Contrôle des parrainages : Malick Gakou, leader du Grand Parti, à la limite de la validation

Malick Gakou, leader du Grand Parti, est passé tout près de valider ses parrainages lors du contrôle en perspective de l’élection présidentielle. Avec 40 782 parrainages validés lors de son passage devant la commission de contrôle, il se trouve à seulement 3 449 signatures du seuil requis.

Chaque candidat doit obtenir un minimum de 44 231 parrainages d’électeurs, dont une partie doit provenir d’au moins sept régions, avec un minimum de 2 000 parrains par région.

Malick Gakou dispose maintenant de 48 heures pour compléter les 3 449 parrainages manquants sous peine de voir sa candidature rejetée. La marge étroite entre le nombre de parrainages validés et le seuil requis souligne l’importance cruciale de chaque signature dans le processus électoral.

Le leader du Grand Parti doit mobiliser rapidement le soutien nécessaire pour éviter tout risque de disqualification. La course à la Présidentielle de 2024 continue de révéler les enjeux et les défis auxquels sont confrontés les candidats lors du contrôle des parrainages, une étape déterminante dans la course politique au Sénégal.

Dr. Babacar Diop recalé au contrôle des parrainages : Un revers pour le maire de Thiès dans la course à la Présidentielle 2024

Le processus de contrôle des parrainages au Conseil constitutionnel continue d’occuper le devant de la scène, avec un verdict sans appel pour le maire de Thiès, Dr. Babacar Diop. Au troisième jour du processus, le dossier du Secrétaire général du parti « Forces démocratiques du Sénégal (FDS-Les Guelwaars) » et Enseignant-chercheur à l’Ucad a été rejeté par l’institution judiciaire chargée du contrôle des parrainages.

Cette décision représente un revers significatif pour Dr. Babacar Diop, qui aspirait à se présenter comme candidat à l’élection présidentielle de 2024. Le rejet de son dossier met en lumière les défis auxquels les candidats sont confrontés dans le cadre du choix entre le parrainage citoyen et celui par des élus.

Rappelons que pour le parrainage citoyen, chaque candidat doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs. Les travaux de contrôle des parrainages ont débuté le 30 décembre, et jusqu’à présent, seuls quelques candidats, dont Boubacar Camara, Déthié Fall, Cheikh Tidiane Dieye, Dr. Daouda Ndiaye, Aliou Mamadou Dia, ont réussi cet examen crucial.

Le rejet du dossier de Dr. Babacar Diop souligne l’importance et la sévérité du processus de contrôle des parrainages, avec des conséquences majeures sur les aspirations présidentielles des candidats. La compétition pour la Présidentielle 2024 continue de s’intensifier, laissant présager des rebondissements et des enjeux politiques majeurs dans les semaines à venir.

Contrôle des parrainages : Pape Djibril Fall envoyé au second tour

Lors du contrôle des parrainages pour l’élection présidentielle de 2024, le candidat Pape Djibril Fall a été recalé pour le moment par la commission. Son équipe doit régulariser environ 13 000 doublons externes, selon les informations fournies par son mandataire.

Devant la commission de contrôle des parrainages, le Parti de la Démocratie et du Progrès (PDF) dirigé par Pape Djibril Fall a réussi à obtenir plus de 30 000 parrainages validés. Cependant, afin de respecter les critères requis, le candidat dispose maintenant de 48 heures pour valider ces 13 000 parrainages supplémentaires. Cela déterminera s’il pourra participer à l’élection présidentielle de 2024.

Le processus de contrôle des parrainages est en cours, et les candidats ont un délai spécifique pour régulariser toute irrégularité identifiée par la commission. La compétition pour la présidentielle au Sénégal continue de susciter l’attention, et les résultats finaux des vérifications seront déterminants pour la liste finale des candidats. La commission poursuivra ses travaux dans les prochains jours.

Mauvaise nouvelle pour Ndiack Lakh : Recalé après le contrôle des parrainages

Ndiack Lakh, le leader de PÉNC, se retrouve dans une situation difficile après les opérations de contrôle des parrainages. Sa participation en tant que candidat à l’élection présidentielle de 2024 prend fin à la suite de son élimination.

L’ingénieur civil des mines n’a pas réussi à passer le cap du parrainage, ayant validé seulement 20 377 parrainages. Cette nouvelle élimination souligne les défis et la compétitivité accrue auxquels sont confrontés les candidats lors du processus de contrôle des parrainages pour les élections présidentielles à venir.

Mauvaise nouvelle pour Birima Mangara : Recalé après le contrôle des parrainages

Birima Mangara, ancien ministre du Budget de la République du Sénégal de 2014 à 2019, fait face à une mauvaise nouvelle dans sa quête présidentielle. À l’issue des opérations de contrôle des parrainages, sa participation en tant que candidat à la présidentielle de 2024 prend fin.

L’ancien ministre, qui avait annoncé sa candidature le jeudi 27 septembre 2023 sous la bannière de la coalition « Andaat Défar Senegal » et du parti UDP-Kiraay (Union pour la Démocratie et le Progrès, Kiraay), n’a réussi à obtenir que 26 701 parrainages.

Cette nouvelle élimination souligne la compétition intense et la rigueur des critères imposés par le Conseil constitutionnel lors du processus de contrôle des parrainages pour les candidats à la présidentielle de février 2024.

Idrissa Seck recalé par la commission de contrôle des parrainages : Course contre la montre pour compléter 8613 signatures

La commission de contrôle des parrainages a recalé la candidature d’Idrissa Seck, leader du Rewmi, pour l’élection présidentielle de 2024. Selon la commission, il lui manque 8613 signatures pour atteindre le nombre requis. Le politicien dispose désormais d’un délai de 48 heures pour régulariser son dossier.

Idrissa Seck avait initialement obtenu 38 497 signatures valides, mais la commission a identifié des doublons externes dans son dossier. Son mandataire, Ass Babacar Gueye, reste optimiste quant à la possibilité de compléter ces signatures manquantes. Il a déclaré : « Nous sommes en séance de rattrapage comme en 2019, mais nous avons validé le nombre de parrains requis pour les régions. Le nombre de doublons que nous avons peut être comblé et avec le nombre de parrains que nous avons en stock. »

La période de rattrapage de 48 heures sera cruciale pour la candidature d’Idrissa Seck. Si elle parvient à compléter avec succès les signatures manquantes, son dossier sera soumis à une vérification plus approfondie des autres documents. Cependant, en cas d’échec, cela pourrait compromettre sa participation à l’élection présidentielle prévue en 2024.

La course contre la montre commence donc pour le leader du Rewmi, qui devra mobiliser rapidement ses ressources pour répondre aux exigences de la commission de contrôle des parrainages.

Charles Emile Ciss recalé lors du contrôle des parrainages en raison d’une clef USB inexploitable

Lors du processus de contrôle des parrainages par le Conseil constitutionnel au Sénégal, de nombreux candidats font face à des recalages, et Charles Emile Ciss, candidat de la Coalition ËLËGU SENEGAL, en fait partie. Sa candidature a été rejetée par la commission de contrôle des parrainages ce mardi en raison d’une clef USB non exploitable.

L’ancien Directeur de la Solde, qui avait quitté la coalition au pouvoir Benno Bokk Yakaar en août 2023 pour se présenter à l’élection présidentielle de 2024, a rencontré des obstacles lors de la vérification de ses parrainages. La commission de contrôle a identifié une clef USB inexploitable dans son dossier, ce qui a conduit au rejet de sa candidature.

Ce rejet souligne l’importance de la conformité aux exigences techniques lors de la soumission des dossiers de candidature. Les candidats sont tenus de présenter des documents corrects et exploitables pour éviter tout désagrément lors du processus de contrôle des parrainages, une étape cruciale dans la validation des candidatures présidentielles au Sénégal.

Contrôle des Parrainages : 18 candidats convoqués au Conseil Constitutionnel ce mardi

Le contrôle des parrainages a débuté samedi dernier, et parmi les 20 candidats convoqués à ce moment-là, Boubacar Camara, Cheikh Tidiane Dièye, et Déthié Fall ont réussi à valider leurs parrainages. Aujourd’hui, la commission examinera les parrainages des candidats suivants : Alioune Sarr, Ibrahima Hamidou Dème, Daouda Ndiaye, Cheikh Mamadou Abiboulave Dièye, Oumar Sylla, Cheikh Abdou Mbacké, Talla Sylla, Jean Baptiste Diouf, Idrissa Seck, Charles Emile Abdou Ciss, Khadim Diop, Aliou Mamadou Dia, Birima Mangara, Amdy Diallo Fall, Ndiack Lakh, Serigne Mboup, Papa Djribril Fall, et Ibrahima Datt.

  • Pour le parrainage citoyen, le candidat doit réunir entre 0,6 et 0,8 % du corps électoral, soit entre 44 231 et 58 975 électeurs.
  • La troisième option nécessite les signatures de 20 % des maires et présidents de conseils départementaux, soit au moins 120 signatures.

La campagne officielle en prévision du scrutin présidentiel débutera le 4 février. Ce processus de contrôle des parrainages joue un rôle crucial dans la qualification des candidats pour la course à la magistrature suprême, façonnant ainsi le paysage politique en amont des élections.

Contrôle des Parrainages au Sénégal : Le Ballet des Candidats au Conseil Constitutionnel se Poursuit

Le processus électoral sénégalais continue de s’animer avec la reprise du contrôle des parrainages au Conseil constitutionnel. Après une pause de deux jours, une nouvelle vague d’une vingtaine de candidats déclarés à la présidentielle du 25 février 2024 est attendue au sein de l’institution pour soumettre leurs parrainages à l’épreuve du contrôle.

Conformément à l’ordre de passage établi par tirage au sort, des personnalités éminentes telles que le juge Ibrahima Hamidou Dème, l’ancien Premier ministre Idrissa Seck, Pape Djibril Fall, et Cheikh Bamba Dièye, parmi d’autres, seront au centre de cette étape cruciale du processus électoral. Après le premier passage effectué samedi dernier, certains candidats ont réussi le contrôle des parrainages, à l’instar de Boubacar Camara, Cheikh Tidiane Dièye et Déthié Fall, mais 14 autres candidats ont malheureusement été recalés.

Le contrôle des parrainages représente une étape déterminante dans le processus électoral sénégalais, visant à vérifier la validité et la conformité des signatures recueillies par chaque candidat pour se qualifier officiellement à la présidentielle. Cette procédure stricte garantit que seuls les candidats répondant aux critères requis participent effectivement à la course à la magistrature suprême.

Les résultats du contrôle auront un impact significatif sur la configuration du paysage politique sénégalais en vue des élections de février 2024. Les candidats recalés ont la possibilité de faire appel, mais cette étape souligne la rigueur du processus et l’importance pour chaque candidat de respecter scrupuleusement les exigences du Code électoral.

Le ballet des candidats au Conseil constitutionnel s’inscrit dans une séquence électorale qui captivera l’attention nationale et internationale au fur et à mesure que le Sénégal se prépare à élire son prochain président. Les prochains jours révéleront davantage les acteurs qui auront la chance de figurer sur la ligne de départ de cette compétition électorale cruciale.

Contrôle des parrainages : Cheikh Tidiane Gadio recalé avec possibilité de régularisation en 48 heures

Lors de la vérification des parrainages au Conseil constitutionnel ce samedi, Cheikh Tidiane Gadio, leader du mouvement « Luy jot jotna », a été recalé. La mandataire du candidat, Madame Aminata Diagne Thiam, a informé la presse de cette décision tout en soulignant qu’ils bénéficient d’un délai de 48 heures pour régulariser leur situation.

Selon Mme Thiam, Cheikh Tidiane Gadio dispose de deux jours pour remédier aux irrégularités constatées dans ses parrainages. La question clé demeure de savoir s’il pourra résoudre les problèmes liés aux doublons dans le délai imparti.

La situation actuelle place Cheikh Tidiane Gadio dans une course contre la montre pour corriger les anomalies dans ses parrainages et garantir sa participation à l’élection présidentielle. La règle des 48 heures offre une fenêtre d’opportunité pour résoudre les problèmes détectés pendant le contrôle des parrainages.

La suite des événements dépendra des actions entreprises par l’équipe de Cheikh Tidiane Gadio pour répondre aux exigences du Conseil constitutionnel. Cette situation souligne l’importance cruciale de la rigueur dans le processus de collecte des parrainages et la nécessité pour les candidats de veiller à la conformité de leurs dossiers pour éviter des retards ou des recalages. L’issue de cette période de régularisation dans les 48 heures restera à observer.

Boubacar Camara : Un pas fructueux dans le contrôle des parrainages pour la Présidentielle 2024

C’est une nouvelle réjouissante pour le candidat et ses partisans, qui ont suivi avec attention le processus de vérification des parrainages. Mor Ndiaye a déclaré aux médias : « Dieu merci, le Conseil constitutionnel a validé notre candidature. Parmi les 58 975 parrains déposés, 6 069 ont été jugés incorrects. »

Cette étape cruciale franchie, Boubacar Camara est maintenant officiellement en lice pour la présidentielle de 2024. Cependant, d’autres vérifications restent à accomplir pour confirmer la validité et la conformité des autres documents liés à sa candidature.

La réaction du candidat ne s’est pas fait attendre, et il a exprimé sa gratitude sur ses pages officielles en rendant grâce à Allah. Cette validation renforce la position de Boubacar Camara dans la compétition électorale et donne un élan positif à sa campagne.

Les jours à venir seront cruciaux pour tous les candidats alors que le processus électoral avance. Les partisans de Boubacar Camara, emplis d’optimisme, attendent avec impatience les prochaines étapes de la campagne et les débats qui façonneront le paysage politique en vue de l’élection présidentielle de 2024.

Revers dans le contrôle des parrainages : Adjibou Soumaré écarté de la Présidentielle 2024

La course à la présidentielle 2024 enregistre un premier coup de théâtre avec le rejet du dossier de candidature d’Adjibou Soumaré lors des opérations de contrôle ce samedi. Une annonce qui a pris de court les partisans du candidat, laissant planer des interrogations quant aux raisons de ce rejet.

Ce samedi, le mandataire d’Adjibou Soumaré a quitté le Conseil constitutionnel sans s’adresser à la presse, laissant un voile de mystère sur la situation. Cependant, lorsqu’il a été contacté par notre confrère Buurnews, il a confirmé la mauvaise nouvelle : le dossier de son candidat a été rejeté. Malheureusement, aucune explication détaillée sur les motifs de ce rejet n’a été fournie.

Le silence entourant cette décision laisse la sphère politique en émoi, et les partisans de Soumaré sont en attente d’éclaircissements. La disqualification d’Adjibou Soumaré change radicalement la dynamique de la compétition, ouvrant la voie à de nouvelles spéculations sur l’impact de cette exclusion sur le paysage politique.

À contre-courant de ces revers, le candidat Boubacar Camara réussit avec succès cette étape du contrôle des parrainages, renforçant ainsi sa position dans la course à la présidentielle.

La disqualification d’Adjibou Soumaré marque un tournant dans la campagne électorale, suscitant des discussions animées sur les implications futures de cette décision et redéfinissant les alliances et les stratégies au sein du paysage politique en pleine ébullition. Les jours à venir seront cruciaux pour mesurer l’impact de ces rebondissements sur le scrutin présidentiel à venir

Contrôle des parrainages : L’attente du mandataire de Sonko au conseil constitutionnel

Alors que le dossier de Sonko devait passer au crible en quatrième position, après ceux de Boubacar Camara, Aguibou Soumaré, et Ousmane Kane, l’absence notable de Ciré Clédor Ly suscite des interrogations. Les radars scrutent l’enceinte du Conseil constitutionnel, mais l’ombre du mandataire de Sonko ne s’y est pas encore dessinée.

Les conséquences de ce défaut de présence peuvent être discernées en cas de retard ou d’absence lors de la journée dédiée à la vérification des parrainages.

En cas de retard :

Les parrainages d’un candidat, dont le représentant est en retard, seront examinés après ceux de tous les autres candidats présents pour la même journée. Cette situation pourrait potentiellement retarder l’examen complet des dossiers, mettant ainsi Sonko dans une position délicate.

En cas d’absence du candidat ou de son représentant :

Si l’absence de Me Ciré Clédor Ly est notée le jour prévu, les parrainages d’Ousmane Sonko ne seront traités qu’après l’examen complet de ceux de tous les autres candidats. Cette situation pourrait avoir des répercussions majeures sur le calendrier électoral et soulever des préoccupations quant à la conformité du dossier de Sonko.

L’importance des parrainages dans le processus électoral ne peut être sous-estimée, et tout retard ou absence lors de la vérification peut avoir des conséquences significatives. La vigilance est de mise, et les partisans d’Ousmane Sonko scrutent avec attention l’évolution de cette situation, conscient des enjeux qu’elle peut représenter pour la candidature de leur leader. L’attente se prolonge, laissant planer un suspense qui ne manquera pas de susciter des débats et des spéculations dans les cercles politiques.

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