Tentative d’agression à Mermoz : un agresseur mortellement percuté par un véhicule

Un incident dramatique s’est déroulé hier soir près du magasin Auchan de Mermoz, en face de l’ambassade du Maroc à Dakar. Trois individus, impliqués dans une tentative d’agression visant une femme enceinte et un homme, ont vu leur plan virer au cauchemar lorsqu’ils ont été percutés par un véhicule, provoquant des scènes de choc parmi les témoins.

Selon les premières informations recueillies par L’Observateur, l’un des agresseurs est mort sur le coup, tandis qu’un autre a été grièvement blessé et se trouve actuellement dans un état critique. Le troisième suspect a réussi à prendre la fuite et reste activement recherché par les forces de l’ordre.

Les témoignages des riverains soulignent que l’intervention du véhicule a probablement empêché un scénario encore plus tragique. « Si la voiture n’était pas intervenue, les victimes auraient pu subir des blessures graves, voire pire », a déclaré un témoin sous le choc.

Les autorités ont ouvert une enquête afin de faire la lumière sur les circonstances exactes de l’accident et de retrouver le suspect en fuite. Cette agression, survenue dans un quartier pourtant habituellement calme, a plongé les résidents dans la stupeur et ravivé les préoccupations concernant la sécurité.

La scène, marquée par la violence inattendue de la situation, laisse place à de nombreuses questions sur les motivations des agresseurs et les actions décisives du conducteur du véhicule.

Agression du Député Guy Marius Sagna au Togo : Un Acte de Violence Politique Dénoncé

Le député sénégalais Guy Marius Sagna a été victime d’une violente agression ce dimanche au Togo, où il se trouvait dans le cadre de sa mission parlementaire en marge de la session du Parlement de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). L’incident s’est produit lors d’une rencontre citoyenne avec le peuple togolais, une occasion durant laquelle des individus qu’il qualifie de « nervis » ont surgi pour le violenter.

« Les nervis m’ont frappé comme un ballon de football », a déclaré Guy Marius Sagna, encore sous le choc après son hospitalisation. Selon ses dires, les agresseurs ont utilisé des chaises et se sont déchaînés avec une brutalité inouïe, n’hésitant pas à attaquer également la députée togolaise, l’honorable Kafoué, présente à ses côtés. « Ils n’ont même pas hésité à bastonner la députée togolaise honorable Kafoué, qui a l’âge de leur mère », a-t-il ajouté.

Le député sénégalais pointe du doigt le régime du président Faure Gnassingbé Eyadéma, l’accusant d’avoir commandité cette attaque. Il souligne l’incongruité et la gravité de cette situation, rappelant qu’il bénéficie d’une double immunité parlementaire, en tant que député sénégalais et membre du Parlement de la CEDEAO. « Depuis quand rencontrer son représentant au parlement de la CEDEAO est un crime ? » s’est-il indigné, dénonçant une tentative d’intimidation orchestrée par le pouvoir en place.

Sagna exprime également son inquiétude pour la population togolaise, affirmant que cette violence à l’encontre d’un parlementaire en session démontre une insécurité grandissante. « Ce qu’il faut retenir de cette violence, c’est que tous les Togolais sont en sursis. Quand on bastonne un parlementaire de la CEDEAO, cela veut dire qu’on peut basculer tous les Togolais », a-t-il déploré.

Cet acte de violence met en lumière la tension politique persistante au Togo, où les critiques du régime sont souvent réprimées. La communauté internationale, notamment les instances régionales comme la CEDEAO, sont appelées à réagir face à cet incident qui remet en cause la protection des représentants élus et la liberté d’expression au sein des pays membres.

Arrestation de deux membres du gang responsable de l’agression violente aux HLM

La Sûreté urbaine (SU) a franchi une étape importante dans l’enquête sur l’agression violente qui s’est déroulée le 6 septembre dernier aux HLM. Deux membres du gang impliqués dans cette attaque ont été arrêtés tôt le matin du 9 septembre dans une boîte de nuit aux Almadies, communément appelée « Five ».

Cette agression, dont les images capturées par des caméras de surveillance avaient choqué l’opinion publique, a déclenché une mobilisation policière accumulée. Les vidéos de l’incident, devenues virales, ont permis aux forces de l’ordre d’identifier les agresseurs. L’un des individus appréhendés a été formellement reconnu sur les enregistrements.

Lors d’une perquisition menée chez l’un des suspects, les policiers ont découvert des preuves déterminantes : la moto utilisée lors de l’attaque ainsi que les vêtements portés ce jour-là. Malgré ses tentatives de nier les faits, ces éléments confirment son implication.

L’enquête se poursuit pour capturer les autres membres du gang, déjà identifiés par la police. Cette équipe criminelle, qui sème la panique dans le quartier des HLM, fait l’objet d’un suivi étroit par les forces de l’ordre.

Trois personnes sont déjà derrière les barreaux en lien avec cette affaire, dont un chauffeur de taxi, DS, qui, au lieu d’aider la victime, a profité de la situation pour voler une liaison d’argent tombée de son sac. Il a été arrêté et remis à la Sûreté urbaine pour complément d’enquête.

Un chauffeur de taxi arrêté pour vol après une agression à Dakar

Les éléments de la Sûreté urbaine de Dakar ont présenté aujourd’hui au procureur de la République le taximan Diégane Dione, accusé de complicité dans une violente agression perpétrée la semaine dernière contre le commerçant Oumar Diaw. Cet incident, survenu aux HLM de Dakar, a suscité une vive émotion après la diffusion des images sur les réseaux sociaux. Dione, témoin de l’agression, aurait profité de la situation pour s’enfuir avec une partie de l’argent tombée du sac de la victime.

L’agression s’est déroulée en plein jour. Oumar Diaw, suivi par des assaillants après un retrait d’argent à la banque, a été attaqué par six hommes à moto. Ils l’ont aspergé de gaz neutralisant avant de le dépouiller de son sac à dos contenant une somme de 6 millions de francs CFA, deux chéquiers et des effets personnels. Les agresseurs, identifiés comme W. Sow, Nd. Sagna, B. B. Ndaw, L. Fall et P. Mouha, sont activement recherchés par les forces de l’ordre. Un sixième individu reste encore à identifier.

Diégane Dione, 43 ans, domicilié à la Patte d’Oie, a affirmé avoir ramassé une liasse de billets de 1.000 000 francs CFA tombée du sac lors de l’agression. Il a d’abord prétendu avoir remis cet argent à une tierce personne en vue de le rendre à la victime. Cependant, confronté aux preuves vidéo issues des caméras de surveillance, il a été forcé d’avouer avoir gardé l’argent pour lui. Une somme de 990 000 francs CFA a été retrouvée dans son véhicule lors de la perquisition et restituée au commerçant.

L’enquête a révélé que les agresseurs, armés de couteaux et de substances toxiques, suivaient la victime depuis sa sortie d’une banque au rond-point EMG. Les caméras de surveillance montrent qu’ils avaient planifié leur acte avec minutie, surveillant de près chaque mouvement de la victime avant de passer à l’attaque.

Diégane Dione a été inculpé pour association de malfaiteurs et vol commis en réunion avec violence. En attendant d’éventuelles poursuites judiciaires, les agresseurs demeurent en cavale, alors que les autorités poursuivent activement leurs recherches pour les appréhender.

Darou Rahmane : Refusant les avances de son voisin, elle est sauvagement agressée

Un acte de violence d’une rare brutalité a secoué la localité de Darou Rahmane, située dans la commune de Wakhninane Nimzatt, ce mercredi matin.

S. Mendy, une jeune femme de la localité, a été victime d’une agression atroce après avoir rejeté les avances de son voisin. Ce dernier, dans un accès de rage, l’a attaquée à coups de marteau, causant de graves blessures, dont une fracture du crâne et du bras.

D’après des informations recueillies par Seneweb, l’agresseur aurait également tenté de la violer. Les cris de la victime ont alerté les voisins, qui l’ont retrouvée inconsciente, gisant dans une mare de sang. Elle a été immédiatement transportée à l’hôpital Dalal Jamm pour des soins d’urgence, avant d’être transférée à l’hôpital de Grand-Yoff où elle lutte pour sa vie.

Le présumé agresseur a été placé en garde à vue, tandis que la communauté locale reste sous le choc de cet acte de violence.

Derklé : Le juge des flagrants délits statue sur l’agression de l’Imam Abdoulaye Guèye

Le tribunal des flagrants délits a rendu son verdict concernant l’agression survenue à la mosquée de Derklé, où l’Imam Abdoulaye Guèye a été violemment attaqué en pleine prière de l’aube. Les prévenus, Mouharned Malick Ba et Ahmed Tidiane Ndiaye, ont été jugés pour leur implication dans cet incident choquant qui a suscité une vive émotion au sein de la communauté.

Les faits remontent au 13 mai 2024, lorsque l’Imam Guèye a été ceinturé et expulsé de la mosquée par les deux prévenus. Cette agression a été perçue comme une violation grave de la sécurité et de la dignité humaine, selon les déclarations de l’imam. En réponse, il a décidé de porter l’affaire devant la justice.

Les prévenus ont tenté de justifier leur acte en remettant en question la légitimité de l’imam à diriger la prière. Ils ont également soulevé des questions sur le timing de la plainte et les certificats médicaux fournis, argumentant sur la procédure suivie. Néanmoins, les avocats de l’imam ont vigoureusement requis la condamnation des prévenus, assortie d’une amende d’un million de francs CFA avec la contrainte par corps, soulignant la gravité de l’agression.

Le procureur, pour sa part, a requis l’application stricte de la loi. Après délibération, le tribunal a relaxé les prévenus des accusations de coups et blessures volontaires. Cependant, ils ont été reconnus coupables d’entrave à l’exercice d’un culte et d’outrage à un ministère de culte. La sentence prononcée par le juge les condamne à trois mois de prison avec sursis et à payer solidairement une amende de 200 mille francs CFA à l’Imam Guèye.

Ce verdict vise à équilibrer la justice tout en rappelant l’importance du respect des lieux de culte et de ceux qui les dirigent. La décision du tribunal met également en lumière les tensions sous-jacentes qui peuvent exister au sein des communautés religieuses et la nécessité de résoudre les différends de manière pacifique et respectueuse.

L’incident de la mosquée de Derklé a non seulement choqué les fidèles, mais a également suscité un débat sur la sécurité des lieux de culte et le respect dû aux figures religieuses. Alors que les prévenus ont été condamnés avec sursis, l’issue de ce procès devrait servir de rappel sur les conséquences juridiques et sociales de tels actes.

La communauté de Derklé et les fidèles de la mosquée sont invités à continuer à promouvoir un climat de respect et de paix, en particulier dans les lieux de prière. La justice a tranché, et l’espoir est que cette décision contribuera à renforcer la cohésion et le respect au sein de la communauté.

Thiès-Nord sous le choc : Un enseignant poignardé mortellement dans une agression tragique

La communauté de Thiès-Nord est plongée dans le deuil et le choc suite au meurtre tragique d’un jeune enseignant, Alain Kali, âgé d’une trentaine d’années. Originaire de la verte Casamance, Alain était marié à Lélliane et travaillait à l’école élémentaire de Keur Modou Ndiaye.

L’incident s’est produit ce mardi 21 mai 2024, entre les villages de Keur Modou Ndiaye et Diassap, à la sortie de la commune de Thiès-Nord, sur la route de Tivaouane. Selon les premiers rapports, Alain aurait été mortellement agressé, poignardé alors qu’il rentrait chez lui après avoir quitté son établissement scolaire.

Le jeune enseignant, apprécié de ses collègues et de ses élèves, a succombé à ses blessures vers 18 heures, laissant derrière lui une communauté en état de choc et de profonde tristesse.

Cet acte de violence odieux a choqué la population locale et a suscité une vive émotion dans toute la région. Les autorités locales ont été appelées à agir rapidement pour traduire en justice l’auteur de cette agression brutale et pour renforcer la sécurité dans la région.

En cette période de deuil, la communauté de Thiès-Nord se rassemble pour soutenir la famille et les proches d’Alain Kali et pour exiger que justice soit rendue. Cet incident tragique rappelle l’importance cruciale de garantir la sécurité de tous les membres de la société et de lutter contre la violence sous toutes ses formes.

Kolda: Démantèlement d’une bande de cambrioleurs

Une opération réussie du commissariat central de Kolda a mené au démantèlement d’une bande de malfaiteurs impliquée dans de nombreux cambriolages dans la région. Les membres de la bande, tous de nationalité sénégalaise, étaient spécialisés dans le vol de motos, de téléphones portables, et de téléviseurs.

Après une série d’investigations minutieuses, ces criminels ont été déférés au parquet de Kolda, où ils sont actuellement poursuivis pour association de malfaiteurs et vols en réunion avec complicité de recel. Plusieurs d’entre eux, déjà connus des services de police, sont considérés comme des récidivistes.

Selon les autorités, cette bande était particulièrement active durant les périodes de grandes mobilisations, comme les veilles de fêtes, exploitant l’affluence et l’inattention des citoyens pour commettre leurs méfaits à travers toute la région.

Une agression présumée dans la brousse secoue la communauté de Linguère

Dans l’après-midi du vendredi 3 mai dernier, un incident choquant s’est déroulé dans la tranquille commune de Linguère, située dans la région sénégalaise. Une femme, alors à la recherche de bois mort dans la brousse, aurait été victime d’une agression brutale, jetant ainsi une ombre de terreur sur la région.

Selon les informations recueillies, la victime aurait croisé la route de deux bergers, en transhumance dans la zone. Ce qui aurait dû être une simple rencontre dans les vastes étendues de la nature s’est rapidement transformé en cauchemar. La femme aurait été attaquée et subi des sévices de la part des deux individus.

De retour chez elle, la victime, bouleversée et traumatisée, a immédiatement partagé son calvaire avec sa mère. Face à la gravité des faits rapportés, la mère n’a pas hésité à alerter toute la famille, semant ainsi l’inquiétude et l’indignation dans la communauté.

Face à cette situation alarmante, les forces de l’ordre n’ont pas tardé à réagir. Des éléments de la brigade de gendarmerie de Linguère se sont rapidement mobilisés pour enquêter sur l’affaire. Leurs efforts ont abouti à l’arrestation des deux suspects présumés, tous deux âgés de seulement 16 ans.

Cette affaire a profondément choqué les habitants de Linguère, qui expriment leur solidarité envers la victime et exigent que justice soit rendue. Dans l’attente des développements de l’enquête, la communauté reste en proie à l’inquiétude et à l’indignation, espérant que de tels actes odieux ne resteront pas impunis.

Tragédie à Yeumbeul Nord : Un Jeune Homme Victime d’une Agression Mortelle

Dans la nuit du 16 au 17 avril, une scène d’horreur a ébranlé la quiétude de Yeumbeul Nord, plus précisément dans le quartier Alou Baay Niaakh, alors qu’un jeune homme répondant au nom de P. Diaw a été violemment agressé, entraînant tragiquement sa mort. L’événement a plongé la communauté locale dans le deuil et l’indignation face à cette perte inattendue et inexcusable.

Selon les informations rapportées par Yeumbeul TV, les détails entourant les circonstances de cette agression demeurent encore flous, laissant la communauté dans l’incertitude quant au motif de ce crime abominable. Cette situation laisse un sentiment de vulnérabilité et de peur parmi les habitants, confrontés à la réalité brutale de la violence qui a frappé leur quartier.

Dans de tels moments de tragédie, il est essentiel que les autorités prennent des mesures immédiates et décisives pour enquêter sur cet acte criminel, identifier les coupables et les traduire en justice. La sécurité des résidents de Yeumbeul Nord doit être une priorité absolue, et des efforts concertés doivent être déployés pour prévenir de futurs incidents similaires et garantir la tranquillité publique.

La perte d’un jeune membre de la communauté est une tragédie incommensurable, et nos pensées vont à la famille et aux proches de la victime, confrontés à une douleur inimaginable. Dans ces moments de deuil, il est impératif que la solidarité et le soutien se manifestent au sein de la communauté pour surmonter cette épreuve ensemble.

Nous espérons que les autorités compétentes prendront rapidement des mesures pour résoudre cette affaire et que la lumière sera faite sur cette tragédie afin que justice soit rendue. En attendant, la communauté de Yeumbeul Nord reste unie dans le deuil et dans la détermination à faire en sorte que de tels actes de violence ne se reproduisent plus dans leur quartier paisible.

Avancées dans l’affaire du meurtre de l’apprenti plâtrier à Mbal (Touba): le présumé meurtrier en garde à vue

Des développements significatifs sont survenus dans l’affaire du meurtre tragique de l’apprenti plâtrier de 18 ans au quartier Mbal. Selon nos sources, le présumé meurtrier, identifié sous le nom de F. N., âgé de 14 ans, est actuellement en garde à vue au commissariat spécial de Touba.

Après avoir perpétré l’acte fatal, F. N. s’était enfui, laissant derrière lui un jeune homme sans vie sur la voie publique. Cependant, hier lundi, son père l’a conduit de lui-même au commissariat, vers 9 heures du matin.

Pour rappel, le dimanche précédent, une dispute entre deux apprentis plâtriers avait dégénéré en tragédie, entraînant la mort de F. Ndiaye, 18 ans, poignardé mortellement et abandonné sur les lieux. La querelle aurait éclaté après que F. Ndiaye a accusé son collègue d’avoir volé une somme d’argent sur le chantier.

Malgré les tentatives d’apaisement de leur patron, la tension entre les deux jeunes hommes persistait. L’affrontement a finalement éclaté, aboutissant à la mort tragique de F. Ndiaye, poignardé en pleine poitrine.

La découverte du corps sans vie a été signalée au commissariat spécial de Touba vers 19 heures, le dimanche. Les autorités ont rapidement procédé aux constatations nécessaires avant de transférer le corps à la morgue de l’hôpital Matlaboul Fawzainy.

Ces nouveaux développements soulignent l’importance de la poursuite de l’enquête pour faire la lumière sur les circonstances exactes de ce drame et pour que justice soit rendue à la victime et à sa famille.

Wakhinane-Nimzatt : Un taximan arrêté pour agression de clientes

Un taximan, identifié comme B. T., a été appréhendé par les autorités policières du poste de Wakhinane-Nimzatt pour une série d’agressions perpétrées sur la VDN3, dans la nuit. Les détails de cette affaire, révélés par Seneweb, mettent en lumière un mode opératoire particulièrement effrayant.

Selon les informations recueillies, B. T. ciblait délibérément des clientes qu’il transportait dans son taxi. Une fois sur la VDN3, il simulerait une panne de véhicule, incitant ses passagères à descendre pour vérifier le moteur. C’est alors qu’il les menaçait, exigeant la remise de tous leurs biens personnels sous la menace.

Paniquées et intimidées, les victimes, souvent des femmes, se retrouvaient contraintes de se plier à ses exigences. Une fois son forfait accompli, B. T. abandonnait ses clientes dans l’obscurité avant de disparaître avec son véhicule.

Ce modus operandi lui a permis de dérober d’importantes sommes d’argent, des téléphones portables et même des perruques, selon les témoignages recueillis par Seneweb.

L’arrestation du taximan agresseur est le résultat de plusieurs plaintes déposées dans les commissariats. Une des victimes, après avoir été agressée sur la VDN3, a eu la présence d’esprit de noter le numéro de la plaque d’immatriculation du taxi. Ce renseignement crucial a été transmis aux autorités, ce qui a permis aux enquêteurs de le localiser et de procéder à son arrestation.

Cinq femmes ont déjà identifié formellement B. T. comme leur agresseur, et ont témoigné contre lui auprès des autorités policières. Cette arrestation met ainsi un terme à la série d’agressions nocturnes qui semait la terreur parmi les utilisateurs de la VDN3.

Agression à Dakar : Un Commerçant Attaqué, une Réponse Citoyenne enflammée

Hier soir, un acte violent a secoué Dakar lorsque des bandits ont attaqué un commerçant sur son scooter, à proximité du pont de Colobane, sur l’autoroute. L’incident, survenu vers 20 heures, a entraîné une réaction citoyenne spectaculaire, avec des passants qui ont bravement intervenu pour secourir la victime et mettre en fuite les agresseurs.

Selon les témoins, le commerçant, se rendant chez lui à Yeumbeul, a été poursuivi par six individus armés, montés sur des motos. Les assaillants ont tenté de dépouiller le commerçant de ses biens, mais ce dernier s’est défendu avec courage. Malheureusement, il a été blessé lors de la confrontation, mais fort heureusement, il n’a pas été dépossédé de la somme de 800 000 F CFA qu’il transportait.

La situation a pris un tournant lorsque des passants à moto sont arrivés sur les lieux et ont immédiatement réagi en défense du commerçant. Face à cette intervention citoyenne, les agresseurs ont pris la fuite, abandonnant l’une de leurs motos sur les lieux de l’incident. En signe de protestation et de dénonciation de cette agression, des citoyens en colère ont incendié la moto des bandits.

Les autorités ont été alertées et une enquête a été ouverte pour retrouver les auteurs de cette agression. Pendant ce temps, le commerçant blessé, M. Ndiaye, a été emmené à l’hôpital pour recevoir les soins nécessaires. Heureusement, ses blessures ne sont pas graves et il a pu rentrer chez lui après avoir reçu les premiers soins.

Cet incident a mis en lumière à la fois la bravoure des citoyens sénégalais face à la criminalité, mais aussi les défis persistants en matière de sécurité dans la capitale. Les autorités sont désormais sous pression pour intensifier les efforts visant à assurer la sécurité des citoyens et à lutter contre le crime dans les rues de Dakar.

Pikine : La police met fin aux agressions contre les taximans en arrêtant le caïd Jazy

La gare des Baux maraîchers à Pikine retrouve un semblant de tranquillité après l’arrestation du cerveau d’une bande qui semait la terreur parmi les chauffeurs de taxi. M. Diallo, surnommé « Jazy », a été appréhendé par les forces de l’ordre du commissariat de Pikine, dirigées par le commissaire Senghane Ndiaye. Seneweb détaille les circonstances de cette arrestation.

Les taximans qui opéraient aux alentours de la gare des Baux maraîchers peuvent désormais souffler : le caïd responsable des agressions récurrentes a été mis hors d’état de nuire grâce à l’intervention des autorités policières.

L’arrestation de M. Diallo, alias « Jazy », fait suite à une série de plaintes déposées par les chauffeurs de taxi auprès du commissariat de Pikine. Ces derniers dénonçaient des agressions violentes survenues dans le secteur, alimentant un climat d’insécurité croissante.

Les forces de l’ordre ont rapidement réagi en lançant une enquête approfondie, basée sur les témoignages des victimes et des investigations sur le terrain. Ces efforts ont permis d’identifier et de localiser le cerveau de la bande responsable de ces attaques.

M. Diallo a été appréhendé dans un bus, jeudi dernier aux alentours de 6 heures, alors qu’il tentait de dissimuler une machette sous ses vêtements. Malgré ses dénégations lors de son interrogatoire, les taximans ont formellement reconnu le modus operandi de Jazy et de son complice, décrivant en détail leurs méthodes d’agression.

Selon les témoignages recueillis, M. Diallo et son comparse engageaient un taxi, puis procédaient à une agression violente une fois arrivés près de la gare des Baux maraîchers. L’un d’eux distrayait le chauffeur pendant que l’autre menaçait le conducteur avec une arme blanche ou un pistolet, l’obligeant ainsi à remettre tous ses biens, y compris les codes de son compte Wave.

Suite à cette enquête fructueuse, M. Diallo, alias « Jazy », a été déféré ce lundi, tandis que son complice reste activement recherché par les autorités policières. Cette arrestation constitue une victoire dans la lutte contre la criminalité à Pikine et envoie un message fort aux délinquants qui cherchent à semer la terreur dans la région.

Agression de Maimouna Ndour Faye : Les enquêteurs poursuivent leurs investigations

Suite à l’agression brutale de Maimouna Ndour Faye, directrice de la 7TV, la Section de Recherches a pris en charge l’enquête avec détermination. Les autorités déploient des moyens considérables pour retrouver l’agresseur présumé, mobilisant notamment les images des caméras de surveillance disponibles dans la zone.

Cependant, selon les informations recueillies par nos confrères de Senenews, les images récupérées présentent une qualité médiocre en raison de l’heure tardive de l’agression. Cette difficulté technique entrave l’avancée de l’enquête, mais les enquêteurs ne baissent pas les bras pour autant.

Les gendarmes ont entendu plusieurs témoins, notamment ceux qui sont intervenus en premier secours auprès de Maimouna Ndour Faye. Malgré ces efforts, aucun suspect n’a encore été appréhendé à ce jour.

L’agression de la directrice de la 7TV a eu lieu jeudi dernier dans la soirée, lorsqu’elle a été attaquée avec un couteau. Elle a été rapidement prise en charge et évacuée à l’hôpital militaire de Ouakam, où son pronostic vital n’est pas engagé.

Cette affaire suscite une vive émotion et une grande inquiétude dans l’opinion publique sénégalaise. Les autorités s’efforcent de faire la lumière sur cette agression odieuse afin de traduire en justice les responsables de cet acte de violence. En attendant, la solidarité et les vœux de rétablissement rapide affluent en direction de Maimouna Ndour Faye et de sa famille.

[Vidéo] Violences policières, agression de Maimouna Ndour Faye : Absa Hane témoigne

Une vidéo choquante mettant en lumière les violences policières et l’agression de Maimouna Ndour Faye a récemment suscité une onde de choc au Sénégal. Dans cette vidéo, Absa Hane, témoin de l’incident, livre des vérités poignantes sur les événements tragiques qui se sont déroulés.

L'invité d'infos matin : Absa Hane, membre du bureau exécutif de la CJRS

Absa Hane, dans un récit poignant, détaille les circonstances de l’agression de Maimouna Ndour Faye, mettant en lumière la brutalité excessive des forces de police et la violence gratuite infligée à une citoyenne innocente. Son témoignage offre un aperçu déchirant des réalités souvent négligées et cachées des brutalités policières.

À travers ses paroles sincères et courageuses, Absa Hane souligne l’urgence d’une action immédiate pour mettre fin à ces abus de pouvoir et garantir la sécurité et la dignité de tous les citoyens sénégalais. Son témoignage est un appel à l’action pour la justice et le respect des droits fondamentaux de chacun.

En diffusant cette vidéo, Absa Hane lance un appel à la mobilisation citoyenne et à la solidarité envers les victimes de violences policières. Son courage et sa détermination sont une source d’inspiration pour tous ceux qui luttent pour un Sénégal plus juste et plus équitable.

La vidéo de Absa Hane sur les violences policières et l’agression de Maimouna Ndour Faye est un rappel poignant de la nécessité de rester vigilants et engagés dans la lutte pour les droits humains et la justice sociale au Sénégal.

Hôpital Militaire de Ouakam : Situation de Maïmouna Ndour Faye après son agression

Jeudi dernier, Maïmouna Ndour Faye, la directrice de la 7TV, a été victime d’une attaque brutale à quelques pas de son domicile à Ouakam. Un individu surgi de l’obscurité l’a poignardée avant de prendre la fuite, laissant la journaliste dans un état critique.

Depuis lors, Maïmouna Ndour Faye est prise en charge à l’hôpital militaire de Ouakam. Selon les informations rapportées par Source A dans son édition de ce lundi, bien que son état de santé se soit légèrement amélioré, elle demeure encore aux urgences. Heureusement, son pronostic vital n’est plus en danger, ce qui apporte un certain soulagement dans cette situation tragique.

Toutefois, les visites à Maïmouna Ndour Faye sont strictement réservées aux membres de sa famille, comme le précise le journal. Cette mesure vise probablement à assurer son repos et sa tranquillité pendant sa convalescence.

L’agression de Maïmouna Ndour Faye a suscité une vague d’indignation et d’inquiétude au sein de la communauté médiatique et au-delà. Les circonstances de cette attaque restent floues, mais il est impératif que toute la lumière soit faite sur cet acte odieux afin que justice soit rendue.

En attendant, nous souhaitons à Maïmouna Ndour Faye un prompt rétablissement et exprimons notre solidarité envers elle et sa famille dans cette épreuve difficile.

Les femmes juristes condamnent l’agression de Maïmouna Ndour Faye : « Mars est tristement marqué par cet acte lâche et abject »

L’Association des Juristes Sénégalaises (AJS) exprime sa désolation face à l’agression de la journaliste et directrice de la 7TV, Maïmouna Ndour Faye, survenue devant son domicile. Dans un communiqué rendu public, l’AJS condamne fermement cet acte, surtout en ce début du mois de mars, traditionnellement consacré à la femme.

« Mars est tristement marqué par cette agression lâche et abjecte de Maïmouna Ndour Faye, Directrice de la chaîne 7TV », déplore l’Association des Juristes Sénégalaises.

L’AJS dénonce également cette tentative de meurtre, qualifiée d’aboutissement d’une série d’injures et de menaces de mort visant à entraver le droit fondamental de liberté d’expression de Maïmouna Ndour Faye. Elle exprime son inquiétude quant à la banalisation persistante des violences faites aux femmes, soulignant que de telles violations de leurs droits compromettent leur pleine participation au développement du pays.

Dans cette optique, l’Association des Juristes Sénégalaises exhorte les autorités compétentes à mener des enquêtes approfondies sur toutes les violations des droits humains récemment perpétrées, y compris les violences et arrestations arbitraires commises par les forces de défense et de sécurité. Elle insiste sur la nécessité que justice soit rendue à Maïmouna Ndour Faye, ainsi qu’à toutes les autres victimes de telles violations injustifiables.

L’AJS affirme son engagement à jouer un rôle d’alerte et à intervenir vigoureusement chaque fois que les droits humains, en particulier ceux des femmes et des enfants, seront bafoués.

Agression de Maïmouna Ndour Faye : L’Imam du quartier élève la voix contre l’insécurité

Une indignation généralisée secoue la communauté après l’agression brutale de la journaliste et directrice de 7TV, Maïmouna Ndour Faye, dans la nuit de jeudi à vendredi. Alors qu’elle est actuellement hospitalisée à l’hôpital militaire de Ouakam, les réactions fusent, dont celle de l’Imam du quartier, Ismaëla Diagne.

Dans une déclaration relayée par Vox populi, l’Imam pointe du doigt l’insécurité grandissante qui sévit dans le quartier. Il déclare : « Ce n’est pas la première fois dans le quartier. Rien que pour ce mois, nous avons dénombré quatre agressions dans le quartier, et en pleine journée. »

L’Imam poursuit en affirmant que ces agressions sont généralement liées à des actes de vol, mais que cette dernière semble avoir pris une ampleur inquiétante. Il souligne également les défis posés par les occupations illégales dans la région, notant que malgré les correspondances adressées aux autorités compétentes pour solliciter leur intervention, l’action concrète fait défaut.

Concernant spécifiquement l’agression de Maïmouna Ndour Faye, l’Imam fait remarquer que la journaliste avait l’habitude de garer son véhicule dans la zone, mais en raison de travaux en cours, elle a changé ses habitudes. C’est alors qu’elle a été attaquée, suscitant de multiples interrogations sur les circonstances exactes de l’incident.

Les préoccupations exprimées par l’Imam mettent en lumière les défis complexes auxquels les habitants de la région sont confrontés en matière de sécurité et d’urbanisation. Son appel à une action concertée des autorités compétentes reflète la nécessité urgente de prendre des mesures efficaces pour garantir la sécurité des résidents et des visiteurs dans le quartier.

L’UPF dénonce l’agression de Maimouna Ndour Faye : Un acte barbare contre la liberté de presse

Dans un communiqué diffusé aujourd’hui, l’Union internationale de la presse francophone (UPF) a vivement condamné l’agression brutale dont a été victime Maïmouna Ndour Faye, directrice de média et présentatrice émérite de l’émission politique « L’invité de MNF ». L’incident s’est produit juste après sa diffusion du jeudi 29 février 2023, où elle a été attaquée au couteau.

Le président de l’UPF, Madiambal Diagne, a exprimé son indignation face à cet acte odieux, qualifiant l’agression de « sinistre attentat contre la personne d’une professionnelle accomplie ». Il a souligné que de tels actes sont particulièrement choquants dans un pays comme le Sénégal, réputé pour sa démocratie et sa liberté de presse.

Madiambal Diagne a également souligné que cet incident est révélateur d’une tendance alarmante où les journalistes sont de plus en plus exposés à la violence et à l’intimidation dans l’exercice de leur métier. Il a rappelé que la liberté de la presse est un pilier fondamental de toute société démocratique et que la protection des journalistes est essentielle pour garantir le bon fonctionnement de cette démocratie.

Dans ce contexte, l’UPF a exprimé sa solidarité avec tous les journalistes sénégalais, quel que soit leur alignement éditorial, et a appelé les autorités sénégalaises à prendre des mesures immédiates pour assurer leur sécurité. L’organisation a également exhorté les autorités à diligenter une enquête approfondie et transparente afin de traduire en justice les auteurs de cette agression ignoble.

En conclusion, l’UPF a réaffirmé son engagement en faveur de la liberté de la presse et a appelé à une mobilisation collective pour protéger les journalistes et défendre les valeurs démocratiques au Sénégal et dans le monde entier.

Agression de Maïmouna Ndour Faye : La Task force républicaine condamne cette agression « sauvage et barbare »

La Task Force Républicaine, organe affilié à l’Alliance pour la République (APR), exprime sa plus vive condamnation suite à l’agression sauvage et barbare dont a été victime Maïmouna Ndour Faye, directrice générale de la chaîne de télévision privée 7TV.

Dans un communiqué officiel diffusé aujourd’hui, la Task Force Républicaine dénonce fermement cet acte lâche, ignoble et criminel. Elle exprime également sa solidarité et sa compassion envers Maïmouna Ndour Faye, ainsi qu’envers l’ensemble de ses collaborateurs et de sa famille, affectés par cette tragédie.

La Task Force Républicaine tient à assurer Maïmouna Ndour Faye de ses prières pour un prompt rétablissement. Elle reconnaît la vulnérabilité croissante des hommes et femmes de médias dans l’exercice de leurs missions, et affirme son soutien total à leur égard.

Dans cet esprit, la Task Force Républicaine appelle les autorités compétentes à diligenter une enquête approfondie et rapide afin que toute la lumière soit faite sur cette agression. Il est essentiel que les responsables de cet acte odieux soient identifiés et traduits en justice dans les plus brefs délais.

En conclusion, la Task Force Républicaine renouvelle son engagement en faveur de la sécurité et de la protection des professionnels des médias au Sénégal. Elle appelle à une mobilisation collective pour prévenir de tels actes à l’avenir et pour garantir un environnement sûr et propice à l’exercice libre et responsable du journalisme dans notre pays.

La Task Force Républicaine demeure résolument engagée dans la défense des valeurs républicaines et dans la promotion d’un climat de tolérance, de respect et de paix au sein de la société sénégalaise.

Agression contre Maimouna Ndour Faye : Sheikh Alassane Sène apporte son soutien

En ces heures d’inquiétude, j’apporte mon soutien à la journaliste #MaimounaNdourFaye (MNF) lâchement agressée la nuit dernière.
La coagulation des colères notée dernièrement ne doit point susciter des actes barbares d’une telle violence qui ternissent l’image flamboyante de notre cher pays.
La gravité du moment avec ses enjeux divers et variés ne doivent pas être un prétexte qui attise les feux de la violence. Une raison suffisante pour condamner avec véhémence l’acte ignoble qui vient d’être commis. Les coupables sont à identifier et à punir.

Plus jamais ça!

Je souhaite enfin à MNF un prompt rétablissement et vivement qu’elle retrouve les plateaux pour continuer à promouvoir la liberté d’expression sous toutes ses formes.

Sheikh Alassane Sène

Agression de Maimouna Ndour Faye : Barthélémy Dias pointe du doigt le parti ex-Pastef et Ousmane Sonko

Barthélémy Dias a vivement réagi à l’agression subie par la journaliste Maimouna Ndour Faye dans la nuit du jeudi au vendredi. Le député, loin de dissimuler sa colère, accuse ouvertement le parti ex-Pastef, dirigé par Ousmane Sonko, d’être à l’origine de cette attaque.

Dans ses déclarations, Barthélémy Dias rappelle les précédentes attaques contre d’autres médias et personnalités, attribuées selon lui au même groupe. Il souligne le caractère récurrent de ces agressions et affirme que dans chaque cas, l’origine des attaques était claire pour tous.

Le député précise également que ces actes sont le résultat de l’incitation à la violence, à la haine et à la manipulation perpétrées par certains individus et groupes politiques. Selon lui, ces personnes ne recourent qu’à la ruse, au mensonge et à la manipulation pour parvenir à leurs fins.

Barthélémy Dias ne mâche pas ses mots et dénonce publiquement ceux qu’il considère comme responsables de cette agression. Ses déclarations soulignent la tension politique persistante au Sénégal et mettent en lumière les dangers de la rhétorique incendiaire et de la polarisation politique.

Agression de Maimouna Ndour Faye : Forte mobilisation de journalistes devant les locaux de la 7TV, des voix s’élèvent

Ce vendredi 1er mars, une importante mobilisation s’est tenue devant les locaux de la 7TV à Dakar, en solidarité avec Maimouna Ndour Faye, directrice générale de la chaîne, victime d’une agression sauvage dans la nuit précédente.

La manifestation a rassemblé des journalistes, des doyens de la presse, des ministres, des membres de l’opposition et de la société civile. La Coordination des associations de presse (CAP) a fermement condamné cet acte de violence et a exigé que toute la lumière soit faite sur cette agression dans les plus brefs délais.

Les journalistes de la 7TV ont exprimé leur gratitude pour la solidarité manifestée par leurs confrères et consœurs. Daouda Diouf de la RFM a dénoncé les violences récurrentes contre les journalistes, appelant à une mobilisation collective et même à des actions telles que des « journées sans presse » pour mettre un terme à cette violence.

Migui Marame Ndiaye, président de la Convention des jeunes reporters, a également condamné fermement cette agression et a appelé à l’unité des journalistes pour y mettre fin. Absa Hann, journaliste de Seneweb, a témoigné de son propre vécu d’agression et a plaidé pour la sécurité des femmes journalistes au Sénégal.

Cette mobilisation témoigne de la solidarité et de la détermination des professionnels des médias à faire respecter leur métier et à garantir leur sécurité dans l’exercice de leurs fonctions.

[Le Récap] Vague d’indignation après l’agression de Maimouna Ndour Faye

L’agression brutale de la journaliste Maimouna Ndour Faye près de son domicile à Dakar a provoqué une onde de choc au Sénégal, déjà en proie à une crise politique intense depuis le report de l’élection présidentielle.

Maimouna Ndour Faye, directrice générale de la chaîne privée 7TV et animatrice de l’émission très suivie « L’invité de MNF », a été victime d’une attaque sauvage, poignardée à trois reprises. Transportée d’urgence à l’hôpital, son état reste stable selon les dernières informations.

L’incident, dont le mobile reste inconnu pour l’instant, a suscité une vague d’indignation à travers le pays. Les réseaux sociaux ont été inondés d’images choquantes montrant la journaliste blessée.

Dans une réaction publique, le président Macky Sall a fermement condamné cet « acte de violence lâche et inexcusable ». Il a souligné l’importance de protéger la liberté de la presse et a appelé à ce que les responsables de l’agression soient traduits en justice.

La coalition de l’opposition « Diomaye Président » a également exprimé sa condamnation de cette « attaque brutale » et a appelé les autorités à faire toute la lumière sur cette affaire.

En signe de solidarité, des dizaines de journalistes se sont rassemblés devant les locaux de la 7TV, brandissant des pancartes appelant à la protection des médias. Des responsables politiques de divers horizons ont également exprimé leur soutien à Maimouna Ndour Faye et leur engagement envers la liberté de la presse.

L’agression de Maimouna Ndour Faye met en lumière les défis persistants auxquels sont confrontés les journalistes au Sénégal et souligne l’importance cruciale de garantir leur sécurité dans l’exercice de leur métier.

Le Club C50% PN condamne l’agression « injustifiée » et « barbare » contre Maïmouna Ndour Faye

L’agression au couteau dont a été victime la directrice générale de la 7TV, Maïmouna Ndour Faye, continue de susciter une vague d’indignation et de condamnations au Sénégal. Parmi les voix qui se sont élevées pour exprimer leur désolation et leur solidarité envers la victime, celle du président du Club C50% PN, Abdoulaye Sylla, se fait entendre.

Dans une note publiée par le club, Abdoulaye Sylla exprime sa consternation face à cet acte qualifié de « barbare » et « injustifié ». Le Club C50% PN apporte ainsi tout son soutien à Maïmouna Ndour Faye et lui souhaite un prompt rétablissement.

Le président du club insiste sur l’importance de faire toute la lumière sur cette affaire et demande que des mesures fermes soient prises rapidement afin d’éviter que de tels événements ne se reproduisent à l’avenir.

Le Club C50% PN se joint également à toutes les autres voix qui ont condamné cette agression inacceptable et réaffirme son engagement constant en faveur du respect des libertés fondamentales au Sénégal.

Madiambal Diagne accuse Ousmane Sonko et ses partisans dans l’affaire de l’agression de Maimouna Ndour Faye

Suite à l’agression de la journaliste Maimouna Ndour Faye, le célèbre éditeur Madiambal Diagne pointe du doigt Ousmane Sonko et ses partisans. Dans un post sur les réseaux sociaux, le patron du groupe Avenir Communication met en cause le leader politique et ses partisans, qu’il accuse d’être responsables de la menace pesant sur la paix civile et sur la liberté des journalistes.

Depuis trois ans, Madiambal Diagne affirme avoir attiré l’attention sur ces dangers, mettant en garde contre les risques encourus par les journalistes libres en raison des actions de Ousmane Sonko et de ses partisans. Il exprime également ses regrets face au projet de loi d’amnistie envisagé en faveur de ces agresseurs présumés.

L’accusation de Madiambal Diagne intervient dans un contexte tendu, alors que l’enquête sur l’agression de Maimouna Ndour Faye est en cours. Les déclarations du patron du groupe Avenir Communication risquent d’alimenter davantage les tensions entre les différents acteurs politiques et médiatiques au Sénégal.

Agression de Maimouna Ndour Faye : Déthié Fall appelle à la lumière sur cet acte inadmissible

Déthié Fall, Président du PRP et Candidat de la coalition « DETHIEFALL2024 » à l’élection présidentielle de 2024, a réagi avec indignation suite à l’agression brutale de Maimouna Ndour Faye dans la nuit du jeudi au vendredi 1er mars.

Dans un communiqué adressé à Senego, Déthié Fall s’est solidarisé avec tout le personnel de la chaîne 7TV et tous les journalistes, condamnant fermement cet acte grave, inadmissible et injustifiable. Il a exprimé sa profonde préoccupation face à cette attaque contre la journaliste et PDG Maimouna Ndour Faye.

Déthié Fall a appelé les autorités à prendre toutes les dispositions nécessaires pour faire toute la lumière sur cette agression et traduire les responsables en justice. Il a également adressé ses vœux de prompt rétablissement à Maimouna Ndour Faye, lui transmettant sa totale compassion.

Cette réaction de Déthié Fall témoigne de la solidarité et du soutien des acteurs politiques envers la liberté de la presse et la sécurité des journalistes dans l’exercice de leurs fonctions.

El Malick Ndiaye condamne l’agression de Maimouna Ndour Faye

Suite à l’atroce agression dont a été victime la journaliste Maimouna Ndour Faye, plusieurs personnalités se sont exprimées pour condamner cet acte de violence odieux. Parmi elles, El Malick Ndiaye, secrétaire national à la communication du parti dissous Pastef, a pris la parole pour exprimer son indignation face à cette attaque choquante.

Dans un post sur X, El Malick Ndiaye a vivement condamné l’agression de Maimouna Ndour Faye, déplorant le caractère violent et lâche de l’acte perpétré à son encontre. Il a exprimé ses vœux de prompt rétablissement à la journaliste, lui souhaitant une guérison rapide et complète.

De plus, El Malick Ndiaye a souligné l’importance que justice soit rendue dans cette affaire, espérant que les responsables de cette agression seront identifiés et traduits en justice. Il a ainsi exprimé sa solidarité avec Maimouna Ndour Faye et son engagement à soutenir toute action visant à garantir la sécurité des professionnels des médias et à lutter contre l’impunité.

Cette réaction de condamnation de la part d’El Malick Ndiaye illustre la ferme volonté de la société civile et des acteurs politiques de condamner toute forme de violence et d’assurer la protection des journalistes dans l’exercice de leur métier.

Agression de Maimouna Ndour Faye : Condoléances et engagement ferme de Macky Sall

Le président de la République du Sénégal, Macky Sall, a vivement condamné l’agression brutale dont a été victime la journaliste Maimouna Ndour Faye, qualifiant cet acte de violence de lâche et inexcusable.

Dans un communiqué officiel, le chef de l’État a réaffirmé que la liberté de la presse est un droit fondamental qui doit être préservé et respecté en toutes circonstances. Il a souligné que toute forme de violence à l’encontre des professionnels des médias est inacceptable, et que les responsables de cette agression devront répondre de leurs actes devant la justice.

Macky Sall a exprimé tout son soutien à Maimouna Ndour Faye et a réitéré son engagement à garantir un environnement sûr et paisible pour tous les acteurs des médias dans le pays.

La journaliste Maimouna Ndour Faye, également directrice de la télévision 7 TV, a été victime d’une agression sauvage dans la nuit du jeudi 29 février au vendredi 1er mars 2024.

Cette condamnation ferme de la part du président Macky Sall souligne l’importance de la liberté de la presse et la nécessité de protéger les professionnels des médias contre toute forme de violence et d’intimidation.

Agression choquante à Ziguinchor : Une bande de jeunes filles attaque sa Camarade au Collège Académie Platon

Dans un acte choquant, une bande d’élèves du Collège Privé Académie Platon à Ziguinchor a agressé violemment une camarade de classe ce samedi, utilisant des lames et des ciseaux qui ont défiguré le visage de la jeune fille. La présumée chef de la bande, A. Ndiaye, et ses complices (Al. Ndiaye, A. Séne, A. Cécile, A. O. Diallo, entre autres) se sont acharnés sur la victime, N. Coly, endommageant gravement son visage.

Le motif avancé par la bande d’agresseurs est que la victime ne les saluait pas. Cet incident tragique met en lumière la violence au sein des établissements scolaires, un problème préoccupant qui nécessite une action immédiate.

La nommée A. Ndiaye, qui serait une récidiviste selon des sources, est actuellement entre les mains de la police, qui mène une enquête approfondie sur l’incident. Cependant, des informations suggèrent que des tractations sont en cours pour sa libération, soulevant des préoccupations quant à l’influence potentielle de la famille d’A. Ndiaye pour étouffer l’affaire.

La famille de la jeune N. Coly tire la sonnette d’alarme sur les tentatives présumées de la famille d’A. Ndiaye d’étouffer l’affaire en coulisses. Cette situation inquiétante met en évidence la nécessité d’une réponse rapide pour garantir la justice et la sécurité des élèves au sein des établissements scolaires.

Affaire à suivre pour obtenir plus de détails sur les développements ultérieurs de cette affaire choquante à Ziguinchor.

Abdoul Mbaye condamne l’agression de Thierno Alassane Sall à l’assemblée nationale : « Une grave erreur »

Abdoul Mbaye, ancien Premier ministre du Sénégal et président de l’Alliance pour la citoyenneté et le travail (ACT), a réagi avec fermeté à l’agression dont a été victime son collègue député Thierno Alassane Sall lors d’une altercation récente au sein de l’Assemblée nationale.

Dans un post, Abdoul Mbaye a qualifié l’agression de Thierno Alassane Sall par d’autres députés de « grave erreur ». Il a appelé à une profonde réflexion sur les cibles à mettre en lumière dans cette affaire de grande importance.

« Les députés qui se sont permis d’agresser leur collègue Thierno Alassane Sall ont commis une grave erreur », a dénoncé Abdoul Mbaye.

Pour lui, dans une affaire de cette envergure, l’attention devrait se concentrer sur les personnes désignées comme responsables des faits reprochés plutôt que sur le simple fait de saisir les instances appropriées. Il a souligné que l’essentiel réside dans la décision qui sera prise et les arguments qui la soutiendront, appelant à ne pas égarer l’attention du peuple sur des aspects secondaires de l’affaire.

« L’important n’est pas dans la saisine. L’important est dans la décision et son argumentaire. N’égarons pas le Peuple », a ajouté Abdoul Mbaye.

Ces remarques interviennent dans un contexte où l’incident à l’Assemblée nationale a suscité de vives réactions et des préoccupations quant au respect des normes démocratiques et du comportement éthique au sein de l’institution législative sénégalaise. La condamnation d’Abdoul Mbaye souligne l’importance de la responsabilité et de l’intégrité dans le processus politique du pays.

Tragédie à Keur Massar : décès du secrétaire général de magui PASTEF suite à une agression

Le parti politique ex-Pastef, dirigé par Ousmane Sonko, est plongé dans le deuil suite au décès tragique d’Ibrahima Seye, Secrétaire général de Magui PASTEF dans le département de Keur Massar. La nouvelle de sa disparition a été confirmée ce mardi vers 17h, alors qu’il était hospitalisé à la suite d’une agression survenue dans le quartier Montage le 24 décembre.

Les circonstances entourant cette attaque restent floues, mais selon les informations recueillies par Seneweb, la victime aurait quitté son domicile tôt le matin pour se rendre à la mosquée lorsque les assaillants ont perpétré leur acte odieux.

La communauté politique et les membres de Magui PASTEF sont choqués par cette tragédie, perdant un membre actif et engagé. Les autorités locales et les forces de l’ordre sont appelées à faire toute la lumière sur cette agression et à traduire les responsables en justice.

Cette douloureuse épreuve met en évidence les défis sécuritaires auxquels peuvent être confrontés les membres de partis politiques et les citoyens ordinaires. La nécessité de renforcer la sécurité dans les quartiers et de garantir la protection des citoyens devient une préoccupation majeure dans le contexte actuel. La famille d’Ibrahima Seye ainsi que ses collègues et amis sont en deuil, et le pays attend des réponses rapides et efficaces pour faire face à cette tragédie.

A New York, un homme tue quatre membres de sa famille, blesse deux policiers avant d’être abattu

Quatre membres d’une même famille ont été tués au couteau dans la nuit de samedi à dimanche à New York par un proche, qui a ensuite blessé deux policiers sur place avant d’être abattu, ont annoncé dimanche les autorités.

Aucune des motivations du suspect n’ont pour l’instant été établies par les enquêteurs, qui semblent privilégier à ce stade une affaire familiale.
Le drame a eu lieu dans un quartier éloigné du centre de la mégapole, Far Rockaway, où les services de police ont été appelés à l’aube dimanche par l’une des victimes, « une jeune femme disant qu’un cousin était en train de tuer des membres de sa famille », a décrit un responsable policier, le chef Jeffrey Maddrey.
Arrivés près de la résidence, deux policiers ont croisé un homme et l’ont interrogé. L’individu de 38 ans les a alors attaqués et blessés au couteau, avant qu’un des policiers ne lui tire dessus et le blesse mortellement.
Sur place, alors qu’un incendie s’était déclaré dans la résidence, la police a d’abord découvert une enfant de 11 ans grièvement blessée devant la maison, qui est décédée ensuite à l’hôpital. A l’intérieur, dans deux chambres, trois autres personnes décédées ont été retrouvées, « un enfant de 12 ans, une femme de 44 ans et un homme d’une trentaine d’années », a indiqué le chef des inspecteurs de la police de New York, Joseph Kenny.
Une autre victime âgée de 61 ans, grièvement blessée, a été hospitalisée.
Les policiers blessés ont également été hospitalisés mais leurs jours ne sont pas en danger, selon la police.
Le suspect, un habitant de l’arrondissement du Bronx, était connu de la police pour une précédente affaire de violences familiales.

L’assaillant de la Tour Eiffel, converti à l’islam radical avec des troubles psychiatriques

Le jeune Franco-Iranien qui a poignardé à mort un touriste près de la Tour Eiffel à Paris était sorti il y a trois ans de prison, condamné pour préparation d’un acte terroriste. Présentant des troubles psychiatriques, il affichait une relation fluctuante à l’islam radical.

Armand Rajabpour-Miyandoab, 26 ans, né près de Paris de parents réfugiés iraniens chez qui il vivait en banlieue parisienne, a été arrêté samedi soir après avoir tué un touriste de nationalité allemande et philippine, et blessé légèrement deux hommes à coups de marteau.
En 2016, il avait déjà été interpellé pour un projet d’attentat dans le quartier d’affaires de La Défense, à la périphérie ouest de Paris.
Alors étudiant en biologie, il avait également formé le projet de rejoindre le groupe Etat islamique en zone irako-syrienne et entretenait des contacts avec « trois terroristes récidivistes », d’après le tribunal de Paris qui l’a jugé en mars 2018.
Condamné à cinq ans de prison dont un avec sursis, pour association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte de terrorisme, Armand Rajabpour-Miyandoab avait retrouvé la liberté en 2020 après quatre ans de détention.
Fiché pour radicalisation islamiste (FSPRT), selon une source proche de l’enquête, il avait suivi un traitement médical psychiatrique tout au long de sa détention et après sa sortie, où il était placé sous contrôle judiciaire renforcé visant à prévenir des actes de terrorisme.
« Les premiers mois étaient encourageants », il semblait s’être « détaché de la religion » après sa remise en liberté, selon une source sécuritaire.
Mais samedi, peu après 21H00 (20H00 GMT), au moment de l’attaque près du pont Bir Hakeim enjambant la Seine, il a crié « Allah akbar » à plusieurs reprises, selon le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin.

– « Auto-déradicalisé » –
Armand Rajabpour-Miyandoab s’était « intéressé » à l’islam en 2014 puis s’y était converti après avoir rencontré l’année suivante un jihadiste, Maximilien Thibaut, par l’intermédiaire d’un site de graffitis, selon la justice.
Il se définissait comme « salafiste », selon un de ses amis de lycée, qui l’a dépeint en 2016 comme « clairement pour l’idéologie de l’organisation de l’Etat islamique ».
« Son besoin de repères » avait accéléré la radicalisation, avait estimé, au cours de l’enquête en 2017, un psychologue l’ayant suivi, « l’Etat islamique lui donnant notamment des critères directifs de son mode de vie ».
Lors de son interpellation en 2016, il affirmait pourtant: « Je me suis radicalisé et auto-déradicalisé ». « Je ne suis plus musulman mais je m’intéresse quand même à ce qui se passe là-bas », disait-il, en référence à la Syrie.
En juin de la même année, le jeune homme faisait encore des recherches en ligne sur « des bombes au phosphore » ou sur Adel Kermiche, assassin du père Hamel assassiné par deux islamistes en pleine messe à Saint-Etienne-du-Rouvray (ouest), selon la justice.
Confrontré à ses contradictions, il avait reconnu avoir « encore des idées noires » – « l’attentat de Nice ne (lui) a pas déplu » – et estimait avoir « besoin d’un suivi ».
Le 14 juillet 2016 à Nice (sud-est), un Tunisien avait foncé dans la foule avec son camion, tuant 86 personnes et en blessant plus de 400, attaque revendiquée par l’EI.
En 2020, selon le magazine L’Obs, il s’était présenté au commissariat après la décapitation du professeur Samuel Paty en octobre pour signaler qu’il avait échangé avec l’assaillant Abdoullakh Anzorov, un jeune jihadiste, sur les réseaux sociaux deux semaines plus tôt. Il avait alors été placé en garde à vue, mais n’avait pas été poursuivi.
A nouveau, il y avait assuré être devenu « anti islamistes radicaux ou non-radicaux » après son passage en prison.
Cet homme à la personnalité « très influençable », « très instable », avait suscité à nouveau des inquiétudes à partir de 2022, selon la source sécuritaire.

– « Aucune dangerosité » –
Après son arrestation samedi soir, il a déclaré aux policiers « qu’il en voulait à ce qui se passait à Gaza, que la France serait complice de ce que faisait Israël. Il aurait dit qu’il en avait marre de voir des musulmans mourir, tant en Afghanistan qu’en Palestine », selon le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin.
Les enquêteurs vont aussi se pencher sur son suivi médical.
En mars 2022 il avait arrêté son traitement médicamenteux (neuroleptique), en accord avec son médecin, selon une source proche de l’enquête. Mais en août 2022, une expertise psychiatrique avait conclu à une injonction de soins, un mois plus tard par un juge, selon la même source.
Dans ses rapports successifs, le médecin coordonnateur n’avait pas conclu à la nécessité de reprendre un suivi médicamenteux. Le 21 avril dernier, il notait « aucune dangerosité d’ordre psychiatrique identifiée ».
Armand Rajabpour-Miyandoab avait, par ailleurs, une activité numérique importante.
Très peu de temps avant son attaque, une vidéo de revendication de son acte a été postée sur les réseaux sociaux. Il y évoque notamment « l’actualité, le gouvernement ou le meurtre de musulmans innocents ». Il porte un bonnet noir, des lunettes de soleil noires, une longue barbe noire et un masque chirurgical et s’y exprime en arabe.

Attaque au couteau à Paris: une personne tuée et une autre blessée, l’assaillant interpellé

Une personne a été tuée au couteau samedi soir à Paris, une autre a été blessée. L’attaque a eu lieu dans le 15e arrondissement de Paris, à proximité du pont de Bir Hakeim. L’auteur des coups mortels est « né en France » en 1997 et est « Français », selon une source policière à l’Agence France-Presse. Il aurait crié « Allah akbar », selon cette même source, citée par l’AFP. Il était connu pour islamisme radical et troubles psychiatriques.

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