Selon RAC1, le FC Barcelone planifie la saison 2024/25 et devra vendre certains joueurs pour respecter le plafond salariale. Le club catalan envisage de vendre Inigo Martinez, arrivé il y a un peu plus d’un an en provenance de l’Athletic.
Le fair-play financier oblige le FC Barcelone à se séparer de plusieurs footballeurs lors du prochain mercato d’été afin de respecter le plafond salarial. Et Inigo Martinez, arrivé libre il y a un an en provenance de l’Athletic Club, va être mis en vente par son club.
Selon les informations de RAC1, le défenseur central pourrait bien quitter la Catalogne en cas d’offre intéressante. Le Basque est sous contrat avec le Barça jusqu’en 2025, ce qui signifie que cet été sera la dernière occasion pour le club de récupérer un chèque avec son éventuel transfert, à moins qu’il ne prolonge.
Depuis son arrivée, Inigo Martinez ne fait pas l’unanimité, ses performances n’étant pas à la hauteur des attentes. De plus, le club catalan dispose déjà de plusieurs défenseurs, tels que Jules Koundé, Ronald Araujo, Cubarsi ou encore Christensen, sans compter ceux qui sont partis en prêt cette saison.
Bonne nouvelle pour le Real Madrid. Carlo Ancelotti a annoncé ce samedi que Thibaut Courtois et Eder Militao devraient être de retour après la trêve internationale de mars.
Thibaut Courtois et Eder Militao devraient faire leur retour avec le Real Madrid après la trêve internationale de mars.
Les deux footballeurs sont absents des terrains depuis qu‘ils se sont blessés au ligament croisé antérieur (LCA) en août dernier.
Le défenseur brésilien a repris l’entraînement cette semaine, alors que le gardien de but belge s’entraîne partiellement avec le groupe depuis plusieurs jours.
L’entraîneur du Real Madrid, Carlo Ancelotti, a déclaré que les deux joueurs devraient être de retour après la prochaine pause internationale, qui aura lieu entre le 18 et le 26 mars. « Après la prochaine trêve, Courtois et Militao seront de retour. Et c’est bon pour le reste de la saison. »
« C’est sans aucun doute le meilleur coach que j’ai vu de mon vivant » assure Jürgen Klopp, entraîneur de Liverpool, à propos de son rival de Manchester City Pep Guardiola, avant leur confrontation au sommet dimanche en Premier League.
« Je fais le même métier et je suis plutôt bon alors je sais reconnaître l’excellence… Vous me demandez, je vous réponds. Pour moi c’est lui le meilleur », a déclaré le technicien allemand en conférence de presse vendredi.
Un respect auquel Pep Guardiola s’est empressé de répondre sur le même ton. « Ca a toujours été un plaisir et ce le sera dimanche aussi même si on essaiera de gagner » a-t-il déclaré.
« On apprend toujours du jeu de ses équipes… C’est un homme passionné, il aime le football et il sera de retour tôt ou tard » a ajouté l’entraîneur espagnol.
Les deux entraîneurs s’opposent depuis plusieurs années en Premier League. Lors des six dernières saisons, Manchester City a remporté cinq fois le championnat, Liverpool une. Cette année, les deux équipes se disputent encore la tête du classement, avec avant cette 28e journée une légère avance pour les Reds (63 contre 62 points). Le tout avec Arsenal en embuscade (3e, 61 points).
Dimanche, Jürgen Klopp part avec l’avantage d’être à domicile, un facteur qu’il a qualifié de « très important ». Depuis 2003, Liverpool n’a perdu qu’une seule fois à Anfield contre les Citizens, c’était en 2021 et le stade était vide en raison de la pandémie.
Une victoire ce week-end donnerait une avance de quatre points à Liverpool sur City mais Jürgen Klopp a vite minimisé l’importance de ce match en expliquant qu’il était trop tôt pour le qualifier de décisif.
Cette rencontre pourrait marquer l’un des derniers duels entre les deux entraîneurs. Le technicien allemand a annoncé officiellement qu’il allait quitter son club en fin de saison. De quoi donner encore plus de saveur au choc de dimanche.
« Il a parfaitement expliqué la raison (de son départ) », a estimé « Pep » Guardiola. « En Premier League, c’est la dernière fois (qu’ils vont s’affronter, NDLR), mais peut-être qu’en Coupe, nous pourrons nous retrouver », a-t-il dit, les deux équipes étant qualifiées en quart de finale.
Le Sénégal connaît actuellement un important remaniement gouvernemental, marqué par l’annonce de la composition d’une nouvelle équipe dirigée par le Premier Ministre Me Sidiki Kaba. Parmi les changements significatifs, on observe une nouvelle nomination au ministère des Sports, poste occupé désormais par Mame Mbaye Niang.
Cette décision a été précédée du départ de Lat Diop, qui occupait auparavant cette fonction. Mame Mbaye Niang se voit également attribuer le ministère du Tourisme, ce qui lui confère une double responsabilité dans la promotion du sport et du tourisme au Sénégal. Cette double nomination témoigne de la volonté du gouvernement de renforcer ces secteurs clés de l’économie nationale.
La nomination de Mame Mbaye Niang intervient dans un contexte politique chargé, alors que le pays se prépare pour l’élection présidentielle prévue le 24 mars prochain. Il est intéressant de noter que le départ de Lat Diop survient après seulement cinq mois en fonction, ce qui pourrait être lié à la proximité de l’échéance électorale. En effet, il est prévu que les nouveaux ministres restent en place pour une durée limitée, jusqu’à la fin du mandat du président Macky Sall et de son gouvernement actuel.
Cette transition ministérielle revêt une importance particulière, car le secteur du sport joue un rôle essentiel dans la société sénégalaise, tant sur le plan social que sur le plan économique. De même, le tourisme représente un pilier majeur de l’économie nationale, avec un fort potentiel de croissance et de développement.
Dans ce contexte, Mame Mbaye Niang devra relever de nombreux défis, notamment en matière de promotion du sport de haut niveau, de développement des infrastructures sportives, et de valorisation du patrimoine touristique du Sénégal. Sa nomination suscite ainsi de nombreuses attentes quant à sa capacité à dynamiser ces secteurs clés et à contribuer au développement global du pays.
En conclusion, le remaniement ministériel actuel traduit la volonté du gouvernement sénégalais de renforcer son action dans des domaines stratégiques tels que le sport et le tourisme. La nomination de Mame Mbaye Niang au poste de ministre des Sports et du Tourisme marque le début d’une nouvelle phase dans la politique de promotion et de développement de ces secteurs vitaux pour l’avenir du Sénégal.
Interrogé directement sur le statut des recrues potentielles Alphonso Davies (Bayern Munich) et Kylian Mbappé (PSG), le président du Real Madrid a répondu en faisant semblant de ne pas savoir de qui il s’agit.
Kylian Mbappé et Alphonso Davies sont des cibles pour le Real Madrid cet été. Officieusement, le Français a déjà fait savoir au PSG qu’il ne resterait pas au club à la fin de la saison. Nasser Al-Khelaïfi ne l’a pas encore confirmé. et son homologue de Madrid n’a pas non plus voulu prendre de risques avec ses déclarations.
Florentino Pérez est apparu dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux vendredi, prenant des photos avec des supporters qui l’interrogeaient sur le joueur du Bayern Munich et la star du Paris Saint-Germain.
« Davies, qui est Davies ? Qui est Mbappé ? », a rétorqué le président du Real Madrid.
Le président du Barça a esquissé un discours d’espoir et de confiance pour que l’équipe se batte pour les compétitions qui restent à jouer dans le reste de la saison. Il considère Xavi Hernández, qui quittera son poste à la fin de la saison, comme « très motivé ».
Le FC Barcelone a connu un certain creux cette saison avec l’annonce du départ de Xavi Hernández en fin de saison après la défaite contre Villarreal en Liga et la défaite contre le Real Madrid en Supercoupe d’Espagne.
Après quelques semaines, les blessures se sont cicatrisées au point que les supporters se réjouissent de la réduction de l’écart entre les « Merengues » en tête du championnat et la deuxième place, occupée par Gérone.
Cette situation coïncide avec le troisième anniversaire de la prise de contrôle par JoanLaporta, qui a eu lieu le 7 mars 2021. « El Chiringuito de Jugones » lui a offert un gâteau pour le féliciter et l’a interviewé brièvement.
« Si nous ne jetons pas l’éponge, les joueurs se battront sûrement jusqu’au bout. Au Barça, cela fait partie de notre essence compétitive de lutter jusqu’à la fin et nous avons encore une chance de gagner et, par conséquent, nous devons lutter jusqu’à la fin. Ensuite, on peut gagner ou perdre, mais au moins, on ne pourra pas dire que nous n’avons pas lutté jusqu’au bout ».
« Je vois Xavi très motivé, je vois les joueurs très motivés, excités…. Eh bien, il s’agit de travailler, de se battre et, comme les ‘culés’, de ne jamais jeter l’éponge », a-t-il ajouté.
L’entraîneur de Monza, Raffaele Palladino, a annoncé lors de sa conférence de presse d’avant-match, avant le match de ce week-end contre le Genoa, que l’appel du club contre la suspension de deux ans de Papu Gomez pour dopage lorsqu’il jouait pour Séville est resté sans effet.
Le recours de Monza auprès de l’UEFA et de la FIFA contre le contrôle antidopage positif de Papu Gómez quelques jours avant la Coupe du Monde au Qatar a été rejeté.
A l’époque, l’Argentin faisait partie de l’équipe de Séville, avait passé une mauvaise nuit et avait pris un sirop de l’un de ses fils sans savoir qu’il s’agissait d’une substance interdite, il a donc défendu son innocence, qui a subi un revers vendredi.
Dans la matinée, son entraîneur Raffaele Palladino s’est présenté à une conférence de presse avant le match contre le Genoa de cette journée et a annoncé la nouvelle aux journalistes. « Pour autant que je sache, l’appel a été rejeté. Le club ne tardera pas à le communiquer, je comprends », a déclaré le tacticien, qui ne pourra pas compter sur le joueur à moins que son contrat ne soit renouvelé au-delà des deux saisons qu’il risque de passer en cale sèche.
L’ancien joueur de l’Atalanta serait à nouveau disponible à l’âge de 38 ans, un âge auquel il est susceptible d’envisager la retraite en raison d’un manque potentiel d’opportunités ou d’un certain manque de rythme compétitif. Sa dernière apparition sous les feux de la rampe remonte au 8 octobre, lors d’un match de Serie A contre Salernitana. Il s’agissait de sa deuxième apparition sur le terrain après son retour en Italie.
L’Inter Miami a évité la défaite en huitième de finale aller de la Concacaf Champions Cup grâce à un but de Leo Messi et à un autre de Luis Suarez, qui a égalisé dans le temps additionnel, à la 95e minute.
L’Argentin Leo Messi, auteur de son quatrième but en quatre matches, et l’Uruguayen Luis Suarez, qui a égalisé à la 95e minute, ont remonté un retard de 2-0 pour permettre à l’Inter Miami d’obtenir un match nul à Nashville en huitième de finale aller de la Concacaf Champions Cup.
L’Inter Miami n’a pas réussi à s’imposer au GEODIS Park de Nashville, où Jacob Shaffelburg a donné deux buts d’avance à l’équipe locale. Mais en seconde période, les deux leaders du vestiaire se sont imposés pour renvoyer l’équipe de l’entraîneur argentin Gerardo « Tata » Martino au Chase Stadium avec le match nul et deux buts à l’extérieur à son actif.
Suarez, auteur d’un doublé contre Orlando le week-end dernier en MLS, a surgi à la 95e minute pour égaliser de la tête, quelques minutes après qu’un hors-jeu de Shaquell Moore a privé Nashville d’une avance de 3-1.
Sans JordiAlba, absent pour cause de grippe, l’Inter Miami a pris le plus mauvais départ possible, encaissant un but de Shaffelburg après seulement quatre minutes de jeu, et a éprouvé des difficultés face à Nashville, l’une des équipes les plus compétitives des États-Unis à domicile. Pour les débuts de Federico Redondo au milieu de terrain, l’Inter Miami a multiplié les erreurs sur les ballons en largeur, ce qui l’a rendu dangereux en défense et l’a ralenti dans sa dynamique offensive, Messi étant le seul à éclairer le terrain, malgré un rythme de jeu réduit.
Messi a été effrayé par une faute sévère et dangereuse de MacNaughton que l’arbitre n’a même pas signalée et Nashville a savouré une avance de 3-1 à la 83e minute lorsque Moore a vu son but refusé plus tard pour un hors-jeu léger mais correct. C’est à ce moment-là que l’histoire du match a basculé. À la 95e minute, Suarez saisissait sa seule occasion de la soirée pour reprendre de la tête un centre venu du flanc droit et renvoyer l’Inter à Miami avec un match nul 2-2 qui avait des allures de victoire pour les hommes de Martino.
Mouctar Diakhaby a publié une photo sur ses réseaux sociaux après s’être remis avec succès d’une opération du genou à Lyon. Le défenseur de Valence s’est disloqué le genou lorsque Aurélien Tchouaméni, dans une action fortuite, lui est tombé dessus lors du match de Liga contre le Real Madrid à Mestalla.
L’opération du genou de Mouctar Diakhaby a été un succès. Le défenseur de Valence a été opéré jeudi à Lyon, en France, d’une luxation du genou contractée lors du match de championnat contre le Real Madrid à Mestalla.
Son compatriote Aurélien Tchouaméni lui est tombé dessus par inadvertance et a provoqué ce désagrément, qui l’empêchera de jouer pendant un à deux ans, en fonction de la façon dont son corps réagira au processus de guérison.
Son esprit, lui, est déjà en train de le faire. Sur son propre profil Instagram, il a partagé une image sur le brancard de l’hôpital où il a été soigné, les bras tendus en signe de force et un sourire jusqu’aux oreilles. Il a accompagné ce cliché d’un texte dans lequel il se déclare « privilégié » malgré cette pierre sur son chemin.
« Dieu merci, l’opération s’est bien déroulée. La blessure est certainement très grave et la rééducation sera probablement longue. Mais je me rends compte que je suis encore privilégié car il y a toujours quelque chose de pire dans la vie. Le chemin du retour commence maintenant. Avec votre soutien, la force mentale que j’ai et mon caractère, je suis convaincu que je vais surmonter cette nouvelle épreuve dans ma vie. C’est un long tunnel jusqu’à la fin », a-t-il écrit.
Le Real Madrid fera appel auprès du TAD pour Bellingham. AFP
Le Real Madrid va faire appel devant le Tribunal administratif du sport de la suspension de deux matches infligée à Jude Bellingham pour avoir dit à Jesús Gil Manzano « it’s a f*cking goal » après qu’il eut refusé un but dans le temps additionnel de la Liga contre Valence.
Le Real Madrid va faire appel devant le Tribunal administratif du sport (TAD) de la suspension de deux matches infligée à l’Anglais Jude Bellingham, confirmée vendredi par la Commission d’appel de la Fédération espagnole de football (RFEF), pour son expulsion à Mestalla après avoir couru vers l’arbitre, Gil Manzano, « dans une attitude agressive et criarde, répétant à plusieurs reprises »c’est un putain de but' », selon le rapport de l’arbitre.
Le milieu de terrain madrilène a été expulsé à la fin du match contre Valence après avoir protesté contre la décision de l’arbitre de refuser un but qu’il avait marqué alors que le match était terminé, avec une tête sur un centre de Brahim Diaz qui aurait permis à son équipe de l’emporter 3-2.
Selon des sources du club, il n’y a pas beaucoup d’espoir, car ils ne croient pas que cette résolution arrivera à temps, et ils supposent donc qu’il purgera la suspension de deux matchs, ce dimanche contre le Celta Vigo à Santiago Bernabéu et le samedi 16 lors de la visite à Osasuna.
La commission de discipline a déjà rejeté les allégations présentées par le Real Madrid et a imposé une suspension de deux matches pour outrage ou manque de respect envers les arbitres, avec une amende supplémentaire de 700 euros pour le club et de 600 euros pour le joueur, en application de l’article 124 du code disciplinaire de la RFEF.
Vélez Sarsfield a publié un communiqué jeudi annonçant que Sebastián Sosa, Braian Cufré, Abiel Osorio et José Ignacio Florentín ont été exclus de l’équipe. Les quatre hommes font l’objet d’une enquête pour avoir prétendument abusé sexuellement d’une jeune fille de 24 ans dans un hôtel de Tucumán.
Quatre joueurs de Vélez Sarsfield ont été traduits en justice pour avoir prétendument abusé sexuellement d’une jeune fille de 24 ans à San Miguel de Tucumán, la capitale de la province argentine de Tucumán.
Les accusés sont le gardien de but uruguayen d’origine mexicaine SebastiánSosa, le milieu de terrain paraguayen José Ignacio Florentín et les Argentins BraianCufré et AbielOsorio, le jeune attaquant prometteur de 21 ans qui a marqué le but de la victoire pour le « V » contre Rosario Central mardi dernier.
Tous ont été licenciés à titre préventif, dans le cadre du protocole d’action de Vélez dans les cas de violence sexiste, a indiqué le club dans un communiqué jeudi. « Compte tenu de la gravité de la plainte, le conseil d’administration du Club Atlético Vélez Sarsfield s’est immédiatement mis à la disposition des tribunaux de Tucumán pour fournir toutes les informations et les éléments pertinents afin de contribuer à l’enquête et à la clarification de l’affaire et de déterminer les responsabilités correspondantes », a déclaré le club.
Les faits se sont déroulés le dimanche 3 mars, alors que l’équipe se trouvait dans la ville du nord pour jouer son match de Coupe de la Ligue contre l’Atlético Tucumán, correspondant au 8e tour de la Coupe de la Ligue professionnelle argentine.
Le premier tour des huitièmes de finale de la Conference League a vu l’Ajax et Aston Villa se séparer sur un score nul et vierge, la décision devant être prise à Birmingham. Lille a battu Sturm Graz 3-0 et le Maccabi Tel Aviv a écrasé l’Olympiacos de José Luis Mendilibar 4-1 en Grèce.
L’Ajax et AstonVilla se sont quittés sur un score nul et vierge dans un match avec peu d’occasions dans le cadre de leur huitième de finale de la ConferenceLeague à Amsterdam.
Deux buts du Canadien Jonathan David ont également permis à Lillede s’imposer 3-0 face à Sturm Graz à la Merkur Arena et de se qualifier pour les quarts de finale. Les hommes de Paulo Fonseca n’ont laissé aucune chance aux représentants autrichiens.
Par ailleurs, le Maccabi Tel Aviv a écrasé son adversaire grâce à un doublé du vétéran Eran Zahavi, qui s’est imposé 4-1 au Pirée face à l’Olympiakos, qui a subi sa première défaite depuis l’arrivée de l’Espagnol José Luis Mendilibar à la tête du club.
Enfin, Molde a battu Bruges 2-1 grâce à un but de Gulbrandsen à la 92e minute. La domination de l’équipe norvégienne a été récompensée par le premier but du match à l’approche de la mi-temps, Stenevik marquant d’une belle frappe enroulée de l’intérieur de la surface pour rendre la vie difficile à ses adversaires. Le club belge a réagi en seconde période et a égalisé sur penalty par l’intermédiaire de Maxim De Cuyper.
Des émeutes ont éclaté à Rome aux premières heures de la nuit dernière. Selon les rapports de « Sky » et de « BBC », deux supporters de Brighton, qui se trouvaient dans la capitale italienne pour assister au match d’Europa League de leur équipe contre la Roma, ont été poignardés par 6 ou 7 hommes cagoulés.
Ce jeudi, l’AS Rome affronte Brighton en seizième de finale aller de l’Europa League. Les supporters de l’équipe anglaise ont déjà fait le déplacement en Italie pour accompagner l’équipe et les premières altercations n’ont pas tardé à se produire.
Ce matin, selon Sky, deux supporters de Brighton, âgés de 26 et 27 ans, ont été attaqués par un groupe de 6 à 7 hommes cagoulés dans le quartier Monti, plus précisément dans la Via Cavour. L’incident s’est produit peu après minuit, alors qu’ils sortaient d’un bar.
Les deux fans ont été blessés à l’arme blanche. En outre, le groupe d’hommes cagoulés les a dépouillés de leurs biens (portefeuilles et documents), selon la police.
Les agents du commissariat de Viminale ont reçu un appel d’un serveur d’un restaurant situé dans la zone où les faits se sont déroulés. Les enquêteurs tentent déjà de comprendre ce qui s’est passé. Entre-temps, les supporters ont appelé à la « prudence » les personnes présentes à Rome pour le match.
« Nous avons été attaqués à Rome après avoir quitté un bar. Je veux juste dire à tous les fans de Brighton d’être prudents« , a déclaré l’un d’entre eux au Mirror. En outre, la même personne a déclaré avoir passé « six heures dans un couloir d’hôpital ».
Brighton, pour sa part, a conseillé à ses supporters, dans un communiqué, de ne pas porter les couleurs de l’équipe. Ils ont également mis en garde contre la criminalité de rue dans la région et ont appelé à la plus grande prudence dans la capitale italienne.
Les joueurs de Jean Louis Gasset ont écrasé les hommes de leur ancien entraîneur, Marcelino, lors du match aller des huitièmes de finale de la Ligue Europa (4-0). À une semaine du match retour, l’OM a déjà de très grandes chances de voir les quarts de finale de la compétition.
Pour son grand retour à Marseille, cette fois sur le banc adverse, quelques mois après avoir démissionné de son poste de coach de l’OM, Marcelino a reçu un accueil hostile de la part des supporteurs olympiens, mais aussi de la part de ses anciens joueurs.
Surmotivés et transformés depuis l’arrivée de Jean Louis Gasset il y a quelques semaines seulement, les Marseillais ont rapidement ouvert le score par l’intermédiaire de Veretout sur un bon centre de Clauss (1-0, 23e).
Moins de 5 minutes plus tard, l’OM a doublé la mise grâce à un but contre son camp de Mosquera, dépassé tout au long de la rencontre (2-0, 28e).
Juste avant la mi-temps, Aubameyang est venu alourdir le score en transformant un penalty provoqué par Sarr pour une nouvelle erreur de Mosquera (3-0, 42e).
Au retour des vestiaires, le buteur gabonais de l’OM a scellé le score en trompant Pepe Reina d’un magnifique lob probablement involontaire (4-0, 59e). L’exclusion de Moreno dans la foulée du second but d’Aubameyang a écarté les chances d’une égalisation miraculeuse du sous-marin jaune.
À une semaine du match retour en Espagne, l’Olympique de Marseille a fait un très grand pas vers les quarts de finale, tandis que Villarreal a montré un bien triste visage.
Le milieu de terrain du Real Madrid, Aurélien Tchouameni, a déclaré dans une interview à « Canal Plus » qu’il n’était pas au courant de la décision de Kylian Mbappé de quitter le Paris Saint-Germain et a affirmé qu’il demanderait au président Florentino Perez si la superstar française rejoignait le Real Madrid.
Le milieu de terrain du Real Madrid, Aurélien Tchouameni, a fait la une des journaux après le match nul du Real Madrid contre Leipzig qui lui a permis de se qualifier pour les quarts de finale de la Ligue des champions.
L’international français a été interrogé sur le sujet brûlant du moment, à savoir la possible signature de Kylian Mbappé, qui a informé le Paris Saint-Germain il y a quelques semaines qu’il quitterait le club en tant qu’agent libre à la fin de la saison.
Le milieu de terrain français a affirmé qu’il n’était pas au courant de la décision de son coéquipier en sélection, et a même affirmé qu’il demanderait au président des « Merengues », Florentino Perez, si la superstar française souhaite rejoindre le club de Santiago Bernabeu.
« Mbappé ? Je ne lui ai rien dit. Je n’étais pas au courant de son départ. Je faisais une sieste, je me suis réveillé, bam Twitter, petit pop-corn. Je vais demander au président s’il veut venir« , a-t-il dit.
Erling Haaland, joueur de Manchester City, a donné une interview à Sky Sports dans laquelle il a réagi aux récents propos tenus par Trent Alexander-Arnold, joueur de Liverpool, qui a parlé de la façon dont le succès est vécu dans les deux équipes.
La 28e journée de la Premier League sera l’occasion d’assister à l’un des meilleurs matches de la saison. Il s’agit de Liverpool-Manchester City, où le leadership sera en jeu, les deux équipes n’étant séparées que par deux points.
Erling Haaland en a profité pour donner une interview à Sky Sports dans laquelle il a évoqué ce choc pour la Premier League.
L’attaquant norvégien a commencé par répondre aux commentaires d’Alexander-Arnold sur la façon dont les deux équipes vivent le succès. Voici exactement ce que l’Anglais avait à dire : « En regardant cette époque, bien qu’ils aient gagné plus de titres que nous et qu’ils aient probablement eu plus de succès, nos trophées signifieront plus pour nous et notre base de supporters en raison de la situation financière des deux clubs. »
« La façon dont les deux clubs ont construit leurs équipes et la façon dont nous l’avons fait signifieront probablement plus pour nos fans« , a-t-il poursuivi.
Ce qui n’a pas plu au Norvégien, qui s’est empressé de répondre : « Si vous voulez dire ça… c’est très bien. J’étais ici une année et j’ai remporté le triplé. C’était un sentiment très agréable. Je ne pense pas qu’il connaisse exactement ce sentiment« .
« Ils peuvent parler autant qu’ils veulent. Il peut parler autant qu’il veut. Je ne sais pas pourquoi il fait ça, mais ça ne me dérange pas« , a-t-il conclu.
Xavi s’est présenté en conférence de presse avant Barcelone-Mallorca ce vendredi et a parlé, entre autres, de la « pression » qu’il ressent à la tête du banc catalan. Il a pris l’exemple de l’entraîneur du Real Madrid, Carlo Ancelotti.
Xavi Hernández est prêt pour le match contre Majorque. L’entraîneur s’est installé dans la salle de presse pour répondre aux questions des journalistes ce jeudi.
Il a admis que, bien qu’il ait déclaré qu’il partirait à la fin de la saison, il ressentait une « pression maximale ». « Entraîner le Barça, c’est ça. Ancelotti a dit qu’il ne l’appréciait pas autant…. Et c’est que tu prends peu de plaisir et tu souffres beaucoup« , a-t-il analysé.
Il a ajouté qu’il ne considérait pas la Liga comme perdue, même s’il sera difficile de la gagner : « Jusqu’à ce que ce soit mathématiquement impossible, nous continuerons à y croire. L’autre jour, nous avons eu l’occasion et c’est dommage, mais contre Majorque, nous avons une autre chance de nous placer à la deuxième place et de mettre la pression sur les leaders« .
En ce qui concerne le onze qu’il alignera, compte tenu du fait que le Barça doit affronter Naples en Ligue des champions, il a déclaré qu’il procéderait à « quelques changements ». « Plus que de penser à mardi, nous penserons au joueur, à sa fatigue, à l’accumulation des minutes, à tout cela, pas au match de mardi. Nous devons penser au joueur », a-t-il expliqué.
Quant à l’adversaire du Barça en Liga, Majorque, il a tenu tout d’abord à le « féliciter parce qu’il fait une grande saison et qu’Aguirre prépare très bien ses équipes ». « Il se débrouille très bien. Ils sont très forts et très unis. Ce sera difficile, mais nous sommes très confiants« , a-t-il poursuivi.
Il a refusé d’évaluer la possibilité que Luis Enrique lui succède à la tête du Barça. « Je ne parle pas des futurs entraîneurs. Nous sommes concentrés sur Majorque et je ne devrais pas en parler. Je dois me concentrer sur notre prochain adversaire, qui vient de battre Gérone et d’éliminer la Real Sociedad.
Et revoici Marcelino! Protagoniste majeur du début de saison de l’OM et de la première crise qui a secoué le club marseillais en septembre, le technicien espagnol fait son retour au Stade Vélodrome jeudi avec Villarreal, pour un huitième de finale aller de Ligue Europa.
Il y a un paradoxe Marcelino. L’éphémère entraîneur de l’OM a quitté Marseille invaincu en championnat et il est pourtant à peu près unanimement détesté par les supporters du club, qui devraient lui réserver jeudi une bordée de sifflets dont l’intensité pourrait battre des records de décibels.
L’Espagnol avait quitté le club dans la foulée de la désormais célèbre réunion entre représentants des groupes de supporters et dirigeants du club au mois de septembre. Ses premières semaines avaient été moyennes, entourées d’un certain scepticisme autour de ses principes de jeu et de son immuable 4-4-2.
Mais ce n’est pas ça que Marseille lui reproche, ni l’élimination au tour préliminaire de la Ligue des Champions, ni même son départ précipité face à ce qu’il jugeait être des menaces inacceptables contre l’ensemble de l’équipe dirigeante du club. Ce que Marseille n’a pas pardonné, ce sont les déclarations qui ont suivi.
« Il y a des limites »
« Ces événements déplorables démontrent que ce n’est pas un club aussi grand que ce qu’il voudrait être. Certains supporters radicaux qui veulent influer en permanence sur les événements l’empêchent d’être un grand club », a-t-il ainsi déclaré quelques semaines plus tard dans une interview à L’Equipe.
« C’est une façon de procéder qui est très loin de ce que doit être la réalité, en 2023, dans un pays civilisé. Le football c’est de la passion, d’accord, mais il y a des limites », avait-il ajouté. « Mon expérience très courte me fait penser que c’est un club où créer un projet est absolument impossible », avait-il aussi lancé.
Ce week-end, après une nette victoire contre Grenade (5-1) qui confirme le bon état de forme du « Sous-Marin Jaune », le technicien espagnol est revenu avec un sourire sur ses retrouvailles à venir avec le Vélodrome. « Pour moi, il n’y a rien de spécial. Tous les matches sont les mêmes », a-t-il assuré.
« Je n’ai aucun regret. Je regarde le passé depuis une perspective positive et en étant concentré sur le présent. Je suis très heureux d’être à Villarreal. Il n’y a pas beaucoup plus à dire. J’aurais aimé aller au bout de mon contrat mais des circonstances l’ont empêché. Maintenant il faut regarder le présent », a-t-il encore lancé mercredi devant la presse marseillaise.
« Il n’y a aucun regret par rapport à ce qui s’est passé et la conscience est totalement tranquille de notre côté », a-t-il ajouté.
« On n’en parle jamais »
Mais à Marseille, le sentiment est un peu plus ambivalent. « On sait que ça va être chaud, notamment par rapport aux récentes déclarations qu’il a pu avoir. Honnêtement, ça nous a donné encore plus envie de faire un gros match jeudi », a ainsi déclaré Amine Harit dimanche dans Téléfoot.
Mercredi en conférence de presse, le discours était plus policé, ou mieux appris, du côté de Quentin Merlin, qui de toutes façons n’était pas encore arrivé quand l’Espagnol est parti.
« On n’en parle pas trop. On ne joue pas contre Marcelino mais contre Villarreal. Ca n’est pas une motivation en plus, on veut juste se qualifier et prendre une bonne option dès l’aller », a simplement expliqué le nouveau latéral gauche marseillais.
Même discours pour Jean-Louis Gasset, qui a réussi à redonner sourire, confiance et efficacité à ses joueurs en trois matchs et autant de victoires, contre le Shakhtar Donetsk (3-1), Montpellier (4-1) et Clermont (5-1). « Marcelino ? On n’en parle jamais. En tous cas, personnellement, je n’en parle jamais », a assuré le nouveau coach de l’OM.
« On joue contre Villarreal, on regarde comment ils jouent et je sais que c’est quelqu’un de respectable. Il a fait des choses dans le foot, il a une méthode et il a une équipe bien organisée. » Et jeudi, il aura aussi les oreilles qui sifflent.
L’EFL a officialisé la suspension du match Southampton-Preston North End mercredi (20h45) en raison d’un grave incendie dans les environs du St Mary’s Stadium. L’incident a entraîné la fermeture des routes autour de la zone.
Mauvaises nouvelles en Angleterre. Un grave incendie a ravagé la zone industrielle près du stade St. Mary’s mercredi. Un incendie majeur a forcé la suspension du match Southampton-Preston North End, prévu à 20h45.
La fumée dégagée par l’incident s’est répandue dans le ciel au-dessus du stade des Saints. L’incendie a également entraîné la fermeture immédiate des routes proches de la zone concernée. Les pompiers et les forces de sécurité se sont rendus sur les lieux pour tenter d’éteindre l’incendie.
L’origine de l’incendie est inconnue, mais la zone autour du stade a été visiblement détruite. Sans surprise, l’EFL a rapidement annulé le match Southampton-Preston North End.
Le club local a déclaré que la date serait revue dans un avenir proche. Tous les billets vendus pour ce match peuvent être utilisés pour le match de la 36e journée du championnat qui a été reprogrammé
Le Real Madrid fête aujourd’hui son 122e anniversaire, et Cristiano Ronaldo, son meilleur buteur, ne voulait pas manquer cette occasion pour envoyer un message à son ancienne équipe.
Cristiano Ronaldo n’a pas oublié l’anniversaire du Real Madrid, ce 6 mars, félicitant le club pour lequel il a joué pendant neuf ans (2009-2018) avec un simple message sur les réseaux sociaux : « Félicitations pour 122 ans d’histoire, famille madridista. Hala Madrid ! »
Avec 450 buts en 438 matches sous le maillot blanc, le Portugais est le meilleur buteur de l’histoire du géant espagnol, où il a remporté la Ligue des champions à quatre reprises.
Raúl González, Iker Casillas et Manolo Sanchís sont les joueurs qui ont joué le plus grand nombre de matches pour le Real Madrid, avec respectivement 741, 725 et 693 matches, tandis que Cristiano Ronaldo (450), Karim Benzema (345) et Raúl (323) complètent le podium des meilleurs buteurs du Real.
D’autres joueurs passés par le Real Madrid, tels que Pepe, Marcelo ou Sergio Ramos, ont également félicité le « roi de la Ligue des champions ».
Le Bayern Munich est « ravi » que le jeune Français Mathys Tel ait prolongé son contrat de deux ans, jusqu’en 2029, a indiqué le club champion de Bundesliga dans un communiqué mercredi.
Le joueur de 18 ans, qui a quitté le club français de Rennes pour Munich à l’été 2022, avait déjà un contrat jusqu’en 2027, mais la prolongation l’amène maintenant jusqu’au 30 juin 2029.
« Cette prolongation de contrat signifie beaucoup pour moi », a déclaré Tel dans le communiqué du club.
« J’ai déjà beaucoup appris au Bayern, sur le terrain et en dehors. Munich est devenu une maison pour moi et ma famille. Je veux marquer et préparer des buts, jouer avec cœur et énergie pour le Bayern, et tout donner pour ce club et ses fans ».
Tel a fait ses débuts en Ligue 1 avec Rennes à l’âge de 16 ans avant de rejoindre Munich pour un montant de 28 millions d’euros. Il a aujourd’hui joué 59 fois et marqué 13 buts pour le Bayern, remportant la Bundesliga dès sa première saison. Il a également représenté la France dans les catégories d’âge jusqu’aux moins de 21 ans, mais n’a pas encore été appelé par Didier Deschamps en équipe senior.
Max Eberl, membre du conseil d’administration, a déclaré que le Bayern était « ravi » que Tel ait prolongé son séjour, le décrivant comme une « base importante pour l’avenir de cette équipe ». Le directeur sportif Christoph Freund est allé encore plus loin dans son éloge de l’adolescent.
« Chaque club veut des joueurs comme Mathys Tel, jeunes, extrêmement talentueux, affamés et désireux d’apprendre », a-t-il déclaré. « La façon dont il joue déjà à ce niveau à l’âge de 18 ans est quelque chose de spécial. Mathys joue un rôle important ici. Maintenant, nous franchissons les prochaines étapes ensemble et nous nous réjouissons des années à venir avec lui. »
Le champion d’Europe en titre Manchester City, avec des stars au repos, a surclassé mercredi Copenhague (3-1), comme à l’aller, et atteint les quarts de finale de la Ligue des champions pour la septième année d’affilée.
Pep Guardiola n’a échoué qu’une fois aux portes du Top-8 depuis son arrivée dans le nord de l’Angleterre, durant sa première saison en 2016-2017, un accroc durablement effacé depuis.
Mercredi, l’entraîneur catalan s’est même payé le luxe de reposer certaines de ses pépites, tranquillisé par le succès du huitième de finale aller au Danemark (3-1), et par la qualité de ses doublures.
Les jeunes Rico Lewis et Oscar Bobb, à 19 et 20 ans respectivement, sont déjà comme des poissons dans l’eau quand l’hymne de la Ligue des champions retentit.
Sur le banc, les tauliers Kyle Walker, Bernardo Silva, Phil Foden ou encore Kevin De Bruyne ont vu leurs partenaires surnager face à une équipe de Copenhague rarement conviée dans le grand bain européen.
En moins de dix minutes, les visiteurs avaient déjà ramassé deux fois le ballon au fond des filets, de quoi annoncer une très longue soirée.
Le défenseur Manuel Akanji a repris comme un attaquant, à la volée, un corner de Julian Alvarez (5e, 1-0), avant que le champion du monde argentin ne marque à son tour, avec l’aide d’une grossière faute de main du gardien (9e, 2-0).
La rencontre a été à peine relancée par Mohamed Elyounoussi (29e, 2-1), à la conclusion d’une contre-attaque bien menée avec Orri Oskarsson, un des trois milieux de moins de 20 ans alignés par Copenhague à l’Etihad.
L’artilleur en chef, Erling Haaland, a tué tout suspense en ajoutant un 29e but à sa collection, cette saison: contrôle entre deux joueurs, protection de balle, crochet et frappe croisée (90e+3, 3-1).
Son passeur, Rodri, a laissé sa place au moins utilisé Sergio Gomez dès la mi-temps. Ruben Dias a suivi plus tard, puis Haaland en fin de match, remplacé par Jacob Wright, 18 ans.
La seule contrariété est venue de la blessure, à la main gauche, de Matheus Nunes, contraint de sortir au profit de Micah Hamilton (20 ans)
Pour le reste, c’était une soirée parfaite pour Pep Guardiola en prévision du choc contre le leader du championnat, Liverpool, qu’il talonne d’un point, dimanche à Anfield.
Les champions d’Angleterre et d’Europe en titre attaquent la dernière ligne droite de la saison pied au plancher, alimentant le rêve d’un nouveau triplé (avec la Coupe d’Angleterre) par une forme étincelante.
Mercredi, ils ont étiré leur série d’invincibilité à vingt matches, toutes compétitions confondues, dans un stade où ils n’ont plus perdu une seule rencontre européenne depuis 2018.
Une autre statistique montre la toute-puissance de Manchester City, spécifiquement en Ligue des champions: les Anglais comptent désormais huit victoires en huit matches, cette saison, avec à chaque fois trois buts marqués.
Le club propriété de l’Abu Dhabi United Group connaîtra le 15 mars l’identité de son futur adversaire dans la grande Coupe d’Europe. Le Real Madrid, le Bayern Munich et le Paris Saint-Germain sont également qualifiés.
Accroché sur sa pelouse par Leipzig (1-1), le Real Madrid a validé mercredi son billet pour les quarts de finale de la Ligue des champions dans la douleur grâce à son avantage du match aller (1-0) et un but de Vinicius.
Les Madrilènes, qui retrouvent les quarts pour la quatrième année consécutive, ont à nouveau souffert contre une formation allemande qui regrettera longtemps d’avoir dominé deux fois le grand Real, sans parvenir à le faire tomber.
Un premier accroc – sans conséquence – cette saison sur la scène européenne après sept victoires en sept rencontres pour le club merengue, pour qui une élimination à ce stade de la compétition aurait été un échec retentissant.
Pour fêter ses 122 ans d’existence, le Real souhaitait finir le travail et rappeler, comme inscrit sur un tifo déployé avant le match, qu’il est « le Roi d’Europe », avec ses quatorze couronnes continentales.
Mais le coup tactique tenté par Carlo Ancelotti, qui a décidé de verrouiller en se privant au coup d’envoi du Brésilien Rodrygo en attaque pour amener le surnombre au milieu grâce au polyvalent Federico Valverde, n’a pas porté ses fruits.
Leipzig proche de l’exploit
Le prodige anglais Jude Bellingham a été la première victime de ce choix, lui qui s’est montré si à l’aise dans le schéma en 4-4-2 depuis le début de saison avec 20 buts en 30 matchs.
Seul dans l’axe avec quasiment à chaque fois deux joueurs sur lui et souvent dos au but, Bellingham a tenté de dézonner mais n’a pu peser comme à son habitude et a fini la première mi-temps en montrant un certain agacement.
Les Madrilènes, imprécis et inoffensifs à l’exception d’une tête juste au-dessus de Vinicius (12e), ont, comme au match aller en Allemagne, concédé plusieurs occasions franches en première période qui auraient pu leur couter cher.
Heureusement pour eux, elles n’ont pas été converties par l’ancien Lensois Lois Openda, qui a manqué de réalisme à trois reprises (13e, 15e, 42e), ni par l’espoir néerlandais Xavi Simons (41e), et les deux équipes sont rentrées aux vestiaires sous les sifflets.
Symbole de la frustration des joueurs madrilènes, Vinicius a ensuite frôlé le carton rouge après avoir violemment bousculé Orban (54e), loin de l’action en cours.
Mais comme à Valence le week-end dernier, « Vini », bien muselé jusqu’ici par l’ex-défenseur de l’AS Monaco Benjamin Henrichs, a fini par trouver la faille sur un contre parfaitement emmené par Bellingham pour libérer le Bernabéu (65e, 1-0).
Une joie de courte durée pour les supporters merengues, qui se sont remis à trembler à peine une minute plus tard sur une frappe de Xavi Simons détournée de justesse par Rudiger (66e).
Les milliers d’Allemands qui avaient fait le déplacement ont exulté à leur tour, le capitaine Orban ramenant son équipe à un but d’une prolongation d’une tête décroisée devant Nacho (68e, 1-1).
Les joueurs de Leipzig ont continué à croire en leur chance jusqu’au bout et ont bien failli réussir à arracher trente minutes supplémentaires, mais le lob de l’ailier espagnol Dani Olmo au bout du temps additionnel est venu s’écraser sur la barre de Lunin (91e).
Le Parquet provincial de Madrid a requis quatre ans et neuf mois de prison à l’encontre de l’entraîneur du Real Madrid, Carlo Ancelotti. Selon le ministère public, il aurait commis une fraude de plus d’un million d’euros entre 2014 et 2015.
Le Parquet provincial de Madrid a requis 4 ans et 9 mois de prison pour l’entraîneur du Real Madrid, Carlo Ancelotti, accusé d’avoir fraudé le Trésor public espagnol de plus d’un million d’euros au cours des années fiscales 2014 (386 361 euros) et 2015 (675 718 euros), lors de son premier passage sur le banc des Merengues.
Le ministère public l’accuse de deux délits à l’encontre du fisc espagnol, car bien qu’Ancelotti ait déclaré être résident fiscal en Espagne et avoir son domicile à Madrid, il n’a inclus dans ses déclarations fiscales que la rémunération de son travail personnel reçue du Real Madrid et a omis les gains provenant de ses droits à l’image, qui avaient attiré l’attention du fisc en 2020.
Pour rappel, Xabi Alonso, entraîneur du Bayer Leverkusen, a été acquité il y a quelques mois sur une affaire similaire datant de 2015.
Premier test pour le Golden Boy: absent au match aller, le prodige anglais Jude Bellingham a l’occasion mercredi contre Leipzig de s’affirmer un peu plus comme nouvelle étoile du football européen, en amenant le Real Madrid en quarts de finale de la Ligue des champions.
Auteur d’une première partie de saison exceptionnelle au Real avec 20 buts en 30 matches officiels, dont quatre en C1, « Bellingol » a ralenti la cadence mais espère bien se relancer après une blessure à la cheville qui l’a privé de trois rencontres.
L’efficacité et la vista du milieu de terrain anglais de 20 ans, devenu un pilier essentiel de l’équipe de Carlo Ancelotti, avait manqué au match aller en Allemagne, où le club merengue s’en est remis à un bijou de son remplaçant Brahim Diaz pour s’imposer 1-0.
Un court avantage, surtout depuis la suppression de la règle du but à l’extérieur comptant double en cas de match nul.
« C’était un bon match, un bon résultat, mais il y a encore 90 minutes à jouer dans notre stade« , a prévenu Carlo Ancelotti après la victoire à Leipzig.
L’entraîneur italien devrait redonner les clés du jeu merengue à sa pépite britannique, frustrée samedi à Valence (2-2) avec un but refusé sur le gong et un carton rouge reçu pour protestation, alors que l’arbitre a sifflé la fin du match en pleine action au bout du temps additionnel.
Une nouvelle réalisation dans le « Bellingtime » pour l’Anglais, qui a jusqu’ici toujours répondu présent dans les moments clés de la saison, en phase de poules de C1 (4 buts en 5 matchs), dans le Clasico contre le FC Barcelone (doublé) ou lors du récent choc en Liga face à Gérone (doublé).
Le mérite en revient selon lui à Ancelotti, « qui a trouvé la bonne position pour moi et m’a donné plus de liberté sur le terrain. En ce moment je vole », a déclaré Bellingham en décembre après avoir remporté le trophée du Golden Boy.
« Bellingham m’a un peu surpris. En Allemagne, il jouait dans une position plus reculée. À Madrid, il joue comme un meneur de jeu, presque comme un 9. C’est incroyable les buts qu’il a marqués et le poids qu’il a au Real Madrid », a déclaré l’attaquant espagnol de Leipzig Dani Olmo à la radio Cadena Cope lundi soir.
Leader de Liga avec 20 victoires et une seule défaite en 27 journées, le club madrilène doit finir le travail au Santiago Bernabeu, au coeur de l’une de ces nuits européennes qui ont bâties sa légende.
Un succès, ou même un match nul, contre une formation allemande qui a frôlé l’exploit à l’aller, rapprocherait le Real d’une quinzième couronne continentale, dans une compétition sans clair favori cette année.
« Nous avons un petit avantage, mais nous devons jouer à notre meilleur niveau de la première à la dernière minute » a estimé Carlo Ancelotti mardi.
Le technicien italien se méfie d’une équipe de Leipzig « dangereuse dans les transitions » avec « des joueurs très rapides » comme Xavi Simons, l’espoir néerlandais prêté par le PSG, et le Belge Lois Openda, ancien buteur de Lens.
« Nous savons que le match retour à Madrid est difficile, mais nous avons montré à l’aller, surtout en première mi-temps, qu’il est possible de les battre et que nous sommes dangereux », a prévenu Christoph Baumgartner, le milieu de terrain de Leipzig, dans une interview accordée à Marca.
Arrivé à Rome dans les dernières heures du mercato estival, Matteo Guendouzi n’a pas perdu de temps: l’ancien Marseillais est rapidement devenu indispensable à la Lazio, opposée mardi au Bayern Munich en 8e de finale retour de la Ligue des champions.
Les négociations pour son transfert, sous la forme d’un prêt avec option d’achat obligatoire de 13 millions d’euros, ont traîné en longueur.
Mais à l’image de son premier match sous le maillot lazial le 2 septembre 2023, une victoire 2-1 sur le terrain du champion en titre Naples qu’il a contribué à étouffer physiquement, Guendouzi, 24 ans, a vite pris ses marques.
Il a même été désigné par l’UEFA « Joueur du match » du 8e de finale aller remporté 1 à 0 par la Lazio dans son Stade olympique mi-février.
Au point que son entraîneur Maurizio Sarri le considère comme l’un de ses cadres inamovibles: il l’a aligné lors des 25 derniers matches de Serie A (22 comme titulaire, pour 1875 minutes de jeu et deux buts).
Cette série va toutefois prendre fin: vendredi, dans une fin de match complétement folle contre l’AC Milan (défaite 1-0), Guendouzi a été exclu, comme deux autres de ses coéquipiers, et pourrait écoper pour son mauvais geste de deux matches de suspension.
Mais il faudrait plus que ce carton rouge pour que les supporters de la Lazio tournent le dos à celui qu’ils considèrent comme la meilleure recrue de l’été 2023, voire de ces dernières intersaisons.
Ce n’était pourtant pas gagné: le vice-champion du monde 2022 avait la lourde tâche de remplacer Sergej Milinkovic-Savic, parti en Arabie saoudite après huit saisons sous le maillot de la Lazio.
« Passion et grinta »
Mais le milieu de terrain, formé au Paris SG et passé par Lorient (2016-18), Arsenal (2018-20), le Hertha Berlin (2020-21) et Marseille (2021-23), a déjà fait oublier son prédécesseur serbe, considéré comme l’un des meilleurs milieux de terrain de Serie A.
« Je n’aime pas parler des individualités parce que Guendouzi ne nous fait pas gagner nos matches à lui tout seul, relève le président et propriétaire de la Lazio, Claudio Lotito, mais c’est un joueur qui fait preuve de passion, de +grinta+, qui a envie de se battre et de tout donner pour son équipe ».
« A la différence des autres recrues arrivées cet été et en dépit de sa jeunesse, il a beaucoup d’expérience. Grâce à son parcours, il est prêt à relever tous les défis », renchérit son entraîneur.
Sarri avait déjà repéré le combattif milieu lorsqu’il entraînait Chelsea (2018-19) et que ses Blues avaient battu Arsenal en finale de la Ligue Europa (4-1).
La présence du technicien italien a été déterminante lorsqu’il a fallu tourner la page marseillaise plus tôt que prévu et sur l’insistance de ses dirigeants.
Homme à poigne, parfois abrasif, Sarri rappelle sans doute à Guendouzi les deux entraîneurs qu’il a connu à l’OM, Jorge Sampaoli, auquel il était très attaché, et Igor Tudor.
« Avec lui, j’apprends beaucoup sur le plan tactique, j’ai progressé dans ce registre », a-t-il reconnu dans l’une de ses rares interviews.
Depuis Rome, il espère retrouver aussi le chemin des Bleus et convaincre Didier Deschamps, qui ne l’a plus convoqué depuis le Mondial-2022, de le retenir pour l’Euro-2024 en Allemagne: « C’est clairement un objectif, pour cela, il faut que je continue d’être performant match après match ».
A commencer par ce déplacement à Munich où la Lazio peut décrocher pour la deuxième fois en sept participations à la C1 son visa pour les quarts de finale.
Mikel Arteta, l’entraîneur d’Arsenal, pense que l’ailier anglais Bukayo Saka peut devenir un attaquant de pointe à l’avenir, à l’image de son idole Cristiano Ronaldo.
Mikel Arteta, l’entraîneur d’Arsenal, a lancé un défi à Bukayo Saka. Il pense que l’international anglais « peut devenir bien meilleur » et qu’il pourrait même égaler les talents de buteur de Cristiano Ronaldo.
Alors qu’il était ailier gauche, l’international portugais a inscrit 25 buts lors de sa dernière saison avec Manchester United en 2008/09. Saka compte actuellement 16 buts et 13 passes décisives à son actif, dont sept buts lors de ses cinq derniers matches de Premier League.
A la question de savoir si l’Anglais devrait s’inspirer de Ronaldo pour devenir un ailier prolifique, Arteta a répondu : « J’espère que c’est ce qu’il fait, parce qu’il peut devenir bien meilleur. Je pense qu’il peut encore se mettre dans de meilleures positions. Sa finition, en particulier dans certaines surfaces, doit s’améliorer, de même que son timing. Il peut donc faire mieux. »
Même s’il n’a marqué qu’un petit but en 11 matches en octobre et novembre, le joueur de 22 ans est désormais en pleine forme. Pour le plus grand bonheur de son entraîneur : « Est-il plus efficace aujourd’hui ? La réponse est oui. L’impact qu’il a eu au cours des sept ou huit derniers matches a été très bon. Je suis très heureux d’avoir un joueur en forme. »
Pour rappel, Bukayo Saka a récemment révélé sur le podcast « Men in Blazers » que Cristiano Ronaldo était son idole lorsqu’il était plus jeune.
Le traumatologue Enrique Gastaldi a analysé la très grave blessure de Mouctar Diakhaby au micro de SER Deportivos. Il a déclaré qu’il s’agissait de la « plus grave blessure au genou qu’un joueur de football puisse avoir ».
Mouctar Diakhaby, gravement blessé samedi soir lors d’un match de Liga match contre le Real Madrid (2-2), souffre d’une « luxation du genou droit« , a annoncé dimanche son club.
Lors d’un duel en fin de match avec le milieu de terrain international français du Real Aurélien Tchouaméni, ce dernier est retombé involontairement sur Diakhaby (86e) faisant plier sa jambe droite.
Le joueur a été évacué sur une civière sous l’ovation du public de Mestalla avant d’être emmené à l’hôpital à bord d’une ambulance.
Certains médias parlent d’une indisponibilité d’au moins un an. D’autre part, le spécialiste en traumatologie et chirurgie orthopédique Enrique Gastaldi, médecin à l’Hôpital clinique universitaire de Valence depuis 1986, s’est exprimé au micro de ‘SER Deportivos Valencia’ et a assuré que le défenseur central ne devait pas se fixer de date limite.
« Diakhaby a la blessure la plus grave qu’un footballeur puisse subir au genou. Dans des blessures comme celle-ci, la première chose à vérifier est que le patient puisse à nouveau marcher, a affirmé le chirurgien. C’est effrayant. La luxation a pris le ligament croisé antérieur et le ligament croisé postérieur en avant. Ce sont des blessures très graves, inhabituelles. Pour que l’os sorte, il faut que les ligaments se cassent. On parle de quatre ou cinq ligaments, cela nécessite une étude ultérieure très poussée. »
Bien que ses déclarations semblent très décourageantes, Enrique Gastaldi estime qu’au moins le Guinéen retrouvera une vie normale au quotidien : « Quand vous avez une lésion de l’artère fémorale, votre jambe est en jeu, mais vous n’aurez pas de problèmes pour marcher ». Cependant, le traumatologue maintient qu' »il y a une forte probabilité que Diakhaby ne puisse pas rejouer au football ».
Présent en conférence de presse mardi, l’attaquant Erling Haaland se dit heureux de jouer à Manchester City mais admet qu' »on ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve ».
Erling Haaland a rejoint Manchester City en provenance du Borussia Dortmund à l’été 2022 pour la modique somme d’environ 45 millions d’euros. Depuis son arrivée, il écrase tout sur son passage, avec déjà 80 buts inscrits en 83 matches.
Le contrat du joueur de 23 ans avec le club anglais expire en juin 2027, mais son nom revient avec insistance du côté du Real Madrid. Interrogé sur son avenir, le Norvégien s’est dit « très heureux » de jouer pour les Sky Blues, tout en laissant la porte ouverte à un éventuel départ à un moment donné.
« Je suis très heureux, surtout avec les gens qui m’entourent. Je le dis maintenant, ce sera probablement un gros titre, mais on ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve, mais je suis heureux. Vous pouvez écrire cela, mais vous devez aussi écrire tout ce que j’ai dit auparavant. Je suis heureux », a-t-il dit en conférence de presse mardi, à la veille du huitième de finale retour de C1 contre Copenhague.
À noter qu’en privé, les proches de Haaland se sont moqués des dernières rumeurs l’envoyant au Real Madrid, mais on sait depuis longtemps qu’il a toujours aimé l’idée d’y jouer.
Le milieu de terrain du Real Madrid, Eduardo Camavinga, a déclaré en conférence de presse qu’il ne sait pas où jouera son compatriote Kylian Mbappé la saison prochaine.
L’avenir de Kylian Mbappé ne cesse de faire les gros titres de la presse sportive. Après que la star française a informé le PSG qu’il ne prolongerait pas son contrat afin de pouvoir partir gratuitement à la fin de la saison, beaucoup supposent que sa prochaine destination sera finalement le Real Madrid, qui l’attend depuis des années.
Ces dernières semaines, de nombreux joueurs du Real ont été interrogés sur l’éventuelle arrivée du Tricolore, à l’instar d‘Eduardo Camavinga lors de la conférence de presse ce mardi, à la veille du huitième de finale retour de Ligue des champions contre le RB Leipzig.
« Tu veux que je te dise la vérité ? Je ne lui ai pas parlé, c’est un joueur du PSG et je ne sais pas ce qu’il va faire la saison prochaine. Quand j’irai au rassemblement de la sélection, nous en parlerons sûrement, mais il ne dira rien. C’est normal », a répondu le milieu français.
L’Inter Milan fonce vers le 20e titre de champion d’Italie de son histoire après sa victoire 2 à 1 lundi face au Genoa qui lui offre une avance confortable de quinze points sur la Juventus Turin.
A onze journées du terme de la saison 2023-24, le service marketing de l’Inter peut commencer à concevoir le maillot nerazzurro 2024-25 orné d’une deuxième étoile.
A moins d’une incroyable implosion, le club milanais devrait devenir la deuxième équipe dans l’histoire de la Serie A après la Juve (36 titres) à atteindre le chiffre magique des vingt « scudetti ».
La question n’est sans doute plus de savoir si l’Inter va succéder à Naples, mais quand l’équipe de Simone Inzaghi sera sacrée.
Au rythme où file l’Inter et où musarde la concurrence, la consécration pourrait même arriver bien avant la 33e journée fin avril où est programmé le derby contre l’AC Milan – certains tifosi intéristes rêvent que le titre soit décidé à l’issue de ce match particulier.
Contre le Genoa, en clôture de la 27e journée, l’Inter a signé grâce à Kristjan Asllani (30e) et Alexis Sánchez (38e) sa neuvième victoire consécutive en championnat, son 23e de la saison en Serie A, pour une seule défaite.
« Quinze points, c’est une avance importante, mais il ne faut pas s’emballer, il y a encore beaucoup de matches et il faut rester concentrés », a toutefois prévenu Asllani.
« Nous avons notre destin en mains, c’est clair », a reconnu son entraîneur, avant de prévenir: « Je suis dans le football depuis tant d’années, je reste prudent, car on va avoir des matches très compliqués, contre Bologne, l’Atletico ou Naples ».
Thuram de retour
Aucune équipe parmi les cinq grands championnats européens ne soutient la comparaison avec les finalistes de la Ligue des champions 2023 qui se rendront la semaine prochaine à Madrid avec un avantage d’un but (1-0 à l’aller) pour affronter l’Atletico en 8e de finale retour de la C1.
L’Inter de Lautaro Martinez (en tête du classement des buteurs avec 23 réalisations) et de Marcus Thuram, de retour lundi après deux semaines d’arrêt sur blessure à une cuisse, a la meilleure attaque (69 buts inscrits) et la meilleure défense (13 encaissés) du « Big 5 européen ».
Elle peut même viser le record de points engrangés dans une saison de Serie A détenu depuis 2013-14 par la Juve (titrée avec 102 pts).
Le grand rival piémontais a laissé au cours des quatre dernières semaines le champ libre à l’Inter. Depuis le 4 février, les joueurs de Massimiliano Allegri n’ont empoché que quatre points en cinq matches, tandis que l’Inter a réalisé dans le même temps un impressionnant carton plein de 18 points en marquant 19 buts pour seulement trois encaissés !
Derrière l’AC Milan, 3e à 16 points, Bologne, surprenant 4e et prochain adversaire de l’Inter, accuse 21 points de retard. Le champion en titre Naples est lui relégué à 29 points (7e).
Fort de sa victoire 2-0 à l’aller, le Paris SG a l’opportunité rêvée de se qualifier pour les quarts de finale de la Ligue des champions mardi soir (21h00) contre la Real Sociedad à Saint-Sébastien, malgré les tensions des derniers jours entre Kylian Mbappé et l’entraîneur Luis Enrique.
Eliminé deux fois de suite en huitième de finale de la compétition reine en Europe, le club a cette fois-ci mis toutes les chances de son côté… si ce n’était la polémique qui a entouré la gestion de son attaquant star par le coach lors des trois derniers matches.
Mbappé est particulièrement scruté en France et en Espagne depuis qu’il a annoncé à ses dirigeants qu’il allait quitter le PSG cet été. C’est le moment qu’a choisi Luis Enrique pour rogner son temps de jeu et affirmer son leadership sur l’équipe.
Vendredi dernier à Monaco (0-0), l’entraîneur espagnol a sorti sa superstar dès la mi-temps, après l’avoir fait démarrer sur le banc à Nantes le 17 février (2-0) puis l’avoir remplacé à l’heure de jeu contre Rennes le 25 février (0-0).
L’attitude de Kylian Mbappé au stade Louis-II a exacerbé la tension: il est sorti du vestiaire alors que le match avait repris depuis quelques minutes, contournant lentement la pelouse pour rejoindre non pas le banc de son équipe mais la tribune où était assise sa mère, qui gère ses intérêts.
Luis Enrique a ensuite redit qu' »il faudra s’habituer à jouer sans Kylian Mbappé », une lourde tâche au vu des 32 buts inscrits par l’attaquant cette saison, toutes compétitions confondues.
En cas de faux-pas à Saint-Sébastien, sa gestion du cas Mbappé sera forcément source de débats et il sortira extrêmement fragilisé de l’épisode, moins d’un an après sa nomination.
L’entourage du joueur s’est de son côté employé à déminer ce terrain dangereux et a assuré que le capitaine de l’équipe de France était « concentré sur le match de mardi ».
« Concentrés », c’est aussi ce que Luis Enrique a souhaité pour ses joueurs lundi en conférence de presse, leur donnant l’exemple en éludant les questions autour de Mbappé. Quitte à s’appuyer sur l’incompréhension de la traductrice, dans une séquence illustrant sa gêne sur ce dossier.
« Je pense que le match de demain (mardi) est le plus important, je n’ai pas d’autre commentaire à faire », a-t-il finalement répondu.
Et le technicien d’évoquer le résultat obtenu au match aller: « Un résultat très bon, sans aucun doute, mais il peut être compliqué si tu ne sors pas sur le terrain avec une très bonne attitude, concentrée. »
« Les yeux dans les yeux »
Car en plus de cette mini-crise qui pourrait laisser des traces, Luis Enrique souhaitant gérer le cas Mbappé « au mieux pour l’équipe » sur le long terme, le PSG doit aussi chasser les démons qui l’assaillent lors des matches retours.
Le club a dans son histoire récente dilapidé son avantage, comme lors de la fameuse remontada en 2017 contre Barcelone (victoire 4-0 à l’aller, défaite et élimination 6-1 au retour) mais aussi contre Manchester United en 2019 (victoire 2-0 à l’aller en Angleterre, défaite et élimination 3-1 au retour au Parc des Princes) et contre le Real Madrid en 2022 (1-0, 1-3).
Et il doit aussi « s’améliorer à l’extérieur », comme l’a dit l’attaquant Bradley Barcola. « On travaille beaucoup pour ça », après les défaites à Newcastle et Milan en phase de groupes, a-t-il assuré. « On n’a pas de matelas d’avance, pas sur ce type de match », a aussi affirmé l’ancien Lyonnais, buteur au match aller.
Reste qu’une élimination serait une énorme surprise doublée d’une terrible désillusion.
La chance du PSG est d’affronter une Real Sociedad en plein marasme, qui a perdu cinq de ses dix derniers matches (pour seulement deux victoires) et figure en 7e position en Liga.
« Il y a trois mois, personne ne pensait qu’on terminerait premier de notre groupe en Ligue des champions. On l’a fait », a rappelé l’entraîneur basque Imanol Alguacil lundi pour motiver ses troupes.
« Nous avons été capables de regarder le PSG les yeux dans les yeux en première période à l’aller. Je pense qu’on peut le faire », a-t-il insisté.
« Quand je suis dans un bon jour, je peux affronter n’importe qui », a prévenu de son côté la pépite japonaise de la Real Takefusa Kubo, auteur d’une bonne première période à Paris sans parvenir à se créer d’occasions.
Ce lundi, Pedri González a partagé son premier message sur les réseaux sociaux après avoir appris sa blessure au fémur droit : « Les larmes d’impuissance seront à nouveau des larmes de bonheur ».
Le calvaire de Pedri González se poursuit. Le joueur du Barça souffre d’une nouvelle blessure à cuisse droite et a tenu à faire une brève déclaration sur ses réseaux sociaux.
« Il est difficile de s’arrêter et de recommencer après tous les efforts et le travail. Mais ne doutez pas que les larmes d’impuissance d’hier redeviendront bientôt des larmes de bonheur », a déclaré le milieu de terrain.
Pedri González a conclu par des mots d’affection pour les supporters barcelonais : « C’est incroyable tout l’amour que vous m’avez témoigné ces dernières heures. Pour vous, pour le staff, pour tous ceux qui m’entourent et pour moi-même, nous devons regarder vers l’avant. Nous avons encore beaucoup de joie à partager. Som-hi !
Le FC Barcelone a annoncé que le « 8 » et Frenkie de Jong sont toujours en attente de nouveaux développements. La progression des deux dans leur processus de guérison respectif déterminera leur disponibilité.
L’international italien de Sassuolo Domenico Berardi souffre d’une rupture d’un tendon d’Achille et sera indisponible pour l’Euro-2024 (14 juin-14 juillet) en Allemagne, a annoncé lundi son club.
« Les examens ont mis en évidence que Domenico Berardisouffre d’un rupture totale du tendon d’Achille de la jambe droite », a expliqué Sassuolo dans son communiqué.
Berardi (28 sélections, 8 buts) sera opéré mardi, a précisé son club, qui n’a pas donné de détails sur la durée de son indisponibilité.
L’attaquant, membre de l’équipe d’Italie sacrée championne d’Europe en 2021, s’est blessé dimanche lors de la défaite de son équipe à Vérone (1-0).
Alors qu’il disputait son premier match depuis un mois et demi en raison d’une blessure à un genou, il a dû quitter, en larmes, ses coéquipiers à la 60e minute après s’être effondré en contrôlant un ballon qui semblait anodin.
Berardi, 29 ans, était l’un des hommes de base du sélectionneur de la Nazionale Luciano Spalletti dans un secteur offensif manquant notoirement d’efficacité.
Il a notamment inscrit deux buts lors du match de qualification à l’Euro-2024 contre Malte (4-0) mi-octobre.
La Nazionale, dirigée depuis août par Spalletti, affrontera en phase de poules de l’Euro-2024 l’Albanie, l’Espagne et la Croatie (groupe B).
La Fédération croate de football a annoncé la convocation de 25 joueurs – dont six réservistes – pour un tournoi amical qui sera disputé par l’équipe des Balkans à Abou Dhabi lors de la trêve de mars. Modric est bien là.
À un peu moins de trois mois du début de l’Euro 2024 en Allemagne, les équipes se préparent déjà à l’événement. C’est le cas de la Croatie, qui tentera de se préparer dès le mois de mars avec un tournoi amical à Abu Dhabi.
La « W Cup » se déroulera du 22 au 26 mars aux Emirats Arabes Unis et la Fédération des Balkans a proposé ce lundi la convocation pour cet événement. A noter que LukaModric, qui n’a pas beaucoup joué avec le Real Madrid cette saison, est chargé de diriger l’équipe.
La demi-finale opposera la Croatie à la Tunisie, tandis que l’autre match opposera l’Égypte à la Nouvelle-Zélande pour une place en finale.
Al Ain a battu Al Nassr 1-0 lors du match aller des quarts de finale de la Ligue des champions de l’AFC. Le but de Soufiane Rahimi oblige l’équipe dirigée par Cristiano Ronaldo à revenir au score au match retour. Aymeric Laporte a été expulsé dans les arrêts de jeu pour agression.
Al Nassr et CristianoRonaldo n’ont pas répondu aux attentes. Ils se sont inclinés 1-0 face à Al Ain lors du match aller des quarts de finale de la Ligue des champions de l’AFC. L’équipe de Luis Castro devra revenir au score au match retour.
Soufiane Rahimi a trouvé le chemin des filets à la mi-temps. Malgré le changement de dynamique après la pause, le club saoudien n’a pas marqué et n’a pas été à la hauteur de la tâche.
La goutte d’eau qui a fait déborder le vase pour Al Nassr est survenue dans les arrêts de jeu. Lors d’une dispute sur un corner, Aymeric Laporte a reçu un carton rouge pour agression. Le défenseur central espagnol ne participera pas au match retour.
Sans son pilier en défense et sans Cristiano Ronaldo qui n’a pas son rendez-vous avec le but. Al Nassr devra montrer un tout autre visage s’il veut rester dans la course à la Ligue des champions de l’AFC.
Rafael Leão, dans une interview accordée au Corriere della Sera, a confirmé qu’il avait l’intention de rester à Milan malgré les rumeurs l’envoyant au Paris Saint-Germain.
Rafael Leão a révélé lundi qu’il n’envisageait pas de quitter l’AC Milan, auquel il est « fidèle » et avec lequel il a encore un contrat de quatre ans, soit jusqu’en 2028. « Mon avenir est à Milan. Je suis ici et j’ai encore quatre ans de contrat. Milan m’a aidé quand j’étais dans une situation très difficile et je ne l’oublie pas, je suis loyal », a-t-il déclaré dans une interview publiée par le Corriere della Sera.
« Quand vous êtes à Milan, vous devez réussir. Ce n’est pas un choix, c’est un devoir. Laisser son nom dans l’histoire », a-t-il dit, avant d’évoquer le fléau du racisme dans les stades de football, notamment en Italie.
« Le racisme est partout, malheureusement. C’est pourquoi nous, les footballeurs, devons essayer de faire quelque chose, car nous jouissons d’une grande popularité. Nous devons tirer parti de cette force en envoyant des messages. Milan est très conscient de ce problème. L’affaire Maignan à Udine l’a montré. Nous avons eu raison d’agir ainsi, c’était la bonne chose à faire que de quitter le terrain. »
Dans un entretien accordé à Seneweb, Serigne Saliou Dia, le sélectionneur de l’équipe nationale U20, revient sur l’objectif du Sénégal aux Jeux africains d’Accra prévus du 8 au 24 mars 2024. Il a aussi abordé les raisons pour lesquelles certains joueurs ont été libérés pour rejoindre leurs clubs respectifs, entre autres.
En perspective des Jeux africains Accra-2024, l’équipe nationale du Sénégal des moins de 20 ans, dont vous êtes le coach, a entamé la dernière phase de préparation depuis le 26 février dernier. Avec autant de changements dans l’effectif, comment faire adhérer à un projet collectif tous les joueurs ? Je pense que depuis un mois, on a commencé la dernière phase du stage. Elle a été précédée par d’autres. La première, il s’agissait de repérer des joueurs dans le championnat local. Après, on s’est projeté chez les U17 qui jouent régulièrement. Maintenant, c’est la sélection finale. Je peux vous dire qu’on est sur la dernière ligne droite. En principe, ce n’est pas du tout facile de mettre en place une nouvelle équipe. Certes, les U17 comprennent mieux le projet. Il faudra juste essayer de travailler davantage et ça va nous permettre de mettre en place une belle équipe. Je reste optimiste, car j’ai des joueurs très compétitifs.
En pleine préparation, certains joueurs étaient libérés pour rejoindre leurs clubs respectifs. Pourquoi ? Je pense que ce n’est pas méchant de laisser les joueurs aller jouer dans leurs clubs respectifs. Depuis quelques années, c’est la stratégie, puisque ça va les aider à avoir plus de minutes dans les jambes. C’est important qu’ils aient joué. D’autant plus que le championnat était arrêté depuis un bon moment. Il ne faut pas oublier que ces joueurs sont des employés. D’ailleurs, leurs clubs comptent sur eux.
À un moment donné, le Sénégal trônait sur le toit de l’Afrique dans toutes les catégories confondues. Le scénario semble avoir changé. Que faire pour reprendre notre leadership, vu que le Sénégal n’est pas novice ? Ce qui est important pour nous, c’est de bâtir une équipe. Nos prédécesseurs ont effectué un travail remarquable dans cette catégorie. On a pris le train en marche. L’objectif, c’est d’aller imposer l’équipe dans cette compétition dont le Sénégal n’est pas novice. Notre participation va nous donner des certitudes sur nos objectifs. D’autres compétitions sont devant nous, il s’agit du tournoi de l’Ufoa qualitatif à la Coupe d’Afrique. Mais pour la Coupe du monde, on peut compter sur l’équipe.
Quels sont vos rapports avec les jeunes joueurs et quels sont les moments les plus mémorables de votre carrière d’entraîneur ?
Les joueurs sont nos enfants, c’est encore une fierté. Le métier d’entraîneur est très noble. Il y a beaucoup d’affection entre nous. J’ai beaucoup de relations humaines avec mes joueurs. Ils ont besoin de conseils, d’être encadrés et appuyés. C’est pour cela qu’on se donne corps et âme. Dans ces catégories, on vise à construire de bons joueurs qui pourront être appelés chez les U23, voire l’équipe nationale A. L’essentiel pour nous est de fournir tous les ingrédients nécessaires sur le plan tactique et technique. Au-delà d’être joueur, il faut d’abord être un homme. J’ai eu beaucoup de souvenirs dans ma carrière d’entraîneur. Le fait le plus marquant, c’est la Coupe d’Afrique des U17 qu’on a gagnée face au Maroc. Toutes les catégories avaient fini de gagner. On était les derniers. Donc, il fallait suivre leurs pas.
Quel discours tenez-vous aux joueurs qui auront probablement une grande importance pour amener de l’impact sur les fins de match ? Le discours, ce n’est pas seulement le jour du match. Nous travaillons pour un projet. Et le projet ce n’est pas pour l’entraîneur, mais plutôt pour les joueurs. Si le staff réussit à le leur mettre dans la tête, sûrement ils auront les mêmes objectifs que nous. Ils vont se battre et nous irons jusqu’au bout de nos rêves. Comme vous le savez, l’équipe nationale est un rêve pour tous les gamins. Si l’entraîneur te choisit parmi ceux qui vont défendre les couleurs… Le Sénégal a beaucoup de talents. Nous pouvons avoir trois sélections.
Avez-vous rencontré des difficultés particulières au cours de votre carrière d’entraîneur ? Affirmatif ! Je pense que dans la vie, tout entraîneur a eu des difficultés. Je garde toujours un mauvais souvenir, après notre victoire aux Jeux africains de 2015. À la veille de notre départ, on avait un joueur qui est décédé suite à un arrêt cardiaque. C’était très compliqué pour nous. Je n’oublierai jamais.
Le Néerlandais souffre d’une entorse du ligament latéral externe de la cheville droite et l’Espagnol d’une lésion du muscle droit fémoral de la cuisse droite. Le Barça ne s’est pas prononcé sur la durée d’indisponibilité des deux joueurs.
Frenkie de Jong souffre d’une entorse du ligament latéral externe de la cheville droite et Pedri González d’une lésion du rectus femoris de la cuisse droite. C’est le résultat des examens que le service médical de Barcelone a effectués sur les deux joueurs lundi matin, lorsqu’ils sont arrivés à la Ciudad Deportiva quelques heures après leurs sorties sur blessure lors du match de championnat contre l’Athletic à San Mamés.
« Leur évolution déterminera leur disponibilité » peut-on lire dans le communiqué du Bará, de sorte qu’il n’y a pas de date limite spécifique ou officielle pour que Xavi Hernandez les convoque à nouveau.
Néanmoins, on sait que le Néerlandais pourrait être absent pendant environ un mois. Ce qui est sûr, c’est qu’il ne sera pas présent lors du huitième de finale retour de la Ligue des champions contre Naples, tout comme son coéquipier, avec lequel il faut être très prudent car il s’est déjà blessé à plusieurs reprises cette saison.
En fait, il s’agit de la huitième blessure de Pedri en l’espace de deux ans et demi. Lors du déplacement à San Mames, il a demandé à être remplacé après une longue passe qui l’a fait souffrir d’une zone qui lui a déjà posé des problèmes à plusieurs reprises depuis qu’il a signé à Barcelone.
Le milieu de terrain espagnol sera probablement forfait contre Naples, et son absence pourrait durer quelques semaines.
Brahim Díaz pourrait bientôt disputer ses premières minutes avec les Lions de l’Atlas. Selon le journal Marca, la fédération marocaine de football a informé le Real Madrid que le milieu offensif figure sur sa pré-liste pour les matches amicaux du mois de mars.
Brahim Díaz aurait enfin pris une décision pour sa nationalité sportive. Selon Marca, son nom figure dans la pré-liste du Maroc, mais aussi sur celle de l’Espagne.
La fédération royale marocaine de football (FRMF) a informé le Real Madrid que son joueur pourrait être convoqué pour les matches du mois de mars. De plus, le quotidien espagnol ajoute que la FRMF est de plus en plus optimiste quant à la possibilité de voir Brahim porter le maillot des Lions de l’Atlas.
Il s’agit d’une simple formalité. Mais le Maroc et le milieu offensif ont choisi d’avoir tous les documents en règle le plus rapidement possible. Le sélectionneur Walid Regragui pourrait ainsi le convoquer pour les matches amicaux contre l’Angola et la Mauritanie.
D’autre part, la fédération royale espagnole de football (RFEF) assure qu’elle n’a pas connaissance d’un changement dans les intentions du natif de Malaga de jouer pour la Roja. Ses performances plus que satisfaisantes au cours de cette saison laissent penser qu’il sera appelé par Luis de la Fuente dans les prochains jours, mais d’après plusieurs médias, Brahim aurait opté pour le Maroc, son pays d’origine.
Dans tous les cas, on devrait connaître la décision de Brahim dans les prochains jours…
L’Athletic a confirmé avoir trouvé un accord avec le Sporting Braga pour la signature d’Álvaro Djaló, qui a été formé dans plusieurs clubs du Pays basque avant de s’engager avec le club portugais, ce qui lui permet de s’intégrer dans la philosophie des « lions ». Il a signé pour cinq saisons avec l’équipe d’Ernesto Valverde.
L’Athletic et le SportingBraga ont conclu le transfert de l’attaquant ÁlvaroDjaló, 24 ans, né à Madrid et formé dans des clubs du pays basque avant de passer au football portugais. L’attaquant « rejoindra la discipline rouge et blanche la saison prochaine avec un contrat de cinq saisons ».
L’Athletic a confirmé ce lundi que le contrat, qui court jusqu’au « 30 juin 2029 », comprend « une structure salariale fixe et une composante variable basée sur des objectifs ».
Depuis le début de la saison, il a déjà marqué 14 buts, dont cinq en Ligue des champions et un en Ligue Europa.
Le club rouge et blanc estime que Djaló est « un joueur qui peut jouer aussi bien à l’avant qu’au milieu de terrain ou sur les deux côtés » et qu’il « se distingue par sa capacité à marquer des buts, son jeu associatif, sa vitesse et sa frappe, une qualité qui lui permet également d’être un spécialiste des coups de pied arrêtés ».
Rigobert Song, ancien joueur de renom et pilier de l’équipe nationale du Cameroun, est largement reconnu pour sa robustesse défensive et son engagement sans faille sur le terrain. Sa réputation de défenseur intraitable a fait de lui un adversaire redoutable pour de nombreux attaquants, y compris son propre coéquipier en club, Samuel Eto’o.
Eto’o, qui a partagé les vestiaires avec Song et qui l’a côtoyé en équipe nationale, a récemment exprimé son respect pour le style de jeu intense de l’ancien joueur de Liverpool. Dans une révélation surprenante, Eto’o a admis qu’affronter Song sur le terrain était une tâche redoutable, voire redoutée.
« Rigobert Song, c’était vraiment difficile », a confié Eto’o à France 24. « La chance que j’avais c’est que je ne tombais sur lui que pendant 5 ou 6 jours, quand je revenais en équipe nationale. Il s’entraînait comme il jouait. C’était vraiment difficile. Il n’avait pas de sentiment ».
Cette déclaration met en lumière la force de caractère et le style de jeu sans compromis de Song, qui a fait de lui l’un des défenseurs les plus redoutables de sa génération. Son approche résolue et son engagement total sur le terrain ont laissé une marque indélébile dans l’esprit de ses adversaires, y compris des coéquipiers de renom comme Eto’o.
Aujourd’hui, Rigobert Song a tourné la page de sa carrière de joueur pour embrasser une nouvelle vie en tant qu’entraîneur. Bien que son passage à la tête de l’équipe nationale du Cameroun n’ait pas été couronné de succès, on ne peut que lui souhaiter tout le meilleur dans cette nouvelle phase de sa vie.
L’héritage de Rigobert Song en tant que défenseur inflexible et redoutable reste intact, et son influence sur le football camerounais et africain perdurera à travers les générations.
Bologne est sans doute la sensation de la Serie A cette saison. L’équipe entraînée par Thiago Motta a battu l’Atalanta dimanche et est actuellement 4e.
Un entraîneur suscite beaucoup d’intérêt des cadors italiens et européens: il s’agit de Thiago Motta, dont l’équipe, Bologne, est 4e de la Serie A (51 pts) et s’est rapprochée dimanche d’une qualification historique pour la prochaine C1.
En battant l’Atalanta 2 à 1 sur son terrain, Bologne a enchaîné une sixième victoire consécutive grâce à des buts de Joshua Zirkzee (57e) et Lewis Ferguson (61e) qui ont répondu à Ademola Lookman (28e).
L’Atalanta qui n’a empoché qu’un point sur ses trois derniers matches de championnat, a rétrogradé à la 6e place (46 pts).
L’AS Rome, en plein renouveau depuis qu’elle est entraînée par Daniele De Rossi, est intercalée entre les deux (5e) avec 47 points après sa démonstration (4-1) à Monza samedi.
Si Bologne est bien partie pour disputer la C1 pour la première fois depuis 1964-65, la Roma et l’Atalanta n’ont pas perdu tout espoir: la Serie A pourrait en effet hériter d’une cinquième place dans l’épreuve-reine du football européen grâce à son coefficient UEFA.
En bas de tableau, Cagliari s’est imposé 1 à 0 sur le terrain d’Empoli, et a grappillé une place (18e), à égalité de points avec Vérone, 17e et premier non-relégable, qui a pris le meilleur 1 à 0 sur un autre mal-classé, Sassuolo (19e).
Lors de ce match, l’international italien de Sassuolo Domenico Berardi, qui faisait son retour après deux mois d’absence, est sorti sur blessure. Selon les premiers examens réalisés, il souffre d’un rupture d’un tendon d’Achille qui le priverait de l’Euro-2024 en Allemagne.
Naples a peut-être offert sa couronne à l’Inter Milan: le champion en titre a battu dimanche la Juventus Turin qui pourrait être reléguée à quinze points du leader milanais à l’issue de la 27e journée du Championnat d’Italie.
En attendant d’affronter le Genoa lundi, Simone Inzaghi et ses joueurs ont fait un pas de plus vers le titre grâce à Naples.
Le Napoli s’est imposé 2 à 1 dans l’affiche du week-end et a renoué avec la victoire en championnat après une défaite et deux nuls.
Ce succès, obtenu grâce à une spectaculaire reprise de volée de Khvicha Kvaratskhelia (42e) et un pénalty en deux temps marqué par Giacomo Raspadori (85e), permet au champion 2023 de se replacer à la 7e place au classement.
Il a surtout réduit sans doute à néant les déjà minces espoirs de la Juve de priver l’Inter de son 20e « scudetto ».
Les Nerazzurri, malgré trois nettes occasions en première période de Dusan Vlahovic, dont l’une repoussée par le montant gauche d’Alex Meret et une égalisation de Federico Chiesa (81e), ont concédé leur troisième défaite en un mois.
Depuis le 4 février, les joueurs de Massimiliano Allegri n’ont empoché que quatre points en cinq matches, tandis que l’Inter a réalisé dans le même temps un impressionnant carton plein de 15 points en marquant 17 buts pour seulement deux encaissés !
« Il nous reste onze matches pour atteindre notre objectif qui est de se qualifier pour la Ligue des champions », a balayé Allegri, privé notamment de son international français Adrien Rabiot, blessé.
« Ce genre de match est important pour cette jeune équipe, peut-être la plus jeune de l’histoire de la Juve pour un match de championnat. Ils ont gagné en expérience, ils vont progresser », a ajouté le technicien italien, dont l’avenir à la Juve n’était pas encore assuré avant même cette défaite selon la presse italienne.
L’atmosphère était électrique lors du match entre Salernitana et Udinese, une rencontre qui aurait dû être marquée par l’effervescence du jeu et les tensions habituelles sur le terrain. Cependant, c’est un événement inhabituel qui a attiré l’attention et suscité le débat dans le monde du football. Boulaye Dia, l’attaquant sénégalais de Salernitana, a refusé d’entrer en jeu, déclenchant ainsi un débat houleux quant à son avenir au sein du club italien.
Le contexte de cette situation est essentiel pour comprendre l’ampleur de l’incident. Boulaye Dia, un talentueux attaquant international sénégalais, a connu une période tumultueuse ces derniers temps. Absent de la dernière Coupe d’Afrique des Nations en raison d’une blessure, il avait déjà du mal à retrouver sa forme physique optimale. Son retour sur le terrain était donc attendu avec impatience par les supporters et l’encadrement de Salernitana.
Cependant, lors du match contre Udinese, tout a basculé. À sept minutes de la fin du match, alors que le score était toujours indécis à 1-1, l’entraîneur de Salernitana, Fabio Liverani, a décidé de faire appel à Boulaye Dia pour renforcer l’attaque de son équipe. Une décision logique pour tenter de décrocher la victoire.
C’est à ce moment que l’incident s’est produit. Alors que tous les regards étaient tournés vers Boulaye Dia, celui-ci a catégoriquement refusé d’entrer en jeu. Son geste a été perçu comme une désobéissance flagrante à l’autorité de l’entraîneur et a déclenché la colère de Liverani.
Les conséquences de cet incident ne se sont pas fait attendre. Liverani, visiblement agacé par le comportement de son joueur, a exprimé publiquement son mécontentement lors de la conférence de presse après le match. Ses paroles étaient sans équivoque : « Il a fait un choix que nous prendrons en considération à partir d’aujourd’hui. C’est un choix définitif. Le problème ne concerne pas seulement moi, mais aussi ses coéquipiers. Le retirer du groupe ? Je ne pense pas que ce soit le bon mot, mais je comprends que c’est quelqu’un sur qui je ne peux pas compter ».
Cette déclaration du coach Liverani a jeté un voile sombre sur l’avenir de Boulaye Dia à Salernitana. Son refus d’entrer en jeu a mis en lumière des tensions internes au sein du club et a soulevé des questions sur son engagement envers l’équipe. Les spéculations vont bon train quant à un éventuel départ du joueur ou à des mesures disciplinaires prises par le club.
Dans tous les cas, cet incident est révélateur des défis auxquels sont confrontés les clubs de football en matière de gestion des joueurs et de la discipline. Il met également en lumière les enjeux liés à la carrière des footballeurs professionnels et aux pressions auxquelles ils peuvent être soumis.
En conclusion, le refus de Boulaye Dia d’entrer en jeu lors du match contre Udinese a été un moment de tension et de controverse pour Salernitana. Les répercussions de cet incident restent à voir, mais il soulève des questions importantes sur la relation entre les joueurs et l’encadrement technique, ainsi que sur l’avenir de Boulaye Dia au sein du club.
Frenkie de Jong et Pedri sont sortis sur blessure lors de la première mi-temps du match de l’Athletic Club, ce dimanche. Une mauvaise nouvelle pour le FC Barcelone à neuf jours de la réception de Naples en C1.
L’hécatombe continue pour le FC Barcelone. Frenkie de Jong et Pedri sortent sur blessure pendant la première mi-temps du match face à l’Athletic Club, à l’occasion de la 27e journée de Liga.
Après un duel aérien face à Unai Gomez, le Néerlandais est retombé sur sa cheville (25e). Incapable de se relever, il est sorti sur civière sous les applaudissements du public de San Mamés.
Quelques minutes plus tard, c’était au tour du milieu espagnol de quitter ses coéquipiers, en pleurs. Il aurait visiblement rechuté de sa blessure à la cuisse récalcitrante.
Les deux footballeurs sont quasi forfaits pour le huitième de finale retour de la Ligue des champions face à Naples, le 12 mars.
Manchester City a renversé son voisin Manchester United (3-1) grâce à un doublé de Phil Foden et un nouveau but d’Erling Haaland, dimanche, pour rester à un point du leader Liverpool, chez qui il se rend dans une semaine.
Les triples tenants du titre ont poussé de manière constante après l’ouverture du score de Marcus Rashford (8e) et leurs efforts ont été récompensés par les buts de Foden (56e, 80e) et Haaland (90e+1).
Les deux attaquants de 23 ans avaient déjà sévi en octobre 2022 avec un triplé chacun face au grand rival (6-3), déjà à l’Etihad.
Liverpool (1er, 63 pts) compte un point de plus que Manchester City (2e, 62 pts) avant leurs retrouvailles dimanche prochain à Anfield pour la 28e journée. Arsenal, troisième (58 pts), se rend lundi chez la lanterne rouge Sheffield United.
Le suspense reste donc total à l’issue du derby de Manchester, pourtant mal embarqué pour l’équipe de Pep Guardiola, rapidement menée après une frappe splendide et lointaine de Rashford.
Mais le sixième but cette saison de l’international anglais, critiqué pour son faible rendement, a été relégué en arrière plan par la puissance de feu assez inégalable des Citizens.
Foden réalise la meilleure saison de sa jeune carrière, avec déjà 18 buts toutes compétitions confondues. Quant à Haaland, il a effacé un incroyable raté, seul devant la cage vide (45e), en inscrivant son 28e but de l’exercice 2023-2024, le 18e en championnat.
Avec ces deux là et leurs complices (Alvarez, De Bruyne, Doku, Silva…), Manchester City reste bien placé pour remporter un quatrième titre d’affilée en Premier League, une performance jamais vue.
Le club au maillot bleu ciel peut aussi réaliser un triplé avec la Coupe d’Angleterre et la Ligue des champions, comme l’an dernier.
Dimanche, les Citizens ont enchaîné un dix-neuvième match sans défaite (17 victoires, 2 nuls), toutes compétitions confondues, malgré les frayeurs vécues pendant une heure ou presque.
Ils ont pilonné sans relâche la défense d’André Onana, crédité pour sa part d’arrêts importants devant Foden (19e) et Rodri (33e). Pour preuve, ils ont terminé la partie avec presque 74% de possession et 27 tirs, contre 3 pour United.
Les Red Devils concèdent une deuxième défaite d’affilée en championnat, après quatre victoires successives, ce qui les maintient à la sixième place, six points derrière le cinquième Tottenham.
Dans le cadre de la préparation des Jeux africains Accra 2024, l’équipe des Lionceaux continue de se distinguer sur le terrain. Lors d’un match amical contre l’Ecole de football Gesfoot, dirigée par Serigne Saliou Dia, les jeunes footballeurs sénégalais ont brillé avec une victoire convaincante de 2-0.
Les buts de la rencontre ont été inscrits par l’attaquant de Diambars, Yaya Diémé, et le milieu de terrain Idrissa Guèye, démontrant ainsi la diversité et la qualité du talent présent au sein de l’équipe. Cette victoire vient renforcer la confiance des Lionceaux alors qu’ils poursuivent leur préparation en vue des Jeux africains qui auront lieu à Accra, au Ghana.
Cette performance vient après un match nul précédent (0-0) contre la Sonacos, soulignant la progression constante de l’équipe et son engagement à atteindre ses objectifs. Avec une série de matches amicaux prévus dans les prochaines semaines, les Lionceaux continuent de peaufiner leur stratégie et de renforcer leur cohésion d’équipe en vue de cette compétition majeure.
La victoire face à l’Ecole de football Gesfoot est un signal fort pour les Lionceaux, démontrant leur détermination à représenter dignement le Sénégal aux Jeux africains de 2024. Les supporters attendent avec impatience de voir cette équipe prometteuse briller sur la scène continentale et porter haut les couleurs du pays.
Selon l’Evening Standard, Arsenal pourrait se préparer à offrir à Jorginho une prolongation de contrat en raison de ses bonnes performances lors des derniers matches.
Jorginho, qui n’a pas eu beaucoup de temps de jeu depuis son arrivée à l’Emirates Stadium à l’été 2023 en provenance de Chelsea, a réalisé de bonnes performances lors de ses derniers matches.
Le joueur de 32 ans est principalement un remplaçant de luxe dans le dispositif de Mikel Arteta, qui semble très satisfait de son engagement envers l’équipe.
Par conséquent, la direction du club anglais souhaite le récompenser et est sur le point de lui offrir un nouveau contrat de prolongation. Son bail actuel expire à la fin de la saison, le 30 juin prochain.
« Tout le monde est heureux, mais il est temps de rester concentré et de travailler encore plus dur, de profiter de ce bon moment et d’essayer de gagner un autre match », a déclaré Jorginho aux journalistes au début du mois. Il faudra attendre pour connaître l’avenir du milieu de terrain.*
Le nouveau directeur sportif Max Eberl a confirmé vendredi que le contrat du défenseur du Bayern Munich Eric Dier avait été prolongé jusqu’en 2025.
Le contrat a été prolongé automatiquement d’un an après que le défenseur anglais de 30 ans a satisfait à une clause de son contrat l’obligeant à jouer un nombre minimum de matches.
Dier a rejoint le Bayern en janvier en provenance de Tottenham dans le cadre d’un contrat qui devait courir jusqu’à la fin de la saison. Depuis, il a disputé six matches de Bundesliga avec les champions d’Allemagne et a été titularisé à quatre reprises.
S’adressant au diffuseur DAZN avant le match du Bayern à Fribourg, Eberl a déclaré que Dier « nous aide vraiment ».
Dans la lutte pour la prochaine Ligue des champions, Stuttgart, Dortmund et Leipzig se sont marqués à distance samedi lors de la 24e journée de Bundesliga, vainqueurs tous les trois en déplacement de Wolfsburg (3-2), de l’Union Berlin (2-0) et de Bochum (4-1).
Derrière les deux premières places du championnat d’Allemagne promises au Bayer Leverkusen (61 points, un match en moins) et au Bayern Munich (54 pts), la course fait rage entre trois équipes pour seulement deux places qualificatives pour la prochaine C1, à dix journées de la fin du championnat.
Stuttgart a conservé son petit matelas d’avance sur le Borussia Dortmund et le RB Leipzig (50 points contre 44 et 43), grâce à un doublé de son avant-centre guinéen Serhou Guirassy.
Guirassy a inscrit ses 19e et 20e buts de la saison en Bundesliga, et revient à huit unités de l’Anglais du Bayern Harry Kane, muet lors du match nul munichois à Fribourg (2-2), vendredi soir.
Les hommes de Sebastian Hoeness ont répondu au petit coup de pression mis un peu plus tôt dans l’après-midi par le Borussia Dortmund et le RB Leipzig.
Non sans difficulté, le BVB est allé prendre les trois points sur la pelouse de l’Union Berlin. Après avoir été dominé pendant une demi-heure, les joueurs d’Edin Terzic ont ouvert le score d’une superbe frappe de Karim Adeyemi.
L’international allemand a profité d’un petit espace laissé par la défense berlinoise, pour s’approcher de la surface et déclencher une frappe limpide du pied gauche qui est venue se loger sous la barre transversale de Frederik Rönnow.
Leipzig renverse sereinement Bochum
La semaine dernière, le BVB avait mené au score à la pause contre Hoffenheim (2-1) mais n’était pas parvenu à conserver son avantage, s’inclinant au final 3 à 2. Samedi, malgré la pression de l’Union, Dortmund a tenu bon, notamment grâce à son gardien de but Alexander Meyer, auteur d’une parade spectaculaire devant Kevin Volland.
Dans la dernière minute de jeu, Ian Maatsen a soulagé toute son équipe en inscrivant le second but du BVB.
Pour Leipzig, également battu la semaine dernière à Munich par le Bayern, le déplacement à Bochum a débuté de la plus mauvaise des façons avec une énorme erreur de main du gardien Peter Gulacsi, sur un coup franc de Maximilian Wittek qui n’en demandait pas tant pour ouvrir le score.
Dominateurs, les joueurs de Marco Rose n’ont pas paniqué et ont logiquement égalisé par l’Espagnol Dani Olmo (30e) et pris les commandes par Loïs Openda (68e).
L’avant-centre international belge a inscrit son 17e but de la saison, troisième meilleur buteur de Bundesliga derrière les 27 réalisations de Harry Kane (Bayern) et les 18 de Serhou Guirassy (Stuttgart).
Avant de se rendre à Madrid pour y affronter le Real en huitièmes de finale retour de la Ligue des champions avec un but à remonter, Leipzig s’est offert une fin de match tranquille grâce au but contre son camp de Ivan Ordets (71e) et une réalisation de Yussuf Poulsen (72e).
Marseille s’est logiquement imposé 5 buts à 1 sur le terrain d’une faible équipe de Clermont qui fonce vers la Ligue 2, samedi en match de la 24e journée de L1, un résultat qui permet à l’OM de se hisser provisoirement au 6e rang du classement.
Les Marseillais remportent un deuxième succès consécutif en championnat après celui obtenu à domicile, le 25 février au Vélodrome contre Montpellier (4-1) mais aussi leur deuxième victoire à l’extérieur où ils étaient, jusqu’à présent, la moins bonne équipe du championnat (4 nuls, 6 défaites, 7 points). Ils s’étaient imposés à Lorient (4-2) le 10 décembre.
Le club phocéen gagne ainsi son troisième match de suite en comptant celui contre le Shakhtar Donetsk en Ligue Europa, et jamais un entraîneur olympien n’avait remporté ses trois premières rencontres toutes compétitions confondues depuis le Brésilien Otto Gloria en 1962 (5).
Car depuis l’arrivée de Jean-Louis Gasset (70 ans) sur le banc marseillais après le départ de l’Italien Gennaro Gattuso, l’équipe semble effectivement aller beaucoup mieux et notamment sur le plan offensif (douze buts inscrits). Elle se présentera en confiance jeudi au stade Vélodrome contre Villarreal en Ligue Europa.
Clauss impliqué sur deux buts
Marseille, avec un jeu porté vers l’avant, une bonne animation offensive grâce à une circulation de balle rapide, a dominé largement la première période et pris logiquement l’avantage avec un but de Iliman Ndiaye qui a repris un centre délivré de l’aile droite par Jonathan Clauss, repoussé par le gardien Mory Diaw (23).
Mais hormis ce but puis une reprise de la tête de Chancel Mbemba détournée par Diaw à la réception d’un corner joué de la droite par Clauss, l’OM n’a pas été particulièrement dangereux face à une formation clermontoise totalement inoffensive, voire peureuse.
En début de seconde période, deux tirs successifs de Ndiaye et Pierre-Emerick Aubameyang ont été repoussés par Chrislain Matsima et Florent Ogier (49) avant que Diaw ne détourne une reprise d’Aubameyang (50).
Mais ce manque de réalisme aurait pu coûter cher à Marseille et Bilel Boutobba a égalisé pour le CF63 à la suite d’un corner mal dégagé par l’OM (1-1, 53).
Aubameyang a toutefois rapidement redonné l’avantage à son équipe en reprenant, en deux temps, après une première parade de Diaw, un centre délivré de l’aile droite par Azz-Eddine Ounahi (2-1, 59).
Clauss, par qui le danger est souvent arrivé, a ajouté un troisième but d’un tir puissant du droit (3-1, 67).
Luis Henrique, qui n’avait jamais marqué en Ligue 1 depuis son arrivée à Marseille en 2020, a porté le score à 4-1 à la conclusion d’un contre débuté par un corner pour Clermont (80) avant un ultime but de Faris Moumbagna sur un tir de loin (5-1, 90+2)
Derniers du classement, les Clermontois, qui restaient sur un résultat encourageant à Nice (0-0) sont la 17e équipe à domicile. Ils n’ont jamais fait illusion hormis sur l’égalisation.
Les Auvergnats n’ont plus gagné sur leur terrain depuis le 12 novembre contre Lorient (1-0) et ne se sont plus imposés globalement depuis le 14 janvier à Nantes (2-1).
L’arrivée de Sébastien Bichat, adjoint actuel d’Habib Beye au Red Star (National, 3e div.) pour épauler l’entraîneur Pascal Gastien est fortement envisagée pour tenter de faire réagir une formation qui semble devoir descendre en Ligue 2 sans une vigoureuse réaction et une attitude plus combative.
Vinicius répond sur le terrain: l’attaquant brésilien, victime d’insultes racistes à Mestalla l’an passé, a permis samedi au Real Madrid de décrocher le nul (2-2) à Valence avec un doublé dans un match tendu, à quatre jours de la réception de Leipzig en C1.
L’international brésilien a évité une seconde défaite de la saison à son équipe, toujours leader du championnat (1er, 66 points) mais qui pourrait voir son avance sur ses concurrents Gérone (2e, 59 points) et le FC Barcelone (3e, 57 points) se réduire au terme de cette 27e journée.
Dans un début de rencontre âpre, avec plus de coups de sifflets et d’échanges de mots que de tirs tentés, c’est bien Valence, pourtant dominé dans le jeu, qui a ouvert le score sur sa première opportunité.
Vinicius répond aux sifflets
Le buteur espagnol Hugo Duro, passé par le Real, a enflammé Mestalla en reprenant de la tête une reprise totalement ratée de Fran Perez (27e, 1-0), après un centre du latéral français Dimitri Foulquier qui avait remporté son duel avec Vinicius.
Et les Merengues, qui ont multiplié les pertes de balle et les imprécisions face à la pression adverse, ont craqué une deuxième fois quelques minutes plus tard, l’Ukrainien Yaremchuk effaçant son compatriote Lunin avant de conclure dans le but vide, à la suite d’une passe en retrait mal assurée par Carvajal (31e, 2-0).
Sifflé à chaque prise de balle pour son retour à Mestalla, où il avait été victime d’insultes racistes l’an passé, Vinicius Junior a répondu avec la manière en relançant le Real juste avant la mi-temps (45e+5, 2-1).
Un but symbolique pour l’attaquant brésilien, célébré avec le poing en l’air face aux supporters valencians, qui lui reprochent d’avoir considéré la totalité du public de Mestalla comme raciste dans ses échanges avec la justice, alors qu’une enquête pénale est toujours en cours.
A la limite du hors-jeu sur un bon centre de Brahim Diaz, « Vini » s’est offert un doublé de la tête pour ramener son équipe à hauteur (76e, 2-2), s’empressant cette fois d’aller chambrer les Valencians avant d’être calmé par ses coéquipiers.
En difficulté face aux assauts merengues, Valence a cru obtenir un pénalty salvateur à la 91e minute, finalement annulé après intervention de la VAR.
La rencontre s’est terminée dans le chaos lorsque l’arbitre a sifflé la fin du match en pleine action, alors que Bellingham pensait avoir donné la victoire au Real au bout du temps additionnel (90e+9). Le prodige anglais a été exclu pour protestation.
Un peu plus tôt dans la partie, l’ancien Lyonnais Mouctar Diakhaby semble s’être cassé la jambe droite sous le poids de Tchouaméni, et a été évacué sur une civière (86e).
Dans l’après-midi, la Real Sociedad a concédé sur la pelouse du Séville FC une cinquième défaite en six matches (3-2), avec une équipe remaniée en vue du huitième de finale retour de Ligue des champions contre le PSG mardi.
Découvrez le groupe du FC Barcelone pour le déplacement sur la pelouse de l’Athletic Club, ce dimanche.
Le FC Barcelone a dévoilé ce samedi le groupe convoqué par Xavi Hernandez pour le déplacement sur la pelouse de l’Athletic Club, dimanche à 21 heures, à l’occasion de la 27e journée de Liga.
Pour ce choc, le technicien catalan est toujours privé de Ferran Torres, Marcos Alonso, Alejandro Balde et Gavi, blessés.
Il peut toutefois compter sur la présence des jeunes de l’équipe réserve comme Kochen, Cubarsí, Marc Guiu et Fort.
Le FC Barcelone est actuellement troisième de Liga avec 8 points de retard sur le Real Madrid, leader.
Le groupe : Ter Stegen; Joao Cancelo, Araujo, Iñigo Martínez, Pedri, Lewandowski, Raphinha, Iñaki Peña, Joao Félix, Christensen, Fermín, Romeu, Sergi Roberto, De Jong, Gündogan, Kounde, Lamine, Kochen, Cubarsí, Marc Guiu et Fort.
Selon le Telegraaf, Quincy Promes a été arrêté à Dubaï. Le joueur a été condamné à six ans de prison pour trafic de drogue et un mandat d’arrêt international a été lancé contre lui aux Émirats arabes unis, où il jouait avec son équipe, le Spartak Moscou.
Quincy Promes a été arrêté à un contrôle frontalier à Dubaï alors qu’il rentrait chez lui avec ses coéquipiers du Spartak Moscou. Le joueur n’a pas pu monter à bord de l’avion comme les autres joueurs car, selon le « Telegraaf », il a été immédiatement placé en détention.
Les forces de sécurité des Émirats arabes unis ont exécuté le mandat d’arrêt international lancé contre lui après qu’il a été condamné à six ans de prison pour trafic de drogue. Après l’avoir entravé, les agents ont emmené le footballeur au poste de police.
Un porte-parole du ministère public néerlandais a déclaré ne pas être au courant de ces événements. On ignore si le footballeur est toujours détenu.
Promes s’entraînait à Dubaï en vue de la nouvelle saison. Le Spartak Moscou affronte le Zenit samedi, et les joueurs étaient prêts à s’envoler pour la Russie lorsque Promes a été arrêté.
Il était prévu que le joueur prenne un autre avion le jeudi après-midi, mais il n’a finalement pas pris l’avion, selon le « Telegraaf ». Reste à savoir ce qu’il adviendra de Promes, qui fait à nouveau parler de lui, et pas seulement pour des raisons sportives.
Le FC Barcelone a dit « non » à deux reprises au Bayern Munich en janvier concernant la vente éventuelle de son joueur Ronald Araujo. Le club allemand a d’abord fait une offre de 70 millions d’euros fixes plus 20 millions d’euros de paiements variables et, après le refus, a augmenté le montant fixe à 80 millions d’euros plus 10 millions d’euros d’objectifs à atteindre par le joueur.
Le Bayern Munich avait des vues sur Ronald Araujo en janvier dernier, mais le FC Barcelone n’avait pas l’intention de le laisser partir. En fait, les Catalans ont rejeté deux offres généreuses de l’Allemagne lors de la fenêtre de transfert hivernale, selon Mundo Deportivo.
La première proposition bavaroise consistait en un paiement de 70 millions d’euros plus 20 millions d’euros variables. Elle prévoyait en outre une augmentation considérable du salaire de l’Uruguayen. Mais la réponse du club catalan a été négative.
Après le « non » du Barça, l’équipe allemande a réessayé. Cette fois-ci, l’offre a été considérablement améliorée. Ils mettent sur la table 80 millions d’euros auxquels ils ajoutent 10 millions sous la forme d’une prime pour la réalisation d’objectifs. L’équipe catalane refuse pour la deuxième fois.
Les deux clubs se sont battus bec et ongles pour le défenseur central uruguayen. Le Bayern a fait des pieds et des mains pour le défenseur pendant l’hiver et Tuchel a même appelé le joueur personnellement, mais sans succès. Le Barça, quant à lui, a rejeté toute proposition de vente malgré la mauvaise situation financière du club. Xavi a même menacé de démissionner si le défenseur était transféré.
Tous deux décisifs au tour précédent, les frères Williams, Inaki et Nico, ont permis jeudi à l’Athletic Bilbao de se qualifier pour la finale de la Coupe du Roi en s’imposant à San Mamés devant l’Atlético Madrid (3-0) en demi-finale retour.
Les Basques, vainqueurs à l’aller au Metropolitano (1-0), rejoignent ainsi Majorque, tombeur de la Real Sociedad dans l’autre demie, en finale de la compétition qui se jouera à Séville en avril prochain.
Un adversaire largement à la portée de l’Athletic, qui vient coup sur coup d’éliminer le FC Barcelone et l’Atlético et est plus que jamais en course pour s’offrir une 24e Coupe du Roi, la première depuis 1984.
Le club basque, qui avait récemment échoué en finale contre son voisin de la Real Sociedad (2020) puis face au Barça (2021), tentera de briser le mauvais sort et offrir à son public, encore chaud bouillant jeudi soir, un premier trophée depuis une Supercoupe d’Espagne en 2021.
Toujours privés de la magie d’Antoine Griezmann, blessé à la cheville, les Colchoneros n’ont eux jamais été en mesure de croire en une « remontada ».
Ils ont, à l’inverse, subi la domination des Lions, largement supérieurs dans tous les secteurs du jeu.
Trouvé au second poteau sur un centre fuyant de son cadet Nico, Inaki Williams a ouvert le score d’une reprise de volée du droit (13e, 1-0), faisant chavirer une première fois San Mamés.
Et les deux frères hispano-ghanéens, déjà buteurs en quarts de finale contre le FC Barcelone en prolongation (4-2), ont puni le manque de réalisme adverse une deuxième fois juste avant la mi-temps.
Cette fois-ci c’est l’aîné Inaki qui s’est joué d’Hermoso avant de trouver son petit frère Nico en retrait, l’ailier espagnol trompant Oblak de près (42e, 2-0).
Un second but qui a donné des ailes aux supporters basques, tous debout pour célébrer les trois buts d’avance de leur équipe dans cette double confrontation.
Un écart impossible à combler par les joueurs de Diego Simeone, totalement dépassés et sans solution face à l’intensité adverse.
Bilbao a même fini par enfoncer le clou à l’heure de jeu, l’attaquant espagnol Gorka Guruzeta ajoutant un troisième but après une frappe de Sancet mal repoussée par Oblak (61e, 3-0).
L’Atlético, sous l’impulsion des entrants Memphis Depay et Rodrigo Riquelme, a tenté de sauver l’honneur mais a trouvé à chaque fois les gants d’Agirrezabala, vigilant sur sa ligne.
Javier Tebas, président de la Liga, souhaite que Mason Greenwood reste en Espagne. L’international anglais est prêté un an par Manchester United à Getafe.
Mason Greenwood a rejoint Getafe en prêt le dernier jour de la fenêtre de transfert d’été après que Manchester United l’ait blacklisté suite à la conclusion d’une enquête interne du club.
Il faisait l’objet de cette enquête depuis février 2023, date à laquelle le Crown Prosecution Service (CPS) britannique a abandonné les poursuites engagées contre lui pour tentative de viol, agression et contrôle coercitif. Greenwood a nié toutes les infractions présumées.
Le joueur de 22 ans a disputé 25 matches toutes compétitions confondues avec le club espagnol, pour sept buts et cinq passes décisives.
Getafe aimerait garder Greenwood – de façon définitive ou sous forme d’un nouveau prêt – tandis que le FC Barcelone est l’un des nombreux clubs à surveiller de près ses performances.
Javier Tebas, président de la Liga, souhaite voir l’attaquant anglais rester en Espagne la saison prochaine. « Il se débrouille très bien à Getafe et j’espère qu’il continuera à avoir du succès et à rester dans le football espagnol parce que c’est toujours bon pour nous », a-t-il déclaré lors de la deuxième journée du Financial Times Business of Football Summit, qui se déroule actuellement à Londres.
« Partey devrait être dans le groupe lundi », a déclaré Mikel Arteta lors d’une conférence de presse avant le match contre Sheffield United. Le Ghanéen a disputé son dernier match en octobre et n’a joué que 341 minutes cette saison.
L’entraîneur d’Arsenal, Mikel Arteta, a annoncé que Thomas Partey est enfin prêt à réintégrer le groupe pour le match de lundi contre Sheffield United, à l’occasion de la 27e journée de Premier League.
« Thomas (Partey) a fait une séance avant le dernier match, maintenant il a fait deux ou trois séances d’affilée, donc il devrait être dans le groupe lundi. Il progresse bien », a déclaré le coach espagnol.
L’international ghanéen a été opéré à la cuisse et n’a pas joué avec Arsenal depuis la victoire (1-0) contre Manchester City en octobre 2023.
Alors que Declan Rice est devenu l’un des patrons de l’entrejeu des Gunners depuis son arrivée cet été, et que Martin Odegaard est devenu indispensable, Thomas Partey aura du mal à retrouver la place qu’il a gagnée la saison dernière…
Lors du match de huitièmes de finale de la FA Cup opposant Chelsea à Leeds, le joueur sénégalais Nicolas Jackson a été au centre de l’attention, notamment grâce à son but égalisateur qui a permis à Chelsea de revenir dans le match.
Malgré ce moment crucial, l’appréciation de la presse anglaise sur la performance globale de Nicolas Jackson a été mitigée. Certains médias ont salué son but et lui ont attribué la meilleure note côté Chelsea, soulignant sa belle finition et ses courses impressionnantes qui ont aidé son équipe. Cependant, d’autres ont jugé que malgré ce moment fort, Jackson a eu du mal à s’impliquer de manière constante dans le jeu et à utiliser efficacement les espaces pour aider son équipe.
Parmi les avis exprimés par la presse anglaise :
GOAL lui a attribué une note de 6 sur 10, reconnaissant sa belle finition pour égaliser, mais soulignant ses difficultés à s’impliquer sur de longues périodes.
Football London lui a donné une note de 8 sur 10, saluant sa superbe finition et ses courses impressionnantes dans les canaux, tout en mettant en valeur sa capacité à bien tenir le ballon pour Chelsea.
90min lui a accordé une note de 7 sur 10, reconnaissant son beau but mais regrettant son manque d’implication et de contribution au jeu collectif lorsque Chelsea était en difficulté.
The Standard lui a attribué une note de 7 sur 10, saluant son mouvement et sa finition excellents pour le but, mais critiquant son incapacité à tirer pleinement parti de l’espace sur le comptoir après la pause.
London World lui a donné une note de 7 sur 10, reconnaissant son brillant but qui a remis Chelsea dans le match.
Malgré ces différentes appréciations, il est indéniable que le but de Nicolas Jackson a été un moment crucial dans le déroulement du match, et il continuera à être un joueur clé pour Chelsea dans les prochains matchs.
Eugénie Le Sommer et Marie-Antoinette Katoto, associées en attaque, se sont trop peu trouvées pour pouvoir menacer la défense de l’Espagne, qui a mené la danse tout au long de la finale de la Ligue des nations perdue mercredi par les Bleues (2-0).
Katoto avait déjà très discrète contre l’Allemagne vendredi en demi-finale (victoire 2-1); la vedette parisienne a rendu mercredi soir la même copie que ses partenaires: surclassée, transparente et sans idée, sans peser dans le jeu.
Surtout en première mi-temps où les Bleues ont été trop en difficulté pour construire leur jeu et mener une action jusqu’au but adverse (37% de possession, zéro tir).
En toute fin de première période, Katoto a réussi seulement à obtenir un corner, qui n’a rien donné (45e). Mais a mieux commencé la seconde période, à la réception d’un bon centre de Kadidiatou Diani (47e), avant d’être remplacée.
« Pas assez bonnes techniquement »
« Elles ont été meilleures que nous (…), quand on a récupéré le ballon on n’a pas été assez bonnes techniquement pour se créer des occasions », a réagi la capitaine des Bleues, Eugénie Le Sommer.
De retour de blessure et après quelques bons matches avec le PSG depuis le début de la saison, Katoto a semblé encore en dessous et trop juste face au physique des Allemandes vendredi et à la technique des Espagnoles mercredi.
Comme contre l’Allemagne, la Parisienne a été la plus discrète, muselée par la charnière espagnole et bien peu trouvée par ses coéquipières.
De son côté, Eugénie Le Sommer, promue capitaine des Bleues en raison du forfait de Wendie Renard, a été prise par les milieux de la Roja et empêchée de mener des offensives et de peser dans la surface espagnole, hormis en fin de match où elle a été proche de revenir au score (82e).
Trop souvent, les deux attaquantes sont restées en dehors de la surface de réparation espagnole, obligées de repasser par la défense ou rendant trop facilement le ballon, sans percussion.
« J’ai dit qu’elles étaient associables, qu’elles avaient des qualités pour jouer ensemble », avait expliqué le sélectionneur Hervé Renard juste avant le match contre l’Allemagne, pas encore certain de la connexion entre ses deux joueuses.
« Je pense qu’il n’y a pas besoin de trop parler avec Marie. Elle sent le jeu et j’essaie de m’adapter à elle », espérait Le Sommer il y a quelques semaines.
Mais les deux derniers matches des Bleues n’ont pas confirmé la complicité entre Le Sommer et « MAK », remplacée à l’heure de jeu par Delphine Cascarino.
A cinq mois des Jeux olympiques – objectif ultime des Bleues -, la connexion entre les deux buteuses des Tricolores est un axe majeur à travailler pour le sélectionneur Hervé Renard. Car sans une attaque efficace, ce sera compliqué pour ses Bleues de remporter enfin un premier titre.
L’attaquant des Girondins de Bordeaux Alberth Elis est sorti du coma artificiel dans lequel il avait été plongé samedi soir à la suite de son choc à la tête avec le défenseur Donatien Gomis.
L’attaquant des Girondins de Bordeaux Alberth Elis s’est réveillé et se remet « progressivement » d’un grave traumatisme crânien, a annoncé sa famille.
L’international hondurien a été impliqué dans un choc avec le défenseur de Guingamp Donatien Gomis en début de match de Ligue 2. Le match a été interrompu pendant huit minutes, l’attaquant ayant été évacué du terrain après avoir reçu des soins médicaux.
L’ancien joueur du Houston Dynamo a ensuite été transporté à l’hôpital CHU Pellegrin pour des soins supplémentaires qui, selon le club, comprenaient une intervention chirurgicale et le placement d’Elis dans un coma artificiel.
Mercredi, la famille du footballeur a déclaré qu’il montrait des signes de rétablissement et qu’il avait repris connaissance.
Le président de la République Emmanuel Macron affirme qu’il n’a pas invité Kylian Mbappé à dîner à l’Élysée mardi pour le convaincre de rester à Paris.
Le président de la République Emmanuel Macron a déclaré jeudi que l’avenir de Kylian Mbappé n’avait pas été évoqué lors du dîner à l’Élysée mardi auquel le footballeur était invité.
« Si c’était un dîner pour tenter de le retenir ? Non pas du tout. Il n’y a pas eu de discussion là dessus et je laisse aux dirigeants du club le soin de faire ça« , a indiqué Macron ce jeudi en marge de l’inauguration du village olympique pour Paris 2024 en Seine-Saint-Denis.
Il a ensuite expliqué qu’il trouvait « normal » que le capitaine de l’équipe de France soit présent à ce dîner en l’honneur de Tamin bin Hamad Al-Thani (émir du Qatar et également propriétaire du PSG), car « c’est un grand champion qui a contribué à animer la finale de l’équipe de France qui s’est tenue au Qatar » et aussi parce que c’est un joueur important du Paris SG.
Rappelons que le contrat du joueur de 25 ans se termine à la fin de la saison avec l’actuel leader de la Ligue 1 et qu’un transfert au Real Madrid est le scénario le plus probable, bien qu’il n’ait (prétendument) pas encore signé avec les Merengues.
Cristiano Ronaldo a été suspendu pour un match pour avoir « provoqué » les supporters de l’équipe adverse en effectuant un geste obscène lors d’un match du championnat saoudien, a annoncé le Comité de discipline et d’éthique de la fédération saoudienne de football.
Après la victoire 3-2 dimanche de son club d’Al- Nassr contre Al-Shabab, l’attaquant portugais s’était tourné vers les supporters adverses, qui avaient scandé le nom de Lionel Messi tout au long de la rencontre, puis il leur avait tendu l’oreille et avait effectué un mouvement obscène avec sa main droite, poussant les dirigeants d’Al- Shabab à déposer une plainte.
« Ronaldo a violé l’article (57-1) du règlement de discipline et d’éthique et a été suspendu pour un match parmi tous les matches officiels auxquels il a le droit de participer », a indiqué le Comité de discipline et d’éthique dans un communiqué publié mercredi soir. Cet article sanctionne toute « provocation » du public durant un match.
Le joueur s’est également vu infliger une amende de 10.000 riyals saoudiens (environ 2.400 euros) et le versement de 20.000 riyals (4.800 euros) à Al-Shabab pour couvrir les coûts de la procédure.
Cette décision ne peut pas faire l’objet d’un appel.
Le geste du quintuple ballon d’or a fait couler beaucoup d’encre dans le royaume conservateur du Golfe, où il a été qualifié de choquant par certains commentateurs.
Ronaldo avait déjà fait parler de lui le 9 février, après la défaite d’Al-Nasr contre Al-Hilal, lorsqu’il avait glissé un maillot lancé par les supporters adverses dans son short, avant de le relancer dans les tribunes.
Le milieu de terrain français, Paul Pogba, a écopé d’une suspension de quatre ans dans l’affaire du test positif à la testostérone. Un énorme coup de dur pour « la Pioche ».
Le milieu de terrain, Paul Pogba, a écopé d’une suspension de quatre ans pour dopage. La décision a été annoncée ce jeudi.
Le Français avait été contrôlé positif à la testostérone après le match Udinese-Juventus lors de la première journée de la Serie A 2023-24, le 20 août. Il se trouve que le milieu de terrain n’a même pas participé à cette rencontre, restant sur le banc de touche pendant 90 minutes.
Avant d’être suspendu provisoirement le 11 septembre 2023, l’ancien joueur de Manchester United n’avait joué qu’une cinquantaine de minutes avec la Juventus Turin la saison passée à cause de nombreuses blessures.
La Vieille Dame pourra désormais résilier le contrat du champion du monde 2018 qui court jusqu’à l’été 2026.
A bientôt 31 ans, c’est un véritable coup dur pour le joueur, qui ne pourra pas revenir sur les terrains avant ses 35 ans. Il pourrait alors choisir de mettre un terme à sa carrière, marquée par des hauts et des bas en raison de ses blessures à répétition et ses problèmes personnels, notamment familiaux.
La suspension de Paul Pogba peut toutefois faire l’objet d’un appel.
Après une période de près de deux ans à la barre des Lions Indomptables, l’emblématique Rigobert Song tire sa révérence en tant qu’entraîneur de l’équipe nationale du Cameroun. Cette annonce, faite par Samuel Eto’o, président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), lors d’un entretien exclusif avec France 24, a marqué la fin d’un chapitre significatif dans l’histoire du football camerounais.
Le parcours de Rigobert Song à la tête de l’équipe nationale a été parsemé de hauts et de bas. Si l’ancien défenseur international camerounais a apporté sa passion et son dévouement au développement de l’équipe, les résultats sur le terrain n’ont pas toujours été à la hauteur des attentes. Malgré cela, Samuel Eto’o a tenu à saluer les contributions de Song à l’équipe nationale, soulignant son engagement et son dévouement envers le football camerounais.
Cependant, les récents résultats décevants de l’équipe, notamment son élimination précoce lors de la dernière Coupe d’Afrique des Nations en Côte d’Ivoire, ont conduit la Fecafoot à prendre la décision de ne pas renouveler le contrat de Rigobert Song. Cette décision a été confirmée par un courrier du ministère des Sports adressé à Song, mettant fin à son mandat en tant que manager sélectionneur des Lions Indomptables.
La nouvelle de son départ a suscité des réactions mitigées parmi les supporters et les observateurs du football camerounais. Si certains reconnaissent les défis auxquels Song a dû faire face en tant qu’entraîneur et saluent son engagement envers l’équipe nationale, d’autres remettent en question ses choix tactiques et sa capacité à amener l’équipe au niveau souhaité.
Maintenant que Rigobert Song quitte son poste, les regards se tournent vers l’avenir de l’équipe nationale du Cameroun. Qui prendra les rênes de l’équipe et guidera les Lions Indomptables vers de nouveaux sommets ? C’est une question qui reste en suspens, mais une chose est sûre : le prochain entraîneur aura la lourde tâche de revitaliser l’équipe et de la ramener sur la voie de la victoire.
En attendant, les supporters continuent de soutenir passionnément leur équipe nationale, dans l’espoir que de jours meilleurs sont à venir pour les Lions Indomptables. Et pour Rigobert Song, son héritage en tant que joueur et entraîneur restera à jamais inscrit dans l’histoire du football camerounais, rappelant son dévouement et sa passion pour le jeu.
Désormais sans équipe, José Mourinho attend de nouveaux projets. Dans le dernier documentaire consacré au Portugais, l’entraîneur se souvient d’une défaite qui a marqué sa carrière : celle du Real Madrid face au Bayern Munich en demi-finale de la Ligue des champions 2011-2012.
José Mourinho a dirigé son dernier match à la tête de la Roma le 14 janvier. Il a été licencié du club italien, ce qui a mis fin à sa relation avec le club. En attendant de nouvelles opportunités, la dernière chose que l’on sait du Portugais est le documentaire qu’Amazon Prime Video a consacré à sa carrière. Et certaines déclarations à propos d’une défaite qui a été bien plus que cela dans sa carrière ont pris de l’ampleur.
« Oui, j’ai pleuré », reconnaît Mourinho lui-même lorsqu’on lui rappelle l’élimination du Real Madrid en demi-finale de la Ligue des champions contre le Bayern Munich. Ce penalty de Sergio Ramos qui est passé au-dessus de la barre le 25 avril 2012 et qui aurait pu changer le destin de Mou en tant que coach du Real Madrid. C’était avant la « Décima » et l’âge d’or du madridismo de ce siècle. Mais il n’oublie pas.
Lorsqu’on lui demande s’il a fini par pleurer après ce match, le Portugais répond : « Bien sûr, je ne l’ai pas fait sur le terrain ou dans le vestiaire, mais c’est arrivé sur le chemin du retour ». Une nuit qui n’a pas été seulement difficile pour lui, puisqu’il se souvient dans ce chat d’un appel téléphonique qu’il a reçu cette même nuit.
C’était Jorge Mendes. « Rendez-moi service, allez chez Cristiano parce qu’il est mort », s’est souvenu Mourinho dans son intervention. Ces demi-finales ont laissé Cristiano tout près de ce qui aurait pu être sa première Ligue des champions avec le Real Madrid (qui a eu lieu en 2014). Je lui ai dit que j’étais aussi (mort), mais je me suis dit : « Prépare-toi, ne pleure pas et va chez Cristiano ».
Il s’est rendu chez l’attaquant sur les recommandations de Jorge Mendes et l’attaquant, comme son agent le lui avait dit, se souvenait encore de la défaite : « Il était dans le même état que moi. Nous étions tous les deux dévastés. »
Manchester City, tenant du titre, s’est qualifié mardi pour les quarts de finale de la Coupe d’Angleterre aux dépens de Luton (6-2), terrassé par cinq buts d’Erling Haaland et quatre passes décisives de Kevin De Bruyne.
Cela a été beaucoup plus laborieux pour Newcastle qui a eu besoin d’une séance de tirs au but, avec deux arrêts de son gardien Martin Dubravka, pour s’imposer chez Blackburn (1-1, 4-3 t.a.b.), seizièmes de Championship (D2).
Bournemouth, autre membre de l’élite, a de son côté pris la porte face à Leicester, leader de la deuxième division (1-0 après prolongation).
Manchester City a connu un 5e tour beaucoup plus tranquille à Luton grâce à Haaland. L’avant-centre norvégien s’est régalé avec un quintuplé (3e, 18e, 40e, 55e, 58e), quasiment un an après celui infligé à Leipzig (7-0), en mars 2023, en huitièmes de finale retour de Ligue des champions.
Son meilleur complice, Kevin De Bruyne, a réalisé un quadruplé de passes décisives, avant une autre signée Bernardo Silva pour le géant blond. Mateo Kovacic a mis le dernier but pour City (72e).
« Je reviens à mon meilleur niveau. Je me sens enfin bien. C’est un sentiment incroyable. (…) Nous sommes prêts à attaquer », a commenté Haaland à l’antenne du diffuseur ITV.
Mené 3-0 peu avant la pause, Luton est revenu à 3-2 par Jordan Clark: le milieu a envoyé un missile lointain en lucarne (45e, 3-1) puis réalisé une belle volée après un joli contrôle de la poitrine (52e, 3-2).
Seule fausse note pour Manchester City, Jack Grealish est sorti sur blessure en première période, se recouvrant le visage pour masquer sa détresse.
L’ailier gauche, remplacé par Jérémy Doku, faisait son retour comme titulaire dans l’équipe de Pep Guardiola après des pépins physiques, et une baisse de forme que son entraîneur avait publiquement soulignée.
Le staff redoute une rechute après une blessure à l’aine qui l’a perturbé ces dernières semaines.
Le Real Mallorca a battu la Real Sociedad 5-4 aux tirs au but et s’est qualifié pour la finale de la Coupe du Roi mardi. L’équipe d’Aguirre affrontera l’Atlético de Madrid ou l’Athletic Club de Bilbao en finale.
Les deux équipes s’étant quittées sur un score nul et vierge à l’aller (1:1) après prolongation, c’est Majorque qui disputera la finale à Séville, au stade de la Cartuja, le 6 avril prochain. L’équipe des Baléares affronteront le vainqueur de la deuxième demi-finale de jeudi, l’Athletic Bilbao, qui mène 1-0 avant son match à domicile contre l’Atlético de Madrid.
Après 140 minutes de jeu sans but à l’aller comme au retour, le défenseur uruguayen Giovanni Gonzalez a finalement marqué pour donner l’avantage à Majorque à Saint-Sébastien. Gonzalez reprenait un bon centre de Jaume Costa et trompait le gardien de Sociedad, Alex Remiro, d’une tête à bout portant.
Mais alors que les Majorquins commençaient à penser à leur première participation à la finale de la Coupe depuis deux décennies, la Sociedad revenait à hauteur grâce à son capitaine MikelOyarzabal, qui marquait d’un coup de tête sur une passe décisive de Brais Mendez dans la surface de réparation, à une demi-heure de la fin du temps réglementaire.
Les deux équipes ne parvenaient pas à se départager, ce qui donnait lieu à une prolongation, puis à des tirs au but. Oyarzabal était le premier à tirer, mais le joueur qui avait maintenu Sociedad en demi-finale a manqué son tir, bien anticipé par le gardien de Majorque Dominik Greif.
Les joueurs de Majorque n’ont pas perdu leur sang-froid et, alors que les équipes étaient à égalité 4-4 aux tirs au but, Darder a placéle ballon dans le coin inférieur droit, hors de portée du bras de Remiro, pour envoyer toute une île à Séville.
Majorque, qui n’a que deux places d’avance sur la zone de relégation de la Liga, a maintenant une chance d’ajouter à son unique succès en Coupe en 2003.
Un immense défi attend l’équipe de France féminine, opposée aux championnes du monde espagnoles en finale de la Ligue des nations, mercredi à Séville, avec en point de mire un premier titre majeur, à quelques mois de l’objectif principal des JO à domicile.
Alors que le grand rendez-vous olympique approche à grands pas, les Bleues ont l’occasion de marquer les esprits et d’inscrire enfin leur nom au palmarès d’une grande compétition internationale après plusieurs échecs cruels.
Les joueuses d’Hervé Renard ne partent pas avec les faveurs des pronostics face à une Roja inarrêtable depuis son sacre l’été dernier et évoluant de surcroît devant son public.
Mais toutes savent bien qu’un premier trophée constituerait forcément un tournant pour le football féminin tricolore, qui attend ce moment depuis tant d’années, et serait un formidable tremplin en vue des JO.
« Cela pourrait être une très grande détonation, cela enverrait un gros message pour dire que la France est prête à jouer ce genre de grandes compétitions », a confié à l’AFP la gardienne des Bleues Pauline Peyraud-Magnin, alors que les Bleues ont remporté le dernier match contre l’Espagne en 2019 (2-0).
Pour la joueuse de la Juventus, « la Ligue des nations, c’est très important, c’est ce qui peut aussi nous faire monter la petite marche qui fait qu’on pourra faire de bons JO ».
Mais pour écrire l’histoire, les Bleues devront une nouvelle fois hausser leur niveau de jeu, à l’image de leur première période contre l’Allemagne vendredi dernier (2-1).
Solides défensivement, elles ont bien résisté au physique des Allemandes et ont été suffisamment entreprenantes pour se créer des occasions, en particulier sur le côté droit. Avant d’être beaucoup moins mordantes dans le second acte.
Celles qui gagnent seront « championnes d’Europe »
Connues pour leur animation offensive, leur jeu de passes et leur technique, les Espagnoles ne feront aucun cadeau aux Françaises, qui devront afficher une grosse force de caractère pour résister aux assauts de Salma Paralluelo ou Jenni Hermoso.
Les coéquipières de la Ballon d’Or 2023 Aitana Bonmati ont de nouveau été impitoyables contre les Pays-Bas en demi-finale de Ligue des nations vendredi (3-0), pour se qualifier pour leur premiers Jeux Olympiques à Paris où elles viseront un fabuleux doublé Coupe du monde-JO.
Une médaille d’or aurait une forte portée symbolique pour une sélection qui a mené avec succès un combat contre l’ex-président de la Fédération espagnole Luis Rubiales, suspendu trois ans par la Fifa pour avoir embrassé de force Jennifer Hermoso lors des célébrations du Mondial.
« Il faudra élever le curseur de l’équipe », a reconnu vendredi soir Eugénie Le Sommer, promue capitaine des Bleues en raison du forfait de Wendie Renard, blessée à la hanche. « L’équipe qui gagne est championne d’Europe. C’est un titre important », a insisté mardi l’attaquante lyonnaise, omniprésente aux côtés de Kadidiatou Diani contre l’Allemagne.
« On est conscients d’affronter l’équipe première du classement Fifa et championne du monde en titre. C’est un énorme challenge à relever », a appuyé Hervé Renard mardi en conférence de presse, et de souligner: « concentration, détermination et confiance en soi ».
« On pratique le football pour cette adrénaline, il ne faut pas en avoir peur », a insisté le sélectionneur.
Loin de l’ambiance du Groupama stadium à Lyon et des 30.000 spectateurs derrière elles, les joueuses d’Hervé Renard, qui se sont toutes entrainées mardi sous le soleil à Séville, devront faire face à un public chaud bouillant au stade de la Cartuja dans la capitale andalouse.
« Personnellement, cela ne me gêne pas les ambiances hostiles, au contraire j’aime bien », a prévenu Kadidiatou Diani, tout comme Selma Bacha: « Aucune pression, quand tout le monde est contre nous c’est ce que j’aime, c’est là où on est les plus fortes. On sera dans notre bulle pour aller chercher notre premier titre ».
Cet été en Australie lors du quart de finale de la Coupe du monde perdu contre les Matildas à Brisbane (0-0, 7-6 t.a.b.), les Bleues avaient semblé tétanisées par l’atmosphère, incapables de mettre en place leur jeu. Mercredi à Séville, elles devront donc hausser le ton et l’intensité contre la Roja pour frapper un grand coup avant les JO à Paris.
Lyon s’est qualifié pour les demi-finales de la coupe de France après avoir battu Strasbourg 0 à 0, 4 à 3 aux tirs au but mardi au Groupama stadium au terme d’un match médiocre dont le gardien brésilien Lucas Perri a été le héros.
Transféré au début du mercato hivernal pour 3,2 millions d’euros du club carioca de Botafogo, Perri (26 ans), titularisé à la place d’Anthony Lopes comme il l’avait déjà été au tour précédent face à Lille (2-1), s’est interposé sur la première tentative de Thomas Delaine alors que Lucas Perrin a envoyé le ballon dans les tribunes pour le cinquième tir au but strasbourgeois.
A son tour, Perri, impressionnant par son envergure et son 1,97 m, illustre le mercato hivernal réussi de l’Olympique lyonnais qui lui permet de se retrouver à une marche de la finale.
« C’est un avantage pour lui. Il prend de la place dans le but et il est évident que les tireurs doivent prendre des risques et d’ailleurs le dernier a tiré au dessus. Cela a une influence psychologique. Il avait à coeur de marquer sa première séance de tirs au but par un arrêt. Il a fait ce qu’il fallait », s’est réjoui l’entraîneur de l’OL, Pierre Sage.
De leur côté, les Lyonnais ont réalisé un sans faute.
L’OL continue sa bonne série et remporte ainsi son sixième match consécutif, deux en coupe et quatre en championnat.
Pour Strasbourg, le doute s’installe de plus en plus. Cette élimination survient après quatre défaites consécutives en Ligue 1 avec une fin de saison difficile en perspective, bien plus que pour l’OL qui paraît s’éloigner définitivement de la zone de relégation.
Avant cette séance de tirs au but, les deux équipes ont livré un match de faible niveau avec de nombreuses approximations, conforme, finalement, au classement des deux clubs en L1 (10e et 13e).
Lyon a largement dominé la première période face à un adversaire limité qui a refusé le jeu.
Toutefois, malgré le soutien sans faille de 56.602 spectateurs, les hommes de Pierre Sage, peut-être crispés par l’enjeu, manquant de rythme dans l’animation offensive, ont été très brouillons dans les derniers trente mètres et ne se sont créé aucune occasion avant la mi-temps.
Ils se sont montrés un peu plus dangereux après la pause mais sans être suffisamment adroits devant la cage.
Maxence Caqueret a envoyé un tir au dessus malgré une belle position (51e) avant que Saïd Benrahma ne manque le cadre de peu (53) puis ne trouve le poteau sur un corner joué directement (56).
Entré en cours de jeu à la place d’Alexandre Lacazette, touché, Gift Orban s’est heurté au gardien Alaa Bellaarouch (81) avant que Jake O’Brien n’envoie une reprise de la tête de peu au dessus à la suite d’un corner (85).
C’était très insuffisant pour prendre l’avantage et Strasbourg aurait pu en profiter sur une reprise de la tête de Mahamadou Diarra à la réception d’un centre délivré de l’aile droite (75).
Dimanche, l’OL recevra Lens (20H45) en espérant surfer sur sa réussite actuelle et continuer à remonter au classement.
Max Eberl, lors de sa conférence de presse d’intronisation, a abordé la situation d’Alphonso Davies, dont le contrat expire en 2025.
Le contrat d’Alphonso Davies avec le Bayern Munich expire en juin 2025, et il ne semble pas très emballé par l’idée de le renouveler. Et selon la presse locale, le Real Madrid est le principal candidat pour accueillir le Canadien à la fin de la saison.
Afin d’éviter de le voir partir gratuitement dans un an, le club bavarois est ouvert à une éventuelle négociation pour le transfert du latéral gauche dès cet été. C’est en tout cas ce que laisse entendre le nouveau directeur sportif du Bayern, Max Eberl.
« Bien sûr, ce n’est jamais agréable de perdre des joueurs libres. Aucun club ne souhaite cela, pas même le Bayern Munich. Nous avons déjà eu des discussions avec son agent, je vais donc essayer de les poursuivre. Il faudra voir ce qu’il en est », a-t-il dit, lors de sa conférence de presse d’intronisation.
Jack Grealish est sorti à la 38e minute du huitième de finale de la FA Cup contre Luton Town. L’Anglais, qui faisait son retour dans le onze de départ, a rechuté alors qu’il revenait tout juste de blessure.
Rien ne va pour Jack Grealish. L’Anglais vit une saison assez difficile et c’est en partie dû au grand nombre de blessures qu’il subit.
Grealish a fait son retour dans le onze de départ contre Luton mardi après avoir récupéré de sa blessure dont il avait souffert contre Copenhague lors du huitième de finale aller de la Ligue des champions. Cependant, il a rechuté et n’a pas pu continuer le match.
Grealish a quitté le terrain à la 38e minute de jeu, l’air abattu. Sur le banc de touche, on pouvait le voir retenir ses larmes. En attendant des examens médicaux complémentaires, il s’agit d’un nouveau revers pour le joueur, qui a déjà manqué jusqu’à 14 matches depuis le début de la saison.
La Commission anti-violence a déclaré que le match entre Valence et le Real Madrid était à haut risque. La sécurité sera renforcée à l’extérieur et à l’intérieur du stade.
A quelques jours du match, Valence-Real Madrid fait déjà parler de lui. Ce match s’inscrit dans le cadre du retour de Vinicius à Mestalla après le scandale de la saison dernière.
Par conséquent, plusieurs mesures ont déjà été prises à cet égard. L’une d’entre elles a été prise par la Commission anti-violence, qui a déclaré le match à haut risque et renforcera la sécurité avec davantage de policiers avant et après le match afin d’éviter tout incident.
En outre, le club lui-même a pris part à cette affaire. Il a notamment refusé l’accès aux caméras de la célèbre plateforme Netflix, qui filme un documentaire sur le Brésilien. L’un des principaux projets consistait à placer une caméra fixe pointant directement vers l’appareil photo.
Par ailleurs, le match de coupe entre l’Athletic Club et l’Atlético de Madrid a également été déclaré à haut risque par les autorités compétentes.
Zinedine Zidane a assisté à la présentation du documentaire biographique sur Marcello Lippi, qui fut son entraîneur à la Juventus. Le Français en a profité pour faire une déclaration à Sky Sport sur son retour sur le banc de touche : « Entraîner en Italie, pourquoi pas ? Tout peut arriver. »
L’ancien entraîneur du Real Madrid, Zinedine Zidane, s’est entretenu avec Sky Sport au sujet de son retour sur le banc de touche : « Entraîner en Italie, pourquoi pas ? Tout peut arriver. »
Il l’a fait à l’occasion de la présentation du documentaire biographique sur Marcello Lippi, un personnage de grande importance à l’époque où le Français jouait à Turin.
Zidane a évoqué son avenir : « En ce moment, je fais autre chose, mais je suis sûr que je reviendrai sur le banc, j’aimerais bien ». Il n’a plus dirigé d’équipe depuis son départ de Madrid en juin 2021.
En revanche, il a eu de bons mots pour le protagoniste de l’événement : « Marcello Lippi a été celui qui m’a fait venir à la Juventus, le premier qui a cru en moi et m’a laissé jouer. Cela n’a pas été facile pour lui, je venais de France où tout était différent, mais Lippi m’a permis de devenir ce que je suis devenu par la suite. »
Bandar Alotaibi, journaliste à ‘Arriyadiyah’, rapporte que le comité de discipline et d’éthique de la Ligue saoudienne a convoqué le joueur d’Al Nassr, Cristiano Ronaldo, pour qu’il s’explique sur les gestes qu’il a faits en direction des tribunes lors du match contre Al Shabab.
En Arabie Saoudite, il est courant que les supporters qui veulent mettre Cristiano Ronaldo en colère scandent le nom de son ennemi juré en Europe, Leo Messi.
Le Portugais ne s’amuse généralement pas de cette situation et a déjà fait quelques gestes de mépris ou de colère à l’égard des spectateurs qui s’adressaient à lui de cette manière. Le dernier épisode en date remonte au match de championnat contre Al Shabab, où évolue l’ancien joueur de l’Atlético de Madrid Yannick Carrasco.
Cette fois, l’affaire est allée plus loin que d’habitude. Selon le journaliste Bandar Alotaibi dans ‘Arriyadiyah’, la commission de discipline et d’éthique a ordonné la comparution du Portugais pour qu’il explique ce qu’il a fait en regardant les supporters lors de ce match où son équipe s’est imposée 2 à 3.
CR7, en réponse à des cris provenant d’une partie du stade, a porté sa main ouverte à son oreille pour signifier qu’il ne les entendait pas ou qu’il voulait les entendre plus clairement – de manière sarcastique. Il s’est ensuite accroupi, a écarté les jambes et a approché son bras de la zone pour la secouer d’avant en arrière. Pour des raisons évidentes, les responsables du concours n’ont pas apprécié ce mouvement.
La source mentionnée dans le deuxième paragraphe de cette information affirme que Cristiano pourrait être suspendu pour deux matches. Si tel est le cas, Al Nassr ne pourra compter sur lui ni contre Al Hazem ce week-end, ni contre Al Raed le 7 mars.
‘Le Parisien’ rapporte que Kylian Mbappé dînera à l’Elysée mardi soir avec Emmanuel Macron, président de la République française, Nasser Al-Khelaïfi, patron du Paris Saint-Germain, et Tamim bin Hamad Al-Thani, émir du Qatar.
Le contrat de Kylian Mbappé est souvent un sujet d’actualité en France. C’est compréhensible. La Ligue 1, qui est pour l’instant l’un des cinq grands championnats du football mondial, risque de perdre beaucoup en termes de sponsoring et de droits télévisés si la star du PSG confirme finalement son départ du Parc des Princes, ce qui a déjà été évoqué dans la presse internationale.
Par le passé, même le président de la République, Emmanuel Macron, est allé jusqu’à s’exprimer en public pour encourager l’attaquant à rester en France.
Pour cette raison et pour la bonne tonalité ressentie les fois où ils ont coïncidé – des cérémonies de remise de prix comme la Coupe du monde 2018 – une harmonie amicale entre les deux est courante et sera particulièrement perceptible ce mardi soir, lorsque l’attaquant sera invité à un dîner à l’Élysée.
Selon Le Parisien, le joueur de Luis Enrique dînera avec Nasser Al-Khelaïfi, son président, et l’émir du Qatar, Tamim bin Hamad Al-Thani.
Le dirigeant du pays du Moyen-Orient rencontrera le président français à plusieurs reprises au cours des semaines et des mois à venir pour discuter du conflit entre le Hamas et Israël, dans lequel tous deux ont une influence évidente et savent que les conséquences peuvent affecter leurs nations.
Mbappé ne pourra guère apporter quelque chose à cet égard. Il est fort probable que les questions politiques seront laissées pour une autre occasion et que, avec la présence d’Al-Khelaïfi, qui participera aux sommets prévus dans un proche avenir en tant que consultant ou intermédiaire, l’événement se déroulera sur un ton jovial et sera axé sur l’héritage du joueur à Paris. En principe, il n’y a pas eu de fuites selon lesquelles les instances dirigeantes françaises essaieraient de le convaincre de renouveler son contrat.
Selon L’Équipe, Kylian Mbappé avait déjà pris la décision de quitter le PSG en décembre. La star française avait pourtant déclaré à la presse en janvier dernier qu’il n’avait pas encore pris sa décision alors qu’il avait déjà un accord avec le Real Madrid.
Tout semble indiquer que le feuilleton Kylian Mbappé touche à sa fin. Comme l’ont rapporté plusieurs médias ces dernières semaines, le Français a déjà fait part à la direction du PSG de son souhait de partir à la fin de la saison.
D’ailleurs, Luis Enrique lui-même a admis en conférence de presse qu‘il fallait s’habituer à jouer sans lui, puisque l’attaquant a été remplacé ce dimanche alors que son équipe était menée au score contre Rennes (1-1).
Selon L’Équipe, le joueur avait pris sa décision bien plus tôt. Plus précisément, en décembre de l’année dernière. Il ne voulait pas que son avenir soit le sujet principal de la saison et il a donc décidé de prendre cette mesure bien avant le huitième de finale de la Ligue des champions contre la Real Sociedad.
Cette même source croit même que Mbappé avait déjà un accord de principe avec le Real Madrid en décembre. Il garantit toutefois qu’aucune des deux parties ne fera d’annonce officielle avant la fin de la saison, étant donné que les deux équipes sont encore en lice en Ligue des champions et qu’il est possible qu’elles s’affrontent pendant la compétition.
D’autre part, Mbappé aurait également insisté auprès de Nasser Al Khelaïfi, président du PSG, pour qu’il n’essaie pas de le convaincre de rester, car la décision était prise et totalement irrévocable. Le dirigeant qatari l’a accepté et n’a essayé à aucun moment de le convaincre de prolonger son contrat qui expire en juin 2024.
À noter que Mbappé avait assuré en janvier dernier qu’il ne savait toujours pas de quoi son avenir serait fait, ce qui, apparemment, n’est pas vrai.
L’ailier norvégien Oscar Bobb a renouvelé son contrat avec Manchester City jusqu’en juin 2029.
Oscar Bobb a renouvelé son contrat avec Manchester City jusqu’en juin 2029. Le contrat du joueur de 20 ans devait expirer à l’été 2026.
« Je suis très fier et honoré d’avoir signé mon nouveau contrat avec City. C’est un environnement incroyable et le meilleur endroit possible pour un jeune joueur. J’ai déjà beaucoup appris de Pep, de son équipe d’entraîneurs et de mes coéquipiers. Savoir que je serai ici jusqu’en 2029 signifie tout pour moi », a déclaré l’international norvégien.
Depuis qu’il a rejoint Manchester City en provenance du club norvégien de Valerenga à l’été 2019, l’ailier a progressé dans le centre de formation de City. Il a fait ses débuts en équipe première lors de la victoire (5-1) contre Fulham en septembre 2023.
Il a fait 16 apparitions en équipe première toutes compétitions confondues cette saison, inscrivant deux buts et délivrant deux passes décisives.
Bobb a également fait la première de ses quatre apparitions en équipe nationale, lors de la victoire 4-0 de la Norvège contre Chypre en octobre.
Le Bayern Munich a annoncé la nomination de Max Eberl en tant que nouveau directeur sportif du club. Il prendra ses fonctions le 1er mars.
Le Bayern Munich a annoncé ce lundi la nomination de Max Eberl en tant que nouveau directeur sportif.
L’homme de 50 ans, qui a travaillé au Borussia Mönchengladbach et au RB Leipzig, a signé un contrat avec les Bavarois jusqu’à l’été 2027.
Eberl prendra ses fonctions dans son nouveau club le 1er mars et sera chargé de désigner le successeur de Thomas Tuchel à la fin de la saison.
« J’ai passé toute mon enfance et ma jeunesse au FC Bayern et à Munich, c’est donc quelque chose de spécial pour moi de revenir dans le club où tout a commencé dans un nouveau rôle. Le poste de directeur sportif est un grand défi que je relèverai avec beaucoup de respect et d’humilité, mais avec encore plus d’impatience », a-t-il réagi.
Lionel Messi a égalisé dans les arrêts de jeu pour permettre à l’Inter Miami d’arracher un match nul 1-1 face au Los Angeles Galaxy, dimanche en Major League Soccer.
Le Galaxy a dominé la rencontre et a pris l’avantage à la 75e minute grâce à l’attaquant serbe Dejan Joveljic. Mais l’équipe locale a terminé le match à dix après l’expulsion du milieu de terrain Mark Delgado pour un deuxième carton jaune à la 87e minute.
Jordi Alba combinait alors avec Messi sur le côté gauche, l’Espagnol délivrant une passe décisive à l’Argentin qui, en pleine course, trouvait la cible de l’extérieur du pied gauche.
L’octuple Ballon d’Or a été par ailleurs le plus souvent inefficace dans ce match où Miami, avec sept titulaires âgés de plus de 30 ans, a eu du mal à suivre le rythme du Galaxy.
Le club floridien avait aligné ses quatre anciennes stars du FC Barcelone dans son équipe de départ, avec Alba, Sergio Busquets et Luis Suarez présents aux côtés de Messi.
Mais c’est un élément du Galaxy formé au Barça, l’Espagnol Riqui Puig, 24 ans, qui s’est imposé comme le meilleur joueur sur le terrain, surtout en première mi-temps où les Californiens se sont procuré une série d’occasions.
Busquets et Suarez ont semblé particulièrement à la traîne, et leur contribution étant limitée, Messi n’a pas bénéficié de beaucoup d’espace.
« Nous avons été dépassés en première mi-temps, nous aurions pu rentrer aux vestiaires avec un but de retard », a reconnu Gerardo Martino, l’entraîneur de l’Inter Miami.
« Ils ont marqué sur une contre-attaque, mais nous avons ensuite fait preuve de caractère », a-t-il ajouté.
Miami compte quatre points après avoir remporté mercredi dernier le match d’ouverture de la saison contre le Real Salt Lake (2-0).
Cristiano Ronaldo, excédé par les fans d’Al Shabab qui lui scandaient « Messi, Messi », s’est adressé à eux en réalisant un geste obscène. Les autorités du championnat vont enquêter pour déterminer s’il s’agit d’un acte qui manque suffisamment de décorum pour justifier une sanction.
Le conseil de discipline de la Fédération saoudienne de football a ouvert une enquête surCristiano Ronaldo en raison du « geste obscène » qu’il a fait en direction des supporters d’Al Shabab. L’information est rapportée par la presse locale, qui indique qu’une décision devrait être annoncée dans les prochains jours.
L’attaquant portugais, âgé de 39 ans, pourrait écoper d’un match de suspension et donc manquer la réception d’Al Hazem, jeudi, en Championnat.
Pour rappel, le quintuple Ballon d’Or a fait ce geste après avoir entendu des chants en faveur de son rival, Lionel Messi, dans les tribunes.
Luis Enrique a été interrogé sur la raison pour laquelle il a fait sortir Kylian Mbappé à la 65e minute alors que le Paris Saint-Germain était mené contre le Stade Rennais. L’entraîneur espagnol a déclaré que tôt ou tard, l’équipe devait s’y habituer.
A 10 jours de la Ligue des champions, le Paris SG a failli concéder sa deuxième défaite de la saison en Ligue 1 dimanche contre Rennes mais a égalisé en toute fin de match (1-1), privant les Bretons d’une septième victoire consécutive en championnat.
Pour renverser la vapeur, Luis Enrique a tenu à adresser un message à ses joueurs, d’abord en sortant Lee Kang-In, inoffensif, par Marco Asensio, puis en sortant KylianMbappé, BradleyBarcola puis OusmaneDembélé à l’heure de jeu.
Événement rare que le remplacement en cours de jeu de la superstar. Hasard ou pas, depuis l’annonce de son départ du club l’été prochain à ses dirigeants, Luis Enrique l’a fait débuter sur le banc contre Nantes puis remplacé contre Rennes…
Après la rencontre, l’entraîneur espagnol a expliqué la raison pour laquelle il a fait sortir Kylian Mbappé à la 65e minute. Découvrez-la en vidéo.
La Premier League a confirmé dans un communiqué officiel qu’elle avait réduit à six points la sanction de 10 points infligée à Everton pour avoir enfreint les règles du fair-play financier, suite aux conclusions d’un comité d’appel indépendant. Les « toffees », qui étaient au bord de la relégation de la Premier League anglaise avec 21 points, comptent désormais 25 points.
La suspension de 10 points d’Everton, qui a fait passer les Toffees du milieu de tableau de la Premier League à la place de relégable, a été corrigée.
Lundi midi, la Premier League a indiqué qu’en réponse à l’appel du club après qu’un comité indépendant l’a sanctionné pour avoir enfreint les règles financières de la compétition au cours de l’exercice jusqu’à la saison 2021-22, un comité a décidé que sa déduction sera, finalement, de six points.
La pondération est maintenant mise à jour dans le tableau de la Ligue anglaise, où l’équipe est maintenant classée 15e devant Nottingham Forest et Brentford. Ils avaient 21 points et, avec cette correction, ils en ont 25, soit un de plus que les « arbres délicats » et autant que les « abeilles » -avec le goal average gagné-, ce qui porte à 5 leur avance sur les positions en rouge.
Les bureaux de Goodison Park s’étaient plaints non pas du fait que des irrégularités avaient été découvertes dans leurs comptes, ce qu’ils ont reconnu, mais du fait que la sanction était injuste. Pour ce faire, ils ont présenté neuf arguments. Ils ont obtenu gain de cause pour deux d’entre eux, ce qui réduit la déduction de leur score, mais maintient une condition qui reviendrait à ignorer deux victoires, mais à appliquer deux défaites.
La première sanction a été décidée par une commission indépendante et la révision de la sanction par un comité d’appel indépendant. Le panel qui a laissé la pénalité à 6 points est dirigé par le juge Sir Gary Hickinbottom avec le soutien des spécialistes Daniel Alexander et Katherine Apps. Ils ont été choisis par la direction d’une commission également indépendante dont dispose la Premier League pour ce type de situation.
Invité de l’émission « Quelle époque » samedi soir, Teddy Riner a fait passer plusieurs messages à cinq mois des Jeux de Paris 2024. Le triple champion olympique est agacé du manque d’engouement autour des JO dans la capitale française et a défendu les « champions du monde qui ont du mal ». Riner a également pointé le nombre de places alloués aux proches des athlètes.
A cinq mois des Jeux olympiques de Paris 2024 dont il sera l’une des têtes d’affiche, Teddy Riner était l’invité de l’émission « Quelle époque » présentée par Léa Salamé, samedi soir. Le triple champion olympique a été invité à s’exprimer à l’approche du rendez-vous du siècle et il a profité de l’antenne pour donner son avis sur divers sujets comme la place du sport en France ou le traitement des sportifs de haut niveau. Et, surtout, sur le manque d’engouement pour la compétition organisée tous les quatre ans, « le plus bel évènement du monde ».
« On ne réalise pas forcément ce que sont les JO. Sur les divers Jeux olympiques que j’ai fait, on voit des pubs, on voit une efferverscence dans la ville. Nous, on a juste les anneaux devant la mairie de Paris et c’est tout », a regretté le judoka. Confronté aux propos tenus par Florent Manaudou en novembre dernier dans la même émission, il a ensuite donné raison au nageur. « Oui, la France n’est pas un pays de sport. Allez au Brésil. Matin, midi et soir, à n’importe quelle heure, ils courent, ils font du sport. C’est vital pour eux. Nous, on commence à comprendre. Le sport, ce n’est pas dans notre culture. On n’arrive même pas à mettre sur un beau socle les sportifs et les champions. »
« AVEC TOUT CE QUE J’AI RAMENÉ À LA FÉDÉRATION… »
Riner, qui est l’un des représentants français les plus titrés, jouit d’une grande exposition dans le paysage médiatique. Ce qui n’est pas le cas de tout le monde. L’homme à la vingtaine de récompenses internationales en est conscient et il s’est mué en porte-parole pour ces « champions du monde ou d’Europe qui n’arrivent pas à boucler les fins de mois » : « Quand je vois parfois des potes à moi, sans critiquer personne de la SNCF, qui ont beaucoup d’avantages que certains sportifs mériteraient… On a des champions du monde qui ont du mal, bien sûr, qui ne tournent même pas à 2000 euros. »
Dans un autre registre, Riner s’est plaint de ne bénéficier que de deux places pour ses proches à Paris 2024 et qu’il est « en train de se battre tous les jours pour choper des places ». Relancé par un plateau incrédule, il a poursuivi : « On est trash ? OK. Le champion que je suis, tout ce que j’ai ramené à la Fédération, je n’ai le droit qu’à deux places sur ma journée à moi. Mais j’aime ma Fédération et mon sport. »
Ses propos ne sont pas passés inaperçus, du moins ceux tenus sur les tickets délivrés aux sportifs français. Amélie Oudéa-Castera lui a répondu sur X. « Ne t’inquiète pas, tu auras bien 6 places pour ton entourage, pour chacune de tes sessions », a écrit la ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques en le mentionnant, rappelant au passage que le dispositif mis en place représente « un effort de plus de 1,6 millions d’euros » pour l’Etat.
Trois jours après sa qualification en 8e de Ligue Europa, l’Olympique de Marseille a décroché sa première victoire de l’année 2024 en Ligue 1 en battant Montpellier 4-1 dimanche soir au Vélodrome en clôture de la 23e journée.
Malgré l’arrivée sur le banc de Jean-Louis Gasset en début de semaine, il faut croire que Marseille aime toujours se faire mal. Largement supérieur à Montpellier, l’OM a décidé de donner immédiatement un avantage à son adversaire du soir.
Avant même la 5e minute de la rencontre, alors que les Marseillais s’étaient emparés du ballon, leur capitaine Samuel Gigot s’est totalement troué sur un dégagement anodin, offrant ainsi une passe décisive à Mousa Tamari, l’attaquant jordanien de Montpellier. Celui-ci ne s’est pas fait prier pour battre Pau Lopez de la tête à bout portant et ouvrir le score contre le cours du jeu (0-1, 4e).
Comme face au Shakhtar Donetsk en Ligue Europa jeudi, le public du Vélodrome, encore circonspect vis-à-vis de son équipe et très remonté contre la direction du club, n’a pas lâché les siens malgré ce coup de froid initial.
Les joueurs de Jean-Louis Gasset, serein devant son banc de touche pour sa première en championnat avec l’OM, ont recouvré leurs esprits et remis la marche en avant.
Et c’est la surprise du nouvel entraîneur de l’OM qui a fait la différence. Incertain la veille de la rencontre, le milieu offensif Iliman Ndiaye a été titularisé par Gasset aux côté de Pierre-Emerick Aubameyang dans le 3-5-2 que le technicien originaire de Montpellier a adopté depuis son arrivée en début de semaine.
Dans ce système, Ndiaye a beaucoup décroché, venant chercher les ballons très bas sur le terrain. Le Sénégalais s’est énormément démené en participant activement aux tâches défensives.
Ndiaye ovationné
Et ses efforts ont fini par être récompensés à la demi-heure de jeu. Dans la surface, récupérant un ballon mal dégagé par la défense héraultaise, Ndiaye a effacé d’un crochet Falaye Sacko pour fusiller Benjamin Lecomte et égaliser (1-1, 30e).
C’est encore lui qui a gratté un ballon dans les pieds héraultais, pour lancer une action qui allait se terminer par la finition d’Aubameyang après un centre à ras de terre de Chancel Mbemba (2-1, 43e).
C’est lui enfin, parfaitement lancé par le Gabonais, qui s’est écroulé dans la surface adverse, taclé par Boubakar Kouyaté, provoquant, avec l’aide de la VAR, un pénalty logique pour l’OM. Pénalty transformé par Aubameyang pour son huitième but en Ligue 1 cette saison (3-1, 61e).
Sorti à la 80e minute, Ndiaye, si souvent chahuté par le public marseillais depuis son arrivée en début de saison, a été ovationné par le Vélodrome, circonspect mais pas rancunier manifestement.
Montpellier a fini par boire le calice jusqu’à la lie lorsqu’une minute plus tard, Sacko a mis le ballon dans son propre but après un centre d’Ismaila Sarr, placé en piston droit par Gasset pour pallier l’absence de Jonathan Clauss, suspendu (4-1, 81e).
Mais la flamboyance de son duo d’attaquants ne doit pas faire oublier que l’OM est encore chancelant après un mois de janvier terne.
Alors que Montpellier, qui est après sa défaite à Marseille à égalité de points avec le barragiste, Lorient (22 points), était l’adversaire idéal pour que l’OM reparte de l’avant, les Héraultais ont aussi pointé les failles défensives marseillaises.
Par deux fois, Pau Lopez, le gardien phocéen, a été sauvé par ses poteaux. Plusieurs fois encore, Balerdi, Mbemba ou Gigot ont du sauver la patrie, enrayant des contre-attaques qui aurait pu être décisives.
L’OM n’est pas guéri, mais le docteur Gasset poursuit parfaitement sa convalescence.
Une série de dix victoires toutes compétitions confondues, un 100e but en Serie A sous le maillot nerazzurro: l’Inter Milan et son capitaine Lautaro Martinez sont toujours au sommet après le large succès à Lecce 4-0 dimanche, lors de la 26e journée.
En inscrivant un doublé face au club des Pouilles (14e), l’attaquant argentin a atteint puis franchi la barre des 100 buts en championnat avec l’Inter et mis son équipe sur orbite, après un début de match laborieux.
Les hommes de Simone Inzaghi ont 9 points d’avance sur la Juventus, victorieuse sur le fil de Frosinone (3-2) à Turin, mais ils pourraient porter cette avance à 12 en cas de succès à domicile mercredi face à l’Atalanta Bergame en match en retard.
De quoi filer un peu plus vers le 20e scudetto de leur histoire, trois ans après le dernier.
Contre Lecce, Inzaghi avait procédé à sept changements par rapport au match de Ligue des champions remporté dans la semaine à domicile face à l’Atlético de Madrid (1-0).
Après une entame poussive, l’Inter a retrouvé son efficacité offensive. Comme lors des deux précédentes journées de championnat, les Intéristes ont trouvé quatre fois le chemin des filets pour porter leur total de buts à 63 cette saison.
Lautaro Martinez a débloqué la situation au quart d’heure de jeu d’un tir à ras de terre de 20 m pour inscrire son 100e but en championnat sous le maillot de l’Inter.
L’Argentin est ainsi devenu le troisième étranger de l’histoire intériste à atteindre la barre des 100 buts derrière le Hongrois « Stefano » Nyers dans les années 50 et plus récemment son compatriote Mauro Icardi.
Après un deuxième but signé Davide Frattesi (54e), Martinez s’est offert un doublé (56e), servi par le même Frattesi. L’attaquant argentin de 26 ans caracole plus que jamais en tête du classement des buteurs de la Serie A avec 22 buts cette saison.
Stefan de Vrij a ajouté un quatrième but de la tête (67e) pour parfaire la soirée de l’Inter.
Plus tôt, la Juventus avait mis fin à une série de quatre matches sans victoire en championnat en gagnant sur le fil à domicile contre Frosinone (3-2).
Le défenseur central Daniele Rugani a donné la victoire aux Bianconeri à la dernière minute du temps additionnel (90+5) face au modeste 16e du championnat.
Lors de ce match, le milieu de terrain français de la Juve Adrien Rabiot s’est luxé le gros orteil et a dû quitter le terrain à la 29e minute.
Derrière la Juventus, l’AC Milan (3e) reçoit l’Atalanta Bergame (5e) en soirée pour l’affiche de cette journée.
Le champion en titre, Naples, a lui été rejoint en fin de match à Cagliari (1-1). Victor Osimhen avait ouvert le score pour le Napoli, mais Zito Luvumbo a égalisé dans le temps additionnel (90+6). La première victoire en championnat du nouvel entraîneur Francesco Calzona attendra.
Les Napolitains patinent toujours avec ce troisième match nul de rang en une semaine toutes compétitions confondues. Ils pointent à une lointaine 9e place en Serie A, à 11 points de la zone Ligue des champions.
Eternel Modric! Le milieu de terrain croate de 38 ans, relégué sur le banc cette saison, a permis au Real Madrid de s’imposer (1-0) à domicile dimanche devant le Séville FC de Sergio Ramos d’un bijou du droit, quelques minutes après son entrée en jeu.
Le Ballon d’Or 2018 a délivré le Santiago Bernabéu d’une frappe parfaitement enroulée à l’entrée de la surface digne de ses meilleures années sous le maillot merengue (81e, 1-0), alors que les hommes de Carlo Ancelotti peinaient à faire la différence malgré plusieurs occasions franches.
Un but splendide qui offre trois points cruciaux au leader de Liga dans la course au titre.
Le club madrilène (1er, 65 points) compte huit longueurs d’avance sur le FC Barcelone (2e, 57 points) et neuf sur Gérone (3e, 56 points), qui peut néanmoins refaire une partie de son retard en s’imposant à domicile contre le Rayo Vallecano lundi (21H00) en clôture de cette 26e journée.
Privé de ses deux meilleurs buteurs Jude Bellingham et Joselu, tous les deux blessés, et d’Eduardo Camavinga et Dani Carvajal, suspendus, le Real a longtemps buté sur une défense sévillane compacte emmenée par son ex-capitaine Sergio Ramos, qui faisait son retour au Bernabéu où il a tout gagné entre 2005 et 2021.
Le défenseur espagnol de 37 ans, ovationné par ses anciens supporters qui n’ont pas oublié ses exploits sous le maillot blanc, est parfaitement intervenu dans les pieds de Vinicius (6e) pour priver l’attaquant brésilien d’une première opportunité.
Frappe imparable
Mais il n’a ensuite pu qu’admirer son ancien coéquipier Lucas Vasquez ouvrir le score d’un joli enchaînement du droit (10e). Un but finalement annulé après visionnage de la vidéo pour une faute de Nacho sur En-Nesyri au départ de l’action.
Dans un début de match accroché, Séville a fait jeu égal avec son rival madrilène à l’instar du match aller (1-1) au Sanchez Pizjuan et est resté vigilant en défense grâce notamment à plusieurs interventions du Français Loïc Badé.
Les Merengues ont acceléré en fin de première période sous l’impulsion de Tchouaméni et Valverde, dont la frappe lointaine a été sauvée par Nyland (45e+2).
L’inépuisable milieu uruguayen a trouvé le poteau gauche du gardien norvégien dès le retour des vestiaires (49e), avant que son homologue Andriy Lunin ne sorte une énorme parade devant Isaac Romero (53e) pour empêcher les Andalous de prendre l’avantage.
Et les Sévillans, qui ont passé toute la seconde période recroquevillés dans leur surface, ont fini par craquer sur la frappe imparable de Luka Modric, venu rappeler qu’il avait encore du génie dans les pieds à quelques mois de la fin de son contrat.
Dans le premier choc de la journée, le Betis Séville avait largement dominé l’Athletic Bilbao (3-1) à domicile grâce à des buts de deux de ses recrues du mercato hivernal, l’Argentin Chimy Avila (13e) et l’Américain Johnny (67e), sur une passe décisive de Nabil Fekir.
Réduits à dix dès la 40e minute après l’expulsion de Nico Williams, les Basques (5e, 49 points) laissent filer l’occasion de revenir à hauteur de l’Atlético Madrid (4e, 52 points), tenu en échec sur la pelouse de la lanterne rouge Almeria samedi (2-2).
Le Betis, toujours sixième, revient lui à sept longueurs de son adversaire du jour.
La 14e journée de la Ligue 1 s’est déroulée ce week-end avec des matchs passionnants et des résultats qui ont bouleversé le classement. Voici un résumé des principaux événements :
Teungueth FC s’empare de la première place : En battant Jamono Fatick à l’extérieur (2-1), Teungueth FC a réussi à déloger le Jaraaf de la première place du classement. Avec 25 points, les Rufisquois prennent la tête du championnat, profitant du match nul du Jaraaf contre Guédiawaye FC (0-0).
L’AS Pikine impressionne : Au stade Alassane Djigo, l’AS Pikine a offert une performance éblouissante en écrasant l’US Ouakam sur le score de 4-1. Cette victoire convaincante propulse l’équipe banlieusarde à la 3e place du classement avec 24 points.
L’US Gorée accroche Diambars : Toujours dans le haut du tableau, l’US Gorée a arraché un précieux point en faisant match nul contre Diambars de Saly (1-1). Cette performance permet à l’équipe de se maintenir à la 4e place avec 22 points.
La Linguère renoue avec la victoire : Au stade Mawade Wade, la Linguère a renoué avec le succès en battant le Casa Sports sur le score de 1-0. Ce résultat met fin à une série de trois défaites consécutives à domicile pour les Samba Linguères, qui se classent désormais 7e avec 18 points.
La Sonacos réalise une bonne opération : En déplacement, la Sonacos a réalisé une belle performance en battant Dakar Sacré-Cœur sur le score de 1-0. Cette victoire précieuse permet au club diourbellois d’occuper la 8e place du classement avec 18 points.
Génération Foot et le Stade de Mbour se neutralisent : Dans le choc des mal classés, Génération Foot a été accroché à domicile par le Stade de Mbour (1-1). Malgré ce match nul, Génération Foot se maintient à la 11e place avec 14 points.
Au total, 14 buts ont été marqués lors des 7 matchs disputés lors de cette 14e journée de Ligue 1, témoignant de l’intensité et de la compétitivité du championnat sénégalais.
Résultats de la 14e journée de Ligue 1 :
As Pikine / Us Ouakam : 4-1
Guédiawaye FC / Jaraaf : 0-0
Dakar Sacré-Cœur / Sonacos : 0-1
Diambars / US Gorée : 1-1
Linguère / Casa Sports : 1-0
Jamono Fatick / Teungueth FC : 1-2
Génération Foot / Stade de Mbour : 1-1
Cette journée a été riche en rebondissements et en performances remarquables, confirmant une fois de plus l’attrait et le niveau de compétition de la Ligue 1 sénégalaise.
La 22e édition de la Coupe du monde de Beach Soccer a pris fin ce dimanche à Dubaï, laissant derrière elle un spectacle palpitant et un nouveau sacre pour l’une des équipes les plus légendaires de ce sport : le Brésil. Avec une performance étincelante, les Auriverdes ont décroché leur 15e titre de champion du monde en battant l’Italie lors d’une finale mémorable.
Depuis les débuts de la Coupe du monde de Beach Soccer, le Brésil a été une force dominante, écrivant son nom en lettres d’or dans les annales du sport. Cette année ne fait pas exception, avec les joueurs brésiliens qui ont une fois de plus fait étalage de leur talent exceptionnel et de leur maîtrise inégalée sur le sable.
La finale contre l’Italie a été un véritable festival de football de plage, avec des moments d’excitation pure et d’émerveillement pour les spectateurs du monde entier. Les deux équipes se sont affrontées avec passion et détermination, mais c’est finalement le Brésil qui a su tirer son épingle du jeu, remportant la victoire avec un score final de 6 à 4.
Cette victoire marque le 15e titre de champion du monde pour le Brésil en Beach Soccer, confirmant ainsi sa suprématie dans ce sport. L’équipe brésilienne a démontré une fois de plus sa capacité à briller lors des grandes occasions, avec une combinaison de technique, de stratégie et de talent individuel qui en font une force redoutable sur le sable.
Le succès du Brésil dans le Beach Soccer ne se limite pas à cette seule victoire ; il s’inscrit dans un héritage glorieux qui remonte à de nombreuses années. Les joueurs brésiliens ont inspiré des générations entières de fans et de jeunes joueurs à travers le monde, avec leur style de jeu flamboyant et leur passion pour le sport.
Alors que la Coupe du monde de Beach Soccer se conclut avec le Brésil sur le trône une fois de plus, les fans se tournent déjà vers l’avenir avec optimisme. Avec une équipe aussi talentueuse et déterminée, le Brésil semble prêt à continuer à dominer le monde du Beach Soccer pour les années à venir, et à inspirer de nouvelles générations de joueurs à suivre leurs traces.
En remportant leur 15e titre de champion du monde de Beach Soccer, le Brésil confirme sa place au sommet de ce sport exaltant. Leur victoire illustre parfaitement leur détermination, leur passion et leur excellence dans ce domaine, et témoigne de l’impact durable qu’ils ont eu sur le monde du sport. Alors que les célébrations battent leur plein au Brésil et dans le monde entier, une chose est sûre : les Auriverdes continueront à briller comme des étoiles sur les plages du monde entier, et à captiver les cœurs et les esprits des amateurs de Beach Soccer partout.
A 10 jours de la Ligue des champions, le Paris SG a failli concéder sa deuxième défaite de la saison en Ligue 1 dimanche contre Rennes mais a égalisé en toute fin de match (1-1), privant les Bretons d’une septième victoire consécutive en championnat.
Avec 54 points, le PSG conserve une large avance sur le deuxième Brest (43 points), mais se serait bien passé d’un match si compliqué alors que se profile l’échéance cruciale du match retour contre la Real Sociedad à San Sebastian le 5 mars.
Et pour les Bretons, la déception de voir la victoire s’envoler in extremis est grande. Avec 35 points, ils restent derrière Lens à la 7e place.
Paris savait qu’il devait se méfier de cette équipe de Rennes qui était irrésistible dans l’Hexagone depuis plusieurs semaines et s’est même offert un succès de prestige contre l’AC Milan jeudi en Ligue Europa (3-2).
Pourtant, l’entraîneur des Bretons Julien Stéphan n’avait pas aligné son onze type, laissant notamment sur le banc l’attaquant Martin Terrier et le milieu Benjamin Bourigeaud, auteur d’un triplé jeudi soir contre l’AC Milan.
Et de son côté, le coach parisien Luis Enrique n’était pas loin d’aligner l’équipe de Ligue des champions, moins Warren Zaïre-Emery, entré en jeu, et Marquinhos, blessé.
En première mi-temps, les Parisiens ont dominé sans être dangereux, si ce n’est une frappe de Vitinha qui visait le petit filet droit de Steve Mandanda. L’ancien Marseillais s’est bien couché pour dévier du bout du gant (20e).
Un Hakimi trop altruiste qui rate la dernière passe dans la surface dès l’entame du match et un tir de Kylian Mbappé contré (19e) étaient les autres maigres alertes dans la défense rennaise, plutôt bien en place.
Les Rennais sont longtemps restés cantonnés dans leur camp mais c’est bien eux qui ont trouvé la faille sur un exploit individuel d’Amine Gouiri, lancé dans l’axe. L’ancien Lyonnais a réalisé un grand pont sur Danilo avant de conclure dans la lucarne d’un extérieur du pied.
Le Rennais s’est même amusé à répéter deux fois un grand pont dans les minutes suivantes, et aurait même pu doubler la mise s’il n’avait pas été trop gourmand (36e).
Mbappé remplacé
Pour renverser la vapeur, Luis Enrique a tenu à adresser un message à ses joueurs, d’abord en sortant Lee Kang-In, inoffensif, par Marco Asensio, puis en sortant Kylian Mbappé, Bradley Barcola puis Ousmane Dembélé à l’heure de jeu.
Événement rare que le remplacement en cours de jeu de la superstar. Hasard ou pas, depuis l’annonce de son départ du club l’été prochain à ses dirigeants, Luis Enrique l’a fait débuter sur le banc contre Nantes puis remplacé contre Rennes…
Malgré ces changements, la seconde mi-temps a consacré l’impuissance parisienne du jour. Seul Danilo s’est trouvé en position d’égaliser de la tête sur corner, mais a raté le cadre (76e).
Et en guise de changement, Julien Stéphan avait de nouveaux arguments à opposer aux Parisiens en faisant rentrer Terrier et Bourigeaud.
C’est d’ailleurs ce dernier qui aurait pu tuer le match, mais sa reprise à bout portant sur un centre venu de la gauche (69e) a manqué la cible de manière surprenante.
Pour Paris, la rentrée très acclamée par le Parc des Princes du revenant Nuno Mendes, après neuf mois de blessure, et surtout de Gonçalo Ramos, a été décisive.
L’avant-centre a cru obtenir un pénalty après une erreur de concentration de Guéla Doué mais après vérification sur un écran, l’arbitre Bastien Dechepy est revenu sur la pelouse avec une annulation de la sanction et un carton jaune pour simulation attribué à l’attaquant portugais.
Quelques minutes plus tard, Ramos a crocheté pour effacer Mandanda et s’est effondré mais l’arbitre a provoqué la bronca du stade en désignant le poteau de corner – avant de changer sa décision encore via l’arbitrage vidéo.
Après quelques moments de tension entre les deux équipes, Gonçalo Ramos n’a pas tremblé pour expédier sa frappe en lucarne.
Le leader Liverpool reste sous la menace directe de Manchester City, victorieux sur la pointe des pieds à Bournemouth (1-0), et de l’épatant Arsenal, intraitable samedi contre Newcastle (4-1).
La défaite mercredi à Porto (1-0) en huitième de finale aller de la Ligue des champions n’a pas cassé l’élan d’Arsenal en Angleterre.
Les Gunners (3e, 58 pts) ont enchaîné une sixième victoire consécutive en Premier League en 2024, pour un total de 25 buts marqués et seulement trois encaissés dans cette série.
Leur dynamique peut inquiéter Liverpool (60 pts) et City (59 pts) qui s’affrontent dans deux semaines à Anfield.
Face à Newcastle, l’équipe de Mikel Arteta a livré une prestation similaire à ses deux dernières performances en championnat, à West Ham (6-0) et Burnley (5-0).
Efficacité sur coups de pied arrêtés, discipline défensive, créativité offensive, mouvement permanent: Arsenal a encore une fois été injouable, face à une formation qui l’avait étouffé lors de la phase aller, malgré un score final minimaliste (1-0).
Samedi, le mélange d’impact physique (Declan Rice), d’intelligence tactique (Jorginho) et d’imagination offensive (Martinelli-Havertz-Saka, avec Odegaard en facteur x), a fait voler en éclats la défense des « Magpies », huitièmes après avoir concédé 13 buts lors de leurs 5 derniers matches.
Aston Villa garde le cap
Avec trois victoires lors de ses six derniers matches, Aston Villa reste encore très erratique mais est plus que jamais un candidat sérieux pour participer à la prochaine Ligue des Champions, après sa victoire contre Nottingham Forest (4-2).
Privé de six joueurs, le club de Birmingham a très vite fait la différence grâce à un but d’Ollie Watkins, son quatorzième de la saison en championnat (avec dix passes décisives).
Cette victoire permet à la formation d’Unai Emery de compter 52 points et de mettre la pression sur son principal rival pour l’Europe, Tottenham, qui compte maintenant cinq points de retard avec un match en plus à jouer, à Chelsea.
En bas de tableau, Everton a manqué d’un rien de l’emporter à Brighton (1-1). Rejoints en toute fin de match malgré une supériorité numérique, les « Toffees » sortent au moins provisoirement de la zone de relégation.
A noter également l’entrée en matière réussie d’Oliver Glasner à Crystal Palace. La formation de l’ancien entraîneur de l’Eintracht Francfort s’est rassurée contre le relégable Burnley (3-0).
Virgil van Dijk a de la suite dans les idées. Buteur à l’heure de jeu en finale de la Carabao Cup face à Chelsea, mais frustré par le VAR et un hors-jeu, le défenseur de Liverpool a donné la victoire aux siens en marquant à la 119e minute de jeu ce dimanche (0-1). Les Reds remportent donc un premier trophée cette saison, la dernière de Jürgen Klopp au club.
Liverpool au bout de la folie. Les Reds ont repris leur League Cup au terme d’une 64e finale totalement dingue et remportée à Wembley face à Chelsea (0-1). Il a fallu attendre le bout de la 2e période de la prolongation pour que Virgil Van Dijk trouve enfin la faille devant Djordje Petrovic. Dixième titre dans la compétition, deux ans après le dernier, pour Liverpool et déjà un beau cadeau d’adieu pour Jürgen Klopp.
Un stade de 88 000 personnes séparées en bleu et rouge, et un suspens intenable. Comme en 2022, Chelsea et Liverpool ont mené une bataille qui n’est pas allée cette-fois-ci jusqu’à la séance de tirs au but. Le capitaine Van Dijk a bouclé le succès à la 118e minute à la réception d’un corner premier poteau et une tête décroisée parfaite. De quoi faire exulter le technicien des Reds qui a tout vécu ce dimanche soir.
43 TIRS, 2 BUTS REFUSÉS ET UN MATCH D’UNE INTENSITÉ DINGUE
Privé de nombreux cadres des deux côtés (Salah, Nunez, Alisson, Alexander-Arnold… côté Reds, Et de Thiago Silva, Badiashile, James… chez les Blues), le match a proposé tout de même un spectacle magnifique… presque démesuré. Justes techniquement et athlétiquement jusqu’au bout de la prolongation, les deux équipes ont tout donné dans une partie à 100 à l’heure.
24 tirs pour Liverpool, 19 pour Chelsea… Le 0-1 final ne reflète pas une rencontre où toutes les offensives – ou presque – ont mené à des occasions. Mais les défenses ont été admirables à l’image d’une tête défensive salvatrice, juste après son but, de Virgil Van Dijk pour libérer enfin son équipe (119e) de la frappe de Noni Madueke.
De cette partie, il faudra retenir les prestations XXL des portiers. Caoimhin Kelleher s’étant imposé à bout portant devant Cole Palmer (20e) ou bien sorti devant Conor Gallagher qui avait le titre entre les pieds (85e). Djordje Petrovic a lui aussi brillé sur une reprise d’Harvey Elliott (57e) et surtout auteur d’un double arrêt incroyable sur sa ligne (115e). On se souviendra également d’un poteau touché par Gakpo (40e) et Gallagher (75e) et des buts refusés sur hors-jeu à Raheem Sterling (32e) et sur obstruction à Van Dijk (61e).
Enfin, on pourra citer le coaching presque amusé de Jurgen Klopp qui a fait entrer 3 tous jeunes joueurs dans l’antre du football (Jayden Danns, Bobby Clark et James Mcconnell). Ces trois-là ont participé à remettre du jus au bout du bout et à offrir un succès au coach allemand, à quelques mois de son départ de l’institution.
Sur un but de Jean-Charles Castelletto à la 49e, le FC Nantes a stoppé Lorient (0-1), ce samedi lors de la 23e journée de Ligue 1. Les Merlus restaient sur trois victoires consécutives en championnat mais n’ont pas trouvé le chemin des filets ce samedi sur leur pelouse. Avec ce succès, Nantes (12e) prend ainsi trois points d’avance sur son adversaire du jour.
Les Canaris font rechuter les Merlus. Nantes est allé s’imposer sur la pelouse de Lorient, samedi, dans le cadre de la 23e journée de Ligue 1 (0-1). Mordants et solides, les visiteurs ont fait la différence sur un but de Jean-Charles Castelletto (49e). Les locaux se sont montrés inoffensifs et tombent de haut après trois victoires de suite. Les Nantais cèdent la place de barragiste à leurs adversaires et grimpent provisoirement à la 12e place.
Malgré le fervent soutien de leurs supporters et leur belle forme récente, les Lorientais sont tout doucement entrés dans cette rencontre. Ils ont bien mis le pied sur le ballon mais n’en ont rien fait de bon sur le plan offensif à cause d’un cruel manque de percussion et de vitesse dans les transmissions.
LORIENT SANS IDÉES
Les joueurs de Régis Le Bris se sont toutefois procuré la première occasion avec un long ballon axial dans le dos de la défense adverse et un service parfait de Julien Ponceau pour Mohamed Bamba qui a envoyé sa frappe au-dessus du cadre (11e). En feu dernièrement, l’attaquant ivoirien aux 5 buts sur ses 4 premiers matches de L1, ne s’est plus du tout montré ensuite.
Il faut dire que leurs adversaires étaient solidement regroupés et exerçaient un pressing efficace. Bien plus mordants, les Nantais ont sollicité Yvon Mvogo sur des frappes du tranchant Moses Simon (13e et 15e). Le Nigerian a aussi tiré au-dessus de la cible en bonne position (33e). Travailleur mais plus discret, son compère Mostafa Mohamed, touché à une hanche, a dû céder sa place à Tino Kadewere à la pause.
SIMON FAIT DES DÉGÂTS
La sortie de l’attaquant égyptien, n’a pas perturbé Simon et les Canaris. Le Nigerian est allé percuter sur la gauche de la surface adverse avant de provoquer face au décevant Panos Katseris et de déposer le ballon au second poteau pour une volée du plat du pied de Castelletto (0-1, 49e). Le Camerounais, habitué à évoluer en défense centrale mais désormais piston droit, a signé son second but de la saison en championnat après celui contre Monaco lors de la 3e journée (3-3).
Castelletto a mis les siens sur la bonne voie mais aussi illustré la hargne nantaise, bien supérieure à celle de Morbihannais trop lents. Les trois changements offensifs de Le Bris (63e) n’ont pas davantage permis de solliciter un Alban Lafont qui a passé un samedi très tranquille avec un seul tir lorientais cadré sur six décochés. Les Merlus subissent un net coup d’arrêt et devront tenter d’aller rebondir à Rennes prochainement. Les Canaris, eux, auront l’occasion de confirmer face à Metz, autre équipe en lutte pour le maintien.
Enfin du jeu à Barcelone! Auteur d’une première prestation aboutie après des semaines de doute, le champion d’Espagne en titre a poursuivi sa remontée au classement en dominant facilement Getafe à domicile samedi (4-0), récupérant provisoirement la deuxième place de Liga.
Les hommes de Xavi, qui avait assuré cette semaine que son équipe allait lutter pour conserver sa couronne « tant que ce sera mathématiquement possible », reviennent à cinq points du Real Madrid (1er, 62 points) et doublent leur voisin de Gérone (3e, 56 points).
Les Madrilènes accueillent dimanche (21H) le Séville FC, tandis que les Gironistes recevront le Rayo Vallecano lundi (21H).
Le Barça est désormais invaincu depuis six matches (4 victoires, 2 nuls) et l’annonce du départ de Xavi Hernandez en fin de saison suite aux mauvais résultats de son équipe en janvier.
Dominateurs contre une formation madrilène combative mais limitée, les Catalans ont fait la différence en seconde période, après avoir manqué plusieurs occasions de tuer le match en première.
Parfaitement lancé par Jules Koundé dans le dos d’une défense de Getafe bien trop avancée, Raphinha a ouvert le score du plat du pied gauche (21e, 1-0) pour s’offrir un premier but en championnat depuis deux mois.
Il a ensuite manqué quelques centimètres à Gündogan pour pouvoir reprendre de la tête un centre de l’ailier brésilien (28e), et plus de réalisme de la part de Joao Félix (36e, 38e) face à David Soria, pour que le Barça ne creuse l’écart.
En tête à la mi-temps, Barcelone s’est fait une nouvelle frayeur au retour des vestiaires, mais a pu compter sur la vigilance de son portier Ter Stegen, qui a détourné la frappe de Luis Milla sur le poteau (49e).
Le Portugais Joao Félix a fini par trouver le chemin des filets en concluant du droit une projection de Christensen qui s’était parfaitement engouffré dans l’espace laissé par le bloc haut de Getafe (54e, 2-0).
Servi en retrait par Raphinha, le Néerlandais Frenkie de Jong a creusé l’écart (61e, 3-0), avant que Fermin Lopez n’ajoute un quatrième but pour sceller le succès des Blaugranas (90e+1, 4-0).
Cette première victoire par trois buts d’écart ou plus des Barcelonais depuis le mois de septembre, permet au champion en titre de retrouver provisoirement la deuxième place pour la première fois depuis octobre 2023.
En ouverture de cette 26e journée vendredi, la Real Sociedad (6e, 40 points) avait concédé une troisième défaite sur ses quatre dernières rencontres toutes compétitions confondues en tombant à domicile (3-1) devant Villarreal (12e, 29 points), qui poursuit sa remontée au classement.
Les hommes de Marcelino sont sur une série de six matches sans défaite, avant les retrouvailles de l’éphémère coach de l’OM avec son ancienne équipe en huitièmes de finale de la Ligue Europa le 7 mars.
L’équipe de France féminine s’est qualifiée vendredi en finale de Ligue des nations féminine en éliminant ses meilleures ennemies allemandes (2-1) et poursuit sa route vers un premier titre majeur lors d’une compétition officielle, à quelques mois des JO.
En pleine confiance après une phase de poules réussie (5 victoires, un nul), les joueuses d’Hervé Renard ont continué leur sans faute et ont validé leur ticket pour une première finale continentale, celle de la première édition de la Ligue des nations féminine.
Elles affronteront à Séville mercredi prochain l’Espagne, championne du monde et vainqueur de l’autre demi-finale contre les Pays-Bas (3-0).
Devant les 30.300 spectateurs du Groupama stadium, dont la ministre des sports Amélie Oudéa-Castéra, le président de la Fédération française de football Philippe Diallo et le maire de Lyon Grégory Doucet, les Bleues n’ont quasiment rien laissé aux Allemandes.
A part en fin de match où elles ont laissé plus d’espaces et d’occasions à leurs adversaires. Et quand elles ont concédé un pénalty après une main d’Amandine Henry dans la surface, transformé par Giulia Gwinn (2-1, 82e)
Face à leurs meilleures ennemies, notamment après l’élimination en demi-finale de l’Euro 2022 (2-1), les Françaises ont réussi à hausser cette fois leur niveau de jeu surtout en première période, en insistant sur le côté droit.
A l’image de la Lyonnaise Kadidiatou Diani, virevoltante sur son côté droit, auteure d’un match complet et d’une superbe reprise en demi-volée pour ouvrir le score (41e). Son 27e but en équipe de France.
Premier but de Karchaoui
Tout comme Eugénie Le Sommer, capitaine en raison du forfait de Wendie Renard, qui a parfaitement percuté et créée une multitude d’occasions.
Un peu plus discrète, la milieu du PSG Grace Geyoro a provoqué le pénalty, transformé par Sakina Karchaoui (45+4) pour son premier but sous les couleurs bleues.
La charnière Griedge Mbock et Maëlle Lakrar a répondu également présente pour gérer le jeu de tête de la vedette et capitaine allemande Alexandre Popp sur les multiples corners.
Contrairement à la demi-finale de l’Euro 2022 alors auteure d’un doublé, elle est cette fois restée muette même si elle était tout près de marquer après avoir touché la barre transversale (72e).
A part cette action, elle et ses coéquipières ont été finalement peu dangereuses, alors que les Françaises ont montré moins de choses en seconde période.
Championne du monde en 2003 et 2007 et championne olympique en 2016, l’Allemagne continue de vivre des mois compliqués après avoir connu une grosse désillusion cet été lors de la Coupe du monde en Australie, éliminée dès les phases de poules. Une première dans son histoire.
Comme la France, déjà qualifiée aux JO en tant que pays hôte et présente en finale, les Allemandes ont encore une chance de voir les JO cet été à Paris, si elles arrivent à battre les Pays-Bas dans le match de la troisième place.
Car ce sera la nation victorieuse du match pour la troisième place qui obtiendra le deuxième billet.
Côté Bleues, tous les voyants sont au vert depuis l’élimination en quart de finale du Mondial cet été contre l’Australie, comme l’a assuré Hervé Renard jeudi: « on a beaucoup appris, on a amélioré certaines choses, il faut de la confiance en soi, en ses partenaires, quand on a une confiance inébranlable, il n’y pas lieu de craindre quoi que ce soit ».
Cela a bien été le cas vendredi, où les Bleues ont tout maîtrisé, sans craindre personne. Une première finale en guise de répétition générale avant les Jeux olympique cet été, leur objectif principal.
L’Olympique Lyonnais est de plus en plus solide. Rapidement mené à Metz suite à un but de Mikautadze (13e), l’OL a fini par mettre son jeu en place pour signer en terre lorraine une quatrième victoire (1-2) de suite en championnat vendredi, grâce à Lacazette et Benrahma. Voilà les Gones à la 10e place, alors que Metz, avant dernier, n’a toujours pas gagné depuis le mois de novembre.
Revoilà l’Olympique Lyonnais dans le top 10, tout du moins provisoirement. En visite sur la pelouse de Metz, en grandes difficultés dans le championnat de France, les hommes de Pierre Sage ont d’abord affiché un visage inquiétant. Menés au score, ils ont pu compter sur l’égalisation d’Alexandre Lacazette juste avant la pause pour se relancer et prendre un ascendant psychologique décisif (1-2).
C’est l’air de rien la quatrième victoire de suite en Ligue 1 pour Lyon, qui confirme sa bonne forme du moment et sa logique remontée au classement. Il dépasse au passage Strasbourg, club qu’il affrontera en Coupe de France mardi prochain pour une place dans le dernier carré.
Il y a eu deux Lyon ce vendredi soir face à Metz, pour le compte de la 23e journée de Ligue 1. Il y a eu le Lyon de la première période, dépassé par l’envie adverse et coupable de beaucoup trop d’approximations. Elles se sont tellement multipliées qu’elles ont permis aux Messins d’y croire, surtout après l’ouverture du score signée Georges Mikautadze. Après une récupération haute, il s’est permis un grand pont sur Jake O’Brien, enchaîné avec une frappe piquée pour tromper Anthony Lopes (1-0, 13e). Un exploit individuel sublime. Les Lyonnais ne mettaient pas un pied devant l’autre et Metz faisait presque tout bien offensivement. Pour preuve, il aurait même pu faire le break dans la foulée, sans un arrêt de Lopes (14e).
LACAZETTE SONNE LE RÉVEIL
Et puis il y a eu le Lyon de la deuxième période, dont la prestation bien plus convaincante a été impulsée par l’égalisation d’Alexandre Lacazette. Juste avant de rentrer aux vestiaires, l’attaquant a éclaboussé la rencontre de son talent en s’emmenant le ballon sur une frappe trop molle de Clinton Mata pour sécher Alexandre Oukidja (1-1, 45e+1). C’est bien payé pour les Gones et nul doute que ce but a dû faire mal aux têtes messines, piégées alors que tout avait bien été fait jusque-là. Lors du second acte, les Lyonnais ont dominé avec de bien meilleures intentions et le coaching payant de Pierre Sage aura fait le reste.
Le coach de l’OL a fait rentrer Saïd Benrahma à la mi-temps et cet fut très bien joué de sa part. Après une frappe repoussée de Maxence Caqueret, libéré par la présence Nemanja Matic à ses côtés, le ballon est revenu sur Benrahma, qui s’est appliqué au second poteau pour inscrire son premier but avec le maillot lyonnais sur le dos (1-2, 60e). Un but qui pourrait lui permettre de consolider son intégration encore un peu poussive, alors qu’il a tant à apporter à ce Lyon new look. En tout cas, il a offert un succès de plus à un club qui a plus que jamais laissé la crise derrière lui. Tout l’inverse de Metz, qui n’a plus gagné depuis dix rencontres en Ligue 1 et dont les matches provoquent les sifflets d’un public impatient.
Mathys Tel veut rester au Bayern Munich mais souhaite des garanties, Jean-Louis Gasset revient sur le cas brûlant de Jonathan Clauss à l’OM, dont le comportement est actuemment mis en cause, Hakan Calhanoglu, milieu de terrain de l’Inter Milan, a confirmé avoir reçu des offres saoudiennes lors des derniers mercatos, Aulas parle de Mbappé… Voici notre bulletin mercato du vendredi 23 février 2024.
TEL VEUT DES GARANTIES…
Mathys Tel va-t-il rester au Bayern Munich ? Alors que le club bavarois devra se trouver un nouvel entraîneur pour la saison prochaine, ce choix pourrait être décisif pour l’avenir du joueur, qui souhaite rester… mais réclame des garanties de temps de jeu. Selon Fabrizio Romano, son départ aurait été quasi certain si Thomas Tuchel serait resté sur le banc. Le Bayern a récemment annoncé le depart de son coach en fin de saison.
ET DE LIGT AUSSI
On reste à Munich. Toujours d’après le journaliste italien, Matthijs de Ligt est lui aussi dans l’attente de comprendre qui sera le futur entraîneur du Bayern. « Il veut jouer plus et ce n’est pas simple avec Tuchel (…) Le PSG était intéressé en janvier« , précise-t-il, évoquant également un intérêt de plusieurs clubs de Premier League.
GASSET LIVRE SUR SON SENTIMENT SUR LE DOSSIER CLAUSS
Premier réussie pour Jean-Louis Gasset sur le banc de l’OM. Dans un Vélodrome en fusion, le club olympien a battu le shakhtar Dontesk(3-1), jeudi soir, en barrage retour de la Ligue Europe, se qualifiant ainsi pour les 8es de finale. En marge de la rencontre, le technicien marseillais est revenu sur le cas de Jonathan Clauss, pointé publiquement du doigt par ses dirigeants pour son comportement. « Jonathan Clauss est un joueur de l’effectif que je connais. J’ai parlé avec lui, je lui ai dit que j’étais là pour quatre mois, que j’avais une mission et qu’on allait la finir ensemble. Tout ce qui s’est passé avant, je ne suis pas au courant« , a affirmé l’ancien sélectionneur de la Côte d’Ivoire au micro de Canal +.
CALHANOGLU A EU DES OFFRES EN ARABIE SAOUDITE
Interrogé au micro de DAZN, Hakan Calhanoglu, milieu de terrain de l’Inter Milan, a confirmé avoir reçu des offres saoudiennes lors des derniers mercatos. « C’est vrai, a-t-il avoué. Mais j’aime l’Inter, et j’ai dit à mes dirigeants que je voulais rester ici. Ce club a quelque chose de différent pour moi. »
DECO REVIENT SUR LA COLÈRE DE DE JONG
Alors que Frenkie De Jong a récemment évoqué des « fake news » concernant les rumeurs sur son possible départ du Barça, Deco, le directeur sportif du club catalan, a indiqué qu’il « comprenait » son joueur. « Il est humain, a confié le dirigeant. Il y a beaucoup de fake news autour de nous, il voulait juste mettre les choses au clair. Je le vois heureux au Barça, c’est un top joueur de très haut niveau. »
AULAS DONNE SON AVIS SUR LE DÉPART DE MBAPPÉ
Interrogé par nos confrères de RMC Sport, Jean-Michel Aulas, vice-président de la Fédération française de football, est revenu sur le départ de Kylian Mbappé du PSG en fin de saison. « Le départ de Kylian, c’est plus affectif, je dirais, que dans la concrétisation d’accords commerciaux sur les droits TV, a-t-il confié. Kylian, c’est effectivement une époque, mais il est resté sept ans au PSG, c’est magnifique. Moi-même, dans la meilleure période de l’OL où on a été champions tous les ans – et on l’a été sept fois successivement – jamais aucun joueur n’est resté sept années. Et c’était souvent des joueurs internationaux. C’est affectivement… Mais Kylian reste en équipe de France. »
Dernier représentant français en Ligue Europa, l’Olympique de Marseille a hérité de Villarreal lors du tirage au sort des huitièmes de finale de la C3. Les Phocéens, qui ont éliminé le Shakhtar Donetsk (3-1), jeudi, vont retrouver leur ancien coach, Marcelino parti en septembre dernier après un clash entre certains supporters et la direction phocéenne.
Il faut croire que le scénario était écrit d’avance. Après avoir battu le Shakhtar Donestk (3-1), jeudi, lors du barrage retour de la Ligue Europa, l’Olympique de Marseille a hérité du Villarreal de Marcelino en huitièmes de finale lors du tirage effectué ce vendredi midi à Nyon. Arrivé sur la Canebière l’été dernier, le technicien espagnol avait claqué la porte après une réunion tendue entre la direction du club et les responsables des groupes de supporters. Le match aller aura lieu à l’Orange Vélodrome le 7 mars prochain, alors que le retour se déroulera en Espagne sept jours plus tard, le 14 mars.
« Mon expérience très courte me fait penser que c’est un club où créer un projet est absolument impossible, déclarait Marcelino à L’Equipe en octobre dernier après sa courte expérience à l’OM. Parce qu’un club aussi grand ne peut pas être manipulé par quelques-uns (…) Moi comme mon staff sommes encore en colère, parce qu’on ne nous a pas laissés travailler. C’était une situation irréelle et étouffante. Ces supporters radicaux ont une telle influence, et je suis convaincu que la majorité des supporters pense différemment, qu’elle est même complètement opposée à cette manière d’agir. »
Dans les autres affiches, Liverpool, l’un des favoris de la C3, affrontera le Sparta Prague. Après avoir éliminé le Stade Rennais lors des barrages, l’AC Milan a hérité du Slavia Prague, un tirage plutôt clément. L’AS Rome devra faire face au Brighton de Roberto De Zerbi, alors que le Bayer Leverkusen de Xabi Alonso trouvera Qarabag sur sa route.
Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a rejeté l’appel du comité olympique russe, qui contestait sa suspension décidée mi-octobre par le Comité international olympique (CIO) en lien avec le conflit en Ukraine, a annoncé l’instance basée à Lausanne vendredi. Le comité olympique russe avait saisi le TAS le 6 novembre.
Ce vendredi, le Tribunal arbitral du sport (TAS) a officiellement rejeté l’appel du comité olympique russe, qui contestait sa suspension infigée par le Comité international olympique (CIO). Le CIO entend ainsi sanctionner le placement sous l’autorité de l’instance russe des organisations sportives des régions de Donetsk, Kherson, Louhansk et Zaporijjia, situées dans l’est de l’Ukraine et occupées par l’armée russe, rappelle le TAS dans un communiqué.
La juridiction basée à Lausanne indique par ailleurs que sa décision est, à son niveau, « définitive et contraignante » mais qu’elle peut faire l’objet d’un appel dans un délai de 30 jours auprès du Tribunal fédéral suisse. A la veille du deuxième anniversaire de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le TAS estime que le CIO « n’a pas mis à mal les principes de légalité, d’égalité, de prédictibilité et de proportionnalité« .
Réuni à Bombay le 12 octobre dernier pour sa 141e session, le CIO avait bousculé son agenda pour réagir à la « décision unilatérale » prise une semaine plus tôt par le comité olympique russe (ROC) d’annexer quatre organisations sportives ukrainiennes. D’après l’instance olympique, cette initiative russe constitue une « violation de l’intégrité territoriale du comité national olympique ukrainien« , donc de la Charte olympique.
La suspension désormais confirmée du ROC s’est ajoutée à une panoplie de sanctions prise par le CIO fin février 2022, juste après l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe: interdiction de toute compétition internationale sur le sol russe ainsi qu’au Bélarus allié, et de tous les symboles officiels des deux pays sur les terrains et les podiums mondiaux. Cette mesure du CIO a aussi pour effet de priver le ROC des financements olympiques. Elle n’a en revanche aucune conséquence sur la présence d’athlètes russes et bélarusses n’ayant pas soutenu l’invasion russe de l’Ukraine, sous bannière neutre, aux JO-2024 de Paris, autorisée début décembre par le CIO.