Dimanche dernier, l’Espagne a ajouté une nouvelle page glorieuse à son histoire en remportant l’Euro pour la quatrième fois, surpassant l’Angleterre 2-1 dans une finale épique. Mikel Oyarzabal est entré en scène en tant que super-sub pour marquer le but décisif à la 86e minute, propulsant ainsi son équipe vers la victoire.
L’Espagne, sous la houlette de Luis de la Fuente, a dominé le tournoi avec une série de performances éblouissantes, notamment contre des équipes de premier plan comme la France et l’Allemagne. Leurs jeunes talents comme Nico Williams et Lamine Yamal ont brillé, apportant fraîcheur et dynamisme à une équipe déjà renommée pour son jeu de possession et de technique.
La finale à Berlin a débuté sur un rythme tendu, l’Angleterre ayant réussi à égaliser après l’ouverture du score par Williams pour l’Espagne. Cependant, c’est Oyarzabal qui a eu le dernier mot, assurant la consécration d’une équipe qui a su combiner talent individuel et esprit d’équipe.
Pour les Anglais, battus à nouveau en finale après leur déception à Wembley trois ans auparavant, la quête d’un titre majeur continue de les eluder depuis 1966, contrastant avec la réussite continue de l’Espagne sur la scène européenne.
La victoire de l’Espagne n’était pas seulement un triomphe sportif mais aussi une affirmation de leur style de jeu distinctif et de leur profondeur de banc, symbolisée par des joueurs tels que Oyarzabal, qui ont su répondre présents dans les moments critiques du tournoi.
À l’issue du match, les supporters espagnols ont célébré avec ferveur, tandis que l’Angleterre doit une fois de plus se résoudre à attendre pour briser leur malédiction. Pour l’Espagne, cependant, cette victoire marque un nouveau chapitre dans leur histoire footballistique, confirmant leur statut parmi les meilleures nations du football mondial.