Dans le cadre des festivités de Pâques et de la Korité, l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis prend des mesures pour permettre à ses étudiants de célébrer ces événements religieux dans les meilleures conditions. Ainsi, les cours seront suspendus pendant une période de 18 jours, du jeudi 28 mars jusqu’à la reprise prévue le lundi 15 avril 2024 à 08 heures.
Cette décision de suspendre les cours vise à permettre aux étudiants et au personnel de l’université de se consacrer pleinement aux célébrations religieuses de Pâques et de la Korité. Les amphithéâtres de l’UGB seront donc fermés pendant cette période, offrant ainsi une pause bien méritée à la communauté universitaire.
Cette initiative témoigne de l’engagement de l’UGB à respecter et à soutenir les pratiques religieuses de ses étudiants et de son personnel, tout en favorisant un environnement propice à la diversité culturelle et religieuse. La reprise des cours le 15 avril permettra à chacun de revenir rafraîchi et motivé pour poursuivre ses études et ses activités académiques dans les meilleures conditions.
Le délégué général au Pèlerinage à La Mecque, Dr Aboubacar Sarr, dévoile les grandes innovations mises en place pour le Hajj 2024, marquant ainsi une étape significative dans l’organisation de ce rituel majeur pour les musulmans sénégalais.
Tout d’abord, Dr Sarr souligne le changement de calendrier pour les inscriptions au pèlerinage, qui désormais doivent être finalisées avant la fin du mois de Ramadan. Cette avancée vise à éviter les problèmes logistiques et à assurer une meilleure gestion des pèlerins. Cette année, les inscriptions ont été ouvertes dès le 25 décembre, un nouveau processus pour les Sénégalais, mais qui touche à sa fin.
En ce qui concerne le nombre de pèlerins, la Délégation générale au pèlerinage (DGP) approche de son objectif de 1 860 pèlerins, avec seulement les voyagistes privés qui poursuivent leurs inscriptions. Dr Sarr encourage donc tous ceux qui souhaitent accomplir le Hajj cette année, en particulier ceux qui prévoient de voyager dans le secteur privé, à s’inscrire avant la clôture des inscriptions.
Parmi les grandes nouveautés, le délégué général annonce une décentralisation partielle des procédures, avec la possibilité pour les pèlerins de réaliser les examens médicaux et les paiements bancaires dans leur région d’origine, en partenariat avec le ministère de la Santé et la Banque islamique. Cette approche vise à réduire les rassemblements massifs à la DGP et à faciliter les démarches pour les pèlerins.
De plus, une durée limitée du séjour à La Mecque est prévue, avec pour objectif d’éviter les dépenses excessives et de permettre aux pèlerins de retourner rapidement dans leur pays. Cette mesure répond également aux besoins de certains fonctionnaires ou professionnels qui préfèrent reprendre rapidement leurs activités après le Hajj.
Enfin, une autre innovation majeure concerne le transport des pèlerins, avec la participation de deux compagnies aériennes, y compris la compagnie nationale Air Sénégal. Cette diversification des options de transport offre plus de flexibilité aux pèlerins et renforce la collaboration avec les compagnies aériennes sénégalaises.
En résumé, les innovations introduites pour le Hajj 2024 témoignent de l’engagement continu des autorités sénégalaises à améliorer l’expérience des pèlerins et à garantir un pèlerinage plus sûr, plus efficace et plus organisé.
La ville de Pikine, au Sénégal, est le théâtre de tensions exacerbées suite à la mort tragique de Mouhamed Diop, également connu sous le nom de Taya. Alors que la communauté pleure la perte de leur proche, la colère et la frustration se sont transformées en actes de violence et d’incendie criminel.
Après l’inhumation de Mouhamed Diop, des amis et des proches ont exprimé leur douleur en attaquant le commissariat de police local. Leur révolte, alimentée par le désir de justice, a rapidement dégénéré en affrontements violents avec les forces de l’ordre. Des véhicules ont été vandalisés et incendiés, plongeant la région dans le chaos.
La famille de la victime, confrontée à cette tragédie, a lancé un appel pressant pour que justice soit rendue. Ils réclament une enquête approfondie sur les circonstances entourant la mort de Mouhamed Diop et demandent que les responsables de cet acte soient traduits en justice. Pour eux, il est impératif que la lumière soit faite sur cet événement douloureux et que les coupables soient tenus pour compte.
Cependant, la situation reste tendue à Pikine, avec une communauté secouée par la violence et l’injustice. Les autorités locales travaillent sans relâche pour rétablir l’ordre et apaiser les tensions, tout en promettant une enquête rigoureuse sur l’incident.
Dans ce climat de désarroi et de désolation, la quête de justice de la famille de Mouhamed Diop reflète le besoin urgent de réponses et de réparation au sein de la communauté. Alors que Pikine cherche à se remettre de ces événements tragiques, l’appel à la justice résonne comme un cri de détresse pour une communauté en deuil.
Dakar Dem Dikk (DDD) suspend temporairement ses services de transport dans la banlieue, suite à un incident survenu mercredi dernier. La direction de cette société de transport public a pris cette décision afin de limiter les dommages et d’identifier les responsables de l’attaque contre l’un de ses nouveaux bus.
Selon les explications fournies par la direction de DDD, le mercredi 27 mars 2024, l’un de leurs bus a été pris pour cible lors d’un incident impliquant des jeunes et la police à Pikine. Le véhicule a été attaqué, caillassé, puis incendié, dans ce qui est décrit comme un acte de vandalisme regrettable. La société de transport condamne fermement cet incident et appelle à la retenue de la part des populations.
Cet événement fait suite à des manifestations de jeunes Pikinois réclamant justice après le décès tragique de Seydina Mouhamed Diop, un homme de 33 ans. Les manifestants accusent la police d’être responsable de sa mort, affirmant qu’il aurait été battu à mort lors d’une altercation avec les forces de l’ordre.
Face à cette situation tendue, Dakar Dem Dikk a jugé nécessaire de suspendre temporairement ses activités dans la banlieue, en attendant que la situation se calme et que les responsabilités soient établies. Cette mesure vise à garantir la sécurité des passagers et du personnel de la société, tout en évitant tout nouvel incident.
En attendant des développements ultérieurs, la suspension du réseau de transport dans la banlieue souligne l’impact des tensions sociales sur les services publics essentiels, mettant en lumière la nécessité d’une résolution pacifique des conflits et d’un dialogue ouvert entre toutes les parties concernées.
Après le récent scandale impliquant 6 milliards de francs CFA, Orabank se retrouve à nouveau au centre d’une affaire financière retentissante. Cette fois, selon les révélations de L’Observateur, un montant de 400 millions a été détourné du compte Wave au sein de l’établissement financier.
Selon les informations fournies, 11 suspects ont été appréhendés par la Division des investigations criminelles (DIC) et inculpés pour une série de délits, notamment l’association de malfaiteurs, le vol aggravé, l’intrusion frauduleuse dans un système bancaire, le faux et l’usage de faux en écritures privées de banque, ainsi que la complicité de ces mêmes chefs d’accusation.
L’enquête a été déclenchée suite à une plainte déposée par le directeur juridique et contentieux d’Orabank, Aliou Watt. Les investigations ont révélé que plusieurs membres du groupe de malfaiteurs étaient titulaires de comptes bancaires dans l’établissement, avec comme cerveau présumé le chef d’agence d’Orabank de Diamniadio, E. C. Dia.
Selon le mode opératoire détaillé par L’Obs, le chef d’agence aurait transféré les fonds volés dans 14 comptes différents afin d’éviter de soulever des suspicions chez les contrôleurs. Les clients de la banque étaient alors en mesure de retirer l’argent détourné. Par exemple, l’un des détenteurs de compte, P. D. Ka, aurait reçu un virement de 28 millions.
Lorsqu’il a été interrogé par son gestionnaire de compte sur l’origine de cette somme, le suspect a prétendu qu’elle provenait des États-Unis. Il aurait ensuite utilisé une partie de cet argent pour acheter un véhicule, avant de confier le reste à un ami, S. Keita, pour éviter les questions embarrassantes de son gestionnaire de compte. Ce dernier a été arrêté sur place par les autorités.
D’autres individus, tels que S. I. Sarr, A. Ciss, et G. O. A. Simba, également arrêtés, sont accusés d’avoir reçu des sommes allant de 7 à 27 millions.
Ce nouveau scandale financier secoue une fois de plus le secteur bancaire et soulève des questions sur la sécurité des fonds déposés dans les institutions financières. Il met également en lumière l’importance d’une surveillance accrue et de mécanismes de contrôle plus rigoureux pour prévenir de tels abus à l’avenir.
Suite à l’élection du président Bassirou Diomaye Faye et à son engagement en faveur du développement agricole, le Syndicat national des techniciens et travailleurs de l’agriculture du Sénégal (SYNTTAS) exprime son soutien tout en appelant à des réformes profondes dans la gouvernance du secteur agricole.
Le SYNTTAS reconnaît l’importance accordée à l’agriculture dans le programme du nouveau président, mais souligne la nécessité d’un changement de paradigme et de ruptures significatives dans la gestion du secteur. Parmi les mesures proposées, le syndicat appelle à une meilleure implication des services déconcentrés dans l’identification des gros producteurs pour une gestion transparente des subventions des intrants agricoles.
En outre, le SYNTTAS réclame un audit exhaustif de l’ensemble du personnel du ministère de l’Agriculture, avec la participation du syndicat, afin d’assurer une gestion efficace des effectifs et la mise en place d’un programme de régularisation des contractuels. Cette démarche vise à garantir une administration plus efficiente et à répondre aux besoins du secteur agricole de manière plus adéquate.
Parallèlement, le syndicat demande la reprise immédiate des négociations avec les partenaires sociaux pour une prise en charge correcte de leurs revendications, notamment la généralisation de l’indemnité de logement et la mise en place des fonds communs. Ces mesures sont essentielles pour améliorer les conditions de travail des travailleurs agricoles et assurer leur bien-être.
En conclusion, le SYNTTAS félicite le président Bassirou Diomaye Faye pour son élection et adresse ses félicitations au peuple sénégalais pour son engagement en faveur de la démocratie et de la paix. Tout en exprimant son soutien au nouveau président, le syndicat appelle à des réformes audacieuses pour un secteur agricole plus dynamique, transparent et inclusif, au service du développement économique et social du Sénégal.
Une nouvelle situation urgente s’ajoute aux défis du président nouvellement élu, Bassirou Diomaye Faye. L’ONG Horizon sans frontières (HSF) a sonné l’alarme sur le sort précaire des Sénégalais en détresse au Maroc.
Dans un appel pressant prévu aux autorités sénégalaises, le président de l’organisation, Boubacar Sèye, a informé que ces compatriotes sont au nombre de 48, parmi lesquels figurent 6 femmes.
« Ils sont tous enfermés dans une maison à 300 km de la capitale marocaine », précise la déclaration du spécialiste des questions migratoires, rapportée par Vox Populi.
La note continue : « D’après notre interlocuteur, qui a eu au téléphone l’un d’entre eux, ils seraient très fatigués et très mal nourris depuis des jours. Ils souhaitent que tous soient rapatriés ».
Cette situation critique nécessite une action rapide et coordonnée des autorités sénégalaises pour assurer la sécurité et le bien-être de ces concitoyens en détresse. Leur rapatriement et leur prise en charge doivent être une priorité absolue.
Il est également essentiel que la communauté internationale soit sensibilisée à cette situation et apporte son soutien pour garantir un dénouement rapide et à cette crise humanitaire.
Le président Bassirou Diomaye Faye et son gouvernement sont appelés à agir promptement pour venir en aide à ces Sénégalais en détresse au Maroc et à prendre les mesures nécessaires pour prévenir de telles situations à l’avenir.
Le 22 mars 2024, une étape cruciale a été franchie dans le renforcement de la coopération entre la Direction générale des Douanes (DGD) et la Direction générale des Impôts et des Domaines (DGID) du Sénégal. Cette journée a été marquée par la visite du Dr Mbaye Ndiaye, Directeur général des Douanes, à la DGID, où il a rencontré Abdoulaye Diagne, Directeur général des Impôts et des Domaines. Cette rencontre a été l’occasion de célébrer les liens solides entre les deux administrations et de consolider leur partenariat à travers la signature d’un Protocole d’accord sur les échanges automatisés de données.
Dans un contexte de transition fiscale vers une fiscalité intérieure, cette collaboration revêt une importance capitale. Elle se caractérise par des avancées significatives en matière de transmission des données et de contrôle conjoint, facilitées par la plateforme d’interconnexion DGD-DGID, communément appelée « banque de données fiscales ». Cette plateforme numérique novatrice compile les données des Douanes sur les importations et exportations, ainsi que les informations financières et comptables de la DGID sur ses contribuables.
Depuis sa création en 2011, la Brigade mixte de Contrôle Impôts et Douanes (BMCID) joue un rôle crucial dans le contrôle du respect des régimes fiscaux et douaniers, ainsi que dans l’examen de l’utilisation des acquisitions exonérées. La BMCID renforce le dispositif institutionnel de collaboration entre la DGD et la DGID, contribuant activement au Comité de suivi hebdomadaire des recettes du Ministère de l’Économie, des Finances et du Plan.
La mutualisation des procédures dans la lutte contre la fraude renforce l’efficacité des administrations fiscale et douanière. Le Prélèvement de Conformité fiscale (PCF) permet à la DGID de régulariser les personnes ne respectant pas leurs obligations déclaratives et de paiement.
Dans un environnement complexe marqué par l’interdépendance croissante et la découverte de ressources gazières et pétrolières, le renforcement de la collaboration entre la DGID et la DGD est une nécessité. Les actions envisagées incluent l’automatisation de l’échange des données, l’extension des missions de la BMCID à des secteurs stratégiques et le renforcement des capacités des agents de la BMCID.
Ce rapprochement s’inscrit dans le thème de l’Organisation Mondiale des Douanes (OMD) pour l’année 2024 : « pour une Douane mobilisant ses partenaires historiques et nouveaux autour d’objectifs clairs ».
La ville de Pikine, au Sénégal, a été le théâtre de violents affrontements ce mercredi entre des jeunes manifestants et les forces de l’ordre. Les troubles ont éclaté suite à des allégations selon lesquelles la police aurait battu à mort l’un des leurs, suscitant la colère et l’indignation parmi les habitants.
Les tensions ont rapidement escaladé, culminant avec l’incendie d’un bus appartenant à la compagnie Dakar Dem Dikk. Ces actes de violence ont été perpétrés par des individus en colère, accusant la brigade de police de Pikine d’être responsable de la tragédie qui aurait coûté la vie à l’un des leurs.
Ces affrontements ont plongé la ville dans un climat de chaos et d’instabilité, mettant en danger la sécurité des résidents et perturbant la vie quotidienne. Les autorités locales ont été mobilisées pour tenter de ramener le calme et restaurer l’ordre dans la région.
Cependant, cet incident souligne les tensions persistantes entre la population et les forces de l’ordre, ainsi que les frustrations profondes qui existent au sein de la communauté. Les citoyens exigent des réponses et des actions de la part des autorités pour garantir la justice et prévenir de nouveaux incidents de ce genre à l’avenir.
Dans ce contexte tendu, il est impératif que toutes les parties prenantes s’engagent dans un dialogue constructif pour résoudre les problèmes sous-jacents et promouvoir la paix et la stabilité dans la région. La violence et les actes de destruction ne feront qu’aggraver les tensions et prolonger les souffrances des communautés affectées.
Alors que les autorités enquêtent sur les circonstances exactes de l’incident qui a déclenché ces troubles, il est crucial de prendre des mesures concrètes pour restaurer la confiance entre la population et les forces de l’ordre, tout en garantissant le respect des droits fondamentaux de tous les citoyens.
« Le travail des femmes au sein des forces de défense et de sécurité est un acquis à consolider. C’est pourquoi l’APPS est là pour essayer de coacher les plus jeunes, pour qu’elles fassent mieux que nous », a déclaré Mme Thiam.
S’exprimant lors d’un atelier axé sur le thème « Importance du rôle des femmes dans les activités des Forces de Défense et de Sécurité : perspectives et impacts », Mme Thiam a souligné l’importance de partager les expériences pour favoriser la paix et la sécurité intérieure.
Cet atelier, organisé dans le cadre de la commémoration de la Journée internationale des droits des femmes, a rassemblé le directeur de l’École nationale de police et des représentantes d’autres corps en uniforme. Son objectif était de mettre en lumière le rôle crucial des femmes dans les activités des Forces de Défense et de Sécurité à travers un échange d’expériences.
Bien que retraitée depuis plusieurs années, Mme Thiam a précisé que l’APPS vise à soutenir la jeunesse à travers un mentorat et un partage d’expériences. Elle a souligné l’importance de discuter des expériences passées avec les nouvelles recrues, mettant en avant les missions nationales et internationales accomplies par les membres de l’association, saluées tant par les Nations unies que par les autorités sénégalaises.
Les neuf premières femmes ayant intégré le corps de police en 1981 ont été louées pour avoir apporté une contribution significative au métier, notamment dans des domaines tels que la palpation ou la fouille corporelle des femmes, ainsi que dans la collecte d’informations sur les violences basées sur le genre.
Mme Thiam a souligné l’importance de l’accueil des femmes victimes de violences par des femmes formées à cet effet, capables de les soutenir efficacement. Elle a également évoqué la participation de l’APPS à des initiatives pour la paix, comme une récente randonnée pédestre organisée avant les élections présidentielles, dans le but de promouvoir un climat de calme et de sérénité.
Dans un contexte où la représentation des femmes dans les forces de sécurité revêt une importance croissante, l’engagement de l’APPS à soutenir et à guider les jeunes policières apparaît comme un pas significatif vers une meilleure intégration et une participation active des femmes dans le maintien de l’ordre et la sécurité nationale.
À l’aéroport international Blaise Diagne (AIBD), la brigade spéciale des Douanes a intercepté 2,976 tonnes d’ailerons de requins, emballés dans 75 sacs. Cette marchandise, évaluée à 74 millions de francs CFA sur le marché intérieur, était destinée à l’exportation et dissimulée dans des caisses enveloppées de sacs en plastique et en polystyrène. Cette saisie s’inscrit dans le cadre de l’application de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) de 1973, visant à protéger les espèces en voie de disparition. Deux individus de nationalité étrangère ont été appréhendés dans le cadre de cette opération.
Dans la région de Fatick, à Gossas, les agents de la brigade mobile des Douanes ont saisi 51 cartons de faux médicaments, dont des médicaments vétérinaires, d’une valeur estimée à 148 millions de francs CFA. Cette saisie a été réalisée sur l’autoroute Ila Touba, à bord d’un véhicule van, et le convoyeur a été arrêté.
À Dakar, plus précisément à Yarakh, la brigade maritime de Rufisque et la Direction régionale des unités maritimes ont intercepté deux motos Jakarta transportant du chanvre indien. Cette drogue, pesant 137 kg et estimée à près de 10 millions de francs CFA, provenait d’un pays voisin par voie maritime et a été débarquée sur la plage de Yarakh.
Dans le département de Nioro (Kaolack), à Keur Ayip, la brigade commerciale des Douanes a saisi trois paquets de chanvre indien dissimulés dans les pneus de secours d’un bus en provenance du Sud, ainsi que 7 kg de chanvre indien conditionnés dans une valise à bord d’un car communément appelé « car Ndiaga Ndiaye » en provenance d’un pays voisin. Trois individus impliqués dans cette affaire ont été arrêtés et remis au Parquet de Kaolack.
Ces saisies interviennent dans un contexte où les unités douanières ont intensifié leurs efforts pour sécuriser la chaîne logistique internationale et lutter contre le trafic illicite de produits prohibés importés en contrebande, conformément aux nouvelles orientations en la matière.
Cette année, le traditionnel défilé militaire sur le boulevard du Centenaire ne sera pas au programme. Pour sa dernière célébration de la fête de l’indépendance en tant que président de la République, Macky Sall avait déjà opté pour la sobriété, suite au report projeté de l’élection présidentielle.
Selon les informations divulguées par Libération, la prise d’armes prévue à la Place de l’Indépendance le 4 avril prochain sera présidée par le successeur désigné de Macky Sall, Bassirou Diomaye Faye, élu lors du scrutin présidentiel du 24 mars dernier.
Cette cérémonie marquera ainsi la première apparition officielle de Bassirou Diomaye Faye en qualité de chef suprême des armées, puisqu’il entrera en fonction le 2 avril, deux jours avant l’événement.
Ce passage de témoin symbolique signifie le début d’un nouveau chapitre pour le pays, alors que Bassirou Diomaye Faye prend les rênes du pouvoir présidentiel. Les regards du pays seront tournés vers la Place de l’Indépendance pour cette occasion mémorable.
Les images de Adji Sarr poussant un charriot rempli de valises dans un aéroport étranger a fait le tour des réseaux sociaux. Certaines voix affirment que l’ancienne masseuse débarquait ainsi en Suisse. Mais L’Observateur rapporte dans son édition de ce mercredi qu’«il sembleraient que la réalité sur sa destination soit tout autre».
«Le point de chute de l’accusatrice de Ousmane Sonko serait le Canada, avance le journal. D’après une source proche de Adji Sarr, cette dernière aurait quitté le Sénégal il y a plusieurs jours, pour se rendre en Mauritanie. C’est via ce pays frontalier qu’elle aurait pris les airs en direction du Canada où elle est arrivée avant-hier [lundi 25 mars] dans la matinée.»
Le quotidien du Groupe futurs médias déclare que «les raisons de ce voyage, en toute discrétion, restent encore inconnues». Il se demande si celui-ci ne serait pas lié à l’accession au pouvoir de Bassirou Diomaye Faye de Pastef, parti de Sonko.
Le Sénégal est confronté à une situation alarmante d’insécurité alimentaire avec plus de deux. Ent soixante-dix mille (270 000) personnes actuellement en phase de crise alimentaire dans plusieurs surtout localisées dans plusieurs localités dont Pikine, Dakar, Mbacké, Guiguinéo, Kédougou, Linguère et Goudiry, selon les conclusions de la concertation régionale sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel.
Le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) alerte sur la possibilité d’une période de soudure difficile pour les populations avec environ quarante-quatre (44) millions de personnes susceptibles de se retrouver en situation d’insécurité alimentaire et nutritionnelle.
Cette crise est exacerbée par des sanctions et des mesures de restriction de l’exportation des produits alimentaires, entraînant des perturbations dans la chaîne d’approvisionnement et des hausses des prix des produits de base.
Le CILSS prévoit une augmentation des populations vulnérables, avec une période critique projetée pour juin-juillet-août 2024, et une possible installation de la crise dans deux nouveaux départements, Goudiry et Salémata.
La diminution des stocks alimentaires et la hausse des prix contribuent à la dégradation de la situation alimentaire des ménages.
Une tragédie a frappé la communauté de Yeumbeul Layenne ce mardi 26 mars 2024, lorsqu’un homme, avançant tranquillement dans la rue, a chuté et a perdu la vie sur le coup. L’incident, survenu de manière inattendue, a plongé la localité dans le choc et la tristesse.
Selon les témoins oculaires présents au moment des faits, l’homme, décrit comme étant d’un âge avancé, se déplaçait paisiblement dans la rue avant de tomber subitement, sans qu’aucune cause apparente ne soit identifiée dans l’immédiat.
Les sapeurs-pompiers ont été alertés et sont rapidement intervenus sur les lieux pour récupérer le corps de la victime, afin de procéder aux formalités nécessaires. Pendant ce temps, les autorités policières ont ouvert une enquête pour élucider les circonstances exactes de cet événement tragique et pour retrouver la famille de l’homme décédé.
La perte de cet individu a provoqué une profonde onde de choc au sein de la communauté de Yeumbeul Layenne, où les résidents sont encore sous le choc de cette nouvelle. Des messages de soutien et de condoléances affluents déjà en direction de la famille endeuillée, tandis que les habitants essayaient de comprendre et de surmonter cette douloureuse épreuve.
Dans ces moments difficiles, la solidarité et le réconfort de la communauté sont plus que jamais nécessaires pour soutenir ceux qui sont touchés par cette tragédie inattendue. Les pensées et les prières de toute la région accompagnent la famille du défunt dans cette période de deuil et de douleur.
Nous espérons que l’enquête en cours apportera des réponses et de la clarté sur les circonstances de cet incident, tandis que nous exprimons nos plus sincères condoléances à la famille et aux proches de l’homme décédé. Puissent-ils trouver la force et le réconfort nécessaire pour faire face à cette terrible épreuve.
Les travailleurs ont exprimé leur mécontentement à la gare ferroviaire de Thiès ce mardi 26 mars, où les trains assurant la liaison Thiès-Diamniadio sont restés en gare. Ils déplorent le silence de l’État face à leurs revendications, ce qui a entraîné des perturbations dans le service ferroviaire.
Les cheminots retraités continuent de bloquer le trafic ferroviaire sur la ligne Thiès-Diamniadio pour réclamer une revalorisation de leurs pensions, qu’ils estiment être en attente de paiement de la part de l’État, à hauteur de deux (2) milliards de Francs CFA. Le président de l’Entente des ex-temporaires et régis des chemins de fer du Sénégal précise que ce blocage est une mesure d’urgence, effectuée à contrecoeur, pour attirer l’attention sur leur situation. Ces retraités considèrent qu’ils méritent une pension adéquate après avoir consacré leur carrière au service des chemins de fer.
Malgré l’appel à la patience lancé par le Directeur de l’Exploitation des Grands Trains du Sénégal (GTS), Mamadou Diop, les anciens cheminots retraités ont choisi de maintenir leur mobilisation à l’intérieur de la gare, exprimant ainsi leur détermination à faire entendre leurs revendications malgré le contexte politique actuel. En effet, un nouveau chef d’Etat a été élu dimanche dernier. « Actuellement, on va vers un changement de gouvernement et qu’il faudrait qu’ils attendent de nouveaux interlocuteurs, nouveau ministre de tutelle pour engager des discussions », a expliqué M. Diop.
Finalement, les grévistes ont accepté les arguments du directeur et ont levé le mot d’ordre de grève. M. Diop a saisi cette opportunité pour rassurer les usagers quant à la reprise du trafic. Il a souligné l’engagement pris envers les usagers des Grands Trains du Sénégal en assurant que les trains continueront de circuler à partir de Diamniadio, en collaboration avec le TER. Cette mesure démontre un engagement envers la satisfaction des besoins des voyageurs.
Une tragédie s’est abattue ce mardi 26 mars sur la paisible route de Yeumbeul Layenne, laissant une communauté en deuil et des questions sans réponses. Aux alentours de [heure], un homme marchant paisiblement a chuté subitement, succombant sur le coup.
Les sapeurs-pompiers, alertés rapidement, ont réagi avec diligence pour récupérer le corps sans vie et entamer les procédures nécessaires. Cependant, malgré leurs efforts, le décès de l’homme âgé est survenu de manière brutale, laissant un profond sentiment de choc et de tristesse dans la région.
Les circonstances exactes de cette chute fatale demeurent floues. Les autorités locales ont ouvert une enquête pour éclaircir les événements ayant conduit à cette tragédie et pour identifier les proches de la victime afin de leur offrir le soutien nécessaire en cette période difficile.
L’ensemble de la communauté de Yeumbeul Layenne est plongé dans la consternation et exprime ses condoléances à la famille et aux amis de la victime. En ces moments de deuil, les pensées et les prières sont tournées vers ceux qui ont perdu un être cher de façon si soudaine et tragique.
Une nouvelle information apportée par la journaliste Salma Ibrahim Fall de Walf fait état de l’arrivée d’Adji Sarr à l’aéroport de Genève, en Suisse, ce mardi à 9 heures 40 mn. Cette annonce soulève des interrogations quant aux motifs de ce voyage et à l’éventuelle signification d’un départ à l’étranger pour l’ex-masseuse au cœur d’une affaire médiatisée.
Accompagnée de Yaye Fatou Diagne, Adji Sarr a été repérée à l’aéroport, selon les informations fournies par Salma Fall. Une photo partagée par notre consœur semble confirmer la présence de la jeune femme avec ses bagages, laissant planer le doute quant à son départ et les raisons qui l’ont motivé.
La question de savoir si Adji Sarr s’est exilée ou si ce voyage répond à d’autres motivations reste à élucider. Son arrivée à Genève suscite l’intérêt, d’autant plus qu’elle intervient dans un contexte où l’affaire dans laquelle elle est impliquée a fait l’objet d’une intense couverture médiatique au Sénégal.
Cette nouvelle soulève des spéculations quant à l’avenir d’Adji Sarr et aux implications potentielles de son déplacement à l’étranger. La nature exacte de ce voyage et ses conséquences éventuelles continueront probablement à susciter l’attention dans les prochains jours, alors que l’affaire qui implique Adji Sarr continue de faire l’objet de débats et de controverses au Sénégal.
Une alerte météo importante a été émise par l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) au Sénégal. Une houle très dangereuse de secteur Nord est prévue, pouvant atteindre ou dépasser 3,5 mètres, sur tout le littoral sénégalais à partir de ce vendredi.
Dans un bulletin de prévision diffusé ce mardi et relayé par l’Agence de Presse Sénégalaise (APS), l’ANACIM met en garde contre cette houle potentiellement catastrophique. Selon les informations fournies, cette houle de secteur Nord est prévue dès vendredi à 6 heures du matin.
Cette annonce soulève des préoccupations quant à la sécurité des populations vivant le long des côtes sénégalaises et des activités maritimes dans la région. Une houle de cette ampleur peut causer des dégâts considérables aux infrastructures côtières, aux bateaux et aux biens, ainsi qu’accroître les risques pour la vie humaine.
Il est fortement recommandé aux habitants des zones côtières de prendre les précautions nécessaires et de suivre les consignes des autorités locales en cas d’évacuation ou de mesures d’urgence. Les pêcheurs et les navigateurs sont également invités à rester vigilants et à éviter de s’aventurer en mer pendant cette période dangereuse.
Cette alerte météo souligne l’importance de la vigilance et de la préparation face aux phénomènes météorologiques extrêmes, et met en lumière le rôle crucial des services météorologiques nationaux dans la protection des populations contre les risques naturels.
Les autorités sénégalaises sont mobilisées pour faire face à cette situation et prendre les mesures nécessaires pour minimiser les impacts potentiels de cette houle dangereuse.
Les artères du département de Guédiawaye, en particulier dans les quartiers de Gounas, Notaire et Ndiarem, sont devenues un véritable cauchemar pour les usagers, confrontés aux difficultés engendrées par des routes cahoteuses et dégradées. Cette réalité quotidienne pèse lourdement sur la vie des résidents et des travailleurs de la région, les obligeant à recourir à des voies alternatives pour éviter les embouteillages et les dommages potentiels à leurs véhicules.
Mamadou Niang, habitant de la région, exprime son désarroi face à cette situation préoccupante : « Circuler dans les communes de Guédiawaye, notamment Gounas, Notaire et Ndiarem, est un véritable supplice pour moi. En parcourant les rues de Guédiawaye, je suis frappé par les conditions de vie précaires des résidents. »
Les tronçons dégradés, en particulier dans les zones périphériques, mettent en lumière les lacunes des infrastructures routières de la banlieue, mettant en exergue les difficultés d’accessibilité rencontrées par les habitants. Cette réalité, dénoncée par de nombreux usagers comme un obstacle majeur à leur quotidien, met en évidence la nécessité d’une action urgente des autorités pour améliorer la mobilité et la sécurité routière dans la région.
L’axe reliant Gounas au marché Boubess, en passant par le lycée Seydina Lymamou Laye, est particulièrement touché par les nids-de-poule et les problèmes d’écoulement des eaux, même en saison sèche. Amy Mbaye, confrontée à ces défis lors de ses déplacements quotidiens, partage son expérience : « Chaque jour, c’est la croix et la bannière pour me rendre à mon lieu de travail. Malgré ces difficultés, je reste déterminée à arriver à destination. »
Le constat est tout aussi alarmant du côté des deux voies de Sam Notaire, où les routes dégradées ont atteint un niveau critique, selon les témoignages des habitants. Pour El Hadj Diop, les coûts supplémentaires supportés par les usagers pour atteindre leur destination deviennent insupportables.
Face à cette situation insoutenable, il est impératif que les autorités prennent des mesures immédiates pour améliorer l’état des routes à Guédiawaye. Les usagers de ces axes, confrontés à des conditions de déplacement difficiles au quotidien, attendent avec impatience des solutions concrètes pour résoudre ce problème persistant.
La lutte contre l’émigration clandestine prend une nouvelle dimension avec l’interpellation de 53 candidats à l’émigration irrégulière, par la légion de gendarmerie de Thiès, sous le commandement du lieutenant-colonel Alioune Diop. Parmi eux, on compte 12 ressortissants gambiens, deux guinéens et un malien.
Ce coup de filet, réalisé entre Mboro et Nianing, s’inscrit dans le cadre d’une offensive contre le trafic de migrants. Le lieutenant-colonel Ibrahima Ndiaye, chef de la Divcom, souligne l’importance de cette opération dans la prévention de ce fléau qui impacte particulièrement la jeunesse.
Face à cette situation, la gendarmerie nationale lance un appel à la vigilance et à la collaboration de tous, notamment en cette période électorale. Une mobilisation accrue est nécessaire pour contrer efficacement les réseaux de trafiquants qui exploitent les rêves d’une vie meilleure pour de nombreux jeunes.
Alors que les tendances électorales placent Bassirou Diomaye Faye, le candidat de Pastef, en tête des élections présidentielles au Sénégal dès le premier tour, l’actrice bien-aimée Khadija Dème, mieux connue sous le nom d’Adja Nationale, a transmis ses félicitations à Diomaye et lui a exprimé ses vœux de succès pour l’avenir.
Dans un message publié sur ses réseaux sociaux, Adja Nationale a déclaré : « En avant on espère pour une nouvelle ère pleine de stabilité, de progrès et de paix ! C’est un moment important pour notre pays, qui démontre la vitalité de notre démocratie et la volonté du peuple sénégalais. Mes pensées positives accompagnent notre nouveau président dans cette période cruciale, et je souhaite au Sénégal une période de stabilité, de progrès et de paix. 🇸🇳🙏. »
Ce message reflète l’espoir et l’optimisme d’Adja Nationale pour l’avenir du Sénégal sous la direction de Bassirou Diomaye Faye. Elle exprime son soutien à la nouvelle direction politique du pays, tout en soulignant l’importance de la stabilité, du progrès et de la paix pour l’ensemble de la nation. Adja Nationale conclut son message en invoquant une prière pour la guidance divine : « Yallah na Yaane bi Oyof Yallah bou Yakaar tass🙏🏻Président Bassirou Diomaye FAYE. »
Cette déclaration de soutien de la part d’une figure aussi respectée et appréciée que Adja Nationale souligne l’importance de l’unité et de la solidarité dans cette période de transition politique. Elle témoigne également de la confiance et de l’espoir que de nombreux citoyens placent dans les nouvelles perspectives et les changements positifs pour l’avenir du Sénégal.
Dans le cadre du projet de construction de l’Usine de Dessalement d’eau de mer des Mamelles, une initiative d’importance capitale pour l’approvisionnement en eau potable de la région de Dakar, la Société nationale des eaux du Sénégal (SONES) entreprend actuellement un vaste programme de renouvellement des conduites d’eau.
Sous la supervision du Ministère de l’Eau et de l’Assainissement, ces travaux englobent un réseau de 316 kilomètres de conduites réparties dans 16 des 19 communes du département de Dakar. Ce projet revêt une importance stratégique pour garantir une distribution efficace de l’eau potable dans la région et répondre aux besoins croissants de la population.
Une phase cruciale de ce projet démarre ce mardi 26 mars 2024, avec la pose d’une conduite principale d’alimentation sur l’axe Monument de la Renaissance africaine (Ouakam-Mamelles) et le Centre-Ville de Dakar. Cette conduite, d’un diamètre conséquent de 1000mm/800mm/600mm, traversera plusieurs quartiers stratégiques de la capitale sénégalaise, dont Ouakam, Sacré-Cœur, Liberté 6, Sicap Karack, Baobab, Médina, Point E, et le Centre-Ville (Plateau Dakar).
Consciente de l’impact de ces travaux en milieu urbain, la SONES a pris des mesures spécifiques pour garantir la sécurité des riverains, des piétons et des automobilistes. Un plan de circulation sera mis en place pour minimiser les perturbations, et des agents de la circulation seront mobilisés pour assurer la fluidité du trafic. De plus, un dispositif de communication de proximité sera déployé pour informer et sensibiliser les populations locales sur l’avancement des travaux et les éventuels ajustements à prévoir.
L’objectif ultime de ces efforts est d’améliorer de manière significative l’alimentation en eau potable de l’agglomération dakaroise, en assurant une distribution efficace de la production attendue de l’usine de Dessalement d’eau de Mer des Mamelles. La SONES reconnaît les éventuels désagréments que ces travaux pourraient causer et sollicite la collaboration active des populations pour garantir le succès de ce projet d’importance capitale pour le bien-être de tous.
Dans une étape significative pour le secteur aéroportuaire sénégalais, AIBD SA a consolidé sa présence en devenant l’actionnaire majoritaire de la société 2AS (Aibd Assistance Services). Sous la présidence de M. Antoine Mbengue, Ministre des Transports aériens et du Développement des infrastructures aéroportuaires, la cession des actions de LAS dans 2AS à AIBD SA a été officiellement signée le jeudi 21 mars 2024.
Cette décision, issue d’une directive présidentielle, renforce la position de AIBD SA dans le secteur aéroportuaire en faisant de 2AS une entreprise 100% sénégalaise. Désormais, AIBD SA détient 51% des parts de 2AS, tandis que la compagnie nationale Air Sénégal en détient 49%.
Fondée en 2017, 2AS est responsable de l’assistance en escale des avions, des passagers, de leurs bagages et du fret à l’Aéroport International Blaise Diagne de Diass. Cette acquisition marque une étape importante dans la stratégie de croissance de AIBD SA, élargissant son empreinte opérationnelle et renforçant sa capacité à offrir des services intégrés.
En consolidant sa présence dans le secteur aéroportuaire, AIBD SA vise à améliorer la qualité des services offerts, notamment dans le domaine du handling. Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’investissements visant à rehausser le niveau de service et à positionner l’Aéroport International Blaise Diagne comme un hub sous-régional majeur.
Dans le cadre de ce partenariat, LAS SA exprime sa gratitude envers l’État du Sénégal pour la confiance accordée et l’opportunité de contribuer à la gestion des opérations d’assistance en escale à l’AIBD. Le partenariat entre AIBD SA et LAS SA se poursuit dans le but de renforcer les performances de l’aéroport et de consolider sa réputation en tant que meilleur aéroport d’Afrique dans sa catégorie, distingué pendant deux années consécutives.
À l’approche de l’élection présidentielle au Sénégal, prévue pour le 24 mars 2024, la voix emblématique de la musique sénégalaise, Elhadji Beydi Baaba Maal, s’est élevée pour adresser un message inspirant à ses concitoyens. Dans un appel vibrant, le chanteur renommé a exhorté ses compatriotes à choisir un leader attentif aux besoins quotidiens de la population, en particulier de la jeunesse, tout en mettant l’accent sur la nécessité de maintenir la paix et la stabilité lors de ce processus démocratique crucial.
Alors que le pays se prépare pour cette élection présidentielle d’une importance capitale, Baaba Maal a choisi ces moments saints du Ramadan pour transmettre ses prières et ses vœux de sérénité et de réussite pour cette période électorale. Il a exprimé son espoir que ces élections se déroulent dans un climat empreint de grandeur et de respect mutuel, soulignant ainsi l’importance de valeurs telles que la paix, l’amour et le respect dans la vie démocratique du pays.
Le chanteur a également plaidé en faveur de l’élection d’un leader visionnaire, capable de répondre aux aspirations diverses de la société sénégalaise, en particulier des jeunes, des femmes et des hommes. Son appel résonne comme un rappel de l’importance de consolider les progrès réalisés jusqu’à présent et de maintenir le respect et la dignité dont jouit le Sénégal sur la scène mondiale.
Baaba Maal, par sa notoriété et son influence, incarne un symbole d’unité et d’espoir pour le peuple sénégalais, et son message revêt une signification particulière dans cette période pré-électorale où les enjeux sont nombreux. À travers son appel à une élection pacifique et inclusive, il rejoint la volonté collective du peuple sénégalais de voir le pays avancer vers un avenir meilleur, dans l’harmonie et la prospérité pour tous.
Alors que les Sénégalais se préparent à exercer leur droit de vote dans quelques jours, le message de Baaba Maal résonne comme une invitation à l’action collective pour la construction d’un avenir plus prometteur et plus solidaire pour leur cher pays.
Ce samedi 23 mars 2024 restera gravé dans les annales de Mbao, commune sénégalaise en plein essor. En effet, M. Abdou Karim Sall, le maire de la localité, a présidé l’inauguration tant attendue du tout nouveau bâtiment de l’état civil, situé au cœur même de la mairie.
La cérémonie, empreinte de solennité et de fierté, a rassemblé une foule impressionnante d’administrés mbaois ainsi qu’une pléthore d’élus municipaux, d’autorités locales et de représentants des forces de l’ordre. Parmi les invités de marque figuraient également les chefs de village, les figures religieuses et les délégués de quartiers, tous témoignant de leur soutien à cette étape cruciale pour le développement de Mbao.
Dans son discours inaugural, le Maire AKS, comme il est communément appelé, a exprimé sa gratitude envers Dieu avant de partager sa joie de voir ce projet longtemps attendu devenir une réalité tangible. « Ce nouveau bâtiment offrira aux agents municipaux de l’état civil des conditions de travail optimales », a souligné l’édile de la commune, salué par une foule acquise à sa vision pour Mbao.
Un sentiment partagé par Mme Pouye, la cheffe du service de l’état civil de la mairie, qui a exprimé sa satisfaction quant à l’impact positif que cette nouvelle infrastructure aura sur leur travail quotidien.
Avant la cérémonie officielle de coupure du ruban symbolique et du dévoilement de la plaque d’inauguration, M. Abdou Karim Sall a réaffirmé son engagement envers le développement de Mbao. « Nous avons les ressources humaines nécessaires et la volonté de réaliser nos projets », a-t-il déclaré, sous les applaudissements de l’assistance.
Le nouveau bâtiment de l’état civil, construit sur une superficie considérable, représente un investissement important pour la municipalité, s’élevant à près de 25 millions de francs CFA, sans compter les équipements bureautiques d’une valeur d’environ 10 millions. Cependant, ce n’est pas tout : le Maire de Mbao a également annoncé la livraison prochaine d’un autre bâtiment de deux étages, toujours dans l’enceinte de la mairie, dans le but d’améliorer les conditions de travail des agents municipaux et de faciliter l’accès aux services administratifs.
Pour financer ces ambitieux projets, AKS compte principalement sur le budget municipal, soulignant l’importance d’un taux de recouvrement élevé des taxes municipales. Et pour l’heure, les résultats sont encourageants. « Nous sommes déterminés à poursuivre nos efforts pour le bien-être de nos concitoyens », a-t-il conclu, clôturant ainsi une journée marquée par le progrès et l’espoir pour Mbao et ses habitants.
Dans un geste généreux et empreint de reconnaissance envers sa communauté, Modou Lô, actuel roi des arènes, a offert un corbillard à la Mosquée de l’Unité 10 des Parcelles Assainies. Lors d’une cérémonie émouvante, le lutteur a remis les clés du véhicule à l’Imam de son quartier, saluant ainsi l’importance de ce lieu dans sa vie.
« Je suis heureux de venir ici. Ce quartier est mon fief. Cette Mosquée est la mienne. C’est ici que je suis né, c’est ici que j’ai grandi », a déclaré Modou Lô lors de la remise du don. Il a également exprimé sa gratitude envers l’Imam, soulignant le rôle essentiel de la Mosquée dans la vie quotidienne de la communauté.
Le lutteur a expliqué les motivations derrière son geste, soulignant l’importance d’équiper la Mosquée d’un corbillard. « Une Mosquée et une morgue ont besoin d’un corbillard. C’est pourquoi, j’ai eu cette idée », a-t-il expliqué. En plus du corbillard, Modou Lô a également remis une enveloppe à la Mosquée, bien que le montant exact n’ait pas été précisé.
En réponse, l’Imam a témoigné de sa relation étroite avec Modou Lô, révélant qu’il avait lui-même baptisé le lutteur il y a 38 ans. « Quand on me demande si je connais Modou Lô (Mamadou à l’état civil), je dis qu’il est mon fils », a déclaré l’Imam. Il a également loué la discipline et la fierté que Modou Lô apporte à l’Unité 10 des Parcelles Assainies, affirmant que le lutteur était une source de fierté pour la communauté.
Ce geste de générosité de Modou Lô témoigne de son attachement à sa communauté et de sa volonté de contribuer positivement à son développement. En offrant un corbillard à la Mosquée, il démontre son engagement envers le bien-être et le soutien des membres de sa communauté dans les moments difficiles.
Ce vendredi 22 mars, le président sénégalais, Macky Sall, s’est rendu sur le chantier du nouvel hôpital Aristide Le Dantec à Dakar. Cette visite visait à évaluer l’avancement des travaux de cette infrastructure de santé de niveau 4, qui sera pourvue de 600 lits une fois achevée.
Le président Sall s’est exprimé avec satisfaction concernant le niveau de progression des travaux, saluant le professionnalisme et l’engagement des équipes impliquées dans ce projet d’envergure. Toutefois, conscient des enjeux de santé publique et de l’importance de cette nouvelle infrastructure pour le pays, il a également appelé à une accélération du rythme des travaux.
En effet, Macky Sall a insisté sur la nécessité de respecter les délais de livraison prévus pour le mois de décembre prochain. Cette date butoir revêt une importance cruciale pour répondre aux besoins croissants de la population en matière de santé et garantir un accès aux soins de qualité.
L’hôpital Aristide Le Dantec est destiné à jouer un rôle majeur dans le système de santé sénégalais, offrant une prise en charge médicale moderne et complète. Sa construction s’inscrit dans la vision du gouvernement visant à améliorer les infrastructures de santé du pays et à renforcer les services médicaux disponibles pour tous les citoyens.
Cette visite présidentielle témoigne de l’engagement ferme du gouvernement envers le secteur de la santé et de sa volonté de fournir à la population des installations médicales à la hauteur des défis actuels. En exhortant les équipes à intensifier leurs efforts, Macky Sall réaffirme son engagement à concrétiser ce projet dans les délais impartis, au bénéfice de tous les Sénégalais.
À deux jours de l’élection présidentielle, les populations du département de Malem Hodar, réputé être le « maillon faible » de la région de Kaffrine en raison de ses défis infrastructurels et économiques, ont eu l’occasion d’échanger avec certains candidats sur les enjeux et les attentes de leur localité.
Dame Seck, coordinateur départemental de Sos Consommateurs à Malem Hodar et représentant régional de l’Union Nationale pour la Promotion de l’Agriculture Durable (Unapad), a abordé plusieurs sujets liés à la situation agricole, aux difficultés des agriculteurs, au manque d’eau, à la question foncière et aux problèmes d’électricité.
Il a dénoncé l’inégalité dans la distribution des engrais aux agriculteurs, ainsi que le déficit en électricité dans le département de Malem Hodar. Il a également interpellé les candidats sur ces défis cruciaux.
Dame Seck a critiqué la répartition disproportionnée des engrais dans la région de Kaffrine, soulignant la nécessité pour le prochain président de prendre des mesures pour éviter les malversations et promouvoir l’égalité. Il a notamment dénoncé le manque de soutien de l’État après la récolte de cette année, alors que les agriculteurs font face à des difficultés croissantes.
Il a proposé que le futur dirigeant surveille de près le processus de distribution des engrais et des équipements agricoles, en créant un comité incluant des organisations telles que Sos Consommateurs et l’Unapad. Il a également recommandé la suppression de l’impôt par tête dans les ménages, en faveur d’un système de suivi plus simple impliquant les chefs de village et les délégués.
En ce qui concerne l’électrification des villages, Dame Seck a souligné les lacunes persistantes malgré quelques avancées.
Il a également plaidé en faveur d’une coopération accrue entre les banques et les agriculteurs, avec le soutien de l’État pour permettre aux agriculteurs d’ouvrir des comptes et de contracter des prêts à faible taux d’intérêt. Il a également appelé à une organisation plus structurée de la filière agricole, avec un encadrement technique approprié.
Dame Seck a exhorté les agriculteurs à voter pour le candidat qui pourrait résoudre leurs problèmes et les écouter attentivement.
Le département de Malem Hodar compte 116 bureaux de vote, 88 centres de vote et 40 413 électeurs inscrits. À ce jour, 1 690 cartes d’électeur ont été distribuées, tandis que 745 cartes sont encore en attente selon les informations fournies par la préfecture.
Le cardiologue Mouhamadou Mounir Dia a lancé un appel pressant aux patients souffrant de pathologies cardiaques, les exhortant à se faire vacciner contre la Covid-19 et à maintenir à jour leur vaccination. Cette déclaration a été faite lors du Forum communautaire sur la vaccination contre la Covid-19, organisé par l’Association des journalistes en santé, population et développement (AJSPD), en partenariat avec Breakthrough Action.
Selon le Dr Dia, les personnes atteintes de maladies cardiovasculaires sont particulièrement vulnérables à la Covid-19 et risquent de développer des formes graves de la maladie. Il a souligné l’importance pour ces patients de bien gérer leur pathologie en suivant scrupuleusement les rendez-vous et les prescriptions de leur médecin traitant.
Le cardiologue a mis en garde contre les risques accrus chez les patients souffrant de maladies cardiovasculaires, notamment l’hypertension, le diabète, l’hypercholestérolémie et l’insuffisance rénale. Ces patients, ainsi que les personnes âgées de plus de 60 ans, sont considérés comme des sujets à risque élevé de développer des formes graves de Covid-19.
Le Dr Dia a également souligné que les complications cardiovasculaires, telles que les crises cardiaques, peuvent entraîner une mortalité importante chez les patients atteints de Covid-19. Il a insisté sur l’importance de la vaccination pour protéger ces populations à risque et réduire les complications liées à la maladie.
De son côté, le Dr Amadou Yéri Camara, directeur régional de la santé de Sédhiou, a souligné l’engagement du ministère de la Santé à protéger les personnes vulnérables, en particulier les personnes âgées et celles souffrant de comorbidités. Il a rappelé que ces personnes étaient considérées comme prioritaires pour la vaccination pendant la pandémie.
En conclusion, il a encouragé les personnes souffrant de maladies chroniques à intégrer la vaccination contre la Covid-19 dans leur plan de santé afin de se prémunir contre les risques de contamination, même si la maladie semble être moins présente dans le pays.
Madame le Ministre de la Santé et de l’Action sociale, Dr Marie Khemesse Ngom NDIAYE, a marqué de son empreinte ce jeudi une étape majeure dans le domaine de la santé au Sénégal, en inaugurant le Service d’Accueil des Urgences (SAU) entièrement réhabilité et agrandi au Centre Hospitalier Régional de Thiès.
Cet événement revêt une importance capitale alors que la demande de soins médicaux ne cesse de croître dans la région. Le SAU dispose désormais de 30 lits équipés, d’une salle d’accueil dédiée aux urgences vitales, ainsi que de salles opératoires et de réanimation. Ces nouvelles installations permettront au centre hospitalier de gérer efficacement toutes les urgences médicales et chirurgicales, et d’offrir des soins de qualité aux patients.
La réhabilitation et l’extension du SAU, d’une valeur de 800 000 000 FCFA, ont été entièrement financées par le Ministère de la Santé dans le cadre du plan d’amélioration de la prise en charge des urgences au Sénégal pour la période 2022-2026. Cette initiative démontre l’engagement du gouvernement envers l’amélioration des infrastructures de santé et l’accessibilité aux soins médicaux de qualité dans tout le pays.
Par ailleurs, lors de cette cérémonie, le Ministre a lancé la mise en œuvre de la comptabilité analytique dans les hôpitaux, une étape essentielle pour tous les établissements de santé. Cette démarche vise à améliorer la gestion financière et la qualité des soins médicaux en permettant une meilleure allocation des ressources et une plus grande transparence dans la gestion des budgets hospitaliers.
D’ici la fin de l’année 2024, tous les Établissements Publics de Santé seront impliqués dans ce processus, marquant ainsi une nouvelle ère dans la gestion des services de santé au Sénégal. Cette initiative renforce l’engagement du gouvernement envers l’amélioration continue de la qualité des soins de santé et la promotion du bien-être de tous les citoyens.
Le président de la République du Sénégal, Macky Sall, a présidé vendredi l’inauguration de la place « Capitaine Mbaye Diagne » à Dakar. Cette cérémonie solennelle marque la reconnaissance d’un homme d’exception, le Capitaine Mbaye Diagne, casque bleu sénégalais dont le courage et le sacrifice ont marqué l’histoire.
Située en face du cercle mess des officiers, cette place commémorative symbolise le dévouement et le sacrifice de Mbaye Diagne, qui a servi comme observateur militaire pour le compte de la Mission des Nations Unies pour l’assistance au Rwanda (MINUA) lors du génocide en 1994. Son action héroïque, au péril de sa vie, a permis de sauver près de 600 personnes.
Lors de la cérémonie, le président Macky Sall a rappelé la bravoure et le sens du devoir du Capitaine Mbaye Diagne, qui incarne « les valeurs cardinales de notre société ». Il a souligné l’importance de perpétuer la mémoire de ce héros national, dont le courage et le patriotisme ont honoré le Sénégal sur la scène internationale.
La famille de Mbaye Diagne, ses anciens camarades d’armes, ainsi que des représentants des forces armées et de la société civile, étaient présents lors de cette inauguration chargée d’émotion. Le président a également salué l’engagement et la détermination de Mbaye Diagne à servir son pays, rappelant que son exemple doit inspirer les générations futures.
Cette place « Capitaine Mbaye Diagne » s’ajoute aux nombreux hommages rendus à ce soldat exemplaire. En effet, depuis 2019, le Centre d’entraînement tactique de la base militaire de Thiès (CET 7) porte son nom, et le Conseil de sécurité des Nations unies a créé la « médaille du Capitaine Mbaye Diagne » en 2014.
En dédiant cette place à la mémoire du Capitaine Mbaye Diagne, le Sénégal rend un hommage mérité à un homme dont le courage et le dévouement ont marqué l’histoire du pays et inspiré le monde entier.
Une cérémonie empreinte de reconnaissance et de solidarité s’est tenue ce jeudi 21 mars 2024 dans les locaux du Syndicat des Auxiliaires de Transport du Sénégal (SATS) à Bel Air. Organisée par le SATS, en collaboration avec le Conseil National du Patronat du Sénégal, cette rencontre a marqué la remise des carnets de Couverture Maladie Universelle (CMU) et la distribution d’équipements de sécurité à 550 dockers du syndicat.
Sous la direction de son président, Mohamed Abdoulaye Diop, également Directeur Régional d’Africa Global Logistics Afrique Atlantique, le SATS a souligné son engagement envers le bien-être de ses collaborateurs en fournissant des avantages tangibles pour leur sécurité et leur santé. Aux côtés du Secrétaire Général du SATS, Amadou Massar Sarr, la cérémonie a réuni les membres du syndicat, ainsi que des représentants du Port Autonome de Dakar et des entreprises membres du SATS telles que Dakar Terminal, CMA – CGM et SNTT.
La remise des carnets de CMU, offrant une couverture santé à toute la famille des dockers, a été saluée comme une avancée significative pour leur bien-être. De même, la dotation en équipements de sécurité comprenant des pantalons, des chemises, des casques, des chaussures de sécurité et des gilets fluorescents a été une mesure appréciée pour assurer des conditions de travail optimales.
Dans son discours, Mohamed Abdoulaye Diop a souligné l’importance de l’humanisation des relations de travail au sein du syndicat et a rappelé l’engagement du SATS à combler les lacunes dans la prise en charge des dockers, notamment en matière d’équipements de sécurité et de protection sociale.
Le président du SATS a également mis en avant l’engagement du syndicat envers la Couverture Maladie Universelle, soulignant que l’adhésion à ce programme permettait aux dockers d’accéder à des soins de santé essentiels. Il a également rappelé que le SATS distribuait annuellement gratuitement des équipements de sécurité aux dockers depuis deux ans, témoignant de l’importance accordée à leur sécurité au travail.
En conclusion, cette cérémonie a été l’occasion pour le SATS de réaffirmer son engagement envers le bien-être et la sécurité de ses membres. À travers des initiatives telles que la CMU et la fourniture d’équipements de sécurité, le syndicat démontre son souci constant du bien-être des travailleurs, réaffirmant ainsi son rôle crucial dans le secteur du transport au Sénégal.
Une rencontre d’une importance capitale s’est déroulée récemment à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), marquant un pas significatif dans le développement des ressources académiques et de la recherche au Sénégal. Une délégation du Comité de Gestion du Consortium des bibliothèques de l’enseignement supérieur et de recherche du Sénégal (COBESS) a été chaleureusement accueillie pour discuter des stratégies visant à renforcer les bibliothèques universitaires à travers le pays.
La délégation du COBESS, dirigée par la Présidente Fama Diagne Sène Ndiaye, également Directrice de la Bibliothèque centrale de l’Université Alioune Diop de Bambey, comprenait également le Coordonnateur Mandiaye Ndiaye, ainsi que les Directeurs des Bibliothèques universitaires des universités Cheikh Anta Diop, Gaston Berger de Saint-Louis, Iba Der Thiam de Thiès. La responsable de la Bibliothèque d’Odonto-stomatologie de l’UCAD, Astou Diop Cissokho, membre du Comité de gestion, faisait également partie de la délégation.
Lors de la réunion, le plan d’actions 2024-2026 a été présenté, mettant l’accent sur le développement de synergies pour favoriser la mutualisation des ressources. Le renforcement des capacités du personnel des bibliothèques et la formation des membres de la communauté universitaire aux compétences en information-communication ont été au cœur des discussions.
Un moment marquant de la rencontre a été l’annonce de la désignation du Recteur Ahmadou Aly Mbaye en tant qu’Ambassadeur du Consortium. Cette nomination illustre l’engagement de l’UCAD envers les objectifs du COBESS et renforce la coopération dans le domaine de l’éducation et de la recherche au Sénégal.
Cette rencontre représente une étape significative dans les efforts visant à renforcer les infrastructures académiques et à promouvoir l’excellence dans l’enseignement supérieur et la recherche au Sénégal. Elle témoigne de l’importance accordée à la collaboration et à la coopération entre les institutions pour atteindre des objectifs communs dans le domaine de l’éducation et de la recherche.
Alors que le monde célèbre la Journée mondiale de l’eau ce 22 mars 2024, de nombreuses localités du département de Tivaouane au Sénégal font face à une pénurie persistante d’eau potable. Les habitants, principalement des agriculteurs et des maraîchers, expriment leur détresse et leur frustration face à cette situation qui les affecte profondément.
Dans le village de Ndomor, situé à proximité de Tivaouane, le manque d’eau est décrit comme un problème chronique. Selon les résidents, près de 95 % de la population locale dépend de l’agriculture pour sa subsistance, ce qui rend l’accès à l’eau encore plus crucial. Leur appel est un cri du cœur, soulignant l’évidence de leur soif et les difficultés que cela engendre au quotidien.
La situation n’est guère meilleure dans d’autres villages de la commune de Pékesse, où les habitants font également face à des défis similaires. La période actuelle, marquée par le mois de Ramadan, accentue davantage les difficultés, mettant en lumière l’urgence d’une solution à ce problème crucial.
La pénurie d’eau potable dans ces régions soulève des préoccupations majeures en matière de santé publique, d’agriculture et de bien-être communautaire. L’eau est une ressource vitale, essentielle à la vie quotidienne et à la prospérité économique des populations locales. Sans un accès fiable à cette ressource, les communautés sont confrontées à des difficultés croissantes pour subvenir à leurs besoins fondamentaux.
Face à cette situation préoccupante, il est impératif que les autorités locales et les organismes compétents prennent des mesures immédiates et efficaces pour remédier à la pénurie d’eau potable dans ces régions. Des investissements dans les infrastructures hydrauliques, la gestion des ressources en eau et la sensibilisation aux pratiques de conservation de l’eau sont essentiels pour garantir un accès équitable à l’eau potable pour tous les citoyens de Tivaouane.
En cette Journée mondiale de l’eau, il est crucial de rappeler l’importance de cette ressource précieuse et de redoubler d’efforts pour assurer sa disponibilité pour les générations présentes et futures. Les populations de Tivaouane et d’ailleurs méritent un accès sûr et durable à l’eau potable, et il est de notre devoir collectif de faire en sorte que cette aspiration devienne une réalité.
Dans une opération menée ce jeudi, le commandant de la brigade de gendarmerie de proximité de Mako, assisté de ses éléments, a réussi à démanteler l’un des plus grands sites d’orpaillage clandestins de Bagnomba, localité située dans la commune de Tomboronkoto, dans le département de Kédougou.
Cette action fait suite à un renseignement signalant une exploitation clandestine d’or dans la forêt de Bagnomba. En réponse à cet appel, les forces de l’ordre ont rapidement organisé une descente sur les lieux. Sur place, elles ont procédé à l’interpellation d’une dizaine d’individus impliqués dans cette activité illégale.
En plus des arrestations, les autorités ont également saisi plusieurs motos et du matériel utilisé pour l’extraction de l’or. Parmi les objets saisis figuraient des outils et des équipements spécifiques à cette activité.
Les personnes interpellées sont poursuivies pour exploitation illégale d’or et destruction de l’environnement, des infractions sévèrement réprimées par la loi sénégalaise. Après leur garde à vue à la brigade de gendarmerie de Mako, elles seront déférées au parquet de Kédougou pour répondre de leurs actes devant la justice.
Cette opération de démantèlement témoigne de la détermination des autorités à lutter contre les activités d’orpaillage clandestines, qui non seulement portent atteinte à l’environnement, mais contribuent également à l’instabilité sociale et économique de la région. Elle souligne également l’importance de la collaboration entre les forces de l’ordre et la population pour mettre fin à ces pratiques illégales et préserver les ressources naturelles du pays.
Dans le cadre des préparatifs de l’élection présidentielle prévue pour le dimanche 24 mars 2024, le ministère de l’Intérieur a pris des mesures exceptionnelles visant à assurer la sécurité et le bon déroulement du scrutin. Parmi ces mesures, l’interdiction de la circulation interrégions des véhicules constitue une disposition majeure.
Selon un communiqué officiel émis par le ministère de l’Intérieur, aucune circulation entre les régions du pays ne sera autorisée le jour du scrutin présidentiel. Cette mesure vise à garantir un environnement sécurisé et propice au déroulement harmonieux du processus électoral dans toutes les régions du pays.
Toutefois, des dérogations à cette interdiction peuvent être accordées à titre exceptionnel. Les personnes ayant un motif impérieux de se déplacer d’une région à une autre le jour de l’élection présidentielle doivent obtenir une autorisation de circulation délivrée par le ministère de l’Intérieur ou par les gouverneurs de région compétents.
Cette décision intervient dans le contexte de la mobilisation générale pour garantir la transparence et la crédibilité du scrutin présidentiel. En restreignant la circulation interrégions des véhicules, les autorités cherchent à limiter les risques potentiels d’incidents ou de perturbations pouvant affecter le bon déroulement du vote dans les différentes régions du pays.
Il est donc recommandé à tous les citoyens de respecter scrupuleusement ces consignes et de coopérer pleinement avec les autorités compétentes afin de garantir le succès de l’élection présidentielle et le respect des principes démocratiques fondamentaux.
Cette mesure d’interdiction de la circulation interrégions des véhicules témoigne de l’engagement du gouvernement à assurer la sécurité et la stabilité lors du processus électoral. Elle souligne également l’importance accordée à la préservation de l’intégrité et de la souveraineté du processus démocratique au Sénégal.
Une affaire troublante de viol et d’avortements secoue la ville, impliquant S. D. Fall, âgé de 38 ans, et la fille de son ex-épouse, M. A. S. Ndiaye. S. D. Fall, un menuisier des Hlm2, est accusé de viol par la jeune fille, qui l’accuse également d’avoir provoqué quatre avortements. Cependant, S. D. Fall nie les accusations, dénonçant un complot orchestré par son ex-épouse.
L’enquête, menée par la police des HLM, a conduit à l’arrestation de S. D. Fall le 2 février 2024. Il a été déféré devant le procureur de la République et inculpé avant d’être placé sous mandat de dépôt. La plaignante, une domestique de 19 ans, a déclaré avoir été victime de viols répétés par S. D. Fall depuis 2017, après le divorce de ses parents. Elle affirme qu’il l’a forcée à subir quatre avortements en lui administrant des comprimés et des substances dangereuses.
M. A. S. Ndiaye relate des épisodes de violences sexuelles et de menaces de mort de la part de S. D. Fall, allant jusqu’à le confronter dans son nouveau foyer où il s’est présenté comme son oncle. Face à ces accusations, S. D. Fall rejette la faute sur son ex-épouse, suggérant qu’elle aurait inventé cette histoire après leur divorce pour le discréditer.
Des éléments de preuve, y compris des messages vocaux confirmant des relations intimes entre S. D. Fall et la plaignante, ont été découverts. Cependant, S. D. Fall maintient que l’affaire est montée de toutes pièces par son ex-épouse, malgré les résultats d’un examen gynécologique montrant des signes de violence sexuelle ancienne.
L’affaire, qui a éclaté au grand jour, soulève des questions sur la protection des victimes de violences sexuelles et sur la manière dont les accusations de viol sont traitées par les autorités judiciaires. Elle met également en lumière les tensions et les conflits familiaux qui peuvent souvent compliquer la recherche de justice dans de telles affaires.
Dans la nuit du mardi 21 mars, un événement choquant a secoué la ville de Dahra Djoloff : trois individus ont été appréhendés en flagrant délit de vol de câbles téléphoniques en cuivre appartenant à la Société nationale des télécommunications Sonatel. Les suspects, nommés Amath Samba, Seydou Sow et Serigne Mbacké Ndiaye, ont été pris sur le fait alors qu’ils chargeaient le matériel volé dans une camionnette garée près des installations de la Sonatel en périphérie de la ville.
Amath Samba, technicien en fibre optique et en cuivre, Seydou Sow, marchand de bétail, et Serigne Mbacké Ndiaye, chauffeur, ont été immédiatement placés en garde à vue après la saisie du véhicule et la confiscation du matériel volé.
Les suspects font face à plusieurs accusations, notamment association de malfaiteurs, vol en réunion commis la nuit et complicité de vol, avec usage de moyen de location. Cette affaire a suscité une vive réaction dans la communauté locale et a été largement médiatisée, attirant l’attention sur les enjeux de sécurité et de prévention du vol de câbles dans la région.
Une enquête approfondie a été lancée par la gendarmerie de Dahra pour faire toute la lumière sur cette affaire et fournir des réponses à la population concernant les circonstances exactes du vol et les éventuels complices impliqués. Cette affaire rappelle l’importance de la vigilance citoyenne et de la coopération avec les autorités pour lutter contre la criminalité et protéger les infrastructures essentielles.
Le Ministère de l’Intérieur a annoncé dans un communiqué que la circulation interrégions des véhicules sera interdite le dimanche 24 mars 2024, jour de l’élection présidentielle. Cette mesure vise à garantir la sécurité et le bon déroulement du scrutin dans tout le pays.
Toutefois, des dérogations peuvent être accordées à titre exceptionnel. Les personnes nécessitant de se déplacer d’une région à une autre ce jour-là doivent obtenir une autorisation de circulation délivrée par le Ministère de l’Intérieur ou par les gouverneurs de région.
Cette restriction vise à limiter les déplacements non essentiels et à assurer la tranquillité publique pendant le processus électoral. Les autorités encouragent les citoyens à coopérer en respectant scrupuleusement ces mesures afin de garantir le bon déroulement de l’élection présidentielle.
Il est recommandé à tous les citoyens de se tenir informés des directives officielles et de planifier leurs déplacements en conséquence, en prenant en compte les éventuelles restrictions de circulation mises en place pour cette journée cruciale dans la vie démocratique du pays.
Un incendie d’une intensité rare a ravagé l’hôpital de Bala, laissant derrière lui un tableau de destruction massive. Heureusement, le personnel médical et les patients ont été évacués en sécurité, mais les dégâts matériels sont considérables. Les autorités ont dépêché la 61e compagnie d’incendie et de secours pour maîtriser les flammes, nécessitant une intervention d’urgence pour contenir le sinistre.
Cet événement tragique a secoué la communauté locale, plongeant l’établissement de santé dans le chaos et la désolation. Les images de l’incendie témoignent de la violence des flammes et de l’ampleur des dommages infligés à l’hôpital de Bala.
Une enquête a été lancée par les autorités locales pour déterminer les causes exactes de l’incendie, dans le but de comprendre les circonstances qui ont conduit à cette catastrophe. Les forces de l’ordre sont mobilisées pour recueillir des preuves et établir les responsabilités, dans l’espoir d’apporter des réponses à cette tragédie et d’empêcher qu’elle ne se reproduise à l’avenir.
En attendant, la communauté se rassemble pour soutenir les efforts de reconstruction et pour offrir un soutien aux personnes affectées par cet événement dévastateur. L’hôpital de Bala, bien qu’éprouvé, reste un pilier essentiel de la santé publique dans la région, et sa reconstruction sera un témoignage de la résilience et de la solidarité de la communauté face à l’adversité.
Le président de la République du Sénégal, Macky Sall, a exprimé jeudi dernier son ambition de faire du Parc des technologies du numérique de Diamniadio, connu sous le nom de Senegal Connect Park, un « parc tout à fait novateur à l’échelle africaine ». Cette déclaration est intervenue à l’issue d’une visite pré-inaugurale des travaux de la première phase du parc.
Construit sur un site de 25 hectares, pour un coût de 46 milliards de francs CFA, le Senegal Connect Park est une plateforme sous-régionale qui comprend trois tours de sept étages, des centres, des espaces et des bureaux équipés. Ces installations accueilleront des centres de données, d’externalisation des processus d’affaires, de production audiovisuelle et de contenus multimédias, d’innovation, d’études et de recherche, de formation, ainsi qu’un bâtiment administratif construit et équipé avec des technologies de dernière génération.
Macky Sall a exprimé sa satisfaction quant à la conception et à la construction du parc, soulignant qu’il répond aux meilleurs standards internationaux et peut accueillir non seulement des start-ups, mais aussi des entreprises du numérique. Il a également souligné l’importance de l’apport de professionnels marocains dans le développement de ce parc, affirmant que cela permettra de susciter la recherche et le développement dans le domaine des technologies numériques.
Le président s’est dit impressionné par le dynamisme des jeunes entrepreneurs sénégalais présents dans le domaine des start-ups, notamment dans la robotique, l’agriculture, la e-santé et l’imprimerie industrielle. Il a souligné que le Senegal Connect Park offrirait des perspectives importantes en termes d’emplois et d’innovations, et a exprimé sa conviction que ce centre jouerait un rôle majeur dans le développement économique et technologique du Sénégal et de l’Afrique.
Une étape majeure dans la quête d’une meilleure gestion de l’eau au Sénégal se profile avec la signature imminente du contrat pour la construction d’une usine de dessalement sur la Grande Côte, au lac Rose. Ce projet, d’une envergure considérable, sera financé à hauteur de 458 milliards de francs CFA par la société saoudienne ACWA Power, marquant ainsi une collaboration internationale importante dans le secteur de l’eau.
La cérémonie de signature de ce contrat historique entre ACWA Power et la Société nationale des eaux du Sénégal (SONES) sera présidée par le président Macky Sall ce jeudi 21 mars. L’usine de dessalement de la Grande Côte sera chargée de produire jusqu’à 400 000 mètres cubes d’eau par jour, surpassant ainsi la capacité record de production de l’usine KMS3 (Keur Momar Sarr 3), actuellement de 200 000 mètres cubes par jour.
La nécessité de cette nouvelle usine découle de la croissance rapide de la demande en eau potable dans la région de Dakar, Thiès et Petite Côte. Les prévisions indiquent qu’à l’horizon 2043, une demande supplémentaire de 2 millions de mètres cubes d’eau devra être satisfaite pour répondre aux besoins croissants de la population.
Le procès historique du massacre survenu en 2009 en Guinée a récemment connu un développement majeur, avec le report par le tribunal d’une éventuelle requalification des faits en crimes contre l’humanité. Cette décision a été prise après des délibérations et des échanges entre les parties impliquées, marquant ainsi une nouvelle étape dans cette affaire qui a profondément marqué l’histoire du pays.
Le tribunal, présidé par le juge Ibrahima Sory II Tounkara, a annoncé que la question de la requalification sera examinée lors de la décision finale sur le fond du dossier. En conséquence, les débats se poursuivront jusqu’à cette phase cruciale du procès. La date du 25 mars a été fixée pour le début des confrontations dans cette affaire qui reste d’une importance capitale pour la justice guinéenne.
Rappelons que ce procès concerne l’ancien dictateur Moussa Dadis Camara et dix autres anciens responsables militaires et gouvernementaux, accusés d’implication dans le massacre du 28 septembre 2009. Ce jour-là, des membres des forces de sécurité réprimant un rassemblement de l’opposition avaient perpétré des atrocités dans un stade de Conakry et ses environs. Le bilan a été effroyable, avec des centaines de personnes tuées, blessées et violées, selon les rapports des enquêteurs.
Le fait que la requalification en crimes contre l’humanité soit encore en suspens soulève des questions cruciales quant à la gravité des actes commis lors de ce massacre. Les organisations de défense des droits de l’homme, telles que Human Rights Watch, ont depuis longtemps appelé à ce que les responsables soient tenus pour répondre de leurs crimes devant la justice internationale.
Cet événement tragique demeure l’un des chapitres les plus sombres de l’histoire politique de la Guinée, un pays marqué par des périodes de turbulence et de violence. En attendant la décision finale du tribunal, la communauté internationale continue de surveiller de près l’évolution de cette affaire, dans l’espoir que justice soit rendue aux victimes et à leurs familles.
Dans la course à la présidentielle sénégalaise, l’enjeu crucial de la future production du pétrole et du gaz est un thème sur lequel peu de candidats se sont attardés avec clarté et précision, à l’exception notable de Khalifa Sall et Mame Boye Diao. Ces deux candidats se démarquent par leurs recherches approfondies et leurs propositions concrètes concernant l’utilisation de ces nouvelles ressources, qui représentent un enjeu majeur pour le pays.
Si les citoyens sénégalais sont réellement préoccupés par une gestion adéquate des importantes réserves de pétrole et de gaz, ils devraient accorder une attention particulière aux seuls candidats qui ont élaboré des programmes solides sur cette question.
La plupart des autres candidats ne font que mentionner brièvement les hydrocarbures, voire se concentrent uniquement sur la renégociation des contrats et la rente potentielle. Cela démontre un manque de prise en compte des enjeux cruciaux que représentent ces ressources, qui façonneront l’avenir du pays pour les décennies à venir.
En effet, le Sénégal dispose de vastes réserves de gaz et de pétrole qui pourraient le propulser vers l’émergence, à l’image de certains pays du Golfe tels que les Émirats arabes unis et le Qatar. Toutefois, pour y parvenir, il est impératif d’avoir un leadership fort, à l’image du père de l’unité des Émirats arabes, Cheikh Zayed bin Sultan Al Nahyan.
Selon mon humble avis, Mame Boye Diao offre le programme le plus complet et ambitieux. Bien qu’il n’ait pas précisé la part du Sénégal dans le partage des revenus, il a le mérite de fournir une documentation de base et affiche une ambition qui dépasse nos frontières. Il envisage notamment un approvisionnement énergétique non seulement pour le Sénégal, mais également pour toute la zone UEMOA, avec des mesures concrètes pour assurer une autonomie stratégique.
La deuxième offre programmatique qui a retenu l’attention est celle de Khalifa Sall. Malgré quelques lacunes dans son analyse du dispositif contractuel et de la répartition des revenus, il a fait un effort pour cadrer le débat autour des ressources naturelles et du partage de la production de pétrole et de gaz.
Pour les autres candidats, aucun n’a accordé à ce sujet la place stratégique qu’il mérite. Leurs programmes contiennent simplement des mentions éparses et peu détaillées sur les hydrocarbures.
En conclusion, les électeurs devraient porter une attention particulière aux propositions de Mame Boye Diao et de Khalifa Sall, qui se distinguent par leur approche sérieuse et leurs propositions concrètes concernant la future production du pétrole et du gaz au Sénégal.
En cette période sacrée du Ramadan, la générosité de Lamine Camara, surnommé le Golden Boy des Lions, brille de tout son éclat. Originaire de Diouloulou, dans le département de Bignona, ce jeune talent du football s’est illustré par un geste de solidarité en offrant des vivres alimentaires à ses concitoyens.
Actuellement en regroupement avec l’équipe nationale du Sénégal pour des matches amicaux contre le Gabon et le Bénin en France, Lamine Camara a pris l’initiative de soutenir financièrement sa communauté durant ce mois béni. Le milieu de terrain du FC Metz a ainsi décidé d’offrir du riz et du sucre aux habitants de la commune de Diouloulou, marquant ainsi son attachement et sa considération envers sa terre natale.
Ce geste de solidarité n’est pas une première pour Lamine Camara. Il y a un an, après avoir signé son premier contrat professionnel avec le FC Metz, il avait déjà témoigné son soutien aux jeunes footballeurs de Diouloulou en leur offrant des chaussures de football.
Selon ses proches, la valeur totale des vivres offerts cette année s’élève à deux millions de francs CFA. Ce geste de générosité reflète l’engagement de Lamine Camara envers sa communauté et sa volonté de contribuer au bien-être de ses concitoyens, démontrant ainsi que le sportif de haut niveau peut également être un modèle d’altruisme et de solidarité.
Un éclat de lumière illumine le hall du nouveau bâtiment avec une salle d’attente munie d’un petit salon. Les lustres brillent du faux-plafond. Les murs sont parés aux couleurs jaune et bleue de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS). Au milieu, près une vitrine s’insère harmonieusement dans une poutre blanchâtre. Le cadre est idyllique. L’architecte exhibe deux images, une d’aujourd’hui et l’autre d’hier. Entre les deux, il n’y a pas photo. La vision est traduite en œuvre architecturale, disons en chef d’œuvre. « Nous avons essayé de traduire une vision, cette grande ambition du Directeur Général, Mamadou Mamour Diallo. Il a fait de l’ONAS, une grande institution par la transformation du cadre de vie », a commenté l’architecte, Monsieur Niang.
Le hall du nouveau bâtiment central a tous les atours de l’accueil d’un hôtel atteste Maniang Diaw, délégué syndical. « Actuellement, les travailleurs de l’ONAS n’ont rien à envier aux agents d’autres services. Ici, nous avons un accueil identique avec ce que nous voyons dans des hôtels. Le DG Mamadou Mamour Diallo a donné un autre statut à l’ONAS », affirme Maniang Diaw.
La conviction du Directeur Général qui a certainement lu l’ouvrage Germinal de Emile Zola a compris que le cadre influe sur la production. « Ce n’est pas compliqué. Il suffit juste d’inscrire la rénovation des bureaux dans le budget chaque année pour réaliser les travaux », a certifié le Directeur Général, Mamadou Mamour Diallo. Cette rénovation est une concrétisation d’un point de sa feuille de route déclinée depuis sa prise de fonction un jour du 7 novembre 2022. « Depuis notre prise de service, nous avons inscrit au cœur de nos préoccupations, l’amélioration des conditions de travail. Et qui dit amélioration des conditions de travail parle du cadre de vie. Un cadre de vie sain est porteur de résultats en principe », a argumenté le Directeur Général qui a félicité l’architecte, Monsieur Niang qui a traduit sa vision en acte. Il a remercié tout le personnel notamment le Directeur Administratif et financier, Bamba Fall qui s’est beaucoup investi pour que les travaux puissent se terminer dans des délais relativement courts. Entre le 7 novembre 2022 et mars 2023, l’ONAS présente un nouveau visage et projette une image plus attrayante. A partir de la route, on a un nouveau panorama avec les couleurs de l’institution. Un imposant logo est posé à gauche, à l’entrée d’une baie vitrée. « L’autre aspect non important, nous sommes dans un monde dominé par la communication. L’image et la notoriété de l’ONAS méritent que l’on mette les travailleurs dans ce cadre de travail adéquat », a soutenu le Directeur Général, Mamadou Mamour Diallo.
Les confessions des plus anciens De là, le Directeur Général et ses agents se dirigent vers le hall de l’entrée principale. L’harmonie de la décoration valorise l’institution. Elle rehausse son image. L’hôte ne peut contempler la cascade et l’aquarium. Tout nous plonge dans le champ d’action de l’ONAS. Le visiteur est émerveillé d’entrée. « Nous avons voulu être à la fois généreux et accueillants. Nous ne devons pas avoir une vision minimaliste pour une institution qui prend son envol sous la conduite d’un Directeur Général qui a de l’ambition pour l’ONAS », témoigne l’architecte. Il ne manquait que cela pour cette institution, qui est une référence en matière d’assainissement en Afrique. « Nous avons les compétences autant que des agents des autres services qui sont dans le secteur, mais ce qui nous manquait, c’était l’attraction du cadre de travail. Aujourd’hui, c’est chose faite. Nous remercions le Directeur Général pour cette belle œuvre. Le cadre est essentiel dans l’amélioration de la productivité des travailleurs », a reconnu le Directeur de l’Exploitation Pèdre Sy. L’œuvre de rénovation va se poursuivre. L’architecte et ses équipes vont démarrer incessamment la rénovation des bureaux du Département de la communication. Les murs des couloirs seront une sorte de galerie où seront exposés en permanence les grands travaux de l’ONAS. Après des travaux de construction d’un bâtiment de la documentation, d’une salle de sports et d’une mosquée seront engagés.
La Direction générale des élections (DGE) a publié un document intitulé « Précisions et éclairages sur une prétendue analyse de la carte électorale », dans lequel elle réfute les affirmations erronées concernant le processus électoral. La DGE a vivement contesté les allégations portant sur la supposée existence de bureaux de vote fictifs, de bureaux non localisables et d’abris provisoires.
Biram Sène, Directeur de la formation et de la Communication de la DGE, a souligné l’impossibilité de réaliser de tels procédés dans le système électoral actuel, en précisant que la carte électorale ne peut être modifiée ni voir l’ajout de bureaux de vote. Il a rappelé que l’existence d’abris provisoires est justifiée par le manque d’infrastructures publiques dans certaines circonscriptions, et que leur présence est prévue dans la carte électorale publiée.
La DGE a également abordé la question du découpage des circonscriptions électorales, rejetant l’accusation de « gerrymandering », qui consiste en un découpage partisan du territoire. Biram Sène a souligné que cette notion était inappropriée dans le contexte de l’analyse de la carte électorale.
Concernant la modification du Code électoral, la DGE a clarifié qu’il s’agissait du vote d’une nouvelle loi électorale résultant des points de consensus obtenus par la Commission politique du Dialogue national, et non d’une modification unilatérale. Les allégations sur une prétendue exclusion de plus de deux millions d’électeurs pour l’élection présidentielle de 2024 ont été qualifiées d’affabulation et de désinformation.
La DGE a également contesté les informations selon lesquelles la carte électorale n’aurait pas été publiée, rappelant qu’elle l’avait été conformément aux dispositions légales. Biram Sène a expliqué que la modification de la carte électorale s’effectue selon les dispositions du Code électoral et est concomitante à la révision exceptionnelle des listes électorales.
En résumé, la DGE a démenti les allégations portant sur des irrégularités dans le processus électoral, affirmant que les opérations sont menées conformément à la loi et dans le respect des principes démocratiques.
À l’occasion de la Journée mondiale de la santé buccodentaire, placée sous le thème « Une bouche heureuse… Un corps heureux », le Sénégal se mobilise pour sensibiliser la population à l’importance de maintenir une bonne santé buccale. Cette journée vise à fournir aux individus les connaissances, les outils et la confiance nécessaires pour garantir une bonne hygiène buccodentaire, tout en encourageant les écoles, les groupes de jeunes, et les professionnels de la santé à promouvoir des pratiques saines.
Au Sénégal, les affections buccodentaires touchent plus de 76 % de la population adulte, avec des répercussions négatives sur le bien-être général. Pour remédier à cette situation, le ministère de la Santé et de l’Action sociale s’est engagé à renforcer la politique de promotion de la santé buccodentaire. Des stratégies de prévention communautaire et l’amélioration de l’accessibilité à des soins de qualité sont mises en œuvre pour répondre à ce défi.
Cependant, malgré ces avancées, des défis persistent. Ils incluent le manque de sensibilisation de la population aux méthodes de prévention, le financement insuffisant des activités de santé buccodentaire, ainsi que des lacunes dans la qualité des données de surveillance. Pour surmonter ces obstacles, des stratégies efficaces et efficientes doivent être adoptées pour réduire la charge de morbidité liée aux affections buccodentaires.
Le gouvernement sénégalais a réalisé des progrès significatifs dans ce domaine au cours des dernières années. Le recrutement de chirurgiens-dentistes, le renforcement des équipements dentaires et l’ouverture de services dentaires dans les établissements de santé sont autant d’initiatives qui ont contribué à améliorer l’accessibilité et la qualité des soins dentaires dans le pays.
En outre, des programmes de renforcement des capacités des professionnels de la santé, y compris les infirmiers-chefs de poste et les sages-femmes, sont en cours pour assurer une prise en charge adéquate des affections buccodentaires au niveau des soins de santé primaires. La promotion du recours précoce aux soins dentaires et la lutte contre le Noma font également partie des priorités du ministère de la Santé et de l’Action sociale.
Enfin, l’amendement de la législation relative à l’exercice de la chirurgie dentaire et à l’ordre national des chirurgiens-dentistes témoigne de l’engagement continu du gouvernement sénégalais à améliorer la santé buccodentaire de sa population. Ces réalisations et initiatives reflètent l’importance accordée à la santé buccodentaire dans le cadre de la politique de santé publique du Sénégal.
Lors d’une conférence de presse ce mercredi, les acteurs culturels ont vivement critiqué l’utilisation non autorisée d’œuvres artistiques dans la campagne électorale, dénonçant le non-paiement des redevances à la Société du droit d’auteur et des droits voisins (SODAV). Cette pratique constitue une violation flagrante de la loi 2008-09 régissant ce domaine.
À cette occasion, la présidente du Conseil d’administration de la SODAV, Ngoné Ndour, a adressé un ultime appel au président Macky Sall concernant la question de la copie privée.
« Nous demandons solennellement au président de la République Macky Sall de faire appliquer la loi sur la copie privée avant son départ le 2 avril. C’est la seule chose que je lui demande de faire en toute humilité, car ça fait des années que nous menons un combat pour la mise en vigueur de cette loi. Il aura un prédécesseur et on ne sait jamais dans la vie. Nous lui demandons uniquement de nous aider sur cette question », a-t-elle déclaré devant les médias.
Cette requête souligne l’importance cruciale de la protection des droits d’auteur dans l’industrie culturelle sénégalaise et met en lumière les efforts continus déployés par les acteurs du secteur pour faire respecter la législation en vigueur. La mise en œuvre de la loi sur la copie privée avant le départ de Macky Sall revêt ainsi une importance capitale pour garantir la juste rémunération des créateurs et préserver la richesse culturelle du pays.
L’ancien maire de Guédiawaye, Aliou Sall, a récemment pris la parole sur plusieurs sujets, notamment l’emploi des jeunes et les défis auxquels sont confrontés les habitants de cette banlieue. Cependant, il a également lancé des accusations contre son successeur à l’Hôtel de ville, Ahmed Aidara.
Dans une interview diffusée sur les ondes d’iRadio, le coordonnateur de la coalition Benno Bokk Yaakaar a affirmé qu’Ahmed Aidara « néglige les intérêts des populations qui l’ont élu et ne s’occupe que de ses intérêts personnels ».
Aliou Sall a souligné les disparités lors des élections locales, mettant en lumière l’ampleur des ressources dont disposait Ahmed Aidara par rapport à ses concurrents. « Aux élections locales, si vous avez bien observé, Ahmed Aidara avait une armada logistique que nous n’avions pas. Nous n’avions même pas le dixième. Il avait des budgets de campagne que nous n’avions pas. C’est ça la vérité », a-t-il déclaré.
Il a également remis en question l’argument selon lequel Ahmed Aidara serait un opposant, soulignant ses relations étroites avec les autorités. « Il a toutes les relations qui lui permettent de faire face aux problèmes de Guédiawaye. Mais est-ce qu’il est préoccupé par cela ? », s’est interrogé Aliou Sall.
Enfin, il a exprimé des doutes quant à l’engagement d’Ahmed Aidara envers les préoccupations des habitants de Guédiawaye. « Il y a des opposants qui font des résultats parce qu’ils sont préoccupés, mais je ne suis pas sûr que c’est le cas pour lui », a-t-il déclaré, tout en lui conseillant de redoubler d’efforts pour répondre aux attentes des citoyens.
Ces accusations soulèvent des questions sur la gestion de la municipalité de Guédiawaye et mettent en lumière les tensions politiques dans la région. Il reste à voir comment Ahmed Aidara réagira à ces allégations et quelles seront les implications pour son mandat à la mairie.
Une tragédie a frappé la ville sainte de Touba ce mercredi matin, alors qu’un incendie ravageait les locaux de la télévision Almouridiyyah TV. Les flammes ont déclenché d’énormes dégâts matériels, réduisant en cendres les studios, les plateaux de tournage et même le service d’accueil, selon des sources de Seneweb.
L’incendie a pris naissance aux premières lueurs du jour, plongeant le quartier dans l’effroi et l’agitation. Malgré les efforts courageux des secours et des personnes présentes sur les lieux, les flammes ont rapidement pris de l’ampleur, engloutissant tout sur leur passage. Quelques matériels ont pu être évacués du siège dès le début de l’incendie, mais les dégâts sont considérables.
Les causes exactes de cet incendie restent encore inconnues et font l’objet d’une enquête en cours. Les autorités locales et les services de secours ont agi avec promptitude pour contenir les flammes et éviter toute propagation aux bâtiments environnants. Les équipes de la télévision Almouridiyyah TV s’efforcent également de quantifier les dommages et de planifier les étapes suivantes.
Cet événement tragique est un coup dur pour Almouridiyyah TV et pour la communauté de Touba tout entière. Alors que les habitants de la ville sainte se remettent de ce choc, l’heure est à la solidarité et au soutien envers ceux qui ont été affectés par cette catastrophe. Les pensées et les prières de tous vont aux personnes touchées par cet incendie dévastateur.
Une tragédie s’est déroulée au large des côtes marocaines, où une embarcation transportant des migrants sénégalais a chaviré. Partis de Mauritanie le jeudi 14 mars dernier dans l’espoir de rejoindre l’Espagne, ces candidats à l’émigration irrégulière ont été confrontés à des conditions périlleuses en mer.
Le récit bouleversant de Cheikh, un jeune originaire de la région de Louga, témoigne de l’ampleur de la tragédie. « La pirogue a chaviré au niveau des eaux marocaines. Les vagues nous ont aidés à rejoindre la plage. Par chance, moi et mes amis nous nous portons bien », raconte-t-il. Cependant, la chance n’a pas souri à tous, et plusieurs vies ont été tragiquement perdues lors du naufrage. Selon Cheikh, « Il y a eu des morts lors du naufrage et deux avaient perdu la vie avant même le chavirement ».
Le nombre exact de personnes à bord de l’embarcation reste encore indéterminé, mais selon les informations fournies par Cheikh, « 48 sénégalais dont six femmes » ont été secourus. Ces rescapés se trouvent désormais sur le territoire marocain depuis hier, et ils lancent un appel déchirant aux autorités sénégalaises pour obtenir de l’aide.
Face à cette tragédie humaine, il est impératif que les autorités sénégalaises interviennent rapidement pour porter assistance aux rescapés et prendre les mesures nécessaires pour prévenir de nouvelles pertes de vies. Cette nouvelle catastrophe soulève une fois de plus la nécessité d’une action concertée au niveau international pour aborder la question des migrations de manière humaine et respectueuse des droits de l’homme.
Dans un entretien accordé à la BBC, le président sénégalais Macky Sall a affirmé qu’il ne ferait aucune excuse au peuple sénégalais à la fin de son dernier mandat. Selon lui, son administration n’a commis aucune faute durant son magistère, et toutes les actions entreprises ont été conformes aux lois et à la Constitution.
Le chef de l’État a déclaré : « Je n’ai pas d’excuses à faire, puisque je n’ai commis aucune faute. Je parle en tant que président de la République. Je suis responsable de ce pays jusqu’au 2 avril. Toutes les actions qui ont été posées l’ont été dans le cadre des lois et du règlement. » Macky Sall a également souligné que les institutions juridiques et judiciaires du Sénégal n’ont jamais remis en cause la sincérité de ses actions.
Lorsque son interlocuteur a tenté de l’interroger sur les événements ayant causé la crise politique au Sénégal, Macky Sall a répondu que le débat était mal posé. Selon lui, il ne s’agit pas d’une question de pardon, mais plutôt de comprendre ce qui s’est réellement passé. Il a insisté sur le rôle du Parlement, en tant qu’institution législative du pays, et sur le respect de la Constitution dans toutes les actions gouvernementales.
Macky Sall a conclu en affirmant que toutes les actions de son administration ont été menées dans le respect strict de la Constitution sénégalaise. Il a même sorti un exemplaire de la Constitution de sa poche pour appuyer ses propos.
Ces déclarations du président sénégalais suscitent des réactions diverses au sein de la population et de la classe politique. Alors que certains soutiennent sa position, d’autres expriment des opinions divergentes quant à la gestion de certaines situations et aux actions de son gouvernement au cours de son mandat présidentiel.
Le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) a émis un avertissement à la SEN TV concernant la série « Bété Bété », l’exhortant à se conformer strictement à la réglementation en vigueur. Cette décision fait suite à plusieurs plaintes déposées contre la série pour ses propos et images jugés malveillants ou injurieux envers certaines parties de la communauté.
Dans un communiqué publié mardi, le CNRA a déclaré avoir examiné plusieurs extraits de la série et constaté des manquements flagrants à la réglementation. Des propos, comportements et images jugés injurieux ou déshonorants ont été relevés, ce qui constitue une violation du cahier des charges relatif à l’établissement et à l’exploitation d’une chaîne de télévision privée commerciale, notamment en ce qui concerne l’article 12.
Selon cet article, les diffuseurs doivent s’abstenir de diffuser des propos incitant à l’intolérance, à la stigmatisation, à l’exclusion et à la marginalisation, ainsi que des contenus susceptibles de menacer la stabilité nationale et la cohésion sociale.
Le CNRA a donc demandé à la SEN TV de prendre des mesures immédiates pour corriger ces manquements et se conformer à la réglementation en vigueur. Cette intervention vise à garantir le respect des normes éthiques et morales dans le paysage audiovisuel sénégalais, ainsi qu’à préserver la cohésion sociale et la paix nationale.
Dans un récent épisode de l’émission « Encore+ » diffusée sur la 2STV, le célèbre lutteur Zarco a pris la parole sur un sujet brûlant : la stigmatisation de la violence dans son quartier, Grand-Yoff. Selon lui, cette étiquette de violence est largement influencée par les hommes politiques.
Zarco a choqué les téléspectateurs en révélant que certains acteurs politiques fournissent aux jeunes du quartier des armes et un soutien financier, les incitant ainsi à semer la terreur pendant les périodes électorales. Une fois les élections terminées, ces mêmes jeunes se retrouvent abandonnés à leur sort et sombrent dans la délinquance.
Ces propos révèlent une réalité troublante qui mérite une attention immédiate. En effet, ils soulèvent des questions sur la responsabilité des autorités et la nécessité de prendre des mesures concrètes pour mettre fin à ce cycle de violence et de manipulation. Il est essentiel que les autorités locales et nationales prennent conscience de cette situation et travaillent ensemble pour protéger les jeunes de Grand-Yoff et mettre un terme à cette influence néfaste des hommes politiques.
De telles révélations mettent en lumière l’importance cruciale de la transparence et de la responsabilité dans la politique sénégalaise. Les électeurs doivent être conscients des actions de leurs représentants et exiger des comptes lorsqu’ils abusent de leur pouvoir pour des gains politiques personnels, au détriment de la sécurité et du bien-être de la population.
En fin de compte, les propos courageux de Zarco mettent en lumière un problème urgent qui nécessite une action immédiate. Il est temps que les autorités prennent des mesures efficaces pour mettre fin à cette manipulation politique et protéger la jeunesse de Grand-Yoff contre les influences destructrices qui menacent leur avenir.
Lors d’un échange avec des journalistes couvrant sa campagne présidentielle, Bassirou Diomaye Faye a pris position sur un sujet brûlant : le cadeau fiscal accordé par le président Macky Sall au patron de presse. Cette mesure, consistant à effacer les dettes fiscales de la presse, a suscité l’indignation du candidat, qui la considère comme une réponse inappropriée à un problème réel.
Pour Diomaye Faye, cette pratique constitue « une fausse solution à un vrai problème ». Il estime que le fait d’éponger les dettes fiscales de la presse ne fait qu’encourager la fraude fiscale, une infraction sévèrement réprimée dans tous les pays sérieux. Selon lui, il est impératif de ne pas opter pour la facilité et de traiter toute infraction comme telle, sans chercher à la couvrir ou à l’excuser.
En soulevant cette question, Diomaye Faye met en lumière les enjeux éthiques et légaux entourant les relations entre les médias et le gouvernement. Il souligne l’importance de maintenir l’intégrité et l’indépendance de la presse, tout en veillant à ce que les médias respectent les lois fiscales et ne bénéficient pas d’un traitement de faveur qui pourrait compromettre leur impartialité.
Cette prise de position franche de la part du candidat à la présidentielle révèle une volonté de promouvoir la transparence et la responsabilité dans le secteur des médias, tout en reconnaissant les défis auxquels sont confrontés les journalistes dans l’exercice de leur métier. Il s’agit là d’un appel à une réflexion collective sur les meilleures pratiques à adopter pour garantir une presse libre et éthique au Sénégal.
La dénonciation de Diomaye Faye vient rappeler l’importance cruciale de maintenir l’intégrité et l’indépendance de la presse dans une société démocratique, tout en veillant à ce que les médias respectent les lois fiscales et éthiques en vigueur.
Les médias sénégalais se sont récemment enflammés avec des rumeurs persistantes sur une prétendue union entre l’homme d’affaires Pape Doro Gaye et l’actrice Racky Aidara. Malgré les démentis du mari de Clara, les spéculations ont continué à circuler, alimentant les potins de la presse people.
Ces rumeurs ont cependant pris une tournure légale lorsque l’avocat de M. Gaye a pris des mesures en saisissant la justice pour diffamation et diffusion de fausses nouvelles, entre autres délits. Cette action fait suite à la parution d’articles jugés mensongers par l’homme d’affaires.
« C’est tout simplement inadmissible. Comment peut-on écharper ainsi d’articles, les uns plus mensongers que les autres un honnête citoyen. J’ai fini de faire des captures d’écran de tous ces articles mensongers arguant que Doro se serait marié avec une certaine Racky Aïdara, avant de déposer la plainte pour diffamation, diffusion de fausses nouvelles, atteinte à son image par un supposé mariage », déclare l’avocat de Doro Gaye.
Selon lui, ces articles, véhiculant des affirmations non fondées et malveillantes, ont pour objectif de ternir la réputation de son client et de ses proches. « Le caractère des propos sous forme d’affirmations des auteurs, adossé à des rumeurs non avérées et malveillantes vise à salir la personne de Doro Gaye et ses proches. C’est normal qu’il porte plainte à partir du moment où il y a atteinte à la vie privée et où des rumeurs sont colportées comme des faits », déplore-t-il.
Les plaintes en question ciblent certains organes de presse et « pseudo influenceurs » qui ont contribué à répandre et à amplifier cette rumeur. Cette affaire met en lumière les défis posés par la diffusion de fausses informations et la responsabilité des médias dans la protection de la réputation et de la vie privée des individus.
Une onde de choc secoue le Parti Socialiste sénégalais avec la démission d’Amadou Arame Diagne, jusqu’ici 1er Vice-coordonnateur de Vision socialiste et membre du Bureau Politique. Dans une lettre adressée à Aminata Mbengue Ndiaye, Secrétaire général du parti, Diagne expose ouvertement ses profonds désaccords avec la direction et l’orientation politique actuelle du parti.
La lettre de démission de Diagne pointe du doigt ce qu’il décrit comme une « dégradation sans précédent » du leadership, de l’influence et de la présence politique du Parti Socialiste depuis sa création. Parmi les reproches émis, il critique sévèrement le soutien du parti à Macky Sall lors des élections présidentielles de 2012, considérant désormais cette position comme incompatible avec ses convictions et aspirations.
Un autre aspect soulevé par Diagne concerne la stratégie adoptée par la direction du parti, qualifiée de « s’arrimer » au destin de Benno Bok Yakaar, la coalition au pouvoir, au détriment des valeurs et des intérêts du Parti Socialiste. Il dénonce un manque de vision et d’indépendance politique, accusant les instances dirigeantes de privilégier leurs intérêts personnels au détriment de l’avenir du parti.
En utilisant les mots de JC CAMBADELIS, qui avait fait référence au Parti Socialiste français en déclarant qu’il « ne respire plus », Diagne exprime sa déception face à l’état actuel du Parti Socialiste sénégalais, qu’il qualifie de « quasi-mort clinique ». Cette comparaison souligne l’ampleur de la crise traversée par le parti.
Dans sa conclusion, Diagne affirme qu’il ne peut plus continuer à être un cadre socialiste discipliné et respectueux au sein d’un parti dont la trajectoire ne correspond plus à ses convictions profondes de justice, d’équité et d’indépendance politique.
La démission de Diagne met en lumière les tensions internes et les défis auxquels est confronté le Parti Socialiste sénégalais, tout en suscitant des interrogations sur son avenir politique dans un paysage de plus en plus diversifié et compétitif.
Dans le paysage politique d’Afrique de l’Ouest, la question du pardon politique occupe une place prépondérante, illustrant la délicate balance entre fermeté et réconciliation dans le cadre des relations entre gouvernements et opposants. Ces dernières années, les décisions des dirigeants régionaux, notamment celles des présidents Alassane Ouattara de la Côte d’Ivoire et Macky Sall du Sénégal, ont mis en lumière cette dynamique complexe.
Cependant, au Bénin, le président Patrice Talon se distingue par une approche différente. En effet, face à des opposants politiques tels que Reckya Madougou et Joël Aivo, Talon a maintenu une position de fermeté, refusant de céder aux pressions pour leur libération, malgré les appels de diverses figures politiques et de la société civile.
Lors d’un échange tendu avec son prédécesseur, Boni Yayi, Talon a affirmé sans équivoque son refus de gracier Reckya Madougou, soulignant que les acteurs politiques doivent répondre de leurs actes devant la justice. Cette position reflète une vision stricte de la responsabilité et de la justice, où le pardon politique est considéré comme une concession risquée, voire contraire à l’intérêt national.
Pourtant, les actions récentes de certains dirigeants de la région ont offert un contraste saisissant. En Côte d’Ivoire, le président Ouattara a choisi la voie de la réconciliation nationale en grâciant des opposants politiques, cherchant à apaiser les tensions et à promouvoir la cohésion nationale. De même, au Sénégal, Macky Sall a proposé une amnistie pour certains de ses opposants, dans une démarche visant à favoriser l’unité et la paix sociale.
Face à ces initiatives, certains observateurs se demandent si Patrice Talon pourrait reconsidérer sa position et opter pour une approche plus conciliante. Le pardon politique, souvent vu comme un outil pour renforcer la cohésion nationale et apaiser les tensions, pourrait-il trouver sa place dans la politique béninoise ?
Cependant, la décision de Talon de maintenir sa position de fermeté ne doit pas être sous-estimée. Elle reflète une vision politique ancrée dans la responsabilité individuelle et la primauté de la loi, où les actes doivent avoir des conséquences, même pour les acteurs politiques.
Dans un contexte où les enjeux politiques sont nombreux et les tensions palpables, la question du pardon politique demeure un sujet de débat essentiel pour le Bénin et pour l’ensemble de la région. La façon dont Patrice Talon naviguera entre fermeté et réconciliation déterminera en grande partie la trajectoire politique et sociale du pays dans les années à venir.
Dans une campagne électorale déjà tendue, les propos incendiaires du ministre de la Communication, Moussa Bocar Thiam, lors d’une caravane à Ourossogui, ont suscité une vive réaction de la part d’Aminata Touré, également connue sous le nom de « Mimi », superviseure de la campagne de la coalition « DiomayePrésident ».
Lors d’un rassemblement à Fatick, Mimi Touré n’a pas mâché ses mots, dénonçant les menaces proférées par Moussa Bocar Thiam à l’encontre des électeurs étrangers, des Wolofs et des commerçants envisageant de voter pour l’opposition lors du scrutin présidentiel du 24 mars prochain. Elle a vivement critiqué ces déclarations du ministre, soulignant notamment que Fatick avait élu un maire originaire du Fouta, faisant allusion au président Macky Sall.
Mimi Touré a averti que de telles attitudes pourraient avoir des conséquences néfastes pour Macky Sall, le chef de l’État actuel, au pouvoir depuis 2012. Elle a qualifié les propos de Moussa Bocar Thiam de « malencontreux » et a souligné que le président Sall devrait être conscient du tort potentiel causé par de tels comportements.
Fidèle à sa campagne et à son candidat, elle a appelé les habitants de Fatick à soutenir le candidat de la coalition « DiomayePrésident », soulignant l’importance de voter pour « le fils du Sine Bassirou Diomaye Faye » – une référence claire à son candidat.
Ces échanges reflètent la tension croissante qui entoure la période électorale au Sénégal, mettant en lumière les enjeux politiques et les rivalités au sein du pays. Les propos de Mimi Touré sont une réponse directe à ce qu’elle considère comme une intimidation politique, mais ils illustrent également l’importance des alliances et des déclarations publiques dans la course à la présidence.
À quelques jours seulement de l’élection présidentielle au Sénégal, l’ancien candidat Karim Wade fait de nouveau parler de lui, malgré son inéligibilité. Dans une série de déclarations récentes, il évoque des échanges avec divers acteurs politiques et prétend avoir eu accès à des tendances officielles d’instituts de sondage, annonçant un second tour inévitable.
Karim Wade, pourtant écarté de la course présidentielle par une décision du Conseil constitutionnel en raison de sa condamnation en 2015 pour enrichissement illicite, reste un personnage influent dans la politique sénégalaise. Ses récentes déclarations sont perçues comme un effort pour maintenir une certaine présence et influencer le cours de l’élection à venir.
Dans ses propos, Wade souligne les turbulences observées dans la campagne électorale actuelle, pointant du doigt les manœuvres et l’agitation entourant les stratégies des différentes coalitions. Il insiste sur le fait que sa coalition, K24, et le Parti Démocratique Sénégalais (PDS), qu’il représente, n’ont pas encore pris position officielle.
L’évocation d’un second tour par Wade est une révélation significative. Si les sondages officiels suggèrent effectivement cette possibilité, cela pourrait avoir un impact majeur sur la stratégie des candidats en lice et sur le comportement des électeurs. Cela pourrait également influencer la dynamique politique post-électorale, en ouvrant la voie à des alliances et des négociations pour le second tour.
Cependant, il convient de noter que les déclarations de Karim Wade sont sujettes à controverse et peuvent être perçues comme une tentative de maintenir sa pertinence politique malgré son exclusion formelle de la compétition électorale. Certains pourraient également les considérer comme une tentative de manipuler l’opinion publique et d’influencer le résultat des élections.
Dans cette période cruciale pour la démocratie sénégalaise, il est essentiel que les électeurs fassent preuve de discernement et évaluent les informations de manière critique. L’objectif est de garantir des élections libres, équitables et transparentes, où la voix du peuple sénégalais puisse être entendue sans manipulation ni ingérence extérieure.
La Médina, habituellement animée par le rythme effervescent de ses rues, est aujourd’hui plongée dans un profond deuil suite à un tragique accident survenu sur un chantier de construction. Un maçon, S. F. Konté, a perdu la vie dans des circonstances déchirantes, laissant derrière lui une communauté accablée par la perte brutale d’un de ses membres.
Le mardi dernier restera gravé dans les mémoires, non pas pour une quelconque célébration, mais pour la douleur qui a frappé de plein fouet la rue 15 de la Médina. Vers 14 heures, les éléments du commissariat d’arrondissement ont été alertés de l’accident et se sont rapidement rendus sur les lieux pour constater l’ampleur du drame. Ce qu’ils ont découvert était des blessures graves, inscrites sur le corps de S. F. Konté, des blessures qui témoignaient de l’horreur de l’accident.
Le récit du chef de chantier, qui a assisté à la tragédie, évoque un scénario terrifiant : le maçon était en train d’installer un monte-charge, tâche ordinaire sur un chantier de construction, lorsqu’il a été violemment propulsé en l’air par la machine elle-même. Un instant de négligence, une fraction de seconde où le destin bascule, et voilà un homme honnête et travailleur plongé dans le vide, emporté par une chute qui devait lui être fatale.
L’enquête ouverte par les autorités de la Médina cherche maintenant à démêler les fils de cette tragédie, à comprendre les défaillances éventuelles qui ont conduit à cet événement funeste. Il est essentiel que justice soit rendue à la mémoire de S. F. Konté, et que des mesures soient prises pour éviter qu’un tel drame ne se reproduise à l’avenir.
Mais au-delà des enquêtes et des responsabilités, c’est le chagrin qui domine aujourd’hui à la Médina. La perte d’un être cher laisse dans son sillage un vide impossible à combler, une douleur partagée par toute une communauté. Les pensées et les prières vont à la famille de la victime, à ses proches, et à tous ceux qui ont été touchés par cette tragédie.
Dans cette épreuve, la solidarité de la Médina se manifeste avec force. Les habitants se rassemblent pour soutenir ceux qui pleurent, pour offrir un peu de réconfort dans cette nuit sombre qui a enveloppé la rue 15. Car même dans les moments les plus sombres, l’unité et la compassion demeurent les piliers de notre humanité.
L’affaire du bébé enlevé au centre hospitalier régional Ahmadou Sakhir Ndiéguène de Thiès connaîtra son dénouement ce lundi 8 avril 2024, date à laquelle le sort de la mise en cause, M. D. Sène, couturière de profession, sera scellé.
La journée d’hier, lundi, a été marquée par le jugement de M. D. Sène par le Tribunal départemental. Suite à ce procès, elle a été placée sous mandat de dépôt à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Thiès pour tentative d’enlèvement d’un nouveau-né.
Les faits remontent au jour où M. D. Sène aurait pris un jumeau à la maternité de l’hôpital régional de Thiès avant de disparaître. Elle a été appréhendée plus tard par les autorités. Dans sa défense devant la barre, la prévenue a affirmé qu’elle était simplement assise à l’hôpital pour rendre visite à son petit-ami, un vigile, lorsque son amie l’a conduite à la maternité. Là-bas, elle aurait entendu un nouveau-né pleurer et aurait décidé de le prendre dans ses bras, mais affirme ne pas être sortie de la salle avec l’enfant.
M. D. Sène nie catégoriquement les accusations portées contre elle, clamant son innocence. Elle affirme ne pas connaître la mère des jumeaux lorsque interrogée sur leurs liens.
Le Procureur de la République a requis l’application de la loi dans cette affaire.
Alors que la couturière attend son jugement, l’ensemble de la communauté suit de près l’évolution de cette affaire qui a suscité émotion et indignation dans la région. Les autorités judiciaires devront rendre leur verdict, mettant ainsi fin à cette histoire tragique qui a secoué la ville de Thiès et rappelant l’importance de la vigilance et de la sécurité dans les établissements de santé.
Un atelier de trois jours visant à renforcer les capacités des enseignants-chercheurs de l’Université Cheikh Ahmadoul Khadim (UCAK) de Touba en techno-pédagogie s’est récemment achevé. Cet atelier, organisé en partenariat avec l’Université numérique Cheikh Hamidou Kane (UN-CHK), a été l’occasion de former les participants à l’utilisation des technologies numériques dans l’enseignement à distance.
L’objectif principal de cet atelier était de préparer les enseignants de l’UCAK à utiliser efficacement les outils technologiques pour dispenser des cours à distance. Près d’une centaine de participants, y compris des enseignants permanents et des vacataires, ont bénéficié de cette formation.
L’atelier a également permis la mise en place d’un dispositif d’enseignement à distance, permettant aux enseignants basés à l’étranger de dispenser des cours aux étudiants de l’UCAK sans avoir à se déplacer physiquement. Les participants ont été formés à scénariser leurs cours et à les intégrer progressivement dans la plateforme numérique de l’université.
À la suite de cet atelier, les enseignants auront la possibilité de commencer à enseigner à distance dans un délai d’une semaine. De plus, des sessions de formation seront prochainement organisées à l’intention des étudiants afin de les familiariser avec ce nouveau dispositif d’enseignement.
Les responsables de l’UCAK se sont engagés à continuer à former leur personnel et à mettre en place des infrastructures multimédias pour accompagner l’ensemble de la communauté universitaire dans l’utilisation des technologies numériques. Cette initiative vise à moderniser l’enseignement à l’UCAK et à répondre aux besoins actuels de l’éducation à distance.
L’UCAK de Touba s’engage résolument dans l’intégration des technologies numériques dans son système éducatif. Grâce à cet atelier et aux initiatives à venir, l’université se positionne comme un acteur majeur de l’enseignement à distance au Sénégal, offrant ainsi de nouvelles opportunités d’apprentissage à ses étudiants et une meilleure accessibilité à l’éducation.
Une lueur d’espoir brille pour Me Ngagne Demba Touré, coordinateur de la Jeunesse Patriotique du Sénégal (JPS), qui a été libéré ce mardi suite à l’application de la loi d’amnistie. Cette nouvelle marque un tournant dans la lutte pour la justice et les droits des citoyens au Sénégal.
Arrêté le 21 février dernier après plus de six mois d’exil au Mali, le retour de Me Ngagne Demba Touré dans son pays a été célébré avec enthousiasme dans son bastion à Grand-Yoff. Son arrestation avait suscité une vague d’indignation parmi ses pairs et ses partisans, mobilisés pour exiger sa libération.
Le soutien indéfectible de ses collègues greffiers, qui ont fermement dénoncé son arrestation, ainsi que celui de nombreux citoyens, a joué un rôle crucial dans sa libération. Celle-ci représente une victoire pour les valeurs de solidarité et de justice qui animent la société sénégalaise.
La loi d’amnistie, récemment votée à l’Assemblée Nationale, a également bénéficié à d’autres figures emblématiques telles qu’Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye. Cette mesure souligne l’engagement du gouvernement à favoriser la réconciliation nationale et à apaiser les tensions politiques.
Alors que le Sénégal poursuit sa marche vers l’avenir, cette libération symbolise un pas important vers la restauration de la confiance dans le système judiciaire et le respect des droits fondamentaux. Elle réaffirme également l’importance de la mobilisation citoyenne et de la solidarité dans la promotion de la justice et de la démocratie.
En cette période de transition, il est crucial que toutes les parties prenantes s’engagent à œuvrer pour un Sénégal plus juste, inclusif et respectueux des libertés individuelles. La libération de Me Ngagne Demba Touré est un rappel puissant de la capacité du peuple sénégalais à surmonter les épreuves et à construire un avenir meilleur pour tous.
Des syndicats de l’enseignement au Sénégal ont convié les candidats à l’élection présidentielle à signer une charte d’engagement pour une école sénégalaise de la réussite. Cette initiative vise à rappeler aux futurs dirigeants l’importance de leurs engagements envers le secteur de l’éducation et de la formation.
La charte souligne la nécessité de respecter les engagements pris lors des Assises nationales de l’éducation et de la formation en 2014, ainsi que les accords signés antérieurement. Elle met également l’accent sur le recrutement suffisant d’enseignants et d’inspecteurs, ainsi que sur la réforme des curricula et l’allégement des contenus des enseignements.
Les syndicats insistent sur l’importance d’une gouvernance responsable et transparente dans le secteur de l’éducation. Ils appellent les candidats à s’engager publiquement à respecter ces principes et à agir avec honnêteté et éthique dans la prise de décision.
La charte a été élaborée en réponse aux lacunes des programmes des différents candidats concernant l’éducation. Les syndicats estiment qu’il est essentiel d’aborder des questions concrètes qui n’ont pas été suffisamment prises en compte dans les déclarations et programmes des candidats.
La signature de cette charte par les candidats à la présidentielle représenterait un engagement envers l’amélioration du système éducatif sénégalais. Les syndicats appellent les futurs dirigeants à agir de manière responsable et à répondre aux préoccupations urgentes du secteur de l’éducation pour assurer un avenir meilleur pour les générations futures.
Anta Babacar Ngom Diack, présidente du mouvement ARC, a suscité un engouement impressionnant lors de sa campagne électorale à Saint-Louis. La foule compacte qui l’a accueillie témoigne du soutien croissant envers sa candidature et de l’enthousiasme qu’elle suscite parmi les habitants de la ville.
La présence massive de partisans dans les rues de la vieille ville de Saint-Louis a illustré l’engouement et la ferveur suscités par la candidature d’Anta Babacar Ngom Diack. Sa vision pour l’avenir a captivé les foules et a nourri l’espoir d’un changement positif parmi les habitants.
Cette forte mobilisation témoigne du soutien grandissant envers la candidate et de son impact sur la population locale. Anta Babacar Ngom Diack s’est affirmée comme une figure majeure de la campagne électorale de 2024, grâce à son charisme et à sa vision convaincante pour l’avenir de Saint-Louis et du Sénégal.
La campagne électorale d’Anta Babacar Ngom à Saint-Louis a été marquée par un soutien massif et une ferveur palpable parmi les habitants. Son engagement envers le changement et sa capacité à mobiliser les foules font d’elle une candidate incontournable dans la course présidentielle de 2024.
En ce mardi 19 mars 2024, la Direction régionale de l’Action sociale de Sédhiou a orchestré une célébration vibrante de la Journée mondiale du travail social, sous le thème évocateur : »Un avenir partagé pour un changement transformateur ». Cet événement a rassemblé les acteurs clés du secteur, offrant une plateforme propice à l’échange d’idées et à l’exploration de nouvelles approches axées sur l’innovation et la participation communautaire.
Au cœur des débats, la mission essentielle du travail social a été rappelée : aider les individus en situation de précarité et favoriser leur intégration dans la société. Les intervenants ont souligné le rôle primordial des travailleurs sociaux dans la promotion du changement social, la résolution des conflits interpersonnels, l’autonomisation individuelle et la libération des personnes des contraintes sociales.
Ibrahima Ndiaye, du Service régional de l’action sociale, a mis en lumière les valeurs fondamentales du travail social, telles que le respect de la dignité humaine et des droits de l’homme. Il a insisté sur l’importance pour les travailleurs sociaux de défendre l’intégrité et le bien-être de chaque individu, contribuant ainsi à leur pleine participation à la vie sociale et à leur épanouissement personnel.
Abdou Karim Sall, coordonnateur de l’APR et de BBY à Mbao, exprime son optimisme quant à la victoire d’Amadou Ba dès le premier tour de l’élection présidentielle. Il souligne l’engagement des militants et sympathisants de BBY et met en avant les qualités du candidat, affirmant qu’il est le mieux placé pour diriger le Sénégal.
Abdou Karim Sall affiche une grande confiance en la victoire d’Amadou Ba. Il souligne l’impressionnante mobilisation des partisans lors des caravanes et l’accueil chaleureux réservé au candidat. Selon lui, Amadou Ba sait où il va et a une vision claire pour le Sénégal.
Sall met en avant les qualités d’Amadou Ba en tant que candidat. Il le décrit comme un technocrate capable de présenter des faits concrets et une vision claire pour le pays, tout en ayant une dimension politique bien mesurée. Il estime qu’Amadou Ba est le candidat le mieux préparé pour gérer l’héritage laissé par le président Macky Sall.
Abdou Karim Sall appelle les partisans de BBY à se mobiliser encore plus pour assurer une victoire éclatante à Amadou Ba le jour de l’élection. Il se dit rassuré par l’engagement sans faille des militants et sympathisants de BBY et estime que la victoire d’Amadou Ba est désormais incontestable.
Abdou Karim Sall exprime son optimisme quant à la victoire d’Amadou Ba dès le premier tour de l’élection présidentielle. Il met en avant les qualités du candidat et l’engagement des partisans de BBY, affirmant que la victoire est assurée.
La récente décision du président Macky Sall d’effacer les dettes fiscales des entreprises de presse pour la période antérieure au 31 décembre 2023, ainsi que les redevances dues à l’ARTP, a suscité un débat animé au sein de la société civile sénégalaise. Cette annonce, perçue comme une bouffée d’oxygène pour un secteur souvent confronté à des difficultés financières, a toutefois généré des réserves, notamment exprimées par Birahime Seck, membre éminent du Forum Civil.
Dans une déclaration relayée sur les réseaux sociaux, Birahime Seck a exprimé ses inquiétudes quant à la rapidité avec laquelle la dette fiscale de la presse pourrait réapparaître et a mis en garde contre le risque d’encouragement de l’évasion fiscale. Pour lui, il est impératif de conditionner cette remise de dette à un plan d’investissement ambitieux visant à renforcer et à moderniser le secteur de la presse, tout en améliorant les conditions de travail des journalistes et des techniciens.
Selon Seck, une approche plus constructive consisterait à canaliser les ressources vers des initiatives concrètes telles que la formation professionnelle, l’acquisition d’équipements modernes et le soutien au développement de projets innovants dans le domaine de l’information. En reliant la remise de dette à ces mesures complémentaires, le gouvernement pourrait contribuer de manière significative à améliorer la qualité du journalisme et à garantir son rôle crucial dans la société sénégalaise.
Cette recommandation de Birahime Seck met en lumière l’importance d’une vision à long terme dans le soutien au secteur de la presse. Plutôt que de se limiter à des solutions temporaires, il est essentiel d’adopter des stratégies durables qui favorisent la professionnalisation et la pérennité économique de la presse tout en préservant son indépendance éditoriale.
En conclusion, la réaction de Birahime Seck souligne l’importance d’un dialogue ouvert et constructif entre le gouvernement et la société civile pour élaborer des politiques qui répondent véritablement aux besoins et aux aspirations du secteur de la presse au Sénégal. En adoptant une approche inclusive, il devient possible de créer un environnement médiatique plus résilient et dynamique pour l’avenir.
Une affaire choquante secoue la commune italienne de Domodossola, où un Sénégalais de 26 ans est accusé de viol sur une femme sans-abri âgée de 60 ans. L’incident, survenu près de la gare, a été rapporté par un témoin, déclenchant une enquête et menant à l’arrestation du suspect.
Selon les rapports, un touriste chinois aurait été témoin de l’agression, où l’agresseur aurait traîné la victime jusqu’à une cave voisine pour commettre le viol. L’arrestation du suspect a suivi cette alerte, mais son identité n’a pas été révélée par les autorités.
Les experts divergent quant aux motivations de l’agression. Gianni D’Amato, un expert en migration, souligne qu’il est inapproprié d’attribuer automatiquement le crime à la migration en raison des origines sénégalaises de l’homme et du lieu de l’incident près d’un poste frontalier. Cependant, le psychiatre légiste Thomas Knecht considère l’acte comme une agression impardonnable, soulignant les caractéristiques d’un vol où l’agresseur prive la victime de son intégrité physique.
L’enquête est en cours pour élucider les circonstances exactes de l’agression. Cet incident soulève des questions sur la sécurité des personnes sans-abri et met en lumière la nécessité de lutter contre la violence sexuelle et l’exploitation des plus vulnérables dans la société.
La mort tragique de Samba Dior Diagne, un informaticien sénégalais abattu lors d’une intervention policière en France, a suscité une onde de choc. Voici trois éléments clés de sa vie qui émergent de son profil, tel que rapporté par L’Observateur.
Âgé de 31 ans, Samba Dior Diagne était sur le point de rentrer au Sénégal. Ayant déjà acheté son billet pour un départ prévu le 5 avril, il avait également notifié son bailleur pour la restitution de son appartement. Son retour anticipé souligne un désir de retrouver ses racines.
Originaire de Liberté 3, Samba Dior Diagne était surnommé « Papi » par ses proches. Ce surnom révèle une relation intime et affectueuse avec son entourage, soulignant peut-être une personnalité chaleureuse et aimée de tous.
Les témoignages de ses proches et collègues décrivent Samba Dior Diagne comme un individu brillant. Son parcours académique, de la Petite école protestante de Dieuppeul 3 à l’Université Cheikh Anta Diop, où il a étudié les Mathématiques, la Physique et l’Informatique, témoigne de son intelligence et de sa détermination. Son succès professionnel en tant que testeur de qualité dans une entreprise informatique en France confirme son excellence professionnelle.
La perte tragique de Samba Dior Diagne laisse un vide dans sa communauté et met en lumière son parcours remarquable et ses projets interrompus. Son héritage sera celui d’un individu brillant et aimé, dont la vie a été malheureusement écourtée dans des circonstances tragiques.
Abdoulaye Seck, fils aîné du candidat Idrissa Seck, est devenu un visage familier lors des activités politiques de son père. Dans une récente entrevue avec L’Observateur, il partage les motivations qui le poussent à accompagner son père dans ses engagements politiques, mettant en avant son devoir filial et son soutien indéfectible.
Depuis la campagne présidentielle de 2019, Abdoulaye Seck a pris conscience de l’importance d’être aux côtés de son père. Motivé par l’amour et le devoir envers son père, il considère son rôle comme essentiel dans le soutien logistique et moral apporté à Idrissa Seck.
Bien qu’il ne soit pas directement impliqué dans la politique, Abdoulaye Seck met à profit ses compétences en pilotage pour assister les agents de sécurité accompagnant son père lors de ses déplacements. Il exprime sa fierté de contribuer ainsi à la cause de son père et de sa famille.
Interrogé sur ses propres ambitions politiques, Abdoulaye Seck reste humble, déclarant que la politique est trop compliquée pour lui. Cependant, il laisse une porte ouverte à l’avenir incertain en déclarant qu’il ne faut jamais dire « jamais ».
La présence d’Abdoulaye Seck aux côtés de son père lors des activités politiques souligne l’importance des liens familiaux et du soutien mutuel dans le monde de la politique sénégalaise. Son engagement exemplaire témoigne de la force des liens familiaux et de l’importance du soutien dans la vie politique.
La campagne présidentielle au Sénégal prend une tournure sombre alors que le siège de la coalition « Diomaye Président », dirigée par Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko, a été la cible d’une attaque brutale dans la nuit de lundi à mardi à Kaffrine. Cette violence marque une escalade des tensions à l’approche des élections du 24 mars.
Les agresseurs ont délibérément attaqué et incendié les locaux de la coalition, provoquant d’importants dégâts matériels. Cette attaque constitue un acte de sabotage et une tentative de perturber le processus démocratique en cours au Sénégal. Les motivations derrière cette violence restent à clarifier, mais elle soulève des préoccupations quant à la sécurité des candidats et de leurs partisans.
Bassirou Diomaye Faye, récemment libéré de prison, n’a pas encore commenté publiquement l’attaque contre le siège de sa coalition. Cependant, il est probable que cet incident renforce sa détermination à poursuivre sa campagne malgré les obstacles. Les autorités locales et les forces de sécurité sont appelées à enquêter sur cet acte criminel et à traduire les responsables en justice.
Dans un contexte de tensions croissantes, il est impératif que tous les acteurs politiques et la population sénégalaise maintiennent le calme et rejettent toute forme de violence. La résolution pacifique des différends est essentielle pour garantir des élections libres et équitables et préserver la stabilité du pays.
L’attaque contre le siège de la coalition « Diomaye Président » à Kaffrine soulève des inquiétudes quant à la sécurité et à l’intégrité du processus électoral au Sénégal. Cet incident met en lumière la nécessité d’un engagement ferme en faveur de la démocratie et de l’État de droit, ainsi que de la protection des droits fondamentaux des candidats et de leurs partisans.
Aliou Diao, actuel consul du Sénégal en Catalogne, a partagé son expérience déchirante en tant que vice-consul au Maroc pendant sept ans. Dans un récit bouleversant, il expose les horreurs de l’émigration clandestine, notamment l’histoire tragique de l’enterrement de son propre neveu dans un état de décomposition, une réalité poignante qui illustre les souffrances endurées par de nombreux migrants.
Diao décrit l’enfer vécu au Maroc, témoignant de jeunes désespérés abandonnant tout pour entreprendre un voyage périlleux vers l’inconnu. Il évoque des histoires de professionnels qualifiés, y compris des instituteurs et des diplômés universitaires, embrassant l’émigration clandestine par désespoir. Son récit révèle les conditions de vie précaires et les risques mortels encourus par les migrants en transit.
Le moment le plus déchirant de son séjour au Maroc, selon Diao, fut l’enterrement de son neveu en état de décomposition avancée, qu’il était incapable de rapatrier au pays. Cette expérience personnelle met en lumière la détresse et la vulnérabilité des migrants, confrontés à des situations désespérées et dépourvus de toute assistance.
Outre les tragédies individuelles, Diao révèle avoir accueilli chez lui des migrants malades mentaux et paralysés, offrant un refuge dans un contexte de détresse physique et psychologique. Son engagement humanitaire témoigne de la compassion et de la solidarité face à la souffrance des migrants, même au prix de ses propres sacrifices.
Le récit poignant d’Aliou Diao offre un aperçu émotionnel des réalités brutales de l’émigration clandestine au Maroc, soulignant l’urgence d’une action humanitaire et politique pour atténuer les souffrances des migrants et prévenir de nouvelles tragédies.
La gare des Baux maraîchers à Pikine retrouve un semblant de tranquillité après l’arrestation du cerveau d’une bande qui semait la terreur parmi les chauffeurs de taxi. M. Diallo, surnommé « Jazy », a été appréhendé par les forces de l’ordre du commissariat de Pikine, dirigées par le commissaire Senghane Ndiaye. Seneweb détaille les circonstances de cette arrestation.
Les taximans qui opéraient aux alentours de la gare des Baux maraîchers peuvent désormais souffler : le caïd responsable des agressions récurrentes a été mis hors d’état de nuire grâce à l’intervention des autorités policières.
L’arrestation de M. Diallo, alias « Jazy », fait suite à une série de plaintes déposées par les chauffeurs de taxi auprès du commissariat de Pikine. Ces derniers dénonçaient des agressions violentes survenues dans le secteur, alimentant un climat d’insécurité croissante.
Les forces de l’ordre ont rapidement réagi en lançant une enquête approfondie, basée sur les témoignages des victimes et des investigations sur le terrain. Ces efforts ont permis d’identifier et de localiser le cerveau de la bande responsable de ces attaques.
M. Diallo a été appréhendé dans un bus, jeudi dernier aux alentours de 6 heures, alors qu’il tentait de dissimuler une machette sous ses vêtements. Malgré ses dénégations lors de son interrogatoire, les taximans ont formellement reconnu le modus operandi de Jazy et de son complice, décrivant en détail leurs méthodes d’agression.
Selon les témoignages recueillis, M. Diallo et son comparse engageaient un taxi, puis procédaient à une agression violente une fois arrivés près de la gare des Baux maraîchers. L’un d’eux distrayait le chauffeur pendant que l’autre menaçait le conducteur avec une arme blanche ou un pistolet, l’obligeant ainsi à remettre tous ses biens, y compris les codes de son compte Wave.
Suite à cette enquête fructueuse, M. Diallo, alias « Jazy », a été déféré ce lundi, tandis que son complice reste activement recherché par les autorités policières. Cette arrestation constitue une victoire dans la lutte contre la criminalité à Pikine et envoie un message fort aux délinquants qui cherchent à semer la terreur dans la région.
Après la promulgation de la loi d’amnistie, toutes les personnes impliquées dans l’affaire des « Forces spéciales » du parti Pastef ont été libérées ce lundi. Parmi elles, Pape Mamadou Seck, qui a adressé un message de remerciement à ses soutiens et a dénoncé son arrestation arbitraire.
Sur sa page Facebook, Pape Mamadou Seck a exprimé sa gratitude envers tous ceux qui lui ont envoyé des messages de soutien pendant sa détention. Il a remercié chaleureusement ses amis, les membres de Pastef et la population de Darou Mousty pour leur soutien indéfectible.
Dans son message, Seck a également dénoncé son arrestation, la qualifiant de détention arbitraire par le pouvoir en place. Il a souligné le besoin de justice et de respect des droits fondamentaux dans le pays.
Enfin, Pape Mamadou Seck a appelé à rester concentré sur les enjeux de l’élection présidentielle de 2024, en utilisant le hashtag #Focus2024. Son appel à l’action et à l’engagement politique montre sa détermination à poursuivre la lutte pour la démocratie et les droits de l’homme au Sénégal.
La libération de Pape Mamadou Seck dans l’affaire des « Forces spéciales » est une victoire pour lui et ses soutiens. Ses premiers mots après sa libération reflètent sa reconnaissance envers ceux qui l’ont soutenu et son engagement continu envers la justice et la démocratie au Sénégal.
Lors de sa visite dans la région du Pakao, Khalifa Sall, président de la coalition Taxawu Sénégal et candidat à l’élection présidentielle, a écouté les préoccupations des habitants, exprimées parfois avec colère et des mots durs. Il a souligné les défis auxquels fait face la région et a promis un changement significatif s’il est élu président.
Khalifa Sall a débuté sa visite par des rencontres de proximité dans la capitale Sédhiou et plusieurs villages de la région. Les habitants ont saisi cette opportunité pour exposer leurs préoccupations à l’ancien maire de Dakar, exprimant leur mécontentement face à la situation actuelle.
Sall a noté que les habitants du Pakao expriment leurs maux avec des mots durs, soulignant que la région avait un avenir prometteur. Cependant, il a critiqué le gouvernement actuel pour son apparente négligence du bien-être de la population dans sa politique, notant que la région souffre d’importations excessives, même pour des produits de base comme la nourriture.
Le leader de Taxawu Sénégal a promis un changement de paradigme s’il est élu président. Il a souligné le potentiel agricole de la région du Pakao, dotée de bonnes terres et d’eau en abondance, et a insisté sur l’importance de mettre en place des politiques appropriées pour faciliter le développement et atteindre l’autosuffisance alimentaire.
La visite de Khalifa Sall dans le Pakao a mis en lumière les défis auxquels est confrontée la région et a souligné la nécessité d’un changement significatif dans les politiques gouvernementales pour répondre aux besoins de la population locale. Ses promesses de transformation ont suscité l’espoir d’un avenir meilleur pour les habitants du Pakao et de toute la Casamance.
Lors d’une visite dans la région de Diourbel, le candidat Aly Ngouille Ndiaye a rappelé les moments agréables passés dans cette localité, se réjouissant de l’accueil chaleureux de ses partisans. Cependant, il a lancé un appel solennel à tous les Sénégalais, les exhortant à prendre le temps d’examiner les programmes des candidats avant de prendre leur décision finale lors des élections présidentielles du 24 mars 2024.
Aly Ngouille Ndiaye a encouragé les électeurs à lire attentivement les différents programmes proposés par les candidats et à les comparer avant de voter. Il a souligné que sa vision et ses projets pour l’avenir du Sénégal ont été présentés de manière détaillée, et il est convaincu que sur la base de ces profils et propositions, les électeurs feront le meilleur choix.
Le candidat a affirmé que sa coalition a de grandes ambitions pour la région de Diourbel, mettant en avant sa connaissance des besoins locaux en tant qu’ancien élève de l’ex CEM Diourbel. Il a souligné l’importance d’écouter et de répondre aux besoins spécifiques de la population.
Ngouille Ndiaye a appelé ses partisans à intensifier les visites de courtoisie et le porte-à-porte pour renforcer leur base de soutien. Il a exprimé sa confiance en la victoire de sa coalition à Diourbel, affirmant que seul leur nom sera acclamé le soir du 24 mars si les électeurs examinent attentivement les profils, les programmes et les parcours des candidats en lice.
Après sa visite à Diourbel, Aly Ngouille Ndiaye continue sa campagne électorale sur l’axe Gossas, Kaolack, Nioro et Kolda, poursuivant ainsi ses efforts pour rallier le soutien des électeurs à travers le pays.
L’appel d’Aly Ngouille Ndiaye à examiner les programmes des candidats avant de voter met en avant l’importance de la réflexion et de l’analyse dans le processus démocratique. Sa campagne se concentre sur la sensibilisation des électeurs et la présentation de sa vision pour l’avenir du Sénégal, dans l’espoir de remporter la confiance et le soutien du peuple sénégalais.
La police de Pikine a réussi à mettre hors d’état de nuire le cerveau d’une bande qui terrorisait les chauffeurs de taxi autour de la gare des Baux maraîchers. M. Diallo, surnommé « Jazy », a été appréhendé grâce aux efforts des hommes du commissaire Senghane Ndiaye. Seneweb présente les détails de cette enquête fructueuse.
Les chauffeurs de taxi ont déposé plusieurs plaintes au commissariat de Pikine, décrivant des agressions subies aux alentours de la gare routière. Ces témoignages ont permis aux enquêteurs de dresser un profil précis du caïd de la bande, identifié comme M. Diallo alias « Jazy ».
M. Diallo a été appréhendé dans un bus tôt le matin, alors qu’il tentait de dissimuler une machette sous ses vêtements. Malgré ses dénégations, les chauffeurs de taxi l’ont formellement identifié et ont expliqué en détail le modus operandi utilisé par lui et son complice.
Les agresseurs sollicitaient un taxi, puis arrachaient la clé de contact une fois arrivés près de la gare des Baux maraîchers. Sous la menace d’une arme blanche ou d’un pistolet, le chauffeur était contraint de remettre tous ses biens, y compris le code de son compte Wave, avant que les criminels ne prennent la fuite.
M. Diallo, alias « Jazy », a été déféré devant les autorités ce lundi, tandis que son complice est activement recherché par la police. Cette arrestation marque une victoire importante dans la lutte contre la criminalité et apporte un soulagement aux usagers de la gare des Baux maraîchers.
L’arrestation de M. Diallo, alias « Jazy », témoigne de l’efficacité des forces de l’ordre de Pikine dans la lutte contre la criminalité. Cette action démontre également l’importance des efforts de la communauté et de la collaboration entre les citoyens et les autorités pour assurer la sécurité publique.
Le président gambien Adama Barrow a procédé à un remaniement ministériel le vendredi 15 mars, entraînant le limogeage de trois ministres et la nomination d’un nouveau chef des services de renseignement. Ces changements marquent une réorganisation significative au sein du gouvernement gambien.
Parmi les ministres démis de leurs fonctions figurent Lamin Si Jammeh, Seyaka Sonko et Ousmane Sowe. Jammeh, qui occupait le poste de ministre de l’Information, a été remplacé par le Dr Ismaila Ceesay, un politologue et chef du parti politique Citizens Alliance. Seyaka Sonko, ministre de l’Intérieur, a été remplacé par Abdoulie Sanyang. Ousmane Sowe, ministre des Terres et du Gouvernement régional, a été remplacé par Hamat Bah, tandis qu’il est nommé à la tête des services de renseignement de l’État.
Le ministère du Tourisme, précédemment dirigé par Hamat Bah, est désormais confié à Abdoulie Jobe, ancien ministre du Pétrole et de l’Énergie. Nani Juwara, ancien directeur général de Nawec, prend quant à lui la tête du ministère du Pétrole et de l’Énergie.
Ce remaniement ministériel illustre la volonté du président Barrow de dynamiser son gouvernement en apportant de nouveaux visages et en redistribuant les responsabilités ministérielles. Les nominations de nouveaux ministres et du chef des services de renseignement reflètent une stratégie visant à renforcer la gouvernance et à répondre aux défis nationaux en Gambie.
Le remaniement ministériel en Gambie, orchestré par le président Adama Barrow, témoigne de sa volonté de stimuler l’efficacité gouvernementale et de répondre aux besoins changeants du pays. Les nouveaux ministres et responsables des services de renseignement auront la tâche cruciale de faire avancer le développement et la stabilité de la Gambie dans les années à venir.
Le président du mouvement MJK, Ousmane Noël Dieng, a lancé un appel à tous les leaders de la coalition Benno Bokk Yaakaar pour intensifier leurs efforts sur le terrain en vue de garantir une victoire sans équivoque au candidat Amadou Ba lors de l’élection présidentielle du 24 mars prochain.
Dieng a insisté sur l’importance de l’engagement direct des leaders politiques dans la campagne électorale en se rendant sur le terrain et en menant des actions de porte-à-porte. Il a souligné que cette approche permettrait de mobiliser les électeurs et d’assurer une victoire éclatante pour leur candidat.
L’appel de Dieng est spécifiquement adressé à tous les membres de la coalition Benno Bokk Yaakaar afin de renforcer leur soutien à Amadou Ba, le candidat de leur coalition. Il met en avant l’importance de l’unité et de la solidarité dans la réalisation de leurs objectifs électoraux.
Dieng insiste sur la nécessité d’obtenir une victoire éclatante pour Amadou Ba le soir du 24 mars. Il est convaincu que seule une mobilisation intense des leaders et des militants sur le terrain permettra d’atteindre cet objectif.
L’appel d’Ousmane Noël Dieng à tous les leaders de la coalition Benno Bokk Yaakaar est un rappel de l’importance de l’action concrète sur le terrain pour assurer le succès électoral. Il met en avant la nécessité d’une mobilisation collective pour garantir une victoire éclatante au candidat Amadou Ba lors de l’élection présidentielle.
La coalition KhalifaPrésident a fait une entrée tardive à Sedhiou ce lundi, mais malgré cela, ses partisans ont patienté sous le soleil pour accueillir Khalifa Sall. Dans un discours prononcé au marché central, Khalifa Sall a vivement critiqué la situation économique et sociale de la région, déplorant le déclin apparent de ce qui était autrefois le grenier économique du Sénégal.
Khalifa Sall a souligné la richesse potentielle de Sedhiou, abondant en ressources agricoles, forestières, minières et pastorales. Malgré ces atouts, la région semble être négligée par le gouvernement actuel, laissant ses habitants dans la décrépitude économique et sociale.
L’ancien maire de Dakar a appelé à une action gouvernementale plus vigoureuse pour revitaliser Sedhiou. Il a insisté sur le potentiel inexploité de la région et a exhorté l’État à prendre des mesures concrètes pour relancer le développement économique et créer des emplois locaux.
Khalifa Sall a déploré le fait que même des produits de base, comme le poisson, soient importés au marché central de Sedhiou. Selon lui, cette pratique est absurde compte tenu des ressources naturelles disponibles localement, qui pourraient permettre d’atteindre l’autosuffisance alimentaire.
S’adressant spécifiquement aux jeunes sans emploi, Khalifa Sall a promis de mettre fin à la précarité sociale, au chômage endémique et à l’émigration clandestine une fois élu président. Il a affirmé son engagement à créer des opportunités économiques et des programmes de développement pour les jeunes de Sedhiou et de tout le pays.
La visite de Khalifa Sall à Sedhiou a mis en lumière les défis auxquels la région est confrontée et a souligné l’importance de prendre des mesures urgentes pour inverser sa trajectoire économique et sociale. Les promesses de Khalifa Sall en faveur du développement et de l’emploi offrent de l’espoir aux habitants de Sedhiou et illustrent les enjeux cruciaux de l’élection présidentielle à venir.
La caravane de la coalition DiomayePrésident a été chaleureusement accueillie à Kolda le lundi 18 mars, témoignant du soutien massif de la population envers le tandem Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko. Au cœur de ce rassemblement, Bassirou Diomaye Faye a exprimé sa gratitude et a réitéré ses engagements envers la jeunesse koldoise, promettant emploi et formation technique pour lutter contre la précarité.
La mobilisation impressionnante des habitants de Kolda en faveur de la coalition DiomayePrésident a galvanisé les leaders politiques, notamment Bassirou Diomaye Faye. Son message clair et direct appelant à transformer cet enthousiasme en votes lors de l’élection présidentielle souligne l’urgence d’une victoire dès le premier tour.
Dans le cadre du programme de pôles économiques régionaux, Bassirou Diomaye Faye s’engage à créer des opportunités d’emploi pour les jeunes de Kolda, qui font face à la précarité. Il promet également la construction d’un centre de formation technique dans chaque département, offrant ainsi aux jeunes une formation de qualité pour répondre aux besoins du marché du travail.
Ousmane Sonko, prenant également la parole lors de cet événement, a exhorté les jeunes de Kolda à récupérer leurs cartes d’électeur et à convaincre leurs proches de voter pour le changement. Soulignant l’importance d’une victoire écrasante dès le premier tour, Sonko a appelé à une mobilisation continue jusqu’au jour du scrutin.
Dans la dernière ligne droite de la campagne électorale, la coalition DiomayePrésident intensifie ses efforts. Ousmane Sonko continuera sa tournée dans le Sud-Est, tandis que Bassirou Diomaye Faye se dirigera vers le point de jonction à Kaolack, via la route du Sine-Saloum.
La visite de la coalition DiomayePrésident à Kolda a été marquée par des engagements forts envers la jeunesse et le développement économique de la région. Les promesses d’emploi et de formation technique témoignent de la volonté des leaders politiques de répondre aux besoins concrets de la population et de transformer les aspirations en actions concrètes.
Dans la région de Kolda, le leader du MCE Ande/Nawlé, Mamadou Lamine Dianté, incarne le soutien inébranlable de la coalition Diomayeprésident, principale force de l’opposition sénégalaise. Sa détermination et son engagement sur tous les fronts ont galvanisé les militants et électeurs en vue des élections présidentielles du 24 mars.
De la commune de Kolda jusqu’au niveau départemental, Mamadou Lamine Dianté déploie ses efforts pour mobiliser et rassembler les partisans de la coalition Diomayeprésident. Son expérience en tant qu’ancien secrétaire général du SAEMS lui permet de réconcilier des familles politiques divergentes en faveur d’un objectif commun.
Lors de l’accueil de la caravane de la coalition Diomayeprésident, conduite par le duo Sonko-Diomaye, à Kolda, Mamadou Lamine Dianté a démontré un engagement sans faille. Aux côtés de Seydina Oumar Touré, ancien capitaine de gendarmerie, il a mobilisé les foules malgré les conditions difficiles, sous un soleil de plomb.
La présence active de Mamadou Lamine Dianté dans la campagne électorale témoigne d’une nouvelle force politique émergente à Kolda. Sa capacité à unir les différentes forces en faveur de la coalition Diomayeprésident laisse entrevoir des perspectives de succès pour cette formation politique dans la région.
Les discours des leaders de la coalition, notamment celui de Bassirou Diomaye Faye, mettent en avant les promesses de développement économique pour la région de Kolda. Ils s’engagent à exploiter les potentialités inexploitées de la région afin de créer des opportunités d’emploi pour les jeunes et les femmes.
À travers son engagement indéfectible et sa mobilisation sans relâche, Mamadou Lamine Dianté incarne le dynamisme de la coalition Diomayeprésident à Kolda. Son travail acharné et sa détermination renforcent les chances de victoire de cette formation politique dans la région, tout en offrant l’espoir d’un véritable développement pour ses habitants.
Après avoir été recalé par le processus de parrainage pour la Présidentielle du 24 mars prochain au Sénégal, le député Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly s’apprête à révéler le nom du candidat qu’il soutiendra. Cette décision, qui suscite l’attention dans les cercles politiques, sera annoncée lors d’une assemblée générale prévue le mardi 19 mars à Mbacké, où le président du mouvement Nekal fi Askan dévoilera l’identité de son choix.
Le processus de parrainage, utilisé pour filtrer les candidatures à l’élection présidentielle au Sénégal, a été un obstacle pour Cheikh Abdou Bara Dolly, le laissant hors de la course présidentielle. Malgré cela, Dolly reste un acteur politique influent, et son soutien peut avoir un impact significatif sur le paysage électoral.
L’assemblée générale prévue le 19 mars à Mbacké revêt une importance particulière, car c’est là que Dolly et ses partisans annonceront publiquement le nom du candidat qu’ils soutiendront pour la Présidentielle. Parmi les 19 candidats retenus pour la course, le choix de Dolly pourrait changer la dynamique de la campagne électorale.
Cette annonce est attendue avec anticipation, car elle pourrait influencer les stratégies politiques et les alliances dans les semaines précédant le scrutin présidentiel. Les spéculations vont bon train quant à l’identité du candidat choisi par Dolly, et cette révélation pourrait éclairer les électeurs sur les tendances émergentes dans la compétition électorale.
Alors que la date de l’élection présidentielle se rapproche, l’annonce de Cheikh Abdou Bara Dolly concernant son choix de candidat est un événement clé dans le paysage politique sénégalais. L’assemblée générale du 19 mars à Mbacké sera le théâtre de cette révélation attendue avec impatience, et elle pourrait avoir un impact significatif sur le résultat final du scrutin.
Abdoulaye Mamadou Guissé, Président du Mouvement Fulla Ak Fayda, fervent soutien du candidat Amadou Ba, a été victime d’un accident de la route sur la VDN 3, à hauteur de Guédiawaye. L’homme politique a été impliqué dans cet incident alors qu’il rentrait d’une caravane de soutien à Amadou Ba.
Par chance, l’accident n’a pas eu de conséquences graves pour Guissé, qui a réussi à s’en sortir avec quelques blessures. Actuellement, il reçoit des soins à l’hôpital Dalal Jam, comme il l’a confié à Seneweb.
Cet incident rappelle les risques inhérents à la campagne électorale, où les déplacements fréquents et la fatigue peuvent parfois entraîner des accidents. Toutefois, dans le cas présent, il semble que la situation se soit heureusement soldée par des blessures légères pour Abdoulaye Mamadou Guissé.
Dans le cadre de ses efforts continus pour garantir la sécurité des citoyens et des biens, le Haut commandement de la Gendarmerie nationale a mené une série d’opérations à Dakar et dans plusieurs régions du pays au cours de la semaine écoulée, du 10 au 17 mars 2024.
Ces opérations, déployées dans les circonscriptions de Dakar, Kaolack, Fatick, Kaffrine et Ziguinchor, ont été couronnées de succès, avec plusieurs individus interpellés et une quantité significative de produits illicites saisie.
Le bilan des opérations se révèle fructueux, avec la saisie de 121 kg de drogue, comprenant 107 cornets et 7 joints de chanvre indien, ainsi que la confiscation de divers autres articles, dont 37 machettes, 17 bidons d’huile, 95 sacs de sucre, deux amas de charbon, et 4 troncs de bois de caïlcédrat, comme l’a rapporté le lieutenant-colonel Ibrahima Ndiaye, porte-parole de la Gendarmerie nationale.
En plus des saisies, les opérations ont également conduit à l’interpellation de 106 individus impliqués dans diverses infractions, ainsi qu’à l’immobilisation de 14 véhicules, 46 motos et 67 charrettes. De plus, 8 permis de conduire ont été saisis dans le cadre de ces actions visant à réprimer le banditisme et à assurer la sécurité publique.
Ces résultats témoignent de l’engagement continu des forces de sécurité à lutter contre la criminalité et à protéger la population. La gendarmerie demeure résolument engagée à maintenir un environnement sécurisé pour tous les citoyens, et ces opérations démontrent leur détermination à poursuivre cette mission avec efficacité et détermination.
La tragique mort de Samba Dior Diagne, un jeune sénégalais abattu chez lui par la police française lors d’une intervention nocturne le 12 mars 2024, a suscité une vive réaction de la part de Boubacar Seye, président de l’ONG Horizon Sans Frontières. Sur les ondes de la Rfm, Seye a exprimé son incompréhension face au silence apparent du chef de l’État sénégalais, Macky Sall, dans cette affaire.
Seye a souligné que le mutisme de l’État sénégalais dans de tels cas renforce le sentiment d’impunité et fait des Sénégalais des cibles vulnérables. Il a exprimé un vif regret quant à cette situation et a appelé le président Macky Sall à réagir rapidement en communiquant sur cet événement tragique.
L’absence de réaction officielle de la part du gouvernement sénégalais face à cet incident a été déplorée par de nombreux observateurs, notamment ceux de la communauté sénégalaise vivant en France. Ils ont exprimé leur inquiétude quant à la protection des droits et de la sécurité des ressortissants sénégalais à l’étranger.
Dans ce contexte, l’appel de Boubacar Seye à une réaction prompte et ferme de la part du président Macky Sall revêt une importance particulière. Il met en lumière la nécessité pour les autorités sénégalaises d’adresser de manière proactive les préoccupations et les injustices subies par leurs citoyens à l’étranger.
Cette affaire met également en évidence l’importance de la diplomatie et de la coopération internationale pour garantir la protection des droits des ressortissants sénégalais à l’étranger et pour faire en sorte que justice soit rendue dans les cas de violence ou d’abus.
L’affaire de Mouhamed Sow, un éleveur de la région de Ndoffane, a secoué la communauté locale et suscité un débat sur la sécurité des femmes dans les zones rurales. Accusé de viol et de menaces de mort à l’encontre de Seynabou Diop, une femme enceinte mariée, Sow risque une peine de 10 ans de prison. Le récit de cet incident révèle les réalités troublantes auxquelles les femmes peuvent être confrontées et souligne l’importance de la justice dans de tels cas.
Les événements ont eu lieu le 9 août 2020, lorsque Seynabou Diop aurait été attirée chez Mouhamed Sow sous prétexte de goûter son repas afin de vérifier sa teneur en sel. Une fois à l’intérieur, l’accusé aurait brandi un couteau, forçant la victime à des actes intimes contre sa volonté, malgré ses cris de détresse. L’incident a été interrompu par un appel téléphonique, permettant à Seynabou Diop de s’échapper et de signaler l’agression à une voisine.
L’agression présumée a provoqué l’indignation parmi les habitants du village, certains organisant même une expédition punitive contre Mouhamed Sow. Cependant, la situation a été apaisée grâce à l’intervention de villageois opposés à la violence. Sow a été remis aux autorités, où des preuves, y compris un couteau et des vêtements tachés, ont été retrouvées chez lui.
Lors de son procès, Mouhamed Sow a nié les accusations portées contre lui, affirmant avoir simplement réclamé le remboursement d’un prêt auprès de la plaignante. Cependant, le procureur a requis une peine de 10 ans de prison, soulignant la gravité des accusations et l’importance de protéger les droits des femmes.
L’affaire de Mouhamed Sow met en lumière les défis persistants auxquels les femmes sont confrontées en matière de sécurité et de justice, en particulier dans les zones rurales. Quel que soit le verdict rendu, cette affaire souligne l’importance de prendre au sérieux les allégations de violence sexuelle et de garantir que les victimes reçoivent le soutien et la protection dont elles ont besoin.
Un événement regrettable a secoué la région de Matam, mais il est crucial de démêler les faits de la fiction pour comprendre la véritable histoire derrière l’attaque récente contre le poste de douane local.
Dimanche dernier, une série de circonstances malheureuses a conduit à des tensions et à des violences inutiles. Des résidents, mal informés par des rumeurs erronées circulant dans la région, ont pris d’assaut le poste de douane de Matam. L’origine de cette éruption de violence remonte à un accident de la route tragique entre un véhicule et une moto Jakarta.
Les premières informations, largement relayées par certains médias locaux, ont faussement suggéré qu’un douanier était impliqué dans une course-poursuite avec des fraudeurs, ce qui aurait débouché sur l’accident mortel. Cependant, selon les services de sécurité, ces allégations se sont révélées totalement infondées. L’accident n’avait aucun lien avec la douane sénégalaise, et aucune opération douanière n’était en cours dans la région au moment des faits.
Il est crucial de souligner que la Douane de Matam était totalement étrangère à cet incident de circulation tragique. Les autorités compétentes ont confirmé que le véhicule impliqué dans l’accident n’était pas lié à leurs opérations. Malgré les tentatives de contact avec les autorités douanières pour obtenir davantage de clarifications, ces dernières sont restées injoignables jusqu’à présent.
Cette situation souligne l’importance cruciale de la vérification des faits et de la diffusion d’informations précises. Les conséquences de la désinformation peuvent être dévastatrices, conduisant à des réactions impulsives et violentes qui, comme dans ce cas, peuvent avoir des répercussions graves.
En cette période où les rumeurs et les fausses informations peuvent se propager rapidement, il est impératif que les médias et les citoyens fassent preuve de prudence et de responsabilité dans la diffusion et la vérification des informations. Seule une compréhension précise des événements peut contribuer à prévenir de telles tragédies à l’avenir.
Le Président Macky Sall prévoit de se rendre à Touba jeudi prochain pour rendre hommage au khalife des mourides, Serigne Mountakha Mbacké, selon les informations rapportées par L’Observateur. Cette visite intervient à un moment crucial, à seulement trois jours de l’élection présidentielle qui déterminera le prochain dirigeant du Sénégal.
Ce déplacement revêt une signification particulière, car il survient dans le contexte de la non-qualification de la candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle, une décision qui a suscité des questions et des inquiétudes au sein de la population sénégalaise. Selon les rapports, cette visite à Touba pourrait également être une opportunité pour le président Sall de fournir des explications sur cette décision controversée.
La cité religieuse de Touba est un lieu emblématique au Sénégal, et la relation entre le gouvernement et les autorités religieuses, en particulier le khalife des mourides, revêt une importance capitale dans le pays. En rendant hommage à Serigne Mountakha Mbacké, Macky Sall reconnaît l’importance de cette relation et cherche à maintenir un dialogue ouvert avec la communauté mouride.
Cette visite est également une occasion pour le président sortant de présenter ses respects à Serigne Mountakha Mbacké avant le scrutin présidentiel. Les relations entre le gouvernement et les leaders religieux ont toujours été un élément clé de la politique sénégalaise, et il est crucial pour Macky Sall de maintenir ces liens alors qu’il se prépare à céder le pouvoir à son successeur.
En conclusion, la visite de Macky Sall à Touba représente à la fois un geste de respect envers le khalife des mourides et une opportunité pour le président sortant de clarifier la situation politique actuelle. Alors que le Sénégal se prépare pour une transition politique, le maintien de bonnes relations avec les autorités religieuses reste un élément essentiel de la stabilité nationale.
Dans une offensive dynamique en prévision de l’élection présidentielle, le candidat Déthie Fall a mobilisé ses partisans ce dimanche, en concentrant ses efforts sur les départements de Pikine, Guédiawaye et Keur Massar. Tout en présentant ses excuses pour ne pas avoir pu couvrir toutes les communes, il a réaffirmé sa détermination envers ses partisans et sympathisants.
Déthie Fall a encouragé les habitants à voter massivement pour le changement lors du scrutin prévu le dimanche 24 mars 2024. Soulignant la nécessité de lutter contre le chômage endémique qui sévit particulièrement dans la banlieue, le leader du Parti républicain pour le progrès a également promis de s’attaquer à l’insécurité, un problème urgent dans ces zones. Il a affirmé que sous sa présidence, la sécurité serait une priorité majeure.
« La pauvreté et le chômage ont favorisé l’émergence du banditisme, se manifestant par des agressions et des vols. Ces phénomènes sont particulièrement développés dans les zones urbaines, où 52 % de la population déclare ne pas se sentir en sécurité la nuit, et 7 % ont déjà été victimes de cambriolages ou de vandalisme. Ce problème sera un vieux souvenir si je suis élu président de la République », a promis Déthie Fall.
Par ailleurs, une attention particulière a été accordée à l’autonomisation des femmes à travers des initiatives entrepreneuriales telles que des formations et un accompagnement.
La réhabilitation annoncée du marché Syndicat de Pikine reste également une préoccupation. Défendant les intérêts des banlieusards, Déthie Fall a exprimé son désir de donner un avenir prometteur au secteur informel. Un soutien substantiel sera également réservé aux nécessiteux. « L’autonomisation des femmes fait partie de nos priorités. Les femmes méritent un accompagnement conséquent. C’est pourquoi la coalition Déthiefall2024 a déjà dressé sa feuille de route sur cette question », a-t-il déclaré.
Poursuivant sa caravane à Keur Massar, le candidat à la Présidentielle a pris des engagements forts, notamment la résolution des problèmes d’inondations, un fléau persistant qui préoccupe les habitants. « Keur Massar est l’épicentre des inondations. C’est pourquoi je vous assure que si je suis élu président de la République, ces défis seront rapidement surmontés. Croyez-moi, les inondations dans le 45e département du Sénégal seront un vieux souvenir ».
La campagne de la coalition Déthie Fall a suscité un vif intérêt dans la banlieue de Dakar, avec ses propositions sur le développement économique, la sécurité et l’amélioration des conditions de vie. Son message de changement semble trouver un écho favorable parmi les habitants venus l’écouter.
Thierno Alassane Sall, leader du parti « La République des Valeurs », a récemment lancé un appel vibrant sur Twitter, invitant ses partisans à se mobiliser pour instaurer un Sénégal empreint d’intégrité et de transparence. Dans cette déclaration, il a exposé sa vision d’une nation renouvelée, fondée sur des principes éthiques solides.
« Ensemble, réenchantons le Sénégal. Ensemble, faisons de l’intégrité et de la transparence les piliers de notre République », a affirmé Thierno Alassane Sall, appelant à une mobilisation collective en faveur de ces valeurs fondamentales.
S’adressant à ses partisans, il a exprimé sa gratitude pour leur soutien et a souligné l’importance cruciale de leur engagement dans la réalisation d’un changement significatif. « Votre soutien est indispensable. Votre mobilisation fera la différence », a-t-il souligné, insistant sur l’impact déterminant de leur action collective.
Thierno Alassane Sall a également encouragé chaque individu à contribuer à sa cause, soulignant que chaque geste en sa faveur rapproche le Sénégal de son potentiel de prospérité. « Chaque geste en faveur de notre cause est un pas vers le Sénégal prospère que nous rêvons de bâtir », a-t-il renchéri, incitant à une participation active de tous les citoyens dans ce processus de transformation nationale.
Enfin, le leader politique a clairement délimité sa vision de celle de l’actuelle gouvernance, en proclamant : « Ensemble pour une République des Valeurs, contre la République des voleurs ». Cette déclaration témoigne de sa détermination à s’opposer aux pratiques perçues comme corruptives et à promouvoir une gouvernance basée sur des principes éthiques et moraux intransigeants.
Dans un contexte de campagne électorale animée, les mots de Thierno Alassane Sall résonnent comme un appel à l’action et à la refonte des fondements politiques et sociaux du Sénégal, mettant en avant l’importance cruciale de l’intégrité et de la transparence dans la construction d’un avenir meilleur pour tous les citoyens.
Khalifa Sall, leader de la coalition Taxawu Sénégal, a récemment effectué une visite dans les régions de Tamba et de Kolda, marquant ainsi son engagement envers le développement des régions orientales du Sénégal et de la Casamance. Au cours de cette visite, il a rencontré la population locale et pris des engagements concrets pour transformer ces régions en moteurs de croissance pour le pays.
Lors de ses échanges avec les habitants, Khalifa Sall a souligné l’importance stratégique de ces régions, les décrivant comme les « trois greniers du Sénégal », comprenant le Sénégal oriental, la Casamance et la région du fleuve. Selon lui, pour que le Sénégal prospère, il est impératif que ces régions se développent également.
Il a insisté sur le potentiel inexploité des ressources agricoles, halieutiques et pastorales de ces zones, affirmant que la revitalisation de ces secteurs est essentielle pour atteindre l’autosuffisance alimentaire et stimuler l’économie nationale. En prenant l’engagement de faire de ces régions une « locomotive du pays », Khalifa Sall cherche à mobiliser les ressources nécessaires pour concrétiser cette vision de développement régional.
En outre, Khalifa Sall a exprimé sa gratitude envers les forces de défense et de sécurité opérant dans ces zones frontalières, reconnaissant leur rôle crucial dans le maintien de l’unité nationale face aux tensions régionales. Il a souligné son engagement envers la construction d’une nation unie, où la cohabitation pacifique est une réalité.
Khalifa Sall a réaffirmé son engagement en tant que « garant ferme de l’unité nationale » et a appelé à la solidarité et à la coopération pour surmonter les défis et réaliser le plein potentiel de ces régions. Sa visite et ses engagements témoignent de sa volonté de placer le développement régional au cœur de son programme politique, dans le but de bâtir un Sénégal plus prospère et inclusif pour tous.
Dans l’atmosphère fébrile de la campagne électorale au Sénégal, la ville de Kolda devient le théâtre d’une convergence politique tendue, mettant en lumière les clivages profonds qui traversent le pays à l’approche des élections.
Ce dimanche s’annonce comme un moment critique, où deux forces politiques diamétralement opposées convergent vers la même région, chacune avec son propre agenda et ses fervents partisans. D’un côté, la coalition DiomayePrésident, portée par le tandem dynamique formé par Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye, cherche à rallier les électeurs de Kolda à sa cause. De l’autre, la coalition présidentielle Benno Bokk Yaakaar déploie ses efforts pour soutenir son candidat, Amadou Ba.
Les préparatifs sont en cours des deux côtés, avec une mobilisation intense des militants qui cherchent à assurer un accueil triomphant à leurs leaders respectifs. Des réunions stratégiques, des distributions de matériel de campagne et une communication intensive sont autant de tactiques employées pour galvaniser les troupes et gagner le soutien populaire.
Cependant, au milieu de cette effervescence politique, plane un risque palpable de confrontation entre les partisans des deux camps rivaux. Les observateurs craignent que cette situation ne dégénère en affrontements violents, mettant en péril la stabilité et la sécurité de la région.
Dans ce contexte tendu, les appels à la paix et à la retenue se multiplient. Le khalife général de la famille chérifienne de Saré Mamady a récemment émis une déclaration fervente, exhortant toutes les parties à faire preuve de calme et de respect mutuel. Il a souligné l’importance de préserver l’unité nationale et de placer l’intérêt supérieur du Sénégal au-dessus des querelles politiques partisanes.
Alors que les deux coalitions se préparent à enflammer la scène politique de Kolda ce dimanche, il est impératif que toutes les parties concernées agissent avec responsabilité et modération. Les élections doivent être un exercice démocratique pacifique, où la voix du peuple peut s’exprimer sans crainte ni intimidation.
Dans cette quête pour l’avenir de la nation, la voix du dialogue et de la tolérance doit prévaloir sur celle de la division et de la confrontation. Seul un engagement ferme envers la paix et la démocratie peut garantir un avenir stable et prospère pour le Sénégal.
Dans le cadre de sa mission de protection des personnes et des biens, la Gendarmerie nationale du Sénégal a récemment mené des opérations d’envergure contre le banditisme et le trafic de drogue à travers plusieurs régions du pays. Ces actions, menées avec détermination, ont abouti à des résultats significatifs, témoignant de l’engagement ferme des forces de sécurité à lutter contre la criminalité sous toutes ses formes.
Au cours de la semaine écoulée, du 10 au 17 mars 2024, les unités de la gendarmerie ont intensifié leurs opérations dans diverses localités, notamment à Dakar, Kaolack, Fatick, Kaffrine et Ziguinchor. Ces efforts ont permis l’interpellation de 106 individus soupçonnés d’être impliqués dans des activités criminelles, marquant ainsi un coup dur pour les réseaux de criminalité opérant dans ces régions.
En plus des arrestations, les forces de sécurité ont réussi à saisir une quantité impressionnante de produits illicites et d’objets potentiellement utilisés à des fins criminelles. Parmi les saisies les plus significatives figurent 121 kilogrammes de drogue, comprenant 107 cornets et 7 joints de chanvre indien, ainsi que 37 machettes, 17 bidons d’huile, 95 sacs de sucre, deux amas de charbon et quatre troncs de bois de caïlcédrat. Ces résultats démontrent la détermination des autorités à éradiquer le trafic de drogue et à perturber les activités criminelles dans le pays.
En outre, dans le cadre de ces opérations, 14 véhicules, 46 motos et 67 charrettes potentiellement utilisés pour des activités illégales ont été immobilisés, renforçant ainsi les efforts visant à entraver la mobilité des criminels et à perturber leurs opérations.
Le lieutenant-colonel Ibrahima Ndiaye, porte-parole de la Gendarmerie nationale, a souligné l’importance de ces résultats dans la lutte contre le banditisme et a salué le dévouement des forces de sécurité. Il a également appelé la population à continuer de coopérer avec les autorités en fournissant des informations cruciales pour garantir la sécurité de tous.
Ces opérations témoignent de l’engagement résolu du gouvernement et des forces de sécurité à lutter contre le banditisme et à garantir la sécurité des citoyens. La Gendarmerie nationale reste déterminée à poursuivre ses efforts pour maintenir l’ordre public et assurer la protection de la population.
Le coordonnateur de l’association de la grande famille Willane, descendant du marabout Mame Mody Wilane, fondateur du village, plaide en faveur du bitumage de la route reliant Kaffrine à Willanène Taba.
Le président de l’association exprime le besoin urgent de bitumer cette route, soulignant également l’importance historique et religieuse des villages de Willanène Gouye et de la partie restante de Willanène Taba. Il regrette que le projet de pavage et de bitumage dans le cadre du programme de modernisation des villes (Promovilles) à Kaffrine ne soit pas étendu à ces villages.
Il insiste sur le fait que Willanène mérite un programme de modernisation similaire à celui des autres foyers religieux, mettant en avant les projets en cours tels que la construction d’un internat et l’aménagement d’une grande place publique.
Le plaidoyer en faveur du bitumage de la route avait été lancé lors d’une cérémonie officielle durant la ziarra générale en l’honneur de Mame Mody Willane, mais jusqu’à présent, les autorités n’ont pas encore répondu à cette demande.
Son retour intervient après l’adoption d’une loi d’amnistie. Cette nouvelle a été rapportée par Seneweb.
Diagne, qui était sous le coup d’un mandat d’arrêt international, a été repéré à Ziguinchor, participant à la caravane de DiomayePrésident, membre de l’ex-Pastef.
Son retour intervient après l’adoption d’une loi d’amnistie. Cette nouvelle a été rapportée par Seneweb.