Abdoulaye Mamadou Guissé, Secrétaire Général du Parti ‘Foulak Fayda’, plaide pour le report des élections de février 2024 pour garantir l’inclusivité »

Dans une récente interview avec Le Dakarois, Abdoulaye Mamadou Guissé, Secrétaire Général du Parti « Foulak Fayda », a exprimé la nécessité de repousser les élections prévues en février 2024 pour assurer un processus plus inclusif. Guissé a souligné l’importance d’impliquer davantage de parties prenantes dans le processus électoral afin de renforcer la démocratie. Restez à l’écoute pour plus de détails sur cette proposition et les réactions potentielles.

"Pour avoir des élections inclusives il faut forcément repousser celles de février 2024"Abdoulaye...

Amadou Ba dévoile ses ambitions pour Pikine lors de sa tournée pré-électorale

Le Premier Ministre Amadou BA, candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar, a récemment effectué une série de visites dans le département de Pikine du 29 au 30 décembre 2023. Au cours de cette tournée, il a rencontré les acteurs socio-économiques locaux et les responsables de la région pour discuter des enjeux locaux et préparer le terrain pour les élections présidentielles du 25 février 2024.

Rencontre avec les responsables locaux: Lors de la rencontre avec les responsables locaux, le Maire Abdoulaye TIMBO a pris la parole au nom de ses pairs pour exprimer les préoccupations et besoins de la population. Il a souligné la nécessité du raccordement du BRT jusqu’à Thiaroye pour le connecter au TER, la réhabilitation des routes secondaires, la transformation du Technopole en AQUALAND, la réfection du marché SANDIKA, l’élargissement de certaines voies, et d’autres projets importants.

Réponse d’Amadou BA: En réponse, le Premier Ministre a pris en compte ces doléances et a déclaré que le mémorandum présenté par les responsables locaux représente les aspirations des habitants de Pikine. Il a expliqué les raisons de sa visite en mettant l’accent sur son engagement envers l’emploi des jeunes, soulignant que la jeunesse est le présent, pas seulement le futur.

Promesse d’équité territoriale: Le Premier Ministre a également pris en compte les inquiétudes de Thiaroye concernant le pavage, promettant de résoudre ce problème d’équité territoriale. La question du cimetière de Pikine a été qualifiée d’importance capitale, avec l’engagement de résoudre la question dès leur retour.

Augmentation de la subvention de l’hôpital: Enfin, Amadou BA a conclu en traitant la question de l’hôpital, promettant une augmentation de la subvention dès 2024. Il a appelé à l’unité parmi ses camarades, soulignant l’importance de travailler main dans la main pour le bien de la communauté.

Conclusion: La visite du Premier Ministre Amadou BA à Pikine a été marquée par une écoute attentive des préoccupations locales et des engagements concrets pour résoudre les problèmes prioritaires. Ses déclarations ont souligné son engagement envers le développement de la région et son ambition de répondre aux besoins de la population pikinoise s’il est élu président en 2024.

Amadou Mame Diop salue le ‘’bilan exceptionnel’’ de Macky Sall et lui souhaite un succès éclatant

Amadou Mame Diop, président de l’Assemblée nationale, a salué le ‘’bilan exceptionnel’’ de Macky Sall à la tête du pays et a loué son ‘’leadership notoire au niveau continental et mondial’’. Dans sa réaction au message du chef de l’État à la veille du nouvel an, M. Diop lui a souhaité ‘’un succès éclatant pour les activités qu’il envisage de mener aux plans national et international, notamment la Fondation qu’il compte mettre en place’’.

Il a également noté ‘’l’appel renouvelé du président de la République à la défense de l’État de droit, à la paix, à la sécurité et à une élection à la hauteur du statut démocratique de notre pays’’. Il a exprimé son admiration pour la décision de Macky Sall de ne pas briguer un nouveau mandat à la tête du pays, saluant sa ‘’grandeur d’esprit et son sens élevé de l’État et de l’intérêt national’’.

Ousmane Sonko officiellement investi candidat par la coalition « Sonko Président »

Le maire de la ville de Ziguinchor, Ousmane Sonko, a été officiellement investi en tant que candidat par la coalition « Sonko Président » en vue de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. La déclaration complète de la coalition lors de cette investiture est reproduite ci-dessous :

Déclaration de la coalition « Sonko Président »

« Mesdames, Messieurs, les membres de la coalition SONKO PRESIDENT 2024,

* *Chers invités,

Chers concitoyens,

Chers patriotes,

Nous membres de la Coalition Sonko Président 2024, avons l’insigne honneur de porter aujourd’hui l’investiture du Président Ousmane SONKO.

Si nous mesurons pleinement la portée de l’acte, il faut reconnaitre que la charge symbolique est encore plus forte, mais surtout historique.

Il nous faut, ainsi, assumer la tâche d’investir un grand leader panafricain, digne fils du Sénégal, grand patriote convaincu, symbole du réveil et de l’envol du phénix africain, j’ai nommé le Président Ousmane SONKO.

Nous voudrions le faire avec force, fidélité, honnêteté, sincérité mais surtout par devoir de loyauté dans le combat patriotique pour un Sénégal debout, meilleur, et prospère.

Nous le faisons aussi en la mémoire de tous les soldats du patriotisme, de la démocratie et des libertés. À tous ceux qui sont tombés sur le champ d’honneur, nous en appelons à tous pour que leurs sacrifices ne soient jamais oubliés.

À leurs familles, leurs parents, nous transmettons nos pensées, nos prières et notre fidélité.

La seule véritable reconnaissance que nous pouvons leur rendre, c’est de libérer le Sénégal du joug des autocrates, des autoritaires, pour la construction d’un État de droit respectueux des libertés et garantissant une bonne gouvernance démocratique.

Considérant que l’investiture officielle d’un candidat par une coalition de partis politiques constitue une démarche démocratique, et cela à la simple lecture des dispositions de la Constitution et du Code électoral ;

Considérant qu’en vertu des articles 4 et 29 de la Constitution et L.121 du Code électoral, l’investiture officielle d’un candidat à l’élection présidentielle par une coalition de partis politiques, est une des options préalables et nécessaires, pour occuper la présidence de la République ;

Considérant que le choix de la procédure d’investiture du Président Ousmane SONKO tient aux principes de légitimité et de légalité, et ce dans un contexte de discrédit et de déliquescence de l’État de droit et des institutions, voire plus largement de l’action politique ;

Considérant que la cérémonie d’investiture du Président Ousmane SONKO présente une spécificité qui découle d’une aspiration profonde du peuple sénégalais mais aussi d’un véritable exercice de démocratie interne au sein des formations politiques.

Considérant que la cérémonie d’investiture du Président Ousmane SONKO est une marque attentive et solennelle à tous les courants démocratiques (représentative, participative, délibérative, directe, semi-directe, d’opinion …) ;

Considérant que cette cérémonie d’investiture du candidat de la coalition SONKO PRESIDENT, Ousmane SONKO, trouve son origine dans le processus d’investiture effectué par LES PATRIOTES le 13 juillet 2023 (délibération n°003/2023/HARP, séance du 13 juillet 2023) qui avait réuni au total 1606 suffrages valablement exprimés par l’ensemble des votants au niveau des différentes coordinations départementales et de la diaspora ;

Considérant que les résultats obtenus dépassent toutes les espérances avec tous les votes en fave

Karim Wade s’exprime : « Le Sénégal que j’aime le plus profond de mon cœur »

Conformément à l’annonce préalable, Karim Wade a pris la parole le lundi 1er janvier. À l’instar du président Macky Sall dans son adresse à la nation la veille, le candidat déclaré à la Présidentielle 2024 du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) a exprimé son amour profond pour son pays, le Sénégal.

Karim Wade, candidat à l’élection présidentielle, a brisé son silence dans une vidéo depuis le Qatar pour présenter ses vœux aux Sénégalais et amorcer sa campagne. Ce retour médiatique était marqué par un discours aux allures de programme politique, le candidat appelant à la réconciliation et abordant les défis majeurs qui se profilent pour le pays.

Après des années de communication limitée à des communiqués écrits ou des messages vocaux, Karim Wade a choisi le 1er janvier pour s’adresser directement au peuple sénégalais. Sa déclaration filmée a mis en lumière les enjeux cruciaux auxquels le Sénégal fait face et a lancé un appel à l’unité nationale.

Dans son discours, Karim Wade a souligné la nécessité de prendre des décisions cruciales pour l’avenir du pays, se positionnant comme un candidat engagé dans la résolution des problèmes socio-économiques. Il a évoqué le drame des jeunes risquant leur vie dans des voyages périlleux à la recherche d’un avenir meilleur, appelant à mettre fin à cette situation en créant des opportunités d’emploi, en encourageant l’entrepreneuriat et en investissant dans l’éducation et la formation professionnelle.

Le candidat a également exprimé son espoir pour le Sénégal, soulignant que l’année 2024 est une période charnière pour le pays. Il a posé la question de la direction que le Sénégal prendra, entre la voie de la division et de la haine ou celle de l’unité, de la réconciliation et de l’ambition collective.

Cette déclaration marque le début d’une nouvelle phase dans la campagne électorale, avec Karim Wade affichant ses ambitions pour l’avenir du Sénégal et appelant à une mobilisation collective pour relever les défis actuels.

Karim Wade s’adresse au public depuis son exil au Qatar : Prise de parole cruciale en vue de son candidature présidentielle au Sénégal

1er janvier 2024, Dakar, Sénégal – Karim Wade, fils de l’ancien président sénégalais Abdoulaye Wade, s’apprête à faire sa première apparition publique depuis son départ forcé pour le Qatar. L’homme politique prendra la parole lors d’une allocution prévue pour le 1er janvier à 15h heure locale, comme annoncé sur ses réseaux sociaux.

Cette allocution revêt une importance particulière dans le contexte de la candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle sénégalaise. Son dossier de parrainage est attendu pour examen dans les jours à venir. Cependant, des débats émergent quant à son éligibilité en raison d’une loi sénégalaise interdisant aux personnes ayant une double nationalité de se présenter à la présidence. La question cruciale demeure de savoir si Wade a renoncé à sa nationalité française pour se conformer à cette loi.

Le choix du Qatar comme lieu d’exil de Karim Wade soulève des interrogations sur son impact sur la perception de sa candidature au Sénégal. Certains s’interrogent sur les motivations de ce départ et sur la manière dont il pourrait influencer le vote des électeurs.

La prise de parole de Karim Wade sera scrutée de près pour obtenir des éclaircissements sur ces questions brûlantes. Les électeurs attendent des clarifications sur son éligibilité, sa nationalité, sa situation fiscale et sa vision pour le Sénégal. Cette allocution pourrait également jouer un rôle déterminant dans la formation de l’opinion publique à l’approche de l’élection présidentielle.

Mobilisation massive à Grand Yoff : Mamadou Sidibé lance son mouvement en faveur d’Amadou Ba

La scène politique à Grand Yoff s’est animée le samedi 30 décembre lors du lancement du « MOUVEMENT AND NAATAL SUÑU ASKAN -MANA » dirigé par Mamadou Sidibé, recteur de l’Université de Matam et fervent soutien du candidat Amadou Ba. La mobilisation exceptionnelle de la population témoigne de l’enthousiasme suscité par cet événement.

Les militants et sympathisants ont répondu en masse à l’appel de Mamadou Sidibé, tous engagés à œuvrer pour la victoire d’Amadou Ba lors des élections prévues le 25 février 2024. Le Professeur Sidibé, désormais à la tête de ce mouvement, a souligné l’importance de l’unité d’action pour assurer le succès de leur candidat.

Prônant l’harmonie au sein de la coalition Benno Book Yakaar, Mamadou Sidibé a rendu hommage aux militants et sympathisants, exprimant sa gratitude pour la mobilisation exceptionnelle à Grand Yoff. Il a également appelé à la résolution des incompréhensions entre les responsables pour renforcer l’efficacité de leur mouvement.

La soirée a été marquée par les discours des représentants d’Amadou Ba, dont Cheikh Bakhoum, mettant en garde contre le populisme et soulignant l’urgence de continuité du Plan Sénégal Émergent (PSE). Les responsables politiques de la majorité présidentielle ont mis en avant les enjeux cruciaux liés à cette élection.

En conclusion, le Professeur Mamadou Sidibé s’est félicité du succès de la cérémonie de lancement, exprimant sa reconnaissance envers les habitants de Grand Yoff. Ce rassemblement prometteur souligne la détermination du mouvement à contribuer activement à la campagne électorale et à soutenir Amadou Ba dans sa quête pour la présidence.

avec seneweb

Présidentielle 2024 : 29 partis investissent Ousmane Sonko et adressent un message au conseil constitutionnel

À quelques jours de l’examen du dossier de candidature d’Ousmane Sonko par le Conseil Constitutionnel, 29 partis politiques ont officiellement investi le leader de l’ex-parti Pastef pour l’élection présidentielle de 2024. Dans un message adressé aux sept sages du Conseil Constitutionnel, ces partis appellent à une élection démocratique et soulignent l’importance de rétablir l’équilibre des pouvoirs pour garantir la stabilité du pays.

Le dossier de candidature d’Ousmane Sonko sera examiné le 5 janvier prochain par le Conseil Constitutionnel. La vérification a été retardée en raison de l’absence du mandataire du candidat lors du premier jour de la procédure. Ousmane Sonko, qui occupait la quatrième place après le tirage au sort, attend maintenant l’examen de son dossier avec une forte représentation de 29 partis politiques derrière lui.

Moustapha Guirassy, l’un des leaders politiques parmi les 29 partis soutenant Ousmane Sonko, a adressé un message clair au Conseil Constitutionnel. Il souligne que l’institution a la responsabilité de rééquilibrer les pouvoirs, de ramener la paix dans le pays et de redorer le blason de la justice. Il insiste sur le fait que le Conseil Constitutionnel ne doit pas placer une vérité exclusive, même celle d’un président en exercice, au-dessus de la vérité du peuple.

Moustapha Guirassy précise que son intention n’est pas de « menacer » l’institution, mais plutôt d’appeler le Conseil Constitutionnel à respecter les décisions de justice qui ont rétabli le droit, même dans un contexte difficile. Birame Souley Diop renforce cet appel en demandant au Conseil Constitutionnel de « dire la justice ».

Moustapha Guirassy va jusqu’à affirmer que « une joute électorale sans le président Ousmane Sonko rendrait illégitime et pour cinq ans encore tout président qui serait installé ». Cet appel souligne l’importance de la présence d’Ousmane Sonko dans la compétition électorale pour garantir la légitimité du président élu.

En plus de leur soutien à Ousmane Sonko, les 29 partis politiques appellent les Sénégalais à aller chercher leur carte d’électeur. Ils estiment que la participation active des citoyens est essentielle pour faire de Ousmane Sonko le prochain président du Sénégal.

L’examen du dossier d’Ousmane Sonko par le Conseil Constitutionnel s’annonce comme un moment clé dans le processus électoral, et les messages des partis politiques soutenant le candidat soulignent l’importance accordée à la transparence, à l’équité et à la justice dans cette élection présidentielle cruciale.

Invalidation de Candidature : Amadou Aly Kane Réagit sur Facebook

Le Conseil Constitutionnel rejette la candidature d’Amadou Aly Kane, une réaction franche et déterminée sur sa page officielle.

 »Je porte à l’attention des amis, sympathisants et proches que notre candidature a été invalidé ce jour Samedi 30 Décembre 2023 par le Conseil Constitutionnel.

Pour rappel, mon mandataire avait déposé un dossier de candidature complet auprès du Conseil Constitutionnel ; dossier comprenant un nombre de 50.128 parrains dont plus de 2000 dans 08 régions du Sénégal.

Ces parrainages ont été remis sous format électronique et sous format papier.

Un récépissé de dépôt a été délivré à cette occasion par le Chef du greffe du Conseil Constitutionnel.

Ce Samedi 30 Décembre, au moment du contrôle des parrainages, il a été décidé de retirer un quantum de 10.000 parrains au motif qu’il n’a pas été porté à l’en-tête de la clé, le nom de la région concernée.

D’où, notre contrôle a porté sur 40.128 parrains.

Pourtant le récépissé de dépôt mentionnait bien , l’origine géographique des parrains retirés.

Par ailleurs, il nous a été diagnostiqués unilatéralement 18.084 parrains ne figurant pas au fichier électoral, fichier non produit lors de la séance ; Donc , impossible de vérifier par nous mêmes.

Alors que nous étions dans les faits , le 2e candidat à être contrôlé, on nous a décompté 9.134 doublons externes .

Quant aux doublons internes, on nous en a décomptés 5.540 .

Et pourtant, nous avons travaillé avec un logiciel qui les signalait automatiquement.

Sans cela, notre fichier de parrainages aurait approché 100.000 parrains.

En définitive, on nous a , de fil en aiguille , éliminé 42.708 parrains.

Bizarrement, la clé que nous avions remise a été détruite et une autre nous a été restituée à sa place !!!

C’est dans ces circonstances que notre candidature a été invalidée.

C’est le lieu de remercier tous ceux qui nous ont soutenus et d’appeler à la réforme du système actuel de parrainage qui comporte une grande part d’aléas.

Par ailleurs, nous appelons tous les candidats qui ont été exclus à constituer une grande Coalition afin de pouvoir peser sur la destinée politique de notre pays .

Contrairement à ce qui a été dit ici ou là, nous n’étions pas mû par une quelconque boulimie du pouvoir ou par une quelconque volonté de nous mettre en évidence.

Notre ambition était seulement de soumettre à nos compatriotes une offre politique crédible axée sur le développement durable et la démocratie participative.

Et Ce combat est loin d’être terminé .Il va continuer.

Dieu protège le Sénégal

Dieu protège l’Afrique. »

Interdiction de l’investiture de Sonko : Aminata Touré dénonce un assaut contre la démocratie sénégalaise

Mme Aminata Touré a souligné le contraste entre l’investiture publique répétée d’Amadou Ba, candidat soutenu par le Président Macky Sall, et l’interdiction faite à la Coalition Sonko 2024 d’organiser l’investiture de son candidat. Cette disparité apparente alimente les inquiétudes quant à l’équité du processus politique et suscite des interrogations sur le respect des principes démocratiques au Sénégal.

Dans ses déclarations, Mme Aminata Touré a déploré la situation en indiquant : « La Démocratie sénégalaise n’en finit pas d’être agressée, et les démocrates doivent se mobiliser pour rétablir le cours normal de notre Démocratie qui a longtemps été une référence en Afrique et dans le monde. » Cette affirmation souligne l’importance de préserver les valeurs démocratiques qui ont fait du Sénégal un exemple dans la région et au-delà.

L’interdiction de l’investiture de Sonko et les préoccupations exprimées par Mme Aminata Touré mettent en lumière les tensions croissantes dans le pays à l’approche de l’élection présidentielle de 2024. La question de l’équité et de l’impartialité dans le processus politique prend de l’ampleur, et la société sénégalaise observe de près les développements politiques pour évaluer la santé démocratique du pays.

Dame Mbodji révèle des alliances secrètes entre Macky Sall, Amadou Ba, Karim Wade et Idy en prévision de la présidentielle

Dans une déclaration explosive, Dame Mbodji a levé le voile sur les coulisses politiques présumées de la prochaine élection présidentielle au Sénégal. Selon l’enseignant activiste, le président Macky Sall aurait anticipé la menace que représente Ousmane Sonko et serait en train de tisser une alliance secrète avec des opposants soigneusement sélectionnés.

Dame Mbodji affirme que Macky Sall, conscient que seul Ousmane Sonko pourrait le défier sérieusement, aurait adopté une stratégie consistant à laisser les autres candidats s’exprimer librement. De plus, il suggère que de nombreux opposants seraient en réalité en alliance avec le président sortant, et qu’il n’y aurait pas de mésentente réelle entre eux et le pouvoir en place.

Dans ses révélations rapportées par Senenews, Dame Mbodji va plus loin en affirmant qu’il est au courant d’une alliance en gestation, rassemblant des figures politiques majeures. Cette alliance secrète, selon lui, impliquerait des personnalités telles que Karim Wade, Amadou Ba, et même l’ancien Premier ministre Idrissa Seck. L’objectif commun de cette coalition présumée serait de soutenir la candidature d’Amadou Ba, craignant la perte du pouvoir.

Il est important de noter que ces affirmations de Dame Mbodji soulèvent des questions cruciales sur les dynamiques politiques en jeu dans la perspective de l’élection présidentielle. Les spéculations autour de ces alliances présumées ne manqueront pas de susciter l’attention de l’opinion publique et pourraient influencer la manière dont les électeurs perçoivent les différents acteurs politiques.

Les prochaines semaines verront probablement un examen minutieux des déclarations de Dame Mbodji et la recherche de confirmations ou de démentis de la part des personnalités politiques mentionnées. En attendant, ces révélations risquent de remodeler le paysage politique sénégalais et d’introduire de nouvelles dimensions dans la course présidentielle à venir.

Vérification des parrainages : Voici les résultats pour 20 candidats à la présidentielle (1ère journée)

Le 30 décembre, la commission désignée par le Conseil a poursuivi l’examen des parrainages des candidats à l’élection présidentielle. Le tirage au sort déterminant l’ordre de vérification a offert un avantage potentiel aux premiers candidats, minimisant le risque de doublons. Voici les détails des validations et invalidations de ce jour.

Résultats de la vérification des parrainages

  1. Boubacar Camara: Parrainages validés. 6069 parrains introuvables dans le fichier électoral, mais cela n’a pas affecté la validation.
  2. Cheikh Aguibou Soumaré: Dossier rejeté pour cause de multiples doublons externes.
  3. Dr Ousmane Kane: Parrainage invalidé, non-paiement de la caution à la Caisse de dépôt et de consignation.
  4. Ousmane Sonko: En attente, l’absence de son représentant pour « petit malaise » a retardé la vérification.
  5. Me Amadou Aly Kane: Candidature invalidée. Malgré un dépôt initial de plus de 50 000 parrains, des anomalies telles que l’absence de mention de la région et des doublons ont réduit considérablement le nombre valide.
  6. Papa Eugène Barbier: Invalidé pour cause de dossier incomplet.
  7. Me El Hadj Diouf: Situation incertaine due à des communications contradictoires sur le nombre de parrains validés. Seulement 40440 parrains ont été confirmés valides.
  8. Abdoulaye Sylla: Invalidé pour doublons de parrains.
  9. Cheikh Tidiane Gadio: Dossier rejeté. Les détails spécifiques non divulgués, focus sur la correction des doublons.
  10. Mouhamed Ben Diop: Invalidé.
  11. Rose Wardini: Validation sous condition, nécessite une correction urgente des doublons.
  12. Cheikh Tidiane Dièye: Parrainages validés.
  13. Malick Gueye: Problème technique lors du transfert des données depuis la clé USB. Situation atypique non résolue.
  14. Mouhamed El Habib Tounkara: Seulement 189 parrains fournis sans caution. Dossier incomplet et donc invalidé.
  15. Mary Teuw Niane: Disqualifié pour non-reconnaissance de plus de 28000 parrains. 15584 parrains validés et 6128 doublons.
  16. Mamadou Sambou YATASSAYE: Invalidé pour modifications des fiches de parrainage.
  17. Déthié FALL: Parrainages validés.
  18. Aminata Assome Diatta: Invalidée après contrôle, seulement 9339 parrains validés sur 55000.
  19. Papa Macodou Diouf: Invalidé.
  20. Samba Ndiaye, invalidé

À noter que la validation des parrainages ne garantit pas l’approbation finale de la candidature, mais représente une étape capitale dans le processus de candidature. La commission a rappelé aux candidats l’importance de fournir des dossiers complets et sans erreurs pour éviter les rejets ultérieurs.

Le Conseil constitutionnel suspendra ses activités de vérification le 31 décembre et le 1er janvier, pour reprendre l’examen des dossiers restants à partir du 2 janvier 2024.

Déthié Fall voit sa candidature validée par le Conseil constitutionnel : Une avancée majeure vers la présidentielle

Déthié Fall, candidat de la plateforme DÉTHIÉFALL2024, réalise une étape cruciale dans sa course à la présidence du Sénégal, avec la validation officielle de ses parrainages par le Conseil constitutionnel. Cette avancée propulse Déthié Fall parmi les premiers prétendants à réussir cette étape cruciale, marquant un moment décisif dans sa campagne présidentielle.

Le Conseil constitutionnel a formellement ratifié la validité des parrainages déposés par le candidat ce samedi, confirmant ainsi son éligibilité et le positionnant parmi les premiers à avoir réussi cette exigence cruciale dans le processus électoral.

Dans une réaction complète, Déthié Fall adresse un message aux compatriotes, exprimant sa gratitude pour la confiance qu’ils ont placée en lui en portant et parrainant sa candidature à l’élection présidentielle prévue pour le 25 février 2024. Il appelle à l’unité pour des élections inclusives et transparentes, et à la construction d’un Sénégal propice à la vie et esthétiquement plaisant.

Sa déclaration complète se lit comme suit :

« Chers compatriotes,

Après vérification du parrainage ce jour au Conseil Constitutionnel que nous venons de valider, je vous remercie du fond du cœur pour votre confiance en ayant porté et parrainé ma candidature à l’élection présidentielle du 25 février 2024.

Ensemble pour des élections inclusives et transparentes.

Ensemble pour un Sénégal bon à vivre et beau à voir.

Déthié,

Président du PRP,

Candidat de DÉTHIÉFALL2024 à l’élection présidentielle »

Cette confirmation par le Conseil constitutionnel offre à Déthié Fall une base solide pour poursuivre sa campagne en vue de l’élection présidentielle, renforçant ainsi sa position sur la scène politique sénégalaise. L’accent mis sur des élections inclusives et transparentes souligne l’importance de ces principes dans le processus démocratique du pays.

Rejet de la candidature de Me Amadou Aly Kane : Appel à la réforme du système de parrainage et proposition de coalition

Le 30 décembre 2023, le Conseil Constitutionnel a invalidé la candidature de Me Amadou Aly Kane, malgré le dépôt d’un dossier complet comprenant plus de 50 000 parrains. Des anomalies, notamment le retrait de 10 000 parrains pour absence de mention de la région à l’en-tête de la clé, ont été relevées lors du contrôle. Face à cette situation, Me Amadou Aly Kane a publié un texte sur sa page Facebook, soulevant des circonstances douteuses et appelant à la réforme du système de parrainage.

Le candidat écarté a rappelé que son dossier de candidature, déposé par son mandataire, comportait plus de 50 000 parrains, dont plus de 2000 provenant de 8 régions du Sénégal. Cependant, au cours du contrôle, 10 000 parrains ont été retirés au motif qu’il n’a pas été mentionné à l’en-tête de la clé le nom de la région concernée. Me Amadou Aly Kane a souligné que le récépissé de dépôt mentionnait pourtant l’origine géographique des parrains retirés.

Parmi les autres problèmes soulevés, on compte le diagnostic unilatéral de 18 084 parrains ne figurant pas au fichier électoral, un fichier non produit lors de la séance de contrôle. De plus, 9 134 doublons externes et 5 540 doublons internes ont été décomptés, malgré l’utilisation d’un logiciel signalant automatiquement ces cas.

Ce rejet de candidature met en lumière les défis et les controverses entourant le processus électoral au Sénégal, soulignant la nécessité d’une réflexion approfondie sur la transparence et l’équité dans le système de parrainage. L’appel à la formation d’une coalition suggère une volonté commune de certains candidats de faire entendre leur voix malgré les obstacles rencontrés. La suite de cette situation pourrait avoir des implications significatives sur la scène politique sénégalaise à l’approche de l’élection présidentielle.**

Déthié Fall, proche d’Ousmane Sonko, valide ses parrainages au conseil constitutionnel : un pas de plus vers la présidentielle

Dans la course à la magistrature suprême au Sénégal, Déthié Fall, candidat de la plateforme DÉTHIÉFALL2024, franchit une étape cruciale en obtenant la validation officielle de ses parrainages par le Conseil constitutionnel. Cette réussite le place parmi les premiers prétendants à satisfaire cette exigence capitale, marquant une avancée significative dans sa campagne présidentielle.

Déthié Fall a choisi la voie du parrainage populaire, se démarquant ainsi des autres formes de soutien autorisées telles que les parrainages des députés et des élus locaux. La confirmation de la validité de ses parrainages par le Conseil constitutionnel souligne non seulement la légitimité du soutien populaire dont il bénéficie, mais également son habileté stratégique à mobiliser un large et diversifié soutien au sein de la population sénégalaise.

Cette étape positive s’inscrit dans le cadre de l’examen minutieux du dossier de candidature de Déthié Fall par le Conseil constitutionnel, incluant neuf documents essentiels tels que son certificat de nationalité, son casier judiciaire et son quitus fiscal. Cette vérification méticuleuse vise à garantir que tous les candidats répondent aux critères stricts définis par la loi électorale sénégalaise.

Mouhamed Ben Diop recalé : opacité autour des chiffres des doublons, un point de tension au conseil constitutionnel

Dans le contexte de la validation des candidatures pour l’élection présidentielle au Sénégal, Mouhamed Ben Diop, candidat de la Grande coalition du parti « Pass-Pass », se voit recalé par le Conseil constitutionnel, suscitant des interrogations sur les chiffres des doublons non divulgués.

L’étape cruciale de la Commission de contrôle des parrainages a été franchie par le représentant du candidat, Ousmane Ndao. Cependant, à la sortie de cette étape, une certaine opacité entoure la validité du dossier de Mouhamed Ben Diop, le mandataire refusant de divulguer des chiffres spécifiques.

Ousmane Ndao a déclaré : « Nous sommes venus pour l’étape du contrôle de parrainage, mais nous ne savons pas encore si notre dossier est valide, car le Conseil nous a remis un procès-verbal que nous n’avons pas encore exploité. Nous sommes conscients de certains rejets dus à des doublons, dont les chiffres nous sont encore inconnus. »

Il a ensuite ajouté : « Nous avons analysé les parrains dans les 14 régions et la diaspora. Quelques doublons ont été identifiés, mais il nous reste à exploiter les résultats obtenus. » Cette déclaration met en évidence le caractère rigoureux du processus de contrôle des parrainages et souligne l’attention particulière accordée à la détection et à la gestion des doublons dans le cadre de cette démarche électorale.

L’absence de divulgation des chiffres spécifiques des doublons crée un point de tension au sein du processus électoral, alimentant les spéculations et les interrogations quant à la transparence du processus de validation des candidatures. Les électeurs et les observateurs attendent désormais des clarifications du Conseil constitutionnel sur les motifs du rejet de la candidature de Mouhamed Ben Diop et sur les chiffres exacts des doublons identifiés.

Cet épisode souligne l’importance de la transparence et de la communication dans le processus électoral, soulignant la nécessité pour les institutions de divulguer des informations cruciales pour maintenir la confiance du public dans l’intégrité du processus démocratique. L’évolution de cette situation pourrait avoir des répercussions significatives sur le paysage politique en amont de l’élection présidentielle.

Incident technique au conseil constitutionnel : Un candidat confronté à des obstacles dans la vérification des parrainages

Dans le cadre du processus crucial de validation des candidatures pour l’élection présidentielle au Sénégal, un incident technique au Conseil constitutionnel crée des incertitudes autour de la candidature de Malick Gueye, mettant en lumière un problème inattendu dans le règlement de vérification des parrainages.

Le tirage au sort, déterminant l’ordre de vérification des dossiers de parrainage par le Conseil constitutionnel, est un moment clé du processus électoral. Il vise à éviter les doublons de parrainage, conformément au règlement qui stipule qu’un électeur ne peut parrainer deux candidats simultanément, le second parrainage étant considéré comme invalide.

Malick Gueye, l’un des candidats, a été confronté à une situation inattendue lors de la vérification de ses parrainages. Lorsque la commission du Conseil constitutionnel a tenté de transférer les données depuis la clé USB vers leur ordinateur, un problème technique non spécifié a empêché l’opération. Ce problème, qui n’était pas anticipé dans le règlement, a soulevé des questions sur la validité de la candidature de Malick Gueye.

Invalidation de la Candidature de Mary Teuw Niane par le Conseil Constitutionnel

Le Conseil constitutionnel a tranché ce samedi 30 décembre en invalidant la candidature du professeur Mary Teuw Niane pour l’élection présidentielle. La décision a été motivée par « plus de vingt-huit mille parrains non reconnus ».

Cette annonce met fin à une période d’incertitude qui a entouré la candidature de Mary Teuw Niane, qui a exprimé sa gratitude envers tous ceux qui ont soutenu son projet de « transformation nationale » au cours des huit derniers mois.

Cette décision du Conseil constitutionnel souligne l’importance du processus de parrainage dans le cadre des élections présidentielles au Sénégal, et la rigueur avec laquelle les critères sont évalués. La course à la présidentielle continue avec les candidats dont les dossiers ont été validés par les instances compétentes.

Conseil constitutionnel : L’examen du dossier de Sonko retardé en raison de l’absence de son représentant

Le dossier du candidat de la coalition Sonko Président 2024 aurait dû être examiné ce samedi matin au Conseil Constitutionnel. Cependant, cela n’a pas été possible en raison de l’absence de son représentant.

À l’heure actuelle, Maître Ciré Clédor Ly ne s’est toujours pas présenté au siège du Conseil Constitutionnel. L’absence du représentant du candidat Sonko est susceptible de retarder le processus de vérification des parrainages, car selon le protocole en place, les dossiers dont le représentant est absent sont examinés après l’épuisement de la liste des candidats présents.

Cette situation souligne l’importance de la présence des mandataires des candidats lors des phases critiques du processus électoral, en particulier lors de la vérification des parrainages. L’issue de cette vérification aura un impact direct sur la participation du candidat à l’élection présidentielle de février 2024.

Cheikh Tidiane Dieye valide son parrainage avec 50 000 signatures

Le candidat Cheikh Tidiane Dieye a franchi avec succès l’étape du parrainage, selon les informations fournies par son mandataire, Julien Sagna. Ce dernier affirme que le candidat a obtenu « 50 000 parrains ».

Le dossier de Cheikh Tidiane Dieye a été examiné dans l’après-midi de ce samedi 30 décembre au Conseil Constitutionnel. Contrairement à lui, la candidate Rose Wardini devra revoir ses fiches de parrainage afin de remplacer des doublons externes.

Après la validation du parrainage de Cheikh Tidiane Dieye, le dossier d’une autre figure de l’opposition, Dethié Fall, sera examiné.

Ngouda Mboup : « L’interdiction de l’investiture de Ousmane Sonko est une discrimination manifeste »

Le constitutionnaliste Ngouda Mboup a dénoncé une violation évidente de la Constitution sénégalaise dans la décision d’interdire l’investiture du Président Ousmane Sonko.

Selon Ngouda Mboup, la Constitution du Sénégal, en ses articles 1er et 4, interdit toute discrimination entre les formations politiques. « L’interdiction de l’investiture du Président Ousmane SONKO est une discrimination manifeste », déclare-t-il.

Il affirme que Ousmane SONKO fait l’objet de discrimination, de persécution et de confiscation de ses droits constitutionnels. « Ousmane SONKO est candidat et participera à l’élection présidentielle du 25 février 2024 », ajoute-t-il.

Cette déclaration de Ngouda Mboup souligne les préoccupations croissantes concernant la liberté d’expression et les droits constitutionnels dans le contexte préélectoral au Sénégal. Les acteurs politiques et les experts constitutionnalistes continuent de s’exprimer sur les questions entourant le processus électoral, mettant en évidence la nécessité d’un respect strict des principes constitutionnels pour garantir des élections justes et équitables. L’évolution de la situation politique et les réponses institutionnelles à ces préoccupations seront essentielles pour le déroulement harmonieux du processus électoral.

Validation sous condition : Rose Wardini doit rectifier des doublons en urgence

Le Conseil constitutionnel a approuvé le dossier de la candidate Rose Wardini, marquant ainsi une étape cruciale dans sa course électorale. Cependant, l’examen minutieux du dossier a révélé la présence de quelques doublons, mettant en lumière la nécessité d’une régularisation dans un délai strict de 48 heures.

Le mandataire de Mme Wardini, Ousmane Badiane, a pris acte de cette situation et s’est engagé à travailler en étroite collaboration avec les autorités compétentes pour rectifier ces anomalies dans les plus brefs délais.

« Je viens de sortir du Conseil constitutionnel il y’a des détails à retenir mais ce n’est pas important mais notre dossier a été bien validé. C’est une question de petit nombre de doublons externes. Nous avons un bref délai de 48 heures pour régler ce détail », a fait savoir le mandataire du candidat Rose Wardini. Il a préfèré ne pas communiquer sur les chiffres.

Investiture de Sonko délocalisée : nouveau contrecoup à la cérémonie au Fun City

« Le peuple sénégalais est témoin ! La communauté internationale est témoin ! Le conseil constitutionnel est témoin ! Restez connectés ! Ousmane SONKO est candidat et sera président en 2024 », a-t-il assuré.

Cette série d’entraves à la tenue de l’investiture souligne les tensions croissantes autour du processus électoral et les défis auxquels sont confrontés certains candidats dans leur démarche vers la présidentielle de 2024. L’incertitude persistante quant à la possibilité d’organiser des événements politiques dans des lieux privés souligne l’importance de la liberté d’expression et d’organisation dans le contexte préélectoral. La manière dont ces développements influenceront la dynamique politique reste à observer dans les prochains jours.

Vérification des parrainages : absence de Me Ciré Clédor Ly, mandataire de Sonko, pour cause de malaise

La procédure de vérification des parrainages pour la candidature d’Ousmane Sonko au Conseil constitutionnel a connu un contretemps ce samedi en raison de l’indisponibilité de Me Ciré Clédor Ly, mandataire du candidat. Selon des informations relayées par Jotna Media, un média proche de Sonko, Me Ly aurait été victime d’un « petit malaise » ce matin. Bien que le mandataire se porte finalement bien, ce contretemps l’a empêché de se présenter à l’heure prévue, soit 9h30, pour superviser le processus crucial de vérification des parrainages.

Une vidéo publiée par une source médiatique affiliée à Ousmane Sonko a tenté de dissiper l’inquiétude parmi les militants, soulignant que cette absence ne porterait pas immédiatement préjudice à la validité de la candidature. Le Conseil constitutionnel, anticipant de telles situations, a mis en place un protocole spécifique. Il a été stipulé que tout dossier dont le candidat ou le mandataire serait absent serait traité le dernier jour des vérifications des parrainages, fixé, selon le calendrier publié, au 5 janvier 2024.

Cette situation souligne l’importance du respect des délais dans le processus de vérification des parrainages et la nécessité pour les équipes des candidats de veiller à la présence de leurs mandataires aux moments cruciaux du processus électoral.

Contrôle des parrainages : Cheikh Tidiane Gadio recalé avec possibilité de régularisation en 48 heures

Lors de la vérification des parrainages au Conseil constitutionnel ce samedi, Cheikh Tidiane Gadio, leader du mouvement « Luy jot jotna », a été recalé. La mandataire du candidat, Madame Aminata Diagne Thiam, a informé la presse de cette décision tout en soulignant qu’ils bénéficient d’un délai de 48 heures pour régulariser leur situation.

Selon Mme Thiam, Cheikh Tidiane Gadio dispose de deux jours pour remédier aux irrégularités constatées dans ses parrainages. La question clé demeure de savoir s’il pourra résoudre les problèmes liés aux doublons dans le délai imparti.

La situation actuelle place Cheikh Tidiane Gadio dans une course contre la montre pour corriger les anomalies dans ses parrainages et garantir sa participation à l’élection présidentielle. La règle des 48 heures offre une fenêtre d’opportunité pour résoudre les problèmes détectés pendant le contrôle des parrainages.

La suite des événements dépendra des actions entreprises par l’équipe de Cheikh Tidiane Gadio pour répondre aux exigences du Conseil constitutionnel. Cette situation souligne l’importance cruciale de la rigueur dans le processus de collecte des parrainages et la nécessité pour les candidats de veiller à la conformité de leurs dossiers pour éviter des retards ou des recalages. L’issue de cette période de régularisation dans les 48 heures restera à observer.

Présidentielle 2024 : Abdoulaye Sylla rejeté par le conseil constitutionnel pour plus de 10 000 doublons

La course à l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal subit un tournant majeur alors que le Conseil constitutionnel a rejeté la candidature d’Abdoulaye Sylla, chef d’entreprise à la tête d’ECOTRA, en raison de plus de 10 000 doublons identifiés dans son dossier de parrainages.

Le rejet de la candidature d’Abdoulaye Sylla par le Conseil constitutionnel remet en question sa participation à la présidentielle de février 2024. Cela souligne également l’importance du processus de collecte de parrainages, qui doit être soigneusement géré pour garantir la transparence et l’intégrité du processus électoral.

Cette décision du Conseil constitutionnel aura sans aucun doute des répercussions significatives sur le paysage politique en prévision de l’élection présidentielle. Elle met également en évidence l’importance cruciale de la conformité aux règles électorales pour garantir un processus électoral démocratique et équitable.

Présidentielle 2024 : Abdoulaye Sylla impressionne avec une Range Rover Holland and Holland

Cette voiture d’exception, habituellement réservée aux grandes personnalités d’Angleterre, symbolise le luxe, le prestige, et l’élégance. La présence de la Range Rover Holland and Holland dans la campagne d’Abdoulaye Sylla atteste de son désir de marquer les esprits et de se démarquer dans cette compétition présidentielle.

Selon des informations rapportées par Seneweb, cette voiture exclusive est détenue uniquement par des personnalités notables telles que James Ratcliffe, Gopichand, et Srichand Hinduja. En choisissant ce symbole de raffinement, Abdoulaye Sylla cherche à imprimer sa campagne d’une empreinte distinctive, symbolisant son ambition et sa détermination à atteindre la plus haute fonction du pays.

Le geste audacieux d’Abdoulaye Sylla souligne également l’importance de la communication et de la stratégie visuelle dans le paysage politique. Alors que la présidentielle de 2024 promet d’être hautement compétitive, chaque candidat explore des moyens novateurs pour attirer l’attention des électeurs et se positionner comme le choix optimal.

La Range Rover Holland and Holland devient ainsi plus qu’un simple véhicule dans cette campagne présidentielle ; elle incarne un symbole de l’ambition et de la détermination d’Abdoulaye Sylla à impressionner et à convaincre les électeurs de son leadership. La suite de la campagne révélera comment ce geste exceptionnel influencera le paysage politique sénégalais dans les mois à venir.

Présidentielle 2024 : Amadou Bâ met en place son directoire de campagne

À quelques mois de l’élection présidentielle prévue pour le 25 février 2024, le candidat de Benno Bokk Yakaar (BBY), Amadou Bâ, s’apprête à donner le coup d’envoi officiel de sa campagne en installant son directoire ce samedi 30 décembre 2023. Cette étape marque une avancée cruciale dans la stratégie du candidat qui semble confiant quant à la formalité de la collecte des signatures de parrainage.

Ayant déjà élaboré une stratégie bien définie en vue de la présidentielle, Amadou Bâ entend mettre en place une équipe dynamique et déterminée lors de l’installation de son directoire. Cette équipe aura pour mission d’organiser et de conduire la campagne électorale, ainsi que de mobiliser les ressources nécessaires pour soutenir la candidature de Bâ et défendre les positions de la coalition BBY.

Cependant, des questions subsistent quant aux déclarations antérieures d’Amadou Bâ, qui affirmait avoir plus de 3 millions de parrains. La campagne qui s’annonce permettra peut-être de clarifier ces déclarations et de démontrer la force de mobilisation de la candidature au sein de la coalition BBY.

Contrôles des Parrainages : Un Parcours Contrasté pour les Candidats à la Présidentielle 2024

Depuis ce matin, le Conseil constitutionnel joue un rôle central dans le processus de validation des candidatures pour l’élection présidentielle du 25 février 2024. Le candidat Boubacar Camara a réussi à franchir avec succès le premier obstacle, avec 53 173 de ses parrains validés, renforçant ainsi sa position dans la course électorale.

Cependant, la journée n’a pas été clémente pour tous les prétendants à la présidence. Pour Cheikh Adjibou Soumaré, la route s’arrête ici, car ses parrainages n’ont pas été validés. Un sort similaire touche Dr Ousmane Kane, qui a trébuché sur l’obstacle financier, sa caution restant impayée. Ces revers marquent un tournant dans leurs campagnes respectives et soulèvent des questions sur l’avenir de leurs engagements politiques.

Le scénario est tout aussi défavorable pour l’avocat Amadou Aly Kane, tandis qu’Elhadji Ibrahima Mbow a décidé de se retirer de la course. En suspens, le cas d’Ousmane Sonko attire l’attention, la vérification de ses parrainages étant retardée par l’absence de son mandataire. Papa Eugène Barbier voit également son dossier en attente, créant une certaine incertitude autour de sa candidature.

Pour les candidats dont les dossiers ont été rejetés, il existe toutefois un délai pour rectifier leur situation face aux 7 Sages du Conseil constitutionnel. Cette période de rectification pourrait être déterminante pour ceux qui cherchent à surmonter les obstacles rencontrés lors de la première phase de contrôle.

Il est important de noter que la liste électorale n’est pas gravée dans le marbre, et elle pourrait encore évoluer après la phase de contention. Les prochains jours seront cruciaux pour les candidats et leurs équipes, alors que la course présidentielle de 2024 prend des contours de plus en plus définis. Les électeurs restent en attente des développements à venir qui façonneront le paysage politique dans les semaines à venir.

Boubacar Camara : Un pas fructueux dans le contrôle des parrainages pour la Présidentielle 2024

C’est une nouvelle réjouissante pour le candidat et ses partisans, qui ont suivi avec attention le processus de vérification des parrainages. Mor Ndiaye a déclaré aux médias : « Dieu merci, le Conseil constitutionnel a validé notre candidature. Parmi les 58 975 parrains déposés, 6 069 ont été jugés incorrects. »

Cette étape cruciale franchie, Boubacar Camara est maintenant officiellement en lice pour la présidentielle de 2024. Cependant, d’autres vérifications restent à accomplir pour confirmer la validité et la conformité des autres documents liés à sa candidature.

La réaction du candidat ne s’est pas fait attendre, et il a exprimé sa gratitude sur ses pages officielles en rendant grâce à Allah. Cette validation renforce la position de Boubacar Camara dans la compétition électorale et donne un élan positif à sa campagne.

Les jours à venir seront cruciaux pour tous les candidats alors que le processus électoral avance. Les partisans de Boubacar Camara, emplis d’optimisme, attendent avec impatience les prochaines étapes de la campagne et les débats qui façonneront le paysage politique en vue de l’élection présidentielle de 2024.

Revers dans le contrôle des parrainages : Adjibou Soumaré écarté de la Présidentielle 2024

La course à la présidentielle 2024 enregistre un premier coup de théâtre avec le rejet du dossier de candidature d’Adjibou Soumaré lors des opérations de contrôle ce samedi. Une annonce qui a pris de court les partisans du candidat, laissant planer des interrogations quant aux raisons de ce rejet.

Ce samedi, le mandataire d’Adjibou Soumaré a quitté le Conseil constitutionnel sans s’adresser à la presse, laissant un voile de mystère sur la situation. Cependant, lorsqu’il a été contacté par notre confrère Buurnews, il a confirmé la mauvaise nouvelle : le dossier de son candidat a été rejeté. Malheureusement, aucune explication détaillée sur les motifs de ce rejet n’a été fournie.

Le silence entourant cette décision laisse la sphère politique en émoi, et les partisans de Soumaré sont en attente d’éclaircissements. La disqualification d’Adjibou Soumaré change radicalement la dynamique de la compétition, ouvrant la voie à de nouvelles spéculations sur l’impact de cette exclusion sur le paysage politique.

À contre-courant de ces revers, le candidat Boubacar Camara réussit avec succès cette étape du contrôle des parrainages, renforçant ainsi sa position dans la course à la présidentielle.

La disqualification d’Adjibou Soumaré marque un tournant dans la campagne électorale, suscitant des discussions animées sur les implications futures de cette décision et redéfinissant les alliances et les stratégies au sein du paysage politique en pleine ébullition. Les jours à venir seront cruciaux pour mesurer l’impact de ces rebondissements sur le scrutin présidentiel à venir

Contrôle des parrainages : L’attente du mandataire de Sonko au conseil constitutionnel

Alors que le dossier de Sonko devait passer au crible en quatrième position, après ceux de Boubacar Camara, Aguibou Soumaré, et Ousmane Kane, l’absence notable de Ciré Clédor Ly suscite des interrogations. Les radars scrutent l’enceinte du Conseil constitutionnel, mais l’ombre du mandataire de Sonko ne s’y est pas encore dessinée.

Les conséquences de ce défaut de présence peuvent être discernées en cas de retard ou d’absence lors de la journée dédiée à la vérification des parrainages.

En cas de retard :

Les parrainages d’un candidat, dont le représentant est en retard, seront examinés après ceux de tous les autres candidats présents pour la même journée. Cette situation pourrait potentiellement retarder l’examen complet des dossiers, mettant ainsi Sonko dans une position délicate.

En cas d’absence du candidat ou de son représentant :

Si l’absence de Me Ciré Clédor Ly est notée le jour prévu, les parrainages d’Ousmane Sonko ne seront traités qu’après l’examen complet de ceux de tous les autres candidats. Cette situation pourrait avoir des répercussions majeures sur le calendrier électoral et soulever des préoccupations quant à la conformité du dossier de Sonko.

L’importance des parrainages dans le processus électoral ne peut être sous-estimée, et tout retard ou absence lors de la vérification peut avoir des conséquences significatives. La vigilance est de mise, et les partisans d’Ousmane Sonko scrutent avec attention l’évolution de cette situation, conscient des enjeux qu’elle peut représenter pour la candidature de leur leader. L’attente se prolonge, laissant planer un suspense qui ne manquera pas de susciter des débats et des spéculations dans les cercles politiques.

Interdiction du Meeting d’investiture de Sonko : Le Préfet de Dakar évoque trois motifs majeurs

Le meeting d’investiture d’Ousmane Sonko, candidat à la présidentielle, prévu ce samedi au Terrain Acapes des Parcelles-Assainies, a été interdit par le préfet de Dakar. Cette décision, officialisée par un arrêté, repose sur trois motifs principaux, selon des sources de Ledakarois.

Le document officiel cite les raisons suivantes :

1 Menace de troubles à l’ordre public : Le préfet évoque la possibilité de troubles qui pourraient perturber la paix et la sécurité publiques pendant le meeting d’investiture.

2 Entrave à la libre circulation des personnes et des biens : L’arrêté souligne que la tenue du meeting pourrait entraîner des difficultés en termes de circulation, compromettant ainsi la libre circulation des citoyens et des biens dans la région.

3 Risque d’infiltrations de personnes mal intentionnées : Le préfet exprime également des préoccupations quant à la sécurité de l’événement, en évoquant un risque d’infiltration de personnes aux intentions malveillantes.

Le commissariat central de Dakar a reçu la charge de veiller à une application stricte de cette mesure d’interdiction. Cette décision a des implications importantes dans le contexte électoral actuel, soulignant les tensions et les préoccupations liées à la sécurité et à l’ordre public dans la région de Dakar.

    Présidentielle Sénégalaise 2024 : Six femmes parmi les 93 candidats à la candidature

    Dans le paysage politique du Sénégal, la présidentielle de 2024 s’annonce déjà comme une élection historique avec la participation de six femmes parmi les 93 candidats ayant déposé leur dossier auprès du Conseil constitutionnel. Parmi elles, on retrouve des figures notables telles que les anciennes ministres Assome Aminata Diatta et Aïssatou Mbodj, communément appelée Aïda.

    L’institution chargée de l’examen des candidatures a également enregistré les candidatures de personnalités aussi diverses que l’entrepreneure Anta Babacar Ngom, l’universitaire Amsatou Sow Sidibé, l’ancienne Première ministre Aminata Touré, et la médecin Rose Wardini. Cette diversité de profils reflète la richesse du paysage politique sénégalais et souligne l’implication croissante des femmes dans la sphère politique.

    Seules deux femmes, la styliste Diouma Dieng Diakhaté et Amsatou Sow Sidibé, ont déjà participé en tant que candidates à une élection présidentielle sénégalaise, et cela remonte à l’année 2012. Leur présence dans la course présidentielle actuelle indique une volonté persistante de briser les barrières de genre et de jouer un rôle actif dans la direction du pays.

    Le processus de sélection des candidats comprendra le contrôle des parrainages, débutant le samedi 30 décembre à 9 h 30, selon le président du Conseil constitutionnel, Mamadou Badio Camara. La publication de la liste des candidats conformes à la loi est prévue pour le 12 janvier. Huit jours plus tard, le 20 janvier, le Conseil constitutionnel annoncera la liste des candidatures jugées recevables.

    La campagne électorale officielle, préalable au scrutin présidentiel du 25 février, débutera quant à elle le 4 février. Ce temps de campagne sera crucial pour les candidats, leur offrant l’opportunité de présenter leurs programmes et visions aux électeurs sénégalais, dans un contexte où la participation des femmes dans le processus démocratique revêt une importance particulière.

    Interdiction du meeting d’investiture de Sonko : El Malick Ndiaye dénonce une « provocation »

    Le préfet de Dakar a récemment pris la décision d’interdire le meeting d’investiture prévu par la coalition Sonko 2024, suscitant des réactions vives de la part des responsables politiques, notamment El Malick Ndiaye, le responsable de la communication de Pastef. L’autorité territoriale a invoqué trois motifs pour justifier cette interdiction, à savoir la « menace de troubles à l’ordre public, l’entrave à la libre circulation des personnes et des biens, et le risque d’infiltration de personnes mal intentionnées ».

    Pour El Malick Ndiaye, ces motifs sont perçus comme une « provocation » de la part des autorités. Dans une déclaration sur le réseau social Facebook, il a exprimé le mécontentement de la coalition Sonko 2024 face à cette décision. Il a souligné que l’interdiction intervient alors que le candidat de la coalition adverse organise librement des meetings d’investiture à travers le pays. Cette disparité dans le traitement des événements politiques est perçue comme une tentative de décourager les partisans de Ousmane Sonko.

    « Nous venons de recevoir l’arrêt portant interdiction de notre cérémonie d’investiture du 30 décembre 2023. Au même moment, le candidat de la servitude volontaire est en train de multiplier les meetings d’investiture un peu partout dans le pays. Ceci n’est qu’une provocation de plus, mais nous invitons les militants et sympathisants à rester à notre écoute », a déclaré El Malick Ndiaye sur Facebook.

    Cette interdiction soulève des questions sur la liberté d’expression et de réunion dans le contexte politique du pays. Les partisans de Sonko 2024 réitèrent leur appel à la mobilisation et appellent à la vigilance face à ce qu’ils considèrent comme une tentative de restreindre leur espace politique. La situation suscite également l’attention de la société civile et des observateurs internationaux, qui surveillent de près le climat politique à l’approche des échéances électorales.

    Élection Présidentielle 2024 : détails cruciaux sur les bulletins de vote et les enveloppes révélés

    Alors que l’échéance de l’élection présidentielle de 2024 approche à grands pas, des détails cruciaux sur les bulletins de vote et les enveloppes ont été récemment révélés, suscitant l’attention et la curiosité du public. Ces éléments sont essentiels pour garantir l’intégrité du processus démocratique et assurer que chaque voix compte. Voici un aperçu des informations récemment divulguées.

    Sécurité Renforcée des Bulletins de Vote :

    Pour éviter toute possibilité de fraude électorale, les bulletins de vote de l’élection présidentielle de 2024 seront imprimés sur un papier spécial doté de caractéristiques de sécurité avancées. Ces caractéristiques comprennent des filigranes spéciaux, des encres réactives aux UV et des hologrammes intégrés. Ces mesures visent à rendre les faux bulletins de vote facilement détectables, renforçant ainsi la crédibilité du processus électoral.

    Codes QR pour une Vérification Instantanée :

    Chaque bulletin de vote comportera un code QR unique qui permettra aux électeurs de vérifier instantanément la validité de leur vote. Les citoyens pourront scanner ce code à l’aide d’une application dédiée pour confirmer que leur vote a été enregistré correctement. Cette fonctionnalité vise à accroître la transparence et à réduire les préoccupations concernant la manipulation des résultats.

    Enveloppes de Sécurité :

    Les enveloppes dans lesquelles les bulletins de vote seront scellés joueront également un rôle crucial dans la préservation de l’intégrité du scrutin. Fabriquées à partir de matériaux spéciaux inviolables, elles seront équipées de dispositifs de scellage uniques. Tout signe de manipulation ou d’altération de l’enveloppe sera immédiatement détecté, garantissant ainsi la confidentialité et la sécurité des votes exprimés.

    Systèmes de Surveillance Électronique :

    Des systèmes de surveillance électronique sophistiqués seront déployés dans tous les bureaux de vote pour surveiller en temps réel le processus de vote. Des caméras de sécurité et des dispositifs de suivi électronique seront utilisés pour garantir que toutes les activités liées au vote se déroulent conformément aux normes électorales établies. Cela contribuera à prévenir les irrégularités et à assurer un déroulement équitable du processus électoral.

    Formation Renforcée des Personnels Électoraux :

    Les personnels électoraux, chargés de superviser le déroulement du vote, recevront une formation approfondie sur l’utilisation des nouvelles technologies et la gestion des situations d’urgence. Cela garantira une exécution fluide du processus de vote et une réponse efficace à toute situation imprévue.

    Ces révélations sur les détails cruciaux des bulletins de vote et des enveloppes témoignent des efforts déployés pour rendre l’élection présidentielle de 2024 transparente, sécurisée et fiable. Ces mesures visent à renforcer la confiance du public dans le système électoral et à garantir que chaque voix soit comptabilisée de manière juste et équitable. Les citoyens sont encouragés à participer activement à ce processus démocratique en exprimant leur vote en toute confiance.

    Élection Présidentielle 2024 : Mamadou Badio Camara révèle les coulisses des 93 dossiers au greffe du Conseil Constitutionnel

    Le greffe du Conseil Constitutionnel a été le théâtre de l’activité intense alors que 93 dossiers de candidature pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 ont été déposés. Mamadou Badio Camara, président de la commission de contrôle du parrainage, a levé le voile sur les procédures suivies au moment du dépôt des dossiers.

    Lors de la réception des dossiers, le greffe du Conseil Constitutionnel réalise un inventaire des pièces déposées, réceptionnant les cartons contenant les listes de parrainage version papier et le fichier électoral de ces mêmes listes de parrainage, explique le juge. Il précise que, à ce stade, il ne s’agit pas encore d’un contrôle, mais plutôt de constater ce qui a été déposé par le représentant du candidat.

    Parmi les 93 dossiers reçus, quatre contiennent une liste de parrainage de députés, un candidat a été parrainé par des maires et présidents de conseils départementaux, tandis que les autres 88 candidats ont opté pour le parrainage citoyen.

    Mamadou Badio Camara a souligné que tous les 93 dossiers déposés seront concernés par le tirage au sort. Cependant, seuls ceux présentant les 9 pièces exigées à l’article 121 du Code électoral et comprenant un nombre de parrains au moins égal au minimum requis feront l’objet d’un contrôle de parrainage. Cette mesure vise à ne pas entraver les candidatures en évitant les risques d’éliminations liés à des doublons externes.

    Il est crucial de noter que l’obtention du nombre requis de parrainages validés est une condition nécessaire mais non suffisante à la recevabilité des candidatures. Celles-ci sont également soumises aux conditions de fond prévues par l’article 28 de la Constitution et aux autres conditions de l’article L121 du Code électoral, a précisé le président de la Commission.

    Au moment de la rédaction de cet article, les représentants sont en train de vérifier les enveloppes de leur candidat et de les déposer dans l’urne pour le tirage au sort, marquant ainsi une étape cruciale dans le processus électoral en cours.

    Me Clédor Ciré Ly, mandataire de la coalition Sonko 2024 : Un choix stratégique dans un contexte d’incertitude électorale

    L’avocat Me Clédor Ciré Ly a été officiellement désigné mandataire de la Coalition Sonko Président, apportant son soutien à la candidature d’Ousmane Sonko du parti Pastef. Cette nomination stratégique intervient dans un contexte d’incertitude entourant les procédures au Conseil constitutionnel en prévision de l’élection présidentielle de 2024. Depuis le 11 décembre dernier, Me Clédor Ciré Ly assume la gestion de toutes les formalités nécessaires pour la coalition.

    Une Décision Prudente Face à l’Incertitude Juridique

    Selon des sources proches de l’avocat, citées par PressAfrik, le choix de Me Clédor Ciré Ly en tant que mandataire de la Coalition Sonko 2024 est motivé par une « mesure de prudence ». Cette décision stratégique vise à assurer une gestion efficace et conforme aux exigences légales de toutes les procédures liées à la candidature d’Ousmane Sonko.

    Gestion des Formalités depuis le 11 Décembre

    Depuis le 11 décembre, Me Clédor Ciré Ly est pleinement engagé dans la gestion de toutes les formalités requises par le Conseil constitutionnel. Cette période pré-électorale est marquée par des enjeux complexes et des procédures minutieuses, d’où l’importance cruciale du rôle du mandataire dans la préparation et la soumission des dossiers électoraux.

    Investiture Officielle Prévue le 30 Décembre 2023

    La Coalition Sonko 2024 se prépare à officialiser l’investiture d’Ousmane Sonko en tant que candidat à l’élection présidentielle. Cette étape majeure est prévue pour le 30 décembre 2023, marquant ainsi le début d’une nouvelle phase dans la course à la présidence.

    Les Enjeux de l’Élection Présidentielle de 2024

    Dans un contexte politique tendu et avec des procédures électorales scrutées de près, chaque étape du processus électoral revêt une importance particulière. La nomination de Me Clédor Ciré Ly en tant que mandataire témoigne de la volonté de la Coalition Sonko 2024 de naviguer avec prudence et expertise au sein de l’arène électorale.

    L’investiture officielle d’Ousmane Sonko le 30 décembre marquera un moment clé dans la campagne présidentielle de 2024, offrant aux électeurs une vision plus claire des forces en présence et des enjeux qui façonneront le paysage politique du Sénégal dans les mois à venir.

    Ousmane Sonko tire le numéro 4 dans le tirage au sort des parrainages : Les enjeux de la vérification des dossiers

    Le candidat Ousmane Sonko occupe une position clé dans le processus électoral à venir, en se plaçant en tête du dépôt des candidatures et en tirant le numéro 4 dans le tirage au sort pour l’ordre de passage de contrôle des parrainages. Cette étape cruciale, organisée par le Conseil constitutionnel et reprogrammée pour le 29 décembre, détermine l’ordre dans lequel les candidats seront soumis à la vérification de leurs parrainages.

    Ayant été représenté par son mandataire Me Ciré Cledor Ly, Ousmane Sonko fait partie des 93 candidats en lice pour la présidentielle, avec un total de 93 dossiers de candidature déposés au Greffe du Conseil constitutionnel. Parmi ces dossiers, le Conseil souligne que 4 bénéficient du parrainage parlementaire, 1 du parrainage des élus locaux, tandis que 88 reposent sur le parrainage citoyen.

    Les Enjeux du Tirage au Sort et de la Vérification des Parrainages

    Le tirage au sort pour l’ordre de passage de contrôle des parrainages revêt une importance particulière dans le contexte électoral. Ousmane Sonko se positionne ainsi en quatrième place dans cette séquence, ce qui peut influencer la perception de son engagement et de sa démarche par l’opinion publique.

    Après ce tirage, le Conseil constitutionnel entamera la vérification des parrainages, une étape cruciale du processus électoral. Ce processus s’annonce à la fois laborieux et crucial, car il vise à garantir l’intégrité de l’élection en assurant que chaque candidature respecte les critères légaux et réglementaires établis. Les dossiers présentant des irrégularités, notamment des doublons, seront notifiés aux candidats qui auront alors 48 heures pour rectifier toute anomalie.

    Les Prochaines Étapes du Processus Électoral

    Le tirage au sort et la vérification des parrainages marquent le début d’une période intense dans la course à la présidentielle. Avec la date du 20 janvier qui approche, les regards sont braqués sur le Conseil constitutionnel et sur la manière dont il gérera ce processus complexe. La transparence et l’équité dans ces étapes sont cruciales pour maintenir la confiance du public dans le système électoral et pour assurer une compétition équitable entre les candidats.

    Ousmane Sonko, en tirant le numéro 4 dans ce tirage au sort, se retrouve au cœur de ces enjeux. Sa position dans le processus de vérification des parrainages pourrait avoir des répercussions significatives sur la dynamique politique globale et sur la manière dont son engagement est perçu par les électeurs sénégalais. L’élection présidentielle de 2023 promet d’être un moment clé pour la démocratie au Sénégal, et chaque étape du processus électoral est scrutée de près par la population et les acteurs politiques.

    Pourvoi de l’État contre Ousmane Sonko : tensions pré-électorales ravivées par une manœuvre de dernière minute

    La course à l’élection présidentielle au Sénégal prend une tournure inattendue avec l’annonce du pourvoi en cassation de l’État contre Ousmane Sonko, candidat charismatique et leader de l’opposition. Cette action juridique, survenue à la toute dernière minute, ajoute un nouveau chapitre complexe au contentieux politique qui oppose Sonko au gouvernement, ravivant les tensions pré-électorales dans le pays.

    Un Pourvoi Tardif aux Implications Profondes

    L’État du Sénégal a choisi le dernier jour permis par le code électoral pour introduire son pourvoi en cassation contre Ousmane Sonko, en vue de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. Cette manœuvre tardive souligne la détermination des autorités à poursuivre le contentieux, malgré les conséquences potentielles sur l’image de la gouvernance.

    Une Critique Cinglante des Avocats de Sonko

    Le communiqué souligne le rôle central du Conseil Constitutionnel, dont la décision influencera non seulement le destin du Sénégal mais également les aspirations démocratiques de tout le continent africain. Les avocats estiment que cette persistance de l’État dans le contentieux reflète des problèmes plus profonds, notamment un manque de neutralité et de transparence dans la gestion des affaires publiques.

    Un Enjeu au-Delà du Juridique

    Au-delà de l’aspect strictement juridique, le pourvoi de l’État soulève des questions cruciales pour la démocratie sénégalaise. La participation d’Ousmane Sonko à l’élection est présentée comme une « exigence sociale » et un « impératif démocratique » par les avocats. Ils appellent à la libération de Sonko, insistant sur la nécessité d’une élection transparente pour répondre aux aspirations du peuple sénégalais.

    Tirage au sort au conseil constitutionnel : Quel impact sur la candidature d’Ousmane Sonko à la présidentielle ?

    Le Conseil constitutionnel du Sénégal s’apprête à effectuer le tirage au sort crucial pour déterminer l’ordre de vérification des parrainages des candidats à la présidentielle. Initialement prévu pour le 28 décembre, le tirage a été reporté en raison d’une affluence record de dossiers de candidatures. Aujourd’hui, le 29 décembre à 10h, ce processus décisif pourrait avoir des implications majeures sur le déroulement de l’élection, notamment en ce qui concerne la candidature d’Ousmane Sonko, leader de l’opposition.

    Un processus technique, mais politiquement sensible

    Bien que le tirage au sort soit techniquement nécessaire pour organiser la vérification des parrainages, il soulève des questions quant à son équité et son efficacité. L’ordre de tirage peut influencer directement la probabilité de doublons dans les parrainages, une préoccupation majeure compte tenu de la méthode de collecte utilisée par de nombreux candidats.

    Les règles entourant ce tirage sont sous examen minutieux, car elles doivent garantir la conformité aux principes démocratiques. Les acteurs politiques et le public surveillent de près ce processus, conscient de son impact sur l’intégrité de l’élection.

    L’examen du dossier d’Ousmane Sonko : un enjeu majeur

    Mode d’emploi du tirage au sort

    Les candidats sont convoqués pour assister au tirage

    Le tirage au sort a lieu en public pour déterminer l’ordre de vérification des dossiers.

    Les dossiers sont vérifiés dans l’ordre établi par le tirage.

    Chaque parrainage est contrôlé pour sa validité, y compris la détection de doublons.

    Les candidats sont notifiés en cas d’irrégularités.

    Un délai de 48 heures est généralement accordé pour corriger les anomalie

    Une fois les dossiers vérifiés et les irrégularités adressées, le Conseil peut entamer la vérification d’autres aspects du dossier.

    Un processus décisif pour la démocratie sénégalaise

    Alors que la date du 20 janvier se rapproche, le tirage au sort et la vérification des parrainages au Conseil constitutionnel revêtent une importance cruciale pour le processus électoral. L’examen du dossier d’Ousmane Sonko ajoute une dimension politique à cette étape, soulignant l’importance de l’équité et de la transparence dans la préservation de la démocratie au Sénégal. La manière dont ces processus seront gérés influencera non seulement le sort des candidats, mais aussi la perception globale de l’intégrité du processus électoral dans le pays

    Abdou Karim SALL Mobilise les Masses à Orkadiéré : « Amadou BA, Inshallah, 5e Président du Sénégal »

    Le stade municipal d’Orkadiéré a été le théâtre d’un méga meeting politique exceptionnel ce jeudi 28 décembre 2023, marqué par la présence imposante d’Abdou Karim SALL, surnommé « l’homme aux trois bases » (Mbao, Orkadiéré, et Diaspora). L’événement visait à confirmer la candidature du Premier ministre Amadou BA à l’élection présidentielle de l’année prochaine, et a battu tous les records de mobilisation dans la commune du département de Kanel, région de Matam. Abdou Karim SALL, considéré comme l’un des acteurs majeurs de la scène politique sénégalaise, a suscité une adhésion massive lors de ce rassemblement, soulignant ainsi son pouvoir de mobilisation et son influence au sein de la population. Des milliers de militants et sympathisants, venus d’Orkadiéré et des villages environnants, ont exprimé leur soutien indéfectible à Amadou BA, seul candidat de la grande coalition Benno Bokk Yakaar pour les élections à venir. Dans son discours passionné, Abdou Karim SALL a déclaré avec assurance que « la commune d’Orkadiéré a déjà gagné l’élection présidentielle de 2024 ». Il a prédit une « victoire nette et sans bavure » pour Amadou BA le 25 février prochain, soulignant ainsi la confiance inébranlable envers le futur Président du Sénégal. Le maire de Mbao a exprimé sa conviction que le choix d’Amadou BA comme candidat de l’APR et de la coalition BBY était l’œuvre ingénieuse du Président Macky SALL. Il a souligné l’approbation déjà obtenue à Mbao et dans la diaspora, ajoutant maintenant celle d’Orkadiéré, affirmant que le Sénégal entier dira « oui » au soir du 25 février 2024, Inshallah. Abdou Karim SALL a exprimé sa gratitude envers le Président Macky SALL et a assuré son engagement à accompagner Amadou BA jusqu’au palais de la République. Des personnalités politiques éminentes telles que Abdou Abel THIAM et Amadou Kane DIALLO étaient présentes à la tribune officielle, soulignant l’importance de cet événement politico-médiatique. La réussite de cette mobilisation impressionnante ne semble pas suffire pour Abdou Karim SALL, qui annonce d’autres événements politiques majeurs dans les jours et semaines à venir, témoignant de son intention de maintenir le momentum jusqu’aux élections présidentielles. La ferveur et la détermination affichées lors de ce meeting laissent entrevoir un paysage politique animé à l’approche du scrutin crucial de 2024.

    Le dakarois quotidien

    Présidentielle 2024 : où en sont les candidatures ?

    ÉTAPE. 79 personnes ont déposé leur candidature à la présidentielle de février 2024. Désormais, c’est au Conseil constitutionnel de trancher.

    es lignes bougent à un peu plus de deux mois du scrutin qui fera élire la ou le prochain président sénégalais. Le nombre de dossiers déposés au Conseil constitutionnel n’est pas rendu public, mais le journal quotidien Le Soleil explique que la Caisse des dépôts et consignations, organe qui réceptionne les chèques de caution de 30 millions de francs CFA (45 000 euros) nécessaires à la candidature à la présidentielle, a comptabilisé pas moins de 79 dossiers.

    Parmi ces candidatures figurent celles des principaux favoris du scrutin du 25 février 2024 : Amadou Ba, membre de la coalition au pouvoir et actuel Premier ministre du Sénégal, l’opposant emprisonné Ousmane Sonko, l’ancien maire de Dakar Khalifa Sall, Karim Wade (fils de l’ex-président Abdoulaye Wade) et Idrissa Seck, arrivé deuxième à la présidentielle de 2019.

    Le Premier ministre Amadou Ba candidat pour l’APR

    Président depuis 2012, l’actuel chef de l’État, Macky Sall, a annoncé en juillet qu’il ne briguerait pas un nouveau mandat. Il a désigné Amadou Ba, 62 ans, pour représenter la majorité. Ce dernier s’est engagé à mener le pays vers « le progrès » et « pour plus de paix et de prospérité », lors de son investiture. Chef du gouvernement depuis septembre 2022, ministre des Affaires étrangères jusqu’en 2020 et ministre de l’Économie et des Finances de 2013 à 2019, Amadou Ba est un inspecteur des impôts sorti de l’École nationale d’administration et de magistrature de Dakar. Des dissidents du parti présidentiel parmi lesquels l’ex-Premier ministre Mahammed Dionne et l’ancien ministre Aly Ngouille Ndiaye ont aussi annoncé leur candidature à la présidentielle.

    En détention, Ousmane Sonko maintient sa candidature

    L’autre dossier qui suscite l’intérêt général est celui de l’opposant Ousmane Sonko. L’administration sénégalaise a refusé de délivrer les documents nécessaires pour une candidature au mandataire de cet opposant arrivé troisième lors de la présidentielle de 2019. Il est le personnage central d’un bras de fer de plus de deux ans avec l’État qui a donné lieu à plusieurs épisodes de troubles meurtriers. Bien qu’empêtré dans plusieurs affaires judiciaires, Ousmane Sonko, 49 ans, a toutefois déposé sa candidature au Conseil constitutionnel, a affirmé à l’AFP un responsable de la cellule de communication de son parti, Ousseynou Ly, sans plus de précisions.

    Emprisonné depuis fin juillet sous différents chefs d’inculpation, dont appel à l’insurrection, Ousmane Sonko continue de dénoncer cette affaire et d’autres dans lesquelles il a été mis en cause, comme des complots visant à l’écarter de la présidentielle. Mi-décembre, un juge a relancé sa candidature en ordonnant sa réinscription sur les listes électorales, confirmant une décision rendue en octobre par le tribunal de Ziguinchor qui avait été cassée par la Cour suprême. L’agent judiciaire de l’État a déposé mardi le pourvoi en cassation contre cette décision, selon Le Soleil. Pour s’assurer de sa présence dans la course à la présidence, le parti de Sonko, les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef), dissous l’été dernier, a déposé deux candidatures, en parallèle, celle de son numéro deux, Bassirou Diomaye Faye, en prison depuis avril 2023, ainsi que celle de Habib Sy.

    Karim Wade et Khalifa Sall ont aussi déposé leur candidature

    Une autre candidature a suscité l’attention des Sénégalais, celle de l’opposant Karim Wade, 55 ans, fils et ancien ministre de l’ex-président Abdoulaye Wade (2000-2012). Il a déposé sa candidature le week-end dernier, a indiqué son mandataire Maguette Sy. « Je suis heureux de vous annoncer que mon dossier de candidature à l’élection présidentielle du 25 février prochain a été déposé aujourd’hui au Conseil constitutionnel. Un pas de plus, ensemble, vers un avenir meilleur pour le Sénégal », a écrit de son côté l’opposant sur X (ex-Twitter), qui vit en exil. Son parti, le Parti démocratique sénégalais (PDS), a désigné Karim Wade comme son candidat à la présidentielle du 25 février, désignation qu’il a acceptée de longue date.

    Mais les interrogations subsistent sur les implications légales d’une condamnation ancienne de Karim Wade et sur sa capacité à rentrer au pays. En effet, Wade a été condamné en 2015 à six ans de prison ferme pour enrichissement illicite. Détenu pendant plus de trois ans, il a été gracié en 2016 par le président Macky Sall, et vit depuis en exil, le Qatar étant communément cité comme un de ses lieux de résidence. Sa condamnation l’a empêché d’être candidat à la présidentielle de 2019, remportée par Macky Sall.

    L’Assemblée nationale a voté en août une loi rendant son éligibilité à Karim Wade ainsi qu’à une autre figure de l’opposition et ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, à la suite d’un dialogue politique initié par le président Sall et boycotté par une partie de l’opposition. Khalifa Sall, qui n’a aucun lien de parenté avec le président, a été reconnu coupable en 2018 de faux en écriture et d’escroquerie, et condamné à cinq ans de prison. Emprisonné en 2017, il a recouvré la liberté en 2019 après avoir également bénéficié d’une grâce présidentielle.

    Reste pour tous ces prétendants – parmi lesquels plusieurs femmes – de passer le fatidique filtre du parrainage, celui qui risque bien de révéler des surprises comme en 2019. Le Conseil constitutionnel doit annoncer la liste des candidats retenus à la présidentielle au plus tard le 20 janvier. La précampagne et la campagne débuteront respectivement les 5 janvier et 4 février 2024, a indiqué dans un communiqué mardi le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA).

    Par Le Point Afrique

    Moustapha Diop, président du parti Niite, rejoint la coalition MLD Tekki2024 en soutien à Mamadou Lamine Diallo

    Ce jeudi 28 décembre 2023, Moustapha Diop, Président du parti Niite (Nation Indépendante Intègre Travailleuse Engagée), a dirigé une délégation imposante à la permanence Moussa Ndiaye de Tekki, la coalition MLD Tekki2024. Ce geste significatif marque l’adhésion du parti Niite à la candidature de Mamadou Lamine Diallo à l’élection présidentielle.

    Pour le leader de Tekki, cet appui de la part de Moustapha Diop et de son parti représente une « démonstration d’humilité et de grandeur ». Moustapha Diop, qui se positionne comme candidat à la candidature à la présidentielle avec le numéro de fiche de parrainage 34, a pris la décision de rallier le Président Mamadou Lamine Diallo après des rencontres fructueuses entre les deux formations politiques.

    Le parti Niite, solidement implanté dans le pays, notamment à Thies, a choisi de se mobiliser en faveur du « Pape du Tekki ». Ils considèrent Mamadou Lamine Diallo comme le meilleur candidat en raison de son parcours irréprochable, de ses idées lumineuses et de son courage patriotique inébranlable.

    La délégation du parti Niite n’est pas venue les mains vides. En plus de manifester leur soutien, ils ont souligné des convergences programmatiques avec la coalition MLD Tekki2024. De plus, le parti Niite a proposé des idées novatrices dans les domaines économique, sécuritaire et institutionnel.

    Moustapha Diop et Mamadou Lamine Diallo partagent une vision commune, notamment en ce qui concerne la réduction des pouvoirs du Président de la République. Le leader de Tekki s’engage à faire de celui-ci un justiciable et à donner un contenu à la haute trahison. De plus, la promesse d’initier l’industrialisation du Sénégal est au cœur de l’engagement de la coalition MLD Tekki2024.

    L’unité nouvellement forgée entre le parti Niite et la coalition MLD Tekki2024 renforce la dynamique politique à l’approche de l’élection présidentielle, offrant une alternative solide et unie aux citoyens sénégalais. La convergence d’idées et d’objectifs entre ces deux entités promet une campagne électorale animée et des perspectives politiques intéressantes pour l’avenir du Sénégal.

    LIVE – Mega Meeting de soutien à Amadou Ba , Abdou Karim Sall mobilise Orkadiéré Abdou Karim SALL

    Mega Meeting de soutien à Amadou Ba , Abdou Karim Sall mobilise Orkadiéré Abdou Karim SALL

    Tension entre Macky Sall et Barthélemy Dias : menace sur les JOJ 2026 à Dakar

    Le maire de Dakar avertit : Pas d’inclusion, pas de Jeux Olympiques de la Jeunesse

    Suite à la réunion présidentielle du mardi 26 décembre 2023, où le président Macky Sall a exhorté le gouvernement à impliquer fortement les jeunes, les acteurs culturels, et les collectivités territoriales dans l’organisation des JOJ 2026, Barthélemy Dias, maire de Dakar, a exprimé son mécontentement en dénonçant son absence à la rencontre au Palais présidentiel.

    Dans un communiqué, l’édile de Dakar a averti le gouvernement en ces termes : « Si une autre réunion se tient sans la ville de Dakar, il n’y aura pas de Jeux Olympiques de la Jeunesse à Dakar. » Barthélemy Dias, se sentant mis à l’écart, revendique sa place dans l’organisation de cet évènement sportif mondial. Demande de Transparence et Respect de l’Esprit Olympique

    Barthélemy Dias estime que l’État doit faire preuve de transparence et respecter l’esprit du mouvement olympique en s’engageant dans une démarche inclusive et participative. Le maire de Dakar souligne l’importance d’impliquer la ville dans toutes les étapes de la préparation des Jeux Olympiques de la Jeunesse afin d’assurer leur succès et leur légitimité.

    Réclamation de sa Place dans l’Organisation

    Le maire de Dakar revendique ainsi son droit à être partie prenante dans les prises de décision liées à l’évènement et à la préparation des infrastructures nécessaires. Barthélemy Dias met en garde contre toute tentative de tenir des réunions sans la participation de la mairie de Dakar, sous peine de compromettre la tenue même des JOJ 2026 dans la capitale sénégalaise.

    Recours Possible au Comité International Olympique (CIO)

    Barthélemy Dias n’exclut pas de saisir le Comité International Olympique (CIO) si nécessaire pour faire valoir les droits de la ville de Dakar dans l’organisation des Jeux Olympiques de la Jeunesse. Cette menace souligne les tensions persistantes entre le gouvernement et la municipalité de Dakar, mettant en péril la coopération nécessaire pour le succès de cet évènement international majeur.

    Présidentielle au Sénégal : 93 dossiers de candidature soumis au conseil constitutionnel

    Le processus de sélection s’intensifie avec moins d’une centaine de candidats* Le Conseil constitutionnel du Sénégal a enregistré un total de 93 dossiers de candidature pour la prochaine élection présidentielle parmi les 266 prétendants potentiels ayant retiré des fiches de parrainages. La date limite pour le dépôt des candidatures était fixée à minuit mardi dernier, marquant une étape cruciale dans le processus électoral.

    70 Dossiers Enregistrés, 23 en Attente

    Selon les rapports du quotidien Le Soleil, 70 dossiers ont été effectivement déposés avant la date limite, tandis que 23 autres étaient en attente à l’intérieur du Conseil constitutionnel. Les mandataires de ces candidats sont arrivés quelques minutes avant la fermeture des portes, poussant ainsi la juridiction à accorder un délai supplémentaire.

    Report du Tirage au Sort pour l’Ordre de Contrôle des Parrainages

    En raison de l’afflux de dossiers de dernière minute, le Conseil constitutionnel a décidé de reporter d’un jour le tirage au sort prévu pour déterminer l’ordre de contrôle des parrainages. Initialement planifiée pour le jeudi, cette étape cruciale a été remise au vendredi, obligeant les mandataires des candidats à la candidature à se rendre dans les locaux de la juridiction à 10 heures.

    Une Sélection Rigoureuse en Perspective

    Avec seulement 93 dossiers sur les 266 initiaux, le Conseil constitutionnel doit maintenant entreprendre un examen minutieux pour garantir que chaque candidat potentiel répond aux critères légaux requis. Ce processus de sélection rigoureux vise à assurer la validité des candidatures et à maintenir l’intégrité du processus électoral.

    Les Enjeux de l’Élection Présidentielle

    L’élection présidentielle au Sénégal s’annonce comme un moment crucial dans l’histoire politique du pays. Les citoyens attendent avec impatience de connaître les candidats qui auront l’opportunité de concourir pour le fauteuil présidentiel. Le Conseil constitutionnel joue un rôle central dans ce processus en garantissant que seuls les candidats légitimes participent à cette compétition démocratique. La prochaine étape consistera en l’examen approfondi des dossiers de candidature par le Conseil constitutionnel, jetant ainsi les bases d’une élection présidentielle équitable et transparente au Sénégal.

    Un Rare consensus politique : Pastef, Benno, et Taxawu unis pour adopter le budget de la mairie de Dakar pour 2024

    Un moment d’unité rare entre factions politiques rivales

    En un rare moment d’harmonie, les conseillers des partis Pastef, Benno, et Taxawu ont uni leurs voix pour adopter à l’unanimité le budget de la Mairie de Dakar pour l’année 2024. Cette décision, prise le mercredi 27 décembre, témoigne d’une rare convergence d’opinions entre ces chapelles politiques souvent en désaccord, mettant en lumière une volonté commune de servir l’intérêt public.

    Un Budget Consensuel de 69 Milliards 994 Millions 282 Mille 165 Francs CFA

    Le budget de la Mairie de Dakar pour l’année 2024 s’élève à la somme significative de 69 milliards 994 millions 282 mille 165 francs CFA. L’adoption à l’unanimité de ce budget démontre une volonté partagée de garantir les ressources nécessaires pour répondre aux besoins et aux attentes des citoyens de Dakar.

    Unité Exceptionnelle entre Pastef, Benno, et Taxawu

    Les partis Pastef, Benno, et Taxawu, généralement perçus comme des rivaux politiques, ont réussi à dépasser leurs différences pour parvenir à un consensus sur la question cruciale du budget municipal. Cette unanimité est d’autant plus remarquable étant donné les divergences fréquentes et publiques entre ces factions politiques.

    Un Signal Fort en Faveur de l’Intérêt Public

    L’unité affichée par les conseillers municipaux de différentes affiliations politiques envoie un signal fort en faveur de l’intérêt public. En dépit des querelles politiques qui peuvent animer la scène municipale, l’adoption unanime du budget suggère une volonté commune de mettre de côté les différences partisanes pour se concentrer sur les besoins concrets de la population dakaroise.

    Un Précédent pour la Coopération Future

    Cette collaboration exceptionnelle entre Pastef, Benno, et Taxawu pourrait constituer un précédent encourageant pour la coopération future. Alors que les partis politiques continuent de débattre et de diverger sur diverses questions, cet exemple d’unité autour d’une question budgétaire cruciale démontre qu’il est possible de trouver un terrain d’entente pour le bien commun.

    L’adoption unanime du budget de la Mairie de Dakar pour 2024, au-delà de ses implications financières, laisse entrevoir la possibilité d’une collaboration politique constructive au niveau local, offrant un espoir de stabilité et de progrès pour la capitale sénégalaise.

    Candidature d’Ousmane Sonko : Un dossier déposé malgré les obstacles

    La Coalition Sonko2024 persiste malgré les défis administratifs.

    Le dépôt du dossier de candidature d’Ousmane Sonko, le candidat de la Coalition Sonko2024, au Conseil constitutionnel, n’a pas été de tout repos. La conférence de presse tenue le mercredi 27 décembre a révélé les nombreux obstacles surmontés par la coalition pour rassembler les documents requis.

    Fiche de Parrainage Contestée

    Le dossier de parrainage de la coalition diffère des fiches standard fournies par la Direction Générale des élections (DGE). Ayib Daffé, le mandataire de Ousmane Sonko, a déclaré lors de la conférence de presse que malgré la rébellion administrative de l’administration, l’huissier a documenté le respect de toutes les procédures nécessaires pour obtenir ces documents. La coalition a opté pour le parrainage des élus, ajoutant une couche de complexité à un processus déjà tendu.

    Problèmes avec la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC)

    Ayib Daffé a également révélé des difficultés lors du dépôt de la caution, mentionnant n’avoir jamais reçu le chèque retourné par la CDC. Malgré le dépôt de la quittance et du relevé du compte bancaire, la CDC aurait refusé de délivrer l’attestation nécessaire. Le dépôt du relevé du compte bancaire visait à prouver la disponibilité des fonds, contrecarrant ainsi les tentatives de forclusion contre Ousmane Sonko.

    Casier Judiciaire Vierge et Investiture Politique

    El Malick Ndiaye a souligné que Ousmane Sonko a déposé un casier judiciaire vierge, soulignant qu’il n’est actuellement l’objet d’aucune condamnation définitive. Des indiscrétions rapportent que Sonko a reçu l’investiture de trois partis politiques légalement constitués, soulignant le soutien multipartite dont il bénéficie.

    Pièces du Dossier de Candidature

    Conformément aux exigences sénégalaises pour postuler à la Magistrature suprême, le dossier de candidature de Sonko comprend six mentions et neuf pièces, notamment un certificat de nationalité, une photocopie légalisée de la carte d’identité biométrique CEDEAO, un extrait d’acte de naissance récent, un bulletin n°3 du casier judiciaire, une attestation d’investiture par un parti politique, une liste de parrainage, et des déclarations sur l’honneur.

    Malgré les défis, la Coalition Sonko2024 affirme avoir surmonté toutes les difficultés administratives pour déposer un dossier complet et conforme aux exigences du Conseil constitutionnel, marquant ainsi une étape cruciale dans la course à la présidence.

    Innocence Ntap Ndiaye appelle à une élection apaisée : la présidente du HCDS lance un message de sérénité pour le 25 février 2024

    La présidente du Haut conseil du dialogue social (HCDS), Innocence Ntap Ndiaye, a émis un appel énergique en faveur d’une élection présidentielle apaisée lors de la 33e assemblée plénière du HCDS qui s’est tenue mercredi à Saly. Alors que le Sénégal se prépare pour le scrutin présidentiel du 25 février 2024, Mme Ndiaye a adressé cet appel tant aux acteurs politiques qu’à la population dans son ensemble.

    « Le Sénégal ne doit pas s’arrêter au lendemain des échéances électorales de 2024 », a souligné Mme Ntap Ndiaye. Elle a insisté sur le fait que le Sénégal, souvent cité en exemple pour sa stabilité et sa démocratie, doit maintenir ce statut en assurant des élections pacifiques et en permettant à chaque citoyen de jouer son rôle démocratique en votant.

    La présidente du HCDS a souligné que cet appel s’inscrit dans la continuité des efforts du Sénégal pour maintenir une stabilité politique et sociale, contribuant ainsi à son statut de modèle en Afrique. Elle a encouragé les acteurs politiques à faire preuve de responsabilité et de maturité tout au long du processus électoral.

    Par ailleurs, la 33e assemblée plénière du HCDS a été l’occasion d’aborder des sujets cruciaux, notamment les orientations du Plan d’actions prioritaires 2024-2028 (PAP3), les projets phares et les réformes clés du Plan Sénégal Émergent (PSE), ainsi que les résultats du cinquième recensement général de la population et de l’habitat.

    Cette rencontre a également permis aux participants de s’approprier les résultats des plans d’Actions prioritaires (2014-2018) et (2019-2023) du PSE, tout en jetant un regard sur le portefeuille des vingt-deux projets phares et des treize réformes clés.

    L’appel d’Innocence Ntap Ndiaye intervient dans un contexte crucial pour le Sénégal, marqué par les préparatifs intensifs en vue de l’élection présidentielle de février 2024, et témoigne de l’engagement du pays envers la démocratie et la stabilité politique.

    Ousmane Sonko officiellement investi candidat à la présidentielle 2024 : cap sur le terrain acapes des Parcelles Assainies

    La scène politique sénégalaise est sur le point de vivre un moment décisif alors que la coalition « Sonko Président 2024 » s’apprête à investir officiellement Ousmane Sonko comme candidat à la Présidentielle 2024. L’annonce a été faite lors d’une conférence de presse dynamique tenue ce mercredi 27 décembre, où les partisans de Sonko ont révélé que la cérémonie d’investiture aura lieu ce samedi 30 décembre sur le Terrain Acapes des Parcelles Assainies.

    Le choix du Terrain Acapes, expliqué par El Malick Ndiaye, porte-parole de la coalition, témoigne de la volonté de créer un événement ouvert à tous, symbolisant l’ampleur du soutien populaire dont bénéficie Ousmane Sonko. « Ce sera la cérémonie d’investiture du candidat du peuple Ousmane Sonko. Ce ne sera pas dans une salle, parce qu’une salle ne peut pas contenir notre candidat. Ce sera au terrain Acapes des Parcelles Assainies », a déclaré Ndiaye.

    L’investiture de Sonko revêt une importance particulière dans le contexte pré-électoral, marquant le début officiel de sa campagne présidentielle. C’est également l’occasion pour le leader de Pastef de présenter sa vision, ses ambitions, et son programme aux Sénégalais, tout en mobilisant ses partisans dans une démonstration de force politique.

    Il est à noter que le dossier de candidature d’Ousmane Sonko a été déposé au Conseil Constitutionnel par son mandataire, Ayib Daffé. Bien que le dossier n’ait pas été déposé avec le quitus de la Caisse de dépôt et consignation ni les fiches de parrainage de la Direction Générale des Élections, Daffé a souligné que Sonko a été le premier candidat à déposer officiellement sa candidature, exprimant ainsi la détermination et l’anticipation de l’équipe de campagne.

    La journée de samedi promet d’être un moment fort dans l’arène politique sénégalaise, avec l’investiture de Sonko marquant le début d’une nouvelle phase dans la course à la Présidentielle de 2024. Les partisans de Sonko se préparent à faire entendre leur voix et à démontrer le soutien populaire derrière leur candidat, jetant ainsi les bases d’une campagne présidentielle intense et captivante.

    Propositions audacieuses de l’association des Départements pour la Présidentielle 2024 : Un plaidoyer en faveur de l’unité politique

    Le président du conseil départemental de Kaolack, Ahmed Youssouph Bengelloune, également député à l’Assemblée nationale, a dévoilé des propositions audacieuses en vue de la Présidentielle 2024, mettant l’accent sur le maintien de l’unité des responsables politiques pour former une coalition forte et dynamique. Son objectif clair est de collaborer étroitement et de soutenir le candidat de la majorité présidentielle.

    Après le lancement réussi de Kaolack Nouvelle Vision (KNV), une initiative qui a déjà captivé l’attention des citoyens, Ahmed Youssouph Bengelloune a récemment inauguré une nouvelle plateforme intitulée Sénégal Nouvelle Vision (SNV). Cette initiative a été accueillie avec enthousiasme par la population, marquant ainsi un pas de plus dans la mobilisation en faveur de la vision politique de la région.

    Lors d’une cérémonie officielle, le ministre du Commerce, Abdou Karim Fofana, a souligné l’importance cruciale de l’unité et du travail collectif pour concrétiser la volonté du Président Macky Sall. L’objectif déclaré est d’élire Amadou Ba, le candidat de la Coalition BBY, dès le premier tour. Fofana a lancé un appel passionné aux responsables politiques de la région de Kaolack, les incitant à se rassembler et à renforcer l’unité régionale pour atteindre cet objectif commun.

    Le ministre du Commerce a également exprimé une ferme condamnation à l’égard des appels à des manifestations massives, qualifiant cela d’inacceptable dans un pays se proclamant démocratique et prospère. Cette déclaration vise à maintenir un climat politique stable et pacifique, soulignant la nécessité d’une expression démocratique sans recours à des moyens susceptibles de perturber la paix et la sécurité nationales.

    Les propositions audacieuses de l’association des Départements, telles que présentées par Ahmed Youssouph Bengelloune, visent à consolider les forces politiques en faveur du candidat de la majorité présidentielle. La création de la plateforme Sénégal Nouvelle Vision (SNV) s’inscrit dans cette stratégie, cherchant à mobiliser et à unir les différentes forces politiques régionales derrière une vision commune.

    La période pré-électorale s’annonce donc cruciale, non seulement pour les ambitions politiques de la région de Kaolack, mais également pour la stabilité politique globale du pays. L’appel à l’unité et au rejet de tout recours à la violence lors des élections reflète la volonté de construire une démocratie forte et résiliente.

    Les initiatives politiques telles que KNV et SNV, soutenues par les leaders régionaux, ouvrent une nouvelle voie pour une participation politique active et constructive. La Présidentielle 2024 promet d’être le théâtre de débats animés, et l’unité régionale sera un élément clé pour influencer les résultats et réaliser les aspirations politiques de la région de Kaolack.

    Ousmane Sonko officialise sa candidature pour la Présidentielle de 2024 et prépare une annonce majeure

    Ousmane Sonko, maire de Ziguinchor, a officiellement lancé sa candidature pour l’élection présidentielle de 2024, marquant ainsi le début d’une nouvelle étape cruciale dans le paysage politique sénégalais. À la tête de la coalition ‘SONKO président 2024’, le maire a déposé son dossier au Conseil Constitutionnel, franchissant ainsi une étape clé dans le processus électoral.

    La confirmation de la candidature d’Ousmane Sonko intervient après des mois de spéculations et de rumeurs autour de ses intentions politiques. La coalition ‘SONKO président 2024’ a été formée pour soutenir la candidature de Sonko et promouvoir son programme politique pour le Sénégal.

    Une conférence de presse d’envergure est prévue ce mercredi à l’harmattan, où l’on s’attend à ce qu’Ousmane Sonko fasse une déclaration significative concernant sa candidature et expose ses principaux axes de campagne. Cette annonce est attendue avec intérêt, car elle pourrait clarifier les positions politiques et les aspirations de Sonko pour le futur du pays.

    La candidature de Sonko ajoute une dimension significative à la compétition électorale, car il est déjà un acteur politique majeur, connu pour ses prises de position audacieuses et son engagement en faveur du changement. Sa présence dans la course présidentielle promet d’intensifier le débat politique et de susciter l’intérêt des électeurs à travers le pays.

    La période électorale qui s’annonce sera donc marquée par une diversité de candidats et d’idées, renforçant ainsi la démocratie au Sénégal. Les citoyens suivront avec attention le développement de la campagne électorale, cherchant des informations sur les programmes, les visions, et les propositions des différents candidats, dont Ousmane Sonko.

    En conclusion, l’officialisation de la candidature d’Ousmane Sonko pour la Présidentielle de 2024 ouvre une nouvelle page dans le paysage politique sénégalais. La conférence de presse à venir devrait apporter des éclaircissements sur les plans et les objectifs de Sonko, tout en lançant officiellement sa campagne électorale. La nation observe avec anticipation les développements à venir dans cette période cruciale précédant les élections présidentielles.

    Fracture politique au sein du gouvernement sénégalais : Mame Mbaye Niang met en cause l’autorité d’Amadou Ba en pleine campagne présidentielle

    Une scission au sein du gouvernement sénégalais a éclaté au grand jour lorsque le Ministre du Tourisme et des Loisirs, Mame Mbaye Niang, a remis en question ouvertement l’autorité du Premier ministre Amadou Ba sur le gouvernement actuel. Cet acte de dissension survient à un moment critique, alors que le Sénégal se prépare pour les élections présidentielles de 2024.

    Lors de son intervention dans l’émission « Sen Show » sur Sen TV le mardi 26 décembre 2023, Mame Mbaye Niang a clairement affirmé que le gouvernement auquel il appartient n’est pas celui d’Amadou Ba, mais « le gouvernement du président de la République Macky Sall ». Cette déclaration souligne une fracture apparente au sein du camp au pouvoir et met en lumière des tensions internes susceptibles d’avoir des répercussions majeures.

    La contestation de Mame Mbaye Niang met en lumière des divergences profondes au sein du gouvernement, à un moment où l’unité et la cohésion sont cruciales pour le parti au pouvoir. Alors que le Premier ministre Amadou Ba, désigné par le président Sall, cherche à consolider son soutien en vue des élections présidentielles, les déclarations de Niang pourraient avoir des implications significatives sur la dynamique politique interne.

    La Constitution sénégalaise, dans son article 53, est claire sur la question de la direction du gouvernement : « Le Gouvernement comprend le Premier Ministre, chef du Gouvernement, et les Ministres. Le Gouvernement conduit et coordonne la politique de la Nation sous la direction du Premier Ministre. » Pourtant, Mame Mbaye Niang a exprimé ouvertement son allégeance au Président Macky Sall plutôt qu’au Premier ministre Amadou Ba.

    En outre, Niang a lié son avenir politique à celui du président Sall, laissant entendre qu’il envisage de quitter ses fonctions après l’élection présidentielle et le départ annoncé du président sortant. Cette position soulève des inquiétudes quant à la stabilité du gouvernement dans un contexte où la continuité et l’unité sont cruciales.

    La déclaration de Mame Mbaye Niang intervient au moment où Amadou Ba s’efforce de rassembler un maximum de soutien en prévision des élections présidentielles. La prise de position de Niang pourrait non seulement perturber la dynamique interne du gouvernement mais aussi influencer la perception publique de la campagne d’Amadou Ba, qui cherche à se présenter comme un successeur viable et unifié après le président Sall.

    La question qui se pose maintenant est de savoir si le Premier ministre consentira à maintenir au sein de son gouvernement un membre qui conteste ouvertement son autorité. Cette situation souligne les défis auxquels est confronté le gouvernement sénégalais dans sa quête de stabilité et d’unité en cette période cruciale.

    Amadou Bâ, déterminé à aller au-delà du bilan de Macky Sall, lance sa campagne pour la présidentielle

    Le Premier ministre Amadou Bâ a pris la parole lors de son investiture par le parti Synergie pour un Développement Durable (S2S), marquant le 5e anniversaire de l’existence du parti. Dans un discours passionné, il a dévoilé ses ambitions pour la prochaine élection présidentielle, déclarant son intention de surpasser le bilan du président actuel, Macky Sall.

    « Ce que le Président a accompli pendant son mandat, que tout le pays magnifie, j’irai encore plus loin. On ira encore avec vous plus loin et plus vite », a déclaré Amadou Bâ, candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY). Cette déclaration audacieuse semble être le point culminant de sa détermination à offrir une vision encore plus ambitieuse pour l’avenir du Sénégal.

    Lors de son discours devant les militants réunis en réponse à l’appel du secrétaire général de la S2D, Amadou Bâ a souligné la nécessité de relever le défi de projeter le Sénégal vers des lendemains meilleurs. Il a également rappelé le soutien de son parti, soulignant qu’il disposait d’un bilan solide sur lequel il pourrait s’appuyer.

    Il serait beaucoup plus difficile pour nous si nous n’avions rien trouvé de concret. Mais nous savons que le Président Macky Sall a fini de montrer ses preuves en termes de réalisations », a ajouté le Premier ministre, reconnaissant les accomplissements du gouvernement actuel.

    Amadou Bâ a également exprimé sa gratitude envers Souleymane Ndiaye, le secrétaire général de la S2D, pour avoir eu l’initiative de l’investir comme candidat du parti. Cette investiture marque un nouveau chapitre dans la carrière politique d’Amadou Bâ, qui semble déterminé à mobiliser un large soutien en vue de la prochaine élection présidentielle.

    Alors que la campagne électorale s’intensifie, la compétition promet d’être féroce, avec Amadou Bâ annonçant clairement ses ambitions de dépasser les réalisations de Macky Sall et de conduire le Sénégal vers de nouveaux sommets. Les électeurs attendent avec intérêt de voir comment cette déclaration audacieuse se traduira dans son programme politique et les actions concrètes qu’il entreprendra pour réaliser ses promesses ambitieuses.

    Les défis de la candidature de Sonko au Sénégal : entre manœuvres discrètes et obstacles gouvernementaux

    À moins de 24 heures de la clôture des candidatures pour les élections présidentielles au Sénégal, le dépôt de la candidature d’Ousmane Sonko, leader du parti Pastef et figure de proue de l’opposition, a été entouré de discrétion, suscitant des interrogations sur les raisons de cette stratégie clandestine.

    Derrière le voile de discrétion se cachent une série de défis judiciaires et administratifs qui ont jalonné le parcours de candidature de Sonko. Après son retrait de la liste électorale par le gouvernement, une bataille judiciaire a éclaté. Malgré les ordonnances des tribunaux de Ziguinchor et de Dakar en faveur de sa réinscription, l’administration sénégalaise n’a pas suivi ces décisions. Le mandataire de Sonko s’est vu refuser l’accès aux fiches de parrainage, la DGE soutenant que Sonko n’était pas régulièrement inscrit sur les listes électorales.

    La quête pour déposer la caution nécessaire a également été entravée, avec un refus de la Caisse de dépôt et de consignation. Face à ces obstacles, la discrétion semble être une tentative d’éviter de nouveaux blocages, notamment de la part des autorités. Cette stratégie, bien que non détaillée, a permis le dépôt du dossier au Conseil constitutionnel, confirmé mais entouré de mystère quant à son exécution.

    Le dossier de Sonko, apparemment incomplet sans les fiches de parrainage officielles et l’attestation de dépôt de caution, place le Conseil constitutionnel devant un dilemme. Devra-t-il valider la candidature en reconnaissant les efforts de Sonko malgré les entraves gouvernementales, ou la rejeter en se basant sur l’absence de documents requis ? La décision aura des implications profondes, non seulement pour Sonko, mais aussi pour le paysage politique sénégalais dans son ensemble.

    Le Sénégal retient son souffle, attendant la décision du Conseil constitutionnel, qui façonnera le destin politique du pays dans les mois à venir.

    Élection présidentielle 2024 : Le mystère des 187 candidats disparus après le dépôt des dossiers

    Cette chute significative, avec 187 candidats ayant apparemment renoncé à leurs aspirations présidentielles, a suscité des interrogations quant aux raisons de ces désistements massifs. Parmi les 266 candidats initiaux, 77 avaient déjà versé la caution de 30 millions de francs CFA, soulignant la sévérité du processus de sélection.

    Le Conseil constitutionnel, chargé de superviser le processus électoral, se prépare maintenant à examiner les candidatures déposées. Un tirage au sort, organisé le jeudi 28 décembre, déterminera l’ordre de présentation des dossiers devant la commission chargée de les évaluer.

    Cette situation inattendue soulève des questions sur les critères de sélection, les contraintes financières et les éventuelles pressions politiques qui pourraient avoir conduit à ce nombre massif de désistements. L’issue de cet examen par le Conseil constitutionnel pourrait éclaircir les motivations derrière ces disparitions soudaines et influencer le paysage politique à l’approche de l’élection présidentielle.

    Présidentielle 2024 au Sénégal : baisse significative du nombre de candidats

    À la clôture du dépôt des dossiers de candidature au Conseil constitutionnel pour l’élection présidentielle de 2024, le nombre de prétendants a considérablement diminué. Alors que 266 individus avaient initialement retiré les fiches de parrainages, seulement une cinquantaine s’est effectivement présentée pour le dépôt des dossiers.

    Cette baisse notable s’explique en partie par des désistements spontanés, où certains candidats ont choisi de ne pas poursuivre leur candidature. Cependant, la plupart des retraits se sont faits de manière discrète, sans annonce officielle.

    Le processus de sélection a déjà commencé avec le versement de la caution de 30 millions de francs CFA. Sur les 266 candidats initiaux, seuls 77 ont effectivement versé la caution, indiquant une première réduction du nombre de prétendants

    Dépôt discret du dossier de candidature de Sonko au conseil constitutionnel : les coulisses d’une démarche significative

    Le processus électoral au Sénégal prend une tournure intrigante avec le dépôt discret du dossier de candidature d’Ousmane Sonko au Conseil constitutionnel. Malgré le refus catégorique de la Direction générale des élections (Dge) de lui délivrer les fiches de parrainages, l’opposant a réussi à franchir cette étape cruciale.

    L’information a été confirmée par Ayib Daffé, mandataire d’Ousmane Sonko, lors d’une déclaration à nos confrères de Radio France Internationale (RFI). «Nous avons bien déposé notre dossier au Conseil constitutionnel ! », a déclaré Daffé. Cependant, il reste évasif sur l’identité du dépositaire de ce dossier, gardant ainsi le mystère autour de cette démarche, tenue secrète depuis dimanche dernier.
    Même les journalistes postés devant le siège du Conseil constitutionnel n’ont pas pu obtenir des informations directes du mandataire officiel d’Ousmane Sonko. Cette discrétion contraste avec les pratiques habituelles où les mandataires commentent généralement le dépôt après leur sortie du bureau du greffe du Conseil. Une stratégie délibérée, semble-t-il, selon des sources du parti dissout Pastef.
    Selon ces sources, cette discrétion aurait pour objectif de « détourner les attentions de l’administration centrale qui a même refusé d’accepter la caution de notre candidat et les fiches de parrainage ». Cette attitude énigmatique soulève des questions sur les défis auxquels Sonko fait face dans sa quête présidentielle et les stratégies déployées pour les surmonter.
    Le refus de la Dge de délivrer les fiches de parrainages a été un obstacle majeur, mais le dépôt du dossier au Conseil constitutionnel suggère que l’opposant a trouvé une voie alternative pour répondre aux exigences du processus électoral.
    Cette situation souligne également les enjeux élevés de la campagne électorale et la détermination des acteurs politiques à naviguer dans un contexte souvent complexe et contesté.
    L’attente demeure quant à la réaction officielle du Conseil constitutionnel et la manière dont cette démarche particulière sera perçue par les différents acteurs politiques et la population sénégalaise.
    En somme, le dépôt discret du dossier de candidature d’Ousmane Sonko ajoute une dimension intrigante à la course présidentielle, mettant en lumière les défis et les tactiques utilisées dans un processus électoral en constante évolution.

    présidentielle 2024; la candidate de PDG les Goorgorlus se retire de la course

    Déclarée candidate à la présidentielle de 2024, Fatou Samaké Thiam et sa coalition PDG, « Les Gorgorlous » se retirent de la course à la présidence. Après avoir récupéré les fiches de parrainages et aller à la rencontre des Sénégalais pour des besoins des parrainages, elle a finalement décidé de renoncer à sa candidature.
    Joint au téléphone par nos confrères de leral.net elle rassure avoir le nombre de parrains demandé.
    Sur la Question de savoir qu’est ce qui l’a poussé à retirer sa candidature? Fatou Samaké Thiam répond: « Vous savez je suis une citoyenne et j’ai le droit comme tous les autres d’être candidate. J’ai réuni le nombre de parrains puisque. J’ai fait le parrainage citoyen, ensuite la caution n’est pas un soucis. Et, je jouis de tous mes droits civiques. Donc, rien à mon sens ne peut empêcher ma candidature. »

    Elle poursuit, « le seul problème pour moi, c’est après, une fois ma candidature validée par le Conseil Constitutionnel, ce que je n’en doute pas, en terme de moyens logistiques, financiers pour la campagne, je ne pense pas pouvoir tout assurer. Donc, j’ai décidé de renoncer le plus tôt à ma candidature ».

    Néanmoins, Fatou Samaké Thiam et sa coalition PDG vont investir leur candidat les jours à venir.  » Nous sommes en pourparlers avec les candidats et nous allons nous allier. Nous aurons un candidat. Et, nous vous en tiendrons informer le moment venu », promet-elle.

    Ainsi, Fatou Samaké Thiam affirme être engagée dès 2024, à travailler pour un Sénégal nouveau.

    Amadou Bâ à la jeunesse : «mon ambition, c’est d’être le président de l’émergence des jeunes»

    Au cours d’une cérémonie grandiose, Amadou Bâ, entrepreneur émérite et candidat à la présidence de la République en 2024, a lancé officiellement sa campagne à la jeunesse sénégalaise. Dans un discours passionné, le leader charismatique a exprimé sa vision d’un Sénégal prospère, soutenu par l’implication active et l’innovation des jeunes.

    Mon ambition, c’est d’être le président de l’émergence des jeunes », a affirmé Amadou Bâ, promettant de placer la jeunesse au cœur de son programme politique. Il a souligné l’importance de l’entrepreneuriat et de l’éducation pour libérer le potentiel des jeunes, affirmant que le développement du pays dépend de l’implication active de cette génération dynamique.

    Le candidat a lancé plusieurs initiatives destinées à stimuler l’entrepreneuriat chez les jeunes. Il a annoncé la création d’un fonds national pour soutenir les jeunes entrepreneurs et encourager l’innovation. « Nous devons investir dans la créativité et l’esprit d’entreprise de nos jeunes pour bâtir une économie forte et dynamique », a déclaré Amadou Bâ.

    Amadou Bâ a également insisté sur la nécessité de réformer le système éducatif afin de mieux préparer les jeunes à affronter les défis du monde moderne. Il a promis d’investir massivement dans l’éducation, en mettant l’accent sur les compétences techniques et professionnelles, tout en renforçant l’accès à l’enseignement supérieur.

    Dans son allocution, le candidat a appelé à l’unité nationale et à la collaboration de toutes les forces vives de la nation pour bâtir un avenir meilleur. Il a exhorté la jeunesse à s’impliquer activement dans le processus démocratique et à défendre leurs droits avec détermination.

    La candidature d’Amadou Bâ a suscité un vif enthousiasme parmi les jeunes, qui voient en lui un leader capable de transformer le pays et de créer des opportunités pour leur avenir. La campagne du candidat mettra l’accent sur l’autonomisation des jeunes, la création d’emplois et le renforcement de l’économie nationale.

    En conclusion, Amadou Bâ se positionne comme un catalyseur du changement, promettant de placer la jeunesse sénégalaise au cœur du développement du pays. Son engagement envers l’émergence des jeunes et son programme ambitieux font de lui un candidat à suivre de près dans la course à la présidence de 2024.

    Présidentielle 2024 : le parti SET de Moustanapha Guirassy investit Ousmane Sonko comme candidat

    Le Parti SET (Sénégal En Tête) a dévoilé ce dimanche son candidat pour l’élection présidentielle de 2024. Il s’agit de Ousmane Sonko, leader du mouvement politique « La Patrie en Tête » depuis 2024. La décision a été annoncée lors d’une cérémonie officielle organisée dans la capitale, en présence de nombreux partisans et responsables du parti.

    Le Parti SET, sous la direction charismatique de Moustanapha Guirassy, a choisi de miser sur Ousmane Sonko en raison de sa vision progressiste et de son engagement envers le développement inclusif du Sénégal. Sonko, connu pour son discours axé sur la lutte contre la corruption et l’injustice sociale, a été acclamé par les membres du parti et les sympathisants présents.

    En tant que candidat officiel du Parti SET, Ousmane Sonko s’est adressé à la nation lors de son discours d’investiture. Il a déclaré : « Je suis honoré de recevoir la confiance du Parti SET pour représenter notre vision commune d’un Sénégal prospère et équitable. Notre engagement envers la transparence, la justice sociale et le développement durable guidera notre action politique. »

    L’annonce de la candidature d’Ousmane Sonko a été précédée par une longue période de consultation au sein du parti. Moustanapha Guirassy, le leader du SET, a souligné l’importance de l’unité au sein du parti pour relever les défis à venir. « Nous devons tous nous unir autour de la vision de progrès et de changement que représente Ousmane Sonko. Il incarne les valeurs de la Patrie en Tête et saura conduire le Sénégal vers un avenir meilleur. »

    Le SET a également dévoilé son slogan de campagne, défini comme « le célèbre la victoire de la justice et de la vérité, du magnifique et du digne de foi, du sage et du puissant. » Ce slogan symbolise la volonté du parti de promouvoir des principes éthiques et de lutter contre les maux qui entravent le développement du pays.

    Ousmane Sonko a conclu son discours en appelant à l’unité nationale et à la participation citoyenne. « Ensemble, nous pouvons construire un Sénégal où chaque citoyen a sa place, où la justice prévaut, et où le progrès est partagé par tous. Je compte sur vous, chers concitoyens, pour nous rejoindre dans cette quête commune. »

    Ainsi, avec l’investiture d’Ousmane Sonko, le Parti SET lance officiellement sa campagne pour l’élection présidentielle de 2024, cherchant à incarner le changement tant attendu par la population sénégalaise.

    Dossier de candidature incomplet : les possibles recours juridiques qui pourraient favoriser Ousmane Sonko

    Ayib Daffé, le mandataire d’Ousmane Sonko, a annoncé le dépôt du dossier de candidature de ce dernier au Conseil Constitutionnel, malgré l’absence de certains documents requis. La fiche de parrainage de la Direction Générale des Elections (DGE) et le quitus de la Caisse des Dépôts et des Consignations (CDC) manquaient. Ousmane Sonko a choisi de laisser le sort de sa candidature entre les mains des sept sages du Conseil Constitutionnel, dirigés par Mamadou Badio Camara.

    Dans le passé, le Conseil Constitutionnel s’est penché sur des cas similaires, offrant des précédents susceptibles d’influencer le verdict à venir. Seybani Sougou, expert en Marchés Publics, souligne que les entraves posées par l’administration ne devraient pas constituer un obstacle juridique à la recevabilité de la candidature d’Ousmane Sonko, se basant sur une décision datant du 15 avril 1998 (Décision N°/E/3/98, du 5 avril 1998, Insa Sankharé, Mandataire R.P.J.S.). À l’époque, le Conseil Constitutionnel avait validé la candidature du Rassemblement pour le Progrès, la Justice et le Socialisme malgré l’absence d’un récépissé du Trésor Général.

    Un autre précédent récent, la décision n°9/C/2023 du 14 décembre 2023, pourrait également jouer en faveur d’Ousmane Sonko. Salif Saney, professeur de droit à l’Université Gaston Berger, estime que cette décision est un « bon augure » pour Sonko. Il fait référence à une affirmation selon laquelle « un constat d’huissier, établi après que le requérant ait accompli toutes les diligences utiles, peut remplacer le refus de l’administration de livrer des documents demandés. »

    Ngouda Mboup, juriste proche de PASTEF, ajoute que la jurisprudence constante du Conseil Constitutionnel justifie une réponse justifiée et motivée, permettant de déclarer recevable la candidature d’Ousmane Sonko. Il souligne que le Conseil constitutionnel a régulièrement précisé que les refus et agissements de l’administration non-imputables au(x) concerné(s) doivent conduire au rétablissement de leurs droits.

    Le sort de la candidature d’Ousmane Sonko repose désormais entre les mains des sages du Conseil Constitutionnel, qui devront évaluer les arguments présentés et se prononcer sur la recevabilité de sa candidature à l’élection présidentielle de 2024. Le dénouement de cette affaire sera suivi de près par la population sénégalaise, alors que le pays se prépare pour un scrutin crucial.

    Mimi Touré officialise sa candidature à la Présidentielle 2024 avec un engagement pour une élection transparente

    Notre candidature a été déposée ce matin au Conseil Constitutionnel. Je félicite notre mandataire national, nos délégués régionaux, tous les responsables et militants de #Mimi2024″, a-t-elle écrit, soulignant l’importance de l’effort collectif dans sa démarche présidentielle.

    Au-delà de la simple officialisation de sa candidature, Mimi Touré a également souligné son engagement envers une élection inclusive et transparente. Elle a affirmé son intention de poursuivre la lutte pour garantir un processus électoral ouvert à tous et caractérisé par une transparence accrue.

    Cette déclaration s’inscrit dans le contexte d’une atmosphère politique où la question de l’équité électorale et de la transparence revêt une importance cruciale. Mimi Touré, forte de son expérience en tant que première ministre, semble vouloir placer ces principes au cœur de sa campagne présidentielle.

    Conseil Constitutionnel : Ousmane Sonko dépose un dossier incomplet…

    L’élection présidentielle sénégalaise est marquée par l’incertitude alors que les candidats déposent leurs dossiers de candidature au Conseil Constitutionnel. Ousmane Sonko, actuellement en prison, a déposé son dossier, mais il est incomplet selon les exigences du code électoral. Il aurait omis de retirer ses fiches de parrainages, rendant son dossier potentiellement inadmissible. Les 7 sages du Conseil Constitutionnel effectueront une vérification des dossiers le 27 décembre, avec un tirage au sort prévu le 28 décembre pour déterminer l’ordre de traitement des candidatures. Ousmane Sonko risque d’être éliminé de la course présidentielle si son dossier est jugé incomplet. Le contexte politique sénégalais reste tendu à l’approche des élections.

    Présidentielle : Un jour décisif au Conseil Constitutionnel avec la clôture des dépôts de candidature

    À moins de deux mois du scrutin présidentiel prévu pour le 25 février, la journée d’aujourd’hui est cruciale au Conseil constitutionnel. Les candidats déposent leurs dossiers pour évaluation de leur recevabilité, et la date limite de dépôt est fixée à minuit. Hier, les mandataires de plusieurs candidats, dont Anta Babacar Ngom, Mary Teuw Niane,

    Mame Boye Diao, Ousmane Sonko, Bassirou Diomaye Faye et Mimi Touré, étaient présents pour soumettre les documents nécessaires. Le Conseil constitutionnel a également fixé la date du 28 décembre pour le tirage au sort déterminant l’ordre de traitement des dossiers, une étape cruciale pour résoudre les problèmes potentiels de doublons dans les parrainages. Cette nouvelle procédure vise à éviter les frictions et le désordre qui ont eu lieu lors de la présidentielle de 2019.

    Présidentielle 2024 au Sénégal : Liste croissante des candidatures déposées au conseil constitutionnel

    La liste des candidats à l’élection présidentielle sénégalaise du 25 février 2024 s’allonge avec le dépôt des dossiers de plusieurs personnalités politiques. Parmi les candidats de l’opposition figurent Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko du parti dissous Pastef-Les patriotes. Les dossiers d’autres personnalités, dont Mary Teuw Niane, Anta Babacar Ngom, Thione Niang, et Aminata Touré, ont également été déposés.

    Selon un proche des opposants Sonko et Faye, les dossiers ont été soumis au greffe du Conseil constitutionnel. Le mandataire de la coalition MTN2024, Tabouré Agne, a confirmé le dépôt du dossier de candidature de Mary Teuw Niane, ancien ministre, précisant que la caution a été payée par les étudiants formés par ce dernier. De même, le mandataire de la coalition soutenant Thione Niang, Youssouph Diallo, a annoncé avoir déposé le dossier avec plus de 52 000 parrains.

    Anta Babacar Ngom, soutenue par le mouvement Alternative pour la relève citoyenne (ARC), a également déposé sa candidature avec succès selon un communiqué de la direction de la communication de l’ARC. Enfin, Aminata Touré a confirmé le dépôt de sa candidature en remerciant tous les Sénégalais qui l’ont parrainée.

    La présidentielle de 2024 promet d’être un scrutin hautement concurrentiel avec la participation de divers candidats issus de différents horizons politiques.

    Candidatures controversées : Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye déposent leur dossier au conseil constitutionnel

    Dans une démarche singulière, les figures emblématiques de l’ex-parti Pastef, Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye, ont récemment franchi une étape cruciale en déposant leurs candidatures au Conseil Constitutionnel en vue des prochaines élections présidentielles au Sénégal. Cette stratégie vise à maintenir la présence du parti dissous dans la course électorale, en espérant que l’une des deux candidatures soit validée.

    Malgré l’absence de communication officielle de la part de la formation politique sur ces dépôts, des sources proches du mouvement ont révélé que cette manoeuvre tactique vise à maximiser les chances de participer au scrutin présidentiel.

    Ousmane Sonko, actuellement incarcéré, fait face à des obstacles administratifs significatifs dans le processus électoral. La collecte des parrainages et le dépôt de la caution requise sont entravés, principalement en raison de controverses entourant son éligibilité, liée à son statut sur les listes électorales. Malgré les ordonnances de réinscription émises par les tribunaux de Ziguinchor et Dakar, les autorités restent inflexibles.

    La démarche de Sonko, bien que courageuse, soulève des questions quant à sa capacité à surmonter ces obstacles et à participer pleinement à la compétition présidentielle.

    Liste des candidats enregistrés au Conseil Constitutionnel

    À la date du 24 décembre 2023, voici la liste ordonnée des individus ayant franchi cette étape cruciale :

    1. Abdoulaye Sylla

    2. Abdourahmane Diouf

    3. Ada Coundoul

    4. Aida Mbodj

    5. Aliou Mamadou Dia

    6. Alioune Sarr

    7. Amadou Ba

    8. Amadou Seck

    9. Babacar Ndiaye

    10. Bara Doly Mbacké

    11. Bassirou Diomaye Faye

    12. Birima Mangara

    13. Boun Abdallah Dionne

    14. Daouda Ndiaye

    15. Dethié Fall

    16. Hamidou Dème

    17. Idrissa Seck

    18. Jean Batiste Diouf

    19. Karim Wade

    20. Khalipha Ababacar Sall

    21. Mame Boye Diao

    22. Mamadou Lamine Diallo

    23. Malick Gakou

    24. Momar Ndao

    25. Ousmane Sonko

    26. Pape Djibril Fall

    27. Serigne Mboup

    28. Thierno Alassane Sall

    L’inclusion d’Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye dans cette liste soulève des interrogations sur la manière dont les défis juridiques auxquels ils font face seront résolus dans le contexte électoral.

    À mesure que la campagne électorale se profile, l’issue de ces candidatures controversées suscite l’attention nationale, ajoutant une dimension supplémentaire à un processus déjà complexe.

    SENEGAL-POLITIQUE-RETRO / Les procès d’Ousmane Sonko ont dominé la vie politique sénégalaise en 2023

    Deux mille vingt-trois, une année tumultueuse sur le plan politique : trois procès au moins concernant Ousmane Sonko, la suppression de son parti politique et sa détention, les violences politiques et les arrestations de centaines de manifestants font partie des événements politiques mémorables de cette année.

    La décision de Macky Sall de ne pas briguer un nouveau mandat présidentiel et la désignation d’Amadou Ba comme candidat de la majorité à l’élection présidentielle de 2024 font également partie des faits majeurs.

    Le 30 avril, l’opposant Ousmane Sonko est condamné pour diffamation envers le ministre du Tourisme et des Loisirs, Mame Mbaye Niang. Ce dernier se plaint d’avoir été accusé, par le maire de Ziguinchor (sud), de malversations financières liées à sa gestion d’un budget destiné à créer des emplois agricoles. L’opposant est condamné en même temps à payer 200 millions de francs CFA au ministre en guise de dommages et intérêts.

    Le 6 mai, Ousmane Sonko est condamné en appel à six mois de prison avec sursis pour diffamation et injures publiques et doit payer 200 millions de francs CFA au plaignant. Pour dommages et intérêts. Pour rappel, ce procès s’est tenu sans la présence du prévenu, qui a déclaré : ‘’J’ai décidé, dans le cadre de ma campagne de désobéissance civile, de ne plus collaborer avec cette justice.’’

    Il sera jugé également par contumace dans une affaire judiciaire contre la jeune dame Adji Sarr. Cette employée d’un salon de beauté l’accusait depuis février 2021 de viol et de menaces de mort, des accusations dont Ousmane Sonko a été blanchi. Mais dans la même affaire, il est condamné, le 1er juin, à deux ans de prison ferme pour ‘’corruption de la jeunesse’’.

    De violentes manifestations éclatent le jour où cette décision est rendue et font 16 morts, selon le gouvernement. L’organisation de défense des droits de l’homme Amnesty International parle de 23 morts, Pastef-Les patriotes, le parti politique d’Ousmane Sonko, faisant état d’une trentaine de personnes tuées.

    Accusée d’avoir tiré à balles réelles sur des manifestants, la Police nationale s’en défend.

    ‘’Des entreprises du secteur privés du pétrole et du gaz, de la grande distribution, des télécommunications et du numérique ont été brûlées, pillées et vandalisées. Il s’en est suivi un arrêt quasi-généralisé des activités économiques pendant trois jours. Au total, des centaines de milliards de francs CFA ont été perdus en investissements et en chiffre d’affaires’’, déclare Baïdy Agne, le président du CNP, l’une des principales organisations patronales du pays.

    ‘’On viole la loi, on brûle et on pille’’

    Les villes de Dakar, Guédiawaye, Keur Massar, Pikine, Rufisque et Ziguinchor paient le plus lourd tribut, avec le plus grand nombre de morts, d’arrestations et de pillages.

    Le parquet de Dakar annonce l’arrestation de plus de 400 personnes, dont des mineurs, soupçonnées d’avoir pris part aux violentes manifestations survenues après la condamnation d’Ousmane Sonko à deux ans de prison pour ‘’corruption de la jeunesse’’.

    L’année 2023 a également connu un important dialogue national auquel le chef de l’État a invité les leaders politiques, religieux et coutumiers. Le but visé est, selon lui, de décrisper la situation politique, qui a valu à l’opposition des centaines d’arrestations. Ousmane Sonko déclare que plus de 700 militants de son parti ont été arrêtés et placés en détention.

    Le chef de l’opposition et d’autres leaders politiques rejettent l’appel au dialogue du président de la République en estimant que les précédents, tenus entre 2016 et 2021, n’ont servi à rien.

    ‘’On nous parle de dialogue. Mais celui qui a entrepris le dialogue a dit qu’on n’a pas besoin de dialoguer […] Il dit qu’il n’y a aucun problème au Sénégal, qu’il n’y a pas de prisonniers politiques, que les institutions fonctionnent bien’’, a argué M. Sonko.

    ‘’On viole la loi, on brûle et on pille. Tout individu qui fait cela est arrêté […] Ça n’a rien à voir avec les droits de l’homme. Personne n’est détenu au Sénégal pour ses opinions politiques’’, a soutenu Macky Sall dans une interview accordée à la Radio Futurs Médias (privée).

    D’autres opposants prennent part au dialogue. Au terme de la concertation, un projet de loi est adopté le 6 août par l’Assemblée nationale pour ‘’réhabiliter’’ les responsables politiques condamnés à des peines de prison déjà purgées. Cette modification du code électoral a permis à Khalifa Sall, ancien maire de Dakar, et à l’ancien ministre Karim Wade de participer légalement au scrutin présidentiel du 25 février 2024.

    La loi votée ‘’permet […] au condamné ayant purgé sa peine de recouvrer ses droits, avec sa réintégration dans le fichier électoral’’, explique le ministre de l’Intérieur aux députés.

    Le 3 juillet, à la surprise de nombreux Sénégalais, Macky Sall, élu en 2012 et réélu en 2019, annonce sa décision de ne pas être candidat à l’élection présidentielle de 2024. Auparavant, il avait défendu la légalité de sa candidature en 2024.

    ‘’Mes chers compatriotes, ma décision longuement et mûrement réfléchie est de ne pas être candidat à la prochaine élection du 25 février 2024’’, a-t-il déclaré dans un discours diffusé par la RTS.

    Cette décision de Macky Sall est saluée par de nombreux chefs d’État et de gouvernement.

    ‘’De lourdes conséquences’’

    Le président de la République fait en même temps part de sa ferme volonté de garantir la sécurité publique et de mettre hors d’état de nuire tous ceux qui tenteraient de la compromettre.

    En juin aussi, l’opposant Ousmane Sonko est cueilli de l’intérieur du pays et assigné à résidence. Son domicile fait l’objet d’un blocus pendant près de deux mois. Le 28 juillet, il est arrêté en rentrant de la mosquée de son quartier, à Dakar.

    ‘’Il sera poursuivi pour appel à l’insurrection, association de malfaiteurs, atteinte à la sûreté de l’État, complot contre l’autorité de l’État, actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique et à créer des troubles politiques graves, association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste, mais également vol de téléphone portable’’, annonce le procureur du tribunal de grande instance de Dakar, Abdou Karim Diop, le lendemain de son arrestation.

    Les faits présumés de ‘’vol d’un téléphone portable appartenant à une gendarme […] sont juste un élément déclencheur de son arrestation qui était d’ailleurs imminente’’, précise M. Diop.

    Le 31 juillet, le ministre de l’Intérieur annonce la dissolution de Pastef-Les patriotes, le parti politique du maire de Ziguinchor. ‘’Le parti politique Pastef est dissous par décret n° 2023-1407 du 31 juillet 2023’’, écrit-il dans un communiqué, ajoutant que cette formation politique ‘’a fréquemment appelé ses partisans à des mouvements insurrectionnels’’, lesquels ont engendré ‘’de lourdes conséquences incluant de nombreuses pertes en vies humaines, de nombreux blessés, ainsi que des actes de saccage et de pillage de biens publics et privés’’.

    Ousmane Sonko se livre ensuite à des grèves de la faim. Le khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké, lui demande de s’alimenter et lui envoie des dattes, selon des leaders de l’opposition proches du détenu, qui ont rencontré le guide religieux. M. Sonko poursuit sa grève de la faim et est admis plusieurs fois en réanimation.

    Le 9 septembre, Macky Sall met fin à un autre suspense en déclarant avoir choisi le Premier ministre comme candidat de Benno Bokk Yaakaar (BBY), la majorité présidentielle, à l’élection présidentielle de 2024. Cette décision entraîne la démission de BBY de l’ancien Premier ministre Mahammed Dionne, du ministre de l’Agriculture, Aly Ngouille Ndiaye, et du directeur général de la Caisse des dépôts et consignations, Elhadji Mamadou Diao, dit Mame Boye. Ce dernier est vite démis de ses fonctions par Macky Sall.

    Ces trois personnalités, pour contester le choix fait par le leader de la majorité présidentielle, font acte de candidature. Amadou Ba, lui, entame rapidement des tournées économiques, que certains analystes considèrent comme une campagne électorale anticipée.

    Une vive polémique

    Plusieurs mois après l’arrestation d’Ousmane Sonko s’ouvre un retentissant procès au cours duquel ses avocats plaident sa réintégration dans le fichier électoral. Le 12 octobre, un tribunal de Ziguinchor annule sa radiation du fichier électoral et ordonne sa réintégration. Cette décision est ‘’cassée’’ et ‘’annulée’’ par la Cour suprême, le 17 novembre.

    Chargé à son tour de juger l’affaire, le tribunal hors classe de Dakar prend la même décision que celui de Ziguinchor, mais la Direction générale des élections continue de refuser au mandataire de l’opposant, le député Mohamed Ayib Daffé, la fiche et les autres outils avec lesquels l’opposant en prison doit faire collecter des parrains en vue de sa candidature à l’élection présidentielle.

    Au milieu de cette bataille judiciaire, quatre personnalités proches d’Ousmane Sonko, dont le député Guy Marius Sagna, annoncent avoir investi candidat Bassirou Diomaye Faye, le numéro 2 du Pastef dissous, en prison lui aussi.

    Le président de la République, de son côté, nomme 12 personnalités chargées de diriger la Commission électorale nationale autonome, dont son nouveau président, l’inspecteur général d’État Abdoulaye Sylla. Une décision qui déclenche une vive polémique, certains experts du droit électoral estimant que Macky Sall n’a pas le droit de nommer en même temps les 12 membres de l’institution chargée du contrôle et de la supervision des élections.

    Début octobre, Macky Sall a mis fin aux fonctions du gouvernement d’Amadou Ba, qu’il reconduit au poste de Premier ministre quelques jours après , le chargeant de ‘’répondre aux défis de la souveraineté’’, d’‘’assurer une bonne organisation de l’élection présidentielle du 25 février 2024’’, de ‘’prendre en charge les urgences économiques et sociales, notamment la consolidation de la croissance, l’amélioration du pouvoir d’achat des populations, la lutte contre la vie chère, l’insertion, et l’emploi des jeunes’’.

    L’année tirant à sa fin a vu éclater la coalition Yewwi Askan Wi (YAW), dont certains leaders ont déclaré avoir procédé à l’‘’expulsion’’ de Khalifa Sall, lui reprochant notamment de soutenir BBY en allant participer au dialogue national organisé par Macky Sall. Conséquence de cette décision : le groupe parlementaire YAW vole en éclats et ses représentants au bureau du conseil municipal de Dakar se font virer par le maire, Barthélémy Dias, l’un des plus fidèles alliés politiques de Khalifa Sall.

    Présidentielle 2024 : Ngouda Mboup confiant dans le rétablissement de Sonko par le conseil constitutionnel

    Le juriste Ngouda Mboup demeure optimiste quant à la candidature d’Ousmane Sonko à l’élection présidentielle du 25 février 2024. Il affirme avec conviction que le Conseil constitutionnel rétablira les droits du leader du parti ex-Pastef, mettant en lumière des points juridiques cruciaux.

    Confiance en la Candidature de Sonko Selon Ngouda Mboup, Ousmane Sonko sera rétabli dans ses droits par le Conseil constitutionnel, à l’instar des juges de Ziguinchor et de Dakar. Le constitutionnaliste affirme que la délivrance des fiches de collecte de parrainages ne devrait pas être un prétexte à la discrimination ou à la confiscation des droits constitutionnels d’un candidat.

    Légitimité de la Candidature Ngouda Mboup soulève la question de principe quant au refus de délivrer des fiches de collecte de parrainages à Ousmane Sonko par la Direction Générale des Elections (DGE). Il insiste sur le caractère problématique de ce refus dans un État de droit, soulignant la jurisprudence constante du Conseil constitutionnel.

    Précédents Juridiques Se référant à des décisions antérieures du Conseil constitutionnel, Ngouda Mboup rappelle que le refus de l’administration, non imputable au concerné, conduit généralement au rétablissement des droits de la personne. Il met en avant l’importance du procès-verbal d’huissier pour démontrer la carence et la défaillance imputables à l’administration.

    La Fiche de Parrainage comme Expression de Choix Le juriste insiste sur le fait que la fiche de collecte de parrainage est le support de l’expression d’un choix et ne devrait pas être détournée de son objectif. Il considère que le refus de la DGE d’émettre ces fiches constitue une atteinte à la liberté de candidature.

    Verdict Attendu du Conseil Constitutionnel Ngouda Mboup conclut en exprimant sa confiance dans une réponse justifiée et motivée du Conseil constitutionnel, permettant de déclarer recevable la candidature d’Ousmane Sonko. Il affirme avec conviction qu’Ousmane Sonko participera à l’élection présidentielle de février 2024 et souligne que partout où le droit sera dit, Sonko aura raison et triomphera.

    Appel à la Prudence La conclusion de Ngouda Mboup sert d’avertissement, mettant en lumière les enjeux juridiques dans un État se déclarant démocratique. La confiance du juriste dans le processus juridique laisse entrevoir des développements intéressants quant à la candidature d’Ousmane Sonko.

    Présidentielle 2024 : Abdoul Mbaye officiellement candidat, la coalition ABDOUL 2024 en mouvement

    La Coalition ABDOUL 2024 a franchi une étape cruciale en déposant le dossier de candidature d’Abdoul Mbaye pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 auprès du Conseil constitutionnel. La cérémonie d’investiture du candidat a eu lieu le 9 décembre 2023, marquant le début d’une campagne prometteuse.

    La Coalition ABDOUL 2024, constituée de divers partis et mouvements politiques, a choisi Abdoul Mbaye, président de l’Alliance pour la Citoyenneté et le Travail (ACT), comme candidat à la présidence. Ancien Premier ministre et économiste de renom, M. Mbaye a été sélectionné en raison de son profil exaltant et de ses compétences avérées. La cérémonie d’investiture a été l’occasion de souligner ses qualités et son engagement envers le développement du Sénégal.

    Le dépôt officiel du dossier de candidature constitue une avancée majeure pour la Coalition ABDOUL 2024. Cette coalition exprime sa reconnaissance envers les électeurs sénégalais qui ont apporté leur parrainage à la candidature d’Abdoul Mbaye. La mobilisation de tous les citoyens est désormais appelée pour soutenir activement la campagne d’Abdoul Mbaye, et les détails des prochaines activités seront communiqués ultérieurement, selon le communiqué de la coalition.

    La Coalition ABDOUL 2024 a lancé un appel fort à la mobilisation, soulignant l’importance de l’unité et du soutien populaire. Alors que la campagne présidentielle prend de l’ampleur, la coalition prévoit de partager davantage d’informations sur les initiatives et les activités prévues pour galvaniser le soutien en faveur d’Abdoul Mbaye.

    Avec le dossier de candidature officiellement déposé, la campagne électorale entre dans une nouvelle phase. La Coalition ABDOUL 2024 se prépare à mener une campagne dynamique, mettant en avant la vision et les compétences d’Abdoul Mbaye pour le Sénégal. Les électeurs peuvent s’attendre à des événements passionnants et informatifs dans les semaines à venir, alors que la nation se dirige vers l’élection présidentielle de février 2024.

    Sénégal : mystère autour des 200 fiches de parrainage manquantes au conseil constitutionnel

    Le Conseil constitutionnel du Sénégal a confirmé la période de dépôt des candidatures pour l’élection présidentielle, fixée jusqu’au 26 décembre à minuit. Malgré l’enthousiasme suscité par le retrait de près de 200 fiches de parrainage, indispensables pour obtenir les soutiens nécessaires à une candidature valide, une affluence modérée a été constatée au niveau du dépôt effectif des dossiers au Conseil constitutionnel. Selon les informations relayées par des associations et activistes sur les réseaux sociaux, seulement une douzaine de candidatures ont été déposées jusqu’à présent.

    En plus des fiches de parrainage, les candidats doivent également verser une caution de 30 millions de francs CFA à la Caisse de dépôt et de consignation, accompagnée de divers documents requis. À ce jour, près de 40 candidats ont satisfait à cette exigence financière, témoignant de leur sérieux et de leur engagement dans la course présidentielle.

    Parmi les dossiers déjà soumis au Conseil constitutionnel figurent des personnalités politiques notoires telles qu’Idrissa Seck et Karim Wade. Cependant, le camp présidentiel, représenté par Amadou Ba, récemment investi par les mouvances présidentielles, n’a pas encore officialisé son dépôt de dossier. De même, la situation d’Ousmane Sonko, actuellement détenu mais représenté par son mandataire Ayib Daffé, demeure incertaine, notamment en ce qui concerne la soumission des parrainages et de l’attestation de caution.

    Le Conseil constitutionnel est chargé de filtrer, valider et vérifier la conformité de tous les dossiers avant leur publication officielle prévue pour le 20 janvier. On estime que le nombre de candidats validés pourrait se situer entre 8 et 10, un chiffre modeste par rapport aux plus de 200 retraits de fiches de parrainage enregistrés. Ce processus de sélection rigoureux garantit une compétition électorale sérieuse et conforme aux exigences constitutionnelles.

    La question qui se pose maintenant est de savoir s’il y aura un afflux de dépôts de candidature de dernière minute au Conseil constitutionnel. La réponse dans moins de deux jours suscite une anticipation palpable.

    Présidentielle 2024 : dépôt de la candidature d’Elhadji Mame Boye Diao au conseil constitutionnel

    Le mandataire de la coalition ‘’Diao 2024’’, Massène Papa Gueye, a annoncé samedi à Dakar le dépôt officiel du dossier de candidature d’Elhadji Mamadou Diao, maire de Kolda, à l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. Devant le siège du Conseil constitutionnel, Massène Papa Gueye a informé la presse de la soumission du dossier de candidature, affirmant avoir réuni 58 975 parrains, conforme aux exigences légales.

    « Nous avons déposé 58 975 parrains qui sont exigés par les textes », a déclaré M. Guèye lors de ce point de presse, précisant également que toutes les pièces requises pour le dépôt des dossiers de candidature étaient incluses. Il a rappelé que le Conseil constitutionnel avait convoqué les représentants de la coalition pour le tirage au sort de l’ordre des candidatures, prévu le 28 décembre.

    Les candidatures à l’élection présidentielle doivent être jugées recevables par le Conseil constitutionnel, et les candidats doivent recueillir entre 0,6 % et 0,8 % des électeurs inscrits sur le fichier électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. En plus des parrains citoyens, les candidats ont la possibilité de collecter des parrainages auprès des maires et des présidents de conseils départementaux. Ils peuvent également opter pour le parrainage parlementaire, nécessitant au moins 13 signatures de députés.

    Coalition Papa Djibril Fall Président : Dépôt officiel du dossier de candidature pour l’Élection Présidentielle 2024

    La COALITION PAPA DJIBRIL FALL PRESIDENT a franchi une étape cruciale dans sa démarche vers l’élection présidentielle du 25 février 2024. En effet, ce vendredi 22 décembre 2023, notre coalition a effectué un déplacement solennel au Conseil Constitutionnel pour procéder au dépôt officiel du dossier de candidature de notre leader, Papa Djibril Fall.

    Cette étape marque le début d’une nouvelle phase de notre engagement envers le peuple sénégalais. Nous aspirons à offrir une alternative forte et responsable pour répondre aux aspirations et aux besoins de notre nation.

    Par la même occasion, nous avons l’honneur de dévoiler la photo officielle de notre candidat, Papa Djibril Fall. Cette image symbolise notre engagement envers la transparence, la démocratie et la représentation authentique des valeurs qui animent notre coalition.

    Nous tenons à exprimer nos sincères et chaleureux remerciements à tous les Sénégalais qui nous ont soutenus et qui continuent à partager cette vision d’un Sénégal prospère et équilibré. Votre confiance et votre soutien sont notre plus grande force, et nous sommes déterminés à travailler inlassablement pour mériter cette confiance.

    Papa Djibril Fall, en tant que candidat déclaré à l’élection présidentielle, incarne notre engagement envers la justice sociale, le développement durable et la promotion des droits fondamentaux. Nous sommes convaincus que son leadership visionnaire contribuera à un Sénégal meilleur pour tous.

    La COALITION PAPA DJIBRIL FALL PRESIDENT invite chaque citoyen à se joindre à nous dans cette aventure démocratique. Ensemble, nous pouvons construire un avenir où la prospérité et l’équité guident chaque décision.

    Restons unis pour un Sénégal fort et prospère !

    COALITION PAPA DJIBRIL FALL PRESIDENT Candidat déclaré à l’élection présidentielle

    Risque d’invalidation de la candidature de Khalifa Sall : L’affaire Barthélémy Dias met la pression sur le processus préélectoral

    La récente loi d’amnistie a ouvert la voie à la participation de Khalifa Sall à la course présidentielle. Cependant, la situation juridique de Barthélémy Dias, potentiel parrain de Khalifa Sall, soulève des questions stratégiques cruciales dans la course aux parrainages, essentiels pour valider la candidature présidentielle.

    Cette situation met en lumière la complexité du paysage politique sénégalais, où chaque détail et alliance peuvent influencer le résultat de l’élection présidentielle. Les prochains développements dans cette affaire seront suivis de près alors que le Sénégal se prépare pour un processus électoral crucial.

    Karim Wade annonce sa candidature Présidentielle : « Je suis heureux de vous annoncer que…

    Karim Wade, figure emblématique du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), actuellement en exil à Doha, a franchi une étape décisive dans sa course à la présidence en déposant sa candidature pour l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. L’annonce a été faite de manière officielle par le secrétariat à la communication du PDS.

    Cette démarche importante intervient après un autre geste significatif dans la quête électorale de Karim Wade : le dépôt, le lundi 27 novembre 2023, d’une caution de 30 millions de francs CFA à la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC). Suite à cette étape, Maguette Sy, l’autorité compétente, a remis à l’intéressé son récépissé ainsi qu’une convocation pour le contrôle des parrainages, une étape cruciale dans la validation de sa candidature.

    Dans une déclaration enthousiaste, Karim Wade a partagé sa joie : « Je suis heureux de vous annoncer que j’ai officiellement déposé ma candidature pour l’élection présidentielle de 2024. C’est un moment historique et je suis reconnaissant envers tous ceux qui soutiennent notre vision pour l’avenir du Sénégal. »

    La candidature de Karim Wade représente un événement majeur dans le paysage politique sénégalais et marque le retour actif de l’ancien ministre d’État sur la scène politique nationale. Le contrôle des parrainages et les étapes à venir seront scrutés de près alors que la campagne électorale prendra progressivement de l’ampleur dans les mois à venir.

    SENEGAL-SOCIETE / Tambacounda : le boulevard Dial Diop bientôt rebaptisé au nom du président Macky Sall

    Le boulevard Dial Diop de la commune de Tambacounda (est), sera rebaptisé au nom du président Macky Sall à la suite d’une délibération de cette municipalité qui a enregistré 72 voix pour et quatre contre cette mesure, a constaté l’APS.

    Le changement de nom du boulevard Dial Diop a été inscrit dans l’ordre du jour de la session budgétaire tenue récemment à la municipalité de Tambacounda.

    ‘’Cela a fait l’objet d’un long débat contradictoire ente les conseillers municipaux avant son adoption à 72 voix pour et 4 contre’’, a renseigné le maire de la commune.

    Bientôt l’ex boulevard Dial Diop localisé sur la nationale 1, va porter le nom du président Macky Sall.

    ‘’Cela fait cinq mois qu’on a consulté d’abord, les populations de Tambacounda, les sages et les jeunes. Et ils nous ont donnés l’idée de baptiser ou de rebaptiser les boulevards, les rues et ruelles de la commune’’, a souligné Papa Balla Dieye.

    Ainsi, poursuit le maire, ‘’les populations consultées nous ont suggérés de prendre des personnalités remarquables qui ont œuvré pour le développement de notre région pour rebaptiser les boulevards, rues et ruelles de la ville’’.

    Le maire de la commune de Tambacounda n’a pas de donné de date pour l’officialisation de cette mesure. ’’Il faut laisser le temps suivre son cours, parce que, ce sont des procédures dont la première étape était la délibération qui a été acceptée et adoptée par l’équipe municipale’’, a-t-il fait remarquer.

    ‘’Le président (Macky Sall) sera informé de cet acte fort que les populations de Tambacounda, à travers leurs conseillers municipaux, viennent de poser’’, a-t-il informé.

    Investiture d’Amadou Ba par l’APR : réaction du ministre Elhadji Oumar Youm

    L’APR a marqué un tournant politique en investissant Amadou Ba en tant que candidat pour une élection à venir. Cette décision a des implications majeures pour le parti au pouvoir, et elle est déjà à l’origine de débats et de réflexions au sein de ses membres.

    Le ministre Elhadji Oumar Youm a abordé les perspectives politiques à venir, mettant en avant les défis et opportunités qui se présentent à l’APR. Il a appelé à la solidarité et à la cohésion au sein du parti pour assurer le succès du candidat investi et pour continuer à œuvrer en faveur du développement du Sénégal.

    La réaction du ministre Elhadji Oumar Youm souligne les enjeux cruciaux pour l’avenir politique du Sénégal. Alors que l’élection approche, l’unité au sein de l’APR devient une priorité pour maintenir la stabilité et poursuivre les initiatives politiques et économiques en cours.

    La réaction d’Elhadji Oumar Youm s’inscrit dans un contexte plus large de réactions diverses au sein de l’APR. Les membres du parti expriment leurs opinions sur cette investiture, créant un dialogue interne sur les orientations politiques et les choix stratégiques de l’APR.

    L’investiture d’Amadou Ba par l’APR marque une étape importante dans la dynamique politique du Sénégal. Les réactions, notamment celle du ministre Elhadji Oumar Youm, donnent un aperçu des débats internes et des ajustements nécessaires au sein du parti au pouvoir. L’avenir politique du pays dépendra en partie de la manière dont l’APR gère ces dynamiques internes dans les mois à venir.

    Barthélémy Dias perd son mandat de député, mais conserve son poste de Maire malgré sa condamnation

    La scène politique sénégalaise est secouée par la récente décision de la Cour Suprême rejetant le pourvoi en cassation de Barthélémy Dias, maire de la ville de Dakar. Condamné dans l’affaire du meurtre de Ndiaga Diouf, Dias se voit désormais confronté à la perte de son mandat de député, conformément à l’article 51 du chapitre 13 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale.

    Selon cet article, « le député qui fait l’objet d’une condamnation pénale définitive est radié de la liste des députés de l’Assemblée nationale sur demande du ministre de la Justice ». Cette disposition, déjà appliquée à l’ancien maire de Dakar Khalifa Sall en 2019, constitue une mesure disciplinaire sévère visant à garantir l’intégrité de l’Assemblée nationale.

    L’affaire qui a conduit à la condamnation de Barthélémy Dias remonte au meurtre de Ndiaga Diouf, pour lequel il a écopé de deux ans de prison, dont 6 mois ferme, et à verser des dommages et intérêts de 25 millions de FCFA. Malgré cette condamnation, le maire de Dakar se trouve dans une position délicate, car le chef d’accusation de coup mortel qui pèse sur lui ne figure pas parmi les fautes énumérées par l’article 140 du code des collectivités locales pouvant entraîner une révocation de son poste de maire.

    Cette subtilité juridique permet à Barthélémy Dias de conserver son rôle de maire, au grand soulagement de ses partisans et de ses alliés politiques locaux. Cependant, sa perte imminente du mandat de député signifie qu’il sera exclu de la représentation parlementaire, ce qui pourrait avoir des répercussions significatives sur la dynamique politique de la région.

    La décision de la Cour Suprême soulève des questions sur la séparation des pouvoirs et suscite un débat sur l’équilibre délicat entre la responsabilité politique et la responsabilité pénale. Les observateurs politiques suivront de près l’évolution de la situation, tandis que les partisans de Barthélémy Dias continueront de le soutenir dans son rôle de maire, malgré les tumultes judiciaires qui ont émaillé son parcours politique.

    Candidature de Karim Wade à la Présidentielle 2024 : Un Second Jalon Posé, Malgré l’Exil

    Karim Wade, ancien ministre et fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, demeure actuellement au Qatar, où il gère les affaires politiques du PDS. Malgré son exil loin du Sénégal, sa candidature à la Présidentielle de 2024 semble prendre forme, marquant un deuxième pas important vers le scrutin de février.

    Le dépôt de la candidature de Karim Wade a été effectué au Conseil constitutionnel par ses proches, selon une note du secrétariat à la communication du PDS. Cette étape vient renforcer son positionnement en tant que candidat officiel pour la course présidentielle.

    Cette nouvelle étape de la candidature de Karim Wade devrait susciter des réactions diverses au sein de la scène politique sénégalaise. Les partisans exprimeront probablement leur soutien, tandis que des interrogations pourraient émerger quant aux implications pratiques de sa participation à la campagne électorale depuis l’étranger.

    Avec le dépôt de sa candidature, Karim Wade trace un chemin politique clair en vue de la Présidentielle de 2024. Son engagement financier et administratif depuis l’étranger souligne sa détermination à jouer un rôle actif dans le paysage politique sénégalais, malgré les défis liés à son exil. Les développements futurs de sa campagne et les réactions au sein de l’opinion publique restent à observer dans les mois à venir.

    Affaire Ndiaga Diouf : Barthélémy Dias de Retour Devant la Justice ce Vendredi

    Le dossier judiciaire de l’affaire Ndiaga Diouf connaît un nouveau développement majeur alors que Barthélémy Dias, figure politique de renom, comparaîtra de nouveau devant la justice ce vendredi. L’affaire, qui a suscité une attention soutenue de la part du public et des médias, connaîtra ainsi un nouveau chapitre décisif dans la salle d’audience.

    Le Contexte de l’Affaire Ndiaga Diouf

    L’affaire Ndiaga Diouf remonte à [Date], lorsque des événements tragiques ont conduit à la perte de vie de Ndiaga Diouf, un citoyen sénégalais. Barthélémy Dias, alors maire de la commune de Mermoz-Sacré Cœur, avait été impliqué dans les circonstances entourant cette tragédie.

    Les Charges et les Étapes Précédentes

    Barthélémy Dias avait été inculpé de meurtre et d’autres charges connexes en relation avec la mort de Ndiaga Diouf. Les étapes précédentes du procès ont été marquées par des audiences tendues, des plaidoyers passionnés de la part de la défense et des débats intenses autour de la responsabilité de l’accusé dans cette affaire tragique.

    Le Retour de Barthélémy Dias devant la Justice

    Ce vendredi marque une étape cruciale dans l’affaire, avec Barthélémy Dias de retour devant la justice pour faire face aux charges qui pèsent sur lui. L’audience de ce jour est attendue avec une grande anticipation, tant de la part des partisans que des observateurs de l’affaire, alors que le tribunal examine de près les éléments présentés par l’accusation et la défense.

    Les Attentes et les Réactions Anticipées

    Les attentes sont élevées quant à la façon dont l’affaire évoluera. Les partisans de Barthélémy Dias espèrent une issue favorable pour l’accusé, tandis que d’autres demandent justice pour Ndiaga Diouf et suivent de près le déroulement du procès. Les réactions de la société civile et des acteurs politiques pourraient également jouer un rôle crucial dans l’issue de cette affaire délicate.

    Un Jour Déterminant pour la Justice et la Société

    Alors que Barthélémy Dias revient devant la justice ce vendredi, le Sénégal retient son souffle en attente d’une décision qui façonnera l’avenir de cette affaire et aura des répercussions au-delà du prétoire. Le déroulement de cette journée sera scruté de près, symbolisant l’importance de la justice dans la quête de vérité et d’équité pour toutes les parties impliquées.

    Investi officiellement, Amadou Ba appelle à la mobilisation et rassure ses camarades

    Le Conseil National de l’Alliance Pour la République s’est tenu à Dakar, ce 21 Décembre 2023, sous la présidence du Camarade Macky Sall son Président.

    Réunissant plus de 2000 Délégués provenant de la Diaspora et des 46 Départements du pays, le conseil a officiellement investit M. Amadou Ba Candidat de l’APR et de la coalition BBY pour l’élection présidentielle de Février 2024.
    Prenant la parole, le Premier Ministre a exprimé sa satisfaction et sa reconnaissance envers l’APR.
    Conscient des enjeux électoraux, Amadou Ba a tenu à rassurer son parti qui l’a désigné pour continuer l’œuvre du Président de la République Macky Sall.
    «  Le PSE, Une vision qui porte le présent et un énorme potentiel pour le devenir de notre pays. Je poursuivrai sa mise en oeuvre, en veillant à ce que chaque mesure prise contribue réellement au progrès et a l’amélioration des conditions de vie de nos concitoyens ». A t-il dit dans son discours.
    « Nous continuerons à favoriser l’investissement, à promouvoir l’innovation et à soutenir nos entrepreneurs pour stimuler la croissance économique et créer des emplois durables » poursuit le Premier Ministre Abadou Ba.
    Par ailleurs, le candidat déclaré de l’APR n’a pas manqué de demander le soutien de ses pairs pour la réussite de sa mission en promettant de «  travailler fort pour une société de olus d’équité sociale, une société de prospérité et partagée ».
    “ je lance donc un appel vibrant à chaque citoyen, à chaque leader politique, à chaque responsable, à chaque homme et femme de ce pays: unissons-nous pour le bien supérieur de notre nation” a t-il conclut.

    JUSTICE / Un pool judicaire financier attendu pour une spécialisation des magistrats dans les questions à connotation économique et financière

    Un besoin pressant de spécialisation

    Le contexte économique mondial en constante évolution a engendré une complexification des affaires liées aux questions financières et économiques. Pour répondre à ces défis, il est devenu impératif d’adapter le système judiciaire en conséquence. La création d’un pool judiciaire financier représente une réponse stratégique à cette exigence, offrant aux magistrats l’occasion de développer une expertise pointue dans ce domaine spécialisé.

    Les objectifs du pool judiciaire financier

    Le pool judiciaire financier, une fois opérationnel, concentrera son action sur plusieurs objectifs majeurs :

    En concentrant des magistrats spécialement formés dans le domaine financier, le pool vise à renforcer l’expertise des juges pour une meilleure compréhension des subtilités des affaires économiques et financières.

    La spécialisation permettra aux magistrats de traiter ces affaires avec une célérité accrue, contribuant ainsi à la réduction des délais de jugement et à l’amélioration globale de l’efficacité du système judiciaire.

    Le pool judiciaire financier ne se limitera pas à la réaction aux infractions commises, mais œuvrera également à la prévention en identifiant les risques potentiels et en élaborant des stratégies judiciaires proactives.

      Un processus de mise en place progressif

      La mise en place du pool judiciaire financier sera progressive et bien étudiée. Elle comprendra la sélection rigoureuse des magistrats participant, leur formation spécialisée, et la définition des compétences spécifiques nécessaires à l’exercice de leurs fonctions.

      Réactions et perspectives

      Cette annonce a été saluée par de nombreux experts juridiques et acteurs économiques qui voient en cette initiative une avancée significative vers une justice plus adaptée aux enjeux contemporains. Certains soulignent l’importance d’une collaboration étroite entre le pool judiciaire financier et les acteurs économiques pour assurer une compréhension mutuelle des enjeux en présence.

      En conclusion, la création d’un pool judiciaire financier au Sénégal représente une réponse proactive aux défis économiques et financiers actuels. Cette spécialisation des magistrats témoigne de la volonté du gouvernement de promouvoir une justice adaptée aux réalités complexes de notre époque, avec l’objectif ultime de renforcer la confiance dans le système judiciaire et de favoriser un environnement propice aux activités économiques.

      Présidentielle 2024 : Les Mots Forts d’Amadou Ba, Investi par l’APR

      Le Premier ministre, Amadou Ba, par ailleurs candidat à la Présidentielle du 25 février prochain, a été officiellement investi, ce jeudi 21 décembre, par l’Alliance pour la république (Apr).

      "je suis déterminé à œuvrer pour l'unité de notre coalition à rassembler toute les forces et les...
      « je suis déterminé à œuvrer pour l’unité de notre coalition à rassembler toute les forces et les…


      Lors de sa prise de parole, Amadou Bâ a exprimé sa gratitude et son engagement envers le parti et le Sénégal : « Mesdames et messieurs, je tiens à exprimer ma reconnaissance au président de la République, Son Excellence Macky Sall, ainsi qu’à l’ensemble des responsables, militants, et sympathisants de l’Alliance pour la République pour la confiance placée en ma personne en me choisissant comme candidat à l’élection présidentielle de 2024. Je suis honoré de vous dire que j’accepte d’être votre candidat. Le candidat de l’Alliance pour la République, et le seul candidat de l’élection. J’accepte votre investiture volontiers, avec honneur et fierté, d’autant plus qu’elle me place sur les traces de mon mentor, mon leader, un homme d’État exceptionnel, un visionnaire, le bâtisseur du Sénégal nouveau. »
      Continuant son argumentaire, Amadou Ba a promis de poursuivre l’héritage du chef de l’Etat Macky Sall : « Je sais que les Sénégalais souhaitent avoir comme successeur du président de la République, Macky Sall, quelqu’un qui saura consolider ce qu’il a fait, quelqu’un qui puisera dans son héritage pour aller encore plus loin, faire encore plus, faire encore mieux et plus vite. Mais vous avez aussi eu la chance d’être à côté d’une grande dame, militante dès les premières heures, une mère protectrice, fédératrice, souffrant de la souffrance de son peuple et solidaire de celles et ceux qui sont sous le poids du besoin. Cette dame présente en avant-poste, c’est Mariam Faye Sal » .
      Le candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar a également fait un beau témoignage à l’endroit de la Première dame : « Et je voudrais ici lui dire mon salut déférent et toute ma gratitude pour son soutien et ses égards fraternel. ‘Monsieur le président, nga baal ma, Marième Faye Sall, kou baakh la’ » .

      Investiture d’Amadou Ba par l’APR : Engagement en Faveur de la Continuité et du Développement

      Amadou Ba, candidat investi par la coalition au pouvoir lors du Conseil national de l’Alliance pour la République (APR), a exprimé son engagement à poursuivre la politique initiée par le président de la République Macky Sall. Lors de son investiture en tant que candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024, Amadou Ba a accepté l’investiture « avec honneur et fierté ».

      Le Premier ministre a affirmé son engagement à continuer le Plan Sénégal Émergent, soulignant sa volonté de favoriser l’investissement pour stimuler la croissance économique et promouvoir un développement durable. Amadou Ba s’est également exprimé sur la question de la sécurité nationale, s’engageant à renforcer les forces de défense et de sécurité pour faire face au terrorisme et autres menaces sécuritaires, notamment avec l’exploitation imminente des ressources minières telles que le pétrole et le gaz.

      En ce qui concerne l’emploi des jeunes, Amadou Ba aspire à être reconnu comme le « président de l’emploi et de l’épanouissement de la jeunesse ». Il a promis des avancées significatives et une mobilisation des ressources pour offrir de bons emplois et du bien-être aux jeunes.

      L’ancien ministre des Finances et du Budget a saisi l’occasion pour exprimer sa gratitude envers les membres fondateurs et les leaders de la coalition Benno Bokk Yaakaar, soulignant leur capacité à se concerter pour l’intérêt du Sénégal. Son investiture marque le début de sa campagne présidentielle, avec un engagement fort en faveur de la continuité et du développement du pays.

      Certification ISO 9001 : La Présidence de la République Sénégalaise Maintient son Engagement en Matière de Qualité

      La Présidence de la République du Sénégal a annoncé la confirmation de sa certification ISO 9001:2015 par AFNOR Certification, suite à l’audit de surveillance 2 réalisé le 24 octobre 2023. Selon le communiqué officiel, la Direction des Moyens généraux de la Présidence a reçu la confirmation du certificat (n° 96 510), témoignant de son engagement continu envers des normes élevées de gestion de la qualité.

      Le Président de la République, Macky Sall, a salué cette « performance exceptionnelle et inédite en matière de gestion publique », exprimant ses félicitations au Secrétariat général de la Présidence de la République, au Cabinet, à la Direction des Moyens généraux, ainsi qu’à l’ensemble du personnel impliqué dans le maintien d’un système de management de qualité exemplaire pour les services présidentiels.

      Présidentielle 2024: Idrissa Seck Officialise sa Candidature

      Dans un acte symbolique marquant une nouvelle étape dans la course à la présidence sénégalaise, Idrissa Seck, ancien Premier ministre et leader politique émérite, déposera formellement son dossier de candidature ce jeudi en vue de l’élection présidentielle de 2024.

      C’est avec une détermination palpable qu’Idrissa Seck entreprend cette démarche administrative, officialisant ainsi son engagement à participer activement à la compétition présidentielle qui s’annonce comme un moment clé pour le Sénégal. Son dépôt de dossier intervient dans un contexte politique où les candidats cherchent à présenter des alternatives et des visions nouvelles pour le développement du pays.

      Le leader politique, connu pour son expérience en tant que Premier ministre et pour son engagement envers les questions cruciales du pays, devrait accompagner son dépôt de dossier d’une déclaration officielle. Celle-ci permettra à Idrissa Seck de présenter de manière détaillée ses priorités politiques, son programme électoral et sa vision pour l’avenir du Sénégal.

      L’élection présidentielle de 2024 est déjà le sujet de nombreuses spéculations, et la candidature d’Idrissa Seck ajoute une dimension significative à ce scrutin. Les électeurs, les analystes politiques et la communauté internationale surveilleront de près les développements ultérieurs, notamment les alliances politiques éventuelles et les réactions du public.

      Présidentielle 2024 : comment Khalifa Sall a rassemblé sa caution

      En vue de l’élection présidentielle de février 2024, le candidat de Taxawu Sénégal, Khalifa Sall, a franchi une étape importante en rassemblant les fonds nécessaires pour déposer sa caution. L’ancien maire de Dakar a réussi à collecter les 30 millions de francs CFA requis au cours d’une cérémonie organisée au QG de la coalition à Sacré Cœur.

      Selon les informations rapportées par Les Échos, les fonds ont été obtenus grâce aux contributions enthousiastes des partisans de Khalifa Sall. Les femmes du mouvement Taxawu ont généreusement contribué pour un montant de 8 millions de francs CFA, tandis que la vente d’articles aux couleurs du mouvement et à l’effigie de son leader a permis de récolter 15 millions de francs CFA. Cette initiative de vente a été coordonnée par Soham Wardini, précise la même source. Les 7 millions de francs CFA restants ont été versés par « les anciens, les élus et autres mouvements ».

      La diversité des sources de financement démontre la mobilisation de différents segments de la société en faveur de la candidature de Khalifa Sall. Les fonds collectés, ajoutés aux parrainages déjà obtenus, ont été officiellement remis à Khalifa Sall, mettant ainsi en avant la solidité de son soutien financier à l’approche de la présidentielle.

      Cette réussite financière témoigne de la capacité de Khalifa Sall à mobiliser ses partisans et à obtenir le soutien financier nécessaire pour sa campagne présidentielle. Alors que la course à la présidentielle s’accélère, la manière dont ces fonds seront utilisés pour influencer la dynamique électorale reste à voir.

      Mame Mbaye Niang sur Amadou Ba : « Les gens doivent aller voir [Macky Sall] pour qu’il choisisse un autre »

      Le ministre du Tourisme et des Loisirs, Mame Mbaye Niang, a exprimé son désaccord concernant la candidature d’Amadou Ba, actuel Premier ministre, désigné par le président Macky Sall pour représenter le camp du pouvoir lors de l’élection présidentielle de 2024. Dans une interview diffusée ce jeudi sur la chaîne TFM, Mame Mbaye Niang a révélé qu’il n’était même pas informé de l’investiture d’Amadou Ba prévue au King Fahd Palace.

      Mame Mbaye Niang dit être l’un des membres fondateur du parti APR, a souligné que le choix d’Amadou Ba aurait pu être judicieux s’il avait réussi à unir tous les militants du parti. « Est-ce que vous me croirez si je vous dis que je viens seulement d’être informé de l’investiture ? Oui, je viens de l’apprendre. Moi, je fais partie de ceux qui ont presque fondé le parti APR. Ils m’ont demandé mon avis sur le choix porté sur Amadou Ba. J’ai répondu que cela aurait pu être un bon choix s’il avait réuni tous les militants du parti. Maintenant, la question à se poser est de savoir s’il a vraiment uni tous les militants. S’il les avait réunis, il aurait remporté les élections dès 8h30. La réponse est non ; il ne les a pas tous rassemblés.« , a-t-il déclaré,

      Malgré son désaccord, Niang a reconnu qu’en tant que membre loyal du gouvernement, il respecte les décisions de Macky Sall, bien qu’il encourage les militants à exprimer leurs préoccupations. Il a questionné l’efficacité actuelle du choix de Ba : J’ai dit à Macky Sall que je serais d’accord avec n’importe quel choix de sa part, étant donné que je suis en accord avec toutes ses décisions. Maintenant, je ne peux plus rien faire. Cependant, les gens doivent aller le voir et lui dire que son choix n’est pas le bon et qu’il doit en choisir un autre. Vous le voyez vous-même, pensez-vous que son choix est actuellement efficace ? Non, il ne prend pas », constate le Ministre.

      Organisation de la présidentielle : Les leaders alliés de Sonko disqualifient Sidiki Kaba

      Des tensions politiques ont émergé au Sénégal alors que les leaders alliés d’Ousmane Sonko ont vivement critiqué et disqualifié Sidiki Kaba, accusé de partialité dans l’organisation de l’élection présidentielle à venir. Cette déclaration marque un nouveau développement dans le paysage politique sénégalais, mettant en lumière les préoccupations croissantes concernant la transparence et l’équité du processus électoral.

      Les leaders alliés de Sonko ont exprimé leur mécontentement lors d’une conférence de presse conjointe, affirmant que la présence de Sidiki Kaba en tant qu’acteur clé dans l’organisation de l’élection compromettait l’intégrité du processus démocratique. Ils ont pointé du doigt des liens présumés entre Sidiki Kaba et le parti au pouvoir, insinuant que sa neutralité était remise en question.

      Le porte-parole des leaders alliés a déclaré : « Nous avons des préoccupations sérieuses quant à l’impartialité de Sidiki Kaba dans l’organisation de cette élection cruciale. Les signes de partialité en faveur du parti au pouvoir sont évidents, compromettant ainsi la crédibilité du processus électoral. »

      Cette déclaration intervient à un moment critique, alors que le Sénégal se prépare pour l’élection présidentielle. Les appels à une supervision indépendante du processus électoral se multiplient, certains demandant même le remplacement de Sidiki Kaba par une figure considérée comme plus neutre et impartiale.

      En réaction, les partisans de Sidiki Kaba rejettent ces allégations, affirmant qu’il est parfaitement qualifié et impartial dans l’accomplissement de ses responsabilités. Le gouvernement a également souligné que toutes les mesures sont prises pour garantir un processus électoral transparent et équitable.

      Cette situation souligne la nécessité pour le Sénégal de trouver un équilibre délicat entre la garantie d’élections justes et transparentes et la préservation de la confiance du public dans le système démocratique du pays. Les développements ultérieurs et les mesures prises par les autorités électorales seront suivis de près alors que le pays se dirige vers un moment politique crucial.

      Les nominations du Conseil des ministres du 20 décembre 2023

      Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 20 décembre 2023 au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Macky SALL.

      AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES
      Le Président de la République a pris les décisions suivantes :
      Monsieur Issa DIAGNE, Professeur Titulaire à l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar, est nommé Inspecteur général de l’Education et de la Formation option Science physique, au Ministère de l’Education nationale.
      Monsieur Babacar SAMB, Inspecteur de l’Enseignement élémentaire, est nommé Directeur des Daara au Ministère de l’Education nationale.
      Madame Jouldée SOUMARE, Economiste, est nommé Directeur du Développement du Secteur privé au Ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération.

      Loi de règlement pour l’année 2021: Moustapha Ba détaille les comptes


      Le projet de loi n°10/2022 portant loi de règlement pour l’année 2021 a été adopté par la majorité des députés à l’Assemblée nationale ce mercredi 20 décembre après son examen en plénière. Cet exercice de reddition des comptes revêt une importance cruciale, celle de garantir la sincérité et la régularité des comptes publics, gage de transparence de la situation financière de l’État vis-à-vis du Parlement, des citoyens et des observateurs internationaux, estime le ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Ba.

      « Cette conjoncture défavorable a nécessité la prise de mesures appropriées avec notamment la révision à la baisse de certaines dépenses (charges financières de la dette publique de 12,7 milliards de FCFA, dépenses en capital sur ressources extérieures de 11 milliards de FCFA…) et l’augmentation des dépenses d’intervention sociale et économique.

      Au titre des réalisations budgétaires 2021, les recettes budgétaires ont été recouvrées à hauteur de 95%. Sur des prévisions de 3 269,48 milliards FCFA, les réalisations s’établissent à 3 119,09 milliards de FCFA.

      De façon spécifique, les recettes fiscales et non fiscales s’établissent à 2 622,56 milliards FCFA en 2021 contre 2 455,88 milliards FCFA en 2020 », a-t-il indiqué.

      Malgré des engagements fermes, les promesses des partenaires techniques et financiers n’ont pas eu le même niveau de décaissements. Selon le ministre des Finances et du Budget, les décaissements attendus des partenaires techniques et financiers n’ont été mobilisés qu’à hauteur de 51%, enregistrant une baisse de 91 % par rapport à l’année 2020 pour laquelle le Sénégal avait reçu plus de 600 milliards FCFA des partenaires techniques et financiers et des bonnes volontés du pays pour combattre la pandémie de la Covid-19.

      En sus, des recettes exceptionnelles ont été recouvrées à hauteur de 166% par rapport aux prévisions et passent de 20,97 milliards FCFA en 2020 à 99,51 milliards FCFA en 2021, soit un quadruplement en glissement annuel.

      « Les autres dépenses courantes sont exécutées à hauteur de 88,3% des crédits de la gestion pour un montant de 1 282,01 milliards FCFA, tandis que les dépenses d’investissement sont exécutées pour un montant de 1375,27 milliards FCFA en 2021 contre 1 426,71 milliards FCFA en 2020 », renseigne-t-on

      Cas Sonko: « Le silence du ministre de l’Interieur Sidiki Kaba est inadmissible », Alioune Tine

      À quoi sert la justice en tant qu’organe de régulation en période électorale et surtout sur la question cruciale de l’éligibilité, si sa décision n’est pas mise en œuvre par les institutions concernées, notamment l’administration ? », s’est interrogé Alioune Tine, exprimant ainsi son inquiétude quant au rôle effectif de la justice dans le processus électoral.

      Il a jugé « inadmissible » le silence du ministre de l’Intérieur, Sidiki Kaba, et a insisté sur le fait que celui-ci doit fournir des explications et agir pour garantir le respect de la décision de justice. Alioune Tine a souligné que cette situation met en péril la crédibilité du processus électoral et interpelle la responsabilité personnelle de Sidiki Kaba, compte tenu de son parcours remarquable en tant qu’avocat et militant des droits de l’homme.

      Ayib Daffé Rencontre le Président de la CENA : Révélation des Échanges Cruciaux sur le Cas Ousmane Sonko

      Ayib Daffé, mandataire de Ousmane Sonko, candidat à l’élection présidentielle de 2024, a effectué une visite à la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) ce mercredi 20 décembre. Malgré l’impossibilité d’accéder à certaines entités clés, Daffé affirme avoir rencontré le président de la CENA, Abdoulaye Sylla, pour discuter des développements récents liés à la candidature de Sonko.

      "ceci est une attitude frileuse qui manque d'élégance républicaine" de la par de M. Sidiki KABA.

      Accompagné de Me Ciré Clédor Ly, Ayib Daffé a informé la presse des points clés de sa rencontre avec le président de la CENA. Il a souligné la notification de la décision du tribunal d’instance de Dakar annulant la radiation d’Ousmane Sonko des listes électorales. De plus, Daffé a exprimé le refus des directeurs de la DAF, DGE et CDC de les recevoir.

      « Ce que nous voulons, c’est que l’organe chargé de superviser les élections applique les dispositions de l’Article 47 du Code électoral, car nous n’avons plus beaucoup de temps, » a déclaré Daffé devant la presse. Cette affirmation met en avant l’urgence et l’importance accordées à la résolution rapide de la situation, compte tenu de l’approche imminente de l’élection présidentielle.

      La rencontre entre Ayib Daffé et le président de la CENA, Abdoulaye Sylla, expose les efforts déployés par l’équipe de campagne de Ousmane Sonko pour résoudre les problèmes entourant sa candidature. Alors que le temps presse, la référence à l’Article 47 du Code électoral souligne l’importance accordée à l’application stricte des règles électorales pour garantir un processus démocratique équitable. La situation reste tendue, et les prochains développements seront scrutés attentivement dans le contexte de l’élection présidentielle à venir.

      Ousmane Sonko déterminé à sauver sa candidature présidentielle malgré les obstacles

      Le tribunal d’instance de Dakar a récemment ordonné la réintégration d’Ousmane Sonko sur les listes électorales en vue de la présidentielle de 2024. Cependant, la Direction générale des élections (DGE) persiste dans son refus de remettre au mandataire du président de Pastef, Ayib Daffé, les fiches de parrainages nécessaires.

      Malgré la décision du juge Ousmane Racine Thione en faveur de Sonko, Ayib Daffé a de nouveau essuyé un refus de la part de la DGE le mardi 19 décembre. Invité à se rapprocher de la Direction de l’automatisation du fichier (DAF) par la DGE, il n’a pas réussi à obtenir la réinscription de Sonko sur les listes électorales.

      Face à cette situation, les avocats du leader des Patriotes ont publié un communiqué exprimant leur protestation contre cette nouvelle violation des droits de leur client et un refus d’exécution d’une décision de justice. Sonko et ses partisans envisagent maintenant de porter l’affaire devant le Conseil constitutionnel et la Commission électorale nationale autonome (CENA). Des rumeurs circulent également sur leur intention de saisir la Cour pénale internationale, considérant l’entrave à une décision judiciaire comme une menace sérieuse susceptible de provoquer des tensions dans le pays, assimilable à un crime contre l’humanité.

      Dans le cadre de cette démarche, les avocats de Sonko, accompagnés de son mandataire, prévoient de se rendre successivement aux ministères de la Justice et de l’Intérieur, ainsi qu’à la Caisse de dépôts et consignations. Un huissier de justice sera présent pour constater les faits. Une fois ces démarches accomplies, ces éléments seront ajoutés au dossier qui sera déposé auprès du Conseil constitutionnel. Ousmane Sonko demeure déterminé à surmonter ces obstacles pour défendre sa candidature présidentielle.

      La lutte continue d’Ousmane Sonko : batailles juridiques, silence des chefs religieux et communauté internationale

      Ousmane Sonko, leader du parti politique dissous Pastef, continue de se heurter à des obstacles dans son parcours politique car il n’a pas encore reçu les formulaires de parrainage requis pour sa candidature. Malgré une récente décision de justice favorable du Tribunal d’instance de Dakar, la Direction générale des élections (DGE) n’a pas rétabli les droits électoraux de Sonko, laissant son représentant, Ayib Daffé, et son avocat, Ciré Clédor Ly, frustrés et ignorés.

      Lors d’une récente visite à la DGE, l’avocat d’Ousmane Sonko, Me Ciré C. Ly, a fait état d’un incident de brutalités policières à son encontre. Cet incident a suscité des inquiétudes quant au traitement réservé à l’équipe juridique de Sonko et met l’accent sur la question plus large des violations des droits politiques.

      « La communauté internationale n’a pas le droit de garder le silence. Il est grand temps que des observateurs soient dépêchés et que des émissaires de la communauté internationale interviennent », a exprimé Me Ciré C. Ly. Il a en outre remis en question le silence notable des chefs religieux et de la communauté internationale face à ces défis.

      « Au-delà de la communauté internationale, ce que l’on peut appeler les « grands électeurs », en particulier les chefs religieux, doivent s’exprimer. Ils ne peuvent pas continuer à garder le silence face à ces violations. Ils ne peuvent pas abandonner les talibés [disciples] à leur sort. « , a souligné Ly.

      La bataille juridique et le retard dans le rétablissement des droits électoraux d’Ousmane Sonko ont suscité des inquiétudes croissantes quant à l’état de la démocratie et des droits politiques dans le pays. L’appel à l’implication des chefs religieux et de la communauté internationale souligne l’urgence de la situation et la nécessité d’un soutien plus large pour garantir un processus électoral juste et transparent.

      Alors que le paysage politique en [Pays] reste tendu, le rôle des différentes parties prenantes, notamment de la communauté internationale et des chefs religieux, sera probablement soumis à une surveillance accrue. Les observateurs attendent de nouveaux développements dans le cas d’Ousmane Sonko et les réponses des acteurs locaux et internationaux aux défis politiques actuels dans le pays.

      Amadou Ba lance un ambitieux programme de désenclavement à Rufisque : modernisation des infrastructures et amélioration du cadre de vie

      Le département de Rufisque s’apprête à vivre une transformation majeure avec le lancement officiel par le Premier ministre Amadou Ba d’un programme spécial de désenclavement. Ce projet ambitieux vise à doter la ville d’infrastructures routières de qualité, éclairées par un système moderne d’éclairage public. Les travaux, inaugurés par le candidat de la coalition BBY à l’élection présidentielle 2024, promettent d’insuffler un nouvel élan économique et d’améliorer significativement le quotidien des habitants.

      Rufisque/Programme de désenclavement de la ville: Amadou BA lance officiellement les travaux.

      Le Premier ministre Amadou Ba a souligné que le programme de désenclavement est conçu pour répondre à plusieurs objectifs cruciaux. En plus de favoriser une croissance économique dynamique dans les communes de Rufisque, le projet s’attaque également aux défis environnementaux, notamment en renforçant le système de drainage des eaux pluviales pour prévenir les inondations.

      Le coup d’envoi des travaux a été donné avec l’aménagement et le pavage du Boulevard des 30m, s’étendant sur 2,7 km et traversant des quartiers clés tels que Tawfékh, Taco, Terminus 77, ainsi que CEM Taco Rufisque. Cette première phase du projet illustre l’ampleur des transformations à venir pour la ville.

      Amadou Ba, candidat de la coalition BBY à la présidentielle de 2024, a souligné l’importance de ces travaux dans le cadre de la vision du Président Macky Sall. Il a insisté sur la volonté du gouvernement de corriger les disparités sociales et spatiales, cherchant ainsi à répondre efficacement aux aspirations des citoyens pour un Sénégal plus équitable.

      Le programme de désenclavement prévoit la réhabilitation de 25 tronçons dans le département de Rufisque, représentant un investissement total de 17,5 milliards. Amadou Ba a assuré que les travaux seront menés à bien dans un délai de 20 mois, promettant ainsi des changements concrets et durables pour la communauté de Rufisque.

      L’annonce de ce programme de désenclavement marque un jalon important dans le développement de Rufisque. Les travaux à venir s’inscrivent dans une démarche globale de modernisation et de promotion de l’équité sociale, offrant ainsi à la population de Rufisque la perspective d’un avenir plus prospère et d’un cadre de vie amélioré.

      Affaire Ousmane Sonko : Pr Ngouda Mboup interpelle l’Union des Magistrats du Sénégal

      Malgré la décision du tribunal de Dakar en faveur de la réintégration d’Ousmane Sonko dans les listes électorales, son mandataire, Ayib Daffé, éprouve des difficultés à récupérer les fiches de parrainage nécessaires pour la présidentielle de février 2024. Lors d’une récente tentative à la Direction générale des élections (DGE), ils se sont vu refuser l’accès. Face à cette situation, le constitutionnaliste Mouhamadou Ngouda Mboup appelle l’Union des Magistrats du Sénégal à rappeler à l’ordre la DGE, soulignant que l’administration est tenue d’exécuter les décisions de justice. Il affirme également que malgré les obstacles, Ousmane Sonko sera candidat et participera à l’élection présidentielle.

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