Injures contre Amina Poté : Le Tik-Tokeur « Le juge du désert » arrêté par la Cybersécurité

La Division spéciale de cybersécurité (DSC) a récemment interpellé Ibrahima Mbodj, administrateur principal du compte Tik-Tok « Le juge du désert », pour des accusations d’injures, de diffamation et de diffusion d’images à caractère personnel. Ce lundi 11 novembre, Mbodj a été déféré au tribunal de grande instance de Dakar suite à une plainte déposée par Amina Poté, ancienne animatrice de la Tfm, par procuration.

Le dossier révèle que Ibrahima Mbodj aurait tenu, dans des vidéos publiées sur Tik-Tok, des propos jugés obscènes visant la mère et la grand-mère de l’animatrice. Des sources proches du parquet rapportent que ces diffamations répétées ont poussé Amina Poté à recourir à la justice pour faire cesser les attaques.

Depuis plusieurs semaines, la DSC était sur les traces de Mbodj. Après de multiples recherches, il a finalement été localisé aux Almadies, où il a été arrêté par des policiers en civil lors d’une soirée dansante aux alentours de 3 h du matin.

Ce cas met en lumière l’importance grandissante de la cybersécurité dans la lutte contre les contenus diffamatoires en ligne. Le tribunal devra désormais se prononcer sur cette affaire qui soulève des questions sur les limites de la liberté d’expression sur les réseaux sociaux et sur la protection des individus contre les atteintes à leur dignité et à leur vie privée.

Affaire Baltasar Ebang Engonga : Un scandale politico-social qui secoue la Guinée Équatoriale

En Guinée équatoriale, une affaire de mœurs éclate avec fracas, secouant les hautes sphères de l’État et résonnant bien au-delà des frontières nationales. Baltasar Ebang Engonga, directeur de l’administration fiscale, est accusé d’avoir filmé et entretenu des relations intimes avec plus de 400 femmes dans son bureau. Ce scandale sexuel prend une ampleur inédite, d’autant plus que plusieurs des femmes impliquées seraient les épouses de hauts dignitaires du gouvernement équato-guinéen.

Selon les sources rapportées par le média Jeune Afrique, parmi les victimes présumées figureraient l’épouse de Jesús Edu Moto Mangue, superviseur de la sécurité présidentielle, et celle d’Antonio Oburu Ondo, ministre et figure influente de l’appareil gouvernemental. Les ramifications vont plus loin encore, touchant même des proches du ministre de la Sécurité publique, Nicolás Obama Nchama, et des membres de la famille du président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo.

Le vice-président Teodoro Nguema Obiang Mangue, fils du président et communément appelé « Teodorín », a rapidement convoqué une réunion de crise pour gérer la situation. Selon les informations relayées par des sources proches du pouvoir, cette affaire pourrait être l’occasion pour le vice-président de réorganiser l’administration et de renforcer son emprise en éliminant d’éventuels rivaux, tels que Baltasar Ebang Engonga et son père.

Ce scandale met en lumière la fragilité des institutions équato-guinéennes, où le pouvoir et les privilèges s’entrelacent souvent avec des affaires privées, au détriment des normes éthiques et de la confiance publique. L’implication de figures liées à la famille présidentielle et au Parti démocratique de Guinée équatoriale (PDGE) rend la gestion de la crise particulièrement délicate.

Des analystes politiques prévoient des conséquences multiples, allant d’une répression accrue envers les opposants et les figures contestataires à une éventuelle refonte des postes clés dans l’administration. La manière dont cette affaire sera résolue pourrait déterminer l’équilibre des forces au sein du pouvoir pour les années à venir.

Au-delà des frontières équato-guinéennes, l’affaire Baltasar Ebang Engonga suscite un vif intérêt et relance le débat sur la moralité au sein des gouvernements africains. L’opinion publique et les réseaux sociaux en Afrique se font l’écho de cette affaire, soulevant des questions sur l’état de la transparence et de la justice dans les régimes autoritaires du continent.

En résumé, l’affaire Baltasar Ebang Engonga n’est pas seulement un scandale de mœurs : elle devient un révélateur des luttes internes pour le pouvoir et de la complexité des relations entre politique et vie privée dans l’une des nations les plus fermées d’Afrique. Les prochains jours s’annoncent cruciaux pour comprendre les répercussions de cette affaire au sein du gouvernement équato-guinéen et au-delà.

Scandale en Guinée Équatoriale : l’affaire Baltasar Ebang Engonga secoue le pouvoir

Un nouveau scandale d’une ampleur inédite ébranle la Guinée Équatoriale, impliquant Baltasar Ebang Engonga, le directeur général de l’Agence nationale d’investigation financière et fils de Baltasar Engonga Edjoo, président de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC). Accusé d’avoir détourné des équipements de surveillance à des fins personnelles, Ebang Engonga se retrouve aujourd’hui au centre d’une affaire aux répercussions potentiellement explosives pour l’élite politique du pays.

Selon les rapports émergents, le directeur général aurait utilisé ces dispositifs pour enregistrer secrètement plus de 400 vidéos compromettantes de ses relations intimes. Ces enregistrements, tournés dans des lieux allant de ses bureaux aux espaces publics, sont récemment apparus sur les réseaux sociaux, suscitant une vague de réactions au sein de la population et parmi les hautes sphères politiques.

Les partenaires visibles dans ces vidéos incluent des femmes mariées, des personnalités proches du cercle présidentiel et même des proches collaborateurs. Parmi celles-ci figurent la femme du Directeur de la Sécurité Présidentielle, la femme du Procureur Général, ainsi que la fille du Directeur Général de la Police. Les révélations touchent également les épouses de ministres de premier plan, comme celle du ministre Oburu, et même la femme enceinte d’un membre de la famille d’Ebang Engonga.

Le scandale, qui ébranle profondément le paysage politique équato-guinéen, a poussé le Procureur Général à ouvrir une enquête officielle. Ce dernier cherche à déterminer si des crimes tels que la transmission volontaire de maladies ont pu être commis par le protagoniste. Les implications vont au-delà de la simple atteinte à la vie privée et touchent à des enjeux de santé publique et de sécurité nationale.

La divulgation de ces enregistrements soulève des questions cruciales sur l’éthique et la moralité des élites politiques du pays. La confiance des citoyens envers les institutions pourrait se trouver encore plus affaiblie, exacerbant une crise de gouvernance déjà marquée par des tensions internes.

Pour l’heure, le gouvernement de Guinée Équatoriale n’a pas encore publié de déclaration officielle sur cette affaire. La pression est toutefois palpable, tant du côté des citoyens que des partenaires internationaux, en attente d’un éclaircissement et de mesures appropriées face à cette situation sans précédent.

L’évolution de l’enquête reste à suivre de près, car elle pourrait marquer un tournant dans la gestion de la vie publique en Guinée Équatoriale et mettre en lumière des luttes internes pour le pouvoir au sein du régime. Le sort de Baltasar Ebang Engonga est incertain, mais l’onde de choc provoquée par ces révélations est déjà bien installée.

Affaire Dieynaba Ndiaye : Alioune Badara Mbacké en détention provisoire, procès fixé au 31 octobre

L’affaire Dieynaba Ndiaye prend une nouvelle tournure avec le placement sous mandat de dépôt du Dr Alioune Badara Mbacké. Le procureur de Matam a retenu contre lui les charges de coups et blessures volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail (ITT) de 10 jours, ainsi que des accusations de menace et de voies de fait. L’incident a suscité un intérêt public considérable, attirant l’attention sur les circonstances entourant cette altercation.

Alors que les autres prévenus impliqués dans l’affaire ont bénéficié de la liberté provisoire, Dr Mbacké restera en détention jusqu’au procès, prévu le 31 octobre au tribunal de grande instance de Matam. Cette audience devrait éclaircir les faits reprochés au médecin, qui fait face à des accusations graves pouvant entraîner des sanctions pénales importantes en cas de condamnation.

Les détails de l’incident restent encore partiellement flous, mais cette mise en détention montre la fermeté avec laquelle les autorités souhaitent traiter ce dossier, soulignant la volonté de garantir la justice pour toutes les parties impliquées.

Affaire de mœurs à Torodio : un homme agressé par son voisin dans une chambre conjugale

Le calme habituel du village de Torodio, dans la commune de Thiamène (département de Louga), a été perturbé par une affaire de mœurs qui a frôlé le drame. Dans la nuit, un jeune homme identifié comme D.S. s’est introduit dans la chambre conjugale de son voisin, S.B., déclenchant une violente altercation.

Tout a commencé aux alentours de 22 heures, lorsque D.S., soupçonné d’entretenir une liaison avec la femme de S.B., a profité de l’obscurité pour pénétrer dans la maison de ce dernier. Persuadé que son voisin était absent, il s’est introduit discrètement dans la chambre. Cependant, S.B. se trouvait sur place, et l’irruption inattendue a rapidement tourné à la confrontation.

Surpris et paniqué, D.S. aurait sorti une machette pour se défendre face à S.B., qu’il a grièvement blessé à plusieurs reprises avant de prendre la fuite sous le couvert de la nuit. S.B., gravement touché, s’est effondré, perdant beaucoup de sang. Il a été rapidement évacué au centre de santé de Coki, où les médecins ont constaté des blessures lui occasionnant une incapacité temporaire de travail (ITT) de 10 jours.

Suite à cette agression, S.B. a déposé plainte auprès des gendarmes, identifiant clairement son voisin comme l’agresseur. « Je l’avais déjà averti à plusieurs reprises au sujet de sa relation avec ma femme, mais il a persisté. Cette nuit-là, il m’a attaqué avec une machette », a déclaré S.B. lors de son témoignage.

Malgré les dénégations de D.S., qui a affirmé que l’obscurité avait pu semer la confusion, un témoin clé a confirmé avoir vu D.S. entrer chez S.B. peu avant l’incident. Face à ces éléments, D.S. a été arrêté et inculpé pour coups et blessures volontaires ayant entraîné une ITT de 10 jours. Il a été placé sous mandat de dépôt à la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Louga, en attendant son procès.

Cette affaire a provoqué un vif émoi dans le village de Torodio, où l’adultère et la violence qui en a découlé ont secoué la communauté locale.

Tentative d’agression à Mermoz : un agresseur mortellement percuté par un véhicule

Un incident dramatique s’est déroulé hier soir près du magasin Auchan de Mermoz, en face de l’ambassade du Maroc à Dakar. Trois individus, impliqués dans une tentative d’agression visant une femme enceinte et un homme, ont vu leur plan virer au cauchemar lorsqu’ils ont été percutés par un véhicule, provoquant des scènes de choc parmi les témoins.

Selon les premières informations recueillies par L’Observateur, l’un des agresseurs est mort sur le coup, tandis qu’un autre a été grièvement blessé et se trouve actuellement dans un état critique. Le troisième suspect a réussi à prendre la fuite et reste activement recherché par les forces de l’ordre.

Les témoignages des riverains soulignent que l’intervention du véhicule a probablement empêché un scénario encore plus tragique. « Si la voiture n’était pas intervenue, les victimes auraient pu subir des blessures graves, voire pire », a déclaré un témoin sous le choc.

Les autorités ont ouvert une enquête afin de faire la lumière sur les circonstances exactes de l’accident et de retrouver le suspect en fuite. Cette agression, survenue dans un quartier pourtant habituellement calme, a plongé les résidents dans la stupeur et ravivé les préoccupations concernant la sécurité.

La scène, marquée par la violence inattendue de la situation, laisse place à de nombreuses questions sur les motivations des agresseurs et les actions décisives du conducteur du véhicule.

Meurtre à Ngor : Cheikh D. Niang avoue avoir étranglé Ndèye à mort

À peine deux jours après le meurtre tragique de Ndèye C. S., une femme d’une quarantaine d’années retrouvée morte dans son appartement à Ngor, les forces de sécurité ont rapidement mené l’enquête pour mettre la main sur le principal suspect. Grâce à une collaboration efficace entre la brigade de recherches de Faidherbe et la brigade de proximité de Ngor, le présumé meurtrier, Cheikh D. Niang, surnommé « Baye Fall », a été arrêté à Saly, une localité touristique, où il s’était réfugié après avoir commis son crime.

Selon les premiers éléments de l’enquête, Cheikh D. Niang, mendiant sans emploi connu pour traîner dans les rues de Dakar, s’était rendu chez Ndèye dans la nuit du drame pour une rencontre intime. Mais la soirée a rapidement pris une tournure violente. En état d’ébriété, Cheikh avait payé pour deux rapports, mais après la première séance, Ndèye aurait refusé de continuer. Furieux, une violente dispute a éclaté entre eux, menant à une bagarre au cours de laquelle Cheikh a pris le dessus.

« J’ai donné des coups à Ndèye avant de l’étrangler à mort », a-t-il avoué froidement aux enquêteurs, sans montrer de remords pour son acte brutal.

Cheikh, surnommé « Baye Fall », a confié lors de son interrogatoire qu’il n’avait pas prémédité de la tuer, mais que sa colère avait pris le dessus après le refus de la victime. Contrairement aux premières informations circulant sur l’affaire, il n’a pas poignardé Ndèye, mais l’a bel et bien étranglée à mort après l’avoir agressée physiquement.

Il a également révélé avoir volé le téléphone portable de la victime, qu’il avait ensuite vendu. Cependant, grâce au travail des enquêteurs, le téléphone a été récupéré, et l’acquéreur a été disculpé, car il ignorait la provenance de l’appareil.

Ce qui choque davantage dans cette affaire, c’est le manque total de remords exprimé par le suspect. Interrogé sur ses motivations et son ressenti après le crime, Cheikh D. Niang n’a exprimé aucun regret. Il s’est défendu de manière détachée, expliquant qu’il avait simplement agi sous l’emprise de la colère et de l’alcool.

Cheikh, qui vivait de la mendicité, est désormais poursuivi pour meurtre et vol. Les charges qui pèsent contre lui sont graves, et il devrait être déféré au parquet ce mardi, où il risque une lourde peine s’il est reconnu coupable.

Le meurtre de Ndèye a provoqué une onde de choc dans la paisible communauté de Ngor. Connue pour sa convivialité et son cadre serein, cette localité n’est pas habituée à de tels drames. Les habitants, profondément touchés par la brutalité du crime, attendent que justice soit rendue.

Cette affaire rappelle tristement la vulnérabilité des femmes face à des violences souvent banalisées dans certaines situations, surtout lorsqu’elles sont commises dans l’intimité des foyers. De nombreuses voix s’élèvent pour réclamer des actions plus fermes contre la violence faite aux femmes au Sénégal.

Alors que l’enquête se poursuit et que le meurtrier présumé attend son procès, la justice sénégalaise est plus que jamais sous pression pour apporter une réponse exemplaire à ce drame, afin de montrer que de tels actes ne resteront pas impunis.

Affaire Aziz Dabala : les aveux glaçants de Mamadou Lamine Diao, le présumé meurtrier de Pikine technopole

L’enquête sur le double meurtre qui a secoué le quartier de Pikine Technopole continue de révéler des détails troublants. Mamadou Lamine Diao, alias « Modou Lo », arrêté lors du Grand Magal à Touba, a avoué être l’auteur des meurtres d’Aziz Dabala, un danseur bien connu, et de son neveu, Boubacar Gano, surnommé « Waly ». Ses confessions, faites devant les enquêteurs, sont à glacer le sang.

Selon ses propres aveux, Mamadou Lamine Diao, un maçon résidant à Guinaw Rails, aurait été invité à plusieurs reprises par Aziz Dabala pour des « séances d’intimité ». Bien qu’il ait refusé à plusieurs reprises, il a finalement cédé à cause de difficultés financières. « Ma mère avait une ordonnance de 50 000 F CFA à payer. Aziz m’a proposé de l’argent en échange de relations, et je me suis rendu chez lui pour ça, mais sans l’intention de le tuer, » a déclaré Mamadou Lamine Diao lors de son interrogatoire.

Cependant, une fois dans l’appartement d’Aziz, les événements ont pris une tournure macabre. Mamadou Lamine Diao aurait menacé Aziz avec un couteau, exigeant de l’argent sous la menace de révéler son orientation sexuelle. Finalement, il l’a tué avant de se diriger vers la chambre de Boubacar Gano. « J’ai surpris Boubacar avec un casque sur les oreilles. Je lui ai dit qu’il était un homosexuel avant de le tuer, » a-t-il ajouté.

Ce qui choque davantage, c’est l’absence totale de remords de la part du présumé meurtrier. Devant les gendarmes, Mamadou Lamine Diao a affirmé qu’il n’éprouve aucun regret pour avoir tué deux homosexuels. Il a également déclaré avoir jeté le téléphone d’Aziz dans un canal et vendu celui de Boubacar pour 75 000 F CFA au marché « Ocass » de Pikine.

Les policiers, alertés par le drame, se sont immédiatement rendus sur les lieux pour effectuer un constat. Ils ont trouvé le corps d’Aziz Dabala recouvert d’un drap, et les portes des chambres ainsi que de la cuisine fermées à clé, orientant rapidement l’enquête vers les proches du danseur. D’autres indices, tels que des lubrifiants et des résidus de chanvre indien, ont également été découverts dans l’appartement.

Les réquisitions téléphoniques ont permis de confirmer que Mamadou Lamine Diao était en contact régulier avec Aziz Dabala. Cependant, l’erreur fatale du meurtrier a été d’insérer sa puce dans le téléphone de Boubacar, permettant ainsi aux autorités de le localiser et de l’appréhender.

Accompagné de son oncle paternel, Ousseynou Diao, Mamadou Lamine Diao s’est rendu au Grand Magal de Touba. Selon une source proche de l’enquête, il aurait confié son secret à son oncle, qui, craignant pour sa propre sécurité, a finalement décidé de dénoncer son neveu aux gendarmes de la brigade spéciale de Touba.

Les deux hommes ont été arrêtés et transférés à Dakar. Mamadou Lamine Diao, déjà connu des services de police pour des faits antérieurs, a été déféré par la police de Guinaw Rails.

Les détails de cette affaire ont profondément choqué l’opinion publique. Les aveux de Mamadou Lamine Diao soulèvent des questions sur les motivations profondes derrière ces actes violents, tandis que la communauté reste sous le choc de ces révélations. L’enquête se poursuit, et la justice devra maintenant déterminer la suite à donner à ce dossier pour faire toute la lumière sur ces crimes atroces.

Nouvelle arrestation dans l’affaire du double meurtre à Pikine : Nabou Léye placée en garde à vue par la DIC

Dans le cadre de l’enquête sur le double meurtre survenu dans la nuit de dimanche à Pikine Technopole, la Division des investigations criminelles (DIC) continue de déployer des efforts pour élucider ce crime. Ce lundi, les agents de cette unité d’élite ont procédé à l’arrestation de la danseuse Nabou Léye, désormais placée en garde à vue.

Selon des sources proches de l’enquête relayées par Seneweb, cette nouvelle arrestation s’ajoute à celle de l’oncle paternel du principal suspect, Mamadou Lamine Diao. Ce dernier, maçon de profession, est accusé d’avoir commis le double meurtre avant de se confier à son oncle. Ensemble, ils auraient quitté la scène du crime pour se rendre à Touba en vue d’assister au Grand Magal.

Sentant la pression des enquêteurs se resserrer, l’oncle de Mamadou Lamine Diao a fini par dénoncer son neveu aux gendarmes de la brigade spéciale de Touba. Cette confession a permis aux autorités de faire avancer l’enquête.

À ce jour, un total de cinq personnes sont en détention dans le cadre de cette affaire. L’enquête, menée par les hommes du commissaire principal Adramé Sarr, se poursuit avec détermination pour faire toute la lumière sur ce drame qui a secoué la communauté de Pikine.

La garde à vue de Nabou Léye, en particulier, suscite une grande attention, étant donné son statut de figure publique en tant que danseuse. Les enquêteurs cherchent à établir les liens entre les différentes personnes interpellées et à comprendre les circonstances exactes de ce double meurtre.

Les prochains jours seront cruciaux pour l’avancement de l’enquête, alors que la DIC continue de travailler pour démêler les fils de cette affaire complexe.

[EXCLUSIF] Arrestation de l’assassin d’Aziz Dabala lors du Magal de Touba

La cavale de Mamadou Lamine Diao, alias Modou Lo, présumé auteur du double meurtre survenu à Pikine Technopole, a pris fin lors du Magal de Touba. Selon des informations exclusives obtenues par Seneweb, le suspect a été interpellé par la Brigade spéciale de Touba dans le quartier de Dianatou Mahwa dans la nuit du Magal.

Les forces de l’ordre avaient reçu un renseignement indiquant la présence du meurtrier à Touba. Après une descente surprise dans le quartier de Dianatou Mahwa, les gendarmes ont réussi à arrêter Mamadou Lamine Diao, qui a rapidement avoué son crime lors de son interrogatoire.

Selon les détails révélés par le suspect, il fréquentait souvent le défunt danseur Aziz Dabala. Ce jour fatidique, Mamadou Lamine Diao s’était rendu chez Aziz pour lui réclamer de l’argent. Devant le refus de ce dernier, Diao a sorti un couteau pour le menacer, avant de finalement le tuer. Après avoir commis son crime, il a également tué Boubacar Gano, alias Waly, le neveu d’Aziz, qui l’avait aperçu en train de pénétrer dans l’appartement. Le meurtrier a ensuite emporté les téléphones des deux victimes.

Bien que les comptes Wave des victimes aient été vidés peu après le crime, Mamadou Lamine Diao a nié toute implication dans cette opération, affirmant qu’il n’avait pris que les téléphones des victimes.

Après son crime, Diao avait confié son secret à un ami et tous deux s’étaient rendus à Touba pour assister au Magal. Cependant, leur présence n’est pas passée inaperçue, et les gendarmes de la Brigade spéciale de Touba ont finalement mis fin à sa cavale. Mamadou Lamine Diao est actuellement en garde à vue à la gendarmerie de Touba, en attendant une éventuelle décision de transfert à Dakar pour la suite de l’enquête.

Double meurtre de « Aziz Dabala » et de son neveu : Objets suspects découverts sur les lieux

Le double meurtre d’Aziz Dabala et de son neveu continue de secouer la communauté, mais selon des informations recueillies par le journal Le Témoin, l’enquête pourrait bientôt connaître une avancée significative. Les enquêteurs de la Division des Investigations Criminelles (DIC), qui ont repris le dossier de leurs collègues de Pikine, disposent désormais de plusieurs indices prometteurs et d’éléments clés qui pourraient conduire à l’identification des coupables.

Selon le journal Les Échos, les objets trouvés sur les lieux du crime sont particulièrement intrigants. Parmi eux, un résidu de chanvre indien, un grand couteau, un tournevis, et un téléphone ordinaire. Ces objets pourraient fournir des pistes essentielles pour remonter jusqu’à l’auteur ou les auteurs de cet acte odieux. Le Témoin ajoute que les comptes Wave des victimes ont été vidés peu après le drame, un détail qui pourrait jouer un rôle crucial dans la résolution de l’affaire.

L’appartement où a eu lieu le crime a été découvert dans un état de désordre total. D’après le journal, la télévision a été endommagée, la table basse en verre brisée en morceaux, et les meubles renversés. Des traces de sang ont également été retrouvées dans le couloir et sur les murs, comme le rapporte Libération.

Ces éléments matériels recueillis sur la scène du crime, combinés aux indices financiers, pourraient permettre aux enquêteurs de faire la lumière sur ce double homicide et de traduire les responsables en justice.

Darou Rahmane : Refusant les avances de son voisin, elle est sauvagement agressée

Un acte de violence d’une rare brutalité a secoué la localité de Darou Rahmane, située dans la commune de Wakhninane Nimzatt, ce mercredi matin.

S. Mendy, une jeune femme de la localité, a été victime d’une agression atroce après avoir rejeté les avances de son voisin. Ce dernier, dans un accès de rage, l’a attaquée à coups de marteau, causant de graves blessures, dont une fracture du crâne et du bras.

D’après des informations recueillies par Seneweb, l’agresseur aurait également tenté de la violer. Les cris de la victime ont alerté les voisins, qui l’ont retrouvée inconsciente, gisant dans une mare de sang. Elle a été immédiatement transportée à l’hôpital Dalal Jamm pour des soins d’urgence, avant d’être transférée à l’hôpital de Grand-Yoff où elle lutte pour sa vie.

Le présumé agresseur a été placé en garde à vue, tandis que la communauté locale reste sous le choc de cet acte de violence.

DOUBLE MEURTRE À PIKINE TECHNOPOLE : Aziz Dabala et son colocataire tués

Le danseur Abdoul Aziz Ba alias « Aziz Dabala » et son colocataire que certaines sources présentes comme son « frère » seraient égorgés dans leur appartement sis à Pikine, Technopole.
Celles-ci affirment qu’un ami de l’artiste, resté sans nouvelle, aurait appelé un menuisier qui a défoncé la porte. Même si les corps ont été découverts ce mardi, le crime aurait été commis depuis dimanche dernier, d’après la même piste.
La police et les éléments des sapeurs pompiers sont sur lieux au moment où ces lignes sont écrites.

Appel à la vigilance morale : Bachir Fofana demande une action contre la promotion de contenus dérangeants

Dans un contexte où la préservation des valeurs morales et des bonnes mœurs est souvent mise à l’épreuve par des expressions artistiques provocantes, un nouveau cas suscite l’indignation au Sénégal. Bachir Fofana, une figure publique bien connue, a exprimé son mécontentement face aux actions d’une rappeuse récemment médiatisée. Fofana appelle le Procureur de la République à intervenir sans attendre qu’une plainte formelle soit déposée par une organisation.

En 2016, la rappeuse Déesse Major avait été arrêtée pour avoir porté en public une tenue jugée extravagante. Cette arrestation faisait suite à une plainte déposée par le Comité pour la défense des valeurs morales au Sénégal (Cdvm). Les accusations portaient sur l’attentat à la pudeur et l’atteinte aux bonnes mœurs, soulignant ainsi la vigilance de la société sénégalaise quant à la protection de ses valeurs morales.
Bachir Fofana exhorte les organisations engagées dans la préservation des mœurs, telles que And Samm Jikko yii de Abaabakar Mbuub et l’Ong Islamique Jamra, à agir rapidement et déposer une plainte contre la rappeuse en question. Selon Fofana, la balle est dans leur camp pour empêcher la promotion de comportements jugés indécents.
Fofana a également critiqué RTS1 Sénégal, accusant la chaîne de télévision de faire la promotion de la débauche et du dévergondage. Il appelle Pape Alé Niang et l’équipe de RTS1 à offrir une programmation de qualité qui soit en adéquation avec les valeurs sénégalaises, afin de ne pas encourager des comportements contraires aux normes sociales.
Cet appel à l’action de Bachir Fofana pourrait relancer un débat national sur la liberté d’expression artistique et les limites imposées par la morale publique. La jurisprudence du cas Déesse Major montre que les actions légales peuvent suivre rapidement si les valeurs morales de la société sont perçues comme étant menacées.
La préservation des mœurs et des valeurs morales est un sujet sensible au Sénégal. L’appel de Bachir Fofana à agir contre la rappeuse montre la tension entre la liberté artistique et les attentes sociétales. Les prochaines étapes dépendront des actions des organisations de préservation des mœurs et de la réponse du Procureur de la République. Le débat sur les valeurs morales et la liberté artistique est loin d’être résolu et continuera probablement à susciter des discussions passionnées.

Diamniadio : Un mystérieux incendie dans une auberge provoque la mort d’un client

Un mystérieux incendie a secoué le bar-auberge « Le Colombia » à Diamniadio, suscitant une vive émotion et de nombreuses questions. D’après les informations rapportées par Libération, tout a commencé avec un « curieux incendie » qui a précédé une découverte macabre.

Le drame a été découvert dans la matinée lorsque les femmes de ménage ont remarqué de la fumée s’échappant d’une des chambres de l’auberge. Alarmées, elles ont immédiatement alerté les autorités compétentes. Les sapeurs-pompiers sont rapidement intervenus pour maîtriser l’incendie. Une fois le feu éteint, ils ont découvert le corps sans vie d’un homme qui avait loué la chambre la veille.

Les circonstances entourant cet incendie sont particulièrement troublantes. Selon Libération, le feu n’a pas complètement consumé les vêtements de la victime. Seules ses jambes présentaient des brûlures, ce qui ajoute une dimension mystérieuse à l’incident. De plus, une armoire métallique bloquait la porte de l’intérieur, rendant la scène encore plus suspecte.

Face à ces éléments inhabituels, une enquête a été immédiatement ouverte pour élucider les causes et les circonstances de cet incendie. Les autorités cherchent à déterminer s’il s’agit d’un accident ou d’un acte criminel. La communauté locale attend avec impatience les résultats de cette enquête pour comprendre ce qui s’est réellement passé dans cette chambre du « Colombia ».

Cet incendie mystérieux à Diamniadio soulève de nombreuses questions et suscite une inquiétude légitime. Les enquêteurs travaillent d’arrache-pied pour percer le mystère de cette affaire, espérant apporter des réponses et faire la lumière sur les circonstances de ce drame.

Diourbel : Célébration de la Fête de la Musique – Jah Man fait profil bas

À l’occasion de la Fête de la Musique célébrée ce 21 juin partout dans le monde, Diourbel s’anime avec des spectacles inédits et des prestations riches en sons et en lumières. Pourtant, le célèbre artiste Jah Man, de son vrai nom Abdou Lakhat Thioune, ambassadeur incontestable de la musique diourbelloise, ne participera pas aux festivités cette année.

L’artiste, qui a récemment perdu son grand frère consanguin Medoune Thioune, observe une période de deuil. Le 20 juin, Jah Man a commémoré les 40 jours du décès de son frère avec une journée de prière à la maison familiale située au quartier Texaco. Interrogé sur ses plans pour la journée du 21 juin, Jah Man a indiqué qu’il avait annulé toutes ses prestations suite au décès.

Son manager, Mame Malick Mbaye, a précisé que pour cette journée du 21 juin, ils ont décliné trois invitations : une à Saint-Louis, précisément au Centre Culturel Français, une autre aux Almadies à Dakar, ainsi que le grand concert de la RTS au terrain ACAPES. « Nous avons été obligés d’annuler beaucoup de contrats pour honorer la mémoire du défunt, » a souligné le manager.

Malgré l’absence de Jah Man, les célébrations de la Fête de la Musique à Diourbel ont été marquées par de nombreuses autres performances. L’artiste Petit Bara a réussi à mobiliser un large public au Théâtre de Verdure de Diourbel. De plus, un concert a été offert à la jeunesse diourbelloise devant la poste de Diourbel, permettant aux habitants de la ville de célébrer la musique comme dans le reste du monde.

La Fête de la Musique à Diourbel a connu un succès retentissant malgré l’absence de l’un de ses plus grands ambassadeurs. Jah Man, dans le respect de son deuil, a choisi de faire profil bas, rappelant ainsi l’importance des valeurs familiales et du respect des traditions. Pendant ce temps, la ville a continué à vibrer au rythme des festivités, célébrant la musique et la culture avec enthousiasme et ferveur.

Ndeye Yacine Mbaye / Ledakarois Diourbel

Horreur à Kaffrine : Une fillette de 2 ans égorgée par son oncle

La petite ville de Kaffrine est sous le choc après un acte d’une violence inouïe : un jeune homme, identifié comme étant l’oncle de la victime, a égorgé une fillette âgée seulement de 2 ans. Selon les rapports de Bës Bi le jour, l’individu, qui était étudiant à l’UGB, aurait des antécédents de troubles psychiatriques, ce qui laisse penser à un acte commis dans un état de déséquilibre mental.

L’incident a plongé la communauté locale dans la consternation et l’incompréhension. Le corps sans vie de la petite fille a été transporté à l’hôpital régional Thierno Brahim Ndao de Kaffrine, tandis que l’auteur présumé de cet acte abominable a été appréhendé et placé en détention.

Les autorités locales ainsi que la population de Kaffrine sont profondément choquées par cette tragédie, et des questions sur la sécurité et la santé mentale de l’agresseur présumé commencent à émerger. Une enquête approfondie est attendue pour comprendre les circonstances exactes de ce crime atroce et pour assurer que justice soit rendue pour la jeune victime innocente.

Sédhiou : Un adolescent de 16 ans mortellement fauché par un véhicule

Un tragique accident s’est produit ce dimanche sur la RN4, sur l’axe Sénoba-Carrefour Diaroumé, à hauteur du village de Sarré Alkaly, dans la région de Sédhiou. Un jeune de 16 ans a été mortellement fauché par un véhicule particulier venant de Dakar.

Cet événement a provoqué une vive colère parmi les habitants locaux. En réaction, ils ont incendié le véhicule impliqué dans l’accident. Les populations, manifestant leur indignation et leur douleur, ont bloqué la circulation sur cet axe routier. Ils réclament l’installation urgente de ralentisseurs pour améliorer la sécurité et prévenir de futurs accidents tragiques.

Le chauffeur du véhicule a échappé de justesse à un lynchage grâce à l’intervention rapide des forces de l’ordre. La situation a rapidement dégénéré, nécessitant l’intervention des autorités pour rétablir le calme et débloquer le trafic.

Cet incident tragique met en lumière la nécessité urgente de renforcer les mesures de sécurité routière sur cet axe très fréquenté. Les habitants, profondément affectés par la perte de ce jeune, continuent de réclamer des actions concrètes pour éviter que de tels drames ne se reproduisent.

Nos pensées vont à la famille et aux proches de la victime en ces moments douloureux. Nous espérons que des mesures seront prises rapidement pour répondre aux préoccupations des habitants et améliorer la sécurité sur la RN4.

Un mort dans un accident sur la Corniche Ouest

Ce dimanche, un tragique accident s’est produit sur la Corniche Ouest de Dakar, entraînant la mort d’un individu. La victime, qui circulait à moto, a perdu la vie dans des circonstances encore indéterminées.

Les autorités sont sur place pour enquêter et déterminer les causes exactes de cet accident. Les premières informations disponibles ne permettent pas de comprendre pleinement les circonstances du drame, mais une enquête est en cours pour faire la lumière sur cet incident.

La Corniche Ouest, l’un des axes les plus fréquentés de Dakar, est connue pour son trafic dense, et cet accident rappelle une fois de plus l’importance de la prudence sur les routes. Les autorités locales appellent les conducteurs à redoubler de vigilance, en particulier dans les zones à forte circulation.

Nos pensées vont à la famille et aux proches de la victime en cette période difficile. Nous continuerons de suivre cette affaire de près et fournirons des mises à jour dès que de nouvelles informations seront disponibles.

Kolda : Une élève de CM1 meurt tragiquement dans un puits scolaire

Une onde de choc traverse la communauté de Kolda après le décès tragique d’une élève de CM1 de l’école élémentaire du quartier Sinthiang Idrissa. La jeune fille, âgée de dix ans, est tombée dans le puits de l’école alors qu’elle jouait avec ses camarades.

L’incident s’est produit au moment où les enfants se trouvaient près du puits pour chercher de l’eau afin d’effacer les tableaux. Selon un enseignant de l’école, l’administration avait pourtant pris des mesures de sécurité en construisant une margelle autour du puits et en le couvrant avec deux couvercles. Malheureusement, l’un des couvercles était ouvert pour permettre aux élèves de puiser de l’eau, ce qui a conduit à cet accident tragique.

Malgré la rapidité de l’intervention des sapeurs-pompiers, qui ont été alertés et se sont rendus sur les lieux pour repêcher le corps sans vie de la fillette, il était déjà trop tard. La nouvelle de sa mort a plongé la communauté scolaire et le quartier Sinthiang Idrissa dans une profonde tristesse et consternation.

Les funérailles de la jeune élève ont eu lieu ce jeudi en présence de ses parents, enseignants, et camarades de classe. La cérémonie a été marquée par des scènes de deuil intense, reflétant l’impact profond de cette perte sur la communauté.

À quelques semaines de la fin de l’année scolaire, cet événement tragique laisse un vide immense. Les élèves, en particulier ceux de sa classe, sont en état de choc et de tristesse, tandis que sa famille tente de faire face à cette épreuve insurmontable.

Cet incident rappelle douloureusement l’importance des mesures de sécurité dans les établissements scolaires et la nécessité de rester vigilants pour éviter de telles tragédies à l’avenir.

Vélingara : Suspicion de torture mortelle dans le Camp Militaire de Dialadiang

Un drame suscite une vive émotion dans la commune de Paroumba, située dans le département de Vélingara. Gnaly Gnabaly, un jeune homme, aurait été tabassé et torturé à mort dans le camp militaire de Dialadiang. L’incident, rapporté par la société civile de Vélingara, soulève des questions graves sur les pratiques au sein de cette installation militaire.

Le corps sans vie de Gnaly Gnabaly a été transporté au centre de santé de Vélingara, où des signes de blessures et de torture ont été constatés. Une autopsie doit être réalisée à Kolda pour déterminer les circonstances exactes de sa mort.

La société civile de Vélingara, dans un communiqué publié ce lundi 10 juin 2024, détaille les mesures prises suite à cet incident. Informés de la situation, ses membres se sont rendus au centre de santé de Vélingara pour vérifier les faits. Ils ont ensuite rencontré le préfet de Vélingara, avant que le dossier ne soit transféré au sous-préfet de Pakour.

Face à cette situation, la société civile de Vélingara exige l’ouverture d’une enquête judiciaire pour faire toute la lumière sur ce drame. « Compte tenu de tout ce qui a été raconté par la famille de la victime, les tortures et blessures notées, nous exigeons que justice soit faite, » déclare le communiqué. Ils appellent également tous les mouvements de la société civile du département de Vélingara et toutes les populations locales éprises de justice à se mobiliser.

Cet incident soulève de nombreuses interrogations sur les pratiques au sein du camp militaire de Dialadiang et appelle à une transparence totale dans l’enquête. Les habitants de la région et les défenseurs des droits humains insistent sur la nécessité de justice pour Gnaly Gnabaly et de garanties que de tels actes ne se reproduiront plus.

L’appel à l’action lancé par la société civile de Vélingara est un signal fort pour les autorités, indiquant que la population ne tolérera pas l’impunité dans de tels cas de violence et de violations des droits humains. La communauté attend désormais avec impatience les résultats de l’enquête judiciaire et les mesures qui seront prises pour prévenir de futures atrocités.

avec seneweb

Vivez les images du mariage de Tange Tandian et de Néné Gallé à Camberène ce 8 Juin 2024

Le 8 juin 2024, Camberène a été le théâtre d’une célébration exceptionnelle : le mariage de Tange Tandian et de Néné Gallé. Entourés de leurs proches et amis, les jeunes mariés ont échangé leurs vœux dans une ambiance festive et chaleureuse. Découvrez les images de cet événement inoubliable et partagez la joie de cette union marquée par l’amour et la convivialité.

Vivez les Images du Mariage de Tange Tandian et de Néné Gallé à Camberène ce 8 Juin 2024

Incendies mystérieux ravagent le village de Thiemping

Les habitants du village de Thiemping, dans le département de Matam, sont plongés dans l’angoisse alors que des flammes dévastatrices continuent de réduire en cendres plusieurs maisons depuis maintenant 21 jours. Malgré leurs efforts désespérés, utilisant des sceaux et des bassines pour tenter d’éteindre les incendies, l’absence des sapeurs-pompiers est vivement dénoncée.

Des témoins ont partagé leurs inquiétudes avec Sud Quotidien, exprimant leur frustration face à la situation catastrophique. « Nous utilisons tous les moyens à notre disposition pour lutter contre les flammes », témoigne l’un des habitants. « Mais sans l’intervention des sapeurs-pompiers, nos efforts sont vains. »

Face à l’impuissance des autorités, les populations locales se sont organisées temporairement pour faire face à cette crise sans précédent. Cependant, l’origine de ces incendies demeure un mystère, alimentant les spéculations et les interrogations au sein de la communauté.

Alors que le village de Thiemping lutte pour sa survie, les habitants restent sur le qui-vive, redoutant chaque nouvelle flambée. En attendant des réponses, l’incertitude règne, laissant planer une atmosphère de peur et d’incertitude sur cette communauté autrefois paisible.

Arrestation du fils d’Idrissa Seck pour trafic de drogue : Un coup dur pour la famille et la politique sénégalaise

L’arrestation d’Abdoulaye Seck, fils de l’éminent homme politique sénégalais Idrissa Seck, pour trafic international de drogue, a secoué le pays et révélé les profondes ramifications de la criminalité dans la société sénégalaise. Cette affaire, qui a éclaté avec fracas, met en lumière les défis persistants auxquels sont confrontées les autorités dans leur lutte contre le trafic de drogue et d’autres activités criminelles.

La nouvelle de l’arrestation d’Abdoulaye Seck a été accueillie avec stupéfaction et consternation par l’opinion publique sénégalaise. En tant que fils d’une figure politique influente, son implication présumée dans un réseau de trafic de drogue a ébranlé les fondements de la confiance du public dans les élites politiques et sociales du pays.

Selon les informations rapportées par les médias locaux, Abdoulaye Seck aurait été appréhendé en possession de 18 kg de cocaïne lors d’une opération conjointe menée par l’Ocrtis et les forces de sécurité dans plusieurs régions du pays, notamment Dakar, Kaolack et Mbour. Cette saisie spectaculaire a mis en lumière l’ampleur du trafic de drogue et la sophistication des réseaux criminels qui opèrent au Sénégal.

L’arrestation d’Abdoulaye Seck risque de porter préjudice à la réputation politique d’Idrissa Seck et de son parti, Rewmi. En effet, cette affaire met en lumière les défis auxquels sont confrontés les dirigeants politiques dans la préservation de l’intégrité de leur famille et dans la lutte contre la criminalité. Elle soulève également des questions sur la responsabilité et la transparence des élites politiques dans la gestion des affaires publiques.

Cette affaire rappelle l’urgence pour les autorités sénégalaises de redoubler d’efforts dans la lutte contre le trafic de drogue et autres formes de criminalité. Il est impératif de renforcer les capacités des forces de sécurité, d’améliorer la coordination entre les différentes agences chargées de l’application de la loi et de garantir un système judiciaire efficace et équitable pour tous les citoyens.

L’arrestation d’Abdoulaye Seck pour trafic de drogue représente un moment de vérité pour la société sénégalaise. Elle met en lumière les défis auxquels sont confrontées les autorités dans la lutte contre la criminalité et souligne l’importance de l’intégrité et de la responsabilité des élites politiques dans la préservation de la sécurité et de la stabilité du pays.

RFM : Sidaty Thioune suspendu pour ses commentaires sur l’administration du Président Diomaye

Une controverse secoue actuellement la Radio Futurs Médias (RFM) suite à la suspension de Sidaty Thioune, l’un de ses animateurs, par El Hadj Assane Gueye, directeur de la station. Cette suspension fait suite à des commentaires faits par Thioune concernant ses analyses depuis que le Pr Diomaye est au pouvoir.

Sidaty Thioune, connu pour ses interventions pointues et parfois critiques sur les affaires politiques, a récemment exprimé son point de vue sur l’administration du Pr Diomaye, ce qui aurait provoqué une réaction de la part de la direction de la RFM.

Selon des sources internes à la station, la suspension de Thioune a été décidée par El Hadj Assane Gueye en raison de la nature de ses commentaires, jugés inappropriés ou dérangeants par la direction. Cependant, certains membres du personnel de la RFM et des auditeurs ont exprimé leur désaccord avec cette décision, soulignant l’importance de la liberté d’expression et de la diversité des opinions dans les médias.

Cette affaire soulève des questions sur la liberté des médias au Sénégal et sur le rôle des journalistes et des animateurs dans la société. Alors que certains estiment que la suspension de Thioune constitue une tentative de museler la critique et de restreindre la liberté d’expression, d’autres soutiennent que les médias ont le devoir de maintenir des normes éthiques et professionnelles, notamment en ce qui concerne la couverture politique.

Il est important de noter que la RFM n’a pas encore publié de déclaration officielle concernant cette affaire, et les détails précis de la suspension de Thioune restent encore flous. Cependant, cette controverse met en lumière les tensions potentielles entre la liberté d’expression et la responsabilité éditoriale dans le contexte des médias sénégalais.

En attendant, les réactions à la suspension de Sidaty Thioune continuent d’affluer, reflétant les préoccupations croissantes quant à l’indépendance et à l’intégrité des médias dans le pays.

Un différend amoureux dégénère en violence aux HLM Montagne de Dakar : un jeune poignardé

Une histoire d’amour a dégénéré en drame aux HLM Montagne de Dakar lorsque deux jeunes hommes, C. Diouf (22 ans) et B. Sène (20 ans), se sont affrontés violemment à cause d’une fille. La querelle entre les prétendants a culminé lorsque Diouf a poignardé Sène au ventre, mettant ainsi fin à une dispute passionnelle.

L’incident a été rapidement maîtrisé par les forces de l’ordre du commissariat de Biscuiterie-HLM, qui ont rapidement arrêté Diouf sur les lieux du crime. Pendant ce temps, Sène a été retrouvé gisant au sol, gravement blessé au ventre.

Les premiers secours ont été prodigués sur place avant que Sène ne soit transporté à l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff par les sapeurs-pompiers pour recevoir des soins médicaux urgents. Pendant ce temps, Diouf a été placé en garde à vue dans les locaux de la police pour répondre de ses actes.

Cet incident tragique met en lumière les tensions souvent présentes dans les relations amoureuses, qui peuvent parfois dégénérer en violence extrême. Les autorités policières enquêtent sur l’affaire pour déterminer les circonstances exactes de l’attaque et prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et la justice pour toutes les personnes impliquées.

Accident mortel sur la VDN : 3 victimes dénombrés…

La route fait encore des victimes. Le drame s’est produit dans la capitale sénégalaise, sur la voie de dégagement Nord (Vdn).

Une collision entre deux bus Tata 44 a fait trois morts d’après des témoins qui ont contacté Seneweb.

Nous y reviendrons avec plus de détails…

Photos inattendues de Gabriel Kane en maillot de bain : une nouvelle facette révélée

La publication de photos de Gabriel Kane en maillot de bain surprend les internautes, dévoilant une facette inattendue de la dame. Connu pour son rôle de défenseur de Adji Sarr, cette nouvelle image suscite des réactions variées et offre un nouvel éclairage sur la personnalité publique de Gabriel Kane.

Incendie dans les locaux de la télévision Walfadjiri : Pas de victime mais des dégâts matériels importants

Le mardi aux alentours de 19 heures, un incendie s’est déclaré dans les locaux de la télévision Walfadjiri, située dans une localité non précisée. Selon les premières informations disponibles, le feu a ravagé le studio principal, où se déroulaient la plupart des émissions de la chaîne.

Bien que des dégâts matériels importants aient été signalés, aucune victime n’a été à déplorer. Les équipes présentes sur place ont rapidement réagi pour évacuer les lieux et assurer la sécurité du personnel.

Les premières constatations laissent penser qu’un court-circuit électrique pourrait être à l’origine de l’incendie. Les pompiers dépêchés sur les lieux ont pu maîtriser les flammes et limiter les dégâts, évitant ainsi une propagation plus importante du sinistre.

Cet incident souligne l’importance des mesures de prévention des incendies et de la formation du personnel aux procédures d’évacuation d’urgence. Les autorités compétentes devraient mener une enquête approfondie pour déterminer les circonstances exactes de l’incendie et mettre en place les mesures nécessaires pour éviter qu’un tel événement ne se reproduise à l’avenir.

Découverte macabre à Diamaguène Ndiobène : un fœtus retrouvé dans une poubelle

Une découverte choquante a été faite ce dimanche matin dans le quartier Diamaguène Ndiobène de Kaffrine. Un fœtus, enveloppé dans un sachet plastique, a été retrouvé abandonné dans une poubelle, selon les informations obtenues par Seneweb auprès d’une source proche de l’affaire.

Les autorités locales ont été alertées, et les agents du commissariat central de Kaffrine se sont rapidement rendus sur les lieux pour enquêter. Sur place, ils ont constaté que le fœtus semblait avoir tous ses membres corporels, laissant supposer qu’il s’agissait d’un avortement volontaire récent.

Face à cette découverte macabre, les sapeurs-pompiers ont été appelés pour récupérer le corps, qui a ensuite été transporté à la morgue de l’hôpital régional du Kaffrine. Pendant ce temps, les forces de l’ordre, dirigées par le commissaire Balla Fall, ont commencé à rechercher activement la personne responsable de cet acte présumé d’interruption volontaire de grossesse.

Cette affaire suscite une profonde consternation dans la communauté locale, et les autorités locales ont fermement condamné cet acte de cruauté envers un être sans défense. Une enquête approfondie est en cours pour identifier l’auteur de cet acte répréhensible et garantir que justice soit rendue.

Tensions foncières à Keur Mousseu : Affrontements entre employés et vigiles d’une exploitation agricole

La commune de Keur Mousseu, située dans le département de Thiès, a été le théâtre de violents affrontements fonciers entre les employés et les vigiles d’une exploitation agricole, alimentant ainsi les craintes d’un conflit latent qui éclate au grand jour.

Au cœur de cette escalade de tensions se trouve un différend foncier opposant un promoteur immobilier, à la tête de la Société Nouvelle Ville (SNV), et un agro-businessman, gestionnaire du projet agricole Qualité Végétale Sénégal (QVS). La querelle porte sur des hectares de terre, un enjeu crucial dans une région où l’agriculture est un pilier économique majeur.

Les travailleurs de QVS, ainsi que les habitants des communes voisines de Keur Mousseu et Diass, se sont mobilisés massivement ce vendredi matin, exprimant leur colère en bloquant temporairement l’autoroute à péage près de Kirène. Leur protestation vise à contester les prétentions d’extension de propriété du promoteur immobilier, qui pourraient empiéter sur les terres déjà attribuées à QVS.

Les tensions ont atteint un point critique lorsque le promoteur immobilier, en attente de l’arrivée des gendarmes de la Dscos, a dû se retirer précipitamment pour éviter une confrontation directe avec les travailleurs en colère. Des pneus ont été incendiés sur la chaussée, rappelant des scènes de conflit bien plus dramatiques.

Ce litige foncier, au-delà de ses implications immédiates, soulève des questions plus larges sur la gestion des ressources foncières au Sénégal. Les conflits de ce type sont malheureusement fréquents dans le pays, mettant en évidence les défis persistants en matière de gouvernance foncière et de régulation du secteur agricole.

Alors que les tensions demeurent vives à Keur Mousseu, il est impératif que les autorités locales et nationales interviennent de manière décisive pour prévenir toute escalade de la violence et pour trouver des solutions durables aux litiges fonciers qui menacent la stabilité et le développement économique de la région.

Une affaire de violence conjugale secoue le tribunal de Thiès : une femme condamnée pour avoir versé du thé chaud sur son époux

Un cas de violence conjugale a ébranlé le tribunal de grande instance de Thiès, mettant en lumière les conséquences tragiques de la jalousie et de la colère non maîtrisée au sein des foyers. B. Ba, mère de quatre enfants, a été jugée pour avoir agressé son époux, L. Badji, lors d’une dispute houleuse motivée par de simples soupçons d’infidélité.

Les faits remontent au jour où B. Ba a surpris son mari en pleine conversation téléphonique sur la terrasse de leur domicile. Prise d’une crise de jalousie, elle l’accuse immédiatement d’infidélité, déclenchant ainsi une dispute violente. Dans un accès de rage, elle verse du thé chaud sur le visage de son époux avant de lui asséner des gifles et des coups de poing.

La situation a rapidement dégénéré, forçant L. Badji à se défendre pour échapper à l’attaque de sa femme en furie. Grièvement blessé, il a dû être hospitalisé pour recevoir des soins.

Suite à cette agression, L. Badji a porté plainte contre son épouse pour coups et blessures volontaires. Devant la barre du tribunal départemental de Thiès, B. Ba a reconnu les faits, affirmant qu’elle ne pouvait tolérer le comportement de son mari dans leur propre maison.

De son côté, L. Badji a témoigné des accusations d’infidélité portées à son encontre par sa femme, ainsi que de l’agression dont il a été victime.

Après examen des témoignages et des preuves présentées, le procureur de la République a requis l’application de la loi. Le juge a déclaré B. Ba coupable et l’a condamnée à verser la somme de 300 000 F CFA à L. Badji en guise de dommages et intérêts.

Cette affaire tragique souligne l’importance cruciale de lutter contre la violence domestique et de promouvoir des relations saines et respectueuses au sein des couples.

Pornographie : 16 sextapes, tournées le jour de la Korité, divulguées

Âgés entre 16 et 20ans au maximum, des jeunes sénégalais se sont adonnés à des rituels sexuels aussi scandaleux les uns que les autres.
Pour assouvir leurs fantasmes sexuels, certaines de ces jeunes filles utilisent même des objets dangereux tel qu’une barre de fer introduite dans l’appareil génital. D’autres ont opté pour des plans à 3 (partouze).

Dans des « hôtels », appartements à louer, chambres de passe , certains de ces adolescents ont éprouvé un malin plaisir d’immortaliser le moment en se filmant et à visage découvert.

Via les réseaux sociaux, si certains internautes se disent scandalisés d’autres, curieux, se partagent les 16 vidéos en message privé.

Les faits se sont déroulés le jour de la korité à Mbour, à Saly, Dakar…

Habib Bèye : Une Vie Professionnelle Couronnée de Succès et une Nouvelle Romance

Ancien joueur professionnel de football devenu entraîneur, Habib Bèye marque l’histoire avec ses réussites sportives et sa récente histoire d’amour avec Sidonie Biémont, ex-compagne du footballeur Adil Rami.

Né en France, Habib Bèye s’est illustré sur les terrains de football, notamment au sein de clubs prestigieux comme l’Olympique de Marseille et Newcastle United. En parallèle de sa carrière de joueur, il a également représenté le Sénégal au niveau international, participant à des compétitions majeures comme la Coupe d’Afrique des Nations.

Père de trois enfants, Habib Bèye a su concilier vie professionnelle et personnelle malgré les défis. Après sa séparation avec son ancienne compagne, Éva, il a trouvé un nouvel équilibre dans sa carrière d’entraîneur. Depuis 2021, il occupe le poste d’entraîneur du Red Star, une équipe de football basée en banlieue parisienne.

Grâce à ses compétences et à son dévouement, le Red Star a connu un succès remarquable, se positionnant en tête du classement du championnat National. Cette ascension professionnelle a été accompagnée d’une nouvelle romance pour Habib Bèye.

En effet, depuis 2022, il est en couple avec Sidonie Biémont, mannequin de renom et ancienne compagne d’Adil Rami. Leur relation, bien que discrète, n’a pas échappé à l’attention du public, notamment lors de leurs apparitions ensemble lors d’événements sportifs ou sociaux.

Sidonie Biémont, après une période difficile suite à sa séparation avec Adil Rami, a trouvé un nouveau bonheur aux côtés de Habib Bèye. Outre sa carrière de mannequin, elle s’est également illustrée dans l’événementiel et à la télévision, participant notamment à l’émission « Vendredi tout est permis » sur TF1.

Le couple, bien que préférant garder une certaine discrétion, affiche ouvertement son amour et son soutien mutuel, témoignant ainsi d’une relation épanouie et harmonieuse.

Tragédie sur les routes : Un accident à Adeane fait un mort et trois blessés graves

Une journée qui aurait dû être ordinaire s’est transformée en un cauchemar pour la communauté d’Adeane ce vendredi 5 avril 2024. Aux abords du village de Sindone, après Agnack, un accident de la route a plongé la région de Ziguinchor dans le deuil, laissant un mort et trois personnes grièvement blessées.

Les circonstances de l’accident restent encore floues, mais les premiers rapports indiquent qu’un véhicule de transport en commun en provenance de Ziguinchor a subitement perdu le contrôle de sa trajectoire. Le véhicule a dévié de la route pour finalement s’écraser violemment contre un arbre à proximité.

Malgré l’intervention rapide des secours, la violence du choc a entraîné la mort tragique d’une personne sur les lieux même de l’accident. Trois autres passagers, sérieusement blessés, ont été rapidement transportés vers le centre hospitalier régional de Ziguinchor pour y recevoir des soins médicaux urgents.

Ce drame rappelle une fois de plus les dangers qui guettent sur nos routes, mettant en évidence l’importance cruciale du respect des règles de sécurité routière et de la prudence au volant. Les autorités compétentes ont ouvert une enquête pour déterminer les causes exactes de l’accident et prendre les mesures nécessaires pour éviter de tels événements tragiques à l’avenir.

En ces moments difficiles, la communauté d’Adeane et toute la région de Ziguinchor expriment leurs condoléances les plus sincères à la famille et aux proches de la victime, tout en souhaitant un prompt rétablissement aux blessés.

Tragédie sur la Vdn 3 : 4 morts, une famille dévastée par un accident mortel

Une collision tragique entre un bus de transport Dakar Dem Dikk (DDD) et un taxi sur la Vdn 3 a endeuillé une famille entière, faisant quatre victimes. Selon les détails rapportés par L’Observateur, le terrible accident s’est déroulé lorsque le bus, spécialement affrété pour le transport du personnel d’une entreprise, roulant à grande vitesse en direction de Yoff, a percuté violemment le taxi qui était garé sur le bas côté de l’autoroute pour permettre à ses passagers de descendre.

Le conducteur du bus a tenté de dépasser le taxi par la droite, ce qui a entraîné la collision. Le taxi a été traîné sur plusieurs mètres, laissant le véhicule complètement détruit, avec quatre de ses occupants à l’intérieur.

Le bilan de cet accident est tragique. Parmi les victimes se trouvaient un couple nigérian, leurs deux enfants et l’un de leurs proches. Le père de famille, qui était descendu du véhicule, a été confronté à l’horreur de découvrir que ses deux enfants, âgés de 6 et 13 ans, ainsi que son épouse, ont perdu la vie sur le coup. Le taximan, identifié comme P. C. Ndoye, a également perdu la vie dans cet accident dévastateur.

Un cinquième ressortissant nigérian a été transporté en urgence à l’hôpital Dalal Jam de Guédiawaye pour recevoir des soins.

Le conducteur du bus s’est rendu à la police pour être entendu dans le cadre de l’enquête sur les circonstances exactes de l’accident.

Cette tragédie bouleversante rappelle l’importance cruciale de la sécurité routière et la nécessité pour tous les usagers de la route de respecter les règles de conduite. Alors que cette famille est dévastée par la perte soudaine de ses proches, la communauté toute entière pleure ces vies perdues dans cette collision évitable.

Affaire Seydina Mouhamed Diop : Arrestation de six policiers impliqués dans des circonstances troubles

La mort tragique de Seydina Mouhamed Diop dans des circonstances troubles à la suite d’une intervention policière à Pikine, dans la nuit du 24 au 25 mars, a secoué la communauté et a déclenché une enquête intense pour faire la lumière sur cet événement tragique.

Selon les informations relayées par Libération, six éléments du commissariat de Pikine, soupçonnés d’avoir causé les blessures ayant conduit au décès de la victime, ont été arrêtés et placés en garde à vue par leurs collègues de la Division des Investigations Criminelles (DIC). Ces arrestations font suite à une ordonnance du procureur de Pikine-Guédiawaye, signifiant une avancée significative dans l’enquête.

Cependant, un septième policier, qui faisait partie de l’équipe de nuit impliquée, a été disculpé, ajoutent les rapports. L’enquête s’est principalement appuyée sur le témoignage d’un jeune homme arrêté en même temps que la victime lors des événements en question. Il a révélé que les policiers avaient conduit les deux jeunes vers le Technopole pour les agresser. Alors que le témoin a survécu à ses blessures, Seydina Mouhamed Diop a malheureusement succombé après son hospitalisation.

L’intervention musclée du commissariat de Pikine avait provoqué des émeutes dans la localité, les résidents dénonçant fermement cette violence policière. Des manifestations avaient éclaté, bloquant certaines artères et conduisant même à l’incendie d’un bus de la compagnie Dem Dikk.

Ces développements récents marquent un tournant dans cette affaire qui a ému et indigné de nombreuses personnes. L’arrestation des suspects est un premier pas vers la justice pour Seydina Mouhamed Diop et sa famille, mais cela souligne également l’importance cruciale de la transparence et de la responsabilité dans les opérations de maintien de l’ordre.

Polémique autour de l’absence de Ndakhté Lo au mariage de Diarra Thiès : Diarra Thiès contredit les déclarations de Ndakhté Lo

La récente célébration du mariage de Diarra Thiès, membre éminent de la scène artistique sénégalaise, a été émaillée d’une controverse quant à l’absence de la chanteuse et actrice Ndakhté Lo à l’événement. Cette situation a suscité des réactions mitigées et des déclarations contradictoires, jetant ainsi une lumière crue sur les relations interpersonnelles au sein de la sphère artistique sénégalaise.

Ndakhté Lo, connue pour son rôle dans la série populaire « Virginie » et pour sa participation au groupe musical « Sen Petit Gallé », a initialement affirmé publiquement qu’elle n’avait pas assisté au mariage de Diarra Thiès faute d’avoir été invitée. Cependant, cette déclaration a été rapidement contredite par Diarra Thiès elle-même, qui a assuré que tous les invités avaient bel et bien reçu une invitation.

Cette controverse a mis en lumière des tensions sous-jacentes et des malentendus au sein de la communauté artistique sénégalaise. L’absence de Ndakhté Lo à l’événement, combinée à ses déclarations initiales, a suscité des interrogations quant aux relations entre les deux artistes et aux circonstances entourant l’invitation au mariage de Diarra Thiès.

Toutefois, la clarification apportée par Diarra Thiès selon laquelle tous les invités avaient été conviés met fin à une partie de la controverse. Il semble donc que l’absence de Ndakhté Lo au mariage de Diarra Thiès soit plutôt due à un choix personnel de ne pas y assister, plutôt qu’à un manquement de l’organisation en termes d’invitation.

Cette situation souligne l’importance d’une communication claire et ouverte dans tous les aspects de la vie sociale et professionnelle, en particulier au sein de la communauté artistique où les relations interpersonnelles jouent un rôle crucial. Espérons que cette controverse serve de leçon et encourage une meilleure compréhension et une résolution pacifique des malentendus à l’avenir.

Émission « Confidence » : Éva Touré, un vent de fraîcheur dans l’équipe

L’émission « Confidence » connaît un renouveau avec l’arrivée d’Éva Touré pour remplacer Mame Coumba. Avec son charme naturel, sa voix apaisante et son élégance, Éva Touré apporte une nouvelle énergie à l’équipe.

Les téléspectateurs sont impatients de découvrir cette nouvelle recrue, dont le profil promet d’apporter une touche de dynamisme et d’authenticité à l’émission. Son visage rayonnant et sa présence charismatique devraient séduire un large public.

Cette transition marque un tournant dans l’histoire de « Confidence », et les attentes sont grandes quant à la contribution d’Éva Touré à cette émission déjà appréciée du public. Nous lui souhaitons la bienvenue et avons hâte de la voir briller dans son nouveau rôle.

Un tragique incident à Touba : Décès d’un ressortissant gambien retrouvé pendu

La ville sainte de Touba est endeuillée par un événement tragique, avec la découverte d’un corps en état de décomposition avancée, identifié comme étant celui d’un jeune ressortissant gambien âgé de 23 ans. La victime, souffrant de problèmes mentaux, avait quitté son pays d’origine pour recevoir des soins à Touba, la capitale du mouridisme.

Le drame a débuté lorsque la Brigade de Proximité de Touba Bélel a été alertée de la disparition du jeune patient, nommé K. Cissé, vendredi dernier. Les autorités ont immédiatement lancé un avis de recherche et ouvert une enquête pour retrouver sa trace.

Malheureusement, les recherches ont abouti à une découverte bouleversante : le corps du ressortissant gambien a été retrouvé pendu dans un domicile en construction. Les sapeurs-pompiers, appelés sur les lieux, ont constaté que le corps était dans un état de putréfaction très avancée.

La gendarmerie de Bélel s’est également rendue sur place pour mener les investigations nécessaires. Le corps a ensuite été transporté à l’hôpital Cheikhoul Ahmadou Khadim de Touba pour des examens médicaux approfondis et pour permettre son identification formelle.

Cet incident tragique soulève des questions sur les défis auxquels sont confrontées les personnes souffrant de troubles mentaux, ainsi que sur la nécessité de renforcer les services de santé mentale et de soutenir ceux qui en ont besoin. Les autorités locales sont appelées à enquêter sur les circonstances entourant le décès de ce jeune homme et à prendre des mesures pour prévenir de tels incidents à l’avenir.

Cette perte inattendue a plongé la communauté dans la tristesse et la réflexion, mettant en lumière l’importance de fournir un soutien adéquat aux personnes vulnérables et de promouvoir la sensibilisation aux problèmes de santé mentale au sein de la société.

Outrage Public : Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra convoquées par les autorités de Cybercriminalité

Une querelle en ligne entre Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra a pris une tournure judiciaire alors que les autorités de cybersécurité ont été alertées sur des échanges injurieux sur les réseaux sociaux. Selon des sources de Seneweb, les patrouilleurs du web de la Division spéciale de cybersécurité ont remarqué ces échanges et ont agi en conséquence.

Une convocation a été émise à l’encontre des deux protagonistes ce jeudi. Cependant, l’une des parties a demandé un report de convocation, préférant répondre à l’appel demain vendredi.

Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra pourraient faire face à des accusations d’outrage public aux bonnes mœurs, selon nos informations.

Cette affaire met en lumière les défis croissants posés par les échanges en ligne et souligne l’importance croissante pour les autorités de prendre des mesures contre les comportements répréhensibles sur Internet.

Scandale Financier chez Orabank : Le Chef d’Agence accusé de vol de 400 Millions de F CFA

Après le récent scandale impliquant 6 milliards de francs CFA, Orabank se retrouve à nouveau au centre d’une affaire financière retentissante. Cette fois, selon les révélations de L’Observateur, un montant de 400 millions a été détourné du compte Wave au sein de l’établissement financier.

Selon les informations fournies, 11 suspects ont été appréhendés par la Division des investigations criminelles (DIC) et inculpés pour une série de délits, notamment l’association de malfaiteurs, le vol aggravé, l’intrusion frauduleuse dans un système bancaire, le faux et l’usage de faux en écritures privées de banque, ainsi que la complicité de ces mêmes chefs d’accusation.

L’enquête a été déclenchée suite à une plainte déposée par le directeur juridique et contentieux d’Orabank, Aliou Watt. Les investigations ont révélé que plusieurs membres du groupe de malfaiteurs étaient titulaires de comptes bancaires dans l’établissement, avec comme cerveau présumé le chef d’agence d’Orabank de Diamniadio, E. C. Dia.

Selon le mode opératoire détaillé par L’Obs, le chef d’agence aurait transféré les fonds volés dans 14 comptes différents afin d’éviter de soulever des suspicions chez les contrôleurs. Les clients de la banque étaient alors en mesure de retirer l’argent détourné. Par exemple, l’un des détenteurs de compte, P. D. Ka, aurait reçu un virement de 28 millions.

Lorsqu’il a été interrogé par son gestionnaire de compte sur l’origine de cette somme, le suspect a prétendu qu’elle provenait des États-Unis. Il aurait ensuite utilisé une partie de cet argent pour acheter un véhicule, avant de confier le reste à un ami, S. Keita, pour éviter les questions embarrassantes de son gestionnaire de compte. Ce dernier a été arrêté sur place par les autorités.

D’autres individus, tels que S. I. Sarr, A. Ciss, et G. O. A. Simba, également arrêtés, sont accusés d’avoir reçu des sommes allant de 7 à 27 millions.

Ce nouveau scandale financier secoue une fois de plus le secteur bancaire et soulève des questions sur la sécurité des fonds déposés dans les institutions financières. Il met également en lumière l’importance d’une surveillance accrue et de mécanismes de contrôle plus rigoureux pour prévenir de tels abus à l’avenir.

Adji Sarr : Révélations sur un Exil Annoncé

Les images de Adji Sarr poussant un charriot rempli de valises dans un aéroport étranger a fait le tour des réseaux sociaux. Certaines voix affirment que l’ancienne masseuse débarquait ainsi en Suisse. Mais L’Observateur rapporte dans son édition de ce mercredi qu’«il sembleraient que la réalité sur sa destination soit tout autre».

«Le point de chute de l’accusatrice de Ousmane Sonko serait le Canada, avance le journal. D’après une source proche de Adji Sarr, cette dernière aurait quitté le Sénégal il y a plusieurs jours, pour se rendre en Mauritanie. C’est via ce pays frontalier qu’elle aurait pris les airs en direction du Canada où elle est arrivée avant-hier [lundi 25 mars] dans la matinée.»    

Le quotidien du Groupe futurs médias déclare que «les raisons de ce voyage, en toute discrétion, restent encore inconnues». Il se demande si celui-ci ne serait pas lié à l’accession au pouvoir de Bassirou Diomaye Faye de Pastef, parti de Sonko.

 

EXCLUSIF : Baïdy Amar décédé d’une overdose : Résultats de l’autopsie révélés

Dans une nouvelle étape cruciale de l’enquête sur la mort de Baïdy Amar, fils du défunt milliardaire Ameth Amar, des révélations exclusives ont été obtenues par Seneweb. Selon les résultats de l’autopsie transmis aux enquêteurs du commissariat d’arrondissement du Plateau, le décès de Baïdy Amar est attribué à une overdose.

Le médecin légiste chargé de l’autopsie a déterminé que le décès de Baïdy Amar était dû à un arrêt cardiorespiratoire, probablement causé par une intoxication due à une dose excessive inhalée de substances. Cette conclusion met en lumière la gravité de la consommation de drogue présumée de la victime.

Les résultats des tests urinaires, réalisés après une prise de sang, ont confirmé la présence de substances illicites dans le système de Baïdy Amar. Ces résultats positifs à la consommation de drogue, selon nos sources, étayent l’hypothèse d’une overdose liée à une consommation excessive de substances psychoactives.

Des informations provenant du dossier suggèrent que Baïdy Amar était un consommateur régulier de drogues diverses, notamment de cocaïne, de chanvre indien et d’oxyde d’azote. Cette révélation soulève des questions sur les habitudes et les pratiques de la victime en matière de consommation de drogue, ainsi que sur les circonstances entourant son décès.

Des prélèvements supplémentaires ont été effectués pour réaliser des tests toxicologiques approfondis. Les résultats de ces tests sont attendus et pourraient fournir des informations supplémentaires sur les substances spécifiques retrouvées dans le système de la victime. Cependant, ces résultats ne sont pas encore disponibles pour les enquêteurs du commissariat du Plateau.

La révélation de ces résultats d’autopsie met en lumière la complexité de l’enquête sur la mort de Baïdy Amar et soulève de nouvelles questions sur les circonstances entourant son décès. Alors que l’enquête se poursuit, les autorités cherchent à obtenir une image plus claire des événements ayant conduit à la tragédie et à identifier d’éventuels responsables. Restez à l’écoute pour des mises à jour alors que cette histoire continue de se développer.

Mort de Baïdy Amar : Premiers éléments de l’enquête révélés

Dans un développement tragique qui a secoué la communauté, la mort de Baïdy Amar a suscité une enquête approfondie pour éclaircir les circonstances entourant ce décès survenu dans un appartement du Plateau, comme rapporté par Libération dans son édition de ce lundi.

Selon les premières informations rapportées, le corps sans vie de Baïdy Amar ne présentait aucun signe évident de violence physique. Cependant, des éléments troublants ont émergé de la scène du drame. Des traces de cocaïne ont été découvertes dans l’appartement où se tenait une soirée arrosée la nuit précédente.

La présence de substances illicites sur les lieux soulève des questions sur les événements ayant conduit à cette tragédie. Les autorités ont pris des mesures en conséquence, plaçant en garde à vue des amis de la victime qui étaient présents lors de cette soirée. Le commissariat du Plateau a ouvert une enquête pour démêler les faits et établir la chronologie des événements qui ont conduit au décès de Baïdy Amar.

Cette tragédie met en lumière les dangers associés à la consommation de drogues et à la tenue de soirées excessives, soulignant l’importance de la prudence et de la responsabilité dans de telles situations. Alors que l’enquête progresse, la communauté attend avec impatience des réponses et des clarifications sur ce qui s’est réellement passé lors de cette soirée fatidique.

La mort de Baïdy Amar est un rappel poignant des conséquences tragiques qui peuvent découler de comportements imprudents et de l’abus de substances illicites. En attendant les conclusions de l’enquête, la communauté est plongée dans le deuil et la réflexion sur la nécessité de promouvoir des choix de vie sains et responsables.

Thiaroye-Sant: Un père de famille a tenté d’égorger ses deux jeunes filles, âgées de 3 et 5 ans

Sous le choc, la communauté de Thiaroye-Sant Yalla a échappé de peu à une tragédie lorsque C. Fall, un père de famille de 51 ans souffrant de troubles psychologiques, a tenté d’égorger ses deux jeunes filles, âgées de 3 et 5 ans.

Le drame a été évité grâce à l’intervention rapide de la police, qui a défoncé la porte de la chambre où C. Fall s’était retranché avec un couteau à la main. Malgré les efforts de la police pour le raisonner, il avait déjà commencé à infliger des blessures à sa fille de 3 ans.

C. Fall sera interné pour recevoir les soins nécessaires, et sa fille, bien que blessée au cou, est hors de danger. L’incident souligne l’importance cruciale de la sensibilisation et du soutien aux personnes souffrant de troubles psychologiques, ainsi que de la vigilance communautaire pour prévenir de tels drames.

Source: Libération

Urgent- Usa : L’ancien lutteur Dieuf-Dieul porte plainte contre le mari de Amina Poté, Malick pour escroquerie…

Malick Fall, mari de la célèbre animatrice, qui vit actuellement au Sénégal est dans de sales draps.

Dans une vidéo virale sur les réseaux sociaux, l’ancien lutteur, Dieuf Dieul basé aux Usa l’accuse d’escroquerie. D’ailleurs selon lui, il devait être présent au tribunal pour solder ses comptes avec eux par rapport à des plaintes sur une affaire d’argent.

Ecoutez les détails partagés sur la page Tik Tok Lamb Diaspora

Tentative de meurtre sur un enfant à Touba : L’auteur avoue sans motif apparent

A. Dieng, un marchand ambulant de Diourbel, en garde à vue pour avoir tenté d’égorger le petit M. Mbacké, fils d’un chef religieux à Touba.

Le commissariat spécial de Touba détient actuellement A. Dieng, un marchand ambulant de 27 ans domicilié à Diourbel, pour tentative de meurtre sur M. Mbacké, un enfant de 6 ans et fils d’un chef religieux. Selon nos sources, l’auteur a avoué son crime sans pouvoir fournir de motif apparent lors de son interrogatoire.

Les premiers éléments de l’enquête révèlent que A. Dieng fréquentait le domicile familial de la victime. Profitant des préparatifs de la prière du vendredi à 14 h, il a emmené l’enfant dans un bâtiment inachevé du quartier Darou Miname. C’est là qu’il a tenté d’égorger le garçon, tranchant la partie postérieure de son cou. Heureusement, M. Mbacké a réussi à s’échapper, ensanglanté, et a couru dans la rue à la recherche d’aide.

C’est sur son chemin vers la mosquée que C. Fall a croisé le petit M. Mbacké. Se rendant compte de la gravité de la situation, il a poursuivi A. Dieng avec l’aide de quelques voisins, parvenant à l’interpeller. Ligoté, le suspect a été roué de coups avant l’intervention des forces de l’ordre.

La perquisition du bâtiment inachevé a révélé un couteau de cuisine et des traces de sang, corroborant ainsi la version du jeune Mbacké. Actuellement hospitalisé, la victime présente une blessure apparente à la partie postérieure du cou. Selon une source médicale, le pronostic vital de M. Mbacké n’est plus engagé.

L’enquête se poursuit pour comprendre les motivations de l’agresseur et déterminer s’il a agi seul ou en complicité. La communauté locale reste sous le choc face à cette tentative de meurtre sur un enfant au sein de la ville sainte de Touba.

Empoisonnement aux tessons de bouteille : la «niarel» envoie la «awo» enceinte et leur mari aux urgences

Émigré établi en France, M. Danfakha et sa première épouse M. D. âgée de 19 ans ont échappé de justesse à la mort. L’Observateur explique que le couple a été transféré aux urgences de l’hôpital régional de Kaolack après avoir été admis à l’hôpital de Tamba.

Selon le journal, l’enquête a établi que les patients sont victimes d’un empoisonnement aux tessons de bouteille. Au banc des accusés, la « niarel », F. Traoré, âgée de 15 ans, avait dissimulé les débris dans le dîner qu’elle a servi aux victimes dans la soirée du 21 décembre 2022.

Face aux enquêteurs, le mari a confié avoir senti, avant que les douleurs ne se déclenchent, « des corps étrangers au moment de prendre le repas. » Ainsi, pour y voir plus clair, il a allumé la lampe de son téléphone et constaté qu’il s’agissait de tessons de bouteilles avant de sommet sa première épouse, enceinte de 8 mois, d’arrêter de manger.

Il a aussi informé les limiers que sa seconde épouse, qui venait de rejoindre le domicile conjugal, n’avait pas mangé après avoir servi le dîner, arguant qu’elle n’avait pas faim.

La fouille de la chambre de la mise en cause a abouti à la découverte d’un sachet en plastique contenant des tessons de bouteille. Arrêtée puis conduite manu militari au commissariat central de Tamba, F. Traoré a avoué son intention de tuer son mari et sa co-épouse.  La « niarel » a été déférée pour tentative de meurtre et administration de substance nuisible. 

seneweb

Drame à la SOGAS : L’Égorgement d’Amadou Diaw révèle un différend surprenant

Un acte d’une violence choquante a secoué les abattoirs de la Société de gestion des abattoirs du Sénégal (SOGAS) avec le meurtre brutal d’Amadou Diaw, survenu lundi matin. Les détails macabres du crime commis par Abdou Mbaye commencent à émerger, et le mobile semble être un différend lié à la vente d’un téléphone portable.

Amadou Diaw a perdu la vie de manière tragique, victime d’une agression féroce qui a choqué l’ensemble de la communauté. Son présumé meurtrier, Abdou Mbaye, a été rapidement appréhendé dans le département de Mbour, à Nguékhoh, grâce à une géolocalisation efficace.

Au cœur de cette tragédie, un téléphone portable défectueux devient le point central du différend entre les deux hommes. Selon des sources, le téléphone aurait été vendu par Amadou Diaw à Abdou Mbaye pour 10 000 F CFA, avec un acompte de 2000 F CFA versé. Cependant, le différend éclate lorsque Diaw réclame le reliquat de 8 000 F CFA à Mbaye.

La situation s’est envenimée au point où des échanges d’injures et des menaces ont été proférés entre les deux protagonistes. « Considère désormais que ta vie est entre mes mains », aurait déclaré Abdou Mbaye, présumé meurtrier, à Amadou Diaw.

Le différend sur la somme modeste de 8 000 F CFA a pris une tournure tragique, aboutissant à l’égorgement d’Amadou Diaw. Cette affaire soulève des questions sur la violence extrême qui peut découler de simples désaccords, mettant en lumière la nécessité d’une résolution pacifique des conflits.

Abdou Mbaye est actuellement en route pour Dakar, où il sera interrogé dans le cadre de l’enquête en cours. Les autorités chercheront à comprendre les circonstances exactes de ce drame et à rendre justice à la victime, Amadou Diaw.

Cette tragédie à la SOGAS rappelle la fragilité de la vie face à des disputes qui, dans ce cas, ont conduit à un dénouement extrêmement dramatique. La communauté est en deuil et attend des réponses quant aux circonstances entourant cet acte insensé.

Arrestation d’un faux marabout qui escroquait des candidats à l’émigration

Le commissariat d’arrondissement de Guinaw-rails a procédé à l’arrestation d’un homme se faisant passer pour un marabout et son complice. Ce duo d’escrocs aurait extorqué plus de 14 millions de F CFA à des individus cherchant à émigrer, en promettant l’obtention de visas pour les États-Unis et l’Italie.

A.Bâ, aspirant à émigrer aux États-Unis, est entré en contact avec A.L.Fall, se présentant comme le petit-fils de Mame Cheikh Ibra Fall, prétendant avoir déjà facilité le voyage de nombreuses personnes. A.L.Fall a promis à A.Bâ l’obtention d’un visa américain moyennant le paiement de 4,5 millions de F CFA. Après avoir encaissé une avance de 2 millions de F CFA, A.L.Fall a rompu tout contact avec sa victime.

A.Bâ, ne parvenant plus à contacter l’escroc, a organisé un rendez-vous avec lui, se faisant passer pour un autre candidat à l’émigration. A.L.Fall est tombé dans le piège et a été arrêté par la police. En garde à vue, il a avoué avoir escroqué A.Bâ et a révélé son mode opératoire, prétendant avoir agi en tant qu’intermédiaire.

A.L.Fall remettait à ses victimes un document d’engagement reconnaissant la réception de l’argent et s’engageant à délivrer le visa dans un délai convenu, promettant le remboursement en cas de non-délivrance. Le préjudice total est estimé à plus de 14 millions de F CFA par sept plaignants.

Un complice, Ibrahima.N, qui recevait une commission de 10% sur chaque somme encaissée, a été interpellé. Sous interrogatoire, il a prétendu être une victime, mais a été placé en garde à vue pour complicité.

A.L.Fall était déjà visé par des plaintes à la Division des investigations criminelles (Dic) et au commissariat de Ndamatou à Touba avant son arrestation.

Les deux individus ont été déférés pour escroquerie et complicité, portant sur une somme dépassant les 14 millions de F CFA. Cette affaire souligne les risques auxquels sont exposés les candidats à l’émigration et la nécessité de rester vigilant face à de potentielles escroqueries.

Mia Guissé, une artiste sensationnelle qui allie musique et passion Footballistique

Mia Guissé, l’artiste chanteuse émérite, éblouit le monde avec son talent musical et sa passion pour le football, spécialement pour le joueur vedette Sadio Mané. Arborent fièrement le maillot N10 🇸🇳, ses photos captivantes reflètent l’union entre l’expression artistique et le fervent soutien à son héros sportif.

Pikine Nietty Mbaar : WhatsApp a sauvé A. Cissé d’une tentative de suicide

Une récente tentative de suicide à Pikine Nietty Mbaar a été avortée grâce à l’intervention rapide des voisins, alertés par un statut WhatsApp alarmant. A. Cissé, une femme de 30 ans, a été sauvée de l’irréparable grâce à la vigilance et à la réactivité de son réseau social virtuel.

À leur arrivée, ils ont découvert la jeune femme en possession d’une bouteille d’acide chlorhydrique, prête à commettre l’irréparable. Leur intervention rapide a permis de maîtriser la situation jusqu’à l’arrivée des policiers de Thiaroye, venus constater les faits et organiser l’évacuation d’A. Cissé vers une structure de soins appropriée.

Cette histoire met en lumière le rôle crucial que peut jouer la technologie dans la prévention des tragédies. WhatsApp, souvent critiqué pour diverses raisons, a ici servi de plateforme d’alerte efficace, contribuant à sauver une vie. Cela souligne également l’importance de rester connecté et attentif aux signaux d’alarme émis sur les réseaux sociaux, afin de créer une communauté virtuelle vigilante et solidaire.

La réactivité exemplaire des voisins d’A. Cissé offre une lueur d’espoir et démontre comment la technologie peut jouer le rôle d’un ange gardien moderne, capable de prévenir des situations tragiques. Cette histoire souligne la nécessité d’une sensibilisation continue sur la santé mentale et l’importance d’une communauté bienveillante, même à travers les frontières virtuelles.

Soupçons de scandale à Guédiawaye : 79 millions FCfa «virés par erreur», le maire Ahmed Aïdara au cœur d’une grave polémique

La Brigade de recherches de Keur Massar mène une enquête sur des soupçons de scandale financier à la Ville de Guédiawaye. Les gendarmes se sont saisis de l’affaire, après avoir reçu un soit-transmis du parquet de Pikine-Guédiawaye.

Dans le cadre de leurs investigations, ils ont placé en garde-à-vue et déféré au parquet, l’entrepreneur Ibrahima Ndao. Ce dernier est sous bracelet électronique. Aussi, les enquêteurs ont entendu le maire de Guédiawaye, Ahmed Aïdara. D’après « Libération », qui révèle cette affaire dans son édition du jour, ce dernier est au cœur du dossier. Ibrahima Ndao affirme lui avoir remis d’importants montants en espèces.

Tout est parti d’un virement de 79 millions 986 mille francs Cfa du Trésor public, dans le compte de l’entrepreneur. C’était une erreur, selon l’édile guédiawayois, entendu par les enquêteurs. «Cette année, explique Ahmed Aïdara, repris par « Libération », nous avons lancé un appel d’offres pour la livraison de fournitures scolaires d’un montant de 79 millions 983 mille 300 francs Cfan que devait réaliser l’entreprise Comptoir commercial Dabakh. Étant donné que l’année dernière, on avait le même marché avec la société Sotrel, dont la personne morale est le sieur Ibrahima Ndao, le secrétaire général Babacar Gaye, qui établissait l’acte d’engagement, s’est trompé en laissant le numéro du compte de la société Sotrel, ce qui a fait que le Trésor public a viré l’argent dans son compte par erreur.»

Versements d’espèces, défaut de décharges

Ibrahima Ndao conteste cette version. «L’argent versé dans mon compte, est mon dû», défend l’entrepreneur face aux gendarmes, affirmant qu’il s’agit d’une partie des 135 millions 640 mille francs Cfa que lui devrait la Ville de Guédiawaye, en contrepartie de prestations réalisées à son profit entre 2022 et 2023.

Quid des prestations supposées ? Ibrahima Ndao cite, notamment, 654 lampadaires (71 940 000 FCfa), 500 poulets (2 millions), 6 tonnes de dattes (14 millions), 9 tonnes de sucre (9,9 millions), des travaux dans le bureau du maire (2 millions) et dans son domicile (9,5 millions). L’entrepreneur évoque aussi des remises d’espèces à Ahmet Aïdara (7 millions, 15 millions, 4 millions, 2,5 millions, 500 000, 10 millions à un de ses proches nommé Oumar Sy…).

« Libération » rapporte que l’édile de Guédiawaye a réfuté ces affirmations de Ndao. «Il ne m’a jamais rien donné, ni en main propre ni par intermédiaire, jure-t-il. Nous n’avons signé aucun marché avec lui cette année. (…) S’il pense qu’on lui doit de l’argent, il n’a qu’à nous montrer des preuves.»

Le journal renseigne qu’Ibrahima Ndao a confessé être incapable de produire des pièces en ce sens, indiquant que tout se faisait «sur la base de la confiance».

«Il n’y avait jamais d’écrit, insiste l’entrepreneur. Ce n’était que des marchés de gré à gré, en présence de témoins. C’est après avoir versé le premier acompte, qu’Oumar Sy m’a envoyé ces documents, donc je viens de savoir que la Ville avait monté un dossier fictif.»

Urgent (Vidéo) : L’émission Balance de Pape Ndiaye Walf arrêtée après une violente dispute sur l’affaire Sonko

No comment ! L’émission Balance de Walf a été interrompue pour sa diffusion de ce mardi suite à des échanges houleux sur le plateau entre le responsable politique de la coalition BBY, Cheikh Gadiaga et les représentants des familles des détenus sur l’affaire Sonko.

Regardez!!

Opération réussie à Fimela : Quatre trafiquants de drogue arrêtés avec 1,5 kg de chanvre indien

La brigade de Fimela, affiliée à la compagnie de Fatick, a récemment mis fin à un réseau de trafic de drogue en appréhendant quatre individus. Selon des sources proches du parquet, ces individus ont été appréhendés en possession de 1,5 kg de chanvre indien.

À la suite d’une enquête menée par les forces de l’ordre, les présumés trafiquants ont été déférés au tribunal de grande instance de Fatick. Après leur comparution, ils ont été placés sous mandat de dépôt en attendant leur jugement, qui est programmé pour ce mercredi.

Cette opération de démantèlement met en lumière les efforts soutenus des autorités locales pour combattre le trafic de drogue, un fléau menaçant la sécurité publique et la santé des citoyens. L’arrestation de ces individus, accompagnée de la saisie d’une quantité substantielle de chanvre indien, témoigne de la vigilance des forces de l’ordre dans la région de Fimela.

Le procès de ces trafiquants permettra de déterminer la nature et l’étendue de leurs activités illicites, renforçant ainsi les mesures de répression contre les trafiquants de drogue opérant dans la région.

Yeumbeul : Un Homme Mortellement Heurté par le TER

Un incident tragique a secoué la communauté de Yeumbeul aujourd’hui, alors qu’un homme a été mortellement heurté par le Train Express Régional (TER). Selon les informations fournies par nos confrères de la Rfm, l’accident s’est produit à hauteur de Yeumbeul Keur Mbaye Fall en cette journée du 16 janvier.

À l’heure actuelle, la circulation du TER est perturbée, avec une interruption entre Rufisque et Yeumbeul. Les autorités ferroviaires sont sur les lieux pour gérer la situation et enquêter sur les circonstances exactes de l’accident.

Cet incident soulève des questions sur la sécurité ferroviaire et met en évidence la nécessité d’une vigilance accrue pour éviter de tels drames. Les habitants de Yeumbeul et des environs sont profondément affectés par cette perte tragique.

La victime, dont l’identité n’a pas encore été révélée, laisse derrière elle une communauté en deuil. Il est crucial que les autorités prennent des mesures pour prévenir de futurs accidents et assurer la sécurité des usagers du TER.

Nous suivrons de près l’évolution de la situation et fournirons des mises à jour dès que de nouvelles informations seront disponibles. En ces moments difficiles, nos pensées vont à la famille et aux proches de la victime.

Saisie record de faux billets à Thiès : Les aveux de l’imam, du chérif et de son chambellan ébranlent la communauté religieuse

Une affaire sensationnelle a récemment éclaté à Thiès, où la police du commissariat de Diamaguène Sicap-Mbao a réalisé une saisie record de trois milliards de F CFA en faux billets. Des personnalités religieuses éminentes, dont l’imam A. A. P., le chérif S. B. Aïdara, et son chambellan M. T., ont avoué être impliqués dans cette entreprise criminelle. Les détails de l’opération policière et les aveux des suspects ont jeté une ombre sur la réputation de la confrérie religieuse à laquelle appartient le chérif.

Déroulement de l’opération policière :

Le commissaire Ousmane Diop a été alerté par un informateur sur l’existence d’un vaste réseau de trafic de faux billets, impliquant un chef religieux et son chambellan domiciliés à Thiès. Selon les investigations, le chambellan servait de couverture à son guide religieux pour dissimuler cette entreprise criminelle. De plus, le bras droit du chérif était suspecté de vouloir blanchir des billets noirs.

Avec l’approbation du procureur, les policiers de Diamaguène Sicap-Mbao ont mis en place un dispositif de surveillance à Thiès, non loin du domicile de S. B. Aïdara. Après une longue planque, les forces de l’ordre ont observé deux suspects entrer dans la concession du chérif. La descente dans le salon du marabout a abouti à la découverte d’un sac contenant des paquets de billets noirs en coupures de dollars, évalués à trois milliards de F CFA.

Bien que le duo suspecté ait réussi à s’échapper, le chérif et son chambellan ont été interpellés. Le chambellan a avoué avoir acquis les billets noirs auprès de l’imam A. A. T. La perquisition a également révélé un pistolet automatique dans l’armoire du marabout. Les investigations ont ensuite conduit à l’arrestation du troisième membre du gang.

Réactions au sein de la communauté religieuse : Cette affaire a provoqué une onde de choc au sein de la communauté religieuse, choquée par l’implication de personnalités respectées dans une activité aussi illégale. Les aveux des suspects soulèvent des questions sur l’intégrité morale au sein de la confrérie religieuse, mettant à l’épreuve la confiance des fidèles.

L’affaire des trois milliards de faux billets saisis à Thiès met en lumière les failles au sein de la communauté religieuse et souligne l’importance d’une vigilance accrue contre les activités criminelles. Les autorités poursuivent leurs enquêtes pour démanteler tout le réseau et garantir que la justice soit rendue.

Troisième attaque en série : Madame Mané en mode sirène à Keur Massar ! (PHOTOS)

La soirée à Keur Massar a pris une tournure féérique alors que Madame Mané a enflammé les festivités de sa troisième attaque d’anniversaire. Vêtue d’une tenue éblouissante qui évoquait une sirène moderne, elle a captivé l’attention de tous les invités présents.

Les festivités, capturées magnifiquement par Mag Vision (@magvision_evens_officiel), ont été empreintes d’une ambiance vibrante et de célébrations. Madame Mané a ébloui l’assistance avec son charme et son élégance, mettant en lumière l’événement marquant de sa troisième attaque d’anniversaire.

Les images partagées sur les réseaux sociaux ont suscité l’admiration de nombreux internautes, soulignant la splendeur de la soirée et la manière dont Madame Mané a incarné l’esprit festif de l’occasion.

Cette troisième attaque d’anniversaire, orchestrée avec style et raffinement, a confirmé la réputation de Madame Mané en tant que maîtresse de cérémonie exceptionnelle et a renforcé l’idée que chaque célébration sous sa houlette est une expérience mémorable.

Les vœux de bonheur, de santé et de succès affluent de toutes parts pour Madame Mané, tandis que ses proches et ses amis continuent de saluer l’éclat de cette soirée exceptionnelle à Keur Massar. Que cette nouvelle année de vie soit remplie de moments aussi magiques et resplendissants que cette troisième attaque.

(Vidéo) Un Miracle à Ngada Yelle : Une Chèvre donne naissance à un agneau

Une nouvelle extraordinaire émanant du village de Ngada Yelle émerveille la communauté locale et suscite l’étonnement : une chèvre a donné naissance à un agneau, créant ainsi une scène qui défie toute explication rationnelle.

Les habitants du village, ainsi que les éleveurs et les curieux, sont témoins d’un phénomène inhabituel alors que la chèvre, normalement destinée à mettre bas des chevreaux, a mis au monde un agneau. L’événement a été salué comme un miracle par la population locale, qui a du mal à expliquer ce prodige.

Les nouvelles se sont rapidement répandues dans la région, attirant l’attention des médias locaux. Les responsables du village ont exprimé leur étonnement face à cette situation exceptionnelle, soulignant que cela défie les lois naturelles de la reproduction animale.

Les habitants se rassemblent pour observer et célébrer ce phénomène extraordinaire, considéré par beaucoup comme un signe divin ou une bénédiction pour le village. Des autorités locales ont été contactées pour enquêter davantage sur cet événement unique et pour recueillir des témoignages des personnes présentes lors de cet accouchement inhabituel.

Cet événement mystérieux a déjà suscité des discussions animées au sein de la communauté et au-delà, laissant les gens se demander s’il s’agit d’un simple hasard ou d’un miracle inexplicable. Les éleveurs, vétérinaires et experts locaux sont sollicités pour fournir des explications sur ce phénomène rare qui demeure, pour l’instant, enveloppé de mystère. Restez connectés pour les mises à jour sur cet événement étonnant qui continue d’intriguer et de captiver la communauté de Ngada Yelle.

Mariage : De nouvelles images de la femme de Sadio Mané révélées sur la toile (photos)

Le mariage très médiatisé de Sadio Mané suscite un engouement particulier sur les réseaux sociaux. De nouvelles images de la future épouse, Mlle Tamba, ont été dévoilées, ajoutant à l’anticipation et à l’excitation des fans et des curieux. Les premières photos de la mariée ont déjà captivé l’attention du public, et la cérémonie, prévue dans la discrétion, alimente les spéculations sur les détails de l’événement.

Les réseaux sociaux sont scrutés de près par les fans, tous à la recherche d’indices sur le déroulement de cette union exceptionnelle. La divulgation de ces nouvelles images rares de Mlle Tamba renforce l’intérêt pour l’événement, d’autant plus que Sadio Mané est une figure très appréciée au Sénégal.

La célébration du mariage de Sadio Mané est attendue avec impatience, et les réseaux sociaux restent le principal canal pour les fans de suivre les développements de cette union très médiatisée.

Divorce : Simona Guatieri se sépare de Diao Baldé Keïta

Le divorce de l’international sénégalais Keita Baldé Diao et de Simona Guatieri, mannequin italienne, suscite de vives polémiques et alimente les discussions sur les réseaux sociaux. Simona Guatieri, âgée de 27 ans, a récemment ravivé le débat en supprimant toutes les photos de mariage avec le footballeur sénégalais de sa page officielle sur Instagram.

Dans un post ultérieur sur sa page, Simona Guatieri a partagé une photo d’elle avec ses deux enfants, Thiago et Isabel Baldé, accompagnée du message « la famille, c’est tout ». Face aux commentaires de ses followers sur le sujet du divorce, Simona a préféré répondre positivement pour confirmer la fin de son mariage avec Keita Diao Baldé.

Keita Baldé Diao et Simona Guatieri s’étaient mariés en mai 2022 sur le lac de Côme en Italie, après cinq ans de vie commune. Le couple a décidé d’officialiser son union, mais seulement 8 mois après le mariage, des rumeurs d’adultère impliquant Keita Baldé ont émergé, le liant à la femme d’un ancien joueur du PSG. Ces événements ont mené au divorce du couple, alimentant ainsi les spéculations et les commentaires sur les médias sociaux.

Tragédie à Tackoyel (Podor) : Un charretier abattu par des douaniers lors d’une course poursuite

Une intervention douanière à Tackoyel (Podor) a viré au drame lorsque des agents ont ouvert le feu sur un charretier, Amadou Mbaye Diop, suspecté de transporter des produits frauduleux. Le tragique incident a coûté la vie à l’homme, atteint de deux balles lors d’une confrontation.

La paisible localité de Tackoyel, située dans la région de Podor, a été le théâtre d’un événement tragique ce jeudi 4 janvier. Des agents de la Douane ont ouvert le feu sur un charretier du nom d’Amadou Mbaye Diop, provoquant sa mort sur le coup.

L’incident s’est déroulé au terme d’une course poursuite tendue, où les douaniers suspectaient le charretier de transporter des produits frauduleux dans sa charrette. La confrontation a pris une tournure dramatique lorsque les agents ont décidé d’utiliser leurs armes à feu.

Amadou Mbaye Diop, touché par deux balles, n’a pas survécu à ses blessures. L’homme est décédé sur les lieux du drame, laissant derrière lui des interrogations sur les circonstances exactes de l’intervention des douaniers et sur les motifs de l’utilisation de la force létale.

Plus d’informations sur cet incident tragique seront disponibles au fur et à mesure du développement de l’enquête. Les autorités compétentes devront élucider les détails de cette confrontation qui a abouti à la perte d’une vie humaine. Cette tragédie soulève également des questions sur les protocoles d’intervention des forces de l’ordre et la nécessité d’une enquête approfondie pour faire la lumière sur les événements ayant conduit à cette issue fatale. Restez à l’écoute pour des mises à jour sur cette affaire en cours.

Affaire Ndella Madior Diouf : Deux bébés décédés, 48 autres retrouvés dans un état préoccupant

Ndella Madior Diouf a été placée en garde à vue par la Sûreté urbaine pour répondre d’accusations d’homicide involontaire dans le cadre de l’affaire « Keur Yeurmandé ». Les autorités ont agi suite à une plainte déposée et à l’autosaisie du procureur de la République après la diffusion de vidéos montrant les conditions des enfants dans la pouponnière.

Une délégation ministérielle, comprenant des représentants des ministères de la Santé et de la Famille, ainsi que le préfet de Dakar, s’est rendue sur place à la pouponnière située à Sacré-Cœur 3. Sur les lieux, les autorités ont découvert 48 bébés dans un état préoccupant, accompagnés de sept nounous et deux assistants.

Les enfants ont été évacués vers les hôpitaux Albert Royer (Hôpital Fann) et Gaspard Camara. Sept nounous et deux assistants ont été conduits à la Sûreté urbaine pour les besoins de l’enquête, tandis qu’une septième nounou, alitée, a été dirigée vers une structure de santé.

Les locaux de la pouponnière ont été fermés et sécurisés par les autorités pour le reste de la nuit. L’enquête se poursuit pour établir les responsabilités dans cette affaire qui a déjà causé la mort de deux bébés et mis en danger la santé de nombreux autres.

media-Senegal

Cité Keur Gorgui : En voulant garer un véhicule, le chauffeur perd le contrôle et tue un agent de l’Etat

Abdou Diouf, chauffeur domicilié à Yarakh a été arrêté par la police, avant hier mardi 19 décembre 2023, pour une histoire d’homicide involontaire. Sans le vouloir, il a tué Omar Ly, chauffeur à la direction du développement de l’artisanat (Apda).
 L’accident s’est passé à la Cité Keur Gorgui. En voulant garer une voiture dans un parking, il a percuté des personnes, assises à côté. 

nformés, les éléments de la police de Dieuppeul ont effectué le transfert sur les lieux. Les deux victimes, Omar Ly et Mamadou Wade ont été acheminés à l’hôpital Suma Assistance.
 Omar, qui a était dans un état critique, a finalement succombé à ses blessures. 
Mamadou, responsable des stationnements à la Marie de Mermoz, s’est retrouvé avec des blessures à la jambe. 
 Arrêté, le conducteur est détenteur d’un permis de conduire. Interrogé sur les circonstances de l’accident, il a déclaré que la voiture est de mode automatique. En faisant sa manœuvre, il a perdu le contrôle en voulant se garer au parking. 
Au terme de sa garde à vue pour homicide involontaire par accident de la circulation, Abdou Diouf a été déféré aujourd’hui devant le procureur de la République.   

seneweb

Rétrospective : Les couples qui se sont séparés en 2023

« On s’est aimé comme on se quitte… » Cette année 2022 n’a pas été épargnée par les séparations et divorces de couples de stars emblématiques du show biz. Le grand public les croyait inséparables, mais la vie commune en a décidé autrement, constate kawtef.come

Astou Dione et Cheikh Yerim Seck ouvrent le bal des divorces

Le célèbre journaliste Cheikh Yerim Seck et Astou Dione se sont séparés en début 2023. Un divorce qui a suscité beaucoup de polémiques sur les réseaux sociaux, car l’union n’a duré que quatre mois.
Après son divorce avec le journaliste, Astou Dione s’est remariée avec un cadre de la Sonatel

Bijoux Ngoné, le 4e divorce

Bijou Ngoné, l’animatrice phare de l’émission « Confrontation » sur la 2sTV, a mis fin à son mariage avec Ibou Ndao, après trois ans de vie commune.
Il s’agit du quatrième divorce de l’animatrice

Ndeye Ndiaye Banaya divorce deux mois après son mariage

L’ex danseuse de Sidy Diop, Ndeye N’diaye Banaya a divorcé avec son mari Maguette Fall après juste deux mois de mariage.

Coumba Bou Ndaw jette son mari après 5 mois de mariage

Connue sous le nom de « Coumba Bou Ndaw » dans la série sénégalaise « Infidèles », Khady Ndiaye de son vrai nom, a mis fin à son mariage avec M. Ndiaye après 5 mois de vie commune.

Le couple Ndakhté Lo et Mario Mbaye bat de l’aile.

La chanteuse Ndakhté Lo a quitté définitivement son mari Mario Mbaye après 11 mois de mariage.
Selon plusieurs sources concordantes, la starlette de Sen Petit Gallé reproche à son mari une infidélité.

Apres un an de mariage: Penda Guissé divorce pour la deuxième fois

L’impensable s’est aussi produit entre Pendo Guissé et son mari. Le couple qui reflétait un parfait amour sur les réseaux sociaux est au point mort.
La chanteuse a mis fin son union avec Pape Diouf.

Rita Hora et Feuneu se séparent après 5 mois de mariage

Connue sous le nom de «Nathalie » dans la série sénégalaise «Karma », Maguette Fall, de son vrai nom, Rita Hora sur les réseaux sociaux a divorcé avec Feuneu, célèbre producteur français d’origine ivoirien.
La planète people a été secouée par l’annonce de leur divorce

Un infirmier de l’hôpital Dalal Jamm vole le chèque d’un hôtel de Somone et tente de récupérer 100 millions F CFA

La brigade de recherches ( BR) de la compagnie de gendarmerie de Keur Massar a encore mis hors d’état de nuire trois malfaiteurs, dont un infirmier en service à l’hôpital Dalal Jamm. Le trio avait tenté de récupérer frauduleusement 100 millions F CFA dans le compte bancaire d’un hôtel basé à Somone. 

N’eût été la ténacité et la persévérance du major Abdou Aziz Kandji, chef de service de la BR de Keur Massar et ses hommes, un montant de 100 millions F CFA allait être retiré frauduleusement du compte bancaire  d’un hôtel basé à Somone.

Ce qui s’est passéUn infirmier en service à l’hôpital Dalal Jamm de Guédiawaye aurait volé un chèque à sa tante qui est la comptable d’un hôtel de Somone, dans le département de Mbour. Après son forfait, A. Diouf est passé par  B. Sall pour encaisser l’argent à l’insu du propriétaire du compte.

Mais l’affaire a mal tourné, lorsque le chef de service de la brigade de recherches de Keur Massar a été informé que B. Sall était détenteur d’un chèque volé. Ce dernier tentait d’effectuer un retrait à la Cbao de Keur Massar, d’après l’informateur des gendarmes.
Nantis de cette information, les enquêteurs ont tendu un piège au détenteur du chèque volé. Un agent infiltré s’est présenté comme le chef d’agence de la Cbao, pour appâter B. Sall. Ne se doutant de rien, ce malfaiteur a confié à son interlocuteur  qu’il compte retirer 80 millions F CFA avant d’accepter de lui remettre 40 millions en guise de commission. À condition que l’opération  ne soit pas notifiée au gestionnaire du compte bancaire.
Après avoir mis au parfum le personnel de la  Cbao, le major Kandji a déployé ses hommes dans l’institution financière.  Ces derniers, en tenue civile, se sont présentés comme des clients.Quelques minutes plus tard, B. Sall, accompagné d’un individu, a été orienté vers un guichet, dès son arrivée. Un chèque rempli et signé a été remis à l’agent de caisse pour effectuer un retrait de 100 millions F CFA.
Séance tenante, B. Sall et son complice ont été arrêtés dans l’agence par les éléments de la BR de Keur Massar, selon des sources de Seneweb proches du parquet.
L’agent de santé incriminé dans le vol du chèque, A. Diouf, a aussi été arrêté et placé en garde à vue.

Seneweb

Qui est Cheikh Ahmadou Bamba F, l’auteur du meurtre de Mélodie à Marseille ? (Photos)

Cheikh Ahmadou Bamba F., mieux connu sous le surnom de « Bamba », a été mis en examen pour l’assassinat de Mélodie Mendès Da Silva. Cette mère de deux enfants, esthéticienne d’origine cap-verdienne, a disparu le 3 novembre après avoir quitté son domicile marseillais. Son corps a été retrouvé à Gémenos, au Col de l’Espigoulier, suite aux indications de l’accusé.

« Bamba », 40 ans, reconnaît avoir tiré sur Mélodie, sa maîtresse, mais nie toute préméditation. Le parquet de Marseille précise que l’accusé entretenait avec la victime une « relation extra-conjugale tumultueuse ». Mis en examen pour assassinat le 15 décembre, il est actuellement en détention provisoire.

Qui est Cheikh Ahmadou Bamba F ?

Bamba est d’origine sénégalaise et travaillait comme videur dans des boîtes de nuit. Ce métier l’a amené à être connu des services de police pour des faits de violence.Il était en relation extra-conjugale avec Mélodie Mendès Da Silva, la victime dans cette affaire.

Il est également père d’une fille d’environ douze ans. Sur les réseaux sociaux, il se mettait en scène comme un adepte de la musculation, se comparant à John Coffey, le personnage principal du film « La Ligne verte », connu pour sa grande force physique.

Dakar : Arrêté pour avoir couché avec une élève de CM2, les explications surprenantes du taximan

Mamadou Nd, taximan, a été et a comparu hier jeudi devant le tribunal de Dakar pour répondre des faits de détournement de mineure. Il est en effet accusé d’avoir couché avec M. F., une jeune fille âgée de 13 ans et en classe de CM2 à la place de la somme de 4000 Fcfa que la jeune fille devait payer après une course. Devant le tribunal de Dakar, le taximan a donné des explications surprenantes.

Selon les informations rapportées dans la presse, la jeune fille devait se rendre à Mbour pour retrouver son copain. Elle a pris un taxi de chez elle jusqu’à la Patte d’Oie pour ensuite prendre une voiture pour Mbour. Mais au moment de payer, elle a appelé son copain qui devait se charger de payer les frais. Mais la jeune fille n’a pas réussi à le joindre. Pour recouvrer son argent, le taximan va faire une proposition à la jeune fille.

Accompagnée par son père au tribunal, la jeune fille a expliqué ce qui s’est passé. « Ce jour-là, je quittais chez moi en disant que je vais aller à l’école. Mais je suis partie voir une de mes amies de 16 heures à 21 heures. Pour éviter les représailles, j’ai décidé de prendre un taxi pour aller voir un ami répondant au nom de Mor Guèye résidant à Mbour. Ainsi, j’ai arrêté un taxi et le chauffeur qui est le prévenu ici présent m’a demandé 20 000 de nos francs. Je lui ai dit que je ne pouvais pas payer cette somme. Et je lui ai ensuite demandé de m’amener à la Patte d’Oie pour que je puisse trouver un autre moyen de locomotion pour aller à Mbour. Le prévenu a facturé la course à 4 000 francs cfa. Une fois, là-bas, je n’arrivais plus à joindre mon ami qui devait m’envoyer l’argent. Sur ces entrefaites, le taximan m’a demandé de choisir soit de lui payer son argent soit de l’accompagner dans une auberge. N’ayant plus le choix, car il faisait tard, j’ai accepté et on a passé toute la nuit à l’auberge. Il m’a forcée à coucher avec lui », a raconté la fille de 13 ans dans des propos rapportés par Dakaractu.

Interrogé à son tour, le taximan a reconnu les faits, mais nie avoir forcé la jeune fille de 13 ans et d’avoir couché avec lui. « C’est elle qui m’a proposé l’auberge, mais cela ne m’a jamais traversé l’esprit. Et j’ai payé 9 000 francs. On n’a jamais eu de rapport sexuel », se défend-il.

Au cours des débats, le juge n’ayant pas de certitude sur l’âge exact de la jeune fille, a décidé de renvoyer l’affaire au 18 décembre prochain pour la production de son bulletin de naissance.

(Vidéo) -« Mariage » de l’acteur Bathie Massamba : clarification sur un shooting photo

L’annonce du prétendu mariage de l’acteur Ousmane Ba et Biba Diallo, relayée par plusieurs médias ce mercredi, s’est révélée être une confusion. En réalité, il s’agissait d’une séance photo pour une marque de vêtements.

“Mariage” de l’acteur Bathie Massamba : clarification sur un shooting photo

C’est Bathie Massamba lui-même, également connu sous le nom d’Ousmane Ba, qui a dissipé le malentendu via ses réseaux sociaux. Il a déclaré : « J’ai vu qu’il y a eu beaucoup de buzz autour de mes photos avec Biba Diallo, je voulais juste éclaircir les choses et vous dire qu’il s’agissait juste d’un tournage. Je sais que vous aimeriez vraiment que j’aie une seconde épouse, mais ce n’est vraiment pas pour maintenant. »

Sa sextape lui a rapporté des millions de FCFA : Sheyni fait des révélations (Vidéo)

Une jeune femme, connue sous le nom de Sheyni, a récemment fait une révélation surprenante. La jeune femme la manne financière inattendue qui a suivi la fuite de sa vidéo sextape intime. Invitée à l’émission de Sam Zirah, elle a révélé en toute franchise la somme astronomique qu’elle a engrangée.
Selon la jeune femme, la vidéo intime est devenue une source inattendue de prospérité. Ses gains ont atteint un total de près de 60 000 euros, soit l’équivalent de 39 millions de Fcfa, depuis que la vidéo a été diffusée. À travers ses révélations, la jeune femme fait voir un autre aspect lucratif de ce phénomène qui détruit parfois la vie de certaines victimes.
Sheyni dévoile les secrets sur sa sextape dans l’émission de Sam ZirahLors de son entretien avec Sam Zirah, la jeune dame a précisé qu’elle ne considérait pas cet épisode comme une tragédie. Au contraire, elle a révélé qu’elle avait beaucoup apprécié l’expérience, empochant plusieurs milliers d’euros d’un seul coup. Aujourd’hui encore, elle ne regrette pas d’avoir partagé ses moments intimes en ligne.
Le sujet, abordé avec le sourire devant l’animateur surpris, a mis en lumière la remarquable réussite financière qu’elle a trouvée d’une manière peu conventionnelle. Son attitude insouciante et sa fortune inattendue ont suscité une vague de réactions de la part des internautes, dont les commentaires amusants ont inondé la publication.

Au fur et à mesure que l’histoire de Sheyni se déroule, elle remet en question les récits traditionnels sur la fuite des sextapes. Par contre, elle met en lumière l’évolution des perspectives concernant les choix personnels et leurs implications financières à l’ère des médias sociaux.

L’acteur Bathie Massamba dit « oui » : une nouvelle union éclatante en ce mois de décembre (Images)

Bathie Massamba, l’acteur célèbre pour son rôle dans la série Karma produite par Marodi, a récemment célébré son mariage avec Biba Diallo. Ce moment heureux s’inscrit dans une tendance marquée de mariages chez les personnalités en ce début de mois de décembre, rejoignant ainsi d’autres célébrités telles qu’Ashs the Best et Samba Peuzzi, ainsi que l’acteur Ousmane Ba.

L’événement joyeux a eu lieu hier, en présence de membres de la famille, d’amis et de proches qui ont partagé ce moment spécial avec le couple. Les vidéos capturant les moments précieux de cette union circulent abondamment sur les réseaux sociaux, témoignant de la joie partagée par les nouveaux mariés et leur entourage.

Bathie Massamba, également connu sous ce nom en raison de son personnage emblématique dans la série Karma, a ainsi franchi une nouvelle étape de sa vie personnelle, scellant son amour avec Biba Diallo. Félicitations aux jeunes mariés pour ce chapitre prometteur de leur histoire d’amour.

Se faisant passer pour une fille, un élève en classe de 1ère collecte des images obscènes d’une fille de 18 ans et le vend à Kocc

Collette illicite et diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs et usurpation d’identité, ce sont les faits qui sont reprochés à Cheikh Diéne. Élève en classe de première, il a été attrait à la barre de tribunal pour s’être fait passer pour une fille du nom de Dior sur Instagram pour approcher et soutirer des vidéos obscènes à Ramatoulaye Thiam.

Âgés respectivement de 17 et 18 ans, ces élèves en classe de première et terminale ont été attraits à la barre du tribunal des flagrants délits pour des faits de collecte illicite et diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs et usurpation d’identité.

En effet, toute cette histoire qui oppose Cheikh Diéne et Ramatoulaye Thiam, est parti d’une discussion sur Instagram. Sous un faux compte avec le nom d’une fille, Dior, Cheikh Diéne a échangé avec Ramatoulaye pour l’appâter avant d’obtenir son contact et l’inviter sur WhatsApp. Ce que cette dernière a accepté tout en ignorant qu’elle communiquait avec un garçon. Ce faisant, elle lui a envoyé ses vidéos obscènes. Et dès qu’il a reçu ces images pornographiques, Cheikh Diène a commencé à faire chanter la fille.

Et pour ne pas divulguer ses « nudes », Cheikh Diéne a invité Rama pour coucher avec lui. Mais, il n’a pas tenu sa promesse, car il les a partagées avec d’autres personnes. Mieux encore, il a vendu les vidéos obscènes à Kocc Barma. Ce dernier à son tour les a publiées sur son site.

Ce qui a engendré d’énormes conséquences du côté de la jeune élève en classe de terminale. « A cause de ça, mon père m’a chassée de chez moi lorsqu’il l’a su. Quand on a demandé à Kocc Barma de les supprimer, il ne l’a pas fait. Et il a fallu que mes proches débourse 300 euros pour que Kocc accepte d’enlever les vidéos obscènes sur son site», a-t-elle expliqué avant de se faire rabrouer par la juge. «Vous avez intérêt à revoir votre comportement puisque vous ignorez ce que vous allez devenir dans le futur. Tout ce qui est publié sur internet reste là-bas pour toujours», a-t-il déclaré.

De son côté, son bourreau Cheikh Diène a fait montre d’une mauvaise foi inouïe à la barre, en soutenant n’avoir jamais donné de rendez-vous à la victime pour coucher avec elle. Poursuivi pour collecte illicite et diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs et usurpation d’identité, il a persisté en disant n’avoir envoyé à personne les images alors que lors de l’enquête, il avait reconnu les faits. «Quelques jours après qu’elle m’a envoyé les vidéos, je l’ai invitée à passer me voir mais c’était sans condition. La seconde fois que je l’ai invitée, elle m’a confié qu’elle voyait ses règles. C’est elle qui m’avait proposé un plan à trois avec une autre de ses amies pour coucher avec elles», s’est défendu le mis en cause.

Le procureur, convaincu de sa culpabilité, a requis 6 mois de prison ferme contre Cheikh Diène. Pour la défense de celui-ci, Me Bassirou Sakho a quémandé la clémence du tribunal. L’avocat a reconnu que son client a été retrouvé avec un portable contenant des images pornographiques.

Le tribunal l’a finalement condamné à 2 ans d’emprisonnement dont 1 mois ferme. Il doit payer à sa victime, Ramatoulaye Thiam, la somme de 1 million FCA à titre de réparation.

Anniversaire Surprise à Doha : Les Militants Accueillent Chaleureusement le Président Sall sur le Hall de l’Hôtel

Le Président Macky Sall a eu la surprise d’un accueil chaleureux à Doha, où des militants l’attendaient avec impatience pour célébrer son anniversaire. Sur le hall de l’hôtel, une manifestation spontanée de soutien a marqué cet événement, témoignant de la ferveur de ses partisans.

Anniversaire Surprise à Doha : Les Militants Accueillent Chaleureusement le Président Sall sur…

Un présumé voleur trouvé mort et abandonné dans la rue

Un présumé voleur a été victime de violence à Touba, dans le quartier Dianatou Salam, près de la nouvelle gare routière. Les faits ont eu lieu après qu’un homme d’environ 25 ans ait volé le téléphone portable d’une dame, confié à un talibé pour retirer de l’argent au multiservice local. Le talibé a crié à l’aide, attirant l’attention des habitants du quartier qui ont réussi à capturer le présumé voleur.

Le présumé voleur a été soumis à une justice populaire et a été battu à mort. Son corps sans vie a été abandonné dans la rue. La découverte du cadavre a été faite par un agent de l’État, qui a informé le commissariat spécial de Touba. La police a constaté les faits, et la dépouille a été transportée à la morgue de l’hôpital par les sapeurs-pompiers.

Malgré ces événements, aucun habitant du quartier n’a témoigné ni dénoncé les auteurs présumés du meurtre. La police a ouvert une enquête pour faire la lumière sur cette affaire de justice populaire.

L’élève de terminale, la vidéo pornographique, Kocc et le million F CFA

Une affaire de sexe inédite a été jugée ce vendredi au tribunal des flagrants délits de Dakar. Elle implique un élève en classe de première du nom de Ch. D. et l’élève de terminale R. T. Au milieu des faits, Kocc, très populaire dans les moeurs  et de diffusion de vidéos pornographiques avec « des acteurs sénégalais » en général.
Dans cette affaire, Ch. D., à la suite d’une discussion sur WhatsApp, a convaincu la fille R. T. qu’il répondait au nom de Dior. Elle lui a envoyé une vidéo peu compromettante avant que ce dernier lui propose de continuer la discussion sur WhatsApp. C’est ainsi qu’il lui a expliqué qu’il était bien un homme et qu’elle devait entretenir des relations sexuelles sous menace de publier les vidéos via les réseaux sociaux ou par l’entremise de Kocc.
 La fille a cédé, mais  finira par prétexter voir ses règles le jour du rendez-vous. Après moult tentatives avortées, la vidéo finira dans les mains de Kocc qui a diffusé les images. La fille et sa famille finissent par porter plainte. Son frère vivant au Maroc fera des pieds et des mains et surtout dépensera 300 euros pour que le diffuseur daigne retirer les images.
Concernant l’enquête de la Division des investigations criminelles, le numéro et le portable du mis en cause seront tracés. Il reconnaît détenir la vidéo, mais prétend laisser son téléphone à la disposition de certains de ses copains qui pourraient se transmettre la vidéo à son insu. D’ailleurs, il affirme avoir donné les numéros de ces derniers pendant l’enquête policière. Acculé par le procureur devant la barre,  il finit par avouer qu’il s’est présenté comme étant une fille. Il avait au préalable affirmé que la fille savait qu’il était un homme et voulait quelqu’un avec qui entretenir des relations sexuelles. R. T., quant à elle,  a reconnu avoir envoyé la vidéo et a fait de sorte qu’elle ne soit visible qu’une seule fois. « Damako flamme », mais il l’a enregistrée dans un autre téléphone, dit-elle.
L’avocat de la partie civile, qui a réclamé deux millions de francs en guise de dommages et intérêts, a affirmé tout comme le procureur que les faits sont constants. Ce dernier a demandé six mois de prison ferme. La défense a plaidé la clémence pour  permettre à son client de s’amender et poursuivre son année scolaire. 
CH. D. a été condamné à deux ans, dont un mois ferme et à un million de francs à payer à la partie civile

seneweb

Arrestation d’un Maître Coranique à Tivaouane Peulh pour viols, son frère en cavale

À la suite d’une plainte déposée par l’oncle d’une adolescente de 14 ans, un maître coranique du nom d’El H. K. Daffé a été arrêté à Tivaouane Peulh pour des accusations de viols. Son frère, également impliqué dans les allégations, est actuellement en fuite et est activement recherché par la Division des investigations criminelles (DIC).

La victime présumée a déclaré avoir subi des viols répétitifs, sous la menace d’une arme blanche, de la part du maître coranique et de son frère. L’adolescente, après avoir fui et raconté les faits à son oncle, a été prise en charge médicalement, confirmant des blessures conséquentes.

Lors de l’interrogatoire, le maître coranique arrêté a avoué sa participation aux faits reprochés. L’enquête se poursuit pour localiser et appréhender le frère actuellement en cavale.

Explosion de bonbonne de Gaz à Ngor : deux blessés dans un incident évité de Peu

Une explosion de bonbonne de gaz survenue à Ngor a fait deux blessés, évitant de justesse une tragédie similaire à celle survenue à Derklé en septembre dernier, où huit membres d’une famille ont perdu la vie.

Le journal Libération rapporte que l’incident s’est produit le 6 décembre dernier vers 13 heures dans un appartement situé au rez-de-chaussée d’un immeuble en face du stade. La dame A. Guèye, rencontrant des difficultés pour déclencher la bonbonne de gaz dans sa cuisine, a sollicité l’aide du gardien de l’immeuble, M. Diané. Cependant, lorsque ce dernier a ouvert la bonbonne, elle a pris feu subitement, propageant les flammes dans la cuisine.

Les voisins ont réussi à maîtriser le feu à l’aide de sable avant d’évacuer les deux blessés, A. Guèye et M. Diané, à l’hôpital Philippe Maguiléne Senghor.

L’enquête ouverte par les gendarmes a révélé que l’origine du feu était une fuite au niveau de la bonbonne de gaz. Contrairement à l’accident de Derklé, la bonbonne n’était pas de la marque Total gaz.

Arrestation pour Escroquerie au Visa : Un Opérateur Économique Entre les Mains de la DIC

L’opérateur économique A. A. Diouf a été appréhendé par la Division des Investigations Criminelles (DIC) suite à plusieurs plaintes déposées pour escroquerie au visa. Le procureur de la République a initié l’action des limiers, et le préjudice total subi par les plaignants est estimé à 73 millions de francs CFA.

Selon les informations fournies par L’Observateur, B. Barry, l’une des plaignantes, a expliqué que Diouf s’était engagé à obtenir 5 visas pour l’Italie pour des membres de sa famille moyennant la somme de 35 millions. Cependant, accuse le plaignant, après avoir encaissé l’argent, Diouf a disparu.

D’autres victimes, M. Diome, A. Kébé, et A. K. Sène, ont déclaré avoir respectivement versé 5,5 millions, 3,7 millions et 29,5 millions à Diouf avant que ce dernier ne se volatilise.

Déféré récemment, Diouf a avoué les faits tout en précisant qu’il avait versé les montants reçus à son collaborateur et agent de joueur en Italie, N. Datzi.

D’autres victimes réclamant 29 millions à l’opérateur économique ne se sont pas présentées à l’audition à la DIC, rapporte L’Observateur.

Scène surréaliste : Un homme de 45 ans épouse sa fille de 22 ans, une tragique révélation lors du mariage

Dans une banlieue de Conakry, un événement choquant a eu lieu récemment : un homme de 45 ans vivant aux États-Unis a épousé sa fille de 22 ans. L’histoire remonte à 22 ans, lorsque Aïcha, enceinte à l’époque de son petit ami, a vu ce dernier nier les faits avant de partir étudier aux États-Unis.

Il y a six mois, l’homme a retrouvé sa fille sur les réseaux sociaux. Ils ont rapidement développé des sentiments virtuels et, après trois mois d’intimité et de discussions, ont décidé d’officialiser leur relation en célébrant un mariage religieux. Lors du mariage civil, la mère de la jeune femme, vivant en Sierra Leone, est venue pour assister à l’événement. C’est à ce moment que la terrible vérité a éclaté.

Lors des présentations, la mère a reconnu l’homme et a révélé la relation de parenté. Le mariage a été interrompu brusquement, choquant le couple et en particulier la jeune femme. La mère a exprimé sa consternation en déclarant : « Oh mon dieu !!! Ce mariage n’aura pas lieu. Cet homme est ton père. » Une nouvelle qui a secoué le couple, surtout la fille.

La jeune femme, bouleversée et dévastée, a partagé ses émotions : « Je partais tous les jours rendre visite aux parents de mon mari, devrais-je dire mon père ? Mais je ne savais pas que c’étaient mes grands-parents. J’aimais mon mari, il y avait une relation de confiance entre nous malgré cette distance. Le courant passait très bien entre nous, mais je n’ai jamais su que cet homme pouvait être mon père. Je suis dégoûtée de la vie. Et je le déteste de toutes mes forces… car il m’a abandonnée, il a fui ses responsabilités. »

L’homme, également affecté, n’a pas souhaité répondre aux questions. Cette histoire rappelle que les erreurs du passé peuvent ressurgir à tout moment et souligne l’importance d’assumer ses responsabilités et de poser les bons actes dans la vie.

Carnet blanc ? La chanteuse Queen Biz dévoile des images qui font fureur

La chanteuse sénégalaise Queen Biz a récemment partagé des images de ce qui semble être son mariage, créant une onde de choc dans la scène musicale du pays. La musicienne, connue pour sa voix unique et son style distinctif, a publié des photos de sa journée spéciale sur ses comptes officiels de médias sociaux.

Vêtue d’une robe de mariée blanche, Queen Biz a partagé des images souriantes, laissant ses fans émerveillés devant cette nouvelle étape de sa vie personnelle. Bien que des détails spécifiques sur la cérémonie et l’identité de son partenaire restent confidentiels, les photos ont suscité des félicitations chaleureuses de la part de ses admirateurs et de l’industrie musicale sénégalaise.

Certains fans ont exprimé leur scepticisme, suggérant que les images pourraient être tirées d’un clip vidéo. Néanmoins, la majorité des réactions ont été des vœux sincères de bonheur pour Queen Biz dans cette nouvelle phase de sa vie.

L’annonce de son potentiel mariage a généré une discussion animée sur les réseaux sociaux, les fans anticipant avec enthousiasme l’impact de cette nouvelle dimension de sa vie sur sa carrière artistique.

Affaire Viviane Chidid-Aby Ndour : Le procureur hérite du dossier, les influenceurs visés

L’affaire opposant Viviane Chidid et Aby Ndour, malgré la proposition de médiation de Youssou Ndour, prend une nouvelle tournure. La cybercriminalité a conclu ses auditions dans le cadre de l’enquête préliminaire et a transmis l’affaire au procureur, selon les informations de kawtef.com.

Pour rappel, Aby Ndour avait été initialement convoquée et auditionnée à la gendarmerie Faidherbe à la suite d’une plainte déposée par Viviane Chidid. Cependant, Aby Ndour avait également porté plainte auprès de la cybercriminalité contre les comptes TikTok qui l’insultaient régulièrement, ce qui a conduit à la convocation et à l’audition de Viviane Chidid, suivies de sa libération.

Selon les sources, les influenceurs Nabou Fall GP, Engager (domo sam sam), Ticket Laobe, Fatima Ba Sylla, Rita Paradise, Asc leukh leukh, Gueye no stress, ainsi que les comptes TikTok Bey Viviane, Vivianechididsupport et Buzzviviane, affiliés à Viviane Chidid, sont toujours dans le viseur des enquêteurs. Ces personnes ont créé des vidéos pour dénigrer Aby Ndour.

L’affaire continue de susciter l’attention, avec des développements à surveiller au fur et à mesure que l’enquête progresse.

Diourbel : le faux gouverneur vole 4,5 millions F CFA

Un individu se faisant passer pour le gouverneur de la région de Diourbel a réussi à empocher frauduleusement 4,5 millions de francs CFA. D’après Bés Bi, «les forces de défense et de sécurité sont à ses trousses».

Le journal indique que ses victimes sont un notable de Keur Goumack, un quartier de Diourbel, et un chef d’établissement. La même source précise que l’usurpateur d’identité a réussi, par des manœuvres via Orange Money, à soutirer 3 millions de francs CFA au premier et 1,5 million au second.

L’enquête devrait permettre d’en savoir plus sur son mode opératoire.

Seneweb

Tentative d’avortement à HLM3 : Binta (enceinte de 5 mois) passe aux aveux, « j’ai vu la main du bébé sortir »

Lors d’une échographie à la polyclinique Lac Rose le 28 novembre 2023, le gynécologue a découvert une chose surprenante. La main du bébé a commencé à sortir du vulve de la mère. Surpris, le gynéco a rapidement hospitalisé la patiente en état de grossesse et a lancé les interrogations. Il va ensuite avertir les éléments de la Brigade spéciale de Niague.

Interrogé, la jeune femme de 23 ans, habitante de HLM 3, est rapidement passée aux aveux. Elle a déclaré que lorsqu’elle a su qu’elle était en état de grossesse de 4 mois et 5 jours, elle a pris des pilules recommandées sur internet pour avorter. Et elle a continuer à en prendre des semaines durant, malgré la vie qui poussait en elle.

« J’ai su ma grossesse à quatre mois. Lorsque j’ai informé mon petit ami, il m’a conseillé d’aller à l’hôpital pour faire une échographie. Une fois à l’hôpital, le médecin a confirmé les quatre mois de grossesse. J’ai tout fait pour le cacher à ma mère. En revanche, j’ai informé ma grande sœur qui a tout fait pour connaître le père de l’enfant. En ce moment, j’avais déjà pris les pilules abortives. Une semaine après la prise, je n’ai rien senti. Je suis retournée à la clinique. Après la première échographie, le médecin m’a dit que l’enfant est en vie, son cœur bat toujours. Mais, une semaine plus tard, je ne sentais plus l’enfant. Sur ce, j’ai commencé à sentir des douleurs abdominales et je suis repartie à la clinique (polyclinique Lac Rose). En attendant mon tour pour l’échographie, j’en ai profité pour aller aux toilettes pour uriner. C’est à ce moment que j’ai forcé et la main du bébé est sortie. J’ai crié parce que cela faisait mal. Les sages-femmes sont venues me prendre et m’ont dit que le bébé est mort », a-t-elle déclaré dans des propos relayé par Rewmi.

Les éléments de la Brigade spéciale de Niague ont effectué une descente dans la chambre de la mise en cause, où ils ont saisi 6 boîtes de médicaments abortifs épuisées. Binta S. a été arrêté le lendemain de son deuxième passage chez le gynécologue, le 29 novembre, alors qu’elle était à 5 mois de grossesse. Elle a confié aux gendarmes que le père de son enfant se nomme Malick N. Il habite à Pikine, mais travaille à Sangalkam dans une écurie. Ils étaient en relation depuis bientôt un an.

Déférée au parquet, Binta S. a été placée en détention le 1er décembre 2023. À l’audience des flagrants délits de Dakar ce mardi 5 décembre, la prévenue a encore plaidé coupable d’avoir pris des médicaments pour avorter. Car, affirme-t-elle, elle avait honte de révéler sa grossesse à sa mère.

Soutenant les faits constants, la déléguée du procureur a requis deux ans, dont trois mois ferme, mais le juge a prononcé une peine de six mois, dont deux ferme assortie d’une amende de 100.000 francs Cfa à l’encontre de la prévenue.

Senenews

Histoire d’amour et de mort, une triste fin pour le couple Touré, ils meurent le même jour

L’histoire du couple Touré fait sensation sur la toile. La triste fin du couple Guinéen fait débat. En effet Bintou et son mari meurent le même jour. Bintou, communément appelé « Bintou La responsable » sur les réseaux sociaux, a piqué une crise avant de rendre l’âme après qu’elle a été annoncée le décès de son époux Ahmed Tidiane Toure.

Les commentaires vont bon train sur la toile!

« Non je ne peux pas y croire vous vous êtes promis à la vie à la mort et voilà ma Bintou aussi à rejoint son mari en moins de 24h après avoir publié et dire’ il sera mon dernier mec’. Je suis sans mots j’ai su aujourd’hui la vie n’est rien Ahmed Tidiane Toure mon frère Que le tout puissant Allah vous pardonne » , a témoigné Zena Baldez.

« Je n’ai jamais voulu écrire rip sur ta photo mais là suit dépassée et j’ai perdu l’espoir suit sans froid
Seul Dieu a le dernier mots Elle disait souvent que Mr Touré et moi sauf la mort…  » , a témoigné Waraba Diabatéba.

Senego

Le livreur retire 1,8 million FCFA pour sa patronne, joue au parifoot et perd

Les jeux de paris sportifs sont devenus un phénomène au Sénégal. Rare sont les jeunes qui n’y jouent pas. Et chaque jour, ce sont des sommes faramineuses qui sont récoltées par les maisons de paris. Elimane Diouf, livreur, en a fait les frais.

Ce dernier avait noué une relation de confiance avec Diey Maty Diagne, gérante d’un point Wave, qui faisait appel à lui pour retirer de grosses sommes. Mais un jour, Elimane, certainement sûr de son coup, a tenté de jouer une combinaison sur parifoot pour gagner de l’argent. Après avoir retiré 1,8 million de sa patronne, il s’est lancé mais a tout perdu, rapporte L’Observateur.

Après une plainte contre Elimane Diouf, Diey Maty a expliqué que ce jour-là, elle a donné son code à Elimane. Après une longue attente, elle l’a appelé, mais il lui a fait croire qu’il avait fait un détour et qu’il allait la rejoindre rapidement. Mais Elimane s’empressera de prendre la fuite d’abord réfugié à Linguère avant d’aller en Gambie.

Arrêté dès son retour, le livreur-parieur a été jugé hier, à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar, il a contesté les faits, expliquant que c’est Maty Diagne qui lui a demandé de jouer pour elle. A l’en croire, c’est elle-même qui a validé le code pour pouvoir entamer le jeu. « Elle a misé à quatre reprises pour un montant de 450 mille francs CFA. On a perdu. J’ai pris la fuite, car elle a menacé de déposer plainte contre moi », a-t-il déclaré.

Convaincu de la mauvaise foi du prévenu, l’avocat de la partie civile a demandé qu’il reste en détention. Il a réclamé une indemnisation de 3 millions 500 mille francs CFA. L’avocat a également demandé l’application immédiate de la peine et la contrainte par corps maximale.

Ensuite, le représentant du ministère public a demandé une peine de six mois de prison ferme pour Elimane Diouf. L’avocat de la défense a demandé une application très clémente de la loi pour son client, qui est un délinquant sans antécédents.

Après les plaidoiries, le tribunal a déclaré Elimane Diouf coupable d’abus de confiance. Il a été condamné à six mois de prison ferme.

Senenews

Drame à Yenne : Un étudiant meurt en plein match de football

Un match de football a viré au drame, au terrain municipal de Yenne. Un joueur s’est écroulé, dimanche dernier, en pleine compétition. Ses coéquipiers ont tenté de le réanimer, en vain. M. M. NDiaye est finalement décédé au cours de son évacuation dans une clinique de la place. Selon des sources de Seneweb, il s’agirait d’un étudiant âgé de 23 ans.
Suite à ce drame, les gendarmes de la brigade de Yenne ont ouvert une enquête. Il ressort de l’autopsie sollicitée par les hommes du major Habib Ndiaye, que M. M. NDiaye a succombé à un arrêt cardiaque. Mais le dossier n’est pas encore bouclé par les enquêteurs

Seneweb

Maraboutage, folie… : Le gros calvaire de Mandiaye Seck révélé par son manager

La vie de Mandiaye Seck, le cousin du célèbre artiste Wally Seck, prend un tournant sombre, selon son manager Paco, qui affirme que le chanteur est actuellement victime de maraboutage, entraînant des conséquences dévastatrices sur sa carrière et sa santé mentale.

Après le scandale des audios et vidéos divulgués mettant en cause sa mère, Mandiaye Seck continue de faire les gros titres, mais cette fois-ci pour des raisons plus troublantes. Absent de la scène musicale récemment, le chanteur se retrouverait confronté à d’énormes difficultés, comme l’a révélé son manager dans une vidéo partagée sur les réseaux sociaux.

Selon Paco, Mandiaye Seck souffrirait de dépression et aurait perdu ses facultés mentales en raison d’un maraboutage délibéré orchestré par ses proches. Le manager lance un appel poignant pour que Mandiaye Seck soit laissé tranquille, soulignant que sa carrière est en danger, et qu’il traverse une période de détresse, sans domicile fixe, pleurant son sort.

« Qu’on laisse Mandiaye Seck tranquille. Sa carrière a été détruite et sa vie est en train de prendre une autre tournure. Actuellement, il n’a plus où il habite, il a été détruit, marabouté par ses ex-proches, sa carrière est menacée et il passe tout son temps à pleurer », déclare Paco.

Dakarbuzz

De la pudeur à la vulgarité »: Mia Guissé critiquée pour son nouveau look

Pas besoin d’une loupe pour constater qu’entre la Mia Guissé d’avant et celle d’aujourd’hui, c’est deux tableaux différents. Elle s’est carrément métamorphosée. La nouvelle Mia a adopté un nouveau style qui n’enchante pas tout le monde.

Depuis son divorce marquant le début d’une nouvelle page de sa vie personnelle et professionnelle, Aissata Mia Guissé se sent beaucoup plus libre, plus ouverte et plus aisée sur scène qu’auparavant.

Lors de sa dernière prestation ce week-end à la Place du Souvenir Africain, en marge du Salon de l’entreprenariat féminin, l’artiste a adopté un out fit plus ou moins « punk style ». Lors de sa prestation, elle a été rappelée à l’ordre  par un spectateur qui lui conseillait de baisser sa mini-jupe qui laissait apparaître ses cuisses, bien qu’elle portait un bas en dessous. 
Un habillement que beaucoup d’internautes ont désapprouvé. Regrettant le fait qu’elle soit « passée de la pudeur à la vulgarité ». 
« Tu n’es pas une adolescente, cet accoutrement n’est pas digne d’une mère de famille, tu peux être sexy sans être vulgaire, tu n’as pas besoin de t’habiller ainsi pour prouver ton talent, son style est aussi compliqué que la situation du pays …», peut-t-on lire parmi les multiples reproches que lui ont servi  des internautes.

Dakarbuzz

Saisie de 3 tonnes de cocaïne : le fils d’un chef d’État dans le coup

L’enquête sur cette prouesse de la marine nationale livre ses premiers secrets. Les conclusions de l’Ocrtis, reprises par L’Observateur dans son édition de ce mardi, peuvent être résumées en cinq points.

1. Identités des suspects

Dix personnes ont été arrêtées dans le cadre de l’enquête qui a suivi la saisie de 2975 tonnes de cocaïne par la marine nationale. Il s’agit du Sénégalais Mamadou Bathia, des Bissau-Guinéens Joaquim Lopes Dos Reis Simoes et Alcali Gomies, du Portugo-Capverdien Domingos Da Costa, du Colombien Rogelio Valiencia Vergara et des Nigérians Innocent Onyejekwe, Elijah Udo Esetang, Godstime Ugnorugbo, Amacchi Leo Nkwocha et Ezekiel Tumbiri. Ces derniers constituaient l’équipage du «Ville d’Abidjan», le navire à bord duquel la drogue a été trouvée la nuit du dimanche 26 au lundi 27 novembre, à 150 kilomètres au sud de Dakar.  

2. Lourdes charges  

Les dix personnes arrêtées à bord du navire qui transportait les trois tonnes de cocaïne saisies par la marine nationale, ont été présentées au procureur lundi dernier, mais elles ont fait l’objet d’un retour de parquet. Elles sont poursuivies pour association de malfaiteurs, détention aux fins de trafic international de drogue par vecteur maritime en groupe criminel organisé, blanchiment de capitaux, aide ou assistance dans une entreprise de trafic international et faux et usage de faux.

3. Itinéraire de la cocaïne

Les trois tonnes de cocaïne saisie par la Marine étaient stockées dans «Ville d’Abidjan». Ce navire, immatriculé à Sao Tomé-et-Principe, a quitté l’Île du Prince, à Bissau, le 11 novembre. Six jours plus tard, il rejoint en haute mer un yacht en provenance de Salvador et transportant la cargaison de drogue dure. Après le transbordement de la marchandise, cap sur Dakar. À 150 kilomètres de la destination, le bateau est intercepté par la marine nationale, qui met la main sur la drogue et les dix membres d’équipage.

4. Fils de…

Les trois tonnes de cocaïne saisies par la marine nationale sur un bateau en provenance de Bissau devaient être livrées en Gambie. Un nommé Jack Holland, recruteur présumé de certains membres de l’équipage du navire, devait récupérer 10% de la marchandise. Parmi les propriétaires de la drogue, l’enquête cite le fils du chef d’État d’un pays ouest-africain et un Hollandais. Les identités de ces derniers n’ont pas été révélées.     

5. Téléphones satellitaires

Après l’interception du bateau contenant trois tonnes de cocaïne, les enquêteurs ont fouillé le navire. L’opération a permis de mettre la main sur 18 téléphones, dont 2 satellitaires, 1 GPS, 2 ordinateurs portables ainsi que de l’argent en franc CFA (160 500), en naira (100), en euro (450) et en dobra (450, monnaie de Sao Tomé-et-Principe).  

Senenews

Les Mamelles Jaboot : 12 agents arrêtés après le vol de 104 millions F CFA

Le limier en chef du commissariat de Diamaguène Sicap-Mbao et ses hommes ont démantelé une grosse mafia aux Mamelles Jaboot.Des employés de cette sociétésituée à Sicap-Mbao détournaient des produits qu’ils bazardaient dans le marché. L’affaire s’est ébruitée lorsque le directeur général a été informé que  des produits de la société sont en train d’être détournés frauduleusement par ses employés. Le patron de cette grande sociétéindustrielle du secteur de l’agrobusiness au Sénégal a mené une enquête interne. Et c’est pour constater un trou de 104 millions F CFA. Il dépose alors une plainte sur la table du procureur de la République pour vol, abus de confiance et recel à l’encontre des nommés  P. D., J. B., J. T., B. B. et X. Le chef du parquet de Pikine-Guédiawaye transmet le dossier au chef de service du commissariat de Diamaguène Sicap-Mbao pour enquêter et procéder à l’arrestation de toutes personnes impliquées.

C’est ainsi que les hommes du commissaire Ousmane Diop ont entendu l’auteur de la plainte. Le PDG des Mamelles Jaboot a évalué les pertes à 104 millions F CFA. Pour lui, ses employés incriminés ont coupé 197 bons de transfert de produits finis pour brouiller les pistes.

Les aveux sur procès-verbal

L’enquête policière a permis de mettre la main sur 12 agents.   J. T., B. B., G. M., M. G., E. D., L. I. N., J. C., M. D., M. T., N. S., O. S. et S. N.,  ont fini par avouer les faits. « M. G. reconnait les faits en déclarant qu’il a effectivement déchiré des factures dans ses carnets de facturation, ceci, après avoir commis des erreurs dans les factures concernées. Par contre, les nommés J. T., B. B., J. B. et P. D. sont à l’origine des manquants des produits finis, de connivence avec les commerciaux. Ils ont réussi à faire sortir des produits depuis un bon moment en les vendant dans le circuit normal de la société et se sont partagé les gains issus de ce deal », confient des sources de Seneweb proches du parquet.

Interrogé à nouveau, J. T. a finalement reconnu son implication dans cette soustraction frauduleuse constatée au sein des Mamelles Jaboot, entre janvier et septembre 2023. Il précise qu’il a eu à déchirer plusieurs bons de transfèrement de produits finis au lieu de les transmettre au service commercial, sciemment, pour échapper au contrôle effectué par le service sur les produits.

J. T. appelait les commerciaux sur le terrain pour leur proposer ces produits. Comment ? En les défalquant sur les marchandises vendues et en retour, ils se partageaient les gains obtenus indument avec les autres magasiniers, notamment les nommés J. T., B. B., J. B. et P. D., sans oublier la part du commercial concerné qui est au courant du circuit emprunté par ces produits pour ne pas dire qu’il était impliqué dans cette soustraction frauduleuse.

De plus, J. T. a confié que tous les magasiniers étaient au courant de ce trafic, de même que les commerciaux E.D., I. N., J. C., M. D. M. T., N. S., O. S. et S. N.

Au terme de l’enquête policière, les 12 agents de la société Les Mamelles Jaboot ont été déférés au parquet pour association de malfaiteurs et vol en réunion au préjudice de leur employeur.

Un garçon de 14 ans meurt par pendaison

Médina Chérif  Extension,  ce quartier de la commune de Kolda est dans l’émoi et la consternation. Et pour cause, Alassane Barry, habitant cette localité,  s’est pendu à travers la fenêtre de son domicile en jouant avec un morceau de tissu. 

Ce garçon, âgé de 14 ans, est élève en classe de 5e au CEM Sikilo Ouest, un établissement d’enseignement public général situé à la périphérie de la ville de Kolda. 

Les faits se sont déroulés ce samedi après-midi en l’absence de ses parents de la maison. 

Le corps sans vie a été récupéré par les sapeurs pompiers qui l’ont déposé  à la morgue de l’hôpital régional, en passant par le commissariat central pour des formalités administratives.

Guédiawaye : le faux mari de Soumboulou Bathily envoyé en prison

K. Gueye, né en 1984, a été condamné à six mois ferme. Il lui est reproché d’avoir usurpé l’identité du tradipraticien et mari de l’actrice Soumboulou Bathily, Serigne Abdoulaye Diop Khass.

Dans son édition de ce vendredi 1er décembre, Le Soleil rapporte que la dame M. Thiam, à la recherche d’une assistance mystique, est tombée sur l’annonce du prévenu faite sur les réseaux sociaux. Les deux ont convenu d’un rendez-vous.

Flairant le piège dès son entrée au domicile du marabout, la cliente s’enquiert des nouvelles de Soumboulou. Son hôte lui répond sans sourciller qu’elle se porte comme un charme. Loin d’être convaincue, M. Thiam prétexte un achat urgent de crédit mais, elle revient avec la police.

Arrêté, le faux Abdoulaye Diop Khass a été attrait devant la barre du tribunal des flagrants délits de Pikine. Ses dénégations n’ont pas empêché sa condamnation. Le représentant du Procureur a requis l’application de la loi pénale.

Seneweb

Autoroute à Péage : Un camion se renverse et occasionne un embouteillage monstre

L’autoroute à péage est confrontée à un bouchon terrible au niveau de Diass allant dans le sens Thiès Dakar. Et pour cause un camion s’est renversé occasionnant cet embouteillage monstre. Plus de détails à venir…

Cambriolage à la Médina : les aveux terrifiants du cerveau

Un braquage suivi d’une fusillade a été perpétré mercredi en plein jour dans un magasin situé à proximité du stade Iba Mar Diop de la Médina. L’auteur du tir qui a blessé un policier lors du vol a été appréhendé. Ce dernier identifié sous le nom de Ousmane Ben Afane Ndiaye est un caïd redoutable. Multirécidiviste, il avait été déféré, courant 2020, suite à une série de cambriolages qui portent sa signature.

D’après L’Observateur, il a fait des confessions détonantes lors de son audition, avouant avoir « expressément acheter l’arme à feu pour les besoins de ce braquage et autres éventuels forfaits similaires. »

Face aux enquêteurs, le mis en cause a été, toutefois, peu loquace sur son acolyte en fuite, ainsi que le mode opératoire mis en place pour dépouiller la victime de 4 millions de francs Cfa. L’enquête se poursuit pour savoir si les malfrats connaissaient leur victime et s’ils l’avaient pris en filature le jour du braquage.

Ainsi, indique le journal, les commissaire Sankharé et ses hommes de la Sûreté urbaine (Su) vont entendre leur collègue blessé par balle, souligne L’Obs.

Sextape : Deux filles partagent la « vidéo compromettante » de leur amie

Une vidéo montrant un homme et une fille dans une position compromettante, fait grand bruit au quartier Mbour Sérère.

Tout est parti d’une plainte déposée par S.R sur la table du chef de service du commissariat central de Mbour. La plaignante a confié que F.Dione, M.L.Diop et C.Fall ont tenté de ternir son image dans leur quartier.

« Elles ont partagé une vidéo compromettante d’une fille qui me ressemble. Le trio a fait le tour du quartier pour dire que c’est ma sextape qui a fuité », a déclaré S.R, selon des sources de Seneweb.

La victime a traîné en justice ses trois amies pour diffusion de données à caractère pornographique et diffamation.

Les trois mises en cause ont toutes déférés  à la convocation du commissaire Bara Niang.

Interrogée, M.L.Diop a déclaré que son petit ami établi en Europe lui a envoyé la vidéo intime de S.R, via l’application WhatsApp.

L’élève âgée d’une de 20 ans a avoué avoir partagé la sextape avec son autre amie F.Dione. Cette dernière a transféré, à son tour,  ladite vidéo à C.Fall membre du même groupe.

Cette dernière a effacé la sextape de son téléphone après l’avoir regardé. C’est pour cela qu’elle a été libérée après son interrogatoire.

Les deux filles ayant partagé la supposée vidéo obscène de leur amie, ont, quant à elles,  été placées en garde à vue dans les locaux du commissariat central de Mbour pour diffusion de données à caractère pornographique et diffamation.

Au terme de l’enquête, le duo incriminé a été présenté au procureur.

Horreur à Liberté 4: Un enfant chute du troisième étage d’une maison et perd la vie

Un enfant de moins de 5 ans du nom de Mame Cheikh a chuté du troisième étage d’un immeuble situé dans le quartier de Liberte 4. 

Un accident qui  a entraîné la mort de l’enfant. 

Pour l’instant, les causes exactes de ce drame ne sont pas encore connues. 
Nous y reviendrons. 

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