Pénurie de sucre à Kaolack : Appel à l’action pour assurer les approvisionnements pendant le ramadan

Alors que le Ramadan approche à grands pas, le marché central de Kaolack fait face à une situation alarmante : une pénurie de sucre qui inquiète grandement la population. Les étals habituellement garnis de ce produit de première nécessité se retrouvent désespérément vides, laissant les habitants dans l’incapacité de trouver du sucre pour préparer les repas de rupture du jeûne.

Les plaintes des ménagères se sont multipliées sur les ondes de Rfm, témoignant de la gravité de la situation. « C’est un véritable cauchemar », a déclaré une habitante de Kaolack, soulignant l’impact direct sur la préparation des repas traditionnels du Ramadan. « Le sucre est un élément essentiel de nos plats pendant ce mois sacré, et son absence perturbe profondément nos habitudes alimentaires. »

Face à cette pénurie préoccupante, les habitants interpellent vivement les autorités locales et nationales pour prendre des mesures immédiates afin de remédier à cette situation. Ils soulignent l’urgence d’une intervention rapide pour garantir un approvisionnement adéquat en sucre dans la région, permettant ainsi aux familles de célébrer le Ramadan dans des conditions dignes et respectueuses de leurs traditions.

Cette crise de l’approvisionnement en sucre à Kaolack met en lumière les défis persistants auxquels sont confrontées certaines régions du pays en matière de disponibilité des denrées alimentaires de base. Dans un contexte où la solidarité et la générosité occupent une place centrale pendant le Ramadan, il est impératif que des mesures concrètes soient prises pour garantir l’accès à des produits alimentaires essentiels pour tous.

En attendant une réponse des autorités, les habitants de Kaolack restent dans l’attente anxieuse d’une résolution rapide de cette pénurie de sucre, espérant pouvoir célébrer le mois sacré dans la sérénité et la tranquillité d’esprit.

L’Intégrité Électorale en Péril : L’appel à l’action dans un Climat de Contestation (Par Pape Alé Niang)

La conviction ferme de Ndiaga SYLLA sur l’irrégularité de la radiation d’Ousmane SONKO des listes électorales est partagée par de nombreux citoyens préoccupés par la santé de la démocratie. Face à la persistance du refus de la Direction Générale des Élections (DGE) de remettre les fiches de parrainage, la question cruciale émerge : jusqu’où devrions nous aller pour garantir l’intégrité du processus électoral?

Le refus obstiné de la DGE d’obtempérer souligne le besoin pressant d’une action décisive. Comme le souligne Ndiaga SYLLA, déposer la candidature semble être la prochaine étape logique. Cette démarche, cependant, nécessite un examen minutieux de la part du Conseil Constitutionnel (CC). L’instance suprême en matière constitutionnelle devra évaluer l’affaire avec impartialité et objectivité, garantissant ainsi la justice et le respect du cadre légal.

Il est impératif de rappeler que la démocratie repose sur la confiance du public dans le processus électoral. Tout acte perçu comme une tentative de manipulation ou de contournement des règles menace cette confiance fondamentale. La société civile, les citoyens et les acteurs politiques ont un rôle essentiel à jouer dans la sauvegarde de cette confiance, en exigeant la transparence et la conformité aux principes démocratiques.

Ndiaga SYLLA soulève une proposition pragmatique en appelant à déposer la candidature, laissant ainsi la porte ouverte à la délibération du CC. Cette démarche, si elle est effectuée dans le respect des procédures légales, pourrait contribuer à résoudre cette impasse politique tout en préservant l’intégrité du processus électoral.

En cette période cruciale, la société doit rester vigilante et active pour défendre les valeurs démocratiques. Les institutions en charge de l’élection doivent opérer dans la transparence et la légalité, et la population doit exprimer sa volonté de préserver une démocratie forte et équitable

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