Algérie : Aliou Cissé candidat pour entraîner les Fennecs…

Des médias algériens rapportent la candidature de Aliou Cissé au poste de sélectionneur de l’équipe nationale d’Algérie.

Cette éventuelle candidature soulève des questions quant à l’avenir de Aliou Cissé avec l’équipe nationale du Sénégal, où il est actuellement en poste avec un contrat en cours. Le fait de postuler pour un autre poste pourrait suggérer un possible départ du sélectionneur.

Toutefois, il convient de noter que ces informations n’ont pas été confirmées par Aliou Cissé ou son entourage.

Le futur du sélectionneur avec les Lions de la Teranga dépendra vraisemblablement des développements ultérieurs et des choix qu’il fera quant à sa carrière.

Aliou Cissé a vu son contrat prolongé de deux ans en novembre 2022, accompagné d’une augmentation de salaire.

Nommer en mars 2015, Aliou Cissé est le sélectionneur qui a occupé le poste le plus longtemps en Afrique. Parmi ses réalisations, il a conduit le Sénégal à la victoire lors de la dernière Coupe d’Afrique des Nations (CAN) en 2021 au Cameroun. Cependant, lors de la récente édition de la CAN en Côte d’Ivoire, le Sénégal a été éliminé dès les huitièmes de finale par le pays hôte, subissant une déception similaire aux Fennecs, sortis de la compétition au premier tour.

CAN 2023 : Djamel Belmadi n’est plus le sélectionneur de l’Algérie 

Éliminée de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) après la défaite (1-0) lors de la 3ème journée du groupe D face à la Mauritanie, le mardi 23 janvier dernier, L’Algérie se sépare de son désormais ex entraîneur. Selon Beinsport, Djamel Belmadi aurait démissionné à la tête de l’Équipe Nationale de L’Algérie. Pour rappel, Djamel Belmadi est le vainqueur de la CAN 2019, mais depuis le sacre des Fennecs, l’Algérie n’a plus réussi à franchir les phases de poules en 2 CAN consécutives.

Déception pour l’Algérie à la CAN 2024 : Élimination Précoce, la Mauritanie Accède aux Huitièmes

C’est une première historique pour le football mauritanien. Mardi 23 janvier, à Bouaké, les Mourabitounes ont décroché leur première victoire en Coupe d’Afrique des nations, ainsi que leur première qualification pour les huitièmes de finale. Battue 1-0 (groupe D), l’Algérie sort à nouveau dès le premier tour.

L’euphorie d’un côté, le désarroi de l’autre. La photographie est forcément rude pour le camp défait, alors que les vainqueurs, eux, restent en lice dans cette CAN 2024. À Bouaké, au coup de sifflet final d’une journée déjà folle après le Gambie-Cameroun précédent, la Mauritanie est ivre de bonheur, tandis que l’Algérie fait ses valises.

Dellahi Yali enchante la Mauritanie

Avec Houssem Aouar et Adam Ounas alignés d’entrée de jeu, tandis que Riyad Mahrez, Sofiane Feghouli et Youcef Belaïli étaient remplaçants, les Fennecs ont monopolisé le ballon durant tout le premier acte. Ils ont même obtenu des situations dangereuses, avec Aouar et Ounas, justement.

Mais faire tourner le ballon ne suffit pas. Il s’agit de marquer aussi. Et en la matière, la Mauritanie a donné une leçon de réalisme dans cette première période. Sur un corner repoussé par Anthony Mandrea, le ballon est revenu dans la surface, et Mohamed Dellahi Yali, d’une reprise puissante, n’a laissé aucune chance au gardien algérien (37e). De quoi ravir les spectateurs du stade de la Paix, enthousiastes pour le petit Poucet du groupe D. Évidemment, les supporters des Verts, eux, ont affiché la mine des mauvais jours.

Les Mourabitounes dans l’histoire, les Fennecs en plein déboire

Dès le début de la seconde période, Djamel Belmadi, le sélectionneur algérien, a changé son système et lancé ses armes offensives en réserve dans la bataille. La Mauritanie a encore moins touché le ballon et a procédé en contres, laissant toujours planer une menace sur l’arrière-garde algérienne. Mais la plupart du temps, les Fennecs ont campé dans la moitié de terrain mauritanienne.

Une odeur de KO a flotté dans l’air de part et d’autre durant toute la fin de la rencontre. Si Niasse Mbaye a sauvé les Mourabitounes d’une parade réflexe devant Aïssa Mandi, c’est la barre transversale qui est venue au secours de l’Algérie à quelques minutes du terme, avec cette frappe de Pape Ibnou Ba. Beaucoup de suspense jusqu’au bout, mais pas d’autre but in fine.

C’est ainsi que la Mauritanie signe la plus belle performance de son histoire, pour sa troisième participation à la CAN après 2019 et 2022. Amir Abdou, l’homme qui avait conduit la sélection comorienne jusqu’en huitièmes de finale il y a deux ans au Cameroun, réitère son exploit en Côte d’Ivoire. Les Mourabitounes vont se classer parmi les meilleurs troisièmes de ce premier tour et jouer la phase à élimination directe. En revanche, les temps sont durs pour l’Algérie, championne d’Afrique en 2019 et sortie au premier tour des deux éditions suivantes.

L’Angola s’assure la première place du groupe

Dans l’autre match du groupe D de la soirée, l’Angola affrontait le Burkina Faso au stade Charles Konan-Banny de Yamoussoukro. Avec quatre points chacune, les deux équipes avaient la certitude de se qualifier pour les huitièmes de finale, mais tout l’enjeu de cette rencontre était de s’offrir la première place de la poule.

Les Burkinabè se sont rapidement montrés les plus dangereux sans pour autant réussir à se procurer des occasions assez nettes pour ouvrir le score face à des Angolais bien en place tactiquement et efficace en défense. 

Dans un match où bien peu de choses se passaient, ce sont finalement les Palancas Negras qui ont ouvert le score grâce à Mabululu. L’attaquant est venu couper de la tête un coup-franc venu de la droite, tiré par le capitaine angolais, Fredy, pour propulser la balle dans le but d’Hervé Koffi. Les hommes d’Hubert Velud ont poussé pour tenter de revenir au score avant la pause, en vain. 

Au retour des vestiaires, les Etalons ont continué à pousser, mais toujours aussi bien en place, les Angolais n’ont pas plié. Le Burkina finira même par payer son inefficacité devant le but à la 93e minutes lorsque Zine, tout juste entré en jeu, viendra alourdir le score en envoyant dans le but un ballon mal repoussé par Hervé Koffi après une frappe des Palancas Negras. Avec cette victoire obtenue de haute lutte, l’Angola s’adjuge la première place de son groupe. Les Burkinabè, eux, finissent bons deuxièmes. 

CAN2023 : L’Algérie accrochée à son tour par l’Angola (1-1)

Une des grande favorites de la compétition, l’Algérie a trébuché pour ses débuts en Côte d’Ivoire. Les Fennecs ont été tenus en échec par l’Angola ce lundi (1-1).

À l’exception de la Côte d’Ivoire et du Sénégal, les «gros» qui ont pour l’instant fouler les pelouses dans cette CAN 2023 ont connu des difficultés qui n’ont pas épargné l’Algérie. Venus au Stade de la Paix pour gagner et bien entrer dans la compétition dans ce premier match d’un groupe D également composé du Burkina Faso et de la Mauritanie, les Fennecs devront se contenter d’un nul contre l’Angola (1-1).

Récap’ CAN 2024 : Sénégal, Cameroun, Algérie… Place aux cadors

Au troisième jour de la CAN 2024, la compétition monte encore d’un cran, lundi, avec trois grosses équipes à l’affiche : le champion en titre sénégalais, l’ambitieux Cameroun et une Algérie revancharde. Voici tout ce qu’il faut savoir sur cette nouvelle journée de Coupe d’Afrique des nations.

Le programme de la journée

15 h : Sénégal – Gambie (groupe C)

18 h : Cameroun – Guinée (groupe C)

21 h : Algérie – Angola (groupe D) 

L’affiche du jour

Les Lions de la Teranga veulent faire revivre au peuple sénégalais l’indescriptible euphorie ressentie après le premier sacre continental de leur histoire, en 2022. Malgré un état de forme passable, avec trois victoires sur leurs six derniers matches disputés, tous ont réaffirmé devant les médias leur ambition de conserver leur titre. Pour atteindre son objectif, le Sénégal mise sur un groupe expérimenté.

Ce qu’il s’est passé hier

Le Nigeria cale d’entrée : édition après édition, la Guinée équatoriale continue de surprendre. Cette année, ce sont les Super Eagles du Nigeria qui en ont fait les frais. Le Nzalang national a foudroyé les Nigérians avant qu’Osimhen égalise (1-1).

Les Pharaons se font peur : l’Égypte de Mohamed Salah aussi s’est fait peur. La bande à Mo a attendu les derniers instants pour arracher le match nul grâce à un penalty obtenu avec la VAR (2-2). La décision fait parler. 

Le Cap-Vert fait sensation : face au Ghana, les Requins bleus ont largement mérité leur victoire. Ils ont d’abord mené au score avant de concéder l’égalisation en début de seconde période. En démontrant de belles qualités collectives, les Créoles y ont cru jusqu’au bout et leurs efforts ont été récompensés en fin de match (2-1).

En bref

Record battu pour André Ayew : la légende des Black Stars est toujours fidèle au poste. En disputant le match contre le Cap-Vert, l’aîné des fils d’Abedi Pelé a égalé le record du Camerounais Rigobert Song avec une 8e participation à la CAN. Le Tunisien Msakni devrait également égaler ce record mardi. On lui souhaite une meilleure performance pour son équipe

Stades vides : après l’euphorie du match d’ouverture, c’est le retour d’une antienne de la CAN. Les stades d’Ébimpé et Félix-Houphouët-Boigny d’Abidjan sonnaient creux dimanche. Charge à Yamoussoukro, Bouaké, Khorogo et San Pedro de faire le plein.

Emmanuel Adebayor prédit la victoire de l’Algérie à la CAN 2024 et snobe le Sénégal

Dans une récente interview accordée à Anis Meziane (ENTV), l’ancienne star du football togolais, Emmanuel Adebayor, a exprimé son soutien affirmé à l’équipe nationale de l’Algérie en prévision de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024. Ses commentaires audacieux ont également été accompagnés d’un apparent dédain envers l’équipe nationale du Sénégal.

Adebayor a commencé par saluer la performance exceptionnelle de l’équipe algérienne, soulignant leur performance convaincante face au Togo. Il a particulièrement mis en avant la maîtrise du ballon de l’équipe et a félicité Nabil Bentaleb pour son jeu intelligent et ses décisions judicieuses sur le terrain.

L’ancien attaquant a ensuite souligné les atouts majeurs de l’Algérie en la personne de Riyad Mahrez et Islam Slimani. Selon lui, la combinaison de talents tels que Mahrez et Slimani offre à l’Algérie toutes les chances de remporter la CAN. Cependant, Adebayor a averti qu’il est crucial de rester vigilant tout au long de la compétition.

Adebayor a exprimé son fort soutien à l’équipe algérienne en se remémorant ses expériences agréables lors des matchs disputés dans le pays. Il a ajouté des vœux de succès chaleureux pour la CAN 2024, concluant en souhaitant beaucoup de réussite à l’Algérie dans la compétition à venir.

De manière frappante, Adebayor a écarté l’équipe nationale du Sénégal de ses prévisions optimistes, soulignant plutôt l’Algérie comme le favori incontesté. Cette déclaration risque de susciter des réactions contrastées, notamment chez les supporters sénégalais, alors que la compétition s’annonce plus intense que jamais. La CAN 2024 sera certainement une scène à suivre, avec des enjeux élevés et des rivalités sportives passionnantes.

Entre le Mali et l’Algérie, un contentieux « inédit » sur la question touarègue

Lors de son discours du Nouvel An, le président de la transition du Mali, Assimi Goïta, a annoncé « l’appropriation nationale du processus de paix », dit « accord d’Alger », signé en 2015 avec les groupes rebelles du nord du pays. Un nouveau signe de la défiance grandissante de Bamako envers son voisin algérien, médiateur régional de premier plan désormais soupçonné d’ingérence.

Un vent glacial souffle sur les relations diplomatiques entre le Mali et l’Algérie. Lors de son adresse nationale du 31 décembre, le président de la transition du Mali, Assimi Goïta, a annoncé le lancement d’un « dialogue direct inter-malien pour la paix et la réconciliation », affirmant vouloir désormais « privilégier l’appropriation nationale du processus de paix ».

Cette annonce fait référence aux négociations liées à l’accord signé en 2015, sous l’égide du voisin algérien, avec les groupes armés séparatistes du Nord à dominante touarègue.

Une manière de mettre sur la touche l’Algérie, principal médiateur régional sur cette question très sensible.

Retour de la guerre au Nord-Mali

L’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali, communément appelé « accord d’Alger », a été négocié après la reprise en 2014 par les groupes rebelles de plusieurs localités du Nord, dont la ville de Kidal.

Pour éviter le fractionnement de l’État et tracer un chemin vers la paix, le pacte prévoyait le désarmement de ces mouvements et l’intégration de leurs membres au sein de l’administration malienne. En parallèle, des pouvoirs politiques étendus devaient être octroyés à cette zone du Nord, qu’ils appellent « Azawad », sans toutefois lui accorder de statut autonome.

Arrivés au pouvoir lors du double coup d’État d’août 2020 et mai 2021, les nouveaux dirigeants du pays s’étaient engagés à poursuivre la mise en œuvre de cet accord. Mais les relations avec les anciens groupes rebelles se sont graduellement tendues jusqu’au point de rupture.

Après avoir réclamé et obtenu le départ de la Minusma – la mission des Casques bleus au Mali, garante de la mise en œuvre de l’accord –, les forces armées maliennes ont lancé dans le courant de l’été une opération dans le Nord, considérée comme une déclaration de guerre par les mouvements signataires. Mi-novembre, l’armée, accompagnée de ses supplétifs de la milice russe Wagner, a repris la ville de Kidal, fief touareg contrôlé depuis une décennie par les groupes armés.

« Menace » pour l’Algérie

Cette reprise des hostilités au Nord-Mali est perçue avec inquiétude par le voisin algérien, frontalier de la région de Kidal et chef de file de la médiation entre le Mali et les groupes armés du Nord.

« L’implication d’Alger dans le processus de paix au Mali n’est pas désintéressée », souligne le journaliste malien Malick Konaté. « Les deux pays partagent 1 300 km de frontière et l’Algérie considère la présence des groupes jihadistes liés à Al-Qaïda et [au groupe] État islamique dans cette zone comme une menace contre son propre territoire. »

« Alger est le médiateur principal sur la question touarègue au Mali depuis plus de 50 ans et ce n’est pas un hasard », renchérit l’ancien ministre malien de la Justice Mamadou Ismaïla Konaté. « Les liens sont culturels, sécuritaires mais également économiques, car l’Algérie est un fournisseur essentiel de denrées alimentaires dans tout le nord du Mali. »

En février 2023, alors que les tensions entre les autorités de transition maliennes et les groupes signataires étaient déjà vives, le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, avait reçu une délégation d’ex-rebelles venus demander l’aide de l’Algérie. Ces derniers accusaient le gouvernement malien de traîner les pieds quant à la mise en place du processus de paix.

Dans un courrier confidentiel adressé aux médiateurs algériens, Bamako avait dénoncé une « collusion de plus en plus manifeste » entre des mouvements signataires et les groupes terroristes, ainsi que des violations répétées de l’accord. Les autorités maliennes y égratignaient au passage la médiation internationale dirigée par l’Algérie, déplorant qu’elle n’ait pas « condamné ces violations » ni « rappelé à l’ordre » leurs auteurs.

Mi-décembre, à l’occasion de la fin du mandat de la Minusma au Mali, l’Algérie a réitéré un appel aux différentes « parties maliennes à renouveler leur engagement » dans ce processus de paix « pour répondre aux aspirations légitimes de toutes les composantes » de la population.

Un message mal perçu par les autorités maliennes, désormais engagées dans une guerre ouverte contre les groupes armés du Nord.

« La reprise de Kidal a marqué l’arrêt de mort de l’accord d’Alger », analyse Malick Konaté. « Le pouvoir malien ne fait plus de différence entre les groupes signataires et les terroristes, contrairement à l’Algérie qui maintient cette distinction et conserve des liens de proximité avec les rebelles. Cette différence d’appréciation génère forcément des frictions, d’autant plus que plusieurs représentants de ces groupes, qui ont fui face à l’armée malienne, se sont réfugiés à Alger. »

Crise diplomatique aiguë

Dans ce contexte, les nouvelles consultations organisées en décembre en Algérie avec les groupes rebelles puis la visite à Alger de l’imam Mahmoud Dicko, reçu le 19 décembre par le président Abdelmadjid Tebboune, ont achevé de mettre le feu aux poudres.

Figure de premier plan lors des manifestations qui avaient conduit à la chute du président Ibrahim Boubacar Keïta, cet influent chef religieux malien est désormais à couteaux tirés avec la junte militaire. En cause, ses critiques à l’égard de la durée « indéfinie » de la transition ou bien encore son opposition au référendum constitutionnel organisé en juin.

En réaction à ces événements, le gouvernement malien a fustigé des « actes inamicaux » ainsi qu’une « ingérence dans les affaires intérieures du Mali ». Il reproche notamment à son voisin des rencontres avec les rebelles sans l’y avoir associé. L’Algérie estime, au contraire, qu’il est de son rôle de mener de telles consultations visant à renouer le dialogue, en étant à la tête du Comité de suivi de l’accord de paix.

D’abord convoqués, les ambassadeurs algérien et malien à Bamako et Alger ont depuis été rappelés dans leurs pays respectifs « pour consultations ».

« On peut considérer la réception de l’imam Dicko par le président algérien dans le contexte actuel comme une maladresse diplomatique de la part d’Alger », analyse Mamadou Ismaïla Konaté. « Mais de leur côté, les autorités maliennes ont surréagi en accusant leur voisin d’ingérence, alors que les deux pays ont toujours œuvré de concert sur les plans diplomatique comme militaire. Jamais la relation entre l’Algérie et le Mali ne s’est retrouvée dans pareille impasse », poursuit l’ancien ministre malien.

« C’est un contentieux inédit dont il faut absolument sortir. Si c’est vraiment l’accord d’Alger qui pose problème, alors les autorités maliennes doivent arrêter de louvoyer et en sortir officiellement. Mais ce n’est pas en évinçant l’Algérie que Bamako rétablira un climat propice à des négociations sur la question touarègue », conclut-il.

Lors de son discours du 31 décembre, Assimi Goïta a également annoncé qu’un comité chargé de piloter le nouveau « dialogue inter-malien » serait mis en place dans un délai d’un mois, tout en promettant de poursuivre la « lutte contre les groupes armés terroristes ».

Un dialogue déjà qualifié de « simulacre » par l’un des porte-parole de la rébellion touarègue, Mohamed Elmaouloud Ramadane. Ce dernier a exclu mardi toute participation, fustigeant « une façon de prononcer la caducité définitive » de l’accord de paix.

France24

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