Suite à la décision de la Cour suprême confirmant l’arrêt de la Cour d’appel dans l’affaire opposant Mame Mbaye Niang à Ousmane Sonko, Moustapha Sarré, secrétaire national à la formation de l’ex-Pastef, a réaffirmé que « le plan reste et demeure Ousmane Sonko ». Il a été interrogé sur la possibilité que Habib Sy soit envisagé comme un plan B pour Sonko, et M. Sarré a souligné le rôle important de Habib Sy en tant qu’allié du Pastef.
Habib Sy, un allié fidèle : M. Sarré a salué Habib Sy en tant que grand allié du Pastef, soulignant son soutien constant, surtout pendant les moments difficiles. Il a insisté sur le fait que Habib Sy ne peut pas être considéré comme faisant partie du système, soulignant son intégrité et son absence d’implication dans des affaires de corruption ou de langage agressif contre les adversaires politiques.
Soutien aux députés de PASTEF : M. Sarré a exprimé son point de vue selon lequel Habib Sy, en tant qu’ancien coordinateur de Yewwi Askan Wi, mérite le soutien des députés du Pastef. Il a souligné que Habib Sy a occupé des postes de responsabilité dans le PDS (Parti démocratique sénégalais) mais qu’il ne devrait pas être critiqué pour des actes de détournement de fonds ou des comportements inappropriés.
Plan demeure Ousmane Sonko : Même avec les spéculations sur Habib Sy, M. Sarré a réitéré que le plan principal du Pastef reste Ousmane Sonko. Il a indiqué que le parti prévoit de faire un recours, affirmant que le Conseil constitutionnel a violé sa propre jurisprudence en rejetant certaines pièces du dossier de Sonko. M. Sarré a souligné que jusqu’à présent, ils ne savent pas exactement ce qui est reproché à Sonko et qu’ils attendent la notification.
Bassirou Diomaye Faye maintenu dans la course : M. Sarré a également commenté la situation de Bassirou Diomaye Faye, affirmant que ce dernier reste dans la course. Il a regretté ce qui s’est passé avec Bassirou Diomaye Faye en termes de parrainage, le qualifiant d’inacceptable.
Cette déclaration de Moustapha Sarré met en lumière la position ferme du Pastef envers Ousmane Sonko malgré les défis juridiques, et elle souligne l’importance de Habib Sy en tant qu’allié du parti.
Dans une récente interview, Mamadou Thiam, Président national des entrepreneurs du Sénégal (Rnes), a lancé un appel pressant au prochain président pour sauver l’administration sénégalaise et créer des opportunités d’emploi pour la jeunesse. Il a souligné l’importance de s’attaquer aux problèmes de migration irrégulière et de chômage des jeunes, en mettant l’accent sur la nécessité de former la jeunesse et de promouvoir l’entrepreneuriat local.
Migration irrégulière et Manque d’Emploi : Un Cri d’Alarme
Mamadou Thiam a exprimé sa préoccupation quant à la situation désespérée de nombreux jeunes au Sénégal, soulignant que le manque d’emploi conduisait à une migration irrégulière. Il a proposé que l’État se concentre sur la formation des jeunes, soulignant que la création d’emplois nécessitait des individus qualifiés. Il a également appelé à la promotion de la production locale pour réduire la dépendance aux importations.
Soutien aux Petites et Moyennes Entreprises (PME)
Le président des entrepreneurs a critiqué le manque de soutien aux PME locales, soulignant que les privilèges étaient souvent accordés aux étrangers plutôt qu’aux entrepreneurs sénégalais. Il a souligné l’importance de soutenir les PME pour stimuler le développement économique du pays.
Élections Présidentielles 2024 et Préoccupations Économiques
En abordant les élections présidentielles à venir, Mamadou Thiam a exprimé son inquiétude quant à la possibilité de violences liées à l’élection. Il a appelé à des discussions avec la nouvelle génération pour promouvoir des moyens pacifiques de faire part de leurs désaccords. Il a également encouragé les candidats à présenter des programmes axés sur l’entrepreneuriat.
Attentes envers le Prochain Président
Les attentes de Mamadou Thiam envers le prochain président incluent un engagement en faveur du dialogue, de la paix et un soutien accru aux jeunes. Il a insisté sur la nécessité de trouver des solutions pour l’emploi des jeunes afin de les dissuader de migrer irrégulièrement. Il a également plaidé en faveur d’une réforme de l’administration sénégalaise pour éliminer les pratiques de népotisme.
Appel à la Vérité sur la Migration et Investissement dans l’Entrepreneuriat
Mamadou Thiam a appelé les Sénégalais de la diaspora à informer les jeunes de la réalité de la vie à l’étranger. Il a souligné que le succès à l’étranger dépendait du développement du Sénégal. En conclusion, il a proposé le pavage des quartiers comme une alternative à la création d’emplois massifs pour les jeunes, soulignant les ressources locales disponibles.
L’appel de Mamadou Thiam met en lumière les défis économiques et sociaux auxquels le Sénégal est confronté, mettant en avant la nécessité de solutions concertées et d’un engagement envers le développement durable.
Le processus de collecte des parrainages pour les élections présidentielles au Sénégal a connu son dénouement avec la publication de la liste des 22 candidats « admis au second tour » par le Conseil constitutionnel. Chaque candidat avait la responsabilité de rassembler un nombre déterminé de parrainages valides pour être éligible à la prochaine phase du scrutin. Voici un récapitulatif de la situation de chaque candidat en termes de parrainages :
Aliou Mamadou Dia
Parrains validés : 47,383
Doublons : 3,538
À compléter : 202 (Diourbel)
Aly Ngouille Ndiaye
Parrains validés : 43,137
Doublons : 15,759
À compléter : 1,094
El Hadji Malick Gakou
Parrains validés : 40,782
Doublons : 18,180
À compléter : 3,449
Bassirou Diomaye Faye
Parrains validés : 40,012
Doublons : 6,609
À compléter : 4,219
Mamadou Lamine Diallo
Parrains validés : 39,032
Doublons : 5,199
À compléter : 5,199
Me El Hadji Diouf
Parrains validés : 40,440
Doublons : 8,538
À compléter : 3,791
Idrissa Seck
Parrains validés : 38,497
Doublons : 8,613
À compléter : 5,734
Mahammed Boun Abdallah Dionne
Parrains validés : 36,414
Doublons : 22,523
À compléter : 7,817
Mame Boye Diao
Parrains validés : 32,278
Doublons : 26,331
À compléter : 11,953
Serigne Mboup
Parrains validés : 31,752
Doublons : 27,107
À compléter : 12,479
Serigne Guèye Diop
Parrains validés : 31,003
Doublons : 27,734
À compléter : 13,228
Thierno Alassane Sall
Parrains validés : 30,766
Doublons : 28,001
À compléter : 13,465
Papa Djibril Fall
Parrains validés : 30,558
Doublons : 22,055
À compléter : 13,673
Abdoul Mbaye
Parrains validés : 30,460
Doublons : 17,254
À compléter : 13,771
El Hadji Abdourahmane Diouf
Parrains validés : 30,439
Doublons : 18,401
À compléter : 13,779
Souleymane Ndéné Ndiaye
Parrains validés : 25,562
Doublons : 27,734
À compléter : 18,969
Aminata Touré
Parrains validés : 25,251
Doublons : 19,800
À compléter : 2,000 (dans 4 régions au moins)
Bougane Guèye Dani
Parrains validés : 25,235
Doublons : 29,622
À compléter : 18,996
Amadou Ly
Parrains validés : 20,553
Doublons : 33,350
À compléter : 23,678
Aliou Camara
Parrains validés : 20,747
Doublons : 37,091
À compléter : 23,484
Rose Wardini
Parrains validés : 19,223
Doublons : 31,562
À compléter : 25,008
Amadou Seck
Parrains validés : 10,029
Doublons : 48,783
À compléter : 34,202
Cette étape cruciale du processus électoral laisse maintenant place à la période de complétion des dossiers pour les candidats concernés, qui devront rassembler les parrainages manquants dans les délais impartis par le Conseil constitutionnel. La compétition électorale au Sénégal reste ainsi pleine de suspense à l’approche du second tour.
Reporter l’élection présidentielle comme le voulait le candidat Boubacar Camara, est l’avis du guide religieux, Serigne Modou Kara Mbacké.
Dans une conversation téléphonique avec le journaliste-chroniqueur, Yamoussa Camara, ce dimanche soir, le général de Bamba propose le report de l’élection présidentielle du 25 février 2024 au Sénégal.
» Le gouverneur général d »’Al Xadiimiya », Serigne Modou Kara m’a appelé vers 22h. Au menu des échanges, il m’a fait savoir qu’il porte à l’attention des Sénégalais, de la presse nationale et internationale qu’il propose le report de la présidentielle pour le bien tous les citoyens. » Fait-il savoir d’emblée.
Ambassadeur international de la paix, Serigne Modou Kara Mbacké pense que le pays ne mérite pas de renouer avec les tensions politiques et appelle à une reprise du scrutin sous un nouveau format.
»Je suis un visionnaire, on doit reporter ces élections et les reprendre sous format d’élection générale et inclusive avec la participation de tous ceux qui doivent y figurer. Je le propose sur inspiration divine. Je sais de quoi je parle. Non seulement elle doit être reportée mais elle doit être reprise et très bien préparée sur des bases claires. Mieux vaut prévenir que guérir pour épargner le Sénégal d’une crise post-électorale majeure. » a-t-il expliqué au journaliste et promet que si rien n’est fait, une sortie médiatique sera prévue pour plus de détails.
L’héritage du fondateur du mouridisme, Cheikh Ahmadou Bamba attire les convoitises dans le monde. Un intérêt indéfectible que Macky Sall, présidant la cérémonie de clôture de la Semaine du patrimoine de Cheikh Ahmadou Bamba (du 2 au 6 janvier), a dévoilé par son attachement au patrimoine du serviteur privilégié du prophète Muhammad Psl, » en tant que Sénégalais, en tant que musulman, en tant que Noir ».
Serigne Touba et les valeurs
Mieux, Macky Sall est déterminé à “protéger l’héritage de Serigne Touba contre les maux de notre époque” car » Aujourd’hui, notre humanité est blessée par les contre-valeurs de notre temps : l’ignorance, l’obscurantisme, les extrémismes de tout bord et l’égo surdimensionné. (…) Le vénéré Cheikh Ahmadou Bamba combattait [les contre-valeurs] par son mode de vie et sa plume célébrant Dieu et son prophète Mohamed (PSL) », a rappelé Macky Sall devant la famille du fondateur du mouridisme sous la houlette du porte-parole du khalife général des mourides, Serigne Bassirou Abdou Khadre Mbacké.
Pour réussir une telle entreprise, le président Sall a appelé à l’unité et à combattre farouchement, » des courants de pensée et des forces déterminés à remettre en cause notre pratique de l’islam en s’attaquant à nos confréries. C’est une tendance qu’il faut prendre très au sérieux, et qu’il faut combattre fermement, en lui opposant une détermination supérieure pour protéger notre héritage spirituel. (…) Tous ensemble, nous devons défendre haut et fort notre patrimoine spirituel historique et le transmettre à nos enfants ”.. a-t-il ajouté, ce samedi 6 janvier à la cérémonie de clôture du patrimoine de Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké
La première phase du contrôle des dossiers de parrainages pour l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal a atteint son terme ce vendredi, marquant une étape cruciale dans le processus électoral du pays. Actuellement, 23 candidats se retrouvent en position délicate, devant se rendre successivement dans les locaux du Conseil Constitutionnel pour rectifier ou compléter leurs parrainages.
Parmi ces candidats, des figures politiques majeures du pays se retrouvent dans une situation délicate. Aliou Mamadou Dia (202 à Diourbel), Aly Ngouille Ndiaye (1009), Malick Gakou (3.449), Me El Hadji Diouf (près de 4.000), Bassirou Diomaye Faye (4.219), Mamadou Lamine Diallo (5.199), Idrissa Seck (5.800), Mouhamed Boun Dione (7.817), Elhadj Mamadou Diao (11.953), Serigne Mboup (13.000), Pape Djibril Fall (13.000 et 03 régions), Serigne G. Diop (13.228 et 02 régions à compléter), Abdoul Mbaye (13.771), Elhadj Abdourahmane Diouf (13.792), Thierno Alassane Sall (près de 14.000), Souleymane Ndené Ndiaye (18.669), Aminata Touré (18.980 et 04 régions), Bougane Gueye (18.996), Amadou Ly (près de 24.000), Rose Wardini (31.000), Amadou Seck, et Aliou Camara.
Ces candidats ont l’opportunité de corriger d’éventuels manquements dans leurs dossiers de parrainages afin de garantir leur éligibilité à la course présidentielle. La validation des parrainages revêt une importance cruciale pour s’assurer que chaque candidat satisfait aux critères stricts stipulés par la loi électorale.
L’enjeu est de taille, car cette phase déterminera quels candidats auront le feu vert pour poursuivre la compétition présidentielle, tandis que d’autres pourraient faire face à des obstacles majeurs, compromettant leur participation à la course pour la magistrature suprême. Les prochains jours seront donc décisifs pour ces 23 prétendants, et l’attention se porte désormais sur la suite du processus électoral au Sénégal.
Lors d’un débat télévisé sur la chaîne 2STV, Khalifa Ababacar Sall, candidat de la coalition Khalifa Président, a démontré son leadership et sa maîtrise des enjeux politiques du Sénégal. Face à des journalistes et des acteurs de la société civile, il a offert une performance remarquable, rompant avec les débats politiciens traditionnels.
Calme, rassurant, et pointu, Khalifa Sall a répondu avec pédagogie aux questions diversifiées portant sur des sujets cruciaux tels que le secteur producteur, l’État de droit, le vivre ensemble, et la question de l’endettement du pays. Sa compréhension approfondie et sa vision claire ont établi sa crédibilité en tant que leader compétent.
Le candidat a mis en avant des plans concrets pour stimuler le secteur producteur, renforcer l’État de droit, promouvoir le vivre ensemble, et résoudre la question de l’endettement. Ses propositions pragmatiques ont été saluées pour leur alignement sur les besoins réels de la population.
Khalifa Sall a souligné l’importance de politiques économiques favorables à la croissance, mettant l’accent sur la création d’emplois et le soutien aux petites entreprises. Sa vision articulée autour de l’humain, de l’eau, et de la terre a suscité l’adhésion.
Sur la question de l’État de droit, Khalifa Sall a plaidé pour le renforcement des institutions, l’indépendance du pouvoir judiciaire, et la garantie de l’égalité devant la loi. Il a démontré son engagement envers la consolidation démocratique.
Le candidat s’est positionné comme un rassembleur, abordant avec sensibilité la question du vivre ensemble dans un pays diversifié. Ses propositions pour promouvoir l’inclusion sociale et renforcer le tissu social ont été applaudies.
Enfin, Khalifa Sall a traité la question de l’endettement avec pragmatisme, présentant des stratégies pour réduire la dette tout en préservant les investissements essentiels. Sa sortie a été un moment charnière, élevant les attentes pour les prochaines étapes de la campagne électorale.
Cette Masterclass politique de Khalifa Sall a séduit de nombreux Sénégalais, renforçant sa position en tant que candidat capable de conduire le pays vers un avenir prospère.
Elhadji Ndiaye
Coordonnateur de la cellule de communication de Khalifa Ababacar Sall
Lors d’une mobilisation impressionnante, Amadou Lamine Dieng, Maire de Wack Ngouna et DG de l’IPRES, a exprimé son soutien inconditionnel à Amadou Ba, considérant qu’il est la meilleure chance pour le Sénégal après le désistement du Président Macky Sall. Il a souligné que la victoire d’Amadou Ba dans sa localité refléterait son succès à l’échelle nationale.
Le Maire de Wack Ngouna a également salué le bilan extrêmement positif du Président Macky Sall, soulignant les réalisations significatives telles que les bourses familiales, le désenclavement, et l’accès universel à l’eau potable dans la région du Saloum. Il a rappelé le progrès dans l’électrification des villages, passant de seulement 2 à 57 sur 65 sous le leadership de Macky Sall.
Amadou Lamine Dieng a exprimé sa fierté d’avoir abandonné sa carrière de magistrat pour soutenir le Président Macky Sall, qualifié de bâtisseur. Il a également salué l’action du ministre des finances, Moustapha Ba, considéré comme un « digne fils » du terroir.
La mobilisation exceptionnelle des populations de Wack Ngouna a été remerciée, et le Premier ministre, Amadou Ba, a lancé les travaux du tronçon Ndiayene Mamath-Wack Ngouna-Mbayene-Keur Samba Ka-Keur Seydou-Velingara. Ce projet, long de 19 km et d’un coût de 968 millions de francs CFA, contribuera au désenclavement de la région. Le délai d’exécution est fixé à 8 mois, avec le PUMA comme maître d’ouvrage.
Le Premier ministre du Sénégal, Amadou Ba, a officiellement lancé les travaux de la piste de production reliant Wack Ngouna à Vélingara lors de sa visite des réalisations du Programme d’urgence de modernisation des axes et territoires frontaliers (PUMA) dans le département de Nioro. Ce projet, d’une longueur de 19 km et d’un coût global de 968.364.938 francs CFA, couvrira les localités de Niassène Walo, Ndiobène Bangandi, Keur War, et Mambi Wolof.
Les travaux de construction de cette piste sont prévus pour durer 8 mois, contribuant ainsi à l’amélioration de la mobilité des personnes et des biens dans la région. Le PUMA, programme de développement d’urgence, s’engage à désenclaver et moderniser les axes frontaliers pour favoriser le développement économique et social des régions concernées.
Lors de sa visite, le Premier ministre a également inauguré le collège d’enseignement moyen (CEM) de Ndiayene Poste, soulignant l’importance des investissements publics dans le cadre du PUMA pour améliorer les infrastructures et les conditions de vie des populations locales. Après cette étape à Nioro, Amadou Ba se rendra en Gambie dans le cadre de ses activités officielles.
Khalifa Sall, candidat de la coalition « Khalifa 2024 » à l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal, se prépare activement pour la campagne électorale après avoir réussi l’étape du parrainage. Pour financer sa campagne, le maire honoraire de Dakar lance une levée de fonds qui débutera ce dimanche.
Sur la page officielle de sa campagne, « Khalifa2024.org », le candidat appelle les Sénégalais à contribuer financièrement, soulignant que chaque franc compte dans la réalisation de son programme. Il met en avant l’importance de chaque geste pour renforcer la capacité à créer un changement plaçant l’humain, l’eau et la terre au cœur de l’action politique.
Khalifa Sall invite chaque citoyen à devenir un « architecte du changement » et à soutenir une campagne qui valorise la diversité, respecte chaque voix et vise à construire une société inclusive. La levée de fonds vise à mobiliser des ressources pour une campagne dynamique et participative en vue de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024.
Un nouveau cadre, le Cercle de Réflexion et d’Orientation des Cadres (CROC), a été créé au sein de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) au Sénégal en vue de dynamiser la campagne électorale pour l’élection présidentielle de 2024. La mise en place du CROC fait suite à des rencontres impliquant des cadres de l’APR (Alliance Pour la République) et d’autres mouvements citoyens.
Les réunions ont permis de constater une léthargie et un manque d’implication des cadres dans les activités d’Amadou Bâ, le candidat de la coalition BBY. Afin de remédier à cette situation et de mobiliser davantage de ressources autour du candidat, le CERC a été créé pour proposer des idées et des stratégies visant à assurer la victoire au camp présidentiel dès le premier tour de l’élection.
Les membres du CROC appellent le candidat à élargir son équipe et expriment leur inquiétude quant à une possible non-implication de toutes les forces vives de la coalition dans la conception et la mise en œuvre des stratégies électorales. Ils alertent sur le risque d’une démobilisation qui pourrait nuire à la coalition et à son candidat. En réponse, ils lancent un appel pour une inclusion de toutes les intelligences afin d’assurer une victoire éclatante le 25 février.
Par ailleurs, les cadres du CROC saluent la démarche du Président Macky Sall, qui a renoncé à un deuxième quinquennat malgré la possibilité constitutionnelle de le faire. Ils soulignent les réalisations du président sortant en matière d’infrastructures, de mobilité, d’énergie et de mesures sociales en faveur des travailleurs et des couches défavorisées. Le CROC prévoit une journée de réflexion pour le lancement effectif de ses activités, dont la date et le lieu seront communiqués ultérieurement.
L’examen du dossier d’Ousmane Sonko au Conseil constitutionnel a été marqué par un incident impliquant Me Ciré Clédor Ly, le mandataire du leader de l’ex-Pastef. Selon les informations rapportées, Me Ciré Clédor Ly aurait été expulsé de la salle par le président du Conseil constitutionnel, Badio Camara.
Les faits se sont déroulés lors de la convocation de Me Ciré Clédor Ly pour la vérification du dossier d’Ousmane Sonko au Conseil constitutionnel ce vendredi. À son arrivée, il aurait été informé par Badio Camara que leur dossier ne serait pas examiné en raison de son incomplétude.
Face à cette décision, Me Ciré Clédor Ly aurait demandé des explications sur les raisons de l’incomplétude du dossier. Cependant, le président Badio Camara aurait répondu que les raisons lui seraient communiquées ultérieurement. Face à l’insistance de Me Ciré Clédor Ly, Badio Camara aurait appelé les gendarmes pour le faire expulser de la salle.
Cette situation soulève des interrogations et suscite des réactions, notamment de la part de Me Masokhna Kane, qui annonce un recours contre la décision du Conseil constitutionnel. L’incident met en lumière les tensions et les controverses entourant le processus électoral au Sénégal.
Le directeur général de l’agence nationale de l’aménagement du territoire (ANAT), Mamadou Djigo s’est illustré à la grande cérémonie de remise des trophées »Ragnée » qui célèbre les personnalités remarquées et remarquables de l’année 2023 au Sénégal.
Placé sous le thème : Ressources extractives, un enjeu de génération, le plus grand prix »Ragnée » de l’excellence lui a été décerné.
Coïncidant avec le jour de son anniversaire, la tête initiatrice des grands projets de l’Anat pour le développement du Sénégal se dit très fier de la distinction.
»Je suis très ému de cette distinction, aussi c’est un sentiment de satisfaction. Beaucoup de sacrifices sont faits par les agents de l’agence nationale de l’aménagement du territoire. Notre pays est doté d’un excellent outil d’organisation spatial à savoir le plan national d’aménagement et de développement territorial du Sénégal sur plusieurs facettes qui permet d’ici 2025 d’avoir une parfaite maîtrise de son territoire, à la mise en place de certains équipements. Aussi le visa de localisation qui permet aux populations de ne pas habiter dans des zones à risque. Sans oublier le Pavart qui va permettre d’industrialiser le pays etc… » a-t-il expliqué
Pour rappel, l’ingénieur aménageur et développeur de territoires est dans son domaine d’expertise. Ce fils de Koungheul a redonné vie à cette agence grâce à une série d’innovations qu’il a introduites. Nous pouvons citer le PAVART (Programme national d’appui à la valorisation des ressources territoriales). Retour en détails sur le parcours d’un génie qui rythme l’émergence du Sénégal.
Sa longévité marque certainement sa compétence. Mamadou Djigo est Directeur Général de l’Agence Nationale de l’Aménagement du Territoire (ANAT). L’ingénieur aménageur et développeur de territoires est dans son domaine d’expertise. Le natif de Koungheul a redonné vie à cette agence grâce à une série d’innovations qu’il a introduites.
Il est dans son milieu à l’Agence Nationale de l’Aménagement du Territoire ( ANAT). Mamadou Djigo était décontracté dans son bureau sis à Hann. Ici, on le retrouve avec son ordinateur posé sur une table et un écran plasma suspendu au mur. De là, par un clic, on se retrouve dans un village de Ndoffane et on assiste à un éventaire des habitants, des arbres sur un rayon d’un kilomètre. Cerise sur le gâteau, on peut avoir une lecture sur les phénomènes naturels. Il dévoile, la révolution, en cours et qui a été entamée, à la vérité, depuis sa nomination en juillet 2012. L’ingénieur aménageur et développeur de territoire, âgé de 46 ans, a réussi le pari de mettre en œuvre la vision de M. le Président de la République en matière d’aménagement du territoire. Ce travail est un outil d’aide à la prise de décisions politiques et de restauration de l’équité.
La répartition des infrastructures, des équipements, des activités dans l’espace de façon équilibrée et équitable et fiable ne peut que se faire sur la base solide qui s’appelle : le Plan d’Aménagement et de Développement Territorial ( PNADT). C’est sous sa direction que le nouveau PNADT a été élaboré car celui de 1977-1997 avait atteint ses limites. A la vérité, il n’a pas été mis en œuvre à cause de l’absence d’une loi. « Quand le Président de la République, Macky Sall est venu en 2012. Il nous a instruits d’élaborer un plan d’aménagement en prenant en compte le développement des territoires. Donc, nous venons d’avoir un Plan National d’Aménagement et de Développement Territorial. Son objectif, c’est de développer le Sénégal, à partir de ses territoires par une bonne structuration de l’espace et une valorisation durable de toutes ses ressources », raconte Monsieur Djigo. Il a une vision claire de sa mission. Il a compris qu’une bonne politique d’aménagement du territoire a toujours des répercussions sur les autres secteurs de la vie active et sur l’avenir du pays. À l’heure, des comptes, certains outils et juridiques ont été validés et promulgués comme la loi d’orientation pour l’aménagement durable des territoires ( Loadt) et le visa de localisation.
« Quand, on a fini d’élaborer le plan, nous avons identifié toutes les zones à risques (inondations, technologiques, érosions côtières…) et toutes les autres zones que nous devons protéger pour des intérêts géopolitiques et géostratégiques. Si une personne veut aller s’installer dans une zone inondable non constructible, nous sommes en mesure de l’interdire. Nous avons la loi avec nous, le visa de localisation. Nous avons des outils de dernière génération qui nous permettent sur l’ensemble du territoire de dire aux gens qu’ils peuvent encourir des risques en s’installant dans telle ou telle zone », explique Monsieur Djigo. Ce plan allant jusqu’en 2035, prend en compte, les besoins en eau, d’électricité, d’écoles, de voirie, d’universités… Et, la population du Sénégal qui passera de 25 à 26 millions d’habitants d’ici à 10 ans. « Ce sont autant de raisons qui ont poussé l’ANAT à mettre en place une politique cohérente pour équilibrer les territoires », a signifié Mamadou Djigo. Ces réalisations ont valu au DG de l’ANAT d’être élevé au rang de chevalier de l’Ordre National du Mérite par le Président de la République en 2021.
Un passionné de l’aménagement
Cette trajectoire a une source. Il a vu le jour à Koungheul, dans la région de Kaffrine. C’est dans la capitale du Bambouck où il a commencé ses études avant de rejoindre la ville de Tamba pour les poursuivre. Mais c’est à Rio Fresco ( Rufisque) qu’il a fait sa première et sa terminale. Une fois le baccalauréat en poche, il s’inscrit à l’Université Joseph Fourier de Grenoble où il est sorti avec un diplôme ingénieur aménageur de territoire. Il fera une année complémentaire à l’Université Pierre Mendes de France pour une formation en économie des territoires. « Ma passion, c’est mon métier : l’aménagement du territoire, le développement territorial, comment faire pour créer des entreprises et des emplois ? On a appris à aimer cela et c’est devenu une passion », confia-t-il.
Le diplôme d’ingénieur décroché, il officie d’abord au Conseil général de l’Isère, ensuite dans des entreprises et travaille pour le compte des projets en France. Il renonce pour revenir servir son pays. Au Sénégal, il a enseigné aussi à L’IST (l’Institut Supérieur des Transports). Il a été aussi le consultant de l’Etat pour l’élaboration de la première maquette de l’Observatoire national des territoires. Mamadou Djigo fait partie des jeunes brillants diplômés qui ont été détectés par Macky Sall pour élaborer son projet. C’est ainsi qu’il a été porté à la tête de l’ANAT en 2012.
Bernard Pecqueur, Son maître à penser
Très proche de ce professeur émérite français qui est le concepteur par excellence du développement territorial. Nous parlant de son ami, Dg Djigo dit : Bernard Pecqueur est un économiste territorial qui a eu un impact sur ma façon de voir les territoires. J’ai beaucoup appris à ses côtés !
Militant par conviction
Il ne pouvait pas rester insensible à cette marque de confiance, du Président Macky Sall. Il décide alors de rejoindre l’Alliance pour la République. « La politique est très noble quand elle est bien faite. Malheureusement, ces derniers temps, on assiste à des débats de bas niveaux », regrette-t-il. L’amour de servir son pays l’a donc poussé à militer à l’APR.
« Quand on voit le déséquilibre qu’il y a entre l’Afrique et l’occident, quand on a la chance de faire le tour du monde et le privilège de savoir quelque chose, de pouvoir d’apporter quelque chose de positive, on se dit qu’on n’a pas le droit de ne pas participer’’, se justifie-t-il.
Aujourd’hui le Dg de l’ANAT milite à Koungheul et compte des militants, un peu partout. Lors des élections locales et des élections législatives, il ne sera pas investi sur les listes par son patron. Si certains avaient, dans d’autres localités, décidé de créer des listes parallèles, Mamadou Djigo lui, s’est soumis aux décisions du chef de leur parti Macky Sall. ‘’En tant que militant loyal et fidèle au Président de la République, j’avais décidé de suivre la décision du parti’’, soutient-il.
Daniel Amokachi d’abord, Roberto Baggio après
L’homme politique était aussi un bon joueur de football. Il a laissé ses marques dans les navétanes. À Koungheul, les défenseurs de l’Asc Gombé et Walidane se souviennent encore de ses frappes foudroyantes. C’est pour cela qu’il a été surnommé, Daniel Amokachi, ancien international du Nigéria. A Rufisque, il portera le nom d’un international italien, Roberto Baggio. ‘’J’étais attaquant et je marquais beaucoup de buts. Je n’aimais pas les surnoms, mais on m’appelait souvent Baggio et Amokachi’’, se souvient-il. Et en France, le jeune footballeur amorce sa reconversion dans le milieu en devenant arbitre. ‘’Beaucoup de gens pensaient que j’étais en France pour jouer au football. Je continuais à suivre le sport », rapporte-il. Après tout, il fallait que celui qui était devenu arbitre officiel de football choisisse entre l’arbitrage et les études. « Finalement, j’ai décidé de me focaliser sur les études parce que ce sont les raisons qui m’avaient amené en France », avait opté l’ingénieur. Aujourd’hui, il lit beaucoup les livres sur l’aménagement du territoire pour quitter le monde réel sans s’éloigner de la réalité du terrain partageait notre confrère Ousmane Dicko de Seneweb sur la vie et l’œuvre de Mamadou Djigo.
Le secrétaire national à la communication de l’ex-pastef, El Malick Ndiaye est monté au créneau dans la soirée de ce vendredi 05 janvier suite à la décision du conseil constitutionnel sur la candidature de Ousmane Sonko.
Face à ce rejet du dossier de candidature au motif que son dossier était incomplet, El Malick en compagnie des leaders alliés pour soutenir Sonko dénonce et appelle à la mobilisation pour »une victoire éclatante de leur leader ».
» Une décision non fondée qui participe au complot national pour écarter le chef de l’opposition sénégalaise, le candidat favori. » a-t-il lancé d’emblée
Le camp de Sonko garde espoir et avertit les »ennemis » parce que selon El Malick »il n’y a plus d’adversité mais de l’animosité. Donc nous appelons les militants à rester mobiliser. Le président Ousmane Sonko, seul a le dernier mot. Donc restez à son écoute et allez retirer vos cartes, c’est le plus important. (…) Restez debout pour barrer la route à ce régime mafieux » a t-il conclu
Pour rappel, Le président du Conseil constitutionnel leur a notifié que « les dossiers, les courriers qui les accompagnaient et les pièces annexées ont été reçus, vérifiés par la commission qui a conclu qu’il manquait une pièce et que le dossier de candidature était incomplet »
Le Premier ministre du Sénégal, Amadou Ba, a inauguré le début des travaux de la piste de production Wack Ngouna-Ndiayène Mamath-Mbayène-Keur Samba Kâ-Keur Seydou-Vélingara, d’une longueur de 19 km, dans le département de Nioro. Le projet, d’un coût global de 968 364 938 francs CFA, vise à améliorer l’infrastructure routière dans la région.
La cérémonie de lancement a eu lieu en présence d’une délégation importante, comprenant notamment les ministres Amadou Moustapha Ba, Mansour Faye, et Thérèse Faye. Le projet, financé dans le cadre du Programme d’urgence de modernisation des axes et territoires frontaliers (PUMA), devrait être achevé en 8 mois.
Le Premier ministre a souligné l’importance de cette nouvelle infrastructure pour la mobilité des personnes et des biens, ainsi que son impact positif sur les activités agricoles des femmes de la région. La visite des réalisations du PUMA à Nioro montre l’engagement continu du gouvernement en matière de développement des infrastructures et de désenclavement des régions frontalières.
Après cette étape à Nioro, Amadou Ba prévoit également une visite en Gambie, soulignant ainsi la volonté du gouvernement de renforcer les liens et la coopération régionale.
Des disciples mourides et d’autres musulmans se sont pressés, jeudi, au musée des Civilisations noires, hôte de l’exposition organisée à Dakar, dans le cadre de la semaine du patrimoine de Cheikh Ahmadou Bamba (1853-1927), se ruant sur les six photographies du guide spirituel des mourides qui se sont vendues comme des petits pains indique nos confrères de l’APS.
Ce rush est une manière pour eux de participer à la construction du musée Cheikhoul Khadim à Touba, à laquelle sont dédiés les fonds collectés.
Les clichés du fondateur du mouridisme, retrouvés dans une collection privée en France, ont été acquis le 8 mars 2023 par des disciples mourides lors d’une vente aux enchères à Lyon. Ils datent du 11 mars 1918, jour de la pose de la première pierre de la mosquée de Ndiarem, dans la commune de Diourbel (centre).
Mouhamed Ndiaye, ingénieur en génie civil, vient d’effectuer sa visite. Selon lui, il est ‘’impensable de rentrer à la maison sans acheter des photos du fondateur de la confrérie mouride, qui constituent un patrimoine pour tout fidèle’’.
“En achetant ces photos, certes, je participe à la construction du musée de Cheikhoul Khadim, mais cette acquisition constitue également un patrimoine inestimable pour moi’’, déclare-t-il, après avoir acquis un cliché à 5000 francs CFA.
Selon lui, “le fait d’acheter ces images et de les garder à la maison peut faire resurgir d’autres enseignements de Serigne Touba juste en les contemplant’’.
“La photo qui m’a le plus marqué, c’est celle où on voit Cheikh Ahmadou Bamba debout en train de prier. Cette image me parle énormément, car elle démontre le dévouement de l’homme envers Dieu’’, explique-t-il.
Pour Elias Diallo, ces photos viennent montrer une autre image de Serigne Touba avec des détails beaucoup plus clairs.
‘’Dire le sentiment qui m’anime après avoir acheté ces clichés me semble difficile, car jusqu’ici nous n’avions qu’une seule image de lui et aujourd’hui, d’autres images viennent s’y ajouter, avec des détails beaucoup plus clairs’’, se réjouit-il.
Il estime que ces photos viennent corroborer les écrits des témoins de l’époque, à l’image de Serigne Mouhamadou Lamine Diop Dagana, secrétaire du fondateur de la confrérie mouride.
‘’Quand je regarde les photos, j’ai l’impression d’être en face à face avec Cheikh Ahmadou Bamba. C’est impressionnant’’, lance-t-il.
Abdoul Khadre Diop, membre du comité finance de cette semaine du patrimoine de Cheikh Ahmadou Bamba, salue la détermination des fidèles à acheter massivement les photos du guide religieux en guise de participation à la construction du musée Cheikhoul Khadim.
Il assure que la vente des photos se passe très bien.
“Nous pouvons dire que depuis le début de l’événement, les clients ne cessent de venir afin d’obtenir des photos de Serigne Touba. Nous n’avons même pas de répit. Nous travaillons de 9 heures du matin à 20 heures’’, se félicite-t-il.
Il souligne qu’il y a d’autres points de vente à Dakar, avec la différence qu’‘’ici les prix sont plus abordables’’.
“En plus de cela, nous ne nous limitons pas uniquement à la vente, nous permettons également aux clients d’avoir des explications, s’ils le désirent, sur le contexte et la période où les photos ont été prises’’, a-t-il expliqué.
Plusieurs catégories de photos sont proposées aux visiteurs, avec des prix variant selon leurs dimensions.
“C’est entre 2500 et 5000 francs CFA. Mais en ce qui concerne la collection qui regroupe les six photos, son prix est fixé à un million FCFA’’, précise-t-il.
Il indique qu’il est difficile, à l’heure actuelle, d’évaluer la somme récoltée depuis le démarrage de l’exposition. “Il faut attendre la fin de l’évènement pour pouvoir communiquer sur cela’’, explique-t-il.
Il invite les fidèles à venir se procurer les images avant la fin de l’exposition.
La semaine du patrimoine de Cheikh Ahmadou Bamba sera clôturée samedi, par la tenue d’un colloque, à l’hôtel King Fahd Palace sous la présidence du chef de l’Etat, Macky Sall, selon le comité d’organisation.
Suite à la confirmation de la condamnation d’Ousmane Sonko pour diffamation et injures publiques par la Cour suprême de Dakar, des interrogations ont émergé quant à son éligibilité pour l’élection présidentielle de février 2024. Maître Bamba Cissé, l’un des avocats de Sonko, a pris la parole pour apporter des clarifications à ce sujet.
Selon l’avocat, pour que Sonko soit déclaré inéligible, le tribunal aurait dû prononcer spécifiquement une peine d’inéligibilité lors de la condamnation, ce qui n’a pas été le cas. Il a souligné que l’inéligibilité pourrait éventuellement être imposée si les autorités décidaient de radier Sonko de la liste électorale. Cependant, à ce jour, aucune mesure de ce type n’a été prise. Maître Cissé a également précisé que si une telle décision devait être prise, Sonko aurait le droit de faire appel.
L’avocat a différencié cette affaire de celle concernant Adji Raby Sarr, où Sonko avait été condamné par contumace. Il a rappelé que la contumace avait été annulée par le tribunal de Dakar il y a quelques semaines à la suite d’un procès.
Maître Bamba Cissé insiste sur le fait que, pour le moment, Ousmane Sonko demeure éligible à l’élection présidentielle de 2024, et toute décision contraire devra suivre des procédures légales et permettre des voies de recours.
La police du commissariat de Plateau a réussi à mettre fin aux agissements délictuels d’un individu se faisant passer pour un adjudant de l’administration pénitentiaire. Ancien détenu, M. Lô a été libéré le 30 décembre dernier, mais au lieu de réintégrer la société de manière positive, il a mis en place un stratagème visant à escroquer les familles des détenus.
L’escroc présumé a contacté les proches de ses anciens co-détenus de la prison de Rebeuss, leur promettant des grâces présidentielles moyennant des paiements en espèces. Usant de la crédulité de ses victimes, M. Lô leur a soutiré de l’argent en prétendant pouvoir influencer le président pour obtenir la libération de leurs proches.
La supercherie a été dévoilée lorsqu’une des victimes, lassée d’attendre les résultats promis, a déposé une plainte au commissariat de Plateau. Le faux adjudant avait convaincu ses victimes en affirmant pouvoir ajouter le nom de leurs proches à la liste des détenus graciés par le président.
Ce vendredi 5 janvier, la liste des candidats déclarés pour l’élection présidentielle de 2024 a connu une nouvelle modification avec l’élimination d’office de deux femmes, Amsatou Sow Sidibé et Aïda Mbodj.
Amsatou Sow Sidibé a été écartée en raison d’un dossier incomplet. Selon la commission de vérification des parrainages, l’attestation de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) était absente de son dossier, ce qui a conduit à son élimination.
Quant à Aïda Mbodj, elle n’a pas réussi à obtenir le nombre minimum de parrains requis. Sur les 20 865 parrains qu’elle a validés, 17 043 ont été identifiés comme des doublons externes, totalisant ainsi 37 908 parrains. Cette situation ne respecte pas les critères exigés pour la validation de la candidature.
Actuellement, seule Anta Babacar Ngom demeure dans la course présidentielle parmi les candidates féminines. Cependant, Rose Wardini pourrait rejoindre la compétition en régularisant 31 000 parrains, ouvrant ainsi la possibilité d’une présence significative de femmes dans cette élection.
La candidature d’Aida Mbodji a été invalidée suite à l’examen de son dossier par la Commission de contrôle des parrainages. Le mandataire de la candidate a indiqué que le Conseil constitutionnel a informé que les militants qui ont parrainé Aida Mbodji ne figuraient pas dans le fichier électoral à leur disposition.
Selon le mandataire, cette non-conformité a conduit à l’élimination d’office de la candidature d’Aida Mbodji. Il a précisé que le Conseil constitutionnel a souligné l’absence des militants dans le fichier qui était à la disposition de la candidate.
Cette décision met fin à la participation d’Aida Mbodji à l’élection présidentielle de 2024, marquant une étape cruciale dans le processus de contrôle des parrainages par le Conseil constitutionnel.
Me Ciré Clédor Ly, mandataire d’Ousmane Sonko, a vivement critiqué le processus électoral après l’annonce du rejet du dossier de candidature de Sonko par le Conseil constitutionnel. Il a qualifié le processus d’une « farce électorale » caractérisée par le manque de transparence et de probité.
Selon Me Ciré Clédor Ly, le dossier de Sonko a été ouvert et exploité en l’absence du mandataire et représentant du candidat, ce qui constitue une violation flagrante de la loi. Il souligne qu’une commission de contrôle des parrainages est prévue par la loi, et cette commission doit inclure le représentant du candidat. Cependant, dans ce cas, le dossier aurait été notifié comme incomplet sans la présence du représentant de Sonko.
Le mandataire de Sonko a déclaré que lorsqu’ils sont entrés, le Président Badio Camara leur a immédiatement notifié que le dossier était incomplet. Me Ciré Clédor Ly affirme que cette procédure manque de transparence, et le rejet du dossier s’est fait sans la présence du mandataire de Sonko, en violation de la loi.
Malgré le rejet, Me Ciré Clédor Ly a assuré que Sonko suivra les recours prévus par la loi pour contester cette décision, soulignant que la souveraineté populaire s’exprimera dans ce processus.
L’avocat Me Clédor Ly a annoncé lors d’une prise de parole devant le Conseil constitutionnel que la candidature d’Ousmane Sonko aux élections a été rejetée. Selon Me Clédor Ly, le Conseil constitutionnel a jugé le dossier de candidature de Sonko comme « non complet ».
Des informations provenant du dossier indiquent que certains documents essentiels étaient absents, notamment une attestation devant être délivrée par la Caisse de Dépôt et de Consignation (CDC). La CDC aurait refusé de fournir cette attestation, invoquant le fait qu’Ousmane Sonko ne figurait pas sur les listes électorales. De plus, les fiches officielles de parrainage, à être fournies par la Direction Générale des Élections (DGE), manquaient également dans le dossier. La DGE aurait cité les mêmes raisons que la CDC pour ne pas délivrer ces documents.
Ousmane Sonko avait été condamné par contumace pour corruption de la jeunesse, mais il a par la suite gagné en justice pour sa réinscription sur les listes électorales. Cependant, malgré les décisions judiciaires favorables, les autorités ont refusé de le réinscrire, arguant que les ordonnances n’étaient pas définitives, nécessitant une décision de la Cour suprême.
Il est à noter qu’Ousmane Sonko a fait face à une autre affaire judiciaire, distincte de celle pour laquelle il a été condamné par contumace. Bien que cette seconde condamnation puisse potentiellement impacter son éligibilité, des incertitudes persistent quant aux actions de l’État depuis la confirmation de la Cour suprême le 5 janvier 2024.
Dans le cadre du strict contrôle du parrainage pour l’élection présidentielle de 2024, une nouvelle importante vient de secouer le dossier de Ousmane Sonko. Le Conseil Constitutionnel a pris la décision d’invalider sa candidature en raison d’un dossier incomplet, notamment l’absence cruciale de l’attestation de la Caisse des Dépôts et des Consignations.
La réglementation électorale impose des critères stricts pour la validation des candidatures, et l’absence de cette attestation a été identifiée comme une lacune majeure dans le dossier de Sonko. Cette décision du Conseil Constitutionnel remet en question la participation de Sonko à l’élection présidentielle de 2024, le positionnant comme le principal opposant au régime en place et une possible menace pour le candidat Amadou Ba.
Cette nouvelle développement aura des implications significatives sur le paysage politique et électoral, ouvrant la voie à des ajustements et des réactions de la part des partis politiques et des électeurs. Le processus électoral au Sénégal continue d’évoluer, et cette décision contribuera certainement à façonner le paysage politique à l’approche des élections.
Lors du contrôle des parrainages pour l’élection présidentielle de 2024, Amadou Ly, candidat et directeur général de la société Akilée, a réussi à passer au second tour. Son dossier a été validé avec près de 25 000 parrainages, mais il doit régulariser environ 19 000 parrains pour rester dans la course présidentielle.
Amadou Ly, également connu pour son implication dans la politique locale en tant que leader de son mouvement, avait obtenu la deuxième place lors des dernières élections locales à Keur Massar Sud en tant que parti politique.
Son mandataire a confirmé que malgré les efforts à fournir pour la régularisation des parrainages, Amadou Ly reste déterminé à poursuivre sa candidature à l’élection présidentielle. Cette étape souligne l’importance du contrôle des parrainages dans le processus électoral et les efforts requis par les candidats pour satisfaire aux critères définis par la réglementation électorale.
Lors d’un congrès national extraordinaire tenu à Dakar, l’Alliance Jëf-Jël dirigée par Talla Sylla a annoncé une décision majeure concernant sa participation à l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. Selon un communiqué officiel, le parti a décidé de ne pas présenter de candidat pour cette élection présidentielle.
La décision a été motivée par « la nécessité de regrouper des forces convergentes pour refonder la République et continuer la marche vers le développement économique et social du Sénégal ». Le communiqué a également souligné « le rôle historique du président Talla Sylla et son engagement dans la consolidation de notre système démocratique ». Le parti a ainsi approuvé la décision du président de retirer sa candidature.
En accord avec ces résolutions, le congrès a élu à l’unanimité Talla Sylla en tant que président de l’Alliance Jëf Jël. Le parti lui a confié la mission de « continuer à explorer toutes les voies possibles de regroupement des forces convergentes pour une refondation de la République et la consolidation de notre démocratie dans un contexte régional de crise ».
Le conseil national de l’Alliance Jëf-Jël a exprimé sa gratitude envers Talla Sylla et a réaffirmé son soutien, l’encourageant à poursuivre « le combat qu’il mène avec des sacrifices énormes en faveur du peuple sénégalais ». Cette décision pourrait avoir des répercussions significatives sur le paysage politique sénégalais en vue des élections présidentielles à venir.
Le statut des droits civiques d’Ousmane Sonko est au cœur d’une clarification apportée par Amadou Ba, membre de Pastef, suite à l’ordonnance du président du Tribunal d’Instance Hors Classe de Dakar (TIHCD).
Selon Amadou Ba, Ousmane Sonko a été réinscrit dans le fichier en vertu de l’ordonnance du président du TIHCD. Cette réinscription s’est basée sur la contumace, et actuellement, il est expliqué que pour que Sonko soit rendu inéligible, une nouvelle procédure de radiation doit être entreprise. Cependant, cette fois-ci, elle ne serait pas basée sur la contumace, mais sur la condamnation pour diffamation.
Il est important de noter qu’officiellement, Sonko a été radié pour contumace lors de la révision du fichier électoral. La condamnation pour diffamation ne prendrait effet qu’à la prochaine révision ordinaire du fichier en 2024.
Amadou Ba souligne qu’il est actuellement impossible de rouvrir le fichier pour intégrer la condamnation pour diffamation, car la commission de révision n’est plus en activité. La révision du fichier n’est pas un processus continu, mais se fait par périodes déterminées par décret.
Ainsi, Amadou Ba insiste sur le fait que les droits civiques de Sonko restent intacts, et le Conseil constitutionnel devrait statuer indépendamment de la condamnation pour diffamation.
Cette clarification intervient dans un contexte politique tendu, marqué par des enjeux électoraux cruciaux, et souligne l’importance de comprendre les procédures juridiques entourant la radiation et les droits civiques des candidats politiques.
Le Conseil Constitutionnel a pris la décision d’écarter la candidature de Momar Ndao, représentant de l’Ascosen, lors du processus de contrôle du parrainage pour l’élection présidentielle de 2024.
Dossier Non Conforme :
La candidature de Momar Ndao a été rejetée en raison de plusieurs facteurs. Avec seulement 1 246 parrains valides, le nombre nécessaire pour satisfaire aux exigences minimales n’a pas été atteint. En outre, le Conseil Constitutionnel a identifié un nombre étonnant de 41 748 doublons externes dans les parrainages, ajoutant à l’invalidation du dossier.
Réaction du Conseil Constitutionnel :
Le Conseil Constitutionnel a justifié sa décision en déclarant que la candidature de Momar Ndao ne répondait pas aux critères légaux établis pour le parrainage. Les doublons externes ont été considérés comme une irrégularité majeure, renforçant la position du Conseil dans le rejet de la candidature.
Conséquences pour Momar Ndao :
Cette décision place Momar Ndao en dehors de la course présidentielle de 2024. Malgré ses aspirations, le non-respect des conditions de parrainage a mis fin à ses espoirs de participer à l’élection présidentielle.
L’Ascosen et les partisans de Momar Ndao sont confrontés à la réalité de cette exclusion, et la décision du Conseil Constitutionnel souligne l’importance cruciale de satisfaire aux exigences du parrainage pour garantir la légitimité des candidatures.
Cheikh Oumar Sy, ancien député de Bès Du Niakk et conseiller spécial d’Amadou Ba, a abordé plusieurs sujets lors d’une récente interview. Il a exprimé son indécision quant à l’élection présidentielle de 2024, soulignant les enjeux indécis avec un président sortant sans affiliation claire. Il a également répondu aux attaques au sein de la coalition au pouvoir et critiqué le mécanisme de parrainage.
Indécision pour l’Élection Présidentielle :
Cheikh Oumar Sy a souligné que l’élection présidentielle de 2024 s’annonce indécise en raison de la situation particulière du président sortant, Macky Sall, sans affiliation idéologique claire. Il a mentionné qu’Ousmane Sonko, bien que confronté à des problèmes juridiques, reste une force à prendre en compte.
Changement de Position et Soutien à Amadou Ba :
Interrogé sur son changement de position, Cheikh Oumar Sy a expliqué qu’il est resté fidèle à ses convictions et principes. Son soutien à Amadou Ba repose sur la conviction que Ba peut relever les défis actuels, en particulier dans les domaines judiciaire, administratif et de gestion publique.
Attaques au Sein de la Coalition au Pouvoir :
Concernant les attaques contre Amadou Ba de la part de certains membres de la coalition au pouvoir, Cheikh Oumar Sy a souligné qu’il s’agit d’une compétition interne. Certains membres de la coalition qui n’ont pas été choisis comme candidats ont manifesté leur mécontentement.
Critique du Parrainage :
Cheikh Oumar Sy a critiqué le mécanisme de parrainage, le qualifiant de problématique. Il a soulevé des points d’inquiétude, notamment le tirage au sort et l’absence de voie de recours pour les candidats. Il a plaidé en faveur d’une réforme du parrainage, suggérant des ajustements pour assurer une légitimité démontrée des candidats.
En résumé, Cheikh Oumar Sy a abordé divers aspects liés à la politique sénégalaise, exprimant ses préoccupations et appelant à des réformes pour améliorer la transparence et l’équité dans le processus électoral.
La candidature de l’ex-capitaine Mamadou Dièye pour l’élection présidentielle de 2024 a été disqualifiée par le Conseil Constitutionnel lors du contrôle du parrainage.
La raison principale de cette exclusion est le dossier incomplet de Mamadou Dièye, notamment l’absence de l’attestation de la Caisse des Dépôts et Consignation (CDC). Cette attestation, qui certifie la solvabilité financière du candidat, est une pièce cruciale dans le processus de contrôle du parrainage.
La disqualification de Mamadou Dièye souligne l’importance pour les candidats de veiller à la complétude de leur dossier et à la fourniture de tous les documents requis pour maintenir leur éligibilité à l’élection présidentielle.
Le candidat Me Moussa Diop fait face à une mauvaise nouvelle dans le cadre du contrôle du parrainage en vue de l’élection présidentielle de 2024. Le Conseil Constitutionnel a déclaré que son dossier est incomplet, entraînant ainsi l’invalidation de sa candidature.
Le parrainage, instauré pour garantir la transparence et l’équité du processus électoral, impose à chaque candidat de recueillir un nombre spécifique de signatures provenant d’élus locaux et nationaux.
Dans le cas de Me Moussa Diop, le Conseil Constitutionnel a précisé que le candidat n’avait pas fourni l’attestation de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), ce qui a automatiquement conduit à l’invalidation de sa candidature.
L’attestation de la CDC, certifiant la solvabilité financière du candidat, est considérée comme une pièce essentielle dans le processus de contrôle du parrainage. Cette situation pose un défi majeur pour Me Moussa Diop, qui devra rapidement régulariser son dossier pour maintenir ses aspirations présidentielles.
La candidature de Bougane Gueye, leader du mouvement Gueum Sa bopp, est confrontée à une sérieuse menace après la vérification de ses parrainages le 5 janvier. Il apparaît que le patron de Dmedia doit régulariser 19 000 parrains s’il souhaite demeurer dans la course à la présidentielle, n’ayant validé que 25 000.
Selon le mandataire de Bougane Gueye, la situation découle en partie de la position obtenue lors du tirage au sort. Malgré cela, la validation de seulement six régions sur le minimum requis de sept ajoute à la complexité de la situation. Un déficit régional supplémentaire nécessite également d’être comblé.
Le mandataire de Bougane Gueye affirme qu’ils disposent d’un stock de parrains suffisant pour relever ce défi. « Nous avons un stock suffisant, donc nous allons nous mettre au travail dès maintenant », assure-t-il.
Cette situation place Bougane Gueye devant un défi de taille, nécessitant une mobilisation rapide et efficace pour rassembler les parrainages requis et garantir la pérennité de sa candidature à l’élection présidentielle de 2024.
Thierno Cissé, un candidat indépendant à l’élection présidentielle de 2024, a été arrêté jeudi pour avoir soumis une liste de 13 faux députés lors du processus de parrainage au Conseil constitutionnel. L’informaticien âgé d’une cinquantaine d’années a reconnu les faits sans réserve lors de son interrogatoire, indiquent des sources de Seneweb.
Thierno Cissé a déclaré aux enquêteurs qu’il était déterminé à participer coûte que coûte à l’élection présidentielle de 2024. Bien qu’il n’ait affilié à aucun parti politique, il a avoué avoir présenté une liste de parrains fictifs dans l’espoir de s’assurer une place sur le bulletin de vote. Il a affirmé être prêt à assumer les conséquences de ses actions.
Le candidat indépendant a également retiré un chèque de 30 millions de francs CFA, déposé comme caution pour sa candidature. Après son interrogatoire, Thierno Cissé a été placé en garde à vue pour fraude sur le parrainage et faux et usage de faux.
En attendant son passage devant le parquet de Dakar, qui pourrait avoir lieu ce vendredi matin, Thierno Cissé risque des poursuites judiciaires pour tentative de fraude électorale. Cette affaire souligne l’importance des mesures de vérification rigoureuses mises en place pour garantir l’intégrité du processus électoral.
La confirmation par la Cour suprême de la condamnation d’Ousmane Sonko à six mois de prison avec sursis et à une amende de 200 millions de francs CFA dans le cadre de l’affaire l’opposant à Mame Mbaye Niang a suscité une réaction ferme de la part de Dr Cheikh Tidiane Dièye. Candidat validé au parrainage par le Conseil Constitutionnel et adversaire politique d’Ousmane Sonko, Dr Cheikh Tidiane Dièye a exprimé son indignation face à ce verdict, qualifiant l’affaire de « procès politique ».
Dans une déclaration, Dr Cheikh Tidiane Dièye a déclaré : « J’exprime toute mon indignation devant le verdict rendu ce jour par la Cour Suprême dans le procès politique opposant Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang. » Il a souligné que le pouvoir en place a utilisé diverses manœuvres politico-judiciaires pour priver Sonko de liberté et l’empêcher de participer à l’élection présidentielle.
Dr Cheikh Tidiane Dièye a affirmé que Sonko avait remporté le soutien populaire partout où la justice a été rendue équitablement et a exprimé sa confiance dans l’éligibilité de Sonko malgré la condamnation. Il a conclu en déclarant : « Il reste éligible. Le peuple vaincra. Ce n’est qu’une question de temps. »
Cette réaction de Dr Cheikh Tidiane Dièye souligne les tensions politiques entourant le verdict et annonce des développements futurs dans le paysage politique sénégalais. La bataille judiciaire et politique autour de la candidature de Ousmane Sonko continue de susciter des réactions passionnées au sein de la classe politique et de la société civile au Sénégal.
Après la condamnation d’Ousmane Sonko, El Malick Ndiaye prend la parole pour assurer que le leader de l’ex Pastef reste candidat à la présidentielle. Il critique également la nature politique des audiences et dénonce une tentative d’élimination du favori par des procès.
Suite à la décision de la Cour Suprême condamnant Ousmane Sonko, El Malick Ndiaye s’exprime pour réaffirmer la détermination du leader de l’ex Pastef. Malgré la condamnation, El Malick Ndiaye soutient que « Ousmane Sonko maintient sa candidature à la présidentielle. Nous sommes convaincus que sa candidature sera maintenue. »
Cependant, il exprime son mécontentement face à la décision de la Cour Suprême, qualifiant ces audiences de « politiques ». Il affirme que l’objectif est d’éliminer Ousmane Sonko et considère le verdict comme non courageux en raison du non-respect de l’exception d’inconstitutionnalité.
« Ces audiences sont éminemment politiques mais rien d’autre. C’est une honte qu’on essaie d’éliminer le favori de la présidentielle par des procès. L’objectif c’est d’éliminer Ousmane Sonko. Ce verdict n’est pas courageux parce que l’exception d’inconstitutionnalité devrait être respectée par la Cour Suprême », conclut El Malick Ndiaye, exprimant ainsi son mécontentement vis-à-vis de la décision judiciaire. La situation politique au Sénégal reste tendue, et l’issue de cette affaire continue de susciter des réactions passionnées. Restez à l’écoute pour plus de développements.
La confirmation par la Cour suprême de la condamnation de Ousmane Sonko pour diffamation et injures, rendue publique le 4 janvier 2024, a des implications directes sur son éligibilité à la présidentielle prévue le 25 février. Me Ciré Clédor Ly, avocat d’Ousmane Sonko, a réagi fermement à cette décision et a conseillé la prudence quant aux conclusions hâtives.
Me Ciré Clédor Ly a exprimé des regrets quant au timing de la décision, soulignant qu’elle intervient à un moment crucial, à quelques semaines seulement de l’élection présidentielle. Il a souligné que si la décision avait été rendue plus tard, Ousmane Sonko aurait pu maintenir sa candidature, mais la rapidité de la décision a modifié la donne.
L’avocat a critiqué le gouvernement, affirmant que la décision de la Cour suprême était politiquement motivée et qu’elle violait les principes de l’État de droit et de la démocratie. Il a accusé l’État de conspirer contre Ousmane Sonko, mais a souligné que malgré les obstacles, Sonko a gagné le soutien de l’opinion publique nationale et internationale.
En ce qui concerne l’éligibilité de Sonko, Me Ciré Clédor Ly a appelé à la prudence, rappelant que la loi électorale rend inéligible toute personne condamnée pour un délit de 3 à 6 mois avec sursis. Cependant, il a souligné que selon l’article 34 du code pénal, la juridiction de jugement a le pouvoir de prononcer ou de dispenser des cas d’incapacité en cas de délit.
La bataille juridique autour de l’éligibilité de Ousmane Sonko s’annonce complexe, et les avocats devront explorer toutes les voies légales disponibles pour contester cette décision et protéger les droits politiques de leur client.
Aminata Touré, candidate à l’élection présidentielle, a accusé le Conseil constitutionnel d’une « grande tricherie » lors de la vérification de ses parrainages. La commission de contrôle de parrainages aurait signalé une région manquante dans les parrainages d’Aminata Touré, en particulier à Saint-Louis. Cependant, Mimi Touré conteste vigoureusement cette allégation, affirmant avoir remis tous ses parrainages des 14 régions sur une clé USB au greffe de la juridiction constitutionnelle.
Face à la presse, Aminata Touré a demandé des éclaircissements sur cette situation, menaçant de porter plainte contre X si des explications satisfaisantes ne sont pas fournies. Elle a également réfuté l’information selon laquelle son dossier contiendrait « 10 400 parrains non retrouvés sur le fichier électoral » après le contrôle.
Confiante de la validité de sa candidature, Aminata Touré a promis d’apporter le double du nombre de parrainages manquants dans les 48 prochaines heures. Elle a affirmé avec assurance que le président Macky Sall ne peut pas l’empêcher d’être candidate.
La situation souligne les tensions croissantes autour du processus de vérification des parrainages et met en évidence l’importance cruciale de chaque détail dans la course présidentielle. La menace de porter plainte met en évidence la détermination d’Aminata Touré à défendre sa candidature contre toute irrégularité alléguée.
La route présidentielle pour Hamidou Thiaw a atteint une impasse, sa candidature ayant été rejetée par le Conseil constitutionnel lors du contrôle de ses parrainages. Malgré la validation de 21 515 parrains, la présence de 18 981 doublons a scellé définitivement le sort de sa participation à la course présidentielle.
Ce verdict éliminatoire sonne comme un coup dur pour Hamidou Thiaw, mettant fin abruptement à ses aspirations présidentielles. L’invalidation de son dossier souligne l’importance cruciale de la rigueur dans le processus de collecte de parrainages, un élément déterminant pour la qualification des candidats à la plus haute fonction du pays.
La présence massive de doublons dans les parrainages de Hamidou Thiaw soulève des questions sur les défis auxquels sont confrontés les candidats lors de la collecte de soutiens. Ce rejet sans appel met en lumière l’impératif pour les candidats de mettre en œuvre des stratégies efficaces pour éviter les erreurs et garantir la validité de leurs dossiers.
Alors que d’autres candidats continuent de faire face à la vérification des parrainages, l’élimination de Hamidou Thiaw rappelle la sévérité des critères imposés par le Conseil constitutionnel et souligne l’importance pour les candidats de naviguer avec précaution à travers ce processus crucial.
L’avocat de Ousmane Sonko, Me Ciré Clédor Ly, a vivement critiqué la gestion politique de l’affaire opposant son client à Mame Mbaye Niang. En suspendant l’audience, il a déclaré que ce dossier a été malmené, violant les principes de présomption d’innocence, de droit à un procès équitable et d’égalité des armes. Ly affirme que ce procès vise uniquement à liquider un adversaire politique, orchestré selon lui par le Chef de l’État. Le procès en cassation, prévu pour le 4 janvier à la Cour Suprême, reste sous tension, les avocats de Sonko demandant aux juges de surseoir à statuer en soulevant l’exception d’inconstitutionnalité.
Dans un rebondissement choquant, Thierno Cissé, candidat de la coalition Major 2024, a été appréhendé par la Division des Investigations Criminelles (Dic) alors qu’il s’apprêtait à passer à la 76e position pour les vérifications des parrainages au Conseil Constitutionnel. La fraude alléguée concerne une fausse liste de 13 députés qui auraient prétendument parrainé sa candidature. Restez informés pour plus de détails sur cette affaire en développement.
La course présidentielle de 2024 prend une tournure décisive pour Abdourahmane Diouf du parti Awalé, alors que la commission de contrôle des parrainages au Conseil constitutionnel révèle un résultat décevant. En ce quatrième jour d’évaluation, le candidat n’a pas réussi à satisfaire aux exigences minimales en matière de parrainages.
Abdourahmane Diouf se retrouve dans une position délicate, ayant validé seulement 30 439 parrainages sur un seuil requis de 44 231. Cette situation met en évidence l’urgence pour le candidat de mobiliser rapidement un soutien supplémentaire afin de garantir sa participation à la course pour la présidence.
La balle est maintenant dans le camp d’Abdourahmane Diouf, qui doit agir avec promptitude pour surmonter ce revers. La nécessité de rassembler un nombre significatif de parrainages supplémentaires devient impérative pour maintenir sa candidature présidentielle en lice.
Cette situation souligne également les défis auxquels sont confrontés les candidats lors de la vérification des parrainages, un processus qui peut jouer un rôle déterminant dans le sort politique des aspirants à la présidence. La réponse d’Abdourahmane Diouf à cette épreuve définira l’avenir de sa participation à cette compétition présidentielle cruciale.
La candidature de Bassirou Diomaye Faye pour l’élection présidentielle de 2024 se retrouve à un point critique alors que la commission du Conseil constitutionnel examine les dossiers de parrainage. Au quatrième jour du processus, la commission se concentre sur la vérification des parrainages, et les résultats pour Bassirou Diomaye Faye ont suscité des inquiétudes.
Lors de l’examen des dossiers de parrainage le 4 janvier, Bassirou Diomaye Faye a validé 40 012 parrains, soit en deçà du minimum requis de 44 231. Cette situation place Bassirou Diomaye Faye dans une position délicate, le forçant à régulariser sa situation en obtenant des parrainages supplémentaires pour satisfaire aux exigences.
Bassirou Diomaye Faye, affilié à l’ancien parti dirigé par Ousmane Sonko, est désormais confronté à deux scénarios possibles. S’il réussit à combler le déficit de parrainages, il pourra maintenir sa candidature à l’élection présidentielle, à condition que les autres documents de son dossier soient également conformes. En revanche, s’il échoue à obtenir le nombre requis de parrainages, il sera éliminé d’office, avant même une vérification approfondie des autres documents de son dossier.
Cette situation met en lumière les défis et les enjeux auxquels les candidats à la présidence sont confrontés lors du processus de vérification des parrainages. Bassirou Diomaye Faye devra mobiliser ses partisans et intensifier ses efforts pour assurer sa participation à l’élection présidentielle, illustrant ainsi la complexité du paysage politique. L’issue de cette épreuve déterminera le destin politique de Bassirou Diomaye Faye dans cette compétition présidentielle.
La candidature d’Amadou Seck pour l’élection présidentielle de 2024 connaît un revirement inattendu avec son rejet lors du contrôle de parrainage effectué par le Conseil constitutionnel. Malgré la validation de 10 029 parrains, un obstacle majeur a mis fin à ses aspirations présidentielles : la présence massive de 48 783 doublons externes.
Le Conseil constitutionnel a déclaré le dossier de parrainage d’Amadou Seck invalide, soulignant la nécessité de garantir l’intégrité du processus électoral. Cette décision place Amadou Seck face à une réalité décevante, obligeant le candidat à réévaluer sa stratégie politique.
Le rejet du parrainage met en lumière l’importance cruciale de la gestion minutieuse des détails dans le processus électoral. Les doublons externes, en grand nombre, ont été le point de rupture, mettant en évidence l’importance de la vigilance dans la collecte des parrainages.
Pour Amadou Seck, cela signifie une réévaluation rapide de sa position politique et une éventuelle décision sur la marche à suivre. La compétition présidentielle est intense, et chaque candidat doit naviguer à travers des obstacles administratifs rigoureux pour maintenir sa candidature.
L’échec au contrôle de parrainage représente un défi inattendu, mais il reste à voir comment Amadou Seck réagira à cette situation. La politique est souvent parsemée d’obstacles imprévus, et la manière dont un candidat réagit à l’adversité peut définir son avenir dans le paysage politique.
La commission de contrôle des parrainages au Conseil constitutionnel a rendu son verdict, et pour Mame Boye Diao, candidat à la Présidentielle de 2024 sous la bannière de la Coalition pour un Sénégal Nouveau, c’est une déception. En ce quatrième jour d’examens, il n’a pas réussi à réunir le minimum requis de parrainages, se retrouvant ainsi en situation délicate.
Mame Boye Diao, également maire de Kolda, a validé 32 278 parrainages sur un seuil fixé à 44 231, laissant son dossier incomplet face aux exigences électorales. Cette situation met le candidat devant une course contre la montre pour régulariser sa candidature avant la clôture officielle du processus.
La bataille pour la collecte de parrainages est une étape cruciale pour tous les candidats, nécessitant une organisation méticuleuse et un effort soutenu. L’échec initial de Mame Boye Diao souligne l’importance de la rigueur dans la préparation des dossiers de candidature et de la mobilisation pour obtenir le soutien nécessaire.
La situation actuelle oblige le candidat à intensifier ses efforts afin de compléter son dossier dans les délais impartis. Dans le contexte politique tendu de la course présidentielle, chaque détail compte, et la régularisation rapide du dossier devient impérative pour Mame Boye Diao s’il souhaite maintenir ses ambitions présidentielles pour l’élection de 2024.
La candidature d’Ibrahima Abou Nguette pour l’élection présidentielle est compromise suite à l’invalidation de son dossier de parrainage par le Conseil constitutionnel. La raison principale de cette décision est un dossier incomplet, le candidat ayant omis de joindre une attestation à la quittance de la Caisse des Dépôts et des Consignations.
Le contrôle de parrainage, étape cruciale du processus électoral, a révélé cette lacune dans le dossier de candidature d’Ibrahima Abou Nguette. Cette omission a conduit à l’invalidation de sa candidature, mettant ainsi fin à ses aspirations présidentielles pour le scrutin à venir.
Cette décision souligne l’importance de la rigueur dans la préparation des dossiers de candidature, en particulier lorsqu’il s’agit de fournir les documents requis par les autorités électorales. Les candidats sont tenus de respecter scrupuleusement les exigences légales et administratives pour garantir la validité de leur participation à l’élection présidentielle.
Le Conseil constitutionnel, en tant qu’organe chargé de superviser le processus électoral et de garantir la conformité aux lois électorales, a pris cette décision en accord avec les dispositions en vigueur. L’invalidation d’une candidature pour des raisons administratives met en lumière l’importance du respect des procédures électorales pour tous les candidats.
La Cour suprême a rendu une décision affirmant la validité du marché de gré à gré de 71 milliards FCFA attribué à ACD, malgré les recours déposés par neuf sociétés spécialisées dans la vente de matériel médical. Ces sociétés avaient sollicité l’annulation du contrat par entente directe pour les travaux de relèvement des plateaux techniques des services d’Imagerie médicale des hôpitaux, de construction et d’équipement de l’hôpital de Bakel, du Centre de diagnostic et d’imagerie (Cdim) au Centre hospitalier régional de Fatick, ainsi que la fourniture de matériel roulant (ambulances médicalisées).
La Chambre administrative de la Cour suprême a rejeté hier le référé des sociétés médicales, refusant l’acte d’approbation du marché. La Cour a estimé que la demande des sociétés n’était pas pertinente, motivant ainsi son rejet.
Le ministère de la Santé avait justifié le recours à l’entente directe par « l’urgence impérieuse occasionnée par les événements du 21 mars 2021 et du 1er juin 2023 entre autres ». Le ministre de la Santé prétendait ainsi vouloir prévenir des menaces d’épidémies, citant la Dengue, le Coronavirus, la fièvre de Grimée-Congo, et d’autres épidémies. Cependant, les sociétés contestataires ont réfuté cette justification, soulignant que le dossier avait fait l’objet d’une proposition par Siemens avec le même bailleur, Kfw. Cette proposition avait été transmise en date du 02 février 2017, confirmant l’engagement financier à hauteur de 84 millions d’euros pour le projet.
La décision de la Cour suprême soulève des questions sur la transparence des procédures d’attribution de marchés publics et met en évidence les tensions entre l’urgence déclarée par le gouvernement et les contestations des acteurs du secteur privé. L’affaire met également en lumière les défis persistants liés à la gouvernance des contrats publics dans le secteur de la santé au Sénégal.
Le processus d’examen des candidatures pour l’élection présidentielle de février 2024 est actuellement en cours, et parmi les candidats, Amadou Ndombo Ba a opté pour une voie singulière en validant ses parrainages avec le soutien exclusif d’élus locaux.
La commission du Conseil constitutionnel, dans son quatrième jour de travail, a mis l’accent sur la vérification des parrainages, une étape cruciale du processus électoral. Cependant, Amadou Ba a réussi cette étape en obtenant le soutien de 120 élus locaux, une option moins fréquemment choisie par les candidats.
Dans le contexte sénégalais, les candidats ont trois options pour présenter leurs parrainages : les parrainages citoyens, le soutien de députés (au moins 13 députés), ou le soutien d’élus locaux tels que les maires et les présidents de régions. Amadou Ba a choisi la troisième option, un choix qui semble s’avérer fructueux, éliminant ainsi l’obstacle des parrainages pour sa candidature à la présidence.
Cette décision stratégique met en évidence la diversité des approches des candidats dans la course présidentielle et souligne la complexité du paysage politique sénégalais. Alors que la plupart des candidats optent pour les parrainages citoyens ou le soutien parlementaire, Amadou Ba a délibérément choisi de s’appuyer sur le soutien d’élus locaux pour asseoir sa candidature.
Avec cette étape franchie avec succès, Amadou Ba se positionne comme l’un des rares candidats à avoir surmonté l’obstacle des parrainages. L’efficacité de cette stratégie particulière sera observée de près par les observateurs politiques, car elle pourrait influencer les futures campagnes électorales et les choix tactiques des candidats.
Il convient également de noter la participation d’Aminata Touré à l’élection présidentielle, représentant la COALITION BENNO BOKK YAAKAAR. Les développements ultérieurs de cette course présidentielle promettent d’être captivants, avec des candidats adoptant des approches variées pour atteindre leurs objectifs électoraux.
Dans un revirement brutal du destin, les aspirations présidentielles d’Alpha Thiam pour 2024 sont anéanties, le Conseil constitutionnel ayant prononcé un verdict implacable lors du contrôle de parrainage.
Malgré des efforts acharnés et la validation de 6312 parrains, Alpha Thiam fait face à une dure désillusion. La candidature du politicien a été compromise en raison de la présence de 27 767 doublons, mettant fin abruptement à son rêve de participer à l’élection présidentielle.
Ce coup dur souligne les enjeux cruciaux du processus de parrainage, une étape incontournable pour tout candidat aspirant à la plus haute fonction de l’État. Les doublons détectés ont jeté une ombre sur la légitimité de la candidature d’Alpha Thiam, laissant la porte grande ouverte à des spéculations sur les raisons de cette anomalie.
L’écartement d’Alpha Thiam de la course présidentielle 2024 souligne également l’importance d’une organisation rigoureuse dans la collecte des parrainages, une leçon précieuse pour les candidats futurs. L’annonce de son recalage est susceptible d’avoir un impact significatif sur la scène politique, suscitant des réactions et des interrogations au sein de l’opinion publique.
Pour Alpha Thiam, cette déconvenue représente un obstacle majeur, mettant en lumière les défis inhérents à la participation à une élection présidentielle. La manière dont il réagit à cette situation délicate et les décisions qu’il prendra dans les jours à venir restent à observer, car elles pourraient façonner le cours de sa carrière politique.
Cette élimination prématurée souligne la nécessité pour les candidats de naviguer avec prudence et efficacité à travers les différentes étapes du processus électoral. La politique, en particulier dans le contexte d’une élection présidentielle, reste un terrain exigeant où la résilience et la stratégie sont souvent mises à l’épreuve.
En conclusion, le revers subi par Alpha Thiam lors du contrôle de parrainage pour la présidentielle 2024 souligne les défis et les exigences rigoureuses du processus électoral au Sénégal, offrant une réflexion sur la complexité de la voie vers la plus haute magistrature du pays.
La commune de Bakel, située dans la région de Tambacounda, est plongée dans l’émoi et la consternation à la suite d’un incident tragique. Une bagarre qui a éclaté a malheureusement conduit au décès d’un homme, plongeant la communauté dans le chagrin.
Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime, un maçon du nom de I. D, résidant à Fandelé, aurait reçu un violent coup à la jambe provenant d’un objet qui n’a pas encore été retrouvé. L’auteur présumé de cette agression est un éleveur âgé de 18 ans, résidant dans le quartier HLM de Bakel.
Transporté en urgence à l’hôpital de Ourossogui, la victime a malheureusement succombé sur place en raison d’une hémorragie grave.
L’annonce de ce décès a provoqué une vive émotion au sein de la communauté de Bakel. Le présumé meurtrier a été remis aux enquêteurs de la brigade de gendarmerie locale, et aurait confessé le crime, évoquant des motifs de vengeance.
Une enquête approfondie a été immédiatement lancée afin de déterminer les circonstances réelles de ce meurtre. Le suspect sera présenté ce jeudi devant le parquet du tribunal de grande instance de Tambacounda. Il est susceptible de faire face à une session de chambre criminelle pour le crime de meurtre, à moins que les faits ne soient disqualifiés au cours de l’enquête.
Ce drame souligne une fois de plus l’importance d’une résolution pacifique des conflits et met en lumière les conséquences tragiques que peuvent avoir les affrontements violents au sein d’une communauté. Les prochains développements de l’enquête fourniront davantage d’éclaircissements sur les causes et les implications de cette tragédie à Bakel.
La commission du Conseil constitutionnel, engagée dans l’examen des candidatures pour l’élection présidentielle de février 2024, met actuellement en lumière la situation complexe de la candidate Aminata Touré. Au quatrième jour de cet examen minutieux, l’attention se concentre particulièrement sur la vérification des parrainages, révélant un défi de taille pour la candidate.
Le 4 janvier, la commission a poursuivi son travail en examinant les dossiers de parrainage, dont celui d’Aminata Touré. Sur un minimum requis de 44 231, seuls 25 251 parrainages ont été validés pour sa candidature. Un déficit significatif qui place la candidate sous la bannière de « MPC MIMI 2024 » dans une situation délicate, nécessitant des efforts considérables pour combler ce fossé.
Aminata Touré se trouve désormais confrontée à deux scénarios distincts. Si elle parvient à rassembler le nombre nécessaire de parrainages manquants, elle pourra continuer sa participation à l’élection présidentielle, à condition que les autres documents de son dossier soient également conformes. En revanche, si elle échoue à obtenir le quota requis de parrainages, elle sera éliminée d’office, sans même qu’une vérification approfondie des autres éléments de son dossier ne soit entreprise.
Ce défi majeur pose des questions cruciales sur la capacité d’Aminata Touré à mobiliser un soutien suffisant dans le laps de temps restant avant la clôture des vérifications. La rapidité avec laquelle elle pourra réagir et corriger ce déséquilibre décidera de sa participation à la course présidentielle.
La situation d’Aminata Touré illustre parfaitement les enjeux critiques liés au processus de parrainage dans le paysage politique sénégalais. Alors que d’autres candidats voient leurs candidatures validées, la candidate de « MPC MIMI 2024 » se retrouve face à une course contre la montre pour maintenir ses aspirations présidentielles. Les prochains jours seront déterminants pour savoir si Aminata Touré pourra surmonter ce défi et continuer sa marche vers la présidentielle de 2024.
Suite à la décision du Conseil Constitutionnel de valider ses parrainages pour la présidentielle prévue le 25 février 2024, Anta Babacar Ngom Diack, présidente et candidate d’Alternative pour la relève citoyenne (ARC), a réagi avec gratitude, saluant le soutien massif dont elle a bénéficié à travers le pays.
Dans un communiqué officiel, Anta Babacar Ngom Diack a exprimé son profond sentiment de reconnaissance envers tous ceux qui ont contribué à cette étape cruciale de sa campagne présidentielle. Les milliers de citoyens ayant apporté leur parrainage ont témoigné d’un soutien indéfectible à la candidate, renforçant ainsi la dynamique de son mouvement citoyen ARC.
Le communiqué souligne le rôle essentiel joué par les militants d’ARC, dont le dévouement et l’engagement ont été déterminants dans la collecte des parrainages. Cette mobilisation exemplaire témoigne de la force et de la vitalité du mouvement citoyen, dont Anta Babacar Ngom Diack est la porte-étendard.
Anta Babacar Ngom Diack a également tenu à saluer le Conseil Constitutionnel pour avoir accompli sa mission avec rigueur et impartialité, assurant ainsi le respect des règles démocratiques dans le processus de validation des candidatures. Cette reconnaissance envers l’institution souligne l’importance de la transparence et de la légitimité dans le cadre du processus électoral sénégalais.
Enfin, le communiqué adresse un immense merci à l’ensemble des soutiens, qu’ils soient individus, organisations ou partis politiques, pour leur confiance et leur engagement continu en faveur d’une vision de progrès et de renouveau pour le Sénégal. Cette déclaration de gratitude souligne l’unité et la solidarité qui entourent la candidature d’Anta Babacar Ngom Diack, ouvrant ainsi la voie à une campagne présidentielle porteuse d’espoir et de changement pour le pays.
Alors que l’examen des dossiers de candidature pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 se poursuit au Conseil constitutionnel, une candidate a particulièrement retenu l’attention. Anta Babacar Ngom a franchi avec succès l’épreuve du parrainage, validant ainsi son ticket pour la course à la présidence.
Ce jeudi, quatrième jour de la commission de contrôle des parrainages, Anta Babacar Ngom, entrepreneure et Présidente du mouvement Alternative pour une relève citoyenne (ARC), a réussi brillamment cette étape cruciale. Son dossier de candidature a été approuvé avec un impressionnant total de 45 238 parrainages, couvrant 10 régions du pays.
La validation de sa candidature la propulse parmi les candidats retenus pour l’élection présidentielle, rejoignant ainsi le groupe des admis comprenant des figures telles que Boubacar Camara, Cheikh Tidiane Dièye, Déthié Fall, Pr Daouda Ndiaye, Khalifa Ababacar Sall, Habib Sy, et Karim Wade.
Agée de 39 ans, Anta Babacar Ngom, directrice générale du groupe Sedima et fille du fondateur du groupe, se positionne désormais comme l’une des forces majeures dans la compétition présidentielle de février 2024. Son leadership à la tête du mouvement ARC et son expérience en tant qu’entrepreneure apportent une dynamique nouvelle à la scène politique.
La réussite d’Anta Babacar Ngom au processus de parrainage ouvre la voie à une campagne électorale potentiellement remarquée. Sa candidature apporte une diversité d’idées et de perspectives, promettant un débat électoral riche et animé dans les semaines à venir.
Alors que la présidentielle de 2024 se profile à l’horizon, Anta Babacar Ngom incarne l’esprit de renouveau et de diversité dans la course à la magistrature suprême. Les électeurs sénégalais peuvent s’attendre à des débats passionnants et à une compétition électorale stimulante avec l’entrée en lice de cette nouvelle candidate, ouvrant ainsi de nouvelles possibilités pour l’avenir politique du pays.
Dans une tournure inattendue, le candidat Al Hassane Ould Aliou Niang voit son rêve présidentiel prendre fin à la suite de son échec au contrôle de parrainage. Malgré une première validation de 5857 parrains, la candidature d’Al Hassane Ould Aliou Niang est irrémédiablement écartée en raison de la détection de 20 109 doublons externes.
Cet épisode marque un tournant décisif dans la course à la présidence pour Al Hassane Ould Aliou Niang, soulignant l’importance cruciale du processus de contrôle de parrainage dans le paysage politique sénégalais.
Le contrôle de parrainage, mis en place pour garantir la légitimité des candidatures présidentielles, a révélé des irrégularités majeures dans le dossier d’Al Hassane Ould Aliou Niang. Malgré une première validation encourageante de plus de 5 800 parrains, la découverte de 20 109 doublons externes a été jugée rédhibitoire par les instances compétentes, conduisant à l’élimination de sa candidature.
Les doublons externes, qui désignent probablement des cas de parrainages multiples et non conformes aux règles électorales, soulèvent des questions sur la rigueur du processus de collecte des signatures de soutien. Cette affaire met également en lumière l’importance de la vigilance dans la vérification des listes de parrainage afin de préserver l’intégrité du processus électoral.
La réaction du candidat Al Hassane Ould Aliou Niang et de son équipe face à cette disqualification potentielle reste à observer. Il est probable que des recours légaux soient envisagés pour contester cette décision, ce qui pourrait prolonger les débats autour de cette élimination controversée.
Ce rebondissement dans la campagne présidentielle souligne l’importance cruciale du respect des règles électorales et de la transparence dans le processus démocratique. Alors que d’autres candidats poursuivent leur course vers la présidence, cette élimination rappelle aux acteurs politiques l’impératif de conformité absolue aux exigences légales pour éviter des désillusions de dernière minute. La suite des événements dans cette affaire pourrait également susciter des discussions plus larges sur la réforme électorale et la nécessaire amélioration des mécanismes de contrôle pour garantir des élections justes et équitables au Sénégal.
La Cour suprême du Sénégal a été le théâtre d’une audience cruciale concernant le pourvoi en cassation de Mame Mbaye Niang contre Ousmane Sonko. L’enjeu majeur de cette séance était la contestation de la condamnation de Sonko à 6 mois de prison avec sursis et une amende de 200 millions pour des accusations de « diffamation et injures ».
La séance, présidée par le Président AbdouRahmane Diouf, a débuté avec l’invitation aux parties à se mettre d’accord sur la durée des plaidoiries, se référant à l’article L46 de la loi organique de la Cour.
Me Ousseynou Fall, avocat de la défense, a vivement contesté la limitation du temps de parole, arguant que cela constituait une entrave aux droits de la défense. Me Clédor Ly a soutenu cette position, réclamant un minimum de 1h30 pour s’exprimer, suggérant que le temps proposé par le juge était insuffisant pour un développement complet des arguments.
En réponse, Me Elhadji Diouf, représentant la partie adverse, a accusé la défense de chercher à prolonger inutilement les débats. Il a souligné l’incohérence dans le nombre d’avocats présents et a exprimé son accord avec le temps de parole proposé par le juge.
Finalement, le Président Abdourahmane Diouf a tranché en faveur de la défense, accordant la latitude demandée pour s’exprimer sans préciser la durée exacte.
Cette décision du juge souligne l’importance accordée à la préservation des droits de la défense dans le cadre de cette affaire sensible. L’équilibre entre les intérêts de la justice et le respect des droits fondamentaux des parties en présence a été au cœur des débats, reflétant la complexité de cette affaire hautement médiatisée.
Le pourvoi en cassation de Mame Mbaye Niang contre la condamnation d’Ousmane Sonko demeure un sujet de grande attention au sein de la société sénégalaise. Les développements à la Cour suprême soulignent l’importance d’une procédure équitable et transparente, tout en mettant en lumière les divergences d’opinions entre les parties concernant la gestion du temps imparti aux plaidoiries. L’issue de cette affaire aura des répercussions significatives sur la perception de la justice et des droits individuels au Sénégal.
La question d’inconstitutionnalité dans l’affaire impliquant Ousmane Sonko et Mbaye Niang, notamment en ce qui concerne les enfants, soulève des préoccupations importantes quant à la conformité des mesures prises avec les principes fondamentaux de la Constitution du Sénégal. Pour comprendre pleinement cette question complexe, examinons les éléments clés de l’affaire et les implications constitutionnelles liées à la protection des droits des enfants.
Contexte de l’affaire : L’affaire Sonko/Mbaye Niang concerne probablement des allégations graves ou des incidents qui ont attiré l’attention publique. Les détails précis de l’affaire peuvent varier, mais il est essentiel de se concentrer sur les aspects liés aux enfants pour comprendre la question d’inconstitutionnalité.
Protection constitutionnelle des droits des enfants : La Constitution du Sénégal, comme de nombreuses constitutions modernes, accorde une attention particulière à la protection des droits des enfants. Cela inclut des dispositions spécifiques garantissant le droit à la vie, à la santé, à l’éducation, et à la protection contre toute forme de violence ou de traitement inhumain.
Principe de l’État de droit : Un élément clé de la Constitution est le principe de l’État de droit, qui implique que toutes les actions gouvernementales et judiciaires doivent être conformes aux normes constitutionnelles. Cela garantit que les droits fondamentaux des citoyens, y compris ceux des enfants, sont respectés et protégés.
La question d’inconstitutionnalité : Si, au cours de l’affaire, des mesures sont prises qui semblent violer les droits constitutionnels des enfants ou contredire les principes de l’État de droit, cela soulève une question d’inconstitutionnalité. Il peut s’agir de l’application de lois qui ne respectent pas les normes constitutionnelles ou de décisions judiciaires qui ne sont pas en accord avec les droits fondamentaux énoncés dans la Constitution.
Recours devant la Cour constitutionnelle : Lorsqu’une question d’inconstitutionnalité est soulevée, les parties concernées ont la possibilité de saisir la Cour constitutionnelle. Celle-ci est chargée d’examiner la conformité des actes législatifs et administratifs avec la Constitution. Si une mesure est jugée inconstitutionnelle, elle peut être déclarée nulle et non avenue.
L’importance de la protection des droits des enfants : Dans le contexte de l’affaire Sonko/Mbaye Niang, la question d’inconstitutionnalité liée aux droits des enfants revêt une importance particulière. La société doit garantir la protection des enfants contre toute forme de préjudice et veiller à ce que les actions entreprises respectent les normes constitutionnelles et les obligations internationales en matière de droits de l’enfant.
La question d’inconstitutionnalité dans l’affaire Sonko/Mbaye Niang pour les enfants soulève des préoccupations cruciales quant à la protection des droits fondamentaux. Il est essentiel que toutes les parties impliquées, y compris les autorités judiciaires, respectent les principes constitutionnels et veillent à ce que les droits des enfants soient pleinement pris en compte dans le cadre de la procédure juridique.
La Coalition Jeuf ak Thione Niang ne se laisse pas intimider et affirme son engagement pour une « équité procédurale » après le rejet de la candidature de Thione Niang par la Commission de Contrôle des parrainages. Un recours a été déposé pour contester cette décision, soulignant l’injustice et l’inadmissibilité de la situation.
Dans un communiqué signé par le secrétaire général et reçu le 3 janvier, la coalition insiste sur la nécessité d’un réexamen rigoureux et impartial de la clé et du fichier, exigeant transparence et respect strict des procédures démocratiques. La décision du Conseil de ne pas contrôler la candidature malgré la conformité de la clé au format exigé est qualifiée d’affront à la justice.
Les membres de la Coalition Jeuf ak Thione Niang dénoncent une situation incompréhensible et injuste, soulignant que la clé de parrainage, regroupant plus de 52 000 soutiens légitimes, a été jugée inexploitable malgré sa conformité visuelle. Ils considèrent cette contradiction comme non seulement injuste mais également inadmissible.
La coalition affirme sa mobilisation pour garantir un processus électoral juste et équitable, soulignant que la voix du peuple sénégalais ne doit pas être étouffée par des incohérences procédurales. La Coalition Jeuf ak Thione Niang reste résolue à défendre les principes démocratiques et à veiller à ce que chaque parrainage compte, malgré le rejet initial de la candidature de Thione Niang par la Commission de Contrôle des parrainages.
Le leader du parti And Jef/PADS, Mamadou Diop Decroix, ne participera pas à l’élection présidentielle du 25 février 2024. Sa candidature a été invalidée par la Commission de Contrôle des Parrainages en raison du nombre insuffisant de parrains validés.
Selon les informations disponibles, Mamadou Diop Decroix n’a réussi à valider que 5616 parrainages, un chiffre nettement en deçà du minimum requis. La principale cause de cette invalidation réside dans le nombre élevé de doublons externes, qui se chiffre à 33674. Cette situation a conduit à l’élimination de la candidature de Mamadou Diop Decroix.
Son mandataire, Sagar Diouf, a souligné que Mamadou Diop Decroix avait toujours exprimé son opposition au système de parrainages, le jugeant incapable d’approfondir la démocratie.
Actuellement, seuls les candidats ayant obtenu le parrainage des élus ont réussi à franchir avec succès l’étape des parrainages pour l’élection présidentielle de 2024. La compétition électorale continue avec un nombre réduit de candidats en lice.
Le rêve présidentiel de Thione Niang pour l’élection de 2024 prend fin abruptement, car sa candidature n’a pas réussi avec succès l’étape cruciale du contrôle des parrainages.
Selon les informations fournies par Youssouf Diallo, mandataire de Jeuf ak Thione Niang, la commission de contrôle des parrainages a informé l’équipe que leur clé USB n’était pas exploitable. Cette déclaration met un terme à la candidature de Thione Niang à l’élection présidentielle.
Dans un contexte de déception et de frustration, le mandataire exprime son mécontentement en qualifiant la situation de « forfaiture ». Il déplore également le fait qu’il ait été demandé à l’équipe de libérer la salle, ajoutant une note d’injustice perçue dans le processus.
Cet incident souligne les défis et les obstacles auxquels les candidats font face lors du contrôle des parrainages, une étape cruciale pour assurer la validité de leur candidature à la Présidentielle. Alors que la course électorale continue, l’équipe de Thione Niang devra peut-être évaluer les recours possibles et déterminer les prochaines étapes dans ce scénario inattendu.
Malick Gakou, leader du Grand Parti, est passé tout près de valider ses parrainages lors du contrôle en perspective de l’élection présidentielle. Avec 40 782 parrainages validés lors de son passage devant la commission de contrôle, il se trouve à seulement 3 449 signatures du seuil requis.
Chaque candidat doit obtenir un minimum de 44 231 parrainages d’électeurs, dont une partie doit provenir d’au moins sept régions, avec un minimum de 2 000 parrains par région.
Malick Gakou dispose maintenant de 48 heures pour compléter les 3 449 parrainages manquants sous peine de voir sa candidature rejetée. La marge étroite entre le nombre de parrainages validés et le seuil requis souligne l’importance cruciale de chaque signature dans le processus électoral.
Le leader du Grand Parti doit mobiliser rapidement le soutien nécessaire pour éviter tout risque de disqualification. La course à la Présidentielle de 2024 continue de révéler les enjeux et les défis auxquels sont confrontés les candidats lors du contrôle des parrainages, une étape déterminante dans la course politique au Sénégal.
La commission du Conseil constitutionnel, en charge de l’examen des dossiers de candidature pour l’élection présidentielle du 25 février 2024, a intensifié ses travaux au cours du troisième jour. Au centre de l’attention se trouve la vérification minutieuse de la conformité des parrainages requis, une étape cruciale que chaque candidat doit franchir. Habib Sy, candidat affilié au PARTI DE L’ESPOIR ET DE LA MODERNITE/YAKAR U REW MI, a réussi brillamment cette étape importante.
Selon des sources concordantes, Habib Sy, réputé proche de Ousmane Sonko, a pris la décision stratégique d’utiliser des parrainages provenant de députés pour satisfaire aux exigences légales. Il lui était nécessaire d’obtenir un minimum de 13 soutiens de cette nature pour valider sa candidature. La commission du Conseil constitutionnel a validé ces parrainages, confirmant ainsi l’absence de doublons et la conformité avec les règles établies.
Des informations suggèrent qu’Habib Sy aurait réussi à valider ses parrainages grâce au soutien décisif des députés de l’ex-parti Pastef, soulignant la stratégie habile déployée pour assurer le succès de sa candidature. Cette avancée représente un pas significatif pour Habib Sy dans sa course à la Présidentielle 2024 et met en lumière l’importance des alliances et des appuis politiques dans le processus électoral. La suite du processus sera scrutée de près alors que les candidats continuent de traverser les étapes rigoureuses en vue de l’élection présidentielle à venir.
La vérification des parrainages pour les candidats à l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal est en cours, mais des experts électoraux ont mis en lumière divers manquements, tels que des clés USB défectueuses, des dossiers incomplets, des fiches de parrainage falsifiées, et des désistements de dernière minute. Ces problèmes ont conduit à des rejets de candidatures par le Conseil constitutionnel.
Djibril Gningue du Gradec souligne l’importance de la vérification préalable des dossiers avant de définir l’ordre de passage des candidats, conformément au Code électoral. Il rappelle que certains candidats déclarés avec des dossiers incomplets ont été inclus dans le tirage au sort au Conseil constitutionnel, violant ainsi le Code électoral.
El Hadj Seydou Nourou Dia, expert électoral, met l’accent sur la responsabilité des candidats, soulignant que ces derniers doivent s’assurer de remplir toutes les conditions et veiller au respect strict des modalités pour que leurs dossiers soient acceptés.
Djibril Gningue insiste sur le rôle crucial de la vérification dès le dépôt des dossiers, où le greffier doit signaler toute anomalie avec la clé USB au mandataire du candidat avant le tirage au sort.
El Hadj Seydou Nourou Dia plaide quant à lui pour une amélioration continue du Code électoral consensuel sénégalais. Selon lui, les cycles électoraux doivent être suivis de corrections pour rendre le Code électoral plus efficace et prévenir les manquements constatés lors des vérifications des parrainages.
Alors que le Conseil constitutionnel a déjà rejeté plusieurs dossiers de candidature, les experts électoraux appellent à une réforme continue du Code électoral pour garantir l’intégrité et l’équité du processus électoral au Sénégal. Le taux de réussite actuel est jugé très bas, soulignant la nécessité d’actions correctives pour les élections à venir.
La Cour suprême a rendu une décision cruciale le 3 janvier 2024 en statuant sur la demande d’annulation de la nomination des membres de la Commission électorale nationale autonome (CENA). Cette demande, déposée par l’expert électoral Ndiaga Sylla, visait à contester le décret présidentiel remplaçant l’ensemble des membres de la CENA.
La Cour suprême a déclaré l’irrecevabilité de la demande d’annulation, arguant que selon les motifs avancés, un simple citoyen n’a pas la compétence pour formuler ce type de requête. Cette décision met fin aux espoirs des opposants au décret présidentiel, dont Ndiaga Sylla, ainsi que d’autres organisations affiliées à l’opposition, qui avaient critiqué le remplacement intégral des membres de la CENA.
Le décret présidentiel avait suscité des inquiétudes quant à une possible violation de la loi par le Président de la République. Les critiques portaient notamment sur le fait que le mandat de certains membres de la précédente équipe n’était pas arrivé à expiration, ce qui contreviendrait aux règles régissant la nomination des membres. De plus, l’appartenance politique antérieure de l’un des nouveaux membres avait été soulignée comme étant contraire aux règles en vigueur.
Malgré ces contestations, la Cour suprême, présidée par son président, a jugé la demande irrecevable, maintenant ainsi la décision présidentielle en vigueur. Cette décision renforce le statu quo quant à la composition de la CENA, tout en soulignant les limites des recours possibles pour les citoyens ordinaires dans de telles affaires. L’évolution politique liée à la CENA sera à surveiller dans le contexte des prochaines élections et de l’impact potentiel sur le processus électoral.
Le processus de contrôle des parrainages au Conseil constitutionnel continue d’occuper le devant de la scène, avec un verdict sans appel pour le maire de Thiès, Dr. Babacar Diop. Au troisième jour du processus, le dossier du Secrétaire général du parti « Forces démocratiques du Sénégal (FDS-Les Guelwaars) » et Enseignant-chercheur à l’Ucad a été rejeté par l’institution judiciaire chargée du contrôle des parrainages.
Cette décision représente un revers significatif pour Dr. Babacar Diop, qui aspirait à se présenter comme candidat à l’élection présidentielle de 2024. Le rejet de son dossier met en lumière les défis auxquels les candidats sont confrontés dans le cadre du choix entre le parrainage citoyen et celui par des élus.
Rappelons que pour le parrainage citoyen, chaque candidat doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. Les travaux de contrôle des parrainages ont débuté le 30 décembre, et jusqu’à présent, seuls quelques candidats, dont Boubacar Camara, Déthié Fall, Cheikh Tidiane Dieye, Dr. Daouda Ndiaye, Aliou Mamadou Dia, ont réussi cet examen crucial.
Le rejet du dossier de Dr. Babacar Diop souligne l’importance et la sévérité du processus de contrôle des parrainages, avec des conséquences majeures sur les aspirations présidentielles des candidats. La compétition pour la Présidentielle 2024 continue de s’intensifier, laissant présager des rebondissements et des enjeux politiques majeurs dans les semaines à venir.
La tension règne au sein du Conseil constitutionnel où les dossiers de candidature à l’élection présidentielle de 2024 font l’objet d’une analyse minutieuse. Le candidat Aliou Camara connaît des sueurs froides alors que son dossier soumis à l’examen de l’institution judiciaire n’a pas validé ses parrainages lors du troisième jour du processus de contrôle.
Selon les informations fournies par la commission mise en place par le Conseil constitutionnel, le dossier d’Aliou Camara a révélé plus de 39 000 doublons externes à l’issue des vérifications des parrainages effectuées ce mercredi 3 janvier. Cette situation compromet sérieusement la validation de sa candidature, plongeant le candidat dans une situation délicate à quelques semaines de l’élection présidentielle.
Rappelons que chaque candidat a le choix entre deux types de parrainage : citoyen ou par des élus. Pour le parrainage citoyen, il est impératif de réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. La difficulté rencontrée par Aliou Camara met en lumière les défis auxquels sont confrontés les candidats dans le processus de contrôle des parrainages.
Depuis le démarrage du contrôle des parrainages le 30 décembre, seuls quelques candidats, dont Boubacar Camara, Déthié Fall, Cheikh Tidiane Dieye, Dr. Daouda Ndiaye, Aliou Mamadou Dia, ont réussi l’examen, soulignant la complexité et la rigueur de ce processus crucial pour la participation à la Présidentielle 2024. La suite des événements s’annonce donc décisive pour Aliou Camara, qui devra rapidement réagir pour régulariser sa situation et maintenir ses ambitions présidentielles.
Le candidat du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), Karim Wade, fils de l’ancien président de la République, a réussi avec brio la phase de vérification des parrainages dans le cadre de sa candidature à l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024 au Sénégal.
La commission spéciale relevant du Conseil constitutionnel, chargée de l’examen méticuleux des dossiers de candidature, a confirmé la conformité et la complétude des parrainages présentés par Karim Wade. Le candidat a pris une stratégie déterminante en optant pour l’utilisation exclusive des parrainages de députés, éliminant ainsi tout risque de doublons, une condition impérative pour la validation de sa candidature.
Karim Wade devait obtenir le soutien d’au moins 13 députés pour répondre aux exigences énoncées par le Code électoral. La commission de vérification a accordé une attention particulière aux documents fournis par le candidat, et après un examen minutieux, les parrainages de députés ont été jugés conformes aux critères stricts établis par le Code électoral sénégalais.
Cette étape cruciale franchie avec succès propulse Karim Wade dans la compétition présidentielle de 2024 de manière solide. Son choix stratégique et la validation de ses parrainages par la commission renforcent sa position dans la course, tandis que d’autres candidats continuent de faire face aux défis du processus de contrôle des parrainages. La scène politique sénégalaise reste ainsi sous tension, avec des enjeux électoraux de plus en plus palpables.
Le processus de contrôle des parrainages en vue de l’élection présidentielle de 2024 se poursuit au Conseil constitutionnel, avec un coup de théâtre pour le candidat Mouhamadou Boun Abdallah Dione. L’ancien Premier ministre se retrouve dans une situation délicate, devant régulariser sa situation après avoir validé seulement 36 414 parrains sur les vérifications effectuées ce mercredi 3 janvier.
Le Conseil constitutionnel examine actuellement les dossiers des différents candidats, et malheureusement pour Boun Dionne, son dossier nécessite des ajustements pour répondre aux critères exigés. Cette nouvelle donne soulève des interrogations quant à l’avenir de sa candidature et à sa capacité à rassembler le nombre requis de parrainages.
La tension est à son comble, alors que d’autres candidats, tels qu’Aliou Camara et Karim Wade, sont également appelés par la Commission de contrôle des parrainages à se conformer aux règles établies.
Il est crucial de rappeler que chaque candidat a le choix entre deux types de parrainage : citoyen ou par des élus. Pour le parrainage citoyen, la collecte doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. Un défi de taille pour les prétendants à la présidence.
Depuis le début du processus de contrôle des parrainages le 30 décembre, seuls quelques candidats, dont Boubacar Camara, Déthié Fall, Cheikh Tidiane Dieye, Dr. Daouda Ndiaye, Aliou Mamadou Dia, ont réussi avec succès cet examen, laissant présager une compétition féroce et des rebondissements à venir dans la course à la présidentielle de 2024.
La scène politique sénégalaise s’anime davantage à l’approche de l’élection présidentielle de 2024, avec l’annonce de la date d’investiture d’Amadou Ba par la coalition Benno Bokk Yakkar. Le candidat du président Macky Sall sera officiellement investi le mercredi 10 janvier 2024, sur l’esplanade du Grand Théâtre.
Cette révélation intervient alors que les différents candidats défilent devant le Conseil constitutionnel pour la validation de leurs dossiers de parrainages. Amadou Ba, le Premier Ministre et candidat soutenu par le président en exercice, semble confiant quant à la validation de ses parrainages, ayant opté pour le parrainage des élus locaux, tels que les maires et les présidents de Conseil départemental, pour renforcer sa position.
L’investiture prévue pour le 10 janvier 2024 pourrait néanmoins susciter des controverses, notamment en raison de l’interdiction récente de l’investiture de l’opposant Ousmane Sonko. Cette décision, prise il y a quelques jours, a déjà créé des remous dans le paysage politique, soulevant des interrogations sur l’équité du processus électoral.
Amadou Ba, en tant que représentant de la coalition Benno Bokk Yakkar, s’apprête ainsi à officialiser sa candidature dans un contexte politique tendu, où les enjeux de la présidentielle de 2024 se font de plus en plus palpables. La date du 10 janvier prochain sera sans aucun doute scrutée de près, alimentant les débats autour de la légitimité et de l’équité du processus électoral au Sénégal.
Le processus de contrôle des parrainages en prévision de l’élection présidentielle de 2024 se poursuit au sein du Conseil constitutionnel, mettant Mamadou Lamine Diallo dans une position délicate.
Parmi les autres candidats concernés par ce processus de contrôle, Mouhamadou Boun Abdallah, Aliou Camara, et Karim Wade sont également appelés à se conformer aux exigences du Conseil constitutionnel.
Il est important de rappeler que chaque candidat a le choix entre deux modes de parrainage : citoyen ou par des élus. Pour le parrainage citoyen, la collecte doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. Une étape cruciale qui conditionne l’éligibilité de chaque prétendant à la plus haute fonction de l’État.
La scène politique reste donc tendue, avec les candidats devant affronter les impératifs du processus démocratique et satisfaire aux exigences du Conseil constitutionnel pour participer à la course présidentielle de 2024. La suite des événements promet d’être riche en rebondissements et en enjeux politiques majeurs.
Lors du contrôle des parrainages pour l’élection présidentielle de 2024, le candidat Pape Djibril Fall a été recalé pour le moment par la commission. Son équipe doit régulariser environ 13 000 doublons externes, selon les informations fournies par son mandataire.
Devant la commission de contrôle des parrainages, le Parti de la Démocratie et du Progrès (PDF) dirigé par Pape Djibril Fall a réussi à obtenir plus de 30 000 parrainages validés. Cependant, afin de respecter les critères requis, le candidat dispose maintenant de 48 heures pour valider ces 13 000 parrainages supplémentaires. Cela déterminera s’il pourra participer à l’élection présidentielle de 2024.
Le processus de contrôle des parrainages est en cours, et les candidats ont un délai spécifique pour régulariser toute irrégularité identifiée par la commission. La compétition pour la présidentielle au Sénégal continue de susciter l’attention, et les résultats finaux des vérifications seront déterminants pour la liste finale des candidats. La commission poursuivra ses travaux dans les prochains jours.
Le 2 janvier 2024, la commission désignée par le Conseil constitutionnel a poursuivi l’examen des parrainages pour l’élection présidentielle au Sénégal. L’ordre de vérification, déterminé par tirage au sort, a influencé le processus. Pour être validé, un candidat doit obtenir un minimum de 44,231 parrainages, répartis dans au moins sept régions.
Voici un résumé des résultats de la deuxième journée d’examen :
Le Conseil constitutionnel a publié un communiqué le 2 janvier 2024, détaillant les procédures de régularisation des parrainages pour les candidats à l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. Selon les dispositions de l’article L.126 du Code électoral, les candidats nécessitant une régularisation ne pourront le faire qu’après avoir reçu une notification spécifique du Chef du greffe.
Le communiqué souligne qu’aucun dossier de parrainage pour la régularisation ne sera accepté au greffe du Conseil constitutionnel avant que la notification ne soit reçue par les mandataires des candidats. Cette mesure vise à structurer le processus de candidature et à garantir le respect des procédures légales, en particulier pour les candidats susceptibles de mal interpréter la possibilité de régulariser des manquements relatifs à leurs parrainages.
Cette annonce du Conseil constitutionnel a pour objectif de clarifier les démarches à suivre pour les candidats et leurs équipes, afin d’assurer un processus électoral transparent et conforme aux lois établies.
La candidature de Serigne Mboup, actuel maire de Kaolack, est actuellement en phase de rattrapage après que la commission de contrôle des parrainages n’ait pas encore validé son dossier.
Malgré le dépôt de plus de 58 000 parrainages, le mandataire de Serigne Mboup, Mbaye Ngom, a indiqué que 116 rejets ont été enregistrés en raison de non-inscriptions sur le fichier électoral, ainsi que 27 107 doublons externes. Cependant, ils ont réussi à valider dans six régions, en attendant la validation de la dernière région restante.
Ce processus de rattrapage souligne les défis auxquels sont confrontés les candidats pour garantir la conformité de leurs dossiers de parrainages lors des élections présidentielles à venir.
Ndiack Lakh, le leader de PÉNC, se retrouve dans une situation difficile après les opérations de contrôle des parrainages. Sa participation en tant que candidat à l’élection présidentielle de 2024 prend fin à la suite de son élimination.
L’ingénieur civil des mines n’a pas réussi à passer le cap du parrainage, ayant validé seulement 20 377 parrainages. Cette nouvelle élimination souligne les défis et la compétitivité accrue auxquels sont confrontés les candidats lors du processus de contrôle des parrainages pour les élections présidentielles à venir.
Birima Mangara, ancien ministre du Budget de la République du Sénégal de 2014 à 2019, fait face à une mauvaise nouvelle dans sa quête présidentielle. À l’issue des opérations de contrôle des parrainages, sa participation en tant que candidat à la présidentielle de 2024 prend fin.
L’ancien ministre, qui avait annoncé sa candidature le jeudi 27 septembre 2023 sous la bannière de la coalition « Andaat Défar Senegal » et du parti UDP-Kiraay (Union pour la Démocratie et le Progrès, Kiraay), n’a réussi à obtenir que 26 701 parrainages.
Cette nouvelle élimination souligne la compétition intense et la rigueur des critères imposés par le Conseil constitutionnel lors du processus de contrôle des parrainages pour les candidats à la présidentielle de février 2024.
Dans le cadre des préparatifs pour l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal, le Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR), dirigé par Aliou Mamadou Dia, a franchi avec succès l’étape cruciale du contrôle des parrainages par le Conseil constitutionnel.
Aliou Mamadou Dia et son équipe ont réussi à valider 47 383 parrainages, une étape déterminante visant à vérifier la validité des signatures et à assurer la conformité aux exigences légales. Cette validation constitue un passage obligé pour tous les partis politiques aspirant à présenter un candidat à la plus haute fonction du pays.
Après l’annonce de cette information, Aliou Mamadou Dia a réagi sur sa page Facebook en exprimant sa gratitude envers tous ses concitoyens d’ici et de la diaspora. Il a déclaré : « Parrainage validé ! À tous mes concitoyens d’ici et de la diaspora, je dis MERCI ! Ensemble, on gagne ! »
Cette réussite marque une étape importante pour le PUR et son candidat Aliou Mamadou Dia dans la course à la présidentielle de 2024.
Le Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR) a réussi brillamment l’étape cruciale du contrôle des parrainages en vue de l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal. Cette étape, menée par le Conseil constitutionnel, a pour objectif de vérifier la validité des signatures et de s’assurer de la conformité aux exigences légales pour tous les partis politiques qui souhaitent présenter un candidat à la présidence.
Le PUR, dirigé par son leader, a réussi à franchir avec succès cette phase, renforçant ainsi sa position en vue de l’élection présidentielle à venir. La validation des parrainages représente une étape essentielle dans le processus électoral et offre au PUR la possibilité de continuer à participer activement à la course présidentielle, affirmant ainsi son engagement envers la démocratie et le choix du peuple sénégalais.
Khadim Diop, le leader de la coalition Xidma, a été recalé d’office par la commission de contrôle des parrainages, qui a invalidé son dossier. Le candidat n’a réussi à valider que 1631 parrainages, marquant ainsi un échec significatif dans sa tentative de participer à l’élection présidentielle.
La commission a également relevé un nombre alarmant de 41 617 doublons externes dans le dossier de Khadim Diop, établissant ainsi un record en termes de plus faible nombre de parrainages validés et de doublons externes dans cette phase de contrôle.
Cette décision représente un revers majeur pour Khadim Diop et sa coalition, qui devront désormais envisager les étapes suivantes après cet échec aux parrainages. Le nombre insuffisant de signatures validées compromet sérieusement la candidature de Khadim Diop à l’élection présidentielle de 2024.
Suite à sa recalibration lors du contrôle des parrainages par le Conseil constitutionnel, Cheikh Bamba Dièye, leader du parti Front pour le Socialisme et la Démocratie/Benno Jubël (FSD-BJ), a réagi avec reconnaissance et gratitude envers ses partisans.
Dans une déclaration, Cheikh Bamba Dièye a exprimé sa gratitude envers les responsables, militants et sympathisants du FSD-BJ qui ont travaillé ardemment pour concrétiser leur vision ambitieuse pour le Sénégal. Malgré cette déconvenue, il a tenu à souligner l’engagement sans faille de ses partisans dans la poursuite de leurs objectifs communs.
« Je viens par la présente annoncer que nous avons été recalés. Je voudrais saisir cette occasion pour remercier du fond du cœur les responsables, militants et sympathisants du FSD-BJ qui, à côté de nos compatriotes, se sont mobilisés comme jamais pour réaliser la grande ambition que nous avons pour le Sénégal », a déclaré Cheikh Bamba Dièye.
Il a conclu en réaffirmant son amour pour le Sénégal et son engagement à continuer de servir le pays pour le bénéfice des Sénégalais. « Nous aimons et n’avons que le Sénégal et nous continuerons avec les qualités qui sont les nôtres à le servir pour le seul bénéfice des Sénégalais. Merci à tous. Excellente année 2024 », a ajouté Cheikh Bamba Dièye.
La commission de contrôle des parrainages a recalé la candidature d’Idrissa Seck, leader du Rewmi, pour l’élection présidentielle de 2024. Selon la commission, il lui manque 8613 signatures pour atteindre le nombre requis. Le politicien dispose désormais d’un délai de 48 heures pour régulariser son dossier.
Idrissa Seck avait initialement obtenu 38 497 signatures valides, mais la commission a identifié des doublons externes dans son dossier. Son mandataire, Ass Babacar Gueye, reste optimiste quant à la possibilité de compléter ces signatures manquantes. Il a déclaré : « Nous sommes en séance de rattrapage comme en 2019, mais nous avons validé le nombre de parrains requis pour les régions. Le nombre de doublons que nous avons peut être comblé et avec le nombre de parrains que nous avons en stock. »
La période de rattrapage de 48 heures sera cruciale pour la candidature d’Idrissa Seck. Si elle parvient à compléter avec succès les signatures manquantes, son dossier sera soumis à une vérification plus approfondie des autres documents. Cependant, en cas d’échec, cela pourrait compromettre sa participation à l’élection présidentielle prévue en 2024.
La course contre la montre commence donc pour le leader du Rewmi, qui devra mobiliser rapidement ses ressources pour répondre aux exigences de la commission de contrôle des parrainages.
Le Mouvement des arabophones du Sénégal (MAS) a été officiellement créé lors d’un congrès national tenu le samedi 30 décembre à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Le MAS vise à représenter les intérêts des arabophones du pays, y compris les chefs religieux, et à faire entendre leurs préoccupations.
Selon l’imam Assane Seck, porte-parole du mouvement, l’objectif principal est de défendre les droits des arabophones et de promouvoir leur insertion professionnelle, mettant en valeur leurs compétences au service du pays. Les revendications du MAS couvrent divers domaines, notamment l’équité, la reconnaissance des compétences spécialisées des arabophones, et la participation active dans différents secteurs, tels que la police et la justice.
Imam Assane Seck a souligné que les revendications du MAS ne sont pas fantaisistes, mais plutôt axées sur l’équité et la reconnaissance des compétences des arabophones. Il a cité des domaines tels que la police, où la culture islamique des arabophones pourrait contribuer de manière significative à résoudre certains problèmes, compte tenu de la population largement musulmane du Sénégal.
Parmi les revendications spécifiques du MAS figurent l’intégration de l’arabe dans les universités virtuelles, l’ouverture de départements en arabe dans toutes les universités de langues étrangères appliquées, le recrutement d’arabophones dans les ambassades, et une université publique proposant toutes les filières scientifiques.
Le MAS cherche ainsi à jouer un rôle actif dans la défense des droits et des intérêts des arabophones au Sénégal, plaidant pour une meilleure représentation et reconnaissance dans différents secteurs de la société.
Lors du processus de contrôle des parrainages par le Conseil constitutionnel au Sénégal, de nombreux candidats font face à des recalages, et Charles Emile Ciss, candidat de la Coalition ËLËGU SENEGAL, en fait partie. Sa candidature a été rejetée par la commission de contrôle des parrainages ce mardi en raison d’une clef USB non exploitable.
L’ancien Directeur de la Solde, qui avait quitté la coalition au pouvoir Benno Bokk Yakaar en août 2023 pour se présenter à l’élection présidentielle de 2024, a rencontré des obstacles lors de la vérification de ses parrainages. La commission de contrôle a identifié une clef USB inexploitable dans son dossier, ce qui a conduit au rejet de sa candidature.
Ce rejet souligne l’importance de la conformité aux exigences techniques lors de la soumission des dossiers de candidature. Les candidats sont tenus de présenter des documents corrects et exploitables pour éviter tout désagrément lors du processus de contrôle des parrainages, une étape cruciale dans la validation des candidatures présidentielles au Sénégal.
Le Conseil constitutionnel du Sénégal poursuit le processus d’examen des dossiers de candidature, avec 93 candidats déclarés soumis au tirage au sort pour le contrôle et la vérification des parrainages. Cependant, des candidatures ont été rejetées en raison de divers problèmes tels que des clés USB défectueuses, des dossiers incomplets, des fiches de parrainage falsifiées ou des désistements de dernière minute. Face à ces défis, Djibril Gningue du Gradec et l’expert électoral El Hadj Seydou Nourou Dia soulèvent des arguments pertinents.
Djibril Gningue souligne la nécessité de vérifier les dossiers avant de procéder au tirage au sort, conformément aux dispositions du code électoral. Il souligne que des candidats déclarés avec des dossiers incomplets ont été inclus dans le tirage au sort, ce qui constitue une violation du code électoral. Selon lui, le greffier devrait vérifier les dossiers à ce stade et notifier tout problème au mandataire avant le tirage.
D’un autre côté, El Hadj Seydou Nourou Dia partage l’avis selon lequel la responsabilité incombe aux candidats de s’assurer que leurs dossiers remplissent toutes les conditions requises. Il estime que les prétendants doivent veiller au strict respect des modalités pour que leurs dossiers soient acceptés.
Les deux experts mettent en lumière la nécessité de perfectionner le code électoral consensuel sénégalais à la fin de chaque cycle électoral. Ils appellent à des ajustements pour améliorer le processus électoral et éviter les problèmes rencontrés lors de la vérification des parrainages.
Alors que l’examen se poursuit au Conseil constitutionnel, la question de la vérification des dossiers avant le tirage au sort reste au cœur des préoccupations, soulignant l’importance d’une réforme continue du cadre électoral pour garantir des élections transparentes et équitables.
Le processus de vérification des dossiers de parrainage des candidatures pour l’élection présidentielle au Sénégal, prévue le 25 février, continue de susciter des rebondissements. Après avoir étudié les dossiers de 20 candidats jusqu’au 30 décembre, trois ont été validés, tandis que d’autres ont vu leur candidature rejetée en raison de diverses irrégularités, notamment des doublons ou des parrainages non reconnus.
Le 2 janvier, le processus de vérification a repris après une pause pour les fêtes de fin d’année. Parmi les candidats dont le sort est encore incertain figure Idrissa Seck. À ce stade, sa candidature n’est pas encore validée car ses parrainages ne répondent pas pleinement aux critères requis. Il doit régulariser plus de 6 000 parrainages pour être éligible à l’élection présidentielle.
Si Idrissa Seck parvient à régulariser les parrainages nécessaires, sa candidature sera ensuite soumise à une vérification plus approfondie des autres documents présentés. Cependant, si cela n’est pas réalisé, l’ancien allié du président Macky Sall pourrait être exclu de la course présidentielle de février.
Le mandataire d’Idrissa Seck a commenté la situation en déclarant : « Nous sommes en séance de rattrapage comme en 2019. Nous avons validé le nombre de parrains dans les régions. Nous avons un stock pour compléter. Mais il y a un fait qui revient et qui pose problème, c’est la mention ‘rejet pour non inscription sur le fichier' ».
L’avenir de la candidature d’Idrissa Seck reste incertain à ce stade, et les développements des prochaines heures seront déterminants pour son parcours politique dans cette élection présidentielle.
Le processus de vérification des dossiers de parrainage pour les candidatures à l’élection présidentielle du 25 février se poursuit au Sénégal. Après avoir examiné 20 candidatures le 30 décembre, 3 ont été validées, mais plusieurs autres ont été rejetées en raison de diverses irrégularités. Les travaux ont repris le 2 janvier après une pause pour les fêtes de fin d’année.
Parmi les candidats en attente de vérification se trouve Talla Sylla, ancien maire de Thiès. Lors de son passage pour le contrôle des parrainages, le mandataire de Talla Sylla ne s’est pas présenté au Conseil constitutionnel. Selon les procédures établies, le dossier de Talla Sylla sera examiné après que tous les autres candidats de la liste auront été traités. La date prévue pour cette vérification est le 5 janvier, en même temps que celle d’Ousmane Sonko.
Cette attente prolongée pour la vérification des parrainages pourrait avoir des implications pour la campagne électorale de Talla Sylla, car le temps joue un rôle crucial dans la préparation et la mise en œuvre de stratégies électorales. L’issue de la vérification déterminera si la candidature de Talla Sylla est acceptée ou rejetée, influençant ainsi la dynamique politique à l’approche de l’élection présidentielle.
Le Conseil constitutionnel du Sénégal, en collaboration avec une commission dédiée, poursuit le processus d’examen des dossiers de parrainage pour les candidatures à l’élection présidentielle prévue le 25 février. Après avoir évalué 20 candidatures jusqu’au 30 décembre, seulement 3 ont été validées, tandis que plusieurs autres ont été rejetées, principalement pour des raisons de doublons ou de parrainages ne figurant pas sur les listes électorales.
La commission a repris ses travaux le 2 janvier après une pause pour les fêtes de fin d’année. Parmi les candidats examinés ce jour-là, la candidature de Jean Baptiste Diouf, représentant le Parti du Dialogue Fraternel pour la Paix (PDFP), a été rejetée. Les raisons spécifiques de ce rejet n’ont pas été rendues publiques.
Pour Jean Baptiste Diouf, cette décision constitue un coup dur dans sa quête présidentielle, le privant de la possibilité de participer à l’élection présidentielle imminente. Ces événements soulignent l’importance cruciale du processus de vérification des parrainages et des critères établis par le Conseil constitutionnel dans le cadre des élections présidentielles au Sénégal.
Le Conseil constitutionnel du Sénégal, assisté par une commission dédiée, poursuit le processus d’examen des dossiers de parrainage des candidats à l’élection présidentielle prévue le 25 février. Après avoir évalué 20 candidatures jusqu’au 30 décembre, seulement 3 ont été validées, tandis que plusieurs autres ont été rejetées, principalement pour des raisons de doublons ou de parrainages ne figurant pas sur les listes électorales.
La commission a repris ses travaux le 2 janvier après une pause pendant les fêtes de fin d’année. Parmi les candidats examinés ce jour-là, la candidature de Cheikh Abdou MBACKE, également connu sous le nom de Cheikh Abdou MBACKE Bara Doly, a été rejetée. Les raisons spécifiques de ce rejet n’ont pas été rendues publiques.
Pour Cheikh Abdou MBACKE et les autres candidats dont la candidature a été rejetée, il s’agit d’un nouveau revers dans leur quête présidentielle. Ces événements soulignent l’importance cruciale du processus de vérification des parrainages et des critères établis par le Conseil constitutionnel dans le cadre des élections présidentielles au Sénégal.
Le Conseil constitutionnel du Sénégal, assisté par une commission dédiée, poursuit le processus de vérification des dossiers de parrainage des candidats à l’élection présidentielle prévue le 25 février. Après l’examen de 20 candidatures jusqu’au 30 décembre, seules 3 ont été validées, tandis que plusieurs autres ont été rejetées principalement pour des raisons de doublons ou de parrainages ne figurant pas sur les listes électorales.
Après une pause pendant les fêtes de fin d’année, le travail de vérification a repris ce 2 janvier. La candidature d’Oumar Sylla, un candidat indépendant, a été invalidée par la Commission. Ce processus de vérification méticuleux des parrainages se poursuit au sein du Conseil constitutionnel, avec une quinzaine de dossiers restant à examiner pour la journée avant de passer à un nouveau groupe le mercredi 3 janvier.
Cette décision constitue un coup dur pour la candidature indépendante d’Oumar Sylla, l’écartant de la course présidentielle. Bien que les raisons spécifiques de l’invalidation n’aient pas été détaillées, il est clair que des problèmes liés aux parrainages ont été identifiés. Ce rejet souligne l’importance cruciale du processus de vérification des parrainages dans le cadre des élections présidentielles au Sénégal.
Le Conseil constitutionnel du Sénégal, en collaboration avec une commission dédiée, a poursuivi l’examen des dossiers de parrainage pour les candidats à l’élection présidentielle prévue pour le 25 février. Après avoir évalué 20 candidats jusqu’au 30 décembre, seuls 3 ont vu leur candidature validée, tandis que plusieurs ont été rejetés en raison de doublons ou de parrainages non enregistrés sur les listes électorales.
La session du 2 janvier a été consacrée à l’examen de la candidature de Cheikh Bamba Dièye, représentant le FSDB-BJ. À la suite de l’évaluation de ses parrainages, sa candidature a été invalidée par le Conseil constitutionnel. La raison principale de cette invalidation est le nombre insuffisant de parrains validés, s’élevant à 14 534, bien en deçà du nombre requis pour une validation.
Cette décision constitue un coup dur pour la candidature de Cheikh Bamba Dièye, l’excluant de la course présidentielle. Les raisons spécifiques de l’invalidation n’ont pas été publiées de manière détaillée, mais le nombre insuffisant de parrains semble être le motif principal.
Le Professeur Daouda Ndiaye, candidat à l’élection présidentielle de février 2024, a franchi avec succès l’étape cruciale du contrôle des parrainages. La Commission de contrôle du Conseil constitutionnel a validé le dossier de candidature du Pr Daouda Ndiaye, marquant ainsi une étape importante dans sa course à la présidence.
Selon les informations fournies par la Commission, le Pr Daouda Ndiaye a réussi à obtenir 46 656 parrainages valides, avec seulement 7 156 rejets. Cette confirmation intervient après les récents rejets de candidatures, dont celles de Mbacké Sarr, Aliou Sarr et Juge Dème.
Le Pr Daouda Ndiaye est ainsi devenu le seul candidat à valider son dossier lors de cette séance, rejoignant les trois autres candidats (Boubacar Camara, Cheikh Tidiane, et Déthié Fall) dont les candidatures ont été validées le 30 décembre 2023.
Cette étape cruciale ouvre la voie pour le Pr Daouda Ndiaye à participer activement à la campagne électorale en vue de l’élection présidentielle du 25 février 2024.
Dans un discours de fin d’année, Pape Djibril Fall, candidat à la présidentielle de février 2024 au Sénégal, a adressé un appel passionné à la nation. Revenant sur les défis majeurs de l’année 2023, il a souligné les troubles socio-politiques et les conséquences économiques de la crise russo-ukrainienne sur la vie quotidienne des Sénégalais. Avec une jeunesse représentant 76% de la population, il a dépeint un tableau alarmant de désespoir, évoquant la migration des jeunes vers l’Europe.
Malgré les ressources nationales prometteuses, notamment en gaz et pétrole, Pape Djibril Fall a critiqué l’incapacité du pays à transformer ces richesses en opportunités pour sa jeunesse. En prévision de l’élection présidentielle, il a posé un défi : réécrire l’avenir du Sénégal en priorisant l’équité, la solidarité et la bonne gouvernance.
Le discours a également mis en lumière les défis socio-économiques auxquels les Sénégalais ont été confrontés en 2023, soulignant le besoin de solutions audacieuses et novatrices. Pape Djibril Fall a exhorté ses compatriotes à relever ces défis avec détermination et à croire en la possibilité de créer un avenir meilleur pour le Sénégal.
L’élection présidentielle du 25 février 2024 a été présentée comme une opportunité cruciale pour la génération actuelle de diriger le pays vers une nouvelle ère. Pape Djibril Fall a conclu son discours en encourageant ses concitoyens à agir avec audace, à espérer un lendemain meilleur et à travailler ensemble pour réussir l’inédit.
Le 2 janvier, le Conseil constitutionnel a repris l’examen des dossiers de parrainage des candidats à l’élection présidentielle prévue le 25 février. Après avoir validé trois candidatures sur vingt examinées au 30 décembre, plusieurs autres ont été rejetées pour diverses raisons, notamment des doublons ou des parrainages non conformes aux listes électorales.
Parmi les candidatures examinées, celle d’Ibrahima Hamidou Dème, mieux connu sous le nom de Juge Dème et candidat du Parti ETIC, a été invalidée par le Conseil constitutionnel à la suite de l’examen de ses parrainages.
Les raisons précises de cette invalidation n’ont pas encore été rendues publiques, mais elles seront probablement communiquées ultérieurement par le Conseil constitutionnel. Ce processus souligne l’importance du respect des critères légaux et réglementaires dans le processus électoral, et la transparence continue est essentielle pour garantir l’intégrité du processus démocratique.
Ce 2 janvier, dans le cadre de la vérification des dossiers de parrainage des candidatures pour l’élection présidentielle prévue le 25 février, le Conseil constitutionnel a invalidé la candidature d’Aliou Sarr, représentant la coalition Convergence pour une alternative progressiste en 2024.
Le 30 décembre 2023, après avoir examiné les dossiers de 20 candidats, dont 3 ont été validés, plusieurs candidatures ont été rejetées en raison de divers problèmes, tels que des doublons ou des parrainages ne figurant pas sur les listes électorales.
À ce stade, la nature exacte des irrégularités ou des problèmes ayant entraîné le rejet de la candidature d’Aliou Sarr n’a pas été spécifiée. Les raisons précises seront probablement communiquées ultérieurement par le Conseil constitutionnel, soulignant ainsi l’importance du respect des critères légaux et réglementaires dans le processus électoral. Cela souligne également la nécessité d’une transparence continue pour garantir l’intégrité du processus démocratique.
La commission de contrôle des parrainages pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 a repris ses travaux ce mardi, marquant la suite du processus de vérification des candidatures. Après l’invalidation du dossier de Mbacké Sarr sans divulgation des motifs, deux autres candidats, Juge Dème et Pr Daouda Ndiaye, sont appelés devant les membres de la commission.
Le processus de contrôle des parrainages a débuté samedi dernier, où parmi les 20 candidats convoqués, Boubacar Camara, Cheikh Tidiane Dièye, et Déthié Fall ont réussi à valider leurs parrainages. Pour obtenir des parrainages, chaque candidat a trois options : le parrainage citoyen, le parrainage parlementaire, ou le parrainage des maires et présidents de conseils départementaux.
Le parrainage citoyen nécessite la réunion de 0,6 à 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs.
Le parrainage parlementaire requiert les signatures de 8 % des députés, soit au moins 13 signatures.
La troisième option exige les signatures de 20 % des maires et présidents de conseils départementaux, soit au moins 120 signatures.
La campagne officielle en vue du scrutin présidentiel débutera le 4 février. Les travaux de la commission de vérification des parrainages jouent un rôle crucial dans le processus électoral, assurant ainsi la conformité des candidatures avec les exigences légales et réglementaires. Les prochaines étapes de cette vérification continueront de façonner le paysage politique en préparation de l’élection présidentielle.
Le processus de vérification des parrainages des candidats à l’élection présidentielle au Sénégal, prévue le 25 février, se poursuit avec l’examen des dossiers par le Conseil constitutionnel et une commission dédiée. Après une pause pendant les fêtes de fin d’année, les travaux ont repris le 2 janvier avec l’étude du dossier de Mbacké Sarr. Malheureusement, à l’issue de la vérification de ses parrainages, sa candidature a été invalidée par le Conseil constitutionnel.
Les motifs précis de cette invalidation n’ont pas encore été communiqués par le candidat ni par ses représentants. Cependant, ils ont reçu un procès-verbal détaillant les raisons de cette décision. Bien que non confirmé, il est supposé que le problème relève des parrainages, un aspect scruté de près dans l’ensemble des dossiers, notamment à travers le fichier de parrainage.
Le rejet de la candidature de Mbacké Sarr s’inscrit dans le cadre du processus rigoureux mis en place pour s’assurer de la conformité des parrainages avec les critères définis par la loi électorale. Cela souligne l’importance du respect des procédures et des règles électorales pour garantir l’intégrité du processus électoral. Les prochaines étapes du contrôle des parrainages continueront à façonner le paysage politique en amont de l’élection présidentielle.
Malick Gueye, candidat recalé pour des raisons techniques, a pris l’initiative de déposer un recours officiel auprès du Conseil constitutionnel. Cette démarche intervient le mardi 2 juin, dans l’objectif d’obtenir une réévaluation de son dossier.
Le rejet de la candidature de Malick Gueye découle d’un incident technique. En effet, le Conseil constitutionnel a rencontré des difficultés lors du transfert des données nécessaires à la validation de la candidature, stockées sur une clé USB. Cette problématique n’a pas trouvé de solution immédiate, conduisant au rejet de la candidature.
Face à cette situation, le candidat et son équipe ont cherché une réponse formelle du Conseil constitutionnel quant à la validité de leur candidature. La réponse obtenue indique que le Conseil n’était pas en mesure de fournir une confirmation immédiate.
Le dépôt du recours vise donc à solliciter une nouvelle évaluation du dossier de Malick Gueye, mettant en avant le caractère technique de l’incident qui a entravé le processus initial de validation. Cette démarche souligne l’importance des procédures équitables et transparentes dans le processus électoral, garantissant ainsi le respect des droits de chaque candidat à participer à la compétition politique. Le Conseil constitutionnel devra examiner attentivement le recours et prendre une décision éclairée sur cette question.
Le contrôle des parrainages a débuté samedi dernier, et parmi les 20 candidats convoqués à ce moment-là, Boubacar Camara, Cheikh Tidiane Dièye, et Déthié Fall ont réussi à valider leurs parrainages. Aujourd’hui, la commission examinera les parrainages des candidats suivants : Alioune Sarr, Ibrahima Hamidou Dème, Daouda Ndiaye, Cheikh Mamadou Abiboulave Dièye, Oumar Sylla, Cheikh Abdou Mbacké, Talla Sylla, Jean Baptiste Diouf, Idrissa Seck, Charles Emile Abdou Ciss, Khadim Diop, Aliou Mamadou Dia, Birima Mangara, Amdy Diallo Fall, Ndiack Lakh, Serigne Mboup, Papa Djribril Fall, et Ibrahima Datt.
Pour le parrainage citoyen, le candidat doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs.
La troisième option nécessite les signatures de 20 % des maires et présidents de conseils départementaux, soit au moins 120 signatures.
La campagne officielle en prévision du scrutin présidentiel débutera le 4 février. Ce processus de contrôle des parrainages joue un rôle crucial dans la qualification des candidats pour la course à la magistrature suprême, façonnant ainsi le paysage politique en amont des élections.
Alors que 93 candidats ont déclaré leur intention de participer à l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024 au Sénégal, une information révélée par Source A indique que onze d’entre eux n’ont pas encore versé la caution requise, fixée à 30 millions de francs CFA. Cette situation suscite des interrogations quant à la validité de leurs candidatures et à la conformité des dossiers déposés auprès du Conseil constitutionnel.
Parmi les candidats concernés par cette situation, figurent notamment Ousmane Sonko et Me Moussa Diop. La source indique que l’absence d’attestation pose un problème majeur, car la CDC a refusé de la délivrer malgré les démarches entreprises. Dans le cas de Ayib Daffé, mandataire du maire de Ziguinchor Cheikh Issa Sall, une quittance délivrée par la CDC après le versement de la caution ainsi qu’un relevé du compte bancaire ont été déposés en remplacement de l’attestation manquante.
Quant à Me Moussa Diop, actuellement détenu, l’explication avancée concerne le non-signalement à temps de sa lettre de procuration par le juge d’instruction.
Ces révélations laissent planer des incertitudes sur la validité de certaines candidatures à la présidentielle de 2024. L’article souligne les défis auxquels sont confrontés ces candidats et les complications potentielles qui pourraient découler de l’absence de pièces justificatives requises. La situation met en lumière les enjeux de conformité des candidatures et soulève des questions quant à la clarté et à la transparence du processus électoral à l’approche de l’échéance présidentielle.
À l’aube de l’année 2024, Thierno Alassane Sall, président de la République des Valeurs Réewum_Ngor, adresse ses vœux les plus chaleureux au peuple sénégalais, tout en partageant sa vision pour une nation réenchantée, réhabilitée, et élevée au rang des grandes nations.
Le président de la République des Valeurs Réewum_Ngor met particulièrement l’accent sur des principes tels que l’éthique, la droiture, l’intégrité, et le savoir. Selon lui, ces valeurs sont essentielles pour guider le Sénégal vers un avenir où la justice, la transparence, et la solidarité prévalent.
Au sein du Mouvement des Patriotes pour le Changement et la Libération (MPCL), une scène de tension a éclaté lors d’une réunion du directoire de campagne de Cheikh Tidjane Gadio, candidat à l’élection présidentielle. La confrontation, ayant impliqué le fils de Gadio et le porte-parole du parti, le Professeur Louis Ibrahima Mango, soulève des interrogations sur la gestion interne du parti et la question de la succession.
Les faits se sont déroulés au siège du MPCL, où des membres du directoire de campagne étaient réunis pour résoudre la problématique du nombre de parrains requis par le Conseil constitutionnel. Cependant, la situation a dégénéré lorsque des reproches ont été adressés à Gadio-fils, l’accusant d’interférences excessives dans les affaires du parti et d’imposer ses règles.
Selon des sources présentes, le comportement jugé autoritaire de Gadio-fils au sein du parti suscite des inquiétudes parmi les membres du MPCL. Certains comparent son attitude à celle de Karim Wade, soulignant une possible volonté de s’immiscer dans les décisions du parti.
La question cruciale qui se pose est de savoir si Cheikh Tidjane Gadio adopte une attitude similaire à celle d’Abdoulaye Wade en cherchant à imposer son fils au sein du parti. Cette situation met en lumière les enjeux liés à la succession au sein du MPCL et soulève des interrogations sur la manière dont le leadership est exercé au sein de la formation politique.
L’implication directe de Gadio-fils dans les affaires du parti remet en question la stabilité interne du MPCL et soulève des préoccupations quant à la direction future du mouvement. La gestion de cette tension interne sera cruciale pour l’avenir du parti et pour la crédibilité de Cheikh Tidjane Gadio en tant que candidat présidentiel.
Dans une décision inattendue, le président du parti Uc/Bunt-Bi, Dr El Hadji Ibrahima Mbow, a annoncé le retrait de sa candidature à la Présidence de la République pour les élections du 25 février 2024. Au lieu de poursuivre sa propre course présidentielle, il a décidé de rejoindre la coalition des leaders alliés à Ousmane Sonko, connue sous le nom de Lacos.
Cette décision marque un tournant significatif à mi-parcours de la campagne électorale, renforçant ainsi la coalition déjà soutenue par 29 partis qui ont investi Ousmane Sonko le 31 décembre 2023.
En rejoignant la coalition « Sonko Président », Dr El Hadji Ibrahima Mbow s’engage à travailler avec toutes les forces vives de la nation pour construire un Sénégal fort, entreprenant et solidaire. Il a exprimé son espoir que les élections de 2024 seront inclusives, transparentes, apaisées et contribueront à consolider la démocratie du pays.
La coalition Lacos, désormais renforcée par l’adhésion de Dr El Hadji Ibrahima Mbow, semble gagner en influence à l’approche des élections présidentielles, laissant présager une compétition politique intense et des alliances en constante évolution dans le pays.