Projet GTE : Birahime Seck interpelle Cheikh Tidiane Dièye sur la transparence du marché

Ce 31 octobre a marqué le lancement officiel du projet Grand transfert d’eau (GTE) reliant le lac de Guiers à Touba. Cette cérémonie est l’occasion pour le ministre de l’Hydraulique, Cheikh Tidiane Dièye, d’apporter des précisions sur le choix du type de marché dans ce projet d’envergure.

Sur le réseau social X, Birahime Seck, coordonnateur du Forum civil, s’est interrogé sur la transparence de cette démarche. « Nous espérons que le ministère de l’Hydraulique nous dira s’il a opté pour une procédure de gré à gré pour sélectionner Synohydro dans le cadre du projet GTE. Cela ressemble davantage à un camouflage de procédure, ce qui irait à l’encontre des principes de transparence », a-t-il déclaré.

M. Seck précise également avoir consulté le communiqué de la cellule de communication du ministère, qui n’a toutefois pas répondu à sa question centrale : le projet a-t-il été attribué par gré à gré ou par appel d’offres ?

Publication des rapports de l’inspection générale d’état : Un appel urgent de Birahime Seck

Le coordonnateur du Forum Civil, Birahime Seck, a récemment lancé un appel pressant à l’actuel régime pour qu’il procède à la publication des rapports de l’Inspection Générale d’État (IGE). Selon Seck, cette publication est « trop attendue » et revêt une importance capitale pour la transparence et la lutte contre les flux financiers illicites.

Dans un post sur sa page X, anciennement connue sous le nom de Twitter, Birahime Seck a rappelé au président de la République l’engagement pris devant le peuple sénégalais de publier ces rapports. Cet engagement est perçu comme une promesse clé pour renforcer la gouvernance et prévenir la corruption au sein de l’administration publique.

Les rapports de l’IGE sont considérés comme des outils essentiels pour la prévention des flux financiers illicites. Ils offrent une évaluation indépendante et détaillée des pratiques financières et administratives des institutions publiques. La publication de ces documents permettrait non seulement de mettre en lumière les irrégularités, mais aussi de proposer des recommandations pour améliorer les systèmes en place.

Birahime Seck a souligné l’importance de cette démarche dans le contexte actuel, où la transparence et la reddition de comptes sont plus que jamais nécessaires pour assurer une gestion publique saine et équitable. En divulguant ces rapports, le gouvernement montrerait son engagement envers les principes de bonne gouvernance et de responsabilité.

Le Forum Civil, en tant qu’organisation de la société civile, joue un rôle crucial dans la promotion de la transparence et de la lutte contre la corruption au Sénégal. L’appel de son coordonnateur résonne comme un rappel fort à l’actuel régime de tenir ses promesses et de travailler activement à la mise en place d’un cadre de gestion publique exemplaire.

La publication des rapports de l’IGE serait un pas significatif vers la réalisation de ces objectifs, et permettrait de renforcer la confiance des citoyens dans leurs institutions. En attendant cette publication, Birahime Seck et le Forum Civil continuent de plaider pour une gouvernance plus transparente et responsable, fidèle aux engagements pris par les dirigeants du pays.

Assises de la justice : Birahime Seck réplique aux critiques sur la « perte de temps »

Face aux critiques concernant la tenue des assises sur la justice, Birahime Seck, coordonnateur du Forum civil, défend vigoureusement l’importance de ces débats. En réponse à ceux qui jugent ces assises inutiles, il s’interroge : « En quoi le fait de reposer le débat avec d’autres acteurs dans de nouvelles conditions serait-il une perte de temps ? »

Birahime Seck souligne que la simple existence de rapports antérieurs ne justifie pas l’absence de nouvelles discussions sur les réformes judiciaires. Il remet en question la solidité de l’argument qui prétend que les débats actuels seraient redondants à cause du rapport de 2018 sur la modernisation de la justice. « L’argument utilisé pour convaincre du gain de temps du fait du rapport de 2018 relatif à la concertation sur la modernisation de la justice ne me semble pas solide », explique-t-il. En effet, malgré la disponibilité de ce rapport, d’autres domaines tels que le foncier (CNRF) et les institutions (CNRI) ont continué à faire l’objet de débats publics, notamment lors du dialogue convoqué par le président Macky Sall en 2019.

Birahime Seck rappelle que les débats et les concertations passés n’ont fait qu’enrichir et rafraîchir les réflexions existantes. Il cite notamment une concertation organisée par l’Union des magistrats sénégalais (UMS) le 25 mars 2021 à l’hôtel Radisson Blu Dakar, sous la présidence de Teliko, qui portait sur le thème : « État de droit et indépendance de la justice – Enjeux et perspectives de réformes ». Cet événement montre que les discussions sur la justice sont toujours pertinentes et nécessaires.

Pour Birahime Seck, il est essentiel de débattre constamment de l’organisation, du fonctionnement et du rôle du service public de la justice. Il met en garde contre la démagogie et le déni, appelant à utiliser les réflexions disponibles comme point de départ pour de nouvelles discussions. « Il faut débattre, tout le temps, de l’organisation, du fonctionnement et du rôle du service public de la justice rendue au nom du peuple », insiste-t-il.

Birahime Seck défend fermement la nécessité des assises sur la justice, rejetant les critiques qui les considèrent comme une perte de temps. Pour lui, ces débats sont cruciaux pour enrichir les réflexions et assurer que la justice au Sénégal continue de progresser dans le sens de l’indépendance et de l’efficacité. Les discussions actuelles, loin d’être redondantes, sont une opportunité de renforcer et d’actualiser les perspectives de réformes indispensables pour le bon fonctionnement du système judiciaire.

Birahime Seck du Forum civil en appelle à la préservation de la parole présidentielle et au respect des lois

Birahime Seck, coordonnateur renommé du Forum civil, a récemment pris la parole sur sa plateforme médiatique pour adresser un appel vibrant aux autorités compétentes, particulièrement à la Cour des comptes et à l’Inspection générale d’État (IGE). Son message, empreint de fermeté et de responsabilité, vise à sensibiliser sur l’importance cruciale de préserver la sacralité de la parole présidentielle et de garantir le respect strict des lois au sein de l’État sénégalais.

Dans son allocution, Birahime Seck a souligné le rôle fondamental de la parole du président de la République dans le fonctionnement démocratique du pays. Il a mis en avant l’importance de préserver l’intégrité et la crédibilité de cette parole, qui constitue un pilier essentiel de la gouvernance transparente et responsable. Le respect de la parole présidentielle, selon lui, est indispensable pour maintenir la confiance du peuple envers les institutions démocratiques.

Parallèlement, Birahime Seck a appelé les institutions de contrôle telles que la Cour des comptes et l’IGE à jouer leur rôle de gardiennes de l’intérêt public avec rigueur et impartialité. Il a insisté sur l’importance de mener des enquêtes approfondies et objectives sur toute forme de malversation ou d’irrégularité, sans aucune complaisance envers quelque partie que ce soit. Pour lui, le respect strict des lois en vigueur est un impératif absolu pour garantir l’État de droit et le bon fonctionnement des institutions démocratiques.

En lançant cet appel, Birahime Seck réaffirme l’engagement du Forum civil en faveur de la transparence, de la bonne gouvernance et du respect des principes démocratiques. Son message interpelle l’ensemble des acteurs politiques et institutionnels du Sénégal à faire preuve de responsabilité et d’éthique dans la gestion des affaires publiques. Il met en lumière l’importance cruciale du rôle des institutions de contrôle dans la préservation de l’intégrité et de la transparence dans la gestion des ressources publiques, et appelle à une action concertée pour renforcer la démocratie et l’État de droit dans le pays.

Lutte contre le tabagisme chez les jeunes : Le Forum civil interpelle le nouveau gouvernement

Au cours d’un atelier avec les journalistes en santé population et développement ce samedi, Birahime Seck a élevé la voix pour interpeller le nouveau gouvernement sénégalais dirigé par Ousmane Sonko sur la question préoccupante de l’usage du tabac dans le pays. Le coordonnateur du Forum civil a souligné l’urgence d’agir en taxant ce produit afin de protéger la jeunesse sénégalaise.

Birahime Seck a mis en lumière le fait que de nombreux experts ont souligné le danger croissant que représente le tabagisme pour la jeunesse sénégalaise, tant sur le plan figuré que propre. Il a souligné l’importance pour le gouvernement de placer la jeunesse au centre de ses priorités et d’adopter des mesures efficaces pour lutter contre ce fléau. Parmi ces mesures, il recommande vivement d’instaurer une taxe sur les produits du tabac.

Malgré les progrès réalisés grâce aux efforts des associations dans la lutte contre le tabagisme, Birahime Seck estime qu’il reste encore beaucoup à faire. C’est pourquoi le Forum civil souhaite contribuer à ce combat en proposant la taxation du tabac comme une mesure dissuasive. En augmentant le prix du tabac, non seulement il deviendrait moins accessible aux jeunes, mais cela permettrait également de générer des revenus supplémentaires pour lutter contre le tabagisme.

Le coordonnateur du Forum civil souligne également l’impact financier considérable des soins prodigués aux personnes victimes de cancers liés au tabagisme. Il appelle ainsi le gouvernement à interdire de manière définitive le tabagisme dans les lieux publics, en plus de la recommandation sur la taxation du tabac.

En conclusion, le Forum civil se positionne comme un allié déterminé dans la lutte contre le tabagisme au Sénégal, appelant le gouvernement à prendre des mesures audacieuses pour protéger la santé et le bien-être de la jeunesse du pays.

Exploitation du pétrole et du gaz : Birahime Seck encourage Woodside à renforcer sa communication avec la population de Fatick

Dans le cadre du programme USAID/TRACES, le Forum Civil a récemment organisé une formation pour les membres du Conseil de Jeunesse et des journalistes de la région de Fatick. L’objectif principal de cette initiative était d’informer et de sensibiliser la population sur la réglementation du secteur extractif, en mettant particulièrement l’accent sur l’exploitation du pétrole et du gaz.

Birahime Seck, Coordonnateur du Forum Civil, a souligné un problème majeur : le manque d’information de la population de Fatick concernant les activités de Woodside, l’entreprise chargée de l’exploitation pétrolière à Sangomar. Selon lui, les jeunes de la région ne sont pas suffisamment informés sur des aspects cruciaux tels que l’étude d’impact environnemental réalisée par l’entreprise et son plan d’investissement social.

Dans ce contexte, Birahime Seck a lancé un appel à Woodside, exhortant l’entreprise à intensifier ses efforts de communication et de dialogue avec la population locale. « Nous avons constaté un besoin urgent de communication entre Woodside et les jeunes de Fatick », a déclaré Birahime Seck. « Il est essentiel pour une entreprise s’implantant dans cette zone de discuter ouvertement avec les populations locales des éventuels impacts sociaux, environnementaux, économiques et financiers de ses activités. »

Cette invitation à une meilleure communication s’inscrit dans une tendance croissante vers la transparence et la participation communautaire dans les projets d’exploitation des ressources naturelles. En répondant à cet appel, Woodside pourrait renforcer sa relation avec les communautés locales et contribuer à un développement durable et équitable de la région de Fatick.

Il est essentiel que les entreprises opérant dans le secteur extractif adoptent une approche proactive en matière de communication et d’engagement communautaire. Une collaboration ouverte et transparente entre les entreprises et les populations locales est la clé pour garantir des avantages mutuels et durables pour toutes les parties concernées.

Cadeau fiscal à la presse : Birahime Seck recommande des mesures complémentaires à Macky Sall

La récente décision du président Macky Sall d’effacer les dettes fiscales des entreprises de presse pour la période antérieure au 31 décembre 2023, ainsi que les redevances dues à l’ARTP, a suscité un débat animé au sein de la société civile sénégalaise. Cette annonce, perçue comme une bouffée d’oxygène pour un secteur souvent confronté à des difficultés financières, a toutefois généré des réserves, notamment exprimées par Birahime Seck, membre éminent du Forum Civil.

Dans une déclaration relayée sur les réseaux sociaux, Birahime Seck a exprimé ses inquiétudes quant à la rapidité avec laquelle la dette fiscale de la presse pourrait réapparaître et a mis en garde contre le risque d’encouragement de l’évasion fiscale. Pour lui, il est impératif de conditionner cette remise de dette à un plan d’investissement ambitieux visant à renforcer et à moderniser le secteur de la presse, tout en améliorant les conditions de travail des journalistes et des techniciens.

Selon Seck, une approche plus constructive consisterait à canaliser les ressources vers des initiatives concrètes telles que la formation professionnelle, l’acquisition d’équipements modernes et le soutien au développement de projets innovants dans le domaine de l’information. En reliant la remise de dette à ces mesures complémentaires, le gouvernement pourrait contribuer de manière significative à améliorer la qualité du journalisme et à garantir son rôle crucial dans la société sénégalaise.

Cette recommandation de Birahime Seck met en lumière l’importance d’une vision à long terme dans le soutien au secteur de la presse. Plutôt que de se limiter à des solutions temporaires, il est essentiel d’adopter des stratégies durables qui favorisent la professionnalisation et la pérennité économique de la presse tout en préservant son indépendance éditoriale.

En conclusion, la réaction de Birahime Seck souligne l’importance d’un dialogue ouvert et constructif entre le gouvernement et la société civile pour élaborer des politiques qui répondent véritablement aux besoins et aux aspirations du secteur de la presse au Sénégal. En adoptant une approche inclusive, il devient possible de créer un environnement médiatique plus résilient et dynamique pour l’avenir.

La réponse de Birahime Seck à Madiambal Diagne

Face aux accusations du député Matar Diop de la coalition BBY qui avait, devant les parlementaires, fait état des « ignominies » du maire de Ziguinchor qui aurait reçu des fonds de bailleurs intéressés par une remise en cause d’accords et de contrats sur l’exploitation du pétrole et du gaz découverts au  Sénégal. 
Madiambal Diagne avait interpellé le coordonnateur du Forum civil en se demandant si le poisson était si gros qu’on chercherait à le noyer. Pour lui, au-delà de l’assurance dont le député Matar Diop a fait montre, le silence de Birahime Seck et Cie laisse perplexe.

Salma

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