L’événement, qui a débuté le 6 janvier, a été l’occasion pour les équipes de ces projets de partager leurs activités et leur impact dans la valorisation des PME au Sénégal. Le 17 janvier, une journée d’échanges et d’informations a été organisée pour souligner leur contribution essentielle à l’écosystème des PME sénégalaises.
L’accent mis sur la valorisation des produits et services des PME était palpable, avec les équipes visitant les stands des entreprises soutenues par ces projets. Cette initiative visait non seulement à promouvoir ces PME, mais aussi à offrir une opportunité unique de déguster les produits locaux, illustrant ainsi la diversité et la qualité des offres des entreprises locales.
En soutenant la FIKA, l’USAID Senegal démontre son engagement continu envers le renforcement du secteur des PME. En favorisant une croissance économique inclusive, ces projets contribuent à la création d’emplois et à la diversification de l’économie locale. L’USAID Senegal continue ainsi de jouer un rôle clé dans la promotion du développement économique durable au Sénégal.
À l’approche du Magal de Porokhane, une célébration religieuse majeure au Sénégal, le Premier ministre Amadou Ba a honoré la mémoire de Mame Diarra BOUSSO et a effectué des visites de courtoisie aux autorités religieuses de la région.
Le Premier ministre a débuté ses visites en exprimant sa sincère gratitude au Khalife Général des Mourides, Serigne Mouhamadou Mountakha Bachir MBACKÉ, ainsi qu’à ses proches, Serigne Fallou BASSIROU et Serigne Issakha MBACKÉ. Ces rencontres ont été marquées par un accueil chaleureux et des échanges sur des sujets d’intérêt commun.
Par la suite, Amadou Ba s’est rendu auprès de Serigne Mahi NIASS à Médina BAYE, en prélude au Gamou de Taiba NIASSÈNE. Le Premier ministre a salué l’érudition en sciences coraniques et la piété des guides religieux, soulignant l’importance de perpétuer ces valeurs au sein de la société sénégalaise.
Ces visites revêtent une signification particulière à la veille du Magal de Porokhane, une manifestation religieuse qui rassemble chaque année des milliers de fidèles. Le Premier ministre a exprimé sa reconnaissance envers les autorités religieuses pour leur accueil et a souligné l’importance des moments de réflexion partagés.
Amadou Ba a conclu en remerciant les guides religieux pour leurs prières formulées en faveur de la paix et de la stabilité au Sénégal. Ces gestes renforcent les liens entre l’État et la communauté religieuse, soulignant l’importance du dialogue et de la collaboration pour le bien-être de la nation.
Dans le cadre des préparatifs du Gamou de Taiba Niassène, prévu ce samedi, le Premier ministre sénégalais, Amadou Ba, a effectué une visite de courtoisie mardi soir au Khalife général de Médina Baye, Serigne Mahi Niass.
La rencontre a été marquée par un accueil chaleureux du guide religieux, qui a traditionnellement accordé au Premier ministre une séance de récitation du Coran. Ce moment de prière symbolise le respect et l’honneur réservés aux personnalités visitant le lieu saint.
Au cours de la visite, le Premier ministre a répondu aux doléances exprimées par le Khalife en exprimant l’estime du Président de la République envers les érudits religieux, soulignant que le leader religieux faisait partie de cette catégorie. Amadou Ba a également annoncé sa prochaine visite à Taiba Niassène, une cité religieuse située dans le département de Nioro.
Le Premier ministre a rappelé l’importance des projets majeurs tels que l’assainissement et la voirie pour la localité de Médina Baye. Il a sollicité des prières pour la paix et la stabilité du Sénégal.
Le Khalife de Médina Baye s’est réjoui de la visite du Premier ministre et a formulé des prières pour le bien-être du pays. Cette rencontre témoigne du respect mutuel entre les autorités politiques et religieuses du Sénégal, renforçant les liens entre l’État et la communauté religieuse dans le pays.
Selon Madame Racky Kane WADE, présidente de l’association, les incendies ont débuté le vendredi 3 mars 2023 dans le bâtiment 4, se sont reproduits le 25 juin 2023, et ont récemment touché le bâtiment 6 dans la nuit du 23 janvier 2024. Les incidents ont été attribués à des problèmes au niveau des câbles électriques du local technique, mettant en évidence des défaillances dans les installations électriques de la cité.
La présidente de l’association a pointé du doigt le promoteur, Monsieur Paul Libens, et l’a accusé de vendre les appartements aux résidents au fur et à mesure de la construction, avec de nombreuses promesses non tenues. Elle a souligné des vices, malfaçons, et non-conformités dans la construction, notamment des infiltrations d’eau, des problèmes de plomberie, un manque de places de parking, et l’absence d’autres commodités.
Madame Wade a déploré le départ du promoteur pour la Belgique sans résoudre les problèmes, laissant les résidents dans une situation difficile. Elle a lancé un appel urgent aux autorités sénégalaises, en particulier au président Macky Sall, pour intervenir et prendre des mesures immédiates.
L’association demande l’arrêt des activités du promoteur, la correction des installations non conformes, et une enquête sur le bureau de contrôle qui a validé les travaux. Mme Wade a exprimé sa préoccupation quant à la sécurité des biens et des personnes dans la cité et a appelé à des actions rapides pour garantir la sécurité des résidents.
Le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a examiné la situation du Sénégal lors du Groupe de travail sur l’Examen Périodique Universel (EPU). Seydi Gassama, le directeur de l’Institut des Droits de l’Homme et de la Paix (IDHP), ainsi que des membres du corps professoral, des étudiants, Amnesty International, et Oxfam au Sénégal ont suivi cette séance.
Selon Seydi Gassama, le bilan présenté par l’État du Sénégal lors de l’EPU ne reflète pas la réalité des droits humains dans le pays. Il estime que des efforts importants doivent être déployés pour que le Sénégal retrouve son statut de champion de la démocratie et des droits humains en Afrique.
Critiques sur le Droit de Manifester et la Liberté de la Presse :
Le ministre des Affaires Étrangères du Sénégal, Aissata Tall Sall, a répondu aux critiques concernant le droit de manifester. Elle a affirmé que la majorité des manifestations ont été acceptées, précisant que seules 1,5% ont été refusées en raison de troubles à l’ordre public. Concernant la liberté de la presse, elle a déclaré qu’aucun journaliste n’a été poursuivi pour ses opinions, mais plutôt pour des délits de droits communs.
Rapport de Human Right Watch :
Amnesty International rejoint Human Right Watch dans ses appels aux autorités sénégalaises pour qu’elles respectent le droit de manifester et la liberté d’expression des journalistes. Les critiques internationales mettent en lumière des préoccupations persistantes concernant les droits humains au Sénégal.
La grève prolongée des travailleurs de la Compagnie bancaire de l’Afrique occidentale (CBAO) a pris une tournure inquiétante avec le licenciement de trois employés par la direction de la banque, selon un responsable syndical. Cette décision est vivement critiquée par les syndicalistes, qui dénoncent un acharnement injustifié sur le personnel de la CBAO.
Raoul Kali, le secrétaire général chargé des revendications et porte-parole du Collège des délégués de la CBAO, a exprimé son regret face à ces licenciements, soulignant que la direction générale a pris cette mesure malgré les efforts de médiation de certaines autorités. Il a déclaré : « Au moment où des autorités et des personnalités du pays nous ont approchés pour qu’on arrête la grève et qu’on aille vers un dialogue beaucoup plus apaisé, nous constatons avec regret que la direction générale est en train de procéder à des licenciements abusifs. C’est vraiment regrettable. »
Motifs des Licenciements Contestés :
Les syndicalistes contestent les motifs avancés pour les licenciements, tels que des publications sur Facebook et des incidents lors de réunions. Raoul Kali souligne que ces motifs ne justifient pas les licenciements, qualifiant la décision de « contre la loi ».
Plan d’Action Syndical Prévu :
Pour protester contre ces licenciements et faire entendre leurs revendications, les travailleurs de la CBAO prévoient un vaste plan d’action. Ce plan inclut la tenue d’une conférence de presse en collaboration avec toutes les centrales syndicales du pays, ainsi qu’un grand rassemblement. Raoul Kali a assuré que les travailleurs iront « jusqu’au bout » pour défendre leurs droits.
L’évolution de la situation dépendra des réponses et actions des responsables de la CBAO face aux revendications des travailleurs et à la contestation des licenciements.
Les agents de sécurité et de proximité (ASP) ont annoncé une grève de 72 heures à partir de lundi prochain pour exprimer leur mécontentement face à leurs conditions de travail difficiles et aux retards de paiement de leurs salaires. Cette décision intervient après l’absence de réponse de leurs autorités aux revendications précédentes.
Sous le couvert de l’anonymat, l’un des agents a partagé les motifs de leur mouvement de grève au micro de RFM. Il a déclaré : « Nous avons décidé d’observer une grève de 72 heures à partir de lundi 29 janvier pour non seulement réclamer le paiement de nos salaires, mais aussi exiger le départ du directeur général Mamadou Salif Sow, qui est incapable de diriger cette agence. Nous demandons au président Macky Sall de mettre fin à ses fonctions à la tête de la direction, car il est incapable. Depuis qu’il est là, rien ne marche. Jusqu’à présent, nous n’avons pas reçu nos salaires et ce n’est pas normal, étant des pères et mères de famille. Nous sommes fatigués et nous ne voulons plus de lui à la tête de l’agence. »
Revendications Principales des ASP :
Paiement des Salaires : Les agents réclament le paiement immédiat de leurs salaires, soulignant l’impact financier sur leurs familles.
Départ du Directeur Général : Les ASP considèrent leur directeur général, Mamadou Salif Sow, comme incompétent et appellent à son remplacement.
Appel au Président Macky Sall : Les agents de sécurité et de proximité adressent un appel au président Macky Sall pour mettre fin aux fonctions de Mamadou Salif Sow en tant que directeur général, affirmant que son incapacité à diriger l’agence a eu des conséquences néfastes sur leur bien-être professionnel.
Perspectives de la Grève : La grève de 72 heures, prévue à partir du lundi 29 janvier, vise à attirer l’attention des autorités sur les revendications des ASP. L’issue de ce mouvement dépendra des réponses et actions des responsables vis-à-vis des préoccupations soulevées par les agents.
Un drame a secoué le quartier Diamaguène de Thiès, où un maçon âgé de 64 ans a perdu la vie dans des circonstances tragiques dimanche dernier. La victime, O. Niang, travaillait sur le remplacement de la toiture en ardoise d’une chambre par des feuilles de zinc.
Chute Mortelle lors des Travaux
Le sexagénaire, monté sur le mur pour effectuer les travaux, était assisté de deux autres ouvriers chargés de lui remettre les tôles. Malheureusement, une partie du mur s’est affaissée pendant l’opération, entraînant la chute mortelle de O. Niang. Les tentatives pour le sauver ont été vaines, et il a succombé à ses blessures.
Enquête en Cours
Suite à cet accident de travail, le commanditaire des travaux a été interpellé et conduit au commissariat central de Thiès, où il est actuellement en garde à vue dans le cadre de l’enquête en cours. Les autorités cherchent à comprendre les circonstances exactes de l’accident et à déterminer d’éventuelles responsabilités.
Rapport Médical Confirme la Cause du Décès
Un rapport médical délivré par un médecin légiste a indiqué que O. Niang est décédé à la suite d’un écrasement de la boîte crânienne avec perte de substance cérébrale. Ces détails tragiques soulignent la gravité de l’accident et suscitent des préoccupations quant aux normes de sécurité sur les chantiers de construction.
Réactions et Préoccupations sur la Sécurité au Travail
Cette tragédie soulève des questions sur les mesures de sécurité mises en place sur les lieux de travail, en particulier dans le secteur de la construction. Les autorités locales et les organismes de régulation pourraient être amenés à renforcer la surveillance et les protocoles de sécurité pour éviter de telles tragédies à l’avenir.
Le Président Front pour la République du Sénégal et ex membre de Yewwi Askan, Djibril Diop a profité d’une tribune sur sa page Facebook pour recadrer une certaine opposition qui n’est intéressée que par ses propres intérêts.
» On ne doit pas confier ce pays à des gens qui n’ont pas d’expérience ni de carnet d’adresses que passer tout leur temps a parlé et manipulé les gens » a réagi le leader politique, homme fort de l’opposition dans la banlieue Dakaroise.
Face à la rumeur qui fait état d’une probable rencontre entre le président Macky Sall et les candidats « spoliés » et l report probable de la présidentielle, Djibril Diop est catégorique :
»Pas de report pour les élections présidentielles de 2024. Les recalés ! aller soutenir vos camarades candidats c’est plus cohérent. » , mieux »Opposant recalé! Écrire et accepter d’aller à la rencontre du Président Macky Sall veut dire que le Président Macky a raison sur toute la ligne » a t-il écrit sur ses réseaux
Une première en Afrique. Un système de combat rapproché dénommé »Golden Triangle Système » a été lancé ce week-end au Sénégal, plus précisément à Ouakam sous la houlette de son fondateur russe Alexander Shlychkov.
Dans son discours de présentation face à la presse sénégalaise, le pédagogue, spécialiste en sciences des arts martiaux de la Fédération de Russie ambitionne de développer la nouvelle technique dans toute l’Afrique mais » le Sénégal sera la base du Golden Triangle dans le continent » Retour en images sur la conférence de presse et le stage pour la promotion de cet art de combat qui vise à défendre la personne contre toute attaque à couteaux ou armes blanches.
Un accident d’une violence exceptionnelle a secoué la route Gossas-Diourbel mardi soir vers 23 heures, précisément à hauteur du village de Ndièbel. Le drame a impliqué un bus Tata et un véhicule de 14 places en provenance de Touba et se dirigeant vers le Magal de Porokhane. Initialement rapporté avec 8 décès et 13 blessés, le bilan s’est malheureusement alourdi, atteignant désormais un total de 14 morts.
L’accident a eu lieu à la sortie de Diourbel en direction de Gossas, à hauteur du village de Nébé. La collision entre le bus Tata et le véhicule 14 places a entraîné des conséquences désastreuses, coûtant la vie à plusieurs passagers et faisant de nombreux blessés.
L’information a été confirmée par la Rfm, qui a révisé le bilan initial de 8 décès à 14 décès. Les autorités et les services d’urgence ont été mobilisés sur les lieux de l’accident pour prendre en charge les victimes et coordonner les opérations de secours.
Cet accident tragique rappelle la nécessité d’une vigilance accrue sur les routes et de respecter les règles de conduite pour prévenir de tels drames. Les enquêteurs tenteront de déterminer les circonstances exactes de l’accident afin d’améliorer la sécurité routière et d’éviter de telles tragédies à l’avenir.
La communauté locale et les proches des victimes sont plongés dans le deuil, et cet événement douloureux souligne l’importance des efforts continus pour sensibiliser à la sécurité routière et mettre en œuvre des mesures efficaces pour protéger la vie des usagers de la route.
Dans la nuit du 23 au 24 janvier, une tentative de cambriolage a été vigoureusement contrecarrée à Kédougou, déclenchant une fusillade entre des malfrats lourdement armés et les forces de l’ordre. Les malfaiteurs, opérant à bord d’un véhicule 4×4 blanc, ont pris d’assaut une agence de transfert d’argent située le long de la route nationale.
L’intrusion a été brutale, avec les assaillants défonçant la porte de l’agence avant de s’attaquer au coffre-fort. Cependant, le fracas de leurs efforts a alerté les résidents des environs qui ont rapidement informé la police de la situation. Les forces de l’ordre sont intervenues en urgence.
Une confrontation armée a éclaté entre les bandits et les policiers, créant une scène tendue et dangereuse. Les forces de l’ordre ont réussi à repousser les malfrats, les empêchant de réussir dans leur tentative de vol. Malgré l’ampleur de l’attaque, les assaillants ont pris la fuite sans emporter de butin.
L’échec du cambriolage a déclenché une enquête approfondie dans le but de capturer les responsables de cette tentative criminelle. Les autorités locales cherchent à identifier et à appréhender les malfaiteurs qui continuent de semer l’inquiétude au sein de la région minière de Kédougou.
Cet incident souligne la nécessité d’une coopération continue entre la population et les forces de l’ordre pour prévenir et répondre efficacement aux actes criminels. La communauté reste en alerte face à la menace persistante des malfrats, et les autorités redoublent d’efforts pour assurer la sécurité des citoyens et protéger les établissements sensibles tels que les agences de transfert d’argent, qui sont souvent des cibles privilégiées pour les criminels.
Des tentatives d’enlèvements d’enfants ont semé la peur et l’inquiétude dans les quartiers de Ngalléle et Boudiouck à Saint-Louis, ravivant les craintes liées à ce phénomène alarmant. Des résidents ont partagé des récits choquants d’incidents récents, mettant en lumière la vulnérabilité des enfants face à ces menaces.
Un témoin, Alioune Badara, a partagé avec L’Observateur du jour le récit d’une tentative de rapt au début du mois de janvier : « La femme dont le mari est hors du pays, est restée seule avec ses deux enfants. Un jour, la femme est partie au travail, et la femme de ménage était chargée de conduire les enfants à l’école. En cours de route, cette dernière constate que l’un des enfants a oublié sa gourde. Elle demande aux enfants de l’attendre dans un coin de la rue afin d’aller récupérer rapidement la gourde à la maison. »
Cependant, la situation a pris une tournure effrayante : « À peine sortie de la maison, la bonne constate que les enfants n’étaient plus là où elle les avait laissés… Après avoir marché à vive allure, elle aperçoit de loin un homme qui tenait les enfants à la main et les conduisait vers la route bitumée. Elle tente d’appeler l’homme, mais celui-ci ne répond pas. Elle finira par pousser des cris en courant vers l’homme, qui va aussitôt lâcher les enfants et prendre la fuite. »
Ces récits ont suscité l’inquiétude au sein de la communauté, et bien que la police n’ait pas encore été formellement saisie, l’adjoint au commissaire central, commissaire Ndao, a assuré que les autorités sont vigilantes face à cette menace croissante. La diffusion de ces alertes sur les réseaux sociaux a renforcé la sensibilisation autour de la sécurité des enfants, soulignant l’importance de la vigilance communautaire pour protéger les plus vulnérables.
Des révélations récentes du ministre mauritanien du Pétrole, des Mines et des Énergies, Nani Ould Chrougha, lors de sa visite au Sénégal, ont semé le doute sur le calendrier de production de gaz du champ GTA (Grand Tortue Ahmeyin). Alors que le ministre a repoussé la production à 2024, Pr Momar Samb, enseignant à l’École nationale supérieure des mines et de la géologie de l’UCAD, exprime des réserves sérieuses sur cette annonce.
Dans une interview accordée à L’Observateur, Pr Samb affirme que la production de gaz ne débutera pas en 2024 comme annoncé par le ministre mauritanien. Il souligne que l’audit des coûts du projet s’annonce comme une tâche chronophage, remettant en question la possibilité de démarrer l’exploitation du champ GTA dès cette année. «Un audit des coûts pétroliers ne se fait pas en un, deux, trois ou quatre mois. Donc ce n’est pas possible de démarrer l’exploitation de GTA en 2024», déclare-t-il de manière catégorique.
L’expert en géologie souligne également que des obstacles logistiques se dressent devant le projet. Le Floating liquefied natural gas (FLNG), unité flottante de gaz naturel liquéfié, n’est pas encore arrivé, et le Floating Production Storage and Offloading (FPSO), unité flottante de production, de stockage et de déchargement, est en cours de réparation en Espagne.
Pr Samb pointe également du doigt les défis économiques actuels, soulignant la chute des prix du gaz en Europe et aux États-Unis. Il interroge sur les perspectives de vente du gaz dans un contexte de récession économique mondiale. «Les prix du gaz s’effondrent en Europe et aux États-Unis. La Chine est en crise, les stocks sont pleins, c’est la récession économique dans le monde. Alors, où est-ce qu’on va vendre notre gaz ?» questionne-t-il, mettant en évidence la complexité du contexte mondial actuel.
Le professeur estime que le Sénégal a commis des erreurs stratégiques dans son exploitation des ressources d’hydrocarbures. Il conteste l’idée selon laquelle GTA est un projet aux réserves de dimension mondiale, soulignant des incohérences dans la gestion du développement simultané de deux projets d’une telle envergure, à savoir Sangomar et GTA avec la Mauritanie. L’analyse de Pr Samb soulève des préoccupations quant à la réalisation effective et opportune du projet, appelant à une réévaluation approfondie de la stratégie énergétique du pays.
Un grave accident de la circulation s’est produit aujourd’hui sur la route de Porokhane, à hauteur de Diourbel, laissant un lourd bilan de 9 morts et de nombreux blessés. Les premières informations indiquent qu’un véhicule de type Toyota « Mbacké-Touba » aurait été impliqué dans une collision avec un bus Tata.
L’accident s’est produit aux alentours de 01h du matin, lorsque le Toyota « Mbacké-Touba » et le bus Tata sont entrés en collision, provoquant un choc violent. Les autorités locales et les services d’urgence ont rapidement été dépêchés sur les lieux pour porter secours aux victimes et gérer la situation.
Malheureusement, le bilan initial de l’accident est tragique, avec neuf personnes déclarées décédées sur les lieux. De plus, plusieurs passagers ont été blessés et ont été transportés d’urgence vers les établissements de santé les plus proches pour recevoir des soins médicaux appropriés.
Les équipes de secours ont travaillé sans relâche pour extraire les victimes des véhicules impliqués, coordonner les opérations de sauvetage et fournir les premiers soins nécessaires. Les blessés ont été évacués vers les hôpitaux de la région, où leur état de santé sera évalué de manière approfondie.
Une enquête approfondie a été lancée pour déterminer les circonstances exactes de l’accident. Les experts en accidentologie et les forces de l’ordre examineront les éléments sur place, recueilleront des témoignages et examineront les données des véhicules impliqués pour comprendre les causes de cette tragédie.
Cet accident tragique souligne l’importance cruciale de respecter les règles de conduite, de rester vigilant sur la route et de prendre toutes les précautions nécessaires pour assurer la sécurité des conducteurs et des passagers. Les autorités lancent un appel à la prudence et rappellent l’importance de respecter les limitations de vitesse et les règles de conduite.
Cet événement douloureux laisse la communauté endeuillée, et nos pensées vont aux familles des victimes ainsi qu’aux personnes touchées par ce drame.
Aujourd’hui, la base navale Sud d’Elinkine a célébré le 49ème anniversaire de la Marine nationale du Sénégal. La cérémonie, honorée par la présence du Commandant de la zone militaire n°5, le colonel Yakhya Diop, ainsi que de dignitaires administratifs, coutumiers et religieux, a été l’occasion de dresser le bilan des opérations de l’année 2023.
Le Capitaine de corvette Baba Diagne Sène, commandant la base navale Sud, a souligné les réalisations significatives de l’année écoulée. Il a informé que plus de 30 voiliers et 17000 pirogues ont été soumis à des contrôles rigoureux. Les opérations de la base navale comprenaient l’interception d’organisateurs d’émigration clandestine, la destruction de champs de chanvre indien et la saisie de cette substance illicite. De plus, plus de 16 pirogues ont été arraisonnées pour des infractions au code de la pêche et des douanes sénégalaises.
La base navale Sud n’a pas seulement focalisé ses efforts sur les opérations maritimes, mais a également participé activement à des initiatives civiles-militaires au profit des populations locales. Le commandant de la base a rappelé une campagne de sensibilisation réussie sur le cancer du col de l’utérus, ainsi que la distribution de kits scolaires aux élèves de l’école élémentaire de Pointe Saint-Georges en octobre dernier. En outre, 329 personnes ont été enrôlées dans le cadre de la Couverture Maladie Universelle, provenant de 10 villages du département de Oussouye.
Concernant les missions spécifiques de la base navale Sud, le Commandant Sène a souligné l’importance stratégique du fleuve Casamance, qui s’étend sur 320 km et traverse les régions de Ziguinchor, Sédhiou et Kolda. Il a mis en lumière les problèmes de sécurité le long de ce cours d’eau, principalement liés aux accidents de pirogues artisanales, souvent causés par le non-respect des alertes météo, l’absence de port de gilet de sauvetage et la surcharge des embarcations.
Le Capitaine de corvette a souligné la montée en puissance de la base navale Sud, affirmant qu’elle constitue l’épine dorsale du commandement pour la sécurisation et le contrôle effectif du fleuve Casamance. Les autorités et les populations présentes ont pu assister à des démonstrations illustrant l’efficacité opérationnelle et la préparation de la base navale dans l’accomplissement de ses missions cruciales.
Le projet « Investir dans la santé de la mère, de l’enfant et de l’adolescent » (ISMEA) au Sénégal a apporté un soutien significatif à 4000 adolescentes vulnérables, en mettant en œuvre des services essentiels liés à l’éducation et à la santé de la reproduction. Selon le directeur de l’Action médico-sociale, Mamadou Moustapha Fall, le projet a été déployé dans six régions du pays, dont Tambacounda, pour offrir un accompagnement crucial à cette population spécifique.
L’accompagnement offert aux adolescentes vulnérables comprend un ensemble de services dans les domaines de l’éducation et de la santé de la reproduction. Mamadou Moustapha Fall a souligné que ce soutien était essentiel, offrant aux adolescentes ciblées des bourses trimestrielles de 50 000 francs CFA par mois, ainsi que des conseils et une assistance dans des espaces sûrs spécialement créés à cet effet.
Le projet ISMEA, initié par l’État sénégalais, est actuellement mis en œuvre dans des régions stratégiques telles que Kédougou, Tambacounda, Kaffrine, Kolda, et Sédhiou. Les résultats encourageants de la phase pilote dans les régions de Tambacounda et Kédougou ont conduit à l’extension du programme dans l’ensemble des six régions, touchant près de 49 000 adolescentes.
L’objectif de la rencontre à Tambacounda était de partager les résultats du projet avec les parties prenantes, de sensibiliser les autorités administratives et de clarifier les rôles et responsabilités de chaque acteur impliqué dans cette initiative. Mamadou Moustapha Fall a souligné l’importance de cibler les adolescents, une couche de la population particulièrement vulnérable, en mettant l’accent sur les défis spécifiques auxquels ils sont confrontés pendant cette période délicate de l’adolescence.
Les critères d’enrôlement comprennent des adolescents âgés de 10 à 17 ans révolus, fréquentant une école ou s’engageant à s’inscrire dans une formation. Le projet ISMEA vise à fournir un soutien holistique à ces jeunes, contribuant ainsi à améliorer leur éducation, leur bien-être et leur santé reproductive.
À quelques jours du Magal dédié à Sokhna Mame Diarra Bousso à Porokhane, une délégation importante du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) s’est rendue chez Serigne Mountakha Mbacké. Cette visite intervient après le rejet de la candidature de Karim Wade par le Conseil constitutionnel dans le cadre de la présidentielle 2024.
La délégation du PDS, dirigée par Me Abdoulaye Wade, a exprimé son allégeance renouvelée au khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké. Dans ce contexte, Me Abdoulaye Wade a souligné son écoute attentive des recommandations du patriarche de Darou Miname, s’engageant à les appliquer scrupuleusement.
Répondant à cette marque de respect et de considération, Serigne Mountakha Mbacké a réaffirmé son engagement exclusif envers Khadim Rassoul, exprimant ainsi sa neutralité bienveillante dans le paysage politique sénégalais. Le khalife a également témoigné positivement de Me Abdoulaye Wade et a adressé ses salutations à Karim Wade.
Cette rencontre a été marquée par un climat empreint de sérénité et de consécration aux valeurs morales et spirituelles. Elle témoigne de l’importance de la dimension religieuse dans la vie politique au Sénégal, montrant comment les acteurs politiques cherchent à obtenir la bénédiction des leaders religieux influents.
À la 45e session du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies à Genève, le Sénégal a brillé en présentant son engagement inébranlable en faveur des droits fondamentaux. Lors de la présentation devant le Groupe de Travail sur l’Examen Périodique Universel (EPU), le représentant sénégalais a souligné la volonté du pays de promouvoir la justice, l’égalité, et le respect de la dignité humaine.
Cette tribune internationale a offert une occasion unique, devant 123 États intervenants, de réaffirmer la détermination du Sénégal à créer une société où chaque individu peut jouir de ses droits sans entrave. Les succès et les défis ont été partagés, mettant en lumière la conviction profonde du Sénégal selon laquelle la protection des droits de l’homme est cruciale pour bâtir un avenir équitable.
Les représentants internationaux ont noté avec satisfaction les progrès réalisés par le Sénégal, tout en formulants des recommandations pour renforcer davantage les acquis dans le domaine des droits de l’homme. L’engagement du Sénégal en faveur des droits fondamentaux a été salué, marquant ainsi la volonté du pays de jouer un rôle constructif sur la scène mondiale.
Le hashtag a été utilisé pour souligner cette forte implication du Sénégal dans la promotion de la justice. La vision du pays repose sur l’idée que la protection des droits de l’homme est un impératif moral, et le Sénégal se dit prêt à collaborer avec la communauté internationale pour relever les défis mondiaux.
Le rendez-vous est pris dans 4 ans et demi pour le 5e passage du Sénégal devant le Conseil des Droits de l’Homme à Genève. Une attente marquée par la ferme conviction de construire un monde où la dignité, l’égalité, et la justice sont des réalités concrètes.
Le président de la République du Sénégal, Macky Sall, a présidé la cérémonie d’inauguration du bateau de guerre lance-missiles, « Le Niani », lors d’une cérémonie solennelle tenue ce mardi 23 janvier 2024 à la Base navale Amiral Faye Gassama. Une occasion pour le chef de l’État de rendre hommage aux cinq commandos marins disparus en mer.
Macky Sall a débuté son discours en exprimant sa joie et sa fierté lors de cette inauguration, soulignant que le nouveau patrouilleur « Niani » s’inscrit dans la lignée du renforcement significatif du potentiel naval du Sénégal. Le président a rappelé que cette initiative, amorcée il y a dix ans, visait à doter la Marine nationale de moyens modernes pour remplir pleinement ses missions de défense maritime du territoire et d’action de l’État en mer.
Le discours du président Sall a pris un ton particulier en évoquant les cinq commandos marins portés disparus en mer depuis deux semaines. Ces héros, engagés dans une mission d’interception d’un navire impliqué dans le trafic international de stupéfiants, ont été salués pour leur engagement et leur sacrifice. Macky Sall a exprimé sa profonde compassion envers les familles des commandos disparus, soulignant la noblesse de l’engagement militaire, fait de don de soi et de sacrifice suprême.
Le président a souligné que la sécurisation des espaces maritimes nécessitait des moyens navals robustes et des capacités opérationnelles éprouvées. Il a évoqué la stratégie navale Horizon 2050, un cadre ambitieux visant à anticiper les défis liés à l’exploitation des ressources halieutiques, pétrolières et gazières offshore, tout en assurant la prévention des actes de piraterie maritime.
Macky Sall a également salué le patrimoine politique et socioculturel lié à chaque équipement majeur, soulignant l’importance de revitaliser le lien Armée-nation. Le patrouilleur « Niani » perpétue cette tradition en honorant l’ancien royaume NIANI et en rappelant la contribution des peuples des terroirs de Ndoungoussine et Khoungheul-Socé à l’édification de la nation.
La cérémonie d’inauguration du « Niani » s’est déroulée dans une ambiance solennelle et festive, avec la présence des autorités politiques, coutumières, et des représentants des populations du département de Koumpentoum. Le président a conclu en souhaitant bon vent au « Niani » et en exhortant la Marine nationale à rester déterminée face aux défis sécuritaires en mer.
Lors de la cérémonie de baptême du nouveau bâtiment de guerre lance-missile le « Niani », le Président de la République du Sénégal, également chef suprême des armées, a exprimé la gratitude de la République envers les familles des cinq commandos marins portés disparus en mer le 6 janvier dernier. Cette déclaration a été faite dans le cadre d’une cérémonie symbolique visant à honorer le sacrifice de ces héros nationaux.
Le Président a rendu hommage aux commandos marins disparus lors de leur mission d’interception d’un navire impliqué dans le trafic international de stupéfiants. Leur disparition tragique rappelle non seulement l’exigence de rigueur du métier du marin, mais souligne également le risque inhérent au service militaire, tout en mettant en lumière la noblesse de l’engagement militaire, caractérisé par le don de soi et le sacrifice suprême.
Le Président Macky Sall a souligné que ces héros ont incarné jusqu’au bout les valeurs fondamentales des devises des armées sénégalaises, affirmant que « On nous tue, on ne nous déshonore pas » et de la Marine nationale « En mer, pour la patrie ».
Il a conclu en affirmant que le Sénégal ne baissera jamais pavillon face au trafic illicite, soulignant ainsi la détermination du pays à lutter contre les menaces qui pèsent sur ses frontières maritimes.
Rappelons que la disparition des cinq commandos de la marine sénégalaise est survenue lors d’une intervention anti-trafic de stupéfiants au large de Dakar, témoignant du courage et de l’engagement de ces hommes dans la protection de la nation.
Le Programme d’Appui aux Communes et Agglomérations du Sénégal (PACASEN) se positionne comme un catalyseur de développement avec l’injection impressionnante de plus de 74 milliards FCFA dans 124 communes du pays. Lors du quatrième Comité Technique Opérationnel, des résultats concrets ont été présentés, soulignant l’impact positif sur la vie des citoyens.
Le PACASEN, réalisé grâce à la vision éclairée du Président Macky Sall, a concrétisé des infrastructures dans 124 communes sur les 558 que compte le Sénégal. Boubacar Diallo, Directeur de Cabinet du Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires, a souligné que le programme contribue significativement au développement des collectivités territoriales.
Les résultats impressionnants comprennent la mise en œuvre de 900 projets dans ces collectivités, marquant une amélioration significative des conditions de vie des populations. Cette réussite a convaincu les bailleurs de poursuivre leur soutien, avec une augmentation de l’enveloppe de financement pour étendre les bénéfices à davantage de communes.
Le PACASEN a joué un rôle clé dans la formation de 115 commissions fiscales, renforçant les ressources propres des collectivités territoriales. Les élus territoriaux ont également bénéficié d’une formation approfondie, favorisant une meilleure appropriation du programme pour des réalisations concrètes.
Le programme a grandement contribué à l’opérationnalisation de l’Acte III de la Décentralisation, en renforçant les capacités de gouvernance et de financement des collectivités territoriales. Les investissements ont été cruciaux pour soutenir le développement local et améliorer la qualité de vie des citoyens.
Le Directeur Général de l’Agence de Développement Municipal (ADM), Baye Oumar Guèye, a salué la performance des collectivités territoriales, soulignant leur engagement à atteindre les objectifs fixés. Les résultats positifs attestent de l’efficacité du programme dans la réalisation des projets et dans le renforcement des capacités locales.
Pour l’année à venir, le PACASEN vise la finalisation de la réforme du Fonds de Dotation de la Décentralisation (FDD), la mise en place opérationnelle du mécanisme de gestion des plaintes des citoyens, la poursuite des sessions de formation, et le renforcement des activités de coaching territorial continu.
En conclusion, le PACASEN s’impose comme un levier essentiel pour le développement local, plaçant les collectivités territoriales sur la voie de la croissance et de l’autonomie financière. Les résultats obtenus soulignent l’efficacité de ce programme dans la transformation positive des communautés à travers le Sénégal.
Émigré établi en France, M. Danfakha et sa première épouse M. D. âgée de 19 ans ont échappé de justesse à la mort. L’Observateur explique que le couple a été transféré aux urgences de l’hôpital régional de Kaolack après avoir été admis à l’hôpital de Tamba.
Selon le journal, l’enquête a établi que les patients sont victimes d’un empoisonnement aux tessons de bouteille. Au banc des accusés, la « niarel », F. Traoré, âgée de 15 ans, avait dissimulé les débris dans le dîner qu’elle a servi aux victimes dans la soirée du 21 décembre 2022.
Face aux enquêteurs, le mari a confié avoir senti, avant que les douleurs ne se déclenchent, « des corps étrangers au moment de prendre le repas. » Ainsi, pour y voir plus clair, il a allumé la lampe de son téléphone et constaté qu’il s’agissait de tessons de bouteilles avant de sommet sa première épouse, enceinte de 8 mois, d’arrêter de manger.
Il a aussi informé les limiers que sa seconde épouse, qui venait de rejoindre le domicile conjugal, n’avait pas mangé après avoir servi le dîner, arguant qu’elle n’avait pas faim.
La fouille de la chambre de la mise en cause a abouti à la découverte d’un sachet en plastique contenant des tessons de bouteille. Arrêtée puis conduite manu militari au commissariat central de Tamba, F. Traoré a avoué son intention de tuer son mari et sa co-épouse. La « niarel » a été déférée pour tentative de meurtre et administration de substance nuisible.
Un acte d’une violence choquante a secoué les abattoirs de la Société de gestion des abattoirs du Sénégal (SOGAS) avec le meurtre brutal d’Amadou Diaw, survenu lundi matin. Les détails macabres du crime commis par Abdou Mbaye commencent à émerger, et le mobile semble être un différend lié à la vente d’un téléphone portable.
Amadou Diaw a perdu la vie de manière tragique, victime d’une agression féroce qui a choqué l’ensemble de la communauté. Son présumé meurtrier, Abdou Mbaye, a été rapidement appréhendé dans le département de Mbour, à Nguékhoh, grâce à une géolocalisation efficace.
Au cœur de cette tragédie, un téléphone portable défectueux devient le point central du différend entre les deux hommes. Selon des sources, le téléphone aurait été vendu par Amadou Diaw à Abdou Mbaye pour 10 000 F CFA, avec un acompte de 2000 F CFA versé. Cependant, le différend éclate lorsque Diaw réclame le reliquat de 8 000 F CFA à Mbaye.
La situation s’est envenimée au point où des échanges d’injures et des menaces ont été proférés entre les deux protagonistes. « Considère désormais que ta vie est entre mes mains », aurait déclaré Abdou Mbaye, présumé meurtrier, à Amadou Diaw.
Le différend sur la somme modeste de 8 000 F CFA a pris une tournure tragique, aboutissant à l’égorgement d’Amadou Diaw. Cette affaire soulève des questions sur la violence extrême qui peut découler de simples désaccords, mettant en lumière la nécessité d’une résolution pacifique des conflits.
Abdou Mbaye est actuellement en route pour Dakar, où il sera interrogé dans le cadre de l’enquête en cours. Les autorités chercheront à comprendre les circonstances exactes de ce drame et à rendre justice à la victime, Amadou Diaw.
Cette tragédie à la SOGAS rappelle la fragilité de la vie face à des disputes qui, dans ce cas, ont conduit à un dénouement extrêmement dramatique. La communauté est en deuil et attend des réponses quant aux circonstances entourant cet acte insensé.
Le 18 janvier dernier, une délégation de l’USAID Senegal a entrepris une tournée fructueuse à Tambacounda, à la rencontre d’environ 70 organisations locales. Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’une présentation et d’une séance d’information visant à renforcer la collaboration et à accroître l’implication des organisations locales dans les différents programmes de l’USAID.
Objectif de la Tournée :
L’objectif principal de cette tournée était de créer une plateforme de partage de connaissances et d’explorer de nouvelles opportunités de collaboration entre l’USAID et les organisations locales. Cette rencontre a permis aux deux parties de discuter des moyens de travailler ensemble de manière plus étroite pour répondre aux besoins locaux et contribuer au développement durable.
Partage de Connaissances et Opportunités de Collaboration :
La délégation de l’USAID a saisi cette occasion pour partager des informations clés sur ses programmes actuels et futurs. Les représentants des organisations locales ont également pu présenter leurs initiatives et besoins spécifiques. Cette dynamique d’échange a favorisé un dialogue constructif et a ouvert la voie à des opportunités concrètes de collaboration dans divers domaines.
Perspectives d’Avenir :
La tournée à Tambacounda a jeté les bases d’une collaboration renforcée entre l’USAID et les organisations locales. Les perspectives d’avenir sont prometteuses, avec un accent particulier sur la co-création de solutions innovantes, la promotion de l’autonomisation communautaire, et la mise en œuvre de programmes durables ayant un impact tangible sur la vie des citoyens.
La tournée de l’USAID à Tambacounda constitue une étape importante dans le renforcement des liens avec les organisations locales. En favorisant la collaboration et en partageant des connaissances, cette initiative contribue à façonner un avenir où le développement communautaire est alimenté par des partenariats solides entre les acteurs locaux et les organismes internationaux comme l’USAID.
Dans le cadre de sa Responsabilité Sociétale d’Entreprise (RSE), APIX- SA, l’Agence de Promotion des Investissements et des Grands Travaux, a récemment fait un geste significatif en offrant un don de 730 000 pièces de lunettes de protection au Ministère de la Santé de l’Action Sociale du Sénégal. Ce don, d’une valeur estimée à 600 millions, vise à renforcer la sécurité des agents de santé confrontés aux risques de contamination.
Cérémonie de Réception et Remerciements :
La cérémonie de réception de ce don a été présidée par le Dr Habibou Ndiaye, Secrétaire Général au nom de Madame le Ministre, le Dr Marie Khemesse Ngom Ndiaye. Le Secrétaire Général a exprimé sa gratitude envers APIX- SA, soulignant l’importance capitale de ce geste pour la sécurité des agents de santé. Il a particulièrement remercié Monsieur Abdoulaye Baldé, Directeur Général de APIX- SA, ainsi que toute son équipe, pour leur contribution précieuse.
Un Engagement envers la Sécurité des Agents de Santé :
Le don de 730 000 lunettes de protection répond à la préoccupation majeure du Président de la République et représente une priorité pour le Ministère de la Santé. Face aux risques de contamination, il est crucial que les agents de santé disposent d’équipements adéquats pour agir en toute sécurité, protégeant ainsi non seulement eux-mêmes, mais aussi leurs familles, les patients et la communauté.
Distribution au Niveau Régional :
Les lunettes de protection seront réparties entre les différentes Directions Régionales de la Santé (DRS). Ces dernières auront la responsabilité de les distribuer aux structures relevant de leur compétence respective. Il est essentiel que les DRS veillent à une utilisation judicieuse de ces équipements, en conformité avec les normes et protocoles en matière d’équipement de protection individuelle.
Contribution à la Santé Publique et Développement Durable :
En plus de ce don spécifique, APIX- SA reconnaît l’importance cruciale de la santé publique dans le développement durable de la nation sénégalaise. Cet engagement envers la sécurité des agents de santé reflète l’alignement d’APIX- SA sur les priorités nationales en matière de santé et démontre sa volonté de contribuer de manière significative au bien-être de la population.
APIX- SA, à travers ce don généreux, témoigne de son engagement envers la santé publique et la sécurité des agents de santé. En renforçant les capacités de protection des professionnels de la santé, APIX- SA contribue activement aux efforts nationaux visant à lutter contre la propagation des infections, assurant ainsi un environnement plus sûr pour tous.
Le Ministère de la Justice du Sénégal vient de faire une annonce capitale en matière de liberté de la presse et de soutien aux professionnels de l’information. En effet, le Sénégal prend une initiative significative en lançant la 4e édition du Rapport sur les Droits de l’Homme devant le Comité de l’Examen Périodique Universel (EPU) des Nations Unies. Cet événement est soutenu par la Commission Nationale des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales, ainsi que par l’Union Nationale des Journalistes du Sénégal.
Le Sénégal, Acteur Engagé dans la Protection des Droits de l’Homme :
La 4e édition du Rapport sur les Droits de l’Homme présentée par le Sénégal démontre l’engagement continu du pays à promouvoir et à protéger les droits fondamentaux. Ce rapport, présenté devant le Comité de l’EPU des Nations Unies, met l’accent sur les avancées réalisées en matière de droits de l’homme au Sénégal, tout en soulignant les défis persistants et les actions entreprises pour y faire face.
La Collaboration avec les Nations Unies :
La collaboration étroite avec l’Examen Pénitentiaire Universel des Nations Unies souligne l’importance accordée par le Sénégal aux normes internationales en matière de droits de l’homme. Les recommandations constructives formulées par les Nations Unies constituent un guide essentiel pour les réformes et les améliorations continues au sein du système pénitentiaire sénégalais.
Un Regard Approfondi sur les Droits des Détenus :
Le Rapport sur les Droits de l’Homme dans les Prisons offre un regard approfondi sur les conditions de détention, les traitements réservés aux détenus, les programmes de réinsertion, et les efforts déployés pour garantir le respect des droits fondamentaux au sein du système pénitentiaire. Cela permet une évaluation transparente et un engagement envers l’amélioration continue.
La Pérennité des Réformes :
La conférence de presse mettra en lumière les réalisations en matière de réformes, les obstacles rencontrés, et les perspectives d’avenir. La volonté de garantir la pérennité des réformes et de créer un environnement carcéral conforme aux normes internationales demeure au cœur de l’engagement du Sénégal envers les droits de l’homme.
L’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim) a émis une alerte concernant une mauvaise qualité de l’air et la présence de particules de poussière, affectant initialement les régions du Nord du pays à partir de mardi. Cette situation devrait progressivement s’étendre à l’ensemble du territoire.
Selon les informations de l’Anacim, la suspension de particules de poussière débutera dans les régions du Nord dans l’après-midi du mardi 23 janvier 2024. Ce phénomène devrait ensuite se généraliser sur une grande partie du pays, y compris dans les régions intérieures et sur le littoral, au cours de la journée du mercredi et du jeudi. Une réduction significative de la visibilité est anticipée dans ces zones, bien que la partie Sud du pays soit relativement moins touchée.
La mauvaise qualité de l’air devrait persister pendant environ 72 heures, avec une baisse progressive des concentrations de particules à partir du 26 janvier. L’Anacim recommande aux personnes sensibles, notamment celles souffrant de maladies respiratoires, aux jeunes enfants et aux personnes âgées, de prendre des précautions particulières. Il est conseillé de limiter l’exposition à l’air ambiant et de porter un masque pour se protéger des particules en suspension dans l’air.
Les autorités invitent la population à suivre attentivement les mises à jour météorologiques et à prendre les mesures nécessaires pour minimiser les impacts de cette situation sur la santé.
Le comité d’organisation du Grand Bal de Mbour, initialement prévu pour le samedi 27 janvier 2024, a annoncé le report de l’événement en raison du décès de Ndeye Fatou Diouf, plus connue sous le nom de Diaga. Diaga était l’épouse regrettée de feu Thione Ballago Seck et la mère du célèbre chanteur Waly Seck. En considération de cette triste nouvelle et de la période de deuil traversée par la famille Seck, la nouvelle date retenue pour le Grand Bal est désormais le 2 février 2024.
Le report du Grand Bal de Mbour est une décision officielle prise par le comité d’organisation en hommage à la mémoire de Ndeye Fatou Diouf. Sa disparition a profondément touché la famille Seck, connue pour sa contribution exceptionnelle à la scène musicale sénégalaise. Ce geste témoigne du respect et du soutien du monde de la musique envers la famille endeuillée.
Le comité d’organisation a décidé de décaler la date du Grand Bal au 2 février 2024. Cette modification vise à permettre à la famille Seck de vivre son deuil dans la quiétude tout en préservant l’essence festive de l’événement. Les billets déjà achetés pour la date initiale du 27 janvier restent valables pour la nouvelle date. Cette mesure permet aux détenteurs de billets de participer au Grand Bal tout en montrant leur soutien à la famille Seck dans cette période difficile.
Malgré le report, le Grand Bal de Mbour demeure un événement attendu, mettant en vedette la légende de la musique sénégalaise, Youssou Ndour.
Le maire de Kaolack, Serigne Mboup, a officiellement lancé les travaux de réhabilitation du tronçon allant de la Pharmacie Mbossé à Nietty Gouye. Ce projet, estimé entre 150 et 200 millions de francs CFA, s’inscrit dans le cadre du programme municipal « Setal, sam ak suxali » visant à assainir, protéger et développer la ville. L’entreprise EIFFAGE a été chargée de la réalisation de cette voirie, avec une contrepartie sous la forme d’un bail de trente ans sur un terrain, pour un paiement annuel ne dépassant pas 500 mille francs CFA.
Cette route de contournement revêt une importance particulière, connectant quatre quartiers de la commune et offrant un accès direct au Centre hospitalier régional El Hadji Ibrahima Niass (CHREIN) ainsi qu’au marché central de la capitale du Saloum. Le maire, Serigne Mboup, souligne que cet investissement s’inscrit dans une vision globale visant à améliorer l’infrastructure urbaine et à faciliter la mobilité des citoyens.
Le choix de l’entreprise EIFFAGE pour la réalisation de ce projet démontre la volonté de la municipalité de s’associer à des partenaires qualifiés. En échange de ses services, EIFFAGE bénéficiera d’un bail sur le terrain pendant trente ans, avec une contribution financière annuelle plafonnée à 500 mille francs CFA.
Serigne Mboup met en avant les efforts déployés au cours des deux dernières années dans le cadre du programme « Setal, sam ak suxali », centré sur des aspects tels que l’assainissement, l’éducation, la santé, la salubrité et la revitalisation des marchés. Il souligne l’adhésion de la population à ce programme, illustrée par une collaboration étroite avec la mairie.
Le maire annonce que l’année 2024 sera consacrée au « Suxali » (développement), avec un accent particulier sur le renforcement des entreprises locales, les petites et moyennes entreprises (PME), et la création d’emplois. Il annonce également la réouverture d’une unité industrielle, la Société des textiles kaolackoise (SOTEXCA), avec l’objectif ambitieux de créer deux mille emplois.
Serigne Mboup souligne l’engagement financier de la municipalité, affirmant qu’elle investira chaque année « plus de deux milliards de francs CFA » sur fonds propres, avec le soutien de partenaires au développement. Il met en avant la responsabilité des collectivités territoriales dans la réalisation de projets d’infrastructures, tout en soulignant l’importance d’une collaboration étroite avec l’État.
Dans le cadre de la responsabilité sociétale d’entreprise (RSE), la commune de Kaolack prévoit également la réhabilitation d’une autre route liant la ville à l’entreprise « Les Salins du Sine-Saloum », démontrant ainsi une approche holistique du développement urbain.
Le lancement des travaux de réhabilitation à Kaolack représente une étape significative dans la mise en œuvre du programme « Setal, sam ak suxali ». Ce projet stratégique, couplé aux initiatives de développement prévues pour l’année 2024, reflète l’engagement de la municipalité envers l’amélioration des infrastructures et la création d’opportunités économiques locales.
Hier, les étudiants de Ziguinchor ont été brusquement expulsés de leur lieu d’accueil suite à la résiliation du contrat par la municipalité, qui refuse obstinément de le renouveler. Cette décision abrupte a jeté ces jeunes chercheurs dans une situation précaire, soulevant des inquiétudes quant à leur avenir académique.
L’immeuble, qui servait de résidence aux étudiants, a été le théâtre de tensions croissantes ces derniers jours. La municipalité, invoquant des motifs non spécifiés, a mis fin au contrat de location, plongeant les étudiants dans l’incertitude quant à leur hébergement.
Les étudiants ziguinchorois, affectés par cette décision, demandent des explications claires de la part des autorités municipales. Ils soulignent que cette expulsion soudaine perturbe leurs études et compromet leur stabilité pendant la période académique.
Du côté de la municipalité, aucun commentaire n’a été émis pour justifier cette résiliation de contrat. Les raisons derrière cette décision restent floues, alimentant ainsi la perplexité au sein de la communauté étudiante et de la population locale.
Des organisations étudiantes et des représentants de la société civile se mobilisent déjà pour soutenir les étudiants expulsés et plaident en faveur d’une résolution rapide de ce différend. La situation souligne également la nécessité d’un dialogue ouvert entre les autorités locales et les étudiants afin de trouver une solution équitable et de restaurer la stabilité nécessaire pour poursuivre les études dans des conditions optimales.
En attendant des développements futurs, la précarité des étudiants de Ziguinchor demeure une préoccupation urgente qui requiert l’attention des parties impliquées, ainsi que de la communauté éducative et de la société civile.
A. I. Fall aurait attiré l’attention d’Adama F. en se présentant comme le garant d’une émigration réussie vers l’Europe. Prétendant pouvoir obtenir des visas en deux mois moyennant une rétribution, il aurait exigé 4,5 millions de francs CFA d’Adama F. pour ses services. Ce dernier, confiant, aurait versé une avance de 2 millions de francs CFA.
La découverte de l’escroquerie : Lorsque Adama F. a tenté de reprendre contact avec A. I. Fall pour finaliser la transaction, il a constaté que le téléphone sonnait dans le vide. Soupçonnant une arnaque, il a rusé en utilisant un autre numéro pour contacter le fraudeur, qui a mordu à l’hameçon. Ainsi piégé, A. I. Fall a fixé un rendez-vous à Adama F.
L’arrestation spectaculaire : Mercredi dernier, Adama F. s’est rendu au lieu du rendez-vous et a surpris A. I. Fall en flagrant délit. Maîtrisé par la victime, le faux petit-fils de Mame Cheikh Ibra Fall a été remis à la police de Guinaw Rail.
Les complicités révélées : Six autres personnes se présentent au commissariat, affirmant être également victimes d’A. I. Fall. Parmi elles, Ibrahima N. prétend avoir été dupé par le principal suspect. Cependant, l’une des véritables victimes révèle qu’Ibrahima N. était, en réalité, le complice d’A. I. Fall, agissant en tant qu’intermédiaire dans les transactions frauduleuses.
Cette affaire d’escroquerie impliquant un faux petit-fils de Mame Cheikh Ibra Fall et son complice met en lumière les dangers liés aux fraudes liées à l’émigration. Les autorités continuent leur enquête pour déterminer l’ampleur de cette escroquerie et identifier d’autres éventuelles victimes.
En marge de l’inauguration du centre municipal d’hémodialyse Khalifa Ababacar Sall, le maire de la Ville de Dakar, Barthélémy Dias, a exprimé son engagement en faveur de la prévention des maladies non transmissibles, en particulier l’insuffisance rénale. Il a souligné l’importance d’adopter des programmes de sensibilisation contre les facteurs de risque de ces pathologies émergentes au Sénégal.
Barthélémy Dias a encouragé la population à prendre davantage soin de sa santé en améliorant son hygiène de vie. Il a mis en avant l’importance d’une alimentation équilibrée, de la pratique régulière du sport et de la gestion du stress dans la prévention des maladies.
De manière humoristique, le maire a partagé une décision personnelle significative pour sa propre santé. Il a annoncé avoir choisi de ne plus consommer de riz, soulignant que le riz est l’une des bases du diabète. À la place, il a décidé d’intégrer le fonio dans son régime alimentaire, mettant en avant les avantages nutritionnels de ce grain.
« Dépuis quelque temps, j’ai décidé de ne plus manger de riz parce que le riz est une des bases du diabète, à la place, j’ai décidé de manger du fonio. Il parait que c’est l’aliment des pauvres, mais les pauvres ils vivent longtemps », a-t-il déclaré de manière légère.
Il a conclu en soulignant que le fonio, malgré sa réputation d’aliment pour les moins fortunés, est une option plus abordable que le riz. Cette décision personnelle de Barthélémy Dias s’inscrit dans une tendance croissante de sensibilisation à l’importance des choix alimentaires et du mode de vie pour promouvoir la santé et prévenir les maladies.
Un accident tragique s’est produit dans la région de Kédougou, au Sénégal, où un camion-citerne malien a malheureusement raté un virage, se renversant aux abords de la route avant de s’embraser. L’incident a entraîné la perte de plusieurs vies, toutes les personnes à bord du véhicule ayant péri dans les flammes dévastatrices.
Le drame s’est déroulé lorsque le camion-citerne malien a échoué à négocier un virage, provoquant son renversement. La violence de l’impact a entraîné un incendie qui a rapidement consumé le véhicule. Les autorités locales n’ont pas encore pu déterminer avec précision le nombre exact de passagers présents à bord au moment de l’accident, mais aucun survivant n’a pu être sauvé des flammes.
Les équipes de secours ont rapidement réagi pour éteindre l’incendie qui ravageait le camion-citerne. Cependant, une fois le feu maîtrisé, la découverte macabre de deux squelettes humains à l’intérieur du véhicule a confirmé le pire. Les passagers n’ont malheureusement pas eu la chance de s’extraire du camion avant qu’il ne soit complètement calciné.
L’ampleur de la tragédie est d’autant plus dévastatrice étant donné qu’aucun survivant n’a été retrouvé. Les circonstances exactes de l’accident, ainsi que le nombre de passagers à bord, restent à éclaircir. Cet incident souligne les risques associés au transport de matières inflammables et met en lumière la nécessité de renforcer les mesures de sécurité sur les routes.
Ce drame à Kédougou, résultant du renversement et de l’incendie d’un camion-citerne malien, rappelle cruellement la vulnérabilité des usagers de la route. Les autorités locales mènent actuellement des enquêtes pour comprendre les causes exactes de l’accident et pour tenter de fournir des réponses aux familles endeuillées. La tragédie souligne l’importance cruciale des mesures de sécurité routière pour prévenir de tels incidents et protéger la vie des usagers de la route.
Un accident tragique s’est produit hier, le dimanche 21 janvier, sur la route reliant Linguère à Matam, précisément à hauteur du village de Loumbel Lana dans la commune de Barkédji, située dans le département de Linguère. Un véhicule 4×4, conduit par Y. Bathily, âgé de 30 ans, a été impliqué dans un renversement suite à un dérapage, entraînant des conséquences dramatiques.
Le véhicule, dont le conducteur a été identifié comme Y. Bathily, a basculé à la suite d’un dérapage, provoquant un accident mortel. Le chauffeur a perdu la vie sur le coup, tandis que trois autres passagers, D. Traoré (50 ans), M. Traoré (35 ans) et A. Sidibé (38 ans), ont subi des blessures graves.
Alertés, les gendarmes et les sapeurs-pompiers de Linguère se sont rendus rapidement sur les lieux de l’accident. Après les constatations nécessaires, la dépouille du chauffeur décédé a été transportée à la morgue de l’hôpital Maguette Lô. Les passagers blessés ont, quant à eux, été admis au service d’urgences de la même structure sanitaire. Malheureusement, le sieur D. Traoré a succombé à ses blessures, portant ainsi le nombre de décès à deux.
L’accident a entraîné la perte de deux vies, le conducteur Y. Bathily et le passager D. Traoré. Les deux autres occupants du véhicule, M. Traoré et A. Sidibé, ont été gravement blessés, mettant en lumière la gravité de l’incident survenu sur la route Linguère-Matam.
Cet accident tragique souligne une fois de plus l’importance de la prudence sur les routes et la nécessité de respecter les règles de conduite. Les autorités locales et les services d’urgence ont réagi rapidement, mais le bilan humain demeure douloureux pour les familles des victimes. Cet incident rappelle également l’importance de sensibiliser sur la sécurité routière pour prévenir de tels drames à l’avenir.
Une affaire tragique secoue la région de Sédhiou au Sénégal, impliquant le décès d’une adolescente de 15 ans, battue à mort par ses propres parents. L’affaire, révélée par Seneweb et approfondie par Libération, a conduit à l’arrestation des parents de la victime, L. Danfa et F. Badji. Le drame s’est déroulé dans la nuit du 18 au 19 janvier à Pontadoss, un village de la commune de Kaour. Les parents seront déférés au parquet ce lundi après avoir été placés en garde à vue à la gendarmerie de Goudomp.
Selon les informations fournies par Libération, les faits se sont déroulés dans la nuit du 18 au 19 janvier à Pontadoss. La victime, A. Danfa, âgée de 15 ans et élève en classe de 5e, aurait succombé à ses blessures lors de son évacuation du poste de santé du camp militaire de Goudomp à celui du village de Fanda, dans la région de Ziguinchor. Le drame a été déclenché par le reproche des parents, qui auraient désapprouvé la participation de leur fille à une soirée dansante sans leur consentement.
Les parents de la victime, L. Danfa et F. Badji, ont été placés en garde à vue à la gendarmerie de Goudomp et seront déférés devant le parquet ce lundi. Cette procédure judiciaire témoigne de la gravité des accusations pesant sur eux dans le cadre de la mort de leur propre fille.
Cette affaire a suscité une vive émotion dans la région de Sédhiou et au-delà. La brutalité de la situation et le lien familial entre les accusés et la victime accentuent le choc ressenti par la communauté. Les détails supplémentaires émergent peu à peu, jetant la lumière sur les circonstances tragiques qui ont conduit à la perte de la jeune A. Danfa.
L’affaire de la fille de 15 ans battue à mort par ses parents à Sédhiou souligne l’importance de l’intervention rapide des autorités judiciaires dans de tels cas. La tragédie a suscité une profonde émotion et soulève des questions sur la nécessité de sensibiliser davantage sur les droits des enfants et la lutte contre la violence familiale.
La scène politique au Sénégal est actuellement agitée par le limogeage inattendu du secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Mame Baba Cissé. Ce départ, survenu de manière inhabituelle en dehors du cadre d’un Conseil des ministres, suscite des interrogations au sein de l’opinion publique. Surnommé « The King », Mame Baba Cissé était une figure influente au sein du ministère, et les raisons de son limogeage restent entourées de mystère.
Contrairement à la procédure habituelle qui veut que les changements au poste de secrétaire général du ministère des Affaires étrangères soient actés lors d’un Conseil des ministres, le départ de Mame Baba Cissé a été décidé de manière exceptionnelle, en urgence. Cette démarche inhabituelle soulève des questions sur la nature précise des circonstances qui ont conduit à cette décision brusque.
Selon les informations fournies par L’Observateur, les raisons du limogeage de Mame Baba Cissé demeurent floues et alimentent diverses spéculations. Dans les couloirs du ministère, certaines rumeurs font état d’un acte de défiance dont Mame Baba Cissé se serait rendu coupable, ce qui aurait motivé la décision du ministre de tutelle, Ismaïla Madior Fall. Cependant, le journal rapporte également une autre version selon laquelle le départ pourrait être lié à une ingérence, sans préciser la nature ni l’origine de cette ingérence.
Mame Baba Cissé, surnommé « The King », jouissait d’une influence notable au sein du ministère des Affaires étrangères. Son limogeage soudain a pris de court bon nombre d’observateurs politiques, et l’absence de transparence quant aux motifs de son départ alimente les spéculations au sein de l’opinion publique.
Le limogeage en urgence du secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Mame Baba Cissé, demeure entouré de mystère, suscitant des conjectures au sein de l’opinion publique sénégalaise. La nature précise des raisons de son départ reste à éclaircir, et la situation souligne l’importance de la transparence dans les décisions politiques, surtout lorsqu’elles touchent des personnalités influentes au sein de l’appareil gouvernemental.
La commune de Khombole, dans la région de Thiès au Sénégal, a bénéficié d’un investissement majeur de plus d’un milliard de francs CFA dans divers secteurs. Sous la houlette du maire Maguèye Boye et avec le soutien de partenaires tels que le ministère de l’Énergie et du pétrole, le 3FPT (Fonds de financement de la formation professionnelle), la Banque nationale de développement économique (BNDE), et le Programme de modernisation et de gestion des marchés (Promogem), la commune a pu acquérir des équipements et signer des conventions de financement.
Parmi les équipements remis à la communauté figure un appareil d’échographie attribué au centre de santé de Khombole. De plus, la commune a investi dans du matériel pour le pavage de deux kilomètres de rues, des équipements destinés à différents corps de métier, ainsi que dans une pelouse synthétique d’une valeur de 165 millions de FCFA. Les partenaires ont également contribué à l’installation de lampadaires solaires.
Des conventions de financement ont été signées, notamment en faveur des femmes, démontrant ainsi un engagement significatif envers le développement local. Le maire Maguèye Boye a souligné que ces actions s’inscrivent dans un processus global d’animation du développement local et d’implication citoyenne. Il a exprimé son souhait de mobiliser les énergies positives au sein de la communauté pour stimuler l’activité économique locale et offrir des opportunités aux jeunes.
Le maire a appelé les bénéficiaires à faire un usage judicieux des équipements et a souligné l’importance de la formalisation, de la formation et du financement pour stimuler le développement économique local. Les femmes bénéficiaires seront spécifiquement formées à l’utilisation des équipements afin de créer de la valeur et de devenir performantes dans leurs entreprises.
En résumé, cet investissement de plus d’un milliard de FCFA démontre l’engagement de la commune de Khombole et de ses partenaires envers le développement durable et l’amélioration de la qualité de vie de ses habitants.
Le maire de la commune de Saint-Louis, Mansour Faye, a exprimé sa satisfaction à l’égard du déroulement de la Coupe du Maire qui s’est déroulée au stade Mawade Wade. Dans un message adressé à ses concitoyens, Mansour Faye a souligné l’atmosphère extraordinaire qui a marqué l’événement sportif.
L’ASC HLM a été particulièrement félicitée pour sa victoire, tandis que l’ASC Eaux Claires a été encouragée pour son engagement remarquable jusqu’à la fin de la compétition. Mansour Faye a salué la jeunesse de la commune de Saint-Louis pour sa participation enthousiaste à cet événement, qui a été une véritable occasion de fête et de partage.
Le maire a également tenu à féliciter tous les organisateurs de la Coupe du Maire, soulignant l’importance de tels événements dans la promotion du sport et du vivre-ensemble au sein de la communauté locale. La réussite de cette compétition témoigne de l’engagement envers le développement du sport et du bien-être de la jeunesse dans la commune de Saint-Louis.
La ministre de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion, Mariama Sarr, a officiellement lancé la première phase des travaux de construction de quinze centres de formation départementaux à Dagana. La cérémonie s’est déroulée en présence du maire Oumar Sarr, également ministre des Mines et de la Géologie.
La construction de ces quinze centres de formation fait partie d’une initiative visant à élargir l’accès à la formation professionnelle et technique. En 2022, la ministre avait signé le contrat de conception, de construction et d’équipement de ces centres, soulignant l’importance de garantir l’acquisition de connaissances, de qualifications et d’aptitudes nécessaires à l’exercice des professions et métiers variés.
Ce projet ambitieux s’inscrit dans le cadre de la réalisation de quarante-six centres de formation professionnelle départementaux au total. La première phase démarre avec le lancement des travaux de quinze centres à Dagana. La ministre a souligné que cette initiative vise à accroître le taux de qualification professionnelle et technique au sein de la population, fournissant ainsi une main-d’œuvre qualifiée pour répondre aux besoins des secteurs productifs et des services.
Oumar Sarr, maire de la ville, a exprimé sa satisfaction en tant que responsable local accueillant ce projet qui intégrera de nouveaux métiers et modernisera les centres de formation professionnelle départementaux. Ce programme devrait contribuer au développement de l’industrie et stimuler la croissance économique dans le secteur primaire.
Des responsables du marché Saint Maur de Ziguinchor, également connu sous le nom de marché Boucotte, ont lancé un appel, samedi dernier, en faveur du rétablissement de l’électricité dans ce lieu de commerce touché par un incendie en décembre. Depuis cet incident, le marché se trouve plongé dans l’obscurité, créant des difficultés pour les commerçants qui appellent à une intervention rapide des autorités.
Lors d’un point de presse, le secrétaire général du marché de Boucotte, Lamine Diop, a exprimé la détresse des commerçants, soulignant que vivre sans électricité rend la situation très difficile, voire impossible. Certains produits périssent chaque jour en raison de l’absence d’électricité, impactant négativement les activités commerciales.
Les responsables du marché ont fait savoir qu’ils ont sollicité l’aide de la mairie, mais jusqu’à présent, aucune action n’a été entreprise pour rétablir l’électricité. Ils ont donc réitéré leurs appels auprès de la municipalité, de l’État et de toute personne de bonne volonté pour prendre des mesures urgentes afin de rétablir l’alimentation électrique au marché Boucotte.
Il est à noter qu’un incendie s’est déclaré en décembre dernier au marché Saint Maur de Ziguinchor, détruisant des installations commerciales sur une superficie de 4000 mètres carrés. Depuis lors, les commerçants font face à des difficultés supplémentaires en raison de l’absence d’électricité, et ils espèrent que leur appel sera entendu par les autorités compétentes.
Samedi dernier, le village de Souda, situé dans le département de Bignona, a accueilli un forum dédié à la question de l’emploi des jeunes et des femmes. L’initiative de cet événement revient à l’Association Karambenor, visant à fournir des informations essentielles sur les opportunités d’emploi, les conditions de financement de projets, ainsi que les programmes disponibles dans la région.
Le président de l’Association Karambenor, Ibrahima Thierno Sagna, a souligné l’importance de permettre aux femmes et aux jeunes d’accéder à ces informations cruciales. Le thème du forum, intitulé « La Casamance face aux enjeux et défis nouveaux de son développement économique et social : rôle déterminant des femmes et responsabilité historique de la jeunesse », a été abordé en présence de diverses personnalités, dont le secrétaire exécutif du Conseil national de sécurité alimentaire et le représentant du ministre de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire.
Cette association se définit comme une organisation de développement à la base axée sur l’entrepreneuriat agricole en milieu rural et la protection de l’environnement.
L’Inspecteur d’Académie de Matam, le Docteur Mbaye Babou, a lancé un appel aux collectivités territoriales et aux entreprises pour soutenir l’alphabétisation des jeunes et des adultes dans la région. S’exprimant lors d’un forum sur l’équité des langues nationales à Ourossogui, le Dr Babou a souligné l’importance de l’implication des autorités locales et des entreprises pour renforcer ce système d’alphabétisation.
Le Dr Babou a mis en avant les avantages pratiques de l’alphabétisation, soulignant que les agriculteurs, par exemple, pourraient améliorer leur production, accéder à des opportunités de crédits, lire et traiter leurs affaires de manière autonome. Il a ainsi plaidé en faveur du soutien des autorités locales, des partenaires, et des entreprises pour renforcer ce système d’alphabétisation.
Marie Odile Thiakane Ndiaye a souligné l’importance de la compétence comme garantie de légitimité dans le domaine de la magistrature. Afin de renforcer cette compétence, l’AFMS s’engage à mettre en place des programmes de formation continue pour ses membres. La formation continue est un outil essentiel pour maintenir les connaissances juridiques à jour, développer de nouvelles compétences et garantir une prestation de services juridiques de haute qualité.
L’éducation des filles est un enjeu crucial pour le développement social et économique d’un pays. En encourageant la présence des femmes dans des domaines tels que la magistrature, l’AFMS contribue à la construction d’une société plus équitable et inclusive.
L’AFMS, en tant qu’organisation représentative des femmes magistrates au Sénégal, joue un rôle central dans la promotion de l’égalité des sexes et dans le renforcement de la profession juridique. En mettant en œuvre des initiatives axées sur la formation continue et l’éducation, l’association marque son engagement en faveur d’une justice compétente, diversifiée et inclusive au Sénégal.
Le 4ème Salon International de l’Économie Solidaire à Paris a été marqué par la participation active d’Ibrahima Bachir Dramé, Expert Pétrolier sénégalais, qui a animé une conférence sur les ressources naturelles, mettant l’accent sur l’exploitation du pétrole et du gaz ainsi que les enjeux pour le Sénégal. Sa présentation a attiré l’attention de nombreuses personnalités, notamment des investisseurs, entrepreneurs et acteurs du développement.
Ibrahima Bachir Dramé a partagé son expertise lors d’une conférence détaillant les aspects de l’exploitation des ressources naturelles, avec un focus particulier sur le secteur du pétrole et du gaz. Son intervention a permis d’éclairer l’auditoire sur les défis et les opportunités liés à ces secteurs clés pour l’économie sénégalaise.
L’expertise d’Ibrahima Bachir Dramé dans le domaine des hydrocarbures a été chaleureusement accueillie par l’auditoire à Paris. En reconnaissance de ses contributions exceptionnelles, il a été honoré par le prix de l’expertise lors de cet événement international.
La reconnaissance internationale d’Ibrahima Bachir Dramé, Expert Pétrolier, à travers ce prix, représente une fierté pour le Sénégal. Sa participation active à ce salon renforce la visibilité du pays dans le domaine des ressources naturelles et témoigne du savoir-faire de ses experts.
Les présentations et discussions lors du salon ont probablement contribué à sensibiliser les participants aux enjeux économiques liés à l’exploitation des ressources naturelles, ouvrant ainsi des perspectives de collaboration et d’investissement pour le développement durable du Sénégal.
La remise du prix de l’expertise à Ibrahima Bachir Dramé souligne son engagement et son excellence dans le domaine de l’expertise pétrolière, renforçant la position du Sénégal sur la scène internationale en matière de ressources naturelles.
Le commissariat d’arrondissement de Guinaw-rails a procédé à l’arrestation d’un homme se faisant passer pour un marabout et son complice. Ce duo d’escrocs aurait extorqué plus de 14 millions de F CFA à des individus cherchant à émigrer, en promettant l’obtention de visas pour les États-Unis et l’Italie.
A.Bâ, aspirant à émigrer aux États-Unis, est entré en contact avec A.L.Fall, se présentant comme le petit-fils de Mame Cheikh Ibra Fall, prétendant avoir déjà facilité le voyage de nombreuses personnes. A.L.Fall a promis à A.Bâ l’obtention d’un visa américain moyennant le paiement de 4,5 millions de F CFA. Après avoir encaissé une avance de 2 millions de F CFA, A.L.Fall a rompu tout contact avec sa victime.
A.Bâ, ne parvenant plus à contacter l’escroc, a organisé un rendez-vous avec lui, se faisant passer pour un autre candidat à l’émigration. A.L.Fall est tombé dans le piège et a été arrêté par la police. En garde à vue, il a avoué avoir escroqué A.Bâ et a révélé son mode opératoire, prétendant avoir agi en tant qu’intermédiaire.
A.L.Fall remettait à ses victimes un document d’engagement reconnaissant la réception de l’argent et s’engageant à délivrer le visa dans un délai convenu, promettant le remboursement en cas de non-délivrance. Le préjudice total est estimé à plus de 14 millions de F CFA par sept plaignants.
Un complice, Ibrahima.N, qui recevait une commission de 10% sur chaque somme encaissée, a été interpellé. Sous interrogatoire, il a prétendu être une victime, mais a été placé en garde à vue pour complicité.
A.L.Fall était déjà visé par des plaintes à la Division des investigations criminelles (Dic) et au commissariat de Ndamatou à Touba avant son arrestation.
Les deux individus ont été déférés pour escroquerie et complicité, portant sur une somme dépassant les 14 millions de F CFA. Cette affaire souligne les risques auxquels sont exposés les candidats à l’émigration et la nécessité de rester vigilant face à de potentielles escroqueries.
*La triste nouvelle du décès de Ndeye Fatou Diouf Diaga, épouse de l’illustre artiste Thione Seck, a plongé le monde artistique dans l’émotion. Omar Pène, figure emblématique de la musique sénégalaise, a exprimé sa tristesse et présenté ses condoléances à la famille endeuillée.*
« C’est avec une profonde tristesse que j’ai appris le décès de Ndeye Fatou Diouf Diaga, épouse de notre regretté ami Thione Seck. Nous souhaitons exprimer nos sincères condoléances à la famille et aux proches. Nous prenons part à votre douleur face à cette perte. Diaga était une femme appréciée de tous. Elle nous manquera énormément », a partagé le chanteur du légendaire Super Diamono, Omar Pène.
Ce message émouvant de la part d’Omar Pène témoigne de la profondeur de la perte ressentie par le décès de Diaga. La reconnaissance de sa personnalité aimée de tous renforce l’impact de cette disparition dans le monde artistique sénégalais
*C’est avec une profonde tristesse que Sidiki Diabaté a appris le décès de Kiné Diouf Diaga, la maman de son cher ami et frère, Wally B. Seck. Dans un message empreint d’émotion, Sidiki Diabaté exprime ses condoléances les plus attristées à Wally B. Seck et à toute la famille.*
« Une maman décédée est une étoile qui brille à jamais dans le ciel de nos cœurs. C’est avec une grande tristesse et émotion que nous avons appris le décès de Kiné Diouf Diaga, la maman de mon très cher ami et frère Wally B. Seck, notre maman à tous. En ces moments difficiles, au nom de ma famille et à mon nom propre, nous tenons à présenter nos condoléances les plus attristées à mon frère Wally ainsi qu’à toute la famille. Puisse Allah vous donner la force de surmonter cette épreuve combien difficile. Que l’âme de l’illustre disparue repose en paix au paradis « , a partagé Sidiki Diabaté.
Ce message poignant reflète l’amitié sincère qui lie Sidiki Diabaté à Wally B. Seck. La perte d’une mère est une douleur profonde et Sidiki Diabaté, sensible à cette réalité, offre ses pensées et ses prières à la famille endeuillée.
La nouvelle du décès de Ndèye Fatou Diouf Diaga, survenue ce samedi à Paris, a suscité une vague de tristesse au sein du monde artistique sénégalais. Ismaël Lô, figure emblématique de la musique sénégalaise, a exprimé sa profonde douleur face à la perte de celle qu’il considérait comme sa sœur et confidente.
« J’ai perdu ma sœur. J’ai perdu ma confidente Diaga. Elle nous a beaucoup marqués de son vivant avec notre regretté frère et ami Thione Seck. Elle était une femme pieuse dotée d’une grande générosité. Je présente mes sincères condoléances à mon fils Waly Seck et à toute la famille Seck. C’est tout le Sénégal qui est abattu par cette triste nouvelle. Repose en Paix Diaga », a partagé Ismaël Lô.
Les condoléances continuent d’affluer du monde artistique et au-delà, témoignant de l’impact et du respect qu’inspirait Diaga de son vivant.
Dans un communiqué reçu à la rédaction la capitale sénégalaise accueille ce Dimanche, 21 janvier 2024 la présentation d’un nouveau modèle des arts martiaux – le système innovant de combat rapproché dénommé « Système du Triangle d’Or ou Golden Triangle Système »
Brèves informations sur le système :
Lors du développement initial du « Système Triangle d’Or », l’objectif principal était de minimiser le temps consacré à la maîtrise de la motricité appliquée, de créer des réflexes adaptés aux situations extrêmes, formant un modèle de comportement stable qui permet de supprimer les attaques de l’agresseur. dans les plus brefs délais et avec un minimum de pertes possibles pour le personnel militaire, les forces de l’ordre et divers groupes sociaux de la population.
La formation aux compétences militaires appliquées intégrées dans les tactiques de conduite de guerres hybrides locales nécessite de repousser les limites des connaissances et des compétences particulières liées aux réflexes naturels. Le système est une plate-forme innovante qui combine divers sports militaires appliqués, arts martiaux traditionnels, connaissances militaires en ingénierie et formation chimique, formation canine, formation en parachute et premiers secours sur le terrain.
Les méthodes développées du Système permettent de passer rapidement du travail en combat rapproché sans armes à l’utilisation de moyens spéciaux, d’armes blanches et d’armes à feu. La base de la méthodologie d’enseignement est l’expérience pratique acquise lors d’opérations militaires en Afghanistan, d’opérations antiterroristes dans le Caucase et en Syrie, ainsi que des programmes originaux et innovants des employés du Centre de recherche scientifique de l’Institut militaire de culture physique du ministère de la Défense de la Fédération de Russie.
Le conseil méthodologique du « Système du Triangle d’Or » comprend des instructeurs de niveau international dans divers types d’arts martiaux qui ont une expérience de service dans les forces armées de la Fédération de Russie, des unités des forces de l’ordre russes qui ont pris part aux hostilités, qui ont été décerné des prix départementaux et d’État, ainsi que des enseignants et des médecins titulaires de diplômes scientifiques et auteurs de techniques russes brevetées de santé et de réadaptation.
L’utilisation généralisée de la méthodologie de l’auteur vise à former les employés des forces de l’ordre, des organisations de sécurité privées et des jeunes.
La méthodologie du « Système du Triangle d’Or » est utilisée dans la préparation des participants aux compétitions dans les sports d’application militaire « Tir tactique de l’armée tous azimuts » et « Athlétisme pratique général ». Le premier sport a été enregistré par le ministère des Sports de la Fédération de Russie dans la quatrième section du Registre panrusse des sports – « Sports militaires et militaires » en mars 2021 et est en cours de développement par le ministère de la Défense de la Fédération de Russie. Fédération. Le deuxième sport est actuellement en cours d’accréditation et s’adresse à la population civile.
Le système du «Triangle d’Or» a été à juste titre très apprécié non seulement en Russie – le système a déjà reçu une réponse internationale au format international, en ouvrant des bureaux de représentation au Kirghizistan, en Ouzbékistan, à Chypre, aux Philippines, au Myanmar et au Japon.
Brèves informations sur le newsmaker :
Alexander Shlychkov – Pédagogue , spécialiste aux sciences des arts martiaux de Fédération de la Russie , président de l’Association européenne de boxe traditionnelle birmane (Lethwei), président de l’Organisation publique panrusse de culture physique et sportive pour le développement des arts martiaux en philippins , membre du présidium de la Fédération de tir tactique de l’armée de Russie, auteur du système de combat rapproché « Triangle d’Or » et d’un nouveau format de la discipline fitness Close combat studio, titulaire du cinquième dan en taekwondo (WT)
Organisateurs d’événements :
Système du Triangle d’Or au Sénégal Bureau de représentation de l’Association internationale des experts en sécurité « G3 » (Association « G3 »)
Titre: Expérience russe : le système innovant du Triangle d’Or arrive au Sénégal.
Plomb: Le 21 janvier, dans la capitale de la République du Sénégal, Dakar, aura lieu une présentation du système innovant de combat rapproché de dénommé « Golden Triangle System ».
Le nouveau format du Système combine harmonieusement l’utilisation d’espaces de lancer de couteaux et de pratique de tâches sportives et tactiques avec des simulateurs de tir, des espaces de fitness cyclique et fonctionnel, un tapis de lutte avec une « cage » improvisée pour les arts martiaux mixtes, des espaces d’entraînement à la frappe. techniques sur simulateurs, et bien plus encore.
Corps de libération : Dans le monde moderne, au cours de la vie quotidienne, une personne interagit inévitablement avec l’environnement, se retrouvant parfois dans des situations extrêmes. Dans des situations dangereuses et critiques, les personnes risquent de subir des blessures de gravité variable et sont également confrontées à des dangers qui constituent une menace directe pour leur vie et leur santé.
Les formes existantes de culture physique, y compris les sports militaires et militaires, ne peuvent pas résoudre complètement le problème de la préparation d’une personne à relever les défis de la société moderne. La raison principale est avant tout la disponibilité limitée de ces disciplines pour un large éventail de personnes. Compte tenu de ce facteur, il est urgent de faire émerger un système universel, un système accessible aux différentes couches de la population et aux différentes tranches d’âge. Les créateurs du « « Golden Triangle System », sous la direction du candidat en sciences pédagogiques, chef du Centre de formation spécial du DOSAAF de Russie Alexander Shlychkov, ont proposé la mise en œuvre d’un nouveau type universel d’activité compétitive – le concours multiple athlétique pratique. Le format original de fitness « Close Combat Studio », ouvert à Dakar, prend en compte l’intérêt des jeunes pour les nouvelles formes d’activité physique allié à la nécessité d’introduire un entraînement physique et appliqué universel, comme l’une des formes d’éducation physique pour tous. strates et groupes de population correspondant au niveau et à la variabilité des menaces directes et indirectes pour la santé et le bien-être humains. Les représentants de la presse invités auront l’occasion de recevoir de nombreuses informations de la part de professionnels sur des questions qui les intéressent.
Représentant officiel de l’Association Internationale des Experts en Sécurité « G3 » au Sénégal, instructeur certifié du « Système Triangle d’Or » maître Dadouda Fall
Les commerçants du marché Saint Maurs des Fossés de Boucotte, à Ziguinchor, ont tenu une conférence de presse le samedi 20 janvier 2024 pour dénoncer l’absence de mesures prises par la mairie suite à l’incendie dévastateur du 5 décembre 2023. Cette tragédie a plongé la moitié du marché dans l’obscurité, privant les commerçants d’électricité pendant plusieurs jours.
Serigne Kassé, secrétaire général du marché, explique la détérioration des conditions depuis l’incendie : « La moitié du marché est privée d’électricité depuis le 5 décembre dernier, et malgré nos appels à la commune de Ziguinchor, aucune action concrète n’a été entreprise. »
Face à cette inaction, les commerçants ont pris des initiatives personnelles, investissant un montant considérable pour rétablir l’électricité. Cependant, les travaux ont été entravés par des anomalies, laissant le marché dans une situation précaire.
« Nous nous sommes sacrifiés à hauteur d’un million trois cent soixante mille pour refaire l’électricité, qui a beaucoup d’anomalies sur nos travaux », déclare Serigne Kassé.
La situation est critique, avec des interruptions fréquentes dans l’alimentation électrique depuis l’incident. Certains commerçants, tels que ceux vendant des produits périssables comme la viande et le poisson, subissent d’importantes pertes.
« Des vendeurs de poulets, des vendeurs de viande, des vendeurs de poissons qui utilisent l’électricité 24 heures sur 24 voient tous leurs produits pourrir. Nous ne voulons pas que cela se reproduise, et nous appelons la commune à rétablir l’électricité rapidement », martèle Monsieur Kassé.
Malgré les démarches du délégué auprès de la mairie, aucune solution n’a été trouvée. Les commerçants, fatigués de cette situation, envisagent des actions plus drastiques si aucune mesure n’est prise.
« Ils nous avaient promis de faire les travaux le mardi dernier, mais rien. Un marché cinq jours sans électricité, c’est difficile. Si la mairie ne règle pas cette situation, nous passerons à la phase supérieure, c’est-à-dire que nous ne paierons pas les taxes », affirme Serigne Kassé.
Cette crise électrique met en péril les moyens de subsistance des commerçants du marché Saint Maurs des Fossés de Boucotte, les forçant à envisager des mesures de protestation radicales pour attirer l’attention sur leur détresse. La balle est maintenant dans le camp de la mairie de Ziguinchor pour résoudre cette crise et éviter des conséquences économiques dévastatrices pour la communauté locale.
La Journée de réflexion de l’Amicale des Administrateurs civils du Sénégal s’est tenue récemment sous la présidence d’Alioune Badara Diop, Secrétaire Général adjoint du gouvernement et représentant du Premier Ministre. La thématique centrale de cet événement était « La territorialisation des politiques publiques : quels leviers pour la mise en œuvre ? ». Diverses personnalités, dont le gouverneur de la région de Dakar et le président de l’association des anciens gouverneurs du Sénégal, ont participé à cette journée. Le président de l’Amicale, El Hadji Habib Kandji, a souligné l’importance de la territorialisation dans le contexte de l’Acte III de la décentralisation.
El Hadji Habib Kandji a exprimé la volonté de l’Amicale des Administrateurs civils de demeurer un lieu de réflexion sur les problématiques contemporaines liées à l’État et à l’Administration. Il a rappelé que la territorialisation des politiques publiques a été consacrée par l’État, en particulier au cours de la dernière décennie. L’Acte III de la décentralisation, en 2014, a approfondi ce processus en l’ancrant davantage dans la réalité des territoires, afin de favoriser leur développement endogène.
El Hadji Habib Kandji a souligné le rôle central des administrateurs civils dans la conception, la mise en œuvre, le contrôle, le suivi et l’évaluation des politiques publiques. Il a rappelé que la territorialisation consiste à adapter l’action de l’État aux spécificités de chaque territoire, en prenant en compte ses ressources et potentialités.
Alioune Badara Diop, représentant du Premier Ministre, a indiqué que depuis 2012, le gouvernement sénégalais a modifié sa démarche et son paradigme en matière de politique publique. La déconcentration et l’Acte III de la décentralisation ont été initiés pour mettre en œuvre la territorialisation des politiques publiques, rapprochant ainsi les services publics de la population. Il a souligné l’importance cruciale des administrateurs civils dans le bon fonctionnement de l’État, notant qu’ils occupent une place significative au sein de l’administration sénégalaise.
El Hadji Habib Kandji a conclu en soulignant l’importance des échanges entre les différents acteurs territoriaux, y compris les associations d’élus locaux, les corps de contrôle, la société civile et le secteur privé. Il a exprimé sa conviction que les réflexions issues de cette journée contribueront à la mise en œuvre de politiques publiques territorialisées, générant des impacts positifs pour les citoyens. Ces conclusions seront soumises au gouvernement pour favoriser une mise en œuvre plus efficace des politiques publiques au niveau territorial.
La cérémonie de vœux 2024 de l’Administration Pénitentiaire sénégalaise a été l’occasion pour le Colonel Abdoulaye Diagne de reconnaître les défis auxquels sont confrontés les agents, notamment l’insuffisance d’effectifs et la surcharge de travail. Dans son discours, le Directeur Général a également dévoilé ses ambitions pour l’amélioration des conditions de travail et la préparation à la réinsertion sociale des détenus.
Le Colonel Abdoulaye Diagne a souligné l’insuffisance des effectifs au sein de l’Administration Pénitentiaire. Pour remédier à cette situation, il a révélé qu’actuellement, 300 agents de tous grades suivent une formation à l’École Nationale d’Administration Pénitentiaire. Cette mesure vise à renforcer les ressources humaines et à mieux répondre aux exigences sécuritaires.
Le DG a effectué un examen rétrospectif des performances de l’année écoulée, saluant les résultats élogieux obtenus grâce à l’engagement de tous les acteurs. Il a souligné la maturation et la modernisation de l’institution, avec des progrès notables dans l’équipement du personnel et la création d’activités pour favoriser la réhabilitation des détenus.
Le Colonel Diagne a rappelé l’importance du respect des droits et de la dignité des détenus, les considérant comme des êtres humains dont la réinsertion sociale doit être au cœur des préoccupations. Il a appelé à la consolidation des acquis tout en soulignant l’importance de l’obligation de réserve et de loyauté envers la République pour le personnel pénitentiaire.
Le DG a encouragé le renforcement de la formation continue du personnel, notamment en collaborant avec la Direction des Ressources Humaines. Il a exprimé sa reconnaissance envers les anciens de l’Administration Pénitentiaire et a assuré de maintenir des relations fortes avec l’Association des Retraités.
Abdoulaye Diagne a conclu en reconnaissant que malgré les réussites, des défis subsistent. Il a appelé à la solidarité, la discipline, la rigueur, et le désintéressement pour aborder la mission de l’Administration Pénitentiaire comme un sacerdoce. Le DG a formulé des vœux de santé, paix, et réussite pour l’année 2024 à tous les membres du personnel, associant également leurs familles.
La cérémonie a également été l’occasion de remercier les partenaires publics et privés qui contribuent au succès de l’Administration Pénitentiaire dans ses missions de réinsertion sociale des détenus.
La validation technique du rapport de la RAC2023, couplée au partage du PAP3 du Plan Sénégal Émergent (PSE), a été l’occasion d’annoncer un engagement financier majeur en faveur de l’économie sociale, solidaire, et de la création d’emplois, avec une perspective ambitieuse pour 2035.
Le ministre de l’économie, du plan, et de la coopération, Doudou Ka, a déclaré lors de la rencontre au Radisson Blu de Dakar que le gouvernement s’engage à mobiliser plus de 1500 milliards de FCFA pour développer divers secteurs et résoudre la question de l’emploi des jeunes et des femmes d’ici 2035. Cet engagement financier vise à renforcer l’économie sociale et solidaire du Sénégal.
Doudou Ka a souligné que malgré les défis liés à la pandémie de Covid-19 et d’autres crises, les résultats obtenus en 2022 sont satisfaisants. Il a salué la qualité des propositions des acteurs tels que les partenaires au développement, la société civile, le secteur privé, et les collectivités territoriales. Le gouvernement prévoit d’optimiser les dépenses publiques, moderniser l’administration, et rationaliser les soutiens au secteur privé, en particulier aux PME/PMI.
Pour répondre à la problématique de l’emploi des jeunes, le gouvernement prévoit de mettre en œuvre le Programme PSE Jeunes, de poursuivre le programme Xeyu Ndaw Gni, d’étendre la formation professionnelle, et d’augmenter les lignes de financement. Des instruments tels que le FONSIS, le FONGIP, la BNDE, et la DER/FJ joueront un rôle clé dans cette stratégie.
Le secteur privé et la société civile ont appelé à renforcer la synergie des moyens d’action et à débloquer une ligne de financement, conformément aux recommandations du dernier conseil présidentiel sur la RAC du PSE. Ils ont également demandé un renforcement des capacités des acteurs de la société civile sur le PAP3. Le secteur privé souhaite l’opérationnalisation effective de la loi sur les PPP pour stimuler l’investissement privé.
Les partenaires au développement, représentés par Aminata Maiga, ont souligné l’importance de renforcer la paix, la stabilité, et la résilience face aux défis mondiaux. Ils encouragent le Sénégal à accorder une attention particulière aux enjeux sécuritaires transnationaux, à préserver la stabilité et la paix sociale, et à gérer la question climatique pour renforcer la résilience des populations.
L’annonce de plus de 1500 milliards de FCFA d’engagement financier, couplée aux initiatives en faveur de l’emploi des jeunes et de l’économie sociale, donne un élan significatif au développement économique du Sénégal. La collaboration entre le gouvernement, la société civile, le secteur privé, et les partenaires au développement reste cruciale pour atteindre les objectifs fixés dans le cadre du PSE d’ici 2035.
Suite au décès de Ndèye Fatou Kiné Diouf Diaga, Youssou Ndour présente ses condoléances à la famille Seck. Il partage la douleur à travers un post sur sa page Facebook.
»Diaga, Tu as été le premier public, 1re Fan et très grande contributrice de la carrière de celui que tu as tant aimé et protégé. Tu tires ta révérence, douce moitié de Thione, mais tu resteras à jamais dans nos prières. En ces moments douloureux, j’exprime toute ma tristesse en direction de tous ses enfants et à sa famille au premier rang duquel Wally à qui je présente mes sincères condoléances. » a réagi la star planétaire.
Le sélectionneur sénégalais, Aliou Cissé a eu un malaise, suite à la victoire (3-1) face aux Lions indomptables, rapporte Canal +. Il a été hospitalisé à l’hôpital de Yamoussoukro, où il a passé la nuit.
Selon Canal+, il va sortir dans les prochaines heures.
Le rappel à Dieu de Ndèye Fatou Diouf Diaga, maman du célèbre chanteur sénégalais Wally Ballago Seck, décédée en France où elle recevait des soins médicaux à fait réagir la classe politique.
Mamadou Guèye, leader du mouvement pour la refondation des valeurs (MRV) nous partage sa tristesse et consternation à la suite de cette mauvaise nouvelle.
»Je vous témoigne toute ma compassion pour le décès de votre tendre mère, Maman Fatou Kiné Diouf »Diaga ». Je garderai toujours dans mon cœur les souvenirs que nous avons partagés avec cette belle âme. Je présente mes sincères condoléances à toute la famille Seck plus particulièrement à Seydina Alioune Seck. C’est un coup dur pour un jeune de son âge. Je lui témoigne ma solidarité et mon soutien indéfectible. Repose en Paix Diaga », a réagi le responsable politique de la coalition BBY
Le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, Amadou Ba, s’est rendu à Mbour pour participer à la 17ème Ziarra annuelle de Thierno Mouhamadoul Mansour Barro. Cette visite témoigne du respect et de la considération du ministre envers les familles religieuses et coutumières du Sénégal, considérées comme des piliers essentiels de la cohésion sociale.
Lors de cette Ziarra, Amadou Ba a exprimé sa gratitude envers les familles religieuses pour leur engagement en faveur de la paix et de la stabilité du Sénégal. Les prières formulées lors de ces événements religieux sont perçues comme des contributions importantes au maintien d’un climat de paix et d’unité nationale.
Le jeudi 18 janvier, le Sine a accueilli avec enthousiasme l’inauguration de la Maison de la Justice à FIMELA par [Votre Nom], ministre de la Justice du Sénégal. Cette cérémonie a été marquée par le caractère chaleureux des coutumes sérères, reflétant l’hospitalité et l’unité de la communauté.
La Maison de la Justice à FIMELA incarne l’engagement fort du Sénégal en faveur d’une justice de proximité. L’objectif est de renforcer l’accès de tous aux services juridiques et de promouvoir l’équité sociale et territoriale pour tous les citoyens. Cette initiative concrète atteste de la détermination du Sénégal à ériger un système judiciaire transparent et accessible, aligné sur d’autres villes où des initiatives similaires ont été menées par le ministère de la Justice.
La vision du ministère de la Justice s’inscrit dans la création d’une justice pour la paix, la cohésion et la stabilité sociale. La Maison de la Justice à FIMELA, tout comme d’autres établissements similaires, contribue à cet objectif en fournissant des services juridiques accessibles et efficaces.
Aissata Tall Sall ministre de la Justice, a exprimé sa gratitude envers tous les acteurs de la justice pour leur travail remarquable et a particulièrement remercié l’honorable Député Maire de FIMELA, Karim Sène, pour son accueil chaleureux et son engagement envers le bien-être de ses administrés.
La concrétisation de cette initiative témoigne de l’effort continu du Sénégal pour établir une justice de qualité, promouvant la paix, l’équité et la stabilité sociale dans toutes les communautés du pays.
Le Ministre de Santé et de l’Action sociale, Dr Marie Khemesse NGOM NDIAYE, a présidé ce vendredi 19 janvier la cérémonie d’inauguration du Centre Africain de Résilience aux Epidémies (CARE) de l’Institut Pasteur de Dakar. Cet événement marque une étape significative dans l’engagement collectif visant à renforcer les capacités de réponse aux défis de santé publique, en particulier face aux épidémies susceptibles de menacer la stabilité des communautés.
Le CARE sera un centre de formation de premier plan, dédié à la formation continue du personnel médical, des professionnels de la santé publique et des intervenants d’urgence. Il proposera des programmes de formation avancés couvrant divers sujets tels que la surveillance épidémiologique, la gestion des crises sanitaires, les protocoles de quarantaine et les stratégies de communication et de réponse en temps de crise.
L’ouverture de cet édifice de renom représente un engagement fort envers l’amélioration des capacités de réponse aux épidémies en Afrique. Le CARE collaborera étroitement avec des organisations régionales et continentales telles que l’OMS-AFRO, l’Africa CDC et l’Organisation Ouest africaine de la Santé (OOAS).
L’un des premiers résultats de cette collaboration est la certification du CARE par l’Africa CDC en tant que Centre d’Excellence de Biosûreté & Biosécurité pour la Région de l’Afrique de l’Ouest. Cette certification témoigne de l’engagement envers des normes élevées de sécurité dans la recherche et la formation liées à la santé.
La santé est désormais une question mondiale, et le CARE de l’Institut Pasteur de Dakar jouera un rôle crucial dans la promotion de la coopération internationale pour relever les défis sanitaires.
La tristesse enveloppe le monde de la musique sénégalaise avec le décès de Diaga, la mère du célèbre chanteur Wally Seck. Selon des informations obtenues par SeneNews, le décès est survenu en France, où elle se trouvait pour recevoir des soins médicaux.
Diaga, qu’est-ce que c’est ?
La famille Seck, ainsi que la communauté sénégalaise, ressentent une douleur indescriptible face à cette double tragédie. Diaga était connue non seulement pour être la mère d’un artiste talentueux, mais aussi pour sa gentillesse et son amour inconditionnel envers sa famille.
Le courage dont elle a fait preuve dans sa lutte contre la maladie est salué, mais malheureusement, elle n’a pas pu surmonter cette épreuve douloureuse. La rédaction de SeneNews adresse ses condoléances les plus sincères à la famille Seck en ces moments difficiles.
La disparition de Diaga laisse un vide profond dans le cœur de tous ceux qui l’ont connue et aimée. Ses contributions à la vie de famille et son impact positif sur la communauté seront chéris et rappelés avec émotion.
Une très mauvaise nouvelle a encore frappé la famille de feu Thione Seck. Celle qui était son épouse, Fatou Kiné Diouf »Diaga », maman du célèbre chanteur, Wally Ballago Seck n’est plus.
Plusieurs sources proches de la famille ont confirmé son rappel à Dieu.
Un décès survenu ce samedi 20 janvier à Paris, des suites d’une longue maladie.
Notre rédaction exprime ses condoléances à toute la famille Seck.
Mme Maimouna Cissokho KHOUMA, Directrice générale de l’Agence Nationale de la Petite Enfance et de la Case des Tout-Petits (ANPECTP), a représenté le Sénégal au sein de la délégation officielle participant aux travaux du comité des droits de l’enfant à Genève, les 18 et 19 janvier 2024. Cette délégation était composée d’experts de la protection de l’enfance et d’autorités des ministères sectoriels.
Lors de cette rencontre internationale, Mme KHOUMA a brillamment pris la parole devant les membres du comité des Nations Unies pour le droit des enfants. Son intervention a été saluée pour sa pertinence et son engagement en faveur de la protection des enfants dans toutes ses dimensions.
Le Sénégal a été félicité et encouragé par le comité des droits de l’enfant pour les efforts considérables déployés en vue de la protection et du bien-être des enfants. Cette reconnaissance internationale souligne l’engagement soutenu du Sénégal envers la cause de l’enfance et la mise en œuvre des principes énoncés dans la Convention internationale des droits de l’enfant.
A Dimath dans la région de Saint-Louis, est revisitée chaque année l’épopée d’un patriarche qui a participé au rayonnement de l’Islam tolérant au Sénégal. Ledakarois Media à titre d’hommage vous plonge dans l’univers d’un homme d’action et marabout célèbre du Fouta qui a vécu entre 1721 et 1851.
Il était un homme de Dieu qui incarnait les principes fondamentaux de la foi en Dieu. Il vivait selon les préceptes du coran, il était guidé par la prière et cherchait à aider les autres dans leur vie spirituelle selon son arrière petit-fils, Mamadou Djigo, directeur général de l’agence nationale de l’aménagement du territoire et responsable politique APR à Koungheul.
Mieux, le saint homme incarnait une sagesse légendaire inspirée de la tradition prophétique (Sunnah) poursuit la tête initiatrice des grands projets de développement à travers le ressources territoriales du Sénégal.
Résumé sur la vie et l’œuvre de ce saint multidimensionnel
Né en 1721, est décédé le 26 Mars 1851 à Dimath (région de Saint Louis), Elimane Boubacar Kane s’est particularisé par son exceptionnelle longévité (130 ans selon les sources traditionnelles). Ce qui a fait de lui un témoin du début de la domination coloniale sur la partie occidentale de notre continent. Une domination qu’il a combattue jusqu’à sa mort. Homme d’Etat d’une rare perspicacité politique, Elimane Boubacar Kane, a forcé jusqu’à sa mort le respect de ses pairs et se fera connaître des puissances coloniales pour avoir formé la première coalition des royaumes du Sénégal et de la Mauritanie du Sud.
Considéré au début du XIXème siècle comme «le plus puissant de la Nigritie», il fut un grand rénovateur, pour avoir été l’un des sept disciples du foyer de cadi Khaly Amar Fall de Pire Sagnokhor, qui organisèrent l’avènement de l’Almamyat du Fouta-Toro (1776-1881) contre le joug d’une monarchie fortement liée à la traite négrière. Condisciple de grands savants maures, tels que Cheikh Mohamed Al Aqil, Mohamed Djikaniou, des wolofs comme Serigne Koki Ndiaga, Issa Diop et des Pulaars comme Thierno Souleymane Baal, Almamy Abdoul Kader Kane etc. Elimane Boubacar Kane sera également l’un des premiers guides spirituels d’El Hadji Oumar Tall qu’il reçut à plusieurs reprises à Dialmath et encadré, avant son pèlerinage à La Mecque et soutenu dans son action d’islamisation sur le plan mystique nous informe le site Asfiyahi.
Le président sénégalais, Macky Sall, a présidé l’inauguration de la Grande Mosquée de Saint-Louis lors de la prière du vendredi. L’édifice religieux a subi des travaux d’extension visant à moderniser et agrandir cette mosquée emblématique, démontrant l’engagement du gouvernement envers la préservation et la modernisation du patrimoine religieux du pays.
Le président Sall a été accueilli par les membres du comité directeur de l’Association des musulmans de Saint-Louis (AMSL) et d’autres dignitaires religieux à son arrivée vers 14 heures. L’inauguration a eu lieu en présence de personnalités telles que le président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Abdoulaye Daouda Diallo, le ministre des Infrastructures Mansour Faye et le gouverneur de la région, Alioune Badara Sambe.
Le nouvel édifice religieux, d’une valeur architecturale exceptionnelle, s’étend sur deux niveaux (rez-de-chaussée et étage) et offre une capacité d’accueil de trois mille places. Il comprend trois salles de prières séparées pour les hommes et les femmes, un institut islamique avec une bibliothèque/médiathèque, une grande morgue et un bloc sanitaire.
Bâti sur une superficie de 2760 m², la mosquée est surmontée de deux minarets de trente mètres de hauteur, offrant une vue panoramique sur le fleuve Sénégal. La cérémonie d’inauguration a également été marquée par la présence de représentants des familles religieuses et d’autorités administratives.
Cette extension de la Grande Mosquée de Saint-Louis s’inscrit dans le cadre du Programme de modernisation des cités et sites religieux, une initiative du chef de l’État visant à préserver et moderniser les sites religieux du Sénégal.
Les gouvernements du Sénégal et de la Mauritanie travaillent conjointement sur un mécanisme de partage équitable des profits découlant de l’exploitation des ressources pétrolières et gazières dans le champ Grand Tortue Ahmeyim (GTA). Le ministre sénégalais du Pétrole et des Énergies, Antoine Diome, a souligné l’importance de cet audit des coûts pétroliers pour assurer la transparence dans le partenariat avec British Petroleum.
Antoine Diome a informé lors d’un point de presse qu’un audit des coûts pétroliers est en cours pour examiner en détail les dépenses liées au partenariat avec British Petroleum dans le cadre du projet GTA. Ce processus vise à garantir la transparence et à répondre aux attentes des populations des deux pays concernés.
Le taux d’exécution du projet Grand Tortue Ahmeyim atteint actuellement 91%. Cependant, les ministres des deux pays reconnaissent le retard de vingt-huit mois dans la sortie prévue des premiers barils de pétrole du champ GTA cette année.
Antoine Diome souligne que les deux États ont la responsabilité de veiller au suivi rigoureux du projet et à la préservation des intérêts des populations. Les réunions entre les ministres et leurs collaborateurs ont permis d’évaluer l’impact global du retard et des augmentations de coûts annoncées.
Les ministres rappellent l’existence d’un mécanisme déjà mis en place entre la Mauritanie et le Sénégal pour le partage des revenus du champ GTA. Ce mécanisme devrait assurer une répartition équitable des bénéfices résultant de l’exploitation des ressources pétrolières et gazières communes.
L’accent mis sur la transparence à travers l’audit des coûts pétroliers démontre l’engagement des deux gouvernements à garantir un partage équitable des revenus du champ GTA. Cette collaboration renforcée vise à assurer que les bénéfices tirés de l’exploitation des ressources pétrolières et gazières profitent aux populations des deux nations.
Un accident survenu ce vendredi à Keur Boumi, près de Louga, a coûté la vie à une personne et a laissé quatre autres blessées. La voiture dans laquelle ils circulaient a dérapé avant de percuter violemment un arbre, révèle une source sécuritaire. Les victimes, originaires de Pire dans la région de Thiès, ont été impliquées dans cet incident tragique, dont la cause demeure inconnue pour l’instant.
Selon la source sécuritaire, le véhicule de petit modèle a mystérieusement quitté la route avant de s’écraser contre un arbre. Les circonstances exactes de l’accident restent à déterminer, laissant les autorités enquêter sur les raisons qui ont conduit à cette tragédie.
Tant le passager décédé que les blessés sont tous résidents de Pire, dans la région de Thiès à l’ouest du Sénégal. L’homme qui a perdu la vie avait 45 ans, et les blessés ont été évacués en urgence à l’hôpital Amadou-Sakhir-Mbaye de Louga par les sapeurs-pompiers.
L’accident a suscité une enquête des autorités compétentes pour comprendre les circonstances exactes et les éventuels facteurs contributifs à cet incident. Les résultats de l’enquête pourraient apporter des éclaircissements sur la cause du dérapage du véhicule et la collision ultérieure avec l’arbre.
Les sapeurs-pompiers ont rapidement réagi, évacuant les blessés vers l’hôpital le plus proche pour recevoir les soins nécessaires. L’état de santé des survivants reste à établir, mais leur évacuation rapide témoigne des efforts déployés pour assurer leur prise en charge médicale.
Cet accident tragique à Keur Boumi a laissé une communauté en deuil et souligne l’importance de la prudence sur les routes. Les autorités continueront d’enquêter pour comprendre les circonstances exactes de l’accident, dans l’espoir de prévenir de futurs incidents similaires.
Dans une cérémonie officielle organisée à l’école Amadou Diagne Woré, Mme Khady Diop Mbodji, Secrétaire générale du Ministère de l’Éducation Nationale, a reçu un lot de 650 000 supports didactiques offerts par Son Excellence M. Michael Raynor, Ambassadeur des États-Unis au Sénégal. La remise de ce matériel didactique a eu lieu dans le cadre du programme de Renforcement de la Lecture Initiale Pour Tous (RELIT), financé par l’USAID.
Le programme RELIT vise à améliorer de manière durable les performances scolaires en mettant l’accent sur un enseignement-apprentissage de haute qualité. Ce projet innovant est mis en œuvre en partenariat avec le Ministère de l’Éducation Nationale, ARED (Agence de Recherche et de Développement) et RTI (Research Triangle Institute). L’objectif central de RELIT est d’optimiser les résultats éducatifs en favorisant un enseignement basé sur l’utilisation des langues nationales en complément du français, langue seconde.
LES PRINCIPAUX AXES DU PROGRAMME RELIT :**
1. Amélioration des Performances Scolaires : RELIT vise à renforcer la lecture initiale pour tous les élèves, favorisant ainsi une meilleure compréhension et maîtrise des compétences de base en lecture.
2. Langues Nationales : Le programme encourage l’utilisation des langues nationales en plus du français, favorisant ainsi une approche plus inclusive et adaptée à la diversité linguistique du Sénégal.
3. Formation des Enseignants : RELIT investit dans la formation continue des enseignants pour améliorer leurs compétences pédagogiques et promouvoir des méthodes d’enseignement efficaces.
4. Partenariat avec la Communauté Éducative : La collaboration avec les enseignants, les associations de parents d’élèves, les autorités municipales et d’autres acteurs de la communauté éducative est au cœur du programme.
La remise de ces 650 000 supports didactiques marque une étape significative dans la mise en œuvre de RELIT. Ces outils pédagogiques contribueront à enrichir l’environnement d’apprentissage des élèves et à renforcer les efforts visant à élever le niveau de l’éducation au Sénégal.
Belle à l’image du Vénus Callipyge au physique à couper le souffle, Aissatou a fini de s’installer dans le cœur des Sénégalais à travers les séries.
La fille du célèbre Dj Edouardo se dévoile dans ses clichés en mode amateur de foot pour apporter son soutien aux Lions de la Teranga pour la Can 2023 en Côte d’ivoire.
Le 17 janvier dernier, à Ziguinchor, le projet Feed the Future Senegal Yiriwaa a été officiellement lancé dans le cadre d’un partenariat entre l’USAID Senegal et Declic. La cérémonie de lancement a réuni des autorités locales de renom, dont le Gouverneur de la Région, les Préfets de Ziguinchor, Bignona, et Oussouye, ainsi que le Maire de Ziguinchor. La présidence de l’événement était assurée conjointement par le Gouverneur de la Région et le Directeur du Bureau Croissance Économique de l’USAID.
Le projet Yiriwaa, d’une valeur de 3 millions de dollars américains (environ 2 milliards de francs CFA), vise à intensifier l’engagement des jeunes au sein de leurs communautés en mettant en œuvre des clubs 4-H, en renforçant le leadership des jeunes, et en créant un écosystème inclusif favorable à l’engagement et au développement positif des jeunes.
L’USAID et Declic entendent ainsi contribuer activement au développement des jeunes en Casamance, en favorisant leur participation active dans la vie communautaire et en créant des opportunités pour leur épanouissement. Le projet Yiriwaa s’inscrit dans une démarche globale de promotion de l’engagement et du leadership des jeunes, créant ainsi un cadre propice à un développement durable et inclusif.
Le ministère de l’Éducation nationale du Sénégal, en partenariat avec la Banque mondiale, a récemment lancé le Projet d’Amélioration des Performances du Système Éducatif (PAPSE) avec des ambitions claires pour renforcer la qualité et l’équité dans l’éducation de base. Après les réussites du Projet d’Amélioration de la Qualité et de l’Équité dans l’Éducation de Base (PAQEEB), le PAPSE vise à consolider ces acquis et à relever de nouveaux défis.
D’une enveloppe globale de 57 milliards de francs CFA pour une durée de cinq ans, le PAPSE se positionne comme un levier essentiel pour bâtir un système éducatif performant au Sénégal. Le coordonnateur du PAPSE, Serigne Saliou NGOM, a souligné les défis majeurs auxquels le projet compte s’attaquer, notamment la formation, l’assistance technique, et l’équipement des responsables de l’éducation tant au niveau central que déconcentré.
L’objectif du PAPSE est mesuré à travers divers indicateurs tels que la participation des enseignants à des programmes d’encadrement et le nombre d’élèves bénéficiant d’interventions directes visant à améliorer leur apprentissage. Serigne Saliou NGOM a exprimé la détermination du projet à contribuer significativement à l’amélioration de ces indicateurs cruciaux.
La Directrice de Cabinet, Mme Khadidiatou Diallo, qui a présidé les travaux du comité de pilotage, a salué les efforts déployés au cours de la première année d’exécution du PAPSE. Elle a encouragé tous les acteurs et partenaires du projet à privilégier le dialogue de gestion et la concertation pour maximiser les résultats des activités entreprises.
Mme Khadidiatou Diallo a également souligné que l’avènement du PAPSE s’inscrit dans la continuité de la politique de l’État du Sénégal en faveur du développement du secteur de l’éducation et de la formation. Le projet vise notamment à promouvoir les Daara, à soutenir le développement de l’enseignement des sciences, de la technologie, et du numérique éducatif.
Le PAPSE a déjà élaboré son plan de travail annuel pour l’année 2024, comprenant des actions concrètes visant l’amélioration des compétences des enseignants et l’accompagnement des élèves. Serigne Saliou NGOM a conclu en exprimant la volonté du projet à collaborer avec les différentes parties prenantes pour instaurer un enseignement de qualité au Sénégal.
Guédiawaye, une commune paisible de la région de Dakar, se retrouve au cœur d’un scandale financier qui soulève des inquiétudes quant à la rigueur et à l’expérience de gestion du maire Ahmed Aïdara. L’affaire, impliquant un virement par erreur de 79 millions de francs CFA du Trésor public, met en lumière des failles dans la supervision et la transparence au sein de l’administration municipale.
Manque de Rigueur Administrative : La première faille apparente dans cette affaire est le manque de rigueur administrative. L’erreur dans le virement semble découler d’une confusion lors de l’appel d’offres pour la fourniture de fournitures scolaires. Le secrétaire en charge de cette tâche aurait dû exercer un contrôle plus strict pour éviter de telles erreurs, mettant ainsi en doute la compétence et la rigueur du personnel municipal.
Responsabilité du Comptable de la Mairie : Une gestion financière appropriée est cruciale pour toute administration municipale. Dans ce cas, la responsabilité du comptable de la mairie est remise en question. Un contrôle financier adéquat aurait dû être effectué pour garantir que les transactions sont conformes aux procédures établies. Le manque de supervision adéquate sur de telles opérations financières soulève des préoccupations sur la gestion des fonds publics.
Opacité et Manque de Transparence : Le mystère entourant le destinataire du virement de 79 millions de francs CFA et les circonstances qui ont conduit à cette erreur soulève des questions sur la transparence de l’administration municipale. Les citoyens de Guédiawaye méritent de savoir comment de telles erreurs peuvent se produire et qui est responsable de cette confusion financière.
Appels à la Reddition de Comptes : Face à ces révélations troublantes, la population de Guédiawaye appelle à une reddition de comptes. Le maire Ahmed Aïdara doit non seulement clarifier sa position dans cette affaire, mais aussi prendre des mesures immédiates pour renforcer les procédures administratives et financières au sein de la mairie. Le scandale financier à Guédiawaye souligne la nécessité urgente d’une gestion plus rigoureuse, transparente et responsable au sein de l’administration municipale. Les citoyens méritent une explication claire sur la manière dont de telles erreurs ont pu se produire et des mesures correctives immédiates doivent être prises pour restaurer la confiance dans la gestion des ressources publiques.
Djibeuneu, village au cœur de la commune de Niaguis, fait face à un litige foncier, suscitant des accusations envers la municipalité. Les populations victimes expriment leur mécontentement, et les porte-paroles, Madia Diop Sané du Mouvement Diop Sané et Bacary Badji, réagissent aux allégations. Découvrons leurs points de vue dans cette affaire délicate.
Madia Diop Sané, coordinateur du Mouvement Diop Sané, exprime son inquiétude face au litige foncier à Djibeuneu. Il souligne que les populations victimes pointent du doigt la municipalité pour son rôle présumé dans cette affaire. Selon lui, la transparence et la justice doivent prévaloir dans le règlement de ce litige, et il appelle à une enquête approfondie pour établir les faits. Madia Diop Sané insiste sur la nécessité d’une collaboration entre la municipalité et les citoyens pour résoudre ce différend foncier de manière équitable.
Bacary Badji, également porte-parole dans cette affaire, réagit en wolof pour partager le point de vue des populations de Djibeuneu. Il insiste sur le fait que la municipalité est mise en cause par les citoyens victimes de ce litige foncier. Dans sa réaction, Bacary Badji souligne l’importance d’une gestion transparente et équitable des questions foncières pour prévenir de tels litiges à l’avenir. Il appelle à une médiation rapide et efficace pour apaiser les tensions au sein de la communauté.
https://youtu.be/G9T01FTo1hw
Les deux porte-paroles, Madia Diop Sané et Bacary Badji, partagent un appel commun à la résolution pacifique de ce litige foncier. Ils encouragent la coopération entre les parties impliquées, soulignant que la vérité doit être établie de manière impartiale. Les deux intervenants mettent l’accent sur l’importance de restaurer la confiance au sein de la communauté et de trouver des solutions durables pour éviter de futurs litiges fonciers.
Cet atelier a permis aux apprenants d’acquérir des compétences pratiques dans le domaine de la conteneurisation, une technologie clé dans le développement et le déploiement d’applications modernes. La maîtrise de Docker et des principes du DevOps constitue un atout majeur pour les professionnels du numérique, permettant une gestion efficace des environnements d’application et une collaboration harmonieuse entre les équipes de développement et d’exploitation.
Simplon Sénégal, en tant qu’acteur engagé dans la formation aux métiers du numérique, continue de fournir des opportunités d’apprentissage pratiques et pertinentes pour préparer les apprenants à réussir dans le secteur en constante évolution de la technologie de l’information. L’initiative vise également à contribuer à la modernisation de l’administration grâce à des compétences numériques de pointe.
Le Premier Ministre , Amadou Ba, a récemment effectué une visite majeure sur le chantier de l’aéroport de Ziguinchor, marquant ainsi une avancée significative dans les efforts du gouvernement sénégalais pour désenclaver la région de Casamance. La Casamance, reconnue pour sa richesse naturelle et son potentiel touristique, est la seule région du pays à bénéficier actuellement de deux aéroports.
L’initiative s’inscrit dans le cadre d’un programme global visant à renforcer les infrastructures de transport afin de favoriser le désenclavement de la région et de stimuler son développement économique. Cette démarche stratégique vise à rapprocher la Casamance des autres régions du Sénégal, créant ainsi de nouvelles opportunités pour le tourisme, les affaires et le commerce.
La visite du Ministre Amadou Ba sur le chantier de l’aéroport de Ziguinchor souligne l’engagement résolu du gouvernement en faveur d’un développement inclusif et équilibré sur l’ensemble du territoire. Le désenclavement de la Casamance est identifié comme une étape clé pour renforcer la connectivité de la région et ouvrir des perspectives économiques prometteuses.
Les investissements dans les infrastructures de transport, en particulier les aéroports, jouent un rôle crucial dans la stimulation du tourisme, l’attraction des investissements et la création d’opportunités économiques durables. L’aéroport de Ziguinchor, en cours de développement, contribuera à améliorer la connectivité régionale, facilitant les déplacements et favorisant l’échange culturel et commercial.
Saint-Louis : Bientôt une maison de l’étudiant Mbourois pour les étudiants de Mbour
Le maire de Mbour, Cheikh Issa Sall, a marqué le début de la construction de la Maison de l’Étudiant Mbourois à Saint-Louis, un projet visant à fournir un logement aux ressortissants de Mbour inscrits à l’université Gaston Berger. La pose de la première pierre de ce bâtiment a eu lieu jeudi, représentant un pas significatif vers la concrétisation d’un engagement pris lors de la campagne électorale de janvier 2022.
La réalisation de la Maison de l’Étudiant Mbourois à Saint-Louis s’inscrit dans les actions prioritaires promises par Cheikh Issa Sall, également directeur général de la Caisse des dépôts et consignations (CDC). Il a rappelé que cette initiative fait suite à l’inauguration récente de la première Maison de l’Étudiant Mbourois à Bambey, soulignant son engagement envers le bien-être des étudiants originaires de Mbour.
Le bâtiment, qui comprendra un rez-de-chaussée et trois étages, a été conçu pour répondre aux besoins de logement des étudiants de Mbour inscrits à l’université Gaston Berger. Cheikh Issa Sall a exprimé son souci d’éviter les problèmes liés au logement auxquels les étudiants peuvent être confrontés, soulignant qu’il comprend les défis auxquels sont confrontés les étudiants, ayant lui-même été étudiant.
Le maire de Mbour a encouragé les étudiants à se concentrer sur leurs études et à ne pas se laisser distraire, soulignant que la vie estudiantine est courte mais décisive pour l’avenir. Il a exprimé ses vœux de réussite aux étudiants et a promis de revenir très prochainement pour l’inauguration du bâtiment une fois les travaux terminés.
Pape Matar Gning, président de l’Association des étudiants ressortissants de la Petite-Côte, a exprimé sa gratitude envers Cheikh Issa Sall, soulignant le soutien continu apporté aux étudiants. Il a souligné l’importance de résoudre le problème du logement pour favoriser la réussite des étudiants.
Le maire de Mbour a également fait un geste financier en offrant deux millions de francs CFA aux étudiants pour le paiement de leur loyer en attendant la finalisation de la construction de la Maison de l’Étudiant Mbourois. De plus, une contribution de 500 mille francs CFA a été apportée au projet de construction de la mosquée de Sanar Oulof.
Absent du territoire sénégalais depuis des mois, le guide religieux et par ailleurs marabout de Ousmane Sonko en tournée européenne est réapparu dans un entretien sur la télévision des patriotes, Jotna TV, à moins d’un mois de la présidentielle.
Sa famille religieuse, son parcours, ses relations avec les hommes politiques mais surtout ce qui le lie avec le leader des patriotes, Ousmane Sonko, qui selon lui incarne l’espoir de tout un pays ont été au menu de échanges.
En déplacement à Ziguinchor, le Directeur général de l’Office des forages ruraux (OFOR), Hamade Ndiaye, a dévoilé un plan d’envergure visant à mettre en place plus de dix-huit mille branchements sociaux et à construire 85 nouveaux forages à l’échelle nationale. Ce programme ambitieux, qui sera lancé en février prochain, s’inscrit dans le cadre du Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC).
L’annonce a été faite au cours d’une visite de travail qui a conduit le Directeur général à Boutoupa Camaracounda dans le département de Ziguinchor et à Loudia Wolof dans le département d’Oussouye. L’objectif de cette visite était de constater sur le terrain la densification des branchements sociaux réalisés par l’ONG ACRA dans quatorze sites.
Selon Hamade Ndiaye, l’ONG ACRA a accompli un travail extraordinaire en densifiant les branchements réseaux dans ces quatorze sites. Il a salué cet exemple et souligné que l’OFOR considère cela comme la deuxième mission de l’organisation, à savoir accompagner les acteurs du domaine de l’hydraulique.
Le Directeur général a rappelé les grands investissements réalisés par l’OFOR, tels que la construction du château d’eau, tout en notant que des moyens supplémentaires sont nécessaires pour étendre ces infrastructures et mettre en place des branchements sociaux. La visite avait pour but d’évaluer le travail accompli par ACRA sur le terrain.
Hamade Ndiaye a souligné l’impact positif de ces initiatives, mentionnant qu’environ dix mille branchements sociaux ont déjà été installés au Sénégal. Il a conclu en affirmant que cette démarche positive dans le secteur de l’hydraulique rurale influence directement la vie des populations en matière de santé publique et d’éducation.
La Brigade de recherches de Keur Massar mène une enquête sur des soupçons de scandale financier à la Ville de Guédiawaye. Les gendarmes se sont saisis de l’affaire, après avoir reçu un soit-transmis du parquet de Pikine-Guédiawaye.
Dans le cadre de leurs investigations, ils ont placé en garde-à-vue et déféré au parquet, l’entrepreneur Ibrahima Ndao. Ce dernier est sous bracelet électronique. Aussi, les enquêteurs ont entendu le maire de Guédiawaye, Ahmed Aïdara. D’après « Libération », qui révèle cette affaire dans son édition du jour, ce dernier est au cœur du dossier. Ibrahima Ndao affirme lui avoir remis d’importants montants en espèces.
Tout est parti d’un virement de 79 millions 986 mille francs Cfa du Trésor public, dans le compte de l’entrepreneur. C’était une erreur, selon l’édile guédiawayois, entendu par les enquêteurs. «Cette année, explique Ahmed Aïdara, repris par « Libération », nous avons lancé un appel d’offres pour la livraison de fournitures scolaires d’un montant de 79 millions 983 mille 300 francs Cfan que devait réaliser l’entreprise Comptoir commercial Dabakh. Étant donné que l’année dernière, on avait le même marché avec la société Sotrel, dont la personne morale est le sieur Ibrahima Ndao, le secrétaire général Babacar Gaye, qui établissait l’acte d’engagement, s’est trompé en laissant le numéro du compte de la société Sotrel, ce qui a fait que le Trésor public a viré l’argent dans son compte par erreur.»
Versements d’espèces, défaut de décharges
Ibrahima Ndao conteste cette version. «L’argent versé dans mon compte, est mon dû», défend l’entrepreneur face aux gendarmes, affirmant qu’il s’agit d’une partie des 135 millions 640 mille francs Cfa que lui devrait la Ville de Guédiawaye, en contrepartie de prestations réalisées à son profit entre 2022 et 2023.
Quid des prestations supposées ? Ibrahima Ndao cite, notamment, 654 lampadaires (71 940 000 FCfa), 500 poulets (2 millions), 6 tonnes de dattes (14 millions), 9 tonnes de sucre (9,9 millions), des travaux dans le bureau du maire (2 millions) et dans son domicile (9,5 millions). L’entrepreneur évoque aussi des remises d’espèces à Ahmet Aïdara (7 millions, 15 millions, 4 millions, 2,5 millions, 500 000, 10 millions à un de ses proches nommé Oumar Sy…).
« Libération » rapporte que l’édile de Guédiawaye a réfuté ces affirmations de Ndao. «Il ne m’a jamais rien donné, ni en main propre ni par intermédiaire, jure-t-il. Nous n’avons signé aucun marché avec lui cette année. (…) S’il pense qu’on lui doit de l’argent, il n’a qu’à nous montrer des preuves.»
Le journal renseigne qu’Ibrahima Ndao a confessé être incapable de produire des pièces en ce sens, indiquant que tout se faisait «sur la base de la confiance».
«Il n’y avait jamais d’écrit, insiste l’entrepreneur. Ce n’était que des marchés de gré à gré, en présence de témoins. C’est après avoir versé le premier acompte, qu’Oumar Sy m’a envoyé ces documents, donc je viens de savoir que la Ville avait monté un dossier fictif.»
La Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor (DGCPT), en collaboration avec plusieurs partenaires, dont la Police et la Gendarmerie nationales, la Direction générale des Transports terrestres, l’Agence nationale de Sécurité routière (ANASER), et la société Diotali, a officiellement lancé une nouvelle application de paiement digital des amendes forfaitaires. La cérémonie s’est déroulée ce jeudi 18 janvier 2024, marquant une étape majeure dans la modernisation des procédures administratives.
Selon Cheikh tidiane Diop, directeur général de la DGCPT, ce projet s’inscrit dans le cadre du Plan Sénégal émergent et de la Stratégie Sénégal numérique 2025. L’objectif est de faciliter et sécuriser le paiement des contraventions, offrant aux usagers un gain de temps considérable. Cette initiative vise à créer une administration connectée au service du citoyen et des entreprises, mettant en avant la généralisation de la télédéclaration et du télépaiement des impôts et taxes.
Le projet, développé en collaboration avec les forces de l’ordre, permettra aux usagers de payer leurs amendes forfaitaires via des options telles que Orange Money, Wave, ou carte bancaire. Les avantages sont multiples, avec un paiement rapide sur place, la récupération immédiate des documents (permis de conduire, carte grise, assurance, etc.), une célérité dans le traitement et la collecte des fonds pour l’État, et une amélioration de l’efficacité et de la traçabilité des paiements.
Waldiodio Ndiaye, DG des Transports terrestres, souligne l’importance de cette digitalisation pour simplifier les procédures et faciliter la vie des usagers de la route. Mamadou Ndiaye, SG de l’Union des transporteurs du Sénégal, salue cette initiative qui permettra aux transporteurs de gagner du temps et d’éviter des tracas administratifs.
Le général Diop de la Gendarmerie nationale et M. Diagne, directeur adjoint de la police, saluent l’initiative et s’engagent à assurer la bonne réussite de ce projet, le jugeant innovant et rapide, offrant aux agents et aux transporteurs un gain de temps et une plus grande efficacité dans leur travail.
La phase test débutera dans la région de Dakar, avec des plans d’extension à l’ensemble du pays après cette période d’essai. La nouvelle plateforme marque ainsi une avancée significative dans la simplification des démarches administratives au Sénégal.
Ce jeudi 18 janvier 2024, la salle de conférence du Ministère de l’Intérieur a été le théâtre d’une réunion nationale d’importance capitale. Présidée par le Ministre de l’Intérieur, Maître Sidiki Kaba, cette rencontre a été dédiée à la préparation de la Ziarra de la famille Omarienne, édition 2024. Prévue du 25 au 28 janvier à Dakar, cet événement religieux majeur mobilise les autorités pour assurer une organisation optimale.
Satisfaction de la Famille Omarienne
Lors de cette réunion, le porte-parole de la famille Omarienne a exprimé toute sa satisfaction quant à la prise en charge des questions liées à la bonne organisation de la Ziarra. Cet événement revêt une importance particulière pour la communauté religieuse, et la collaboration étroite avec les autorités sénégalaises est cruciale pour son bon déroulement.
Engagement du Ministre de l’Intérieur
Maître Sidiki Kaba, en sa qualité de Ministre de l’Intérieur, a présidé la réunion avec une attention particulière aux détails logistiques et sécuritaires. La Ziarra Omarienne est un moment de dévotion et de recueillement pour des milliers de fidèles, et le Ministre a souligné l’importance de garantir un environnement propice à la spiritualité et à la sécurité de tous les participants.
Préparatifs Logistiques et Sécuritaires
La réunion a été l’occasion d’examiner en détail les préparatifs logistiques et sécuritaires nécessaires à l’accueil des nombreux pèlerins attendus. Des aspects tels que le transport, l’hébergement, la restauration, et la gestion des flux de personnes ont été discutés en vue d’assurer une expérience fluide et agréable pour les participants à la Ziarra.
Collaboration Entre les Autorités et la Famille Omarienne
La satisfaction exprimée par le porte-parole de la famille Omarienne témoigne de la collaboration fructueuse entre les autorités gouvernementales et la communauté religieuse. Cette synergie d’efforts est essentielle pour garantir le succès de la Ziarra et renforce les liens entre l’État et les différentes communautés religieuses du pays.
À l’approche de la Ziarra Omarienne 2024, la réunion nationale présidée par Maître Sidiki Kaba a démontré l’engagement des autorités à assurer le bon déroulement de cet événement religieux majeur. La collaboration étroite entre le gouvernement et la famille Omarienne s’annonce comme un exemple de dialogue constructif et de coopération pour la préservation des valeurs spirituelles et culturelles au Sénégal. La nation attend avec anticipation la célébration de cette Ziarra, dans le respect des traditions et des préparatifs méticuleux évoqués lors de cette réunion nationale.
Le Directeur général de l’Office des forages ruraux (OFOR), Hamade Ndiaye, a récemment annoncé le lancement prochain d’un programme d’installation de plus de dix-huit mille branchements sociaux et de 85 forages à l’échelle du Sénégal. Cette initiative, inscrite dans le cadre du Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC), vise à renforcer l’accès à l’eau potable sur l’ensemble du territoire national. La déclaration a été faite lors d’une tournée à Boutoupa Camaracounda, soulignant le travail exceptionnel réalisé par l’ONG ACRA dans la densification des branchements sociaux.
Un Programme National d’Envergure
Le lancement de ce programme d’installation de branchements sociaux et de forages est prévu pour le mois de février. Le projet ambitionne de répondre aux besoins essentiels des populations en matière d’eau potable, en particulier dans les zones rurales. Le Directeur général de l’OFOR a souligné l’importance de cette initiative dans le cadre du PUDC, démontrant l’engagement continu du gouvernement sénégalais à améliorer les conditions de vie des communautés.
Un Partenariat Fructueux avec ACRA
Hamade Ndiaye a salué le travail accompli par l’ONG ACRA, déclarant qu’elle réalisait un travail extraordinaire dans la densification des branchements sociaux. La tournée du DG de l’OFOR a permis de constater directement les progrès réalisés dans quatorze sites, notamment à Boutoupa Camaracounda et Loudia Wolof. ACRA est ainsi reconnue comme un partenaire essentiel dans la mise en œuvre de la réforme de l’hydraulique rurale au Sénégal.
Défis et Perspectives
Le Directeur général a rappelé que l’OFOR était impliqué dans des projets d’ampleur, tels que la réalisation de châteaux d’eau. Cependant, l’extension des infrastructures et des branchements sociaux nécessite des moyens supplémentaires, d’où l’importance de collaborer avec des acteurs tels qu’ACRA. La capacité de cette organisation à installer plus de dix mille branchements sociaux est soulignée comme un exemple positif de l’impact direct sur la santé publique et l’éducation des populations.
Ce programme d’installation de branchements sociaux et de forages en cours de l’OFOR au Sénégal reflète l’engagement envers l’amélioration des conditions de vie, en particulier dans les zones rurales. La collaboration fructueuse avec des organisations telles qu’ACRA témoigne de la nécessité de partenariats stratégiques pour relever les défis liés à l’hydraulique rurale. Alors que le lancement de ce programme approche, l’espoir réside dans l’amélioration significative de l’accès à l’eau potable pour les communautés sénégalaises.
Le commissariat central de Kolda a présenté ce mercredi au parquet un individu, identifié comme A. Tall, fils de l’imam ratib de la ville. Agé de 23 ans, le suspect est accusé de viol sur une mineure de 13 ans et de menaces de mort.
L’affaire a été portée à la connaissance des autorités le 31 décembre dernier lorsque M. S., une enseignante, a déposé plainte contre A. Tall au commissariat central de Kolda. Dans sa déposition, elle a révélé que sa petite sœur de 13 ans aurait été abusée sexuellement par le suspect, qui aurait utilisé de l’argent pour attirer la victime.
La victime, identifiée comme O. S., a corroboré les allégations de sa grande sœur lors de son témoignage. Elle a expliqué avoir été conduite par A. Tall sur la terrasse de leur domicile familial, où elle aurait été attachée et violée. Selon ses déclarations, le suspect lui aurait offert de l’argent pour la manipuler, la première fois à hauteur de 2 000 F CFA et la dernière fois à hauteur de 5 000 F CFA. De plus, elle aurait été menacée pour la dissuader de parler.
Interpellé par la police, A. Tall a nié les accusations, affirmant que la victime cherchait à ternir son image. Cependant, il aurait admis qu’il serait difficile pour lui de rétablir son honneur, reconnaissant que la plaignante était une mineure.
Au terme de l’enquête, le présumé violeur a été déféré ce mercredi et sera présenté devant le parquet pour répondre des chefs d’accusation de viol sur mineure et menaces de mort. L’affaire souligne l’importance de protéger les enfants contre les abus et la nécessité d’une réponse judiciaire adéquate pour de tels actes répréhensibles.
La police du commissariat urbain de Mbacké a réussi à démanteler un réseau de trafic d’ecstasy, également connu sous le nom de « volet ». Deux individus ont été appréhendés en possession de 19 comprimés de cette drogue synthétique. Selon les informations, le duo approvisionnait des jeunes et des prostituées de la région.
Le démantèlement de ce réseau a été possible grâce à l’exploitation d’informations fournies sur un intense trafic d’ecstasy à proximité d’un restaurant réputé. Le commissaire Alioune Fall a immédiatement mobilisé ses équipes, qui ont procédé à une surveillance discrète à quelques mètres du lieu, situé non loin de l’héliport de Touba.
L’opération a abouti à l’interpellation de deux suspects circulant à moto dans la nuit du dimanche au lundi dernier. La fouille de la selle de la moto a conduit à la découverte de 19 comprimés d’ecstasy, confirmant ainsi les informations reçues.
Les deux individus, identifiés comme S.F.Khouma et C.Seck, résidant à Touba, ont été placés en garde à vue au commissariat urbain de Mbacké. Ils font face à des accusations d’association de malfaiteurs et d’offre ou cession de stupéfiants.
L’exploitation des téléphones portables des suspects a permis de confirmer leur statut de trafiquants notoires. Les enquêteurs ont constaté que S.F.Khouma et C.Seck recevaient régulièrement des commandes via l’application WhatsApp.
Il a également été révélé que la clientèle de ces trafiquants était principalement composée de jeunes et de femmes, dont des prostituées, selon des sources proches du dossier.
Suite à une enquête approfondie menée par la police de Mbacké, S.F.Khouma et C.Seck ont été déférés devant le tribunal de grande instance de Diourbel. L’affaire souligne une fois de plus les efforts continus des autorités pour lutter contre le trafic de drogue et ses conséquences sur la société.
Le centre médico-éducatif Aminata Mbaye, établi à Saint-Louis depuis 2008, s’engage à accueillir et à accompagner des enfants et jeunes adultes souffrant de handicap intellectuel. Située dans le quartier Léona Château d’eau, la structure, qui compte actuellement une trentaine de pensionnaires, fonctionne en collaboration avec le centre éponyme de Dakar et bénéficie du soutien de l’Association sénégalaise pour la protection des enfants déficients mentaux (ASEDEME).
Le président de l’Association des parents d’élèves (APE), Babaly Sall, souligne l’importance sociale du centre, visant à aider les enfants déficients à s’insérer dans la vie sociale en développant leurs capacités. L’ASEDEME offre une subvention pour contribuer au fonctionnement du centre. Babaly Sall, également enseignant à l’université Gaston Berger de Saint-Louis, exprime le désir d’étendre l’accueil du centre et d’orienter les enfants vers des filières professionnelles.
Le centre dispose de trois classes, « Yeewu » 1 et 2 (éveil en wolof) et une troisième classe appelée « Yakaar » (espoir en wolof). L’encadrement y est individualisé, adapté aux besoins spécifiques des élèves. Les enseignements sont réalisés de manière orale et gestuelle, offrant une approche adaptée aux capacités des enfants.
Les éducateurs et responsables du centre médico-éducatif Aminata Mbaye mettent en avant l’implication des enfants dans les ateliers, soulignant l’importance d’un soutien continu pour encourager ces initiatives.
Ainsi, le centre Aminata Mbaye à Saint-Louis représente un espace essentiel pour les enfants en situation de handicap intellectuel, offrant non seulement des apprentissages scolaires adaptés, mais également des opportunités de développement personnel et professionnel. L’objectif est de changer les perceptions de la société sur ces enfants et de favoriser leur épanouissement.
Le projet « Feed the Future Sénégal Yiriwaa » a été officiellement lancé à Ziguinchor, porté par l’organisation Declic et financé par l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) à hauteur de trois millions de dollars (1 810 393 600 francs CFA) pour une durée de quatre ans. Lors de la cérémonie de lancement présidée par l’adjoint au gouverneur en charge des affaires administratives, Sidi Guissé Diongue, il a été souligné que ce projet vise à relever les défis liés à l’emploi et à l’insertion des jeunes.
Ce projet ambitieux ciblera initialement vingt-sept communes de la Casamance et impactera 50 collectivités territoriales d’ici 2027, selon les initiateurs. L’objectif principal est de promouvoir le leadership des jeunes, les dotant d’outils pour participer activement au développement de la région de Ziguinchor.
Déjà lancé en 2016 par l’organisation Declic, le projet « Feed the Future Sénégal Yiriwaa » vise à renforcer les capacités des jeunes, leur offrant un coaching pour développer leur confiance et relever les défis auxquels ils sont confrontés dans leurs communautés. La coordinatrice du projet, Aby Diallo, a souligné que l’objectif est de créer des structures où les jeunes peuvent être formés et coachés pour contribuer positivement au développement local.
Matten A Burton du bureau des croissances économiques à l’Usaid a également exprimé le soutien de l’agence américaine à ce projet, soulignant l’importance de créer des opportunités pour les jeunes de la Casamance. Le projet vise ainsi à favoriser l’intronisation des jeunes, la mobilisation et la participation active des jeunes et de la population dans le développement régional.
Au cœur de la commune de Kolda, l’Association « Banouna-Ba » a érigé une bibliothèque qui se révèle être un lieu incontournable pour de nombreux élèves assoiffés de savoir. Cet espace dédié à la lecture et à la formation informatique est devenu un refuge pour ceux qui cherchent la quiétude pour réviser leurs cours ou simplement s’adonner à la lecture.
La bibliothèque, gérée par la secrétaire générale de l’association, Diallo Diyé Diao, connaît une affluence remarquable, en particulier chez les élèves du collège Sikilo Ouest, allant de la sixième à la terminale. La fréquentation atteint son apogée les mercredis après-midi et pendant le week-end, avec une moyenne de plus de 50 personnes qui viennent profiter de ce lieu de savoir.
Pour Diallo Diyé Diao, la bibliothèque offre un environnement propice à l’apprentissage et à la recherche documentaire. Elle souligne que les élèves y viennent non seulement pour emprunter des livres, mais aussi pour suivre des séances de formation en informatique.
Djibril Maé Barry, élève en sixième au collège Sikilo Ouest, explique qu’il fréquente la bibliothèque pour réviser ses leçons et profiter du calme. Hady Ba, une collégienne, confirme que la bibliothèque est devenue un lieu idéal pour la lecture de romans et pour approfondir les cours.
Ouverte en 2011, la bibliothèque offre une variété de livres, couvrant les programmes scolaires ainsi que des romans. Elle dispose également d’une salle informatique équipée d’ordinateurs et de photocopieuses pour faciliter les recherches et les formations en informatique.
Le dispositif de gestion est rigoureux, avec un système de paramétrage des ordinateurs pour éviter des utilisations inappropriées. Chaque élève doit disposer d’une carte d’accès gratuite, permettant un suivi précis des livres empruntés grâce à un logiciel d’enregistrement.
La bibliothèque « Banouna-Ba » a ainsi su créer un espace éducatif dynamique, offrant aux élèves un environnement propice à l’apprentissage, à la recherche et à l’épanouissement intellectuel.
La ville tricentenaire de Saint-Louis, au nord du Sénégal, s’apprête à célébrer un moment historique avec l’inauguration de l’extension de sa Grande Mosquée. La cérémonie, prévue ce vendredi, sera honorée par la présence du président de la République, Macky Sall. Cette extension, financée intégralement par le chef de l’État dans le cadre de la phase II des travaux de reconstruction, marque une étape significative dans le renforcement des infrastructures religieuses de la région.
Selon le comité directeur de l’Association des musulmans de Saint-Louis, l’événement religieux revêt une importance stratégique, symbolisant la vision du président Sall pour le développement et la promotion de la diversité architecturale du pays. L’extension de la Grande Mosquée est un véritable joyau architectural, contribuant désormais au patrimoine classé de la ville.
La mobilisation autour de cet événement a été intense, avec une préparation minutieuse pour l’accueil du président Macky Sall. La cérémonie débutera par la prière du vendredi, suivie de l’inauguration officielle de l’extension. La Grande Mosquée de Saint-Louis, construite entre 1838 et 1847, a toujours été un symbole religieux majeur de la région, et cette extension renforce son statut en tant que lieu de culte d’importance nationale.
Dans le cadre d’un partenariat entre le GIE « Fass Diom » et le Fonds de financement de la formation professionnelle (3FPT), quarante femmes de la région de Kaffrine, au centre du Sénégal, ont bénéficié d’une formation intensive aux techniques de transformation des céréales et d’emballage. Cette initiative vise à renforcer les compétences des femmes dans le domaine de la transformation alimentaire et de l’emballage pour favoriser la commercialisation de leurs produits.
Ndeye Sylla, directrice régionale de la Famille, a salué le rôle significatif des femmes du GIE « Fass Diom » dans le développement économique de la région. Elle a souligné que cette formation contribuera à créer une chaîne de valeur, répondant ainsi à la vision du président de la République et du ministre de tutelle, qui cherchent à renforcer les coopératives pour promouvoir l’autonomisation des femmes.
Cette initiative s’inscrit dans une démarche visant à renforcer les capacités des femmes dans le secteur de la transformation alimentaire, contribuant ainsi au développement économique local et à l’autonomisation des femmes rurales.
La Foire Internationale de Kaolack (FIKA) a continué à offrir une plateforme riche en échanges et en partages lors d’une journée thématique consacrée aux projets de l’Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID). Cette rencontre a permis de mettre en avant trois projets majeurs de l’USAID dans la région.
Trois projets ont été mis en avant lors de cette journée dédiée : le projet Feed the Future Sénégal Nafooré Warsaaji, le projet Feed the Future Sénégal Dooleel Mbay, et le projet USAID Entrepreneuriat & Investissement.
**Feed the Future Sénégal Nafooré Warsaaji :** Ce projet vise à structurer des chaînes de valeur horticoles commerciales compétitives et résilientes pour favoriser l’insertion des petits producteurs, en particulier les femmes et les jeunes.
**Feed the Future Sénégal Dooleel Mbay :** Axé sur le renforcement de l’écosystème des affaires, ce projet aspire à accroître et diversifier les sources de revenus des ménages, réduire le taux de prévalence de la pauvreté, et renforcer la sécurité alimentaire et la résilience aux chocs climatiques.
**USAID Entrepreneuriat & Investissement :** Ce projet a pour objectif de préparer la prochaine génération d’entrepreneurs sénégalais en les inspirant à créer des start-ups, des innovations, et à favoriser la création d’emplois. Il vise également à améliorer l’offre de services de développement des entreprises pour répondre à la demande croissante des jeunes entrepreneurs.
Au cours de la journée, les bénéficiaires et partenaires ont participé à des sessions de « Master class sur l’éducation financière », de « Coaching administratif, comptable et financier », et de « l’Importance de la transformation agroalimentaire dans la structuration des chaînes de valeurs agricoles ». Ces échanges ont permis de mieux comprendre les projets et d’explorer des opportunités de collaboration.
La commune de Kaolack a également joué un rôle actif en symboliquement remettant la première phase de financement aux groupements de femmes, soulignant ainsi l’importance de l’implication locale dans ces projets.
La FIKA offre une vitrine exceptionnelle pour mettre en avant les projets de l’USAID et permet aux bénéficiaires de ces initiatives de partager leurs expériences, de renforcer leurs réseaux et de contribuer au développement économique de la région.
Ce mercredi, le Président Macky Sall a rendu hommage à trois tirailleurs au Palais présidentiel en les élevant à la dignité de commandeurs dans l’Ordre national du Lion. Cette distinction reconnaît et célèbre la contribution exceptionnelle de ces vétérans au service de la nation.
Bien que les noms des anciens combattants décorés n’aient pas été immédiatement communiqués, leur sacrifice et leur dévouement ont été mis en lumière par le chef de l’État qui les a cités en exemple pour toute la nation. Ces trois vétérans font partie de la cohorte des tirailleurs, et leur retour avait été célébré le 28 avril 2023.
L’élévation à la dignité de commandeurs dans l’Ordre national du Lion représente une reconnaissance officielle de l’engagement courageux de ces hommes au service du Sénégal. Le geste du Président Macky Sall souligne l’importance de préserver la mémoire et de montrer une gratitude nationale envers ceux qui ont contribué de manière significative à l’histoire et à la défense du pays.
Cette cérémonie honore non seulement les individus distingués, mais également l’héritage des tirailleurs et de tous les anciens combattants, soulignant l’importance de leur contribution à la construction et à la protection de la nation sénégalaise.
Le sous-préfet d’Orkadiéré, Alassane Bâ Cissé, a assuré que tous les services publics locaux, y compris la sécurité et la santé, travailleront en collaboration pour garantir la réussite de cette ‘ziara’ exceptionnelle. Le président de la République, Macky Sall, a spécifiquement instruit les autorités de contribuer à l’organisation de cet événement religieux.
Les mesures prises seront soumises à l’examen du gouverneur de la région de Matam, et les autorités locales ont été chargées de répondre aux besoins du comité d’organisation de la ‘ziara’. Des réunions préparatoires supplémentaires sont prévues pour coordonner efficacement cet événement d’importance religieuse à Ganguel Soulé, dans le département de Kanel.
La Plateforme régionale de dialogue sur la gouvernance des ressources naturelles et foncières à Kaolack vise à contribuer de manière significative à la correction des inégalités liées à l’accès à la terre dans la région, selon Absa Diakhaté, responsable de l’Association pour la promotion de la femme sénégalaise (APROFES).
Absa Dia : lors d’un atelier de deux jours sur la définition et la validation des activités de la plateforme pour l’exercice 2024, elle a souligné que résoudre les problèmes liés aux questions foncières est essentiel pour parvenir à un développement durable dans la paix.
Absa Diakhaté a plaidé en faveur de conditions plus favorables permettant aux femmes d’accéder à la terre, soulignant que cela contribuerait à lutter contre l’insécurité alimentaire et à atteindre une souveraineté alimentaire durable et endogène.
Elle a rappelé les efforts de l’APROFES en faveur de l’accès des femmes à la terre, mentionnant un exemple à Keur Socé, où quarante groupements de femmes ont obtenu un hectare chacun pour leurs activités de maraîchage. Cependant, elle a souligné que davantage d’organisations de femmes de la région ont besoin d’un accès accru à la terre pour contribuer au développement du pays. Elle a encouragé les femmes à prendre des initiatives et à continuer de faire des demandes pour accéder à la terre.
Le comité de pilotage de la Plateforme régionale de dialogue sur la gouvernance des ressources naturelles et foncières de Kaolack s’est réuni pendant deux jours pour définir et valider ses activités pour l’exercice 2024 et les années à venir. Les travaux ont eu lieu au siège du Cadre de concertation des producteurs d’arachide (CCPA) à Ndorong.
L’objectif principal de cette initiative est d’anticiper les problèmes potentiels liés à la gestion du foncier, dans un contexte où la question foncière au Sénégal est marquée par des difficultés d’adaptation du cadre juridique au contexte local et la diversité des intérêts des acteurs.
Le président de la plateforme, Sidy Ba, a souligné que bien que la région de Kaolack ait moins de problèmes que d’autres, il est essentiel d’anticiper et de mettre en place des mécanismes pour une gestion apaisée du foncier. Les autorités, y compris le gouverneur, ont salué et approuvé cette initiative, démontrant le soutien de l’État pour accompagner les acteurs de la société civile dans ce processus.
Les travaux du comité de pilotage ont été menés en collaboration avec les équipes techniques du Projet de résilience et de reforestation intensive pour la sauvegarde des territoires et des écosystèmes au Sénégal (RIPOSTES) et du Fonds des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
Sidy Ba a souligné l’importance du foncier pour l’agriculture, déclarant que la sécurisation du foncier est essentielle pour permettre aux agriculteurs de produire. Il a également noté que la cohabitation pacifique entre tous les acteurs utilisant la terre est cruciale, en particulier dans une région où le foncier est une question stratégique.
Cette initiative vise à assurer une gestion apaisée du foncier, contribuant ainsi à la souveraineté alimentaire et au bien-être des exploitations familiales dans la région de Kaolack.
Selon un rapport récent de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP), le secteur postal a enregistré une diminution de 4 % de ses emplois en 2022, comptabilisant un total de 4 807 emplois, dont 3 329 permanents, 603 temporaires, et 875 prestataires. Cette tendance contraste avec l’année précédente, où une hausse de 8 % avait été observée malgré la pandémie mondiale.
L’Observatoire du secteur postal de l’ARTP a souligné que les investissements des opérateurs postaux ont atteint plus de 485 243 865 francs CFA en 2022, marquant une augmentation significative de 53,21 % par rapport à 2021. Bien que les emplois aient diminué, le chiffre d’affaires du secteur postal a continué de croître, passant de 13 milliards 403 millions 313 mille 100 francs CFA en 2020 à 17 milliards 145 millions 322 mille 597 en 2022.
Les revenus générés par les envois de colis nationaux de 2 à 20 kilogrammes ont connu une baisse de 14 % en 2022 par rapport à 2021, s’établissant à 380 935 281 francs CFA. En revanche, les envois internationaux ont enregistré une hausse significative de 87 %, passant de 1 milliard 618 millions 578 mille 634 francs CFA en 2021 à 2 milliards 33 millions 636 mille 434 en 2022.
Malgré ces fluctuations, le secteur postal maintient sa résilience face à la pandémie de Covid-19, avec un chiffre d’affaires en constante augmentation. Les experts soulignent que les indicateurs économiques du secteur, tels que le volume de courrier traité, les revenus générés, et la croissance annuelle, restent des éléments cruciaux pour évaluer son dynamisme et son adaptation aux avancées technologiques.
Le ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération, Amadou Ba, a marqué un arrêt significatif dans la commune de Niaguis pour inaugurer le nouveau poste de santé de Fanda. Cet événement revêt une importance particulière en raison de la position stratégique de cette infrastructure qui profitera à plusieurs localités, certaines situées même au-delà des frontières du Sénégal.
Ce poste de santé, réalisé dans le cadre du Programme d’Urgence de Modernisation des Axes et Territoires frontaliers (PUMA), est conçu pour améliorer de manière significative la prise en charge des besoins de santé des citoyens, avec un accent particulier sur le bien-être des femmes.
Amadou Ba a souligné l’importance de chaque structure de santé construite dans une localité, considérant cela comme un pas supplémentaire vers la réalisation de l’équité territoriale et le bien-être de chaque Sénégalais. Il a mis en avant l’engagement du gouvernement en faveur du renforcement des infrastructures de santé à travers le pays, mettant l’accent sur l’accessibilité et la qualité des services de santé.
Ce nouveau poste de santé est donc une étape cruciale dans la mise en œuvre de la politique de santé du gouvernement sénégalais, visant à assurer une couverture sanitaire optimale pour l’ensemble de la population. La cérémonie d’inauguration a été l’occasion pour le ministre de saluer les efforts déployés par le PUMA dans le développement des zones frontalières, renforçant ainsi les liens et la coopération avec les localités voisines.
La ministre de la Femme et de la Protection des enfants, Fatou Diané, a réagi de manière catégorique aux récents cas de maltraitance des enfants survenus à la pouponnière Keur Yermandé et dans un daara à Jaxaay, dans le département de Keur Massar. Lors de sa visite dans le département, la ministre a dévoilé une série de mesures visant à lutter contre ces abus et à assurer la sécurité des enfants.
L’une des mesures phares annoncées par la ministre est le lancement d’un recensement national des daaras. Elle a souligné que la question de la petite enfance est une préoccupation nationale, et le recensement vise à évaluer la situation à l’échelle nationale pour élaborer des politiques plus efficaces.
Dans le même ordre d’idées, Fatou Diané a appelé les maires des six communes de Keur Massar à allouer des terrains pour la construction de structures dédiées aux tout-petits. Elle a souligné que l’espace aménagé est essentiel pour fournir des installations appropriées, contribuant ainsi à la protection des enfants.
La ministre a également évoqué la mise en place d’un dispositif d’alerte et de prise en charge en cas de violence ou de mauvaise gestion des daaras. Elle a insisté sur la nécessité de la participation active de la communauté dans la dénonciation des abus. Une enquête est actuellement en cours pour établir une cartographie des daaras, crèches et pouponnières, dans le but de mettre en œuvre des politiques plus claires et plus efficaces.
Fatou Diané a conclu en soulignant l’engagement de son département à sensibiliser et à prévenir de tels cas de maltraitance des enfants. Elle a assuré que des actions concrètes seront prises pour garantir la sécurité et le bien-être des enfants vulnérables au Sénégal.
Une délégation de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) a entamé une visite de deux jours à Tambacounda, dans le cadre d’une mission d’explication des procédures de travail et des possibilités de financement offertes par l’agence. La mission vise à renforcer la collaboration avec les partenaires locaux, notamment les ONG, les organisations communautaires de base et la société civile.
L’USAID, qui collabore avec l’État du Sénégal depuis 60 ans, souhaite favoriser davantage de financements directs aux partenaires locaux, marquant ainsi un changement de paradigme dans son approche. Cette nouvelle orientation vise à offrir plus d’opportunités aux acteurs locaux et à renforcer leur capacité à œuvrer dans des domaines tels que la bonne gouvernance, la croissance économique, l’éducation et la santé.
La délégation de l’USAID a également annoncé la tenue d’un atelier d’information avec les organisations locales pour présenter et expliquer les procédures de l’agence, favorisant ainsi une collaboration plus efficace entre les acteurs locaux et l’USAID.
Un atelier régional de deux jours s’est ouvert à Dakar, organisé par la Commission économique des Nations-Unies pour l’Afrique (CEA). L’objectif de cet atelier est de réfléchir et d’élaborer une stratégie visant à améliorer la gestion de la main-d’œuvre et des envois de fonds de la diaspora vers les pays africains. Cet événement s’inscrit dans le cadre du soutien de la CEA à la mise en œuvre du pacte mondial pour les migrations en Afrique.
Khaled Hussein, chef du bureau Afrique du nord de la CEA, a souligné l’importance des envois de fonds de la diaspora africaine, dont 90% sont destinés à des secteurs socio-économiques tels que la santé, l’éducation et la construction, des leviers essentiels pour les États africains.
L’atelier réunit 50 participants de six pays africains et vise à partager les expériences et les meilleures pratiques pour optimiser la contribution des migrants au développement de leurs pays d’origine. Les résultats attendus incluent une meilleure compréhension de l’importance de la contribution des migrants au développement, le renforcement de la coopération sud-sud, et une collaboration améliorée entre les parties impliquées dans les questions migratoires en Afrique.
Pape Malick Sakho, soudeur machiniste et entrepreneur, se démarque dans la fabrication de matériels agricoles à Tambacounda, offrant son expertise non seulement à la région, mais également à des pays voisins de la sous-région. Sa spécialité réside dans la conception de machines dédiées au traitement du mil, de l’arachide, du maïs, ainsi que des semoirs, répondant ainsi aux besoins des agriculteurs locaux.
Le machiniste souligne l’importance d’un bon service après-vente et propose même une formation aux utilisateurs pour garantir une utilisation optimale des machines. Les commandes affluent, car les clients préfèrent acheter localement pour faciliter l’approvisionnement en pièces de rechange en cas de besoin.
La diversité de la production de M. Sakho est remarquable, avec des machines telles que les décortiqueuses et les presses à huile, qui connaissent une forte demande. Les machines sont fabriquées sur mesure, répondant aux besoins spécifiques des agriculteurs.
Malgré les défis, notamment dans l’approvisionnement en matières premières et la concurrence étrangère, Pape Malick Sakho maintient une capacité de production appréciable, confectionnant jusqu’à cinq machines par semaine avec une équipe de sept personnes.