Abdoul Mbaye Critiques Ousmane Sonko sur la Démocratie Directe

L’ancien Premier ministre sénégalais Abdoul Mbaye a récemment critiqué Ousmane Sonko, le nouveau Premier ministre, pour ses vues sur la démocratie directe. Alors que Sonko n’a pas encore présenté officiellement la feuille de route du gouvernement devant l’Assemblée nationale, Mbaye a exprimé son opinion lors de la déclaration de politique générale déjà en cours.

Mbaye a souligné l’importance pour le Premier ministre de respecter la démocratie représentative, arguant que le Sénégal fonctionne sur ce principe. Il a averti contre l’illusion de privilégier la démocratie directe, affirmant que cela pourrait entraîner une crise institutionnelle inutile dans le pays, malgré la troisième alternance démocratique récente.

En tant que président de l’Alliance pour la Citoyenneté et le Travail (ACT), Mbaye a également insisté sur le respect de la tradition républicaine et de l’obligation constitutionnelle entourant la Déclaration de Politique Générale. Il a conclu en soulignant que le gouvernement doit rendre des comptes à la représentation nationale et par extension au peuple sénégalais, qui demeure observateur et juge de ces processus démocratiques.

Cette intervention marque une réponse critique notable de la part d’un ancien Premier ministre face aux premiers pas politiques de Sonko, soulignant des différences fondamentales dans leurs visions de gouvernance et de démocratie au Sénégal.

Me Patrick Kabou critique le “grand n’importe quoi étatique” et appelle à la responsabilité politique

Dans un discours incisif, Me Patrick Kabou, avocat de renom au Sénégal, a dénoncé ce qu’il qualifie de “grand n’importe quoi étatique”, pointant du doigt l’ancien régime pour son manque de vision et de priorité dans l’amélioration des conditions de vie des Sénégalais.

Selon Me Kabou, l’ancien régime a échoué à saisir l’objectif fondamental de la gouvernance, qui est de répondre aux besoins et aux aspirations de la population. Au lieu de cela, il accuse l’ancien gouvernement de s’être concentré sur des querelles politiques stériles, en particulier en cherchant à discréditer Ousmane Sonko, au lieu de se concentrer sur les véritables défis nationaux.

“J’ai l’impression qu’après la saison du ‘grand n’importe quoi étatique’ (2012 à 2024), l’ancien régime n’a jusqu’à présent pas compris que l’objectif principal est l’amélioration des conditions de vie des Sénégalais”, a déclaré Me Kabou lors d’une intervention publique. Il a ajouté que cette obsession pour Sonko est devenue personnelle, au lieu d’être républicaine et démocratique.

Pour Me Kabou, il est temps que le pouvoir actuel se concentre sur la gouvernance efficace et la résolution des problèmes réels auxquels est confronté le pays. Il appelle également les opposants à jouer un rôle constructif dans le débat politique, dans le respect des principes démocratiques et du bien-être de la population sénégalaise.

En conclusion, Me Kabou exhorte à une forme de compassion démocratique, où les leaders politiques mettent de côté les querelles partisanes pour se concentrer sur la résolution des défis concrets auxquels est confrontée la nation sénégalaise.

Moustapha Diakhaté critique la politique de bonne gouvernance de Macky Sall

Lors de son intervention dans le Grand Jury ce dimanche 12 mai 2024, Moustapha Diakhaté, ancien Président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar, a sévèrement critiqué la politique de bonne gouvernance du président Macky Sall. Diakhaté a exprimé des réserves quant aux résultats obtenus malgré les engagements électoraux du président en faveur de la transparence et de la lutte contre la corruption.

Diakhaté a souligné que, malgré les promesses de Macky Sall en campagne électorale, les actions concrètes entreprises n’ont pas permis d’atteindre les objectifs fixés en matière de bonne gouvernance. Il a notamment mentionné la réactivation de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), la réforme de la Cour des Comptes, la création de l’Office National de Lutte contre la Fraude et la Corruption (Ofnac) et l’extension de la déclaration de patrimoine à un plus grand nombre de fonctionnaires.

Cependant, selon Diakhaté, ces initiatives n’ont pas abouti aux résultats escomptés après 12 ans de mandat présidentiel. Il a souligné que seules deux personnes, Karim Wade et Khalifa Sall, ont été condamnées pour mal gouvernance, ce qui, selon lui, ne suffit pas à instaurer une culture de responsabilité et de reddition de comptes au sein du gouvernement.

En tant qu’acteur impliqué dans la création de l’Ofnac, Diakhaté a salué la publication des rapports de la Cour des comptes et de l’Ofnac, mais a critiqué le fait que cela ait nécessité une injonction du président de la République. Il estime que ces rapports auraient dû être publiés plus tôt, conformément à la loi qui régit ces institutions.

Diakhaté a également souligné l’importance de lutter contre la corruption et les détournements de fonds publics, qu’il considère comme des obstacles majeurs au développement de l’Afrique. Il encourage la sanction des responsables fautifs après la publication des rapports des organes de contrôle, et appelle à une mobilisation de tous les citoyens pour veiller à une utilisation transparente et efficace des fonds publics.

En résumé, les propos de Moustapha Diakhaté mettent en lumière les lacunes de la politique de bonne gouvernance de Macky Sall et appellent à une plus grande responsabilité et transparence dans la gestion des affaires publiques au Sénégal.

Réaction Critique du Mouvement des Citoyens Dioubenti Guédiawaye aux Propos du Maire Ahmed Aidara

Le Mouvement des Citoyens Dioubenti Guédiawaye a vivement réagi aux récentes déclarations du maire Ahmed Aidara concernant la dernière place occupée par la ville dans le classement du Programme d’Appui aux Communes et Agglomérations du Sénégal (PACASEN). En se classant en dernière position (19e), les habitants de Guédiawaye expriment leur mécontentement face à la gestion de leur municipalité.

Sur les ondes d’iRadio, les membres du mouvement ont critiqué les propos du maire, l’appelant à se concentrer sur les véritables défis rencontrés par la population locale plutôt que de s’engager dans des discours populistes. Ils soulignent notamment l’absence de réalisations concrètes telles que le pavage de certaines routes ou l’équipement des structures sanitaires.

Mohamadou Moustapha Diouf, porte-parole du mouvement, conteste les allégations du maire concernant l’utilisation des fonds municipaux, remettant en question le niveau d’exécution du budget annoncé. Les membres de Dioubenti Guédiawaye estiment que le maire devrait faire preuve de davantage de transparence et d’efficacité dans la gestion des ressources publiques.

Par ailleurs, le mouvement soulève des préoccupations concernant la situation des étudiants de l’université Gaston Berger résidant dans la commune, ainsi que l’état de délabrement avancé du marché Mame Diarra. Ils interpellent le maire sur ses actions concrètes pour améliorer la vie quotidienne des habitants de Guédiawaye.

Le Mouvement des Citoyens Dioubenti Guédiawaye exhorte le maire Ahmed Aidara à abandonner le populisme et à se confronter à la réalité des problèmes de la ville. Ils se positionnent en tant que sentinelles de la communauté, prêts à jouer un rôle d’avant-garde dans la résolution des défis locaux et à soutenir toute initiative visant à améliorer la qualité de vie des habitants.

Adji Mergane Kanouté critique sévèrement le ministre porte-parole du gouvernement

Adji Mergane Kanouté, vice-présidente du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar (BBY), a pris pour cible le ministre porte-parole du gouvernement, Moustapha Sarré, lors d’une intervention dans l’émission Tolluwaay de Seneweb. Elle a vivement critiqué la déclaration récente de Sarré concernant une éventuelle motion de censure contre le gouvernement, affirmant qu’il n’était pas apte à occuper son poste actuel.

Pour Adji Mergane Kanouté, la nomination de Moustapha Sarré en tant que ministre porte-parole du gouvernement est une erreur. Elle estime qu’il aurait dû être récompensé autrement pour ses services rendus au président et au parti au pouvoir.

Dans ses propos, Kanouté souligne que Sarré manque de compétences et de stature pour assumer efficacement la fonction de porte-parole du gouvernement. Elle remet en question sa capacité à occuper ce poste stratégique, affirmant que sa première déclaration publique en tant que porte-parole du gouvernement en est la preuve.

La critique principale de Kanouté à l’encontre de Sarré concerne sa récente déclaration sur une éventuelle motion de censure contre le gouvernement. Selon elle, il est inapproprié pour le porte-parole du gouvernement de lancer une telle polémique, surtout si peu de temps après la formation du nouveau gouvernement.

Elle se demande si Sarré agissait de sa propre initiative ou s’il avait reçu des instructions pour faire cette déclaration. Kanouté s’interroge également sur les motivations possibles derrière les propos de Sarré et sur son éventuel intérêt pour le poste de Premier ministre dans l’administration de Sonko.

En fin de compte, les commentaires d’Adji Mergane Kanouté mettent en lumière les tensions internes et les divergences d’opinion au sein du gouvernement et de la coalition au pouvoir, alors que le Sénégal fait face à une période politique tumultueuse.

L’entraîneur de Génération Foot critique l’état du terrain après la grave blessure de son attaquant

Génération Foot, engagé dans la lutte pour le maintien en Ligue 1, a dû se contenter d’un match nul face à la Linguère de Saint-Louis. Cette rencontre a été marquée par la grave blessure de l’attaquant d’Idrissa Guèye, un espoir du football sénégalais, qui s’est fracturé la jambe.

Suite à cette rencontre, l’entraîneur de Génération Foot, Djibril Fall, a exprimé son mécontentement concernant l’état de la pelouse du stade Mawade Wade. Il a critiqué les responsables du football qui programment les matchs sans prendre en compte l’état des terrains. L’entraîneur a rappelé qu’ils avaient été interdits de jouer à Deni Birane Ndao en raison de la qualité du terrain, mais se sont retrouvés à jouer sur une pelouse tout aussi mauvaise à Saint-Louis.

Djibril Fall est convaincu que l’état du terrain a contribué à la blessure grave d’Idrissa Guèye. Il estime qu’il est impossible de pratiquer du football professionnel dans de telles conditions. Pour lui, le match nul n’est pas la principale source d’agacement, mais bien l’état du terrain qui a mis en danger l’intégrité physique des joueurs.

Cette situation met en lumière les défis auxquels sont confrontés les clubs de football sénégalais en termes d’infrastructures et de conditions de jeu. Les critiques de Djibril Fall soulignent l’importance pour les instances dirigeantes du football de prendre des mesures pour garantir des conditions de jeu optimales et assurer la sécurité des joueurs.

Donald Trump critique la réponse des États-Unis à l’attaque iranienne contre Israël

L’ancien président des États-Unis et candidat républicain à la présidentielle, Donald Trump, a critiqué samedi soir la réponse de l’administration actuelle face à l’attaque iranienne contre Israël. Lors d’un meeting en Pennsylvanie, il a affirmé que cette attaque démontrait la “grande faiblesse” des États-Unis sous la présidence démocrate de Joe Biden.

“Que Dieu bénisse le peuple d’Israël. Ils sont attaqués en ce moment. C’est parce que nous faisons preuve d’une grande faiblesse”, a déclaré Donald Trump à l’entame de son discours devant ses partisans. Ces propos interviennent après que les États-Unis ont intercepté plusieurs drones lancés par l’Iran en direction d’Israël.

La réaction de Donald Trump s’inscrit dans un contexte politique tendu, à l’approche des prochaines élections présidentielles. Le président Biden et son administration sont sous pression pour leur gestion des relations avec l’Iran et la situation au Moyen-Orient.

La France et d’autres pays ont condamné fermement l’attaque iranienne contre Israël et ont appelé à une désescalade. La situation est suivie de près par la communauté internationale, qui craint une escalade des tensions dans une région déjà instable.

Les déclarations de Donald Trump reflètent les divisions politiques aux États-Unis concernant la politique étrangère, en particulier en ce qui concerne l’Iran et Israël. Alors que les États-Unis et d’autres pays cherchent à apaiser les tensions, les critiques comme Trump estiment que la réponse actuelle manque de fermeté et pourrait être perçue comme un signe de faiblesse.

“Serge Aurier critique Zinchenko : ‘Arrête ton cinéma'”

Une récente déclaration d’Oleksandr Zinchenko, défenseur d’Arsenal FC, dans laquelle il exprime sa volonté de rejoindre les rangs de l’armée ukrainienne pour aider dans la guerre contre la Russie, a suscité une réponse cinglante de la part de Serge Aurier, joueur international ivoirien.

Zinchenko a déclaré à BBC Newsnight qu’il était prêt à se rendre au front en Ukraine pour participer au combat. Cette affirmation a incité Aurier à exprimer ouvertement ses sentiments à l’égard de Zinchenko sur les réseaux sociaux. “Va directement boss, arrête ton cinéma, personne n’a besoin de t’appeler”, a déclaré Aurier dans un premier post sur X (anciennement Twitter).

Ne se contentant pas de cette première pique, Aurier a récidivé quelques heures plus tard avec un autre commentaire incisif : “Je le répète, un volontaire n’a pas besoin qu’on l’appelle, vas-y directement champion”. Cette réaction de la part d’Aurier souligne son désaccord avec l’approche publique de Zinchenko concernant son désir de rejoindre le front en Ukraine.

Il est important de noter que Zinchenko n’a pas sollicité l’avis d’Aurier avant de faire sa déclaration, mais les commentaires de ce dernier suggèrent qu’il pense que Zinchenko aurait pu agir de manière plus directe plutôt que de faire des annonces publiques sur ses intentions.

Alain St Pierre Mwamba critique Sonko lors de sa visite au Palais et provoque une réaction vive des Sénégalais

La récente visite de Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko au Palais a suscité des réactions contrastées au Sénégal. Alors que certains saluent cette rencontre comme un geste de réconciliation politique, d’autres critiquent la participation de Sonko, estimant qu’il devrait adopter une attitude plus humble envers le président nouvellement élu.

Parmi les voix critiques figure Alain St Pierre Mwamba, un journaliste congolais, qui a exprimé son désaccord avec la présence de Sonko lors de la rencontre au Palais. Ses commentaires ont déclenché une réaction immédiate de la part des Sénégalais, qui n’ont pas hésité à exprimer leur mécontentement.

Doudou Jacques Faty, ancien footballeur international sénégalais, a répondu à Mwamba en l’invitant à ne pas manquer de respect envers le chef de l’État sénégalais. Chérif Sadio, ancien directeur de Casa Sport, a également critiqué les commentaires de Mwamba, soulignant son ignorance et appelant à une réflexion plus nuancée.

Les réactions sur les réseaux sociaux ont été nombreuses et virulentes. Certains ont accusé Mwamba de jalousie et de manque d’intelligence, tandis que d’autres ont souligné l’importance de respecter la démocratie sénégalaise. En réponse aux critiques, Mwamba a tenté de rectifier le tir en publiant une vidéo de la visite de Sonko et Faye au Palais, exprimant ainsi son respect pour le Sénégal.

Cependant, la moquerie de certains utilisateurs sur les réseaux sociaux montre que les commentaires de Mwamba ont eu un impact significatif. Il semble que ce différend ait attiré l’attention sur les tensions politiques et sociales persistantes au Sénégal, mettant en lumière les divisions et les opinions divergentes au sein de la société.

En fin de compte, cet épisode souligne l’importance du respect mutuel et du dialogue dans le débat politique, ainsi que la nécessité de rechercher des solutions constructives pour surmonter les différences et promouvoir l’unité nationale.

Barthélemy Dias critique le choix d’un président “par procuration”

Lors du dernier jour de la campagne électorale, Barthélemy Dias, maire de Dakar, a pris la parole lors du meeting de Khalifa Sall à Grand-Yoff pour exprimer son point de vue sur le processus de sélection des candidats à la présidence du Sénégal. Sans mentionner de nom, Dias a indirectement visé le leader de la coalition Diomaye Président, remettant en question le concept de choisir un président par procuration.

Dias a déclaré que les Sénégalais ne recherchent pas un président désigné par une tierce personne, suggérant ainsi son désaccord avec le choix de soutenir un candidat choisi par quelqu’un d’autre que les électeurs eux-mêmes. Il a souligné que les citoyens ne veulent pas d’un chef de quartier ou d’un président d’Association sportive et culturelle (ASC) pour les diriger, insinuant ainsi que le processus de sélection du candidat ne devrait pas être dicté par des influences extérieures.

“J’avais dit que si Khalifa Sall n’est pas candidat, je vais soutenir une personne que je ne veux pas citer. Ce dernier ne pouvant plus être candidat a choisi un de ses proches. Je leur dis que les Sénégalais ne sont pas des animaux qu’on conduit comme on veut. Nous ne cherchons pas un chef de quartier, ni un président d’ASC”, a déclaré Dias.

Cette prise de parole de Dias soulève des questions sur le processus démocratique de sélection des candidats à la présidence et met en lumière l’importance pour les électeurs de pouvoir choisir leur leader sans influence extérieure. Elle met également en évidence les tensions politiques et les désaccords au sein de la classe politique sénégalaise à l’approche des élections présidentielles.

Karim Wade dévoile les coulisses de sa discussion avec Bassirou Diomaye Faye et critique Amadou Ba

À la veille de l’élection présidentielle au Sénégal, Karim Wade, ancien candidat recalé, a dévoilé publiquement les détails d’une conversation téléphonique qu’il a eue avec Bassirou Diomaye Faye, candidat de Pastef, et a adressé des critiques acerbes à l’endroit d’Amadou Ba, candidat de la coalition Bby.

Lors de cet échange, Karim Wade a partagé les discussions qu’il a eues avec Bassirou Diomaye Faye concernant la situation des libertés et de la démocratie dans le pays. Le candidat de Pastef a exprimé son souhait de renouveler l’alliance entre le PDS et le Pastef, soulignant l’importance de cette collaboration pour l’opposition. Karim Wade a promis de rapporter ces échanges à Maître Abdoulaye Wade, Secrétaire Général National du PDS.

Parallèlement, Karim Wade a également critiqué sévèrement Amadou Ba, candidat de la coalition Bby, l’accusant d’avoir corrompu certains membres du Conseil constitutionnel afin de rejeter sa propre candidature à l’élection présidentielle. Il a dénoncé une supposée tentative de confiscation de la volonté populaire par le candidat Bby, décrivant des manœuvres visant à détourner les suffrages des Sénégalais en sa faveur.

Ces révélations interviennent à un moment crucial de la campagne électorale, jetant une lumière crue sur les tensions et les rivalités politiques qui entourent l’élection présidentielle. Elles soulèvent également des questions sur l’intégrité du processus électoral et la transparence du système politique sénégalais.

Dans un contexte où les enjeux électoraux sont élevés et où chaque candidat cherche à rallier le soutien nécessaire, les déclarations de Karim Wade reflètent les luttes d’influence et les stratégies de chaque camp pour obtenir un avantage dans la course à la présidence.

À quelques heures du scrutin, ces révélations pourraient influencer l’opinion publique et façonner les choix des électeurs sénégalais lorsqu’ils se rendront aux urnes pour décider du futur dirigeant du pays.

Dr Cheikh Tidiane Dièye critique la visite d’Amadou Ba en France et appelle à la préservation de l’indépendance nationale du Sénégal

Cette publication semble exprimer les opinions de Docteur Cheikh Tidiane Dièye concernant la récente visite du Premier ministre Amadou Ba en France. Voici un résumé de ses principaux points :

Selon Dr Cheikh Tidiane Dièye, la visite du Premier ministre Amadou Ba en France doit être interprétée comme un acte politique, compte tenu de son statut de candidat potentiel à l’élection présidentielle sénégalaise.

Le message critique la photo du Premier ministre aux côtés d’Élisabeth Borne, Premier ministre de la France, lors du Séminaire intergouvernemental franco-sénégalais. Dr Cheikh Tidiane Dièye souligne que de tels gestes doivent appartenir au passé.

Le message met en avant la nécessité de préserver l’indépendance nationale du Sénégal, affirmant que le pays ne devrait être sous l’influence d’aucune puissance étrangère. Il envisage un Sénégal ouvert à toutes les nations, traitant chacune avec respect, égalité et solidarité.

Dr Cheikh Tidiane Dièye évoque un choix à faire entre la permanence d’un système basé sur la soumission et la rupture en faveur de la souveraineté.

Ces déclarations reflètent la position politique et les convictions de Dr Cheikh Tidiane Dièye face à la dynamique actuelle de la scène politique sénégalaise.

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