Démenti et Clarifications : Aucun recrutement récemment à l’ASP, affirme un proche du DG

Les récentes allégations concernant un supposé recrutement au sein de l’Agence d’Assistance à la Sécurité de Proximité (ASP) ont été catégoriquement démenties par Mamadou Salif Sow, Directeur Général de l’ASP, et son attaché de cabinet, Amadou Sow.

Selon Amadou Sow, aucune embauche n’a eu lieu les 27 et 28 mars 2024, comme le suggère un tweet du député Guy Marius Sagna. Il explique que les recrutements en question ont été effectués bien avant cette date, avec tous les processus administratifs et budgétaires nécessaires, y compris l’approbation du Conseil de Surveillance de l’ASP, du Ministère de l’Intérieur et du Ministère des Finances.

Amadou Sow a également souligné que le recrutement des Agents de Sécurité de Proximité (ASP) était le résultat d’une autorisation du Conseil de Surveillance de l’ASP, en réponse à un manque d’effectif criant après un audit physique des ASP.

Critiquant vivement les allégations du député Guy Marius Sagna, Amadou Sow a déclaré que ses affirmations étaient sans fondement et relevaient de la diffamation. Il a également appelé le député à se rapprocher de la Direction avant de diffuser de telles informations.

En outre, Amadou Sow a mis en avant les réalisations de Mamadou Salif Sow à la tête de l’ASP, notamment l’augmentation des émoluments des ASP et l’acquisition d’un nouveau siège pour la Direction Générale.

Enfin, concernant les salaires des employés de l’ASP, Amadou Sow a assuré qu’il n’y avait aucun arriéré de paiement et que tous les salaires étaient versés en temps voulu.

Cette clarification apportée par un proche du DG de l’ASP vise à dissiper les malentendus et à rétablir la vérité concernant les recrutements et les conditions de travail au sein de l’agence.

Vendredi Saint à Bignona : Les fidèles marchent sur les pas de Jésus lors du Chemin de Croix

À Bignona, le Vendredi Saint a revêtu une signification particulière pour les fidèles de la paroisse Notre-Dame de Lourdes, alors qu’ils ont suivi les pas de Jésus sur le chemin de croix, commémorant ainsi la passion et la crucifixion du Christ.

De la place publique du quartier Bassène à l’Église Notre-Dame de Lourdes, les fidèles ont parcouru les 14 stations du chemin de croix, méditant sur les moments clés de la condamnation et de la crucifixion de Jésus. Sous la direction de l’Abbé Xavier Ngandoul, directeur du séminaire Notre-Dame, cette marche de foi a été empreinte de réflexion et de dévotion.

« Aujourd’hui, malgré les 2000 ans écoulés, nous sommes témoins et participants renouvelés de la grâce de la croix, car cette grâce se renouvelle chaque jour », a déclaré l’Abbé Xavier Ngandoul, soulignant ainsi la vivacité de la foi chrétienne et l’espoir d’une résurrection joyeuse.

Après avoir suivi Jésus sur son chemin de souffrance, les fidèles ont ensuite vénéré la croix à l’intérieur de l’église Notre-Dame de Lourdes. L’Abbé Xavier a rappelé le sens du deuil de l’Église en ce jour, marquant la mort du Christ sur la croix.

Le Vendredi Saint marque également la fin du carême chrétien, tandis que les fidèles se préparent à vivre les derniers jours du Triduum Pascal, aboutissant à la célébration de Pâques, la résurrection du Christ.

Sénégal : China Henan International exclue des Appels d’Offres de la BAD pour Fraude

Une récente enquête menée par le Bureau de l’intégrité et de la lutte contre la corruption de la Banque africaine de développement (BAD) a mis en lumière des pratiques frauduleuses de la part de China Henan International, une entreprise attributaire de plusieurs projets au Sénégal. Cette révélation a entraîné l’exclusion de l’entreprise des appels d’offres de la BAD pour une période de 12 mois.

L’enquête a révélé que China Henan International Cooperation Group Company Limited avait omis de divulguer l’utilisation d’un commissionnaire lors de la soumission d’une offre dans le cadre d’un appel d’offres portant sur des travaux de génie civil pour la mise aux normes bitumineuses de la route Rukungiri-Kihihi-Ishasha/Kanungu, un projet soutenu par la BAD en Ouganda.

Cette omission a été considérée comme une pratique frauduleuse par le Bureau de l’intégrité de la BAD, qui a sanctionné China Henan International en l’excluant des appels d’offres pour une année entière.

Selon les informations rapportées par Libération, cette exclusion signifie que China Henan International ne pourra pas participer à des appels d’offres financés par la BAD jusqu’à ce qu’elle mette en œuvre un programme de conformité en matière d’intégrité conforme aux directives de la Banque.

Cette décision de la BAD souligne l’importance de la transparence et de l’intégrité dans les processus d’attribution de marchés publics, et envoie un message fort aux entreprises qui cherchent à contourner les règles établies.

Les répercussions de cette exclusion pourraient être significatives pour China Henan International, ainsi que pour d’autres entreprises qui opèrent dans le secteur des appels d’offres internationaux financés par des institutions telles que la BAD.

Bara Tall prépare une riposte légale face aux accusations de Clédor Sène

Dans une récente série d’événements médiatiques, une confrontation verbale a éclaté entre Bara Tall et Clédor Sène, jetant l’ombre sur des allégations d’enrichissement illicite et de gestion d’infrastructures routières au Sénégal.

Bara Tall, homme d’affaires et ministre-conseiller à la présidence de la République, a décidé de répondre juridiquement aux déclarations faites par Clédor Sène, un commentateur bien connu, en préparant une citation directe à son encontre, selon des sources citées par WalfQuotidien.

Les accusations portées par Clédor Sène ont été diffusées lors d’une émission télévisée sur Kewoulo Tv. Sène a soulevé des questions sur la source de la richesse de Bara Tall, le décrivant comme un « milliardaire » qui occupe un poste gouvernemental. Il a également remis en question la gestion par Bara Tall du tronçon de l’autoroute à péage Toglou et a insinué des activités suspectes liées à l’entreprise Jean Lefèvre.

En réponse, Bara Tall a rejeté catégoriquement ces allégations, soulignant qu’il n’avait pas été impliqué dans la gestion d’autoroutes depuis 2005, précisant que son entreprise, Jean Lefèvre, n’avait plus travaillé sur des projets routiers depuis cette époque.

La décision de Bara Tall de poursuivre Clédor Sène en justice marque une étape importante dans cette controverse médiatique. Les détails de la citation directe et les développements ultérieurs dans cette affaire sont très attendus.

L’issue de cette affaire pourrait non seulement affecter la réputation des personnes impliquées, mais aussi susciter des interrogations plus larges sur la transparence et l’intégrité dans les affaires publiques et les infrastructures au Sénégal.

Récompenses au HCCT pour les Membres de « Macky dans nos Veines »

Les nominations ne se limitent pas au Conseil économique, social et environnemental (CESE). Deux membres du mouvement « Macky dans nos veines », l’ancienne députée Awa Guéye et Dié Lèye Seck, ont été récemment nommées au Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT).

Cette décision intervient dans un contexte où le président sortant, Macky Sall, a déjà fait des ajustements au sein de son gouvernement, mettant de côté les proches d’Amadou Ba et nommant Thérèse Faye Diouf au poste de ministre de la Femme. Les nominations de Awa Guéye et Dié Lèye Seck au HCCT viennent renforcer la tendance de promotion des membres du mouvement « Macky dans nos veines ».

Cette reconnaissance par le président sortant souligne l’influence et l’importance du mouvement « Macky dans nos veines » dans les cercles politiques sénégalais. Ces nominations peuvent être interprétées comme un signe de gratitude et de fidélité envers les membres actifs du mouvement qui ont soutenu Macky Sall tout au long de son mandat.

Cependant, cette décision peut également susciter des interrogations quant à la nature des relations entre le gouvernement et les mouvements politiques, ainsi que sur la transparence et l’équité des processus de nomination.

Dans tous les cas, ces nominations soulignent l’importance des réseaux politiques et des alliances dans le paysage politique sénégalais, et mettent en lumière la nécessité pour les autorités de garantir la représentativité et la diversité au sein des institutions gouvernementales.

Retour des Ministres à l’Assemblée : Les députés qui risquent de perdre leur siège

À moins d’une dissolution de l’Assemblée nationale, les députés du Pastef, devenus ministres, sont désormais tenus de renoncer à leur mandat parlementaire. Cette obligation découle des nouvelles dispositions de l’article 54 de la Constitution, qui exigent que les députés-ministres « suspendent leur mandat ». Ces dispositions ont été votées lors de la suppression du poste de Premier ministre en 2019.

Cependant, une situation inverse pourrait se produire, selon des informations rapportées par WalfQuotidien. Huit responsables du camp présidentiel pourraient déclencher une procédure de réintégration à l’Assemblée nationale. Parmi eux figurent le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Abdoulaye Daouda Diallo, l’ancien Premier ministre et candidat malheureux de Benno Bokk Yakaar (BBY), Amadou Ba, ainsi que plusieurs ministres et anciens ministres tels que Abdoulaye Saydou Sow, Oumar Youm, Mariama Sarr, Fatou Diané, Aly Ngouille Ndiaye et Cheikh Abdoul Ahad Mbacké.

Ces responsables politiques avaient initialement cédé leur siège de député une semaine après l’installation de la 14e législature en septembre dernier. Aujourd’hui, ils ont la possibilité de déclencher la procédure de réintégration en écrivant au président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, pour récupérer leur mandat des mains de leurs suppléants respectifs : Demba Ba, Abdoulaye Wilane, Maïmouna Séne, Abdoulaye Diagne, Yoro Sow et Matar Diop.

L’ancien ministre de la Justice, Me Malick Sall, avait précédemment souligné que cette disposition restait en vigueur malgré le rétablissement du poste de Premier ministre. Cette possibilité de retour à l’Assemblée nationale ouvre ainsi la voie à d’éventuelles réorganisations politiques et à des changements au sein du paysage parlementaire sénégalais.

Aly Ngouille Ndiaye : Les conseils pour Bassirou Diomaye Faye

Aly Ngouille Ndiaye, candidat malheureux à l’élection présidentielle, a été parmi les premiers à féliciter le président nouvellement élu, Bassirou Diomaye Faye, à l’issue du scrutin du 24 mars dernier. Dans une interview accordée à L’Observateur, il a partagé ses conseils et ses réflexions sur les défis à venir pour le nouveau président.

Il a exprimé son soutien envers le nouveau président et a souligné la complexité de diriger un pays, surtout dans un contexte où de nombreux défis attendent d’être relevés. Aly Ngouille Ndiaye a également mis en avant la nécessité de respecter le suffrage des Sénégalais, la démocratie et l’État de droit.

Pour relever ces défis, il a souligné l’importance de faire un état des lieux exhaustif de la situation du pays. Selon lui, les Sénégalais ont voté pour le changement car ils ont des attentes urgentes en matière de santé, de sécurité, d’éducation et de cadre de vie.

Il a insisté sur l’importance de la reddition des comptes, soulignant que les attentes sont particulièrement élevées, notamment chez la jeunesse qui a massivement soutenu Bassirou Diomaye Faye lors de l’élection. Il a conseillé au futur ministre de l’Intérieur de mener cet exercice pour mieux comprendre le profil de l’électeur et répondre aux besoins de la population.

Aly Ngouille Ndiaye a également souligné l’importance de mobiliser les ressources humaines et les bonnes relations du Sénégal pour mettre en œuvre le programme du nouveau président. Il a appelé à miser sur la jeunesse engagée pour relever les défis du pays.

Enfin, il a exprimé son optimisme quant au duo formé par Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko, affirmant que, avec une équipe performante et efficace, ils pourraient surmonter les problèmes auxquels le pays est confronté. Il a conclu en leur souhaitant bonne chance dans leurs efforts futurs.

Canada : Deux Sénégalais décédés dans des conditions horribles

Abdoulaye Ndoye et Ndongo Sarr ont trouvé la mort dans des circonstances tragiques au Canada. Selon les informations fournies par le président de l’Association des Sénégalais d’Amérique, relayées par Les Échos, les deux compatriotes auraient succombé au froid.

La source indique que leurs corps ont été découverts à 5 km de la frontière canadienne, alors que les données météorologiques enregistraient des températures glaciales atteignant jusqu’à -15 degrés Celsius. Les victimes auraient traversé la frontière canadienne en provenance de New York.

Le consul général du Sénégal à New York, contacté par le journal, a confirmé la cause de leur décès.

« Les recherches se poursuivent pour retrouver un troisième Sénégalais porté disparu », rapporte le quotidien d’informations.

Cette tragédie soulève des préoccupations quant à la sécurité des migrants et des demandeurs d’asile, en particulier ceux qui entreprennent des voyages dangereux dans des conditions météorologiques extrêmes. Les températures glaciales de l’hiver canadien peuvent être mortelles pour ceux qui ne sont pas préparés ou équipés pour faire face à de telles conditions.

La communauté sénégalaise et les autorités locales doivent redoubler d’efforts pour sensibiliser sur les dangers potentiels de la migration irrégulière et fournir un soutien adéquat aux migrants vulnérables. Des mesures doivent également être prises pour renforcer la surveillance et la sécurité le long des routes migratoires afin d’éviter de telles tragédies à l’avenir.

En attendant, nos pensées vont aux familles et aux proches des victimes, alors qu’elles traversent cette période de deuil et de chagrin.

Analyse d’une Affaire au retentissement national Adji Sarr, réfugiée Politique en Suisse

L’affaire Adji Sarr, qui a secoué le Sénégal ces derniers mois, connaît un nouveau développement alors que la principale intéressée se retrouve désormais en Suisse sous le statut de réfugiée politique. Cette décision soulève des questions importantes et offre un regard approfondi sur les répercussions et les implications de cette affaire au retentissement national.

L’affaire a débuté lorsque Adji Sarr, une jeune masseuse, a accusé publiquement Ousmane Sonko, un leader politique sénégalais de premier plan, de viol. Les allégations ont rapidement suscité un tollé dans tout le pays, alimentant des débats passionnés et divisant l’opinion publique. La situation a été encore compliquée par le fait que Sonko était alors un candidat majeur à l’élection présidentielle.


L’affaire a été suivie de près par les médias sénégalais et internationaux, générant une couverture médiatique intense et des spéculations sans fin sur les circonstances entourant les allégations. Les déclarations publiques de toutes les parties concernées, les manifestations de soutien et de protestation, ainsi que les débats sur les réseaux sociaux ont contribué à alimenter le feu de cette controverse.


La nouvelle du départ d’Adji Sarr vers la Suisse, où elle a été accueillie en tant que réfugiée politique, a pris de court de nombreux observateurs. La décision de rechercher l’asile politique à l’étranger soulève des questions sur les motivations d’Adji Sarr et sur les conditions qui l’ont poussée à quitter le Sénégal. Certains ont interprété ce mouvement comme une tentative de fuir les pressions et les menaces perçues, tandis que d’autres ont remis en question la légitimité de sa demande d’asile politique.


Au Sénégal, la nouvelle du départ d’Adji Sarr a suscité une gamme de réactions. Certains ont exprimé leur soutien à sa décision, soulignant la nécessité de protéger les droits des victimes présumées de violences sexuelles. D’autres ont critiqué son choix de quitter le pays, remettant en question la crédibilité de ses allégations et suspectant des motivations politiques cachées derrière sa demande d’asile.


Sur le plan juridique, l’affaire continue de susciter des débats et des spéculations quant à son issue. Les partisans de Sonko maintiennent que les accusations portées contre lui sont infondées et politiquement motivées, tandis que les partisans d’Adji Sarr insistent sur la nécessité de mener une enquête approfondie et impartiale sur les allégations de viol.


Au-delà des aspects juridiques, l’affaire Adji Sarr soulève des questions plus larges sur les relations de pouvoir, la justice sociale et la représentation politique au Sénégal. Elle met en lumière les défis persistants auxquels sont confrontées les femmes en matière de violence sexuelle et d’accès à la justice, tout en illustrant les tensions politiques qui traversent la société sénégalaise.


En définitive, l’affaire Adji Sarr reste un sujet de débat et de controverse au Sénégal et au-delà. Son départ vers la Suisse en tant que réfugiée politique soulève des questions complexes sur la vérité, la justice et la responsabilité. Alors que l’enquête se poursuit et que les développements se multiplient, une chose est claire : cette affaire continuera de captiver l’attention du public et de façonner le paysage politique et social du Sénégal pour les années à venir.

Guinée : Répression violente contre les sinistrés de l’explosion de Coronthie

Cent jours se sont écoulés depuis l’explosion du principal site de stockage de carburants de la Guinée, situé dans le quartier de Coronthie à Conakry, sans que les raisons de cette tragédie ne soient encore élucidées. Pourtant, ce 28 mars, les sinistrés les plus durement touchés ont exprimé leur désespoir dans les rues de la capitale pour dénoncer le manque de soutien des autorités guinéennes.

Peu avant l’aube, des femmes victimes de l’explosion ont pris d’assaut les rues de Kaloum, le centre-ville de Conakry, érigeant des barricades pour attirer l’attention sur leur situation précaire. Cependant, leur protestation pacifique a été rapidement réprimée par les forces de l’ordre, qui ont fait usage de gaz lacrymogène et procédé à des arrestations, selon les médias locaux.

Les sinistrés, composés d’environ 150 ménages, dénoncent le silence et l’inaction des autorités, affirmant qu’aucune mesure de soutien n’a été prise pour les reloger décemment. Depuis la tragédie, ils sont contraints de vivre dans des conditions extrêmement précaires, dormant à la belle étoile ou chez des proches en périphérie de la ville, ce qui aggrave leur situation en favorisant le chômage et le décrochage scolaire.

Mamoudou Cifo Kè Touré, président du comité des sinistrés, souligne également que les victimes n’ont jamais reçu les dons qui leur étaient destinés, accentuant ainsi leur détresse et leur sentiment d’abandon par les autorités. Cette répression violente de leur manifestation pacifique ne fait qu’accentuer leur désespoir et renforcer leur détermination à obtenir justice et assistance.

Appels à la conformité Constitutionnelle : La Société Civile Burkinabè se mobilise

Dans une déclaration émise le 27 mars 2024, plusieurs organisations de la société civile au Burkina Faso ont adressé un appel solennel au gouvernement de transition, l’incitant à respecter rigoureusement les dispositions de la Constitution. Parmi les cosignataires de ce document de quatre pages, on retrouve des acteurs majeurs tels que le Balai citoyen, le Centre national de presse Norbert-Zongo, la Coalition nationale de lutte contre la vie chère, ainsi que l’association Kebayina des femmes du Burkina Faso, entre autres.

Cette déclaration exprime d’abord la solidarité des signataires envers les défenseurs du pays engagés dans la lutte contre le terrorisme. Toutefois, elle souligne également les préoccupations croissantes quant aux menaces qui pèsent sur la cohésion nationale. Les organisations de la société civile dénoncent fermement les pratiques contraires aux principes démocratiques, telles que les enlèvements de citoyens, qui ouvrent la voie à des dérives inacceptables.

De plus, les signataires appellent à la libération immédiate des personnes détenues de manière illégale ou arbitraire, en mettant en garde contre les conséquences néfastes des arrestations sans fondement. Ces actes, jugés contraires aux décisions des tribunaux burkinabè, suscitent également l’inquiétude au niveau international, comme en témoigne une récente rencontre entre le haut-commissaire aux droits de l’homme des Nations unies, Volker Türk, et le président de transition, Ibrahim Traoré, le 21 mars 2024.

Cette déclaration reflète ainsi une mobilisation croissante de la société civile burkinabè pour garantir le respect des principes constitutionnels et la protection des droits fondamentaux pendant la période de transition. Les organisations de la société civile restent fermement engagées dans la défense des valeurs démocratiques et continueront à exercer une pression sur le gouvernement pour assurer le respect de la Constitution et des libertés civiques.

Haïti: 243 évacués vers la Martinique, majoritairement des Français

De nouvelles évacuations ont été organisées depuis l’île tourmentée des Caraïbes, confrontée à l’instabilité politique et à des manifestations violentes. Le gouvernement français a coordonné des vols spéciaux pour permettre aux ressortissants français de quitter Haïti, suite à la suspension des liaisons aériennes commerciales avec le pays.

Un groupe de 243 personnes, dont 163 ressortissants français, a réussi à quitter Haïti, où ils étaient bloqués par des manifestations antigouvernementales, et est attendu ce vendredi en Martinique, selon le préfet de ce département français des Caraïbes. Trois navires de la Marine nationale sont attendus à Fort-de-France, ont déclaré jeudi lors d’une conférence de presse le préfet de Martinique et le commandant supérieur des Forces Armées aux Antilles.

Parmi les 243 évacués, 163 sont des Français et 80 sont des étrangers, dont la moitié sont des ressortissants de pays de l’Union européenne, a précisé le préfet de la Martinique, Jean-Christophe Bouvier. « Il sera proposé aux ressortissants français un retour immédiat sur l’Hexagone », a-t-il déclaré, ajoutant qu’ils « pourront profiter le jour même d’un vol affrété par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères ».

La préfecture a également indiqué que les ressortissants étrangers nécessitant une régularisation administrative de leurs visas passeront une nuit en Martinique avant un éventuel départ du territoire. Plusieurs groupes de ressortissants français ont été évacués ces derniers jours.

Oumar Sow Tire Sur le Macky , Il nous a Trahi Tabakh keur 1hectare Maroc yobou Ndiabotam sarakhé niou

Oumar Sow Tire Sur le Macky , Il nous a Trahi Tabakh keur 1hectare Maroc yobou Ndiabotam sarakhé niou

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Révélations explosives : Oumar Sow accuse Macky Sall d’avoir Injecté 350 000 Voix pour Diomaye Faye lors des Élections Présidentielles

Dans une déclaration fracassante, Oumar Sow, Ministre Conseiller, a mis en lumière les coulisses obscures des élections présidentielles de 2024 au Sénégal. Ses révélations, faites lors d’une interview exclusive, ont jeté une lumière crue sur les tactiques utilisées par le président sortant, Macky Sall, pour façonner son image et influencer le résultat des élections.

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Selon Oumar Sow, les événements qui se sont déroulés au palais présidentiel ne sont pas conformes à la norme démocratique. Il soulève des questions sur le fait que le président élu, Bassirou Diomaye Faye, n’a pas encore pris ses fonctions, mais a été invité au palais par Macky Sall, sans raison apparente. De plus, il accuse Macky Sall d’avoir partagé des dossiers confidentiels avec le président élu avant même sa prestation de serment, une pratique non conventionnelle qui suscite des interrogations sur les intentions réelles du président sortant.

Oumar Sow va plus loin en affirmant que Macky Sall cherchait simplement à créer une image positive de lui-même en immortalisant ces moments avec Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko, pour des raisons de relations publiques nationales et internationales. Cette révélation remet en question l’intégrité du processus électoral et soulève des préoccupations quant à la légitimité du mandat de Macky Sall.

De plus, Oumar Sow accuse ouvertement Macky Sall d’avoir manipulé les élections en utilisant diverses stratégies frauduleuses, telles que la fermeture tardive des bureaux de vote dans certaines régions et la création de bureaux de vote fictifs. Il affirme que Macky Sall a même ordonné l’injection de 350 000 voix supplémentaires en faveur de Bassirou Diomaye Faye pour influencer le résultat des élections.

Alors que le Sénégal se remet de ces accusations explosives, il est impératif que des mesures soient prises pour garantir la transparence et l’intégrité du processus électoral à l’avenir.

Le Dakarois Quotidien N°145 – du 30 et 31/03/24 : « Bassirou Diomaye Faye officiellement confirmé comme 5e président du Sénégal »

Le Dakarois Quotidien N°145 – du 30 et 31/03/24
🔴 « Bassirou Diomaye Faye officiellement confirmé comme 5e président du Sénégal »

Fou Malade Réagit à sa Nomination au Cese : « Je n’ai jamais été consulté »

La nomination de Malal Almamy Talla, plus connu sous le nom de Fou Malade, au Conseil économique social et environnemental (Cese) par décret présidentiel a suscité une vague de réactions dans tout le pays. Mais ce qui a le plus surpris, c’est la réaction du principal intéressé lui-même.

Fou Malade a confié à l’émission Jakaarlo Bi sa surprise face à cette décision présidentielle prise à seulement quatre jours de la fin du mandat de Macky Sall. « Je viens de l’apprendre comme tous les Sénégalais. En réalité, je n’ai jamais été consulté auparavant », a-t-il déclaré lors de son intervention sur le plateau de QG de la Tfm.

Cette déclaration a jeté une lumière crue sur le processus de nomination, mettant en évidence un manque de consultation et de transparence. Loin d’être flatté par cette nomination inattendue, Fou Malade a exprimé son désarroi et son indignation, qualifiant même la décision de « provocation ».

Il a souligné que cette nomination arrivait à un moment inopportun, surtout étant donné que le Cese, selon lui, est sur le point de disparaître. « Cette nomination est une provocation. Tout le monde sait que le Cese est à l’agonie, il ne lui reste plus que quatre jours puisque les nouveaux tenants du pouvoir l’ont listé parmi les institutions budgétivores à supprimer », a-t-il ajouté.

Cette réaction de Fou Malade reflète le mécontentement et le désarroi de nombreux Sénégalais face à ce qu’ils considèrent comme un jeu politique de dernière minute, mettant en lumière les failles du processus de nomination et les enjeux entourant l’avenir du Cese.

Il reste à voir comment cette nomination controversée de Fou Malade au Cese évoluera dans les jours à venir et quelles en seront les conséquences pour l’institution et pour le pays dans son ensemble.

Bignona : Renforcement du district sanitaire pour une meilleure prise en charge des patients

Le district sanitaire de Bignona a récemment bénéficié d’un important lot de matériel médical, marquant ainsi une étape significative dans l’amélioration des services de santé locaux. Parmi les équipements reçus figurent une dizaine d’appareils d’assistance respiratoire, un ajout crucial compte tenu du fait que l’hôpital ne disposait que d’un seul appareil auparavant. Cette acquisition devrait contribuer à réduire les pertes en vies humaines et à améliorer la qualité des soins médicaux dans la région.

L’initiative a été rendue possible grâce à la générosité et à la collaboration de l’abbé Bernard Diadjia Manga, curé de la paroisse Notre-Dame-de-Lourdes de Bignona, et de ses amis de l’association Sahel Rouergue Quercy d’Aveyron, partenaires de la paroisse. Le matériel médical a été officiellement remis en présence du maire Bacary Diatta et du préfet de Bignona Mamadou Khouma.

Le curé de la paroisse s’est réjoui de la contribution de ces équipements à l’amélioration de la prise en charge médicale, soulignant leur importance pour répondre aux besoins croissants de la population en matière de santé. Le maire de Bignona a exprimé sa gratitude envers l’abbé pour son rôle de médiateur et de soutien social au sein de la communauté, reconnaissant ainsi son impact positif sur le bien-être des habitants.

Le préfet de Bignona a également salué cette initiative et a exprimé sa reconnaissance envers l’abbé et ses partenaires pour leur contribution au renforcement du plateau technique du district sanitaire. Il a appelé le personnel médical à redoubler d’efforts pour que les habitants puissent bénéficier de soins de qualité sans avoir à se rendre à Ziguinchor. Le préfet a également plaidé en faveur des enfants du centre de réinsertion, soulignant l’importance d’apporter un soutien particulier à ces jeunes issus de milieux défavorisés.

Cette initiative illustre l’importance de la collaboration entre les autorités locales, les organisations caritatives et la société civile pour améliorer l’accès aux soins de santé et promouvoir le bien-être des populations les plus vulnérables. Elle témoigne également de l’engagement de la communauté à relever les défis en matière de santé et de développement social dans la région de Bignona.

Abdoulaye Ndiaye nommé Premier Président de la Cour suprême

Abdoulaye Ndiaye, précédemment président de la Chambre administrative de la Cour suprême, a été nommé par le Président Macky Sall en tant que nouveau Premier Président de la haute juridiction. Sa nomination intervient suite au départ à la retraite de Ciré Aly Ba, précédent titulaire de ce poste.

Abdoulaye Ndiaye apporte une expertise juridique et une expérience considérable à ce rôle éminent. Avant d’occuper cette fonction, il a occupé des postes clés au sein du système judiciaire, démontrant ainsi sa compétence et son dévouement au service de la justice au Sénégal.

En tant que Premier Président de la Cour suprême, Abdoulaye Ndiaye aura la lourde responsabilité de veiller à ce que la plus haute instance judiciaire du pays fonctionne efficacement et de manière impartiale. Son leadership guidera les décisions importantes et contribuera à renforcer la confiance du public dans le système judiciaire.

Sa nomination témoigne de la reconnaissance de ses pairs et de son mérite dans le domaine juridique. On peut s’attendre à ce qu’il apporte une vision éclairée et un engagement indéfectible à la poursuite de la justice et de l’équité pour tous les citoyens sénégalais.

Macky Sall nomme Fou Malade membre du CESE

Dans une décision inattendue, le président sénégalais Macky Sall a nommé Malal Almamy Talla, plus connu sous le nom de Fou Malade, en tant que membre du Conseil économique, social et environnemental (CESE). Cette nomination, officialisée par le décret numéro 2024-736 du 18 mars 2024 et contresignée par le Premier ministre Sidiki Kaba, a été publiée au Journal officiel ce jeudi 28 mars.

Fou Malade, célèbre activiste et rappeur, est un visage bien connu de la scène sociale et politique sénégalaise. Membre influent du Mouvement Y’en a Marre, il s’est distingué par son engagement en faveur de la justice sociale, de la transparence et de la démocratie. Sa nomination au CESE vient renforcer la voix des jeunes et des acteurs de la société civile au sein de cette institution consultative de haut niveau.

Au sein du CESE, Fou Malade rejoindra 46 autres membres nommés au titre des organisations socioprofessionnelles. Cette décision reflète la volonté du gouvernement sénégalais d’intégrer une diversité de perspectives et d’expériences au sein de ses organes consultatifs, dans le but de promouvoir une gouvernance inclusive et participative.

La nomination de Fou Malade suscite un vif intérêt et des réactions diverses au sein de la société sénégalaise, illustrant l’importance de son rôle en tant que figure emblématique de la jeunesse et de la société civile. Il reste à voir comment il utilisera cette plateforme pour continuer à promouvoir le changement social et à défendre les intérêts des citoyens sénégalais.

Deux Frères Retrouvés Morts Calcins dans un Véhicule à Kolda

Une tragédie s’est abattue sur le quartier Ndiobene à Kolda, où deux frères, âgés de cinq ans et deux ans respectivement, ont été retrouvés morts dans un véhicule, partiellement calcinés. Le drame s’est déroulé ce vendredi, plongeant la communauté locale dans le deuil et le chagrin.

Leur mère, une ressortissante gambienne, a signalé la disparition de ses deux enfants, A.D, 5 ans, et Y.D, 2 ans, à la police vers 17 heures. Une heure plus tard, les autorités ont été alertées de la macabre découverte : les corps des deux frères ont été retrouvés sans vie à l’intérieur d’un véhicule abandonné.

L’enquête initiale a révélé que les deux enfants avaient l’habitude de jouer dans ce véhicule désuet. Il semblerait qu’ils aient accidentellement déclenché un incendie à l’intérieur du véhicule, entraînant leur mort tragique. Un résidu de boîte d’allumettes a été découvert sur les lieux, suggérant une possible cause de l’incendie.

Les corps des deux enfants ont été transportés à la morgue de l’hôpital régional pour autopsie, alors que la communauté locale est sous le choc de cette perte dévastatrice. Cette terrible incident rappelle la nécessité d’une vigilance accrue envers la sécurité des enfants et soulève des questions sur la prévention des accidents domestiques.

Scrutin du 24 mars 2024: Le Conseil constitutionnel confirme Bassirou Diomaye Faye, 5e président de la République du Sénégal

Après des semaines d’attente et de suspense, le Conseil constitutionnel du Sénégal a finalement confirmé les résultats de l’élection présidentielle du 24 mars 2024, proclamant Bassirou Diomaye Faye comme le 5e président de la République du Sénégal. Cette décision historique fait suite à l’examen minutieux des résultats par la commission nationale de recensement des votes, confirmant ainsi la victoire éclatante de Bassirou Diomaye Faye.

La coalition Diomaye President peut désormais célébrer la victoire de son candidat, qui succède à une lignée de grands dirigeants sénégalais, notamment Senghor, Abdou Diouf, Abdoulaye Wade et Macky Sall. Bassirou Diomaye Faye entre ainsi dans l’histoire en tant que cinquième chef de l’État du Sénégal, avec la responsabilité immense de diriger le pays vers un avenir meilleur et plus prospère.

La décision du Conseil constitutionnel vient consolider la légitimité de la victoire de Bassirou Diomaye Faye, reflétant la volonté du peuple sénégalais telle qu’exprimée dans les urnes. Cette confirmation met fin à une période d’incertitude et ouvre la voie à une transition politique stable et ordonnée.

Dans sa déclaration, le Conseil constitutionnel a souligné l’intégrité et la transparence du processus électoral, saluant le professionnalisme et l’engagement des institutions impliquées dans l’organisation des élections. Cette validation officielle confirme la crédibilité du système démocratique sénégalais et renforce la confiance du peuple dans ses institutions.

Pour Bassirou Diomaye Faye, c’est le début d’un nouveau chapitre dans sa carrière politique, marqué par d’immenses responsabilités et des défis à relever. En tant que nouveau président, il devra travailler avec détermination et dévouement pour répondre aux attentes et aux aspirations du peuple sénégalais, tout en œuvrant pour la prospérité et le développement du pays.

En conclusion, la confirmation de Bassirou Diomaye Faye en tant que président de la République du Sénégal marque un moment historique pour le pays. C’est le début d’une nouvelle ère de leadership et d’espoir, où les défis seront nombreux mais où les opportunités de progrès et de réussite sont également immenses. Le peuple sénégalais se tourne désormais vers l’avenir avec optimisme et confiance, guidé par un nouveau leader prêt à relever les défis du présent et à construire un avenir meilleur pour tous.

Scrutin du 24 mars 2024: Le Conseil constitutionnel confirme Bassirou Diomaye Faye, 5e président de la République du Sénégal
Scrutin du 24 mars 2024: Le Conseil constitutionnel confirme Bassirou Diomaye Faye, 5e président de la République du Sénégal
Scrutin du 24 mars 2024: Le Conseil constitutionnel confirme Bassirou Diomaye Faye, 5e président de la République du Sénégal
Scrutin du 24 mars 2024: Le Conseil constitutionnel confirme Bassirou Diomaye Faye, 5e président de la République du Sénégal

Oumar Sow, Coordinateur du Cojer, Convoqué à la Brigade de Thiong après ses Déclarations Choc

Oumar Sow, le coordinateur du Cojer, se retrouve dans une situation délicate après ses déclarations incendiaires suite à la défaite d’Amadou Ba à l’élection présidentielle du 24 mars 2024. Accusant ouvertement le président Macky Sall d’avoir versé des milliards à Ousmane Sonko, leader du Parti Pastef, pour soutenir la campagne de Bassirou Diomaye Faye, il est convoqué à la Brigade de Thiong pour s’expliquer.

Sur sa page Facebook, Oumar Sow a annoncé qu’il était en route vers la Brigade de Thiong, assumant pleinement ses propos et affirmant sa détermination à se battre pour ses convictions. Ses déclarations ont créé une onde de choc dans le paysage politique sénégalais, jetant une lumière crue sur les coulisses de la campagne électorale.

Selon Oumar Sow, c’est Macky Sall lui-même qui aurait dirigé la campagne de la coalition Sonko et Diomaye, allant jusqu’à débourser des sommes colossales en faveur d’Ousmane Sonko. Ces allégations sont explosives, remettant en question l’intégrité et l’impartialité du processus électoral.

Les révélations de Oumar Sow ne s’arrêtent pas là. Il affirme également qu’Ousmane Sonko aurait sollicité les prières de Marième Faye, l’épouse du président Macky Sall, en faveur de Bassirou Diomaye Faye. Ces révélations soulèvent des questions sur les liens entre les différents acteurs politiques et la nature des alliances qui se sont formées en coulisses.

Alors que Oumar Sow se prépare à faire face aux autorités, ses déclarations laissent planer un voile de suspicion sur la politique sénégalaise. Les prochains jours pourraient révéler davantage de détails sur ces allégations explosives, qui pourraient avoir des répercussions importantes sur la stabilité politique du pays.

La Liaison Maritime Dakar-Ziguinchor sur le Point de Redémarrer

Une lueur d’espoir se profile à l’horizon pour les usagers de la liaison maritime Dakar-Ziguinchor, avec la reprise imminente des activités. Cette nouvelle, attendue avec impatience, promet un soulagement bienvenu pour de nombreux voyageurs et acteurs économiques de la région.

Selon les informations rapportées par Libération, le navire Diambogne effectue aujourd’hui, le 29 mars, un trajet de test jusqu’à Ziguinchor, sans passagers à bord. Cette étape de vérification est cruciale pour assurer la sécurité et le bon fonctionnement du service avant sa remise en service officielle.

La suspension temporaire de cette liaison maritime a eu un impact significatif sur l’économie de la Casamance, une région essentielle du Sud du Sénégal. Les activités commerciales et les déplacements des habitants ont été entravés, causant des difficultés et des perturbations pour de nombreuses personnes.

La reprise de la liaison Dakar-Ziguinchor est donc attendue avec impatience, offrant une bouffée d’oxygène bienvenue pour la région. Non seulement elle facilitera les déplacements des personnes, mais elle contribuera également à dynamiser les échanges commerciaux et à stimuler l’activité économique dans toute la région.

La perspective du redémarrage de cette liaison maritime est une nouvelle positive pour le Sénégal, démontrant l’engagement des autorités à répondre aux besoins de la population et à soutenir le développement régional.

Défaite de BBY : Bamba Fall accuse le pouvoir et dénonce un sabotage

Suite à la victoire dès le premier tour de Bassirou Diomaye Faye à l’élection présidentielle du 24 mars 2024, Bamba Fall, maire de la commune de Médina, a réagi avec véhémence en pointant du doigt son propre camp. Dans une déclaration incendiaire, il accuse directement les membres du pouvoir d’être responsables de cette déroute électorale.

Pour Bamba Fall, la défaite cuisante de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) ne résulte pas seulement de la performance de l’opposition, mais plutôt d’une série de manœuvres orchestrées en interne pour nuire à leur propre candidat, Amadou Bâ. Selon lui, depuis la désignation de Bâ comme candidat, celui-ci aurait été confronté à des obstacles et des attaques venant de ses propres alliés politiques, notamment au sein du parti au pouvoir, l’APR.

Le maire de Médina pointe également du doigt le président Macky Sall, chef de l’APR, qu’il accuse de ne pas avoir soutenu suffisamment Amadou Bâ sur le terrain lors de la campagne électorale. Cette absence de soutien aurait contribué à la défaite de la coalition BBY, selon Bamba Fall.

Pour l’édile de Médina, ces actions au sein même du pouvoir ont constitué un véritable sabotage de la candidature d’Amadou Bâ et ont conduit à la déroute électorale de la coalition BBY.

Cette déclaration de Bamba Fall met en lumière les divisions et les rivalités internes au sein du parti au pouvoir, ainsi que les tensions politiques qui peuvent émerger au sein d’une coalition. Elle souligne également les enjeux stratégiques et les défis auxquels sont confrontés les partis politiques dans leur lutte pour le pouvoir, mettant en évidence les implications potentielles de ces dissensions sur la stabilité politique du pays.

Analyse non-verbale : L’accolade entre Diomaye Faye et Macky Sall, un moment de transition politique chargé de symbolisme

L’accolade échangée entre le président nouvellement élu du Sénégal, Diomaye Faye, et son prédécesseur Macky Sall lors de leur rencontre au palais présidentiel le jeudi 28 mars dernier, a été bien plus qu’un simple geste de courtoisie. Ce moment a été chargé de significations non verbales qui reflètent les dynamiques de pouvoir en jeu dans la transition politique du pays.

L’observation minutieuse de cette accolade révèle des indices subtils mais puissants sur les intentions et les positions des deux hommes. Selon les principes de la synergologie, une discipline qui étudie le langage corporel, le geste de Diomaye Faye de placer sa main gauche sur l’épaule droite de Macky Sall est significatif. Dans cette analyse, la main posée sur l’épaule est interprétée comme un signe de contrôle ou de volonté de transmettre un message. Joseph Messinger, un expert en synergologie, souligne que l’épaule droite est associée à l’ambition, ce qui renforce l’idée que celui qui place sa main sur cette épaule démontre une forme de domination ou de prise de pouvoir.

Cette accolade revêt également une dimension symbolique plus large, surtout dans le contexte de la diplomatie internationale. Elle rappelle les gestes utilisés par les présidents américains, tels que Bush et Obama, pour symboliser leur leadership et leur influence sur la scène mondiale.

Dans le cas de Diomaye Faye et Macky Sall, cette accolade semble illustrer la transition effective du pouvoir. En plaçant sa main sur l’épaule de son prédécesseur, Faye a envoyé un message clair : il assume désormais le rôle de dirigeant du pays. Ce geste, chargé de symbolisme, témoigne de sa détermination à prendre en charge les rênes du pouvoir et à diriger le Sénégal vers l’avenir.

Au-delà des mots et des discours politiques, cette analyse non verbale de l’accolade entre Diomaye Faye et Macky Sall offre un aperçu fascinant des dynamiques de pouvoir et de leadership à l’œuvre dans la transition politique du Sénégal.

Exploitation illégale de l’or dans la Falémé : Les habitants de Djibeba s’opposent fermement aux Chinois

Dans un geste de défense de leurs ressources naturelles et de leur environnement, les habitants du village de Djibeba, dans le département de Bakel au Sénégal, ont pris une position résolue contre l’exploitation illégale de l’or par des entreprises chinoises dans le fleuve Falémé.

Le jeudi 28 mars dernier, les villageois de Djibeba ont mis fin aux opérations minières menées par ces entreprises chinoises, dénonçant ainsi une pratique qui menace leur écosystème et leurs moyens de subsistance. Pour ces communautés locales, protéger leur environnement est une priorité absolue, et l’exploitation de l’or dans le lit de la Falémé constitue une atteinte inacceptable à cet équilibre naturel.

En effet, au-delà de représenter une violation flagrante des réglementations environnementales en vigueur, cette exploitation minière non autorisée entraîne des conséquences désastreuses pour l’écosystème local. La dégradation de l’habitat aquatique et la contamination de l’eau figurent parmi les effets néfastes les plus alarmants de cette activité, mettant en péril la biodiversité de la région.

Un habitant de la région a exprimé sa préoccupation face à la détérioration rapide du site de la Falémé, soulignant que l’intervention des autorités compétentes est urgente et indispensable pour mettre un terme à cette exploitation illicite. Il appelle à des mesures immédiates telles que des campagnes de sensibilisation, le renforcement des patrouilles de surveillance, et des sanctions sévères à l’encontre des contrevenants, afin de restaurer l’ordre et de protéger les droits des communautés locales.

Face à cette menace persistante, les habitants de Djibeba demandent instamment à ce que des actions concrètes soient prises pour garantir la protection des ressources de la Falémé ainsi que le bien-être des populations autochtones. Ils appellent à une réponse rapide et efficace des autorités afin de mettre fin à cette exploitation illégale et préserver l’intégrité environnementale de la région pour les générations futures.

Bassirou Diomaye Faye prépare activement son accession à la présidence du Sénégal

Dans les coulisses discrètes d’un hôtel luxueux sur la corniche-Ouest de Dakar, Bassirou Diomaye Faye, le président élu du Sénégal, se prépare méticuleusement à prendre les rênes du pays. À la suite des résultats préliminaires du scrutin du 24 mars, qui lui ont largement donné la victoire, Faye mène une transition dynamique vers son nouveau rôle de chef d’État.

Depuis son élection, Faye s’est plongé dans un emploi du temps surchargé, marqué par des réunions stratégiques et des rencontres protocolaires. Dans l’intimité de sa suite, il orchestre des briefings avec son équipe, composée en grande partie de personnes de confiance qui jusqu’à présent étaient restées dans l’ombre. Ces individus, pour la plupart, ont travaillé aux côtés de Faye et d’autres leaders politiques, y compris Ousmane Sonko, le leader du mouvement Pastef.

Des vidéos et des photos circulant sur les réseaux sociaux montrent Faye en train de discuter avec son équipe de transition, planifiant minutieusement la prestation de serment et la passation de pouvoir qui devraient avoir lieu au plus tard le 2 avril. Des rencontres clés avec des figures politiques importantes, telles que le président sortant Macky Sall, soulignent l’engagement de Faye à assurer une transition harmonieuse vers le pouvoir.

En parallèle, les discussions sur la composition du nouveau gouvernement sont déjà en cours, avec une emphase particulière sur la compétence, l’intégrité et le patriotisme des futurs ministres. Faye s’est engagé à former un gouvernement représentatif, composé d’hommes et de femmes tant du Sénégal que de sa diaspora, connus pour leurs qualités et leur engagement envers le pays.

Malgré l’intensité de son emploi du temps, Faye reste accessible aux félicitations et aux prières de ses proches et partisans. Cependant, il est prévu que son accessibilité diminue après son installation officielle le 2 avril, en raison des responsabilités accrues de sa nouvelle fonction présidentielle.

Les résultats préliminaires indiquent une victoire écrasante de Faye, avec plus de 54 % des suffrages exprimés, selon la Commission nationale de recensement des votes. Cette élection marque le début d’une nouvelle ère pour le Sénégal, avec Faye prêt à diriger le pays vers un avenir prometteur.

Bassirou Diomaye Faye se profile comme un leader méthodique et déterminé, prêt à relever les défis qui l’attendent à la tête du Sénégal. Sa transition vers la présidence est empreinte de sérieux et de préparation, signe d’un engagement ferme envers le bien-être et la prospérité de la nation sénégalaise.

DIOMAYE, SONKO, MACKY, EN TOUTE COMPLICITÉ : Après la guerre, l’amour ?

« Une image vaut mille mots » ! L’expression trouve tout son sens, voyant les photos de la visite du nouveau président de la République, Bassirou Diomaye Faye, accompagné de son mentor Ousmane Sonko, au chef de l’État sortant, Macky Sall, ce jeudi.

En effet, des images émanant de la Présidence de la République ont capturé les les moments de complicité des quatrième et cinquième chefs d’État sénégalais, en compagnie du farouche opposant d’antan de Macky Sall, Ousmane Sonko.

De telles prises laissent voir qu’il n’y a aucune animosité entre les trois hommes qui se sont mêmes faits des accolades, tout sourire. Au contraire, de ces clichés fusent la joie et une entende profonde qui, elle, n’est possible qu’entre des personnes qui se sont fréquentées pendant au moins un bout de temps. Ces portraits donnent raison aux personnes qui annonçaient qu’ils y avait des pourparlers entre Macky Sall, Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye avant que les deux derniers ne soient affranchis de prison.

Sur ces photos, les regards que portent Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko sur leur aîné, Macky Sall, montrent la profonde admiration qu’ils ont pour le président de la République sortant, Macky Sall qu’ils ont presque adoubé dans leur première déclaration quand ils ont été libérés, préférant s’attaquer au candidat de Benno Bokk Yakaar (BBY), Amadou Ba, sorti deuxième du scrutin présidentiel.

Cette réunion empreinte de courtoisie entre Macky Sall et Bassirou Diomaye Faye, ainsi que des préparatifs pour la passation de pouvoirs, met en lumière l’importance de cette transition politique qui s’est faite dans la douceur.

La cérémonie de passation de service prévue pour le 2 avril revêt une signification symbolique et institutionnelle cruciale, marquant le transfert formel des responsabilités présidentielles.

Les protocoles solennels, discours officiels et gestes symboliques qui accompagnent habituellement cette passation visent à garantir une transition paisible et transparente du pouvoir.

TOUS SECTEURS SOLLICITENT DIOMAYE FAYE : Des défis de taille se profilent

Un désir de renouveau et de leadership axé sur les défis actuels et les aspirations de la jeunesse sénégalaise a immensément contribué à l’élection du président de la République, Bassirou Diomaye Faye, ce 24 mars. Les Sénégalais reposent leur espoir sur le nouveau chef d’État pour apporter des changements positifs et répondre aux besoins et préoccupations les plus urgent.

Depuis l’élection du successeur du président de la République, Macky Sall, les travailleurs de beaucoup de secteurs lui ont soumis leurs doléances, alors que le cinquième président n’a même pas encore pris fonction.

Le secteur de la Santé demande à Diomaye de ne pas répéter les erreurs de son prédécesseur

Les défis prioritaires pour le nouveau président de la République dans le secteur de la santé incluent une gestion adéquate des ressources humaines, la résolution des problèmes liés aux contractuels, et la lutte contre le népotisme. Les syndicats insistent sur la nécessité de réformes pour une meilleure répartition des infrastructures et une gestion plus équitable des ressources humaines afin d’améliorer la qualité des services de santé et la satisfaction des populations.

Les syndicats du secteur de la santé au Sénégal, notamment le SAMES et le SDT3S, expriment leurs préoccupations concernant la gestion des ressources humaines, le traitement des contractuels, et la lutte contre le népotisme dans les structures sanitaires. Ils appellent à une réforme pour une meilleure répartition des infrastructures et une gestion plus équitable des ressources humaines, soulignant l’importance de ces mesures pour améliorer la qualité des services de santé et la satisfaction des populations.

Pour le Syndicat autonome des médecins, pharmaciens, chirurgiens et dentistes du Sénégal (SAMES) met l’accent sur la nécessité d’une nouvelle réforme, en particulier en ce qui concerne une gestion adéquate des ressources humaines. Cette priorité reflète les préoccupations des syndicalistes quant à l’amélioration des conditions de travail et des services de santé dans le pays. Par ailleurs, le Syndicat autonome des médecins, pharmaciens, chirurgiens et dentistes du Sénégal (SAMES) exprime son désaccord avec les politiques antérieures de gestion de la santé sous le régime de Macky Sall. Les syndicats exigent davantage de considération et élaborent des chartes que le gouvernement de Bassirou Diomaye Faye devra respecter. Mamadou Ndour, secrétaire général du SAMES, souligne que les principales priorités résident dans une répartition équitable des infrastructures de santé et une gestion appropriée des ressources humaines. Il insiste sur le fait que ces mesures sont essentielles pour garantir l’accès aux services de santé à la population et ainsi améliorer leur satisfaction globale.

Quant au Syndicat démocratique des travailleurs de la santé et du secteur social (SDT3S), il souligne l’urgence de résoudre la question des contractuels dans les établissements de santé. Les professionnels de la santé tirent des leçons du régime précédent et insistent sur l’importance de ne pas répéter les mêmes erreurs. Cheikh Seck, secrétaire général du SDT3S, met en évidence les effets néfastes du népotisme dans les établissements de santé, soulignant que cela a considérablement affaibli le secteur. Il insiste sur la nécessité d’agir fermement contre cette pratique, soulignant que certaines structures sont infiltrées par des proches de politiciens, ce qui compromet gravement leur fonctionnement. Il évoque également des cas où des individus sans expérience dans le domaine de la santé ont été placés dans des postes, notamment dans le cadre du programme « Xeyu Ndaw Yi » destiné à l’employabilité des jeunes, ce qui nuit à la qualité des services de santé.

Les deux syndicalistes susmentionnés sont d’accord sur le fait que la gestion adéquate des ressources humaines est essentielle pour restaurer la réputation du secteur de la santé. Mamadou Demba Ndour souligne que les professionnels de la santé sont souvent sous-estimés dans ce système, notamment en ce qui concerne la hiérarchie et les régimes indemnitaires. Il donne l’exemple de l’indemnité de logement, où les travailleurs de la santé reçoivent moins que d’autres catégories de fonctionnaires, ce qui contribue à leur sentiment de défavorisation.

Les travailleurs du tourisme demande la reconduction des équipes

Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, est dès à présent, confronté à une demande pressante du Comité de défense des intérêts du secteur du Tourisme, qui plaide pour une restructuration et une organisation structurelle du ministère du Tourisme. Cette demande inclut la réforme des textes, un audit du secteur pour garantir l’application des politiques de l’État, dans le but de redorer l’image de la destination Sénégal. La gestion efficace de ces demandes pourrait être cruciale pour l’avenir du secteur du tourisme dans le pays.

Après avoir adressé ses félicitations au président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, le président du comité, Mohamed Faouzou Dème, est revenu sur leurs aspirations pour le secteur du tourisme, en se concentrant sur trois points principaux. Ces points pourraient inclure des domaines tels que la promotion touristique, le développement des infrastructures et la formation du personnel. Il a également plaidé pour le maintien du personnel même s’il y a eu un changement du régime en ces termes : « nous avons vécu en 12 ans,  huit ministres dans ce même département, donc nous voulons une sérénité, une constance dans ce ministère mais également que nous mettions l’homme qu’il faut à la place qu’il faut », souligne le président Mohamed Faouzou Dème.

Le deuxième programme concerne la restructuration du secteur privé, considéré comme un élément crucial par M. Dème. Il met en avant l’importance d’une organisation claire du secteur privé, notamment en identifiant les acteurs clés et en définissant leurs rôles respectifs. Cette clarification permettrait de mieux aligner les actions du secteur privé sur les politiques définies par le Chef de l’État, afin de répondre aux attentes et aux objectifs du gouvernement dans le domaine du tourisme.

Pour conclure, le président du Comité de défense insiste sur la nécessité de réformer les textes régissant le secteur du tourisme, en se concentrant notamment sur la règlementation, les aspects liés au crédit et à la formation. Il a aussi parlé de l’urgence de réaliser un audit organisationnel pour déterminer le type de ministère nécessaire et pour organiser le secteur privé de manière à ce qu’il contribue de manière efficace à la création de richesse et au paiement des impôts. L’objectif est de garantir la clarté, la transparence et l’équilibre dans le fonctionnement du secteur touristique.

Ces recommandations du secteur touristique pourraient servir de guide pour le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, et son gouvernement dans leurs efforts pour répondre aux besoins de cette branche de l’économie sénégalaise qui subit beaucoup de problèmes accentués par la pandémie liée au Covid-19.

Ligue 1 – 18e journée : Teungueth FC reprend la tête, Guédiawaye enchaîne, et Abdoulie Kassama domine le classement des buteurs

La 18e journée de la Ligue 1 sénégalaise a été marquée par des matchs palpitants et des résultats significatifs. Voici un résumé des principaux événements de cette journée passionnante :

  • Teungueth FC reprend la première place : Le Teungueth FC a récupéré la tête du classement en battant Dakar Sacré-Cœur sur un score de 2-0. Avec cette victoire, le club rufisquois totalise désormais 34 points, reprenant ainsi la première place devant le Jaraaf, tenu en échec par Sonacos (0-0).
  • Les Crages du Guédiawaye FC ont continué leur impressionnante série de victoires en battant le Stade de Mbour sur un score de 3-1. Avec cette quatrième victoire consécutive, Guédiawaye FC s’installe à la troisième place du classement avec 31 points.
  • Autres résultats : L’US Gorée a remporté une victoire convaincante de 2-0 contre le Casa Sports, tandis que l’US Ouakam et Génération Foot ont partagé les points avec un match nul 1-1. De plus, Jamono Fatick a obtenu un précieux point en tenant en échec la Linguère sur un score de 1-1, tandis que l’AS Pikine a rapporté un bon point de son déplacement chez Diambars avec un score nul 0-0.
  • Classement des buteurs : Abdoulie Kassama, auteur du premier but de Guédiawaye lors de leur victoire contre le Stade de Mbour, est désormais le meilleur buteur de la Ligue 1 avec 7 buts à son actif.

Au total, 12 buts ont été marqués lors de cette journée passionnante, illustrant la compétitivité et l’excitation de la Ligue 1 sénégalaise.

Voici les résultats complets de la 18e journée de la Ligue 1 :

  • Dakar Sacré-Cœur / Teungueth FC : 0-2
  • Sonacos / Jaraaf : 0-0
  • US Gorée / Casa Sport : 2-0
  • Guédiawaye FC / Stade de Mbour : 3-1
  • US Ouakam / Génération Foot : 1-1
  • Linguère / Jamono Fatick : 1-1
  • Diambars / AS Pikine : 0-0

Cette journée a confirmé une fois de plus le niveau de compétition élevé et la passion qui animent la Ligue 1 sénégalaise, promettant ainsi une fin de saison captivante pour les fans de football du pays.

Visite du Directeur Général des douanes au bureau de Dakar Port centre : Dr Mbaye Ndiaye salue les performances et l’engagement du personnel

Le mardi 26 mars, le Bureau des Douanes de Dakar Port Centre a reçu une visite importante de la part du Directeur Général des Douanes, Dr Mbaye Ndiaye. Cette initiative s’inscrit dans le cadre des efforts continus visant à évaluer et à renforcer les performances des différentes unités douanières.

Lors de sa visite, le Dr Mbaye Ndiaye a pu constater de première main la dynamique et les progrès constants réalisés par le Bureau des Douanes de Dakar Port Centre dans la lutte contre la fraude et la sécurisation des opérations douanières. Cette performance remarquable a été attribuée à l’engagement exceptionnel des Chefs en charge de l’unité, ainsi qu’au dévouement et au professionnalisme de l’ensemble du personnel.

Parmi les personnalités saluées pour leur contribution essentielle figurent le Colonel Faye, Directeur régional de Dakar Port, le Lt-Colonel El Hadji Ndiaga Gueye, Chef de Bureau, et d’autres membres de l’équipe dirigeante tels que le Chef de Visite, le Lt-Colonel Alpha Touré Diallo, et le Chef des Sections, le Lt-Colonel Abdou Faye. Leur leadership éclairé et leur engagement ont été déterminants dans les succès récents de l’unité.

Les vérificateurs ont également été mis en avant pour leur rôle crucial en tant que cheville ouvrière de l’unité, assurant la qualité et l’intégrité des opérations douanières au quotidien.

La visite du Dr Mbaye Ndiaye a permis d’échanger sur les défis rencontrés par le Bureau des Douanes de Dakar Port Centre et sur les stratégies envisagées pour les surmonter. Le Directeur Général des Douanes a souligné l’importance de maintenir une vigilance constante face aux défis actuels et futurs, tout en encourageant l’équipe à poursuivre ses efforts dans la voie de l’excellence et de l’efficacité.

Cette visite a été l’occasion pour le Dr Mbaye Ndiaye de saluer les performances exceptionnelles du Bureau des Douanes de Dakar Port Centre et de réaffirmer l’engagement de l’administration douanière à soutenir ses équipes dans leur mission essentielle au service de la nation.

Le Dakarois Quotidien N°144 – du 29/03/24 : DIOMAYE, SONKO, MACKY, EN TOUTE COMPLICITÉ : Après la guerre, l’amour ?

Le Dakarois Quotidien N°144 – du 29/03/24
🔴 DIOMAYE, SONKO, MACKY, EN TOUTE COMPLICITÉ : Après la guerre, l’amour ?

Condamnation après la mort d’un « Jakartaman » à Matam : Le chauffeur écope de 5 mois de prison

Le chauffeur impliqué dans l’accident tragique ayant coûté la vie à un conducteur de moto-Jakarta à Matam le dimanche 17 mars dernier a été condamné à cinq mois de prison ferme par le tribunal d’instance de la ville, jeudi dernier. En plus de cette peine d’emprisonnement, le chauffeur devra également payer une amende et voir son permis de conduire suspendu pour une durée de cinq mois.

Cet accident avait déclenché des émeutes dans la commune de Matam, entraînant trois jours de violents affrontements entre des jeunes du quartier Soubalo et les forces de l’ordre. La nouvelle de la mort du jeune conducteur de moto-Jakarta, impliquant apparemment un indicateur de la douane, avait suscité la colère et le désarroi parmi les habitants de la région.

Les manifestations avaient rapidement dégénéré en actes de violence, avec des pneus brûlés et des bâtiments incendiés, dont le bureau de la douane situé à la frontière entre le Sénégal et la Mauritanie, ainsi qu’un véhicule de la police des frontières.

L’intervention des gendarmes de l’escadron du camp de Thiambé avait été nécessaire pour contenir les manifestants en colère et empêcher d’autres attaques contre les installations douanières.

Suite à ces événements, des responsables douaniers avaient nié toute implication de leur institution dans l’accident, soulignant qu’aucune opération officielle de la douane n’était en cours au moment des faits. Ils ont également précisé que le chauffeur impliqué dans l’accident n’était pas un agent des douanes, mais plutôt un « pisteur » effectuant des tâches personnelles dans un véhicule privé.

Le gouverneur, accompagné du chef des douanes de la zone nord, a exprimé ses condoléances à la famille du défunt lors de son inhumation au cimetière de Soubalo. Il a également clarifié que le conducteur impliqué dans l’accident ne travaillait pas pour les douanes et était simplement occupé à des affaires personnelles au moment de l’incident.

Opération de Sécurité : 401 Interpellations dans la Nuit

Dans une initiative visant à renforcer la sécurité et à combattre la criminalité, la police nationale a mené une vaste opération durant la nuit précédente, sous la supervision de la Direction de la Sécurité Publique. Cette action d’envergure a mobilisé plus de 500 agents, en uniforme et en civil, déployés dans les zones à risque du pays de 21 heures à 5 heures du matin.

L’objectif principal de cette mission était de traquer les activités criminelles et d’assurer la protection des citoyens. Les résultats de cette opération sont significatifs, avec un total de 401 interpellations.

Parmi les personnes appréhendées, les motifs varient, mettant en lumière la diversité des infractions constatées. En effet, 257 individus ont été arrêtés pour vérification d’identité, tandis que 54 autres étaient sous l’emprise de l’alcool en public. Des infractions liées à la drogue ont également été relevées, avec notamment la détention de chanvre indien et d’ecstasy, ainsi que des cas de trafic et d’usage de substances illicites.

Outre les délits liés aux drogues et à l’alcool, d’autres crimes et infractions ont été constatés au cours de cette opération. Des cas d’escroquerie, de jeux de hasard sur la voie publique, de vol en réunion, de rixe, d’homicide involontaire et de destruction de biens publics ont également été rapportés.

Ces résultats soulignent l’importance des actions préventives et répressives menées par les forces de l’ordre pour assurer la sécurité et le bien-être des citoyens. En agissant de manière proactive contre la criminalité, la police nationale démontre son engagement ferme à maintenir l’ordre public et à protéger la population.

Cette opération marque ainsi une étape significative dans la lutte contre la délinquance et la criminalité, tout en rappelant l’importance de la collaboration entre les autorités et la communauté pour promouvoir un environnement sûr et sécurisé pour tous.

Fuite du bulletin médical de Sonko : 2 gradés de l’Administration pénitentiaire libérés

Deux gradés de l’Administration pénitentiaire, l’inspecteur I. S. et l’adjudant I. N., ont été libérés de prison vers midi, selon une source proche du dossier. Ils étaient sous mandat de dépôt depuis le 13 novembre 2023, soupçonnés d’être impliqués dans la fuite du bulletin médical d’Ousmane Sonko lors de son arrestation.

Leurs avocats, parmi lesquels figuraient Maitres Assane Dioma Ndiaye, Moussa Sarr, Seny Ndione, Me Cheikh Sy, Arona Bass, Moussa Konaté, Amadou Danfa et Magatte Sène, avaient demandé leur mise en liberté provisoire. Cependant, le procureur de la République a estimé qu’ils ne pouvaient pas bénéficier de la loi d’amnistie.

Ainsi, le parquet a choisi de les libérer d’office, une décision qui a suscité des réactions mitigées de la part des avocats de la défense. Ces derniers considèrent que l’arrestation des agents I. S. et I. N. était liée à l’affaire Ousmane Sonko et qu’ils auraient donc dû bénéficier de cette loi d’amnistie.

Pour rappel, les deux agents de l’Administration pénitentiaire avaient été arrêtés, inculpés et placés en détention par le juge d’instruction du 2e cabinet, Mamadou Seck, pour violation du secret professionnel, détournement de données à caractère personnel et actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique.

Mort d’un jeune à Pikine : Les organisations de défense des Droits de l’homme exigent l’ouverture d’une enquête

Des organisations de défense des Droits de l’homme ont exigé l’ouverture d’une enquête dans l’affaire Mouhamed Diop, un jeune homme qui aurait été battu à mort par la police de Pikine.

« Nous avons plusieurs fois eu des informations des victimes et de leurs proches qui disent que lorsque des gens sont interpellés par la police de Pikine, ils sont conduits au Technopole pour être battus. Si cette information est avérée, c’est extrêmement grave et nous voudrions l’intervention de l’autorité policière pour que cette violence cesse », a déclaré sur Rfm Seydi Gassama, directeur exécutif d’Amnesty International/Section Sénégal.

Gassama a ajouté : « Le Sénégal est très endeuillé par cette violence qui semble endémique au sein de la police et ça ne peut pas continuer. Il faudrait que les nouvelles autorités qui arrivent sanctionnent toutes ces bavures policières, mais surtout s’attellent à élaborer de nouvelles règles que la police devra suivre en cas d’opérations sur le terrain ou pour le maintien de l’ordre. »

De son côté, Babacar Ba, président du Forum du justiciable, a exigé une enquête minutieuse. « Nous pensons qu’en tant qu’organisation de défense des Droits de l’homme, les circonstances de son décès doivent être élucidées. Déjà, il y a sa famille qui accuse la police d’être à l’origine de son décès. Donc, je pense qu’aujourd’hui, les accusations avancées par la famille méritent l’ouverture d’une enquête minutieuse et indépendante, pour situer les responsabilités, afin que les gens sachent ce qui s’est réellement passé. »

Pour rappel, Mouhamed Diop a été interpellé par la police qui l’aurait battu à mort dans son domicile, selon sa famille.

Victoire de Diomaye Faye à la Présidentielle au Sénégal : La Réaction d’Alpha Condé

L’ancien président guinéen Alpha Condé a adressé ses félicitations à Bassirou Diomaye Faye pour sa « brillante élection à la magistrature suprême du Sénégal ». Cette déclaration a été faite à travers une publication sur sa page Facebook.

Pour le vétéran de la politique guinéenne, la victoire du candidat du Pastef représente également le triomphe d’une « Afrique libre, unie et fraternelle. Une Afrique capable de prendre son destin en main et prête à défendre sa souveraineté nationale, contre toute ingérence extérieure qui menace aujourd’hui son développement économique et social ».

Une « jeunesse éclairée »

Alpha Condé a salué cette victoire comme étant « un exemple de progrès pour toute l’Afrique », une « traduction de notre attachement à la légitimité du pouvoir, à l’ordre constitutionnel et démocratique ». Il s’est également réjoui de voir à la tête du Sénégal une « jeunesse éclairée ».

En conclusion, l’ancien dirigeant guinéen a exprimé ses vœux de « plein succès » à Diomaye Faye dans « l’exercice du mandat que le peuple sénégalais vient de (lui) confier », tout en l’invitant à « accueillir le soutien de tous les citoyens amoureux de la paix et de la justice ».

Bande-Annonce : Sur les Traces du Migrant Clandestin

Entre l’Enfer du Trajet et l’Horreur de la Réalité, Leur Rêve Vire en Cauchemar

Ils ont tous un parcours. Une histoire à raconter. Partis du Sénégal, du Mali, de la Guinée, du Burkina Faso, du Nigéria, de la Côte d’Ivoire, du Cameroun, de la Tunisie, du Maroc, entre autres pays de l’Afrique subsaharienne, ces populations, à la recherche d’un avenir meilleur, prennent des risques énormes, au péril de leur vie. En pirogue, ils bravent la mer pour se rendre en Europe.

Serigne Mor Mbaye, Psychologue : « Si les jeunes vont jusqu’à dire « Barça Wala Barsak » (Réussir ou la mort), c’est parce qu’ils ont atteint le summum du désespoir. Une situation, source de beaucoup de douleur et de dépression chez plusieurs d’entre eux.»

Durant ce voyage suicidaire, tout peut arriver. Certains meurent en mer. Et sont abandonnés dans les eaux. C’est le cas de l’activiste sénégalais Papitot Kara, décédé quatre jours après son départ à bord d’une pirogue, qui a embarqué de «Kayar». D’autres disparaissent. Et ne donnent aucun signe de vie ! Mame Cheikh Diouf, parti depuis le 28 octobre 2023, en fait partie.

Amy Fall : « Mon fils a pris la pirogue et depuis lors, on n’a aucune nouvelle de lui. Il nous a caché son voyage. C’est trois jours après que le mari de ma fille, Mame Diarra, a appelé cette dernière pour lui dire que Lamp lui avait laissé deux messages vocaux. Il lui disait avoir embarqué pour l’Espagne tout en demandant à ce que l’on prie pour lui.»

Dans cette quête pour rejoindre l’eldorado européen, de nombreuses tentatives se soldent par des échecs sans pour autant décourager les candidats malheureux.

Etienne Kadam, 23 ans, Pêcheur à Bargny : « La jeunesse sénégalaise a longtemps été dans la galère. On travaille sans pouvoir épargner le moindre sou. On a même du mal à satisfaire nos besoins. On ne se retrouve plus dans ce pays. C’est pourquoi on a tenté l’aventure. Aujourd’hui, si c’était à refaire, on le ferait encore parce que l’on manque d’espoir. »

Les plus chanceux réussissent la traversée. Un groupe de jeunes Sénégalais, croisés à la plage de «Las Canteras» de «Las Palmas» en Espagne, nagent dans le bonheur.

Malick Bâ, 45 ans : « Je suis enfin en Europe. Je rêvais d’être ici et je ferai tout pour m’en sortir. Cet homme (la mer), nous en a fait voir de toutes les couleurs mais il a aidé beaucoup de personnes. Et on prie beaucoup pour lui. Comme il nous a aidés à faire ce voyage, que le Seigneur l’aide aussi. »

Après l’euphorie des premières semaines, la réalité gifle en pleine figure. Il faudra être fort pour sortir de l’univers des «sans papiers». Entre la vie dans la rue et celle dans les squats, certains sombrent vite dans la délinquance.

Sano Diaby alias Nakata : « Je suis en France depuis 4 ans. Et je vis dans un squat. La vie de squat n’est pas facile… On ne pensait pas que l’on vivrait de telles situations une fois en Europe. On pensait qu’une fois en Europe, on aurait plus de difficultés. Mais, c’est tout le contraire… »

Mais, la réussite est bien possible. Il faudra être résilient pour espérer voir le bout du tunnel.

Moussa Koita : « Actuellement, j’ai ma licence en attaché commercial, j’ai deux ans d’expérience en sociologie, une année d’expérience en linguistique sans compter mes expériences du bled. J’ai quitté le squat, j’ai épousé ma femme, j’ai changé mon réseau, j’ai eu mes papiers et j’ai demandé ma nationalité. Mon décret est sorti et j’attends ma carte de nationalité. Comme disent les Toofan, on peut passer de zéro à héros même si je ne suis pas un héros. »

Le phénomène de l’émigration irrégulière a ses échecs et ses réussites. Depuis 1994, les pirogues affluent en Espagne. Aujourd’hui, le phénomène est devenu incontrôlable.

610 pirogues, transportant 39 910 personnes, sont arrivées en 2023. La tendance de 2024 fait peur. Le 29 février, 181 embarcations, transportant 11 932 personnes, sont arrivées, soit une hausse de 53,8%. En plus de la féminisation de l’émigration !

Pourtant, des efforts ont été faits pour trouver des solutions à ce drame social.

Me Lamine Dobassy, Avocat au Barreau de Toulouse : « Son objectif était de connaître ce fléau migratoire qui frappe l’Afrique. Lors de cette conférence, il a donné des suggestions et des orientations à faire. Au mois d’août, il terminait naturellement sa mission au niveau de la Médiature de la République du Sénégal. Malheureusement, il a été terrassé. »

7000 Agents de Santé de l’Hôpital Principal de Dakar Réclament le Paiement de Leurs Indemnités

Une situation de tension règne à l’hôpital principal de Dakar alors que près de 7000 agents de santé revendiquent le paiement de leurs indemnités, selon des informations relayées par la Rfm. Ces agents dénoncent le non-respect des engagements pris lors d’une rencontre tripartite impliquant l’ancien Premier ministre Amadou Bâ, le ministre de la Santé Marie Khemess Ngom Ndiaye et le ministre des Finances Mouhamadou Moustapha Ba.

Selon Abou Ba, coordinateur national des contractuels des établissements publics de santé, les indemnités de logement et les indemnités spéciales complémentaires accordées aux agents contractuels des établissements publics de santé depuis mai 2023 ne leur ont toujours pas été versées. Malgré le décaissement de fonds par le ministère des Finances et du Budget, l’argent n’a pas été transféré sur les comptes des agents, ce qui a suscité la frustration et l’incompréhension parmi le personnel.

Abou Ba a souligné le paradoxe selon lequel les fonds décaissés pour le paiement des indemnités ont été réintégrés dans le budget, malgré les attentes des agents de santé. Malgré les espoirs suscités par des rencontres entre les autorités gouvernementales et les centrales syndicales, aucune solution n’a été trouvée jusqu’à présent.

Face à cette impasse, les agents de santé envisagent de porter l’affaire devant les instances de contrôle compétentes. Ils appellent également le nouveau gouvernement à intervenir pour résoudre leurs problèmes, espérant que leurs doléances seront enfin prises en compte.

Abordant cette question lors du passage du ministre de la Santé devant l’Assemblée nationale en décembre dernier, le député Guy Marius Sagna avait déjà attiré l’attention sur cette situation. Les agents de santé espèrent que leur cause sera entendue et que des mesures seront prises pour répondre à leurs préoccupations légitimes.

Bassirou Diomaye Faye : Le Plus Jeune Président de l’Histoire du Sénégal

Le Sénégal écrit une nouvelle page de son histoire politique avec l’élection de Bassirou Diomaye Faye, âgé de seulement 44 ans, en tant que président, le plus jeune dans l’histoire du pays. Cependant, alors que cette réalisation mérite d’être célébrée sur le plan national, sur le continent africain, Diomaye Faye ne se classe qu’à la quatrième place des présidents les plus jeunes en exercice.

Selon un classement établi par Seneweb, le nouveau président sénégalais est devancé par trois autres dirigeants africains, tous arrivés au pouvoir à la suite de coups d’État. En tête de ce classement se trouve Ibrahim Traoré du Burkina Faso, âgé de 36 ans, suivi de près par Mahamat Idriss Déby du Tchad, âgé de 40 ans, et Assimi Goita du Mali, qui a 41 ans.

Pourtant, malgré sa quatrième position sur cette liste, Bassirou Diomaye Faye reste le plus jeune président démocratiquement élu en Afrique. Cette distinction souligne l’importance de la démocratie au Sénégal, où le peuple a exprimé sa confiance envers Diomaye Faye pour diriger le pays vers un avenir prospère.

Le classement met également en lumière une tendance émergente où de jeunes dirigeants accèdent au pouvoir sur le continent, témoignant d’un changement générationnel au sein des gouvernements africains.

Dans ce contexte, la présence de Diomaye Faye parmi les jeunes dirigeants africains illustre une transition significative vers une nouvelle ère de leadership en Afrique, caractérisée par la valorisation de la jeunesse et de la dynamique dans les plus hautes sphères du pouvoir politique.

En prenant les rênes du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye incarne l’espoir et les aspirations d’une nation en pleine évolution, prête à relever les défis du XXIe siècle avec audace et détermination.

Outrage Public : Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra convoquées par les autorités de Cybercriminalité

Une querelle en ligne entre Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra a pris une tournure judiciaire alors que les autorités de cybersécurité ont été alertées sur des échanges injurieux sur les réseaux sociaux. Selon des sources de Seneweb, les patrouilleurs du web de la Division spéciale de cybersécurité ont remarqué ces échanges et ont agi en conséquence.

Une convocation a été émise à l’encontre des deux protagonistes ce jeudi. Cependant, l’une des parties a demandé un report de convocation, préférant répondre à l’appel demain vendredi.

Mame Ndiaye Savon et Mamy Cobra pourraient faire face à des accusations d’outrage public aux bonnes mœurs, selon nos informations.

Cette affaire met en lumière les défis croissants posés par les échanges en ligne et souligne l’importance croissante pour les autorités de prendre des mesures contre les comportements répréhensibles sur Internet.

Des réformes drastiques : La suppression du CESE, du HCCT, des Fonds Politiques, et bien plus encore, par Bassirou Diomaye Faye

Après sa victoire dès le premier tour des élections, Bassirou Diomaye Faye s’apprête à prendre les rênes du pouvoir avec une série de changements radicaux qui pourraient remodeler le paysage politique sénégalais. Inspiré par le projet Pastef, son programme ambitieux prévoit des réformes profondes touchant à divers aspects de la gouvernance.

Parmi les points saillants de son programme figurent la suppression des fonds politiques présidentiels, ainsi que des organes tels que le HCCT, le CESE et le HCDS. Cette volonté de réduire l’influence politique et de promouvoir une plus grande transparence marque un tournant significatif dans la manière dont le pays est dirigé.

En matière de gouvernance, une indépendance totale des organismes de contrôle est prévue, avec notamment le détachement de l’IGE de la tutelle présidentielle. L’autonomie de l’IGE, de l’OFNAC, de la CENTIF et de la Cour des Comptes dans la définition et la mise en œuvre de leurs programmes est également envisagée, avec le pouvoir de saisir directement le procureur et le juge d’instruction.

Le recrutement pour les postes civils et militaires sera désormais basé sur des concours et des appels à candidatures pour les postes de directeurs généraux, marquant ainsi une rupture avec les pratiques antérieures.

Les femmes ne sont pas oubliées dans ce programme, avec des mesures visant à favoriser leur autonomie économique et à étendre le congé de maternité à six mois. De plus, la renonciation à tous les contrats défavorables pour le Sénégal dans les secteurs des hydrocarbures et de la pêche est annoncée.

Dans le domaine de l’éducation et de la formation, des initiatives telles que la promotion du bilinguisme en introduisant l’anglais dès l’école primaire, la lutte contre les inégalités salariales, et une réflexion sur l’intégration de l’enseignement religieux et des langues nationales sont envisagées. De plus, la création d’un ministère du Numérique est prévue pour répondre aux défis de la société numérique moderne.

En somme, le programme de Bassirou Diomaye Faye promet une ère de changements profonds et de réformes audacieuses qui pourraient redéfinir le paysage politique et social du Sénégal pour les années à venir. Attendons avec impatience de voir comment ces promesses se concrétiseront et quels impacts elles auront sur la vie des citoyens sénégalais.

Édito : Au-delà des Étiquettes, Vers la Compréhension Profonde

Dans le sillage de récentes élections, les discours passionnés et les étiquettes volent bas. Accuser, qualifier de traître, ou louer sans réserve semble être la norme. Mais dans ce tumulte d’opinions polarisées, il est crucial de faire un pas en arrière, de respirer, et d’explorer les nuances qui échappent souvent à la surface.

La politique, souvent tumultueuse et complexe, offre rarement des réponses simples. Les alliances d’hier peuvent se briser aujourd’hui, les actions bien intentionnées peuvent être mal interprétées, et les motivations peuvent être sujettes à des interprétations divergentes.

La question de la trahison, soulevée avec véhémence, nous pousse à nous interroger sur les véritables dynamiques à l’œuvre. Qui a réellement trahi qui, et à quel prix ? Est-ce une question de loyauté envers la patrie ou le parti ? Ou bien y a-t-il des forces cachées qui manipulent les marionnettes du pouvoir ?

Le président SALL, objet de tant de louanges et d’accusations, reste au cœur de ce débat. Est-il vraiment surpris par les résultats des urnes ? Peut-être que derrière ses actions, il y a des stratégies et des calculs politiques qui échappent à la vue du public.

Dans ce tourbillon d’opinions, une vérité demeure : la patrie importe plus que le parti. C’est une maxime qui résonne avec force pour ceux qui prennent le temps d’observer et de comprendre les enjeux réels.

Peut-être que demain, à la lumière de l’histoire, les véritables motivations du président SALL seront éclaircies. Peut-être que les témoins futurs seront en mesure de discerner la véritable victime de la trahison, s’il y en a une.

En fin de compte, alors que nous naviguons à travers les eaux tumultueuses de la politique, gardons à l’esprit l’importance de perdre avec dignité et d’avancer. Car c’est dans la compréhension mutuelle et le respect des différences que réside le véritable progrès vers un avenir meilleur pour tous.

Cheikh

[Photos – Vidéo] Une transition politique en marche: Macky SALL reçoit son successeur, Bassirou Diomaye Faye

Ce jeudi, le Président Macky SALL a accueilli son successeur fraîchement élu, le Président Bassirou Diomaye Faye, pour une rencontre importante marquant le début d’une transition politique au Sénégal. Faye a été élu lors du premier tour de l’élection présidentielle du 24 mars 2024, et cette rencontre entre les deux dirigeants revêt une grande importance pour l’avenir du pays.

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L’atmosphère de la rencontre était empreinte de courtoisie, illustrant le respect mutuel entre les deux hommes ainsi que leur engagement envers une transition pacifique et ordonnée du pouvoir. Au cours de cette rencontre, des discussions approfondies ont eu lieu sur les grands dossiers de l’État, mettant en lumière les défis et les opportunités qui attendent le nouveau gouvernement.

Parmi les sujets abordés figuraient notamment les questions économiques, sociales, et politiques auxquelles le Sénégal est confronté, ainsi que les priorités du nouveau gouvernement en matière de développement et de progrès pour le pays. La cérémonie de prestation de serment et la passation de service ont également été évoquées, soulignant l’importance de ces étapes symboliques dans le processus de transition démocratique.

Après cette rencontre, une visite du palais présidentiel a été organisée, offrant aux deux dirigeants l’occasion de poursuivre leurs discussions dans un cadre solennel et officiel. Cette visite marque le début d’une transition politique significative, où les anciens et les nouveaux dirigeants collaborent pour assurer la continuité et la stabilité de l’État.

En conclusion, la rencontre entre le Président Macky SALL et son successeur, le Président Bassirou Diomaye Faye, symbolise le passage harmonieux du pouvoir au Sénégal. Dans un esprit de coopération et de respect mutuel, les deux dirigeants s’engagent à travailler ensemble pour le bien-être et le progrès du pays, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère pour la nation sénégalaise.

Présidentielle : les résultats officiels confirment une large victoire de Bassirou Diomaye Faye au 1er tour

Les résultats officiels de l’élection présidentielle au Sénégal ont été proclamés, confirmant la victoire écrasante de Bassirou Diomaye Faye dès le premier tour, avec 54,28% des voix. Ces résultats ont été annoncés mercredi par le président de la Commission nationale de recensement des votes, Amady Diouf.

Bassirou Diomaye Faye a largement devancé les autres candidats, notamment Amadou Ba, candidat du pouvoir, qui a obtenu 35,79% des voix. La participation électorale s’est élevée à 61,30%, légèrement inférieure à celle de 2019 mais supérieure à celle de 2012.

Cette victoire marque un tournant historique, puisqu’il s’agirait de la première fois depuis l’indépendance du pays en 1960 qu’un opposant remporte la présidence dès le premier tour.

Malgré les craintes concernant la possibilité d’une investiture avant la fin officielle du mandat du président sortant Macky Sall, le transfert de pouvoir semble désormais réalisable dans les délais, sous réserve d’éventuels recours devant le Conseil constitutionnel.

La mission d’observation de l’Union africaine a salué la maturité démocratique du peuple sénégalais et le climat pacifique qui a entouré le déroulement de l’élection présidentielle.

4-Avril : Diomaye Faye maintient le plan de Macky Sall

La célébration de la fête de l’Indépendance du Sénégal, le 4 avril prochain, prend une tournure inattendue avec le maintien du plan initialement prévu par le président sortant, Macky Sall. Initialement prévue à la Place de l’Indépendance et devant être présidée par le président élu, Bassirou Diomaye Faye, la cérémonie de prise d’armes sera finalement organisée au Palais.

Cette décision marque une continuité avec les projets déjà établis par l’administration sortante, soulignant une transition en douceur entre les anciennes et les nouvelles autorités. Selon les informations fournies par Libération, ce changement de lieu a été décidé par les nouvelles autorités, affirmant ainsi leur respect pour les plans déjà en place.

Cette prise d’armes revêt une importance symbolique particulière, marquant l’anniversaire de l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale. Elle sera présidée par le nouveau chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye, qui entrera en fonction deux jours auparavant, le 2 avril.

Alternance : le GIGN assure désormais la sécurité de… Ousmane Sonko

Une transition sécuritaire majeure s’opère au Sénégal avec le changement de garde pour la sécurité des personnalités politiques clés. Les éléments de la garde rapprochée privée de Bassirou Diomaye Faye et d’Ousmane Sonko laissent place aux forces dédiées des forces de défense et de sécurité, avec le Groupement d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) prenant en charge la sécurité de ce dernier.

Cette transition témoigne du passage à une nouvelle ère, où la sécurité des dirigeants politiques est désormais assurée par l’État lui-même. Pour le président élu Bassirou Diomaye Faye, cette évolution est naturelle compte tenu de la charge suprême qu’il assume depuis son élection le 24 mars.

Concernant Ousmane Sonko, leader de Pastef, le choix du GIGN pour assurer sa sécurité pourrait surprendre étant donné qu’il n’occupe pas encore de fonction officielle connue. Cependant, selon des sources citées par le journal Source A, il est fort probable que Sonko joue un rôle dans le nouveau dispositif de sécurité en cours de mise en place.

Cette transition marque un tournant significatif dans le paysage sécuritaire sénégalais, soulignant l’importance accordée à la protection des personnalités politiques et le rôle accru des forces de défense et de sécurité dans ce domaine.

PASSATION DE TÉMOIN AVEC DIOMAYE FAYE : Macky Sall bouscule ses équipes 

 

Le président de la République, Macky Sall, prépare activement la transition du pouvoir en vue de l’installation de son successeur Bassirou Diomaye Faye, élu le 24 mars dernier. Hier, le chef de l’État sortant a demandé au Gouvernement de tout mettre à la disposition de son successeur.

Ce mercredi, lors du dernier Conseil ministériel avec son Gouvernement, Macky Sall a donné des instructions claires pour réunir tous les dossiers à l’attention dunouveau chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye. Cela inclut la préparation minutieuse des dossiers de passation de pouvoirs afin que l’installation se déroule dans les meilleures conditions possibles.

Macky Sall a ainsi demandé au Gouvernement, au Ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République et au Ministre, Secrétaire général du Gouvernement de faire prendre toutes les dispositions requises pour assurer, notamment, la préparation des dossiers de passation de pouvoirs.

Il est noté que le Chef de l’État sortant, Macky Sall, a exprimé à nouveau ses félicitations au candidat Bassirou Diomaye Diakhar Faye pour sa victoire dès le premier tour, faisant de lui le cinquième président de la République du Sénégal depuis son indépendance.

Macky Sall a exprimé sa satisfaction quant à la participation élevée des électeurs, tant nationaux qu’internationaux, ainsi qu’à la transparence du processus électoral, soulignant ainsi le respect continu de l’État de droit au Sénégal.

De plus, il s’est réjoui du bon déroulement de l’élection présidentielle du 24 mars 2024 et a félicité le Ministre de l’Intérieur, l’administration territoriale, l’administration électorale, la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) ainsi que les forces de défense et de sécurité pour leur travail remarquable qui a permis la conduite du scrutin dans le calme et la sérénité.

Macky Sall a également mentionné qu’il a rencontré les missions d’observateurs, au nombre de 2462, qui ont donné des retours positifs sur l’organisation du scrutin. Cela témoigne de la maturité et de la solidité démocratique du Sénégal, où, depuis l’an 2000, en 24 ans, trois alternances au pouvoir se sont déroulées dans la paix et la stabilité.

Le Chef de l’État a continué ses travaux avec son équipe en abordant la conclusion de la mission du Gouvernement et en exprimant sa satisfaction pour les réalisations accomplies dans le cadre du Plan Sénégal Émergent (PSE). Il a saisi cette occasion, représentant le dernier Conseil des Ministres de son mandat pour exprimer sa gratitude envers le peuple sénégalais pour la confiance accordée pendant douze ans à la plus haute fonction de la République.

Le président de la République a exprimé sa reconnaissance envers les pays amis, les partenaires techniques et financiers, ainsi que tous ceux qui l’ont soutenu depuis 2012 dans son engagement envers les Sénégalais. Il a également mis en avant les réalisations importantes du Plan Sénégal Émergent dans divers domaines, soulignant ainsi son impact positif sur la vie économique, sociale, culturelle et environnementale du pays, et son importance en tant qu’héritage pour les générations présentes et futures.

Le président de la République a également rendu hommage aux forces de défense et de sécurité, à l’administration sénégalaise, au secteur privé, aux leaders religieux et coutumiers, ainsi qu’aux jeunes, aux femmes et à toutes les forces actives du pays. Il a appelé à poursuivre les efforts pour construire un Sénégal pacifique, réconcilié, prospère et solidaire.

En outre, il a discuté de la célébration de la fête nationale du 4 avril, demandant au Ministre des Forces Armées de coordonner avec les acteurs institutionnels pour garantir une organisation adéquate des événements à travers le pays.

 

 

Le chef de l’État sortant a exprimé sa satisfaction quant au déroulement de l’élection et a remercié le peuple sénégalais ainsi que les partenaires internationaux pour leur soutien. De plus, il a souligné les réalisations du Plan Sénégal Émergent et a appelé à la continuité du travail pour un Sénégal prospère et solidaire. Enfin, il a abordé la célébration de la fête nationale du 4 avril, soulignant l’importance d’une organisation adéquate des événements à travers le pays.

[Infographies ] Résultats provisoires des départements

Gouvernement : Serigne Mbaye Thiam, détenteur du record de longévité

Serigne Mbaye Thiam, reconduit au sein du dernier gouvernement du régime de Macky Sall, détient désormais le record de longévité au sein de l’exécutif sénégalais. En tant que ministre de l’Eau et de l’Assainissement, et ancien chef du département de l’Éducation nationale, il a accumulé 12 ans de service, soit la durée correspondant aux deux mandats cumulés du Président sortant.

Cette remarquable longévité au sein du gouvernement souligne la confiance et l’estime que lui ont témoignées successivement deux administrations présidentielles. Serigne Mbaye Thiam a su faire preuve de compétence et de dévouement dans l’exercice de ses responsabilités, ce qui lui a valu cette continuité au sein du gouvernement.

Il rejoint ainsi un petit cercle de ministres ayant accompli une telle performance. Avant lui, des figures emblématiques telles que Robert Sagna, qui a occupé plusieurs fois des postes ministériels sous les présidences de Senghor et d’Abdou Diouf, ont marqué l’histoire politique du Sénégal par leur longévité au pouvoir.

Le maintien de Serigne Mbaye Thiam dans le gouvernement souligne également l’importance de l’expérience et de la stabilité au sein de l’appareil gouvernemental, surtout dans des postes clés tels que l’éducation et l’assainissement. Sa capacité à s’adapter aux défis en constante évolution et à apporter des solutions durables en font un pilier essentiel de l’administration publique sénégalaise.

Alors que le Sénégal entre dans une nouvelle ère politique avec l’élection d’un nouveau président, Serigne Mbaye Thiam incarne la continuité et la persévérance dans le service public. Son record de longévité témoigne de son engagement envers le développement et le progrès de son pays, et son expérience continue d’être un atout précieux pour le gouvernement et pour le peuple sénégalais.

COMMUNIQUE N° 0012-0324 : HOMMAGE AU PEUPLE SENEGALAIS ET FELICITATIONS AU NOUVEAU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

Faisant suite à l’élection du nouveau Président de la République, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) félicite le peuple sénégalais d’avoir encore une fois montré à la face du monde que le Sénégal est une grande Nation, que ses hommes et ses femmes le sont davantage, à travers leur maturité, leur tolérance, leur sens de l’acceptation de l’État de Droit et de la démocratie.

L’ADHA félicite le tout nouveau Président de la République, ainsi que l’ancien Président Monsieur Macky SALL pour avoir organisé les élections dans les meilleurs délais, avec une organisation matérielle satisfaisante dans l’ensemble.

L’ADHA félicite par ailleurs tous les autres candidats qui étaient en compétition et qui ont su reconnaitre la victoire de la coalition DIOMAYE PRÉSIDENT 2024 dès les premières heures suivant la clôture des opérations électorales.

L’ADHA invite ensuite toutes les forces vives de la nation à accompagner le nouveau Président de la République, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, pour une prise de fonction honorable.

Enfin, l’ADHA annonce qu’un mémorandum qui reprendra les points jugés essentiels ainsi que les possibles réformes qui s’imposent afin d’opérer une rupture, sera présenté à la future nouvelle équipe gouvernementale, en guise de contribution sur les attentes les plus cruciales du peuple Sénégalais.

Fait à Dakar, le 27 Mars 2024

Le Bureau exécutif de l’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA)

Le Président Bassirou Diomaye Faye et la Promesse du changement !

Dans un Sénégal vibrant d’espoir et de dynamisme, la promesse du changement s’incarne dans l’ascension politique du Président Bassirou Diomaye Faye. Sa récente élection est le reflet d’un peuple en quête d’équité et de justice, aspirant à remodeler le paysage politique et économique du pays.

Le Sénégal, avec son économie en croissance, fait face à des défis structurels significatifs. La répartition des richesses et des opportunités économiques reste un sujet de préoccupation, avec une tendance observée où les ressources nationales sont souvent gérées par une fraction de la population. Cette situation a contribué à un déficit public de 6,5% en 2022 et à une augmentation de la dette nationale à 75% du PIB. Ces indicateurs soulignent l’importance d’une gestion budgétaire plus équilibrée pour assurer un développement durable et inclusif pour tous les Sénégalais

La violence économique, résultat de cette disparité, est de plus en plus rejetée par les citoyens. Les urnes ont parlé, appelant à un changement radical face à un État budgétivore où moins de 200 000 fonctionnaires (171 634 agents en 2023 avec une masse salariale de 1 273 milliards) absorbent une part significative du budget national, laissant le secteur informel, qui représente 97% des entreprises, dans une précarité persistante.

L’élection du Président Bassirou Diomaye Faye marque un tournant dans l’histoire politique du Sénégal. Au-delà de la personne du nouveau président, elle traduit le désir ardent de la majorité des Sénégalais de mettre fin à des pratiques ancrées : le “took mouy dokh”, la captation des ressources par une minorité politique et sociale. Ces pratiques ont longtemps alimenté une économie de privilèges et d’exclusion.

La victoire du Président Faye, avec plus de 75% des voix concentrées sur les deux candidats de tête, révèle une volonté populaire de voir émerger un duel politique clair, signe d’une maturité démocratique grandissante. Cette physionomie des résultats appelle à une réorganisation du jeu politique, axée sur l’efficience et la rationalisation des ressources. Un contrôle rigoureux du financement politique et une structuration du pôle de l’opposition sont impératifs pour assurer une gouvernance transparente et responsable.

Le poids de la jeunesse sénégalaise, véritable bombe à retardement, ne peut être ignoré. Ces jeunes, qui ont majoritairement rejeté l’ancien régime, aspirent à une économie dynamique et inclusive. Il est crucial de favoriser l’adaptation des formations professionnelles aux besoins réels de l’économie et d’impulser un élan de consommation locale pour stimuler la production interne.

Enfin, la citoyenneté sénégalaise se trouve à un point d’inflexion. L’engouement des jeunes et leur expression populaire constituent une base solide pour construire un sentiment national fort. À partir de cette effervescence, il est possible de développer de nouveaux réflexes axés sur la propreté, le civisme et l’ordre, répondant ainsi aux besoins quotidiens des Sénégalais.

Alors que le Sénégal se tient à l’aube d’un renouveau, le mandat confié au Président Faye porte en lui le potentiel de transformer radicalement notre pays. Nous lui souhaitons de réussir à réconcilier les Sénégalais, et de relever les immenses défis qui se dressent sur son chemin.

Aboubakr Khalifa Kebe

khalifamakhtar@gmail.com

Le Dakarois Quotidien N°143 – du 28/03/24 : Résultats provisoires de la CDRV : Bassirou Diomaye faye confirmé avec 54,28%

Le Dakarois Quotidien N°143 – du 28/03/24
🔴 Résultats provisoires de la CDRV : Bassirou Diomaye faye confirmé avec 54,28%

Bassirou Diomaye Faye Élu Président : Réaction de l’Ambassade des États-Unis au Sénégal

L’ambassade des États-Unis au Sénégal a réagi à la victoire de Bassirou Diomaye Faye lors de l’élection présidentielle, exprimant sa volonté de collaborer avec le nouveau gouvernement sénégalais.

Sur X, l’ambassade a déclaré : « Nous sommes prêts à travailler avec le nouveau gouvernement du Sénégal », soulignant ainsi leur disposition à établir une relation de coopération avec l’administration dirigée par Bassirou Diomaye Faye.

Dans leur message, les États-Unis ont félicité le président élu Faye pour sa victoire électorale, tout en saluant la participation du peuple sénégalais à un processus électoral pacifique, transparent et inclusif. Cette reconnaissance de l’engagement démocratique du Sénégal souligne l’importance accordée par les États-Unis à la stabilité et à la démocratie en Afrique de l’Ouest.

En affirmant leur disponibilité à travailler avec le nouveau gouvernement sur des priorités communes, l’ambassade des États-Unis témoigne de son engagement envers le renforcement des relations bilatérales entre les deux pays. Cette coopération pourrait notamment concerner des domaines tels que la sécurité, le développement économique, la santé publique et d’autres enjeux régionaux et internationaux.

La réaction positive des États-Unis à la victoire de Bassirou Diomaye Faye souligne l’importance de la stabilité politique et de la bonne gouvernance pour les relations internationales. Alors que le Sénégal s’apprête à entamer un nouveau chapitre avec un président élu, cette volonté de collaboration internationale offre des perspectives encourageantes pour l’avenir du pays.

Abdoulaye Saydou Sow : « Nous Allons Continuer le Combat Politique dans l’Opposition… »

Abdoulaye Sow et ses partisans ont accepté leur défaite lors de l’élection présidentielle, mais affirment qu’ils poursuivront le combat politique dans l’opposition aux côtés de l’Alliance pour la République (APR). Cette réaction fait suite à la victoire de Bassirou Diomaye Faye dès le premier tour du scrutin.

Le ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique a exprimé son respect pour la démocratie sénégalaise et a salué le président sortant, Macky Sall. Il a également rendu hommage à tous les membres des comités électoraux qui ont travaillé ardemment. Abdoulaye Saydou Sow a félicité les partis alliés de Benno Bokk Yaakar et les responsables de la coalition Diomaye pour leur victoire.

Cependant, il a clairement affirmé que lui et ses partisans allaient continuer à jouer un rôle politique dans l’opposition. Il a tenu à saluer Sinna Amadou Gaye et Baye Cheikh Guèye, principaux responsables de la campagne victorieuse, tout en soulignant leur intention de continuer à défendre leurs idées politiques au sein de l’opposition.

De même, Abdoulaye Willane, repris par Dakarmatin, a également imputé la défaite de leur camp aux querelles internes au sein de Benno Bokk Yaakar. Il a affirmé sa loyauté envers le Parti socialiste (PS) et s’est dit prêt à collaborer avec les autres alliés de Benno pour poursuivre leur engagement politique.

Ces déclarations soulignent la détermination des perdants à rester actifs sur la scène politique et à continuer à défendre leurs idéaux dans le cadre de l’opposition. Alors que le Sénégal célèbre une transition pacifique du pouvoir, ces propos mettent en lumière la vitalité de la démocratie et la diversité des voix politiques dans le pays.

Présidentielle : L’équipe Municipale de Ndiaganiao Félicite le Nouveau Président

À Ndiaganiao, la population est empreinte de fierté suite à l’élection d’un de leurs concitoyens à la plus haute fonction de l’État. Dans un communiqué adressé à Seneweb, le maire, les conseillers municipaux ainsi que l’ensemble des habitants de la commune de Ndiaganiao expriment leur fierté de voir l’un des leurs accéder à la présidence de la République du Sénégal.

Le communiqué souligne que Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar Faye, élu président de la République du Sénégal le 24 mars 2024, est originaire du village de Ndiandiaye, situé dans la commune de Ndiaganiao. Cette élection est donc perçue comme un honneur pour toute la commune, qui se réjouit du parcours et de la réussite de l’un de ses fils.

Au nom de toute la communauté, le maire de Ndiaganiao adresse ses félicitations au nouveau président et lui souhaite plein succès dans sa nouvelle mission. Les habitants de la commune expriment leur volonté de soutenir Bassirou Diomaye Diakhar Faye dans ses nouvelles fonctions et l’assurent de leurs prières et de leur accompagnement tout au long de son mandat.

Cette déclaration témoigne de l’unité et de la solidarité au sein de la commune de Ndiaganiao, ainsi que de la reconnaissance de la communauté envers l’un de ses membres qui a atteint des sommets dans sa carrière politique. Alors que le nouveau président prend ses fonctions, il bénéficie du soutien et des encouragements de sa communauté d’origine, ce qui renforce le lien entre lui et les habitants de Ndiaganiao.

Déroulement du scrutin : Cheikh Thioro Mbacké Salue le Rôle du Ministre de l’Intérieur

Cheikh Thioro Mbacké a tenu à exprimer sa satisfaction à l’égard du ministre de l’Intérieur pour son rôle lors du récent scrutin présidentiel. En tant que coordonnateur de l’ex-Pastef à Touba, il a salué les efforts déployés par Mouhamadou Makhtar Cissé, soulignant qu’il a réussi le pari de l’organisation de ce scrutin crucial pour le pays.

Cette déclaration de satisfaction témoigne de la reconnaissance du travail accompli par le ministre de l’Intérieur dans la planification et la gestion du processus électoral. Mouhamadou Makhtar Cissé a su relever les défis logistiques et organisationnels pour assurer le bon déroulement du scrutin présidentiel, malgré les contraintes et les enjeux inhérents à une telle opération.

La réussite de ce scrutin est cruciale pour la démocratie sénégalaise, et le rôle du ministre de l’Intérieur dans son organisation revêt une importance capitale. En saluant son engagement et son efficacité, Cheikh Thioro Mbacké reconnaît l’importance d’une administration électorale compétente et professionnelle pour garantir des élections libres, justes et transparentes.

À travers cette déclaration, Cheikh Thioro Mbacké exprime également sa confiance dans les institutions chargées de l’organisation des élections et renforce l’unité autour du processus démocratique au Sénégal. Alors que le pays entre dans une nouvelle ère avec l’élection d’un nouveau président, il est essentiel de souligner le travail acharné des acteurs impliqués dans la conduite de ce processus électoral.

Sénégal : Les États-Unis Expriment Leur Volonté de Coopérer avec le Nouveau Gouvernement

Bassirou Diomaye Diakhar Faye est le nouveau président de la République du Sénégal, et depuis son élection le 24 mars dernier, les messages de félicitations affluent de partout. Parmi ceux-ci, les États-Unis se sont exprimés, affirmant leur volonté de travailler en collaboration avec le nouveau gouvernement sénégalais.

L’ambassade des États-Unis au Sénégal a félicité le président élu Faye pour sa victoire électorale et le peuple sénégalais pour sa participation à un processus électoral pacifique, transparent et inclusif. Dans un communiqué publié ce mercredi, l’ambassade a déclaré : « Nous sommes prêts à travailler avec le nouveau gouvernement du Sénégal sur nos priorités communes ».

De même, le bureau des Affaires africaines des États-Unis a exprimé ses félicitations au nouveau chef de l’État pour sa victoire électorale au Sénégal. Sur les réseaux sociaux, il a salué les millions de Sénégalais qui ont participé au processus électoral et a reconnu le rôle crucial de la commission électorale et du pouvoir judiciaire dans la préservation de la Constitution sénégalaise.

Ces messages de félicitations et d’engagement à coopérer soulignent l’importance des relations entre les États-Unis et le Sénégal, ainsi que leur désir commun de travailler ensemble sur des questions d’intérêt mutuel. Alors que Bassirou Diomaye Diakhar Faye entame son mandat présidentiel, ces déclarations témoignent de l’ouverture à la collaboration et au partenariat entre les deux pays.

«Acte de vandalisme» contre un bus de DDD : Suspension du Réseau de Transport dans la Banlieue

Dakar Dem Dikk (DDD) suspend temporairement ses services de transport dans la banlieue, suite à un incident survenu mercredi dernier. La direction de cette société de transport public a pris cette décision afin de limiter les dommages et d’identifier les responsables de l’attaque contre l’un de ses nouveaux bus.

Selon les explications fournies par la direction de DDD, le mercredi 27 mars 2024, l’un de leurs bus a été pris pour cible lors d’un incident impliquant des jeunes et la police à Pikine. Le véhicule a été attaqué, caillassé, puis incendié, dans ce qui est décrit comme un acte de vandalisme regrettable. La société de transport condamne fermement cet incident et appelle à la retenue de la part des populations.

Cet événement fait suite à des manifestations de jeunes Pikinois réclamant justice après le décès tragique de Seydina Mouhamed Diop, un homme de 33 ans. Les manifestants accusent la police d’être responsable de sa mort, affirmant qu’il aurait été battu à mort lors d’une altercation avec les forces de l’ordre.

Face à cette situation tendue, Dakar Dem Dikk a jugé nécessaire de suspendre temporairement ses activités dans la banlieue, en attendant que la situation se calme et que les responsabilités soient établies. Cette mesure vise à garantir la sécurité des passagers et du personnel de la société, tout en évitant tout nouvel incident.

En attendant des développements ultérieurs, la suspension du réseau de transport dans la banlieue souligne l’impact des tensions sociales sur les services publics essentiels, mettant en lumière la nécessité d’une résolution pacifique des conflits et d’un dialogue ouvert entre toutes les parties concernées.

Présidentielle 2024 : Serigne Mansour Sy Djamil Félicite Bassirou Diomaye Faye

Après la proclamation des résultats provisoires de l’élection présidentielle plaçant Bassirou Diomaye Faye à la tête du pays, le président du parti Bes du niakk, Serigne Mansour Sy Djamil, s’est joint à de nombreux acteurs politiques, religieux et de la société civile pour adresser ses chaleureuses félicitations au nouveau président de la République.

Dans une note adressée à Bassirou Diomaye Faye, Serigne Mansour Sy Djamil lui présente ses meilleurs vœux de succès dans l’exercice de ses nouvelles fonctions au service du peuple sénégalais. Il exprime sa confiance en Allah SWT, espérant que sa sagesse infinie l’aidera à diriger le pays avec bienveillance, compétence et intégrité.

Dans ce contexte crucial pour le Sénégal, le président de Bes du Nakk exprime son espoir sincère que le mandat de Bassirou Diomaye Faye soit marqué par la prospérité, le progrès social et la concorde nationale. Il réaffirme également son engagement pour la démocratie, la justice et le développement du pays.

Serigne Mansour Sy Djamil tient également à saluer le peuple sénégalais pour son comportement civique exemplaire tout au long du processus électoral. Cette démarche témoigne de l’importance de l’unité et de la coopération de tous les acteurs pour assurer un avenir meilleur pour le Sénégal.

En adressant ses félicitations à Bassirou Diomaye Faye, Serigne Mansour Sy Djamil marque ainsi son soutien au nouveau président tout en rappelant l’importance des valeurs démocratiques, de la justice et du développement pour l’avenir du pays.

Scandale Financier chez Orabank : Le Chef d’Agence accusé de vol de 400 Millions de F CFA

Après le récent scandale impliquant 6 milliards de francs CFA, Orabank se retrouve à nouveau au centre d’une affaire financière retentissante. Cette fois, selon les révélations de L’Observateur, un montant de 400 millions a été détourné du compte Wave au sein de l’établissement financier.

Selon les informations fournies, 11 suspects ont été appréhendés par la Division des investigations criminelles (DIC) et inculpés pour une série de délits, notamment l’association de malfaiteurs, le vol aggravé, l’intrusion frauduleuse dans un système bancaire, le faux et l’usage de faux en écritures privées de banque, ainsi que la complicité de ces mêmes chefs d’accusation.

L’enquête a été déclenchée suite à une plainte déposée par le directeur juridique et contentieux d’Orabank, Aliou Watt. Les investigations ont révélé que plusieurs membres du groupe de malfaiteurs étaient titulaires de comptes bancaires dans l’établissement, avec comme cerveau présumé le chef d’agence d’Orabank de Diamniadio, E. C. Dia.

Selon le mode opératoire détaillé par L’Obs, le chef d’agence aurait transféré les fonds volés dans 14 comptes différents afin d’éviter de soulever des suspicions chez les contrôleurs. Les clients de la banque étaient alors en mesure de retirer l’argent détourné. Par exemple, l’un des détenteurs de compte, P. D. Ka, aurait reçu un virement de 28 millions.

Lorsqu’il a été interrogé par son gestionnaire de compte sur l’origine de cette somme, le suspect a prétendu qu’elle provenait des États-Unis. Il aurait ensuite utilisé une partie de cet argent pour acheter un véhicule, avant de confier le reste à un ami, S. Keita, pour éviter les questions embarrassantes de son gestionnaire de compte. Ce dernier a été arrêté sur place par les autorités.

D’autres individus, tels que S. I. Sarr, A. Ciss, et G. O. A. Simba, également arrêtés, sont accusés d’avoir reçu des sommes allant de 7 à 27 millions.

Ce nouveau scandale financier secoue une fois de plus le secteur bancaire et soulève des questions sur la sécurité des fonds déposés dans les institutions financières. Il met également en lumière l’importance d’une surveillance accrue et de mécanismes de contrôle plus rigoureux pour prévenir de tels abus à l’avenir.

Affrontements violents à Pikine : Un bus incendié suite à des allégations de brutalité Policière

Des scènes de violence ont éclaté ce mercredi à Pikine, où des affrontements violents ont opposé des jeunes manifestants aux forces de l’ordre. Ces événements surviennent suite à des allégations selon lesquelles la police aurait battu à mort l’un des leurs.

La tension a atteint son paroxysme lorsque des individus en colère, accusant la brigade de Pikine d’être responsable de cette tragédie, ont pris pour cible un bus de la compagnie Dakar Dem Dikk, l’incendiant dans un geste de représailles.

Ces affrontements soulignent les profondes tensions et le mécontentement au sein de la population de Pikine, exacerbés par des allégations de brutalité policière et d’abus de pouvoir. Les manifestations et les émeutes qui en résultent mettent en lumière les préoccupations croissantes concernant le respect des droits de l’homme et la justice sociale dans la région.

La situation demeure volatile et évolutive, avec des informations supplémentaires attendues dans les heures à venir. Il est crucial que les autorités locales et nationales agissent avec diligence pour apaiser les tensions et rechercher une solution pacifique à cette crise.

Les événements à Pikine rappellent l’importance cruciale d’une réforme policière et d’un dialogue ouvert entre les autorités et la population pour répondre aux préoccupations légitimes et restaurer la confiance dans les institutions publiques.

Message de Mohammed VI à Bassirou Diomaye Faye : Renforcement des Liens entre le Maroc et le Sénégal

Le roi Mohammed VI du Maroc a formulé un message chaleureux de félicitations au président élu, Bassirou Diomaye Faye, exprimant sa détermination à renforcer le partenariat stratégique entre les deux nations.

Dans ce message transmis mardi, le souverain marocain a souligné son engagement envers la diversification et le renforcement du partenariat stratégique existant, visant à servir les jeunes générations des deux pays et à promouvoir une Afrique unie et prospère. L’Agence Marocaine de Presse (MAP) a relayé ces propositions, rapportées par l’Agence de Presse Sénégalaise (APS).

« Le peuple sénégalais vous a confié le soin de présider aux destinées de votre Nation en vous élisant, dès le premier tour, à la présidence de la République du Sénégal. Je vous félicite et vous adressez mes vœux les meilleurs de plein succès dans l’exercice de vos hautes fonctions », a déclaré le roi Mohammed VI dans son message.

Le souverain a également mis en avant les valeurs communes partagées par les peuples marocain et sénégalais, basées sur une tradition culturelle et spirituelle solide qui a toujours été au cœur des relations bilatérales.

« Le lien privilégié qui unit le Maroc et le Sénégal est un héritage précieux que nos deux pays ont toujours su honorer. Vous pouvez compter sur la fidèle disposition du Roya

Alerte ! 48 Sénégalais, dont 6 femmes, enfermés dans une maison au Maroc : Appel à l’aide lancé

Une nouvelle situation urgente s’ajoute aux défis du président nouvellement élu, Bassirou Diomaye Faye. L’ONG Horizon sans frontières (HSF) a sonné l’alarme sur le sort précaire des Sénégalais en détresse au Maroc.

Dans un appel pressant prévu aux autorités sénégalaises, le président de l’organisation, Boubacar Sèye, a informé que ces compatriotes sont au nombre de 48, parmi lesquels figurent 6 femmes.

« Ils sont tous enfermés dans une maison à 300 km de la capitale marocaine », précise la déclaration du spécialiste des questions migratoires, rapportée par Vox Populi.

La note continue : « D’après notre interlocuteur, qui a eu au téléphone l’un d’entre eux, ils seraient très fatigués et très mal nourris depuis des jours. Ils souhaitent que tous soient rapatriés ».

Cette situation critique nécessite une action rapide et coordonnée des autorités sénégalaises pour assurer la sécurité et le bien-être de ces concitoyens en détresse. Leur rapatriement et leur prise en charge doivent être une priorité absolue.

Il est également essentiel que la communauté internationale soit sensibilisée à cette situation et apporte son soutien pour garantir un dénouement rapide et à cette crise humanitaire.

Le président Bassirou Diomaye Faye et son gouvernement sont appelés à agir promptement pour venir en aide à ces Sénégalais en détresse au Maroc et à prendre les mesures nécessaires pour prévenir de telles situations à l’avenir.

Communiqué du Conseil des ministres du 27 Mars 2024

COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 27 MARS 2024
Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 27 mars 2024 au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Macky SALL.
A l’entame de sa communication, le Président de la République a salué le bon déroulement de l’élection présidentielle du 24 mars 2024, en félicitant le Ministre de l’Intérieur, l’administration territoriale, l’administration électorale, la CENA, ainsi que les forces de défense et de sécurité dont l’engagement et le travail de qualité ont permis la tenue du scrutin dans le calme et la sérénité.
Le Chef de l’Etat s’est aussi félicité de la forte mobilisation des électeurs sur l’étendue du territoire national et à l’étranger, ainsi que de la transparence du scrutin qui confirment que le Sénégal demeure un Etat de droit.
Le Président de la République est aussi revenu sur l’audience qu’il a accordée aux missions d’observateurs, au nombre de 2462, et qui ont porté une appréciation positive sur l’organisation du scrutin, confirmant ainsi la maturité et l’ancrage républicain de la démocratie sénégalaise, qui va connaître, depuis 2000, en 24 ans, trois (3) alternances au pouvoir qui se sont déroulées dans la paix et la stabilité.
Le Chef de l’Etat a également réitéré ses félicitations au candidat Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, élu au premier tour Président de la République du Sénégal, le 5ème du Sénégal indépendant.
En vue de l’installation dans les meilleures conditions du nouveau Président de la République élu, le Chef de l’Etat a demandé au Gouvernement, au Ministre, Secrétaire général de la Présidence de
la République et au Ministre, Secrétaire général du Gouvernement de faire prendre toutes les dispositions requises pour assurer, notamment, la préparation des dossiers de passation de pouvoirs.
Poursuivant sa communication sur la fin de mission du Gouvernement et sa satisfaction du travail accompli avec la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent, le Chef de l’Etat a saisi l’occasion de ce dernier Conseil des Ministres de son magistère, pour remercier le peuple sénégalais qui lui a fait confiance durant douze années, à la plus haute fonction de la République.
Le Président de la République a, en outre, remercié et félicité les pays amis, les partenaires techniques et financiers, l’ensemble des Gouvernements, son Cabinet, le Secrétariat général de la Présidence de la République et toutes les personnes civiles et militaires qui l’ont accompagné, depuis 2012, dans son action au quotidien au service des sénégalaises et des sénégalais.
Le Chef de l’Etat a rappelé sa satisfaction quant au bilan remarquable de la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent (PSE) avec des réalisations fondamentales dans tous les secteurs de la vie économique, sociale, culturelle et environnementale. Ce qui constitue un legs notable aux générations actuelles et futures.
Le Président de la République a, enfin, rendu un vibrant hommage aux forces de défense et de sécurité, à l’administration sénégalaise dans toutes ses composantes, au secteur privé, aux notabilités religieuses et coutumières, aux jeunes, aux femmes et à toutes les forces vives de la Nation qui doivent continuer à travailler ensemble pour un Sénégal apaisé, réconcilié, résilient, prospère et solidaire.
Revenant sur la célébration de la Pâques, le Chef de l’Etat a adressé ses chaleureuses félicitations et sa solidarité à la communauté chrétienne, à l’occasion de la Semaine sainte, et de la célébration de la Pâques.
Sur le climat social, le suivi et la gestion des affaires intérieures, le Président de la République a évoqué la célébration de la fête nationale du 4 avril, en demandant au Ministre des Forces armées,
de prendre toutes les dispositions avec les acteurs institutionnels concernés, pour la bonne organisation de la levée des couleurs au palais de la République et les célébrations sur l’étendue du territoire national.
Dans sa communication, le Premier Ministre a rendu un hommage appuyé et formulé ses remerciements sincères à l’endroit du Chef de l’Etat et à l’ensemble des membres du gouvernement qui, avec loyauté, force et détermination, se sont évertués, sans relâche, à la mise en œuvre des orientations du Président de la République.
Le Premier Ministre est aussi revenu sur le bilan élogieux du Chef de l’Etat à la tête du Sénégal, fait de progrès incontestables et de réalisations majeures au grand bénéfice des populations.

AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES
• le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur la situation internationale et le bilan de l’action diplomatique du Président de la République ces douze dernières années ;
• le Ministre de l’Agriculture, de l’Equipement rural et de la Souveraineté alimentaire a fait une communication sur le suivi de la campagne de commercialisation de l’arachide 2023/2024, la campagne de contre saison froide 2023/2024, les exportations de produits horticoles et le matériel agricole.

AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES
Le Conseil a examiné et adopté :
• le projet de décret fixant les règles d’organisation et de fonctionnement de l’Office des forages ruraux (OFOR) ;
• le projet de décret portant composition et fonctionnement du Conseil consultatif des Arts, des Lettres et de la Culture ;
• le projet de décret portant dénomination du Lycée scientifique d’excellence de Diourbel, « Lycée scientifique d’excellence Abdoul Aziz Wane de Diourbel »;
• le projet de décret portant dénomination du Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité (LINEQ) de Sédhiou « Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité Moctar Kébé de Sédhiou » ;
• le projet de décret portant dénomination du Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité (LINEQ) de Kaffrine « Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité Momar Talla Cissé de Kaffrine » ;
• le projet de décret portant dénomination du Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité (LINEQ) de Ndioum « Lycée d’intégration nationale pour l’équité et la qualité Ibra Mamadou Wone de Ndioum » ;
• le projet de décret portant dénomination du Lycée de Coki « Lycée Sacoki Ndiaye de Coki » ;
• le projet de décret portant dénomination du Lycée d’enseignement général de Kolda sis au quartier Bouna Kane à Kolda « Lycée Alassane Oumar Baldé de Kolda ».

Bassirou Diomaye Faye remporte l’élection Présidentielle dès le Premier Tour avec 54,28% des voix

Les résultats provisoires de l’élection présidentielle du 24 mars 2024 ont été annoncés par la Commission nationale de recensement des votes, confirmant la victoire de Bassirou Diomaye Faye dès le premier tour avec une solide majorité.

Selon les chiffres communiqués par la commission, Bassirou Diomaye Faye a remporté un total de 2 434 751 voix, représentant une impressionnante proportion de 54,28% des voix exprimées. Cette performance électorale remarquable consacre la popularité et le soutien dont bénéficie le nouveau président élu parmi les électeurs sénégalais.

Ces résultats viennent consolider la position de Bassirou Diomaye Faye en tant que leader politique émergent, prêt à prendre les rênes du pays pour répondre aux défis et aux aspirations de la population sénégalaise. Sa victoire dès le premier tour témoigne de la confiance accordée par les citoyens en sa capacité à diriger le pays vers un avenir meilleur.

Cette élection marque un moment historique pour le Sénégal, avec l’élection d’un nouveau président qui devra faire face à une multitude de défis, allant de la gestion de l’économie à la promotion de la justice sociale et de la stabilité politique. Les attentes sont élevées, mais Bassirou Diomaye Faye semble avoir reçu un mandat fort et clair de la part du peuple sénégalais.

Alors que le pays se prépare à une nouvelle ère sous la présidence de Bassirou Diomaye Faye, il est crucial que tous les acteurs politiques et la société civile s’unissent pour soutenir les efforts visant à promouvoir le progrès et le développement dans le respect des valeurs démocratiques et des droits fondamentaux.

En conclusion, la victoire écrasante de Bassirou Diomaye Faye au premier tour de l’élection présidentielle de 2024 témoigne de sa popularité et de sa légitimité en tant que nouveau leader du Sénégal. Les défis à relever sont nombreux, mais avec le soutien du peuple, il est prêt à guider le pays vers un avenir meilleur et plus prometteur.

Une Photo de 2016 Capturant l’Ascension de Bassirou Diomaye Faye vers la Présidence : Réflexions sur le Parcours Politique

Une photo datant de 2016, récemment ressurgie sur les réseaux sociaux, offre une perspective fascinante sur les parcours politiques des personnalités sénégalaises qui y figurent. Parmi elles, Bassirou Diomaye Faye, aujourd’hui élu président de la République, est au centre de l’attention, entouré d’Ousmane Sonko, Birame Souleye Diop, Djiby Ndiaye et de l’archevêque de Dakar.

Cette image, empreinte de sourires et de camaraderie, semble capturer un moment de détente et de complicité entre ces figures politiques. Les visages radieux témoignent d’une ambiance chaleureuse, où les échanges et les rires ont probablement animé la séance photo.

Cependant, le destin a réservé à chacun de ces hommes des trajectoires politiques remarquables depuis lors. Huit années se sont écoulées depuis cette capture, et Bassirou Diomaye Faye, autrefois simplement présent sur cette photo, est aujourd’hui investi de la plus haute fonction de l’État sénégalais.

Cette évolution, de la simple présence sur une photo à la présidence de la République, souligne la nature imprévisible et dynamique de la vie politique. Elle témoigne également des opportunités et des défis que peut offrir l’engagement politique dans un pays démocratique comme le Sénégal.

La signification de cette photo s’en trouve magnifiée par le contexte actuel, alors que Bassirou Diomaye Faye s’apprête à prendre les rênes du pays. Elle symbolise non seulement son parcours personnel, mais aussi les transformations profondes qui surviennent dans la vie politique sénégalaise.

À travers cette image, on peut contempler l’évolution des destins individuels, mais aussi méditer sur les implications plus larges de l’engagement politique. Elle rappelle que dans le domaine de la politique, chaque instant peut être un tournant décisif, et que chaque individu peut jouer un rôle crucial dans la direction prise par son pays.

Ainsi, cette photo devient un témoignage vivant de l’histoire politique du Sénégal et une invitation à réfléchir sur le chemin parcouru et celui qui reste à parcourir.

Impôts et Douanes : Une Collaboration Exemplaire pour une Fiscalité Renforcée

Le 22 mars 2024, une étape cruciale a été franchie dans le renforcement de la coopération entre la Direction générale des Douanes (DGD) et la Direction générale des Impôts et des Domaines (DGID) du Sénégal. Cette journée a été marquée par la visite du Dr Mbaye Ndiaye, Directeur général des Douanes, à la DGID, où il a rencontré Abdoulaye Diagne, Directeur général des Impôts et des Domaines. Cette rencontre a été l’occasion de célébrer les liens solides entre les deux administrations et de consolider leur partenariat à travers la signature d’un Protocole d’accord sur les échanges automatisés de données.

Dans un contexte de transition fiscale vers une fiscalité intérieure, cette collaboration revêt une importance capitale. Elle se caractérise par des avancées significatives en matière de transmission des données et de contrôle conjoint, facilitées par la plateforme d’interconnexion DGD-DGID, communément appelée « banque de données fiscales ». Cette plateforme numérique novatrice compile les données des Douanes sur les importations et exportations, ainsi que les informations financières et comptables de la DGID sur ses contribuables.

Depuis sa création en 2011, la Brigade mixte de Contrôle Impôts et Douanes (BMCID) joue un rôle crucial dans le contrôle du respect des régimes fiscaux et douaniers, ainsi que dans l’examen de l’utilisation des acquisitions exonérées. La BMCID renforce le dispositif institutionnel de collaboration entre la DGD et la DGID, contribuant activement au Comité de suivi hebdomadaire des recettes du Ministère de l’Économie, des Finances et du Plan.

La mutualisation des procédures dans la lutte contre la fraude renforce l’efficacité des administrations fiscale et douanière. Le Prélèvement de Conformité fiscale (PCF) permet à la DGID de régulariser les personnes ne respectant pas leurs obligations déclaratives et de paiement.

Dans un environnement complexe marqué par l’interdépendance croissante et la découverte de ressources gazières et pétrolières, le renforcement de la collaboration entre la DGID et la DGD est une nécessité. Les actions envisagées incluent l’automatisation de l’échange des données, l’extension des missions de la BMCID à des secteurs stratégiques et le renforcement des capacités des agents de la BMCID.

Ce rapprochement s’inscrit dans le thème de l’Organisation Mondiale des Douanes (OMD) pour l’année 2024 : « pour une Douane mobilisant ses partenaires historiques et nouveaux autour d’objectifs clairs ».

Violences à Pikine : Affrontements entre Jeunes et Police, un Bus Incendié

La ville de Pikine, au Sénégal, a été le théâtre de violents affrontements ce mercredi entre des jeunes manifestants et les forces de l’ordre. Les troubles ont éclaté suite à des allégations selon lesquelles la police aurait battu à mort l’un des leurs, suscitant la colère et l’indignation parmi les habitants.

Les tensions ont rapidement escaladé, culminant avec l’incendie d’un bus appartenant à la compagnie Dakar Dem Dikk. Ces actes de violence ont été perpétrés par des individus en colère, accusant la brigade de police de Pikine d’être responsable de la tragédie qui aurait coûté la vie à l’un des leurs.

Ces affrontements ont plongé la ville dans un climat de chaos et d’instabilité, mettant en danger la sécurité des résidents et perturbant la vie quotidienne. Les autorités locales ont été mobilisées pour tenter de ramener le calme et restaurer l’ordre dans la région.

Cependant, cet incident souligne les tensions persistantes entre la population et les forces de l’ordre, ainsi que les frustrations profondes qui existent au sein de la communauté. Les citoyens exigent des réponses et des actions de la part des autorités pour garantir la justice et prévenir de nouveaux incidents de ce genre à l’avenir.

Dans ce contexte tendu, il est impératif que toutes les parties prenantes s’engagent dans un dialogue constructif pour résoudre les problèmes sous-jacents et promouvoir la paix et la stabilité dans la région. La violence et les actes de destruction ne feront qu’aggraver les tensions et prolonger les souffrances des communautés affectées.

Alors que les autorités enquêtent sur les circonstances exactes de l’incident qui a déclenché ces troubles, il est crucial de prendre des mesures concrètes pour restaurer la confiance entre la population et les forces de l’ordre, tout en garantissant le respect des droits fondamentaux de tous les citoyens.

Macky Sall Préside son Dernier Conseil des Ministres : Un Chapitre se Clôt, une Transition s’Amorce

Le Palais présidentiel du Sénégal a été le théâtre d’une scène empreinte d’émotion ce mercredi alors que le président sortant, Macky Sall, a présidé son ultime Conseil des ministres, marquant ainsi la fin de son mandat en tant que Chef d’État. Cette réunion symbolique a été l’occasion pour le président sortant de clore un chapitre important de son parcours politique, débuté en 2012, et de préparer le terrain pour une transition démocratique vers une nouvelle ère gouvernementale.

Les images capturées lors de cet événement ont captivé l’attention du public, illustrant les derniers moments de Macky Sall à la tête du gouvernement sénégalais. Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, Mankeur Ndiaye, a pris la parole pour immortaliser ces instants chargés de significations. Dans ses propos, il a exprimé ses félicitations au président élu, Diomaye Faye, pour sa victoire et lui a transmis ses meilleurs vœux pour son mandat à venir.

Pour Macky Sall, cette réunion représente bien plus qu’une simple formalité administrative. C’est la fin d’une période de leadership qui a façonné le paysage politique du Sénégal pendant près d’une décennie. Ses réalisations et ses défis, son héritage politique et son impact sur le développement du pays seront désormais scrutés avec attention par les observateurs politiques et les citoyens.

Cependant, la transition vers une nouvelle présidence ne signifie pas la fin de l’engagement politique pour Macky Sall. En effet, il a récemment été désigné envoyé spécial du Pacte de Paris pour les peuples et la Planète (4P) par le président français Emmanuel Macron, une nomination qui entrera en vigueur dès la fin de son mandat présidentiel. Ce nouvel engagement souligne la reconnaissance internationale de son leadership et de son expertise dans les questions de développement durable.

Alors que Macky Sall s’apprête à passer le flambeau, une période d’incertitude et d’optimisme s’ouvre pour le Sénégal. Les attentes sont grandes pour le nouveau gouvernement dirigé par Diomaye Faye, mais également pour la société sénégalaise dans son ensemble. La stabilité politique, la bonne gouvernance et la réalisation des aspirations du peuple seront des éléments clés dans la consolidation des progrès réalisés sous la présidence de Macky Sall et dans la poursuite du développement du pays.

le dernier Conseil des ministres présidé par Macky Sall marque la fin d’une ère politique importante pour le Sénégal, mais aussi le début d’une nouvelle phase de son histoire. Les défis et les opportunités qui attendent le pays dans les années à venir dépendront en grande partie de la manière dont les nouveaux leaders sauront s’engager avec leur population et répondre à leurs besoins.

Tensions Politiques : Accusations et Révélations sur la scène politique

Les récentes élections au Sénégal ont déclenché une vague de tensions politiques, exacerbées par des accusations et des révélations qui font les gros titres. Sur le plateau de IGFM, un échange houleux entre Oumar Sow, ministre conseiller, et Adama Fall a captivé l’attention du public, mettant en lumière les rivalités et les conflits qui persistent au sein de la sphère politique sénégalaise.

Oumar Sow a ouvertement accusé le Président Macky Sall d’avoir orchestré la défaite du candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar, Amadou Ba, et la victoire de Bassirou Diomaye Faye. Il a prétendu que Macky Sall aurait mené des manœuvres souterraines pour favoriser ce résultat, allant même jusqu’à suggérer des rencontres secrètes entre le président et Ousmane Sonko juste avant le scrutin. De plus, il a affirmé que Macky Sall aurait influencé Karim Wade à soutenir la candidature de Bassirou Diomaye Faye, orchestrant même une séance photo symbolique entre ce dernier et Abdoulaye Wade dans un dessein politique.

Face à ces accusations, Adama Fall n’a pas mâché ses mots. Il a révélé le passé commercial de Oumar Sow au Gabon, soulignant ses activités de vente de prêt-à-porter avant d’être rappelé par le Président Macky Sall pour occuper des fonctions politiques importantes. Cette contre-attaque a mis en lumière les liens étroits entre Oumar Sow et le président, suggérant que ses accusations pourraient être motivées par des intérêts personnels ou politiques.

Cet échange public vif reflète les tensions palpables qui règnent au sein de la scène politique sénégalaise, où les rivalités et les conflits sont monnaie courante. Alors que le pays cherche à naviguer à travers ces eaux troubles, il est impératif pour les acteurs politiques de maintenir un dialogue ouvert et constructif pour préserver la stabilité et l’unité nationale.

Cependant, ces échanges ne doivent pas occulter les défis réels auxquels le Sénégal est confronté. Les citoyens s’attendent à ce que leurs dirigeants se concentrent sur les problèmes concrets auxquels ils sont confrontés au quotidien, tels que la lutte contre la pauvreté, la création d’emplois et l’amélioration des services publics. Dans cette optique, il est crucial que la classe politique sénégalaise mette de côté les querelles partisanes et travaille ensemble pour le bien-être de tous les citoyens.

Relance des Bateaux-Taxis au Sénégal : Un Défi Colossal pour le Nouveau Président

Le nouveau président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, a récemment annoncé son intention de relancer un projet de transport maritime qui avait été abandonné par son prédécesseur, Me Abdoulaye Wade. Ce projet, connu sous le nom de bateaux-taxis, visait à offrir une alternative aux embouteillages chroniques de Dakar en utilisant la mer comme voie de transport. Cependant, cette initiative avait précédemment échoué, engloutissant des fonds considérables sans produire de résultats tangibles.

Initialement lancé sous le mandat de Me Abdoulaye Wade, le projet des bateaux-taxis avait rencontré des obstacles majeurs dès le début. Malgré l’achat de plusieurs bateaux, ceux-ci n’avaient jamais été mis en service, laissant planer des doutes quant à la gestion des fonds publics et à la viabilité du projet.

Maintenant, avec Bassirou Diomaye Faye à la tête du pays, l’initiative de relancer les bateaux-taxis est à nouveau sur la table. Cependant, les défis auxquels est confronté ce projet semblent considérables. Non seulement il y a des questions financières, étant donné que des milliards de francs ont déjà été dépensés sans résultat, mais il y a aussi des préoccupations logistiques importantes.

Le projet de relance des bateaux-taxis s’avère être un défi de taille, surtout si l’on considère les ressources nécessaires pour sa mise en œuvre. À titre de comparaison, le TER reliant Dakar à Diamniadio a nécessité cinq ans de travaux et a coûté 1,2 milliard d’euros, soit environ 787 milliards de francs CFA. Ces chiffres soulignent l’ampleur des investissements nécessaires pour un projet d’infrastructure de transport d’une telle envergure.

Dans ses prochaines interactions avec la presse et le public, Bassirou Diomaye Faye devra fournir des détails concrets sur la manière dont il compte surmonter les défis qui se posent. Des explications sur la planification, le financement et la gestion du projet seront essentielles pour restaurer la confiance du peuple sénégalais dans cette initiative et pour garantir son succès potentiel.

Alors que Bassirou Diomaye Faye s’engage à relever ce défi, il est clair que la relance des bateaux-taxis au Sénégal représente un enjeu crucial pour l’avenir du transport dans la région de Dakar, où les embouteillages et le surpeuplement sont des problèmes persistants. Seul l’avenir dira si cette initiative pourra finalement prendre son envol ou si elle restera une idée ambitieuse mais irréalisée.

Souleymane Jules Diop défend le nouveau président Bassirou Diomaye Diakhar Faye contre les critiques

Après la première apparition publique du président Bassirou Diomaye Diakhar Faye, bon nombre de Sénégalais ont exprimé des critiques concernant divers aspects de sa performance. Certains ont remis en question son style vestimentaire, tandis que d’autres ont souligné des répétitions et des hésitations dans son discours. Cependant, une voix s’est élevée pour défendre le président fraîchement élu, et cette voix appartient à Souleymane Jules Diop, ambassadeur et délégué permanent du Sénégal à l’UNESCO.

Sur sa page Facebook, Souleymane Jules Diop a exprimé son indignation face aux premières critiques dirigées contre le nouveau chef de l’État avant même son investiture officielle. Il a souligné que le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye avait été élu démocratiquement et largement par le peuple sénégalais, et qu’il mérite donc respect et soutien, quels que soient les choix individuels des électeurs.

Souleymane Jules Diop reconnaît que le président nouvellement élu peut avoir des lacunes, mais il insiste sur le fait que ces lacunes sont surmontables et que le président aura l’opportunité d’apprendre et de s’améliorer avec le temps. Il souligne également l’importance cruciale des conseillers, des ministres et de l’administration dans la prise de décision du président, tout en rappelant que personne n’est parfait et que des défauts subsisteront toujours.

En conclusion, Souleymane Jules Diop appelle à un soutien inconditionnel envers le nouveau président et à une attitude constructive vis-à-vis de ses actions et de ses décisions à venir. Il encourage la nation sénégalaise à se rassembler pour aider le président à exprimer au mieux ses qualités d’humilité et d’empathie, tout en travaillant ensemble pour surmonter les défis à venir.

La Cour d’appel de Dakar dévoilera les résultats provisoires de l’élection présidentielle 2024 à 17h

La nation sénégalaise retient son souffle alors que la Cour d’appel de Dakar s’apprête à révéler les résultats provisoires de l’élection présidentielle de 2024 aujourd’hui à 17h. Sous la présidence du Premier Président de la Cour, Amady Diouf, la Commission nationale de recensement des votes tiendra une session cruciale au tribunal de Dakar pour annoncer ces résultats tant attendus.

Le peuple sénégalais a participé massivement au scrutin présidentiel qui s’est tenu le dimanche 24 mars dernier, exprimant ainsi son engagement démocratique. Cette annonce des résultats provisoires marque une étape essentielle dans le processus électoral, précédant la proclamation officielle des résultats définitifs.

L’attention du pays est désormais tournée vers le tribunal de Dakar, où les regards sont rivés sur la Cour d’appel pour obtenir des indications cruciales sur l’avenir politique du Sénégal. Les résultats provisoires dévoilés aujourd’hui donneront le ton aux débats et aux spéculations qui animeront la scène politique dans les jours à venir.

Restez connectés pour les dernières mises à jour alors que le Sénégal attend avec impatience cette annonce historique qui façonnera le paysage politique pour les années à venir.

La Place de Sonko dans la Présidence de Diomaye : La Réponse d’Elimane Kane

Elimane Kane, président de l’ONG Legs Africa, a émis son point de vue sur la potentielle place d’Ousmane Sonko dans la présidence de Bassirou Diomaye Faye, soulignant qu’elle devrait être celle d’un conseiller, voire d’un membre du gouvernement si tel est son souhait.

Lors d’une intervention mardi sur RFM Matin, M. Kane a mis en avant le fait que bien que Sonko, en tant que leader politique, ait certainement eu une influence sur l’élection de Bassirou Diomaye Faye, c’est ce dernier qui détient désormais le pouvoir présidentiel et qui est responsable de la direction politique du pays.

Il a souligné le principe fondamental selon lequel, dans une République, le président est celui qui a le pouvoir de décider et de diriger la nation, tandis que Sonko ne peut être qu’un conseiller ou un membre du gouvernement. Kane a également insisté sur le fait que le fauteuil présidentiel n’est pas sujet à être partagé, et que les comptes à rendre sont ceux du président élu, en l’occurrence, Diomaye Faye.

En ce qui concerne une éventuelle recherche d’un deuxième mandat sans nécessairement contrôler le parti, Kane a souligné l’importance pour Diomaye Faye de comprendre qu’il a été élu par l’ensemble de l’électorat, pas seulement par les membres de son parti. Il a ainsi suggéré que le président élu doit être conscient de son mandat représentatif et de la nécessité de répondre aux attentes de l’ensemble de la population sénégalaise.

Thiès-Département : Bassirou Diomaye Faye devance Amadou Bâ de 93 852 Voix

Les résultats définitifs du dépouillement des votes dans le département de Thiès ont été annoncés à l’issue des travaux de la commission départementale de recensement, achevés tard dans la soirée du mardi 26 au mercredi 27 mars.

Selon les chiffres officiels, le département de Thiès compte un total de 395 942 électeurs inscrits. Sur ce nombre, 255 768 ont participé au vote, soit un taux de participation estimé à 64,60%. Parmi eux, 5 968 ont voté en dehors des bureaux de vote. Le nombre de bulletins nuls s’élève à 1 479, laissant ainsi 254 289 suffrages valablement exprimés.

Ces résultats placent en tête le candidat Bassirou Diomaye Diakhar Faye, qui a recueilli 152 047 voix, représentant 59,79% des suffrages exprimés. Il est suivi par l’ancien Premier ministre et candidat de la mouvance présidentielle, Amadou Bâ, avec 58 195 voix, soit 22,88%.

Idrissa Seck, président du parti Rewmi, occupe la troisième position avec 17 527 voix, soit 6,89%. Quant au candidat du PUR, Aliou Mamadou Dia, il a obtenu 12 020 voix, représentant 4,72% des suffrages exprimés.

Thierno Alassane Sall, leader de La République des Valeurs (RV), arrive en cinquième position avec 3 088 voix.

L’écart entre Bassirou Diomaye Faye et Amadou Bâ est significatif, avec une avance de 93 852 voix en faveur de Bassirou Diomaye Faye. Ces résultats marquent une étape importante dans la course à la présidence, reflétant les choix des électeurs dans ce département clé.

Célébration de la Fête de l’Indépendance : Bassirou Diomaye Faye Présidera la Prise d’Armes

Cette année, le traditionnel défilé militaire sur le boulevard du Centenaire ne sera pas au programme. Pour sa dernière célébration de la fête de l’indépendance en tant que président de la République, Macky Sall avait déjà opté pour la sobriété, suite au report projeté de l’élection présidentielle.

Selon les informations divulguées par Libération, la prise d’armes prévue à la Place de l’Indépendance le 4 avril prochain sera présidée par le successeur désigné de Macky Sall, Bassirou Diomaye Faye, élu lors du scrutin présidentiel du 24 mars dernier.

Cette cérémonie marquera ainsi la première apparition officielle de Bassirou Diomaye Faye en qualité de chef suprême des armées, puisqu’il entrera en fonction le 2 avril, deux jours avant l’événement.

Ce passage de témoin symbolique signifie le début d’un nouveau chapitre pour le pays, alors que Bassirou Diomaye Faye prend les rênes du pouvoir présidentiel. Les regards du pays seront tournés vers la Place de l’Indépendance pour cette occasion mémorable.

Le Dakarois Quotidien N°142 – du 27/03/24 : Scène d’horreur politique : Macky Sall critiqué par ses propres alliés

Le Dakarois Quotidien N°142 – du 27/03/24
🔴 Scène d’Horreur Politique : Macky Sall Critiqué Par Ses Propres Alliés

Risques de famine au Sénégal : Le CILLS sonne l’alerte

Le Sénégal est confronté à une situation alarmante d’insécurité alimentaire avec plus de deux. Ent soixante-dix mille (270 000) personnes actuellement en phase de crise alimentaire dans plusieurs surtout localisées dans plusieurs localités dont Pikine, Dakar, Mbacké, Guiguinéo, Kédougou, Linguère et Goudiry, selon les conclusions de la concertation régionale sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel.

Le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) alerte sur la possibilité d’une période de soudure difficile pour les populations avec environ quarante-quatre (44) millions de personnes susceptibles de se retrouver en situation d’insécurité alimentaire et nutritionnelle.

Cette crise est exacerbée par des sanctions et des mesures de restriction de l’exportation des produits alimentaires, entraînant des perturbations dans la chaîne d’approvisionnement et des hausses des prix des produits de base.

Le CILSS prévoit une augmentation des populations vulnérables, avec une période critique projetée pour juin-juillet-août 2024, et une possible installation de la crise dans deux nouveaux départements, Goudiry et Salémata.

La diminution des stocks alimentaires et la hausse des prix contribuent à la dégradation de la situation alimentaire des ménages.

Paul Kagame félicité Bassirou Diomaye Faye pour sa victoire à la Présidentielle de 2024

Le président du Rwanda, Paul Kagame, s’est joint à la cohorte des dirigeants mondiaux pour adresser ses chaleureuses félicitations à Bassirou Diomaye Faye, fraîchement élu président du Sénégal. Cette salutation s’inscrit dans la lignée des messages de félicitations déjà exprimées par des personnalités telles qu’Emmanuel Macron, président français, à l’égard de l’ancien inspecteur des impôts et domaines.

Dans un post publié sur X, Paul Kagame a partagé ses vœux sincères envers le nouveau président sénégalais : « Mes sincères félicitations à Bassirou Diomaye Faye pour son élection comme Président du Sénégal. Votre victoire est un véritable témoignage de la confiance du peuple sénégalais, que je félicite pour le déroulement pacifique des élections. Je me réjouis de renforcer davantage les bonnes relations entre nos deux nations ».

Cette déclaration de félicitations reflète l’importance des relations bilatérales entre le Sénégal et le Rwanda, tout en soulignant le respect et l’admiration de Paul Kagame pour la démocratie et la volonté du peuple sénégalais. Elle témoigne également de l’engagement mutuel à renforcer les liens entre les deux pays dans les domaines politiques, économiques et sociaux.

La reconnaissance de la victoire de Bassirou Diomaye Faye par un leader africain influent comme Paul Kagame renforce l’importance et la légitimité du processus électoral sénégalais aux yeux de la communauté internationale. Cette marque de confiance et de soutien augure des relations prometteuses entre le nouveau président sénégalais et les autres nations africaines, renforçant ainsi la coopération et la solidarité sur le continent.

Alors que Bassirou Diomaye Faye entame son mandat présidentiel, les félicitations de Paul Kagame servent non seulement de témoignage de respect et d’encouragement, mais aussi d’engagement en faveur d’une collaboration constructive et fructueuse entre le Sénégal et le Rwanda dans les années à venir.

Tragique incident à Yeumbeul Layenne : Un homme décède subitement en pleine rue

Une tragédie a frappé la communauté de Yeumbeul Layenne ce mardi 26 mars 2024, lorsqu’un homme, avançant tranquillement dans la rue, a chuté et a perdu la vie sur le coup. L’incident, survenu de manière inattendue, a plongé la localité dans le choc et la tristesse.

Selon les témoins oculaires présents au moment des faits, l’homme, décrit comme étant d’un âge avancé, se déplaçait paisiblement dans la rue avant de tomber subitement, sans qu’aucune cause apparente ne soit identifiée dans l’immédiat.

Les sapeurs-pompiers ont été alertés et sont rapidement intervenus sur les lieux pour récupérer le corps de la victime, afin de procéder aux formalités nécessaires. Pendant ce temps, les autorités policières ont ouvert une enquête pour élucider les circonstances exactes de cet événement tragique et pour retrouver la famille de l’homme décédé.

La perte de cet individu a provoqué une profonde onde de choc au sein de la communauté de Yeumbeul Layenne, où les résidents sont encore sous le choc de cette nouvelle. Des messages de soutien et de condoléances affluents déjà en direction de la famille endeuillée, tandis que les habitants essayaient de comprendre et de surmonter cette douloureuse épreuve.

Dans ces moments difficiles, la solidarité et le réconfort de la communauté sont plus que jamais nécessaires pour soutenir ceux qui sont touchés par cette tragédie inattendue. Les pensées et les prières de toute la région accompagnent la famille du défunt dans cette période de deuil et de douleur.

Nous espérons que l’enquête en cours apportera des réponses et de la clarté sur les circonstances de cet incident, tandis que nous exprimons nos plus sincères condoléances à la famille et aux proches de l’homme décédé. Puissent-ils trouver la force et le réconfort nécessaire pour faire face à cette terrible épreuve.

Le Ministre de l’Intérieur s’exprime sur la transition présidentielle : Un hommage à Macky Sall et des vœux pour Bassirou Diomaye Faye

Dans une interview accordée à TV5 Monde, le Ministre de l’Intérieur, Mouhamadou Makhtar Cissé, a livré un message empreint de respect et de perspective sur la transition présidentielle au Sénégal. Ses paroles ont été marquées par un adieu à l’ancien Président Macky Sall, ainsi que des vœux de réussite et de prospérité pour le nouveau Président, Bassirou Diomaye Faye.

Tout d’abord, Mouhamadou Makhtar Cissé a tenu à rendre hommage à l’ancien chef de l’État, Macky Sall, en reconnaissant son rôle dans l’histoire du pays. « Le président de la République sortant Macky Sall, je lui souhaite un repos bien mérité », a-t-il déclaré. Il a souligné que bien que certaines actions puissent ne pas être comprises à l’époque, c’est souvent l’histoire qui a restauré la vérité et le mérite des grands hommes politiques.

En ce qui concerne le nouveau Président, Bassirou Diomaye Faye, le Ministre de l’Intérieur a exprimé des vœux sincères de paix, de santé et de succès. Reconnaissant la charge difficile qui représente la présidence, il a souhaité à Bassirou Diomaye Faye la sérénité et la lucidité nécessaire pour prendre les meilleures décisions au profit du peuple sénégalais.

« S’il réussit, c’est à notre profit », a affirmé Mouhamadou Makhtar Cissé, soulignant l’importance de la réussite du Président pour le bien-être de tous les Sénégalais. Il a également souligné le parcours et la préparation de Bassirou Diomaye Faye, le qualificatif de « produit de la haute administration de l’État ». Selon le ministre, cette expérience prépare le nouveau Président à la tâche qui l’attend.

En conclusion, les paroles du Ministre de l’Intérieur témoignent d’un respect profond pour le passé politique du pays tout en exprimant un optimisme mesuré quant à l’avenir avec le nouveau

ÉLECTION DE BASSIROU DIOMAYE FAYE : Les cheminots grévistes lèvent leur mot d’ordre

Les travailleurs ont exprimé leur mécontentement à la gare ferroviaire de Thiès ce mardi 26 mars, où les trains assurant la liaison Thiès-Diamniadio sont restés en gare. Ils déplorent le silence de l’État face à leurs revendications, ce qui a entraîné des perturbations dans le service ferroviaire.

Les cheminots retraités continuent de bloquer le trafic ferroviaire sur la ligne Thiès-Diamniadio pour réclamer une revalorisation de leurs pensions, qu’ils estiment être en attente de paiement de la part de l’État, à hauteur de deux (2) milliards de Francs CFA. Le président de l’Entente des ex-temporaires et régis des chemins de fer du Sénégal précise que ce blocage est une mesure d’urgence, effectuée à contrecoeur, pour attirer l’attention sur leur situation. Ces retraités considèrent qu’ils méritent une pension adéquate après avoir consacré leur carrière au service des chemins de fer.

Malgré l’appel à la patience lancé par le Directeur de l’Exploitation des Grands Trains du Sénégal (GTS), Mamadou Diop, les anciens cheminots retraités ont choisi de maintenir leur mobilisation à l’intérieur de la gare, exprimant ainsi leur détermination à faire entendre leurs revendications malgré le contexte politique actuel. En effet, un nouveau chef d’Etat a été élu dimanche dernier. « Actuellement, on va vers un changement de gouvernement et qu’il faudrait qu’ils attendent de nouveaux interlocuteurs, nouveau ministre de tutelle pour engager des discussions », a expliqué M. Diop.  

Finalement, les grévistes ont accepté les arguments du directeur et ont levé le mot d’ordre de grève. M. Diop a saisi cette opportunité pour rassurer les usagers quant à la reprise du trafic. Il a souligné l’engagement pris envers les usagers des Grands Trains du Sénégal en assurant que les trains continueront de circuler à partir de Diamniadio, en collaboration avec le TER. Cette mesure démontre un engagement envers la satisfaction des besoins des voyageurs.

ENTRE FAUX MÉDICAMENTS, AILERONS DE REQUINS ET CHANVRE INDIENS : Les saisies records de la douane

La douane sénégalaise a récemment mis en place de nouvelles orientations pour lutter contre le trafic illicite, notamment en renforçant les stratégies de sécurisation de la chaîne logistique internationale. Au cours du mois de mars, plusieurs saisies ont été réalisées. Parmi celles-ci, des agents de la Brigade spéciale des Douanes de l’AIBD ont saisi soixante-quinze (75) sacs d’ailerons de requin pesant deux mille neuf cent soixante-seize (2 976) tonnes à l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD). La marchandise, emballée dans du plastique et placée dans des caisses enveloppées de sacs en polystyrène banalisés, était destinée à l’exportation et sa valeur sur le marché intérieur est estimée à soixante-quatorze (74) millions de francs CFA. Deux individus de nationalité étrangère ont été arrêtés dans le cadre de cette affaire. De plus, des faux médicaments ont été interceptés à Gossas, où les agents de la Brigade mobile ont saisi cinquante-un (51) cartons de faux médicaments, y compris des médicaments vétérinaires, d’une valeur totale estimée à cent quarante-huit (148) millions de francs CFA.

Les agents de la Brigade maritime de Rufisque, Subdivision du Littoral Nord, Direction régionale des Unités maritimes (DRUM), ont réussi à intercepter deux motos Jakarta transportant du chanvre indien. Cette drogue, en provenance d’un pays limitrophe et transportée par voie maritime, a été fraîchement débarquée sur la plage de Yarakh. Le poids total du chanvre indien saisi s’élève à cent trente-sept (137) kg, pour une valeur estimée à près de dix (10) millions de francs CFA. La dernière saisie a eu lieu le 23 mars dernier à Keur-Ayip, dans le département de Nioro, suite à l’exploitation judicieuse d’un renseignement. Les forces douanières ont découvert trois paquets de chanvre indien soigneusement cachés dans les pneus de secours d’un bus en provenance du Sud.

Trois individus impliqués dans cette affaire ont été arrêtés et remis au Parquet de Kaolack. De plus, la veille, la même unité douanière a saisi sept (7) kg de chanvre indien conditionnés dans une valise à bord d’un car « Ndiaga Ndiaye » en provenance d’un pays limitrophe et à destination de Dakar, comme l’indique le communiqué de la douane.

Bassirou Diomaye Faye rafle tout à Mbour

Dans le département de Mbour, lors de l’élection présidentielle, le candidat de la Coalition “Diomaye Président”, Bassirou Diomaye Faye, a remporté la palme avec cent trente-neuf mille conq cent quatre-vingt-deux (139 582) voix tandis que le porte-drapeau de Benno Bokk Yakaar (BBY), Amadou Ba, a obtenu soixante-trois mille six cent vingt-deux (63 622) voix.

Sur les teois cent cinquante-un mille vingt-trois (351 023) électeurs inscrits, deux cent vingt-trois mille quatre cent trente-neuf (223 439) ont voté, dont quatre mille cent trente-trois (4 133) hors de leur bureau de vote d’origine et mille trois cent quatre-vingt-huit (1 388) bulletins ont été déclarés nuls. Le nombre total de suffrages valablement exprimés s’élève à deux cent vingt-six mille cent quatre-vingt-quatre (226 184).

Les autres candidats ont obtenu les résultats suivants :

Habib Sy : cent trente et une (131) voix ;

Cheikh Tidiane Dièye : sept cent vingt-cinq (725) voix ;

Déthié Fall : huit cent quatre-vingt et une (881) voix ;

Daouda Ndiaye : six cent trente-neuf (639) voix ;

Khalifa Ababacar Sall : deux mille huit cent vingt-huit (2 828) voix ;

Anta Babacar Ngom : mille trois cent quatorze (1 314) voix ;

Idrissa Seck : mille cinq cent trente-huit (1 538) voix ;

Aliou Mamadou Dia : neuf mille cinq cent trente-quatre (9 534) voix ;

Serigne Mboup : cinq cent quarante-sept (547) voix ;

Papa Djibril Fall : mille neuf cent dix-hiit (1 918) voix ;

Mahammed Boun Abdallah Dionne : trois cent quarante-quatre (344) voix ;

Mamadou Lamine Diallo : trois cent quinze (315) voix ;

El Hadji Malick Gakou : deux cent trente-six (236) voix ;

Aly Ngouille Ndiaye : trois cent vingt-huit (328) voix ;

El Hadji Mamadou Diao : trois cent dix (310) voix ;

Thierno Alassane Sall : neuf cent quatorze (914 voix).

RÉSULTATS PROVISOIRES PAR DÉPARTEMENT: Diomaye Faye remporte Dakar avec plus de 160 000 voix d’écart

Bassirou Diomaye Diakhar Faye arrive en tête dans le département de Dakar avec un total de 286 846 voix, tandis que le candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), Amadou Ba, a obtenu environ cent dix-huit mille trois cent vingt-trois (118 323 voix). Cela représente une différence de plus de cent soixante mille (160 000) voix entre les deux candidats, selon les informations fournies par la Commission départementale de recensement des votes de Dakar.

L’ancien maire de la capitale sénégalaise, Khalifa Ababacar Sall, arrive troisième avec un total de vingt-quatre mille trois cent six (24 306) voix dans le département de Dakar.

En effet, le département de Dakar compte environ sept cent sept mille huit cent seize (707 816) électeurs, parmi lesquels quatre cent cinquante sept mille quatre-vingt-dix-huit (457 098) ont exprimé leurs suffrages. En outre, il y a eu cinq cent deux (502) votants en dehors du bureau originel et deux mille deux cent quatre (2 204) bulletins ont été déclarés nuls.

La région de Dakar, composée de quatre arrondissements et dix-neuf (19) communes, représente le plus grand bastion électoral du pays, avec ses un million huit cent vingt-neuf mille huit cent vingt-trois (1 829 823) électeurs ; ce qui équivaut à 26,01% de l’électorat national.

NOUVEAU POSTE AU LENDEMAIN DU 02 AVRIL : Macky Sall ne trouve pas le temps de chômer

Le président de la République, Macky Sall, est décidément une véritable bête de travail. Alors que ses fonctions à la tête du Sénégal prennent fin dans quelques jours, le chef de l’État ne pense pas s’offrir le luxe de prendre une année sabbatique.


Macky Sall est déterminé à ne pas prendre sa retraite de manière traditionnelle après ses services rendus à la nation sénégalaise. En effet, très dynamique et prêt à affronter de nouveaux défis après la fin de son second et dernier mandat le 2 avril 2024, le quatrième président de la République du Sénégal s’engage dans une nouvelle aventure. Le chef de l’État, remplacé par Bassirou Diomaye Faye, ce 24 mars, a trouvé une voie de reconversion professionnelle, faisant une annonce importante sur son plan de carrière post-présidentiel.
Dès la fin de son mandat présidentiel, Macky Sall se lance directement dans une nouvelle mission en prenant la tête du Pacte de Paris pour les peuples et la planète (4P).


Nommé envoyé spécial du Pacte de Paris pour les peuples et la Planète (4P) par son homologue français, Emmanuel Macron, semble se plaire à son nouveau rôle international du moment où il a affirmé prendre fonction de ses nouvelles responsabilités dès la fin de son mandat, ce 02 avril.
La demande lui a été présentée lors du Forum de Paris sur la paix qui s’est tenu les 10 et 11 novembre 2023 dans la capitale française.


En visioconférence avec Emmanuel Macron hier, mardi, les discussions entre Macky Sall et le secrétariat des 4P ont porté sur les défis à venir dans son nouveau rôle et sur l’agenda à mettre en place pour dérouler son programme.


Suite à cette téléconférence, les services de communication de la Présidence de la République publié sur leurs réseaux sociaux : « Désigné envoyé spécial du 4P (Pacte de Paris pour les peuples et la Planète), le Président de la République, Macky Sall entrera en fonction dès la fin de son mandat le 2 avril. En visioconférence ce matin avec le chef de l’État, le secrétariat des 4P s’impatiente. La séance de travail a porté sur l’agenda et les enjeux auxquels le président Macky Sall est attendu ».


Cette nomination intervient à un moment crucial, juste après les élections qui ont désigné son successeur, Bassirou Diomaye Faye, surtout après son mandat présidentiel de douze ans.


L’acceptation de ce nouveau rôle démontre l’engagement du président de la République, Macky Sall, envers les questions écologiques et son désir de continuer à contribuer à l’échelle mondiale même après son mandat présidentiel.


De manière générale, Macky Sall aa toujours prouvé un attachement continu envers des causes mondiales telles que la préservation de l’environnement et le bien-être des populations.


La date prévue pour la passation du pouvoir entre les chefs d’État, Macky Sall et Bassirou Diomaye Faye, le 2 avril 2024, marque un moment historique pour le Sénégal. Cette transition pacifique est capitale pour la stabilité et la démocratie du pays.

La Guerre des Promoteurs : Reug Reug averti de respecter ses engagements contractuels

Dans le tumulte du monde de la lutte sénégalaise, une nouvelle bataille se profile, mettant en lumière les enjeux des contrats et des engagements dans le domaine de la promotion de ce sport emblématique du pays. Reug Reug, l’un des lutteurs les plus en vue du moment, se retrouve au cœur de cette guerre des promoteurs, avec des avertissements clairs lui enjoignant de respecter ses accords contractuels.

Makane Mbengue, fils du célèbre promoteur Gaston Mbengue, a émis une mise en garde ferme à l’adresse de Reug Reug, soulignant l’importance du respect total du contrat qui les lie. Cette mise en garde intervient alors que Reug Reug est également sous contrat avec un autre promoteur, Baye Ndiaye, pour affronter Ama Baldé, un autre lutteur renommé de la scène sénégalaise.

La situation se complique davantage avec le combat déjà programmé entre Reug Reug et Boy Niang 2, prévu pour le 1er janvier 2025. Selon Makane Mbengue, Reug Reug ne pourra s’engager dans un face à face avec Ama Baldé qu’après avoir honoré son combat contre Boy Niang 2. Cette condition semble être non négociable, soulignant ainsi l’importance du respect des contrats et des engagements pris dans le monde de la lutte sénégalaise.

La complexité de la situation réside dans le fait que Reug Reug est également autorisé à participer à des événements MMA, sous réserve de l’accord de Gaston Productions. Cette distinction entre les disciplines de lutte et de MMA montre la diversité des engagements contractuels dans le monde du sport et la nécessité pour les athlètes de respecter les termes de leurs contrats, quel que soit le domaine dans lequel ils évoluent.

Cette mise en garde de Makane Mbengue met en lumière les défis et les tensions inhérents à la gestion des lutteurs professionnels au Sénégal, où les promoteurs rivalisent pour attirer les meilleurs talents et organiser les combats les plus populaires. La bataille pour la suprématie dans le monde de la lutte continue, mais elle est réglementée par des règles strictes en matière de contrats et d’engagements, comme le rappelle cet avertissement lancé à Reug Reug.

En définitive, cette affaire illustre les enjeux complexes de l’industrie de la lutte au Sénégal et souligne l’importance cruciale du respect des accords contractuels pour assurer le bon fonctionnement et la crédibilité de ce sport emblématique du pays.

Victoire du Sénégal face au Bénin : Retour gagnant pour les Lions

Le Sénégal a conclu ses matchs amicaux du mois de mars sur une note positive en remportant une victoire face au Bénin sur le score de 1-0. Après avoir déjà dominé le Gabon sur un score de 3-0, les Lions de la Teranga ont confirmé leur forme retrouvée en venant à bout d’une équipe béninoise coriace.

Pour cette rencontre, l’entraîneur Aliou Cissé a opéré un remaniement complet de son onze de départ, offrant une opportunité à certains cadres de retrouver le terrain. Des joueurs tels que le capitaine Kalidou Koulibaly, Moussa Niakhaté, Idrissa Gana Guèye et Ismail Jakobs ont ainsi été réintégrés dans l’équipe de départ.

La première période a été particulièrement difficile pour le Sénégal, confronté à une équipe béninoise solide qui a même obtenu un penalty, bien stoppé par le gardien sénégalais Seny Dieng. Cependant, les Lions ont su relever le défi et ont pris l’ascendant en seconde période.

C’est grâce à un penalty obtenu suite à une faute sur Habib Diallo que le Sénégal a pris l’avantage, et c’est Sadio Mané, en célébrant sa 107e sélection, qui s’est chargé de le transformer avec sang-froid, inscrivant ainsi son 43e but en équipe nationale à la 58e minute de jeu.

Avec ces deux succès consécutifs face au Gabon et au Bénin en matchs amicaux, le Sénégal retrouve des couleurs après sa récente élimination en huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des nations contre la Côte d’Ivoire. Cette série de victoires constitue un encouragement pour l’équipe et ses supporters, alors que les prochaines échéances internationales se profilent à l’horizon.

Au-delà du succès collectif, ces matchs amicaux ont également été l’occasion de mettre en lumière certaines performances individuelles remarquables au sein de l’équipe sénégalaise.

Seny Dieng, le gardien de but des Lions, s’est illustré par ses arrêts décisifs, notamment en repoussant un penalty lors du match contre le Bénin. Sa prestation rassurante lui a permis de confirmer sa place comme l’un des meilleurs gardiens de sa génération.

Sadio Mané, le talentueux attaquant de Liverpool, a également brillé en inscrivant un but crucial sur penalty contre le Bénin. Sa capacité à faire la différence dans les moments clés témoigne de son importance pour l’équipe nationale et de son leadership sur le terrain.

Enfin, le retour de joueurs cadres tels que Kalidou Koulibaly et Idrissa Gana Guèye a apporté une stabilité et une expérience précieuses à l’équipe, renforçant ainsi sa solidité défensive et son efficacité au milieu de terrain.

Au-delà des matchs amicaux, ces victoires revêtent une importance capitale pour l’équipe nationale sénégalaise à l’aube de nouvelles compétitions internationales. Avec une équipe solide et des joueurs talentueux à sa disposition, le Sénégal aspire à briller lors des prochaines échéances, notamment les qualifications pour la Coupe du monde 2026.

Sous la direction d’Aliou Cissé, l’équipe nationale sénégalaise s’est affirmée comme l’une des meilleures d’Afrique et vise désormais à confirmer son statut sur la scène mondiale. Les supporters sénégalais peuvent ainsi nourrir de grands espoirs pour l’avenir de leur équipe, convaincus que les Lions de la Teranga sauront porter haut les couleurs du Sénégal dans les compétitions à venir.

Décret présidentiel : Nominations exceptionnelles dans l’Ordre national du Lion

Le Président de la République du Sénégal, Macky Sall, a récemment signé un décret le 19 mars, portant nomination exceptionnelle dans l’Ordre national du Lion. Cette décision vise à honorer des personnalités éminentes de divers domaines pour leur engagement et leur contribution remarquable au développement et au rayonnement du pays. Sur proposition du Grand Chancelier, plusieurs personnalités, notamment des artistes, des journalistes, des sportifs, ont été nommées au grade de commandeur, officier et chevalier.

Parmi les heureux récipiendaires figurent des noms illustres tels que Youssou Ndour, Robert Sagna, Abdoulaye Diop, Ibrahima Diop, Omar Pène, Fatou Kiné Lam, Hamidou Samba Kassé, Arame Ndao, Racine Tall, Coumba Gawlo Seck, Ahmadu Makhtar Kanté, Mademba Sock, et bien d’autres.

Selon un communiqué du ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République, cette nomination exceptionnelle s’inscrit dans le cadre de l’article 18 du décret 2018-1407 du 27 juillet 2018, modifiant le décret n° 72-24 du 1 janvier 1972, portant Code de l’Ordre national du Lion. En vertu de cet article, le Président de la République dispose de pouvoirs réglementaires pour honorer les citoyens sénégalais qui se sont distingués par leur dévouement dans les secteurs publics ou privés, contribuant ainsi au service de la Nation et de la République.

Cette liste témoigne de la diversité des contributions des récipiendaires à la société sénégalaise, qu’il s’agisse de leur engagement dans le domaine culturel, social, économique ou encore sportif. Leurs actions exemplaires ont permis de renforcer le tissu social et de promouvoir les valeurs de solidarité, d’excellence et de dépassement de soi.

Cette reconnaissance officielle souligne l’importance accordée par l’État aux efforts et aux réalisations de ces personnalités, qui continuent d’inspirer la jeunesse et de contribuer au rayonnement du Sénégal à l’échelle nationale et internationale.

Les premiers effets positifs de l’élection de Bassirou Diomaye Faye sur l’économie

La confirmation de l’élection de Bassirou Diomaye Faye en tant que 5ème Président de la République du Sénégal dès le 3 avril a déjà des répercussions positives sur l’économie du pays, notamment sur les marchés internationaux. En effet, les obligations en dollars du Sénégal ont enregistré une hausse significative, témoignant de la confiance des investisseurs dans la stabilité future de l’économie sénégalaise.

Selon les données rapportées par Bloomberg, le prix coté des obligations du Sénégal à échéance 2048 a augmenté de 1,4 cent à 75,88 cents pour un dollar à 12h11 à Londres, ce mardi 26 mars. Cette augmentation marque le plus haut chiffre enregistré depuis plus de deux semaines, reflétant ainsi un regain d’intérêt pour les investissements dans les obligations sénégalaises.

Avant l’élection présidentielle, les chiffres du Sénégal avaient stagné voire chuté, les investisseurs exprimant leur inquiétude quant à une éventuelle victoire de Bassirou Diomaye Faye. Cependant, cette tendance s’est inversée après l’annonce de sa victoire, dissipant ainsi les craintes initiales. Les investisseurs sont désormais optimistes quant à la continuité des politiques économiques mises en place par le gouvernement précédent, qui ont contribué à maintenir une croissance économique moyenne de plus de 5 % au cours de la dernière décennie.

Selon Samantha Singh-Jami, stratège Afrique à la Rand Merchant Bank, le Sénégal, devenant un producteur de pétrole et de gaz, devrait être l’une des économies les plus dynamiques d’Afrique. Cette perspective encourageante a renforcé la confiance des investisseurs, qui anticipent une accélération de la croissance économique, notamment grâce au secteur énergétique.

Il est important de souligner que les obligations sont des instruments financiers utilisés par les États pour financer de nouveaux projets ou infrastructures. La hausse des prix des obligations du Sénégal témoigne de la confiance accrue des investisseurs dans la capacité du pays à rembourser ses dettes et à maintenir la stabilité économique dans un contexte politique favorable.

Tragédie à Yeumbeul-Layènne : Un homme âgé décède après une chute mortelle

Une tragédie s’est abattue ce mardi 26 mars sur la paisible route de Yeumbeul Layenne, laissant une communauté en deuil et des questions sans réponses. Aux alentours de [heure], un homme marchant paisiblement a chuté subitement, succombant sur le coup.

Les sapeurs-pompiers, alertés rapidement, ont réagi avec diligence pour récupérer le corps sans vie et entamer les procédures nécessaires. Cependant, malgré leurs efforts, le décès de l’homme âgé est survenu de manière brutale, laissant un profond sentiment de choc et de tristesse dans la région.

Les circonstances exactes de cette chute fatale demeurent floues. Les autorités locales ont ouvert une enquête pour éclaircir les événements ayant conduit à cette tragédie et pour identifier les proches de la victime afin de leur offrir le soutien nécessaire en cette période difficile.

L’ensemble de la communauté de Yeumbeul Layenne est plongé dans la consternation et exprime ses condoléances à la famille et aux amis de la victime. En ces moments de deuil, les pensées et les prières sont tournées vers ceux qui ont perdu un être cher de façon si soudaine et tragique.

Après l’élection présidentielle de 2024 : La Société Civile Sénégalaise Appelle à une Réforme Institutionnelle

Suite à l’élection de Bassirou Diomaye Faye en tant que cinquième président de la République du Sénégal le 24 mars dernier, la société civile du pays se mobilise pour exiger une réforme en profondeur des institutions. Cette nouvelle alternance politique est perçue comme une opportunité cruciale pour remodeler le paysage institutionnel sénégalais afin de renforcer la démocratie et les mécanismes de contrôle.

Les acteurs de la société civile s’accordent sur la nécessité de réduire les pouvoirs présidentiels, une démarche qui vise à rétablir un équilibre des pouvoirs entre les différentes branches du gouvernement. La professeure Penda Mbow, ancienne membre du bureau des Assises nationales, soulève ce point crucial en dénonçant la concentration excessive de pouvoirs entre les mains du président de la République. Pour elle, cette situation a conduit à une dépendance trop importante du parlement vis-à-vis de l’exécutif, compromettant ainsi le principe fondamental de la séparation des pouvoirs.

Penda Mbow plaide en faveur d’une Assemblée nationale plus forte, capable d’exercer pleinement son rôle de contrôle sur l’exécutif et le judiciaire. Elle insiste sur la nécessité d’instaurer un président qui ne soit pas assimilable à un « monarque républicain », mais plutôt un leader soumis à un système de checks and balances efficace.

Cette position exprimée par la société civile reflète un désir profond de renforcer les fondements démocratiques du Sénégal. Les citoyens se montrent de plus en plus conscients de l’importance d’une gouvernance transparente, responsable et équilibrée pour assurer le progrès et le bien-être de la nation.

La demande de réforme institutionnelle de la société civile sénégalaise place désormais une pression supplémentaire sur le nouveau président et les institutions en place. Il est crucial de répondre à ces appels avec sérieux et engagement afin de garantir une transition vers un système politique plus juste et démocratique.

En somme, cette mobilisation de la société civile démontre la vitalité démocratique du Sénégal et l’engagement de ses citoyens en faveur d’un avenir meilleur, où les principes démocratiques et les droits fondamentaux sont respectés et protégés.

L’Union nationale des travailleurs de la justice salue l’élection de Bassirou Diomaye Faye en tant que 5e président du Sénégal

Dans un acte de démocratie exemplaire, le peuple sénégalais a exprimé sa volonté souveraine lors du scrutin du dimanche 24 mars 2024, en élisant Bassirou Diomaye Faye comme le 5e président de la République du Sénégal. Cette décision, fruit d’un vote libre, transparent et paisible, démontre la maturité démocratique du pays et mérite d’être saluée.

L’Union nationale des travailleurs de la justice (UNTJ) se joint à cette célébration de la démocratie en félicitant chaleureusement le peuple sénégalais pour son engagement civique et son sens des responsabilités lors de cette élection historique. De même, le syndicat tient à exprimer sa reconnaissance envers l’Administration chargée de l’organisation du scrutin pour son travail exemplaire dans la garantie du bon déroulement du processus électoral.

Alors que les résultats définitifs sont en attente de publication officielle, l’UNTJ reconnaît d’ores et déjà Bassirou Diomaye Faye comme le futur président de la République du Sénégal, conformément aux indications des urnes et à la confiance accordée par ses concurrents aux suffrages des citoyens.

Dans un contexte où le Sénégal fait face à divers défis, tant sur le plan économique que social, le nouveau président élu se voit confier une lourde responsabilité. L’UNTJ encourage ainsi Bassirou Diomaye Faye à entreprendre avec détermination les réformes nécessaires pour une justice plus équitable et accessible à tous les citoyens, ainsi qu’à assurer une gestion saine et transparente du personnel judiciaire.

À travers cette élection présidentielle, le Sénégal démontre une fois de plus son attachement aux valeurs démocratiques et son engagement envers un avenir meilleur pour tous ses citoyens. L’UNTJ reste engagée à soutenir les efforts visant à renforcer l’État de droit et à promouvoir la justice sociale dans le pays.

Enfin, le syndicat adresse ses vœux les plus sincères à Bassirou Diomaye Faye pour une présidence fructueuse et couronnée de succès, au service du peuple sénégalais et de l’intérêt général.

Cheikh Ba annonce son retrait de la scène politique médinoise

Dans un geste marquant de respect envers la démocratie et de dévouement envers sa communauté, Cheikh Ba, une figure politique respectée de la Médina, a annoncé son retrait de la scène politique locale. Cette décision, mûrement réfléchie et empreinte de sincérité, intervient après une décennie d’engagement politique au service de sa commune.

« Le peuple doit être au cœur de toute action politique et publique », a déclaré Cheikh Ba, soulignant ainsi son attachement aux principes fondamentaux de la démocratie. Il a exprimé ses félicitations au nouveau Président élu, Bassirou Diomaye Faye, tout en saluant l’attitude exemplaire d’Amadou Ba pour avoir reconnu la victoire du nouveau dirigeant.

Depuis 1988, bien avant son entrée en politique, Cheikh Ba a consacré son temps et son énergie à des initiatives sociales et entrepreneuriales au service de sa communauté. Cependant, après une période d’introspection, il reconnaît que la politique locale n’a pas toujours été à la hauteur des attentes de ses concitoyens. C’est pourquoi il a décidé de prendre du recul et de transmettre le flambeau à la jeune génération.

Malgré son retrait de la scène politique, Cheikh Ba a tenu à réaffirmer son engagement envers sa commune et toutes ses composantes sociales. Il reste déterminé à contribuer au bien-être et au développement de la Médina, même en dehors des arènes politiques.

Cette décision de Cheikh Ba marque la fin d’un chapitre politique, mais ouvre également de nouvelles perspectives pour la Médina, en permettant l’émergence de nouveaux leaders prêts à prendre le relais dans la construction d’une communauté plus forte et plus prospère.


Media Sénégal

Guinée Bissau : Umaro Embalo lance un avertissement sans frais aux opposants qui l’insultent

Le président bissau-guinéen Umaro Sissoco Embalo a pris une position ferme contre les acteurs politiques et militants de l’opposition qui le prennent pour cible avec des insultes. Dans une déclaration récente, il a averti qu’il ne tolérerait plus de telles attaques et promet de poursuivre en justice quiconque le diffame, où qu’il se trouve.

Cette déclaration intervient après que le président Embalo a été la cible d’insultes de la part d’un militant politique bissau-guinéen du nom de Belmiro Pimentel, résidant au Portugal. Pimentel, largement suivi sur les réseaux sociaux, a ouvertement exprimé son désir de renverser le président Embalo à tout prix, l’accusant même d’avoir engagé des criminels pour l’attaquer.

Dans une vidéo virale, Pimentel a publié un enregistrement audio présumé du président Embalo commentant une fusillade dans laquelle Pimentel aurait été impliqué à Lisbonne. Cependant, le président bissau-guinéen a réfuté ces allégations, soulignant que toute personne pourrait imiter sa voix et diffuser de fausses informations.

Umaro Embalo a également noté qu’en tant que président de la République, il aurait la capacité d’utiliser les structures de l’État pour nuire à ses détracteurs, mais il refuse de s’abaisser à de telles pratiques.

Cette prise de position ferme du président Embalo illustre sa détermination à faire respecter sa dignité et sa fonction présidentielle, tout en mettant en garde ceux qui tentent de le discréditer par des attaques personnelles et diffamatoires.

Amadou Ba : les causes d’une déroute électorale

L’élection présidentielle du 24 mars a marqué une défaite sans appel pour Amadou Ba, candidat du pouvoir sortant. Face au nouveau président élu, Bassirou Diomaye Faye, Amadou Ba a dû concéder sa défaite dès le premier tour. Pour analyser les raisons de cette déroute, Dr Alassane Ndao, Docteur en Sociologie politique et Maître de conférences titulaire à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (UGB), identifie trois failles qui ont grippé la machine électorale du pouvoir sortant.

Tout d’abord, Dr Ndao souligne le bilan « immatériel » de Macky Sall, président sortant. Il pointe du doigt le fonctionnement du parti au pouvoir, l’APR, caractérisé par un déséquilibre et une verticalité où le président décide de tout. Cette situation a créé des rivalités internes exacerbées par l’absence du président sortant comme candidat, affaiblissant ainsi le choix fait en faveur d’Amadou Ba.

Ensuite, l’expert met en lumière la personnalité d’Amadou Ba, le qualifiant de lobbyiste plutôt que d’homme politique. Cette distinction souligne une incapacité à incarner les qualités de communication, de charisme et de leadership nécessaires pour séduire et convaincre l’électorat.

Enfin, la libération de Ousmane Sonko et de Bassirou Diomaye Faye, candidat rival, a précipité les choses, amplifiant la déroute électorale de Amadou Ba. Cependant, Dr Ndao souligne que cette libération n’est que la conséquence d’une dynamique enclenchée bien avant l’élection, remontant à l’année 2021.

Pour Moussa Diaw, Docteur en Sciences politiques à l’UGB, Amadou Ba a été trop attentiste et a commis l’erreur de s’inscrire dans la continuité de la politique du Président sortant, malgré un rejet croissant de cette politique par les citoyens en raison de la mal gouvernance, de l’impunité et de l’arrogance de certains responsables politiques.

En somme, cette défaite électorale de Amadou Ba semble être le résultat d’une combinaison de facteurs internes au parti au pouvoir, de la personnalité du candidat lui-même, et des dynamiques politiques et sociales plus larges dans le pays.

« Les médias internationaux ont eu honte », (expert électoral)

« Le Sénégal est et restera toujours en tête en matière de démocratie ». C’est le satisfecit exprimé par le doyen des observateurs de la coordination des experts électoraux africains (CEEA) au Sénégal, Jean Marie Ngondjibangante, à l’issue de la Présidentielle du 24 mars.

Repris par le Soleil, l’expert électoral international, présent au CEM Thierno Mamadou Sall, à Fatick, où Président sortant, Macky Sall, a voté, soutient d’abord que la décision de ce dernier de renoncer à une troisième candidature est « un exemple pour tous les chefs d’État africains. »

Ensuite, poursuit le journal, le Camerounais n’a pas raté les médias internationaux : « Ils ont eu honte aujourd’hui. Eux qui n’ont cessé de vouloir jeté le discrédit sur le Sénégal et sur le Président Macky Sall. »

Ngondjibangante de conclure : « C’est un avertissement à l’Union européenne et à tous les ennemis du Sénégal. Il ne faut pas qu’ils troublent les gens juste pour bénéficier de leurs ressources. »

Présent au Sénégal depuis 2012 dans le cadre de sa mission d’observation, l’expert électoral estime « qu’aujourd’hui, personne n’a gagné si ce n’est le peuple sénégalais. »

Présidentielle 2024 : Cheikh Ahmadou Kara Mbacké adresse ses félicitations au président Bassirou Diomaye Faye

À la suite du scrutin présidentiel du 24 mars au Sénégal, le « guide de la révolution pacifique », Cheikh Ahmadou Kara Mbacké, a ajouté sa voix à celles qui saluent la victoire du nouveau président élu, Bassirou Diomaye Faye. Dans une déclaration empreinte de respect et de chaleur, le chef religieux a exprimé ses félicitations au nouveau chef de l’État.

« J’ai l’honneur, en ce jour historique, de vous adresser mes salutations respectueuses et mes félicitations chaleureuses pour votre brillante accession à la magistrature suprême de notre cher pays », a déclaré Cheikh Ahmadou Kara Mbacké.

Dans sa lettre, il a également rendu hommage à Ousmane Sonko, leader du parti PASTEF et mentor du nouveau président, soulignant ses qualités de courage, d’endurance, d’humilité, de générosité et de patriotisme vibrant.

Le chef religieux a mis en lumière l’espoir que représente le nouveau président pour le peuple sénégalais, en particulier pour sa jeunesse, confrontée à des défis existentiels. Il a exprimé sa confiance dans la capacité du président élu à répondre aux aspirations du peuple et à guider le pays vers un avenir meilleur.

Cheikh Ahmadou Kara Mbacké a conclu sa lettre en formulant des prières pour le président Bassirou Diomaye Faye, invoquant l’assistance divine et la guidance à travers les bénédictions du prophète Mohamed et de Cheikh Ahmadou Bamba Khadimou Rassoul.

Cette déclaration reflète l’importance du soutien des leaders religieux dans le paysage politique sénégalais et souligne l’unité nationale dans la reconnaissance du nouveau leadership.

Amadou Bâ félicite Diomaye Faye : l’histoire d’un coup de fil à 13 h 58

Amadou Bâ, candidat malheureux de la coalition Benno Bokk Yakaar à l’élection présidentielle du dimanche 24 mars, a finalement pris l’initiative de féliciter son rival, Bassirou Diomaye Faye, le lendemain du scrutin. Cet acte significatif s’est déroulé en début d’après-midi au domicile d’Amadou Bâ, en présence de quelques proches.

Selon les informations rapportées par L’Observateur dans son édition de ce mardi, cet échange entre les deux hommes s’est concrétisé par un appel téléphonique d’Amadou Bâ à Bassirou Diomaye Faye, précisément à 13 heures 58 minutes. La conversation, d’une durée d’environ trois minutes, a été décrite comme chaleureuse et conviviale, marquée par des félicitations sincères et des échanges de prières.

Cet épisode met en lumière l’esprit de fair-play et le sens de l’unité nationale dans le contexte post-électoral, où les perdants reconnaissent la légitimité des résultats et expriment leur soutien au nouveau président élu. Il témoigne également de la maturité politique des acteurs sénégalais, qui, malgré les enjeux, privilégient le dialogue et la collaboration pour le bien-être du pays.

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