Invalidation de la candidature d’Aida Mbodji : Les parrainages non conformes selon le conseil constitutionnel

La candidature d’Aida Mbodji a été invalidée suite à l’examen de son dossier par la Commission de contrôle des parrainages. Le mandataire de la candidate a indiqué que le Conseil constitutionnel a informé que les militants qui ont parrainé Aida Mbodji ne figuraient pas dans le fichier électoral à leur disposition.

Selon le mandataire, cette non-conformité a conduit à l’élimination d’office de la candidature d’Aida Mbodji. Il a précisé que le Conseil constitutionnel a souligné l’absence des militants dans le fichier qui était à la disposition de la candidate.

Cette décision met fin à la participation d’Aida Mbodji à l’élection présidentielle de 2024, marquant une étape cruciale dans le processus de contrôle des parrainages par le Conseil constitutionnel.

Rejet de la candidature de Sonko : Contestation sur la transparence du processus électoral

Me Ciré Clédor Ly, mandataire d’Ousmane Sonko, a vivement critiqué le processus électoral après l’annonce du rejet du dossier de candidature de Sonko par le Conseil constitutionnel. Il a qualifié le processus d’une « farce électorale » caractérisée par le manque de transparence et de probité.

Selon Me Ciré Clédor Ly, le dossier de Sonko a été ouvert et exploité en l’absence du mandataire et représentant du candidat, ce qui constitue une violation flagrante de la loi. Il souligne qu’une commission de contrôle des parrainages est prévue par la loi, et cette commission doit inclure le représentant du candidat. Cependant, dans ce cas, le dossier aurait été notifié comme incomplet sans la présence du représentant de Sonko.

Le mandataire de Sonko a déclaré que lorsqu’ils sont entrés, le Président Badio Camara leur a immédiatement notifié que le dossier était incomplet. Me Ciré Clédor Ly affirme que cette procédure manque de transparence, et le rejet du dossier s’est fait sans la présence du mandataire de Sonko, en violation de la loi.

Malgré le rejet, Me Ciré Clédor Ly a assuré que Sonko suivra les recours prévus par la loi pour contester cette décision, soulignant que la souveraineté populaire s’exprimera dans ce processus.

Rejet de la candidature d’Ousmane Sonko par le conseil constitutionnel : Un dossier jugé « non complet »

L’avocat Me Clédor Ly a annoncé lors d’une prise de parole devant le Conseil constitutionnel que la candidature d’Ousmane Sonko aux élections a été rejetée. Selon Me Clédor Ly, le Conseil constitutionnel a jugé le dossier de candidature de Sonko comme « non complet ».

Des informations provenant du dossier indiquent que certains documents essentiels étaient absents, notamment une attestation devant être délivrée par la Caisse de Dépôt et de Consignation (CDC). La CDC aurait refusé de fournir cette attestation, invoquant le fait qu’Ousmane Sonko ne figurait pas sur les listes électorales. De plus, les fiches officielles de parrainage, à être fournies par la Direction Générale des Élections (DGE), manquaient également dans le dossier. La DGE aurait cité les mêmes raisons que la CDC pour ne pas délivrer ces documents.

Ousmane Sonko avait été condamné par contumace pour corruption de la jeunesse, mais il a par la suite gagné en justice pour sa réinscription sur les listes électorales. Cependant, malgré les décisions judiciaires favorables, les autorités ont refusé de le réinscrire, arguant que les ordonnances n’étaient pas définitives, nécessitant une décision de la Cour suprême.

Il est à noter qu’Ousmane Sonko a fait face à une autre affaire judiciaire, distincte de celle pour laquelle il a été condamné par contumace. Bien que cette seconde condamnation puisse potentiellement impacter son éligibilité, des incertitudes persistent quant aux actions de l’État depuis la confirmation de la Cour suprême le 5 janvier 2024.

Parrainage : La Candidature de Sonko invalide, une décision du conseil constitutionnel

Dans le cadre du strict contrôle du parrainage pour l’élection présidentielle de 2024, une nouvelle importante vient de secouer le dossier de Ousmane Sonko. Le Conseil Constitutionnel a pris la décision d’invalider sa candidature en raison d’un dossier incomplet, notamment l’absence cruciale de l’attestation de la Caisse des Dépôts et des Consignations.

La réglementation électorale impose des critères stricts pour la validation des candidatures, et l’absence de cette attestation a été identifiée comme une lacune majeure dans le dossier de Sonko. Cette décision du Conseil Constitutionnel remet en question la participation de Sonko à l’élection présidentielle de 2024, le positionnant comme le principal opposant au régime en place et une possible menace pour le candidat Amadou Ba.

Cette nouvelle développement aura des implications significatives sur le paysage politique et électoral, ouvrant la voie à des ajustements et des réactions de la part des partis politiques et des électeurs. Le processus électoral au Sénégal continue d’évoluer, et cette décision contribuera certainement à façonner le paysage politique à l’approche des élections.

Contrôle des parrainages : Amadou Ly au second tour avec 25 000 parrainages validés

Lors du contrôle des parrainages pour l’élection présidentielle de 2024, Amadou Ly, candidat et directeur général de la société Akilée, a réussi à passer au second tour. Son dossier a été validé avec près de 25 000 parrainages, mais il doit régulariser environ 19 000 parrains pour rester dans la course présidentielle.

Amadou Ly, également connu pour son implication dans la politique locale en tant que leader de son mouvement, avait obtenu la deuxième place lors des dernières élections locales à Keur Massar Sud en tant que parti politique.

Son mandataire a confirmé que malgré les efforts à fournir pour la régularisation des parrainages, Amadou Ly reste déterminé à poursuivre sa candidature à l’élection présidentielle. Cette étape souligne l’importance du contrôle des parrainages dans le processus électoral et les efforts requis par les candidats pour satisfaire aux critères définis par la réglementation électorale.

Alliance Jëf-Jël : Talla Sylla retire sa candidature présidentielle

Lors d’un congrès national extraordinaire tenu à Dakar, l’Alliance Jëf-Jël dirigée par Talla Sylla a annoncé une décision majeure concernant sa participation à l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. Selon un communiqué officiel, le parti a décidé de ne pas présenter de candidat pour cette élection présidentielle.

La décision a été motivée par « la nécessité de regrouper des forces convergentes pour refonder la République et continuer la marche vers le développement économique et social du Sénégal ». Le communiqué a également souligné « le rôle historique du président Talla Sylla et son engagement dans la consolidation de notre système démocratique ». Le parti a ainsi approuvé la décision du président de retirer sa candidature.

En accord avec ces résolutions, le congrès a élu à l’unanimité Talla Sylla en tant que président de l’Alliance Jëf Jël. Le parti lui a confié la mission de « continuer à explorer toutes les voies possibles de regroupement des forces convergentes pour une refondation de la République et la consolidation de notre démocratie dans un contexte régional de crise ».

Le conseil national de l’Alliance Jëf-Jël a exprimé sa gratitude envers Talla Sylla et a réaffirmé son soutien, l’encourageant à poursuivre « le combat qu’il mène avec des sacrifices énormes en faveur du peuple sénégalais ». Cette décision pourrait avoir des répercussions significatives sur le paysage politique sénégalais en vue des élections présidentielles à venir.

Droits civiques de Sonko : Les Clarifications d’Amadou Ba (Pastef)

Le statut des droits civiques d’Ousmane Sonko est au cœur d’une clarification apportée par Amadou Ba, membre de Pastef, suite à l’ordonnance du président du Tribunal d’Instance Hors Classe de Dakar (TIHCD).

Selon Amadou Ba, Ousmane Sonko a été réinscrit dans le fichier en vertu de l’ordonnance du président du TIHCD. Cette réinscription s’est basée sur la contumace, et actuellement, il est expliqué que pour que Sonko soit rendu inéligible, une nouvelle procédure de radiation doit être entreprise. Cependant, cette fois-ci, elle ne serait pas basée sur la contumace, mais sur la condamnation pour diffamation.

Il est important de noter qu’officiellement, Sonko a été radié pour contumace lors de la révision du fichier électoral. La condamnation pour diffamation ne prendrait effet qu’à la prochaine révision ordinaire du fichier en 2024.

Amadou Ba souligne qu’il est actuellement impossible de rouvrir le fichier pour intégrer la condamnation pour diffamation, car la commission de révision n’est plus en activité. La révision du fichier n’est pas un processus continu, mais se fait par périodes déterminées par décret.

Ainsi, Amadou Ba insiste sur le fait que les droits civiques de Sonko restent intacts, et le Conseil constitutionnel devrait statuer indépendamment de la condamnation pour diffamation.

Cette clarification intervient dans un contexte politique tendu, marqué par des enjeux électoraux cruciaux, et souligne l’importance de comprendre les procédures juridiques entourant la radiation et les droits civiques des candidats politiques.

Contrôle du parrainage : Momar Ndao (Ascosen) écarté de la Présidentielle 2024

Le Conseil Constitutionnel a pris la décision d’écarter la candidature de Momar Ndao, représentant de l’Ascosen, lors du processus de contrôle du parrainage pour l’élection présidentielle de 2024.

Dossier Non Conforme :

La candidature de Momar Ndao a été rejetée en raison de plusieurs facteurs. Avec seulement 1 246 parrains valides, le nombre nécessaire pour satisfaire aux exigences minimales n’a pas été atteint. En outre, le Conseil Constitutionnel a identifié un nombre étonnant de 41 748 doublons externes dans les parrainages, ajoutant à l’invalidation du dossier.

Réaction du Conseil Constitutionnel :

Le Conseil Constitutionnel a justifié sa décision en déclarant que la candidature de Momar Ndao ne répondait pas aux critères légaux établis pour le parrainage. Les doublons externes ont été considérés comme une irrégularité majeure, renforçant la position du Conseil dans le rejet de la candidature.

Conséquences pour Momar Ndao :

Cette décision place Momar Ndao en dehors de la course présidentielle de 2024. Malgré ses aspirations, le non-respect des conditions de parrainage a mis fin à ses espoirs de participer à l’élection présidentielle.

L’Ascosen et les partisans de Momar Ndao sont confrontés à la réalité de cette exclusion, et la décision du Conseil Constitutionnel souligne l’importance cruciale de satisfaire aux exigences du parrainage pour garantir la légitimité des candidatures.

Cheikh Oumar Sy explique son indécision pour l’élection présidentielle, réagit aux attaques contre Amadou Ba et critique le parrainage

Cheikh Oumar Sy, ancien député de Bès Du Niakk et conseiller spécial d’Amadou Ba, a abordé plusieurs sujets lors d’une récente interview. Il a exprimé son indécision quant à l’élection présidentielle de 2024, soulignant les enjeux indécis avec un président sortant sans affiliation claire. Il a également répondu aux attaques au sein de la coalition au pouvoir et critiqué le mécanisme de parrainage.

Indécision pour l’Élection Présidentielle :

Cheikh Oumar Sy a souligné que l’élection présidentielle de 2024 s’annonce indécise en raison de la situation particulière du président sortant, Macky Sall, sans affiliation idéologique claire. Il a mentionné qu’Ousmane Sonko, bien que confronté à des problèmes juridiques, reste une force à prendre en compte.

Changement de Position et Soutien à Amadou Ba :

Interrogé sur son changement de position, Cheikh Oumar Sy a expliqué qu’il est resté fidèle à ses convictions et principes. Son soutien à Amadou Ba repose sur la conviction que Ba peut relever les défis actuels, en particulier dans les domaines judiciaire, administratif et de gestion publique.

Attaques au Sein de la Coalition au Pouvoir :

Concernant les attaques contre Amadou Ba de la part de certains membres de la coalition au pouvoir, Cheikh Oumar Sy a souligné qu’il s’agit d’une compétition interne. Certains membres de la coalition qui n’ont pas été choisis comme candidats ont manifesté leur mécontentement.

Critique du Parrainage :

Cheikh Oumar Sy a critiqué le mécanisme de parrainage, le qualifiant de problématique. Il a soulevé des points d’inquiétude, notamment le tirage au sort et l’absence de voie de recours pour les candidats. Il a plaidé en faveur d’une réforme du parrainage, suggérant des ajustements pour assurer une légitimité démontrée des candidats.

En résumé, Cheikh Oumar Sy a abordé divers aspects liés à la politique sénégalaise, exprimant ses préoccupations et appelant à des réformes pour améliorer la transparence et l’équité dans le processus électoral.

Disqualification de Mamadou Dièye pour la présidentielle 2024 : Dossier incomplet et attestation manquante

La candidature de l’ex-capitaine Mamadou Dièye pour l’élection présidentielle de 2024 a été disqualifiée par le Conseil Constitutionnel lors du contrôle du parrainage.

La raison principale de cette exclusion est le dossier incomplet de Mamadou Dièye, notamment l’absence de l’attestation de la Caisse des Dépôts et Consignation (CDC). Cette attestation, qui certifie la solvabilité financière du candidat, est une pièce cruciale dans le processus de contrôle du parrainage.

La disqualification de Mamadou Dièye souligne l’importance pour les candidats de veiller à la complétude de leur dossier et à la fourniture de tous les documents requis pour maintenir leur éligibilité à l’élection présidentielle.

Me Moussa Diop confronté à un obstacle majeur : Son dossier de parrainage jugé incomplet

Le candidat Me Moussa Diop fait face à une mauvaise nouvelle dans le cadre du contrôle du parrainage en vue de l’élection présidentielle de 2024. Le Conseil Constitutionnel a déclaré que son dossier est incomplet, entraînant ainsi l’invalidation de sa candidature.

Le parrainage, instauré pour garantir la transparence et l’équité du processus électoral, impose à chaque candidat de recueillir un nombre spécifique de signatures provenant d’élus locaux et nationaux.

Dans le cas de Me Moussa Diop, le Conseil Constitutionnel a précisé que le candidat n’avait pas fourni l’attestation de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), ce qui a automatiquement conduit à l’invalidation de sa candidature.

L’attestation de la CDC, certifiant la solvabilité financière du candidat, est considérée comme une pièce essentielle dans le processus de contrôle du parrainage. Cette situation pose un défi majeur pour Me Moussa Diop, qui devra rapidement régulariser son dossier pour maintenir ses aspirations présidentielles.

Bougane Gueye face à un défi de taille : 19 000 parrains à régulariser pour sauver sa candidature

La candidature de Bougane Gueye, leader du mouvement Gueum Sa bopp, est confrontée à une sérieuse menace après la vérification de ses parrainages le 5 janvier. Il apparaît que le patron de Dmedia doit régulariser 19 000 parrains s’il souhaite demeurer dans la course à la présidentielle, n’ayant validé que 25 000.

Selon le mandataire de Bougane Gueye, la situation découle en partie de la position obtenue lors du tirage au sort. Malgré cela, la validation de seulement six régions sur le minimum requis de sept ajoute à la complexité de la situation. Un déficit régional supplémentaire nécessite également d’être comblé.

Le mandataire de Bougane Gueye affirme qu’ils disposent d’un stock de parrains suffisant pour relever ce défi. « Nous avons un stock suffisant, donc nous allons nous mettre au travail dès maintenant », assure-t-il.

Cette situation place Bougane Gueye devant un défi de taille, nécessitant une mobilisation rapide et efficace pour rassembler les parrainages requis et garantir la pérennité de sa candidature à l’élection présidentielle de 2024.

Tentative de fraude au parrainage : Thierno Cissé avoue ses méfaits et risque des poursuites judiciaires

Thierno Cissé, un candidat indépendant à l’élection présidentielle de 2024, a été arrêté jeudi pour avoir soumis une liste de 13 faux députés lors du processus de parrainage au Conseil constitutionnel. L’informaticien âgé d’une cinquantaine d’années a reconnu les faits sans réserve lors de son interrogatoire, indiquent des sources de Seneweb.

Thierno Cissé a déclaré aux enquêteurs qu’il était déterminé à participer coûte que coûte à l’élection présidentielle de 2024. Bien qu’il n’ait affilié à aucun parti politique, il a avoué avoir présenté une liste de parrains fictifs dans l’espoir de s’assurer une place sur le bulletin de vote. Il a affirmé être prêt à assumer les conséquences de ses actions.

Le candidat indépendant a également retiré un chèque de 30 millions de francs CFA, déposé comme caution pour sa candidature. Après son interrogatoire, Thierno Cissé a été placé en garde à vue pour fraude sur le parrainage et faux et usage de faux.

En attendant son passage devant le parquet de Dakar, qui pourrait avoir lieu ce vendredi matin, Thierno Cissé risque des poursuites judiciaires pour tentative de fraude électorale. Cette affaire souligne l’importance des mesures de vérification rigoureuses mises en place pour garantir l’intégrité du processus électoral.

Procès Ousmane Sonko – Mame Mbaye Niang : Dr Cheikh Tidiane Dièye dénonce un verdict politique et reste confiant dans l’éligibilité de Sonko

La confirmation par la Cour suprême de la condamnation d’Ousmane Sonko à six mois de prison avec sursis et à une amende de 200 millions de francs CFA dans le cadre de l’affaire l’opposant à Mame Mbaye Niang a suscité une réaction ferme de la part de Dr Cheikh Tidiane Dièye. Candidat validé au parrainage par le Conseil Constitutionnel et adversaire politique d’Ousmane Sonko, Dr Cheikh Tidiane Dièye a exprimé son indignation face à ce verdict, qualifiant l’affaire de « procès politique ».

Dans une déclaration, Dr Cheikh Tidiane Dièye a déclaré : « J’exprime toute mon indignation devant le verdict rendu ce jour par la Cour Suprême dans le procès politique opposant Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang. » Il a souligné que le pouvoir en place a utilisé diverses manœuvres politico-judiciaires pour priver Sonko de liberté et l’empêcher de participer à l’élection présidentielle.

Dr Cheikh Tidiane Dièye a affirmé que Sonko avait remporté le soutien populaire partout où la justice a été rendue équitablement et a exprimé sa confiance dans l’éligibilité de Sonko malgré la condamnation. Il a conclu en déclarant : « Il reste éligible. Le peuple vaincra. Ce n’est qu’une question de temps. »

Cette réaction de Dr Cheikh Tidiane Dièye souligne les tensions politiques entourant le verdict et annonce des développements futurs dans le paysage politique sénégalais. La bataille judiciaire et politique autour de la candidature de Ousmane Sonko continue de susciter des réactions passionnées au sein de la classe politique et de la société civile au Sénégal.

El Malick Ndiaye : « Ousmane Sonko maintient sa candidature

Après la condamnation d’Ousmane Sonko, El Malick Ndiaye prend la parole pour assurer que le leader de l’ex Pastef reste candidat à la présidentielle. Il critique également la nature politique des audiences et dénonce une tentative d’élimination du favori par des procès.

Suite à la décision de la Cour Suprême condamnant Ousmane Sonko, El Malick Ndiaye s’exprime pour réaffirmer la détermination du leader de l’ex Pastef. Malgré la condamnation, El Malick Ndiaye soutient que « Ousmane Sonko maintient sa candidature à la présidentielle. Nous sommes convaincus que sa candidature sera maintenue. »

Cependant, il exprime son mécontentement face à la décision de la Cour Suprême, qualifiant ces audiences de « politiques ». Il affirme que l’objectif est d’éliminer Ousmane Sonko et considère le verdict comme non courageux en raison du non-respect de l’exception d’inconstitutionnalité.

« Ces audiences sont éminemment politiques mais rien d’autre. C’est une honte qu’on essaie d’éliminer le favori de la présidentielle par des procès. L’objectif c’est d’éliminer Ousmane Sonko. Ce verdict n’est pas courageux parce que l’exception d’inconstitutionnalité devrait être respectée par la Cour Suprême », conclut El Malick Ndiaye, exprimant ainsi son mécontentement vis-à-vis de la décision judiciaire. La situation politique au Sénégal reste tendue, et l’issue de cette affaire continue de susciter des réactions passionnées. Restez à l’écoute pour plus de développements.

Inéligibilité de Ousmane Sonko : Me Ciré Clédor Ly appelle à la prudence et dénonce un complot d’État

La confirmation par la Cour suprême de la condamnation de Ousmane Sonko pour diffamation et injures, rendue publique le 4 janvier 2024, a des implications directes sur son éligibilité à la présidentielle prévue le 25 février. Me Ciré Clédor Ly, avocat d’Ousmane Sonko, a réagi fermement à cette décision et a conseillé la prudence quant aux conclusions hâtives.

Me Ciré Clédor Ly a exprimé des regrets quant au timing de la décision, soulignant qu’elle intervient à un moment crucial, à quelques semaines seulement de l’élection présidentielle. Il a souligné que si la décision avait été rendue plus tard, Ousmane Sonko aurait pu maintenir sa candidature, mais la rapidité de la décision a modifié la donne.

L’avocat a critiqué le gouvernement, affirmant que la décision de la Cour suprême était politiquement motivée et qu’elle violait les principes de l’État de droit et de la démocratie. Il a accusé l’État de conspirer contre Ousmane Sonko, mais a souligné que malgré les obstacles, Sonko a gagné le soutien de l’opinion publique nationale et internationale.

En ce qui concerne l’éligibilité de Sonko, Me Ciré Clédor Ly a appelé à la prudence, rappelant que la loi électorale rend inéligible toute personne condamnée pour un délit de 3 à 6 mois avec sursis. Cependant, il a souligné que selon l’article 34 du code pénal, la juridiction de jugement a le pouvoir de prononcer ou de dispenser des cas d’incapacité en cas de délit.

La bataille juridique autour de l’éligibilité de Ousmane Sonko s’annonce complexe, et les avocats devront explorer toutes les voies légales disponibles pour contester cette décision et protéger les droits politiques de leur client.

Aminata Touré dénonce une prétendue tricherie au conseil constitutionnel et menace de porter plainte

Aminata Touré, candidate à l’élection présidentielle, a accusé le Conseil constitutionnel d’une « grande tricherie » lors de la vérification de ses parrainages. La commission de contrôle de parrainages aurait signalé une région manquante dans les parrainages d’Aminata Touré, en particulier à Saint-Louis. Cependant, Mimi Touré conteste vigoureusement cette allégation, affirmant avoir remis tous ses parrainages des 14 régions sur une clé USB au greffe de la juridiction constitutionnelle.

Face à la presse, Aminata Touré a demandé des éclaircissements sur cette situation, menaçant de porter plainte contre X si des explications satisfaisantes ne sont pas fournies. Elle a également réfuté l’information selon laquelle son dossier contiendrait « 10 400 parrains non retrouvés sur le fichier électoral » après le contrôle.

Confiante de la validité de sa candidature, Aminata Touré a promis d’apporter le double du nombre de parrainages manquants dans les 48 prochaines heures. Elle a affirmé avec assurance que le président Macky Sall ne peut pas l’empêcher d’être candidate.

La situation souligne les tensions croissantes autour du processus de vérification des parrainages et met en évidence l’importance cruciale de chaque détail dans la course présidentielle. La menace de porter plainte met en évidence la détermination d’Aminata Touré à défendre sa candidature contre toute irrégularité alléguée.

Élimination sans appel : Hamidou Thiaw disqualifié de la présidentielle pour doublons de parrainages

La route présidentielle pour Hamidou Thiaw a atteint une impasse, sa candidature ayant été rejetée par le Conseil constitutionnel lors du contrôle de ses parrainages. Malgré la validation de 21 515 parrains, la présence de 18 981 doublons a scellé définitivement le sort de sa participation à la course présidentielle.

Ce verdict éliminatoire sonne comme un coup dur pour Hamidou Thiaw, mettant fin abruptement à ses aspirations présidentielles. L’invalidation de son dossier souligne l’importance cruciale de la rigueur dans le processus de collecte de parrainages, un élément déterminant pour la qualification des candidats à la plus haute fonction du pays.

La présence massive de doublons dans les parrainages de Hamidou Thiaw soulève des questions sur les défis auxquels sont confrontés les candidats lors de la collecte de soutiens. Ce rejet sans appel met en lumière l’impératif pour les candidats de mettre en œuvre des stratégies efficaces pour éviter les erreurs et garantir la validité de leurs dossiers.

Alors que d’autres candidats continuent de faire face à la vérification des parrainages, l’élimination de Hamidou Thiaw rappelle la sévérité des critères imposés par le Conseil constitutionnel et souligne l’importance pour les candidats de naviguer avec précaution à travers ce processus crucial.

Me Ciré Clédor Ly dénonce une « liquidation politique orchestrée par le chef de l’État » dans l’affaire Sonko-Mame Mbaye Niang

L’avocat de Ousmane Sonko, Me Ciré Clédor Ly, a vivement critiqué la gestion politique de l’affaire opposant son client à Mame Mbaye Niang. En suspendant l’audience, il a déclaré que ce dossier a été malmené, violant les principes de présomption d’innocence, de droit à un procès équitable et d’égalité des armes. Ly affirme que ce procès vise uniquement à liquider un adversaire politique, orchestré selon lui par le Chef de l’État. Le procès en cassation, prévu pour le 4 janvier à la Cour Suprême, reste sous tension, les avocats de Sonko demandant aux juges de surseoir à statuer en soulevant l’exception d’inconstitutionnalité.

Un candidat à la présidentielle arrêté par la Dic pour fraude au parrainage au Conseil Constitutionnel

Dans un rebondissement choquant, Thierno Cissé, candidat de la coalition Major 2024, a été appréhendé par la Division des Investigations Criminelles (Dic) alors qu’il s’apprêtait à passer à la 76e position pour les vérifications des parrainages au Conseil Constitutionnel. La fraude alléguée concerne une fausse liste de 13 députés qui auraient prétendument parrainé sa candidature. Restez informés pour plus de détails sur cette affaire en développement.

Abdourahmane Diouf face à un défi crucial : Échec à la validation des parrainages pour la Présidentielle 2024

La course présidentielle de 2024 prend une tournure décisive pour Abdourahmane Diouf du parti Awalé, alors que la commission de contrôle des parrainages au Conseil constitutionnel révèle un résultat décevant. En ce quatrième jour d’évaluation, le candidat n’a pas réussi à satisfaire aux exigences minimales en matière de parrainages.

Abdourahmane Diouf se retrouve dans une position délicate, ayant validé seulement 30 439 parrainages sur un seuil requis de 44 231. Cette situation met en évidence l’urgence pour le candidat de mobiliser rapidement un soutien supplémentaire afin de garantir sa participation à la course pour la présidence.

La balle est maintenant dans le camp d’Abdourahmane Diouf, qui doit agir avec promptitude pour surmonter ce revers. La nécessité de rassembler un nombre significatif de parrainages supplémentaires devient impérative pour maintenir sa candidature présidentielle en lice.

Cette situation souligne également les défis auxquels sont confrontés les candidats lors de la vérification des parrainages, un processus qui peut jouer un rôle déterminant dans le sort politique des aspirants à la présidence. La réponse d’Abdourahmane Diouf à cette épreuve définira l’avenir de sa participation à cette compétition présidentielle cruciale.

Vérification de parrainages : Les candidats retenus, ceux qui sont en attente, les recalés

le point complet sur le processus de vérification des parrainages au Conseil constitutionnel.

Les candidats retenus

Boubacar Camara

Déthié Fall

Cheikh Tidiane Dièye

Daouda Ndiaye

Karim Wade

Habib Sy

Anta Babacar Ngom

Khalifa Sall
Amadou Ba
Les candidats qui doivent régulariser

Rose Wardini (31.000)

Idrissa Seck (5.800)

El Hadj Moustapha Diouf (3791)

Serigne Mboup (13.000)

Pape Djibril Fall (13.000 et 03 régions)

Aliou Mamadou Dia (202 à Diourbel)

Malick Gakou (3.449)

Mamadou Lamine Diallo (5.199) Mahammed Boun Dionne (7.817)

Serigne Gueye Diop (13.228 et 02 régions)

Aly Ngouille Ndiaye (1009)

Souleymane Ndéné Ndiaye (18.669)

Rose Wardini (31.000) 

Idrissa Seck (5.800) 

El Hadj Moustapha Diouf (3791) 

Serigne Mboup (13.000) 

Pape Djibril Fall (13.000 et 03 régions) 

Aliou Mamadou Dia (202 à Diourbel) 

Malick Gakou (3.449) 

Mamadou Lamine Diallo (5.199) Mahammed Boun Dionne (7.817) 

Serigne Gueye Diop (13.228 et 02 régions)

Abdoul Mbaye (13 771)

Aly Ngouille Ndiaye (1009) 

Souleymane Ndéné Ndiaye (18.669)

Aminata Touré (19 000)

Mame Boye Diao (11 953)

Bassirou Diomaye Faye (4000)

Abdourakhmane Diouf (14 000)

Les candidats éliminés

Abdoulaye Sylla

Cheikh Hadjibou Soumaré

Ousmane Kane

Dr Cheikh Tidiane Gadio

Papa Eugène Barbier

Mouhamed Ben Diop

Malick Gueye

Mouhamed El Habib Tounkara

Mary Teuw Niane

Aminata Assome Diatta

Papa Macodou Diop

Samba Ndiaye

Mbacké Sarr

Alioune Sarr

Ibrahima

Hamidou Deme

Cheikh Bamba Dièye

Oumar Sylla

Cheikh Abdou Mbacké Bara Doly

Jean Baptiste Diouf

Charles Émile Abdou Ciss

Khadim Diop Birima Mangara

Amdy Diallo

El Hadji Ibrahima Mbow

Ndiack Lakh

Ibrahima Datte

Mouhamadou Lamine Gueye

Aly Lame

Adama Faye

Mouhamadou Madana Kane

Al Housseynou Ba

Aliou Camara

Babacar Diop

El Hadji Ibrahima Sall

Papa Momar Ngom

Assane Kâ

Mamadou Diop Decroix

Thione Niang

Sheikh Alassane Sène

Ibrahima Abou Nguette

Al Hassane Niang

Amadou Seck

Abdou Khadre Sall

Ndongo Ndiaye
Alpha Thiam

Bassirou Diomaye Faye à la croisée des chemins : Un déficit de parrainages remet en question sa candidature présidentielle

La candidature de Bassirou Diomaye Faye pour l’élection présidentielle de 2024 se retrouve à un point critique alors que la commission du Conseil constitutionnel examine les dossiers de parrainage. Au quatrième jour du processus, la commission se concentre sur la vérification des parrainages, et les résultats pour Bassirou Diomaye Faye ont suscité des inquiétudes.

Lors de l’examen des dossiers de parrainage le 4 janvier, Bassirou Diomaye Faye a validé 40 012 parrains, soit en deçà du minimum requis de 44 231. Cette situation place Bassirou Diomaye Faye dans une position délicate, le forçant à régulariser sa situation en obtenant des parrainages supplémentaires pour satisfaire aux exigences.

Bassirou Diomaye Faye, affilié à l’ancien parti dirigé par Ousmane Sonko, est désormais confronté à deux scénarios possibles. S’il réussit à combler le déficit de parrainages, il pourra maintenir sa candidature à l’élection présidentielle, à condition que les autres documents de son dossier soient également conformes. En revanche, s’il échoue à obtenir le nombre requis de parrainages, il sera éliminé d’office, avant même une vérification approfondie des autres documents de son dossier.

Cette situation met en lumière les défis et les enjeux auxquels les candidats à la présidence sont confrontés lors du processus de vérification des parrainages. Bassirou Diomaye Faye devra mobiliser ses partisans et intensifier ses efforts pour assurer sa participation à l’élection présidentielle, illustrant ainsi la complexité du paysage politique. L’issue de cette épreuve déterminera le destin politique de Bassirou Diomaye Faye dans cette compétition présidentielle.

Amadou Seck : Échec au contrôle de parrainage, un revirement inattendu dans sa course présidentielle

La candidature d’Amadou Seck pour l’élection présidentielle de 2024 connaît un revirement inattendu avec son rejet lors du contrôle de parrainage effectué par le Conseil constitutionnel. Malgré la validation de 10 029 parrains, un obstacle majeur a mis fin à ses aspirations présidentielles : la présence massive de 48 783 doublons externes.

Le Conseil constitutionnel a déclaré le dossier de parrainage d’Amadou Seck invalide, soulignant la nécessité de garantir l’intégrité du processus électoral. Cette décision place Amadou Seck face à une réalité décevante, obligeant le candidat à réévaluer sa stratégie politique.

Le rejet du parrainage met en lumière l’importance cruciale de la gestion minutieuse des détails dans le processus électoral. Les doublons externes, en grand nombre, ont été le point de rupture, mettant en évidence l’importance de la vigilance dans la collecte des parrainages.

Pour Amadou Seck, cela signifie une réévaluation rapide de sa position politique et une éventuelle décision sur la marche à suivre. La compétition présidentielle est intense, et chaque candidat doit naviguer à travers des obstacles administratifs rigoureux pour maintenir sa candidature.

L’échec au contrôle de parrainage représente un défi inattendu, mais il reste à voir comment Amadou Seck réagira à cette situation. La politique est souvent parsemée d’obstacles imprévus, et la manière dont un candidat réagit à l’adversité peut définir son avenir dans le paysage politique.

Mame Boye Diao : Échec au contrôle de parrainage, une course contre la montre pour régulariser

La commission de contrôle des parrainages au Conseil constitutionnel a rendu son verdict, et pour Mame Boye Diao, candidat à la Présidentielle de 2024 sous la bannière de la Coalition pour un Sénégal Nouveau, c’est une déception. En ce quatrième jour d’examens, il n’a pas réussi à réunir le minimum requis de parrainages, se retrouvant ainsi en situation délicate.

Mame Boye Diao, également maire de Kolda, a validé 32 278 parrainages sur un seuil fixé à 44 231, laissant son dossier incomplet face aux exigences électorales. Cette situation met le candidat devant une course contre la montre pour régulariser sa candidature avant la clôture officielle du processus.

La bataille pour la collecte de parrainages est une étape cruciale pour tous les candidats, nécessitant une organisation méticuleuse et un effort soutenu. L’échec initial de Mame Boye Diao souligne l’importance de la rigueur dans la préparation des dossiers de candidature et de la mobilisation pour obtenir le soutien nécessaire.

La situation actuelle oblige le candidat à intensifier ses efforts afin de compléter son dossier dans les délais impartis. Dans le contexte politique tendu de la course présidentielle, chaque détail compte, et la régularisation rapide du dossier devient impérative pour Mame Boye Diao s’il souhaite maintenir ses ambitions présidentielles pour l’élection de 2024.

Ibrahima Abou Nguette : Invalidation de sa candidature après contrôle de parrainage

La candidature d’Ibrahima Abou Nguette pour l’élection présidentielle est compromise suite à l’invalidation de son dossier de parrainage par le Conseil constitutionnel. La raison principale de cette décision est un dossier incomplet, le candidat ayant omis de joindre une attestation à la quittance de la Caisse des Dépôts et des Consignations.

Le contrôle de parrainage, étape cruciale du processus électoral, a révélé cette lacune dans le dossier de candidature d’Ibrahima Abou Nguette. Cette omission a conduit à l’invalidation de sa candidature, mettant ainsi fin à ses aspirations présidentielles pour le scrutin à venir.

Cette décision souligne l’importance de la rigueur dans la préparation des dossiers de candidature, en particulier lorsqu’il s’agit de fournir les documents requis par les autorités électorales. Les candidats sont tenus de respecter scrupuleusement les exigences légales et administratives pour garantir la validité de leur participation à l’élection présidentielle.

Le Conseil constitutionnel, en tant qu’organe chargé de superviser le processus électoral et de garantir la conformité aux lois électorales, a pris cette décision en accord avec les dispositions en vigueur. L’invalidation d’une candidature pour des raisons administratives met en lumière l’importance du respect des procédures électorales pour tous les candidats.

Cour suprême : Validation du gré à gré de 71 milliards FCFA malgré les recours des sociétés médicales

La Cour suprême a rendu une décision affirmant la validité du marché de gré à gré de 71 milliards FCFA attribué à ACD, malgré les recours déposés par neuf sociétés spécialisées dans la vente de matériel médical. Ces sociétés avaient sollicité l’annulation du contrat par entente directe pour les travaux de relèvement des plateaux techniques des services d’Imagerie médicale des hôpitaux, de construction et d’équipement de l’hôpital de Bakel, du Centre de diagnostic et d’imagerie (Cdim) au Centre hospitalier régional de Fatick, ainsi que la fourniture de matériel roulant (ambulances médicalisées).

La Chambre administrative de la Cour suprême a rejeté hier le référé des sociétés médicales, refusant l’acte d’approbation du marché. La Cour a estimé que la demande des sociétés n’était pas pertinente, motivant ainsi son rejet.

Le ministère de la Santé avait justifié le recours à l’entente directe par « l’urgence impérieuse occasionnée par les événements du 21 mars 2021 et du 1er juin 2023 entre autres ». Le ministre de la Santé prétendait ainsi vouloir prévenir des menaces d’épidémies, citant la Dengue, le Coronavirus, la fièvre de Grimée-Congo, et d’autres épidémies. Cependant, les sociétés contestataires ont réfuté cette justification, soulignant que le dossier avait fait l’objet d’une proposition par Siemens avec le même bailleur, Kfw. Cette proposition avait été transmise en date du 02 février 2017, confirmant l’engagement financier à hauteur de 84 millions d’euros pour le projet.

La décision de la Cour suprême soulève des questions sur la transparence des procédures d’attribution de marchés publics et met en évidence les tensions entre l’urgence déclarée par le gouvernement et les contestations des acteurs du secteur privé. L’affaire met également en lumière les défis persistants liés à la gouvernance des contrats publics dans le secteur de la santé au Sénégal.

Amadou Ba valide ses parrainages : Une option singulière dans la course présidentielle

Le processus d’examen des candidatures pour l’élection présidentielle de février 2024 est actuellement en cours, et parmi les candidats, Amadou Ndombo Ba a opté pour une voie singulière en validant ses parrainages avec le soutien exclusif d’élus locaux.

La commission du Conseil constitutionnel, dans son quatrième jour de travail, a mis l’accent sur la vérification des parrainages, une étape cruciale du processus électoral. Cependant, Amadou Ba a réussi cette étape en obtenant le soutien de 120 élus locaux, une option moins fréquemment choisie par les candidats.

Dans le contexte sénégalais, les candidats ont trois options pour présenter leurs parrainages : les parrainages citoyens, le soutien de députés (au moins 13 députés), ou le soutien d’élus locaux tels que les maires et les présidents de régions. Amadou Ba a choisi la troisième option, un choix qui semble s’avérer fructueux, éliminant ainsi l’obstacle des parrainages pour sa candidature à la présidence.

Cette décision stratégique met en évidence la diversité des approches des candidats dans la course présidentielle et souligne la complexité du paysage politique sénégalais. Alors que la plupart des candidats optent pour les parrainages citoyens ou le soutien parlementaire, Amadou Ba a délibérément choisi de s’appuyer sur le soutien d’élus locaux pour asseoir sa candidature.

Avec cette étape franchie avec succès, Amadou Ba se positionne comme l’un des rares candidats à avoir surmonté l’obstacle des parrainages. L’efficacité de cette stratégie particulière sera observée de près par les observateurs politiques, car elle pourrait influencer les futures campagnes électorales et les choix tactiques des candidats.

Il convient également de noter la participation d’Aminata Touré à l’élection présidentielle, représentant la COALITION BENNO BOKK YAAKAAR. Les développements ultérieurs de cette course présidentielle promettent d’être captivants, avec des candidats adoptant des approches variées pour atteindre leurs objectifs électoraux.

Alpha Thiam écarté de la Présidentielle 2024 : Un contrôle de parrainage sans clémence

Dans un revirement brutal du destin, les aspirations présidentielles d’Alpha Thiam pour 2024 sont anéanties, le Conseil constitutionnel ayant prononcé un verdict implacable lors du contrôle de parrainage.

Malgré des efforts acharnés et la validation de 6312 parrains, Alpha Thiam fait face à une dure désillusion. La candidature du politicien a été compromise en raison de la présence de 27 767 doublons, mettant fin abruptement à son rêve de participer à l’élection présidentielle.

Ce coup dur souligne les enjeux cruciaux du processus de parrainage, une étape incontournable pour tout candidat aspirant à la plus haute fonction de l’État. Les doublons détectés ont jeté une ombre sur la légitimité de la candidature d’Alpha Thiam, laissant la porte grande ouverte à des spéculations sur les raisons de cette anomalie.

L’écartement d’Alpha Thiam de la course présidentielle 2024 souligne également l’importance d’une organisation rigoureuse dans la collecte des parrainages, une leçon précieuse pour les candidats futurs. L’annonce de son recalage est susceptible d’avoir un impact significatif sur la scène politique, suscitant des réactions et des interrogations au sein de l’opinion publique.

Pour Alpha Thiam, cette déconvenue représente un obstacle majeur, mettant en lumière les défis inhérents à la participation à une élection présidentielle. La manière dont il réagit à cette situation délicate et les décisions qu’il prendra dans les jours à venir restent à observer, car elles pourraient façonner le cours de sa carrière politique.

Cette élimination prématurée souligne la nécessité pour les candidats de naviguer avec prudence et efficacité à travers les différentes étapes du processus électoral. La politique, en particulier dans le contexte d’une élection présidentielle, reste un terrain exigeant où la résilience et la stratégie sont souvent mises à l’épreuve.

En conclusion, le revers subi par Alpha Thiam lors du contrôle de parrainage pour la présidentielle 2024 souligne les défis et les exigences rigoureuses du processus électoral au Sénégal, offrant une réflexion sur la complexité de la voie vers la plus haute magistrature du pays.

Drame à Bakel : Un homme succombe après une bagarre, un éleveur de 18 ans arrêté

La commune de Bakel, située dans la région de Tambacounda, est plongée dans l’émoi et la consternation à la suite d’un incident tragique. Une bagarre qui a éclaté a malheureusement conduit au décès d’un homme, plongeant la communauté dans le chagrin.

Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime, un maçon du nom de I. D, résidant à Fandelé, aurait reçu un violent coup à la jambe provenant d’un objet qui n’a pas encore été retrouvé. L’auteur présumé de cette agression est un éleveur âgé de 18 ans, résidant dans le quartier HLM de Bakel.

Transporté en urgence à l’hôpital de Ourossogui, la victime a malheureusement succombé sur place en raison d’une hémorragie grave.

L’annonce de ce décès a provoqué une vive émotion au sein de la communauté de Bakel. Le présumé meurtrier a été remis aux enquêteurs de la brigade de gendarmerie locale, et aurait confessé le crime, évoquant des motifs de vengeance.

Une enquête approfondie a été immédiatement lancée afin de déterminer les circonstances réelles de ce meurtre. Le suspect sera présenté ce jeudi devant le parquet du tribunal de grande instance de Tambacounda. Il est susceptible de faire face à une session de chambre criminelle pour le crime de meurtre, à moins que les faits ne soient disqualifiés au cours de l’enquête.

Ce drame souligne une fois de plus l’importance d’une résolution pacifique des conflits et met en lumière les conséquences tragiques que peuvent avoir les affrontements violents au sein d’une communauté. Les prochains développements de l’enquête fourniront davantage d’éclaircissements sur les causes et les implications de cette tragédie à Bakel.

Aminata Touré face à un défi majeur : Le marathon pour combler le fossé des parrainages

La commission du Conseil constitutionnel, engagée dans l’examen des candidatures pour l’élection présidentielle de février 2024, met actuellement en lumière la situation complexe de la candidate Aminata Touré. Au quatrième jour de cet examen minutieux, l’attention se concentre particulièrement sur la vérification des parrainages, révélant un défi de taille pour la candidate.

Le 4 janvier, la commission a poursuivi son travail en examinant les dossiers de parrainage, dont celui d’Aminata Touré. Sur un minimum requis de 44 231, seuls 25 251 parrainages ont été validés pour sa candidature. Un déficit significatif qui place la candidate sous la bannière de « MPC MIMI 2024 » dans une situation délicate, nécessitant des efforts considérables pour combler ce fossé.

Aminata Touré se trouve désormais confrontée à deux scénarios distincts. Si elle parvient à rassembler le nombre nécessaire de parrainages manquants, elle pourra continuer sa participation à l’élection présidentielle, à condition que les autres documents de son dossier soient également conformes. En revanche, si elle échoue à obtenir le quota requis de parrainages, elle sera éliminée d’office, sans même qu’une vérification approfondie des autres éléments de son dossier ne soit entreprise.

Ce défi majeur pose des questions cruciales sur la capacité d’Aminata Touré à mobiliser un soutien suffisant dans le laps de temps restant avant la clôture des vérifications. La rapidité avec laquelle elle pourra réagir et corriger ce déséquilibre décidera de sa participation à la course présidentielle.

La situation d’Aminata Touré illustre parfaitement les enjeux critiques liés au processus de parrainage dans le paysage politique sénégalais. Alors que d’autres candidats voient leurs candidatures validées, la candidate de « MPC MIMI 2024 » se retrouve face à une course contre la montre pour maintenir ses aspirations présidentielles. Les prochains jours seront déterminants pour savoir si Aminata Touré pourra surmonter ce défi et continuer sa marche vers la présidentielle de 2024.

Anta Babacar Ngom Diack exprime sa gratitude après la validation de ses parrainages : Un pas crucial vers la présidentielle

Suite à la décision du Conseil Constitutionnel de valider ses parrainages pour la présidentielle prévue le 25 février 2024, Anta Babacar Ngom Diack, présidente et candidate d’Alternative pour la relève citoyenne (ARC), a réagi avec gratitude, saluant le soutien massif dont elle a bénéficié à travers le pays.

Dans un communiqué officiel, Anta Babacar Ngom Diack a exprimé son profond sentiment de reconnaissance envers tous ceux qui ont contribué à cette étape cruciale de sa campagne présidentielle. Les milliers de citoyens ayant apporté leur parrainage ont témoigné d’un soutien indéfectible à la candidate, renforçant ainsi la dynamique de son mouvement citoyen ARC.

Le communiqué souligne le rôle essentiel joué par les militants d’ARC, dont le dévouement et l’engagement ont été déterminants dans la collecte des parrainages. Cette mobilisation exemplaire témoigne de la force et de la vitalité du mouvement citoyen, dont Anta Babacar Ngom Diack est la porte-étendard.

Anta Babacar Ngom Diack a également tenu à saluer le Conseil Constitutionnel pour avoir accompli sa mission avec rigueur et impartialité, assurant ainsi le respect des règles démocratiques dans le processus de validation des candidatures. Cette reconnaissance envers l’institution souligne l’importance de la transparence et de la légitimité dans le cadre du processus électoral sénégalais.

Enfin, le communiqué adresse un immense merci à l’ensemble des soutiens, qu’ils soient individus, organisations ou partis politiques, pour leur confiance et leur engagement continu en faveur d’une vision de progrès et de renouveau pour le Sénégal. Cette déclaration de gratitude souligne l’unité et la solidarité qui entourent la candidature d’Anta Babacar Ngom Diack, ouvrant ainsi la voie à une campagne présidentielle porteuse d’espoir et de changement pour le pays.

Anta Babacar Ngom, première dame de la Présidentielle 2024 : La réussite du parrainage ouvre la voie à une campagne remarquée

Alors que l’examen des dossiers de candidature pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 se poursuit au Conseil constitutionnel, une candidate a particulièrement retenu l’attention. Anta Babacar Ngom a franchi avec succès l’épreuve du parrainage, validant ainsi son ticket pour la course à la présidence.

Ce jeudi, quatrième jour de la commission de contrôle des parrainages, Anta Babacar Ngom, entrepreneure et Présidente du mouvement Alternative pour une relève citoyenne (ARC), a réussi brillamment cette étape cruciale. Son dossier de candidature a été approuvé avec un impressionnant total de 45 238 parrainages, couvrant 10 régions du pays.

La validation de sa candidature la propulse parmi les candidats retenus pour l’élection présidentielle, rejoignant ainsi le groupe des admis comprenant des figures telles que Boubacar Camara, Cheikh Tidiane Dièye, Déthié Fall, Pr Daouda Ndiaye, Khalifa Ababacar Sall, Habib Sy, et Karim Wade.

Agée de 39 ans, Anta Babacar Ngom, directrice générale du groupe Sedima et fille du fondateur du groupe, se positionne désormais comme l’une des forces majeures dans la compétition présidentielle de février 2024. Son leadership à la tête du mouvement ARC et son expérience en tant qu’entrepreneure apportent une dynamique nouvelle à la scène politique.

La réussite d’Anta Babacar Ngom au processus de parrainage ouvre la voie à une campagne électorale potentiellement remarquée. Sa candidature apporte une diversité d’idées et de perspectives, promettant un débat électoral riche et animé dans les semaines à venir.

Alors que la présidentielle de 2024 se profile à l’horizon, Anta Babacar Ngom incarne l’esprit de renouveau et de diversité dans la course à la magistrature suprême. Les électeurs sénégalais peuvent s’attendre à des débats passionnants et à une compétition électorale stimulante avec l’entrée en lice de cette nouvelle candidate, ouvrant ainsi de nouvelles possibilités pour l’avenir politique du pays.

Échec au contrôle de parrainage : Fin de course présidentielle pour Al Hassane Ould Aliou Niang

Dans une tournure inattendue, le candidat Al Hassane Ould Aliou Niang voit son rêve présidentiel prendre fin à la suite de son échec au contrôle de parrainage. Malgré une première validation de 5857 parrains, la candidature d’Al Hassane Ould Aliou Niang est irrémédiablement écartée en raison de la détection de 20 109 doublons externes.

Cet épisode marque un tournant décisif dans la course à la présidence pour Al Hassane Ould Aliou Niang, soulignant l’importance cruciale du processus de contrôle de parrainage dans le paysage politique sénégalais.

Le contrôle de parrainage, mis en place pour garantir la légitimité des candidatures présidentielles, a révélé des irrégularités majeures dans le dossier d’Al Hassane Ould Aliou Niang. Malgré une première validation encourageante de plus de 5 800 parrains, la découverte de 20 109 doublons externes a été jugée rédhibitoire par les instances compétentes, conduisant à l’élimination de sa candidature.

Les doublons externes, qui désignent probablement des cas de parrainages multiples et non conformes aux règles électorales, soulèvent des questions sur la rigueur du processus de collecte des signatures de soutien. Cette affaire met également en lumière l’importance de la vigilance dans la vérification des listes de parrainage afin de préserver l’intégrité du processus électoral.

La réaction du candidat Al Hassane Ould Aliou Niang et de son équipe face à cette disqualification potentielle reste à observer. Il est probable que des recours légaux soient envisagés pour contester cette décision, ce qui pourrait prolonger les débats autour de cette élimination controversée.

Ce rebondissement dans la campagne présidentielle souligne l’importance cruciale du respect des règles électorales et de la transparence dans le processus démocratique. Alors que d’autres candidats poursuivent leur course vers la présidence, cette élimination rappelle aux acteurs politiques l’impératif de conformité absolue aux exigences légales pour éviter des désillusions de dernière minute. La suite des événements dans cette affaire pourrait également susciter des discussions plus larges sur la réforme électorale et la nécessaire amélioration des mécanismes de contrôle pour garantir des élections justes et équitables au Sénégal.

Cour Suprême : Le juge établit les règles du jeu dans l’affaire Sonko/Mbaye Niang

La Cour suprême du Sénégal a été le théâtre d’une audience cruciale concernant le pourvoi en cassation de Mame Mbaye Niang contre Ousmane Sonko. L’enjeu majeur de cette séance était la contestation de la condamnation de Sonko à 6 mois de prison avec sursis et une amende de 200 millions pour des accusations de « diffamation et injures ».

La séance, présidée par le Président AbdouRahmane Diouf, a débuté avec l’invitation aux parties à se mettre d’accord sur la durée des plaidoiries, se référant à l’article L46 de la loi organique de la Cour.

Me Ousseynou Fall, avocat de la défense, a vivement contesté la limitation du temps de parole, arguant que cela constituait une entrave aux droits de la défense. Me Clédor Ly a soutenu cette position, réclamant un minimum de 1h30 pour s’exprimer, suggérant que le temps proposé par le juge était insuffisant pour un développement complet des arguments.

En réponse, Me Elhadji Diouf, représentant la partie adverse, a accusé la défense de chercher à prolonger inutilement les débats. Il a souligné l’incohérence dans le nombre d’avocats présents et a exprimé son accord avec le temps de parole proposé par le juge.

Finalement, le Président Abdourahmane Diouf a tranché en faveur de la défense, accordant la latitude demandée pour s’exprimer sans préciser la durée exacte.

Cette décision du juge souligne l’importance accordée à la préservation des droits de la défense dans le cadre de cette affaire sensible. L’équilibre entre les intérêts de la justice et le respect des droits fondamentaux des parties en présence a été au cœur des débats, reflétant la complexité de cette affaire hautement médiatisée.

Le pourvoi en cassation de Mame Mbaye Niang contre la condamnation d’Ousmane Sonko demeure un sujet de grande attention au sein de la société sénégalaise. Les développements à la Cour suprême soulignent l’importance d’une procédure équitable et transparente, tout en mettant en lumière les divergences d’opinions entre les parties concernant la gestion du temps imparti aux plaidoiries. L’issue de cette affaire aura des répercussions significatives sur la perception de la justice et des droits individuels au Sénégal.

Comprendre la question d’inconstitutionnalité dans l’affaire Sonko/Mbaye Niang pour les enfants

La question d’inconstitutionnalité dans l’affaire impliquant Ousmane Sonko et Mbaye Niang, notamment en ce qui concerne les enfants, soulève des préoccupations importantes quant à la conformité des mesures prises avec les principes fondamentaux de la Constitution du Sénégal. Pour comprendre pleinement cette question complexe, examinons les éléments clés de l’affaire et les implications constitutionnelles liées à la protection des droits des enfants.

Contexte de l’affaire : L’affaire Sonko/Mbaye Niang concerne probablement des allégations graves ou des incidents qui ont attiré l’attention publique. Les détails précis de l’affaire peuvent varier, mais il est essentiel de se concentrer sur les aspects liés aux enfants pour comprendre la question d’inconstitutionnalité.

Protection constitutionnelle des droits des enfants : La Constitution du Sénégal, comme de nombreuses constitutions modernes, accorde une attention particulière à la protection des droits des enfants. Cela inclut des dispositions spécifiques garantissant le droit à la vie, à la santé, à l’éducation, et à la protection contre toute forme de violence ou de traitement inhumain.

Principe de l’État de droit : Un élément clé de la Constitution est le principe de l’État de droit, qui implique que toutes les actions gouvernementales et judiciaires doivent être conformes aux normes constitutionnelles. Cela garantit que les droits fondamentaux des citoyens, y compris ceux des enfants, sont respectés et protégés.

La question d’inconstitutionnalité : Si, au cours de l’affaire, des mesures sont prises qui semblent violer les droits constitutionnels des enfants ou contredire les principes de l’État de droit, cela soulève une question d’inconstitutionnalité. Il peut s’agir de l’application de lois qui ne respectent pas les normes constitutionnelles ou de décisions judiciaires qui ne sont pas en accord avec les droits fondamentaux énoncés dans la Constitution.

Recours devant la Cour constitutionnelle : Lorsqu’une question d’inconstitutionnalité est soulevée, les parties concernées ont la possibilité de saisir la Cour constitutionnelle. Celle-ci est chargée d’examiner la conformité des actes législatifs et administratifs avec la Constitution. Si une mesure est jugée inconstitutionnelle, elle peut être déclarée nulle et non avenue.

L’importance de la protection des droits des enfants : Dans le contexte de l’affaire Sonko/Mbaye Niang, la question d’inconstitutionnalité liée aux droits des enfants revêt une importance particulière. La société doit garantir la protection des enfants contre toute forme de préjudice et veiller à ce que les actions entreprises respectent les normes constitutionnelles et les obligations internationales en matière de droits de l’enfant.

La question d’inconstitutionnalité dans l’affaire Sonko/Mbaye Niang pour les enfants soulève des préoccupations cruciales quant à la protection des droits fondamentaux. Il est essentiel que toutes les parties impliquées, y compris les autorités judiciaires, respectent les principes constitutionnels et veillent à ce que les droits des enfants soient pleinement pris en compte dans le cadre de la procédure juridique.

Recours devant le Conseil Constitutionnel : La Coalition Jeuf ak Thione Niang dénonce des incohérences et revendique l’équité procédurale

La Coalition Jeuf ak Thione Niang ne se laisse pas intimider et affirme son engagement pour une « équité procédurale » après le rejet de la candidature de Thione Niang par la Commission de Contrôle des parrainages. Un recours a été déposé pour contester cette décision, soulignant l’injustice et l’inadmissibilité de la situation.

Dans un communiqué signé par le secrétaire général et reçu le 3 janvier, la coalition insiste sur la nécessité d’un réexamen rigoureux et impartial de la clé et du fichier, exigeant transparence et respect strict des procédures démocratiques. La décision du Conseil de ne pas contrôler la candidature malgré la conformité de la clé au format exigé est qualifiée d’affront à la justice.

Les membres de la Coalition Jeuf ak Thione Niang dénoncent une situation incompréhensible et injuste, soulignant que la clé de parrainage, regroupant plus de 52 000 soutiens légitimes, a été jugée inexploitable malgré sa conformité visuelle. Ils considèrent cette contradiction comme non seulement injuste mais également inadmissible.

La coalition affirme sa mobilisation pour garantir un processus électoral juste et équitable, soulignant que la voix du peuple sénégalais ne doit pas être étouffée par des incohérences procédurales. La Coalition Jeuf ak Thione Niang reste résolue à défendre les principes démocratiques et à veiller à ce que chaque parrainage compte, malgré le rejet initial de la candidature de Thione Niang par la Commission de Contrôle des parrainages.

Mamadou Diop decroix : Rejet des parrainages et absence à la Présidentielle 2024

Le leader du parti And Jef/PADS, Mamadou Diop Decroix, ne participera pas à l’élection présidentielle du 25 février 2024. Sa candidature a été invalidée par la Commission de Contrôle des Parrainages en raison du nombre insuffisant de parrains validés.

Selon les informations disponibles, Mamadou Diop Decroix n’a réussi à valider que 5616 parrainages, un chiffre nettement en deçà du minimum requis. La principale cause de cette invalidation réside dans le nombre élevé de doublons externes, qui se chiffre à 33674. Cette situation a conduit à l’élimination de la candidature de Mamadou Diop Decroix.

Son mandataire, Sagar Diouf, a souligné que Mamadou Diop Decroix avait toujours exprimé son opposition au système de parrainages, le jugeant incapable d’approfondir la démocratie.

Actuellement, seuls les candidats ayant obtenu le parrainage des élus ont réussi à franchir avec succès l’étape des parrainages pour l’élection présidentielle de 2024. La compétition électorale continue avec un nombre réduit de candidats en lice.

Contrôle des parrainages : Thione Niang voit sa candidature écourtée en raison d’un problème technique

Le rêve présidentiel de Thione Niang pour l’élection de 2024 prend fin abruptement, car sa candidature n’a pas réussi avec succès l’étape cruciale du contrôle des parrainages.

Selon les informations fournies par Youssouf Diallo, mandataire de Jeuf ak Thione Niang, la commission de contrôle des parrainages a informé l’équipe que leur clé USB n’était pas exploitable. Cette déclaration met un terme à la candidature de Thione Niang à l’élection présidentielle.

Dans un contexte de déception et de frustration, le mandataire exprime son mécontentement en qualifiant la situation de « forfaiture ». Il déplore également le fait qu’il ait été demandé à l’équipe de libérer la salle, ajoutant une note d’injustice perçue dans le processus.

Cet incident souligne les défis et les obstacles auxquels les candidats font face lors du contrôle des parrainages, une étape cruciale pour assurer la validité de leur candidature à la Présidentielle. Alors que la course électorale continue, l’équipe de Thione Niang devra peut-être évaluer les recours possibles et déterminer les prochaines étapes dans ce scénario inattendu.

Contrôle des parrainages : Malick Gakou, leader du Grand Parti, à la limite de la validation

Malick Gakou, leader du Grand Parti, est passé tout près de valider ses parrainages lors du contrôle en perspective de l’élection présidentielle. Avec 40 782 parrainages validés lors de son passage devant la commission de contrôle, il se trouve à seulement 3 449 signatures du seuil requis.

Chaque candidat doit obtenir un minimum de 44 231 parrainages d’électeurs, dont une partie doit provenir d’au moins sept régions, avec un minimum de 2 000 parrains par région.

Malick Gakou dispose maintenant de 48 heures pour compléter les 3 449 parrainages manquants sous peine de voir sa candidature rejetée. La marge étroite entre le nombre de parrainages validés et le seuil requis souligne l’importance cruciale de chaque signature dans le processus électoral.

Le leader du Grand Parti doit mobiliser rapidement le soutien nécessaire pour éviter tout risque de disqualification. La course à la Présidentielle de 2024 continue de révéler les enjeux et les défis auxquels sont confrontés les candidats lors du contrôle des parrainages, une étape déterminante dans la course politique au Sénégal.

Habib Sy, candidat à la Présidentielle, franchit avec succès l’étape des parrainages grâce à l’appui décisif des députés de l’ex-parti Pastef

La commission du Conseil constitutionnel, en charge de l’examen des dossiers de candidature pour l’élection présidentielle du 25 février 2024, a intensifié ses travaux au cours du troisième jour. Au centre de l’attention se trouve la vérification minutieuse de la conformité des parrainages requis, une étape cruciale que chaque candidat doit franchir. Habib Sy, candidat affilié au PARTI DE L’ESPOIR ET DE LA MODERNITE/YAKAR U REW MI, a réussi brillamment cette étape importante.

Selon des sources concordantes, Habib Sy, réputé proche de Ousmane Sonko, a pris la décision stratégique d’utiliser des parrainages provenant de députés pour satisfaire aux exigences légales. Il lui était nécessaire d’obtenir un minimum de 13 soutiens de cette nature pour valider sa candidature. La commission du Conseil constitutionnel a validé ces parrainages, confirmant ainsi l’absence de doublons et la conformité avec les règles établies.

Des informations suggèrent qu’Habib Sy aurait réussi à valider ses parrainages grâce au soutien décisif des députés de l’ex-parti Pastef, soulignant la stratégie habile déployée pour assurer le succès de sa candidature. Cette avancée représente un pas significatif pour Habib Sy dans sa course à la Présidentielle 2024 et met en lumière l’importance des alliances et des appuis politiques dans le processus électoral. La suite du processus sera scrutée de près alors que les candidats continuent de traverser les étapes rigoureuses en vue de l’élection présidentielle à venir.

Vérification des parrainages pour la présidentielle 2024 : Des experts électoraux pointent les failles et appellent à une réforme du Code électoral

La vérification des parrainages pour les candidats à l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal est en cours, mais des experts électoraux ont mis en lumière divers manquements, tels que des clés USB défectueuses, des dossiers incomplets, des fiches de parrainage falsifiées, et des désistements de dernière minute. Ces problèmes ont conduit à des rejets de candidatures par le Conseil constitutionnel.

Djibril Gningue du Gradec souligne l’importance de la vérification préalable des dossiers avant de définir l’ordre de passage des candidats, conformément au Code électoral. Il rappelle que certains candidats déclarés avec des dossiers incomplets ont été inclus dans le tirage au sort au Conseil constitutionnel, violant ainsi le Code électoral.

El Hadj Seydou Nourou Dia, expert électoral, met l’accent sur la responsabilité des candidats, soulignant que ces derniers doivent s’assurer de remplir toutes les conditions et veiller au respect strict des modalités pour que leurs dossiers soient acceptés.

Djibril Gningue insiste sur le rôle crucial de la vérification dès le dépôt des dossiers, où le greffier doit signaler toute anomalie avec la clé USB au mandataire du candidat avant le tirage au sort.

El Hadj Seydou Nourou Dia plaide quant à lui pour une amélioration continue du Code électoral consensuel sénégalais. Selon lui, les cycles électoraux doivent être suivis de corrections pour rendre le Code électoral plus efficace et prévenir les manquements constatés lors des vérifications des parrainages.

Alors que le Conseil constitutionnel a déjà rejeté plusieurs dossiers de candidature, les experts électoraux appellent à une réforme continue du Code électoral pour garantir l’intégrité et l’équité du processus électoral au Sénégal. Le taux de réussite actuel est jugé très bas, soulignant la nécessité d’actions correctives pour les élections à venir.

Rejet de la demande d’annulation par la Cour suprême : Statu quo sur la nomination des membres de la CENA

La Cour suprême a rendu une décision cruciale le 3 janvier 2024 en statuant sur la demande d’annulation de la nomination des membres de la Commission électorale nationale autonome (CENA). Cette demande, déposée par l’expert électoral Ndiaga Sylla, visait à contester le décret présidentiel remplaçant l’ensemble des membres de la CENA.

La Cour suprême a déclaré l’irrecevabilité de la demande d’annulation, arguant que selon les motifs avancés, un simple citoyen n’a pas la compétence pour formuler ce type de requête. Cette décision met fin aux espoirs des opposants au décret présidentiel, dont Ndiaga Sylla, ainsi que d’autres organisations affiliées à l’opposition, qui avaient critiqué le remplacement intégral des membres de la CENA.

Le décret présidentiel avait suscité des inquiétudes quant à une possible violation de la loi par le Président de la République. Les critiques portaient notamment sur le fait que le mandat de certains membres de la précédente équipe n’était pas arrivé à expiration, ce qui contreviendrait aux règles régissant la nomination des membres. De plus, l’appartenance politique antérieure de l’un des nouveaux membres avait été soulignée comme étant contraire aux règles en vigueur.

Malgré ces contestations, la Cour suprême, présidée par son président, a jugé la demande irrecevable, maintenant ainsi la décision présidentielle en vigueur. Cette décision renforce le statu quo quant à la composition de la CENA, tout en soulignant les limites des recours possibles pour les citoyens ordinaires dans de telles affaires. L’évolution politique liée à la CENA sera à surveiller dans le contexte des prochaines élections et de l’impact potentiel sur le processus électoral.

Dr. Babacar Diop recalé au contrôle des parrainages : Un revers pour le maire de Thiès dans la course à la Présidentielle 2024

Le processus de contrôle des parrainages au Conseil constitutionnel continue d’occuper le devant de la scène, avec un verdict sans appel pour le maire de Thiès, Dr. Babacar Diop. Au troisième jour du processus, le dossier du Secrétaire général du parti « Forces démocratiques du Sénégal (FDS-Les Guelwaars) » et Enseignant-chercheur à l’Ucad a été rejeté par l’institution judiciaire chargée du contrôle des parrainages.

Cette décision représente un revers significatif pour Dr. Babacar Diop, qui aspirait à se présenter comme candidat à l’élection présidentielle de 2024. Le rejet de son dossier met en lumière les défis auxquels les candidats sont confrontés dans le cadre du choix entre le parrainage citoyen et celui par des élus.

Rappelons que pour le parrainage citoyen, chaque candidat doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. Les travaux de contrôle des parrainages ont débuté le 30 décembre, et jusqu’à présent, seuls quelques candidats, dont Boubacar Camara, Déthié Fall, Cheikh Tidiane Dieye, Dr. Daouda Ndiaye, Aliou Mamadou Dia, ont réussi cet examen crucial.

Le rejet du dossier de Dr. Babacar Diop souligne l’importance et la sévérité du processus de contrôle des parrainages, avec des conséquences majeures sur les aspirations présidentielles des candidats. La compétition pour la Présidentielle 2024 continue de s’intensifier, laissant présager des rebondissements et des enjeux politiques majeurs dans les semaines à venir.

Aliou Camara sous pression au Conseil constitutionnel : Le candidat en difficulté avec plus de 39 000 doublons

La tension règne au sein du Conseil constitutionnel où les dossiers de candidature à l’élection présidentielle de 2024 font l’objet d’une analyse minutieuse. Le candidat Aliou Camara connaît des sueurs froides alors que son dossier soumis à l’examen de l’institution judiciaire n’a pas validé ses parrainages lors du troisième jour du processus de contrôle.

Selon les informations fournies par la commission mise en place par le Conseil constitutionnel, le dossier d’Aliou Camara a révélé plus de 39 000 doublons externes à l’issue des vérifications des parrainages effectuées ce mercredi 3 janvier. Cette situation compromet sérieusement la validation de sa candidature, plongeant le candidat dans une situation délicate à quelques semaines de l’élection présidentielle.

Rappelons que chaque candidat a le choix entre deux types de parrainage : citoyen ou par des élus. Pour le parrainage citoyen, il est impératif de réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. La difficulté rencontrée par Aliou Camara met en lumière les défis auxquels sont confrontés les candidats dans le processus de contrôle des parrainages.

Depuis le démarrage du contrôle des parrainages le 30 décembre, seuls quelques candidats, dont Boubacar Camara, Déthié Fall, Cheikh Tidiane Dieye, Dr. Daouda Ndiaye, Aliou Mamadou Dia, ont réussi l’examen, soulignant la complexité et la rigueur de ce processus crucial pour la participation à la Présidentielle 2024. La suite des événements s’annonce donc décisive pour Aliou Camara, qui devra rapidement réagir pour régulariser sa situation et maintenir ses ambitions présidentielles.

Karim Wade valide ses parrainages avec succès : Une étape cruciale franchie dans la course présidentielle de 2024

Le candidat du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), Karim Wade, fils de l’ancien président de la République, a réussi avec brio la phase de vérification des parrainages dans le cadre de sa candidature à l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024 au Sénégal.

La commission spéciale relevant du Conseil constitutionnel, chargée de l’examen méticuleux des dossiers de candidature, a confirmé la conformité et la complétude des parrainages présentés par Karim Wade. Le candidat a pris une stratégie déterminante en optant pour l’utilisation exclusive des parrainages de députés, éliminant ainsi tout risque de doublons, une condition impérative pour la validation de sa candidature.

Karim Wade devait obtenir le soutien d’au moins 13 députés pour répondre aux exigences énoncées par le Code électoral. La commission de vérification a accordé une attention particulière aux documents fournis par le candidat, et après un examen minutieux, les parrainages de députés ont été jugés conformes aux critères stricts établis par le Code électoral sénégalais.

Cette étape cruciale franchie avec succès propulse Karim Wade dans la compétition présidentielle de 2024 de manière solide. Son choix stratégique et la validation de ses parrainages par la commission renforcent sa position dans la course, tandis que d’autres candidats continuent de faire face aux défis du processus de contrôle des parrainages. La scène politique sénégalaise reste ainsi sous tension, avec des enjeux électoraux de plus en plus palpables.

Sort incertain pour Boun Dionne au Conseil constitutionnel : Le candidat doit régulariser ses parrainages

Le processus de contrôle des parrainages en vue de l’élection présidentielle de 2024 se poursuit au Conseil constitutionnel, avec un coup de théâtre pour le candidat Mouhamadou Boun Abdallah Dione. L’ancien Premier ministre se retrouve dans une situation délicate, devant régulariser sa situation après avoir validé seulement 36 414 parrains sur les vérifications effectuées ce mercredi 3 janvier.

Le Conseil constitutionnel examine actuellement les dossiers des différents candidats, et malheureusement pour Boun Dionne, son dossier nécessite des ajustements pour répondre aux critères exigés. Cette nouvelle donne soulève des interrogations quant à l’avenir de sa candidature et à sa capacité à rassembler le nombre requis de parrainages.

La tension est à son comble, alors que d’autres candidats, tels qu’Aliou Camara et Karim Wade, sont également appelés par la Commission de contrôle des parrainages à se conformer aux règles établies.

Il est crucial de rappeler que chaque candidat a le choix entre deux types de parrainage : citoyen ou par des élus. Pour le parrainage citoyen, la collecte doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. Un défi de taille pour les prétendants à la présidence.

Depuis le début du processus de contrôle des parrainages le 30 décembre, seuls quelques candidats, dont Boubacar Camara, Déthié Fall, Cheikh Tidiane Dieye, Dr. Daouda Ndiaye, Aliou Mamadou Dia, ont réussi avec succès cet examen, laissant présager une compétition féroce et des rebondissements à venir dans la course à la présidentielle de 2024.

Investiture d’Amadou Ba par Benno Bokk Yakkar le 10 janvier 2024 : Une date connue au moment où les candidats finalisent leurs parrainages

La scène politique sénégalaise s’anime davantage à l’approche de l’élection présidentielle de 2024, avec l’annonce de la date d’investiture d’Amadou Ba par la coalition Benno Bokk Yakkar. Le candidat du président Macky Sall sera officiellement investi le mercredi 10 janvier 2024, sur l’esplanade du Grand Théâtre.

Cette révélation intervient alors que les différents candidats défilent devant le Conseil constitutionnel pour la validation de leurs dossiers de parrainages. Amadou Ba, le Premier Ministre et candidat soutenu par le président en exercice, semble confiant quant à la validation de ses parrainages, ayant opté pour le parrainage des élus locaux, tels que les maires et les présidents de Conseil départemental, pour renforcer sa position.

L’investiture prévue pour le 10 janvier 2024 pourrait néanmoins susciter des controverses, notamment en raison de l’interdiction récente de l’investiture de l’opposant Ousmane Sonko. Cette décision, prise il y a quelques jours, a déjà créé des remous dans le paysage politique, soulevant des interrogations sur l’équité du processus électoral.

Amadou Ba, en tant que représentant de la coalition Benno Bokk Yakkar, s’apprête ainsi à officialiser sa candidature dans un contexte politique tendu, où les enjeux de la présidentielle de 2024 se font de plus en plus palpables. La date du 10 janvier prochain sera sans aucun doute scrutée de près, alimentant les débats autour de la légitimité et de l’équité du processus électoral au Sénégal.

Situation délicate pour Mamadou Lamine Diallo au Conseil constitutionnel : le candidat doit régulariser ses parrainages en vue de la Présidentielle 2024

Le processus de contrôle des parrainages en prévision de l’élection présidentielle de 2024 se poursuit au sein du Conseil constitutionnel, mettant Mamadou Lamine Diallo dans une position délicate.

Parmi les autres candidats concernés par ce processus de contrôle, Mouhamadou Boun Abdallah, Aliou Camara, et Karim Wade sont également appelés à se conformer aux exigences du Conseil constitutionnel.

Il est important de rappeler que chaque candidat a le choix entre deux modes de parrainage : citoyen ou par des élus. Pour le parrainage citoyen, la collecte doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. Une étape cruciale qui conditionne l’éligibilité de chaque prétendant à la plus haute fonction de l’État.

La scène politique reste donc tendue, avec les candidats devant affronter les impératifs du processus démocratique et satisfaire aux exigences du Conseil constitutionnel pour participer à la course présidentielle de 2024. La suite des événements promet d’être riche en rebondissements et en enjeux politiques majeurs.

Contrôle des parrainages : Pape Djibril Fall envoyé au second tour

Lors du contrôle des parrainages pour l’élection présidentielle de 2024, le candidat Pape Djibril Fall a été recalé pour le moment par la commission. Son équipe doit régulariser environ 13 000 doublons externes, selon les informations fournies par son mandataire.

Devant la commission de contrôle des parrainages, le Parti de la Démocratie et du Progrès (PDF) dirigé par Pape Djibril Fall a réussi à obtenir plus de 30 000 parrainages validés. Cependant, afin de respecter les critères requis, le candidat dispose maintenant de 48 heures pour valider ces 13 000 parrainages supplémentaires. Cela déterminera s’il pourra participer à l’élection présidentielle de 2024.

Le processus de contrôle des parrainages est en cours, et les candidats ont un délai spécifique pour régulariser toute irrégularité identifiée par la commission. La compétition pour la présidentielle au Sénégal continue de susciter l’attention, et les résultats finaux des vérifications seront déterminants pour la liste finale des candidats. La commission poursuivra ses travaux dans les prochains jours.

Résultats complets des candidats après la deuxième journée de vérification des parrainages

Le 2 janvier 2024, la commission désignée par le Conseil constitutionnel a poursuivi l’examen des parrainages pour l’élection présidentielle au Sénégal. L’ordre de vérification, déterminé par tirage au sort, a influencé le processus. Pour être validé, un candidat doit obtenir un minimum de 44,231 parrainages, répartis dans au moins sept régions.

Voici un résumé des résultats de la deuxième journée d’examen :

  1. Mbacké Sarr (Mouvement Askan Wi) : Candidature invalidée. Motif inconnu.
  2. Alioune Sarr (CAP 2024) : Candidature invalidée. Seulement 17,000 parrains validés.
  3. Ibrahima Hamidou Deme (ENSEMBLE) : Parrainage non validé. Aucune déclaration après l’examen.
  4. Pr Daouda Ndiaye (Président Daouda Ndiaye 2024) : Candidature validée. Parrainages validés avec succès.
  5. Cheikh Bamba Dièye (FSDB-BJ) : Candidature invalidée. Seulement 14,534 parrains validés.
  6. Oumar Sylla (Candidat indépendant) : Candidature invalidée. Clé USB contenant les fichiers électroniques inexploitable.
  7. Cheikh Abdou Mbacké Barra Doly (Nekal fi Askan Wi) : Candidature invalidée. Plus de 15,000 signatures invalides.
  8. Talla Sylla (Alliance Jef Jel) : Dossier en attente d’examen. Mandataire absent.
  9. Jean Batiste Diouf (PDFP) : Candidature invalidée. N’a pas atteint le nombre requis de parrainages.
  10. Idrissa Seck (Coalition Idy 2024) : Candidature en attente de régularisation. 38,497 parrains valides.
  11. Charles Émile Abdou Ciss (Elegu Senegal/ Debout) : Candidature invalidée. Clé USB avec parrainages non exploitable.
  12. Khadim Diop (Xydma) : Candidature invalidée. Seulement 1,631 parrains valides et 41,617 doublons externes.
  13. Aliou Mamadou Dia (PUR) : Candidature validée. 47,383 parrainages validés.
  14. Birima MANGARA (UDP-Kiraay) : Candidature invalidée. Seulement 26,701 parrains validés.
  15. Amdy Diallo Sall (Coalition Defaral Sunu Bop Sunu Reew) : Candidature en attente d’examen. Mandataire absent.
  16. El Hadji Ibrahima Mbow (Union Citoyenne (UC)) : Retrait de candidature pour soutenir Ousmane Sonko.
  17. Ndiack Lakh (NDIACK LAKH 2024) : Candidature invalidée. Seulement 20,377 parrains valides.
  18. Serigne Mboup (And Nawle And Ligueey) : Candidature en attente de régularisation. Doit repasser pour compléter les parrainages.
  19. Papa Djibril Fall (Papa Djibril Fall_Président) : Candidature en attente de régularisation. 30,558 parrains validés avec 22,055 doublons externes.
  20. Ibrahima Datte (Candidat indépendant) : Candidature non complète. Dossier manquant le casier judiciaire.

La commission continuera à examiner les candidatures dans les prochains jours.

Communiqué du Conseil constitutionnel : Modalités de régularisation des parrainages pour les candidats à l’élection présidentielle

Le Conseil constitutionnel a publié un communiqué le 2 janvier 2024, détaillant les procédures de régularisation des parrainages pour les candidats à l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. Selon les dispositions de l’article L.126 du Code électoral, les candidats nécessitant une régularisation ne pourront le faire qu’après avoir reçu une notification spécifique du Chef du greffe.

Le communiqué souligne qu’aucun dossier de parrainage pour la régularisation ne sera accepté au greffe du Conseil constitutionnel avant que la notification ne soit reçue par les mandataires des candidats. Cette mesure vise à structurer le processus de candidature et à garantir le respect des procédures légales, en particulier pour les candidats susceptibles de mal interpréter la possibilité de régulariser des manquements relatifs à leurs parrainages.

Cette annonce du Conseil constitutionnel a pour objectif de clarifier les démarches à suivre pour les candidats et leurs équipes, afin d’assurer un processus électoral transparent et conforme aux lois établies.

Vérification des Parrainages : La candidature de Serigne Mboup en rattrapage

La candidature de Serigne Mboup, actuel maire de Kaolack, est actuellement en phase de rattrapage après que la commission de contrôle des parrainages n’ait pas encore validé son dossier.

Malgré le dépôt de plus de 58 000 parrainages, le mandataire de Serigne Mboup, Mbaye Ngom, a indiqué que 116 rejets ont été enregistrés en raison de non-inscriptions sur le fichier électoral, ainsi que 27 107 doublons externes. Cependant, ils ont réussi à valider dans six régions, en attendant la validation de la dernière région restante.

Ce processus de rattrapage souligne les défis auxquels sont confrontés les candidats pour garantir la conformité de leurs dossiers de parrainages lors des élections présidentielles à venir.

Mauvaise nouvelle pour Ndiack Lakh : Recalé après le contrôle des parrainages

Ndiack Lakh, le leader de PÉNC, se retrouve dans une situation difficile après les opérations de contrôle des parrainages. Sa participation en tant que candidat à l’élection présidentielle de 2024 prend fin à la suite de son élimination.

L’ingénieur civil des mines n’a pas réussi à passer le cap du parrainage, ayant validé seulement 20 377 parrainages. Cette nouvelle élimination souligne les défis et la compétitivité accrue auxquels sont confrontés les candidats lors du processus de contrôle des parrainages pour les élections présidentielles à venir.

Mauvaise nouvelle pour Birima Mangara : Recalé après le contrôle des parrainages

Birima Mangara, ancien ministre du Budget de la République du Sénégal de 2014 à 2019, fait face à une mauvaise nouvelle dans sa quête présidentielle. À l’issue des opérations de contrôle des parrainages, sa participation en tant que candidat à la présidentielle de 2024 prend fin.

L’ancien ministre, qui avait annoncé sa candidature le jeudi 27 septembre 2023 sous la bannière de la coalition « Andaat Défar Senegal » et du parti UDP-Kiraay (Union pour la Démocratie et le Progrès, Kiraay), n’a réussi à obtenir que 26 701 parrainages.

Cette nouvelle élimination souligne la compétition intense et la rigueur des critères imposés par le Conseil constitutionnel lors du processus de contrôle des parrainages pour les candidats à la présidentielle de février 2024.

Le PUR, parti d’Aliou Mamadou Dia, valide ses parrainages avec succès pour la Présidentielle de 2024

Dans le cadre des préparatifs pour l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal, le Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR), dirigé par Aliou Mamadou Dia, a franchi avec succès l’étape cruciale du contrôle des parrainages par le Conseil constitutionnel.

Aliou Mamadou Dia et son équipe ont réussi à valider 47 383 parrainages, une étape déterminante visant à vérifier la validité des signatures et à assurer la conformité aux exigences légales. Cette validation constitue un passage obligé pour tous les partis politiques aspirant à présenter un candidat à la plus haute fonction du pays.

Après l’annonce de cette information, Aliou Mamadou Dia a réagi sur sa page Facebook en exprimant sa gratitude envers tous ses concitoyens d’ici et de la diaspora. Il a déclaré : « Parrainage validé ! À tous mes concitoyens d’ici et de la diaspora, je dis MERCI ! Ensemble, on gagne ! »

Cette réussite marque une étape importante pour le PUR et son candidat Aliou Mamadou Dia dans la course à la présidentielle de 2024.

Succès aux parrainages pour le PUR : Une étape cruciale franchie avec succès

Le Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR) a réussi brillamment l’étape cruciale du contrôle des parrainages en vue de l’élection présidentielle de 2024 au Sénégal. Cette étape, menée par le Conseil constitutionnel, a pour objectif de vérifier la validité des signatures et de s’assurer de la conformité aux exigences légales pour tous les partis politiques qui souhaitent présenter un candidat à la présidence.

Le PUR, dirigé par son leader, a réussi à franchir avec succès cette phase, renforçant ainsi sa position en vue de l’élection présidentielle à venir. La validation des parrainages représente une étape essentielle dans le processus électoral et offre au PUR la possibilité de continuer à participer activement à la course présidentielle, affirmant ainsi son engagement envers la démocratie et le choix du peuple sénégalais.

Échec aux parrainages pour Khadim Diop : Seulement 1631 signatures validées

Khadim Diop, le leader de la coalition Xidma, a été recalé d’office par la commission de contrôle des parrainages, qui a invalidé son dossier. Le candidat n’a réussi à valider que 1631 parrainages, marquant ainsi un échec significatif dans sa tentative de participer à l’élection présidentielle.

La commission a également relevé un nombre alarmant de 41 617 doublons externes dans le dossier de Khadim Diop, établissant ainsi un record en termes de plus faible nombre de parrainages validés et de doublons externes dans cette phase de contrôle.

Cette décision représente un revers majeur pour Khadim Diop et sa coalition, qui devront désormais envisager les étapes suivantes après cet échec aux parrainages. Le nombre insuffisant de signatures validées compromet sérieusement la candidature de Khadim Diop à l’élection présidentielle de 2024.

Cheikh Bamba Dièye recalé par le Conseil constitutionnel : Une réaction empreinte de gratitude

Suite à sa recalibration lors du contrôle des parrainages par le Conseil constitutionnel, Cheikh Bamba Dièye, leader du parti Front pour le Socialisme et la Démocratie/Benno Jubël (FSD-BJ), a réagi avec reconnaissance et gratitude envers ses partisans.

Dans une déclaration, Cheikh Bamba Dièye a exprimé sa gratitude envers les responsables, militants et sympathisants du FSD-BJ qui ont travaillé ardemment pour concrétiser leur vision ambitieuse pour le Sénégal. Malgré cette déconvenue, il a tenu à souligner l’engagement sans faille de ses partisans dans la poursuite de leurs objectifs communs.

« Je viens par la présente annoncer que nous avons été recalés. Je voudrais saisir cette occasion pour remercier du fond du cœur les responsables, militants et sympathisants du FSD-BJ qui, à côté de nos compatriotes, se sont mobilisés comme jamais pour réaliser la grande ambition que nous avons pour le Sénégal », a déclaré Cheikh Bamba Dièye.

Il a conclu en réaffirmant son amour pour le Sénégal et son engagement à continuer de servir le pays pour le bénéfice des Sénégalais. « Nous aimons et n’avons que le Sénégal et nous continuerons avec les qualités qui sont les nôtres à le servir pour le seul bénéfice des Sénégalais. Merci à tous. Excellente année 2024 », a ajouté Cheikh Bamba Dièye.

Idrissa Seck recalé par la commission de contrôle des parrainages : Course contre la montre pour compléter 8613 signatures

La commission de contrôle des parrainages a recalé la candidature d’Idrissa Seck, leader du Rewmi, pour l’élection présidentielle de 2024. Selon la commission, il lui manque 8613 signatures pour atteindre le nombre requis. Le politicien dispose désormais d’un délai de 48 heures pour régulariser son dossier.

Idrissa Seck avait initialement obtenu 38 497 signatures valides, mais la commission a identifié des doublons externes dans son dossier. Son mandataire, Ass Babacar Gueye, reste optimiste quant à la possibilité de compléter ces signatures manquantes. Il a déclaré : « Nous sommes en séance de rattrapage comme en 2019, mais nous avons validé le nombre de parrains requis pour les régions. Le nombre de doublons que nous avons peut être comblé et avec le nombre de parrains que nous avons en stock. »

La période de rattrapage de 48 heures sera cruciale pour la candidature d’Idrissa Seck. Si elle parvient à compléter avec succès les signatures manquantes, son dossier sera soumis à une vérification plus approfondie des autres documents. Cependant, en cas d’échec, cela pourrait compromettre sa participation à l’élection présidentielle prévue en 2024.

La course contre la montre commence donc pour le leader du Rewmi, qui devra mobiliser rapidement ses ressources pour répondre aux exigences de la commission de contrôle des parrainages.

Naissance du mouvement des Arabophones au Sénégal : Revendications et Objectifs

Le Mouvement des arabophones du Sénégal (MAS) a été officiellement créé lors d’un congrès national tenu le samedi 30 décembre à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Le MAS vise à représenter les intérêts des arabophones du pays, y compris les chefs religieux, et à faire entendre leurs préoccupations.

Selon l’imam Assane Seck, porte-parole du mouvement, l’objectif principal est de défendre les droits des arabophones et de promouvoir leur insertion professionnelle, mettant en valeur leurs compétences au service du pays. Les revendications du MAS couvrent divers domaines, notamment l’équité, la reconnaissance des compétences spécialisées des arabophones, et la participation active dans différents secteurs, tels que la police et la justice.

Imam Assane Seck a souligné que les revendications du MAS ne sont pas fantaisistes, mais plutôt axées sur l’équité et la reconnaissance des compétences des arabophones. Il a cité des domaines tels que la police, où la culture islamique des arabophones pourrait contribuer de manière significative à résoudre certains problèmes, compte tenu de la population largement musulmane du Sénégal.

Parmi les revendications spécifiques du MAS figurent l’intégration de l’arabe dans les universités virtuelles, l’ouverture de départements en arabe dans toutes les universités de langues étrangères appliquées, le recrutement d’arabophones dans les ambassades, et une université publique proposant toutes les filières scientifiques.

Le MAS cherche ainsi à jouer un rôle actif dans la défense des droits et des intérêts des arabophones au Sénégal, plaidant pour une meilleure représentation et reconnaissance dans différents secteurs de la société.

Charles Emile Ciss recalé lors du contrôle des parrainages en raison d’une clef USB inexploitable

Lors du processus de contrôle des parrainages par le Conseil constitutionnel au Sénégal, de nombreux candidats font face à des recalages, et Charles Emile Ciss, candidat de la Coalition ËLËGU SENEGAL, en fait partie. Sa candidature a été rejetée par la commission de contrôle des parrainages ce mardi en raison d’une clef USB non exploitable.

L’ancien Directeur de la Solde, qui avait quitté la coalition au pouvoir Benno Bokk Yakaar en août 2023 pour se présenter à l’élection présidentielle de 2024, a rencontré des obstacles lors de la vérification de ses parrainages. La commission de contrôle a identifié une clef USB inexploitable dans son dossier, ce qui a conduit au rejet de sa candidature.

Ce rejet souligne l’importance de la conformité aux exigences techniques lors de la soumission des dossiers de candidature. Les candidats sont tenus de présenter des documents corrects et exploitables pour éviter tout désagrément lors du processus de contrôle des parrainages, une étape cruciale dans la validation des candidatures présidentielles au Sénégal.

Vérification des parrainages : Arguments pertinents de Djibril Gningue et El Hadj Seydou Nourou Dia

Le Conseil constitutionnel du Sénégal poursuit le processus d’examen des dossiers de candidature, avec 93 candidats déclarés soumis au tirage au sort pour le contrôle et la vérification des parrainages. Cependant, des candidatures ont été rejetées en raison de divers problèmes tels que des clés USB défectueuses, des dossiers incomplets, des fiches de parrainage falsifiées ou des désistements de dernière minute. Face à ces défis, Djibril Gningue du Gradec et l’expert électoral El Hadj Seydou Nourou Dia soulèvent des arguments pertinents.

Djibril Gningue souligne la nécessité de vérifier les dossiers avant de procéder au tirage au sort, conformément aux dispositions du code électoral. Il souligne que des candidats déclarés avec des dossiers incomplets ont été inclus dans le tirage au sort, ce qui constitue une violation du code électoral. Selon lui, le greffier devrait vérifier les dossiers à ce stade et notifier tout problème au mandataire avant le tirage.

D’un autre côté, El Hadj Seydou Nourou Dia partage l’avis selon lequel la responsabilité incombe aux candidats de s’assurer que leurs dossiers remplissent toutes les conditions requises. Il estime que les prétendants doivent veiller au strict respect des modalités pour que leurs dossiers soient acceptés.

Les deux experts mettent en lumière la nécessité de perfectionner le code électoral consensuel sénégalais à la fin de chaque cycle électoral. Ils appellent à des ajustements pour améliorer le processus électoral et éviter les problèmes rencontrés lors de la vérification des parrainages.

Alors que l’examen se poursuit au Conseil constitutionnel, la question de la vérification des dossiers avant le tirage au sort reste au cœur des préoccupations, soulignant l’importance d’une réforme continue du cadre électoral pour garantir des élections transparentes et équitables.

Situation incertaine pour la candidature d’Idrissa Seck à la présidentielle : Un regard sur les développements récents

Le processus de vérification des dossiers de parrainage des candidatures pour l’élection présidentielle au Sénégal, prévue le 25 février, continue de susciter des rebondissements. Après avoir étudié les dossiers de 20 candidats jusqu’au 30 décembre, trois ont été validés, tandis que d’autres ont vu leur candidature rejetée en raison de diverses irrégularités, notamment des doublons ou des parrainages non reconnus.

Le 2 janvier, le processus de vérification a repris après une pause pour les fêtes de fin d’année. Parmi les candidats dont le sort est encore incertain figure Idrissa Seck. À ce stade, sa candidature n’est pas encore validée car ses parrainages ne répondent pas pleinement aux critères requis. Il doit régulariser plus de 6 000 parrainages pour être éligible à l’élection présidentielle.

Si Idrissa Seck parvient à régulariser les parrainages nécessaires, sa candidature sera ensuite soumise à une vérification plus approfondie des autres documents présentés. Cependant, si cela n’est pas réalisé, l’ancien allié du président Macky Sall pourrait être exclu de la course présidentielle de février.

Le mandataire d’Idrissa Seck a commenté la situation en déclarant : « Nous sommes en séance de rattrapage comme en 2019. Nous avons validé le nombre de parrains dans les régions. Nous avons un stock pour compléter. Mais il y a un fait qui revient et qui pose problème, c’est la mention ‘rejet pour non inscription sur le fichier' ».

L’avenir de la candidature d’Idrissa Seck reste incertain à ce stade, et les développements des prochaines heures seront déterminants pour son parcours politique dans cette élection présidentielle.

Talla Sylla : attente de vérification des parrainages et les implications pour sa candidature

Le processus de vérification des dossiers de parrainage pour les candidatures à l’élection présidentielle du 25 février se poursuit au Sénégal. Après avoir examiné 20 candidatures le 30 décembre, 3 ont été validées, mais plusieurs autres ont été rejetées en raison de diverses irrégularités. Les travaux ont repris le 2 janvier après une pause pour les fêtes de fin d’année.

Parmi les candidats en attente de vérification se trouve Talla Sylla, ancien maire de Thiès. Lors de son passage pour le contrôle des parrainages, le mandataire de Talla Sylla ne s’est pas présenté au Conseil constitutionnel. Selon les procédures établies, le dossier de Talla Sylla sera examiné après que tous les autres candidats de la liste auront été traités. La date prévue pour cette vérification est le 5 janvier, en même temps que celle d’Ousmane Sonko.

Cette attente prolongée pour la vérification des parrainages pourrait avoir des implications pour la campagne électorale de Talla Sylla, car le temps joue un rôle crucial dans la préparation et la mise en œuvre de stratégies électorales. L’issue de la vérification déterminera si la candidature de Talla Sylla est acceptée ou rejetée, influençant ainsi la dynamique politique à l’approche de l’élection présidentielle.

Jean Baptiste Diouf évincé de la course Présidentielle : Un coup dur pour le candidat du PDFP

Le Conseil constitutionnel du Sénégal, en collaboration avec une commission dédiée, poursuit le processus d’examen des dossiers de parrainage pour les candidatures à l’élection présidentielle prévue le 25 février. Après avoir évalué 20 candidatures jusqu’au 30 décembre, seulement 3 ont été validées, tandis que plusieurs autres ont été rejetées, principalement pour des raisons de doublons ou de parrainages ne figurant pas sur les listes électorales.

La commission a repris ses travaux le 2 janvier après une pause pour les fêtes de fin d’année. Parmi les candidats examinés ce jour-là, la candidature de Jean Baptiste Diouf, représentant le Parti du Dialogue Fraternel pour la Paix (PDFP), a été rejetée. Les raisons spécifiques de ce rejet n’ont pas été rendues publiques.

Pour Jean Baptiste Diouf, cette décision constitue un coup dur dans sa quête présidentielle, le privant de la possibilité de participer à l’élection présidentielle imminente. Ces événements soulignent l’importance cruciale du processus de vérification des parrainages et des critères établis par le Conseil constitutionnel dans le cadre des élections présidentielles au Sénégal.

Cheikh Abdou Bara Doly evincé de la course présidentielle : Un nouveau revers pour les candidats rejetés

Le Conseil constitutionnel du Sénégal, assisté par une commission dédiée, poursuit le processus d’examen des dossiers de parrainage des candidats à l’élection présidentielle prévue le 25 février. Après avoir évalué 20 candidatures jusqu’au 30 décembre, seulement 3 ont été validées, tandis que plusieurs autres ont été rejetées, principalement pour des raisons de doublons ou de parrainages ne figurant pas sur les listes électorales.

La commission a repris ses travaux le 2 janvier après une pause pendant les fêtes de fin d’année. Parmi les candidats examinés ce jour-là, la candidature de Cheikh Abdou MBACKE, également connu sous le nom de Cheikh Abdou MBACKE Bara Doly, a été rejetée. Les raisons spécifiques de ce rejet n’ont pas été rendues publiques.

Pour Cheikh Abdou MBACKE et les autres candidats dont la candidature a été rejetée, il s’agit d’un nouveau revers dans leur quête présidentielle. Ces événements soulignent l’importance cruciale du processus de vérification des parrainages et des critères établis par le Conseil constitutionnel dans le cadre des élections présidentielles au Sénégal.

Oumar Sylla écarté de la course présidentielle : Un coup dur pour sa candidature indépendante

Le Conseil constitutionnel du Sénégal, assisté par une commission dédiée, poursuit le processus de vérification des dossiers de parrainage des candidats à l’élection présidentielle prévue le 25 février. Après l’examen de 20 candidatures jusqu’au 30 décembre, seules 3 ont été validées, tandis que plusieurs autres ont été rejetées principalement pour des raisons de doublons ou de parrainages ne figurant pas sur les listes électorales.

Après une pause pendant les fêtes de fin d’année, le travail de vérification a repris ce 2 janvier. La candidature d’Oumar Sylla, un candidat indépendant, a été invalidée par la Commission. Ce processus de vérification méticuleux des parrainages se poursuit au sein du Conseil constitutionnel, avec une quinzaine de dossiers restant à examiner pour la journée avant de passer à un nouveau groupe le mercredi 3 janvier.

Cette décision constitue un coup dur pour la candidature indépendante d’Oumar Sylla, l’écartant de la course présidentielle. Bien que les raisons spécifiques de l’invalidation n’aient pas été détaillées, il est clair que des problèmes liés aux parrainages ont été identifiés. Ce rejet souligne l’importance cruciale du processus de vérification des parrainages dans le cadre des élections présidentielles au Sénégal.

Cheikh Bamba Dièye exclu de la course présidentielle : Un coup dur pour sa candidature

Le Conseil constitutionnel du Sénégal, en collaboration avec une commission dédiée, a poursuivi l’examen des dossiers de parrainage pour les candidats à l’élection présidentielle prévue pour le 25 février. Après avoir évalué 20 candidats jusqu’au 30 décembre, seuls 3 ont vu leur candidature validée, tandis que plusieurs ont été rejetés en raison de doublons ou de parrainages non enregistrés sur les listes électorales.

La session du 2 janvier a été consacrée à l’examen de la candidature de Cheikh Bamba Dièye, représentant le FSDB-BJ. À la suite de l’évaluation de ses parrainages, sa candidature a été invalidée par le Conseil constitutionnel. La raison principale de cette invalidation est le nombre insuffisant de parrains validés, s’élevant à 14 534, bien en deçà du nombre requis pour une validation.

Cette décision constitue un coup dur pour la candidature de Cheikh Bamba Dièye, l’excluant de la course présidentielle. Les raisons spécifiques de l’invalidation n’ont pas été publiées de manière détaillée, mais le nombre insuffisant de parrains semble être le motif principal.

Pr Daouda Ndiaye obtient la validation de ses parrainages pour la présidentielle de 2024

Le Professeur Daouda Ndiaye, candidat à l’élection présidentielle de février 2024, a franchi avec succès l’étape cruciale du contrôle des parrainages. La Commission de contrôle du Conseil constitutionnel a validé le dossier de candidature du Pr Daouda Ndiaye, marquant ainsi une étape importante dans sa course à la présidence.

Selon les informations fournies par la Commission, le Pr Daouda Ndiaye a réussi à obtenir 46 656 parrainages valides, avec seulement 7 156 rejets. Cette confirmation intervient après les récents rejets de candidatures, dont celles de Mbacké Sarr, Aliou Sarr et Juge Dème.

Le Pr Daouda Ndiaye est ainsi devenu le seul candidat à valider son dossier lors de cette séance, rejoignant les trois autres candidats (Boubacar Camara, Cheikh Tidiane, et Déthié Fall) dont les candidatures ont été validées le 30 décembre 2023.

Cette étape cruciale ouvre la voie pour le Pr Daouda Ndiaye à participer activement à la campagne électorale en vue de l’élection présidentielle du 25 février 2024.

Pape Djibril Fall, candidat présidentiel Sénégalais, appelle à l’audace pour un avenir meilleur

Dans un discours de fin d’année, Pape Djibril Fall, candidat à la présidentielle de février 2024 au Sénégal, a adressé un appel passionné à la nation. Revenant sur les défis majeurs de l’année 2023, il a souligné les troubles socio-politiques et les conséquences économiques de la crise russo-ukrainienne sur la vie quotidienne des Sénégalais. Avec une jeunesse représentant 76% de la population, il a dépeint un tableau alarmant de désespoir, évoquant la migration des jeunes vers l’Europe.

Malgré les ressources nationales prometteuses, notamment en gaz et pétrole, Pape Djibril Fall a critiqué l’incapacité du pays à transformer ces richesses en opportunités pour sa jeunesse. En prévision de l’élection présidentielle, il a posé un défi : réécrire l’avenir du Sénégal en priorisant l’équité, la solidarité et la bonne gouvernance.

Le discours a également mis en lumière les défis socio-économiques auxquels les Sénégalais ont été confrontés en 2023, soulignant le besoin de solutions audacieuses et novatrices. Pape Djibril Fall a exhorté ses compatriotes à relever ces défis avec détermination et à croire en la possibilité de créer un avenir meilleur pour le Sénégal.

L’élection présidentielle du 25 février 2024 a été présentée comme une opportunité cruciale pour la génération actuelle de diriger le pays vers une nouvelle ère. Pape Djibril Fall a conclu son discours en encourageant ses concitoyens à agir avec audace, à espérer un lendemain meilleur et à travailler ensemble pour réussir l’inédit.

Rejet de la candidature de Juge Dème par la commission de contrôle des parrainages

Le 2 janvier, le Conseil constitutionnel a repris l’examen des dossiers de parrainage des candidats à l’élection présidentielle prévue le 25 février. Après avoir validé trois candidatures sur vingt examinées au 30 décembre, plusieurs autres ont été rejetées pour diverses raisons, notamment des doublons ou des parrainages non conformes aux listes électorales.

Parmi les candidatures examinées, celle d’Ibrahima Hamidou Dème, mieux connu sous le nom de Juge Dème et candidat du Parti ETIC, a été invalidée par le Conseil constitutionnel à la suite de l’examen de ses parrainages.

Les raisons précises de cette invalidation n’ont pas encore été rendues publiques, mais elles seront probablement communiquées ultérieurement par le Conseil constitutionnel. Ce processus souligne l’importance du respect des critères légaux et réglementaires dans le processus électoral, et la transparence continue est essentielle pour garantir l’intégrité du processus démocratique.

Rejet de la candidature d’Aliou Sarr par le Conseil constitutionnel

Ce 2 janvier, dans le cadre de la vérification des dossiers de parrainage des candidatures pour l’élection présidentielle prévue le 25 février, le Conseil constitutionnel a invalidé la candidature d’Aliou Sarr, représentant la coalition Convergence pour une alternative progressiste en 2024.

Le 30 décembre 2023, après avoir examiné les dossiers de 20 candidats, dont 3 ont été validés, plusieurs candidatures ont été rejetées en raison de divers problèmes, tels que des doublons ou des parrainages ne figurant pas sur les listes électorales.

À ce stade, la nature exacte des irrégularités ou des problèmes ayant entraîné le rejet de la candidature d’Aliou Sarr n’a pas été spécifiée. Les raisons précises seront probablement communiquées ultérieurement par le Conseil constitutionnel, soulignant ainsi l’importance du respect des critères légaux et réglementaires dans le processus électoral. Cela souligne également la nécessité d’une transparence continue pour garantir l’intégrité du processus démocratique.

Commission de vérification des parrainages : Juge Dème et Pr Daouda Ndiaye appelés

La commission de contrôle des parrainages pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 a repris ses travaux ce mardi, marquant la suite du processus de vérification des candidatures. Après l’invalidation du dossier de Mbacké Sarr sans divulgation des motifs, deux autres candidats, Juge Dème et Pr Daouda Ndiaye, sont appelés devant les membres de la commission.

Le processus de contrôle des parrainages a débuté samedi dernier, où parmi les 20 candidats convoqués, Boubacar Camara, Cheikh Tidiane Dièye, et Déthié Fall ont réussi à valider leurs parrainages. Pour obtenir des parrainages, chaque candidat a trois options : le parrainage citoyen, le parrainage parlementaire, ou le parrainage des maires et présidents de conseils départementaux.

  • Le parrainage citoyen nécessite la réunion de 0,6 à 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs.
  • Le parrainage parlementaire requiert les signatures de 8 % des députés, soit au moins 13 signatures.
  • La troisième option exige les signatures de 20 % des maires et présidents de conseils départementaux, soit au moins 120 signatures.

La campagne officielle en vue du scrutin présidentiel débutera le 4 février. Les travaux de la commission de vérification des parrainages jouent un rôle crucial dans le processus électoral, assurant ainsi la conformité des candidatures avec les exigences légales et réglementaires. Les prochaines étapes de cette vérification continueront de façonner le paysage politique en préparation de l’élection présidentielle.

La candidature de Mbacké Sarr recalée par la commission de vérification des parrainages

Le processus de vérification des parrainages des candidats à l’élection présidentielle au Sénégal, prévue le 25 février, se poursuit avec l’examen des dossiers par le Conseil constitutionnel et une commission dédiée. Après une pause pendant les fêtes de fin d’année, les travaux ont repris le 2 janvier avec l’étude du dossier de Mbacké Sarr. Malheureusement, à l’issue de la vérification de ses parrainages, sa candidature a été invalidée par le Conseil constitutionnel.

Les motifs précis de cette invalidation n’ont pas encore été communiqués par le candidat ni par ses représentants. Cependant, ils ont reçu un procès-verbal détaillant les raisons de cette décision. Bien que non confirmé, il est supposé que le problème relève des parrainages, un aspect scruté de près dans l’ensemble des dossiers, notamment à travers le fichier de parrainage.

Le rejet de la candidature de Mbacké Sarr s’inscrit dans le cadre du processus rigoureux mis en place pour s’assurer de la conformité des parrainages avec les critères définis par la loi électorale. Cela souligne l’importance du respect des procédures et des règles électorales pour garantir l’intégrité du processus électoral. Les prochaines étapes du contrôle des parrainages continueront à façonner le paysage politique en amont de l’élection présidentielle.

Un candidat recalé dépose déjà un recours auprès du Conseil constitutionnel

Malick Gueye, candidat recalé pour des raisons techniques, a pris l’initiative de déposer un recours officiel auprès du Conseil constitutionnel. Cette démarche intervient le mardi 2 juin, dans l’objectif d’obtenir une réévaluation de son dossier.

Le rejet de la candidature de Malick Gueye découle d’un incident technique. En effet, le Conseil constitutionnel a rencontré des difficultés lors du transfert des données nécessaires à la validation de la candidature, stockées sur une clé USB. Cette problématique n’a pas trouvé de solution immédiate, conduisant au rejet de la candidature.

Face à cette situation, le candidat et son équipe ont cherché une réponse formelle du Conseil constitutionnel quant à la validité de leur candidature. La réponse obtenue indique que le Conseil n’était pas en mesure de fournir une confirmation immédiate.

Le dépôt du recours vise donc à solliciter une nouvelle évaluation du dossier de Malick Gueye, mettant en avant le caractère technique de l’incident qui a entravé le processus initial de validation. Cette démarche souligne l’importance des procédures équitables et transparentes dans le processus électoral, garantissant ainsi le respect des droits de chaque candidat à participer à la compétition politique. Le Conseil constitutionnel devra examiner attentivement le recours et prendre une décision éclairée sur cette question.

Contrôle des Parrainages : 18 candidats convoqués au Conseil Constitutionnel ce mardi

Le contrôle des parrainages a débuté samedi dernier, et parmi les 20 candidats convoqués à ce moment-là, Boubacar Camara, Cheikh Tidiane Dièye, et Déthié Fall ont réussi à valider leurs parrainages. Aujourd’hui, la commission examinera les parrainages des candidats suivants : Alioune Sarr, Ibrahima Hamidou Dème, Daouda Ndiaye, Cheikh Mamadou Abiboulave Dièye, Oumar Sylla, Cheikh Abdou Mbacké, Talla Sylla, Jean Baptiste Diouf, Idrissa Seck, Charles Emile Abdou Ciss, Khadim Diop, Aliou Mamadou Dia, Birima Mangara, Amdy Diallo Fall, Ndiack Lakh, Serigne Mboup, Papa Djribril Fall, et Ibrahima Datt.

  • Pour le parrainage citoyen, le candidat doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs.
  • La troisième option nécessite les signatures de 20 % des maires et présidents de conseils départementaux, soit au moins 120 signatures.

La campagne officielle en prévision du scrutin présidentiel débutera le 4 février. Ce processus de contrôle des parrainages joue un rôle crucial dans la qualification des candidats pour la course à la magistrature suprême, façonnant ainsi le paysage politique en amont des élections.

Présidentielle 2024 au Sénégal : 11 candidats n’ont pas versé la caution, des candidatures en suspens

Alors que 93 candidats ont déclaré leur intention de participer à l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024 au Sénégal, une information révélée par Source A indique que onze d’entre eux n’ont pas encore versé la caution requise, fixée à 30 millions de francs CFA. Cette situation suscite des interrogations quant à la validité de leurs candidatures et à la conformité des dossiers déposés auprès du Conseil constitutionnel.

Parmi les candidats concernés par cette situation, figurent notamment Ousmane Sonko et Me Moussa Diop. La source indique que l’absence d’attestation pose un problème majeur, car la CDC a refusé de la délivrer malgré les démarches entreprises. Dans le cas de Ayib Daffé, mandataire du maire de Ziguinchor Cheikh Issa Sall, une quittance délivrée par la CDC après le versement de la caution ainsi qu’un relevé du compte bancaire ont été déposés en remplacement de l’attestation manquante.

Quant à Me Moussa Diop, actuellement détenu, l’explication avancée concerne le non-signalement à temps de sa lettre de procuration par le juge d’instruction.

Ces révélations laissent planer des incertitudes sur la validité de certaines candidatures à la présidentielle de 2024. L’article souligne les défis auxquels sont confrontés ces candidats et les complications potentielles qui pourraient découler de l’absence de pièces justificatives requises. La situation met en lumière les enjeux de conformité des candidatures et soulève des questions quant à la clarté et à la transparence du processus électoral à l’approche de l’échéance présidentielle.

Thierno Alassane Sall (TAS) exprime ses vœux pour un Sénégal apaisé et réuni autour de ses valeurs sociétales en 2024

À l’aube de l’année 2024, Thierno Alassane Sall, président de la République des Valeurs Réewum_Ngor, adresse ses vœux les plus chaleureux au peuple sénégalais, tout en partageant sa vision pour une nation réenchantée, réhabilitée, et élevée au rang des grandes nations.

Le président de la République des Valeurs Réewum_Ngor met particulièrement l’accent sur des principes tels que l’éthique, la droiture, l’intégrité, et le savoir. Selon lui, ces valeurs sont essentielles pour guider le Sénégal vers un avenir où la justice, la transparence, et la solidarité prévalent.

Tension au MPCL : Bagarre entre Gadio Fils et le porte-parole, la question de la succession en suspens

Au sein du Mouvement des Patriotes pour le Changement et la Libération (MPCL), une scène de tension a éclaté lors d’une réunion du directoire de campagne de Cheikh Tidjane Gadio, candidat à l’élection présidentielle. La confrontation, ayant impliqué le fils de Gadio et le porte-parole du parti, le Professeur Louis Ibrahima Mango, soulève des interrogations sur la gestion interne du parti et la question de la succession.

Les faits se sont déroulés au siège du MPCL, où des membres du directoire de campagne étaient réunis pour résoudre la problématique du nombre de parrains requis par le Conseil constitutionnel. Cependant, la situation a dégénéré lorsque des reproches ont été adressés à Gadio-fils, l’accusant d’interférences excessives dans les affaires du parti et d’imposer ses règles.

Selon des sources présentes, le comportement jugé autoritaire de Gadio-fils au sein du parti suscite des inquiétudes parmi les membres du MPCL. Certains comparent son attitude à celle de Karim Wade, soulignant une possible volonté de s’immiscer dans les décisions du parti.

La question cruciale qui se pose est de savoir si Cheikh Tidjane Gadio adopte une attitude similaire à celle d’Abdoulaye Wade en cherchant à imposer son fils au sein du parti. Cette situation met en lumière les enjeux liés à la succession au sein du MPCL et soulève des interrogations sur la manière dont le leadership est exercé au sein de la formation politique.

L’implication directe de Gadio-fils dans les affaires du parti remet en question la stabilité interne du MPCL et soulève des préoccupations quant à la direction future du mouvement. La gestion de cette tension interne sera cruciale pour l’avenir du parti et pour la crédibilité de Cheikh Tidjane Gadio en tant que candidat présidentiel.

Dr El Hadji Ibrahima Mbow retire sa candidature et rejoint la coalition « Sonko Président » pour l’élection présidentielle de février 2024 au Sénégal

Dans une décision inattendue, le président du parti Uc/Bunt-Bi, Dr El Hadji Ibrahima Mbow, a annoncé le retrait de sa candidature à la Présidence de la République pour les élections du 25 février 2024. Au lieu de poursuivre sa propre course présidentielle, il a décidé de rejoindre la coalition des leaders alliés à Ousmane Sonko, connue sous le nom de Lacos.

Cette décision marque un tournant significatif à mi-parcours de la campagne électorale, renforçant ainsi la coalition déjà soutenue par 29 partis qui ont investi Ousmane Sonko le 31 décembre 2023.

En rejoignant la coalition « Sonko Président », Dr El Hadji Ibrahima Mbow s’engage à travailler avec toutes les forces vives de la nation pour construire un Sénégal fort, entreprenant et solidaire. Il a exprimé son espoir que les élections de 2024 seront inclusives, transparentes, apaisées et contribueront à consolider la démocratie du pays.

La coalition Lacos, désormais renforcée par l’adhésion de Dr El Hadji Ibrahima Mbow, semble gagner en influence à l’approche des élections présidentielles, laissant présager une compétition politique intense et des alliances en constante évolution dans le pays.

Abdoulaye Mamadou Guissé, Secrétaire Général du Parti ‘Foulak Fayda’, plaide pour le report des élections de février 2024 pour garantir l’inclusivité »

Dans une récente interview avec Le Dakarois, Abdoulaye Mamadou Guissé, Secrétaire Général du Parti « Foulak Fayda », a exprimé la nécessité de repousser les élections prévues en février 2024 pour assurer un processus plus inclusif. Guissé a souligné l’importance d’impliquer davantage de parties prenantes dans le processus électoral afin de renforcer la démocratie. Restez à l’écoute pour plus de détails sur cette proposition et les réactions potentielles.

"Pour avoir des élections inclusives il faut forcément repousser celles de février 2024"Abdoulaye...

Amadou Ba dévoile ses ambitions pour Pikine lors de sa tournée pré-électorale

Le Premier Ministre Amadou BA, candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar, a récemment effectué une série de visites dans le département de Pikine du 29 au 30 décembre 2023. Au cours de cette tournée, il a rencontré les acteurs socio-économiques locaux et les responsables de la région pour discuter des enjeux locaux et préparer le terrain pour les élections présidentielles du 25 février 2024.

Rencontre avec les responsables locaux: Lors de la rencontre avec les responsables locaux, le Maire Abdoulaye TIMBO a pris la parole au nom de ses pairs pour exprimer les préoccupations et besoins de la population. Il a souligné la nécessité du raccordement du BRT jusqu’à Thiaroye pour le connecter au TER, la réhabilitation des routes secondaires, la transformation du Technopole en AQUALAND, la réfection du marché SANDIKA, l’élargissement de certaines voies, et d’autres projets importants.

Réponse d’Amadou BA: En réponse, le Premier Ministre a pris en compte ces doléances et a déclaré que le mémorandum présenté par les responsables locaux représente les aspirations des habitants de Pikine. Il a expliqué les raisons de sa visite en mettant l’accent sur son engagement envers l’emploi des jeunes, soulignant que la jeunesse est le présent, pas seulement le futur.

Promesse d’équité territoriale: Le Premier Ministre a également pris en compte les inquiétudes de Thiaroye concernant le pavage, promettant de résoudre ce problème d’équité territoriale. La question du cimetière de Pikine a été qualifiée d’importance capitale, avec l’engagement de résoudre la question dès leur retour.

Augmentation de la subvention de l’hôpital: Enfin, Amadou BA a conclu en traitant la question de l’hôpital, promettant une augmentation de la subvention dès 2024. Il a appelé à l’unité parmi ses camarades, soulignant l’importance de travailler main dans la main pour le bien de la communauté.

Conclusion: La visite du Premier Ministre Amadou BA à Pikine a été marquée par une écoute attentive des préoccupations locales et des engagements concrets pour résoudre les problèmes prioritaires. Ses déclarations ont souligné son engagement envers le développement de la région et son ambition de répondre aux besoins de la population pikinoise s’il est élu président en 2024.

Amadou Mame Diop salue le ‘’bilan exceptionnel’’ de Macky Sall et lui souhaite un succès éclatant

Amadou Mame Diop, président de l’Assemblée nationale, a salué le ‘’bilan exceptionnel’’ de Macky Sall à la tête du pays et a loué son ‘’leadership notoire au niveau continental et mondial’’. Dans sa réaction au message du chef de l’État à la veille du nouvel an, M. Diop lui a souhaité ‘’un succès éclatant pour les activités qu’il envisage de mener aux plans national et international, notamment la Fondation qu’il compte mettre en place’’.

Il a également noté ‘’l’appel renouvelé du président de la République à la défense de l’État de droit, à la paix, à la sécurité et à une élection à la hauteur du statut démocratique de notre pays’’. Il a exprimé son admiration pour la décision de Macky Sall de ne pas briguer un nouveau mandat à la tête du pays, saluant sa ‘’grandeur d’esprit et son sens élevé de l’État et de l’intérêt national’’.

Ousmane Sonko officiellement investi candidat par la coalition « Sonko Président »

Le maire de la ville de Ziguinchor, Ousmane Sonko, a été officiellement investi en tant que candidat par la coalition « Sonko Président » en vue de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. La déclaration complète de la coalition lors de cette investiture est reproduite ci-dessous :

Déclaration de la coalition « Sonko Président »

« Mesdames, Messieurs, les membres de la coalition SONKO PRESIDENT 2024,

* *Chers invités,

Chers concitoyens,

Chers patriotes,

Nous membres de la Coalition Sonko Président 2024, avons l’insigne honneur de porter aujourd’hui l’investiture du Président Ousmane SONKO.

Si nous mesurons pleinement la portée de l’acte, il faut reconnaitre que la charge symbolique est encore plus forte, mais surtout historique.

Il nous faut, ainsi, assumer la tâche d’investir un grand leader panafricain, digne fils du Sénégal, grand patriote convaincu, symbole du réveil et de l’envol du phénix africain, j’ai nommé le Président Ousmane SONKO.

Nous voudrions le faire avec force, fidélité, honnêteté, sincérité mais surtout par devoir de loyauté dans le combat patriotique pour un Sénégal debout, meilleur, et prospère.

Nous le faisons aussi en la mémoire de tous les soldats du patriotisme, de la démocratie et des libertés. À tous ceux qui sont tombés sur le champ d’honneur, nous en appelons à tous pour que leurs sacrifices ne soient jamais oubliés.

À leurs familles, leurs parents, nous transmettons nos pensées, nos prières et notre fidélité.

La seule véritable reconnaissance que nous pouvons leur rendre, c’est de libérer le Sénégal du joug des autocrates, des autoritaires, pour la construction d’un État de droit respectueux des libertés et garantissant une bonne gouvernance démocratique.

Considérant que l’investiture officielle d’un candidat par une coalition de partis politiques constitue une démarche démocratique, et cela à la simple lecture des dispositions de la Constitution et du Code électoral ;

Considérant qu’en vertu des articles 4 et 29 de la Constitution et L.121 du Code électoral, l’investiture officielle d’un candidat à l’élection présidentielle par une coalition de partis politiques, est une des options préalables et nécessaires, pour occuper la présidence de la République ;

Considérant que le choix de la procédure d’investiture du Président Ousmane SONKO tient aux principes de légitimité et de légalité, et ce dans un contexte de discrédit et de déliquescence de l’État de droit et des institutions, voire plus largement de l’action politique ;

Considérant que la cérémonie d’investiture du Président Ousmane SONKO présente une spécificité qui découle d’une aspiration profonde du peuple sénégalais mais aussi d’un véritable exercice de démocratie interne au sein des formations politiques.

Considérant que la cérémonie d’investiture du Président Ousmane SONKO est une marque attentive et solennelle à tous les courants démocratiques (représentative, participative, délibérative, directe, semi-directe, d’opinion …) ;

Considérant que cette cérémonie d’investiture du candidat de la coalition SONKO PRESIDENT, Ousmane SONKO, trouve son origine dans le processus d’investiture effectué par LES PATRIOTES le 13 juillet 2023 (délibération n°003/2023/HARP, séance du 13 juillet 2023) qui avait réuni au total 1606 suffrages valablement exprimés par l’ensemble des votants au niveau des différentes coordinations départementales et de la diaspora ;

Considérant que les résultats obtenus dépassent toutes les espérances avec tous les votes en fave

Karim Wade s’exprime : « Le Sénégal que j’aime le plus profond de mon cœur »

Conformément à l’annonce préalable, Karim Wade a pris la parole le lundi 1er janvier. À l’instar du président Macky Sall dans son adresse à la nation la veille, le candidat déclaré à la Présidentielle 2024 du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) a exprimé son amour profond pour son pays, le Sénégal.

Karim Wade, candidat à l’élection présidentielle, a brisé son silence dans une vidéo depuis le Qatar pour présenter ses vœux aux Sénégalais et amorcer sa campagne. Ce retour médiatique était marqué par un discours aux allures de programme politique, le candidat appelant à la réconciliation et abordant les défis majeurs qui se profilent pour le pays.

Après des années de communication limitée à des communiqués écrits ou des messages vocaux, Karim Wade a choisi le 1er janvier pour s’adresser directement au peuple sénégalais. Sa déclaration filmée a mis en lumière les enjeux cruciaux auxquels le Sénégal fait face et a lancé un appel à l’unité nationale.

Dans son discours, Karim Wade a souligné la nécessité de prendre des décisions cruciales pour l’avenir du pays, se positionnant comme un candidat engagé dans la résolution des problèmes socio-économiques. Il a évoqué le drame des jeunes risquant leur vie dans des voyages périlleux à la recherche d’un avenir meilleur, appelant à mettre fin à cette situation en créant des opportunités d’emploi, en encourageant l’entrepreneuriat et en investissant dans l’éducation et la formation professionnelle.

Le candidat a également exprimé son espoir pour le Sénégal, soulignant que l’année 2024 est une période charnière pour le pays. Il a posé la question de la direction que le Sénégal prendra, entre la voie de la division et de la haine ou celle de l’unité, de la réconciliation et de l’ambition collective.

Cette déclaration marque le début d’une nouvelle phase dans la campagne électorale, avec Karim Wade affichant ses ambitions pour l’avenir du Sénégal et appelant à une mobilisation collective pour relever les défis actuels.

Karim Wade s’adresse au public depuis son exil au Qatar : Prise de parole cruciale en vue de son candidature présidentielle au Sénégal

1er janvier 2024, Dakar, Sénégal – Karim Wade, fils de l’ancien président sénégalais Abdoulaye Wade, s’apprête à faire sa première apparition publique depuis son départ forcé pour le Qatar. L’homme politique prendra la parole lors d’une allocution prévue pour le 1er janvier à 15h heure locale, comme annoncé sur ses réseaux sociaux.

Cette allocution revêt une importance particulière dans le contexte de la candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle sénégalaise. Son dossier de parrainage est attendu pour examen dans les jours à venir. Cependant, des débats émergent quant à son éligibilité en raison d’une loi sénégalaise interdisant aux personnes ayant une double nationalité de se présenter à la présidence. La question cruciale demeure de savoir si Wade a renoncé à sa nationalité française pour se conformer à cette loi.

Le choix du Qatar comme lieu d’exil de Karim Wade soulève des interrogations sur son impact sur la perception de sa candidature au Sénégal. Certains s’interrogent sur les motivations de ce départ et sur la manière dont il pourrait influencer le vote des électeurs.

La prise de parole de Karim Wade sera scrutée de près pour obtenir des éclaircissements sur ces questions brûlantes. Les électeurs attendent des clarifications sur son éligibilité, sa nationalité, sa situation fiscale et sa vision pour le Sénégal. Cette allocution pourrait également jouer un rôle déterminant dans la formation de l’opinion publique à l’approche de l’élection présidentielle.

Mobilisation massive à Grand Yoff : Mamadou Sidibé lance son mouvement en faveur d’Amadou Ba

La scène politique à Grand Yoff s’est animée le samedi 30 décembre lors du lancement du « MOUVEMENT AND NAATAL SUÑU ASKAN -MANA » dirigé par Mamadou Sidibé, recteur de l’Université de Matam et fervent soutien du candidat Amadou Ba. La mobilisation exceptionnelle de la population témoigne de l’enthousiasme suscité par cet événement.

Les militants et sympathisants ont répondu en masse à l’appel de Mamadou Sidibé, tous engagés à œuvrer pour la victoire d’Amadou Ba lors des élections prévues le 25 février 2024. Le Professeur Sidibé, désormais à la tête de ce mouvement, a souligné l’importance de l’unité d’action pour assurer le succès de leur candidat.

Prônant l’harmonie au sein de la coalition Benno Book Yakaar, Mamadou Sidibé a rendu hommage aux militants et sympathisants, exprimant sa gratitude pour la mobilisation exceptionnelle à Grand Yoff. Il a également appelé à la résolution des incompréhensions entre les responsables pour renforcer l’efficacité de leur mouvement.

La soirée a été marquée par les discours des représentants d’Amadou Ba, dont Cheikh Bakhoum, mettant en garde contre le populisme et soulignant l’urgence de continuité du Plan Sénégal Émergent (PSE). Les responsables politiques de la majorité présidentielle ont mis en avant les enjeux cruciaux liés à cette élection.

En conclusion, le Professeur Mamadou Sidibé s’est félicité du succès de la cérémonie de lancement, exprimant sa reconnaissance envers les habitants de Grand Yoff. Ce rassemblement prometteur souligne la détermination du mouvement à contribuer activement à la campagne électorale et à soutenir Amadou Ba dans sa quête pour la présidence.

avec seneweb

Présidentielle 2024 : 29 partis investissent Ousmane Sonko et adressent un message au conseil constitutionnel

À quelques jours de l’examen du dossier de candidature d’Ousmane Sonko par le Conseil Constitutionnel, 29 partis politiques ont officiellement investi le leader de l’ex-parti Pastef pour l’élection présidentielle de 2024. Dans un message adressé aux sept sages du Conseil Constitutionnel, ces partis appellent à une élection démocratique et soulignent l’importance de rétablir l’équilibre des pouvoirs pour garantir la stabilité du pays.

Le dossier de candidature d’Ousmane Sonko sera examiné le 5 janvier prochain par le Conseil Constitutionnel. La vérification a été retardée en raison de l’absence du mandataire du candidat lors du premier jour de la procédure. Ousmane Sonko, qui occupait la quatrième place après le tirage au sort, attend maintenant l’examen de son dossier avec une forte représentation de 29 partis politiques derrière lui.

Moustapha Guirassy, l’un des leaders politiques parmi les 29 partis soutenant Ousmane Sonko, a adressé un message clair au Conseil Constitutionnel. Il souligne que l’institution a la responsabilité de rééquilibrer les pouvoirs, de ramener la paix dans le pays et de redorer le blason de la justice. Il insiste sur le fait que le Conseil Constitutionnel ne doit pas placer une vérité exclusive, même celle d’un président en exercice, au-dessus de la vérité du peuple.

Moustapha Guirassy précise que son intention n’est pas de « menacer » l’institution, mais plutôt d’appeler le Conseil Constitutionnel à respecter les décisions de justice qui ont rétabli le droit, même dans un contexte difficile. Birame Souley Diop renforce cet appel en demandant au Conseil Constitutionnel de « dire la justice ».

Moustapha Guirassy va jusqu’à affirmer que « une joute électorale sans le président Ousmane Sonko rendrait illégitime et pour cinq ans encore tout président qui serait installé ». Cet appel souligne l’importance de la présence d’Ousmane Sonko dans la compétition électorale pour garantir la légitimité du président élu.

En plus de leur soutien à Ousmane Sonko, les 29 partis politiques appellent les Sénégalais à aller chercher leur carte d’électeur. Ils estiment que la participation active des citoyens est essentielle pour faire de Ousmane Sonko le prochain président du Sénégal.

L’examen du dossier d’Ousmane Sonko par le Conseil Constitutionnel s’annonce comme un moment clé dans le processus électoral, et les messages des partis politiques soutenant le candidat soulignent l’importance accordée à la transparence, à l’équité et à la justice dans cette élection présidentielle cruciale.

Invalidation de Candidature : Amadou Aly Kane Réagit sur Facebook

Le Conseil Constitutionnel rejette la candidature d’Amadou Aly Kane, une réaction franche et déterminée sur sa page officielle.

 »Je porte à l’attention des amis, sympathisants et proches que notre candidature a été invalidé ce jour Samedi 30 Décembre 2023 par le Conseil Constitutionnel.

Pour rappel, mon mandataire avait déposé un dossier de candidature complet auprès du Conseil Constitutionnel ; dossier comprenant un nombre de 50.128 parrains dont plus de 2000 dans 08 régions du Sénégal.

Ces parrainages ont été remis sous format électronique et sous format papier.

Un récépissé de dépôt a été délivré à cette occasion par le Chef du greffe du Conseil Constitutionnel.

Ce Samedi 30 Décembre, au moment du contrôle des parrainages, il a été décidé de retirer un quantum de 10.000 parrains au motif qu’il n’a pas été porté à l’en-tête de la clé, le nom de la région concernée.

D’où, notre contrôle a porté sur 40.128 parrains.

Pourtant le récépissé de dépôt mentionnait bien , l’origine géographique des parrains retirés.

Par ailleurs, il nous a été diagnostiqués unilatéralement 18.084 parrains ne figurant pas au fichier électoral, fichier non produit lors de la séance ; Donc , impossible de vérifier par nous mêmes.

Alors que nous étions dans les faits , le 2e candidat à être contrôlé, on nous a décompté 9.134 doublons externes .

Quant aux doublons internes, on nous en a décomptés 5.540 .

Et pourtant, nous avons travaillé avec un logiciel qui les signalait automatiquement.

Sans cela, notre fichier de parrainages aurait approché 100.000 parrains.

En définitive, on nous a , de fil en aiguille , éliminé 42.708 parrains.

Bizarrement, la clé que nous avions remise a été détruite et une autre nous a été restituée à sa place !!!

C’est dans ces circonstances que notre candidature a été invalidée.

C’est le lieu de remercier tous ceux qui nous ont soutenus et d’appeler à la réforme du système actuel de parrainage qui comporte une grande part d’aléas.

Par ailleurs, nous appelons tous les candidats qui ont été exclus à constituer une grande Coalition afin de pouvoir peser sur la destinée politique de notre pays .

Contrairement à ce qui a été dit ici ou là, nous n’étions pas mû par une quelconque boulimie du pouvoir ou par une quelconque volonté de nous mettre en évidence.

Notre ambition était seulement de soumettre à nos compatriotes une offre politique crédible axée sur le développement durable et la démocratie participative.

Et Ce combat est loin d’être terminé .Il va continuer.

Dieu protège le Sénégal

Dieu protège l’Afrique. »

Interdiction de l’investiture de Sonko : Aminata Touré dénonce un assaut contre la démocratie sénégalaise

Mme Aminata Touré a souligné le contraste entre l’investiture publique répétée d’Amadou Ba, candidat soutenu par le Président Macky Sall, et l’interdiction faite à la Coalition Sonko 2024 d’organiser l’investiture de son candidat. Cette disparité apparente alimente les inquiétudes quant à l’équité du processus politique et suscite des interrogations sur le respect des principes démocratiques au Sénégal.

Dans ses déclarations, Mme Aminata Touré a déploré la situation en indiquant : « La Démocratie sénégalaise n’en finit pas d’être agressée, et les démocrates doivent se mobiliser pour rétablir le cours normal de notre Démocratie qui a longtemps été une référence en Afrique et dans le monde. » Cette affirmation souligne l’importance de préserver les valeurs démocratiques qui ont fait du Sénégal un exemple dans la région et au-delà.

L’interdiction de l’investiture de Sonko et les préoccupations exprimées par Mme Aminata Touré mettent en lumière les tensions croissantes dans le pays à l’approche de l’élection présidentielle de 2024. La question de l’équité et de l’impartialité dans le processus politique prend de l’ampleur, et la société sénégalaise observe de près les développements politiques pour évaluer la santé démocratique du pays.

Dame Mbodji révèle des alliances secrètes entre Macky Sall, Amadou Ba, Karim Wade et Idy en prévision de la présidentielle

Dans une déclaration explosive, Dame Mbodji a levé le voile sur les coulisses politiques présumées de la prochaine élection présidentielle au Sénégal. Selon l’enseignant activiste, le président Macky Sall aurait anticipé la menace que représente Ousmane Sonko et serait en train de tisser une alliance secrète avec des opposants soigneusement sélectionnés.

Dame Mbodji affirme que Macky Sall, conscient que seul Ousmane Sonko pourrait le défier sérieusement, aurait adopté une stratégie consistant à laisser les autres candidats s’exprimer librement. De plus, il suggère que de nombreux opposants seraient en réalité en alliance avec le président sortant, et qu’il n’y aurait pas de mésentente réelle entre eux et le pouvoir en place.

Dans ses révélations rapportées par Senenews, Dame Mbodji va plus loin en affirmant qu’il est au courant d’une alliance en gestation, rassemblant des figures politiques majeures. Cette alliance secrète, selon lui, impliquerait des personnalités telles que Karim Wade, Amadou Ba, et même l’ancien Premier ministre Idrissa Seck. L’objectif commun de cette coalition présumée serait de soutenir la candidature d’Amadou Ba, craignant la perte du pouvoir.

Il est important de noter que ces affirmations de Dame Mbodji soulèvent des questions cruciales sur les dynamiques politiques en jeu dans la perspective de l’élection présidentielle. Les spéculations autour de ces alliances présumées ne manqueront pas de susciter l’attention de l’opinion publique et pourraient influencer la manière dont les électeurs perçoivent les différents acteurs politiques.

Les prochaines semaines verront probablement un examen minutieux des déclarations de Dame Mbodji et la recherche de confirmations ou de démentis de la part des personnalités politiques mentionnées. En attendant, ces révélations risquent de remodeler le paysage politique sénégalais et d’introduire de nouvelles dimensions dans la course présidentielle à venir.

Vérification des parrainages : Voici les résultats pour 20 candidats à la présidentielle (1ère journée)

Le 30 décembre, la commission désignée par le Conseil a poursuivi l’examen des parrainages des candidats à l’élection présidentielle. Le tirage au sort déterminant l’ordre de vérification a offert un avantage potentiel aux premiers candidats, minimisant le risque de doublons. Voici les détails des validations et invalidations de ce jour.

Résultats de la vérification des parrainages

  1. Boubacar Camara: Parrainages validés. 6069 parrains introuvables dans le fichier électoral, mais cela n’a pas affecté la validation.
  2. Cheikh Aguibou Soumaré: Dossier rejeté pour cause de multiples doublons externes.
  3. Dr Ousmane Kane: Parrainage invalidé, non-paiement de la caution à la Caisse de dépôt et de consignation.
  4. Ousmane Sonko: En attente, l’absence de son représentant pour « petit malaise » a retardé la vérification.
  5. Me Amadou Aly Kane: Candidature invalidée. Malgré un dépôt initial de plus de 50 000 parrains, des anomalies telles que l’absence de mention de la région et des doublons ont réduit considérablement le nombre valide.
  6. Papa Eugène Barbier: Invalidé pour cause de dossier incomplet.
  7. Me El Hadj Diouf: Situation incertaine due à des communications contradictoires sur le nombre de parrains validés. Seulement 40440 parrains ont été confirmés valides.
  8. Abdoulaye Sylla: Invalidé pour doublons de parrains.
  9. Cheikh Tidiane Gadio: Dossier rejeté. Les détails spécifiques non divulgués, focus sur la correction des doublons.
  10. Mouhamed Ben Diop: Invalidé.
  11. Rose Wardini: Validation sous condition, nécessite une correction urgente des doublons.
  12. Cheikh Tidiane Dièye: Parrainages validés.
  13. Malick Gueye: Problème technique lors du transfert des données depuis la clé USB. Situation atypique non résolue.
  14. Mouhamed El Habib Tounkara: Seulement 189 parrains fournis sans caution. Dossier incomplet et donc invalidé.
  15. Mary Teuw Niane: Disqualifié pour non-reconnaissance de plus de 28000 parrains. 15584 parrains validés et 6128 doublons.
  16. Mamadou Sambou YATASSAYE: Invalidé pour modifications des fiches de parrainage.
  17. Déthié FALL: Parrainages validés.
  18. Aminata Assome Diatta: Invalidée après contrôle, seulement 9339 parrains validés sur 55000.
  19. Papa Macodou Diouf: Invalidé.
  20. Samba Ndiaye, invalidé

À noter que la validation des parrainages ne garantit pas l’approbation finale de la candidature, mais représente une étape capitale dans le processus de candidature. La commission a rappelé aux candidats l’importance de fournir des dossiers complets et sans erreurs pour éviter les rejets ultérieurs.

Le Conseil constitutionnel suspendra ses activités de vérification le 31 décembre et le 1er janvier, pour reprendre l’examen des dossiers restants à partir du 2 janvier 2024.

Déthié Fall voit sa candidature validée par le Conseil constitutionnel : Une avancée majeure vers la présidentielle

Déthié Fall, candidat de la plateforme DÉTHIÉFALL2024, réalise une étape cruciale dans sa course à la présidence du Sénégal, avec la validation officielle de ses parrainages par le Conseil constitutionnel. Cette avancée propulse Déthié Fall parmi les premiers prétendants à réussir cette étape cruciale, marquant un moment décisif dans sa campagne présidentielle.

Le Conseil constitutionnel a formellement ratifié la validité des parrainages déposés par le candidat ce samedi, confirmant ainsi son éligibilité et le positionnant parmi les premiers à avoir réussi cette exigence cruciale dans le processus électoral.

Dans une réaction complète, Déthié Fall adresse un message aux compatriotes, exprimant sa gratitude pour la confiance qu’ils ont placée en lui en portant et parrainant sa candidature à l’élection présidentielle prévue pour le 25 février 2024. Il appelle à l’unité pour des élections inclusives et transparentes, et à la construction d’un Sénégal propice à la vie et esthétiquement plaisant.

Sa déclaration complète se lit comme suit :

« Chers compatriotes,

Après vérification du parrainage ce jour au Conseil Constitutionnel que nous venons de valider, je vous remercie du fond du cœur pour votre confiance en ayant porté et parrainé ma candidature à l’élection présidentielle du 25 février 2024.

Ensemble pour des élections inclusives et transparentes.

Ensemble pour un Sénégal bon à vivre et beau à voir.

Déthié,

Président du PRP,

Candidat de DÉTHIÉFALL2024 à l’élection présidentielle »

Cette confirmation par le Conseil constitutionnel offre à Déthié Fall une base solide pour poursuivre sa campagne en vue de l’élection présidentielle, renforçant ainsi sa position sur la scène politique sénégalaise. L’accent mis sur des élections inclusives et transparentes souligne l’importance de ces principes dans le processus démocratique du pays.

Rejet de la candidature de Me Amadou Aly Kane : Appel à la réforme du système de parrainage et proposition de coalition

Le 30 décembre 2023, le Conseil Constitutionnel a invalidé la candidature de Me Amadou Aly Kane, malgré le dépôt d’un dossier complet comprenant plus de 50 000 parrains. Des anomalies, notamment le retrait de 10 000 parrains pour absence de mention de la région à l’en-tête de la clé, ont été relevées lors du contrôle. Face à cette situation, Me Amadou Aly Kane a publié un texte sur sa page Facebook, soulevant des circonstances douteuses et appelant à la réforme du système de parrainage.

Le candidat écarté a rappelé que son dossier de candidature, déposé par son mandataire, comportait plus de 50 000 parrains, dont plus de 2000 provenant de 8 régions du Sénégal. Cependant, au cours du contrôle, 10 000 parrains ont été retirés au motif qu’il n’a pas été mentionné à l’en-tête de la clé le nom de la région concernée. Me Amadou Aly Kane a souligné que le récépissé de dépôt mentionnait pourtant l’origine géographique des parrains retirés.

Parmi les autres problèmes soulevés, on compte le diagnostic unilatéral de 18 084 parrains ne figurant pas au fichier électoral, un fichier non produit lors de la séance de contrôle. De plus, 9 134 doublons externes et 5 540 doublons internes ont été décomptés, malgré l’utilisation d’un logiciel signalant automatiquement ces cas.

Ce rejet de candidature met en lumière les défis et les controverses entourant le processus électoral au Sénégal, soulignant la nécessité d’une réflexion approfondie sur la transparence et l’équité dans le système de parrainage. L’appel à la formation d’une coalition suggère une volonté commune de certains candidats de faire entendre leur voix malgré les obstacles rencontrés. La suite de cette situation pourrait avoir des implications significatives sur la scène politique sénégalaise à l’approche de l’élection présidentielle.**

Déthié Fall, proche d’Ousmane Sonko, valide ses parrainages au conseil constitutionnel : un pas de plus vers la présidentielle

Dans la course à la magistrature suprême au Sénégal, Déthié Fall, candidat de la plateforme DÉTHIÉFALL2024, franchit une étape cruciale en obtenant la validation officielle de ses parrainages par le Conseil constitutionnel. Cette réussite le place parmi les premiers prétendants à satisfaire cette exigence capitale, marquant une avancée significative dans sa campagne présidentielle.

Déthié Fall a choisi la voie du parrainage populaire, se démarquant ainsi des autres formes de soutien autorisées telles que les parrainages des députés et des élus locaux. La confirmation de la validité de ses parrainages par le Conseil constitutionnel souligne non seulement la légitimité du soutien populaire dont il bénéficie, mais également son habileté stratégique à mobiliser un large et diversifié soutien au sein de la population sénégalaise.

Cette étape positive s’inscrit dans le cadre de l’examen minutieux du dossier de candidature de Déthié Fall par le Conseil constitutionnel, incluant neuf documents essentiels tels que son certificat de nationalité, son casier judiciaire et son quitus fiscal. Cette vérification méticuleuse vise à garantir que tous les candidats répondent aux critères stricts définis par la loi électorale sénégalaise.

Mouhamed Ben Diop recalé : opacité autour des chiffres des doublons, un point de tension au conseil constitutionnel

Dans le contexte de la validation des candidatures pour l’élection présidentielle au Sénégal, Mouhamed Ben Diop, candidat de la Grande coalition du parti « Pass-Pass », se voit recalé par le Conseil constitutionnel, suscitant des interrogations sur les chiffres des doublons non divulgués.

L’étape cruciale de la Commission de contrôle des parrainages a été franchie par le représentant du candidat, Ousmane Ndao. Cependant, à la sortie de cette étape, une certaine opacité entoure la validité du dossier de Mouhamed Ben Diop, le mandataire refusant de divulguer des chiffres spécifiques.

Ousmane Ndao a déclaré : « Nous sommes venus pour l’étape du contrôle de parrainage, mais nous ne savons pas encore si notre dossier est valide, car le Conseil nous a remis un procès-verbal que nous n’avons pas encore exploité. Nous sommes conscients de certains rejets dus à des doublons, dont les chiffres nous sont encore inconnus. »

Il a ensuite ajouté : « Nous avons analysé les parrains dans les 14 régions et la diaspora. Quelques doublons ont été identifiés, mais il nous reste à exploiter les résultats obtenus. » Cette déclaration met en évidence le caractère rigoureux du processus de contrôle des parrainages et souligne l’attention particulière accordée à la détection et à la gestion des doublons dans le cadre de cette démarche électorale.

L’absence de divulgation des chiffres spécifiques des doublons crée un point de tension au sein du processus électoral, alimentant les spéculations et les interrogations quant à la transparence du processus de validation des candidatures. Les électeurs et les observateurs attendent désormais des clarifications du Conseil constitutionnel sur les motifs du rejet de la candidature de Mouhamed Ben Diop et sur les chiffres exacts des doublons identifiés.

Cet épisode souligne l’importance de la transparence et de la communication dans le processus électoral, soulignant la nécessité pour les institutions de divulguer des informations cruciales pour maintenir la confiance du public dans l’intégrité du processus démocratique. L’évolution de cette situation pourrait avoir des répercussions significatives sur le paysage politique en amont de l’élection présidentielle.

Incident technique au conseil constitutionnel : Un candidat confronté à des obstacles dans la vérification des parrainages

Dans le cadre du processus crucial de validation des candidatures pour l’élection présidentielle au Sénégal, un incident technique au Conseil constitutionnel crée des incertitudes autour de la candidature de Malick Gueye, mettant en lumière un problème inattendu dans le règlement de vérification des parrainages.

Le tirage au sort, déterminant l’ordre de vérification des dossiers de parrainage par le Conseil constitutionnel, est un moment clé du processus électoral. Il vise à éviter les doublons de parrainage, conformément au règlement qui stipule qu’un électeur ne peut parrainer deux candidats simultanément, le second parrainage étant considéré comme invalide.

Malick Gueye, l’un des candidats, a été confronté à une situation inattendue lors de la vérification de ses parrainages. Lorsque la commission du Conseil constitutionnel a tenté de transférer les données depuis la clé USB vers leur ordinateur, un problème technique non spécifié a empêché l’opération. Ce problème, qui n’était pas anticipé dans le règlement, a soulevé des questions sur la validité de la candidature de Malick Gueye.

Invalidation de la Candidature de Mary Teuw Niane par le Conseil Constitutionnel

Le Conseil constitutionnel a tranché ce samedi 30 décembre en invalidant la candidature du professeur Mary Teuw Niane pour l’élection présidentielle. La décision a été motivée par « plus de vingt-huit mille parrains non reconnus ».

Cette annonce met fin à une période d’incertitude qui a entouré la candidature de Mary Teuw Niane, qui a exprimé sa gratitude envers tous ceux qui ont soutenu son projet de « transformation nationale » au cours des huit derniers mois.

Cette décision du Conseil constitutionnel souligne l’importance du processus de parrainage dans le cadre des élections présidentielles au Sénégal, et la rigueur avec laquelle les critères sont évalués. La course à la présidentielle continue avec les candidats dont les dossiers ont été validés par les instances compétentes.

Conseil constitutionnel : L’examen du dossier de Sonko retardé en raison de l’absence de son représentant

Le dossier du candidat de la coalition Sonko Président 2024 aurait dû être examiné ce samedi matin au Conseil Constitutionnel. Cependant, cela n’a pas été possible en raison de l’absence de son représentant.

À l’heure actuelle, Maître Ciré Clédor Ly ne s’est toujours pas présenté au siège du Conseil Constitutionnel. L’absence du représentant du candidat Sonko est susceptible de retarder le processus de vérification des parrainages, car selon le protocole en place, les dossiers dont le représentant est absent sont examinés après l’épuisement de la liste des candidats présents.

Cette situation souligne l’importance de la présence des mandataires des candidats lors des phases critiques du processus électoral, en particulier lors de la vérification des parrainages. L’issue de cette vérification aura un impact direct sur la participation du candidat à l’élection présidentielle de février 2024.

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