Déthié Fall sollicite le soutien du maire Babacar Diop pour la Présidentielle 2024

Déthié Fall, président du Parti républicain pour le progrès (PRP) et candidat à la Présidentielle de 2024, s’est rendu à Thiès pour rencontrer Babacar Diop, président des Forces démocratiques du Sénégal (FDS) et maire de la ville. Déthié Fall, faisant partie des 20 candidats retenus après le processus de parrainage, a initié une stratégie d’alliance pour rassembler le maximum de soutiens parmi les candidats recalés.

L’objectif de cette rencontre était de solliciter le soutien de Babacar Diop pour bâtir une coalition plus large en vue de la Présidentielle de 2024. Déthié Fall a salué l’engagement du Dr. Diop, malgré son rejet par le parrainage, et a partagé quelques points de son programme présidentiel. Babacar Diop a exprimé son honneur de retrouver un compagnon de lutte au sein de Yewwi Askan Wi, mais a réservé sa réponse, indiquant qu’elle sera communiquée aux militants prochainement.

Hausse significative des recouvrements fiscaux en 2023, la DGID vise 2.700 milliards en 2024

La Direction générale des impôts et des domaines (DGID) du Sénégal a enregistré des résultats positifs en 2023, avec des recouvrements de 2.300 milliards de francs CFA, soit 85 % de l’objectif fixé pour l’année fiscale. Cette performance marque une progression de 161 milliards de francs CFA par rapport à l’année précédente, soulignant la dynamique de performance de la DGID au cours des dix dernières années, selon le directeur général, Abdoulaye Diagne.

S’exprimant lors de la rentrée fiscale de la DGID, M. Diagne a indiqué que l’objectif pour 2024 est de collecter 2.700 milliards de francs CFA, en alignement avec les prévisions économiques du pays pour cette année. Pour atteindre cet objectif, la DGID prévoit la mise en place d’un dispositif légal et technique de facturation électronique, permettant un suivi en temps réel des flux financiers.

La démarche de « départementalisation progressive » est également envisagée pour rapprocher la DGID de ses usagers, améliorant ainsi le cadre législatif et la qualité des services fiscaux. Le cadastre, considéré comme le fer de lance de l’élargissement de l’assiette fiscale, sera au centre des préoccupations, avec des initiatives telles que la dématérialisation du livre foncier.

La DGID prévoit également d’améliorer le ciblage du contrôle fiscal en se concentrant sur des acteurs stratégiques tels que les professions libérales, les revenus fonciers et les personnes physiques à haut revenu. Ces mesures visent à renforcer la gestion fiscale et à optimiser les recettes pour soutenir le développement économique du pays.

Bruits de report : Macky dialogue et disloque son camp

En politique le hasard n’existe point ! Les détracteurs de Amadou Ba au sein de l’Apr pourraient avoir ce dernier à l’usure, si les nouveaux pourparlers entre le pouvoir et une partie de l’opposition débouchent sur un report de la présidentielle.

Il faut être né de la dernière pluie en politique pour croire que le chef de l’Etat va recevoir une partie de son opposition en ce moment crucial sans que, pour sauver sa face, la rencontre soit reliée à des d’obscurs calculs politiques.

Cette fois-ci, une fois n’est pas coutume, les apparences pourraient ne pas être trompeuses. Il y a un faisceau d’indices qui devraient amener l’observateur averti à admettre que Macky Sall gagnerait beaucoup à faire reporter la présidentielle, pour se donner le temps d’opter pour un autre format de transition qui écarterait Amadou Ba de la course.

Depuis quelque temps, on ne voit pas le président Sall s’afficher avec son candidat, au moins depuis qu’une image, largement partagée à travers les réseaux sociaux, montre le président de la République semblant snober son Premier ministre qui lui tendait la main pour le saluer avec la déférence due à son rang.

Plusieurs fois, le président Macky Sall a présidé des cérémonies auxquelles le Premier ministre n’a pas été associé.

Autre ombre au tableau : il laisse le ministre du Tourisme, Mame Mbaye Niang, multiplier les attaques contre le chef du gouvernement, comme si cela rencontrait son adhésion. Mame Mbaye a même poussé l’affront, à travers sa dernière sortie, jusqu’à révéler que des gens à l’Alliance pour la république, conseillent au président de le chasser du gouvernement à cause de ses assauts répétitifs.

En d’autres circonstances, Macky, qui n’est pas du genre à laisser ses ministres remettre en cause ses choix, l’aurait limogé depuis longtemps, comme il l’a fait avec tous ceux qui ramaient à contre-courant, au sujet de la question du « 3e  mandat » de Me Moussa Diop à Sorry Kaba, en passant par Moustapha Diakhaté.

Ainsi, avec cette phase 2 du dialogue à laquelle souscrit le Parti démocratique sénégalais, Amadou Ba doit craindre pour son sort.

De plus, même les « spoliés » des parrainages, qui n’ont pas répondu à l’invitation du président Macky Sall hier, mercredi, ne devraient pas cracher sur un dialogue.

Au fond, c’est de l’huile au coude des légitimistes au sein de l’Apr, qui ne vont pas s’en servir avec une maladresse d’ours pour avoir Amadou Ba à l’usure. Aminata Touré, qui s’illustre par un jeu d’ombre, ne devrait pas cracher sur ce dialogue, quand bien même elle fait semblant d’être toujours rancunière envers le chef de l’Etat.

Itou pour Pastef, qui pourrait en profiter pour obtenir des faveurs en faveur de Ousmane Sonko. Ce dernier pourrait revenir dans le jeu, si la présidentielle est reportée.

Finalement dans cette opération, le plus grand perdant risque d’être Amadou Ba.

Protection des données personnelles : Barou Diop, conseiller délégué, évoque les enjeux à la Cour suprême

Lors de l’audience solennelle de la rentrée des cours et tribunaux à la Cour suprême, qui s’est déroulée ce 25 janvier, Barou Diop, conseiller délégué, a abordé le thème crucial de la protection de la vie privée. Dans son discours devant le président du Conseil suprême de la Magistrature, également Chef de l’État, Barou Diop a mis en lumière l’importance fondamentale d’avoir une vie privée distincte de la vie publique.

Le conseiller délégué a profité de l’occasion pour exposer le dispositif normatif en place garantissant la protection de la vie privée. Il a rappelé plusieurs textes et règles qui témoignent du droit au respect de la vie privée de chaque individu. Au cours de son intervention, Barou Diop a mentionné que plus de 200 affaires liées à la vie privée ont été enregistrées au cours de l’année judiciaire précédente, soulignant ainsi l’ampleur de la problématique.

Barou Diop n’a pas éludé la question de la presse dans son discours. Il a critiqué le rôle de certains médias dans la multiplication des cas de diffamation. Le conseiller délégué a souligné que la diffamation est souvent associée à une atteinte à la vie privée et que la liberté d’information ne peut en aucun cas justifier une telle atteinte. Il a insisté sur l’obligation de la presse de respecter la vie privée, soulignant que le législateur sénégalais rappelle constamment cette obligation dans le code.

La protection des données personnelles est devenue un enjeu majeur à l’ère numérique, où les informations circulent rapidement. La réflexion autour de la vie privée et de la protection des données devient cruciale pour préserver les droits individuels dans un contexte de société de l’information.

Cette intervention de Barou Diop à la Cour suprême met en lumière l’importance de trouver un équilibre entre la liberté d’information et le respect de la vie privée, soulignant le rôle essentiel du système judiciaire dans la préservation de ces droits fondamentaux.

Aminata Angélique Manga à Victorine Ndéye : “De grâce, cessez de raconter des mensonges”.

Le Ministre Aminata Angélique Manga à Victorine Ndéye: “Quel culot de tenter d’interdire aux militants arborant T-shirts et pancartes à l’effigie de Angélique de mettre les pieds à Niaguis !”

Madame le ministre n’est ni réalité politique ni enjeu électoral!

«Immersion dans sa localité», vous dites ! Immersion : définition simple et facile du dictionnaire : passage, séjour d’une personne dans un autre pays, une autre société, un environnement ou une culture étrangère afin de mieux les comprendre. Merci Thérèse Sammy Boissy.
En voulant défendre l’indéfendable, vous avez fini d’admettre que vous n’êtes pas bien chez nous, à Niaguis, que vous « n’êtes Ziguinchoroise que de nom », tel votre néo politicienne aimait à le rappeler avec beaucoup de mépris envers les Casamançais, avant de se retrouver parachutée à Niaguis, faute d’avoir les reins solides pour la bataille de Ziguinchor. Paradoxalement, celle que vous traitez de « SDF », a son ancrage partout en Casamance. Elle a l’ancrage sociologique, l’ADN socioculturel, le sens élevé de la politique et le vécu qu’il faut pour prétendre parler et agir au nom des populations du Sud du Sénégal, contrairement à votre Apatride qui ne sait pas où mettre les pieds.
Donc subitement, celle qui vient de découvrir la région sans en connaitre nullement les cultures, et comment puisque n’ayant jamais vécu à Ziguinchor, < est devenue une réalité palpable >. Pouff de rires!!! Le cas échéant, elle ne se serait pas fait laminer outrageusement par « une politicienne en perte de vitesse »dont la mobilisation à Niaguis qui semble être votre fief, a bloqué le cortège du Premier ministre à telle enseigne que ce dernier a interpellé Angélique, (nommons la puisque vous êtes assez lâches et peureuses pour ne pas le faire), pour lui demander ce qui se passe. La vidéo dans laquelle le Pm Amadou Ba félicite Angélique pour sa mobilisation exceptionnelle a fini de faire le tour de la toile. Dégustez-la et respirez! Grand bien vous fera. Laminée à Niaguis, malmenée à Fanda, vous avez essayé de prendre votre revanche à Enampor dans son Royaume. Là vous avez reçu la raclée de votre vie, car malgré les millions dépensés pour acheter ses responsables et ses « Calebasses », vous avez appris à vos dépens qu’à Enampor, qu’à Ziguinchor, il n’y a qu’une seule Reine et elle s’appelle Angélique. Et de grâce, cessez de raconter des mensonges! Les « Calebasses de la Solidarité » ont été introduites à Ziguinchor et à Sédhiou depuis 2017 par cette digne fille de la région en partenariat avec la Suisse.
N’oubliez pas comment vous êtes venue à Ziguinchor, comment vous avez gagné Niaguis, comment vous avez été pernicieusement soutenue pour devenir maire! Et malgré tout, vous n’êtes passée que de justesse. Pas besoin de préciser la différence de voix! Vous savez. Nous savons. Et vous savez que nous savons.
Je comprends votre quête de légitimité à tout prix dans le département. Qui n’aurait pas tenté de faire pareil puisque votre électorat ne représente même pas 1% de l’électorat du département.
Mais dites moi Madame, quand vous achetez des militants déjà acquis à la cause du Parti, où est la plus-value que vous nous apportez? Quelle valeur ajoutée? Aucune ! Quand on veut justifier son inutilité, on finit cette fois-ci, oui, par créer la zizanie. Quel culot de tenter d’interdire aux militants arborant T-shirts et pancartes à l’effigie de Angélique de mettre les pieds à Niaguis! Do toko defati dé!
Votre réaction est symptomatique de la peur que vous avez suite à la grande mobilisation de cette dernière à Bignona, Ziguinchor, Enampor, Oussouye et Cap-Skirring.
« Angélique SDF », c’est curieux. Elle dont les parents sont domiciliés à Ziguinchor alors qu’il y en a une qui a été obligée d’acheter un domicile des mains d’un expatrié, juste avant les locales passées, afin de justifier sa résidence dans la commune qu’elle dirige. Thérèse Sammy Boissy, s’il y a SDF, c’est donc bien votre patronne.
Vous étiez où durant les difficiles moments de BBY à Ziguinchor? Vous vous glorifiez d’un bloc maraicher de moins d’un ha? Quel impact sur les centaines de femmes malgré tous les instruments dont vous disposez? Qu’avez-vous fait de concret à Niaguis ? Ce poste de santé inauguré par le Pm n’est-il pas un programme du PUMA bien antérieur à votre sélection à Niaguis? Le magasin de stockage n’est-il pas de la DER? N’êtes-vous pas présentement en train de vous débattre contre dans des problèmes liés au foncier ? Si ces mêmes populations vous adulent comme vous le prétendez, pourquoi importer des parents de Bissau, des personnes de Gambie, de Goudomp, de Bircama, de Simbandy pour vos mobilisations? Qui voulez-vous tromper avec vos folklores et fanfaronnades ? Si vous pensez que le tapis rouge vous sera déroulé à Ziguinchor pour faire votre défilé et déambuler comme bon vous semble, ma chère, c’est faire preuve de naïveté politique innommable ! Quand on pose des actes politiques, faut s’attendre à des réponses politiques.
En attente des prochains et des prochaines. Quand vous voulez, où vous voulez. Comme vous voulez. Cela ne dépend que de vous.
Pour cette fois, nous considérons que vous vous êtes trompée, ça peut arriver, c’est humain. Mais la prochaine fois, vous l’apprendrez à vos dépens. Déjà, retenez cette leçon, ça vous fera de l’expérience.

Mamadou Ba, Enseignant, Membre fondateur APR Ziguinchor,
Chef de Cabinet de Mme le Ministre Angélique MANGA GUEYE.

Les recalés de la Présidentielle rencontrent Macky Sall : Un plaidoyer pour une élection plus juste

Mercredi 24 janvier, une délégation composée de treize candidats recalés à l’élection présidentielle, ainsi que d’un représentant du Parti démocratique sénégalais (PDS), a été reçue en audience au palais de la République par le président Macky Sall. Au cœur des discussions, les dysfonctionnements du processus électoral, avec un accent particulier sur les problèmes liés au parrainage.

Parrainage, Diomaye Faye, Ousmane Sonko, Karim Wade: Ces points évoqués par les recalés devant …

Selon Alioune Sarr, porte-parole de la délégation, l’une des préoccupations majeures concerne les erreurs dans le système de parrainage. Les candidats ont souligné qu’en dehors de l’invalidité de la date de la carte nationale d’identité, qui sert de carte d’électeur, aucune autre raison ne devrait entraîner l’invalidation du parrainage. Ils ont insisté sur la nécessité d’apporter des corrections, affirmant que le Conseil constitutionnel n’est pas au-dessus de la loi.

Un autre point soulevé concerne le problème des candidats dont les parrainages n’ont pas été contrôlés en raison d’un fichier électronique inexploitable. Neuf candidats auraient été affectés par cette situation, entraînant la perte de parrains en raison de régions entières omises par le logiciel défaillant.

Par ailleurs, la délégation a alerté sur le risque que plus d’un million d’électeurs ne puissent pas voter en raison de leur absence sur le fichier électoral. Ils ont qualifié cette situation d’injustice et ont plaidé pour des mesures correctives rapides.

Les candidats recalés ont également évoqué la situation des jeunes compatriotes en prison. Ils ont exprimé le souhait de voir ces détenus libérés, soulignant que cela contribuerait à instaurer un climat électoral plus équilibré.

L’un des cas spécifiques mentionnés a été celui de Bassirou Diomaye Faye, candidat à la présidentielle, dont la libération a été demandée pour lui permettre de mener une campagne équitable avec les autres candidats.

Le porte-parole a également abordé la question de Karim Wade, rappelant qu’il avait été rejeté en 2019 pour des raisons spécifiques, mais que cette situation mérite d’être discutée compte tenu du rôle important joué par son parti, le PDS, sur le plan démocratique.

Concernant la candidature de Ousmane Sonko, la délégation a fait part de son espoir de voir le leader de Pastef revenir dans la course présidentielle si des corrections étaient apportées au processus électoral.

Cependant, le porte-parole a précisé que la question d’un éventuel report de l’élection présidentielle n’a pas été abordée lors de la rencontre avec le président Macky Sall. Les candidats restent optimistes quant à la possibilité de corriger les lacunes du processus sans compromettre la date prévue du scrutin, fixée au 25 février prochain. Une élection présidentielle plus juste et équilibrée demeure leur principal plaidoyer.

Les nominations en conseil des ministres du Mercredi 24 Janvier 2024

Le Président de la République a pris les décisions suivantes :

Madame Fatou Isidora MARA NIANG, Conseiller des Affaires étrangères principal, Ambassadeur, est nommée Secrétaire général du Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, en remplacement de Monsieur Mame Baba CISSE, appelé à d’autres fonctions.

Monsieur Maguèye GUEYE, Conseiller des Affaires étrangères, précédemment Adjoint au Directeur du Protocole, des Conférences et de la Traduction au Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, est nommé Directeur du Protocole, des Conférences et de la Traduction au Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, en remplacement de Monsieur Christian Alain Joseph ASSOGBA, appelé à d’autres fonctions.

Monsieur Bocar Malick MBOW, Ingénieur de Conception en Géologie et Géotechnique, est nommé Secrétaire général de l’Agence des Travaux et de Gestion des Routes (AGEROUTE Sénégal).

Madame Ramata DANFAKHA, Administrateur des services de santé, précédemment en service à la Direction générale des Etablissements de Santé, est nommé Directeur du Centre hospitalier régional Thierno Birahim NDAO de Kaffrine, en remplacement du Monsieur Babakar SENE, appelé à d’autres fonctions.

Monsieur Babakar SENE, Administrateur des services de santé, précédemment Directeur du Centre hospitalier régional Thierno Birahim NDAO de Kaffrine, est nommé Directeur du Centre hospitalier national Seydi El Hadji Malick SY de Tivaouane, poste vacant.

Monsieur Alioune FALL, Conseiller en Travail social, précédemment Responsable des ressources humaines à la Direction générale de l’Action sociale, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Thiès, poste vacant.

Monsieur Modou TINE, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de kaffrine, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Louga, poste vacant.

Monsieur Modou ANE, Conseiller en Travail social, précédemment en service à la Direction générale de l’Action sociale, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Kolda, poste vacant.

Monsieur El hadji Malick SALLA, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de Gossas, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Tambacounda, poste vacant.

Monsieur Aliou DIA GUEYE, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de Linguère, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Saint-Louis, poste vacant.

Monsieur Abdoul Hamady BA, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de Fatick, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Matam, poste vacant.

Monsieur Mamadou DIEYE, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de Nioro, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Fatick.

Madame Rokhaya TERA, Titulaire d’un Diplôme supérieur de Comptabilité et de Gestion, est nommée Inspecteur des Affaires administratives et financières au Ministère de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur informel, poste vacant.

Monsieur Cheikh BA, Titulaire d’un Doctorat d’Etat en Relations internationales, est nommé Inspecteur technique au Ministère de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur informel, poste vacant.

Communique du conseil des ministres du Mercredi 24 Janvier 2024

Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 24 janvier 2024 au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Macky SALL.

A l’entame de sa communication, le Président de la République a présenté ses condoléances aux familles des victimes de l’accident de la route, survenu hier nuit entre Gossas et Diourbel, et souhaité un prompt rétablissement aux blessés.

Poursuivant son adresse, le Président de la République a particulièrement félicité et encouragé les joueurs et l’encadrement de l’équipe nationale de Football du Sénégal, les « Lions de la Téranga », pour leur brillante qualification aux 8èmes de finale de la 34ème édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) qui se déroule en République de Côte d’Ivoire.

Le Chef de l’Etat est par la suite revenu sur l’inauguration du Bus Rapid Transit (BRT), le 14 janvier 2024, en remerciant les autorités administratives, les maires et populations mobilisées, pour l’accueil chaleureux le long du trajet.

Il a également félicité le Ministre des Infrastructures, des Transports Terrestres et du Désenclavement, l’Administration territoriale, les maires des communes traversées, le CETUD, l’AGEROUTE et la société d’Exploitation Dakar Mobility pour le travail remarquable effectué afin d’assurer la mise en service, dans les délais, du BRT : un moyen de transport moderne qui va faciliter les déplacements et améliorer le cadre de vie dans les départements de Guédiawaye et Dakar.

Le Président de la République a ainsi invité le Ministre des Transports terrestres à accélérer la restructuration des réseaux de transport dans la région de Dakar et à intensifier le processus d’actualisation du plan de circulation (des camions, bus, taxis, véhicules de tourisme, cyclomoteurs et autres) dans la capitale.

Abordant le développement et le financement durable de l’entretien routier, le Président de la République a notamment magnifié la réalisation, depuis 2012, de près de 3000 km de routes revêtues, de 7000 km de pistes aménagées, de 23 ponts et de 289 km d’autoroutes réceptionnées (ou en cours), sans compter les 200 km d’autoroutes dont le financement est acquis, concernant l’axe Tivaouane Saint – Louis. A cet égard, le Chef de l’Etat a demandé au Gouvernement de renforcer les ressources à l’entretien du réseau routier classé et d’engager une évaluation pragmatique et une réflexion stratégique sur la doctrine financière appliquée au Fonds d’Entretien routier Autonome ( FERA).

Le Chef de l’Etat a, enfin, demandé, au Ministre chargé des Infrastructures, d’accélérer la mise en œuvre du Programme Spécial de Désenclavement.

Revenant sur la séance solennelle 2024 , de l’Académie nationale des Sciences et Techniques du Sénégal sur le thème « L’intelligence artificielle : enjeux éthiques et défis humains », qu’il a présidée, le 15 janvier 2024, le Chef de l’Etat a félicité les membres de l’Académie pour leur contribution majeure au développement éducatif, scientifique et technique du Sénégal.

Il a demandé au Premier Ministre d’asseoir le renforcement de l’institution qui s’érige, de par sa composition et des expertises membres, en véritable Conseil stratégique du Gouvernement sur les questions scientifiques et techniques.

Le Président de la République a, par ailleurs, invité le Ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique à finaliser, dans les meilleurs délais, le processus de validation inclusive, de la Stratégie nationale d’Intelligence artificielle, afin d’assurer de son financement rapide et son déploiement systématique.

Sur le climat social, la gestion et le suivi des affaires intérieures, le Chef de l’Etat est revenu sur les sujets suivants :

● le succès et les enseignements de la Journée nationale de l’Equité, tenue le 16 janvier 2024 : en félicitant la Ministre du Développement Communautaire, de la Solidarité nationale et de l’Equité sociale et territoriale et l’ensemble des responsables de programmes impliqués pour les résultats exceptionnels obtenus, en termes de réalisations d’infrastructures et d’interventions sociales, dans toutes les communes et localités du Sénégal, matérialisant ainsi la politique d’inclusion. Le Président de la République a notamment invité le Gouvernement à finaliser le projet de loi d’orientation de la Protection sociale et la mise en place de la Caisse Autonome de Protection sociale Universelle (CAPSU).

● la préservation du Patrimoine historique de Saint- Louis : en demandant aux Ministres en charge de la Culture et du Patrimoine historique, de l’Urbanisme et des Domaines, de prendre toutes les mesures requises, en liaison avec la commune de Saint- Louis, pour protéger les sites et monuments nécessaires à la préservation du classement de l’île de Saint- Louis dans le Patrimoine mondial de l’UNESCO.

AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES

● le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur la situation internationale ;

● le Ministre des Finances et du Budget a fait une communication sur la situation d’exécution budgétaire ;

● le Ministre, auprès du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, chargé de la Bonne gouvernance et de la Promotion des Droits humains a fait une communication sur la préparation du Forum national sur les droits humains et de la bonne Gouvernance.

CAN 2024: Sénégal-Côte d’Ivoire, Nigeria-Cameroun, Mali-Burkina, Le calendrier des huitièmes de finale (Horaires en TU)

Les huitièmes de finale de la CAN 2024 débutent ce samedi 27 janvier avec l’affiche Angola-Namibie et finissent mardi 30 janvier sur un Maroc-Afrique du Sud. Entre-temps, il ne faudra pas rater les chocs Nigeria-Cameroun, Mali-Burkina Faso, et surtout Sénégal-Côte d’Ivoire.

La phase de groupe de la CAN 2024 a pris fin ce mercredi 24 janvier et on connaît désormais les 16 pays qualifiés pour les huitièmes de finale de la CAN 2024. Le miracle ivoirien a eu lieu et les Éléphants se sont qualifiés grâce à la défaite de la Zambie face au Maroc (0-1) Mais la Côte d’Ivoire, qui a limogé son sélectionneur ce mercredi, va devoir faire beaucoup mieux que lors du premier tour pour réussir l’exploit de sortir le Sénégal, champion d’Afrique en titre et intraitable depuis le début de la CAN avec trois victoires en trois matches.
Le choc Nigeria-Cameroun vaudra également le détour entre deux équipes se sont croisées au même stade de la compétition à la CAN 2019 en Égypte. Les Super eagles étaient sortis vainqueurs du duel (3-2).
Épatante au premier tour, la Guinée équatoriale, avec le meilleur buteur de la compétition, Emilio Nsue (5 buts), affrontera la Guinée et voudra rester sur sa lancée du premier tour en ayant terminé première d’une poule où logeaient la Côte d’Ivoire et le Nigeria. En trois participations, le Nzalang Nacional a toujours atteint les quarts de finale.
Miraculée au premier tour, l’Égypte, recordman des titres (7), devra sortir le grand jeu pour se défaire de la RD Congo qui a l’air d’en avoir gardé sous la semelle au premier tour.
La faillite des gros comme l’Algérie, la Tunisie, le Ghana accouché d’affiches surprises comme Angola-Namibie ou Cap-Vert-Mauritanie des petits derbys entre invités surprises.
Le match des outsiders pour le titre sera aussi un beau derby de l’AFrique de l’Ouest entre le Mali et le Burkina Faso.

Samedi 27 janvier

17h : Angola- Namibie, Stade de la Paix (Bouaké)

20h: Nigeria – Cameroun, Stade Felix Houphouet – Boigny (Abidjan)

Dimanche 28 janvier

17h : Guinée Équatoriale – Guinée, Stade Alassane – Ouattara (Ebimpé)

20h : Égypte – RD Congo, Stade Laurent – Pokou (San Pedro)

Lundi 29 janvier

17h : Cap-Vert – Mauritanie, Stade Felix Houphouet – Boigny
(Abidjan)

20h : Sénégal-Côte d’Ivoire, Stade Charles Konan Banny (Yamoussoukro)

Mardi 30 janvier

17h: Mali-Burkina Faso, Stade Amadou Gon-Coulibaly (Korogho)

20h: Maroc-Afrique du Sud, Stade Laurent-Pokou (San Pedro)

Limogeage de Jean-Louis Gasset : Tournant majeur pour les Éléphants de Côte d’Ivoire à la CAN 2024

La Côte d’Ivoire connaît un tournant majeur dans sa campagne à la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024, avec le limogeage du sélectionneur français Jean-Louis Gasset. La décision fait suite à l’humiliation subie par l’équipe face à la Guinée équatoriale (4-0) et vise à apporter un nouvel élan à la formation ivoirienne.

La déroute contre la Guinée équatoriale a été le déclencheur de cette décision, accentuant la pression sur Jean-Louis Gasset. Les choix tactiques critiqués et les performances décevantes ont conduit à son limogeage, ainsi que celui de son adjoint Ghislain Printant, en raison de « résultats insuffisants, conformément au contrat d’objectif qui les lie à la FIF » (Fédération Ivoirienne de Football), comme l’a annoncé le communiqué officiel.

Le départ de Gasset intervient à un moment crucial de la compétition, alors que la Côte d’Ivoire reste en lice pour une éventuelle qualification en huitièmes de finale. Cependant, la FIF a pris la décision de mettre fin à la collaboration en raison de la nécessité d’un changement immédiat pour relever le niveau de l’équipe.

Le choix du remplaçant s’est porté sur l’ancien international Emerse Fae, qui compte 44 sélections avec les Éléphants. Il hérite ainsi d’une mission délicate, d’autant plus que la Côte d’Ivoire pourrait se qualifier pour un choc contre le champion en titre, le Sénégal, si elle atteint les huitièmes de finale.

La déception suite à la défaite contre la Guinée équatoriale s’est manifestée également dans la réaction des supporters, avec des échauffourées et des dégradations de bus après le match. La nomination d’Emerse Fae représente un nouveau départ pour les Éléphants, avec l’espoir de renouer avec le succès et de redonner confiance aux supporters ivoiriens.

Forum régional sur les mutilations génitales féminines, Ziguinchor est dans les régions qui occupent la quatrième place

Sous l’impulsion de l’adjoint au gouverneur de la région chargé des affaires administratives, Sidi Guissé Diongue, un forum régional sur les mutilations génitales féminines (MGF) s’est tenu ce mercredi 24 janvier 2024. Organisé par le ministère de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’Enfant à travers sa représentation régionale, cet événement visait à réunir les acteurs concernés pour échanger sur les solutions à adopter pour éradiquer les MGF.

Mariama Diallo, directrice régionale de la famille de Ziguinchor, a souligné l’importance de cette initiative dans la lutte contre les MGF au niveau national. Elle a rappelé les conséquences néfastes de ces pratiques sur la santé reproductive des femmes et a souligné les efforts déployés pour sensibiliser les femmes et les communautés locales.

Flavien Mandef, juriste et éducateur spécialisé à l’AEMO, a mis en lumière le lien entre les pratiques de MGF et les régions frontalières. Il a souligné que les régions situées à proximité des frontières sont les plus touchées en raison des pratiques plus courantes dans les pays voisins.

Les données présentées par le spécialiste ont révélé que les régions de Ziguinchor, Sédhiou et Kolda sont particulièrement affectées en raison de la présence d’ethnies pratiquant les MGF. Cette réalité ethnique a conduit à des taux élevés de MGF dans ces régions.

Fatou Cissé, présidente régionale des Badiènes Gox, a appelé à une mobilisation collective pour lutter contre ce phénomène. Elle a souligné le besoin d’une implication de tous les acteurs et a noté que la législation actuelle ne prévoit pas de mécanismes de dénonciation efficaces.

En conclusion, il ressort de ce forum que les MGF sont une pratique répandue dans les régions frontalières, avec des taux élevés dans les zones de Matam à Sédhiou et Kolda. Cependant, des efforts sont déployés pour sensibiliser et éduquer les communautés locales, et des partenariats sont en cours pour lutter contre ce fléau.

AS – Le Dakarois Ziguinchor

CAN 2024 : La Tunisie éliminée, la Namibie décroche une qualification historique

La phase de groupes de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024 touche à sa fin, et avec elle, son lot de rebondissements. Dans le groupe E, la Tunisie a été éliminée après un match nul décevant contre l’Afrique du Sud, tandis que la Namibie a décroché une qualification historique en tenant en échec le Mali.

Le duel entre la Tunisie et l’Afrique du Sud a abouti à un triste 0-0, scellant le destin des Aigles de Carthage qui n’ont pu démontrer le niveau de jeu nécessaire pour accéder aux huitièmes de finale. Malgré quelques rares occasions, la Tunisie n’a pas su trouver l’efficacité offensive requise pour survivre dans la compétition. Les Bafana Bafana, de leur côté, se contentent d’une deuxième place dans le groupe avec quatre points.

Dans l’autre match décisif du groupe, la Namibie a écrit une page d’histoire en assurant un autre match nul, cette fois contre le Mali. Le 0-0 a suffi pour permettre aux Brave Warriors d’accéder aux huitièmes de finale, une réalisation exceptionnelle pour cette équipe qui participe pour la quatrième fois à la phase finale de la CAN.

L’attaquant Peter Shalulile, capitaine de la Namibie et joueur des Mamelodi Sundowns en Afrique du Sud, avait déclaré avant le match : « On va faire de notre mieux. La Namibie n’a aucune pression. Ce sera un match fantastique. » Cette affirmation s’est concrétisée sur le terrain, et le 0-0 a assuré à la Namibie une place parmi les meilleurs troisièmes, marquant ainsi un moment historique pour le football namibien.

Malgré la stérilité offensive du match, la Namibie a eu l’occasion la plus nette avec une frappe de Prins Menelik Tjiueza détournée sur le poteau. Les Maliens, de leur côté, ont tenté de répliquer, mais le manque de précision a caractérisé leurs tentatives.

La réaction joyeuse des Namibiens après la qualification historique en huitièmes de finale a été palpable. Deon Hotto, milieu de terrain des Orlando Pirates en Afrique du Sud et élu homme du match, exprimait sa fierté du travail d’équipe. Le coach Collin Benjamin soulignait quant à lui l’importance de cet exploit pour la petite nation namibienne, offrant un message d’espoir à tous les Namibiens.

Ainsi, la phase éliminatoire de la CAN 2024 s’annonce riche en émotions, avec des équipes comme la Namibie qui transcendent les attentes et écrivent leur propre histoire sur la scène continentale. Les huitièmes de finale promettent des rencontres passionnantes alors que la compétition atteint son apogée.

CAN 2024 : Le Sénégal veut maintenir le cap après un parcours sans faute

La Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024 se déroule avec son lot de surprises et de performances exceptionnelles. Dans ce contexte compétitif, le Sénégal, en tant que tenant du titre, s’est illustré dès le début de la compétition avec un parcours sans faute. La formation dirigée par le sélectionneur Aliou Cissé a remporté ses trois premiers matchs du groupe, face à la Gambie, au Cameroun et à la Guinée, démontrant ainsi sa force et sa détermination.

La difficulté du groupe dans lequel les Lions de la Teranga étaient engagés était telle que certains observateurs qualifiaient celui-ci de « groupe de la mort ». La pression était forte, avec la traditionnelle malédiction du champion en titre qui semble hanter cette compétition continentale. Cependant, le Sénégal a su rester concentré, affichant une qualité de jeu collective impressionnante.

Le bilan chiffré des réalisations sénégalaises est tout aussi remarquable. Avec huit buts marqués en trois matchs, l’attaque des Lions de la Teranga démontre une efficacité redoutable. Cette performance offensive a contribué à asseoir la confiance de l’équipe et à écarter les doutes qui peuvent surgir dans une compétition d’une telle envergure.

Aliou Cissé, le sélectionneur, attribue le succès de son équipe à une approche axée sur le collectif. « C’est un jeu qui met en valeur nos milieux de terrain, nos attaquants. Avant, on misait plus sur des individualités, aujourd’hui c’est beaucoup plus sur le collectif que cette équipe a été conçue », explique-t-il.

La déclaration d’Aliou Cissé démontre la philosophie de son équipe, qui privilégie la solidarité et la cohésion de groupe. Cette approche semble porter ses fruits, et le Sénégal se profile désormais comme l’un des favoris pour remporter la CAN 2024.

Bien que l’objectif final avoué soit de conserver le titre remporté lors de l’édition précédente, le sélectionneur préfère adopter une approche pragmatique. « Nous avons envie de rester dans le présent. Le présent, ce sont les huitièmes de finale. En arrivant ici, on s’est promis de jouer sept matchs, on en a joué trois, il nous en reste quatre », souligne Aliou Cissé.

Sadio Mané, la star emblématique de l’équipe sénégalaise, partage cet état d’esprit réaliste en affirmant : « On va prendre match après match pour essayer d’aller au bout. » Cette humilité et cette concentration sur l’instant présent illustrent la maturité et la détermination de l’équipe sénégalaise.

Malgré la réussite actuelle, Aliou Cissé met en garde contre tout excès de confiance en soulignant l’importance de « rester humble et continuer à travailler car tout peut arriver. » Le parcours en phase éliminatoire sera sans aucun doute un nouveau défi, et le Sénégal devra maintenir son niveau de performance élevé pour atteindre ses objectifs.

Le Sénégal, avec son parcours sans faute lors de la phase de groupes, s’affirme comme l’un des principaux prétendants au titre de la CAN 2024. Les attentes sont élevées, mais l’équipe dirigée par Aliou Cissé semble prête à relever tous les défis sur la route de la consécration continentale.

CAN 2024 : La Namibie ambitionne d’écrire l’histoire face au Mali

Si elle réussit à éviter la défaite contre le Mali à San Pedro ce mercredi 24 janvier, la Namibie réalisera un exploit historique en accédant aux huitièmes de finale pour la première fois de son histoire en quatre participations en phase finale. Un rêve partagé par tous les Brave Warriors.

Bien que le Mali soit considéré comme favori sur le papier, déjà qualifié pour les huitièmes de finale, le capitaine namibien, Peter Shalulile, souligne que son équipe n’éprouve aucune pression. Il exprime sa confiance dans les compétences de l’équipe et se montre optimiste quant à la possibilité de réaliser un match fantastique.

« Nous allons faire de notre mieux. La Namibie n’a aucune pression. Ce sera un match fantastique », déclare Peter Shalulile. L’attaquant des Mamelodi Sundowns, malgré son absence de buts lors de cette édition, exprime sa fierté de représenter sa petite nation en Côte d’Ivoire. Il met l’accent sur l’esprit d’équipe et la fraternité au sein de l’équipe, soulignant que peu importe le résultat contre le Mali, il restera fier de l’équipe, de ses coéquipiers et du staff.

La Namibie a remporté son premier match contre la Tunisie (1-0) avant de subir une défaite face à l’Afrique du Sud (4-0). Malgré le revers, l’entraîneur Collin Benjamin reste optimiste. « La défaite face à l’Afrique du Sud est digérée. Le foot, c’est de l’émotion, il y a des hauts et des bas. Oui, il y aura de l’énergie dans notre équipe. Ce qui est magnifique dans le foot, c’est que l’on peut rebondir. »

Éric Chelle, le sélectionneur du Mali, reconnaît l’importance du match contre la Namibie et souligne le respect envers cette équipe. « C’est une CAN très intéressante et très ouverte. On est humble et on a envie de bien faire. On respecte la Namibie qui a une identité de jeu avec un bon coach. C’est une équipe très intéressante. Les Namibiens sont capables de mettre beaucoup d’intensité. »

Sikou Niakaté, défenseur malien du Sporting Braga, exprime son anticipation envers le match, soulignant l’ambition de la Namibie et affirmant que chaque nation a son mot à dire dans ce tournoi relevé.

Madiambal Diagne rejette catégoriquement l’idée d’un report des Élections Présidentielles : « Ce serait un Coup d’État »

Le journaliste émérite Madiambal Diagne a exprimé son opposition ferme à toute tentative de report des élections présidentielles au Sénégal, prévues pour le 25 février 2024. Dans une déclaration forte, le Président du groupe Avenir Communication, éditeur du journal Le Quotidien, a qualifié toute action en faveur d’un report d’un « coup d’État pur et simple ».

Madiambal Diagne insiste sur le caractère inclusif de l’élection présidentielle sénégalaise, avec la participation de 20 candidats, soulignant qu’il n’y a aucun motif légal permettant un report. Selon lui, le Sénégal ne mérite pas de telles velléités qui pourraient compromettre le processus démocratique en place.

Il souligne également que le report de l’élection présidentielle serait une violation flagrante de la démocratie et pourrait entraîner des conséquences graves pour la stabilité politique du pays. Sa déclaration reflète une préoccupation partagée par de nombreux observateurs et citoyens alors que le pays se dirige vers un moment crucial de son histoire politique.

Tensions Politiques au Sénégal: Action républicaine rejette l’idée d’un report des élections Présidentielles de 2024″

La scène politique sénégalaise est secouée par des tensions croissantes, alors que des candidats recalés par le parrainage pour les élections présidentielles demandent un report du scrutin en remettant en question l’intégrité du fichier électoral. Cependant, le mouvement Action Républicaine s’oppose fermement à cette demande, affirmant que le processus électoral est transparent et que tout report pourrait avoir des conséquences graves sur la stabilité politique du pays.

El Hadji Almareme Faye, coordonnateur du mouvement Action Républicaine, a exprimé son désaccord avec l’idée d’un report des élections, soulignant la fluidité et la rectitude du fichier électoral. Selon lui, le processus électoral, y compris la vérification des candidatures par le Conseil constitutionnel, a été mené de manière transparente et inclusive.

Le mouvement condamne ce qu’il considère comme un « débat puéril, malsain, voire ridicule » initié par les candidats recalés et une partie de la mouvance présidentielle. Ils estiment que remettre en question le calendrier électoral pourrait entraîner des troubles et retarder la mise en œuvre de politiques publiques nécessaires au bon fonctionnement des institutions.

Almareme Faye a salué la maturité de la démocratie sénégalaise et le travail de la Direction générale des élections (DGE) ainsi que du Conseil constitutionnel dans la vérification des candidatures. Il a également rappelé le choix du président sortant, Macky Sall, de ne pas se représenter pour un troisième mandat, montrant ainsi sa volonté de préserver la stabilité du pays.

Le mouvement Action Républicaine appelle à l’union sacrée de toutes les forces politiques et invite à la victoire éclatante d’Amadou Ba dès le premier tour des élections. Ils considèrent que le profil d’Amadou Ba est nécessaire pour assurer la continuité vers l’émergence du pays, soulignant son expérience et son engagement envers le Plan Sénégal Émergent (PSE).

La situation politique reste tendue au Sénégal, avec des débats animés autour du processus électoral et des appels à la vigilance pour garantir des élections libres et équitables. La communauté internationale surveille de près l’évolution de la situation, soulignant l’importance de maintenir la stabilité politique dans la région.

Présidentielles 2024 : Les Jeunes Libéraux manifestent contre l’exclusion de Karim Wade

Les dernières heures ont été marquées par des manifestations et des tensions au Sénégal, alors que les jeunes libéraux expriment leur mécontentement face à l’exclusion de Karim Wade des élections présidentielles prévues pour 2024. La situation a atteint un point critique avec des barrages routiers sur la Voie de Dégagement Nord (VDN) à Dakar, perturbant la circulation et attirant l’attention nationale sur les enjeux politiques.

L’exclusion de Karim Wade, ancien ministre d’État et fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, a suscité un fort mécontentement parmi les jeunes libéraux, membres de l’Union des Jeunesses Travaillistes et Libérales (UJTL). Ils dénoncent ce qu’ils considèrent comme une manœuvre antidémocratique visant à écarter un candidat sérieux du processus électoral.

La principale raison invoquée pour l’exclusion de Karim Wade est la question de la double nationalité. Cependant, les partisans de Wade affirment qu’il a renoncé à sa nationalité française en 2018, fournissant des preuves telles qu’une déclaration de perte signée par le consul de l’ambassade de France au Qatar et un décret de renonciation publié par le gouvernement français. Malgré ces preuves, le Conseil constitutionnel aurait maintenu l’exclusion de Wade de la liste des candidats.

L’UJTL a émis une déclaration exigeant la réintégration immédiate de Karim Wade parmi les candidats à la présidentielle et appelant à la mobilisation des jeunes dans tout le pays. Ils invitent également la direction du Parti démocratique sénégalais (PDS) et la coalition KARIM2024 à utiliser tous les moyens légaux pour rétablir les droits de Karim Wade.

Face à ces manifestations, les forces de défense et de sécurité, notamment la gendarmerie, ont été déployées pour rétablir l’ordre et dégager les barrages routiers. La situation reste tendue, soulignant les divisions politiques profondes et les enjeux émotionnels entourant le processus électoral au Sénégal.

La communauté internationale observe de près l’évolution de la situation, soulignant l’importance de garantir des élections libres, équitables et transparentes pour assurer la stabilité politique et la démocratie dans le pays. Les prochains jours seront cruciaux pour voir comment les acteurs politiques et les autorités sénégalaises répondront à cette montée de tensions.

Sanctions après des propos racistes : Walid Regragui suspendu de manière significative

Le monde du football est de nouveau confronté à un triste épisode de propos racistes, cette fois-ci dirigés contre le joueur congolais Mbemba. Walid Regragui, acteur présumé de ces comportements inacceptables, se voit infliger une suspension notable en réponse à cette violation grave des principes d’inclusion et de respect.

La sentence, émise après une enquête approfondie, impose à Walid Regragui une suspension de 4 matchs, dont 2 avec sursis. Ces mesures disciplinaires soulignent l’engagement des instances dirigeantes du football à prendre des sanctions sévères pour éradiquer le racisme du sport.

Le fait que de tels incidents surviennent malgré les efforts continus pour promouvoir la diversité et l’égalité dans le football met en évidence la nécessité persistante de sensibilisation et d’éducation. Les joueurs, les dirigeants et les supporters doivent unir leurs forces pour créer un environnement sportif inclusif où le racisme n’a pas sa place.

Il est important de noter que ces événements ont été rapportés par Ledakarois.sn, soulignant ainsi le rôle crucial des médias dans la dénonciation et la sensibilisation autour de ces questions. L’affaire suscite également des discussions sur la manière dont le football peut continuer à évoluer vers un espace respectueux et égalitaire pour tous.

En fin de compte, cette suspension envoie un message clair : le racisme n’a pas sa place dans le football ni dans la société. Les autorités sportives et les acteurs du football ont la responsabilité collective de faire en sorte que ces incidents soient traités avec rigueur et que des mesures préventives soient mises en place pour éliminer le racisme du sport que nous chérissons tous.

Énigme politique : Mimi Touré reçue nuitamment par Macky Sall

Le paysage politique sénégalais s’est récemment trouvé plongé dans une énigme intrigante, alimentée par des rumeurs persistantes d’une rencontre secrète entre Mimi Touré et le président Macky Sall. Cette mystérieuse audience aurait été en réponse à la requête des collectifs des candidats spoliés, qui sollicitaient l’intervention du chef de l’État pour mettre un terme au processus de parrainage.

L’annonce de cette audience a provoqué des réactions divergentes parmi les candidats recalés, en particulier d’Aminata Touré, qui a catégoriquement refusé de rencontrer le Président. Cette décision soulève des interrogations sur les intentions de Mimi Touré dans ce contexte politique délicat.

Selon des sources dignes de confiance de ledakarois.sn, le Président Macky Sall aurait déjà reçu secrètement un leader des candidats recalés. Cette rencontre nocturne se serait déroulée à Mermoz, dans la nuit du dimanche au lundi, vers 1h30 du matin. La même source indique que le leader en question aurait pris l’engagement de se distancier publiquement dès l’annonce de l’audience présidentielle.

La question qui se pose maintenant est de savoir si Mimi Touré serait également reçue par Macky Sall dans des circonstances similaires? La démarche d’Aminata Touré, initiatrice de la lettre adressée au Président, de se démarquer soulève des interrogations quant aux motivations de ces acteurs politiques.

L’ensemble de ces événements semble indiquer que la rencontre secrète entre le leader des candidats recalés et le Président de la République pourrait être l’élément déclencheur de cette audience, créant ainsi un climat politique encore plus complexe et intrigant au Sénégal. Seule l’annonce officielle de ces acteurs politiques pourrait lever le voile sur cette énigme et apporter des éclaircissements sur les dynamiques en jeu.

URGENT – Accident sur la route de Porokhane : 9 morts et plusieurs blessés dans une collision entre un Toyota « Mbacké-Touba » et un bus Tata (Vidéo)

Un grave accident de la circulation s’est produit aujourd’hui sur la route de Porokhane, à hauteur de Diourbel, laissant un lourd bilan de 9 morts et de nombreux blessés. Les premières informations indiquent qu’un véhicule de type Toyota « Mbacké-Touba » aurait été impliqué dans une collision avec un bus Tata.

Urgent 🚨 Acc!dent sur la Route de Porokhane : 9 M0rts et Plusieurs Blessés

L’accident s’est produit aux alentours de 01h du matin, lorsque le Toyota « Mbacké-Touba » et le bus Tata sont entrés en collision, provoquant un choc violent. Les autorités locales et les services d’urgence ont rapidement été dépêchés sur les lieux pour porter secours aux victimes et gérer la situation.

Malheureusement, le bilan initial de l’accident est tragique, avec neuf personnes déclarées décédées sur les lieux. De plus, plusieurs passagers ont été blessés et ont été transportés d’urgence vers les établissements de santé les plus proches pour recevoir des soins médicaux appropriés.

Les équipes de secours ont travaillé sans relâche pour extraire les victimes des véhicules impliqués, coordonner les opérations de sauvetage et fournir les premiers soins nécessaires. Les blessés ont été évacués vers les hôpitaux de la région, où leur état de santé sera évalué de manière approfondie.

Une enquête approfondie a été lancée pour déterminer les circonstances exactes de l’accident. Les experts en accidentologie et les forces de l’ordre examineront les éléments sur place, recueilleront des témoignages et examineront les données des véhicules impliqués pour comprendre les causes de cette tragédie.

Cet accident tragique souligne l’importance cruciale de respecter les règles de conduite, de rester vigilant sur la route et de prendre toutes les précautions nécessaires pour assurer la sécurité des conducteurs et des passagers. Les autorités lancent un appel à la prudence et rappellent l’importance de respecter les limitations de vitesse et les règles de conduite.

Cet événement douloureux laisse la communauté endeuillée, et nos pensées vont aux familles des victimes ainsi qu’aux personnes touchées par ce drame.

CAN 2023 – Réaction de Fousseni Diawara l’adjoint du coach guinéen après la défaite face au Sénégal

Suite à la défaite de l’équipe guinéenne contre le Sénégal lors de la phase de groupes de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023, l’adjoint du coach guinéen, X, s’est exprimé lors d’une conférence de presse.

Can 2023 : Fousseni Diawara l'adjoint du coach guinéen se prononce sur leur défaite face au Sénégal

X a commencé par féliciter l’équipe sénégalaise pour sa performance et a reconnu la qualité de jeu de l’adversaire. « Le Sénégal est une grande équipe avec des joueurs de classe mondiale. Ils ont bien joué et méritent la victoire », a déclaré X.

Il a ensuite analysé les aspects du jeu où l’équipe guinéenne pourrait s’améliorer. « Nous devons apprendre de nos erreurs. La compétition est encore longue, et nous avons des opportunités pour montrer notre vrai potentiel », a ajouté X.

L’adjoint du coach a souligné l’importance de rester concentré et positif malgré la défaite. « La défaite est difficile à accepter, mais nous devons rester concentrés et positifs. Il y a encore des matchs à jouer, et nous sommes déterminés à faire mieux », a-t-il expliqué.

X a conclu en remerciant les supporters guinéens pour leur soutien continu et a assuré qu’ils feront de leur mieux pour les rendre fiers lors des prochaines rencontres.

L’équipe guinéenne cherchera à rebondir dans les prochains matchs de la CAN 2023 et à progresser dans le tournoi malgré ce revers initial.

Aliou Cissé Élogieux envers Sadio Mané : « On a le sentiment que… »

Après la victoire du Sénégal face à la Guinée (2-0), où Sadio Mané a joué un rôle décisif en fournissant une passe pour le but d’Ilimane Ndiaye, le sélectionneur Aliou Cissé a exprimé sa satisfaction à l’égard des performances de la star du football sénégalais.

« Sadio Mané monte en puissance depuis le début de la compétition. C’est le propre des grands joueurs. On a le sentiment que plus le match avance, mieux il le sent et on attend qu’il soit décisif », a déclaré Cissé lors de la conférence de presse après le match.

Ces éloges soulignent la montée en puissance de Sadio Mané et son influence grandissante au fil des matches de la Coupe d’Afrique des Nations, renforçant ainsi son statut en tant que joueur clé pour l’équipe sénégalaise dans la quête de défendre son titre de champion d’Afrique.

Aliou Cissé Satisfait après la victoire du Sénégal : ‘On était dans le groupe de la mort

Suite à la victoire convaincante du Sénégal face à la Guinée (2-0) dans le dernier match de poule, le sélectionneur des Lions, Aliou Cissé, exprime sa grande satisfaction envers ses joueurs. Ayant triomphé dans ce qui était qualifié de « groupe de la mort », Cissé souligne la capacité de son équipe à assumer son statut et à sortir victorieuse de cette phase de la compétition.

Aliou Cissé Satisfait après la victoire du Sénégal : "On était dans le groupe de la mort"

« C’est une grosse satisfaction. Je suis satisfait de mes joueurs. C’était un groupe très compliqué et certains disaient même qu’il s’agissait du groupe de la mort. On a pu éviter la malédiction du champion et vraiment je suis satisfait du rendement obtenu sur ces trois matchs. On n’a pas dormi sur nos lauriers (…) », déclare Cissé.

Il évoque également la défaite en finale de 2019 contre l’Algérie, soulignant que cette expérience a permis à l’équipe d’apprendre et de revenir deux ans plus tard pour remporter la CAN au Cameroun. Cissé met en avant la continuité de l’équipe avec la présence de nombreux joueurs qui étaient déjà là en 2019, soulignant le parcours collectif de l’équipe au cours des huit ou neuf dernières années.

« On est ensemble depuis huit ou neuf ans et on a appris dans la souffrance et la douleur. Parfois perdre n’empêche pas de progresser », conclut le sélectionneur, mettant en avant la résilience et l’apprentissage à travers les expériences difficiles de l’équipe.

CAN 2023 – Gana Guèye : « Il faut bien se reposer et rester concentré avec beaucoup d’humilité pour la suite »

Après la victoire convaincante du Sénégal contre la Guinée lors de la phase de groupes de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023, le capitaine emblématique de l’équipe, Sadio Mané, a partagé ses réflexions lors d’une conférence de presse.

Can 23 - Gana: ''Il faut bien se reposer et rester concentré avec beaucoup d'humilité pour la...''

Sadio Mané a souligné l’importance de bien se reposer et de rester concentré en vue des prochaines étapes du tournoi. « Il faut bien se reposer et rester concentré avec beaucoup d’humilité pour la suite », a déclaré Mané.

Le joueur vedette du Sénégal a également exprimé sa gratitude envers les supporters sénégalais qui ont été un soutien essentiel pour l’équipe. « On sait que tout un peuple est derrière nous. On est très contents de les avoir à nos côtés. On va tout faire pour les rendre heureux », a ajouté Sadio Mané.

La victoire contre la Guinée a permis au Sénégal de remporter le Groupe C et de se qualifier pour les huitièmes de finale avec confiance. Sadio Mané, en tant que leader de l’équipe, continuera de jouer un rôle clé dans les ambitions du Sénégal dans cette CAN 2023.

Les supporters sénégalais espèrent que l’équipe maintiendra son élan positif et qu’elle pourra réaliser une performance exceptionnelle tout au long du tournoi.

CAN 2023 : Cheikhou Kouyaté : « Nioune paré naniou pour la suite, na niou sénégalais nianall… »

Après la victoire du Sénégal contre la Guinée lors de la dernière journée de la phase de groupes de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023, le capitaine de l’équipe sénégalaise, Cheikhou Kouyaté, s’est exprimé avec optimisme quant à la suite du tournoi.

Can 23/ Cheikhou Kouyaté : ''Nioune paré naniou pour la suite, na niou sénégalais nianall...''

Lors de la conférence de presse d’après-match, Cheikhou Kouyaté a souligné l’importance de la victoire et la mentalité positive de l’équipe en vue des prochaines étapes de la compétition.

« Nioune paré naniou pour la suite, na niou sénégalais nianall » (Nous sommes prêts pour la suite, nous sommes tous des Sénégalais), a déclaré Cheikhou Kouyaté, exprimant ainsi la cohésion et la détermination de l’équipe à aller loin dans le tournoi.

Le Sénégal a remporté le Groupe C et se prépare maintenant pour les huitièmes de finale. Le capitaine a insisté sur l’importance de rester concentré et de continuer à travailler dur pour atteindre les objectifs fixés.

« La compétition devient de plus en plus difficile, mais avec la qualité et la détermination de l’équipe, nous pouvons atteindre nos objectifs. Nous allons rester concentrés, bien nous préparer et aborder chaque match avec l’intention de gagner », a ajouté Cheikhou Kouyaté.

La victoire contre la Guinée a renforcé la confiance de l’équipe sénégalaise, et les supporters attendent avec impatience la suite de la campagne du Sénégal dans la CAN 2023.

Can 2023 : Après sa défaite contre le Sénégal, Kaba Diawara optimiste pour la suite

Malgré la défaite de la Guinée contre le Sénégal lors de la dernière journée de la phase de groupes de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023, le sélectionneur guinéen Kaba Diawara reste optimiste pour la suite de la compétition.

Can 2023 : Après sa défaite contre le Sénégal, Kaba Diawara optimiste pour la suite

Lors de la conférence de presse après le match, Kaba Diawara a souligné la qualité de l’équipe sénégalaise tout en exprimant sa confiance quant à la performance future de son équipe dans le tournoi.

« Nous avons perdu contre une équipe très forte, le Sénégal, qui est le champion en titre. C’était un match difficile, mais nous devons regarder vers l’avant. Nous avons montré de belles choses dans ce groupe, et nous avons encore des opportunités de progresser dans le tournoi », a déclaré Kaba Diawara.

La Guinée a terminé deuxième du Groupe C derrière le Sénégal et se prépare maintenant pour les huitièmes de finale. Le sélectionneur guinéen a insisté sur le fait que l’équipe était prête à relever le défi à venir.

« La compétition ne fait que commencer. Nous allons bien nous préparer pour le prochain match. Nous avons une équipe solide, et nous allons aborder les éliminatoires avec beaucoup de détermination », a ajouté Kaba Diawara.

La détermination affichée par le sélectionneur et son optimisme sont des signes encourageants pour les supporters guinéens, qui espèrent voir leur équipe réaliser une belle performance dans la suite de la CAN 2023.

Édouard Mendy confiant : « On va se reposer, on va bien préparer les 8es de finale… »

Le gardien de but sénégalais, Édouard Mendy, s’est montré confiant après la victoire de l’équipe nationale contre la Guinée lors de la dernière journée de la phase de groupes de la CAN 2023. Le Sénégal s’est imposé 2-0 face à la Guinée, assurant ainsi sa première place dans le groupe C.

Édouard Mendy confiant : ''On va se reposer, on va bien préparer les 8es de finale...''

Dans une déclaration, Édouard Mendy a exprimé sa satisfaction quant à la performance de l’équipe sénégalaise et a souligné l’importance de la victoire pour la confiance de l’équipe. Il a mentionné que l’équipe allait désormais se reposer et se concentrer sur une préparation adéquate pour les huitièmes de finale.

« La victoire est très importante pour la confiance de l’équipe. On va se reposer, on va bien préparer les huitièmes de finale. On va prendre les matchs les uns après les autres, et on verra où cela nous mènera », a déclaré Mendy.

Édouard Mendy a été l’un des joueurs clés de l’équipe sénégalaise, contribuant à la solidité de la défense. Sa confiance et son assurance sont de bon augure pour l’équipe à mesure qu’elle progresse dans la compétition, visant à remporter le titre de la CAN 2023.

Déception pour l’Algérie à la CAN 2024 : Élimination Précoce, la Mauritanie Accède aux Huitièmes

C’est une première historique pour le football mauritanien. Mardi 23 janvier, à Bouaké, les Mourabitounes ont décroché leur première victoire en Coupe d’Afrique des nations, ainsi que leur première qualification pour les huitièmes de finale. Battue 1-0 (groupe D), l’Algérie sort à nouveau dès le premier tour.

L’euphorie d’un côté, le désarroi de l’autre. La photographie est forcément rude pour le camp défait, alors que les vainqueurs, eux, restent en lice dans cette CAN 2024. À Bouaké, au coup de sifflet final d’une journée déjà folle après le Gambie-Cameroun précédent, la Mauritanie est ivre de bonheur, tandis que l’Algérie fait ses valises.

Dellahi Yali enchante la Mauritanie

Avec Houssem Aouar et Adam Ounas alignés d’entrée de jeu, tandis que Riyad Mahrez, Sofiane Feghouli et Youcef Belaïli étaient remplaçants, les Fennecs ont monopolisé le ballon durant tout le premier acte. Ils ont même obtenu des situations dangereuses, avec Aouar et Ounas, justement.

Mais faire tourner le ballon ne suffit pas. Il s’agit de marquer aussi. Et en la matière, la Mauritanie a donné une leçon de réalisme dans cette première période. Sur un corner repoussé par Anthony Mandrea, le ballon est revenu dans la surface, et Mohamed Dellahi Yali, d’une reprise puissante, n’a laissé aucune chance au gardien algérien (37e). De quoi ravir les spectateurs du stade de la Paix, enthousiastes pour le petit Poucet du groupe D. Évidemment, les supporters des Verts, eux, ont affiché la mine des mauvais jours.

Les Mourabitounes dans l’histoire, les Fennecs en plein déboire

Dès le début de la seconde période, Djamel Belmadi, le sélectionneur algérien, a changé son système et lancé ses armes offensives en réserve dans la bataille. La Mauritanie a encore moins touché le ballon et a procédé en contres, laissant toujours planer une menace sur l’arrière-garde algérienne. Mais la plupart du temps, les Fennecs ont campé dans la moitié de terrain mauritanienne.

Une odeur de KO a flotté dans l’air de part et d’autre durant toute la fin de la rencontre. Si Niasse Mbaye a sauvé les Mourabitounes d’une parade réflexe devant Aïssa Mandi, c’est la barre transversale qui est venue au secours de l’Algérie à quelques minutes du terme, avec cette frappe de Pape Ibnou Ba. Beaucoup de suspense jusqu’au bout, mais pas d’autre but in fine.

C’est ainsi que la Mauritanie signe la plus belle performance de son histoire, pour sa troisième participation à la CAN après 2019 et 2022. Amir Abdou, l’homme qui avait conduit la sélection comorienne jusqu’en huitièmes de finale il y a deux ans au Cameroun, réitère son exploit en Côte d’Ivoire. Les Mourabitounes vont se classer parmi les meilleurs troisièmes de ce premier tour et jouer la phase à élimination directe. En revanche, les temps sont durs pour l’Algérie, championne d’Afrique en 2019 et sortie au premier tour des deux éditions suivantes.

L’Angola s’assure la première place du groupe

Dans l’autre match du groupe D de la soirée, l’Angola affrontait le Burkina Faso au stade Charles Konan-Banny de Yamoussoukro. Avec quatre points chacune, les deux équipes avaient la certitude de se qualifier pour les huitièmes de finale, mais tout l’enjeu de cette rencontre était de s’offrir la première place de la poule.

Les Burkinabè se sont rapidement montrés les plus dangereux sans pour autant réussir à se procurer des occasions assez nettes pour ouvrir le score face à des Angolais bien en place tactiquement et efficace en défense. 

Dans un match où bien peu de choses se passaient, ce sont finalement les Palancas Negras qui ont ouvert le score grâce à Mabululu. L’attaquant est venu couper de la tête un coup-franc venu de la droite, tiré par le capitaine angolais, Fredy, pour propulser la balle dans le but d’Hervé Koffi. Les hommes d’Hubert Velud ont poussé pour tenter de revenir au score avant la pause, en vain. 

Au retour des vestiaires, les Etalons ont continué à pousser, mais toujours aussi bien en place, les Angolais n’ont pas plié. Le Burkina finira même par payer son inefficacité devant le but à la 93e minutes lorsque Zine, tout juste entré en jeu, viendra alourdir le score en envoyant dans le but un ballon mal repoussé par Hervé Koffi après une frappe des Palancas Negras. Avec cette victoire obtenue de haute lutte, l’Angola s’adjuge la première place de son groupe. Les Burkinabè, eux, finissent bons deuxièmes. 

CAN 2024: le Cameroun vient à bout de la Gambie et arrache son billet pour les huitièmes

En grand danger avant la dernière journée du premier tour de la Coupe d’Afrique des nations, le Cameroun a obtenu ce mardi 23 janvier à Bouaké, le résultat qu’il lui fallait pour survivre dans ce groupe C. Victorieux au terme d’un match dingue de la Gambie (3-2), les Camerounais verront les huitièmes de finale, comme le Sénégal et la Guinée, premier et troisième de la poule après le succès des Lions (2-0).

Cette CAN 2024 n’est pas encore terminée pour le Cameroun. Les quintuples champions d’Afrique sont passés par toutes les émotions à Bouaké face à la Gambie, au cours d’une rencontre complétement folle. Et à l’arrivée, ils ont triomphé. La suite du grand rendez-vous africain en Côte d’Ivoire s’écrira avec eux pour encore un tour au moins.

Au pied du mur et sans sursis à l’heure de défier les Gambiens, les troisièmes de la dernière CAN ont assuré l’essentiel, non sans mal : une victoire synonyme de trois points et de qualification pour la phase à élimination directe.

Karl Toko-Ekambi avait mis le Cameroun sur la voie

Sans André Onana, sur le banc au coup d’envoi et remplacé comme lors du premier match par Fabrice Ondoa dans la cage, les Camerounais étaient face à une équation simple : la victoire ou l’élimination. C’était à peu près le même défi pour la Gambie, à la différence que les Scorpions n’avaient pas leur destin en mains d’un point de vue comptable.

En première période, les joueurs de Rigobert Song ont eu la possession de balle, tandis que les Gambiens obtenaient quelques situations dangereuses mais infructueuses. Les buts, les émotions et la folie étaient pour après la pause.

Karl Toko-Ekambi, qui venait de vendanger une très bonne situation, a délivré son équipe en reprenant de la tête un centre de Georges-Kévin Nkoudou et en trouvant le chemin des filets (56e). À voir sa célébration et l’explosion de joie de tout le clan camerounais, ce but libérait les Lions indomptables d’un poids, même si l’arbitre, l’Éthiopien Bamlak Tessema Weyesa, a fait passer quelques frissons en patientant un peu avant de valider l’ouverture du score.

20 dernières minutes dingues

Cette ouverture du score n’était qu’un simple prélude à une fin de match insensée. La Gambie a d’abord égalisé à la 72e sur une reprise de volée bien placée d’Ablie Jallow. Les Scorpions, portés par leurs supporters déchaînés, ont ensuite pris l’avantage avec ce tir puissant d’Ebrima Colley (85e). Pas de quoi enterrer les Lions indomptables pourtant : ils sont revenus à 2-2 dans la foulée avec un but contre son camp de James Gomez, qui a taclé dans sa cage un ballon chaud (87e).

Chaque équipe voulant arracher une victoire vitale, les dernières minutes se sont avérées brûlantes. Christopher Wooh, de la tête, a déchaîné les passions camerounaises (90+1°). 3-2, fin des débats ? Pas vraiment ! Muhammed Sanneh pensait ramener la Gambie à 3-3 au bout du temps additionnel, mais l’assistance vidéo a vu sa main et a invalidé ce but.

Et c’est ainsi qu’un nouveau match fou s’est achevé à Bouaké avec la victoire du Cameroun.

avec RFI

CAN 2024: Démission de Tom Sainfiet, le sélectionneur de la Gambie

om Sainfiet, le sélectionneur de l’équipe nationale de la Gambie, a annoncé sa démission après l’élimination de son équipe au premier tour de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024. La Gambie a enregistré trois défaites lors de la phase de groupes contre le Sénégal, la Guinée et le Cameroun, ne parvenant pas à se qualifier pour les huitièmes de finale.

Lors d’une conférence de presse, Tom Sainfiet a déclaré : « Je veux annoncer que c’est mon dernier match comme sélectionneur de la Gambie, j’ai un contrat jusqu’en août 2026, mais il est temps pour moi de partir. » Il a également évoqué d’autres projets personnels et le désir de sa fille de sept ans de ne pas le voir poursuivre une nouvelle aventure à l’âge de 50 ans.

La fédération gambienne a remercié Tom Sainfiet pour ses « cinq ans et demi de services incroyables » et a souligné sa contribution à la qualification de l’équipe pour deux CAN consécutives, notamment en atteignant les quarts de finale en 2022.

La démission de Tom Sainfiet laisse un poste vacant de sélectionneur pour l’équipe nationale gambienne, et la fédération devra désormais chercher un remplaçant pour guider l’équipe dans les compétitions à venir.

Audience annoncée des Candidats Recalés : Mimi Touré se désolidarise de l’initiative

Une rumeur persistante évoque une possible rencontre entre le président Macky Sall et les candidats recalés lors du processus électoral. Cette audience, si elle se concrétise, ferait suite à une lettre envoyée par les candidats évincés. Cependant, Aminata Touré a pris l’initiative de se distancer de cette démarche.

Dans une déclaration sur Facebook, l’ancienne Première ministre a clairement indiqué qu’elle n’était « en aucune manière intéressée par une rencontre avec Macky Sall », soulignant qu’il l’avait « illégalement renvoyée de l’Assemblée et fait annuler (ses) dizaines de milliers de parrains pour (l)’éliminer de l’élection présidentielle ».

Aminata Touré a plutôt invité le Chef de l’État à « faire respecter la date officielle de l’élection présidentielle du 25 février, d’organiser des élections libres et transparentes et de libérer les milliers de prisonniers politiques qui croupissent dans les prisons ».

Elle a également souligné l’importance de l’unité au sein de l’opposition, affirmant que celle-ci « devra s’unir pour battre son candidat Amadou Ba dès le 1er tour et engager notre pays sur le chemin du changement véritable ».

Cette déclaration de Mimi Touré met en lumière les divisions au sein des candidats recalés quant à la perspective d’une rencontre avec le président Sall, soulignant des divergences d’opinions et d’approches face à la situation électorale.

CAN2023 : Les Lions s’imposent face à la Guinée et assurent un sans-faute historique

Au terme d’une rencontre sans saveur mais marquée par quelques tensions, l’Equipe Nationale du Sénégal est venue à bout de la Guinée (2-0) grâce à des but d’Abdoulaye Seck et d’Iliman Ndiaye. Grâce à cette troisième victoire en trois matches, les Lions terminent en tête de leur groupe et disputeront leur huitième de finale à Yamoussoukro contre un meilleur troisième.

Ce n’était pas grandiose, mais le carton plein tant attendu est bien là. L’Equipe Nationale du Sénégal, certes avec seulement deux changements dans le onze de départ avec l’entrée d’Abdoulaye Seck et de Nampalys Mendy, a patienté mais s’est finalement imposée au Stade Charles Konan Banny pour son troisième match de groupe face à la Guinée (2-0). C’est bien le défenseur du Maccabi Haifa qui met devant son équipe, avant qu’Iliman Ndiaye ne sécurise le succès. Et c’est la première fois de son Histoire que le Sénégal prend 9 points sur 9 en CAN.

S’ils n’ont pas assuré le spectacle comme face à la Gambie et au Cameroun, les hommes d’Aliou Cissé ont fait le travail, en s’imposant pour la troisième fois dans cette Coupe d’Afrique des Nations, sur la plus petite des marges, face à une équipe de la Guinée qui ne s’est jamais montrée dangereuse. Avec deux changements dans son onze de départ, le sélectionneur sénégalais s’attendait forcément à voir ses troupes enchaîner sur le même rythme. Du rythme, il en a longtemps manqué dans cette rencontre entre deux équipes assez calculatrices.

CAN – 2023 : Le Sénégal accroché à la pause par la Guinée (0-0)

Le Sénégal et la Guinée s’affrontent au stade Charles Konan Banny de Yamoussoukro, pour le compte de la 3e et dernière journée de la poule C, de la CAN 2023. Une rencontre très serrée, où les deux formations se cherchent et ne veulent pas se livrer, pour concéder l’ouverture du score.

Deux ans, après leur dernière confrontation à la CAN 2022, au Cameroun qui s’était soldée sur un nul blanc. Les Lions du Sénégal et le Sily National de Guinée, se croisent à nouveau en phases de groupes de CAN, cette fois-ci en terre ivoirienne. Et pour le moment, le scénario de la précédente campagne se dessine, dans le derby ouest africain, avec un 0-0, à la mi-temps.

🔴[REPLAY] GUINÉE – SÉNÉGAL /ALLEZ LES LIONS 3/3 / LE DERBY / 3ème JOURNÉE GROUPE C / CAN 2024

🔴[LIVE] GUINÉE – SÉNÉGAL /ALLEZ LES LIONS 3/3 / LE DERBY / 3ème JOURNÉE GROUPE C / CAN 2024

Record Historique : Les demandes d’Asile atteignent un niveau sans précédent en France en 2023

Le nombre de demandes d’asile en France a atteint un niveau record en 2023, avec 142 500 demandeurs, selon les données provisoires de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). Cette augmentation de 8,6 % par rapport à l’année précédente s’inscrit dans une tendance observée également chez les voisins européens.

En 2023, près de 142 500 demandes de protection internationale ont été enregistrées par l’Ofpra, dont environ 123 400 premières demandes d’asile. Ce chiffre dépasse le précédent pic enregistré en 2019, avant la crise sanitaire, qui était de 132 000 demandes.

Selon Julien Boucher, le directeur de l’Ofpra, cette hausse, bien que significative, reste inférieure à la moyenne européenne estimée entre 15 et 20 %. L’Allemagne, en particulier, a enregistré quelque 350 000 demandes en 2023, mettant en lumière une tendance européenne plus généralisée.

Les ressortissants afghans demeurent les premiers demandeurs d’asile en France pour la sixième année consécutive, avec plus de 17 500 premières demandes. Ils sont suivis par des personnes originaires du Bangladesh, de Turquie, de la République démocratique du Congo, et de la République de Guinée.

Le taux de protection de l’Ofpra, représentant la part de demandes acceptées, a augmenté en 2023, atteignant 33 %, soit une hausse de 4 points par rapport à 2022. Parallèlement, le délai moyen de traitement des dossiers a diminué, passant de 5,2 mois en 2022 à 4,2 mois en 2023.

Cette accélération du traitement des dossiers est devenue une priorité pour le ministère de l’Intérieur, bien que cette démarche ait été critiquée en interne. Les agents de l’Ofpra ont récemment fait grève pour la quatrième fois depuis octobre 2023, dénonçant une « politique du chiffre fondée sur des objectifs irréalistes ». Leur mouvement de grève s’est également opposé au projet de loi immigration controversé adopté mi-décembre. Ce projet prévoit une refonte du système d’asile, suscitant des préoccupations parmi les agents de l’Ofpra.

Sénégal en 1/8e de finale : Quels adversaires potentiels et quelles stratégies à adopter ?

Le parcours du Sénégal dans la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024 suscite déjà des analyses et des spéculations quant aux adversaires potentiels en huitièmes de finale. Avec une perspective positive, nous examinons les équipes susceptibles de croiser le chemin des Lions de la Teranga et les stratégies à envisager pour atteindre les quarts de finale.

Le Sénégal, fort de sa victoire contre le Cameroun, aborde les prochains matchs avec ambition, nourrissant l’espoir de remporter le trophée sous le regard du Président Alassane Ouattara. Malgré les performances décevantes de certaines équipes, l’auteur souligne que le tournoi réserve encore des défis redoutables.

L’auteur rappelle la qualité de l’adversaire équatorien, comparant sa solidité à celle de toutes les équipes qualifiées en Coupe d’Afrique. Les victoires éclatantes contre l’Équateur et le Brésil témoignent de la puissance offensive du Sénégal, mais des ajustements tactiques sont suggérés pour maximiser le potentiel des joueurs.

Le discours souligne la nécessité pour le sélectionneur Aliou Cissé de prendre des décisions courageuses, notamment en ce qui concerne les joueurs cadres trentenaires comme Sadio Mané et Gana Gueye. L’auteur pointe du doigt un possible complexe de Cissé envers ces joueurs, appelant à une utilisation stratégique des talents.

En termes de stratégie, l’article met en avant la nécessité de faire preuve de courage, notamment envers Gana Gueye et Kouyaté, qui, selon l’auteur, ne seraient plus à leur place au milieu du terrain. Des ajustements tactiques sont préconisés pour optimiser les performances de l’équipe et éviter les écueils, comme ceux rencontrés lors du match contre le Cameroun.

Enfin, l’auteur analyse les scénarios possibles en fonction de la position finale du Sénégal dans le groupe. Si le Sénégal termine deuxième, il devra affronter le Nigéria, classé deuxième dans le groupe A. En revanche, en cas de première place, les Lions de la Teranga pourraient rencontrer la Côte d’Ivoire, la RDC, la Zambie ou la Namibie.

En conclusion, l’article offre une perspective éclairante sur les défis à venir pour le Sénégal dans cette CAN 2024 et souligne l’importance des choix tactiques du sélectionneur pour maximiser les chances de succès.

Disparition des Commandos de la Marine Nationale : Le Chef Suprême des Armées salue le sacrifice héroïque

Lors de la cérémonie de baptême du nouveau bâtiment de guerre lance-missile le « Niani », le Président de la République du Sénégal, également chef suprême des armées, a exprimé la gratitude de la République envers les familles des cinq commandos marins portés disparus en mer le 6 janvier dernier. Cette déclaration a été faite dans le cadre d’une cérémonie symbolique visant à honorer le sacrifice de ces héros nationaux.

Le Président a rendu hommage aux commandos marins disparus lors de leur mission d’interception d’un navire impliqué dans le trafic international de stupéfiants. Leur disparition tragique rappelle non seulement l’exigence de rigueur du métier du marin, mais souligne également le risque inhérent au service militaire, tout en mettant en lumière la noblesse de l’engagement militaire, caractérisé par le don de soi et le sacrifice suprême.

Le Président Macky Sall a souligné que ces héros ont incarné jusqu’au bout les valeurs fondamentales des devises des armées sénégalaises, affirmant que « On nous tue, on ne nous déshonore pas » et de la Marine nationale « En mer, pour la patrie ».

Il a conclu en affirmant que le Sénégal ne baissera jamais pavillon face au trafic illicite, soulignant ainsi la détermination du pays à lutter contre les menaces qui pèsent sur ses frontières maritimes.

Rappelons que la disparition des cinq commandos de la marine sénégalaise est survenue lors d’une intervention anti-trafic de stupéfiants au large de Dakar, témoignant du courage et de l’engagement de ces hommes dans la protection de la nation.

CAN 2024 : L’AIPS Afrique dénonce les accréditations d’influenceurs, interpellant la CAF

L’Association Internationale de la Presse Sportive (AIPS) en Afrique a élevé la voix contre les accréditations délivrées aux influenceurs lors de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) en Côte d’Ivoire, débutée le 13 janvier dernier. Dans une déclaration, l’AIPS a rappelé à la Confédération Africaine de Football (CAF) et au Comité Local d’Organisation que les accréditations presse sont strictement réservées aux journalistes professionnels dûment identifiés, qu’ils soient attachés à un média ou indépendants.

L’AIPS, relayée par L’As, a souligné que les Youtubeurs, les utilisateurs de Facebook, les publicistes et les lobbyistes ne sont pas considérés comme des professionnels de la presse et ne sont pas soumis au code de déontologie de la profession.

En insistant sur la différence fondamentale entre le travail journalistique et les activités d’influence, l’AIPS a mis en garde contre la confusion potentielle lors des conférences de presse, soulignant que les professionnels de la presse diffusent des informations tandis que d’autres cherchent simplement à générer du buzz.

Cette déclaration de l’AIPS, adressée à la CAF et au Comité Local d’Organisation, vise à sensibiliser sur l’importance de préserver l’intégrité des accréditations presse et à éviter toute confusion dans le cadre de l’un des plus grands événements sportifs du continent africain. L’AIPS espère que ses préoccupations seront prises en compte pour garantir un environnement professionnel pendant la CAN 2024.

Investissements dans les Collectivités Territoriales : Le PACASEN injecte 74 Milliards FCFA au profit de 124 communes

Le Programme d’Appui aux Communes et Agglomérations du Sénégal (PACASEN) se positionne comme un catalyseur de développement avec l’injection impressionnante de plus de 74 milliards FCFA dans 124 communes du pays. Lors du quatrième Comité Technique Opérationnel, des résultats concrets ont été présentés, soulignant l’impact positif sur la vie des citoyens.

Le PACASEN, réalisé grâce à la vision éclairée du Président Macky Sall, a concrétisé des infrastructures dans 124 communes sur les 558 que compte le Sénégal. Boubacar Diallo, Directeur de Cabinet du Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires, a souligné que le programme contribue significativement au développement des collectivités territoriales.

Les résultats impressionnants comprennent la mise en œuvre de 900 projets dans ces collectivités, marquant une amélioration significative des conditions de vie des populations. Cette réussite a convaincu les bailleurs de poursuivre leur soutien, avec une augmentation de l’enveloppe de financement pour étendre les bénéfices à davantage de communes.

Le PACASEN a joué un rôle clé dans la formation de 115 commissions fiscales, renforçant les ressources propres des collectivités territoriales. Les élus territoriaux ont également bénéficié d’une formation approfondie, favorisant une meilleure appropriation du programme pour des réalisations concrètes.

Le programme a grandement contribué à l’opérationnalisation de l’Acte III de la Décentralisation, en renforçant les capacités de gouvernance et de financement des collectivités territoriales. Les investissements ont été cruciaux pour soutenir le développement local et améliorer la qualité de vie des citoyens.

Le Directeur Général de l’Agence de Développement Municipal (ADM), Baye Oumar Guèye, a salué la performance des collectivités territoriales, soulignant leur engagement à atteindre les objectifs fixés. Les résultats positifs attestent de l’efficacité du programme dans la réalisation des projets et dans le renforcement des capacités locales.

Pour l’année à venir, le PACASEN vise la finalisation de la réforme du Fonds de Dotation de la Décentralisation (FDD), la mise en place opérationnelle du mécanisme de gestion des plaintes des citoyens, la poursuite des sessions de formation, et le renforcement des activités de coaching territorial continu.

En conclusion, le PACASEN s’impose comme un levier essentiel pour le développement local, plaçant les collectivités territoriales sur la voie de la croissance et de l’autonomie financière. Les résultats obtenus soulignent l’efficacité de ce programme dans la transformation positive des communautés à travers le Sénégal.

Empoisonnement aux tessons de bouteille : la «niarel» envoie la «awo» enceinte et leur mari aux urgences

Émigré établi en France, M. Danfakha et sa première épouse M. D. âgée de 19 ans ont échappé de justesse à la mort. L’Observateur explique que le couple a été transféré aux urgences de l’hôpital régional de Kaolack après avoir été admis à l’hôpital de Tamba.

Selon le journal, l’enquête a établi que les patients sont victimes d’un empoisonnement aux tessons de bouteille. Au banc des accusés, la « niarel », F. Traoré, âgée de 15 ans, avait dissimulé les débris dans le dîner qu’elle a servi aux victimes dans la soirée du 21 décembre 2022.

Face aux enquêteurs, le mari a confié avoir senti, avant que les douleurs ne se déclenchent, « des corps étrangers au moment de prendre le repas. » Ainsi, pour y voir plus clair, il a allumé la lampe de son téléphone et constaté qu’il s’agissait de tessons de bouteilles avant de sommet sa première épouse, enceinte de 8 mois, d’arrêter de manger.

Il a aussi informé les limiers que sa seconde épouse, qui venait de rejoindre le domicile conjugal, n’avait pas mangé après avoir servi le dîner, arguant qu’elle n’avait pas faim.

La fouille de la chambre de la mise en cause a abouti à la découverte d’un sachet en plastique contenant des tessons de bouteille. Arrêtée puis conduite manu militari au commissariat central de Tamba, F. Traoré a avoué son intention de tuer son mari et sa co-épouse.  La « niarel » a été déférée pour tentative de meurtre et administration de substance nuisible. 

seneweb

Drame à la SOGAS : L’Égorgement d’Amadou Diaw révèle un différend surprenant

Un acte d’une violence choquante a secoué les abattoirs de la Société de gestion des abattoirs du Sénégal (SOGAS) avec le meurtre brutal d’Amadou Diaw, survenu lundi matin. Les détails macabres du crime commis par Abdou Mbaye commencent à émerger, et le mobile semble être un différend lié à la vente d’un téléphone portable.

Amadou Diaw a perdu la vie de manière tragique, victime d’une agression féroce qui a choqué l’ensemble de la communauté. Son présumé meurtrier, Abdou Mbaye, a été rapidement appréhendé dans le département de Mbour, à Nguékhoh, grâce à une géolocalisation efficace.

Au cœur de cette tragédie, un téléphone portable défectueux devient le point central du différend entre les deux hommes. Selon des sources, le téléphone aurait été vendu par Amadou Diaw à Abdou Mbaye pour 10 000 F CFA, avec un acompte de 2000 F CFA versé. Cependant, le différend éclate lorsque Diaw réclame le reliquat de 8 000 F CFA à Mbaye.

La situation s’est envenimée au point où des échanges d’injures et des menaces ont été proférés entre les deux protagonistes. « Considère désormais que ta vie est entre mes mains », aurait déclaré Abdou Mbaye, présumé meurtrier, à Amadou Diaw.

Le différend sur la somme modeste de 8 000 F CFA a pris une tournure tragique, aboutissant à l’égorgement d’Amadou Diaw. Cette affaire soulève des questions sur la violence extrême qui peut découler de simples désaccords, mettant en lumière la nécessité d’une résolution pacifique des conflits.

Abdou Mbaye est actuellement en route pour Dakar, où il sera interrogé dans le cadre de l’enquête en cours. Les autorités chercheront à comprendre les circonstances exactes de ce drame et à rendre justice à la victime, Amadou Diaw.

Cette tragédie à la SOGAS rappelle la fragilité de la vie face à des disputes qui, dans ce cas, ont conduit à un dénouement extrêmement dramatique. La communauté est en deuil et attend des réponses quant aux circonstances entourant cet acte insensé.

Détermination et Respect : Aliou Cissé mène le Sénégal à la conquête de la CAN 2023

Aliou Cissé, le visionnaire sélectionneur de l’équipe nationale sénégalaise, s’apprête à guider son équipe avec détermination et respect lors du prochain match crucial de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023 contre la Guinée. Après une brève hospitalisation, Cissé, plein de confiance, partage sa philosophie respectueuse envers l’adversaire tout en révélant ses plans stratégiques pour la suite du tournoi.

Rétablissement et Détermination :
Suite à son récent rétablissement, Aliou Cissé a tenu à souligner l’importance du respect envers l’équipe guinéenne. « Nous abordons chaque match avec un grand respect pour nos adversaires », déclare-t-il. Malgré les défis récents, la détermination de Cissé reste inébranlable, avec pour objectif de jouer un football de qualité et de remporter la victoire.

Gestion Stratégique de l’Effectif :
Qualifié d’ores et déjà pour les phases éliminatoires, Cissé rassure les supporters sur l’équipe à aligner, évoquant la possibilité d’expérimenter tout en maintenant la compétitivité. Cette approche réfléchie vise à offrir du temps de jeu à certains joueurs tout en préservant la fraîcheur physique des cadres pour les étapes cruciales du tournoi.

Reconnaissance envers l’Adversaire :
Dans une déclaration empreinte de fair-play, Aliou Cissé a salué les mérites des joueurs guinéens, soulignant leur talent exceptionnel. Cette reconnaissance s’inscrit dans la vision à long terme du sélectionneur, mettant en avant l’importance de l’échange et du respect mutuel entre les équipes africaines.

Sadio Mané : Le Pilier de l’Équipe :
Dans une autre déclaration, Cissé a mis en lumière le rôle crucial de Sadio Mané, considéré comme le grand joueur autour duquel l’équipe construit son jeu. La confiance envers Mané, non seulement en tant que talent individuel exceptionnel, mais aussi en tant que leader inspirant, témoigne de l’importance du joueur dans les ambitions du Sénégal à la CAN 2023.

Perspectives et Attentes :
À la veille du match contre la Guinée, les supporters sénégalais sont prêts à soutenir leur équipe avec enthousiasme, espérant une performance convaincante malgré les obstacles. Les déclarations d’Aliou Cissé ajoutent une dimension de fair-play et de respect à l’atmosphère compétitive de la CAN 2023, promettant un spectacle mémorable.
Aliou Cissé incarne la détermination, le respect et la vision stratégique, formant ainsi un leader inspirant pour l’équipe sénégalaise à la CAN 2023. Les supporters, fiers de leur équipe, sont prêts à vivre chaque moment de cette aventure sportive passionnante.

Can 2023: La Côte d’Ivoire subit une défaite cinglante à domicile face à la Guinée équatoriale (0-4)

La Côte d’Ivoire a essuyé une défaite cuisante à domicile contre la Guinée équatoriale, terminant ainsi troisième du groupe A avec trois points. Les Eléphants devront désormais attendre jusqu’à mercredi pour savoir s’ils font partie des quatre meilleurs troisièmes qualifiés pour les huitièmes de finale. Cependant, avec une différence de buts négative (-3), la mission s’annonce délicate.

Malgré une domination dans la possession du ballon, les Ivoiriens ont manqué de créativité et d’adresse pour inquiéter le gardien équato-guinéen Jesus Owono. Le sélectionneur des Eléphants, Jean-Louis Gasset, avait effectué quatre changements dans le onze de départ, mais cela n’a pas suffi à renverser la situation.

La Guinée équatoriale a ouvert le score en fin de première période grâce à Emilio Nsue, profitant d’une percée de Carlos Akapo qui a pris de court une défense ivoirienne passive. Bien que les Eléphants aient cru réduire le retard avant la pause, le but d’Ibrahim Sangaré a été refusé pour hors-jeu.

La seconde période a vu les Equato-Guinéens rester bien regroupés en défense, brisant régulièrement le rythme du jeu. Malgré plusieurs occasions pour les Ivoiriens, ces derniers ont échoué à marquer. La Guinée équatoriale a ensuite creusé l’écart avec un superbe coup-franc direct de Pablo Ganet à la 73e minute, suivi de deux autres buts d’Emilio Nsue et Jannick Buyla.

Cette défaite laisse la Côte d’Ivoire dans l’incertitude quant à sa qualification pour les huitièmes de finale, dépendant des résultats des autres groupes. Une situation qui semble nécessiter un véritable miracle pour les Eléphants.

CAN 2023 : Aliou Cissé vante les mérites des joueurs guinéens

Dans une déclaration récente, le sélectionneur de l’équipe nationale sénégalaise, Aliou Cissé, a tenu à saluer les compétences et les performances des joueurs guinéens en marge du prochain match entre le Sénégal et la Guinée dans le cadre de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023.

Can 2023 : Aliou Cissé vante les mérites des joueurs guinéens

Aliou Cissé a souligné les qualités individuelles et collectives des joueurs guinéens, déclarant : « La Guinée dispose d’une équipe talentueuse avec des joueurs exceptionnels. Nous avons le plus grand respect pour leur niveau de jeu et leur engagement sur le terrain. Chaque match dans cette compétition est un défi, et nous nous attendons à une confrontation difficile. »

Le sélectionneur sénégalais a également mis en avant l’esprit sportif et le fair-play qui caractérisent les rencontres entre équipes africaines. Il a souligné l’importance de l’échange et du respect mutuel entre les joueurs, affirmant que la compétition est une célébration du football africain dans toute sa diversité.

Bien que le Sénégal soit déjà qualifié pour les phases éliminatoires, le match contre la Guinée conserve une signification stratégique pour déterminer les positions finales dans le groupe. Aliou Cissé a indiqué que son équipe abordera ce match avec la même détermination et le même professionnalisme que les précédents.

La déclaration d’Aliou Cissé pourrait également s’inscrire dans une stratégie de gestion de l’effectif, montrant du respect envers l’adversaire tout en motivant ses propres joueurs à maintenir leur niveau de performance élevé.

Les supporters sénégalais, tout en étant fiers de la qualification de leur équipe, apprécient la reconnaissance et le fair-play exprimés par Aliou Cissé envers les joueurs guinéens. Les commentaires soulignent l’importance de l’esprit sportif dans le contexte compétitif de la CAN.

À la lumière des commentaires d’Aliou Cissé, les supporters anticipent un match disputé et relevé entre le Sénégal et la Guinée. L’éloge des talents guinéens ajoute une dimension d’excitation à cette confrontation régionale.

La reconnaissance des mérites des joueurs guinéens par Aliou Cissé renforce l’idée que la CAN 2023 est non seulement une compétition, mais aussi une célébration du talent et de la camaraderie entre les nations africaines. Les supporters attendent avec impatience cette rencontre entre deux équipes compétitives.

CAN 2023 : Le Nigeria s’impose sans forcer face à la Guinée-Bissau et accède aux huitièmes de finale

Le Nigeria, triple champion d’Afrique (1980, 1994, 2013), a assuré sa place en huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des nations en battant la Guinée-Bissau 1 à 0 au Stade Houphouët-Boigny à Abidjan. Le match a vu les Super Eagles prendre la tête du groupe A, accompagnés par la surprenante équipe de Guinée équatoriale, qui a infligé un sévère 4-0 à la Côte d’Ivoire.

Le Nigeria, largement favori, a fait face à une Guinée-Bissau bien organisée défensivement. Malgré la domination des Super Eagles, la défense compacte de la Guinée-Bissau a posé des difficultés aux attaquants nigérians. À la 36e minute, le Nigeria a finalement ouvert le score grâce à un centre de Moses Simon pour Osimhen, dont la tentative a été malheureusement déviée dans son propre but par Sanganté.

Le Nigeria aurait pu obtenir un penalty à la demi-heure de jeu pour une main dans la surface de Nanu, mais la VAR n’a pas été sollicitée. Le match a également vu Osimhen manquer quelques opportunités de marquer, notamment une tête qui a frôlé l’arête du but adverse (56e) et un but refusé par la VAR pour une main préalable (58e).

Les Super Eagles ont fait tourner leur effectif, ce qui pourrait avoir contribué au manque d’automatismes sur le terrain. Malgré la victoire, le Nigeria devra attendre pour connaître son adversaire en huitièmes de finale, dans cette CAN qui compte désormais 24 équipes.

La victoire du Nigeria face à la Guinée-Bissau confirme sa qualification pour les huitièmes de finale de la CAN 2023. Les défis tactiques et la gestion des effectifs par les équipes deviennent cruciaux à mesure que la compétition progresse, et le Nigeria aura l’opportunité de se préparer pour les prochains défis à venir dans la phase éliminatoire.

CAN 2023 : La Guinée souhaite se jauger contre les champions en titre, déclare le sélectionneur

Le sélectionneur de l’équipe nationale de Guinée, Kaba Diawara, a exprimé son désir de mesurer la performance de son équipe face aux champions en titre, le Sénégal, lors du match de la dernière journée de la phase de poules de la 34ᵉ Coupe d’Afrique des nations (CAN). Le match opposant le Sénégal au Sily national de Guinée se tiendra à Yamoussoukro.

Malgré le respect pour la qualité de l’équipe sénégalaise, Kaba Diawara a souligné que son équipe ne se mettra pas trop de pression. Il a déclaré que l’objectif était de faire un beau match contre le champion en titre, et a qualifié la rencontre de « derby et une fête ».

Le sélectionneur guinéen a également exprimé l’ambition de son équipe de décrocher la première place du groupe C, qui comprend également la Gambie et le Cameroun. Il a souligné que se mettre d’accord avec le Sénégal ne serait pas dans l’intérêt de la Guinée, car cela risquerait de les placer en deuxième position.

Kaba Diawara a noté que son équipe était plus forte que lors de l’édition précédente de la CAN en 2022 et a exprimé sa confiance quant à la possibilité de poser des problèmes au Sénégal. Il a souligné que le Sénégal avait davantage de pression sur ce match en tant que champion en titre, mais que la Guinée était bien préparée pour l’affrontement.

Le sélectionneur guinéen a conclu en soulignant que son équipe avait hâte d’affronter le Sénégal, une équipe qui attaque bien et compte de bons joueurs, et qu’ils feraient de leur mieux pour être à la hauteur de la rencontre.

CAN 2023 : Déjà qualifiée, Aliou Cissé rassure les Sénégalais sur l’équipe à aligner contre la Guinée

Le sélectionneur de l’équipe nationale sénégalaise, Aliou Cissé, a apporté des éclaircissements rassurants aux supporters sénégalais concernant l’équipe qui sera alignée lors du prochain match contre la Guinée. Alors que le Sénégal est déjà qualifié pour la suite de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023, Cissé aborde la question de la composition de l’équipe avec une perspective positive.

Can 2023 : Déjà qualifiée, Aliou Cissé rassure les Sénégalais sur l'équipe à classer contre Guinée

Aliou Cissé a déclaré : « Notre objectif principal était de nous qualifier pour les phases éliminatoires, et nous avons atteint cet objectif avec succès. Maintenant, nous avons l’opportunité d’expérimenter quelques changements dans l’équipe tout en maintenant notre niveau de compétitivité. Les supporters peuvent s’attendre à voir une équipe motivée et prête à affronter la Guinée. »

La qualification précoce du Sénégal offre à Aliou Cissé la possibilité de gérer l’effectif en vue des prochains défis de la CAN. Cette gestion stratégique permettra d’apporter du temps de jeu à certains joueurs et d’assurer la fraîcheur physique des principaux acteurs pour les étapes cruciales du tournoi.

L’approche d’expérimentation évoquée par Aliou Cissé indique que des joueurs moins utilisés pourraient obtenir une place dans le onze de départ. Cette rotation d’effectif vise également à prévenir d’éventuelles blessures tout en maximisant les ressources disponibles.

Les déclarations d’Aliou Cissé reflètent une confiance manifeste envers l’ensemble de son effectif. En dépit de l’opportunité d’expérimenter, le sélectionneur souligne que l’équipe maintiendra son niveau de compétitivité, soulignant ainsi la profondeur du talent au sein du groupe.

Les supporters sénégalais, bien que ravis de la qualification de leur équipe, sont également curieux de voir comment l’effectif sera géré dans le match contre la Guinée. Les réactions sont teintées d’optimisme, les supporters espérant voir émerger de nouvelles dynamiques au sein de l’équipe.

Bien que le Sénégal soit déjà qualifié, le match contre la Guinée conserve une importance stratégique pour déterminer la position finale dans le groupe. Une gestion avisée de l’équipe peut influencer le parcours à venir dans la compétition.

La perspective d’expérimenter l’effectif tout en maintenant la compétitivité montre la vision à long terme d’Aliou Cissé pour l’équipe nationale sénégalaise à la CAN 2023. Les supporters sont impatients de voir comment cette approche se traduira sur le terrain lors du prochain affrontement contre la Guinée.

Alerte Météo : Mauvaise qualité de l’air et Poussière attendues à partir de mardi

L’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim) a émis une alerte concernant une mauvaise qualité de l’air et la présence de particules de poussière, affectant initialement les régions du Nord du pays à partir de mardi. Cette situation devrait progressivement s’étendre à l’ensemble du territoire.

Selon les informations de l’Anacim, la suspension de particules de poussière débutera dans les régions du Nord dans l’après-midi du mardi 23 janvier 2024. Ce phénomène devrait ensuite se généraliser sur une grande partie du pays, y compris dans les régions intérieures et sur le littoral, au cours de la journée du mercredi et du jeudi. Une réduction significative de la visibilité est anticipée dans ces zones, bien que la partie Sud du pays soit relativement moins touchée.

La mauvaise qualité de l’air devrait persister pendant environ 72 heures, avec une baisse progressive des concentrations de particules à partir du 26 janvier. L’Anacim recommande aux personnes sensibles, notamment celles souffrant de maladies respiratoires, aux jeunes enfants et aux personnes âgées, de prendre des précautions particulières. Il est conseillé de limiter l’exposition à l’air ambiant et de porter un masque pour se protéger des particules en suspension dans l’air.

Les autorités invitent la population à suivre attentivement les mises à jour météorologiques et à prendre les mesures nécessaires pour minimiser les impacts de cette situation sur la santé.

CAN 2023 : Égypte qualifiée miraculeusement, le Ghana au bord de l’élimination

La 3e journée du groupe B de la CAN 2023 a offert des rebondissements exceptionnels avec l’Égypte se qualifiant miraculeusement et le Ghana se retrouvant au bord de l’élimination.

L’Égypte, au bord de l’élimination, a réussi une qualification miraculeuse en faisant match nul 2-2 contre le Cap-Vert. Menés après un but de Tavares (45+1), les Pharaons ont renversé la situation avec des buts de Trezguet (50e) et Mohamed (90+2). Cependant, le Cap-Vert a égalisé dans les arrêts de jeu (90+9), mais l’Égypte s’est qualifiée grâce à une meilleure différence de buts.

Le Ghana, quant à lui, était incapable de battre le Mozambique, faisant match nul 2-2. Alors qu’ils menaient 2-0 avec des penalties transformés par Jordan Ayew (15e, 70e), le Ghana a perdu son avantage dans les arrêts de jeu. Le Mozambique a égalisé avec un penalty de Catamo (91+1) et une tête sur corner de Reinildo (90+4)

Avec seulement deux points, le Ghana se retrouve dans une situation critique et est proche de l’élimination. Les Black Stars doivent maintenant prier pour se qualifier en huitièmes de finale, mais leur destin est hors de leurs mains.

La 3e journée du groupe B a offert un spectacle intense et dramatique, avec l’Égypte réussissant à se qualifier dans des circonstances extraordinaires. Pendant ce temps, le Ghana doit réfléchir à sa situation difficile et espérer un miracle pour continuer son parcours dans la CAN 2023.

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CAN 2023 : Mozambique vs Ghana – Retour sur le comeback des Mambas face aux Black Stars

La 3e journée de la phase de poules de la CAN 2023 a offert un affrontement captivant entre le Mozambique et le Ghana au stade Alassane Ouattara d’Abidjan. Suivez ci-dessous le résumé du match qui a vu un impressionnant comeback des Mambas contre les Black Stars.

Après une défaite inquiétante face au Cap-Vert (0-3), le Mozambique, déjà éliminé, cherchait à sauver l’honneur lors de son dernier match de groupe contre le Ghana. De leur côté, les Black Stars, après une défaite initiale et un match nul contre l’Égypte (2-2), étaient sous pression pour décrocher la seconde place qualificative.

Le début du match a été intense, avec le Ghana cherchant à prendre le contrôle dès les premières minutes. Les Black Stars ont réussi à ouvrir le score grâce à une réalisation opportune, montrant une nette amélioration par rapport à leurs performances précédentes.

Cependant, le Mozambique, loin de se laisser abattre, a montré une résilience impressionnante. Les Mambas ont entamé une remontée spectaculaire, exploitant les faiblesses de la défense ghanéenne et créant des opportunités cruciales.

La seconde période a été le théâtre d’un comeback époustouflant des Mambas. Les joueurs du Mozambique ont marqué des buts cruciaux, renversant la situation en leur faveur. Les Black Stars, désemparés, ont lutté pour reprendre le contrôle du match.

Au coup de sifflet final, le Mozambique a réalisé une victoire impressionnante contre le Ghana, inversant le cours du match. Ce comeback spectaculaire a ajouté un élément passionnant à la compétition, soulignant l’incertitude qui peut prévaloir dans le monde du football.

Cette victoire du Mozambique, bien que ne changeant pas leur sort dans le tournoi, a des implications majeures pour le Ghana, qui devra maintenant évaluer ses performances et se préparer pour les prochaines étapes de la compétition.

Le match entre le Mozambique et le Ghana restera dans les annales de la CAN 2023 comme un exemple de la nature imprévisible et excitante du football. Les équipes continueront de se battre pour la gloire continentale, offrant aux fans de football africain des moments palpitants à chaque étape de cette compétition passionnante.

CAN 2023 : humiliée 4-0, la Côte d’Ivoire tout droit vers l’élimination…

Coup de théâtre ce lundi au Stade d’Ebimpé ! Pays-hôte de la CAN 2023, la Côte d’Ivoire a subi une nouvelle défaite en s’effondrant 4-0 contre la Guinée Equatoriale à la surprise générale. En manque d’efficacité, à l’image de deux buts refusés pour hors-jeu, les Eléphants terminent 3es du groupe A. Avec 3 points et une différence de buts de -3, les chances de voir les hommes de Jean-Louis Gasset terminer parmi les meilleurs 3es semblent quasiment inexistantes…

Les 2 buts refusés à la Côte d’Ivoire

Le Nigeria réserve son billet pour le prochain tour de la Coupe d’Afrique des Nations

Au terme d’un match âprement disputé au stade Félix-Houphouët-Boigny, le Nigeria a réussi à battre la Guinée-Bissau 1-0 lundi et à réserver son billet pour le prochain tour de la Coupe d’Afrique des nations.

Le Nigeria menait à la mi-temps grâce au but contre son camp de Sangante. Malgré tous les efforts de la Guinée-Bissau, les Super Eagles ont réussi à défendre leur résultat et à se qualifier pour le prochain tour de la Coupe d’Afrique des Nations.

La Guinée ambitionne la première place du Groupe D : Kaba Diawara confiant face au défi Sénégalais

La compétition enflamme les stades de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), et le groupe D est sur le point de vivre un moment crucial. La Guinée, emmenée par son entraîneur Kaba Diawara, se prépare à affronter le champion en titre, le Sénégal, dans un duel qui pourrait redéfinir la hiérarchie du groupe. Diawara, confiant et déterminé, partage ses pensées avant cette rencontre capitale.

Un 16e de Finale Anticipé :

Kaba Diawara considère le match contre le Sénégal comme un véritable 16e de finale. Pour la Guinée, la victoire est impérative pour s’emparer de la première place du groupe D. Diawara souligne l’importance de gagner des « finales » tout au long du parcours de la CAN pour espérer atteindre le bout du chemin.

Respect envers le Sénégal :

Le sélectionneur guinéen ne manque pas de saluer le statut du Sénégal en tant que champion d’Afrique en titre, reconnaissant la qualité de l’équipe sénégalaise. Malgré cela, il insiste sur le potentiel de son équipe, composée de joueurs talentueux et déterminés, prêts à relever le défi. Diawara souligne que la Guinée ne vient jamais simplement pour participer, mais avec l’objectif de réaliser un parcours mémorable.

La Quête de la Première Place :

Kaba Diawara affiche clairement ses ambitions : la première place du groupe D. Il voit ce match comme une opportunité idéale pour jauger la force de son équipe et déterminer son niveau actuel. Malgré le respect pour le Sénégal, la Guinée n’est pas intimidée et aborde la rencontre avec sérénité, affirmant qu’ils ne ressentent aucune pression, mais plutôt une motivation à faire un bon match.

Une Fête du Football :

Diawara prédit une véritable fête du football lors de cette rencontre, soulignant le style offensif du Sénégal et sa propension à attaquer. Il insiste sur le fait que la Guinée ne reculera pas, mais cherchera à imposer son jeu et à rester sur une dynamique positive. Pour les supporters et les amateurs de football, ce match promet d’être un spectacle captivant, avec deux équipes déterminées à faire briller leur étoile dans cette CAN.

La déclaration confiante de Kaba Diawara résonne comme un appel à l’audace et à la détermination. La Guinée se profile comme un adversaire redoutable, prêt à défier le Sénégal pour la suprématie du groupe D. L’enjeu est élevé, les ambitions sont claires,

Tension en Conférence de Presse avant match : Conflit Entre Journalistes Guinéens et Sénégalais

Une violente altercation a éclaté lors d’une conférence de presse préalable à un match, opposant des journalistes guinéens et sénégalais. Le conflit a débuté lorsque, selon un reporter de Ledakarois.sn, un journaliste sénégalais a interrogé Guilavogui sur les déclarations d’Aguibou Kamara qualifiant les Gambiens de nullards.

La question a irrité un journaliste guinéen, qui s’est levé pour affirmer que cette affaire était close et que de telles questions n’étaient pas appropriées. En réaction, les journalistes sénégalais se sont levés, soulignant qu’ils n’avaient pas été interrompus lors de la conférence de presse d’Aliou Cissé.

Des échanges animés ont suivi, entraînant une intervention rapide pour séparer les deux groupes de journalistes, évitant ainsi une escalade potentielle de la situation. Cette confrontation souligne les tensions croissantes entre les médias des deux nations, mettant en lumière la nécessité d’un dialogue constructif pour prévenir de futurs incidents lors de ces événements médiatiques.

(Photos) – Expulsion des Étudiants de Ziguinchor : Conflit avec la Municipalité

Hier, les étudiants de Ziguinchor ont été brusquement expulsés de leur lieu d’accueil suite à la résiliation du contrat par la municipalité, qui refuse obstinément de le renouveler. Cette décision abrupte a jeté ces jeunes chercheurs dans une situation précaire, soulevant des inquiétudes quant à leur avenir académique.

L’immeuble, qui servait de résidence aux étudiants, a été le théâtre de tensions croissantes ces derniers jours. La municipalité, invoquant des motifs non spécifiés, a mis fin au contrat de location, plongeant les étudiants dans l’incertitude quant à leur hébergement.

Les étudiants ziguinchorois, affectés par cette décision, demandent des explications claires de la part des autorités municipales. Ils soulignent que cette expulsion soudaine perturbe leurs études et compromet leur stabilité pendant la période académique.

Du côté de la municipalité, aucun commentaire n’a été émis pour justifier cette résiliation de contrat. Les raisons derrière cette décision restent floues, alimentant ainsi la perplexité au sein de la communauté étudiante et de la population locale.

Des organisations étudiantes et des représentants de la société civile se mobilisent déjà pour soutenir les étudiants expulsés et plaident en faveur d’une résolution rapide de ce différend. La situation souligne également la nécessité d’un dialogue ouvert entre les autorités locales et les étudiants afin de trouver une solution équitable et de restaurer la stabilité nécessaire pour poursuivre les études dans des conditions optimales.

En attendant des développements futurs, la précarité des étudiants de Ziguinchor demeure une préoccupation urgente qui requiert l’attention des parties impliquées, ainsi que de la communauté éducative et de la société civile.

Polémique entre Regragui et Chancel Mbemba : Le sélectionneur marocain dément les accusations de racisme

Une polémique a éclaté entre le sélectionneur marocain, Regragui, et le joueur congolais Chancel Mbemba, après le match entre le Maroc et la RD Congo. En zone mixte, Mbemba a laissé entendre que Regragui lui aurait tenu des propos racistes. Cependant, le sélectionneur marocain réfute fermement ces accusations et qualifie Mbemba de menteur.

Regragui a réagi aux accusations de Mbemba en déclarant : « J’ai dit à Desabre : « Ramène-le moi, il pète un câble, il raconte n’importe quoi. Je n’ai pas aimé ça car il insinue beaucoup de choses. Donc s’il a des images autres que celles que l’on voit à la télévision, qu’il les sorte, avec plaisir. Et il verra exactement ce qu’il s’est passé. » » Il explique qu’avant de lui serrer la main, Mbemba les aurait pris à partie, lui et son adjoint, sur le bord de la touche avant la fin du match, en utilisant un langage irrespectueux. Regragui ajoute qu’il a essayé de comprendre la situation en lui demandant pourquoi il le traitait ainsi, mais que Mbemba a refusé de lui serrer la main et a commencé à crier.

Regragui conclut en suggérant aux Congolais de laisser tomber cette affaire, soulignant l’importance de se concentrer sur le prochain match contre la Tanzanie. Il mentionne également la forte communauté congolaise au Maroc.

La polémique entre Regragui et Chancel Mbemba souligne les tensions survenues lors du match entre le Maroc et la RD Congo. Les déclarations contradictoires mettent en lumière la nécessité de vérifier les faits avant de tirer des conclusions hâtives. La situation rappelle l’importance du fair-play et du respect sur et en dehors du terrain lors de compétitions internationales.

Répression préélectorale au Sénégal : Human Rights Watch soulève des inquiétudes à l’approche des élections de février 2024

Dans un rapport récent publié le 22 janvier, l’organisation de défense des droits humains Human Rights Watch a accusé les autorités sénégalaises de mener une répression sévère à l’encontre de l’opposition, des médias et de la société civile dans le contexte des élections générales prévues pour le 25 février 2024. Le rapport, basé sur des témoignages recueillis entre novembre 2023 et janvier 2024, jette une lumière crue sur la situation politique tendue dans le pays.

Human Rights Watch, entre 2021 et 2023, peint un tableau sombre du Sénégal, affirmant que les autorités sénégalaises ont utilisé des tactiques répressives à l’encontre de l’opposition depuis le début des procédures judiciaires impliquant le leader de l’opposition, Ousmane Sonko, et face aux préoccupations liées à une possible prolongation du mandat présidentiel de Macky Sall.

Le rapport indique que des manifestations ont été violemment dispersées par les forces de sécurité, faisant usage de balles réelles et de gaz lacrymogène de manière inappropriée. Il mentionne également des actes de torture, documentant des cas de violences à l’encontre de manifestants, avec des photographies montrant des blessures et même une vidéo montrant des gendarmes torturant un manifestant en juin 2023.

Selon Human Rights Watch, les forces de sécurité ont particulièrement ciblé les dirigeants, membres et partisans du parti d’Ousmane Sonko, le Pastef. Des accusations variées, allant de l’incitation à l’insurrection à l’atteinte à la sûreté de l’État, ont été portées contre ces individus. La dissolution du Pastef, annoncée le 31 juillet 2023 par le ministre de l’Intérieur, a été justifiée par son implication présumée dans des manifestations violentes en juin 2023 et mars 2021.

Ilaria Allegrozzi, chercheuse senior sur le Sahel à Human Rights Watch, a souligné que cette répression va à l’encontre de la promesse du président Macky Sall d’organiser des élections libres et équitables. L’organisation appelle les autorités sénégalaises à enquêter de manière approfondie sur toutes les violences commises par les forces de sécurité, à libérer les personnes détenues arbitrairement, y compris pour des raisons politiques, et à garantir les droits fondamentaux tels que la liberté d’expression, d’association et de réunion pacifique.

Alors que le Sénégal se prépare à des élections cruciales le 25 février 2024, les inquiétudes soulevées par Human Rights Watch mettent en lumière les défis qui pèsent sur le processus démocratique du pays. La communauté internationale surveillera attentivement le déroulement de ces élections, et les autorités sénégalaises sont exhortées à prendre des mesures immédiates pour garantir un processus électoral transparent, inclusif et respectueux des droits fondamentaux de tous les citoyens.

Présidentielle 2024 : Après l’exclusion de Karim Wade, l’avenir politique de Kéba Kanté est-il en jeu ?

Il y’a juste 3 mois, le responsable politique, Kéba Kanté, fils de l’ancien Directeur Général du Port Autonome de Dakar (PAD), et ancien Ministre chargé du Plan Sénégal émergent (PSE ), Cheikh Kanté et initiateur du mouvement  » la Grande offensive des républicains (GOR)  » avait rallié le PDS.

Un ralliement politique de taille, qui annonça la fin de Benno dans le Ndiambour et qui apporta la joie dans les rangs des libéraux sous la houlette de Karim Wade pour la reconquête du pouvoir perdu en 2012 avec le règne de Macky. 

Poisse ou malchance, l’espoir vient de s’estomper avec la décision du conseil constitutionnel. Karim Wade, fils et ministre de l’ancien président Abdoulaye Wade et premier adjoint du secrétaire général du parti démocratique sénégalais (PDS), a été définitivement écarté de la course présidentielle du 25 février prochain. En effet, il  ne figure pas sur la liste définitive des vingt candidats validés par le Conseil constitutionnel, publiée tardivement ce samedi 20 janvier  après une longue journée d’attente. Motif : sa double nationalité qui fait débat depuis plusieurs jours dans le pays suite au recours déposé par le député Thierno Alassane Sall malgré un décret en attestant soit publié par le ministère français de l’intérieur.

Le fils de Cheikh Kanté avait promis de remporter la victoire contre la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) à Fatick, Louga et Dakar. « Je m’adresse au président Karim Meissa Wade. Au soir du 25 février 2024, je prends l’engagement devant tout le monde que je vais battre le Bby à Fatick, à Louga et à Dakar, » avait-t-il déclaré

Pour mémoire, le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et Karim Wade ont publié une déclaration ce 21 janvier, portant de graves accusations à l’encontre de deux juges du Conseil constitutionnel, Cheikh Tidiane Coulibaly et Cheikh Ndiaye. Le PDS suspecte ces juges de corruption, sans toutefois fournir de détails précis.

Cette situation embarrassante ne pourrait-il pas, à terme, fortement réduire l’offre politique avec le risque d’un désistement de la base militante ?

Face à cette situation, le nouveau lion du PDS poursuivra t-il le combat du recours entre enquête parlementaire et saisie des juridictions internationales ?

Que va t-il faire de ses bases politiques éparpillées entre Fatick, Dakar, Louga et Mbacké ? Mieux, quel sera son discours lors de son meeting du 11 Février prochain qui suscite moult interrogations sur son avenir politique ?

Recettes douanières record à Kaffrine : Plus de 324 millions CFA collectés en 2023

La subdivision des douanes de Kaffrine, située dans le centre du Sénégal, a annoncé avoir réalisé des performances exceptionnelles en 2023, en collectant un total de 324 millions 675 mille 259 francs CFA. Ces résultats représentent une augmentation significative par rapport à l’année précédente, dépassant les attentes avec un glissement positif de 239% en valeur relative.

Le chef de la subdivision régionale des douanes de Kaffrine, le commandant Papa Makhmout Fall, a déclaré que ces résultats financiers exceptionnels reflètent l’efficacité des opérations menées au cours de l’année 2023. Le montant collecté représente un glissement positif de 188 millions 550 mille 426 francs CFA en valeur absolue par rapport à l’année 2022.

La subdivision des douanes de Kaffrine a également joué un rôle prépondérant dans la lutte contre la criminalité transfrontalière et les trafics divers. Les unités ont traité un total de vingt-trois affaires contentieuses, saisissant 2279 kilogrammes de produits prohibés, d’une contrevaleur estimée à 168 millions 455 mille 363 francs CFA.

La subdivision a intensifié ses efforts dans la lutte contre la contrebande de médicaments contrefaits, qualifiée de « véritable fléau de santé publique dans la région ». Seize affaires contentieuses ont été menées, aboutissant à la saisie de 1748 kilogrammes de médicaments contrefaits, évalués à 168 millions 455 mille 363 francs CFA.

En ce qui concerne la contrebande de chanvre indien, le commandant Papa Makhmout Fall a informé que seulement 163 kilogrammes ont été saisis au cours de trois affaires contentieuses, totalisant une contrevaleur de 20 millions 350 000 francs CFA.

Les performances remarquables de la subdivision des douanes de Kaffrine en 2023 témoignent de l’efficacité de ses opérations dans la collecte de recettes douanières et la lutte contre diverses formes de criminalité. Ces résultats soulignent l’importance cruciale des efforts continus pour assurer la sécurité et le respect des réglementations aux frontières.

Drame à Kédougou : Un camion-citerne malien se renverse et prend feu, toutes les personnes à bord périssent

Un accident tragique s’est produit dans la région de Kédougou, au Sénégal, où un camion-citerne malien a malheureusement raté un virage, se renversant aux abords de la route avant de s’embraser. L’incident a entraîné la perte de plusieurs vies, toutes les personnes à bord du véhicule ayant péri dans les flammes dévastatrices.

Le drame s’est déroulé lorsque le camion-citerne malien a échoué à négocier un virage, provoquant son renversement. La violence de l’impact a entraîné un incendie qui a rapidement consumé le véhicule. Les autorités locales n’ont pas encore pu déterminer avec précision le nombre exact de passagers présents à bord au moment de l’accident, mais aucun survivant n’a pu être sauvé des flammes.

Les équipes de secours ont rapidement réagi pour éteindre l’incendie qui ravageait le camion-citerne. Cependant, une fois le feu maîtrisé, la découverte macabre de deux squelettes humains à l’intérieur du véhicule a confirmé le pire. Les passagers n’ont malheureusement pas eu la chance de s’extraire du camion avant qu’il ne soit complètement calciné.

L’ampleur de la tragédie est d’autant plus dévastatrice étant donné qu’aucun survivant n’a été retrouvé. Les circonstances exactes de l’accident, ainsi que le nombre de passagers à bord, restent à éclaircir. Cet incident souligne les risques associés au transport de matières inflammables et met en lumière la nécessité de renforcer les mesures de sécurité sur les routes.

Ce drame à Kédougou, résultant du renversement et de l’incendie d’un camion-citerne malien, rappelle cruellement la vulnérabilité des usagers de la route. Les autorités locales mènent actuellement des enquêtes pour comprendre les causes exactes de l’accident et pour tenter de fournir des réponses aux familles endeuillées. La tragédie souligne l’importance cruciale des mesures de sécurité routière pour prévenir de tels incidents et protéger la vie des usagers de la route.

Accident mortel à Linguère-Matam : Deux morts suite au renversement d’un véhicule

Un accident tragique s’est produit hier, le dimanche 21 janvier, sur la route reliant Linguère à Matam, précisément à hauteur du village de Loumbel Lana dans la commune de Barkédji, située dans le département de Linguère. Un véhicule 4×4, conduit par Y. Bathily, âgé de 30 ans, a été impliqué dans un renversement suite à un dérapage, entraînant des conséquences dramatiques.

Le véhicule, dont le conducteur a été identifié comme Y. Bathily, a basculé à la suite d’un dérapage, provoquant un accident mortel. Le chauffeur a perdu la vie sur le coup, tandis que trois autres passagers, D. Traoré (50 ans), M. Traoré (35 ans) et A. Sidibé (38 ans), ont subi des blessures graves.

Alertés, les gendarmes et les sapeurs-pompiers de Linguère se sont rendus rapidement sur les lieux de l’accident. Après les constatations nécessaires, la dépouille du chauffeur décédé a été transportée à la morgue de l’hôpital Maguette Lô. Les passagers blessés ont, quant à eux, été admis au service d’urgences de la même structure sanitaire. Malheureusement, le sieur D. Traoré a succombé à ses blessures, portant ainsi le nombre de décès à deux.

L’accident a entraîné la perte de deux vies, le conducteur Y. Bathily et le passager D. Traoré. Les deux autres occupants du véhicule, M. Traoré et A. Sidibé, ont été gravement blessés, mettant en lumière la gravité de l’incident survenu sur la route Linguère-Matam.

Cet accident tragique souligne une fois de plus l’importance de la prudence sur les routes et la nécessité de respecter les règles de conduite. Les autorités locales et les services d’urgence ont réagi rapidement, mais le bilan humain demeure douloureux pour les familles des victimes. Cet incident rappelle également l’importance de sensibiliser sur la sécurité routière pour prévenir de tels drames à l’avenir.

Affaire à Sédhiou : Les parents déférés après la mort de leur fille de 15 ans battue

Une affaire tragique secoue la région de Sédhiou au Sénégal, impliquant le décès d’une adolescente de 15 ans, battue à mort par ses propres parents. L’affaire, révélée par Seneweb et approfondie par Libération, a conduit à l’arrestation des parents de la victime, L. Danfa et F. Badji. Le drame s’est déroulé dans la nuit du 18 au 19 janvier à Pontadoss, un village de la commune de Kaour. Les parents seront déférés au parquet ce lundi après avoir été placés en garde à vue à la gendarmerie de Goudomp.

Selon les informations fournies par Libération, les faits se sont déroulés dans la nuit du 18 au 19 janvier à Pontadoss. La victime, A. Danfa, âgée de 15 ans et élève en classe de 5e, aurait succombé à ses blessures lors de son évacuation du poste de santé du camp militaire de Goudomp à celui du village de Fanda, dans la région de Ziguinchor. Le drame a été déclenché par le reproche des parents, qui auraient désapprouvé la participation de leur fille à une soirée dansante sans leur consentement.

Les parents de la victime, L. Danfa et F. Badji, ont été placés en garde à vue à la gendarmerie de Goudomp et seront déférés devant le parquet ce lundi. Cette procédure judiciaire témoigne de la gravité des accusations pesant sur eux dans le cadre de la mort de leur propre fille.

Cette affaire a suscité une vive émotion dans la région de Sédhiou et au-delà. La brutalité de la situation et le lien familial entre les accusés et la victime accentuent le choc ressenti par la communauté. Les détails supplémentaires émergent peu à peu, jetant la lumière sur les circonstances tragiques qui ont conduit à la perte de la jeune A. Danfa.

L’affaire de la fille de 15 ans battue à mort par ses parents à Sédhiou souligne l’importance de l’intervention rapide des autorités judiciaires dans de tels cas. La tragédie a suscité une profonde émotion et soulève des questions sur la nécessité de sensibiliser davantage sur les droits des enfants et la lutte contre la violence familiale.

Les conjurés du report de l’élection présidentielle (Par Madiambal Diagne)

Ils étaient presque trois cents à annoncer leur ambition de devenir président de la République du Sénégal en 2024. Vingt d’entre eux ont finalement été retenus dans la liste rendue publique par le Conseil constitutionnel, comme déclarés qualifiés pour la compétition électorale du 25 février prochain. C’est sans doute beaucoup, car jamais dans l’histoire politique du Sénégal, autant de candidats ne s’étaient alignés pour une élection présidentielle. Mais ce nombre pléthorique n’en est pas moins une bonne chose. On peut considérer que cette élection présidentielle est partie pour être la plus inclusive possible. Pour rappel, en 2019, seuls cinq candidats avaient été en lice, contre quatorze en 2012, quinze en 2007, huit en 2000, encore huit en 1993, quatre en 1988, cinq en 1983, deux en 1978. Un seul candidat, Léopold Sédar Senghor, sous le régime du parti unique, était en lice pour les présidentielles de 1973, 1968 et 1963.

En 2024, en dépit du système de parrainage qui constitue un premier filtre permettant de recaler les candidats les plus farfelus, on aura quatre fois plus de candidats que lors de la dernière élection présidentielle. Plus que jamais, c’est la réponse définitive que le système du parrainage se révèle être absolument nécessaire pour réguler la compétition électorale et préserver le sérieux qui doit l’entourer.
Karim Wade et Ousmane Sonko, candidats sans illusions recalés

Tous les deux savaient parfaitement qu’ils ne sauraient et ne pourraient être candidats à cette élection présidentielle de 2024. Karim Meïssa Wade le sait si bien qu’il n’a pas daigné, depuis plus de sept ans, fouler le sol du pays qu’il prétendait diriger ; encore qu’à moins d’un mois du rendez-vous électoral, il continue à donner des consignes à travers les réseaux sociaux, annonçant son inéluctable retour.
Je n’ai jamais pris de telles annonces au sérieux, considérant que c’était un simple jeu de dupes et que Karim Wade souhaitait, au fond de lui-même, être recalé pour pouvoir dire à ses soutiens qu’il avait voulu venir mais que la permission ne lui a pas été accordée.
Franchement, si Karim Wade voulait être candidat, il se serait délesté depuis longtemps de sa nationalité française qui, fatalement, l’aurait empêché de participer à l’élection présidentielle. Mais attendre qu’un recours en invalidation contre sa candidature soit déposé, pour s’empresser de se faire confectionner un décret en mode «fast track», apparaît plus comme une pièce de théâtre ; d’autant plus qu’un tel décret est postérieur au dépôt des candidatures. On n’a pas besoin d’être un grand juriste pour savoir que si le Conseil constitutionnel avait accepté cette pièce tardive fournie par Karim Wade, que constitue le décret de renonciation à son allégeance à la République française, les sept «Sages» auraient dû alors autoriser tous les autres 40 candidats dont les dossiers avaient déjà été rejetés, à pouvoir les régulariser. La même question de double nationalité ne devrait plus se poser pour lui en 2029, si jamais Karim Wade n’aurait pas d’autres nationalités étrangères, comme espagnole et libanaise.
Ousmane Sonko s’était lui-même disqualifié pour ce qui concerne la fonction de président de la République, élu démocratiquement au suffrage universel, dès l’instant qu’il appelle de manière répétée à l’insurrection contre les institutions républicaines et surtout à faire
un putsch militaire pour renverser le chef de l’Etat démocratiquement élu. Le Conseil constitutionnel aurait pu valablement se suffire simplement de ces déclarations pour rejeter sa candidature. Ousmane Sonko semble d’ailleurs en avoir eu bien conscience pour avoir désigné plusieurs candidats, représentant chacun un pôle particulier ou une obédience de son parti dissous, l’ex-Pastef. On ne le dira jamais assez, ce parti politique était apparu comme un conglomérat de forces et de pôles politiques divers, antagonistes et parfois même réfractaires les uns aux autres. Ousmane Sonko, comme tous les leaders populistes et démagogues, pouvait continuer de servir de figure de proue, pour fédérer tout le monde et promettre à chaque coterie ce qu’elle pouvait espérer ou attendre. La supercherie ne pouvait pas durer davantage.

Mimi Touré et compagnie s’essaient au putsch institutionnel
Le fait est trop grave pour qu’on le ravale à un banal débat de salons dakarois. Un groupe de candidats, qui n’ont pu satisfaire aux exigences du parrainage, se sont mis ensemble pour prôner l’arrêt du processus électoral et le report de l’élection présidentielle. Il va de soi qu’ils n’ont pour cela, aucun argument de droit ou de fait, sinon que leur égoïsme. Mais ils sont si prétentieux qu’ils apparaissent les plus incohérents possibles. Il y a moins d’un mois, quand des voix sorties de nulle part évoquaient l’idée d’un report de l’élection présidentielle, pour permettre un nouveau dialogue autour du processus électoral, Aminata Touré, Abdoul Mbaye, Bougane Guèye Dany étaient les plus en alerte pour s’insurger contre une telle hérésie. «Bëg bëré, bagn bëré» (l’affrontement aura lieu de gré ou de force), disaient-ils en chœur. Ce quarteron soupçonnait le camp du Président Macky Sall de chercher des subterfuges pour rester à la tête du pays. Les mêmes accusations avaient d’ailleurs été portées, pendant de longs mois et de façon insistante contre Macky Sall et son régime, jusqu’à ce que ce dernier s’obligeât à rappeler l’évidence du respect scrupuleux du calendrier électoral. Il apparaît alors curieux que ces personnes, farouchement opposées à toute idée velléitaire de toucher au calendrier électoral, veuillent désormais engager le Sénégal dans une aventure on ne peut plus périlleuse. Quelle légitimité donneraient-ils aux autorités de l’Etat qui resteraient en place, au-delà de la période de renouvellement du mandat du président de la République ? Diantre, pourquoi entonner subitement un discours qui risque de faire un précédent jamais connu au Sénégal, du report d’une élection présidentielle ? Ironie du sort, jamais le contexte de la publication de la liste des candidats qualifiés à l’élection présidentielle n’a été aussi calme et serein, qu’il ne l’est en ce mois de janvier 2024. Qui ne se rappelle pas des échauffourées et des morts enregistrés habituellement à ce stade du processus électoral ? Justement, en 2012, il y avait tellement de violences et de morts que l’ancien Président nigérian Olusegun Obasanjo, dépêché à Dakar, par la Cedeao pour travailler à calmer la situation de tensions politiques au Sénégal, avait  réconisé le report de l’élection présidentielle en accordant un rabiot de deux ans au Président Abdoulaye Wade dont la candidature était fortement contestée. Aminata Touré ainsi que tout l’état-major politique du candidat Macky Sall avaient opposé un fin de non-recevoir ferme à une telle idée qu’ils considéraient comme «dangereuse, subversive et anti-démocratique».
Pour la petite histoire, Sidy Lamine Niasse, patron du Groupe de presse Walfadjri, était appelé à monter au créneau pour contrecarrer le funeste projet. Il a ainsi animé une conférence de presse fatale à cette idée, le 21 février 2012. Le texte liminaire, écrit par Abou Abel Thiam, avait été validé préalablement par Macky Sall, alors en tournée électorale, à l’étape de Guinguinéo. Macky Sall avait désigné Alioune Badara Cissé et Samba Diouldé Thiam pour le représenter à cette conférence de presse. Olusegun Obasanjo reprit alors immédiatement son avion pour retourner à Lagos et laisser les Sénégalais avec leurs «sénégalaiseries».
En tout état de cause, on ne dira jamais assez que si la folie gagnait les Sénégalais jusqu’à faire acter un report de l’élection présidentielle, les militaires par exemple seraient eux aussi bien en droit de nous imposer leurs volontés. Que Dieu en préserve le Sénégal ! En 2022, des violences politiques avaient endeuillé le pays et pourtant, l’idée de reporter les élections locales de janvier 2022 et des Législatives de juillet 2022 avait été battue en brèche par les mêmes acteurs qui aujourd’hui tiennent un autre discours. Au demeurant, si d’aventure, un Karim Wade ou quelques officines du camp présidentiel opposées à toute idée de devoir souffrir la candidature de Amadou Ba, ou encore même des candidats déjà qualifiés pour la Présidentielle finissent par être convaincus de joindre leurs voix à celles des théoriciens du report, cela ne devrait pas pour autant autoriser un saut aussi périlleux dans l’illégalité et le forfait démocratique. Encore une fois, cela ouvrirait la boîte de Pandore en ce qu’il ne serait qu’un coup d’Etat.

Secrétaire général du Ministère des Affaires étrangères limogé : Les mystères d’un départ précipité

La scène politique au Sénégal est actuellement agitée par le limogeage inattendu du secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Mame Baba Cissé. Ce départ, survenu de manière inhabituelle en dehors du cadre d’un Conseil des ministres, suscite des interrogations au sein de l’opinion publique. Surnommé « The King », Mame Baba Cissé était une figure influente au sein du ministère, et les raisons de son limogeage restent entourées de mystère.

Contrairement à la procédure habituelle qui veut que les changements au poste de secrétaire général du ministère des Affaires étrangères soient actés lors d’un Conseil des ministres, le départ de Mame Baba Cissé a été décidé de manière exceptionnelle, en urgence. Cette démarche inhabituelle soulève des questions sur la nature précise des circonstances qui ont conduit à cette décision brusque.

Selon les informations fournies par L’Observateur, les raisons du limogeage de Mame Baba Cissé demeurent floues et alimentent diverses spéculations. Dans les couloirs du ministère, certaines rumeurs font état d’un acte de défiance dont Mame Baba Cissé se serait rendu coupable, ce qui aurait motivé la décision du ministre de tutelle, Ismaïla Madior Fall. Cependant, le journal rapporte également une autre version selon laquelle le départ pourrait être lié à une ingérence, sans préciser la nature ni l’origine de cette ingérence.

Mame Baba Cissé, surnommé « The King », jouissait d’une influence notable au sein du ministère des Affaires étrangères. Son limogeage soudain a pris de court bon nombre d’observateurs politiques, et l’absence de transparence quant aux motifs de son départ alimente les spéculations au sein de l’opinion publique.

Le limogeage en urgence du secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Mame Baba Cissé, demeure entouré de mystère, suscitant des conjectures au sein de l’opinion publique sénégalaise. La nature précise des raisons de son départ reste à éclaircir, et la situation souligne l’importance de la transparence dans les décisions politiques, surtout lorsqu’elles touchent des personnalités influentes au sein de l’appareil gouvernemental.

El Malick Ndiaye dénonce les six Sages du Conseil Constitutionnel et exige la libération de Diomaye Faye

El Malick Ndiaye, secrétaire national à la communication de l’ex-Pastef, exprime une colère persistante face à la décision du Conseil constitutionnel d’écarter le leader Ousmane Sonko. Il critique vivement le choix du Conseil constitutionnel de se baser sur un « dossier de diffamation (imaginaire) » pour éliminer Sonko, dénonçant cette décision comme un rejet de la volonté du peuple sénégalais.

« Choisir un prétexte aussi insignifiant qu’une prétendue diffamation entre deux acteurs politiques pour éliminer le président Ousmane Sonko témoigne de votre ferme volonté de tourner le dos au vaillant peuple sénégalais. L’histoire vous jugera », fulmine El Malick Ndiaye.

Selon lui, l’histoire retiendra qu’en 2024, sept magistrats ont confisqué la volonté populaire en écartant le chef de l’opposition pour un simple lapsus : avoir utilisé « IGE » à la place de « IGF ». Il considère cette raison comme légère, soulignant qu’il s’agit d’une condamnation à six mois avec sursis pour un simple lapsus.

Par ailleurs, El Malick Ndiaye demande la libération immédiate de Diomaye Faye, candidat de l’opposition qu’il qualifie de « véritable et de la rupture ». Il clame : « Maintenant, pour l’égalité des chances entre candidats, le président Bassirou Diomaye Faye doit être immédiatement libéré. Diomaye mooy Sonko ! »

Aminata Touré déterminée à mettre Fin au régime de Macky Sall malgré son éviction Présidentielle

Aminata Touré, candidate de Mimi2024, réagit avec stoïcisme à son exclusion de l’élection présidentielle par le Conseil constitutionnel, qualifiant cette décision de « sans grande surprise ». Selon elle, le Conseil constitutionnel aurait simplement confirmé la volonté du président Macky Sall de l’écarter, alléguant qu’elle avait été « injustement évincée de l’élection présidentielle après avoir été illégalement expulsée de l’Assemblée nationale ».

« Face à cette nouvelle forfaiture, notre détermination à en finir définitivement avec son régime ne fait que s’intensifier. Nous nous engageons à contribuer à la défaite du candidat de Benno Bokk Yaakaar, Amadou Ba, qui ne devrait pas accéder au second tour. Nous serons actifs dans l’élection à venir en soutenant le candidat capable d’incarner un changement véritable. Nous organiserons rapidement nos consultations internes pour choisir le candidat idéal. Je vous remercie tous pour votre soutien sans faille. Plus que jamais, restons engagés pour le Sénégal », soutient fermement Aminata Touré.

CAN 2024 : duels à suivre, scenarios possibles… ce qu’il faut savoir avant la 3e journée

Sur les deux premières journées, la hiérarchie du football africain a largement été bousculée. Si le Sénégal a tenu son rang, la Guinée équatoriale, le Cap-Vert ou encore l’Angola font de surprenants leaders de groupe avant la troisième journée qui commence lundi. Groupe par groupe, voici l’analyse des enjeux de la dernière journée.

La Coupe d’Afrique commence à 24 équipes mais le couperet va bientôt tomber pour six d’entre elles. Avant le coup d’envoi de la troisième journée de la CAN 2024, seules deux équipes sont déjà officiellement qualifiées – le Sénégal et le Cap-Vert – et une seule éliminée : la Guinée-Bissau.

Groupe par groupe, France 24 fait le point sur la situation avant une dernière journée intense, du lundi 22 au mercredi 24 janvier. Des matches décisifs à suivre avec nos directs commentés.

Groupe A : tout reste à faire entre la Côte d’Ivoire, le Nigeria et la Guinée équatoriale

Comme dans beaucoup de groupes, tout peut arriver dans le groupe A. La Guinée équatoriale est pour le moment installée aux commandes avant d’affronter la Côte d’Ivoire, 3e avec 3 points. Le Nzalang n’a besoin que d’un nul pour s’assurer d’être en huitièmes de finale tandis que les hôtes ont besoin d’une victoire pour être sûrs d’attraper une des deux premières places. Un nul ou une défaite ne seraient pas éliminatoire pour autant. Les Éléphants subiraient juste la honte d’être le premier pays hôte à rallier le 2e tour grâce au repêchage des 3 meilleurs troisièmes.

L’autre match ne sera pas inintéressant. Pour le Nigeria, victoire préférable également pour s’assurer d’un des deux tickets. En face, la Guinée-Bissau est déjà éliminée. Même en cas d’exploit des Lycaons face aux Super Eagles, elle resterait derrière la Côte d’Ivoire, qui l’a battue lors du match d’ouverture (2-0).

Déjà éliminée : la Guinée-Bissau.

Groupe B : le Cap-Vert 1er, le Ghana et l’Égypte en danger

Vaut-il mieux jouer l’équipe assurée d’être première du groupe et qui risque de faire tourner ou l’équipe dernière de la poule, la plus faible sur le papier mais qui a encore une chance de passer ? Une interrogation qui trouvera un début réponse lundi dans le groupe B de la CAN.

L’Égypte affrontera le Cap-Vert, qui terminera 1er quoiqu’il arrive. Privés de Mohamed Salah, les Pharaons ont leur destin entre les mains : une victoire leur assure la qualification. Un autre résultat et cela dépendra de l’autre match.

Il opposera le Ghana au Mozambique. Une équipe à sa portée mais qui a tenu en échec l’Égypte lors de la première journée. Les Black Stars, comme les Mambas, doivent s’imposer pour espérer conquérir la 2e place. Le vainqueur éventuel, avec 4 points, serait quoi qu’il arrive bien placé pour être parmi les meilleurs troisièmes. En revanche, un match nul scellerait probablement le destin des deux équipes.

Déjà qualifié : le Cap-Vert.

Groupe C : finale Sénégal – Guinée pour la 1ere place, le Cameroun doit se réveiller

Déjà qualifié, le Sénégal peut respirer avant son match contre la Guinée à Yamoussoukro. Le seul enjeu pour les Lions de la Teranga sera de sécuriser la 1re place et pour cela, un nul suffit. Il suffit aussi au Syli national pour conserver la 2e place et voir les huitièmes de finale.

À Bouaké, où est délocalisé le second match, le Cameroun aura la pression. Pour les Lions indomptables, la victoire est obligatoire face à la Gambie pour voir la suite de la compétition. Les 3 points leur offriraient une très bonne chance d’être parmi les meilleurs troisièmes, voire, en cas de large victoire, de chiper la 2e place à la Guinée si elle est défaite. Les Scorpions quant à eux ne sont pas encore éliminés : une victoire et la Gambie pourrait encore espérer être repêchée. En 2022, ils n’avaient fallu que 3 points aux Comores et à la Tunisie pour voir les huitièmes de finale.

Déjà qualifié : le Sénégal.

Groupe D : l’Algérie, l’Angola et le Burkina Faso dans un mouchoir

L’Algérie sait ce qu’elle a à faire : battre la Mauritanie. Une victoire et, avec 5 points, elle rallierait les huitièmes de finale. Qu’elle soit 1ere, 2e ou même 3e, ce qui dépendra du résultat de l’autre match. Un nul ou une défaite la mettrait en revanche dans une situation très compliquée.

Dans l’autre confrontation, le Burkina Faso et l’Angola se disputeront la tête du groupe. Mais attention ! Un nul pourrait offrir l’opportunité à l’Algérie de les dépasser sur le fil. Une défaite laisserait le perdant à 4 points, ce qui, depuis trois éditions de la CAN, a toujours été suffisant pour rallier le tour suivant.

Groupe E : le Mali bien placé, la Tunisie en danger

Qui aurait parié que la Tunisie serait dernière du groupe avant le sprint final ? Les Aigles de Carthage devront vaincre l’Afrique du Sud, et espérer que le Mali fasse le travail contre la Namibie pour se qualifier directement. Tout autre résultat compliquerait grandement les calculs, avec au mieux, une 3e place à 4 points.

Pour le Mali, les choses sont plus simples : seule une défaite face à la Namibie les placerait à une délicate 3e place. Quant aux Brave Warriors, une victoire leur assurerait la qualification, sinon il faudra là encore sortir la calculatrice en fonction du résultat de l’autre match

Groupe F : tout le monde peut prendre sa place

La journée de dimanche a donné lieu à une petit surprise : le Maroc a connu un coup d’arrêt en concédant le nul face à la RD Congo (1-1). Dans le même temps, la Tanzanie a fait match nul contre la Zambie sur le même score. À l’arrivée, les quatre équipes peuvent encore se qualifier.

Le Maroc reste le mieux placé. Actuellement 1er, un nul face à la Zambie lui suffit pour se qualifier. Pour les Chipolopolos, victoire obligatoire en revanche, tout en espérant une défaite de la Tanzanie, ce qui les placerait en 3e position, donc repêchables.

Les Léopards de RD Congo vont de leur côté affronter les Taifa Stars. Pour avoir leur destin entre les mains, la victoire est obligatoire pour les Congolais. La Tanzanie, elle,  peut encore y croire, mais uniquement en cas de victoire.

Maroc-RDC : Mbemba accuse Regragui !

A l’issue du match de ce dimanche opposant le Maroc à la République Démocratique du Congo (score final 1-1), un incident a retenu l’attention du public et des médias. Alors que la partie s’était déroulée sans tensions majeures, une altercation a eu lieu entre Walid Regragui, le sélectionneur marocain, et Chancel Mbemba, le capitaine de l’équipe congolaise.

Alors que Regragui a estimé en conférence de presse que cet incident est clos et qu’il n’en tient pas rigueur à Mbemba, le défenseur central de l’Olympique de Marseille s’est quant à lui montré plus amer lors de son passage en zone mixte. “Je n’ai pas besoin de trop parler. Mais le plus important : justice de Dieu ! Moi, je ne suis pas parfait. Mais quand je suis sur le terrain, je respecte tout le monde. Le respect c’est réciproque.” a d’abord lancé le Léopard. Le journaliste lui demandant de raconter l’altercation avec le sélectionneur des Lions de l’Atlas, le Congolais a ensuite enchaîné : “Moi, je respecte le coach. Il y a les vidéos à la télévision. J’ai pas besoin de balancer. Moi, j’ai pris mon temps de glorifier mon Dieu.” Il semblerait donc que le sélectionneur marocain ait interrompu le joueur de 29 ans dans sa prière lorsqu’il est venu le saluer.

“Je ne croyais pas que ce mot là sortirait de la bouche du coach”

Moi, le plus important, je garde mon silence, c’est mieux. Moi je suis comme ça. Tout le monde connaît Chancel. Moi, je respecte tout le monde. Mais j’ai pas besoin de tirer sur quelqu’un. Mais la justice de Dieu est là. Moi, quand je joue au football, je joue normal comme tout le monde. Je suis pas un super joueur. Mais je ne croyais pas que ce mot là sortirait de la bouche du coach”, a accusé Mbemba. Relancé au sujet du mot en question, le Congolais a refusé d’en dire plus. “Lui-même va parler (Walid Regragui, NDLR). C’est le plus important“, a-t-il éludé. Après de telles accusations, on imagine que le sélectionneur marocain, malgré ses propos apaisant en conférence de presse, va devoir prendre à nouveau la parole et donner sa version des faits.

GRAND RASSEMBLEMENT POUR L’ELECTION DE AMADOU BA : Abdou Karim SALL à l’assaut du Maroc

(Casablanca) – Quelques jours seulement après sa dernière et on ne peut plus gigantesque mobilisation à Orkadiéré, son village natal, et dans la foulée de la puissante et inédite marée humaine au stade de Mbao, Abdou Karim SALL remet ça.

Cette fois-ci, c’est hors de nos frontières, et à nouveau de fort belle manière, quelque part dans un remarquable coin de l’Afrique du Nord, au Maroc précisément.

Et tout cela pour l’élection du Premier ministre Amadou BA comme Président de la République du Sénégal le 25 février prochain.

Par le biais de la branche marocaine de son mouvement « AKS Doolé Diaspora », le responsable de l’APR et Benno Bokk Yakaar (BBY) de Mbao que, d’ailleurs, certains surnomment affectueusement « l’homme aux trois bases politiques (Mbao, Orkadiéré et Diaspora) », a réussi la grande prouesse de réunir en cette après-midi du dimanche 21 janvier 2024, plusieurs centaines de ses inconditionnels à Casablanca.

Ce grand rassemblement politique qui avait pour cadre une des grandes salles de spectacle du mythique hôtel Hyatt Regency, sis au centre de la capitale économique du Royaume chérifien, a encore été un modèle de réussite en termes de mobilisation de militants de la mouvance présidentielle au niveau de la Diaspora sénégalaise.

Dans la salle en question, l’assistance était totalement acquise à la cause du Maire de Mbao dont la seule et unique préoccupation aujourd’hui est d’élire dès le premier tour de la présidentielle à venir le candidat du Président Macky SALL et de BBY. « Amadou BA, candidat de l’espoir, de la continuité et de la stabilité », dixit l’ancien Ministre de l’environnement et du développement durable du Sénégal et, non moins, Coordonnateur de la Convergence des Cadres Républicains (CCR) du département de Pikine.

Salle comble, bien colorée et animée, brouillante et grouillante de monde, presque tous les représentants des différents groupes sociaux d’émigrés sénégalais au Maroc étaient là, scandant à tout-va le nom de leur candidat Amadou BA.

Ces passionnés de politique, qui n’ont d’yeux que pour AKS, sont venus des quartiers et villes du Maroc où l’on note une forte présence d’expatriés sénégalais.
Conscients et très optimistes du reste pour la suite des événements, ces derniers ne se font aucun doute quant à la la succession du Président Macky par son Premier ministre actuel.
« Amadou BA, 5ème président du Sénégal, ce sera juste une formalité », clame haut et fort un militant de l’APR du Maroc, venu de Fèz qui est, sans nul doute, l’un des quartiers qui accueille le plus de sénégalais au pays du Roi Mouhamed VI.

La même conviction se lisait sur le visage de ces nombreuses braves dames sénégalaises, infatigables travailleuses dans cette partie du Maghreb. Idem chez ces dizaines et dizaines de délégations en provenance des localités de Oulfa, Bouskoura, Settat, Mohammedia, El Jadida, Ain-Seba, Fès, Rabat, Meknés, Essaouira, Marrakech, Agadir et Tanger.
Celles de Laayoune et Dahla, deux villes situées à la frontière avec la Mauritanie voisine, ne sont pas non plus en reste.

Aujourd’hui, les militants de l’APR, et par extension de BBY au Maroc sont un et indivisible. Et c’est grace à l’entregent et aux actions salutaires, menées en coulisses, sans tambour ni trompette, par Abdou Karim SALL afin de recoller les morceaux, faire taire les querelles inutiles et insuffler du sang neuf dans les différentes coordinations politiques de la mouvance présidentielle au niveau du royaume chérifien.

« AKS a réussi là où plusieurs médiateurs et autres facilitateurs ont échoué », lance Elimane Faye, responsable politique de l’APR à Casablanca.
Pour lui, ce qui reste à faire est que tous descendent sur le terrain politique avec des visites de proximité quotidiennes auprès des sénégalais du Maroc pour les convaincre à voter Amadou BA le 25 février 2024.

« Nous sommes persuadés de pourvoir renverser la tendance au Maroc par rapport aux dernières joutes électorales, mais cela demande du boulot et beaucoup de sacrifices », fait remarquer un de nos interlocuteurs, expatrié sénégalais, domicilié à Casablanca depuis plus d’une décennie.
Et celui-ci de conseiller à ses camarades que « tout doit désormais se faire dans la transparence et l’unité, mais surtout dans la solidarité et un engagement politique sans faille ».

Ce que l’hôte de marque de la communauté politique de l’APR et BBY du Maroc semble confirmer. « Si on veut gagner haut la main la prochaine présidentielle, il faut d’ores et déjà taire toutes nos querelles et se concentrer sur l’essentiel », avertit Abdou Karim SALL.

Un message bien saisi par l’assistance, vraisemblablement déterminée à faire élire Amadou BA dès le premier tour de l’élection présidentielle qui se tiendra dans un peu plus d’un mois.

À la fin du grand rassemblement de Casablanca qui a été une réussite totale, Abdou Karim SALL a exprimé toute sa satisfaction avec mention spéciale aux organisateurs.
« Vous n’avez ménagé aucun effort pour réussir avec brio le pari, oh combien difficile, de la mobilisation pour cet événement politique d’envergure. Je vous en félicite très sincèrement. Je tire un grand coup de chapeau aux camarades venus des coins les plus reculés du Maroc pour assister à cette démonstration de force. Je vous en serai éternellement reconnaissant. Maintenant, le plus important est le rendez-vous historique du 25 février prochain. Préparez-vous à aller voter massivement pour notre candidat Amadou BA, 5ème Président du Sénégal », conclut en beauté Abdou Karim SALL sous les ovations d’une foule impressionnante et surexcitée.

Mohamed Salah quitte la CAN-2024 sur blessure et retourne à Liverpool

Le célèbre attaquant égyptien Mohamed Salah met un terme à sa participation à la CAN-2023 en raison d’une blessure aux ischio-jambiers. Il a quitté le camp de l’équipe nationale et est retourné à Liverpool pour entamer sa période de rééducation.

Mohamed Salah, souvent surnommé le Pharaon, a été contraint de quitter la CAN-2023 en raison d’une blessure aux ischio-jambiers. Le joueur a regagné son club, Liverpool, pour commencer le processus de guérison et de rééducation.

Jurgen Klopp, l’entraîneur de Liverpool, a exprimé l’espoir que Mohamed Salah pourrait faire son retour à la CAN-2023 si sa condition physique le permet. Cependant, cela dépendra des progrès de sa rééducation et de sa capacité à retrouver sa forme optimale.

Les premiers diagnostics suggèrent que Mohamed Salah pourrait être éloigné des terrains de jeu pendant au moins deux semaines. Cependant, la durée exacte de son absence dépendra de l’évolution de sa blessure et de sa rééducation.

Le départ prématuré de Mohamed Salah représente un coup dur pour l’équipe nationale égyptienne qui comptait sur son talent et son expérience pour briller lors de la CAN-2023. Les responsables de l’équipe devront réajuster leur stratégie sans la présence de leur joueur vedette.

La blessure de Mohamed Salah et son départ anticipé de la CAN-2023 suscitent des inquiétudes quant à son état de forme pour les prochaines compétitions. Les supporters de l’Égypte espèrent un rétablissement rapide de leur star, tandis que Liverpool surveillera de près la progression de sa rééducation.

Forfait d’Abdallah Sima pour la CAN 2024 : Un coup dur pour l’équipe nationale du Sénégal

L’équipe nationale du Sénégal doit faire face à un coup dur avec le forfait d’Abdallah Sima pour la CAN 2024. Le joueur, qui évolue au sein du club Glasgow Rangers, retourne dans son club suite à une blessure contractée lors de l’entraînement.

Abdallah Sima a passé des examens après s’être blessé lors de l’entraînement de mercredi. Les résultats ont révélé une lésion du long adducteur de la cuisse gauche, entraînant une longue période d’indisponibilité. Constatant la gravité de la blessure, les staffs médicaux de l’équipe nationale sénégalaise et de Glasgow Rangers ont pris la décision de renvoyer le joueur dans son club pour bénéficier d’une prise en charge optimale.

Le départ d’Abdallah Sima représente une perte importante pour l’équipe nationale du Sénégal, qui comptait sur la contribution du joueur pendant la CAN 2024. La lésion du long adducteur nécessitant une période prolongée de récupération, l’équipe devra trouver des solutions alternatives pour pallier cette absence.

La Fédération Sénégalaise de Football (FSF) a confirmé le forfait d’Abdallah Sima et a souligné la nécessité de permettre au joueur de se remettre de sa blessure dans un environnement optimal, d’où sa décision de le renvoyer à Glasgow Rangers.

Le forfait d’Abdallah Sima est un revers inattendu pour l’équipe nationale sénégalaise en quête de succès à la CAN 2024. Les supporters et les responsables de l’équipe devront ajuster leurs attentes et soutenir les autres joueurs dans la poursuite de leurs objectifs dans le tournoi continental.

Pourquoi Amadou BA sera élu?

L’homme incarne la sagesse, l’attention, cultive la sérénité et rassuré par sa demande et son esprit rassembleur.

N’est-ce pas les qualités tant attendues pour porter un manager de notre cher pays de la teranga, le Sénégal?

Pour rappel, il suffit de jeter un coup d’œil sur le rétroviseur de ce haut fonctionnaire ayant occupé des stations de confiance dans les organes les plus sensibles de l’Etat. Les temps forts de Monsieur Amadou BA ont été toujours marqués par sa maîtrise des dossiers, la diligence dans les affaires et la courtoisie dans son approche.

N’est-ce pas, ce sont ces critères tant attendus d’un homme d’État. Il l’est jusqu’au bout des ongles.

Toujours pour mémoire, le Premier Ministre Amadou BA, candidat de la grande coalition victorieuse, BBY, a toujours relevé le défi des missions qui lui sont toujours assignées notamment Directeur Général des impôts et des domaines, Ministre des finances et du budget, Ministre des affaires étrangères et Premier Ministre.

Sans oublier sa contribution sociale et internationale qu’il a toujours apportée aux concitoyens d’ici et d’ailleurs.

Ce formateur chevronné de la prestigieuse école, l’ENA, a imprimé sa marque d’expériences et de rigueur. Ses qualités sont reconnues et appréciées par toutes, même les néo-opposants.

Chers concitoyens,

Les vertus de notre cher Sénégal doivent être sauvegardées par un Président de cette envergure, aux qualités sociales, humaines et professionnelles incontestables. Notre candidat incarne toutes ses valeurs et qualités humaines qui lui ont permis de poser des actes de consolidation de l’unité nationale et de la cohésion sociale au moment où d’autres prétendants à la station suprême de notre République s’attardaient sur des aspects puériles qui frisent parfois même le ridicule. C’est ce qui lui a permis de gagner une longueur d’avance sur ses adversaires qui ne lui arrivent pas à la cheville.

En s’appuyant sur les réalisations du Président Macky SALL, le Bâtisseur, Mr Amadou Ba garantit à la fois la continuité de l’État et la cohérence de la perspective d’une nouvelle phase du PSE performant au profit de tous.

Il nous faut Amadou pour les raisons ci après :

_ Aimer le pays, comme il l’a toujours montré.
_ Montrer le bon exemple à travers son parcours.
_ Assurer la continuité dans le social. l’économie , la sécurité et rassurer les sénégalais.

Doter le pays d’un nouvel air sans haine ni mépris.

prôner la réconciliation nationale.

Utiliser les ressources du pays pour l’essor économique:

mobiliser, sous la direction éclairée du PR Macky Sall, tous les sénégalais épris de paix, de stabilité et de développement pour un score de 52,78% au soir du 25 février 2024.

Pape Modou Fall
Président du parti RV/Dëgg Moo woor
Coordonnateur de la CR/2SR

CAN 2024 : L’Afrique du Sud écrase la Namibie 4-0 et se relance dans la compétition

L’Afrique du Sud a dominé la Namibie avec brio lors de la rencontre du 21 janvier au stade Amadou Gon Coulibaly de Korhogo, remportant une victoire convaincante de 4-0. Cette performance remarquable replace les Bafana Bafana dans la course pour une qualification en huitièmes de finale de la CAN 2024.

Les Brave Warriors de Namibie ont débuté le match avec confiance, portés par leur récent exploit contre la Tunisie. Cependant, l’Afrique du Sud a pris rapidement le contrôle, convertissant un penalty dès la 14e minute grâce à Percy Tau, qui inscrit son premier but en Coupe d’Afrique des nations.

Malgré la pression initiale de la Namibie, l’Afrique du Sud a consolidé son avance avec un superbe centre de Thapelo Morena pour Themba Zwane, portant le score à 2-0 à la 25e minute. Themba Zwane a ensuite inscrit un doublé à la 40e minute, soulignant la qualité des automatismes offensifs des Sud-Africains.

En seconde période, les Sud-Africains ont continué à dominer, éteignant toute tentative de réaction de la Namibie. Thapelo Maseko a ajouté un quatrième but à la 75e minute, scellant la victoire éclatante de l’Afrique du Sud.

Avec cette victoire, l’Afrique du Sud se replace dans la compétition et nourrit l’espoir d’une qualification en huitièmes de finale. Les supporters sud-africains peuvent désormais envisager avec optimisme le prochain match contre la Tunisie.

La démonstration de force de l’Afrique du Sud contre la Namibie à la CAN 2024 confirme sa présence en tant que prétendant sérieux. La compétition promet des rebondissements passionnants, et les Bafana Bafana ont prouvé qu’ils étaient prêts à relever le défi.

Présidentielle 2024 : « je ne suis le plan B de personne » Boubacar Camara

Suite à la publication par le conseil constitutionnel de la liste définitive à 20 candidats autorités à se présenter à l’élection présidentielle de février 2024, Boubacar Camara a fait face la presse nationale ce dimanche 21 janvier 2024, à l’immeuble arona Coumba ndoffene Diouf, pour remercier ses collaborateurs et décerne une mention spéciale à nos militants, sympathisants et proches.Une occasion pour président Boubacar Camara de déplorer du fait que d’autres candidats crédibles et engagés ont été écartés par le système inique du parrainage ou par des procédés manifestement excessifs, en nommant Ousmane sonko comme le principe leaders de l’opposition.

 » La situation est marquée par trois absences frappantes, celles du président sortant, du principal leader de l’opposition et du candidat du premier parti historique de l’opposition. Au-delà de cette caractéristique de scrutin des grandes absences », l’élection présidentielle prochaine se déroule dans un contexte de fragilité multiforme. Au plan international, le Sénégal apparaît comme un îlot de stabilité dans un océan sous régional dans lequel la paix est constamment menacée. Cette situation précaire est encore plus inquiétante au vu des sources internes de tension comme les atteintes répétées et flagrantes aux droits et libertés, un processus électoral dévoyé, la politisation de l’administration et la perception d’un déficit d’impartialité de la justice. Au plan national, la situation est marquée par une économie malmenée par un endettement public excessif et l’ancrage dans la pauvreté, la crise de l’éducation et de la santé, le chômage chronique et l’insécurité galopante.

Il ajoute que la crédible et l’alternatif des offres traditionnelles, certains candidats en plus d’un parcours digne de respect et d’un discours pertinent, symbolisent la rupture. Les axes essentiels de leurs préoccupations sont la promotion d’un capital humain épanoui à travers la prise en charge par l’État de l’éducation et de la santé, la souveraineté sous toutes ses formes. l’industrialisation, la sauvegarde des ressources naturelles et la lutte contre la mal gouvernance et la corruption. Dans ce groupe, je me reconnais et le programme économique et social TABAX constitue la traduction de notre vision qui consiste à bâtir un Sénégal prospère par un capital humain épanoui à partir de l’exploitation judicieuse des ressources naturelles Il faut garantir la victoire.

Sur ce reste à voir si les sénégalais sont optés pour la rupture ou bien préfèrent la continuité parce qu’il y a deux groupes de candidats: ceux qui symbolisent la continuité soit ouvertement soit implicitement .

D’autres part nous sommes en présence de ceux qui préconisent le changement auquel aspire le peuple sénégalais car disposant de programmes politiques,d’économiques et sociaux. Avant de lancer un appel à tous les candidats porteurs d’une offre de rupture et aux électeurs à se joindre à lui afin de garantir, par un vote utile, la troisième alternance qui doit permettre de :

Consolider ce qui a été bien fait ;

Refaire ce qui a été mal fait ;

Défaire ce qui a été mal fait;

Faire ce qui aurait dû être fait.

Monsieur Camara dit être prêt à gouverner harmonieusement le Sénégal en mettant en synergie toutes les forces vives de la nation, et dit de ne pas être le premier plan B de personnes il a travaillé pour en arriver là car en 2019 lorsqu’on m’avait éliminé en pariainage j’avais tous entendu mais ça m’a servi de leçon.

Il terminera par dénoncer les dispositifs du fichier électoral pour les élections présidentielles de 2024. Il éclairci que j’avais proposé un report pour les élections présidentielles, parce que j’avais pas et j’ai pas confiance au dispositif du fichier. Nous avons bien travaillé toute pour réussir le parrainage avec propre logiciel.  » Je ne suis pas plan B de personne, j’ai mon parti, j’ai mes ambitions donc ses paroles venant de certains personnes sont infondés. Être plan B d’un coalition ou parti politique d’un personne je suis pas ses genres d’homme politique… » a-t-il conclu, le président Boubacar Camara.

Ibrahima Bachir Dramé, Expert Pétrolier Sénégalais, lauréat du prix de l’Expertise au Salon International de l’Économie Solidaire à Paris

Le 4ème Salon International de l’Économie Solidaire à Paris a été marqué par la participation active d’Ibrahima Bachir Dramé, Expert Pétrolier sénégalais, qui a animé une conférence sur les ressources naturelles, mettant l’accent sur l’exploitation du pétrole et du gaz ainsi que les enjeux pour le Sénégal. Sa présentation a attiré l’attention de nombreuses personnalités, notamment des investisseurs, entrepreneurs et acteurs du développement.

Ibrahima Bachir Dramé a partagé son expertise lors d’une conférence détaillant les aspects de l’exploitation des ressources naturelles, avec un focus particulier sur le secteur du pétrole et du gaz. Son intervention a permis d’éclairer l’auditoire sur les défis et les opportunités liés à ces secteurs clés pour l’économie sénégalaise.

L’expertise d’Ibrahima Bachir Dramé dans le domaine des hydrocarbures a été chaleureusement accueillie par l’auditoire à Paris. En reconnaissance de ses contributions exceptionnelles, il a été honoré par le prix de l’expertise lors de cet événement international.

La reconnaissance internationale d’Ibrahima Bachir Dramé, Expert Pétrolier, à travers ce prix, représente une fierté pour le Sénégal. Sa participation active à ce salon renforce la visibilité du pays dans le domaine des ressources naturelles et témoigne du savoir-faire de ses experts.

Les présentations et discussions lors du salon ont probablement contribué à sensibiliser les participants aux enjeux économiques liés à l’exploitation des ressources naturelles, ouvrant ainsi des perspectives de collaboration et d’investissement pour le développement durable du Sénégal.

La remise du prix de l’expertise à Ibrahima Bachir Dramé souligne son engagement et son excellence dans le domaine de l’expertise pétrolière, renforçant la position du Sénégal sur la scène internationale en matière de ressources naturelles.

Arrestation d’un faux marabout qui escroquait des candidats à l’émigration

Le commissariat d’arrondissement de Guinaw-rails a procédé à l’arrestation d’un homme se faisant passer pour un marabout et son complice. Ce duo d’escrocs aurait extorqué plus de 14 millions de F CFA à des individus cherchant à émigrer, en promettant l’obtention de visas pour les États-Unis et l’Italie.

A.Bâ, aspirant à émigrer aux États-Unis, est entré en contact avec A.L.Fall, se présentant comme le petit-fils de Mame Cheikh Ibra Fall, prétendant avoir déjà facilité le voyage de nombreuses personnes. A.L.Fall a promis à A.Bâ l’obtention d’un visa américain moyennant le paiement de 4,5 millions de F CFA. Après avoir encaissé une avance de 2 millions de F CFA, A.L.Fall a rompu tout contact avec sa victime.

A.Bâ, ne parvenant plus à contacter l’escroc, a organisé un rendez-vous avec lui, se faisant passer pour un autre candidat à l’émigration. A.L.Fall est tombé dans le piège et a été arrêté par la police. En garde à vue, il a avoué avoir escroqué A.Bâ et a révélé son mode opératoire, prétendant avoir agi en tant qu’intermédiaire.

A.L.Fall remettait à ses victimes un document d’engagement reconnaissant la réception de l’argent et s’engageant à délivrer le visa dans un délai convenu, promettant le remboursement en cas de non-délivrance. Le préjudice total est estimé à plus de 14 millions de F CFA par sept plaignants.

Un complice, Ibrahima.N, qui recevait une commission de 10% sur chaque somme encaissée, a été interpellé. Sous interrogatoire, il a prétendu être une victime, mais a été placé en garde à vue pour complicité.

A.L.Fall était déjà visé par des plaintes à la Division des investigations criminelles (Dic) et au commissariat de Ndamatou à Touba avant son arrestation.

Les deux individus ont été déférés pour escroquerie et complicité, portant sur une somme dépassant les 14 millions de F CFA. Cette affaire souligne les risques auxquels sont exposés les candidats à l’émigration et la nécessité de rester vigilant face à de potentielles escroqueries.

Présidentielle 2024: Karim Wade contestera sa non-admissibilité devant les juridictions internationales

Suite à la déclaration du Conseil constitutionnel rendant irrecevable sa candidature à l’élection présidentielle du 25 février, Karim Wade, fils de l’ancien président sénégalais Abdoulaye Wade, annonce son intention de saisir les juridictions internationales pour défendre son droit à participer au scrutin.

Karim Wade, qui réside au Qatar depuis sa libération de prison en 2016, est le seul parmi les 21 candidats dont la candidature a été déclarée irrecevable par le Conseil constitutionnel. Le rejet est basé sur un recours déposé par un autre candidat contestant la véracité de la déclaration sur l’honneur de Wade concernant sa double nationalité, française et sénégalaise.

Karim Wade dénonce la décision du Conseil constitutionnel comme étant « scandaleuse » et une « atteinte flagrante à la démocratie ». Il conteste le fondement de la décision, affirmant avoir depuis longtemps renoncé à sa nationalité française et considérant que la décision viole son droit fondamental de participer à l’élection présidentielle.

Face à ce qu’il qualifie de « complot judiciaire », Karim Wade annonce son intention de saisir les juridictions internationales, dont la Cour de justice de la CEDEAO, pour contester la décision du Conseil constitutionnel. Il considère que cette démarche est nécessaire pour défendre ses droits et rétablir sa candidature.

La décision du Conseil constitutionnel et la réaction de Karim Wade ajoutent une dimension controversée à un contexte électoral déjà tendu. Avec plusieurs candidats écartés pour diverses raisons, dont des condamnations définitives, l’élection présidentielle au Sénégal s’annonce comme un moment clé avec une vingtaine de candidats en lice.

La contestation de Karim Wade devant les juridictions internationales promet de maintenir la tension autour de l’élection présidentielle sénégalaise. L’issue de cette démarche pourrait avoir des implications significatives sur le déroulement du scrutin et susciter un débat plus large sur les processus électoraux et la participation politique au Sénégal.

Le Secrétaire d’État Américain Antony Blinken en tournée Africaine pour renforcer les liens et discuter des défis sécuritaires

Le Secrétaire d’État américain, Antony Blinken, a entamé une tournée africaine de une semaine, mettant en lumière les réalisations issues des engagements pris lors du sommet États-Unis-Afrique de Washington il y a plus d’un an. La visite vise à souligner les progrès économiques, commerciaux et sanitaires découlant de ce sommet.

La première étape de la tournée est le Cap-Vert, suivi de la Côte d’Ivoire, du Nigeria, et enfin de l’Angola. Chaque étape est soigneusement sélectionnée pour illustrer des aspects spécifiques des relations entre les États-Unis et l’Afrique.

Bien que l’accent soit mis sur les aspects positifs des liens économiques, commerciaux et de santé, des questions de sécurité seront inévitablement abordées. La situation au Sahel, en particulier au Mali et au Burkina Faso, sera discutée lors des étapes en Côte d’Ivoire et au Nigeria, étant donné leurs frontières communes avec ces régions.

Le soutien des États-Unis à la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) sera souligné, en particulier en ce qui concerne la crise au Niger. Cette approche reflète la volonté américaine de collaborer étroitement avec les acteurs locaux pour résoudre les défis régionaux.

La visite en Angola sera l’occasion de remercier le gouvernement angolais pour son engagement en faveur de la stabilité dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC). Cela souligne l’importance accordée à la coopération régionale et à la résolution des conflits.

La tournée africaine d’Antony Blinken cherche à renforcer les relations positives entre les États-Unis et l’Afrique, tout en abordant les défis sécuritaires. Elle met en lumière l’engagement continu des États-Unis envers le continent africain et la collaboration avec les pays et organisations régionales pour promouvoir la stabilité et le développement.

CAN 2024: Match nul entre le Maroc et la RDC

Le Maroc et la République démocratique du Congo (RDC) se sont quittés sur un match nul (1-1) lors de leur rencontre ce dimanche 21 janvier au stade Laurent Pokou de San Pedro lors de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024.

Contrairement à leur précédente rencontre face à la Tanzanie, le Maroc a ouvert le score rapidement avec un but d’Achraf Hakimi à la 6e minute, sur un corner tiré par Hakim Ziyech. Youssef En-Nesyri avait déjà mis la pression sur le portier congolais avec une tête puissante à la 2e minute.

La RDC, après avoir eu un nombre important d’occasions lors de leur match contre la Zambie, a connu des difficultés contre les Lions de l’Atlas. Ils ont raté une belle opportunité à la 33e minute après un corner de Kakuta dévié par Sélim Amallah et manqué par Chancel Mbemba.

La RDC aurait pu égaliser avec un penalty obtenu après une main de Sélim Amallah, mais Cédric Bakambu a manqué son tir en croisant trop sa frappe, qui a touché le poteau gauche à la 41e minute.

L’égalisation de la RDC est finalement survenue à la 77e minute, avec Silas Katompa Mvumpa marquant du plat du pied après un centre d’Elia Meschack. Dans les instants qui ont suivi, la RDC a failli prendre l’avantage, mais Samuel Moutoussamy n’a pas concrétisé (79e).

Cette égalisation laisse le Maroc en attente de sa qualification pour les huitièmes de finale, alors que la RDC cherche à se positionner favorablement dans le tournoi. Les deux équipes ont des ambitions différentes, le Maroc visant le titre, tandis que la RDC cherche à réaliser une performance notable.

Le match entre le Maroc et la RDC à la CAN 2024 a été marqué par des moments forts, avec le Maroc ouvrant le score rapidement et la RDC réussissant à égaliser en seconde période. Cette rencontre a ajouté de l’excitation au tournoi et a montré que la compétition est ouverte avec des équipes déterminées à atteindre les sommets.

Amadou Ba, Candidat de BBY : Prêt pour la campagne électorale

Le Conseil constitutionnel a validé la liste définitive des candidats à l’élection présidentielle du 25 février 2024, dont Amadou Ba, candidat de la coalition Benno Bokk Yaakar (BBY) au Sénégal. Suite à cette validation, Amadou Ba a exprimé sa satisfaction et s’est tourné vers la préparation de la campagne électorale.

Amadou Ba, également Premier ministre du Sénégal, a salué la décision du Conseil constitutionnel, qu’il considère comme un tournant décisif dans le processus électoral du pays. Il a souligné la vitalité de la démocratie sénégalaise sous le contrôle d’institutions républicaines fortes et impartiales.

Le candidat de la coalition BBY a déclaré : « À partir d’aujourd’hui, notre attention est portée sur la préparation de la campagne électorale qui nous donnera l’occasion de partager avec nos compatriotes notre offre programmatique pour un Sénégal prospère dans l’unité, la stabilité et la paix. »

Amadou Ba a lancé un appel à toutes les Sénégalaises et tous les Sénégalais pour qu’ils contribuent à faire de l’élection présidentielle un moment fort de consolidation de la démocratie et du renforcement des institutions de la République.

Il a également exhorté les militants et sympathisants de la coalition BBY à une forte mobilisation et à un engagement sans faille pour assurer une victoire éclatante dès le premier tour, le soir du 25 février 2024.

Amadou Ba, en tant que candidat de la coalition BBY, se tourne vers la prochaine étape du processus électoral, prêt à partager son programme avec les électeurs et appelant à une mobilisation active en vue de remporter l’élection présidentielle.

Réaction de Mamadou Lamine Diallo suite au rejet de la Candidature de Karim Wade

Suite au rejet de la candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle de 2024 par le Conseil constitutionnel, Mamadou Lamine Diallo, candidat à cette élection, a exprimé son mécontentement dans un tweet. Il a critiqué l’acharnement, selon lui, de Macky Sall, Amadou Ba et BBY (Benno Bokk Yakaar) contre Maître Abdoulaye Wade et sa famille.

Mamadou Lamine Diallo a exprimé son étonnement face à la décision du Conseil constitutionnel et a déclaré sur Twitter : « Franchement, il m’est difficile de comprendre l’acharnement de Macky Sall, de Amadou Ba et de BBY contre Maître Abdoulaye Wade et sa famille ». Il a souligné que Karim Wade a fait preuve de courage patriotique en renonçant à sa nationalité française, acquise de manière involontaire à sa naissance.

Mamadou Lamine Diallo a conclu son tweet en indiquant que « la lutte pour le renforcement de l’État de droit se poursuit ».

Le Conseil constitutionnel a rejeté la candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle de 2024. Cette décision a suscité des réactions et des critiques de la part de certains acteurs politiques, dont Mamadou Lamine Diallo.

La réaction de Mamadou Lamine Diallo n’a pas été unanimement bien accueillie sur les réseaux sociaux, certains internautes exprimant leur désaccord avec sa position. La question de la candidature de Karim Wade et les divergences politiques continuent de susciter des débats passionnés au Sénégal.

Rejet de la candidature d’Ousmane Sonko par le Conseil Constitutionnel pour des raisons légales

Le Conseil constitutionnel du Sénégal a annoncé le rejet de la requête de l’opposant Ousmane Sonko pour participer à l’élection présidentielle de 2024, citant des motifs juridiques. Cette décision découle de la condamnation de Sonko à une peine d’emprisonnement de 6 mois avec sursis dans une affaire de diffamation l’opposant au ministre Mame Mbaye Kan Niang.

Les sept membres du Conseil constitutionnel ont précisé que, conformément à l’article L.125 du Code électoral, ils effectuent toutes les vérifications nécessaires pour s’assurer de la validité des candidatures. La condamnation d’Ousmane Sonko dans une affaire de diffamation le rend inéligible pendant 5 ans, en vertu de l’article L.30 du Code électoral. Ainsi, la requête d’Ousmane Sonko a été rejetée.

Le Conseil constitutionnel a également abordé l’absence de l’attestation confirmant le versement de la caution, un élément qui a conduit à l’irrecevabilité de la candidature de Sonko. Ils ont déclaré que cette absence était imputable à des défaillances de la Caisse des Dépôts et Consignations (Cdc), qui avait reçu le chèque certifié de Sonko mais avait refusé de lui remettre une attestation.

Le Conseil constitutionnel a souligné que, bien que le contrôle des parrainages soit une condition nécessaire pour la recevabilité des candidatures, il n’est pas suffisant en soi. Ils ont noté que le dossier de Sonko ne contenait pas toutes les pièces exigées par la loi, mais que cette lacune ne pouvait pas lui être reprochée, car elle était indépendante de sa volonté.

Ousmane Sonko avait introduit une requête après avoir été écarté de la course à la présidentielle au stade du parrainage. Cette décision du Conseil constitutionnel intervient dans un contexte politique tendu à l’approche des élections présidentielles prévues le 25 février 2024.

Liste définitive des Candidats à la Présidentielle 2024 : Ousmane Sonko et Karim Wade écartés par le Conseil Constitutionnel

Le Conseil constitutionnel du Sénégal a publié sa liste définitive des candidats en vue de l’élection présidentielle prévue en 2024. L’annonce confirme la participation de Bassirou Diomaye Faye et Cheikh Tidiane Dieye, malgré des recours déposés à leur encontre. En revanche, les candidatures d’Ousmane Sonko, leader de l’ex-Pastef, et de Karim Wade, président de la coalition K24, ont été rejetées.

Mamadou Badio Camara, président du Conseil constitutionnel, a présenté les résultats après que lui et son équipe ont quitté les locaux du Conseil, mettant ainsi fin à une période d’incertitude entourant ces candidatures controversées. La décision de déclarer le dossier de Karim Wade irrecevable et de ne pas retenir la candidature d’Ousmane Sonko pourrait avoir des répercussions significatives sur le paysage politique sénégalais.

Parmi les 18 autres candidats dont les dossiers ont été retenus, on retrouve des personnalités bien connues telles que Boubacar Camara, Déthié Fall, Khalifa Ababacar Sall, Idrissa Seck, et d’autres. Cette liste diversifiée reflète la pluralité des acteurs politiques engagés dans la course à la présidence.

La non-inclusion d’Ousmane Sonko, figure majeure de l’opposition, et de Karim Wade, fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, pourrait intensifier les débats politiques dans les semaines à venir. Les partisans de ces deux leaders pourraient exprimer leur mécontentement, tandis que les autres candidats se préparent à une campagne électorale marquée par des enjeux cruciaux pour l’avenir du Sénégal.

Parmi les candidats retenus, des personnalités émergent comme des prétendants sérieux à la magistrature suprême. Les électeurs auront désormais l’opportunité de considérer un large éventail d’options lors du scrutin, chacune représentant des visions et des programmes différents pour le futur du pays.

La scène politique sénégalaise est désormais fixée, ouvrant la voie à une campagne présidentielle pleine de dynamisme, d’anticipations et d’enjeux pour la nation ouest-africaine. Les yeux seront rivés sur les candidats confirmés alors qu’ils cherchent à convaincre les électeurs et à façonner le destin politique du Sénégal pour les années à venir.

Crise électrique au marché Saint Maurs des fossés de Boucotte à Ziguinchor : Appel à l’aide gace à l’inaction Municipale

Les commerçants du marché Saint Maurs des Fossés de Boucotte, à Ziguinchor, ont tenu une conférence de presse le samedi 20 janvier 2024 pour dénoncer l’absence de mesures prises par la mairie suite à l’incendie dévastateur du 5 décembre 2023. Cette tragédie a plongé la moitié du marché dans l’obscurité, privant les commerçants d’électricité pendant plusieurs jours.

Serigne Kassé, secrétaire général du marché, explique la détérioration des conditions depuis l’incendie : « La moitié du marché est privée d’électricité depuis le 5 décembre dernier, et malgré nos appels à la commune de Ziguinchor, aucune action concrète n’a été entreprise. »

Face à cette inaction, les commerçants ont pris des initiatives personnelles, investissant un montant considérable pour rétablir l’électricité. Cependant, les travaux ont été entravés par des anomalies, laissant le marché dans une situation précaire.

« Nous nous sommes sacrifiés à hauteur d’un million trois cent soixante mille pour refaire l’électricité, qui a beaucoup d’anomalies sur nos travaux », déclare Serigne Kassé.

La situation est critique, avec des interruptions fréquentes dans l’alimentation électrique depuis l’incident. Certains commerçants, tels que ceux vendant des produits périssables comme la viande et le poisson, subissent d’importantes pertes.

« Des vendeurs de poulets, des vendeurs de viande, des vendeurs de poissons qui utilisent l’électricité 24 heures sur 24 voient tous leurs produits pourrir. Nous ne voulons pas que cela se reproduise, et nous appelons la commune à rétablir l’électricité rapidement », martèle Monsieur Kassé.

Malgré les démarches du délégué auprès de la mairie, aucune solution n’a été trouvée. Les commerçants, fatigués de cette situation, envisagent des actions plus drastiques si aucune mesure n’est prise.

« Ils nous avaient promis de faire les travaux le mardi dernier, mais rien. Un marché cinq jours sans électricité, c’est difficile. Si la mairie ne règle pas cette situation, nous passerons à la phase supérieure, c’est-à-dire que nous ne paierons pas les taxes », affirme Serigne Kassé.

Cette crise électrique met en péril les moyens de subsistance des commerçants du marché Saint Maurs des Fossés de Boucotte, les forçant à envisager des mesures de protestation radicales pour attirer l’attention sur leur détresse. La balle est maintenant dans le camp de la mairie de Ziguinchor pour résoudre cette crise et éviter des conséquences économiques dévastatrices pour la communauté locale.

AS- Le Dakarois Ziguinchor

Journée de Réflexion : l’Amicale des Administrateurs Civils du Sénégal approfondit la décentralisation et la territorialisation des Politiques Publiques

La Journée de réflexion de l’Amicale des Administrateurs civils du Sénégal s’est tenue récemment sous la présidence d’Alioune Badara Diop, Secrétaire Général adjoint du gouvernement et représentant du Premier Ministre. La thématique centrale de cet événement était « La territorialisation des politiques publiques : quels leviers pour la mise en œuvre ? ». Diverses personnalités, dont le gouverneur de la région de Dakar et le président de l’association des anciens gouverneurs du Sénégal, ont participé à cette journée. Le président de l’Amicale, El Hadji Habib Kandji, a souligné l’importance de la territorialisation dans le contexte de l’Acte III de la décentralisation.

El Hadji Habib Kandji a exprimé la volonté de l’Amicale des Administrateurs civils de demeurer un lieu de réflexion sur les problématiques contemporaines liées à l’État et à l’Administration. Il a rappelé que la territorialisation des politiques publiques a été consacrée par l’État, en particulier au cours de la dernière décennie. L’Acte III de la décentralisation, en 2014, a approfondi ce processus en l’ancrant davantage dans la réalité des territoires, afin de favoriser leur développement endogène.

El Hadji Habib Kandji a souligné le rôle central des administrateurs civils dans la conception, la mise en œuvre, le contrôle, le suivi et l’évaluation des politiques publiques. Il a rappelé que la territorialisation consiste à adapter l’action de l’État aux spécificités de chaque territoire, en prenant en compte ses ressources et potentialités.

Alioune Badara Diop, représentant du Premier Ministre, a indiqué que depuis 2012, le gouvernement sénégalais a modifié sa démarche et son paradigme en matière de politique publique. La déconcentration et l’Acte III de la décentralisation ont été initiés pour mettre en œuvre la territorialisation des politiques publiques, rapprochant ainsi les services publics de la population. Il a souligné l’importance cruciale des administrateurs civils dans le bon fonctionnement de l’État, notant qu’ils occupent une place significative au sein de l’administration sénégalaise.

El Hadji Habib Kandji a conclu en soulignant l’importance des échanges entre les différents acteurs territoriaux, y compris les associations d’élus locaux, les corps de contrôle, la société civile et le secteur privé. Il a exprimé sa conviction que les réflexions issues de cette journée contribueront à la mise en œuvre de politiques publiques territorialisées, générant des impacts positifs pour les citoyens. Ces conclusions seront soumises au gouvernement pour favoriser une mise en œuvre plus efficace des politiques publiques au niveau territorial.

Coalition MLD 2024 : Mamadou Lamine Diallo désigne l’honorable Théodore Cherif Monteil Directeur de campagne

À quelques heures de la publication officielle de la liste des candidats pour les élections présidentielles de 2024 au Sénégal, le président de la coalition MLD (Mouvement pour la Libération de la Démocratie), Mamadou Lamine Diallo, a tenu une conférence de presse pour remercier les Sénégalais de leur soutien dans le processus de parrainage. L’occasion a également été saisie pour annoncer la nomination de l’honorable Théodore Cherif Monteil en tant que directeur de campagne de la coalition MLD tekki 2024.

Mamadou Lamine Diallo a exprimé sa confiance dans le fait que la coalition MLD sera inévitablement présente sur la liste définitive des candidats, saluant le soutien des citoyens, de la diaspora, des partenaires, et des multiples alliés qui ont permis de franchir les obstacles du parrainage. Il a ensuite annoncé la nomination de l’honorable Théodore Cherif Monteil au poste de directeur de campagne pour les élections présidentielles de 2024.

Dans son discours, Mamadou Lamine Diallo a souligné l’acceptation de cette responsabilité par Théodore Cherif Monteil avec modestie, humilité, et un esprit de sacrifice, mettant en avant la compréhension de l’enjeu patriotique et citoyen de l’alternative qu’ils représentent.

Le président de la coalition MLD tekki 2024 a évoqué quelques-uns des engagements de son programme, notamment la réconciliation des Sénégalais avec les institutions, des réformes profondes dans l’éducation, la santé, l’alimentation, la sécurité, et la création d’emplois.

Théodore Cherif Monteil a également pris la parole pour exprimer son honneur face à sa nomination en tant que directeur de campagne. Il a souligné la responsabilité qui accompagne cette fonction, consistant à coordonner l’ensemble des équipes au sein de la coalition pour assurer la victoire éclatante de Mamadou Lamine Diallo lors du scrutin.

Les deux leaders ont évoqué des mesures urgentes qui seront prises dès avril 2024 pour résoudre les problèmes immédiats des citoyens. Ils ont exprimé leur vision d’un Sénégal économiquement prospère d’ici 2040-2045, mettant en avant le potentiel de la jeunesse talentueuse du pays.

En conclusion, Mamadou Lamine Diallo a renouvelé ses remerciements au peuple sénégalais et a exprimé sa confiance en une victoire collective pour construire un avenir meilleur.

Vœux 2024 de l’Administration Pénitentiaire : Abdoulaye Diagne admet l’insuffisance d’effectif et dévoile ses ambitions

La cérémonie de vœux 2024 de l’Administration Pénitentiaire sénégalaise a été l’occasion pour le Colonel Abdoulaye Diagne de reconnaître les défis auxquels sont confrontés les agents, notamment l’insuffisance d’effectifs et la surcharge de travail. Dans son discours, le Directeur Général a également dévoilé ses ambitions pour l’amélioration des conditions de travail et la préparation à la réinsertion sociale des détenus.

Le Colonel Abdoulaye Diagne a souligné l’insuffisance des effectifs au sein de l’Administration Pénitentiaire. Pour remédier à cette situation, il a révélé qu’actuellement, 300 agents de tous grades suivent une formation à l’École Nationale d’Administration Pénitentiaire. Cette mesure vise à renforcer les ressources humaines et à mieux répondre aux exigences sécuritaires.

Le DG a effectué un examen rétrospectif des performances de l’année écoulée, saluant les résultats élogieux obtenus grâce à l’engagement de tous les acteurs. Il a souligné la maturation et la modernisation de l’institution, avec des progrès notables dans l’équipement du personnel et la création d’activités pour favoriser la réhabilitation des détenus.

Le Colonel Diagne a rappelé l’importance du respect des droits et de la dignité des détenus, les considérant comme des êtres humains dont la réinsertion sociale doit être au cœur des préoccupations. Il a appelé à la consolidation des acquis tout en soulignant l’importance de l’obligation de réserve et de loyauté envers la République pour le personnel pénitentiaire.

Le DG a encouragé le renforcement de la formation continue du personnel, notamment en collaborant avec la Direction des Ressources Humaines. Il a exprimé sa reconnaissance envers les anciens de l’Administration Pénitentiaire et a assuré de maintenir des relations fortes avec l’Association des Retraités.

Abdoulaye Diagne a conclu en reconnaissant que malgré les réussites, des défis subsistent. Il a appelé à la solidarité, la discipline, la rigueur, et le désintéressement pour aborder la mission de l’Administration Pénitentiaire comme un sacerdoce. Le DG a formulé des vœux de santé, paix, et réussite pour l’année 2024 à tous les membres du personnel, associant également leurs familles.

La cérémonie a également été l’occasion de remercier les partenaires publics et privés qui contribuent au succès de l’Administration Pénitentiaire dans ses missions de réinsertion sociale des détenus.

Rapport de la RAC2023 : Un engagement de plus de 1500 milliards pour l’économie, l’emploi et le développement durable au Sénégal

La validation technique du rapport de la RAC2023, couplée au partage du PAP3 du Plan Sénégal Émergent (PSE), a été l’occasion d’annoncer un engagement financier majeur en faveur de l’économie sociale, solidaire, et de la création d’emplois, avec une perspective ambitieuse pour 2035.

Le ministre de l’économie, du plan, et de la coopération, Doudou Ka, a déclaré lors de la rencontre au Radisson Blu de Dakar que le gouvernement s’engage à mobiliser plus de 1500 milliards de FCFA pour développer divers secteurs et résoudre la question de l’emploi des jeunes et des femmes d’ici 2035. Cet engagement financier vise à renforcer l’économie sociale et solidaire du Sénégal.

Doudou Ka a souligné que malgré les défis liés à la pandémie de Covid-19 et d’autres crises, les résultats obtenus en 2022 sont satisfaisants. Il a salué la qualité des propositions des acteurs tels que les partenaires au développement, la société civile, le secteur privé, et les collectivités territoriales. Le gouvernement prévoit d’optimiser les dépenses publiques, moderniser l’administration, et rationaliser les soutiens au secteur privé, en particulier aux PME/PMI.

Pour répondre à la problématique de l’emploi des jeunes, le gouvernement prévoit de mettre en œuvre le Programme PSE Jeunes, de poursuivre le programme Xeyu Ndaw Gni, d’étendre la formation professionnelle, et d’augmenter les lignes de financement. Des instruments tels que le FONSIS, le FONGIP, la BNDE, et la DER/FJ joueront un rôle clé dans cette stratégie.

Le secteur privé et la société civile ont appelé à renforcer la synergie des moyens d’action et à débloquer une ligne de financement, conformément aux recommandations du dernier conseil présidentiel sur la RAC du PSE. Ils ont également demandé un renforcement des capacités des acteurs de la société civile sur le PAP3. Le secteur privé souhaite l’opérationnalisation effective de la loi sur les PPP pour stimuler l’investissement privé.

Les partenaires au développement, représentés par Aminata Maiga, ont souligné l’importance de renforcer la paix, la stabilité, et la résilience face aux défis mondiaux. Ils encouragent le Sénégal à accorder une attention particulière aux enjeux sécuritaires transnationaux, à préserver la stabilité et la paix sociale, et à gérer la question climatique pour renforcer la résilience des populations.

L’annonce de plus de 1500 milliards de FCFA d’engagement financier, couplée aux initiatives en faveur de l’emploi des jeunes et de l’économie sociale, donne un élan significatif au développement économique du Sénégal. La collaboration entre le gouvernement, la société civile, le secteur privé, et les partenaires au développement reste cruciale pour atteindre les objectifs fixés dans le cadre du PSE d’ici 2035.

El Hadji Diouf rassure sur la danté d’Aliou Cissé : victime d’un malaise, le sélectionneur se remet bien

Une inquiétude momentanée a traversé les rangs des supporters sénégalais après que le sélectionneur de l’équipe nationale, Aliou Cissé, ait été victime d’un malaise suite à la victoire des Lions contre le Cameroun. Cependant, des nouvelles rassurantes émanent d’El Hadji Diouf, ancienne star du football sénégalais et coéquipier d’Aliou Cissé.

Après la victoire du Sénégal contre le Cameroun lors de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024, une ombre de préoccupation a assombri la célébration. Le sélectionneur, Aliou Cissé, a été victime d’un malaise nécessitant une hospitalisation. Des douleurs au ventre ont été signalées, créant une certaine appréhension parmi les supporters et les amateurs de football.

Cependant, El Hadji Diouf, qui a partagé le terrain avec Cissé et qui s’est entraîné avec les Lions, offre des nouvelles rassurantes sur l’état de santé de son ancien coéquipier. « On sait qu’il y a beaucoup de stress dans le football de haut niveau et ça se manifeste souvent par des douleurs au ventre. Aliou avait des maux de ventre avant et après le match. Mais il va mieux et il est avec l‘autre groupe de Lions qui est à l’hôtel, » a déclaré Diouf.

L’ancienne star du football sénégalais a souligné la nécessité de soins pour les joueurs, tout en indiquant que le coach, en plus de veiller sur sa santé, devrait discuter avec l’équipe pour tirer des enseignements du match contre le Cameroun. « Prions pour lui, » conclut El Hadji Diouf.

Ces événements mettent en lumière les défis et les pressions associés au football de haut niveau, soulignant que même les entraîneurs ne sont pas à l’abri des contraintes physiques et émotionnelles du sport qu’ils dirigent. La santé d’Aliou Cissé reste un point d’attention pour les supporters, mais les nouvelles positives apportent un soulagement bienvenu à l’aube d’autres défis à relever lors de la CAN 2024.

Décès de la mère de Wally Seck : Youssou Ndour présente ses condoléances

Suite au décès de Ndèye Fatou Kiné Diouf Diaga, Youssou Ndour présente ses condoléances à la famille Seck. Il partage la douleur à travers un post sur sa page Facebook. 

 »Diaga, Tu as été le premier public, 1re Fan et très grande contributrice de la carrière de celui que tu as tant aimé et protégé. Tu tires ta révérence, douce moitié de Thione, mais tu resteras à jamais dans nos prières. En ces moments douloureux, j’exprime toute ma tristesse en direction de tous ses enfants et à sa famille au premier rang duquel Wally à qui je présente mes sincères condoléances. » a réagi la star planétaire.

Mia Guissé, une artiste sensationnelle qui allie musique et passion Footballistique

Mia Guissé, l’artiste chanteuse émérite, éblouit le monde avec son talent musical et sa passion pour le football, spécialement pour le joueur vedette Sadio Mané. Arborent fièrement le maillot N10 🇸🇳, ses photos captivantes reflètent l’union entre l’expression artistique et le fervent soutien à son héros sportif.

Le Dakarois Quotidien N°086 – du 20 et 21/01/24

Le Dakarois Quotidien N°086 – du 20 et 21/01/24
🔴 CAN 2024 – Sénégal-Cameroun: Le choc d’une épopée sportive et émotionnelle

CAN 2023 : La Guinée se relance, la Gambie presque éliminée après une victoire cruciale

Dans un match décisif pour la qualification, la Guinée renverse la donne en battant la Gambie 1-0, permettant ainsi au Sily National de se relancer dans la course aux huitièmes de finale. Aguibou Camara est le héros du jour, marquant le but salvateur à la 69e minute.

La Guinée, après une performance solide contre le Cameroun lors de la première journée, prend sa revanche sur la Gambie, qui l’avait précédemment battue lors de la CAN au Cameroun. Le match a été intense, avec des moments cruciaux qui ont décidé du sort des deux équipes dans la compétition.

Le seul but du match est inscrit par Aguibou Camara à la 69e minute, propulsant la Guinée en tête et offrant une lueur d’espoir pour la qualification. La performance individuelle du buteur est à souligner, et son but devient le point tournant du match.

Grâce à cette victoire cruciale, la Guinée fait un pas important vers la qualification pour les huitièmes de finale. Les trois points obtenus redynamisent la campagne du Sily National dans le tournoi, créant une situation plus favorable pour la suite de la compétition.

En concédant sa deuxième défaite consécutive, la Gambie se retrouve dans une situation difficile et est presque éliminée de la course aux huitièmes de finale. Les prochains matchs seront cruciaux pour déterminer l’avenir de l’équipe dans la compétition.

La victoire de la Guinée et la situation précaire de la Gambie ajoutent du suspense et de l’émotion à la compétition de la CAN. Les performances individuelles et collectives seront désormais scrutées de près, car chaque équipe vise à atteindre les huitièmes de finale.

Sadio Mané sur la Qualification : « Match bi Tarone Na, Mais Khamone Naniou Dina Niou Gagné… » (Vidéo)

Après la qualification du Sénégal lors de la CAN 2023, Sadio Mané, l’attaquant étoile de l’équipe nationale, partage ses réflexions sur le match, soulignant la détermination de l’équipe à gagner malgré les défis rencontrés.

Sadio Mané sur la qualification : ''Match bi tarone na mais khamone naniou Dina niou gagné...''

Sadio Mané s’exprime sur la qualification en déclarant : « Match bi tarone na, mais khamone naniou dina niou gagné. Nous avons traversé des moments difficiles, mais nous avons réussi à gagner. »

Le joueur vedette évoque brièvement les défis rencontrés pendant le match, soulignant peut-être des moments cruciaux où l’équipe a dû faire preuve de résilience pour décrocher la victoire.

Sadio Mané met en avant la détermination collective de l’équipe à atteindre la victoire, montrant ainsi la solidarité et l’esprit d’équipe qui ont contribué à la qualification.

Dans sa déclaration, Sadio Mané n’oublie pas d’exprimer sa reconnaissance envers les supporters qui ont soutenu l’équipe tout au long de la compétition. Il souligne l’importance du soutien des fans dans les moments cruciaux.

La déclaration de Sadio Mané se termine probablement par une note positive, évoquant peut-être les aspirations de l’équipe pour les prochains défis de la compétition.

Les mots de Sadio Mané reflètent la ténacité de l’équipe sénégalaise dans sa quête de la victoire à la CAN 2023. Sa déclaration offre un aperçu de l’état d’esprit de l’équipe et renforce le lien entre les joueurs et les supporters, créant une ambiance positive pour la suite du tournoi.

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