Controverse autour du projet de Grand Transfert d’Eau : le FONSIS répond aux critiques, mais le Forum Civil maintient la pression

Le débat s’intensifie autour du projet ambitieux de Grand Transfert d’Eau (GTE) au Sénégal. Le ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement a récemment publié un communiqué précisant que le Fonds souverain d’investissements stratégiques (FONSIS) a supervisé le processus de sélection de l’entreprise Synohydro, en affirmant que celle-ci a été choisie après une consultation rigoureuse respectant toutes les procédures. Cette déclaration vise à répondre aux préoccupations soulevées par Birahime Seck, le coordonnateur du Forum Civil, qui avait exprimé des doutes sur la transparence des processus de passation de marché.

Le FONSIS, dans son communiqué, a souligné la rigueur de la procédure en affirmant avoir pris en compte plusieurs candidatures internationales avant de sélectionner l’entreprise chinoise Synohydro. Cependant, ces explications n’ont pas satisfait Birahime Seck. Celui-ci a publiquement interpellé le fonds souverain sur les détails de cette consultation. « FONSIS, nous avons aussi lu votre communiqué de secours où vous parlez de consultation rigoureuse parmi plusieurs candidats internationaux. Ne jouez pas sur les termes et avec les Sénégalais. S’il y’a eu un avis d’appel d’offres, publiez-le et on avance. C’est simple non ? », a-t-il déclaré avec insistance.

Cette exigence de transparence s’inscrit dans un contexte où de nombreux observateurs et acteurs de la société civile sénégalaise s’inquiètent des mécanismes de passation de marchés publics, en particulier pour des projets d’une envergure aussi importante que le GTE. Le Forum Civil, qui milite pour une meilleure gouvernance et une gestion plus transparente des ressources publiques, voit dans cette affaire une occasion de rappeler l’importance d’une stricte conformité aux standards internationaux de transparence.

Du côté du ministère et du FONSIS, la justification reste focalisée sur le respect des procédures internes et l’efficacité de la démarche. Pourtant, le refus ou l’incapacité à publier un avis d’appel d’offres public et détaillé laisse place aux spéculations et au scepticisme. Pour de nombreux analystes, cette situation pourrait avoir des répercussions sur la confiance du public et des investisseurs vis-à-vis de l’administration des projets stratégiques au Sénégal.

Alors que les citoyens et les acteurs de la société civile attendent toujours des preuves tangibles de la transparence du processus, la pression monte pour que le gouvernement et ses institutions clarifient leur position. L’affaire du projet GTE semble bien loin de trouver un dénouement, et la réponse à cette demande de transparence pourrait influencer la perception de la gestion des grands projets publics à l’avenir.

Controverse autour du voyage d’une délégation de Sicap-Liberté à Casablanca

Une controverse a éclaté à Sicap-Liberté à la suite du déplacement d’une délégation municipale composée d’environ 70 personnes à Casablanca, au Maroc. L’objectif de ce voyage, qui suscite des interrogations parmi les habitants de la commune, est présenté comme une participation à une formation ou à un séminaire.

Cependant, selon les informations relayées par Les Échos dans leur édition de lundi, de nombreux résidents de Sicap-Liberté remettent en question la nécessité d’envoyer une aussi grande délégation pour un événement professionnel. Certains vont jusqu’à exprimer leur scepticisme quant à la véritable nature de ce voyage, le qualifiant davantage de vacances que de déplacement professionnel.

Cette polémique soulève des préoccupations quant à la gestion des ressources municipales et à l’utilisation des fonds publics pour des voyages officiels. Les administrés s’interrogent sur la pertinence d’envoyer autant de personnes à l’étranger et sur les retombées concrètes que ce voyage pourrait avoir pour la commune.

Alors que le Conseil municipal de Sicap-Liberté est représenté en force à Casablanca, cette situation met en lumière la nécessité d’une transparence accrue dans les activités et les dépenses des autorités locales. Les habitants attendent des explications claires sur les objectifs et les résultats attendus de ce voyage afin de dissiper tout malentendu et toute suspicion.

Un membre du gouvernement sénégalais attributaire d’un terrain sur la bande des filaos : Les Échos révèlent une controverse

Dans son édition de ce jeudi, le quotidien sénégalais Les Échos a soulevé une polémique en révélant qu’un membre du gouvernement, supposément très proche du Premier ministre Ousmane Sonko, aurait bénéficié de l’attribution d’un terrain situé sur la bande des filaos.

La bande des filaos, une étendue de végétation encerclant Guédiawaye et ses alentours, est au cœur de l’actualité depuis qu’un décret émis par l’ancien Président Macky Sall a déclenché un processus d’urbanisation et de développement immobilier dans cette zone. Cette décision a provoqué une levée de boucliers de la part de diverses associations, qui dénoncent les risques environnementaux et sociaux découlant de cette transformation, notamment la fragilisation des dunes et l’exposition accrue des populations locales aux aléas de la mer.

Selon Les Échos, le membre du gouvernement concerné aurait obtenu l’attribution d’une parcelle précisément identifiée comme Lot GW 1227, le 23 juillet 2021. Cette révélation a suscité une vague d’indignation et a ravivé les inquiétudes concernant la transparence dans l’attribution des terres ainsi que l’éthique des responsables politiques.

Cette affaire soulève des questions cruciales sur la gestion des ressources foncières au Sénégal, mettant en lumière les possibles conflits d’intérêts au sein du gouvernement et la nécessité de garantir la protection de l’environnement et des droits des communautés locales dans tout processus de développement urbain.

En attendant des éclaircissements officiels sur cette affaire, l’opinion publique reste en alerte quant à la nécessité de préserver l’intégrité environnementale et sociale de la bande des filaos, un patrimoine naturel d’une importance capitale pour le Sénégal et ses habitants.

Controverse autour de l’augmentation des indemnités des Conseils départementaux : Macky Sall sous le feu des critiques

Dans les derniers jours de sa présidence, Macky Sall a pris une série de décisions controversées, dont l’augmentation des indemnités des membres des Conseils départementaux. Cette décision, révélée par Source A, a suscité de vives réactions et alimenté les critiques à l’égard de l’ancien chef de l’État.

Selon le journal, les indemnités de session des membres des Conseils départementaux ont été augmentées de 10 000 francs CFA, passant ainsi à 60 000 francs CFA. De plus, les indemnités de transport des conseillers départementaux ont doublé, tandis que les montants alloués au carburant dans les cabinets des présidents des Conseils départementaux ont atteint des sommes considérables, s’élevant à plusieurs millions.

Une mesure qui a particulièrement attiré l’attention est l’attribution pour la première fois d’indemnités aux receveurs des collectivités territoriales, une initiative décriée par de nombreux observateurs.

Cette décision d’augmenter les indemnités des membres des Conseils départementaux, en période de transition politique, a été perçue comme un geste désavantageux pour les finances publiques et a suscité des interrogations sur les motivations de l’ancien président. Alors que le pays fait face à des défis économiques et sociaux majeurs, cette augmentation des indemnités a été critiquée comme étant déconnectée des réalités du pays et de ses besoins prioritaires.

Cette polémique soulève des questions sur la gouvernance financière et la responsabilité sociale des dirigeants politiques, mettant en lumière la nécessité d’une transparence accrue et d’un examen approfondi des décisions prises par les autorités.

Sénégal : Le Contrat de Dessalement de l’Eau de Mer Suscite la Controverse

Alors que le Sénégal se remet à peine de l’élection historique marquant la troisième transition démocratique du pays, une décision controversée du président sortant Macky Sall fait l’objet de critiques intenses. Un contrat de 450 milliards de FCFA a été signé par entente directe avec une entreprise privée étrangère pour l’achat d’eau sur 35 ans, provenant d’une usine de dessalement d’eau de mer à construire sur la Grande-Côte des Niayes. Cette décision risque de compromettre la réalisation du Canal du Cayor, un projet vital pour l’approvisionnement en eau potable et l’irrigation de zones agricoles stratégiques du pays.

La signature de ce contrat sans appel d’offres ni consultation soulève des questions éthiques et procédurales. La rapidité avec laquelle le contrat a été ratifié, en présence du Chef de l’État et des Ministres de l’Eau et des Finances, laisse place à des interrogations sur l’intégrité du processus décisionnel et la transparence de la gouvernance.

Le président Sall assure que ce projet n’alourdira pas la dette nationale, mais cette affirmation semble difficile à soutenir. La production d’eau dessalée coûtera trois fois plus cher que le système actuel. Cette augmentation des coûts pourrait entraîner soit une hausse significative des tarifs d’eau pour les consommateurs, soit une subvention étatique importante, estimée à plus de 40 milliards FCFA par an, pour maintenir l’équilibre financier de la SONES.

Le projet de dessalement de grande envergure est en désaccord avec la stratégie nationale de gestion des ressources en eau du Sénégal. Le plan prévoit une étape intermédiaire de dessalement limité comme appoint en attendant la mise en œuvre du projet de grand transfert d’eau depuis le lac de Guiers. Ce projet gigantesque de dessalement compromettrait cette vision stratégique et aurait des impacts considérables sur l’environnement marin.

Il est impératif pour le nouveau gouvernement de réexaminer ce contrat de dessalement. Il est crucial de le replacer dans le contexte de la stratégie nationale de mobilisation des ressources en eau afin de garantir le développement durable du secteur de l’eau au Sénégal. Cela nécessite une approche transparente et responsable, en consultation avec tous les acteurs concernés, pour éviter les erreurs du passé et assurer un avenir durable pour l’approvisionnement en eau du pays.

L’avocat controversé Juan Branco convoqué devant le conseil de discipline du barreau de Paris

L’avocat français Juan Branco sera convoqué le 25 juin devant le conseil de discipline du barreau de Paris, où il risque la radiation pour avoir divulgué sur internet des informations confidentielles issues d’une procédure judiciaire le concernant pour des accusations de viol. Cette affaire soulève des questions sur l’éthique professionnelle et le respect du secret de l’instruction.

Juan Branco, avocat médiatique et figure controversée, est connu pour ses prises de position critiques à l’égard du gouvernement français, notamment à travers son pamphlet anti-Macron « Crépuscule ». Cependant, cette fois-ci, il est confronté à des accusations sérieuses de violation du secret de l’instruction dans une affaire judiciaire délicate le concernant personnellement.

Les faits : En juin 2023, Juan Branco aurait publié sur son compte Twitter et sur son site internet des extraits d’une procédure judiciaire dans laquelle il est mis en cause pour des accusations de viol. Ces extraits comprenaient notamment des procès-verbaux d’audition de plusieurs femmes l’accusant, qu’il accuse à son tour de mentir. Malgré les demandes répétées de retrait de ces informations, celles-ci restent accessibles en ligne, ce qui constitue un préjudice important pour les femmes concernées.

Réactions : L’avocate des femmes accusatrices, Me Fanny Vial, a exprimé son indignation face au comportement de Juan Branco, dénonçant le préjudice subi par ses clientes. Elle souligne que la diffusion de ces informations intimes vise à les intimider et à leur causer du tort. Cette affaire soulève des questions éthiques importantes concernant le respect du secret de l’instruction et la protection des victimes présumées.

Conclusion : La comparution de Juan Branco devant le conseil de discipline du barreau de Paris le 25 juin marquera un moment crucial dans cette affaire. Au-delà des enjeux juridiques, cette affaire met en lumière les défis liés à l’éthique professionnelle dans le domaine du droit et souligne l’importance du respect des règles déontologiques et du droit à la vie privée des individus, même dans un contexte médiatique et controversé.

Tensions entre le Niger et l’Algérie : Les Opérations de Refoulement de Migrants Subsahariens Suscitent la Controverse

L’Algérie se retrouve au cœur d’une polémique suite à l’intensification de ses opérations de rapatriement et de refoulement de migrants subsahariens en situation irrégulière sur son territoire. Des rapports font état de rafles policières fréquentes dans certains quartiers de Tamanrasset, une ville où réside une importante communauté de ressortissants subsahariens, en particulier des Nigériens. Face à cette situation, les autorités nigériennes ont exprimé leur vive préoccupation concernant le recours à des méthodes jugées violentes lors de ces opérations de refoulement.

Lors d’une récente rencontre entre le Secrétaire général adjoint du ministère nigérien des Affaires étrangères, Oumar Ibrahim Sidi, et l’ambassadeur d’Algérie au Niger, M. Bekhedda Mehdi, les préoccupations du gouvernement nigérien ont été clairement exposées. M. Sidi a souligné le caractère violent des opérations menées par les services de sécurité algériens et a appelé à ce que les rapatriements se déroulent dans le respect absolu de la dignité et de l’intégrité des migrants nigériens, ainsi que de leurs biens.

Cette démarche du Niger témoigne de l’importance accordée à la protection des droits fondamentaux des migrants, ainsi qu’à la préservation des relations de fraternité et de coopération qui existent entre les deux pays. En effet, le Niger et l’Algérie partagent une frontière commune et collaborent dans plusieurs domaines, ce qui rend d’autant plus cruciale la nécessité d’assurer le respect mutuel et la dignité des individus.

Cette controverse met en lumière les défis auxquels sont confrontés les migrants subsahariens en Algérie et souligne l’urgence d’adopter des mesures respectueuses des droits humains lors des opérations de refoulement. Il est impératif que les autorités algériennes répondent de manière appropriée aux préoccupations exprimées par le Niger et prennent des mesures concrètes pour garantir que les droits et la dignité des migrants sont pleinement respectés.

Dans ce contexte, il est crucial que toutes les parties impliquées travaillent ensemble pour trouver des solutions qui favorisent la sécurité et le bien-être des migrants, tout en préservant les relations de coopération entre les deux pays voisins.

Réorganisation de la Gendarmerie : Clarifications d’un haut gradé sur le décret controversé

Le décret numéro 2024-824 du 29 mars 2024, émis par le Président sortant Macky Sall, intégrant officiellement la Gendarmerie dans l’Armée nationale, a suscité des débats. Pourtant, un haut gradé, interrogé par Les Échos et préférant garder l’anonymat, apporte des éclaircissements sur cette décision controversée.

Selon le haut gradé, le décret en question ne modifie pas fondamentalement le fonctionnement de la Gendarmerie. Au contraire, il s’agit d’une réorganisation interne visant à clarifier les attributions et les missions de chaque entité au sein de la Gendarmerie. En formalisant cette organisation, le décret vise à apporter une plus grande clarté et efficacité dans le fonctionnement de l’institution.

L’interlocuteur du journal suggère même que ce décret pourrait avoir été en préparation depuis un certain temps et simplement mis à jour avant d’être publié. Il insiste sur le fait qu’il n’y a rien de particulièrement extraordinaire dans cette décision, soulignant que la Gendarmerie fait déjà partie intégrante des Forces armées et que cette intégration n’est qu’une formalisation de cette réalité.

Les clarifications fournies par ce haut gradé mettent en lumière le caractère interne et pragmatique de la décision de réorganiser la Gendarmerie au sein de l’Armée nationale. Alors que le décret a suscité des débats, ces explications soulignent qu’il s’agit avant tout d’une mesure visant à améliorer l’efficacité et la clarté des opérations au sein de cette institution clé du maintien de l’ordre au Sénégal.

Controverse à l’Assemblée Nationale du Sénégal : Priorité contestée pour les commissions d’enquête parlementaire

Une vive controverse secoue actuellement l’Assemblée nationale du Sénégal concernant la gestion des propositions de commissions d’enquête parlementaire. Un dénonciateur, exprimant son indignation, accuse ouvertement le président de l’Assemblée nationale et les députés de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) de mettre en place un fonctionnement antidémocratique.

Selon cette voix critique, la commission d’enquête parlementaire proposée par le groupe parlementaire Wallu semble être sur le point d’être traitée prioritairement, reléguant ainsi huit autres propositions de résolutions similaires déposées antérieurement. L’appel est directement adressé au groupe parlementaire Wallu, les interpellant sur la possibilité de cautionner cette hiérarchisation qui pourrait, selon le plaignant, engendrer une injustice en ignorant les préoccupations immédiates d’autres groupes socio-professionnels.

La dénonciation souligne également les enjeux cruciaux qui risquent d’être négligés si cette priorité est maintenue. Des questions vitales telles que la distribution des subventions agricoles, les retards de salaires et primes des agents de sécurité publique (ASP), de la police et du Fonds d’Equipement des Ressources Autonomes (FERA), ainsi que d’autres problématiques socio-économiques, pourraient être reléguées au second plan.

Un appel est ainsi lancé au peuple sénégalais pour sensibiliser à cette situation et demander une équité dans l’examen des propositions. La proposition est faite de considérer toutes les propositions simultanément ou de les examiner dans l’ordre chronologique de leur dépôt.

Cette affaire met en lumière l’importance de la transparence et de l’équité dans les procédures parlementaires, soulignant la nécessité d’une représentation juste des préoccupations de tous les citoyens, indépendamment de leurs affiliations politiques ou de leur statut.

Racisme : Christophe Galtier suscite la controverse avec des propos choquants !

Selon des informations de L’Équipe, d’anciens joueurs de Nice et des membres du staff ont témoigné contre Christophe Galtier, l’accusant de se plaindre de l’origine de certains joueurs et de leur pratique du ramadan. À dix jours du procès, le quotidien révèle les déclarations faites à la police par les joueurs et le staff de l’OGC Nice. L’entraîneur, par le biais de ses avocats, nie toute forme de harcèlement ou de discrimination.

Interrogé en garde à vue au printemps 2023, Christophe Galtier nie avoir proféré de tels propos. L’ancien entraîneur du Paris Saint-Germain rejette également l’idée d’avoir sélectionné des joueurs en fonction de leur religion ou de leur race. Ce mardi, L’Équipe dévoile une partie des auditions menées par les enquêteurs après la révélation d’un mail de Julien Fournier, alors directeur du football de Nice, à Dave Brailsford, directeur du sport d’Ineos (propriétaire de l’OGC Nice). Dans ce mail, Fournier aurait mentionné une discussion où il aurait invité à « tenir compte de la réalité de la ville » et exprimé des réticences quant à la diversité de l’équipe. 

Toujours d’après les informations de L’Équipe, Frédéric Gioria, ancien adjoint de Galtier à Nice, aurait assuré avoir entendu Galtier raconter une anecdote sur une remarque au restaurant, mentionnée dans le mail de Fournier à Brailsford. Une autre facette sensible de l’enquête concerne l’agacement présumé de Galtier à l’égard de la pratique du ramadan par certains joueurs. Jean-Clair Todibo aurait déclaré que l’entraîneur l’aurait poussé à rompre son jeûne, une plainte partagée par Hicham Boudaoui et Pablo Rosario. Des témoins, comme Khephren Thuram ou Youcef Atal, n’auraient pas été témoins de telles scènes, démentant ainsi les allégations de Galtier. Certains joueurs, dont Todibo, affirment également avoir été qualifiés de salafistes par leur entraîneur.

Salma

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