Conakry : 5 membres d’une famille meurent dans un incendie à Hafia 2

Une tragédie déchirante a frappé la commune de Dixinn à Conakry, où un incendie d’origine électrique a emporté la vie de cinq membres d’une même famille, selon des sources locales.

Le terrible événement s’est déroulé dans la nuit du 30 au 31 mars 2024, vers 2 heures du matin, alors que les victimes étaient endormies chez elles.

Cet incident tragique a plongé la communauté dans la consternation et le deuil. Nos pensées vont aux familles endeuillées en ces moments difficiles.

Conakry : Deux morts et des blessés graves lors de manifestations

Des affrontements violents ont éclaté à Conakry, en Guinée, alors que les syndicats appelaient à une grève générale ce lundi. Les événements ont rapidement dégénéré, entraînant la mort de deux personnes et laissant plusieurs autres entre la vie et la mort.

Selon une source hospitalière citée par l’AFP, deux personnes ont été tuées par des tirs à balle réelle lors des manifestations. Parmi les victimes se trouve Mamadi Keïta, un élève de 18 ans touché au thorax à Sonfonia, un quartier de la haute banlieue de Conakry. Le deuxième décès a été signalé à Hamdallaye, où Abdoulaye Touré a succombé à ses blessures. Deux autres personnes gravement blessées se battent actuellement pour leur vie, portant ainsi le bilan humain à deux morts et plusieurs blessés graves.

Les troubles ont touché plusieurs quartiers, notamment Bambeto, Wanindara et d’autres points chauds de la route Le Prince. Ces affrontements ont entraîné une escalade de la violence, plongeant la capitale dans un climat de tension extrême. Malgré cela, le centre des affaires de Conakry, Kaloum, est resté relativement calme, une situation inhabituelle dans cette région habituée à l’agitation.

Les syndicats guinéens ont appelé à cette grève générale pour exiger la libération du leader du syndicat de la presse, condamné à trois mois de prison ferme. Outre cette demande, ils réclament également une baisse des prix des denrées de première nécessité. Malgré des tentatives de dialogue avec les autorités et les leaders religieux, aucune avancée significative n’a été réalisée.

La situation reste tendue à Conakry alors que les manifestations et les affrontements se poursuivent. Les autorités guinéennes sont confrontées à un défi de taille pour rétablir l’ordre et répondre aux revendications des manifestants, dans un contexte où le climat politique et social est déjà extrêmement instable.

Explosion de Conakry: la Côte d’Ivoire doit livrer 50 millions de litres d’essence à la Guinée

La Guinée connaît une importante pénurie de carburant à la suite de l’explosion, à Conakry, du principal dépôt de carburant du pays, dans la nuit du 17 au 18 décembre. La Côte d’Ivoire propose une solution en assurant une livraison mensuelle d’essence à son voisin. Le ministre guinéen de l’Économie a échangé avec le ministre ivoirien de l’Énergie afin de lancer les discussion sur les termes du contrat, toujours en cours de négociations. 

« La Côte d’Ivoire s’engage à livrer 50 millions de litres d’essence à la Guinée » : l’annonce a été faite mercredi 27 décembre sur la RTI, la télévision nationale. Les convois de carburant, formés par des camions venus de Guinée, partiraient du dépôt de Yamoussoukro pour atteindre le dépôt guinéen de N’Zérékoré en Guinée, ville proche de la frontière avec la Côte d’Ivoire. Des convois qui seront sécurisés, précise le ministère de l’Énergie de Côte d’Ivoire. Les stocks ivoiriens, renforcés avant la Coupe d’Afrique des nations, permettraient de pouvoir assurer ces livraisons sans mettre en danger la sécurité énergétique du pays. 

Combien de temps vont durer ces livraisons ? Et quels sont les termes précis du contrat ? Le gouvernement ivoirien explique que les discussions sont toujours en cours pour s’accorder sur le prix de vente de l’essence et des opérations de transfert. En tout cas, ces livraisons couvriraient un peu plus de 70% des besoins en carburant de la Guinée, qui se trouve autour de 70 millions de litres par mois. 

Un accord important donc pour l’économie guinéenne plombée par la pénurie, et une opportunité pour la Côte d’Ivoire, la Guinée n’étant un client habituel en ce qui concerne les produits pétroliers. 

Après l’explosion du principal dépôt de carburant du pays, qui a fait 24 morts et plus de 450 blessés, les Guinéens ont été privés d’essence pendant plusieurs jours, entraînant la paralysie de l’économie et créant des tensions dans de nombreuses villes du pays. Le carburant est actuellement rationné en Guinée : 25 litres maximum par voiture et 5 pour les motos, tandis que le remplissage des bidons reste interdit. 

Guinée : Le bilan de l’incendie à Conakry monte à 11 décès

Le centre-ville de Conakry, capitale guinéenne, a été le théâtre d’une tragédie dévastatrice lundi, avec l’explosion du principal dépôt de carburant du pays, suivie d’un incendie qui a engendré la mort d’au moins onze personnes et causé des blessures graves à 88 autres, selon le directeur technique opérationnel de la protection civile, Jean Traoré.

Lors d’une réunion avec le ministre des Affaires étrangères et des ambassadeurs, Jean Traoré a déclaré : « Les services de secours ont dénombré 11 cas de décès et 88 cas de blessés graves ». Il a souligné que ce bilan n’était que provisoire, car les opérations de prise en charge des victimes étaient encore en cours. Ce nouveau bilan révèle une intensité tragique plus importante que le précédent, qui faisait état d’au moins huit morts.

Incendie dans un dépôt de carburant à Conakry: écoles fermées et travailleurs priés de rester chez eux

Le gouvernement guinéen a annoncé la fermeture des écoles lundi et demandé aux travailleurs de rester chez eux, quelques heures après un incendie dans le principal dépôt de carburant du pays à Conakry, qui a fait des dizaines de blessés selon une source médicale.

“Les travailleurs du secteur public et privé sont invités à rester chez eux”, excepté les forces de défense, et “les établissements scolaires publics et privés seront fermés”, a annoncé le gouvernement dans un communiqué.

Les stations-service vont rester fermées et “dans les prochaines heures, un bilan d’étape sera communiqué et une enquête sera ouverte pour situer les causes et les responsabilités”, dit le communiqué.

L’incendie “d’origine inconnue” s’est déclaré dans la nuit et son “ampleur et ses conséquences pourraient directement impacter les populations”, a-t-il dit.

Le sinistre est survenu aux environs de 00H00 au principal dépôt d’hydrocarbures de la société guinéenne de pétrole (publique) à Kaloum, le quartier administratif et des affaires de Conakry.

“Les blessés arrivent par dizaines dans deux des principaux hôpitaux de Conakry, Ignace Deen et Donka”, a affirmé à l’AFP le docteur Mamadouba Sylla, un chirurgien qui travaille à l’hôpital de Donka.

Une épaisse fumée avec des flammes rougeâtres s’élevait dans la nuit vers le ciel tandis que des habitants fuyaient la zone où s’est produit l’incendie, selon des images sur les réseaux sociaux.

Des dizaines de véhicules de la protection civile ont été dépêchés sur les lieux, selon des témoins.

“Kaloum est en train de brûler. Le secteur du port est complètement barricadé par les forces de l’ordre et les sapeurs pompiers couraient vers le (lieu) du sinistre”, a indiqué à l’AFP un habitant de la zone, joint au téléphone par l’AFP.

“Le courant est complètement coupé dans le secteur”, a dit à l’AFP Thierno Diallo, qui s’est présenté en tant que douanier.

Dakaractu

Scène surréaliste : Un homme de 45 ans épouse sa fille de 22 ans, une tragique révélation lors du mariage

Dans une banlieue de Conakry, un événement choquant a eu lieu récemment : un homme de 45 ans vivant aux États-Unis a épousé sa fille de 22 ans. L’histoire remonte à 22 ans, lorsque Aïcha, enceinte à l’époque de son petit ami, a vu ce dernier nier les faits avant de partir étudier aux États-Unis.

Il y a six mois, l’homme a retrouvé sa fille sur les réseaux sociaux. Ils ont rapidement développé des sentiments virtuels et, après trois mois d’intimité et de discussions, ont décidé d’officialiser leur relation en célébrant un mariage religieux. Lors du mariage civil, la mère de la jeune femme, vivant en Sierra Leone, est venue pour assister à l’événement. C’est à ce moment que la terrible vérité a éclaté.

Lors des présentations, la mère a reconnu l’homme et a révélé la relation de parenté. Le mariage a été interrompu brusquement, choquant le couple et en particulier la jeune femme. La mère a exprimé sa consternation en déclarant : “Oh mon dieu !!! Ce mariage n’aura pas lieu. Cet homme est ton père.” Une nouvelle qui a secoué le couple, surtout la fille.

La jeune femme, bouleversée et dévastée, a partagé ses émotions : “Je partais tous les jours rendre visite aux parents de mon mari, devrais-je dire mon père ? Mais je ne savais pas que c’étaient mes grands-parents. J’aimais mon mari, il y avait une relation de confiance entre nous malgré cette distance. Le courant passait très bien entre nous, mais je n’ai jamais su que cet homme pouvait être mon père. Je suis dégoûtée de la vie. Et je le déteste de toutes mes forces… car il m’a abandonnée, il a fui ses responsabilités.”

L’homme, également affecté, n’a pas souhaité répondre aux questions. Cette histoire rappelle que les erreurs du passé peuvent ressurgir à tout moment et souligne l’importance d’assumer ses responsabilités et de poser les bons actes dans la vie.

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