Décès de l’ancien ministre Mamadou Moustapha Ba – Une autopsie conclut à une mort suspecte

La mort soudaine de Mamadou Moustapha Ba, ancien ministre des Finances et du Budget du Sénégal, continue de soulever des interrogations. En effet, selon un communiqué officiel du procureur de la République, les résultats de l’autopsie ont révélé que le décès de l’ancien ministre n’est pas de cause naturelle, ouvrant ainsi la voie à une enquête approfondie.

L’annonce du procureur de la République, parvenue ce dimanche, confirme que « plusieurs éléments relevés lors de l’autopsie tendent à attester que la mort n’est pas naturelle ». Cette déclaration, bien que brève, laisse entendre qu’il pourrait s’agir d’un acte criminel, sans toutefois préciser les détails des anomalies relevées lors de l’examen du corps.

Face à cette découverte, les autorités judiciaires ont pris la décision de prolonger l’enquête afin de déterminer les circonstances exactes du décès. Le procureur a indiqué que « des actes d’enquête complémentaires » sont nécessaires avant de pouvoir autoriser la levée du corps et l’inhumation de l’ancien ministre.

La mort de Mamadou Moustapha Ba, figure éminente du gouvernement sénégalais, a été un choc pour beaucoup. Ministre des Finances et du Budget, il a été un acteur clé dans les politiques économiques du pays, contribuant à plusieurs réformes importantes. Sa disparition soudaine avait été initialement perçue comme naturelle, mais les conclusions de l’autopsie viennent chambouler cette hypothèse.

L’annonce de ces résultats va certainement accroître la pression sur les autorités pour faire toute la lumière sur cette affaire. L’ouverture d’une enquête approfondie laisse penser que des zones d’ombre entourent le décès de l’ancien ministre, ce qui pourrait relancer les spéculations et les rumeurs autour des causes réelles de sa mort.

En attendant les résultats des investigations complémentaires, les procédures de levée du corps et d’inhumation ont été reportées. Une décision qui témoigne de la volonté des autorités judiciaires de garantir que toutes les pistes soient explorées avant de clore le dossier.

Ce report pourrait être mal perçu par la famille et les proches du défunt, désireux de lui rendre un dernier hommage. Cependant, cette démarche vise à préserver l’intégrité de l’enquête en cours et à permettre de réunir tous les éléments nécessaires pour éclaircir les circonstances de cette mort inattendue.

Les Sénégalais, choqués par cette nouvelle, attendent désormais des réponses claires et précises de la part des autorités. De nombreuses voix s’élèvent déjà pour demander une enquête transparente et impartiale, afin de dissiper tout doute et d’éviter toute politisation de l’affaire.

Alors que le pays s’apprête à entrer dans une nouvelle période électorale, cette affaire pourrait prendre une dimension politique, notamment si des indices venaient à montrer une implication quelconque de personnalités influentes.

Les prochains jours seront décisifs pour l’enquête. Le procureur de la République a promis de tenir le public informé des avancées de l’enquête et des nouveaux éléments qui pourraient survenir. En attendant, la famille de Mamadou Moustapha Ba et l’ensemble de la nation sénégalaise restent dans l’expectative, espérant que la vérité sera rapidement établie et que justice sera rendue.

Autopsie ordonnée sur la dépouille de Mamadou Moustapha Ba : L’Article 66 du Code de procédure pénale en question

La mort de Mamadou Moustapha Ba, ancien ministre des Finances et du Budget du Sénégal, survenue ce lundi 4 novembre 2024 à Paris, suscite des interrogations. Alors que son décès avait été attribué à une maladie, le procureur de la République a décidé d’ordonner une enquête et une autopsie, en se basant sur l’Article 66 du Code de procédure pénale.

L’Article 66 du Code de procédure pénale donne un cadre pour les investigations en cas de découverte d’un cadavre dont la cause de décès est « inconnue ou suspecte ». Le texte précise qu’en pareil cas, l’officier de police judiciaire (OPJ) doit en aviser le procureur et se rendre sur les lieux pour procéder aux premières constatations. Si nécessaire, le procureur peut également se déplacer et s’entourer de personnes compétentes pour évaluer les circonstances du décès.

Ce cadre légal permet d’envisager l’autopsie comme une mesure d’éclaircissement lorsqu’une mort n’est pas clairement attribuable à des causes naturelles, ou qu’elle présente des aspects inquiétants. Il donne aussi au procureur la possibilité de demander des informations complémentaires pour déterminer les raisons exactes de la mort.

La décision du procureur d’invoquer l’Article 66 a provoqué de multiples questionnements autour des circonstances de la mort de Mamadou Moustapha Ba. Les informations initiales faisaient état d’une « courte maladie », mais l’ouverture d’une enquête et la demande d’autopsie soulèvent des interrogations :

La cause du décès est-elle suspecte ?
Bien que la version initiale indique une maladie, la décision du procureur laisse planer un doute. Il est possible que certaines observations aient suscité des questions, incitant les autorités à rechercher plus de clarté.

Y a-t-il des zones d’ombre ?
L’enquête et l’autopsie ordonnées indiquent un besoin de lever toute ambiguïté. En effet, une analyse approfondie des causes du décès pourrait apporter des réponses aux proches du défunt et à l’opinion publique.

Le déroulement de l’enquête et les conclusions de l’autopsie fourniront des éléments de réponse sur les circonstances de ce décès. Le procureur a le pouvoir de désigner un médecin légiste pour l’autopsie, qui pourrait révéler des éléments cruciaux. En attendant, cette démarche renforce la transparence judiciaire autour de ce décès et témoigne de la volonté des autorités de clarifier les faits.

EXCLUSIF : Baïdy Amar décédé d’une overdose : Résultats de l’autopsie révélés

Dans une nouvelle étape cruciale de l’enquête sur la mort de Baïdy Amar, fils du défunt milliardaire Ameth Amar, des révélations exclusives ont été obtenues par Seneweb. Selon les résultats de l’autopsie transmis aux enquêteurs du commissariat d’arrondissement du Plateau, le décès de Baïdy Amar est attribué à une overdose.

Le médecin légiste chargé de l’autopsie a déterminé que le décès de Baïdy Amar était dû à un arrêt cardiorespiratoire, probablement causé par une intoxication due à une dose excessive inhalée de substances. Cette conclusion met en lumière la gravité de la consommation de drogue présumée de la victime.

Les résultats des tests urinaires, réalisés après une prise de sang, ont confirmé la présence de substances illicites dans le système de Baïdy Amar. Ces résultats positifs à la consommation de drogue, selon nos sources, étayent l’hypothèse d’une overdose liée à une consommation excessive de substances psychoactives.

Des informations provenant du dossier suggèrent que Baïdy Amar était un consommateur régulier de drogues diverses, notamment de cocaïne, de chanvre indien et d’oxyde d’azote. Cette révélation soulève des questions sur les habitudes et les pratiques de la victime en matière de consommation de drogue, ainsi que sur les circonstances entourant son décès.

Des prélèvements supplémentaires ont été effectués pour réaliser des tests toxicologiques approfondis. Les résultats de ces tests sont attendus et pourraient fournir des informations supplémentaires sur les substances spécifiques retrouvées dans le système de la victime. Cependant, ces résultats ne sont pas encore disponibles pour les enquêteurs du commissariat du Plateau.

La révélation de ces résultats d’autopsie met en lumière la complexité de l’enquête sur la mort de Baïdy Amar et soulève de nouvelles questions sur les circonstances entourant son décès. Alors que l’enquête se poursuit, les autorités cherchent à obtenir une image plus claire des événements ayant conduit à la tragédie et à identifier d’éventuels responsables. Restez à l’écoute pour des mises à jour alors que cette histoire continue de se développer.

Report de l’inhumation d’Alpha Yéro Tounkara : Retard dû à l’autopsie et à l’absence de médecin légiste à Saint-Louis

L’inhumation d’Alpha Yéro Tounkara, étudiant de l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis tué lors des manifestations contre le report de l’élection présidentielle, a été reportée à ce vendredi, après avoir été initialement prévue pour mercredi.

Cette information a été communiquée par Me Khouraychi Bâ, l’avocat de la famille du défunt, dans un post sur Facebook repris par Les Échos. Selon l’avocat, l’enterrement a été déplacé en raison de l’absence de médecin légiste à Saint-Louis, obligeant le transfert du corps d’Alpha Yéro Tounkara à l’hôpital Principal de Dakar pour une autopsie.

L’absence de médecin légiste à Saint-Louis a entraîné des retards dans le processus, notamment dans la délivrance du certificat aux fins d’inhumation. Bien que les membres de la famille de la victime n’aient pas pu assister à l’autopsie comme souhaité, Me Bâ a indiqué qu’ils recevront le certificat ce jeudi, permettant ainsi la poursuite des préparatifs funéraires.

Ce report de l’inhumation souligne les défis logistiques auxquels sont confrontées les familles des victimes de violence, notamment dans les régions où les services médicaux spécialisés sont limités. Cela met également en lumière les lacunes du système de santé et de justice en matière de traitement des décès dans le contexte de manifestations et de troubles civils.

L’attente de la conclusion de l’autopsie et la délivrance du certificat aux fins d’inhumation prolongent la période de deuil pour la famille d’Alpha Yéro Tounkara et soulignent l’importance de la transparence et de l’efficacité dans le processus d’enquête et de justice pour les victimes de violences politiques.

Affaire du décès de D. Doucouré à Mbour : L’autopsie disculpe provisoirement l’époux, mais des contestations persistent

L’affaire entourant la mort de Diabou Doucouré à Mbour prend un tournant inattendu avec les résultats de l’autopsie qui, selon des sources de Seneweb, disculpent provisoirement l’époux de la défunte, âgée de 37 ans. Cependant, des contestations émanent de la famille de la victime.

Le drame survenu le 27 décembre dernier au quartier Thiocé-Est a suscité de vives accusations de la part de la famille de Diabou Doucouré, qui avait initialement accusé son mari de l’avoir battue à mort. Suite à ces allégations, une enquête a été rapidement ouverte par le commissariat central de la petite-côte à Mbour.

Les résultats de l’autopsie, présentés dans le certificat de genre de mort, indiquent que la cause du décès serait une embolie pulmonaire, qualifiant ainsi la mort de naturelle. Cette conclusion médicale a conduit à la disculpation provisoire de l’époux de la défunte, selon les informations obtenues par Seneweb.

Cependant, la grande-sœur de Diabou Doucouré persiste dans ses accusations, affirmant que sa sœur avait eu une altercation avec son époux, D. Samb. Malgré ces contestations familiales, les premiers éléments de l’enquête, y compris des témoignages de voisins, ne semblent pas accabler l’époux, indiquant plutôt un malaise de la victime avant son évacuation à l’hôpital.

Alors que l’enquête se poursuit, le dossier pourrait être transmis au procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Mbour sous forme de renseignement judiciaire. Cette affaire met en lumière la complexité des enquêtes sur des décès suspects et la nécessité d’examiner attentivement toutes les preuves et témoignages pour parvenir à une conclusion juste.

Alassane Niang tué par son épouse à Pikine ? Voici les résultats de l’autopsie

Du nouveau concernant la mort de de Alassane Niang qui a eu lieu, vendredi dernier, à Pikine Tally bu bess, lors d’une dispute avec son épouse.

Contrairement à plusieurs indiscrétions, les résultats de l’autopsie relèvent une mort naturelle par arrêt cardiaque, selon PressAfrik. Ce qui vient confirmer les dires des proches de la victime. Ainsi, initialement suspectée d’être à l’origine de ce décès puis arrêtée, A.S , l’épouse de la victime, a été finalement libérée.

Toutefois, il faut souligner que l’enquête suit son cours.

Pour rappel, une certaine presse indiquait le défunt a été frappé à la tête avec une bonbonne de gaz. Ce qui se solderait par sa mort. Cependant, l’autopsie révèle mort naturelle par arrêt cardiaque.

Quitter la version mobile