Procès d’Adama Gaye : le verdict attendu pour le 6 décembre

Le journaliste et analyste politique sénégalais Adama Gaye était devant le tribunal de Dakar ce matin pour répondre à des accusations de diffusion de fausses nouvelles. À l’issue des débats, le procureur a requis une peine de six mois de prison avec sursis, assortie d’une amende de 500.000 francs CFA. Le tribunal a fixé le délibéré au 6 décembre prochain.

Au cours de l’audience, Adama Gaye a présenté un amendement jugé favorable par certains observateurs. Bien que les détails de cet amendement n’aient pas été dévoilés dans l’immédiat, il pourrait refléter une stratégie visant à atténuer les charges retenues contre lui. Son attitude devant la barre a également été remarquée pour son ton conciliant, laissant entrevoir une volonté d’apaisement.

Le cas d’Adama Gaye a suscité de nombreuses réactions au Sénégal et au-delà. Connu pour ses prises de position critiques envers le pouvoir, ce journaliste est une figure médiatique controversée, souvent perçue comme la voix d’une opposition virulente. Ces accusations de diffusion de fausses nouvelles viennent s’ajouter à d’autres polémiques médiatiques, qui interrogent sur les frontières entre liberté d’expression et responsabilité journalistique.

Alors que les regards sont tournés vers le tribunal, plusieurs organisations de défense des droits humains suivent de près cette affaire. La peine requise, bien que clémente comparée à une condamnation ferme, relance le débat sur l’utilisation de lois jugées restrictives contre les professionnels des médias au Sénégal.

Le verdict du 6 décembre sera déterminant non seulement pour Adama Gaye, mais aussi pour la liberté de presse au Sénégal. En attendant, l’opinion publique reste divisée entre ceux qui soutiennent le journaliste et ceux qui appellent à une réglementation plus stricte de l’information diffusée.

Adama Gaye libéré sous condition : son procès fixé à vendredi prochain

Le journaliste Adama Gaye a obtenu une liberté provisoire accordée par le procureur de la République, selon une source autorisée citée par Ledakarois.sn. Déféré ce matin par la Division des investigations criminelles (DIC) pour des accusations de diffusion de fausses nouvelles, il sera jugé vendredi prochain au Tribunal de grande instance hors classe de Dakar.

Lors de son déferrement, Adama Gaye était assisté de son avocat, Me Seydou Diagne. Cette affaire, qui a attiré l’attention de l’opinion publique, sera scrutée de près lors de l’audience à venir, où les charges portées contre le journaliste seront examinées en détail.

Adama Gaye obtient une liberté provisoire : son procès fixé au 29 novembre 2024

Le journaliste et analyste Adama Gaye a bénéficié d’une liberté provisoire ce lundi, à la suite de son face-à-face avec le procureur. Cette décision marque une étape clé dans une affaire qui a suscité une vive attention dans les milieux médiatiques et juridiques au Sénégal.

Selon son avocat, Me Seydou Diagne, qui s’est confié à Dakaractu, Adama Gaye a été reconduit chez lui après avoir été libéré. Toutefois, cette liberté reste sous condition : le journaliste comparaîtra en flagrant délit devant le tribunal le vendredi 29 novembre 2024.

Adama Gaye est poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles, une accusation qui, dans le contexte sénégalais, relance le débat sur la liberté de la presse et les limites de l’expression publique. Bien que les détails des faits reprochés ne soient pas encore clairement exposés, cette affaire suscite déjà des réactions mitigées dans l’opinion publique et parmi les défenseurs des droits humains.

Le procès attendu de vendredi prochain sera déterminant, non seulement pour le journaliste, mais aussi pour l’équilibre entre le respect des lois et la protection des droits fondamentaux des citoyens sénégalais, notamment celui d’informer.

Adama Gaye, connu pour ses positions critiques à l’égard des autorités, reste au centre de nombreuses controverses. Sa libération provisoire, bien que bienvenue pour ses proches et partisans, ouvre la voie à un affrontement judiciaire où chaque partie tentera de faire valoir ses arguments.

Le verdict attendu à l’issue de cette audience sera scruté de près, tant au niveau national qu’international.

Adama Gaye déféré au parquet de Dakar : les faits au cœur de l’affaire

le journaliste et analyste politique Adama Gaye a été déféré au parquet de Dakar, selon des informations rapportées par DakarActu. Cette comparution devant le procureur fait suite à une garde à vue prolongée après son arrestation ce week-end par la Division des investigations criminelles (DIC).

Adama Gaye est accusé d’avoir fait des déclarations controversées concernant le décès de Mamadou Moustapha Bâ, ancien ministre des Finances. Les autorités n’ont pour l’instant pas précisé la nature exacte des propos incriminés, mais ceux-ci semblent liés à des affirmations jugées sensibles ou potentiellement diffamatoires.

L’affaire suscite déjà des débats dans l’opinion publique sénégalaise, entre défenseurs de la liberté d’expression et partisans d’une stricte régulation des discours publics. Adama Gaye, connu pour ses positions critiques envers certains acteurs politiques, a déjà eu maille à partir avec la justice dans le passé, notamment sur des questions de diffamation et de discours jugés polémiques.

La comparution de ce matin marque une nouvelle étape dans cette affaire qui pourrait potentiellement raviver les débats sur les limites entre liberté d’expression et responsabilité pénale au Sénégal.

L’audition par le procureur devrait permettre d’éclaircir les faits et de décider des suites judiciaires à donner. Pendant ce temps, des organisations de défense des droits humains et des soutiens d’Adama Gaye suivent de près l’évolution de l’affaire, certains dénonçant une tentative d’intimidation envers une voix critique.

Nous continuerons de suivre ce dossier pour vous tenir informés des développements.

Garde à vue de Moustapha Diakhaté et Adama Gaye : la Ligue sénégalaise des droits humains appelle à la responsabilité et à la sérénité

La garde à vue de Moustapha Diakhaté et d’Adama Gaye, deux figures publiques récemment placées sous enquête, a suscité de vives réactions au sein de l’opinion publique sénégalaise. Parmi les voix qui se sont élevées, celle d’Alassane Seck, président de la Ligue sénégalaise des droits humains (LSDH), qui, lors de sa participation à l’émission « Jury du dimanche » (JDD) sur I-radio le 24 novembre 2024, a appelé à la responsabilité et à la sérénité face à cette situation.

Alassane Seck a insisté sur le besoin crucial pour les leaders d’opinion de « assumer leurs propos ». Selon lui, l’affaire Diakhaté-Gaye met en lumière l’importance de la responsabilité, particulièrement en ce qui concerne la liberté d’expression. Le président de la LSDH a souligné qu’il était « très grave » de tenir des propos péremptoires concernant des accusations aussi sérieuses que la mort de personnes, en particulier lorsqu’il s’agit de figures publiques telles qu’un ministre de la République. Il a précisé que de telles déclarations doivent être abordées avec une grande prudence et responsabilité.

Seck a également évoqué la question du respect des électeurs, s’interrogeant sur l’opportunité pour une personne ayant une expérience politique de tenir des propos insultants à l’égard de ses concitoyens. Il a affirmé que de telles attitudes étaient « irresponsables » et contraires à l’éthique d’un véritable responsable politique.

Le président de la LSDH a rappelé que la liberté d’expression est un droit fondamental, mais que celui-ci doit être exercé avec une conscience aiguë de ses implications. « Nous, défenseurs des droits humains, n’avons jamais été convoqués pour des accusations aussi graves », a-t-il déclaré, soulignant l’importance de « réfléchir avant de dire n’importe quoi ». Pour lui, chaque mot prononcé en public doit être pris avec sérieux et responsabilité, d’autant plus lorsqu’il peut nuire à des individus ou perturber l’ordre public.

Concernant les aspects juridiques de l’affaire, M. Seck a évoqué le fait que le code pénal sénégalais, qui date de 1960, reste inchangé et nécessite des réformes profondes. Toutefois, il a précisé qu’en attendant que ces réformes soient mises en œuvre, il est impératif d’accepter le cadre juridique actuel, même si celui-ci présente des imperfections. « Il faudra que les gens acceptent l’existant », a insisté Seck, appelant à une certaine sérénité dans le traitement des affaires judiciaires en cours.

Alassane Seck a pris position pour une gestion calme et responsable de cette affaire, tout en réaffirmant que les leaders d’opinion doivent être conscients de la portée de leurs déclarations et de l’impact qu’elles peuvent avoir sur la société.

Adama Gaye et Moustapha Diakhaté devant le procureur ce lundi

Le journaliste Adama Gaye et l’ancien député Moustapha Diakhaté sont attendus ce lundi 25 novembre 2024 devant le procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar. Les deux hommes, arrêtés vendredi dernier pour des affaires distinctes, verront leurs dossiers examinés après leur garde à vue.

Adama Gaye, connu pour ses prises de position souvent polémiques, a été interpellé par la Division des Investigations Criminelles (DIC). Il est accusé de diffusion de fausses nouvelles, une infraction qui alimente régulièrement les débats sur la liberté de presse au Sénégal. Selon des informations recueillies par Ledakarois.sn, l’enquête le concernant est presque bouclée, et il sera déféré au parquet ce lundi, sauf changement de programme.

De son côté, Moustapha Diakhaté, ancien député et ancien président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar, a été arrêté par la Division spéciale de Cybersécurité. Il est accusé d’avoir proféré des insultes via un système informatique, une infraction prévue par la loi sénégalaise régissant les communications électroniques.

Les deux affaires, bien que distinctes, illustrent la montée des tensions autour de l’usage des médias et des réseaux sociaux au Sénégal. Les comparutions d’Adama Gaye et Moustapha Diakhaté devant le procureur ce lundi seront scrutées de près, tant par leurs soutiens respectifs que par les défenseurs des libertés civiles.

Affaire Moustapha Ba : Adama Gaye en garde à vue à la DIC pour diffusion de fausses nouvelles

Le journaliste sénégalais Adama Gaye a été placé en garde à vue ce jeudi, dans les locaux de la Division des investigations criminelles (DIC). Cette décision intervient après son interrogatoire pour diffusion de fausses nouvelles.

Adama Gaye est au cœur de cette affaire suite à ses déclarations controversées sur Sen TV. Il avait affirmé que l’ancien ministre Mamadou Moustapha Ba avait été tué, une allégation qui a rapidement suscité l’indignation et le scepticisme. Convoqué par les autorités, le journaliste n’a pas été en mesure de fournir des preuves pour étayer ses propos.

Après son interrogatoire, les autorités ont décidé de placer Adama Gaye en garde à vue. Selon les informations disponibles, il devrait être déféré au parquet lundi prochain, sauf modification de dernière minute.

Cette affaire intervient dans un contexte où la diffusion de fausses informations est de plus en plus pointée du doigt, notamment avec l’essor des médias numériques. Les autorités sénégalaises renforcent leur vigilance face à ce phénomène, particulièrement lorsqu’il concerne des personnalités publiques ou des sujets sensibles.

Les propos d’Adama Gaye sur Mamadou Moustapha Ba, une figure politique connue, ont suscité une onde de choc et mis en lumière les responsabilités des journalistes dans la vérification des informations avant leur diffusion.

Au Sénégal, la diffusion de fausses nouvelles est considérée comme une infraction passible de sanctions pénales, notamment lorsque ces informations peuvent troubler l’ordre public ou porter atteinte à l’honneur d’une personne.

Le cas d’Adama Gaye pourrait relancer le débat sur la réglementation des médias et la responsabilité des journalistes dans un environnement marqué par une prolifération des contenus non vérifiés.

Cette affaire met en lumière les défis auxquels sont confrontés les médias sénégalais, entre liberté d’expression et responsabilité professionnelle. Le sort d’Adama Gaye dépendra des suites judiciaires, mais ce dossier pourrait servir de rappel sur l’importance de la vérification des informations avant leur publication.

Adama Gaye convoqué à la DIC : un mystère autour des raisons de la convocation

Le journaliste et analyste Adama Gaye a annoncé ce jeudi qu’il a été convoqué à 16h par la Division des investigations criminelles (DIC), sans qu’aucune raison ne lui soit précisée. Dans une déclaration publique, il a interpellé l’opinion nationale et internationale, incluant la communauté diplomatique, religieuse et les médias, sur cette convocation qu’il qualifie de suspecte.

Des propos controversés à l’origine ?
Bien que les motifs exacts de la convocation restent inconnus, certains observateurs estiment qu’elle pourrait être liée aux déclarations faites par Adama Gaye la veille sur la chaîne Sen TV. Lors de cette intervention, il avait évoqué le décès de l’ancien ministre Mamadou Moustapha Ba, affirmant que ce dernier aurait été « éliminé parce qu’il allait probablement révéler des choses ».

Ces propos, considérés comme graves, pourraient avoir suscité des remous, notamment dans les cercles politiques et sécuritaires. Adama Gaye, connu pour ses positions critiques envers le pouvoir, n’en est pas à sa première altercation avec les autorités.

Un appel à la vigilance et à la transparence
Dans son message, le journaliste a exhorté les Sénégalais et la communauté internationale à rester attentifs face à cette situation, suggérant que sa convocation pourrait s’inscrire dans un contexte de restriction de la liberté d’expression.

Pour l’heure, la DIC n’a pas communiqué sur le sujet, laissant planer un flou autour des motivations réelles de cet appel. Ce développement intervient dans un climat politique tendu, marqué par des interrogations sur la gestion des libertés publiques et les tensions entre opposants et autorités.

Adama Gaye sera-t-il interrogé uniquement à propos de ses déclarations ou d’autres dossiers viendront-ils s’ajouter à cette convocation ? L’affaire suscite déjà une vive curiosité dans l’opinion, et le journaliste promet de s’exprimer davantage après son passage à la DIC.

Affaire Pierre Goudiaby «Atépa» vs. Adama Gaye : Un procès sous haute tension

Le tribunal correctionnel de Dakar se prépare à examiner une affaire particulièrement suivie au Sénégal : le litige opposant l’architecte de renom Pierre Goudiaby «Atépa» au journaliste controversé Adama Gaye. Le procès est prévu pour le 27 novembre prochain, après une première audience tenue ce mercredi qui a fixé le montant de la consignation à 50 000 francs CFA, selon le quotidien Les Échos.

À l’origine de cette affaire, une plainte déposée par Pierre Goudiaby «Atépa», qui accuse Adama Gaye de diffamation. Le célèbre architecte réclame 100 millions de francs CFA en dommages et intérêts, estimant que les propos tenus par le journaliste ont porté gravement atteinte à son honneur et à sa réputation. Les accusations d’Adama Gaye ont principalement été publiées sur Facebook, où il aurait insinué que le ministère de l’Urbanisme est désormais sous le contrôle de Pierre Goudiaby. Selon lui, le ministre de l’Urbanisme, Balla Moussa Fofana, agirait sous les ordres de l’architecte, ce qui laisse entendre une influence indue dans la gestion des affaires publiques.

En plus de ces allégations, Adama Gaye aurait évoqué un scandale présumé impliquant la Maison du Sénégal aux États-Unis, dans lequel Pierre Goudiaby serait mêlé. Cette accusation, largement relayée sur les réseaux sociaux, aurait contribué à ternir l’image de l’architecte, d’où sa décision de porter l’affaire devant la justice.

Le procès s’annonce tendu et attire déjà l’attention du public et des médias, compte tenu du profil des deux protagonistes. D’un côté, Pierre Goudiaby «Atépa», figure emblématique de l’architecture sénégalaise, connu pour ses projets ambitieux et sa proximité avec certaines sphères politiques ; de l’autre, Adama Gaye, journaliste réputé pour ses prises de position critiques et ses révélations souvent controversées.

Cette affaire met également en lumière la question de la liberté d’expression au Sénégal, face aux accusations de diffamation qui deviennent récurrentes dans le paysage médiatique. Si le tribunal donne raison à Pierre Goudiaby, cela pourrait marquer un précédent en matière de gestion des conflits entre personnalités publiques et journalistes.

En attendant l’audience du 27 novembre, les observateurs s’interrogent sur l’issue de ce procès. Les avocats des deux parties se préparent pour une bataille juridique intense, avec des arguments qui devraient tourner autour de la liberté d’expression, des responsabilités des journalistes, et des limites de la diffamation.

Quel que soit le verdict, ce procès est déjà perçu comme un test pour la justice sénégalaise, appelée à trancher dans une affaire où se mêlent questions d’éthique, de pouvoir et de réputation.

Le rendez-vous est donc pris pour le 27 novembre au tribunal correctionnel de Dakar, avec une forte attente du public pour un dénouement éclairant sur les enjeux de cette affaire.

Le Dakarois Quotidien & Le Dakarois Sports N°294 – du 11/10/2024

🔴 ADAMA GAYE RÉPOND À ABASS FALL : « UNE PLAINTE ET 37 MILLIARDS DE QUESTIONS »
🔴 CANDIDATURES AUX LÉGISLATIVES 2024 : LES DEUX EX « JUMEAUX » VALIDÉS PAR LES SAGES

🔴 ÉLIMINATOIRES CAN 2025 / SÉNÉGAL VS MALAWI : PAPE THIAW CONFIANT EN CONFÉRENCE DE PRESSE
🔴 LUTTE : ABDOU LAKHAT NDIAYE RÉCLAME BIRA SÈNE À LA TÊTE DU CNG

Le Dakarois Quotidien & Le Dakarois Sports N°293 – du 10/10/2024

🔴 « [IL] A ENCAISSÉ 5 MILLIARDS AUX ESPAGNOLS POUR ÉCARTER AEE POWER SENEGAL », BOMBARDE ADAMA GAYE : ABASS FALL AU CŒUR DE L’« ASER-GATE » ?
🔴 INVESTISSEMENT DE PLUS DE 700 MILLIARDS F CFA : LE PORT DE NDAYANE PARMI LES MERVEILLES DE LA RÉGION

🔴 EX-COÉQUIPIER D’ILIMAN NDIAYE ET FAN DU SÉNÉGAL : GEORGE BALDOCK RETROUVÉ MORT DANS SA PISCINE
🔴 MERCATO – DEUX JOUEURS DE L’AS PIKINE RECRUTÉS PAR AL-AHLI (YÉMEN) : BABACAR NDIAYE, EL HADJI OUSMANE DIONE : DES DESTINS CROISÉS

L’architecte Atepa Goudiaby porte plainte contre le journaliste Adama Gaye

Pierre Goudiaby Atepa, architecte renommé au Sénégal, a décidé d’intenter une action en justice contre le journaliste Adama Gaye, suite à des accusations récentes qui l’impliquent dans des malversations financières. Ces allégations concernent notamment la gestion de la Maison du Sénégal à New York, un projet dans lequel Atepa joue un rôle clé.

Adama Gaye a lui-même annoncé cette procédure sur ses réseaux sociaux, confirmant que le procès est prévu pour début novembre 2024. Dans sa déclaration, il a révélé avoir reçu une citation directe de Pierre Atepa, qui conteste ses publications dénonçant ce qu’il qualifie d’irrégularités dans la gestion de la Maison du Sénégal.

Le journaliste a insisté sur la gravité des accusations portées par Atepa, affirmant que l’architecte faisait bel et bien partie des personnes concernées. Face à cette situation, Gaye a qualifié cette citation de « tentative d’intimidation ». Selon ses dires, chaque révélation qu’il fait concernant des personnalités influentes déclenche une réaction visant à le réduire au silence. Il reste cependant déterminé à défendre ses propos et à faire éclater la vérité.

Pour soutenir ses accusations, Adama Gaye a mentionné avoir obtenu des « documents légaux » grâce à un avocat américain, J.R. Skrabanek. Ces documents, accessibles sur une plateforme judiciaire américaine, sont présentés comme des preuves tangibles corroborant ses déclarations.

De plus, Gaye a fait état d’une « procédure d’arbitrage en cours » qui impliquerait plusieurs parties, dont Pierre Goudiaby Atepa et son neveu, Pape Diedhiou. Ce dernier aurait intenté une action contre l’État du Sénégal, ajoutant ainsi du poids aux déclarations de Gaye.

Dans son appel à la population sénégalaise, le journaliste a souligné l’importance de cette affaire, qu’il décrit comme un scandale de grande envergure, et a assuré que la justice sénégalaise est au courant des faits. Il a déclaré avec fermeté : « On ne me fera pas taire », réaffirmant son engagement à poursuivre ses investigations et à défendre la vérité.

Cette confrontation entre un homme d’affaires influent et un journaliste d’investigation met en lumière les tensions qui existent souvent entre le pouvoir, la presse et les affaires, et pourrait avoir des répercussions significatives sur le climat médiatique et politique au Sénégal.

Crise des otages sénégalais en Tunisie : L’indifférence des autorités déplorée

Le journaliste Adama Gaye a vivement réagi à la situation dramatique qui se déroule actuellement au Sénégal. Tandis que 70 de nos compatriotes sont retenus en otage par des bandes armées en Tunisie, le journaliste s’étonne de voir le Président Diomaye Faye s’adonner au tourisme sportif à Paris.

Cette révélation provient de l’ONG Horizon sans Frontière (HSF), dirigée par Boubacar SEYE. Pour HSF, cette situation est un véritable aveu d’échec pour un gouvernement dont la mission première devrait être de secourir les Sénégalais en détresse. Hélas, les autorités sénégalaises semblent totalement indifférentes à cette nouvelle alarmante.

Le 23 juillet 2024, lors d’une audience au siège de l’ONG, le maire de Thiaroye sur Mer, Me El Mamadou Ndiaye, et Boubacar SEYE ont rencontré le collectif des familles des victimes de cette prise d’otages. Au cours de leurs échanges, il a été révélé que plus de 70 Sénégalais, âgés de 18 à 35 ans et originaires de Thiaroye sur Mer, Bargny, Saint-Louis, Pikine, Guédiawaye et Guinaw Rail, sont détenus en Tunisie à Gafsa depuis près de trois mois dans des conditions qui mettent leur vie en danger.

Malgré les nombreuses interpellations des autorités sénégalaises depuis des lustres, aucun acte concret n’a été posé en réponse à cette crise. Pour Adama Gaye, ces Sénégalais souffrent dans l’indifférence totale des autorités, tandis que le Président de la République se trouve en tourisme sportif à Paris, selon le journal Tribune.

Face à cette situation critique, il est urgent que le gouvernement sénégalais prenne des mesures immédiates pour venir en aide à ses citoyens en détresse et mettre fin à cette prise d’otages inacceptable.

Le Dakarois Quotidien & Le Dakarois Sports N°229 – du 22/07/2024

🔴 CONTRATS NON RECONDUITS PAR WALY DIOUF BODIANG : AU MOINS 700 FAMILLES DANS LE DÉSARROI
🔴 AFFAIRE DES BRACELETS ÉLECTRONIQUES : Me AÏSSATA TALL SALL ET ADAMA GAYE JOUENT LES PROLONGATIONS

🔴 BALLA GAYE 2 IMPITOYABLE FACE À TAPHA TINE : LE LION CHARCUTE LE BOUCHER DE L’ARÈNE

Adama Gaye plaide pour la dissolution immédiate de l’Assemblée nationale

Le journaliste sénégalais Adama Gaye a récemment suscité la controverse en appelant à la dissolution immédiate de l’Assemblée nationale. Dans un post publié mardi, Gaye a exprimé son désir de voir le peuple souverain choisir de nouveaux représentants dignes de leurs fonctions de députés.

« Dissoudre, oui, dissoudre, sans trembler ! Je suis partisan de la dissolution le plus rapidement possible de l’Assemblée nationale pour que le peuple souverain se choisisse des mandataires ayant la dignité de la charge de député.e.s », a-t-il affirmé.

Gaye a critiqué la procrastination autour de cette décision, rejetant les arguments constitutionnels et juridiques qu’il juge être des obstacles artificiels. Il a insisté sur la nécessité de suivre la volonté et la vision des citoyens pour faire avancer la nation.

Il a également souligné des motifs spécifiques derrière son appel à la dissolution, incluant une critique acerbe des membres actuels de l’Assemblée, déplorant notamment la présence de figures politiques qu’il juge néfastes pour le pays.

La prise de position d’Adama Gaye a suscité des réactions diverses dans le paysage politique sénégalais, certains soutenant son appel pour des réformes urgentes, tandis que d’autres expriment des réserves face à une dissolution qui pourrait aggraver les tensions politiques.

Pour l’instant, l’avenir de l’Assemblée nationale reste incertain, avec des débats probables à venir sur la faisabilité et les conséquences d’une dissolution immédiate.

Adama Gaye appelle le peuple sénégalais à rejeter les décisions « fantaisistes » de Sonko

Le journaliste sénégalais Adama Gaye a récemment fait une déclaration incisive sur les réseaux sociaux, appelant les citoyens du Sénégal à s’opposer aux décisions jugées « fantaisistes et verticales » prises par Ousmane Sonko. Gaye a particulièrement critiqué le choix de Sonko de sélectionner son propre auditoire pour sa Déclaration de Politique Générale (DPG), ainsi que le lieu pour cet événement.

En réponse à une annonce du Premier Ministre, qui a conditionné sa DPG à la réinscription de certaines dispositions relatives à son rôle dans le règlement intérieur de l’Assemblée nationale, Sonko a soulevé que ces dispositions avaient été abrogées en 2019 après la suppression du poste de Premier Ministre, et n’avaient pas été réactualisées depuis sa restauration en 2021.

Cette polémique reflète les tensions politiques au Sénégal, où des voix divergentes s’expriment sur l’autorité et la légitimité des décisions gouvernementales. Gaye, connu pour ses prises de position tranchantes, continue d’influencer le débat public à travers ses interventions médiatiques.

SPECTACLE DE SONKO AU GRAND THÉÂTRE : Réaction d’Adama Gaye sur sa page Facebook

SONKOMILLEH…Le Sénégal est décidément entré dans une volcanique zone de turbulences

Qui, pour arrêter l’éruption avant qu’elle ne se transforme en lave incandescente déferlant sur le pays pour le consumer ?
Trouvons vite des abris. Des menaces au nazisme noir, il n’y a qu’un pas…

Était-ce ça le fameux POROJET ?
Sa composante nucléaire provoque ce soir une panique générale.

Ousmaaanooo, Sonkomilleh, binbin waaay, douniou nangou kouniouy nott deh wakhatoumak kouniouy nappeu! Fii deh, Kousellki, boumou jaamm dogg naffi bou yagga yagg teh mayou niou kenn mou teunkatt niou dans des cales de bateaux de négriers….

La liberté chèrement acquise sera défendue quoi qu’il nous en coûte, UGH !

Nayy Lerr Dongg…
Adama GAYE, Journaliste

Le Dakarois Quotidien & Le Dakarois Sports N°197 – du 10/06/2024

🔴 AU GRAND THÉÂTRE CE SOIR : QUAND OSCAR ÉCLIPSE LES INQUIÉTUDES AUTOUR DE LA TABASKI
🔴 APRÈS SA SORTIE HASARDEUSE : ADAMA GAYE, BACHIR FOFANA, ANTA BABACAR, BOUGANE GUEYE ET Dr YORO DIA NE RATENT PAS SONKO

🔴 Éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 : Le Sénégal remporte difficilement le derby face à la Mauritanie

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