Incident à Ourossogui : Tensions lors du passage de la caravane de Sonko, la coalition « Sénégaal Kessé » dénonce un favoritisme de la Gendarmerie

Lors du passage de la caravane électorale de la coalition « Sénégaal Kessé » à Ourossogui, la tension est montée d’un cran lorsque la tête de liste, Thierno Alassane Sall (TAS), a été contrainte de céder le passage au convoi du candidat Ousmane Sonko. Cet incident, survenu au milieu des artères animées de la ville, a été perçu comme une démonstration d’autorité et de favoritisme envers le leader du parti Pastef.

D’après Thierno Alassane Sall, l’événement a débuté lorsque la Gendarmerie a ordonné un arrêt forcé de la caravane « Sénégaal Kessé » afin de permettre le passage du cortège de Sonko. Le ton est monté lorsqu’un gendarme a adressé des ordres jugés agressifs au chauffeur de la voiture de tête de la coalition, suscitant un refus d’obtempérer de la part de l’équipe de TAS. « Naturellement, refus d’obtempérer devant un ordre illégal et révoltant », a affirmé le chef de file, qui n’a pas caché son indignation devant ce qu’il considère être un abus de pouvoir.

Le convoi de Sonko, qualifié par TAS de « cour royale », a été escorté par des véhicules imposants, y compris une Hummer blanche et des ambulances, dont l’une portait le sceau du ministère de la Santé, ainsi que des 4×4 de luxe et des bus de location. La présence de forces spéciales telles que la Brigade d’Intervention Polyvalente (BIP) et le Groupement d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN), ainsi que des véhicules sans plaque minéralogique, a renforcé le sentiment d’indignation chez les membres de la coalition « Sénégaal Kessé ».

Pour TAS, cet incident illustre une contradiction flagrante dans la posture de Sonko, qui, par le passé, avait dénoncé ce qu’il appelait la « gendarmerie de Macky Sall ». « Aujourd’hui, rien n’a changé, si ce n’est le parrain du système », a déclaré l’ancien ministre, visiblement en colère. Il a souligné que, contrairement aux candidats qui financent leur propre sécurité, Sonko semble bénéficier de l’appui logistique de l’État, ce qui pour lui constitue un détournement des ressources publiques et une atteinte à l’équité de la campagne électorale.

« Pendant que 41 listes, dont la nôtre, financent leur propre sécurité, la Gendarmerie devrait protéger chaque Sénégalais sans passe-droit. L’institution existe pour veiller à la sécurité des citoyens, non pour dérouler le tapis rouge à un candidat abusant des moyens de l’État », a martelé TAS.

Cet épisode alimente les critiques de partialité et de politisation des forces de sécurité, dans un contexte où la tension électorale ne cesse de croître à l’approche des prochaines échéances. L’incident de Ourossogui pourrait ainsi marquer un tournant dans la campagne, remettant en question la neutralité des institutions de l’État et suscitant un débat plus large sur l’équité des processus démocratiques au Sénégal.

Le PRP quitte la coalition Sàm Sa Kàddu pour rejoindre Pastef : Une nouvelle donne dans la politique sénégalaise

Ce matin, lors d’une conférence de presse tenue à Dakar, le président du Parti Républicain pour le Progrès (PRP), Déthié Fall, a annoncé une décision majeure qui pourrait bouleverser le paysage politique sénégalais à l’approche des élections législatives. Le PRP a officiellement quitté la coalition Sàm Sa Kàddu et s’est aligné avec le parti Pastef pour les prochaines échéances électorales.

« Après avoir échangé avec tous les responsables et au regard de la situation politique nationale et des urgences, nous avons décidé de quitter la coalition Sàm Sa Kàddu et de rejoindre le Pastef pour les élections législatives prochaines », a déclaré Déthié Fall. Il a justifié cette décision par une nécessité stratégique et une volonté de mieux répondre aux attentes des Sénégalais dans un contexte de crise politique et sociale.

Cette alliance avec Pastef, le parti d’opposition dirigé par Ousmane Sonko, marque un tournant pour le PRP, qui était jusqu’ici membre d’une coalition aux orientations politiques plus modérées. Le changement de cap est perçu par plusieurs observateurs comme une volonté de Déthié Fall de renforcer son influence en s’alliant à une force politique montante, dont la popularité ne cesse de croître, particulièrement chez les jeunes et dans la diaspora.

Déthié Fall a également lancé un appel solennel à ses militants et sympathisants : « J’invite tous les membres du PRP à envahir les cellules de Pastef dans toutes les localités du Sénégal et de la diaspora ». Ce geste montre la volonté du PRP d’intégrer pleinement le dispositif du Pastef, en consolidant leur base commune pour les législatives.

Cette annonce soulève plusieurs interrogations quant à l’avenir de la coalition Sàm Sa Kàddu et à son poids électoral sans l’appui du PRP. De plus, cette nouvelle alliance PRP-Pastef pourrait redéfinir les rapports de force au sein de l’opposition, voire dans tout le paysage politique sénégalais, déjà marqué par une polarisation accrue à l’approche des élections.

Il reste à voir comment cette décision influencera le soutien populaire pour le PRP et le Pastef, et si d’autres partis au sein de Sàm Sa Kàddu suivront cette trajectoire ou renforceront leur cohésion en réponse à cette défection. Le départ du PRP pourrait également fragiliser la coalition en place, tout en renforçant la dynamique de Pastef en tant que pôle majeur d’opposition face à la majorité au pouvoir.

Les semaines à venir seront cruciales pour évaluer l’impact de ce changement stratégique sur l’échiquier politique national.

Kaolack/Politique : Oubliés des listes de la coalition « Takku Wallu Sénégal », le secrétaire général de la fédération urbaine du PDS, Badou Ndour, et ses compagnons contestent les investitures

Les choix de la liste « Takku Wallu Sénégal », dirigée par l’ancien Président Macky Sall, sont vivement contestés par certains responsables de la Fédération urbaine du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) à Kaolack. Oubliés des listes, Badou Ndour et d’autres responsables locaux du PDS ont exprimé leur désapprobation face à ces décisions.

Badou Ndour et ses compagnons déplorent « la manière dont les investitures ont été organisées. » Selon eux, ceux qui se sont battus dès les premières heures pour renforcer le PDS depuis 2012 ont été écartés au profit de responsables de l’APR (Alliance pour la République). « Cette façon de faire nous a profondément touchés. Si ces méthodes persistent, nous suspendrons simplement nos activités en vue des élections législatives de 2024 », a averti le secrétaire général de la Fédération urbaine du PDS de Kaolack lors d’une conférence de presse tenue ce mardi.

Ils rejettent fermement la liste de la coalition « Takku Wallu Sénégal » et déplorent ces choix. « Nous voulons dire aux responsables de la coalition que s’ils ne corrigent pas cette injustice, Takku Wallu Sénégal sera le grand perdant à Kaolack. Nous rejetons catégoriquement cette liste et affirmons avec conviction que nous ne soutiendrons en aucun cas ces investis », a insisté M. Ndour. Pour lui, la priorité reste le bien-être des populations et non des intérêts personnels.

Le Dakarois Quotidien & Le Dakarois Sports N°285 – du 01/10/2024

🔴 MACKY SALL TÊTE DE LISTE NATIONALE DE LA COALITION « TAKKU WALLU SENEGAL » : LA SURPRISE DU CHEF !
🔴 CRISE DES PÊCHES : 1200 EMPLOIS MENACÉS

🔴 FIN DE MANDAT DU PRÉSIDENT DU CNG DE LUTTE : BIRA SÈNE BOUCLE LA BOUCLE
🔴 MERCATO / LOTO-POPO FC : LE CLUB BÉNINOIS SE RAVITAILLE DANS LE MARCHÉ SÉNÉGALAIS

Nouvelle coalition politique au Sénégal : « Samm Sa Kaddu / Sauver le Sénégal » voit le jour

Dans un contexte politique marqué par une volonté de renouveau et de rééquilibrage des pouvoirs, une nouvelle alliance se forme au Sénégal. Il s’agit de la coalition « Samm Sa Kaddu / Sauver le Sénégal », une force politique inédite qui regroupe des personnalités de divers horizons, unies par une même ambition : offrir aux Sénégalais une gouvernance plus équilibrée et des représentants parlementaires crédibles.

La coalition Yewwi Askan Wi, déjà bien ancrée dans l’opposition, subit ici une transformation notable tout en gardant ses piliers majeurs tels que le Parti de l’unité et du rassemblement (PUR)Taxawu Sénégal de Khalifa Sall et Barthélémy Dias, et le Parti républicain pour le progrès (PRP) dirigé par Déthié Fall. Mais ce qui fait la force de cette nouvelle alliance, ce sont les nouveaux entrants : des figures émergentes de la scène politique sénégalaise telles que Papa Djibril Fall, président du mouvement Les ServiteursBougane Gueye Dany de Guem Sa Bop / Les DiambarsAnta Babacar Ngom, présidente de l’Alliance pour la République et la Citoyenneté (ARC), et Thierno Bocoum, leader du mouvement AGIR.

Cette coalition a pour ambition de créer une majorité parlementaire capable d’instaurer une cohabitation au sein de l’exécutif, condition essentielle, selon ses membres, pour garantir un véritable équilibre des pouvoirs et assurer une meilleure gouvernance au Sénégal. Leur vision repose sur un engagement à offrir aux citoyens des représentants dévoués à la défense des intérêts du peuple et non à des intérêts partisans ou personnels.

La coalition Samm Sa Kaddu / Sauver le Sénégal aspire ainsi à réformer l’Assemblée nationale et à promouvoir une législation plus en phase avec les aspirations des populations. Elle entend se positionner comme un contrepoids face au parti présidentiel, en vue de rétablir une démocratie parlementaire forte.

Le pari est ambitieux mais reflète une demande croissante des Sénégalais pour une plus grande transparence, une gestion plus participative des affaires publiques et une redistribution plus équitable des ressources nationales.

Le Mouvement « Nekal Fi Askan Wi » Rejoint la Coalition d’Amadou Ba pour les Législatives du 17 Novembre

Le mouvement « Nekal Fi Askan Wi », dirigé par Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly, a officiellement décidé de rejoindre la coalition menée par Amadou Ba à l’occasion des élections législatives prévues pour le 17 novembre prochain. Cette annonce marque une étape importante dans la campagne électorale, renforçant la dynamique autour de la figure d’Amadou Ba, ancien ministre et candidat en lice pour la direction de cette coalition.

Lors d’une déclaration à Seneweb, Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly a expliqué que cette décision est le résultat d’une rencontre récente avec Amadou Ba. « Amadou Ba nous a rendu visite pour solliciter notre soutien. Ainsi, le mouvement Nekal Fi Askan Wi a décidé de rejoindre sa coalition lors des élections législatives du 17 novembre prochain », a-t-il précisé.

Ce ralliement témoigne de l’importance des alliances dans la stratégie politique en vue des élections. Avec l’adhésion de ce mouvement influent, Amadou Ba gagne en poids politique et renforce sa position face aux autres candidats en course. Le soutien de Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly et de ses partisans pourrait jouer un rôle déterminant dans la conquête de l’électorat.

Les jours à venir s’annoncent cruciaux, alors que les alliances continuent de se former et que les forces politiques se préparent à la bataille électorale qui s’annonce intense. Amadou Ba, figure politique majeure, semble désormais en meilleure position pour rallier un large soutien populaire, avec l’addition du mouvement « Nekal Fi Askan Wi » à sa coalition.

L’enjeu de ces élections législatives est de taille, et la composition des forces en présence sera déterminante pour l’issue du scrutin.

Le PDS et l’APR forment une coalition politique majeure en vue des législatives anticipées de novembre 2024

Après plusieurs jours de spéculations, c’est désormais officiel : le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et l’Alliance Pour la République (APR) ont décidé de s’unir pour les élections législatives anticipées du 17 novembre 2024. Cette annonce a été faite à la suite d’une réunion de haut niveau tenue ce dimanche à la Permanence Nationale Oumar Lamine Badji.

Les deux formations politiques ont exprimé leur volonté de créer une grande coalition, ouverte non seulement à leurs alliés habituels, mais également à toutes les autres forces politiques intéressées par ce projet. L’objectif affiché est clair : remporter une victoire décisive lors du prochain scrutin législatif.

Cette alliance a pour but de répondre aux défis sociaux et économiques auxquels fait face le Sénégal. En ce sens, les deux partis ont souligné l’importance de rassembler les forces politiques et citoyennes autour de leur projet, notamment pour mieux répondre aux attentes des Sénégalais.

Autre point marquant de cette rencontre : le PDS a officialisé son adhésion à l’Alliance pour la Transparence Électorale (ATEL), une initiative portée par l’APR. Ce geste symbolique souligne l’engagement des deux partis en faveur d’une gestion transparente et équitable du processus électoral, un point sur lequel le PDS a toujours été très vocal.

Pour mettre en œuvre cette coalition politique, un comité technique paritaire a été mis en place. Il sera chargé d’élaborer les modalités pratiques de l’élargissement de l’alliance et de coordonner les actions en vue des élections.

Avec cette nouvelle dynamique, le paysage politique sénégalais se prépare à une campagne électorale intense, où cette coalition pourrait bien peser lourd dans la balance des prochaines législatives.

Amadou Bâ lance « Nouvelle responsabilité » : Une initiative pour une opposition démocratique et républicaine

Amadou Bâ, ancien Premier ministre et candidat malheureux à la dernière élection présidentielle, a récemment lancé une initiative intitulée « Nouvelle responsabilité ». Son objectif est clair : incarner une opposition démocratique et républicaine face au régime en place, dirigé par Macky Sall. Cette démarche fait suite au sentiment d’injustice ressenti par ses partisans, qui estiment que sa candidature a été sabordée par des manœuvres politiques orchestrées en coulisses.

Selon les informations rapportées par L’Observateur, plusieurs personnalités de premier plan ont déjà rallié cette initiative, venant aussi bien de l’Alliance pour la République (APR) que de la société civile, du milieu universitaire, des avocats et des hauts cadres. Ce soutien diversifié témoigne de l’ambition d’Amadou Bâ de construire une opposition large et inclusive.

L’ancien Premier ministre n’a pas ménagé ses efforts pour élargir sa base de soutien. Il a personnellement rencontré les leaders de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), dont Aminata Mbengue Ndiaye, secrétaire générale du Parti socialiste (PS), ainsi que d’autres figures importantes comme Moustapha Niasse de l’Alliance des forces de progrès (AFP) et des représentants de partis de gauche. De plus, il a échangé avec plusieurs candidats malheureux de la dernière élection présidentielle, dans une tentative de rassemblement et d’unité autour de sa cause.

Selon un proche d’Amadou Bâ interrogé par L’Observateur, celui-ci a adopté une approche inclusive, cherchant à ne laisser personne sur le bord du chemin. Sa volonté est claire : fédérer un maximum de personnes, qu’elles viennent de l’APR ou d’autres partis d’opposition, dans une dynamique commune de contestation constructive.

Amadou Bâ prévoit de s’adresser prochainement à la presse pour détailler davantage les contours et les objectifs de son initiative « Nouvelle responsabilité ». Cette annonce est très attendue, alors que le paysage politique sénégalais se prépare à de potentielles transformations avec l’émergence d’une nouvelle force d’opposition.

En résumé, « Nouvelle responsabilité » se positionne comme une réponse vigoureuse aux défis politiques actuels, visant à offrir une alternative crédible et unie à l’actuel gouvernement, tout en rassemblant une coalition diverse et inclusive autour des valeurs démocratiques et républicaines.

Nouvelle Coalition Séparatiste au Mali : Vers une Redéfinition des Dynamiques Politiques dans le Nord

Une annonce retentissante a secoué les territoires du Nord du Mali cette semaine alors que les principaux groupes séparatistes ont dévoilé la formation d’une coalition inédite. La création du Cadre stratégique permanent pour la défense du peuple de l’Azawad (CSP-DPA) marque un tournant significatif dans le paysage politique de la région, avec des implications potentiellement profondes pour l’avenir du conflit et les aspirations autonomistes.

La révélation de cette coalition intervient à la suite d’une réunion qui s’est tenue fin avril entre les représentants des différents mouvements séparatistes. Le CSP, déjà existant en tant qu’alliance de groupes armés à dominante touareg, a décidé de se transformer en une nouvelle structure unifiée, avec pour objectif principal la création d’une entité politique unie pour défendre les revendications du peuple de l’Azawad, une région revendiquée par les indépendantistes dans le Nord du Mali.

À la tête de cette nouvelle alliance se trouve Bilal Ag Acherif, une figure respectée et emblématique du mouvement indépendantiste. Son leadership souligne l’engagement des séparatistes à consolider leurs forces et à intensifier leurs efforts pour obtenir un statut politique et juridique pour l’Azawad.

Le contexte de cette initiative est crucial, alors que les groupes séparatistes ont récemment subi des revers territoriaux suite à une offensive de l’armée malienne, notamment la perte de Kidal, bastion historique des revendications autonomistes. Cette transformation de la coalition séparatiste pourrait être interprétée comme une réponse stratégique à ces défis, visant à renforcer l’unité et la résilience des mouvements indépendantistes face aux pressions gouvernementales.

Cependant, cette évolution suscite également des interrogations quant à son impact sur le processus de paix et la stabilité régionale. Alors que le Mali demeure en proie à une crise complexe, marquée par des insurrections indépendantistes et jihadistes depuis 2012, cette nouvelle coalition pourrait redéfinir les dynamiques politiques et militaires dans le Nord, avec des répercussions potentielles sur les efforts de médiation et de résolution des conflits.

En outre, la décision récente du Mali de rompre son partenariat militaire avec la France au profit d’une coopération accrue avec la Russie ajoute une dimension géopolitique à ce paysage déjà complexe, soulignant l’importance cruciale de trouver des solutions durables et inclusives pour répondre aux aspirations des différentes parties prenantes dans le conflit.

Alors que la nouvelle coalition séparatiste se profile comme un acteur majeur dans le paysage politique du Nord du Mali, son impact sur l’avenir de la région reste à déterminer, avec des enjeux cruciaux pour la stabilité, la sécurité et la paix dans un contexte de défis multiples et de tensions croissantes.

Ziguinchor : La Coalition Diomaye Président attribue la victoire au peuple

Le comité électoral communal de la coalition Diomaye Président de Ziguinchor s’est réuni ce week-end pour exprimer sa gratitude envers le peuple sénégalais et spécialement envers les habitants de Ziguinchor qui ont choisi leur candidat, Bassirou Diomaye Faye, lors de l’élection présidentielle du 24 mars 2024.

Selon les membres du comité, la victoire du Président Bassirou Diomaye Faye a été éclatante dans la commune de Ziguinchor, avec un soutien estimé à 77% des suffrages. Ce résultat aurait permis à Bassirou Diomaye Faye d’être élu dès le premier tour, avec plus de 54% des voix.

« Cet excellent résultat obtenu dans la commune de Ziguinchor est le fruit d’un travail acharné et sans relâche sur le terrain », a déclaré Seydou Mandiang, porte-parole du comité communal.

Le comité a également tenu à rendre hommage à Ousmane Sonko, considéré comme leur mentor, pour son rôle dans cette victoire. Selon Seydou Mandiang, c’est grâce à l’engagement et au soutien de Sonko que cette réussite a été possible.

Cette réunion témoigne de la reconnaissance de la coalition envers le peuple de Ziguinchor et de son engagement envers la démocratie et le processus électoral. Elle souligne également l’importance du travail de terrain et de la mobilisation des électeurs dans le cadre d’une campagne électorale.

Un tournant historique à Kaffrine : La promesse de changement portée par la coalition Diomaye

Dans les rues animées de Kaffrine, une onde de changement se fait sentir. Pour la première fois dans l’histoire du département, un parti d’opposition a remporté les élections présidentielles, propulsant la coalition Diomaye au pouvoir. Un moment historique célébré à travers une tournée de remerciements, où la joie et l’espoir se mêlent dans le cœur des habitants.

À la tête de cette victoire sans précédent se tiennent Sinna Gaye, coordonnatrice départementale, et Baye Cheikh Gaye, leader patriote, considérés comme les figures de proue de cette révolution électorale. Leur succès électoral témoigne du soutien massif qu’ils ont reçu des citoyens, témoignant ainsi de leur désir ardent de changement et de progrès pour Kaffrine.

Dans ses paroles empreintes de gratitude, Sinna Gaye exprime sa reconnaissance envers la population de Kaffrine, soulignant l’engagement indéfectible de chacun dans leur lutte. Elle évoque également l’importance du travail à venir, invoquant la bénédiction divine pour guider leurs actions et élever le Sénégal vers de nouveaux sommets de réussite.

Baye Cheikh Gaye, quant à lui, annonce avec confiance que le temps du changement est venu. Sa voix résonne comme un appel à l’apaisement des cœurs, promettant un avenir où l’espoir et la prospérité seront accessibles à tous les habitants de Kaffrine.

La victoire électorale de Bassirou Diomaye Faye, portant les aspirations de la coalition Diomaye, a été une véritable démonstration de force. Avec 85 236 voix remportées dans la région de Kaffrine, contre 74 133 pour son adversaire, cette réussite électorale s’est étendue sur trois départements de la région, marquant ainsi un tournant historique dans le paysage politique local.

La région de Ndoucoumane et de Bambouck a été le théâtre d’un accomplissement sans précédent pour un parti d’opposition, consacrant ainsi la victoire éclatante de la coalition Diomaye dans ces bastions politiques traditionnellement ancrés.

Dans les rues de Kaffrine résonnent désormais les chants de la victoire et les promesses de changement. La coalition Diomaye a inscrit son nom dans les annales de l’histoire politique de la région, offrant un avenir empreint d’espoir et de progrès pour tous ceux qui appellent Kaffrine leur foyer.

Éditorial : Les défis du Président Faye et de sa coalition « paella »

L’enthousiasme suite à la victoire écrasante du nouveau Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, est tempéré par les défis de la gestion d’une coalition aux sensibilités diverses, comparée ici à une paella. Cette métaphore culinaire met en lumière la variété des composantes de cette coalition, allant des islamistes aux anciens membres du régime précédent.

La victoire écrasante du Président Faye est principalement attribuée aux Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (PASTEF), bien que certains ralliements aient contribué à renforcer la crédibilité de son projet politique. Cependant, la coalition formée autour de lui est un mélange éclectique où les divergences idéologiques et les intérêts individuels sont évidents.

La question clé qui se pose maintenant est de savoir comment le Président Faye parviendra à maintenir la cohésion au sein de cette coalition hétérogène. Son engagement à ne pas se laisser influencer par les considérations de partage de pouvoir et à s’appuyer largement sur le projet de PASTEF est un signal fort. Cependant, le choix des membres de son gouvernement sera crucial pour déterminer ses orientations politiques réelles.

Malgré les défis, les premiers pas du Président Faye et son discours inaugural sont perçus comme encourageants. Sa volonté de renforcer l’intégration régionale tout en restant conscient de la nécessité de réformer et de moderniser certaines politiques nationales démontre une vision progressiste et avant-gardiste pour le Sénégal.

En résumé, la tâche qui attend le Président Faye et sa coalition « paella » est complexe, mais l’espoir réside dans leur capacité à naviguer habilement à travers les diverses sensibilités et à travailler ensemble pour le bien-être et le progrès du Sénégal.

Ambiance Électrique à Cap Skiring et Ziguinchor pour la Coalition BBY

Doudou Ka, éminente figure politique, a orchestré une mobilisation sans précédent dans les villes de Cap Skiring et Ziguinchor en faveur de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY). Cette démonstration de force a suscité un enthousiasme palpable parmi les habitants, qui se sont massivement rassemblés pour accueillir le Premier Ministre.

Les rues bondées ont témoigné de l’engagement indéfectible des citoyens envers la candidature d’Amadou Ba, ancien ministre de l’Économie. La mobilisation sans faille dans ces deux villes souligne la popularité croissante du candidat au sein de la population locale.

Dans un discours enflammé, Doudou Ka a exprimé sa gratitude envers les habitants de Ziguinchor pour leur mobilisation sans faille. Il a souligné l’importance de bâtir ensemble avec Amadou Ba, le seul candidat à présenter un projet concret pour la ville. Le Programme Spécial de Développement de Ziguinchor (PSDZ), doté d’un budget colossal de 1000 milliards FCFA, représente une opportunité majeure pour le développement socio-économique de la région.

Cette mobilisation impressionnante témoigne de l’adhésion massive à la vision et aux projets d’Amadou Ba. Les citoyens ont exprimé leur confiance en ce projet ambitieux et ont manifesté leur soutien sans réserve. La présence de Doudou Ka aux côtés du candidat renforce l’unité et la détermination de la population à œuvrer pour un avenir meilleur pour Ziguinchor et ses habitants.

En conclusion, l’engagement sans faille de Doudou Ka et la mobilisation exceptionnelle à Cap Skiring et Ziguinchor soulignent l’importance cruciale de l’unité dans la poursuite des aspirations de développement de la région. Cette démonstration de force renforce l’espoir d’un avenir prospère et prometteur pour la région et témoigne de la détermination collective à faire avancer la cause de Ziguinchor.

Mamadou Lamine Dianté, Pilier de la Coalition Diomayeprésident à Kolda : Mobilisation et Engagement sans Faille


Dans la région de Kolda, le leader du MCE Ande/Nawlé, Mamadou Lamine Dianté, incarne le soutien inébranlable de la coalition Diomayeprésident, principale force de l’opposition sénégalaise. Sa détermination et son engagement sur tous les fronts ont galvanisé les militants et électeurs en vue des élections présidentielles du 24 mars.

De la commune de Kolda jusqu’au niveau départemental, Mamadou Lamine Dianté déploie ses efforts pour mobiliser et rassembler les partisans de la coalition Diomayeprésident. Son expérience en tant qu’ancien secrétaire général du SAEMS lui permet de réconcilier des familles politiques divergentes en faveur d’un objectif commun.

Lors de l’accueil de la caravane de la coalition Diomayeprésident, conduite par le duo Sonko-Diomaye, à Kolda, Mamadou Lamine Dianté a démontré un engagement sans faille. Aux côtés de Seydina Oumar Touré, ancien capitaine de gendarmerie, il a mobilisé les foules malgré les conditions difficiles, sous un soleil de plomb.

La présence active de Mamadou Lamine Dianté dans la campagne électorale témoigne d’une nouvelle force politique émergente à Kolda. Sa capacité à unir les différentes forces en faveur de la coalition Diomayeprésident laisse entrevoir des perspectives de succès pour cette formation politique dans la région.

Les discours des leaders de la coalition, notamment celui de Bassirou Diomaye Faye, mettent en avant les promesses de développement économique pour la région de Kolda. Ils s’engagent à exploiter les potentialités inexploitées de la région afin de créer des opportunités d’emploi pour les jeunes et les femmes.


À travers son engagement indéfectible et sa mobilisation sans relâche, Mamadou Lamine Dianté incarne le dynamisme de la coalition Diomayeprésident à Kolda. Son travail acharné et sa détermination renforcent les chances de victoire de cette formation politique dans la région, tout en offrant l’espoir d’un véritable développement pour ses habitants.

Aliou KEBE rejoint la coalition Déthié FALL 2024 pour une vision commune

Dans un geste significatif vers une convergence d’objectifs pour l’avenir du Sénégal, Aliou KEBE, ancien député-maire de Keur Madiabel et Président du mouvement ANDe Dekkal Yaakaar, a rejoint la Coalition DéthiéFALL2024. Cette annonce marque un pas important dans la consolidation des forces pour un Sénégal meilleur. Déthié FALL, candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024, accueille chaleureusement Aliou KEBE au sein de la coalition.

Un Nouveau Membre Clé :

La décision d’Aliou KEBE de rejoindre la Coalition DéthiéFALL2024 est saluée comme un ajout stratégique et significatif. Ancien député-maire et leader du mouvement ANDe Dekkal Yaakaar, Aliou KEBE apporte une riche expérience politique et une vision constructive pour le développement du pays.

Message d’Unité et de Collaboration :

Dans un message adressé à ses compatriotes, Déthié FALL, candidat à la présidentielle, a exprimé sa gratitude en accueillant Aliou KEBE au sein de la coalition. Il a souligné l’importance de l’unité et de la collaboration dans la poursuite d’un Sénégal « bon à vivre et beau à voir ». Cette alliance vise à unir les forces pour aborder les défis nationaux et à travailler ensemble pour un avenir prospère.

La Vision Commune :

La Coalition DéthiéFALL2024 se positionne comme une force unie, rassemblant des individus partageant la même vision pour le Sénégal. La vision commune est centrée sur la création d’un pays où la qualité de vie s’améliore et où la beauté du pays se reflète dans son développement durable.

Objectifs de la Coalition :

La coalition aspire à travailler sur divers aspects, y compris le développement économique, l’éducation, la santé, et la promotion des valeurs démocratiques. Elle se fixe pour mission de répondre aux aspirations des citoyens sénégalais en plaçant leurs préoccupations au cœur de son programme.

Un Appel à l’Engagement Citoyen :

Déthié FALL a également lancé un appel à l’engagement citoyen, invitant les Sénégalais à se joindre à la Coalition DéthiéFALL2024 et à contribuer activement à la construction d’un avenir meilleur pour le pays.

L’adhésion d’Aliou KEBE à la Coalition DéthiéFALL2024 représente un pas significatif vers une politique de collaboration et d’unité en vue des élections présidentielles. Avec des leaders engagés et une vision commune, la coalition aspire à jouer un rôle majeur dans le façonnement de l’avenir du Sénégal, offrant une perspective de progrès et de prospérité.

Ousmane Sonko officiellement investi candidat par la coalition « Sonko Président »

Le maire de la ville de Ziguinchor, Ousmane Sonko, a été officiellement investi en tant que candidat par la coalition « Sonko Président » en vue de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024. La déclaration complète de la coalition lors de cette investiture est reproduite ci-dessous :

Déclaration de la coalition « Sonko Président »

« Mesdames, Messieurs, les membres de la coalition SONKO PRESIDENT 2024,

* *Chers invités,

Chers concitoyens,

Chers patriotes,

Nous membres de la Coalition Sonko Président 2024, avons l’insigne honneur de porter aujourd’hui l’investiture du Président Ousmane SONKO.

Si nous mesurons pleinement la portée de l’acte, il faut reconnaitre que la charge symbolique est encore plus forte, mais surtout historique.

Il nous faut, ainsi, assumer la tâche d’investir un grand leader panafricain, digne fils du Sénégal, grand patriote convaincu, symbole du réveil et de l’envol du phénix africain, j’ai nommé le Président Ousmane SONKO.

Nous voudrions le faire avec force, fidélité, honnêteté, sincérité mais surtout par devoir de loyauté dans le combat patriotique pour un Sénégal debout, meilleur, et prospère.

Nous le faisons aussi en la mémoire de tous les soldats du patriotisme, de la démocratie et des libertés. À tous ceux qui sont tombés sur le champ d’honneur, nous en appelons à tous pour que leurs sacrifices ne soient jamais oubliés.

À leurs familles, leurs parents, nous transmettons nos pensées, nos prières et notre fidélité.

La seule véritable reconnaissance que nous pouvons leur rendre, c’est de libérer le Sénégal du joug des autocrates, des autoritaires, pour la construction d’un État de droit respectueux des libertés et garantissant une bonne gouvernance démocratique.

Considérant que l’investiture officielle d’un candidat par une coalition de partis politiques constitue une démarche démocratique, et cela à la simple lecture des dispositions de la Constitution et du Code électoral ;

Considérant qu’en vertu des articles 4 et 29 de la Constitution et L.121 du Code électoral, l’investiture officielle d’un candidat à l’élection présidentielle par une coalition de partis politiques, est une des options préalables et nécessaires, pour occuper la présidence de la République ;

Considérant que le choix de la procédure d’investiture du Président Ousmane SONKO tient aux principes de légitimité et de légalité, et ce dans un contexte de discrédit et de déliquescence de l’État de droit et des institutions, voire plus largement de l’action politique ;

Considérant que la cérémonie d’investiture du Président Ousmane SONKO présente une spécificité qui découle d’une aspiration profonde du peuple sénégalais mais aussi d’un véritable exercice de démocratie interne au sein des formations politiques.

Considérant que la cérémonie d’investiture du Président Ousmane SONKO est une marque attentive et solennelle à tous les courants démocratiques (représentative, participative, délibérative, directe, semi-directe, d’opinion …) ;

Considérant que cette cérémonie d’investiture du candidat de la coalition SONKO PRESIDENT, Ousmane SONKO, trouve son origine dans le processus d’investiture effectué par LES PATRIOTES le 13 juillet 2023 (délibération n°003/2023/HARP, séance du 13 juillet 2023) qui avait réuni au total 1606 suffrages valablement exprimés par l’ensemble des votants au niveau des différentes coordinations départementales et de la diaspora ;

Considérant que les résultats obtenus dépassent toutes les espérances avec tous les votes en fave

Colère des leaders de l’Iras : « Aminata Mbengue Ndiaye nous a livrés pieds et poings liés à une coalition qui se conjugue au passé

Des responsables de l’Initiative de Réflexion et d’Action Socialiste (IRAS) ont exprimé leur colère lors d’un point de presse à Thiès. Ils ont vivement critiqué le récent congrès d’investiture du Parti socialiste, le qualifiant de farce qui ne représente pas la volonté des militants à la base. Selon l’IRAS, certains militants dévoués ont été ignorés, et leur voix a été étouffée au profit d’une manœuvre politique calculée.

Les leaders de l’IRAS estiment avoir été exclus du processus de consultations et dénoncent une absence de démocratie interne au sein du Parti Socialiste. Ils ont exprimé leur désolation face à l’érosion des valeurs progressistes et égalitaires qui étaient chères au père fondateur du parti, Léopold Sédar Senghor.

Le porte-parole de l’IRAS, Daour Sagna, a souligné que la Secrétaire générale par intérim Aminata Mbengue Ndiaye et son groupe de responsables ont livré le parti à une coalition révolue. Cette dénonciation intervient lors de la commémoration du 23ème anniversaire de la disparition de Léopold Sédar Senghor, un moment de réflexion et de recueillement pour les membres de l’IRAS.

Présidentielle 2024 : Abdoul Mbaye officiellement candidat, la coalition ABDOUL 2024 en mouvement

La Coalition ABDOUL 2024 a franchi une étape cruciale en déposant le dossier de candidature d’Abdoul Mbaye pour l’élection présidentielle du 25 février 2024 auprès du Conseil constitutionnel. La cérémonie d’investiture du candidat a eu lieu le 9 décembre 2023, marquant le début d’une campagne prometteuse.

La Coalition ABDOUL 2024, constituée de divers partis et mouvements politiques, a choisi Abdoul Mbaye, président de l’Alliance pour la Citoyenneté et le Travail (ACT), comme candidat à la présidence. Ancien Premier ministre et économiste de renom, M. Mbaye a été sélectionné en raison de son profil exaltant et de ses compétences avérées. La cérémonie d’investiture a été l’occasion de souligner ses qualités et son engagement envers le développement du Sénégal.

Le dépôt officiel du dossier de candidature constitue une avancée majeure pour la Coalition ABDOUL 2024. Cette coalition exprime sa reconnaissance envers les électeurs sénégalais qui ont apporté leur parrainage à la candidature d’Abdoul Mbaye. La mobilisation de tous les citoyens est désormais appelée pour soutenir activement la campagne d’Abdoul Mbaye, et les détails des prochaines activités seront communiqués ultérieurement, selon le communiqué de la coalition.

La Coalition ABDOUL 2024 a lancé un appel fort à la mobilisation, soulignant l’importance de l’unité et du soutien populaire. Alors que la campagne présidentielle prend de l’ampleur, la coalition prévoit de partager davantage d’informations sur les initiatives et les activités prévues pour galvaniser le soutien en faveur d’Abdoul Mbaye.

Avec le dossier de candidature officiellement déposé, la campagne électorale entre dans une nouvelle phase. La Coalition ABDOUL 2024 se prépare à mener une campagne dynamique, mettant en avant la vision et les compétences d’Abdoul Mbaye pour le Sénégal. Les électeurs peuvent s’attendre à des événements passionnants et informatifs dans les semaines à venir, alors que la nation se dirige vers l’élection présidentielle de février 2024.

COALITION DIAO 2024: COMMUNIQUE DE PRESSE

Des informations parues dans une certaine presse ce jour font état d’une éventuelle implication du candidat de la coalition DIAO2024 dans une affaire présumée de détention du fichier électoral à des fins et manœuvres frauduleuses pour des opérations de collecte de parrainage. En effet, il résulte de la lecture des articles en question qu’un individu, mandataire d’un candidat à la candidature a prétendu avoir voulu soudoyer un agent ayant accès au fichier électoral moyennant une contrepartie financière.
Après versement supposé d’un acompte le mis en cause n’a pas respecté ses engagements d’où l’objet de la plainte. Aussi, il est fait état du même procédé avec le candidat de la coalition DIAO 2024. Il convient de marquer notre étonnement qu’un citoyen puisse, devant des agents assermentés de l’état, avouer des faits de corruptions et en ressortir libre.
Cette manœuvre fait suite à une première tentative de diabolisation et de manipulation à l’encontre de Monsieur El Hadji Mamadou DIAO.
En effet, un groupuscule de personnages aux intentions abjectes, foulant aux pieds toutes les valeurs nobles qui doivent guider les acteurs politiques dans la période actuelle, pour justifier leur ralliement aux odeurs fétides, n’ont pas hésité dans un passé récent à déclarer détenir par voie illégale et par devers eux les fiches de parrainages et la clé USB de Monsieur El Hadji Mamadou DIAO.
Ces aveux publics de détournement de la clé d’un candidat ainsi que de ses fiches de parrainage n’ont pas fait l’objet d’une quelconque action publique de l’organe en charge des élections ni des autorités judiciaires.
Cette dernière manœuvre concernant « la vente présumée de codes d’accès au fichier électoral » s’ajoute donc à la première sus évoquée et prouve à suffisance le complot orchestré contre la candidature de Monsieur El Hadji Mamadou DIAO, président de notre coalition.

Nous tenons à informer nos militants, adhérents et sympathisants ainsi que les citoyens sénégalais qu’il n’en est rien. La tournure de ces allégations finira par des aveux comme nous l’avons tous constatés avec ce bidon vol de fiches de parrainages et de clé USB dénué de sens. Nous avons foi en ces milliers de sénégalais qui nous ont parrainé spontanément et qui ont accepté que nous en fassions une publication dans nos médias sociaux.
En tout état de cause, tout ceci n’a qu’un seul but : vaille que vaille disqualifier le candidat et préparer l’opinion à cet effet. C’est peine perdue et aucune forfaiture ne passera.
Malgré le nombre impressionnant de candidats, le constat général qui en découle montre à suffisance que El Hadji Mamadou DIAO dérange de par son envergure politique. Les membres de la coalition sont déterminés et feront face à toutes tentatives de calomnies, d’injures, de chantages et d’intimidations.
Le mandataire national de la coalition DIAO 2024 tient à préciser qu’il se réserve le droit d’ester en justice contre de pareilles accusations et interpelle le procureur sur ces faits qui sont de nature à porter atteinte à l’intégrité de notre candidat. Notre candidat ne connait ni de près ni de loin les personnes incriminées dans cette affaire. Comment un corrupteur pour disposer de codes d’accès au fichier électoral, ainsi qu’un voleur
de fiches de parrainages et de clés USB peuvent-ils être en liberté dans un Etat de droit ?
Le seul combat à mener, réside dans notre ferme volonté à répondre aux aspirations des Sénégalaises et Sénégalais au soir de notre accession au pouvoir : le Sénégal qui vient, un Sénégal meilleur.
En vérité, paraphrasant Marc-Alain Descamps: « Le droit décide, la morale commande, l’éthique recommande »

Fait à Dakar le 12 décembre 2023
Le Mandataire National
Massène Gueye

Communique-Coalition-Diao-2024Télécharger

Cheikh Yerim Seck réagit aux accusations de Tariq Ramadan : « Vous sentez-vous morveux ?

Cheikh Yérim Seck a vivement réagi aux récentes déclarations de Tariq Ramadan concernant le présumé financement occulte d’Ousmane Sonko. Dans un texte intégral, il adresse une réponse cinglante à Tariq Ramadan, l’interrogeant sur son intervention dans cette affaire.

Se demandant si Tariq Ramadan se sent morveux, Cheikh Yérim Seck nie avoir mentionné le nom de ce dernier dans son propos sur l’argent qatari. Il invite Tariq Ramadan à retenir son souffle verbal, prévoyant de situer prochainement le rôle précis de chaque personne et de chaque financement dans ce qu’il qualifie de complot international visant à déstabiliser le Sénégal, complot qui, selon lui, a échoué lamentablement.

Le journaliste conclut en affirmant que l’affaire du financement qatari révélera ses secrets, malgré les réponses automatiques des partisans d’Ousmane Sonko. La tension autour de cette affaire semble s’intensifier, promettant des révélations futures.

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