacité d’innovation et sa vision inclusive seront des atouts précieux pour dynamiser les secteurs de la jeunesse, du sport et de la culture, et pour favoriser leur contribution au développement global de notre société.

      Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une jeunesse plus engagée, d’une pratique sportive généralisée et d’une promotion accrue de la richesse culturelle de notre pays. Nous sommes convaincus que Monsieur Moussa DIAGNE saura relever ce défi avec détermination et passion, et contribuer ainsi à construire un avenir meilleur pour notre jeunesse et pour notre société dans son ensemble.

      En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Moussa DIAGNE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de la jeunesse, du sport et de la culture. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement la vie de nos concitoyens, pour le bien-être et la prospérité de tous.

      Nomination de Madame Thioro Mbaye SALL en tant que Secrétaire Générale du Ministère de la Fonction Publique et de la Réforme du Service Public

      Une nouvelle page se tourne pour le Ministère de la Fonction Publique et de la Réforme du Service Public avec la nomination de Madame Thioro Mbaye SALL au poste de Secrétaire Générale. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, marque une étape cruciale dans la modernisation et l’efficacité de l’administration publique.

      Madame Thioro Mbaye SALL, Inspecteur du Travail et de la Sécurité Sociale de Classe Exceptionnelle, incarne l’excellence et la détermination au service de l’intérêt général. Son parcours remarquable et son engagement sans faille en faveur de la promotion de la fonction publique et de l’amélioration du service rendu aux citoyens en font une actrice incontournable dans le paysage administratif national.

      Sa nomination en tant que Secrétaire Générale témoigne de la volonté gouvernementale de placer la réforme de l’administration publique au cœur des priorités nationales. À travers cette nomination, c’est aussi la reconnaissance des compétences et du mérite de Madame SALL, ainsi que la confiance en sa capacité à conduire les réformes nécessaires pour moderniser et professionnaliser la fonction publique.

      En assumant ses nouvelles fonctions, Madame Thioro Mbaye SALL s’engage à mettre en œuvre les politiques de réforme de la fonction publique définies par le Ministère, en collaboration étroite avec l’ensemble des acteurs concernés. Son leadership éclairé, sa rigueur intellectuelle et sa vision stratégique seront des atouts précieux pour faire progresser la qualité des services publics et renforcer la confiance des citoyens dans l’action publique.

      Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une administration publique plus efficace, plus transparente et plus à l’écoute des besoins des citoyens. Nous sommes convaincus que Madame Thioro Mbaye SALL saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à bâtir un État moderne et performant, au service de tous.

      En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Madame Thioro Mbaye SALL et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de la fonction publique et de la réforme du service public. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement l’administration de notre cher pays, pour le bien-être et la prospérité de tous.

      Nomination de Monsieur Serigne MBAYE en tant que Secrétaire Général du Ministère de la Santé et de l’Action Sociale

      Le Ministère de la Santé et de l’Action Sociale accueille un nouveau pilier en la personne de Monsieur Serigne MBAYE, récemment nommé Secrétaire Général. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, reflète la volonté gouvernementale de renforcer les politiques de santé publique et d’action sociale pour le bien-être de tous.

      Monsieur Serigne MBAYE, Administrateur Civil Principal de Classe Exceptionnelle, apporte avec lui une expertise reconnue et une expérience riche dans le domaine de l’administration publique. Son engagement sans faille en faveur de la promotion de la santé et de l’amélioration des conditions de vie des populations en font un acteur clé pour relever les défis complexes auxquels est confronté notre système de santé.

      Sa nomination en tant que Secrétaire Général témoigne de la volonté gouvernementale de placer la santé et le bien-être au cœur des priorités nationales. À travers cette nomination, c’est aussi la reconnaissance des compétences et du mérite de Monsieur MBAYE, ainsi que la confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à l’amélioration de la santé publique et de l’action sociale dans notre pays.

      En assumant ses nouvelles fonctions, Monsieur Serigne MBAYE s’engage à œuvrer pour la mise en œuvre des politiques de santé et d’action sociale définies par le Ministère, en collaboration étroite avec l’ensemble des parties prenantes. Son leadership éclairé, sa rigueur intellectuelle et sa vision stratégique seront des atouts précieux pour faire face aux défis de santé publique et sociaux qui se posent à notre société.

      Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une santé accessible à tous, d’une action sociale renforcée et d’une amélioration significative du bien-être des populations les plus vulnérables. Nous sommes convaincus que Monsieur Serigne MBAYE saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à bâtir un avenir meilleur pour notre pays.

      En cette occasion importante, nous adressons nos plus sincères félicitations à Monsieur Serigne MBAYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de la santé et de l’action sociale. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement le secteur de la santé et le tissu social de notre cher pays, pour le bien-être et la prospérité de tous.

      Nomination de Madame Khady Diop MBODJI en tant que Secrétaire Générale du Ministère de l’Éducation Nationale

      Une nouvelle ère s’ouvre pour l’Éducation nationale avec la nomination de Madame Khady Diop MBODJI au poste de Secrétaire Générale du Ministère. Cette décision, prise avec discernement par les autorités compétentes, met en lumière le parcours exemplaire et l’engagement indéfectible de Madame MBODJI en faveur de l’éducation et du développement humain.

      Madame Khady Diop MBODJI, Inspecteur Principal de l’Enseignement Élémentaire de Classe Exceptionnelle, incarne l’excellence et la détermination au service de la jeunesse et de l’éducation. Son expertise dans le domaine de l’enseignement, son engagement envers l’amélioration de la qualité de l’éducation et sa vision progressiste en font une actrice incontournable dans le paysage éducatif national.

      Sa nomination en tant que Secrétaire Générale témoigne de la volonté gouvernementale de placer l’éducation au cœur des priorités nationales et de promouvoir un système éducatif plus inclusif, plus équitable et plus performant. À travers cette nomination, c’est aussi la reconnaissance des compétences et du mérite de Madame MBODJI, ainsi que la confiance en sa capacité à relever les défis complexes qui attendent le secteur de l’éducation.

      En assumant ses nouvelles fonctions, Madame Khady Diop MBODJI s’engage à mettre en œuvre les politiques éducatives définies par le Ministère, en concertation avec l’ensemble des acteurs concernés. Son leadership éclairé, sa rigueur intellectuelle et sa sensibilité aux enjeux sociaux seront des atouts précieux pour construire un système éducatif plus juste et plus performant, capable de former les citoyens de demain dans un monde en constante évolution.

      Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une éducation de qualité accessible à tous, d’une école inclusive et émancipatrice, à même de répondre aux besoins et aux aspirations de chaque enfant et de chaque jeune. Nous sommes convaincus que Madame Khady Diop MBODJI saura relever ce défi avec détermination et engagement, et contribuer ainsi à bâtir un avenir meilleur pour notre pays.

      En cette occasion historique, nous adressons nos plus sincères félicitations à Madame Khady Diop MBODJI et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nobles missions au service de l’éducation nationale. Puissent ses actions inspirer et transformer positivement le paysage éducatif de notre cher pays, pour le bien-être et l’épanouissement de toute sa jeunesse.

      Nomination de Madame Mame Sané NDIAYE en tant que Secrétaire Général du Ministère de l’Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement des Territoires

      Le Ministère de l’Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement des Territoires accueille une nouvelle figure de proue en la personne de Madame Mame Sané NDIAYE, récemment nommée Secrétaire Général. Cette nomination, fruit d’une décision éclairée des autorités gouvernementales, reflète la volonté de dynamiser et de moderniser les politiques liées à l’urbanisme et à l’aménagement du territoire.

      Madame Mame Sané NDIAYE, une administratrice civile reconnue pour ses compétences et son dévouement, se voit ainsi confier une mission de haute importance au sein de l’appareil étatique. Son parcours exemplaire et son engagement sans faille en font une alliée de choix pour relever les défis complexes auxquels notre pays est confronté en matière d’urbanisme et de développement territorial.

      Dotée d’une solide expérience dans le domaine de l’administration publique, Madame NDIAYE apporte avec elle une vision novatrice et pragmatique, fondée sur le dialogue et la concertation avec l’ensemble des parties prenantes. Sa nomination témoigne de la volonté gouvernementale de promouvoir une gestion efficiente et transparente des affaires publiques, au service du bien-être des populations et de la construction d’un cadre de vie harmonieux.

      En sa qualité de Secrétaire Général, Madame Mame Sané NDIAYE aura pour mission de coordonner et de mettre en œuvre les politiques définies par le Ministère, en collaboration étroite avec les différents acteurs impliqués dans le domaine de l’urbanisme et de l’aménagement des territoires. Son leadership éclairé et sa capacité à fédérer les énergies seront des atouts précieux pour conduire les réformes nécessaires et insuffler une nouvelle dynamique à l’action publique dans ce secteur stratégique.

      Sa nomination suscite légitimement l’espoir d’une gestion plus efficace et plus inclusive de nos villes et de nos territoires, dans le respect des principes de durabilité et d’équité. Nous sommes convaincus que Madame Mame Sané NDIAYE saura relever ce défi avec brio, en mettant son expertise et sa détermination au service de l’intérêt général.

      En cette heureuse occasion, nous adressons nos sincères félicitations à Madame Mame Sané NDIAYE et lui exprimons notre plein soutien dans l’accomplissement de ses nouvelles responsabilités. Puissent ses efforts contribuer à faire de notre pays un espace urbain et territorial plus inclusif, plus résilient et plus prospère pour tous.

      Nomination de Monsieur Abdoulaye GUEYE en tant que Secrétaire Général du Ministère du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions

      Le Ministère du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions vient de bénéficier d’un nouveau souffle avec la nomination de Monsieur Abdoulaye GUEYE au poste de Secrétaire Général. Cette décision, prise par les plus hautes instances gouvernementales, vient consacrer une carrière exceptionnelle au service de la planification et du développement.

      Monsieur Abdoulaye GUEYE, un cadre de grande valeur, a déjà fait ses preuves en tant que Conseiller en Planification de classe exceptionnelle, où il a démontré un engagement sans faille et une expertise incontestable. Son parcours professionnel témoigne d’une passion pour l’amélioration des conditions de travail, la promotion de l’emploi et le renforcement des relations institutionnelles.

      Sa nomination au poste de Secrétaire Général est une reconnaissance méritée de ses compétences et de sa capacité à mener à bien des missions d’une importance capitale. En assumant cette nouvelle responsabilité, Monsieur GUEYE aura pour mission de mettre en œuvre les politiques et les stratégies du Ministère, en collaboration étroite avec l’ensemble des acteurs concernés.

      Sa vision et son leadership seront des atouts précieux pour relever les défis actuels et futurs liés au monde du travail, dans un contexte marqué par des mutations rapides et des enjeux sociaux majeurs. Son expérience et sa détermination sont des gages de succès pour atteindre les objectifs ambitieux fixés par le Ministère.

      En tant que Secrétaire Général, Monsieur Abdoulaye GUEYE incarne l’espoir d’un avenir meilleur pour tous les travailleurs, les chercheurs d’emploi et les institutions partenaires. Sa nomination suscite ainsi l’enthousiasme et la confiance de l’ensemble de la communauté nationale, qui voit en lui un leader capable de conduire le Ministère vers de nouveaux horizons de progrès et de réussite.

      Nous lui adressons nos plus chaleureuses félicitations et lui souhaitons plein succès dans ses nouvelles fonctions, convaincus qu’il saura faire honneur à la confiance placée en lui et contribuer de manière significative à l’avancement de notre pays dans le domaine crucial du travail, de l’emploi et des relations institutionnelles.

      Ndiogou Diouf nommé Secrétaire général du Ministère de la Famille et des Solidarités

      Une nouvelle figure éminente rejoint les rangs du Ministère de la Famille et des Solidarités avec la nomination de Monsieur Ndiogou Diouf, Economiste de formation. Son matricule de solde est le numéro 653 779/E. Cette nomination reflète l’engagement continu du gouvernement envers le bien-être social et la solidarité nationale.

      Fort de son expertise en économie, Monsieur Diouf apporte une perspective nouvelle et des compétences pointues à un ministère chargé de promouvoir la cohésion sociale, de soutenir les familles et de renforcer les mécanismes de solidarité nationale.

      Sa mission consistera à élaborer et à mettre en œuvre des politiques et des programmes visant à améliorer la qualité de vie des familles, à promouvoir l’égalité des chances et à lutter contre toutes les formes d’exclusion sociale. Il travaillera en étroite collaboration avec les différentes parties prenantes, y compris les organisations de la société civile et les institutions internationales, pour relever les défis complexes auxquels sont confrontés les familles sénégalaises.

      Le Ministère de la Famille et des Solidarités exprime sa confiance en Monsieur Ndiogou Diouf pour mener à bien cette mission cruciale. Sa nomination témoigne de la volonté du gouvernement de placer les questions sociales au cœur de son action et de garantir le bien-être de tous les citoyens, en particulier des plus vulnérables.

      Monsieur Diouf est prêt à relever ce défi avec détermination et engagement, et à contribuer à la construction d’une société sénégalaise plus juste, plus solidaire et plus inclusive.

      Mamadou Bassirou Ndiaye nommé Secrétaire général du Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires

      Le pays avance dans sa quête d’une gestion efficace et durable de ses ressources maritimes avec la nomination de Monsieur Mamadou Bassirou Ndiaye, Magistrat, au poste de Secrétaire général du Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires. Son matricule de solde est le numéro 513 972/C.

      Cette nomination revêt une importance particulière dans un pays où les secteurs de la pêche et des infrastructures maritimes jouent un rôle crucial dans l’économie nationale, contribuant à la sécurité alimentaire, à la création d’emplois et à la croissance économique.

      Monsieur Ndiaye apporte avec lui une solide expérience dans le domaine juridique, qui sera précieuse pour assurer une gouvernance efficace et transparente dans le secteur des pêches et des infrastructures maritimes. Sa mission consistera à travailler en étroite collaboration avec les différentes parties prenantes pour élaborer et mettre en œuvre des politiques et des programmes visant à promouvoir une exploitation durable des ressources marines, à moderniser les infrastructures portuaires et à renforcer la sécurité maritime.

      Le Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires exprime sa confiance en Monsieur Mamadou Bassirou Ndiaye pour relever les défis complexes auxquels le secteur est confronté et pour contribuer à réaliser les objectifs nationaux en matière de développement maritime.

      La nomination de Monsieur Ndiaye témoigne de l’engagement continu du gouvernement envers la bonne gouvernance, la préservation des ressources marines et le développement durable du secteur maritime sénégalais.

      Fary Seye désigné Secrétaire général du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation

      Dans le cadre des récentes nominations lors du Conseil des ministres du 15 mai 2024, Monsieur Fary Seye, Administrateur civil principal, s’est vu confier le poste de Secrétaire général du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Son matricule de solde est le numéro 510 493/F.

      Cette nomination témoigne de la volonté du gouvernement sénégalais de renforcer le secteur de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, des domaines cruciaux pour le développement socio-économique du pays. Fort de son expérience en administration civile, Monsieur Seye apporte une expertise précieuse pour la coordination des activités du ministère et la mise en œuvre de politiques visant à promouvoir l’excellence académique et la recherche scientifique.

      Sa mission consistera notamment à œuvrer pour l’amélioration de la qualité de l’enseignement supérieur, la promotion de la recherche scientifique et technologique, ainsi que le développement de l’innovation et de l’entrepreneuriat dans le domaine de l’éducation. Il devra également veiller à renforcer les liens entre les universités, les centres de recherche et le secteur privé, afin de favoriser la valorisation des résultats de la recherche et leur transfert vers le marché.

      Le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation exprime sa confiance en Monsieur Fary Seye pour mener à bien cette mission stratégique et contribuer à l’avancement du système éducatif et scientifique du Sénégal. Sa nomination reflète l’engagement continu du gouvernement à investir dans l’éducation et l’innovation en tant que leviers essentiels pour la croissance et le progrès du pays.

      Makhtar Lakh nommé Secrétaire général du Ministère de l’Industrie et du Commerce

      Le paysage ministériel sénégalais voit l’arrivée de Monsieur Makhtar Lakh, Commissaire aux enquêtes économiques principal, au poste de Secrétaire général du Ministère de l’Industrie et du Commerce. Son matricule de solde est le numéro 604 656/E.

      Cette nomination intervient dans un contexte où le gouvernement s’efforce de dynamiser le secteur industriel et commercial pour stimuler la croissance économique et renforcer la compétitivité du pays sur les marchés nationaux et internationaux.

      Fort de son expérience en enquêtes économiques, Monsieur Lakh apporte une expertise précieuse pour la coordination des activités du ministère, notamment en matière de politiques industrielles et commerciales. Sa mission consistera à soutenir le développement des industries locales, à promouvoir les exportations, à faciliter l’accès aux marchés pour les entreprises sénégalaises, et à favoriser un environnement propice aux investissements dans le secteur industriel et commercial.

      Le Ministère de l’Industrie et du Commerce exprime sa confiance en Monsieur Makhtar Lakh pour relever les défis à venir et mettre en œuvre des stratégies innovantes visant à stimuler la croissance économique, à créer des emplois et à promouvoir le développement durable. Sa nomination illustre l’engagement continu du gouvernement à faire de l’industrie et du commerce des moteurs essentiels de la prospérité et du progrès pour le peuple sénégalais.

      Baboucar Mboundor Ngom nommé Secrétaire général du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement

      Lors du conseil des ministres du 15 mai 2024, Monsieur Baboucar Mboundor Ngom a été désigné pour occuper le poste stratégique de Secrétaire général du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement. Administrateur civil de formation, il est détenteur du matricule de solde numéro 661 345/C.

      Cette nomination intervient dans un contexte crucial où la gestion durable de l’eau et l’amélioration des infrastructures d’assainissement constituent des priorités majeures pour le gouvernement sénégalais.

      Monsieur Ngom apporte avec lui une expertise avérée dans le domaine de l’administration publique, ainsi qu’une connaissance approfondie des enjeux liés à l’hydraulique et à l’assainissement. Sa capacité à élaborer et à mettre en œuvre des politiques efficaces dans ces domaines sera un atout essentiel pour le Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement.

      Sa mission consistera notamment à coordonner les différentes actions visant à garantir un accès durable à l’eau potable pour tous les citoyens sénégalais, ainsi qu’à améliorer les infrastructures d’assainissement pour préserver la santé publique et l’environnement.

      Le Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement se félicite de la nomination de Monsieur Baboucar Mboundor Ngom à la tête de sa direction générale et exprime sa confiance en sa capacité à relever les défis du secteur. Sa nomination témoigne de l’engagement continu du gouvernement sénégalais en faveur de l’amélioration des conditions de vie des populations à travers une gestion efficiente des ressources en eau et des infrastructures d’assainissement.

      Fatou Bintou Ndiaye nommée Secrétaire général du Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique

      Lors du Conseil des ministres du 15 mai 2024, Madame Fatou Bintou Ndiaye a été nommée Secrétaire général du Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique. Magistrat de profession, elle détient le matricule de solde numéro 616 187/K.

      Cette nomination intervient à un moment crucial où les domaines de la communication, des télécommunications et du numérique jouent un rôle de plus en plus vital dans le développement socio-économique du Sénégal. Madame Ndiaye apporte avec elle une vaste expérience dans le domaine juridique ainsi qu’une connaissance approfondie des enjeux liés aux technologies de l’information et de la communication (TIC).

      Sa mission consistera notamment à coordonner les activités du ministère et à mettre en œuvre des politiques visant à promouvoir l’accès aux communications et aux technologies numériques à travers le pays. Elle devra également veiller à l’amélioration de la gouvernance dans le secteur des télécommunications et à la protection des droits des utilisateurs.

      Le Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique se réjouit de la nomination de Madame Fatou Bintou Ndiaye à ce poste stratégique et exprime sa confiance en sa capacité à relever les défis du secteur. Sa nomination témoigne de l’engagement continu du gouvernement sénégalais en faveur de la promotion des technologies de l’information et de la communication pour un développement inclusif et durable.

      Mamadou Camara Fall nommé Secrétaire général du Ministère de la Formation Professionnelle

      Lors du dernier conseil des ministres du 15 mai 2024, Monsieur Mamadou Camara Fall a été désigné pour occuper le poste stratégique de Secrétaire général du Ministère de la Formation Professionnelle. Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale de profession, il est titulaire du matricule de solde numéro 515 710/C.

      Cette nomination revêt une importance particulière dans un contexte où le renforcement des compétences professionnelles et l’adaptation aux évolutions du marché du travail sont des enjeux cruciaux pour le développement économique et social du Sénégal.

      Fort de son expérience en tant qu’Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale, Monsieur Fall apporte une expertise pointue dans le domaine des relations professionnelles, de la législation du travail et de la sécurité au travail. Sa connaissance approfondie des questions liées à l’emploi et à la formation sera un atout précieux pour le Ministère de la Formation Professionnelle.

      Sa mission consistera notamment à élaborer et à mettre en œuvre des politiques visant à améliorer la qualité et la pertinence des formations professionnelles, à renforcer les liens entre les centres de formation et les entreprises, ainsi qu’à favoriser l’insertion professionnelle des jeunes et des demandeurs d’emploi.

      Le Ministère de la Formation Professionnelle se réjouit de l’arrivée de Monsieur Mamadou Camara Fall à la tête de sa direction générale et exprime sa confiance en sa capacité à relever les défis du secteur de la formation professionnelle. Sa nomination témoigne de l’engagement du gouvernement sénégalais en faveur du développement des compétences et de l’employabilité de la main-d’œuvre nationale, dans le cadre de la vision d’un Sénégal émergent et prospère.

      Fodé Fall nommé Secrétaire général du Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique

      Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Fodé Fall a été désigné pour occuper le poste de Secrétaire général du Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique. Administrateur civil de formation, il dispose du matricule de solde numéro 616 290/R.

      Cette nomination intervient dans un contexte où la préservation de l’environnement et la transition écologique sont au cœur des préoccupations mondiales. Le Sénégal, engagé dans une dynamique de développement durable, confie à Monsieur Fall la responsabilité de coordonner les actions visant à protéger l’environnement et à promouvoir des pratiques écologiquement responsables.

      En tant qu’Administrateur civil, Monsieur Fall apporte une expertise administrative précieuse qui sera mise au service de la mise en œuvre des politiques environnementales du pays. Sa connaissance des rouages de l’administration publique lui permettra d’assurer une gestion efficace des ressources et des programmes du Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique.

      Sa nomination reflète l’importance accordée par le gouvernement sénégalais à la protection de l’environnement et à la lutte contre les changements climatiques. Monsieur Fall aura pour mission de superviser la mise en œuvre des politiques de préservation de la biodiversité, de lutte contre la déforestation, de gestion durable des ressources naturelles, ainsi que de promotion des énergies renouvelables.

      Le Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique se félicite de l’arrivée de Monsieur Fodé Fall à la tête de sa direction générale et exprime sa confiance en sa capacité à relever les défis environnementaux auxquels le pays est confronté. Sa nomination marque une étape importante dans les efforts du gouvernement sénégalais pour construire un avenir plus durable et résilient pour tous.

      Communique du conseil des ministres du Mercredi 15 Mai 2024

      Le Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 15 mai 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres, au Palais de la République.

      A l’entame de sa communication, le Président de la République a mis l’accent sur le secteur de l’artisanat qui est un des moteurs de la vie économique et sociale du Sénégal.

      Le Chef de l’Etat a indiqué que l’artisanat contribue au développement de l’apprentissage des jeunes et à la vulgarisation d’un savoir-faire national. Dès lors, le Président de la République a demandé au Gouvernement d’accélérer les réformes juridiques et financières nécessaires pour inscrire l’artisanat dans la dynamique d’une croissance économique endogène et d’un entreprenariat national porteur de progrès social.

      Pour le Président de la République, les politiques de l’Etat dans le secteur de l’artisanat et la stratégie industrielle qui en découlent devront s’inscrire harmonieusement dans le PROJET d’un Sénégal souverain, juste et prospère.

      D’ailleurs, le Chef de l’Etat a informé le Conseil qu’il recevra, prochainement, avec le Premier Ministre et le Ministre en charge de l’artisanat, les présidents des quatorze (14) Chambres des métiers du Sénégal.

      Evoquant la question de la valorisation économique et sociale de notre patrimoine culturel, le Chef de l’Etat a relevé que celle-ci passe d’abord par la promotion de nos langues nationales, nos valeurs culturelles, ainsi que la création littéraire et artistique.

      Le Président de la République a d’ailleurs magnifié l’apport de tous nos artistes, hommes et femmes de culture dans la stabilité sociale et le rayonnement international du Sénégal.

      Le Chef de l’Etat, premier Protecteur des Arts et des Lettres du Sénégal au vu de la Constitution, a ainsi demandé au Gouvernement d’accorder une attention particulière aux aspirations des acteurs du secteur de la culture dans toutes ses composantes mais également de veiller à la capitalisation et au développement de l’expression littéraire, culturelle et artistique sur l’étendue du territoire national.

      Il a invité à la définition consensuelle avec les acteurs, d’un agenda culturel national cohérent et maitrisé capable de positionner le Sénégal en un véritable hub culturel international. 

      Le Président de la République est aussi revenu sur l’impératif de sauvegarder les bâtiments, édifices et sites historiques sur l’ensemble du territoire national par la mise en place d’un nouveau dispositif de préservation du Patrimoine historique dont le classement doit être actualisé et vulgarisé.

      Au titre de son agenda diplomatique, le Chef de l’Etat a rappelé la visite d’amitié et de travail que Son Excellence Monsieur Paul Kagamé, Président du Rwanda a effectuée au Sénégal du 11 au 13 mai 2024.

      Ce séjour a été ponctué par des échanges fructueux sur la coopération entre les deux pays. Enfin, le Président de la République a informé le Conseil qu’il effectuera une visite d’amitié et de travail au Nigéria et au Ghana, respectivement les 16 et 17 mai 2024.

      Dans sa communication au Conseil, le Premier Ministre a fait part des mesures envisageables pour la baisse du coût de la vie, après consultation des représentants des producteurs, des commerçants, des transporteurs ainsi que des associations consuméristes. Les denrées visées sont le riz brisé non parfumé, le pain, le sucre cristallisé et l’huile.

      A la fin de ces concertations, le Premier Ministre remettra un rapport avec des propositions précises à Monsieur le Président de la République.

      Le Premier Ministre a également informé le Conseil de la finalisation, par les départements ministériels, de leurs plans d’action d’urgence.

      Le Président de la République a invité les Ministres à en assurer l’exécution diligente, sur la base des ressources disponibles qui leur seront notifiées par le Ministre des Finances et du Budget.

      Le Premier Ministre a, par ailleurs, rendu compte des principales décisions issues de la réunion interministérielle sur l’évaluation de la préparation du Pèlerinage à La Mecque, édition 2024 et du Conseil interministériel consacré aux préparatifs de la Tabaski 2024.

      Il a, en outre, fait part des conseils interministériels programmés les jeudi 16 et samedi 18 mai 2024, relatifs respectivement à la prévention et à la gestion des inondations ainsi qu’à la préparation des examens et concours 2024. Enfin, le Premier Ministre a évoqué les préparatifs de sa Déclaration de Politique Générale.

      AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES

       le Ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères a fait une communication sur la situation internationale; 

      le Ministre de la Justice, Garde des Sceaux a fait une communication sur le traitement judiciaire du rapport de la Cour des Comptes portant sur la gestion des fonds COVID; 

      Le Ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique a fait une communication sur la plateforme de gestion des offres d’emploi de l’administration ; 

      le Ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des Territoires a fait une communication sur le personnel des collectivités territoriales ;

       le Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage a fait une communication sur les prévisions pluviométriques, la préparation de la campagne de production agricole 2024 et le suivi des exportations de produits horticoles.

      Serigne Ahmadou Bamba Sy nommé Secrétaire général du Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens

      Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Serigne Ahmadou Bamba Sy a été nommé Secrétaire général du Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens. Ingénieur centralien et géomaticien, et expert en sûreté et en management des projets, il apporte à ce poste une expertise solide et variée, ainsi qu’un matricule de solde numéro 751 991/B.

      Sa nomination revêt une importance particulière dans un contexte où les infrastructures et les transports sont des éléments essentiels pour le développement économique et social du Sénégal. En tant qu’Ingénieur centralien, Monsieur Sy possède une formation de haut niveau qui lui confère les compétences nécessaires pour aborder les défis complexes liés à la gestion des infrastructures et des transports.

      Son expérience en sûreté et en management des projets constitue un atout majeur pour assurer la sécurité et la fiabilité des infrastructures de transport, ainsi que pour superviser la mise en œuvre efficace des projets dans ce domaine. Sa connaissance approfondie des systèmes géomatiques lui permettra également de contribuer à une planification et une gestion plus efficaces des infrastructures et des réseaux de transport terrestres et aériens.

      En tant que Secrétaire général, Monsieur Sy sera chargé de coordonner les activités du Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens, de superviser la mise en œuvre des politiques et des programmes dans ce domaine, ainsi que de veiller à l’optimisation des ressources disponibles. Son rôle sera essentiel pour garantir le bon fonctionnement et la modernisation des infrastructures de transport du pays.

      Le Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens se réjouit de l’arrivée de Monsieur Serigne Ahmadou Bamba Sy à ce poste clé et exprime sa confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à l’amélioration et à la pérennisation des infrastructures et des réseaux de transport du Sénégal.

      Alioune Aïdara Niang nommé Secrétaire Général du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique

      Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Alioune Aïdara Niang a été désigné pour occuper le poste de Secrétaire Général du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Administrateur civil principal et titulaire du matricule de solde numéro 510 569/D, sa nomination témoigne de la confiance placée en lui pour assumer cette responsabilité cruciale au sein du ministère.

      Avec une solide expérience dans le domaine de l’administration publique, Monsieur Niang apporte son expertise à la gestion et à la coordination des activités du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Sa nomination intervient dans un contexte où la préservation de l’ordre public et la sécurité des citoyens sont des enjeux majeurs pour le gouvernement.

      En tant que Secrétaire Général, Monsieur Niang aura pour mission de veiller à la mise en œuvre des politiques et des directives du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Il sera chargé de coordonner les actions des différentes structures et départements relevant du ministère, ainsi que de superviser la gestion des ressources humaines et matérielles.

      Cette nomination reflète l’engagement continu du gouvernement sénégalais à renforcer les capacités opérationnelles et organisationnelles du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Elle souligne également la reconnaissance du professionnalisme et de la compétence de Monsieur Alioune Aïdara Niang dans le domaine de l’administration publique.

      Le Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique se réjouit de l’arrivée de Monsieur Niang à ce poste stratégique et exprime sa confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à la préservation de l’ordre public et à la sécurité des citoyens au Sénégal.

      Cheikh Niane nommé Secrétaire général du Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines

      Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Cheikh Niane a été désigné pour occuper le poste de Secrétaire général du Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines. Ingénieur énergéticien et titulaire du matricule de solde numéro 744 291/M, sa nomination témoigne de la confiance accordée à son expertise pour assumer cette fonction stratégique au sein du ministère.

      Avec une expérience avérée dans le domaine de l’énergie, Monsieur Niane apporte ses connaissances pointues à la gestion et à la coordination des activités du Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines. Sa nomination intervient dans un contexte où la gestion efficace des ressources énergétiques et minières revêt une importance capitale pour le développement économique du pays.

      En tant que Secrétaire général, Monsieur Niane sera chargé de superviser la mise en œuvre des politiques et des directives du Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines. Il aura pour mission de coordonner les actions des différentes entités et départements relevant du ministère, ainsi que de veiller à la gestion efficace des ressources humaines et matérielles.

      Cette nomination s’inscrit dans le cadre des efforts continus du gouvernement sénégalais pour promouvoir une gestion durable et efficiente des ressources énergétiques et minières du pays. Elle témoigne également de la reconnaissance du professionnalisme et de la compétence de Monsieur Cheikh Niane dans le domaine de l’ingénierie énergétique.

      Le Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines se réjouit de l’arrivée de Monsieur Niane à ce poste clé et exprime sa confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à la promotion d’une politique énergétique et minière cohérente et favorable au développement durable du Sénégal.

      Mamadou Diop nommé Secrétaire général du Ministère de la Justice

      Lors du conseil des ministres du mercredi 15 mai 2024, Monsieur Mamadou Diop a été nommé Secrétaire général du Ministère de la Justice. Magistrat de profession et détenteur du matricule de solde numéro 603 274/J, cette nomination témoigne de la confiance accordée à cet expert de la justice pour occuper un poste clé au sein du ministère.

      Fort d’une expérience probante dans le domaine judiciaire, Monsieur Diop apporte sa contribution à la gestion et à la coordination des activités du Ministère de la Justice. Sa nomination intervient dans un contexte où le renforcement de l’efficacité et de la transparence du système judiciaire est une priorité pour le gouvernement.

      En tant que Secrétaire général, Monsieur Diop sera chargé de veiller à la mise en œuvre des politiques et des directives du Ministère de la Justice. Son rôle consistera également à assurer la coordination entre les différentes structures et départements au sein du ministère, ainsi qu’à superviser la gestion des ressources humaines et matérielles.

      Cette nomination s’inscrit dans le cadre des efforts continus du gouvernement sénégalais pour promouvoir une justice équitable, accessible et efficace pour tous les citoyens. Elle marque également la reconnaissance du mérite et du professionnalisme de Monsieur Mamadou Diop dans le domaine de la magistrature.

      Le Ministère de la Justice se félicite de l’arrivée de Monsieur Diop à ce poste stratégique et exprime sa confiance en sa capacité à contribuer de manière significative à l’atteinte des objectifs de réforme et de modernisation de la justice au Sénégal.

      Nominations en conseil des ministres du Mercredi 15 Mai 2024

      Monsieur Mamadou DIOP, Magistrat, matricule de solde numéro 603 274/J, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Justice ;

      Monsieur Alioune Aïdara NIANG, Administrateur civil principal, matricule de solde numéro 510 569/D, est nommé Secrétaire Général du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique ;

      Monsieur Cheikh NIANE, Ingénieur énergéticien, matricule de solde numéro 744 291/M, est nommé Secrétaire général du ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines ;

      Monsieur Serigne Ahmadou Bamba SY, Ingénieur centralien et géomaticien, Expert en sûreté et en management des projets, matricule de solde numéro 751 991/B, est nommé Secrétaire général du Ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens ;

      Monsieur Fodé FALL, Administrateur civil, matricule de solde numéro 616 290/R, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique ;

      Monsieur Mamadou Camara FALL, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale, matricule de solde numéro 515 710/C, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Formation professionnelle ;

      Monsieur Baboucar Mboundor NGOM, Administrateur civil, matricule de solde numéro 661 345/C, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement ;

      Madame Fatou Bintou NDIAYE, Magistrat, matricule de solde numéro 616 187/K, est nommée Secrétaire général du Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique ;

      Monsieur Fary SEYE, Administrateur civil principal, matricule de solde numéro 510 493/F, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation ;

      Monsieur Makhtar LAKH, Commissaire aux enquêtes économiques principal, matricule de solde numéro 604 656/E, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Industrie et du Commerce ;

      Monsieur Mamadou Bassirou NDIAYE, Magistrat, matricule de solde numéro 513 972/C, est nommé Secrétaire général du Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires ;

      Monsieur Ndiogou DIOUF, Economiste, matricule de solde numéro 653 779/E, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Famille et des Solidarités ;

      Monsieur Abdoulaye GUEYE, Conseiller en Planification de classe exceptionnelle, matricule de solde numéro 602 820/B, est nommé Secrétaire général du Ministère Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions ;

      Madame Mame Sané NDIAYE, Administrateur civil, matricule de solde numéro 624 552/F, est nommée Secrétaire général du Ministère de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des Territoires ;

      Madame Khady Diop MBODJI, Inspecteur principal de l’Enseignement élémentaire de classe exceptionnelle, matricule de solde numéro 515 822/A, est nommée Secrétaire général du Ministère de l’Education nationale ;

      Monsieur Serigne MBAYE, Administrateur civil principal de classe exceptionnelle, matricule de solde numéro 516 909/H, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Santé et de l’Action sociale ;

      Madame Thioro Mbaye SALL, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale de classe exceptionnelle, matricule de solde numéro 604 145/H, est nommée Secrétaire général du Ministère de la Fonction publique et de la Réforme du Service public ;

      Monsieur Moussa DIAGNE, Administrateur civil, matricule de solde numéro 518 911/C, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture ;

      Monsieur Ousmane MBAYE, Commissaire principal aux enquêtes économiques, matricule de solde numéro 606 932/D, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage ;

      Monsieur Gorgui NDIAYE, Administrateur civil principal, matricule de solde numéro 606 940/G, est nommé Secrétaire général du Ministère de la Microfinance, de l’Economie sociale et solidaire ;

      Monsieur Mouhamadou Moustapha THIOUNE, Administrateur civil principal, matricule de solde numéro 608 875/H, est nommé Secrétaire général du Ministère du Tourisme et de l’Artisanat ;

      Madame Aïssatou MBODJ, Docteur en gouvernance territoriale, est nommée Déléguée générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ), en remplacement de Madame Mame Aby SEYE ;

      Monsieur Amadou Mbaye GUISSE, Magistrat, est nommé Agent Judiciaire de l’Etat, en remplacement de Monsieur Yoro Moussa DIALLO ;

      Monsieur Habib SY, Commissaire aux Enquêtes économiques à la retraite, est nommé Président du Conseil d’administration de la Société nationale d’Electricité (SENELEC), en remplacement de Monsieur Serigne Mbaye DIA ;

      Monsieur Elimane POUYE, Inspecteur des Impôts et des Domaines, est nommé Directeur général de la Société de Gestion et d’Exploitation du Patrimoine Bâti de l’Etat (SOGEPA SN), en remplacement de Monsieur Yaya Abdoul KANE ;

      Monsieur Babo Amadou BA, titulaire d’un Doctorat en Sciences de Gestion, est nommé Directeur général du Fonds de Financement de la Formation Professionnelle et Technique (3FPT), en remplacement de Madame Sophie DIALLO ;

      Monsieur Ndane DIAGNE, titulaire d’un MBA en Audit et Contrôle de Gestion, est nommé Directeur de la Société nationale de Commercialisation des Oléagineux du Sénégal (SONACOS SA), en remplacement de Monsieur Kibily TOURE ;

      Monsieur Abdou DIOUF, ingénieur statisticien, est nommé Directeur général de l’Agence nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD), en remplacement de Monsieur Aboubacar Sédikh BEYE ; 

      Monsieur Isidore DIOUF, Expert-comptable, est nommé Directeur général de la Société Sénégal Numérique SA, en remplacement de Monsieur Cheikh BAKHOUM ;

      Monsieur Lamine NIANG, Titulaire d’un Diplôme d’Etudes Supérieures (DESS) en Technologie éducative, est nommé Directeur général de la Société Sénégalaise de Presse et de Publication Le Soleil, en remplacement de Monsieur Yakham MBAYE ;

      Monsieur Dame MBODJ, titulaire d’une Maitrise en Anglais, est nommé Directeur général de la Société de Gestion des Infrastructures Publiques dans les Pôles Urbains de Diamniadio et du Lac Rose (SOGIP SA), en remplacement de Monsieur Mamadou FAYE ;

      Monsieur Lamine Barra LO, Docteur d’Etat en Science politique et Sécurité, est nommé Directeur général de l’Office National de Formation Professionnelle (ONFP), en remplacement de Monsieur Souleymane SOUMARE ;

      Monsieur Toussaint MANGA, Médecin, est nommé Directeur général de la Loterie Nationale Sénégalaise (LONASE), en remplacement de Monsieur Abdourahmane BALDE ;

      Monsieur Diouma KOBOR, Professeur titulaire des Universités, est nommé Directeur général de l’Agence nationale pour les Energies Renouvelables (ANER), en remplacement de Monsieur Tamsir NDIAYE ;

      Monsieur Serigne Fall GUEYE, Titulaire d’un Master 2 en Communication, est nommé Directeur général du Grand Théâtre national, en remplacement de Monsieur Ansoumane SANE ;

      Monsieur Adama NDIAYE, Maitre de Conférences titulaire des Universités, est nommé Directeur général de l’Agence sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT), en remplacement de Monsieur Papa Mahawa DIOUF ;

      Monsieur Babacar NDIAYE, Avocat, est nommé Directeur général de la Société nationale de Recouvrement (SNR), en remplacement de Monsieur Bassirou NGOM ;

      Monsieur Cheikh Ibrahima NDIAYE, Ingénieur des Ponts et Chaussées, est nommé Directeur général de la Société nationale de Gestion du Patrimoine du Train Express Régional (SENTER SA), en remplacement de Monsieur Abdou Ndéné SALL ;

      Monsieur Seydina Oumar TOURE, Titulaire d’un Master 2 en Droit Public, est nommé Directeur général de l’Agence d’Assistance à la Sécurité de Proximité (ASP), en remplacement de Monsieur Mamadou Salif SOW ;

      Monsieur Ndiaga BASSE, Titulaire d’un Doctorat en Management des Affaires, est nommé Directeur général Agence nationale de l’Aviation Civile et de la Météorologie (ANACIM), en remplacement de Monsieur Sidy GUEYE ;

      Monsieur Samba KA, Maitre de conférences titulaire à l’Université du Sine Saloum El Hadj Ibrahima NIASS, est nommé Directeur général de l’Agence nationale de l’Aquaculture (ANA), en remplacement de Madame Tening SENE ;

      Madame Fatima MBENGUE, titulaire d’un Master 2 en Marketing social, est nommée Directeur général de l’Office national des Pupilles de la Nation (ONPN), en remplacement de Monsieur Alpha KOUNTA ;

      Monsieur Diamé SIGNATE, titulaire d’un Master 2 en Droit et Administration des Collectivités locales, est nommé Directeur général de l’Agence de Développement Local (ADL), en remplacement de Monsieur Abdoulaye NDAO ;

      Madame Soukèye DIOP, Ingénieur en Bâtiment et Travaux publics (BTP), est nommée Directeur général du Fonds d’Entretien Routier Autonome (FERA), en remplacement de Monsieur Papa Ibrahima FAYE ;

      Madame Sinna Amadou GAYE, titulaire d’un Master 2 en Gestion de Projets, est nommée Directeur de l’Agence nationale pour l’Emploi des Jeunes (ANPEJ), en remplacement de Monsieur Tamsir FAYE ;

      Madame Marième Soda NDIAYE, titulaire d’un Master 2 en Santé et Environnement, est nommée Directeur général du Commissariat à la Sécurité Alimentaire et à la Résilience, en remplacement de Monsieur Ibrahima DIAO ;

      Monsieur Babacar DIOP, Docteur en Sciences de l’Education, est nommé Directeur du Centre Régional des Œuvres Universitaires de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, en remplacement de Monsieur Ahmadou Bamba KA ;

      Monsieur Ibba SANE, Ingénieur en Planification Economique et Gestion des Organisations, est nommé Directeur général de l’Agence nationale de Relance des Activités Economiques et Sociales en Casamance (ANRAC), en remplacement de Monsieur Ansou SANE ;

      Monsieur Modou Mbéne DIOP, titulaire d’une Maitrise en Langue Etrangère Appliquée option Affaires et commerce international, est nommé Directeur général de l’Agence sénégalaise de Promotion des Exportations (ASEPEX), en remplacement de Madame Zahra Iyane THIAM ;

      Monsieur Bassirou DIOUF, Ingénieur en électrotechnique, est nommé Directeur général du Centre national de Qualification Professionnelle (CNQP), en remplacement de Monsieur Augustin NDIAYE ;

      Madame Diarra SOW, titulaire d’un Master 2 en Géographie, option gestion intégrée de l’Eau, est nommée Directeur général de l’Office des Lacs et Cours d’eau, en remplacement de Monsieur Alioune Badara DIOP ;

      Monsieur Cheikh Ahmet Bassirou SANE, titulaire d’un Doctorat en Ecologie et Gestion des Ecosystèmes, est nommé Directeur de l’Horticulture, en remplacement de Monsieur Macoumba DIOUF.

      Faute dans l’exercice de sa fonction: le CORED recadre Aïssatou Diop Fall

      Le Conseil pour l’Observation des Règles d’Ethique et de Déontologie dans les médias (CORED) a élevé la voix pour recadrer la journaliste Aïssatou Diop Fall qui témoignait dans une vidéo virale de sa démarche auprès de certaines autorités pour gagner des avantages. Une pratique jugée anti conforme à sa profession. 

      « Le CORED a suivi avec désolation une vidéo devenue virale, d’une émission de la chaine Youtube PublicSN TV. Dans cette vidéo Aïssatou Diop Fall, journaliste et responsable de ladite chaine avoue des pratiques aux antipodes des exigences éthiques et déontologiques de la profession. Le CORED condamne fermement les pratiques non recommandables d’Aissatou Diop Fall qui ne sont pas acceptables, ni de la part de la journaliste, encore moins de la responsable de média. Ces pratiques pas du tout honorables jettent le discrédit sur la profession, et au-delà sur les entreprises de presse et leurs acteurs de manière générale», a indiqué dans un communiqué, l’institution de veille dans le secteur des médias. A cet effet, le CORED renseigne, s’être autosaisi de l’affaire qu’il va transmettre à son Tribunal des pairs chargé d’étudier le cas de la journaliste et de prendre une décision rendue sous forme d’avis. 

      Le CORED a toutefois saisi l’occasion pour faire un rappel de l’Article 19 du Code de la presse qui stipule que « Le journaliste et le technicien des médias ne doivent accepter aucun avantage, ni aucune promesse qui pourraient limiter leur indépendance professionnelle ou l’expression de leur propre opinion ». 

      Dans la vidéo partagée sur les réseaux sociaux, la journaliste Aïssatou Diop Fall racontait des discussions qu’elle a entretenu avec des dignitaires du régime de Macky Sall et dont le but n’est motivé que par la satisfaction d’une doléance pécuniaire.

      Faute dans l’exercice de sa fonction: le CORED recadre Aïssatou Diop Fall.

      Le RESTIC dénonce l’inélégance du DG sortant de l’ARTP qui veut imposer un projet technologiquement dépassé à son successeur

      Le RESTIC regrette et condamne solennellement le manque d’élégance républicaine, le déficit de gouvernance à l’ARTP avec l’atelier de lancement du projet de Radio Numérique Terrestre.

      Un projet digitalement et numériquement dépassé au regard du dividende numérique et digital avec le basculement progressif de l’analogique au numérique mis en ouvre par TDS s.a et surtout la forte pénétration de l’internet mobile et fixe au Sénégal, l’un des plus denses et des importants en Afrique de l’Ouest.

      Ce 08 janvier ici à Dakar les Directeurs généraux sortants de l’ARTP et de TDS lançaient ce projet sans même inviter les directeurs généraux  nommés récemment   et promus pour l’ARTP et TDS, sans respect donc aux principes de la continuité des services dans un contexte ou la passation de services devrait être faite depuis longtemps pour TDS et ARTP.

      C’est une attitude grave, inélégante, fractionniste et le RESTIC appelle le Ministère de l’Economie Numérique et de la Communication a tirer toutes les conséquences de cet état de fait juridiquement condamnable.

      Les DG sortants de l’ARTP doivent finaliser leurs dossiers de passation, impliquer leurs secrétaires généraux respectifs  et surtout la tutelle et  passer au plus vite  le témoin au lieu de raser les murs d’une periode révolue…. Leur régime n’a fait que couper internet au lieu d’encourager et de généraliser son usage.

      J’invite le DG sortant de l’ARTP à nous fixer sur les conditions nébuleuses de cessions à bas prix d’une licence 5G à free, sa gestion des fonds issus des licences mobiles et sa gestion aussi  des ressources humaines notamment avec les embauchements politiciens.

      L’etat a subi un manque à gagner de 25 milliards dans l’attribution d’une licence 5G à free c’est au moins 5 hôpitaux de niveau 2 et plus de 200 abris provisoires d’école. J’invite le nouveau  Directeur Général Dahirou THIAM à un audit exhaustif de l’ARTP avec la Cour des Comptes et l’Inspection Générale des Finances pour les redevances et licences.

      Le RESTIC implore le Premier Ministre de diligenter les prises de fonction à l’ARTP et à TDS pour la mise en œuvre de sa feuille de route ambitieuse sur le digital et le numérique avec une régulation adéquate.  Aussi le RESTIC demande au Président de la République et à son Premier Ministre une compensation pour l’entreprise KOPPAR Express persécutée et mise au bord de la faillite par le régime sortant.  

      Juin 02, 2023

      Le Bureau exécutif

      Des rencontres ministérielles sur le pèlerinage à La Mecque et la Tabaski, à partir de vendredi

      Le gouvernement sénégalais se prépare activement pour deux événements majeurs : le pèlerinage aux lieux saints de l’islam à La Mecque en Arabie Saoudite et la célébration de la fête de Tabaski. Dans cette optique, le Premier ministre Ousmane Sonko dirigera une série de réunions ministérielles pour coordonner les préparatifs, comme l’a annoncé un communiqué officiel du Conseil des ministres.

      La première réunion, prévue pour vendredi, sera dédiée aux discussions sur les préparatifs du pèlerinage à La Mecque. Les ministres impliqués examineront les différents aspects de l’organisation, notamment la logistique, la sécurité et le soutien aux pèlerins. L’objectif est de garantir que les fidèles puissent accomplir leur pèlerinage dans les meilleures conditions possibles.

      La seconde réunion, programmée pour mardi prochain, sera consacrée à la préparation de la fête de Tabaski, l’une des célébrations les plus importantes du calendrier musulman. Les ministres discuteront des mesures à prendre pour assurer le bon déroulement des festivités à travers le pays, en veillant à ce que les citoyens puissent célébrer dans la paix et la sérénité.

      Bien que les détails concernant les heures et les lieux des réunions n’aient pas été précisés dans le communiqué, il est attendu que les ministres concernés se réunissent pour élaborer des stratégies concrètes pour chaque événement. Ces rencontres revêtent une grande importance car elles permettent au gouvernement de coordonner efficacement ses efforts et de prendre en compte les défis potentiels.

      En garantissant une planification minutieuse et une coordination adéquate, le gouvernement sénégalais s’efforce de garantir que le pèlerinage à La Mecque et la célébration de la Tabaski se déroulent dans les meilleures conditions possibles pour tous les participants.

      Célébration de la Tabaski : Les Musulmans ont 1 mois pour se préparer

      Réunie ce mercredi 8 mai 2024 à la RTS, la Commission Nationale de concertation sur le Croissant Lunaire (CONACOC) a examiné attentivement les observations de ses représentants dans différentes localités du pays concernant l’apparition du croissant lunaire.

      Après avoir recueilli toutes les informations disponibles, il est apparu que le croissant lunaire n’a été observé dans aucune localité du pays. En conséquence, la CONACOC annonce que le vendredi 10 mai 2024 marquera le premier jour du mois lunaire DIGGI (Dhul Qad’a). Cela signifie que nous sommes à 40 jours de la Tabaski, soit 1 mois et 10 jours, selon l’annonce de la CONACOC.

      Communique du conseil des ministres du Mercredi 08 Mai 2024

      Le Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 08 mai 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres au Palais de la République.

      A l’entame de sa communication, le Président de la République a rappelé au Gouvernement la place primordiale de la pêche dans le développement économique et social du Sénégal, notamment la pêche artisanale qui est une source importante de revenus pour une partie de la population.

      A cet égard, le Chef de l’Etat a demandé au Gouvernement de prendre toutes les dispositions nécessaires pour préserver les ressources halieutiques et protéger les professionnels de la pêche artisanale. Pour ce faire, il a appelé à la révision du Code de la pêche maritime et à son application rigoureuse.

      Le Président de la République a souligné, dans ce cadre, l’impératif de renforcer les dispositifs de lutte contre les activités de pêche illicite.

      Il a, en outre, mis l’accent sur l’urgence de la définition d’une politique nationale de gestion durable des ressources halieutiques par le biais d’un programme spécifique impliquant les chercheurs et des partenaires bien ciblés. Après avoir salué la publication, le 06 mai 2024, par le Ministre en charge des pêches, de la liste des navires autorisés à pêcher dans les eaux sous juridiction sénégalaise, le Chef de l’Etat a rappelé au Gouvernement l’importance qu’il porte à la transparence dans la gestion du secteur de la pêche.

      A ce sujet, il a demandé l’audit du pavillon sénégalais et l’évaluation des accords et licences de pêche. 

      Le Chef de l’Etat a, de plus, requis le recensement et l’évaluation des interventions, subventions et financements de l’Etat dans le secteur des pêches en termes d’infrastructures réalisées et de soutien aux acteurs. Il a aussi demandé de veiller au renouvellement et à la sécurisation de la flotte de pirogues artisanales.

      Dans le même sillage, le Président de la République a invité le Premier Ministre à engager avec les acteurs du secteur de la pêche, des concertations afin de définir un programme d’urgence de relance de la pêche artisanale et de développement de la pêche industrielle.

      Par ailleurs, il a indiqué la nécessité de développer l’aquaculture, source d’emplois, par un maillage du territoire national en centres et stations aquacoles.

      Evoquant le secteur de l’agriculture, le Chef de l’Etat a rappelé qu’il est le moteur essentiel pour fonder, sur une base solide, la souveraineté alimentaire du Sénégal, la croissance économique et la création d’emplois décents.

      En s’inspirant du PROJET, il convient, selon lui, de changer de paradigme en veillant à la responsabilisation accrue des organisations professionnelles à la base. C’est tout le sens de la politique de soutien et de relance des structures coopératives traduite par la nomination d’un secrétaire d’Etat aux Coopératives et à l’Encadrement paysan.

      Le Président de la République a demandé au Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage et au Secrétaire d’Etat aux Coopératives et à l’Encadrement paysan de proposer la revue et l’actualisation de la loi d’orientation agro-sylvo-pastorale.

      La révision de cette loi s’inscrit notamment dans une perspective de renforcement de la place fondamentale des organisations professionnelles du monde rural dans la gouvernance de ce secteur vital. Parlant de la prévention des inondations, le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre d’engager, dès à présent, tous les ministres, services de l’Etat et acteurs territoriaux concernés, à proposer un Plan national de Prévention et de Gestion des inondations. 

      Le Président de la République a invité, le Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement à veiller dans l’immédiat à l’identification des localités, zones et sites prioritaires en termes de travaux d’aménagement pré- hivernage et de déploiement des moyens d’intervention de la Brigade nationale des sapeurs-pompiers (BNSP) et du Génie militaire. Dans ce cadre, il a demandé au Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement de faire, sous la supervision du Premier Ministre, une communication hebdomadaire en Conseil des ministres sur le suivi des actions de prévention et de lutte contre les inondations.

      Au titre de son agenda diplomatique, le Chef de l’Etat a informé le Conseil de sa participation au sommet de l’Organisation de la Coopération islamique (OCI) qui s’est tenu les 4 et 5 mai 2024 à Banjul. Enfin, le Président de la République est revenu sur sa visite de travail et d’amitié en République de Côte d’Ivoire effectuée le mardi 07 mai 2024.

      Il a, ainsi remercié le Président Alassane OUATTARA pour l’accueil chaleureux et l’hospitalité généreuse qu’il lui a réservés. Dans sa communication, le Premier Ministre a fait part de la tenue, le vendredi 03 mai 2024, d’un Conseil interministériel consacré à la campagne production agricole 2024.

      Il a mis l’accent sur la détermination du Gouvernement à opérer une rupture systémique au niveau des mécanismes de subvention afin que les moyens financiers consentis par l’Etat soient effectivement affectés aux réels ayants-droits. Il a également signalé l’urgence relevée par les acteurs de tenir une réunion du Conseil supérieur d’orientation agro-sylvo-pastorale qui sera présidée par Monsieur le Président de la République.

      Le Premier Ministre a aussi informé le Conseil de l’évolution des travaux consacrés aux mesures de réduction des prix des produits de première nécessité, au cadrage du plan d’action d’urgence du Gouvernement et à la revue générale des programmes, des projets ainsi que du capital humain et des ressources budgétaires.

      Il a, par ailleurs, informé le Conseil qu’il présidera une réunion interministérielle de revue des diligences préparatoires du pèlerinage à la Mecque édition 2024 et un Conseil interministériel consacré à la préparation de la Tabaski 2024, respectivement les 10 et 14 mai 2024.

      Enfin, il a fait part des audiences qu’il a accordées au Gouverneur de la BCEAO, à l’Ambassadeur d’Inde au Sénégal et au Ministre en charge de l’agriculture du Royaume d’Arabie Saoudite.

      Au titre de la communication des ministres :

      – le Ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique a fait une communication sur le projet de Sénégal Connect Park (ex PTN) ;

      – le Ministre de la Santé et de l’Action sociale a fait une communication sur les projets hospitaliers ;

      – le Ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage a fait une communication sur le bilan de la campagne de commercialisation de l’arachide 2023/2024, la préparation de la campagne de production agricole 2024 et le suivi des exportations de produits horticoles.

      Nouveau Directeur général à la Société nationale des Chemins de Fer du Sénégal (CFS) : Monsieur Ibrahima Ba

      Lors du Conseil des ministres du Jeudi 02 Mai 2024, une annonce majeure a été faite concernant la Société nationale des Chemins de Fer du Sénégal (CFS) : la nomination de Monsieur Ibrahima Ba au poste de Directeur général. Il succède ainsi à Monsieur El Hadji Malick Ndoye.

      Ingénieur électromécanicien de formation, Monsieur Ba apporte avec lui une expertise technique approfondie et une expérience significative dans le domaine des transports et de la logistique.

      Sa nomination intervient à un moment crucial pour la CFS, alors que l’entreprise s’efforce de moderniser ses infrastructures, d’améliorer la qualité de ses services et de renforcer sa position dans le secteur ferroviaire.

      En tant que nouveau Directeur général, Monsieur Ba aura pour mission de superviser l’ensemble des activités opérationnelles et stratégiques de la CFS, en veillant à ce que l’entreprise atteigne ses objectifs de performance et de rentabilité.

      Il devra également travailler en étroite collaboration avec les autorités gouvernementales, les partenaires commerciaux et les parties prenantes du secteur pour développer et mettre en œuvre des initiatives visant à moderniser et à étendre le réseau ferroviaire du Sénégal.

      Parmi les défis auxquels Monsieur Ba sera confronté figurent l’amélioration de l’efficacité opérationnelle, la sécurité des transports ferroviaires, ainsi que le développement de nouveaux services et de partenariats stratégiques.

      Sa nomination suscite des attentes quant à sa capacité à apporter des innovations et des solutions créatives pour stimuler la croissance et le développement de la CFS, tout en contribuant à la promotion d’un système de transport ferroviaire moderne et durable au Sénégal.

      Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Monsieur Ba s’engage à œuvrer pour le succès et la prospérité de la CFS, tout en mettant en œuvre une vision ambitieuse pour l’avenir du transport ferroviaire dans le pays.ChatGPT peut faire des erreurs. Envisager de vérifier les informations importan

      Nouveau Directeur général à la Société Africaine de Raffinage (SAR) : Monsieur Mamadou Abib Diop

      Une décision importante a été prise lors du Conseil des ministres du Jeudi 02 Mai 2024, avec la nomination de Monsieur Mamadou Abib Diop au poste de Directeur général de la Société Africaine de Raffinage (SAR). Il succède ainsi à Madame Mariame Ndoye Decraene.

      Ingénieur en Génie des procédés industriels et spécialiste en Management d’entreprises, Monsieur Diop apporte avec lui une solide expertise technique et une vaste expérience dans le domaine industriel.

      Sa nomination à la tête de la SAR intervient à un moment crucial pour l’industrie pétrolière du Sénégal, alors que le pays cherche à renforcer son secteur énergétique et à maximiser la valeur ajoutée de ses ressources naturelles.

      En tant que Directeur général de la SAR, Monsieur Diop sera chargé de superviser l’ensemble des opérations de raffinage de pétrole de la société, en veillant à ce que celles-ci se déroulent de manière efficiente, sûre et respectueuse de l’environnement.

      Sa mission consistera également à promouvoir l’innovation et la modernisation des infrastructures de raffinage, ainsi qu’à renforcer la compétitivité de la SAR sur le marché national et international.

      Monsieur Diop devra également relever des défis importants, tels que l’optimisation des processus de production, la gestion des ressources humaines et financières, ainsi que le développement de partenariats stratégiques avec d’autres acteurs de l’industrie pétrolière.

      Sa nomination suscite des attentes quant à une gestion efficace et transparente de la SAR, ainsi qu’à des initiatives visant à renforcer la contribution de la société au développement économique et social du Sénégal.

      Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Monsieur Diop est appelé à collaborer étroitement avec les autorités gouvernementales, les partenaires internationaux et les acteurs du secteur privé pour relever les défis et saisir les opportunités qui se présentent dans le secteur du raffinage au Sénégal.

      Nouveau Directeur général à la Société Nationale des Eaux du Sénégal (SONES) : Monsieur Abdoul Niang

      Lors du Conseil des ministres du Jeudi 02 Mai 2024, une annonce majeure a été faite concernant la direction de la Société Nationale des Eaux du Sénégal (SONES). Monsieur Abdoul Niang, Ingénieur Hydraulicien, a été nommé Directeur général de la SONES, succédant ainsi à Monsieur Charles Fall.

      Cette nomination intervient dans un contexte où la gestion des ressources hydriques est cruciale pour le développement durable et la qualité de vie des populations sénégalaises. En tant qu’Ingénieur Hydraulicien, Monsieur Niang apporte une expertise spécialisée qui sera précieuse pour relever les défis complexes auxquels fait face la SONES.

      Sa désignation à la tête de la SONES témoigne de la volonté du gouvernement de mettre en place une direction compétente et expérimentée pour assurer la fourniture d’eau potable de manière efficace et durable à travers tout le pays.

      Monsieur Niang devra superviser la gestion opérationnelle et stratégique de la SONES, en veillant à ce que les services fournis répondent aux normes de qualité les plus élevées et aux besoins croissants de la population sénégalaise en matière d’eau potable.

      Il sera également chargé de promouvoir l’innovation et la modernisation des infrastructures hydrauliques, tout en veillant à une utilisation durable des ressources en eau du pays.

      La nomination de Monsieur Niang à la tête de la SONES suscite des attentes quant à une gestion efficace et transparente de l’approvisionnement en eau au Sénégal, ainsi qu’à des initiatives visant à étendre l’accès à l’eau potable dans les zones les plus reculées du pays.

      Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Monsieur Niang est appelé à travailler en étroite collaboration avec les autorités locales, les partenaires internationaux et la société civile pour relever les défis liés à la gestion des ressources hydriques et contribuer au développement socio-économique du Sénégal.

      Magatte Diakhate nommé Directeur de la Législation et de la Coopération Internationale : Une expertise au service de la fiscalité sénégalaise

      Monsieur Magatte Diakhate, Inspecteur des Impôts et des Domaines, se voit confier de nouvelles responsabilités en tant que Directeur de la Législation et de la Coopération Internationale, succédant ainsi à Mouhamadou Lamine Sy. Cette nomination représente une reconnaissance de son expertise et de son engagement en matière de fiscalité.

      Fort d’une expérience solide dans le domaine des impôts et des domaines, Monsieur Magatte Diakhate apporte une connaissance approfondie des enjeux fiscaux et une compétence avérée dans la législation fiscale. Son parcours professionnel exemplaire et son engagement envers l’intégrité et la transparence font de lui un choix judicieux pour ce poste stratégique.

      En tant que Directeur de la Législation et de la Coopération Internationale, Monsieur Magatte Diakhate sera chargé de superviser le développement et la mise en œuvre de la législation fiscale au Sénégal. Son rôle consistera également à renforcer la coopération avec les partenaires internationaux dans le domaine fiscal, ce qui revêt une importance cruciale dans un contexte de mondialisation croissante.

      Sa nomination intervient à un moment où le gouvernement sénégalais s’efforce de moderniser son système fiscal et de promouvoir un environnement propice aux investissements. Monsieur Magatte Diakhate sera appelé à jouer un rôle clé dans l’élaboration de politiques fiscales efficaces et équitables, visant à stimuler la croissance économique et à garantir une répartition équitable des charges fiscales.

      Sa capacité à anticiper les évolutions du paysage fiscal national et international, ainsi que sa volonté d’œuvrer pour le bien-être économique et social du Sénégal, font de Monsieur Magatte Diakhate un atout précieux pour le gouvernement et pour le secteur fiscal dans son ensemble. Sa nomination est perçue comme un signe positif pour l’avenir de la fiscalité au Sénégal et pour la promotion d’une gouvernance fiscale responsable et transparente.

      Abdou Gning nommé Directeur des Domaines : Une expertise au service de la gestion foncière au Sénégal

      Monsieur Abdou Gning, Inspecteur des Impôts et des Domaines, se voit confier de nouvelles responsabilités en tant que Directeur des Domaines, succédant ainsi à Monsieur Mamadou Gueye. Cette nomination témoigne de la reconnaissance de son expérience et de son engagement en matière de gestion foncière.

      Doté d’une solide expertise dans le domaine des impôts et des domaines, Monsieur Abdou Gning apporte une connaissance approfondie des enjeux liés à la gestion des biens immobiliers et fonciers. Son parcours professionnel exemplaire et son engagement en faveur de l’intégrité et de la transparence font de lui un choix judicieux pour ce poste stratégique.

      En tant que Directeur des Domaines, Monsieur Abdou Gning sera chargé de superviser la gestion et l’administration des domaines publics et privés au Sénégal. Son rôle consistera également à garantir une gestion efficace et transparente des biens fonciers de l’État, tout en veillant au respect des lois et réglementations en vigueur.

      Sa nomination intervient à un moment où le gouvernement sénégalais s’efforce de moderniser et de rationaliser la gestion foncière dans le pays. Monsieur Abdou Gning sera appelé à jouer un rôle clé dans l’élaboration et la mise en œuvre de politiques visant à promouvoir une utilisation judicieuse et équitable des ressources foncières.

      Sa capacité à anticiper les défis liés à la gestion foncière, ainsi que son engagement envers une gouvernance transparente et responsable, font de Monsieur Abdou Gning un atout précieux pour le gouvernement et pour le secteur foncier dans son ensemble. Sa nomination est perçue comme un pas significatif vers une gestion foncière plus efficace et équitable au Sénégal.

      Nomination du Docteur Cheikh Dieng à la tête de l’ONAS : Un nouvel élan pour l’assainissement au Sénégal

      Le Docteur Cheikh Dieng, Expert en Environnement, prend les rênes de l’Office national de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), succédant ainsi à Monsieur Mamadou Mamour Diallo. Cette nomination marque un tournant significatif dans la gestion des questions d’assainissement et de gestion des déchets dans le pays.

      Doté d’une expertise avérée en environnement et d’une solide expérience dans le domaine de l’assainissement, le Docteur Cheikh Dieng apporte une nouvelle dynamique à la direction de l’ONAS. Sa vision novatrice et son engagement envers des pratiques durables en matière d’assainissement sont des atouts essentiels pour relever les défis actuels et futurs liés à la gestion des déchets et à l’assainissement au Sénégal.

      En tant que nouveau Directeur Général de l’ONAS, le Docteur Cheikh Dieng s’engage à intensifier les efforts en matière d’assainissement pour améliorer les conditions de vie des populations sénégalaises. Son leadership éclairé sera essentiel pour développer et mettre en œuvre des stratégies efficaces visant à garantir un accès équitable à des services d’assainissement de qualité dans tout le pays.

      Sa nomination reflète la volonté du gouvernement de renforcer les infrastructures d’assainissement et de promouvoir une meilleure gestion des déchets au Sénégal. Le Docteur Cheikh Dieng travaillera en étroite collaboration avec les autorités locales, les partenaires internationaux et les parties prenantes pour élaborer des politiques et des programmes innovants visant à relever les défis complexes liés à l’assainissement et à l’hygiène.

      Son engagement indéfectible envers l’amélioration de l’assainissement et sa capacité à mobiliser les ressources nécessaires font de lui un choix idéal pour diriger l’ONAS. Le gouvernement exprime sa confiance en le Docteur Cheikh Dieng pour piloter avec succès les efforts visant à garantir un assainissement adéquat pour tous les citoyens sénégalais, contribuant ainsi à un environnement plus sain et à un développement durable pour le pays.

      Sékouna Diatta nommé à la tête de l’Agence sénégalaise de Reforestation et de la Grande Muraille Verte : Un nouvel élan pour la préservation de l’environnement

      Monsieur Sékouna Diatta, Maitre de Conférences en Écologie, se voit confier la direction de l’Agence sénégalaise de Reforestation et de la Grande Muraille Verte, succédant ainsi à Monsieur Oumar Abdoulaye Ba. Cette nomination marque une étape cruciale dans la lutte contre la déforestation et la promotion de la restauration des écosystèmes au Sénégal.

      Forte de son expertise en écologie et de sa passion pour la préservation de l’environnement, Monsieur Sékouna Diatta apporte une vision innovante et engagée à la direction de cette agence stratégique. Son engagement en faveur de la reforestation et de la protection des ressources naturelles sera un moteur essentiel pour atteindre les objectifs ambitieux de la Grande Muraille Verte.

      En tant que nouveau Directeur Général de l’Agence sénégalaise de Reforestation et de la Grande Muraille Verte, Monsieur Sékouna Diatta s’engage à intensifier les efforts de reboisement à grande échelle et à promouvoir des pratiques durables de gestion des terres. Son leadership éclairé sera un atout précieux pour mobiliser les communautés locales, les acteurs gouvernementaux et les partenaires internationaux autour de cette cause cruciale.

      Sa nomination témoigne de la volonté du gouvernement de renforcer la protection de l’environnement et de promouvoir un développement durable au Sénégal. Monsieur Sékouna Diatta travaillera en étroite collaboration avec les parties prenantes pour élaborer et mettre en œuvre des stratégies efficaces de conservation de la biodiversité et de restauration des écosystèmes dégradés.

      Son engagement indéfectible envers la préservation de l’environnement et sa capacité à mobiliser les ressources nécessaires font de lui un choix idéal pour diriger cette agence vitale. Le gouvernement exprime sa confiance en Monsieur Sékouna Diatta pour piloter avec succès les efforts de reforestation et de conservation de la Grande Muraille Verte, contribuant ainsi à un avenir plus vert et plus durable pour le Sénégal et sa population.

      Tidiane Sidibe nommé à la tête de l’Agence nationale de l’Aménagement du Territoire : Une nouvelle ère pour le développement territorial

      Monsieur Tidiane Sidibe, reconnu pour son expertise en gestion de projets et en développement territorial, se voit confier la direction de l’Agence nationale de l’Aménagement du Territoire (ANAT), succédant ainsi à Monsieur Mamadou Djigo. Cette nomination marque un moment décisif dans la planification et la gestion stratégique du développement territorial au Sénégal.

      Fort de son expérience et de ses compétences avérées dans le domaine du développement local, Monsieur Tidiane Sidibe apporte une vision dynamique et novatrice à la direction de l’ANAT. Son engagement envers la promotion d’un développement équilibré et durable des territoires sera un atout majeur pour relever les défis actuels et futurs liés à l’aménagement du territoire.

      En tant que nouveau Directeur Général de l’ANAT, Monsieur Tidiane Sidibe s’engage à œuvrer pour une planification territoriale inclusive, tenant compte des besoins et des aspirations des populations locales. Sa priorité sera de mettre en œuvre des stratégies visant à promouvoir un développement harmonieux et équitable des différentes régions du pays, en mettant l’accent sur la création d’emplois, l’amélioration des infrastructures et la préservation de l’environnement.

      Sa nomination reflète la volonté du gouvernement de renforcer l’efficacité de l’action publique en matière d’aménagement du territoire et de développement local. Monsieur Tidiane Sidibe travaillera en étroite collaboration avec les acteurs locaux, les institutions gouvernementales et les partenaires internationaux pour élaborer et mettre en œuvre des politiques et des programmes innovants répondant aux besoins spécifiques de chaque territoire.

      Son leadership inspirant et sa détermination à relever les défis complexes du développement territorial font de lui un choix judicieux pour diriger l’ANAT. Le gouvernement exprime sa confiance en Monsieur Tidiane Sidibe pour piloter cette agence stratégique et contribuer ainsi à bâtir un avenir meilleur pour toutes les communautés du Sénégal.

      Nomination à l’Agence Nationale de la Petite Enfance : Yaye Khadidiatou Djamila Diallo prend la barre

      Madame Yaye Khadidiatou Djamila Diallo, spécialiste émérite en Droit des Affaires, se voit confier les rênes de l’Agence Nationale de la Petite Enfance et de la Case des Tout-Petits, succédant ainsi à Madame Maïmouna Cissokho. Cette nomination marque un tournant important dans la promotion du bien-être et du développement des enfants au Sénégal.

      Forte de son expertise dans le domaine juridique et son engagement envers la protection des droits des enfants, Madame Yaye Khadidiatou Djamila Diallo est bien préparée pour diriger cette institution cruciale. Son parcours professionnel illustre son dévouement à la cause de la petite enfance et sa capacité à élaborer des politiques efficaces en faveur du développement précoce des enfants.

      En tant que nouvelle Directrice Générale de l’Agence Nationale de la Petite Enfance, Madame Yaye Khadidiatou Djamila Diallo s’engage à poursuivre et à renforcer les initiatives visant à garantir un environnement sûr, sain et stimulant pour les tout-petits à travers le pays. Son objectif est de promouvoir l’accès universel aux services de qualité pour la petite enfance, y compris l’éducation, la santé et la protection sociale.

      Sa nomination témoigne de la volonté du gouvernement de placer les droits et le bien-être des enfants au cœur de son agenda politique. Madame Yaye Khadidiatou Djamila Diallo compte travailler en étroite collaboration avec les partenaires nationaux et internationaux, les communautés locales et la société civile pour mettre en œuvre des programmes novateurs et inclusifs pour les enfants et leurs familles.

      Son leadership éclairé et sa vision audacieuse font d’elle une alliée précieuse dans la lutte pour un avenir meilleur pour les enfants du Sénégal. Le gouvernement exprime sa confiance en Madame Yaye Khadidiatou Djamila Diallo pour mener à bien cette mission vitale et contribuer ainsi à l’épanouissement et à la prospérité des générations futures.

      Nouveau Directeur Général à la SAPCO SA : Serigne Mamadou Mboup chargé de stimuler le tourisme côtier

      La Société d’Aménagement et de Promotion des Côtes et Zones touristiques du Sénégal (SAPCO SA) se dote d’un nouveau leader avec la nomination de Monsieur Serigne Mamadou Mboup au poste de Directeur Général, succédant ainsi à Monsieur Souleymane Ndiaye. Cette décision présidentielle vise à insuffler une nouvelle dynamique à la promotion du tourisme côtier dans le pays.

      Doté d’une expertise avérée en management et en stratégie touristique et hôtelière, Monsieur Serigne Mamadou Mboup apporte une vision innovante et une expérience solide à son nouveau rôle. Sa nomination reflète la volonté du gouvernement de renforcer le secteur touristique et de valoriser le potentiel des zones côtières du Sénégal.

      En tant que nouveau Directeur Général de la SAPCO SA, Monsieur Serigne Mamadou Mboup aura pour mission de développer et de promouvoir les zones touristiques côtières du pays, en mettant l’accent sur la durabilité, l’authenticité et la diversification de l’offre touristique. Il s’engage à travailler en étroite collaboration avec les parties prenantes du secteur pour stimuler la croissance économique et créer des opportunités d’emploi dans les communautés locales.

      Sa nomination est accueillie avec enthousiasme par les acteurs du tourisme et les communautés côtières. Son leadership dynamique et son engagement envers le développement durable font de lui un choix idéal pour diriger la SAPCO SA dans cette nouvelle phase de croissance et d’innovation.

      Le gouvernement exprime sa confiance en Monsieur Serigne Mamadou Mboup pour piloter la SAPCO SA avec succès et contribuer à faire du Sénégal une destination touristique de premier plan en Afrique. Sa nomination illustre l’engagement continu du gouvernement à promouvoir le tourisme comme levier essentiel du développement économique et social du pays.

      Nouveau Directeur Général à la SICAP SA : Mouhamadou Moctar Magassouba prend les rênes de l’entreprise

      La Société Immobilière du Cap Vert (SICAP SA) accueille un nouveau leader avec la nomination de Monsieur Mouhamadou Moctar Magassouba au poste de Directeur Général, succédant ainsi à Monsieur Mamadou Kasse. Cette décision présidentielle marque le début d’une nouvelle ère pour cette institution clé du secteur immobilier.

      Fort de son expertise en finances d’entreprise, Monsieur Mouhamadou Moctar Magassouba apporte une vaste expérience et une vision stratégique à son nouveau rôle. Sa nomination témoigne de la volonté du gouvernement de placer des professionnels qualifiés à la tête des entreprises publiques, en vue de promouvoir une gestion efficace et transparente.

      En tant que nouveau Directeur Général, Monsieur Mouhamadou Moctar Magassouba aura pour mission de poursuivre le développement de la SICAP SA et de renforcer sa position en tant qu’acteur majeur du marché immobilier au Sénégal. Il s’engage à promouvoir l’accessibilité au logement et à améliorer la qualité de vie des citoyens en proposant des solutions innovantes et durables.

      Sa nomination est accueillie avec enthousiasme par les employés de la SICAP SA et les acteurs du secteur immobilier. Son leadership éclairé et son engagement envers l’excellence opérationnelle sont des atouts majeurs pour relever les défis à venir et saisir les opportunités de croissance dans le domaine de l’immobilier.

      Le gouvernement exprime sa confiance en Monsieur Mouhamadou Moctar Magassouba pour diriger la SICAP SA avec succès. Sa nomination reflète l’engagement continu du gouvernement à dynamiser le secteur immobilier et à promouvoir le développement économique et social du pays.

      Changement de Direction à La Poste : Maguette Kane nommé Directeur Général

      Une nouvelle ère s’ouvre à La Poste du Sénégal avec la nomination de Monsieur Maguette Kane au poste de Directeur Général. Cette décision présidentielle marque un tournant dans la direction de cette institution emblématique du pays, succédant à Monsieur Mohamadou Diaite.

      Avec son expérience en tant qu’Inspecteur des Postes et Services Financiers, Monsieur Maguette Kane apporte une expertise solide et une vision stratégique à son nouveau rôle. Sa nomination témoigne de la volonté du gouvernement de placer des professionnels qualifiés à la tête des institutions clés du pays.

      En tant que nouveau Directeur Général, Monsieur Maguette Kane aura pour mission de diriger La Poste vers de nouveaux horizons, en modernisant ses services, en renforçant sa présence sur le marché et en répondant aux besoins changeants de sa clientèle. Son leadership sera essentiel pour stimuler l’innovation, améliorer l’efficacité opérationnelle et maintenir les normes élevées de service à la clientèle.

      La nomination de Monsieur Maguette Kane est accueillie avec enthousiasme par les employés de La Poste et les acteurs du secteur postal. Sa réputation d’intégrité, de compétence et de dévouement à servir le public en fait un choix idéal pour conduire La Poste vers de nouveaux succès.

      Le gouvernement exprime sa confiance en Monsieur Maguette Kane pour assumer ses nouvelles responsabilités à la tête de La Poste. Sa nomination reflète l’engagement continu du gouvernement envers l’amélioration des services postaux et la promotion du développement économique et social à travers le pays.

      Nouvelle Direction à la Caisse des Dépôts et Consignations : Fadilou Keita nommé Directeur Général

      Une nouvelle page se tourne à la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) avec la nomination de Monsieur Fadilou Keita en tant que Directeur Général. Cette décision présidentielle entraîne le départ de Monsieur Cheikh Issa Sall et marque une transition vers un nouveau leadership à la tête de cette institution financière clé du Sénégal.

      Fort d’une solide expérience en gestion financière, Monsieur Fadilou Keita apporte une expertise diversifiée et des compétences stratégiques à son nouveau rôle de Directeur Général de la CDC. Sa nomination reflète la volonté du gouvernement de nommer des professionnels chevronnés et compétents pour piloter les institutions financières du pays.

      En tant que nouveau Directeur Général, Monsieur Fadilou Keita sera chargé de diriger et de superviser les activités de la Caisse des Dépôts et Consignations, en veillant à ce qu’elle continue à jouer un rôle clé dans le financement du développement économique et social du Sénégal. Sa mission consistera à renforcer la gestion des fonds déposés, à promouvoir l’investissement dans des projets d’infrastructure et à soutenir les initiatives visant à stimuler la croissance économique.

      La nomination de Monsieur Fadilou Keita est accueillie avec optimisme par les acteurs du secteur financier et économique, qui voient en lui un leader capable de relever les défis et de saisir les opportunités pour consolider le rôle de la CDC dans le développement du pays. Sa vision stratégique et son engagement envers l’excellence sont des atouts précieux pour guider la CDC vers de nouveaux horizons.

      Le gouvernement exprime sa confiance en Monsieur Fadilou Keita pour assumer ses nouvelles responsabilités à la tête de la Caisse des Dépôts et Consignations. Sa nomination témoigne de l’engagement continu du gouvernement envers la bonne gouvernance et la gestion efficace des ressources financières au service du développement durable du Sénégal.

      Nomination à l’Aéroport International Blaise Diagne : Cheikh Mamadou Abiboulaye Dieye nommé Directeur général

      Dans le cadre des récentes nominations présidentielles, Monsieur Cheikh Mamadou Abiboulaye Dieye, Ingénieur en Génie et Travaux publics, a été nommé Directeur général de l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD SA). Il succède ainsi à Monsieur Abdoulaye Dieye à la tête de cet important aéroport sénégalais.

      Avec une solide formation en génie et travaux publics, Monsieur Cheikh Mamadou Abiboulaye Dieye apporte une expertise technique et une expérience précieuse à la direction de l’AIBD. Sa nomination intervient à un moment crucial pour l’aéroport, qui joue un rôle majeur dans la connectivité aérienne du Sénégal et de la région ouest-africaine.

      En tant que nouveau Directeur général, Monsieur Cheikh Mamadou Abiboulaye Dieye s’engage à poursuivre et renforcer les efforts entrepris pour assurer le bon fonctionnement et le développement de l’Aéroport International Blaise Diagne. Sa mission consistera notamment à garantir la sécurité, l’efficacité opérationnelle et la qualité des services offerts aux passagers et aux compagnies aériennes.

      Sa nomination témoigne de la volonté du gouvernement de nommer des professionnels compétents et expérimentés à des postes clés pour soutenir le développement des infrastructures aéroportuaires du pays. Monsieur Cheikh Mamadou Abiboulaye Dieye aura ainsi pour objectif de consolider la position de l’AIBD en tant que hub aérien majeur en Afrique de l’Ouest.

      Le gouvernement exprime sa confiance en Monsieur Cheikh Mamadou Abiboulaye Dieye pour assumer ses nouvelles responsabilités à la tête de l’Aéroport International Blaise Diagne. Sa nomination marque un engagement fort en faveur du développement du secteur aérien au Sénégal et de la promotion du transport aérien dans la région.

      Nouvelle nomination : Waly Diouf Bodiang nommé Directeur général du Port Autonome de Dakar

      Dans le cadre des récentes décisions présidentielles, Monsieur Waly Diouf Bodiang, Inspecteur principal des Impôts et des Domaines, a été nommé Directeur général de la Société nationale du Port Autonome de Dakar (PAD). Il succède ainsi à Monsieur Mountaga Sy dans cette fonction stratégique.

      Doté d’une solide expérience dans le domaine fiscal et de la gestion des domaines, Monsieur Waly Diouf Bodiang apporte une expertise précieuse à la direction du Port Autonome de Dakar. Sa nomination intervient à un moment crucial pour le port, qui joue un rôle vital dans l’économie du Sénégal en tant que principal hub maritime de la région.

      En tant que nouveau Directeur général, Monsieur Waly Diouf Bodiang s’engage à poursuivre et renforcer les efforts entrepris pour moderniser et développer les infrastructures portuaires, ainsi que pour promouvoir l’efficacité opérationnelle et la compétitivité du Port Autonome de Dakar sur la scène internationale.

      Sa nomination reflète la volonté du gouvernement de nommer des professionnels compétents et engagés à des postes clés pour dynamiser les secteurs stratégiques de l’économie nationale. Le nouveau Directeur général aura pour mission de poursuivre la mise en œuvre des réformes nécessaires pour faire du Port Autonome de Dakar un acteur incontournable du commerce maritime en Afrique de l’Ouest.

      Le gouvernement exprime sa confiance en Monsieur Waly Diouf Bodiang pour mener à bien sa mission à la tête du Port Autonome de Dakar et contribuer ainsi au développement économique et à la prospérité du Sénégal.

      Nouvelle nomination : Pape Alé Niang nommé Directeur général de la Radiotélévision Sénégalaise (RTS)

      Dans le cadre des récentes décisions présidentielles, Monsieur Pape Alé Niang, éminent journaliste, a été nommé Directeur général de la Radiotélévision Sénégalaise (RTS). Il succède ainsi à Monsieur Racine Talla dans cette fonction.

      Fort d’une carrière remarquable dans le domaine du journalisme, Monsieur Pape Alé Niang apporte une expertise étendue et une profonde connaissance des enjeux médiatiques au Sénégal. Sa nomination intervient à un moment crucial où les médias jouent un rôle essentiel dans la diffusion de l’information et la promotion des valeurs démocratiques.

      La RTS, en tant que média public de référence, a un rôle majeur à jouer dans la transmission d’une information de qualité, impartiale et équilibrée. Sous la direction de Monsieur Pape Alé Niang, la RTS s’engage à renforcer son engagement envers le service public et à promouvoir une information de qualité, accessible à tous les citoyens.

      La nomination de Monsieur Pape Alé Niang reflète la volonté du gouvernement de renforcer l’indépendance et le professionnalisme des médias publics au Sénégal. Son expérience et son engagement en font un choix idéal pour diriger la RTS dans cette période de mutation et de développement des médias.

      Le gouvernement exprime sa confiance en Monsieur Pape Alé Niang pour mener à bien sa mission à la tête de la RTS et contribuer ainsi à promouvoir une presse libre, responsable et engagée dans la construction d’une société sénégalaise démocratique et prospère.

      Nouvelle nomination : Bacary Sega Bathily nommé Directeur général de l’APIX SA

      Dans le cadre des récentes décisions présidentielles, Monsieur Bacary Sega Bathily a été nommé Directeur général de l’Agence pour la Promotion des Investissements et des Grands Travaux (APIX SA). Il succède ainsi à Monsieur Abdoulaye Baldé dans cette fonction.

      Fort de son expérience en tant que Spécialiste en Management de projets, Monsieur Bacary Sega Bathily apporte une expertise solide dans la gestion et la promotion des investissements. Sa nomination intervient dans un contexte où le développement économique et l’attraction des investissements sont des priorités nationales.

      L’APIX SA joue un rôle essentiel dans la facilitation des investissements et la promotion des grands travaux au Sénégal. Sous la direction de Monsieur Bacary Sega Bathily, l’agence s’engage à renforcer son action pour attirer les investisseurs nationaux et internationaux, ainsi qu’à soutenir le développement de projets d’infrastructures majeurs.

      La nomination de Monsieur Bacary Sega Bathily témoigne de la volonté du gouvernement de dynamiser le secteur des investissements et de favoriser la réalisation de grands travaux structurants pour le développement du pays.

      Le gouvernement exprime sa confiance en Monsieur Bacary Sega Bathily pour mener à bien sa mission à la tête de l’APIX SA et contribuer ainsi à la promotion du climat des affaires et à la mise en œuvre de projets d’infrastructures stratégiques pour le développement économique du Sénégal.

      Nouvelle nomination : Bara Diouf nommé DGPU de Diamniadio et du Lac Rose

      Dans le cadre de nouvelles nominations annoncées par le Président de la République, Monsieur Bara Diouf a été nommé Délégué général à la Promotion des Pôles Urbains de Diamniadio et du Lac Rose. Il succède ainsi à Monsieur Diène Farba Sarr dans cette fonction.

      Monsieur Bara Diouf apporte avec lui une expérience solide en tant que Gestionnaire administratif et financier. Sa nomination intervient dans un contexte où la promotion des pôles urbains, notamment celui de Diamniadio et du Lac Rose, revêt une importance capitale dans la vision de développement du pays.

      Cette nomination témoigne de la volonté du gouvernement de dynamiser et de promouvoir les pôles urbains en vue d’attirer les investissements, de favoriser le développement économique et social, ainsi que d’améliorer les conditions de vie des populations.

      Monsieur Bara Diouf aura pour mission de mettre en œuvre les politiques et stratégies visant à renforcer le positionnement et l’attractivité des pôles urbains de Diamniadio et du Lac Rose. Sa nomination s’inscrit dans le cadre des efforts continus du gouvernement pour promouvoir le développement urbain durable et inclusif.

      Le gouvernement compte sur le leadership et les compétences de Monsieur Bara Diouf pour mener à bien cette mission stratégique, en collaboration avec les différentes parties prenantes et acteurs impliqués dans le développement des pôles urbains.

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