Saint-Louis : Deux pêcheurs portés disparus après le chavirement d’une pirogue à l’embouchure

Deux pêcheurs sont portés disparus après le chavirement de leur pirogue dans la nuit de jeudi à vendredi au niveau de la brèche de Saint-Louis. Selon les premières informations rapportées par le journal Le Soleil, l’embarcation transportait trois personnes originaires du village de Ngayna Lebou.

L’accident s’est produit dans des circonstances encore indéterminées. Seul un des trois pêcheurs a réussi à survivre au naufrage. Les deux autres sont toujours portés disparus, plongeant leurs familles et la communauté locale dans une grande inquiétude.

Des recherches sont en cours pour tenter de retrouver les disparus. Toutefois, la dangerosité de la brèche complique sérieusement les opérations de sauvetage. Cette zone maritime, connue pour ses forts courants et ses conditions de navigation périlleuses, a déjà été le théâtre de nombreux drames similaires dans le passé.

Les autorités locales, les pêcheurs de la région et les services de secours collaborent pour tenter de retrouver les deux pêcheurs manquants. La communauté de Ngayna Lebou suit de près les développements de cette tragédie, espérant un dénouement heureux malgré les difficultés des recherches.

La brèche de Saint-Louis reste un sujet de préoccupation majeur pour les pêcheurs locaux. Ces dernières années, elle a causé plusieurs naufrages mortels, suscitant des appels récurrents à renforcer la sécurité maritime dans cette zone particulièrement exposée aux intempéries et aux courants marins imprévisibles. Le chavirement de cette pirogue vient une nouvelle fois rappeler la nécessité de prendre des mesures urgentes pour sécuriser cette voie de navigation.

Tragédie à Mbour : Le chavirement de la pirogue suscite émoi et avertissement du Président Bassirou Diomaye Faye

Le chavirement tragique d’une pirogue à Mbour continue de plonger la petite côte dans la douleur et le désarroi. Ce mercredi, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, s’est déplacé sur les lieux pour compatir avec les familles des victimes et exprimer sa consternation face à la gravité de la situation. Selon ses propres termes, cet événement est une véritable tragédie, et il se dit profondément affecté par la récurrence des corps repêchés depuis le drame.

« Je suis peiné en me rendant compte que depuis le chavirement de la pirogue, des corps n’arrêtent pas de sortir des eaux. C’est un drame qui ne dit pas son nom. Je suis attristé, peiné de voir ces familles vivre ce drame », a-t-il déclaré, la voix empreinte d’émotion. Il a également dénoncé l’implication de certains individus dans ce qu’il qualifie de « business » de l’immigration clandestine. « Nous traquerons tous les responsables et ils vont répondre de leurs actes », a-t-il averti avec fermeté.

Ce drame, révélateur des conséquences tragiques de l’émigration clandestine, a poussé le président à adresser un message clair aux parents et aux jeunes. Il reconnaît les difficultés socio-économiques auxquelles certaines familles sont confrontées, mais invite à ne pas céder à la tentation de l’émigration par voie maritime.

« Il faut encourager les jeunes et les inviter à être plus patients. Cela ne sert à rien de leur mettre la pression. Il faut leur donner de bonnes pistes de réussite », a-t-il souligné. Le chef de l’État a tenu à rappeler que des initiatives gouvernementales sont en cours pour offrir aux jeunes des alternatives viables, notamment en mettant en place des mécanismes pour leur permettre de subvenir à leurs besoins.

Dans son discours adressé à la jeunesse, Bassirou Diomaye Faye a insisté sur l’importance de la patience, de la persévérance et du travail dans la quête de la réussite. Il a exhorté les jeunes à éviter la voie maritime, une option qu’il a qualifiée de périlleuse et pleine de risques.

En conclusion, face à cette tragédie, le président de la République appelle à la raison et à l’action collective pour prévenir de nouveaux drames et protéger la jeunesse du pays des dangers de l’immigration clandestine.

Chavirement d’une pirogue à Mbour : 38 morts et des questions en suspens

Le drame qui s’est produit au large des côtes de Mbour continue de susciter une vive émotion et une grande indignation. Les équipes de secours, constituées des sapeurs-pompiers de Mbour et de la marine nationale, ont retrouvé 38 corps sans vie depuis le début des recherches. Ce bilan tragique pourrait encore s’alourdir, car les opérations se poursuivent.

Ce matin, les recherches ont repris avec une intensité redoublée, et les autorités se sont engagées à faire un point de situation chaque soir. Malgré la mobilisation des unités de secours, l’onde de choc provoquée par cet événement soulève de nombreuses questions.

Le chavirement de la pirogue, qui transportait un nombre encore indéterminé de passagers, met en lumière une problématique récurrente : celle des traversées maritimes clandestines. Les motivations profondes derrière ces départs risqués, souvent mortels, restent un sujet délicat. Fuite de la misère, recherche de meilleures conditions de vie ou quête désespérée d’espoir, ces voyages se multiplient, sans que des solutions concrètes ne soient mises en place.

L’indignation générale est palpable, notamment au sein des familles des victimes, qui réclament des réponses et des actions. Les autorités sénégalaises, sous pression, devront non seulement gérer l’urgence humanitaire mais également répondre à une demande croissante de prise en charge effective de cette crise migratoire.

Chaque jour de recherche apporte son lot de douleur et de tristesse, et pour l’heure, l’espoir de retrouver des survivants s’amenuise. Ce drame marque une nouvelle fois les esprits et rappelle l’urgence d’une action concertée pour prévenir ces tragédies maritimes à répétition.

Drame au large de Mbour : Une pirogue de migrants chavire, les secours à la recherche de survivants

Un tragique incident s’est produit ce soir au large de Mbour, à environ 3 kilomètres des côtes, où une embarcation transportant plus de 200 candidats à l’émigration irrégulière a chaviré. Les secours, appuyés par des moyens aériens et maritimes, sont actuellement mobilisés pour tenter de retrouver d’éventuels survivants.

Le drame s’est produit alors qu’une pirogue de fortune, ayant quitté Téfess plus tôt dans l’après-midi, transportait ces migrants en quête d’une vie meilleure. Malheureusement, la traversée a tourné au cauchemar en pleine mer. À 21h30 GMT, un avion espagnol de type Casa CN 235 M, appartenant à la Guardia Civil, a été aperçu survolant la zone entre Nianing et Saly, probablement engagé dans les opérations de recherche.

Selon les premières informations, quatre corps ont déjà été repêchés : trois hommes et une femme. Quatre autres personnes, retrouvées vivantes, ont été immédiatement évacuées et hospitalisées à l’hôpital Grand Mbour. Leur état de santé est pour l’heure inconnu, mais les autorités se montrent prudentes quant aux chances de retrouver d’autres survivants.

La côte sénégalaise, et en particulier la région de Mbour, est depuis plusieurs années un point de départ majeur pour les migrants qui tentent de rejoindre l’Europe en empruntant des embarcations de fortune. Ces tragédies rappellent les dangers auxquels s’exposent ces hommes, femmes et enfants qui, désespérés par leur situation, risquent tout pour fuir la précarité.

Les équipes de secours, composées de marins-pompiers, pêcheurs locaux et d’autres volontaires, continuent les recherches malgré des conditions difficiles. Les autorités locales n’ont pas encore communiqué de bilan définitif ni les détails sur les circonstances exactes de cet accident. Une enquête sera sans doute ouverte pour déterminer les causes de ce chavirement.

Ce drame survient dans un contexte de recrudescence des tentatives d’émigration irrégulière depuis les côtes ouest-africaines, alors que la pression migratoire ne cesse de croître, notamment en raison des crises économiques et sociales qui affectent de nombreux pays de la région.

Nos pensées vont aux victimes et à leurs familles en ces moments difficiles, alors que les recherches se poursuivent.

Drame à Thioubalel Nabadji : cinq disparus après le chavirement d’une pirogue

Un drame s’est produit lundi à Thioubalel Nabadji, un village de la commune de Nabadji Civol, dans la région de Matam. Cinq personnes sont portées disparues après le chavirement d’une pirogue sur un bras du fleuve Sénégal, selon les informations rapportées par l’Agence de Presse Sénégalaise (APS), citant une source sécuritaire.

L’accident a eu lieu alors que la pirogue transportait plusieurs personnes sur le fleuve Sénégal. Parmi les passagers, deux ont réussi à rejoindre la rive après le chavirement, échappant ainsi à une issue fatale. Cependant, les autres passagers, tous originaires de la commune de Nabadji Civol, n’ont pas eu la même chance. Le choc de l’embarcation contre une poutre d’un pont en construction serait à l’origine de cet incident tragique.

Suite à l’accident, un détachement de la Brigade nationale des sapeurs-pompiers, assisté par des pêcheurs locaux, s’est immédiatement mobilisé pour lancer des opérations de recherche. Ces efforts visent à retrouver les cinq jeunes portés disparus, dans l’espoir de les secourir ou de récupérer leurs corps. Les autorités locales et les proches des victimes suivent de près les opérations, tandis que la communauté reste sous le choc de cette tragédie.

Selon les témoignages des survivants, la pirogue aurait heurté une poutre du pont en construction, un ouvrage crucial pour relier Nabadji Civol, le chef-lieu de la commune, à la localité de Thioubalel Nabadji. Ce projet d’infrastructure, bien que vital pour la région, est désormais au cœur de questions concernant la sécurité des voies navigables locales et la prévention des accidents de ce type.

Cet accident met en lumière les risques associés à la navigation sur les fleuves, notamment lorsque des travaux d’infrastructure sont en cours. Les autorités locales pourraient être amenées à prendre des mesures pour assurer une meilleure sécurité autour des zones de construction, afin d’éviter de tels drames à l’avenir.

En attendant, les habitants de Nabadji Civol et des environs prient pour le retour des disparus et espèrent que les opérations de recherche aboutiront rapidement. Le chavirement de cette pirogue est un rappel tragique de la fragilité de la vie et de l’importance de la vigilance sur les cours d’eau, particulièrement dans des contextes où les infrastructures locales sont en développement.

Tragédie en mer près de Ndiago : Chavirement d’une pirogue de migrants fait une trentaine de victimes

Dans la nuit du lundi 1er juillet 2024, une terrible tragédie s’est déroulée au large de Ndiago, une commune située dans le département de Keur Macéne, région de Trarza en Mauritanie. Une pirogue en provenance de Mbour, transportant environ une centaine de migrants en quête d’une vie meilleure, a chaviré.

Selon des informations exclusives obtenues par Dakaractu, parmi les passagers se trouvaient des ressortissants guinéens et gambiens. Malheureusement, l’accident a entraîné la perte d’au moins une trentaine de vies humaines, selon des premières estimations. Une source hospitalière a confirmé à ce stade que 14 décès sont officiellement confirmés, incluant tragiquement 9 femmes parmi les victimes.

Les opérations de sauvetage et de secours sont en cours, mobilisant les autorités locales et les équipes de secours mauritaniennes. Cette tragédie met en lumière une fois de plus les risques extrêmes que prennent les migrants lors de leurs voyages périlleux à travers l’océan, souvent dans des embarcations surchargées et non sécurisées.

Les détails exacts sur les circonstances du chavirement et les conditions à bord de la pirogue restent à clarifier, mais il est évident que cette catastrophe aura des répercussions dévastatrices pour de nombreuses familles et communautés concernées. Les autorités locales et internationales sont appelées à intensifier leurs efforts pour prévenir de telles tragédies à l’avenir et à fournir un soutien adéquat aux survivants et aux familles endeuillées.

Nous continuerons de suivre de près cette situation et de fournir des mises à jour au fur et à mesure que de nouvelles informations seront disponibles.

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