Oumar Sow Conduit à la Brigade de Thiong : Capitaine Touré Prend sa Défense

L’arrestation de Oumar Sow, membre de la Cojer et figure politique, conduit à la brigade de Thiong, a suscité une réaction immédiate de la part de l’ancien capitaine Seydina Oumar Touré. M. Touré, également membre de la coalition Diomaye Président, a vivement critiqué cette action, soulignant que de telles pratiques doivent cesser dans la République.

Dans une déclaration, Seydina Oumar Touré a exprimé son désaccord avec la convocation de Oumar Sow par la gendarmerie de Thiong, apprenant la nouvelle par le biais de la presse. Pour lui, si cette convocation découle des positions politiques de Oumar Sow, alors il devrait être relâché immédiatement.

“Si cette convocation est la résultante de ses positions politiques, il doit être relâché immédiatement”, a déclaré Seydina Oumar Touré. Il a également ajouté que lui et ses collègues se battent pour que de telles pratiques soient bannies à jamais dans leur République.

Cette réaction de Seydina Oumar Touré reflète une préoccupation croissante concernant les arrestations potentiellement politiquement motivées et les atteintes à la liberté d’expression au Sénégal. Les appels à la libération de Oumar Sow se multiplient alors que la situation politique du pays reste tendue.

Cheikh Yérim Seck vs. Capitaine Seydina Oumar Touré : Un jour de vérité

Après de nombreux renvois, le procès en diffamation opposant l’écrivain Cheikh Yérim Seck à l’ancien capitaine de la gendarmerie, Seydina Oumar Touré, sera enfin entendu aujourd’hui, mardi 13 février, au Tribunal correctionnel de Dakar.

L’affaire remonte à la publication du livre de Cheikh Yérim Seck intitulé “Macky Sall face à l’histoire”, où une section est consacrée au dossier impliquant le leader de Pastef, Ousmane Sonko, et l’ancienne masseuse Adji Sarr. Dans cette partie de son ouvrage, Cheikh Yérim Seck évoque le rôle de Seydina Oumar Touré dans cette affaire, ce qui a suscité la réaction du plaignant se sentant diffamé.

Selon les propos rapportés par Les Échos, Seydina Oumar Touré a déclaré : “J’ai lu avec surprise quelques extraits du nouveau livre de monsieur Cheikh Yérim Seck, dont je m’abstiens de citer le titre, notamment les pages 186 et 187, dans lesquelles il m’accuse de faits graves. Ces déclarations sont inexactes et scandaleuses et témoignent d’une étroitesse d’esprit de la part de quelqu’un qui bénéficie malheureusement d’une grande audience.” Il a ensuite annoncé son intention de saisir les juridictions compétentes pour que Cheikh Yérim Seck fournisse la preuve de ses déclarations, qu’il considère mensongères.

Ce procès met en lumière les tensions entre les acteurs médiatiques et politiques au Sénégal, ainsi que les enjeux de la liberté d’expression et de la responsabilité dans la diffusion de l’information. L’audience d’aujourd’hui sera donc un moment crucial pour la clarification des faits et pour la résolution de ce différend juridique qui a attiré l’attention de l’opinion publique.

“Capitaine” Touré et Cheikh Aliou Bèye arrêtés : Nouvelle vague d’arrestations dans la coalition Diomaye Président

À l’heure actuelle, les raisons précises de ces arrestations demeurent floues. Cependant, il semble probable qu’elles soient liées au rassemblement de la coalition Diomaye Président, qui a été interdit par les forces de l’ordre. Cette action des autorités a conduit à l’arrestation de plusieurs leaders politiques, dont les députés Guy Marius Sagna et Abass Fall, ainsi que d’autres personnalités influentes au sein de la coalition.

Cette vague d’arrestations soulève des interrogations quant à la liberté d’expression et de rassemblement dans le contexte électoral sénégalais. Les membres de la coalition Diomaye Président dénoncent une répression politique et affirment leur détermination à poursuivre leur action malgré les entraves rencontrées.

Capitaine Touré de l’USJ/Sénégal : “Non, respect du calendrier électoral

Seydina Touré, alias Capitaine Touré, leader de l’USJ/Sénégal Gü Deggü, s’est prononcé fermement contre toute idée de report de l’élection présidentielle prévue pour février 2024 au Sénégal. Il a mis en lumière les violations des droits, de la dignité humaine et de la démocratie pendant les douze années du règne du Président Macky Sall.

Capitaine Touré appelle le peuple sénégalais à préserver le calendrier électoral et à se préparer à sécuriser le scrutin. Il encourage les militants et sympathisants à retirer massivement leurs cartes d’électeurs, à se mobiliser pour démarrer la campagne électorale et à mettre fin au pouvoir en place.

Le Capitaine Touré Met en Garde l’Opposition : « Nul Besoin d’Aller Déposer Nos Candidatures

Le candidat déclaré à la présidence sénégalaise, Seydina Oumar Touré, a exprimé avec force ses préoccupations concernant la situation politique actuelle, en prévision de l’élection du 25 février 2024. Ses commentaires s’adressent directement à l’opposition et à l’administration électorale.

Le Capitaine Touré a d’abord abordé le cas d’Ousmane Sonko, dont le mandataire Ayib Daffé n’a toujours pas reçu les fiches de parrainage nécessaires malgré une décision de justice favorable : « Monsieur Ayib Daffé n’a toujours pas reçu de fiches de parrainage malgré la décision de justice enjoignant l’administration de procéder au rétablissement, dans ses droits, de monsieur Ousmane Sonko », a-t-il déclaré.

Il accuse ensuite directement le Directeur général des élections et les services centraux du ministère de l’Intérieur d’abus de pouvoir : « Le Directeur général des élections qui refuse de s’exécuter ainsi que les services centraux du ministère de l’intérieur impliqués sont dans un abus manifeste de pouvoir. Ils le savent, nous le savons et ils savent que nous le savons. »

Le Capitaine Touré critique également l’inaction générale face à cette situation : « Et pourtant, personne ne fait rien pour les en empêcher. »

Il met en garde contre l’illusion que l’exclusion de Sonko puisse bénéficier à d’autres candidats, affirmant que cela constituerait une régression démocratique : « A ce rythme, nul besoin, pour nous autres, d’aller déposer nos candidatures au conseil constitutionnel. Nous sommes nombreux à penser que l’exclusion du candidat Ousmane Sonko nous profitera à l’échéance. Mais le croire c’est réellement de marcher à l’envers, la tête sur terre les pieds en l’air. Parce que tout simplement, si ce forcing passe avec monsieur SONKO, il passera avec tous les autres candidats et adversaires sérieux du régime en place. »

Il conclut en soulignant la portée de la candidature de Sonko, qui dépasse les frontières partisanes : « La candidature de monsieur Ousmane Sonko dépasse désormais un combat de parti politique. Elle est devenue une exigence démocratique pour l’élégance républicaine au Sénégal. »

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