Décès de Me Khoureychi Bâ : Le barreau sénégalais en deuil

Le Sénégal vient de perdre l’une de ses figures emblématiques du monde judiciaire. Me Cheikh Khoureychi Bâ, avocat engagé et défenseur de nombreuses causes, est décédé ce mercredi 26 mars 2025 à Istanbul, des suites d’une maladie.

Me Khoureychi Bâ s’était illustré par son impliqué dans plusieurs dossiers sensibles, notamment ceux liés à l’actuel Premier ministre Ousmane Sonko et à d’autres affaires politiques de grande envergure. Connu pour sa droiture, son éloquence et son dévouement à la justice, il était une voix influente au sein du barreau sénégalais.

Tout au long de sa carrière, il a défendu des dossiers complexes, souvent au cœur de l’actualité nationale, et s’est battu pour le respect des droits et libertés fondamentales au Sénégal. Sa disparition est une grande perte pour la communauté judiciaire et pour tous ceux qui ont bénéficié de son expertise et de son engagement.

L’annonce de son décès a suscité une vive émotion au sein de la classe politique, du monde judiciaire et au sein du grand public. De nombreux hommages lui ont été rendus, saluant un homme de principes, un avocat dévoué et un ardent défenseur des causes qu’il portait.

En cette douloureuse circonstance, Ledakarois.sn présente ses sincères condoléances à sa famille, à ses proches ainsi qu’à l’ensemble du barreau sénégalais. Que son âme repose en paix.

Décès de Moustapha Ba en France : le gouvernement évoque une mort suspecte et une affaire d’État

Le Sénégal est sous le choc après l’annonce du décès de l’ancien ministre de l’Économie et des Finances, Moustapha Ba, retrouvé mort en France dans des circonstances jugées suspectes. L’information a été rendue publique par le porte-parole du gouvernement sénégalais, Amadou Moustapha Ndieck Sarré, lors d’une activité organisée par la Jeunesse Patriotique Sénégalaise (JPS) à Mbao.

« Il a été tué dans des conditions troubles », a affirmé M. Sarré, avant de soulever un pan délicat de cette affaire : « Ils ont menti sur les chiffres, ils ont menti au peuple sénégalais et aux partenaires. Lors de sa rencontre avec le président Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko, Moustapha Ba leur a révélé que les chiffres n’étaient pas exacts. »

Selon les déclarations du porte-parole, l’ancien ministre aurait récemment confié aux plus hautes autorités que les données économiques présentées sous le précédent régime étaient falsifiées, mettant en lumière une possible manipulation des finances publiques. Cette révélation aurait pu représenter un tournant majeur dans la gestion des affaires économiques du pays.

Le gouvernement affirme vouloir faire toute la lumière sur cette affaire, qui suscite déjà de nombreuses interrogations. Une enquête serait en cours pour élucider les circonstances du décès, et les autorités sénégalaises envisageraient de demander la coopération de la justice française.

L’opinion publique, quant à elle, s’interroge sur les implications de ces révélations et sur les intérêts que Moustapha Ba aurait pu déranger. Ce décès, désormais érigé en affaire d’État, risque d’avoir des répercussions politiques et judiciaires majeures dans les semaines à venir.

Lutte sénégalaise : Décès de Mame Ndiambane Diom, une légende tire sa révérence

La lutte sénégalaise est en deuil. L’ancienne gloire Mame Ndiambane Diom est décédée ce vendredi, aux environs de 10 heures, à l’hôpital de Foundiougne, dans la région de Fatick. La nouvelle de sa disparition a plongé le monde sportif sénégalais dans une profonde tristesse.

Figure emblématique et pilier de l’écurie Sine Saloum, Mame Ndiambane Diom a marqué de son empreinte l’histoire de la lutte sénégalaise. Avec une carrière riche et brillante, il a su s’imposer sur les arènes nationales en affrontant les plus grands noms de la discipline, parmi lesquels Tapha Guèye, Mouhamed Aly, Lac de Guier, Ndiaga Diop, entre autres. Son talent, son courage et son esprit de combativité ont fait de lui une véritable légende, respectée par ses pairs et admirée par de nombreux amateurs de lutte.

Au-delà de ses performances sportives, Mame Ndiambane Diom restera dans les mémoires comme un homme profondément attaché aux valeurs de discipline, d’honneur et de transmission. Il a porté haut les couleurs de son écurie et inspiré plusieurs générations de jeunes lutteurs.

L’inhumation de Mame Ndiambane Diom aura lieu ce vendredi à 17 heures à Mbam, son village natal. La communauté sportive, ses proches et ses admirateurs sont attendus en nombre pour lui rendre un dernier hommage digne de son parcours exceptionnel.

Que son âme repose en paix.

Tragédie post-combat de lutte : décès de Babacar Diagne suite à une agression

Le dimanche 16 février 2025, Babacar Diagne a été victime d’une agression mortelle alors qu’il rentrait chez lui après avoir assisté au combat de lutte entre Ama Baldé et Franc à l’Arène nationale. Ce drame a suscité une vive émotion au sein de l’opinion publique sénégalaise.

Dans un communiqué relayé par la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS), la ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture a exprimé son indignation face à cet acte de violence. Elle a souligné que « les circonstances atroces au cours desquelles le sieur Babacar Diagne a trouvé la mort nous interpellent encore une fois sur la violence qui gangrène notre société ».

La ministre a également déploré qu’un événement sportif, censé être un moment de célébration et de convivialité, puisse aboutir à de tels drames. Elle a fermement condamné ces actes et a exhorté à une prise de conscience collective, en particulier auprès de la jeunesse, afin de prévenir de nouvelles tragédies. « Nous en appelons à une prise de conscience des populations et de la jeunesse en particulier pour éviter ces situations malheureuses », a-t-elle insisté.

Les autorités ont annoncé l’ouverture d’une enquête pour identifier et traduire en justice les auteurs de cette agression. Ce tragique événement relance le débat sur la sécurité aux abords des manifestations sportives et la nécessité de renforcer les mesures préventives pour assurer la protection des citoyens.

Décès de la mère de Mamadou Lamine Diallo : Le Mouvement Tekki en deuil

Dakar est en deuil après le décès, ce mardi 11 février 2025, d’Adjiaratou Mariama Dia, mère de Mamadou Lamine Diallo, président du Mouvement Tekki. Une disparition qui plonge sa famille, ses proches et les membres de son parti politique dans une grande tristesse.

La levée du corps est prévue ce mercredi 12 février à 11 heures, à la mosquée du Point E, avant l’inhumation au cimetière musulman de Bakhiya à Yoff. Les condoléances seront reçues au domicile de la défunte, situé à la Zone B, villa 23/A.

Mamadou Lamine Diallo, économiste et homme politique reconnu pour son engagement en faveur de la bonne gouvernance et du développement économique du Sénégal, pourra compter sur le soutien de ses proches et de ses sympathisants en ces moments difficiles.

Le secrétariat permanent du Mouvement Tekki ainsi que de nombreuses personnalités politiques et membres de la société civile lui ont déjà adressé leurs condoléances.

Décès de Cheikh Mohamed Abdoulah Thiam, dit Masseck Thiam : Une grande perte pour la communauté

La communauté sénégalaise est en deuil après l’annonce du décès de Cheikh Mohamed Abdoulah Thiam, plus connu sous le nom de Masseck Thiam, ce dimanche à Dakar. Président de la Fondation Keur Rassoul, il était une figure respectée pour son engagement spirituel, social et humanitaire.

Fils de El Hadji Medoune Thiam, premier pharmacien à s’être installé dans le quartier de Castors, Masseck Thiam a perpétué une tradition de service et de dévouement à sa communauté. À travers la Fondation Keur Rassoul, il a œuvré sans relâche pour la solidarité, l’entraide et la promotion des valeurs islamiques, touchant de nombreuses vies par ses actions caritatives.

Son engagement dépassait les frontières de la spiritualité. Il était également une voix influente dans les initiatives sociales, apportant un soutien précieux aux plus démunis et contribuant à l’éducation, la santé et la cohésion sociale. Son leadership et sa générosité étaient unanimement salués par ses proches et par tous ceux qui ont bénéficié de son aide.

L’annonce de son décès a suscité une vive émotion au sein de la communauté religieuse et sociale du Sénégal. De nombreux témoignages affluent pour saluer la mémoire d’un homme d’exception, dont l’héritage perdurera à travers les nombreuses actions qu’il a entreprises.

Groupe le dakarois adresse ses sincères condoléances à la famille Thiam, ainsi qu’à tous ses proches, amis et disciples. Que son âme repose en paix et que son œuvre continue d’inspirer les générations futures.

Inna lillahi wa inna ilayhi raji’un.

Quatre décès en détention : la Ligue Sénégalaise des Droits Humains interpelle l’État

La Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH) a exprimé sa profonde consternation face aux décès de quatre personnes en détention dans les localités de Thiès, Saint-Louis, Mbacké et Tambacounda, survenus en l’espace de deux mois, entre décembre 2024 et janvier 2025. Ces tragédies soulèvent des interrogations sur les conditions de détention au Sénégal et appellent à une réponse urgente de l’État.

Dans un communiqué officiel, la LSDH a rappelé l’importance de respecter les normes internationales relatives aux droits des détenus, notamment les Règles Nelson Mandela, adoptées à l’unanimité par l’Assemblée générale des Nations Unies en 2015. Ces règles, qui constituent un cadre universel pour le traitement des prisonniers, visent à garantir la dignité, la santé et la sécurité des personnes privées de liberté.

Ces quatre décès mettent en lumière un problème récurrent dans les lieux de privation de liberté au Sénégal : les conditions d’incarcération, souvent critiquées pour leur surpopulation, leur manque d’hygiène et l’insuffisance des soins médicaux. La LSDH déplore le manque d’efforts suffisants de la part des autorités pour remédier à ces lacunes et protéger le droit fondamental à la vie.

Face à ces drames, la LSDH exhorte l’État à :

1. Ouvrir des enquêtes indépendantes sur les circonstances des décès et infliger des sanctions proportionnées aux responsables.

2. Renforcer les mécanismes de prévention en investissant dans l’amélioration des infrastructures pénitentiaires et en formant les agents de détention sur le respect des droits humains.

3. Organiser un conseil interministériel pour adopter des mesures correctives, conformément aux recommandations internationales.

Pour la LSDH, la préservation du droit à la vie, y compris pour les détenus, est un impératif moral et légal. L’organisation espère que les autorités sénégalaises agiront rapidement pour éviter que de telles tragédies ne se répètent.

Mystérieux décès d’Ibrahima Konté à la MAC de Ziguinchor : les détenus réclament justice et dénoncent des conditions inhumaines

Un vent de panique souffle sur la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Ziguinchor après le décès inattendu d’Ibrahima Konté, 41 ans, survenu le mardi 5 janvier 2025. Originaire de Djiboughère, dans le département de Bignona, ce détenu, jusqu’alors en bonne santé apparente selon ses codétenus, a été victime d’un malaise alors qu’il était évacué vers l’hôpital de la Paix de Ziguinchor. Son décès, constaté à 14h43 par les médecins, a suscité de vives interrogations parmi ses compagnons d’infortune qui dénoncent une mort jugée « mystérieuse ».

Transporté par la fourgonnette de la prison, le corps d’Ibrahima Konté a été déposé aux urgences de l’hôpital vers 14h35, soit quelques minutes avant que les médecins n’officialisent son décès. Les responsables de la MAC de Ziguinchor affirment qu’il aurait succombé à un malaise. Pourtant, les détenus réfutent cette version. Ils témoignent qu’Ibrahima Konté se portait bien la veille, ce qui alimente leurs doutes sur les circonstances réelles de sa mort. Pour eux, il est impératif de procéder à une autopsie et d’ouvrir une enquête indépendante afin de faire toute la lumière sur cette affaire.

Ce décès met en lumière un malaise profond au sein de la MAC de Ziguinchor. Les détenus pointent du doigt des conditions de détention qu’ils qualifient d’inhumaines. Selon leurs témoignages, la prison est surpeuplée et les infrastructures sont vétustes, ce qui rend leur quotidien insupportable. Ils comparent leur situation à celle des « cales de navires négriers » et appellent à l’intervention urgente des défenseurs des droits humains pour améliorer leurs conditions de vie.

La surpopulation carcérale, problématique récurrente dans les établissements pénitentiaires sénégalais, rend la situation particulièrement critique à Ziguinchor. Cette prison, conçue pour accueillir un nombre limité de détenus, est aujourd’hui un espace exigu et insalubre où les prisonniers vivent dans une promiscuité alarmante.

Face à ce drame, les codétenus d’Ibrahima Konté réclament non seulement une enquête, mais également une réforme en profondeur des conditions carcérales au Sénégal. Leurs revendications vont au-delà de la simple reconnaissance des droits humains en milieu pénitentiaire : elles exigent des solutions concrètes pour mettre fin à la surpopulation, rénover les infrastructures et assurer un suivi médical digne de ce nom.

Le décès d’Ibrahima Konté pourrait bien être le point de départ d’une mobilisation plus large pour la défense des droits des détenus au Sénégal. L’onde de choc provoquée par cet incident remet en question le traitement des prisonniers dans les établissements pénitentiaires du pays, où les dysfonctionnements semblent se multiplier.

Pour l’heure, les autorités restent silencieuses face aux accusations portées par les détenus de la MAC de Ziguinchor. Une enquête indépendante et transparente permettra peut-être de répondre aux nombreuses questions soulevées par cette affaire tragique. En attendant, la communauté carcérale et les organisations de défense des droits humains se mobilisent pour que justice soit rendue à Ibrahima Konté et pour prévenir d’autres drames similaires à l’avenir.

VIOLENCES PRÉSUMÉES SUR MINEUR : Décès troublant d’un garçon de 12ans dans un « daara » à Fadia

Le décès tragique de M.D., 12 ans, dans un “daara” de Fadia, soulève des interrogations sur les violences infligées aux élèves dans certains établissement religieux. Tandis que l’autopsie établit un traumatisme cervical comme cause de la mort, des témoignages de parents décrivent un environnement marqué par de violents sévices corporels. Parmi eux, I.L. rapporte que son fils, récemment opéré, a subi des coups entraînant des blessures sur plusieurs parties du corps.

Le décès de M.D., fils de N.D. et de B.D., survenu le mercredi 18 décembre 2024, continue de susciter une vive émotion et de nombreuses interrogations. L’enfant, âgé de 12 ans, a été déclaré mort à son arrivée dans une structure sanitaire située aux Parcelles Assainies. Selon les premières informations recueillies, c’est son maître coranique qui l’a transporté à l’hôpital, où le médecin a constaté le décès avant de délivrer un certificat médical mentionnant une « mort suspecte ».

Les autorités sanitaires ont immédiatement signalé l’affaire au commissariat des Parcelles Assainies. En réponse, le commissaire a ordonné une autopsie, réalisée à l’hôpital Général Idrissa Pouye, afin de déterminer les causes exactes de la mort. Le rapport médical est accablant : le légiste a relevé une luxation du rachis cervical en C1-C2, accompagnée d’un hématome, des poumons congestifs et œdémateux, ainsi qu’une congestion cérébrale avec engagement des amygdales cérébelleuses. Ces éléments ont permis de conclure à un décès causé par un traumatisme du rachis cervical.

À la lumière de ces conclusions, N.D., père du garçon décédé, a déposé une plainte au commissariat. Dans un entretien exclusif avec Le Dakarois Quotidien, il a partagé des détails bouleversants sur les circonstances ayant conduit à cet événement tragique.

D’après N.D., son fils M.D. était inscrit dans ce “daara” depuis 2021, après avoir quitté un autre établissement situé à Tivaouane. Il s’y trouvait en compagnie de deux de ses cousines, âgées de 7 ans, et avait déjà récité le Coran en entier à deux reprises. Le père a expliqué qu’il avait confié son fils à ce maître coranique, M.T., afin qu’il approfondisse ses connaissances. Cependant, il a révélé que depuis plusieurs mois, des signes de violences inquiétants avaient commencé à apparaître.

Le père se souvient notamment d’un incident survenu deux mois avant la mort de son fils. Une des cousines de M.D. lui avait rapporté que le garçon avait été sévèrement battu par un autre enseignant du “daara”, un certain I.Th., assistant du maître principal. Lorsque N.D. avait confronté M.T. par téléphone, ce dernier s’était excusé, mais la situation semblait loin d’être réglée. Selon N.D., I.Th., apprenant que la cousine de M.D. avait dénoncé les sévices, s’était acharné sur la fillette pour la punir. (NB: la rédaction dispose des images des sévices qui ne peuvent être publiées du fait de leur sensibilité).

UN « DAARA » APPAREMMENT HABITUEL DES FAITS

Un autre témoignage recueilli par « Le Dakarois Quotidien » vient confirmer les abus récurrents au sein de cet établissement. I.L., un autre parent d’élève, a récemment retiré son fils de 11 ans du même “daara” après que celui-ci a subi des violences graves. Le garçon avait récemment été opéré des amygdales, et le médecin lui avait interdit de parler fort pendant un mois. Malgré les assurances de M.T. que les consignes médicales seraient respectées, l’enfant est revenu chez lui avec des blessures inquiétantes à la bouche, au cou et à la tête.

Selon I.L., son fils, d’abord effrayé, avait menti en disant qu’il s’était blessé en tombant d’un escalier. Ce n’est qu’après plusieurs jours qu’il a avoué avoir été frappé par I.Th., qui ne tolère aucune insubordination. Ce témoignage a également révélé un climat de terreur au sein du “daara”, où les élèves sont menacés de sévices graves s’ils osent révéler les violences à leurs parents.

I.L. dénonce également le comportement du maître principal, M.T., qu’il accuse de transformer l’enseignement du Coran en une activité lucrative. « Ce n’est pas quelqu’un qui enseigne pour la Face de Dieu. Il a 63 élèves et chaque parent lui verse 40 000 francs CFA par mois ; c’est un businessman », a-t-il déclaré. Selon lui, son fils, après quatre ans dans cet établissement, n’a toujours pas maîtrisé l’intégralité du Coran, ce qui témoigne, à l’en croire, d’une approche purement intéressée.

Malgré ces accusations graves, M.T. a refusé de répondre en détail aux questions de la rédaction. Il s’est contenté de dire qu’il avait présenté ses condoléances à la famille de M.D., sans vouloir commenter les allégations de violences ou les accusations d’exploitation financière. La famille de l’enfant décédé a toutefois refusé de recevoir l’enveloppe de condoléances apportée par le maître coranique.

La Dakaroise

Mbacké : Décès d’un quinquagénaire, l’autopsie conclut à une mort naturelle

Une affaire de décès survenu à Mbacké, samedi 14 décembre, a finalement été élucidée par une autopsie. Les résultats de l’examen médical ordonné par le délégué du procureur près le Tribunal local de Grande Instance attestent que la mort est d’origine naturelle, selon les informations de Seneweb.

Le rapport médical, transmis au commissaire Alioune Fall, chef de service du commissariat urbain de Mbacké, a révélé que le décès de A. Lô, 59 ans, est survenu dans un contexte de « cardiomyopathie hypertrophique et ischémique décompensée ». L’autopsie, réalisée par le médecin légiste Dr. A.M.G de l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff, conclut également à l’absence de signes de traumatisme ou de traces de violence.

A. Lô, domicilié à Touba, s’était plaint de douleurs épigastriques trois jours avant son décès, selon un agent de l’administration pénitentiaire. Le quinquagénaire est décédé lors de son évacuation vers un centre de santé de Mbacké, ce samedi matin.

Informé du drame aux environs de 11h, le commissaire Alioune Fall a immédiatement adressé une réquisition à l’hôpital Matlaboul Fawzaini de Touba. Après un premier examen, le médecin B.B a indiqué que la cause du décès restait indéterminée et a recommandé une autopsie pour clarifier les circonstances.

Sur instruction du délégué du procureur près le Tribunal local, le corps a été transféré à Dakar pour expertise, malgré l’opposition manifeste de la famille du défunt. Le procureur a toutefois maintenu sa décision, estimant qu’une autopsie était nécessaire pour établir les faits.

Les résultats de l’autopsie mettent fin aux spéculations et confirment une mort naturelle, causée par une pathologie cardiaque. Aucun élément ne laisse entrevoir une intervention extérieure ou des violences ayant pu précipiter le décès de A. Lô.

Ousmane Diagne promet des avancées sur les décès lors des manifestations et les disparitions des gendarmes Sambou et Badji

Ce samedi, devant l’Assemblée nationale, Ousmane Diagne, ministre de la Justice, s’est exprimé sur deux dossiers sensibles qui continuent d’agiter l’opinion publique : les décès survenus lors des manifestations entre 2021 et 2024, ainsi que la disparition toujours non élucidée des gendarmes Fulbert Sambou et Didier Badji.

Des morts lors des manifestations : un engagement pour la justice
Ousmane Diagne a souligné l’importance de rendre justice aux victimes des manifestations violentes ayant secoué le pays ces dernières années. « Pour des faits aussi graves… dont certains se sont passés en direct, sous l’œil des caméras, que ces morts puissent rester impunis, ce serait un mauvais signal », a-t-il déclaré avec fermeté. Le ministre a assuré que des efforts significatifs sont en cours pour faire toute la lumière sur ces événements tragiques. « Le travail est déjà entamé. Toutes les responsabilités seront établies et les commanditaires répondront de leurs actes », a-t-il ajouté, réitérant sa volonté de ne pas laisser ces affaires dans l’ombre.

L’affaire des gendarmes Sambou et Badji : une priorité judiciaire
Concernant les disparitions de Fulbert Sambou et Didier Badji, deux gendarmes portés disparus dans des circonstances mystérieuses, Ousmane Diagne a annoncé que le dossier est en cours d’instruction. « Une information a été ouverte pour rechercher les causes de la mort de ces deux personnes », a-t-il expliqué. Reconnaissant l’émotion et les interrogations persistantes autour de cette affaire, le ministre a promis une enquête rigoureuse et impartiale.

Il a insisté sur la nécessité de déterminer les circonstances exactes de la disparition des deux gendarmes : « Il va falloir faire montre de la même détermination pour que les commanditaires et les exécutants de cet ignoble besogne puissent répondre de la façon la plus rigoureuse. »

Un appel à la transparence et à la rigueur judiciaire
Ces déclarations interviennent alors que les familles des victimes et de nombreux citoyens expriment des attentes pressantes pour que justice soit rendue. Les propos du ministre visent à rétablir la confiance dans le système judiciaire, souvent critiqué pour sa lenteur et son opacité dans les dossiers sensibles.

Cependant, ces promesses suffiront-elles à apaiser les tensions ? La société civile et l’opposition resteront attentives aux suites concrètes de ces annonces. Pour l’heure, les déclarations du ministre marquent une étape symbolique vers une gestion plus transparente de ces affaires.

Décès de Bassirou Diop : controverses autour des circonstances de sa mort en détention

Le décès de Bassirou Diop, membre de la garde rapprochée de Barthélémy Dias, survenu en détention le 7 décembre dernier, suscite une vive polémique. Tandis que l’autopsie, ordonnée par le procureur de Saint-Louis, conclut à une mort naturelle, cette version est contestée par Barthélémy Dias, qui exige des éclaircissements sur les conditions de détention et de suivi médical de son collaborateur.

Selon les informations rapportées par L’Observateur, Bassirou Diop s’était plaint de douleurs lombaires persistantes depuis plusieurs jours. Le 4 décembre, il avait informé ses proches de l’intensification de ses douleurs. Le lendemain, il fut admis à l’infirmerie de la prison de Saint-Louis, où il resta sous perfusion de 10 heures à 19 heures avant d’être renvoyé en cellule.

C’est le 6 décembre au matin, alors qu’il se trouvait dans sa cellule, qu’il aurait été pris d’un malaise respiratoire sévère. Alertés, les responsables de la prison l’ont rapidement transféré à l’infirmerie, puis à l’hôpital régional de Saint-Louis. Malgré la prise en charge du Dr Ali Diakhaté, il succomba le lendemain.

Face aux interrogations soulevées, le procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Saint-Louis a ordonné une enquête. La police locale a été mobilisée pour établir les faits et déterminer si les conditions de détention ou une éventuelle négligence médicale auraient pu contribuer au décès.

La famille du défunt, informée officiellement par le magistrat instructeur, a dépêché des représentants pour obtenir des précisions sur le déroulement de l’enquête et les modalités de restitution de la dépouille.

Barthélémy Dias, maire de Dakar et employeur de Bassirou Diop, a vigoureusement contesté les conclusions de l’autopsie. Il demande des explications sur les circonstances ayant conduit à son décès et sur l’absence présumée d’un suivi médical adapté, malgré les plaintes exprimées par le défunt.

« Les autorités doivent assumer leurs responsabilités. Ce décès n’aurait jamais dû arriver », a-t-il déclaré dans une intervention publique, exigeant que justice soit rendue et que l’enquête se déroule en toute transparence.

La dépouille de Bassirou Diop sera inhumée ce mardi 10 décembre, dans un climat de tensions palpables. Ce drame relance le débat sur les conditions de détention dans les prisons sénégalaises et le traitement médical réservé aux détenus.

Les résultats de l’enquête en cours seront déterminants pour établir la vérité et répondre aux nombreuses questions soulevées par cette affaire.

AUTOPSIE DE BASSIROU DIOP : Une cardiomyopathie hypertrophique décompensée identifiée comme cause du décès

La rédaction du Dakarois Quotidien a pu consulter le certificat de décès de Bassirou Diop, le garde du corps de Barthélémy Dias, qui est décédé le 7 décembre 2024. Le document, issu de l’autopsie pratiquée ce 09 décembre à l’Hôpital Idrissa Pouye (HOGIP), a permis d’établir les causes de sa mort.
Selon les résultats, la victime présentait plusieurs anomalies corporelles. Tout d’abord, une contusion de la pommette droite a été notée, un traumatisme physique mineur qui ne semble pas être la cause principale du décès. Cependant, des complications cardiaques graves ont été révélées par l’examen médical.
Il a été observé une cardiomégalie, c’est-à-dire une hypertrophie du cœur, pesant 500g, accompagnée d’une hypertrophie du myocarde ventriculaire de 1,8 cm. Ces deux éléments sont des signes de dysfonctionnement cardiaque sévère.
L’autopsie a également révélé une congestion et un œdème pulmonaire, avec un poids anormalement élevé des poumons : le poumon droit pesait 1250g, et le poumon gauche pesait 1100g, ce qui indique un dysfonctionnement cardiaque affectant la circulation sanguine vers les poumons.
De plus, une hépatomégalie « muscade » de 2800g a été constatée, une condition dans laquelle le foie est dilaté en raison d’une congestion liée à l’insuffisance cardiaque. Le contenu gastrique était liquide, mais sans particularités notables.
L’examen a aussi révélé une congestion cérébrale, suggérant des problèmes de circulation sanguine au niveau du cerveau, souvent associés à des défaillances cardiaques graves. Un examen microscopique d’un fragment de poumon par technique de cryotonie rapide a montré des signes typiques de poumon cardiaque, une manifestation fréquente d’insuffisance cardiaque.
Ainsi, la cause principale du décès de Bassirou Diop a été identifiée comme étant une cardiomyopathie hypertrophique décompensée, une pathologie cardiaque grave ayant entraîné des complications multiviscérales fatales.

Décès de Massamba Sarré : le Chef de l’État rend hommage à un pionnier de la diplomatie sénégalaise

Le Sénégal est en deuil après la disparition de l’ambassadeur Massamba Sarré, figure emblématique et pionnier de la diplomatie sénégalaise. Dans un message publié sur X (anciennement Twitter), le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a exprimé ses condoléances les plus émues à la famille du défunt, ainsi qu’à l’ensemble du corps diplomatique sénégalais.

« J’ai appris la triste nouvelle du décès de l’ambassadeur Massamba Sarré, un des pionniers de la diplomatie sénégalaise. À sa famille, aux membres de l’amicale des anciens ambassadeurs de la carrière diplomatique et à tous les fonctionnaires du cadre des affaires étrangères, j’adresse mes condoléances émues », a déclaré le Chef de l’État. Il a également prié pour que le défunt repose en paix : « Puisse Allah accorder au défunt sa miséricorde et l’accueillir dans son paradis éternel. »

Massamba Sarré est considéré comme l’un des bâtisseurs de la diplomatie sénégalaise moderne. Au cours de sa carrière, il a représenté le Sénégal dans plusieurs missions stratégiques, marquant de son empreinte l’histoire des relations internationales du pays. Ses collègues et les membres de l’Amicale des anciens ambassadeurs se souviennent de lui comme d’un homme d’honneur, d’un mentor et d’un fervent défenseur des valeurs sénégalaises sur la scène mondiale.

Le décès de l’ambassadeur Sarré suscite une vive émotion dans les milieux diplomatiques et au-delà. De nombreuses personnalités ont déjà adressé leurs hommages à celui qui a consacré sa vie au service de la nation. Ce départ marque la fin d’une époque pour la diplomatie sénégalaise, qui perd un homme de grande expérience et de sagesse.

Le peuple sénégalais, uni dans le recueillement, salue la mémoire d’un patriote dont le parcours restera une source d’inspiration pour les générations futures.

Polémique autour du décès de l’ancien ministre des Finances Mamadou Moustapha Bâ : Abdou Mbow appelle à une meilleure gestion

Le décès récent de l’ancien ministre des Finances et du Budget, Mamadou Moustapha Bâ, continue de susciter des réactions au sein de la classe politique sénégalaise. Abdou Mbow, ancien président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar, s’est exprimé sur la polémique entourant cette disparition, mettant en avant des dysfonctionnements et des fuites d’informations regrettables.

Dans une interview accordée au journal Source A, Abdou Mbow a tenu à rendre hommage à Mamadou Moustapha Bâ, rappelant les qualités d’un homme qu’il décrit comme « serviable » et « grand pédagogue ». Il a souligné l’impact positif de l’ancien ministre, aussi bien sur la scène nationale qu’internationale, en tant que figure respectée.

Cependant, l’hommage rendu par Abdou Mbow ne s’est pas fait sans une critique ouverte de la manière dont l’affaire a été gérée par les autorités. « Je crois que cette affaire aurait dû être mieux gérée », a-t-il déploré, pointant du doigt les difficultés rencontrées par la famille du défunt pour récupérer le corps, une situation qui aurait, selon lui, pu être évitée avec une meilleure coordination des services de l’État.

Abdou Mbow, investi aux législatives sur la liste de la coalition Takku Wallu Sénégal dirigée par l’ancien président Macky Sall, a également exprimé ses préoccupations concernant les informations divulguées dans la presse. « Concernant le décès de Mamadou Moustapha Bâ, je pense que la Justice doit faire son travail. Mais si nous avons des dirigeants responsables, ils doivent tout mettre en œuvre pour que certaines informations ne fuitent pas, car elles peuvent choquer », a-t-il affirmé.

Pour le responsable politique, la priorité aurait dû être de préserver la dignité du défunt et d’épargner la famille de situations éprouvantes. Il a appelé les dirigeants à faire preuve de plus de retenue et de responsabilité dans de tels moments de deuil national. « C’était un homme très respecté ici et au niveau international. Donc, il fallait épargner les populations et surtout sa famille », a conclu Abdou Mbow.

Cette déclaration s’inscrit dans un contexte tendu, marqué par une certaine cacophonie au sommet de l’État, alimentant les spéculations et les débats sur la gestion de ce dossier sensible. La sortie d’Abdou Mbow pourrait relancer le débat sur la responsabilité des autorités et sur la nécessité d’une gestion plus rigoureuse des affaires touchant à la vie privée et à l’intimité des familles des hauts responsables décédés.

En attendant, la classe politique continue de rendre hommage à Mamadou Moustapha Bâ, saluant son parcours exemplaire et son engagement au service de la nation.

Décès mystérieux de Moustapha Bâ : l’enquête s’intensifie, la veuve convoquée à la Dic

La mort de Moustapha Bâ, ancien ministre des Finances et du Budget du Sénégal, continue de susciter de vives interrogations. L’homme politique, décédé lundi dernier à Paris après avoir été plongé dans le coma pendant plusieurs jours, était en séjour dans la capitale française lorsqu’il a été victime d’un malaise soudain. Alors que le choc de sa disparition s’est répandu au Sénégal et au-delà, les autorités sénégalaises prennent la mesure de l’affaire.

Selon les informations révélées par le quotidien L’Observateur, la Division des investigations criminelles (Dic) mène activement des recherches pour faire la lumière sur cette mort qui, selon des éléments préliminaires, pourrait ne pas être naturelle. C’est dans ce cadre que la veuve de l’ex-ministre a été convoquée. « La convocation est sur la table du patron de la Dic », indique une source proche de l’enquête.

L’épouse de Moustapha Bâ figure parmi les premières personnes à avoir vu le corps de son mari en France. Les enquêteurs espèrent obtenir des éclaircissements sur plusieurs points cruciaux, notamment sur les fréquentations du défunt en France, le contenu de leurs dernières conversations, ainsi que sur son état de santé avant le malaise fatal. Le quotidien sénégalais rapporte également que les policiers cherchent à identifier la ou les personnes ayant récupéré les effets personnels du ministre à l’hôtel où il séjournait, un détail jugé important dans l’enquête.

La dépouille de Moustapha Bâ est arrivée à Dakar samedi dernier, et l’enterrement, initialement prévu pour dimanche à Nioro, a été reporté sur ordre du procureur de la République. Ce dernier a ordonné une autopsie, dont les résultats semblent avoir révélé des éléments inattendus. Dans un communiqué, le procureur a mentionné « plusieurs éléments de nature à attester que la mort de Moustapha Bâ n’est pas naturelle ». Cette déclaration a provoqué une onde de choc, renforçant les soupçons autour des circonstances de son décès.

Les autorités sénégalaises envisagent d’ouvrir une information judiciaire qui pourrait mener à une commission rogatoire en France, où le décès a eu lieu. La complexité de l’affaire et l’implication potentielle de plusieurs acteurs, aussi bien au Sénégal qu’en France, suggèrent que l’enquête prendra une dimension internationale. Un certificat de genre de mort avait initialement été délivré en France, attestant d’une mort naturelle, mais les nouvelles informations semblent contredire cette conclusion.

En parallèle, d’autres proches de l’ancien ministre devraient être auditionnés par la Dic dans les jours à venir. Ces interrogatoires permettront peut-être d’apporter des éléments supplémentaires pour éclaircir les circonstances entourant ce décès inattendu et tragique.

La disparition de Moustapha Bâ laisse un grand vide dans le paysage politique et économique sénégalais, et ses proches, tout comme l’opinion publique, attendent désormais des réponses claires sur ce qui s’est réellement passé.

Décès de l’ancien ministre Mamadou Moustapha Ba – Une autopsie conclut à une mort suspecte

La mort soudaine de Mamadou Moustapha Ba, ancien ministre des Finances et du Budget du Sénégal, continue de soulever des interrogations. En effet, selon un communiqué officiel du procureur de la République, les résultats de l’autopsie ont révélé que le décès de l’ancien ministre n’est pas de cause naturelle, ouvrant ainsi la voie à une enquête approfondie.

L’annonce du procureur de la République, parvenue ce dimanche, confirme que « plusieurs éléments relevés lors de l’autopsie tendent à attester que la mort n’est pas naturelle ». Cette déclaration, bien que brève, laisse entendre qu’il pourrait s’agir d’un acte criminel, sans toutefois préciser les détails des anomalies relevées lors de l’examen du corps.

Face à cette découverte, les autorités judiciaires ont pris la décision de prolonger l’enquête afin de déterminer les circonstances exactes du décès. Le procureur a indiqué que « des actes d’enquête complémentaires » sont nécessaires avant de pouvoir autoriser la levée du corps et l’inhumation de l’ancien ministre.

La mort de Mamadou Moustapha Ba, figure éminente du gouvernement sénégalais, a été un choc pour beaucoup. Ministre des Finances et du Budget, il a été un acteur clé dans les politiques économiques du pays, contribuant à plusieurs réformes importantes. Sa disparition soudaine avait été initialement perçue comme naturelle, mais les conclusions de l’autopsie viennent chambouler cette hypothèse.

L’annonce de ces résultats va certainement accroître la pression sur les autorités pour faire toute la lumière sur cette affaire. L’ouverture d’une enquête approfondie laisse penser que des zones d’ombre entourent le décès de l’ancien ministre, ce qui pourrait relancer les spéculations et les rumeurs autour des causes réelles de sa mort.

En attendant les résultats des investigations complémentaires, les procédures de levée du corps et d’inhumation ont été reportées. Une décision qui témoigne de la volonté des autorités judiciaires de garantir que toutes les pistes soient explorées avant de clore le dossier.

Ce report pourrait être mal perçu par la famille et les proches du défunt, désireux de lui rendre un dernier hommage. Cependant, cette démarche vise à préserver l’intégrité de l’enquête en cours et à permettre de réunir tous les éléments nécessaires pour éclaircir les circonstances de cette mort inattendue.

Les Sénégalais, choqués par cette nouvelle, attendent désormais des réponses claires et précises de la part des autorités. De nombreuses voix s’élèvent déjà pour demander une enquête transparente et impartiale, afin de dissiper tout doute et d’éviter toute politisation de l’affaire.

Alors que le pays s’apprête à entrer dans une nouvelle période électorale, cette affaire pourrait prendre une dimension politique, notamment si des indices venaient à montrer une implication quelconque de personnalités influentes.

Les prochains jours seront décisifs pour l’enquête. Le procureur de la République a promis de tenir le public informé des avancées de l’enquête et des nouveaux éléments qui pourraient survenir. En attendant, la famille de Mamadou Moustapha Ba et l’ensemble de la nation sénégalaise restent dans l’expectative, espérant que la vérité sera rapidement établie et que justice sera rendue.

Décès de l’ancien ministre Moustapha Bâ : Un certificat médical confirme une mort naturelle

Le Sénégal est en deuil suite au décès de l’ancien ministre Moustapha Bâ. L’homme politique a rendu l’âme en France après plusieurs jours de coma. Selon les informations recueillies par Dakaractu, le certificat de genre de mort, établi par un médecin français, confirme que Moustapha Bâ est décédé de causes naturelles.

L’ancien ministre était hospitalisé en France, où il a passé plusieurs jours dans le coma avant de succomber. Le certificat médical délivré sur place a permis de lever toute ambiguïté sur les circonstances de son décès. La famille du défunt, munie de ce document officiel, a pu organiser le rapatriement du corps vers Dakar, où il sera inhumé.

Ce décès survient alors que Moustapha Bâ avait, ces dernières années, adopté un profil plus discret après une carrière marquée par un engagement fort au sein du gouvernement sénégalais. Bien que les détails sur l’origine de son coma n’aient pas été communiqués, la confirmation d’une mort naturelle écarte toute spéculation autour des causes de sa disparition.

Moustapha Bâ a occupé plusieurs postes de responsabilité au sein du gouvernement sénégalais. Reconnu pour son expertise et son engagement, il a contribué à des réformes importantes dans les secteurs qu’il a dirigés. Son décès laisse un vide au sein de la classe politique sénégalaise, où il était respecté tant pour ses compétences que pour son intégrité.

À l’annonce de son décès, de nombreuses personnalités politiques et civiles ont exprimé leur tristesse et leurs condoléances à sa famille. Des hommages ont afflué sur les réseaux sociaux, rappelant son dévouement au service du pays et son impact sur la vie publique sénégalaise.

Un proche collaborateur de Moustapha Bâ, sous couvert d’anonymat, a déclaré : « C’était un homme d’une grande rigueur, doté d’une vision claire pour le développement de notre nation. Son départ est une perte immense pour le Sénégal. »

La dépouille de Moustapha Bâ est attendue à Dakar dans les prochains jours, où des funérailles nationales pourraient être organisées pour honorer sa mémoire. De nombreuses personnalités politiques et membres du gouvernement devraient être présents pour rendre un dernier hommage à cet homme qui a marqué son époque.

Pour l’heure, la famille du défunt demande le respect de son intimité durant cette période difficile. Les détails sur les funérailles seront communiqués ultérieurement.

Le décès de Moustapha Bâ rappelle à quel point sa contribution à la scène politique sénégalaise a été significative. Son engagement en faveur du développement et de la modernisation du pays restera gravé dans les mémoires.

Alors que le Sénégal se prépare à lui rendre un dernier hommage, nombreux sont ceux qui se souviendront de Moustapha Bâ comme d’un homme d’État dévoué, ayant œuvré pour le bien-être de ses concitoyens.

Décès de Mamadou Moustapha Ba : Ouverture d’une enquête pour éclaircir les circonstances

Le décès de Mamadou Moustapha Ba, ancien ministre des Finances et du Budget du Sénégal, survenu récemment en France, a suscité des interrogations et conduit les autorités sénégalaises à ouvrir une enquête. En effet, le procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar a annoncé l’ouverture d’une procédure pour déterminer les causes exactes de ce décès, jugé suspect ou inexpliqué.

Suite aux informations communiquées par les autorités françaises, des éléments troublants ont été relevés, nécessitant une investigation approfondie. Conformément à l’article 66 du Code de procédure pénale sénégalais, une autopsie a été ordonnée par le procureur. Cette décision vise à lever les zones d’ombre entourant le décès de Mamadou Moustapha Ba, en permettant aux experts médicaux de procéder à un examen approfondi afin de déterminer les causes potentielles, qu’elles soient médicales ou accidentelles.

L’autopsie constitue une étape essentielle dans ce type d’enquête, car elle fournira des indications précises sur les circonstances de la mort. Les résultats permettront ainsi aux autorités judiciaires de prendre les mesures adéquates pour éclaircir cette disparition subite.

Mamadou Moustapha Ba était une figure respectée et influente de l’administration publique sénégalaise. En tant que ministre des Finances et du Budget, il a joué un rôle crucial dans la gestion économique du pays, notamment à travers la mise en œuvre de réformes financières majeures. Sa rigueur, son intégrité et son engagement envers le développement du Sénégal ont marqué de nombreuses générations de fonctionnaires et de décideurs.

Sa disparition soudaine a plongé le Sénégal dans le deuil, suscitant une vague d’émotion au sein de la population et des autorités. De nombreux témoignages de sympathie et de respect affluent, saluant la mémoire d’un homme qui a consacré sa vie au service public.

Le décès de Mamadou Moustapha Ba intervient dans un contexte où le Sénégal traverse des moments sensibles sur le plan politique et économique. Les autorités sénégalaises, tout en exprimant leur tristesse, ont insisté sur la nécessité de mener une enquête transparente et impartiale. Le ministère de la Justice a réaffirmé son engagement à suivre de près l’évolution de cette affaire.

En attendant les résultats de l’autopsie, la famille de Mamadou Moustapha Ba appelle au respect de la mémoire de l’ancien ministre et invite le public à la patience. Une cérémonie en hommage pourrait être organisée dès le rapatriement du corps au Sénégal, permettant ainsi aux citoyens de lui rendre un dernier hommage.

La disparition de Mamadou Moustapha Ba représente une perte considérable pour le Sénégal. Sa carrière exemplaire et ses contributions significatives à l’administration resteront gravées dans la mémoire collective.

Décès de Mamadou Moustapha Ba : Dr Abdourahmane Ba rend hommage à un patriote exemplaire

C’est avec une douleur incommensurable que j’ai appris le décès de Mamadou Moustapha Ba, ancien ministre de l’Économie et des Finances du Sénégal, survenu de manière aussi soudaine que bouleversante. Moustapha et moi partagions un parcours académique commun à l’École Supérieure d’Économie Appliquée (ESEA), où il a étudié au département de Planification et d’Aménagement (PEGO), tandis que j’évoluais au département de Statistiques et Démographie (STADE).

Nos chemins professionnels se sont croisés lorsque je travaillais au Sénégal pour des programmes de développement financés par la Banque mondiale : le Programme National d’Infrastructures Rurales (PNIR), en tant que spécialiste en suivi et évaluation, et le Programme des Services Agricoles et Organisations de Producteurs (PSAOP) comme Directeur national de Suivi et Évaluation entre 2002 et 2009. À cette époque, Moustapha dirigeait la Direction de la Coopération Économique et Financière (DCEF), où il jouait un rôle essentiel dans le pilotage des initiatives de développement, veillant à leur alignement avec les orientations stratégiques du gouvernement et à l’optimisation des décaissements au bénéfice de nos concitoyens.

Mamadou Moustapha Ba était un expert accompli et un administrateur brillant, dont la stature intellectuelle et professionnelle suscitait le respect de tous, tant au sein du Ministère de l’Économie et des Finances qu’auprès des institutions partenaires. Sa présence dans les échanges avec la Banque mondiale était marquée par une détermination inébranlable à défendre les intérêts du Sénégal, et il savait, avec finesse et rigueur, représenter notre pays face aux exigences de ces missions internationales. Au-delà de sa compétence technique, il était un allié précieux dans nos efforts pour mettre en œuvre avec succès des projets ambitieux. Son soutien, ses conseils et ses encouragements nous aidaient à surmonter les défis administratifs et opérationnels. Sa clairvoyance et son sens du devoir faisaient de lui une figure d’exception dans l’administration sénégalaise vue de l’extérieur.

Un souvenir impérissable témoigne de l’exemplarité et du patriotisme de Mamadou Moustapha Ba : lors de la mise en œuvre d’un programme de renforcement des capacités pour les cadres du gouvernement, financé par le PSAOP2, il fit un choix rare, empreint de générosité et de sens national. Initialement prévue pour lui seul au Canada, la formation portait sur la gestion axée sur les résultats et le Cadre de Dépenses à Moyen Terme (CDMT), deux piliers essentiels pour optimiser l’efficacité des actions publiques et assurer une rigueur budgétaire exemplaire au sein des institutions. Cependant, plutôt que de suivre ce programme de manière individuelle au Canada, Moustapha décida de faire venir les experts au Sénégal pour organiser un séminaire auquel tous les cadres de son département purent participer.

Ce geste, dicté par une grande générosité et un profond attachement aux intérêts de son pays, permit d’élargir l’accès à cette formation stratégique, afin que chaque cadre sénégalais de son département puisse se doter d’outils concrets pour une gestion efficace des ressources publiques, une meilleure transparence, et une mise en œuvre rigoureuse des politiques publiques. Aujourd’hui, alors que nous déplorons sa disparition, je rends hommage à cet homme de grande valeur et adresse mes plus sincères condoléances à sa famille et à ses proches. Que la terre lui soit légère et que son souvenir inspire les générations à venir par son modèle de dévouement au service de l’État.

Dr Abdourahmane Ba
Ingénieur Statisticien, Docteur en Management
Consultant international
Président du mouvement ESSOR (Engagement Solidaire pour un Sénégal Organisé et Résilient)

Le Sénégal en deuil : Amadou Makhtar Mbow s’éteint à l’âge de 103 ans

Le Sénégal pleure l’une de ses figures les plus emblématiques, le professeur Amadou Makhtar Mbow, décédé dans la nuit du lundi au mardi 24 septembre 2024 à Dakar, à l’âge de 103 ans. Né le 20 mars 1921, ce centenaire au parcours exceptionnel a marqué l’histoire du pays et du monde entier par son engagement inébranlable en faveur de l’éducation, de la culture, et du développement des nations.

Ancien ministre de l’Éducation et de la Culture dans les années 1960-1970, Amadou Makhtar Mbow est surtout connu pour son mandat à la tête de l’UNESCO de 1974 à 1987. Pendant ces treize années, il a œuvré pour un nouvel ordre mondial de l’information et de la communication, se battant pour une meilleure représentativité des pays du Sud dans les instances internationales. Ce combat pour l’égalité et la justice lui a valu une reconnaissance mondiale.

Amadou Makhtar Mbow, un érudit respecté, avait également présidé les Assises Nationales de 2008, un moment historique où il a contribué à tracer des perspectives nouvelles pour le Sénégal. Son influence sur le plan national et international reste gravée dans les mémoires.

En reconnaissance de ses contributions inestimables à l’éducation et à la culture, l’Université de Diamniadio, inaugurée le 1er décembre 2022, porte désormais son nom. Un hommage vibrant à cet homme dont le savoir et la sagesse ont inspiré des générations de Sénégalais et au-delà.

La cérémonie de son enterrement est prévue pour demain, mercredi 25 septembre 2024, selon une source proche de la famille. Dakaractu présente ses condoléances les plus sincères à sa famille et au peuple sénégalais qui perd un géant de l’histoire contemporaine.

Un héritage incommensurable
Amadou Makhtar Mbow laisse derrière lui un héritage immense. Son engagement pour l’éducation, la culture et l’émancipation des peuples, son combat pour la souveraineté intellectuelle des pays du Sud, resteront gravés dans l’histoire. Le Sénégal et le monde entier se souviendront de lui comme d’un visionnaire, un homme de principes et de conviction.

Qu’il repose en paix.

Touba : Un troisième décès enregistré suite aux inondations

Les inondations continuent de faire des victimes à Touba, plongeant la ville dans un climat de tristesse et de désolation. Ce mercredi, un troisième décès a été confirmé à Keur Niang, portant à trois le nombre de morts liés aux intempéries.

La victime, S. Tall, a tragiquement perdu la vie par électrocution alors qu’il tentait de pomper les eaux pluviales qui envahissent la ville depuis plusieurs jours. Selon le témoignage recueilli par Seneweb, Maka Thiam, un témoin de la scène, a déclaré que la victime manipulait l’appareil de pompage au moment où elle a reçu une décharge électrique fatale. « Il était en train de manipuler l’appareil. Malheureusement, il a reçu une décharge électrique », a confié M. Thiam, visiblement bouleversé par l’incident.

Le corps sans vie de S. Tall a été immédiatement transporté à la morgue de la localité pour les procédures nécessaires. Cette perte vient s’ajouter à celles déjà déplorées à Touba, où les fortes pluies ont causé des inondations dévastatrices, perturbant la vie des habitants.

Les autorités locales, ainsi que les services de secours, restent mobilisés pour tenter de soulager les sinistrés et éviter de nouveaux drames. Toutefois, cette nouvelle tragédie rappelle l’urgence de renforcer les dispositifs de sécurité et les infrastructures face aux inondations récurrentes dans la région.

Les habitants, quant à eux, restent dans l’attente de solutions pérennes pour faire face aux aléas climatiques, qui semblent devenir de plus en plus fréquents et destructeurs dans la zone.

Décès de Sega Sakho : Le football sénégalais en deuil

Le monde du football sénégalais est en deuil après la disparition de Sega Sakho, ancien international sénégalais, qui s’est éteint ce lundi à l’âge de 75 ans. L’ancienne gloire des Lions a succombé à une maladie cardio-vasculaire à l’hôpital Principal de Dakar.

Sega Sakho a marqué de son empreinte l’histoire du football national dans les années 70, période durant laquelle il a brillé avec l’équipe nationale du Sénégal. Attaquant redouté, il était connu pour sa technique raffinée et son sens du but, qualités qui lui ont valu l’admiration de ses pairs et des supporters.

Au niveau local, Sakho a défendu les couleurs de clubs emblématiques tels que la Jeanne d’Arc, les ASC Jaraaf et la Linguère, où il a laissé des souvenirs impérissables. Ses performances ont contribué à hisser ces clubs au sommet du football sénégalais.

Sa disparition laisse un vide immense dans le cœur des amoureux du ballon rond au Sénégal. Les hommages affluent de partout pour saluer la mémoire de cet ancien Lion, véritable icône du football sénégalais.

Les obsèques de Sega Sakho seront probablement marquées par la présence de nombreuses figures du sport, venues rendre un dernier hommage à un homme qui a contribué à écrire quelques-unes des plus belles pages de l’histoire du football sénégalais.

Que son âme repose en paix.

Décès tragique de Rebecca Cheptegei : l’athlétisme en deuil face à un féminicide insensé

Jeudi matin, l’athlète ougandaise Rebecca Cheptegei, âgée de 33 ans, est décédée des suites de ses blessures après avoir été immolée par le feu par un homme identifié comme son compagnon. L’acte, survenu quatre jours plus tôt dans l’ouest du Kenya, a suscité une vive émotion dans le monde de l’athlétisme et parmi les associations de défense des droits des femmes, appelant à mettre fin aux féminicides.

Le drame a eu lieu dimanche à Endebess, une localité proche de la frontière ougandaise, où Rebecca Cheptegei vivait avec sa sœur et ses deux filles, âgées de 9 et 11 ans. Le suspect, Dickson Ndiema Marangach, s’est introduit dans la propriété familiale en l’absence de la marathonienne, alors à l’église avec ses enfants. À leur retour, l’homme l’a aspergée d’essence avant de la brûler vive sous les yeux de ses filles, un acte décrit par la police comme la conséquence de « disputes familiales constantes ». Les blessures de Cheptegei, qui couvraient plus de 80 % de son corps, ont entraîné une défaillance de plusieurs organes, malgré les efforts des médecins du Moi Teaching and Referral Hospital (MTRH) à Eldoret.

Cet acte cruel a provoqué une vague d’indignation, tant au Kenya qu’en Ouganda. Donald Rukare, président du Comité olympique ougandais, a condamné « un acte lâche et insensé » et appelé à une action forte contre les violences faites aux femmes. Athletics Kenya, par la voix de son président, a exprimé une profonde tristesse, soulignant la nécessité de combattre la violence sexiste. Njeri Migwi, cofondatrice de l’association kényane Usikimye, a réagi en appelant à mettre fin aux féminicides, rappelant la mémoire de l’athlète en ces mots : « Rebecca Cheptegei est morte. Nous prononçons ton nom du pays des vivants. Repose en paix. »

Joan Chelimo, une athlète d’origine kényane et militante contre la violence sexiste, s’est dite « profondément bouleversée et indignée par cette attaque horrible ». Engagée dans la lutte contre les féminicides via l’association Tirop’s Angels, fondée après le meurtre en 2021 de l’athlète Agnes Tirop, Chelimo a réaffirmé son engagement à sensibiliser et à œuvrer pour un avenir sans violence.

Selon Joseph Cheptegei, père de la marathonienne, l’attaque est liée à un différend foncier concernant la propriété qu’elle avait acquise. « C’est le terrain qu’elle a acheté qui a causé les problèmes », a-t-il affirmé, demandant au gouvernement de prendre en charge la propriété de sa fille ainsi que l’avenir de ses enfants.

Ce drame rappelle tristement d’autres féminicides ayant marqué le monde de l’athlétisme au Kenya. En octobre 2021, la mort violente d’Agnes Tirop, 25 ans, poignardée par son mari, avait déjà bouleversé la communauté sportive. En avril 2022, Damaris Mutua, athlète bahreïnie d’origine kényane, avait elle aussi été tuée par son compagnon à Iten, un lieu emblématique de l’entraînement des athlètes.

Le décès de Rebecca Cheptegei soulève à nouveau des questions pressantes sur la violence domestique et les féminicides, et rappelle la nécessité urgente d’une action collective pour protéger les femmes, en particulier dans les communautés sportives.

Décès de Sokhna Waalo Mbacké : Une figure spirituelle s’éteint à Touba

Touba est en deuil suite au décès de Sokhna Waalo Mbacké, la fille aînée du cinquième khalife de la ville sainte. Connue pour sa grande piété et son profond attachement aux enseignements de Cheikh Ahmadou Bamba, fondateur du Mouridisme, et de son père, Serigne Saliou Mbacké, Sokhna Waalo Mbacké a marqué de son empreinte la communauté mouride.

Sokhna Waalo Mbacké, dont la vie était un modèle de dévotion et de foi, était admirée pour son engagement spirituel et son rôle de guide au sein de sa famille et de la communauté. Elle incarnait les valeurs et les principes inculqués par son père et par Cheikh Ahmadou Bamba, dont elle portait fièrement l’héritage. Sa vie entière a été dédiée à la pratique religieuse, au service des autres et à la transmission des enseignements mourides.

Récemment, elle s’était distinguée par un geste de grande générosité envers Serigne Mountakha Mbacké, l’actuel khalife général des mourides. En effet, elle avait remis à ce dernier une somme de 16 millions de francs en guise d’aadiya, un don traditionnel, pour contribuer à la construction de l’Université Cheikh Ahmadoul Khadim. Ce geste, qui témoigne de son attachement profond à la cause mouride, restera gravé dans les mémoires.

Sa disparition laisse un vide immense au sein de la communauté mouride et au-delà. Elle était une figure respectée et aimée, non seulement pour sa noblesse de cœur, mais aussi pour son engagement constant à suivre et à promouvoir les enseignements de Cheikh Ahmadou Bamba.

En ces moments de recueillement, la communauté mouride, ainsi que tous ceux qui l’ont connue, rendent hommage à une femme d’une foi inébranlable, une mère, une guide spirituelle qui a consacré sa vie à Dieu et à la cause de l’islam. Son héritage spirituel continuera d’inspirer les générations futures.

Puisse Dieu l’accueillir dans Son paradis éternel et accorder patience et réconfort à sa famille et à toute la communauté.

Décès tragique du lutteur Brise de Mer : Le monde de la lutte sénégalaise en deuil

Le monde de la lutte sénégalaise est plongé dans une profonde tristesse suite à l’annonce du décès tragique du lutteur Brise de Mer, de son vrai nom El Hadji Diene. Ce jeune espoir de la lutte, membre de l’écurie Door Waar de Grand Médine, a perdu la vie ce matin dans un accident de moto sur la route reliant Touba à Sébikotane.

L’annonce de cette terrible nouvelle a été faite par le chroniqueur de lutte Iba Kane, qui a partagé l’information sur sa page Facebook. Selon lui, Brise de Mer était en route pour Sébikotane lorsqu’il a tragiquement trouvé la mort.

Brise de Mer était bien connu dans le milieu de la lutte sénégalaise pour son talent et sa détermination. Ancien pensionnaire de l’école de lutte Ndakaru, il a évolué aux côtés de lutteurs de renom tels que Yékini, Yékini Jr, et Malick Niang. Au cours de sa carrière, il a affronté et vaincu plusieurs adversaires redoutables, parmi lesquels Fifty Cent et Narou Sogas, faisant de lui un lutteur respecté sur les arènes.

La disparition prématurée de ce jeune lutteur est une perte immense pour le monde de la lutte sénégalaise, qui perd non seulement un athlète talentueux, mais aussi un exemple de courage et de persévérance pour les générations futures.

En ces moments douloureux, Dakaractu présente ses sincères condoléances à la famille du défunt, à ses proches, ainsi qu’à toute la communauté de la lutte sénégalaise. Que son âme repose en paix.

Décès de Babou Ngom : Le tambour major qui a marqué l’histoire de la lutte Sénégalaise s’en est allé

Le monde de la lutte sénégalaise est en deuil. Babou Ngom, l’un des tambours majors les plus emblématiques de ce sport, a tiré sa révérence. La nouvelle de son décès a été annoncée ce mercredi par Lutte TV, plongeant toute la communauté sportive dans une profonde tristesse.

Babou Ngom était un personnage incontournable de la lutte sénégalaise, un véritable monument dont le rythme envoûtant et la présence charismatique ont rythmé des générations de combats. Sa capacité à enflammer les arènes et à galvaniser les lutteurs en faisait une figure respectée et aimée par tous. Cependant, ces dernières années, Babou Ngom luttait contre une longue maladie qui l’avait contraint à s’éloigner des arènes.

Sa disparition laisse un vide immense, non seulement dans le cœur de sa famille, mais aussi parmi les amoureux de la lutte. Les hommages affluent de toutes parts, saluant un homme dont le talent et la passion ont marqué l’histoire de ce sport traditionnel sénégalais.

Le dekarois quotidien présente ses sincères condoléances à la famille de Babou Ngom, ainsi qu’à toute la communauté sportive sénégalaise. Une pensée particulière va à son fils, Momo Ngom, qui poursuit avec détermination l’héritage de son père dans le monde de la lutte.

Babou Ngom s’en va, mais son héritage résonnera encore longtemps dans les arènes sénégalaises, rappelant à tous l’importance de la tradition, de la passion, et de l’art du tambour dans la lutte sénégalaise. Que la terre lui soit légère.

Décès de Ismaïl Haniyeh

Les condoléances de la Coalition Nationale de
Soutien à la Cause Palestinienne au Sénégal au peuple palestinien

La Coalition Nationale de
Soutien à la Cause Palestinienne au Sénégal se joint à la communauté internationale pour présenter ses condoléances suite au décès de Dr Ismail Haniyeh, leader politique du Mouvement de la résistance islamique palestinienne, lors d’une attaque perpétrée à Téhéran.

« Nous avons appris, avec un profond chagrin et une grande tristesse, la nouvelle du martyre du commandant militant Ismaïl Haniyeh », lit-on dans un communiqué du Bureau exécutif de la Coalition Nationale de
Soutien à la Cause Palestinienne.
« En ces moments
de la douleur de la séparation », nom de tout le peuple sénégalais, les membres de la coalition
« présentent leurs condoléances les plus sincères à la famille du noble martyr, au courageux
peuple palestinien, ainsi qu’à la direction et à tous les membres du Mouvement de
Résistance Islamique (Hamas) ».

La coalition Sénégalaise de soutien au peuple palestinien n’a pas manqué de s’indigner par rapport aux conditions dans lesquelles Haniyeh a été tué: « nous condamnons, avec les termes les plus forts, cette lâche agression qui confirme la bassesse des sionistes et souligne qu’il n’y a pas d’autre solution avec eux que la lutte sainte au nom de Dieu et de les repousser avec force », ajoute le document.

« En ce moment historique, où les combattants à Gaza et dans toute la terre bénie
mènent la bataille de la libération et brisent l’épine de l’ennemi, nous renouvelons notre soutien et notre solidarité au Mouvement de Résistance Islamique et au peuple palestinien dans la noble lutte qu’ils mènent pour libérer la terre et les lieux saints », précise le Bureau exécutif qui implore « le Tout-Puissant, Celui dont La Grandeur est infinie, de
couvrir de Sa Vaste Miséricorde son serviteur Ismaïl Haniyeh et les martyrs de la cause
en général, et de leur accorder à leur famille une patience sincère et un réconfort
parfait ».
« Certes, nous sommes à Dieu, et c’est vers Lui que nous retournons », rappelle le document signé Bureau Exécutif de la Coalition Nationale de Soutien à la Cause Palestinienne au Sénégal.

Aly Saleh

Décès du Maestro Toumani Diabaté : Une Perte Inestimable pour la Culture Africaine

Le monde de la culture africaine, et plus particulièrement malienne, est en deuil suite à la disparition de Toumani Diabaté, légendaire joueur de kora et figure emblématique de la musique mandingue. Toumani Diabaté, père du talentueux Sidiki Diabaté, est décédé ce vendredi 19 juillet 2024, à l’âge de 59 ans, après une longue maladie. L’information a été confirmée par le site malijet.com, citant des sources familiales.

Le décès est survenu au Golden Life, un hôpital américain situé à Bamako. Cette triste nouvelle plonge dans le deuil non seulement la famille Diabaté mais aussi l’ensemble des amateurs de musique et de culture africaines à travers le monde.

Toumani Diabaté a marqué de son empreinte l’histoire de la musique africaine grâce à sa maîtrise exceptionnelle de la kora, une harpe-luth traditionnelle de l’Afrique de l’Ouest. Né dans une famille de griots, il a su perpétuer et moderniser cet héritage musical en collaborant avec de nombreux artistes internationaux et en remportant plusieurs distinctions prestigieuses. Son album « In the Heart of the Moon », réalisé avec Ali Farka Touré, a notamment reçu un Grammy Award.

Tout au long de sa carrière, Toumani Diabaté a travaillé sans relâche pour promouvoir la musique traditionnelle mandingue, tout en explorant de nouveaux horizons musicaux. Il a su attirer l’attention du monde entier sur la richesse culturelle de son pays, le Mali, et sur l’importance de préserver et de valoriser ce patrimoine unique.

En tant que père et mentor de Sidiki Diabaté, lui-même un virtuose de la kora et une figure montante de la scène musicale africaine, Toumani Diabaté a également joué un rôle crucial dans la transmission de son savoir et de sa passion. Leur collaboration père-fils a donné lieu à des œuvres mémorables qui continueront d’inspirer les générations futures.

Le départ de Toumani Diabaté laisse un vide immense dans le paysage musical, mais son héritage perdurera à travers ses enregistrements, ses compositions et l’influence qu’il a exercée sur tant de musiciens.

Les réactions de tristesse et les hommages affluent de partout, témoignant de l’impact profond qu’a eu Toumani Diabaté sur la culture et la musique. Le gouvernement malien, les artistes, et les fans du monde entier expriment leur chagrin et leur gratitude pour l’œuvre accomplie par ce grand artiste.

Alors que le Mali pleure la perte de l’un de ses plus illustres fils, il est certain que la musique de Toumani Diabaté continuera à résonner, rappelant à tous la beauté et la profondeur de la culture africaine.

Repose en paix, Maestro. Votre musique restera à jamais dans nos cœurs.

Tragédie dans le monde du football égyptien : Ahmed Refaat décède à l’âge de 31 ans

Le football égyptien est en deuil suite au décès tragique d’Ahmed Refaat, attaquant international égyptien, survenu samedi à l’âge de 31 ans. Refaat avait souffert d’un arrêt cardiaque lors d’un match en mars dernier, alors qu’il jouait pour son club, le Modern Future FC au Caire.

L’incident grave s’était produit le 11 mars lors d’une rencontre de championnat contre Al-Ittihad Alexandrie. Après avoir été transporté en urgence à l’hôpital, Refaat avait été réanimé et placé en soins intensifs pendant près d’un mois. Malgré des efforts médicaux, son état de santé restait préoccupant.

Après son hospitalisation, Ahmed Refaat avait repris espoir de retourner sur le terrain, exprimant son désir lors d’une interview télévisée. Un stimulateur cardiaque lui avait été implanté pour réguler son rythme cardiaque, mais malheureusement, son parcours professionnel a été interrompu prématurément.

Refaat avait débuté sa carrière au Caire avec l’ENPPI, avant de jouer pour des clubs renommés tels que Zamalek, Al-Ittihad Alexandrie, et Al-Masry. En 2021, il avait rejoint le Modern Future FC, où il espérait continuer à contribuer au football égyptien.

Au niveau international, Ahmed Refaat avait représenté l’équipe nationale d’Égypte à sept reprises, marquant deux buts. Sa dernière participation avec les Pharaons remontait à la Coupe arabe au Qatar en novembre 2021, laissant derrière lui un héritage sportif honorable malgré sa courte carrière.

La communauté du football égyptien et au-delà pleure la perte d’un talent prometteur et se souvient d’Ahmed Refaat comme d’un joueur dévoué et passionné. Ses contributions sur le terrain et son ambition indomptable resteront gravées dans les mémoires des fans et de ses collègues.

En ces moments difficiles, les condoléances affluent pour sa famille, ses amis, ainsi que pour tous ceux qui ont été touchés par sa personnalité et son talent. Ahmed Refaat laisse derrière lui un vide immense dans le cœur de ceux qui l’ont connu et admiré.

Dahra djoloff : Tristesse après le décès d’une élève de 17 ans des suites d’une crise cardiaque

La communauté scolaire du département de Linguère est plongée dans le deuil suite au décès soudain de Kiné Diaw, une jeune fille de 17 ans. Élève en classe de seconde au lycée Docteur Daouda Sow de Dahra Djoloff, Kiné Diaw a tragiquement perdu la vie à la suite d’un arrêt cardiaque survenu lundi dernier.

Selon les témoignages recueillis, la victime a été prise de malaise vers 17 heures dans un jardin près de son domicile au quartier Ngueth. Malgré l’intervention rapide des secours et du médecin du centre de santé de Dahra, Kiné Diaw n’a malheureusement pas pu être sauvée.

La nouvelle de son décès a profondément attristé ses camarades de classe, ses enseignants ainsi que l’ensemble de la communauté éducative. Ce mardi matin, une cérémonie d’inhumation émotive s’est tenue à Dahra Djoloff en présence de nombreux proches et amis de la famille.

En cette période difficile, les pensées et les prières accompagnent la famille de Kiné Diaw ainsi que tous ceux qui ont eu le privilège de la connaître.

Décès de Mansour Seck : Le Sénégal et Baba Maal en Deuil

Le Sénégal et le monde de la musique sont en deuil suite au décès de Mansour Seck, légendaire musicien du groupe Daande Lenol et ami intime de Baba Maal. La triste nouvelle de son décès, survenu dans la soirée du mercredi 29 mai, a provoqué une onde de choc et une immense vague de tristesse à travers le pays et au-delà.

Un Duo Inoubliable

Mansour Seck était souvent considéré comme le « jumeau » musical de Baba Maal. Leur collaboration étroite a marqué la scène musicale sénégalaise et a contribué à la renommée internationale de la musique traditionnelle du pays. Ensemble, ils ont créé des mélodies qui ont transcendé les frontières, faisant connaître la richesse de la culture sénégalaise à un public mondial.

Une Vague d’Hommages

À l’annonce de son décès, de nombreux fans, musiciens et personnalités du monde entier ont exprimé leur tristesse et leurs hommages. Baba Maal, profondément affecté par la perte de son ami et collaborateur de longue date, a souligné l’impact incommensurable de Mansour Seck sur sa vie et sa carrière musicale. « Mansour était plus qu’un partenaire musical, il était un frère », a déclaré Baba Maal. « Son talent, sa générosité et son esprit vivront à jamais dans notre musique. »

Un Héritage Durable

Mansour Seck a non seulement travaillé avec de nombreux artistes de renom, mais il a également participé à des tournées internationales, apportant la musique sénégalaise à un public global. À travers ses compositions et performances, il a joué un rôle crucial dans la promotion de la culture et des traditions musicales sénégalaises.

Son influence a été particulièrement marquante parmi les jeunes musiciens, qu’il a inspirés par son dévouement et son talent. Il a contribué à former la prochaine génération d’artistes sénégalais, assurant ainsi la pérennité de la riche tradition musicale du pays.

Un Adieu Ému

Le décès de Mansour Seck laisse un vide immense dans le monde de la musique. Cependant, son héritage musical perdurera à travers ses enregistrements, ses compositions et les innombrables artistes qu’il a inspirés. Sa mémoire continuera de vivre dans les cœurs de ceux qui ont été touchés par sa musique et son esprit généreux.

La rédaction de Senego présente ses condoléances les plus sincères à sa famille, à Baba Maal, et à tous ceux qui ont eu la chance de connaître et d’aimer Mansour Seck. Que son âme repose en paix.

Nécrologie : Décès d’Adja Daro Mbaye, Mère de Mbaye Dieye Faye

C’est avec une grande tristesse que nous annonçons le décès d’Adja Daro Mbaye, mère de Mbaye Dieye Faye. Toute l’équipe du groupe Le Dakarois exprime ses plus sincères condoléances à la famille en deuil. Nos pensées et prières accompagnent Mbaye Dieye Faye et ses proches en cette période difficile.

L’Iran en Deuil : Le Guide Suprême annonce 5 jours de Deuil National suite à la Mort du Président Raïssi

Le chef de la Révolution islamique, l’ayatollah Seyyed Ali Khamenei, a décrété cinq jours de deuil national à la suite du décès tragique du président Ebrahim Raïssi, survenu dans un accident d’hélicoptère dans le nord-ouest de l’Iran. L’annonce a été faite ce lundi matin, plongeant le pays dans une profonde tristesse.

Dans un message poignant, l’Ayatollah Khamenei a exprimé sa grande peine face à la perte du président Raïssi, le décrivant comme un religieux dévoué et un leader populaire qui a consacré sa vie au service du peuple iranien, de la nation et de l’islam. « Dans cette amère tragédie, la nation iranienne a perdu un serviteur chaleureux, humble et précieux », a déclaré le guide suprême.

Malgré les critiques, le président Raïssi a été loué pour son dévouement inlassable, travaillant sans relâche jour et nuit pour le bien-être du peuple iranien. L’Ayatollah Khamenei a présenté ses condoléances à la nation iranienne et a approuvé le vice-président Mohammad Mokhber pour assumer la présidence par intérim.

En plus du président Raïssi, d’autres hauts responsables ont perdu la vie dans l’accident, notamment le ministre des Affaires étrangères Hossein Amirabdollahian, ainsi que le chef de la prière du vendredi de Tabriz et le gouverneur de la province. Leur décès laisse un vide immense dans le paysage politique et social de l’Iran.

Dans les prochains jours, le pays se rassemblera pour rendre hommage à ces figures éminentes et pour se préparer à une période de transition politique. Le peuple iranien pleure la perte de ses leaders, mais reste résolu à continuer son chemin vers un avenir meilleur, guidé par les valeurs et les enseignements de ceux qui les ont servis avec dévouement et honneur.

Touba : décès de Serigne Amdy Bousso, muezzin à la grande mosquée

Serigne Amdy Bousso, un des muezzins de la grande mosquée de Touba, est décédé lundi à l’âge de 86 ans, des suites d’une maladie, a appris l’APS. 

Le défunt prononçait habituellement le deuxième appel à la prière à la grande mosquée de Touba depuis plusieurs années. 

Serigne Amdy Bousso est devenu muezzin à la grande mosquée de Touba, sur autorisation de Serigne Abdoul Ahad Mbacké (1914-1989), troisième khalife général des mourides .  

Il était également chargé de veiller sur le mausolée du fondateur de la confrérie mouride, Cheikh Ahmadou Mbacké (Serigne Touba). Une mission que lui avait confiée le septième khalife général de la confrérie, Serigne Sidy Mactar Mbacké (1924-2018).

Né en 1938 à Guédé Bousso, à Touba, il a été initié à la lecture et à la mémorisation du Saint Coran par Serigne Aliou Bousso.

Décès de Serigne Amdi Bousso, Muezzin de la Grande Mosquée de Touba

Une nouvelle empreinte de tristesse a frappé la communauté mouride ce lundi 6 mai 2024, avec le décès de Serigne Amdi Bousso, l’un des muezzins distingués de la grande mosquée de Touba, ville sainte du Sénégal. L’annonce poignante émane du Dahira Moukhaddamatoul Khidma, l’entité responsable de la gestion de ce lieu sacré.

La disparition de Serigne Amdi Bousso représente une perte inestimable pour la communauté mouride, qui reconnaissait en lui un serviteur dévoué de l’islam et un érudit respecté.

En cette période de deuil, nous exprimons nos plus sincères condoléances à la famille éplorée, ainsi qu’à l’ensemble de la communauté mouride, affectée par cette triste nouvelle. Nos prières accompagnent Serigne Amdi Bousso dans son voyage vers l’au-delà, en espérant que son âme repose en paix pour l’éternité.

Que son dévouement et son exemple inspirent la communauté à perpétuer son héritage de piété et de service envers la religion et la communauté.

Décès de César Luis Menotti : L’Argentine perd une légende du football

La Fédération argentine de football (AFA) a annoncé dimanche le décès de César Luis Menotti à l’âge de 85 ans. L’entraîneur emblématique, qui a conduit l’équipe d’Argentine à la victoire lors de la Coupe du Monde de la FIFA 1978, laisse derrière lui un héritage inestimable dans le monde du football.

Natif de Rosario, Menotti a débuté sa carrière en tant que joueur professionnel dans les années 1960 avant de se tourner vers une carrière d’entraîneur. Il a remporté le titre de champion d’Argentine avec le club de Huracan en 1973, marquant ainsi le début d’une carrière couronnée de succès sur les bancs de touche.

Menotti est surtout connu pour son passage à la tête de l’équipe nationale d’Argentine. Sous sa direction, l’Argentine a remporté le titre de champion du monde lors du tournoi organisé à domicile en 1978, un moment historique pour le football argentin. Menotti a également dirigé l’équipe nationale lors de la Coupe du Monde 1982 en Espagne, où l’Argentine a été éliminée au deuxième tour.

En plus de son succès international, Menotti a également laissé sa marque en Europe, remportant la Coupe du Roi d’Espagne, la Supercoupe d’Espagne et la Coupe de la Ligue espagnole avec le FC Barcelone en 1983. Ses réalisations ont été saluées par ses anciens clubs, notamment l’Atlético Madrid et le FC Barcelone, ainsi que par la Fédération espagnole de football, qui lui ont rendu hommage sur les réseaux sociaux en lui souhaitant de reposer en paix.

L’héritage de César Luis Menotti dans le football argentin et mondial perdurera à jamais, et son nom restera gravé dans l’histoire du sport. Sa passion, son talent et sa vision du jeu continueront d’inspirer les générations futures de joueurs et d’entraîneurs à travers le monde.

Décès de Robert Chidid, Frère de la Reine du Jolof Band, Viviane Chidid

C’est avec une profonde tristesse que nous annonçons le décès de Robert Chidid, le frère biologique de la célèbre chanteuse Viviane Chidid, survenu ce jeudi 2 mai à l’hôpital militaire de Thiaroye.

Robert Chidid était une figure bien connue dans le monde culturel sénégalais en tant que manager artistique. Son départ laisse un vide immense dans le paysage artistique du Sénégal et au sein de sa famille.

La levée du corps est prévue demain, samedi, à l’hôpital Grand Mbour à 10 heures, suivie d’une messe d’adieu à 11 heures en l’église Sainte-Marthe de Mbour, et enfin de l’inhumation au cimetière catholique de Mbour.

En cette période de deuil, Groupe le dakarois adresse ses plus sincères condoléances au monde culturel sénégalais ainsi qu’à la famille du défunt. Nos pensées accompagnent Viviane Chidid et ses proches dans cette épreuve difficile.

Retour sur le décès du Professeur Cheikh Tahirou Doucouré, Khalifa Général de la Famille Doucouré de Malicounda Bambara

Triste nouvelle qui plonge l’islam en deuil au Sénégal.

Ce dimanche 28 avril, le Professeur Cheikh Tahirou Doucouré, Khalifa général de la famille Doucouré de Malicounda Bambara, s’est éteint.

Il laisse derrière lui un héritage remarquable en tant que l’un des plus éminents théoriciens du hamallisme, un mouvement religieux dont l’un des sanctuaires majeurs se trouve à Malicounda, commune située dans le département de Mbour, région de Thiès.

Hamalisme :

Le hamallisme, hamalliyya ou hamawiyya, surnommé « onze grains », est une branche de la tariqa (confrérie soufie) Tidjaniyya fondée par le cheikh Hamallah.

Décès de Ibrahima Ndiaye, Ancien Directeur Général de l’Ageroute : Hommage à un Leader Visionnaire

Le Sénégal pleure la perte d’un de ses cadres émérites avec le décès de Ibrahima Ndiaye, ancien Directeur Général de l’Agence des Travaux et de Gestion des Routes (Ageroute). Selon des sources concordantes, M. Ndiaye s’est éteint ce dimanche à l’étranger, où il recevait des soins médicaux.

Ibrahima Ndiaye était bien plus qu’un administrateur compétent ; il était un visionnaire dont les réalisations ont laissé une marque indélébile sur l’infrastructure routière du Sénégal. En tant que Directeur Général de l’Ageroute, il a dirigé avec détermination et ingéniosité les grands projets autoroutiers du pays.

Son leadership éclairé a été essentiel dans la conduite de chantiers d’envergure, contribuant ainsi à moderniser et à renforcer l’infrastructure routière du Sénégal. Sous sa direction, l’Ageroute a joué un rôle crucial dans la construction, la réhabilitation et l’entretien des routes, des ponts et des ouvrages d’art à travers le pays.

Au-delà de ses réalisations professionnelles, Ibrahima Ndiaye était également reconnu pour sa probité, son dévouement et son sens du service public. Son engagement envers l’amélioration des infrastructures routières du Sénégal était profondément ancré dans sa conviction que des routes de qualité sont essentielles pour favoriser le développement économique et social du pays.

Sa disparition laisse un vide immense dans le secteur de l’infrastructure routière du Sénégal et dans le cœur de ceux qui ont eu le privilège de travailler à ses côtés. Mais son héritage perdurera à travers les routes qu’il a construites, les ponts qu’il a réhabilités et les vies qu’il a améliorées grâce à son travail acharné et son engagement indéfectible envers le progrès de son pays.

En ces moments de deuil, nous rendons hommage à la vie et à l’œuvre de Ibrahima Ndiaye. Son dévouement exemplaire et son leadership inspirant resteront gravés dans les mémoires, et son influence continuera de se faire sentir à travers les routes qu’il a tracées vers un avenir meilleur pour le Sénégal et ses citoyens.

Affaire de Décès lors d’une Perquisition : Nouveaux Développements

L’affaire connaît un rebondissement majeur avec le décès du suspect après une perquisition menée par des éléments du commissariat des Parcelles Assainies. Selon les informations des Échos, trois agents de terrain de ce commissariat, soupçonnés de bavure policière, ont été auditionnés. De plus, leur informateur a été arrêté et déféré pour dénonciation calomnieuse et complicité d’homicide involontaire, rapporte le quotidien.

Tout commence par une opération déclenchée suite à une dénonciation anonyme concernant un réseau de trafic de chanvre indien. Les agents de la Brigade de Recherches du commissariat des Parcelles Assainies interpellent alors un présumé dealer et le soumettent à une fouille corporelle. Ne trouvant rien de délictueux, ils relâchent immédiatement le suspect, comme le relate la source.

Cependant, le présumé trafiquant de drogue, A. Sidibé, âgé de 20 ans, décède trois jours plus tard. Il aurait fait une crise et aurait été conduit au district sanitaire Mame Dabakh Malick des Parcelles Assainies, où le personnel médical diagnostique un asthme avancé et lui prescrit une ordonnance. Malheureusement, le patient n’aurait pas acheté les médicaments prescrits et aurait continué à utiliser son inhalateur. Son corps est retrouvé sans vie dans sa chambre.

Informé de la situation, le père du défunt se rend aux Parcelles Assainies et engage des démarches judiciaires pour faire la lumière sur les circonstances du décès de son fils, malgré les résultats de l’autopsie indiquant un décès consécutif à une crise d’asthme, selon Les Échos.

La Division des Investigations Criminelles (DIC) a été chargée de mener l’enquête sur ce tragique événement, qui soulève des questions sur les pratiques policières et le respect des droits des suspects lors des opérations de maintien de l’ordre.

Une tragédie frappe Kédougou : Décès d’une lycéenne dans un accident de la route

La ville de Kédougou est endeuillée suite à un accident d’une rare violence survenu mardi, ayant entraîné la perte tragique d’une lycéenne nommée Mamy Cissokho. L’adolescente, élève en classe de terminale, a perdu la vie dans cet accident dévastateur qui a également laissé deux personnes grièvement blessées et hospitalisées en urgence au centre hospitalier régional Amath Dansokho.

Les détails entourant les circonstances de cet accident restent encore à déterminer, mais selon les premières informations, la jeune Mamy Cissokho se trouvait à bord d’une moto conduite par son frère lorsqu’ils sont entrés en collision avec un véhicule. Malheureusement, l’adolescente est décédée sur le coup, plongeant sa famille, ses proches et la communauté scolaire dans une profonde consternation.

Les habitants de Kédougou sont choqués par cette perte tragique, décrivant Mamy Cissokho comme une élève exemplaire, ambitieuse, disciplinée, toujours souriante et d’une générosité débordante. Sa disparition laisse un vide immense dans le cœur de tous ceux qui l’ont connue et aimée.

Les autorités locales, représentées par les éléments du commissariat central de Kédougou, ont ouvert une enquête pour éclaircir les circonstances exactes de cet accident et déterminer les responsabilités éventuelles. En attendant les conclusions de cette enquête, la communauté de Kédougou pleure la perte tragique de Mamy Cissokho et apporte son soutien à sa famille et à ses proches dans cette période de deuil difficile.

Décès de l’Honorable député El Hadji Malick Gueye : Le Parti REEW MI et Idrissa Seck expriment leur profonde tristesse

Le décès de l’Honorable député El Hadji Malick Gueye a plongé la classe politique sénégalaise dans la consternation. Le Parti REEW MI, ainsi que son Président, Idrissa Seck, ont tenu à exprimer leur profonde tristesse et leur compassion à l’égard de la famille du défunt et de tous les membres de la Coalition Idy 2024.

Dans un communiqué officiel, le Parti REEW MI et Idrissa Seck ont tenu à rendre hommage à El Hadji Malick Gueye, saluant sa contribution à la vie politique du Sénégal et son dévouement en tant que député. Ils ont présenté leurs sincères condoléances à la famille du défunt et à l’ensemble des membres de la Coalition Idy 2024, soulignant la perte d’un membre éminent et dévoué de la communauté politique sénégalaise.

La levée du corps de l’Honorable député est prévue pour le dimanche 14 avril 2024 à 10 heures à l’Hôpital Fann de Dakar. Par la suite, l’enterrement se tiendra à 17 heures à Médina Baye Kaolack, permettant à la famille, aux amis et aux collègues de rendre un dernier hommage à El Hadji Malick Gueye.

La disparition de l’Honorable député El Hadji Malick Gueye laisse un grand vide au sein de la scène politique sénégalaise. Son engagement, sa passion et son dévouement resteront gravés dans les mémoires, témoignant de son dévouement indéfectible envers son pays et ses concitoyens.

En ces moments douloureux, le Sénégal perd un de ses fils les plus engagés et dévoués. Le Parti REEW MI et Idrissa Seck, tout comme de nombreux Sénégalais, pleurent la perte d’un homme politique de valeur. Leur soutien et leurs pensées accompagnent la famille et les proches de l’Honorable député El Hadji Malick Gueye dans cette épreuve difficile.

Décès Tragique de Rainford Kalaba : Le Football en Deuil

Le monde du football est plongé dans la tristesse et le deuil suite au décès tragique de Rainford Kalaba à l’âge de 37 ans. L’international zambien, surnommé « Master » par les supporters congolais en raison de ses performances exceptionnelles sur le terrain, a perdu la vie des suites d’un accident de la circulation survenu ce samedi 13 avril entre Kafue et Lusaka en Zambie.

La disparition prématurée de Kalaba laisse un vide immense dans le cœur des amateurs de football, en particulier ceux qui ont eu la chance de le voir évoluer et briller sur les terrains. Sa carrière exceptionnelle au sein du TP Mazembe, l’un des clubs les plus prestigieux d’Afrique, restera gravée dans les mémoires.

Durant son passage remarquable avec les Corbeaux, Rainford Kalaba a été l’architecte de nombreux succès et triomphes pour son équipe. Son palmarès impressionnant témoigne de son talent et de son dévouement envers le sport qu’il aimait tant. Il a contribué à la conquête de neuf titres de Linafoot, trois Supercoupes de la RDC, une Ligue des champions de la CAF, deux Coupes de la CAF et deux Supercoupes de la CAF.

Suite à cette triste nouvelle, de nombreux hommages ont afflué de la part de personnalités du football, coéquipiers, adversaires, et fans du monde entier. Tous saluent la mémoire d’un joueur exceptionnel, doté d’un talent indéniable et d’une passion inégalée pour le football.

Rainford Kalaba laisse derrière lui un héritage sportif impressionnant et restera à jamais dans les annales du football africain comme l’un des plus grands joueurs de sa génération.

En cette période difficile, nos pensées vont à la famille, aux proches et aux fans de Rainford Kalaba. Que son âme repose en paix.

Décès de Mahammed Boun Abdallah Dionne : Le Sénégal en Deuil

Le Sénégal pleure la perte de Mahammed Boun Abdallah Dionne, ancien Premier Ministre, survenue hier à Paris. L’annonce de son décès a profondément ému le pays, rappelant le souvenir d’un homme dévoué à son pays et à son peuple.

Né en 1959 à Dagana, dans le nord du Sénégal, Mahammed Boun Abdallah Dionne a consacré sa vie à servir son pays. Diplômé en économie et en gestion, il a occupé plusieurs postes de responsabilité avant de devenir Premier Ministre en 2019, sous la présidence de Macky Sall.

Sa disparition laisse un vide immense dans la sphère politique sénégalaise. Durant son mandat de Premier Ministre, il a œuvré sans relâche pour le développement économique et social du pays, mettant en œuvre des réformes ambitieuses pour stimuler la croissance et améliorer les conditions de vie des Sénégalais.

La nouvelle de sa mort a suscité une vague d’émotion à travers le pays. De nombreux hommages lui ont été rendus, saluant sa vision, son dévouement et son engagement envers le Sénégal. Les témoignages affluent de toutes parts, soulignant son intégrité, sa droiture et son sens du devoir.

La cérémonie de levée se tiendra lundi prochain à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière de Paris, où il est décédé. La dépouille de Mahammed Boun Abdallah Dionne sera rapatriée au Sénégal le mardi suivant, à 14h25. La date de l’enterrement n’a pas encore été rendue publique, mais le pays tout entier se prépare à rendre un dernier hommage à cet homme d’État exceptionnel.

En cette période de deuil national, le Sénégal se souviendra toujours de Mahammed Boun Abdallah Dionne comme d’un patriote dévoué, dont l’héritage perdurera à travers les générations. Son engagement envers son pays et son peuple restera gravé dans les mémoires, inspirant les générations futures à poursuivre sa vision d’un Sénégal prospère et uni.

La nation tout entière exprime ses condoléances les plus sincères à sa famille, à ses proches et à tous ceux qui ont eu la chance de croiser sa route. Mahammed Boun Abdallah Dionne restera à jamais dans le cœur de chaque Sénégalais, symbole de courage, d’intégrité et de détermination. Que son âme repose en paix.

Touba en deuil : Décès du père de feu Papito Kara

La ville sainte de Touba est en deuil suite au décès d’El Hadj Moussa Guèye, le père de feu Pape Ibrahima Guèye, plus connu sous le nom de « Papito Kara ». Âgé de 81 ans, El Hadj Moussa Guèye a rendu l’âme ce jeudi, laissant derrière lui une famille éplorée et une communauté attristée.

Selon les informations recueillies auprès d’un membre de la famille, El Hadj Moussa Guèye était affaibli par son âge avancé, né en 1943, et avait également été profondément affecté par la tragique disparition de son fils, Papito Kara, en haute mer. La douleur de perdre son fils dans des circonstances aussi tragiques avait certainement pesé lourd sur lui.

Les funérailles d’El Hadj Moussa Guèye sont prévues ce jeudi après la prière de takussan, soit vers 17 heures, au cimetière de Bakhiya à Touba. Une cérémonie religieuse aura également lieu demain vendredi au domicile familial du défunt, situé au quartier Sékhaw Ga de Touba, où proches, amis et membres de la communauté pourront lui rendre un dernier hommage.

Il est à rappeler que Papito Kara avait tragiquement péri alors qu’il tentait de rejoindre clandestinement l’Espagne par voie maritime. Son corps avait été jeté dans la mer, et sa famille à Touba avait appris la triste nouvelle le 1er novembre 2023.

La disparition d’El Hadj Moussa Guèye représente une perte non seulement pour sa famille, mais aussi pour la ville de Touba, où il était respecté et aimé. En cette période de deuil, la communauté toute entière adresse ses sincères condoléances à la famille Guèye et prie pour le repos de son âme.

Un tragique incident à Touba : Décès d’un ressortissant gambien retrouvé pendu

La ville sainte de Touba est endeuillée par un événement tragique, avec la découverte d’un corps en état de décomposition avancée, identifié comme étant celui d’un jeune ressortissant gambien âgé de 23 ans. La victime, souffrant de problèmes mentaux, avait quitté son pays d’origine pour recevoir des soins à Touba, la capitale du mouridisme.

Le drame a débuté lorsque la Brigade de Proximité de Touba Bélel a été alertée de la disparition du jeune patient, nommé K. Cissé, vendredi dernier. Les autorités ont immédiatement lancé un avis de recherche et ouvert une enquête pour retrouver sa trace.

Malheureusement, les recherches ont abouti à une découverte bouleversante : le corps du ressortissant gambien a été retrouvé pendu dans un domicile en construction. Les sapeurs-pompiers, appelés sur les lieux, ont constaté que le corps était dans un état de putréfaction très avancée.

La gendarmerie de Bélel s’est également rendue sur place pour mener les investigations nécessaires. Le corps a ensuite été transporté à l’hôpital Cheikhoul Ahmadou Khadim de Touba pour des examens médicaux approfondis et pour permettre son identification formelle.

Cet incident tragique soulève des questions sur les défis auxquels sont confrontées les personnes souffrant de troubles mentaux, ainsi que sur la nécessité de renforcer les services de santé mentale et de soutenir ceux qui en ont besoin. Les autorités locales sont appelées à enquêter sur les circonstances entourant le décès de ce jeune homme et à prendre des mesures pour prévenir de tels incidents à l’avenir.

Cette perte inattendue a plongé la communauté dans la tristesse et la réflexion, mettant en lumière l’importance de fournir un soutien adéquat aux personnes vulnérables et de promouvoir la sensibilisation aux problèmes de santé mentale au sein de la société.

Décès de Mamadou Yatassaye, candidat recalé à la Présidentielle

La sphère politique sénégalaise est plongée dans la tristesse suite au décès tragique de Mamadou Yatassaye, entrepreneur et candidat recalé à l’élection présidentielle du 24 mars. Mamadou Yatassaye s’est éteint ce jeudi 21 mars 2024 après avoir été victime d’un malaise, selon ses proches.

À la tête du mouvement « S’unir pour demain », Mamadou Yatassaye avait lancé sa candidature à la présidentielle avec une grande ambition et une détermination sans faille. Malheureusement, malgré ses efforts acharnés, il n’a pas réussi à obtenir le nombre de parrainages requis, le privant ainsi de sa participation à la course à la magistrature suprême.

En cette période de deuil, Ledakarois présente ses plus sincères condoléances à la famille de Mamadou Yatassaye, à ses proches et à tous ceux qui ont partagé sa vision pour l’avenir du Sénégal. Que nos prières accompagnent son âme dans son dernier voyage, et que son engagement et son dévouement envers son pays laissent une marque indélébile dans l’histoire politique du Sénégal.

Mauritanie : Décès du gardien de but de l’équipe national espoirs, Mohamed Al-Mokhtar

C’est la Fédération Mauritanienne de Football (FFRIM) qui donne la triste nouvelle: le gardien de but de l’équipe nationale et le jeune club des douanes, Mohamed Al-Mokhtar est décédé ce samedi matin à Nouakchott.

Selon des témoignages de cette entité du ballon rond, «le défunt jeune homme était connu pour son grand amour pour son pays, pour son talent, son engagement et sa discipline ». «Il a été un exemple parmi ses collègues de dévouement au travail, d’engagement professionnel, d’éthique élevée et d’un grand respect. Bien qu’il soit jeune d’un an, cela ne l’a pas empêché de dégénérer rapidement le gardien de but de notre équipe junior, en passant par les jeunes électeurs plein d’espoir, jusqu’à ce qu’il atteigne rapidement la liste de la première équipe nationale », ont déclaré le président de la Fédération Ahmed Ould Yahya et Cie, sur leur page Facebook.

Le gardien international espoir, âgé de 22 ans, avait eu un choc lors d’une séance d’entraînement. Il a été finalement admis à l’hôpital où il rendra l’âme.

seneweb

Décès de Baidy Amar : Ses amis placés sous mandat de dépôt

Suite au décès tragique de Baïdy Amar, ses amis ont été placés sous mandat de dépôt par le juge du 9e cabinet d’instruction du Tribunal de Grande Instance de Dakar. Tous sont inculpés pour usage de drogue, facilitation à l’usage et homicide involontaire, conformément au réquisitoire du procureur de la République.

Parmi les personnes mises en cause figurent la petite amie de Baïdy Amar, M. D., de nationalité algérienne, ainsi que son camarade Z. F. et sa copine J. M., ainsi que le chauffeur A. S. Une information judiciaire a été ouverte afin de faire toute la lumière sur les circonstances de ce drame.

Désormais placés sous mandat de dépôt, ces individus devront attendre que la justice se prononce sur leur sort. En attendant, ils sont appelés à coopérer pleinement avec les autorités judiciaires dans le cadre de l’enquête en cours.

Décès de l’étudiant Alpha Yoro Tounkara à l’UGB : Réaction du ministère de l’enseignement supérieur

Le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation a été plongé dans la tristesse suite au décès tragique de M. Alpha Yéro TOUNKARA, étudiant en Licence 2 à l’UFR Lettres et Sciences Humaines de l’Université Gaston Berger de Saint Louis. Le jeune homme a perdu la vie lors des manifestations survenues le vendredi 09 février 2024 à Saint-Louis.

Dans une déclaration empreinte de profonde émotion, le Ministre Pr Moussa Baldé ainsi que les Recteurs des Universités, les Directeurs et tout le personnel du ministère ont exprimé leurs condoléances les plus sincères à la famille éplorée ainsi qu’à l’ensemble de la communauté universitaire touchée par cette perte tragique.

Face à cette situation difficile, le Ministre en charge de l’Enseignement supérieur appelle fermement tous les acteurs de la communauté universitaire à privilégier le dialogue et la concertation. Il met en avant l’importance capitale de préserver la paix et la sécurité au sein des établissements d’enseignement supérieur du Sénégal.

L’invitation au dialogue vise à éviter toute escalade de violence et à favoriser un environnement propice à l’épanouissement académique et personnel des étudiants ainsi qu’au bon fonctionnement des universités sénégalaises.

« En cette période de deuil, il est primordial que chacun fasse preuve de responsabilité et de respect mutuel », a déclaré le Ministre, assurant que toutes les mesures nécessaires seront prises pour faire la lumière sur les circonstances de ce drame et pour garantir que de telles tragédies ne se reproduisent pas.

En conclusion, le Ministre et l’ensemble du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation ont renouvelé leurs condoléances attristées à la famille endeuillée et à la communauté universitaire. Ils ont appelé à l’unité et à la solidarité dans cette épreuve et ont réaffirmé leur engagement à travailler ensemble pour préserver la paix et la stabilité au sein des institutions d’enseignement supérieur du Sénégal.

Décès de Landing Camara : Sa famille réclame justice

Le décès tragique de Landing Camara, survenu lors des récentes manifestations à Ziguinchor, a plongé sa famille dans un profond désarroi. À seulement 19 ans, Landing a été victime d’une balle perdue, ajoutant une touche d’amertume à un événement déjà douloureux.

Pour la famille de Landing, cette perte est plus qu’une simple tragédie. Landing jouait un rôle crucial dans la vie de sa mère muette en tant qu’interprète, ajoutant une dimension supplémentaire à la détresse ressentie par ses proches.

Face à cette situation, la famille de Landing n’appelle pas seulement à la compassion, mais réclame également justice. Le porte-parole de la famille, Daouda Diédhiou, a exprimé leur détermination à voir les responsables de cet acte criminel traduits en justice.

Dans une déclaration émouvante relayée par les médias locaux, la famille de Landing demande une enquête rapide et transparente pour faire toute la lumière sur les circonstances de sa mort. Ils appellent également à ce que les coupables soient tenus responsables de leurs actes, soulignant l’importance de lutter contre l’impunité.

« Nous ne resterons pas silencieux face à cette injustice », a déclaré le porte-parole de la famille. « Nous demandons que les autorités prennent des mesures immédiates pour que la vérité soit révélée et que ceux qui ont pris la vie de Landing soient traduits en justice. »

La famille de Landing Camara a également annoncé son intention de rencontrer des représentants légaux dès aujourd’hui pour comprendre les prochaines étapes du processus judiciaire et pour s’assurer que la quête de justice pour Landing avance de manière efficace.

Cette tragédie rappelle la fragilité de la vie et souligne l’importance cruciale de garantir que chaque individu, peu importe son âge ou son statut, soit protégé et que justice soit rendue en cas de violence injustifiée.

Démenti formel : Aucun cas de décès ou de violence envers la communauté ivoirienne à Dakar après le match de football

Suite à la diffusion de fausses informations sur les réseaux sociaux concernant un prétendu décès et des violences envers la communauté ivoirienne à Dakar à la suite du match de football entre le Sénégal et la Côte d’Ivoire, les autorités sénégalaises et ivoiriennes ont émis un démenti formel.

Selon le préfet de Dakar, Chérif Mouhamadou M. Blondin Ndiaye, aucune situation de décès lié à l’événement sportif ni d’actes violents envers la communauté ivoirienne n’a été constatée dans le département de Dakar. Les services hospitaliers n’ont enregistré aucun individu blessé après le match, et aucune déclaration de violence envers des étrangers n’a été déposée auprès des services de police.

La première conseillère à l’ambassade de Côte d’Ivoire à Dakar, Abouya Kokola Marie-Célile, a également confirmé que la rumeur était totalement infondée après des vérifications approfondies. Une délégation de l’ambassade s’est rendue à la morgue de l’hôpital du CHU de FANN, où le supposé corps de la victime aurait été transféré, mais aucun citoyen ivoirien n’a été répertorié dans les registres de l’hôpital après le match.

Malgré des mécontentements isolés qui ont suivi le match, la conseillère a souligné que ceux-ci ont été maîtrisés par les forces de l’ordre. Elle a appelé à la sérénité et à la retenue, tant du côté des résidents ivoiriens à Dakar que de ceux en Côte d’Ivoire.

Ces déclarations officielles mettent en lumière l’importance de la vérification des informations avant de les partager, surtout dans le contexte émotionnel entourant les événements sportifs internationaux. La propagation de fausses informations peut avoir des conséquences graves et nuire aux relations entre les communautés.

Décès de l’écrivain sénégalais Abasse Ndione : Hommage à un pilier de la littérature sénégalaise

L’écrivain sénégalais Abasse Ndione s’est éteint jeudi à Keur Ndiaye Lo, à l’âge de 78 ans, des suites d’une maladie, laissant derrière lui un héritage littéraire apprécié tant au Sénégal qu’à l’échelle internationale.

Abasse Ndione est notamment connu pour son roman emblématique « La vie en spirale », publié en 1984 par les NEAS du Sénégal et en 1998 par les éditions Gallimard en France. En 2000, son œuvre « Ramata » a été adaptée au cinéma par le réalisateur congolais Léandre-Alain Baker, avec Katoucha Niane dans le rôle principal.

L’écrivain a également exploré la thématique de l’émigration irrégulière dans son œuvre « Mbëkë mi. À l’assaut des vagues de l’Atlantique », publiée en 2008 et adaptée au cinéma sous le titre « La Pirogue » par le réalisateur sénégalais Moussa Touré en 2012.

Abasse Ndione, également infirmier d’État, a consacré plusieurs années de sa vie professionnelle à l’hôpital Aristide-Le-Dantec de Dakar.

Les hommages affluent de nombreux secteurs, saluant non seulement son talent littéraire, mais aussi son engagement envers la langue française et sa contribution à la littérature sénégalaise. Sur les réseaux sociaux, l’écrivaine Ndèye Fatou Kane a décrit Abasse Ndione comme « un grand homme, un immense écrivain », recommandant de lire ou relire ses livres.

Moustapha Tambadou, fonctionnaire du ministère de la Culture à la retraite, a exprimé sa gratitude envers l’écrivain en déclarant : « Adieu Abasse Ndione. Merci d’avoir apporté à notre littérature ce souffle nouveau que savent répandre ceux qui osent, indignent et finalement subjuguent. Tes œuvres ont rejoint définitivement l’éternité. Tu nous as certes quittés, mais tu ne mourras jamais. »

Abasse Ndione lui-même avait partagé son point de vue sur la mort dans une interview, qualifiant le mot « mort » de celui de la langue française qu’il aimait le moins, soulignant que c’est « la fin terrestre de toute chose ».

Le Sénégal pleure la perte d’un écrivain majeur dont l’impact perdurera à travers ses écrits, témoignant de son engagement envers la littérature et son influence durable sur la scène culturelle sénégalaise. Seneweb présente ses condoléances à la famille d’Abasse Ndione et à la communauté littéraire sénégalaise dans son ensemble.

Décès de maman Diaga : Les condoléances de Mamadou Guèye, leader du MRV à la famille Seck

Le rappel à Dieu de Ndèye Fatou Diouf Diaga, maman du célèbre chanteur sénégalais Wally Ballago Seck, décédée en France où elle recevait des soins médicaux à fait réagir la classe politique.

Mamadou Guèye, leader du mouvement pour la refondation des valeurs (MRV) nous partage sa tristesse et consternation à la suite de cette mauvaise nouvelle.

 »Je vous témoigne toute ma compassion pour le décès de votre tendre mère, Maman Fatou Kiné Diouf  »Diaga ». Je garderai toujours dans mon cœur les souvenirs que nous avons partagés avec cette belle âme. Je présente mes sincères condoléances à toute la famille Seck plus particulièrement à Seydina Alioune Seck. C’est un coup dur pour un jeune de son âge. Je lui témoigne ma solidarité et mon soutien indéfectible. Repose en Paix Diaga », a réagi le responsable politique de la coalition BBY

Nécrologie – Dernière minute : Décès de Fatou Kiné Diouf Diaga, mère du chanteur Wally Seck

Une très mauvaise nouvelle a encore frappé la famille de feu Thione Seck. Celle qui était son épouse, Fatou Kiné Diouf  »Diaga », maman du célèbre chanteur, Wally Ballago Seck n’est plus.

Plusieurs sources proches de la famille ont confirmé son rappel à Dieu.

Un décès survenu ce samedi 20 janvier à Paris, des suites d’une longue maladie.

Notre rédaction exprime ses condoléances à toute la famille Seck.

Les lions du Sénégal endeuillés : Décès du père de Cheikhou Kouyaté

Le Père de Cheikhou Kouyaté, international sénégalais actuellement en Côte d’Ivoire pour les besoins de la CAN 2023 vient de nous quitter.

L’info est de Mamadou Ndiaye de la TFM.
Paix à son âme et que Dieu l’accueille dans son paradis.


Courage Champion!

Tragédie à Keur Massar : décès du secrétaire général de magui PASTEF suite à une agression

Le parti politique ex-Pastef, dirigé par Ousmane Sonko, est plongé dans le deuil suite au décès tragique d’Ibrahima Seye, Secrétaire général de Magui PASTEF dans le département de Keur Massar. La nouvelle de sa disparition a été confirmée ce mardi vers 17h, alors qu’il était hospitalisé à la suite d’une agression survenue dans le quartier Montage le 24 décembre.

Les circonstances entourant cette attaque restent floues, mais selon les informations recueillies par Seneweb, la victime aurait quitté son domicile tôt le matin pour se rendre à la mosquée lorsque les assaillants ont perpétré leur acte odieux.

La communauté politique et les membres de Magui PASTEF sont choqués par cette tragédie, perdant un membre actif et engagé. Les autorités locales et les forces de l’ordre sont appelées à faire toute la lumière sur cette agression et à traduire les responsables en justice.

Cette douloureuse épreuve met en évidence les défis sécuritaires auxquels peuvent être confrontés les membres de partis politiques et les citoyens ordinaires. La nécessité de renforcer la sécurité dans les quartiers et de garantir la protection des citoyens devient une préoccupation majeure dans le contexte actuel. La famille d’Ibrahima Seye ainsi que ses collègues et amis sont en deuil, et le pays attend des réponses rapides et efficaces pour faire face à cette tragédie.

Karim Wade exprime sa tristesse suite au décès de l’émir du Koweït

Karim Wade, candidat du Parti démocratique sénégalais (Pds), a réagi au décès de l’émir du Koweït, Sheikh Nawaf Al-Ahmad Al-Jaber Al-Sabah, dans un post sur les réseaux sociaux. Voici l’intégralité de sa publication :

« C’est avec une profonde tristesse que j’ai appris le rappel à Dieu de l’émir du Koweït, Sheikh Nawaf Al-Ahmad Al-Jaber Al-Sabah, un leader respecté et un ami cher du Sénégal.

En ces moments de deuil, je tiens à exprimer mes plus sincères condoléances à l’émir Sheikh Mishal Al-Hamad Al-Jaber Al-Sabah, à la famille royale, au peuple koweïtien et à tous ceux qui l’ont connu et respecté. Sa disparition est une grande perte pour la Ummah Islamique, pour la communauté internationale et pour tous ceux qui œuvrent en faveur de la paix et de la coopération entre les nations.

J’ai encore en mémoire le soutien significatif qu’il a apporté au Sénégal, notamment dans l’organisation de la Conférence de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) en 2008, un moment historique pour notre pays.

En reconnaissance de son rôle essentiel dans le succès du sommet de l’OCI à Dakar, et en honneur de l’amitié profonde qu’il a toujours manifestée envers le Sénégal, le Président Abdoulaye Wade et moi-même enverrons une délégation représentant le Parti Démocratique Sénégalais à l’Ambassade du Koweït à Dakar pour présenter nos condoléances les plus sincères, rendre un hommage digne à sa mémoire et exprimer notre solidarité avec le peuple ami du Koweït.

Je garderai toujours à l’esprit son héritage de sagesse, de leadership et son engagement envers des valeurs de paix et de coopération. Que son âme repose en paix. »

Triste nouvelle à Touba : Décès de Serigne Abdou Khadim Mbacké (photo)

C’est une triste nouvelle qui vient de nous parvenir. Serigne Abdou Khadim Mbacké nous a quittés dans la nuit du mardi 12 au mercredi 13 décembre !

Ce fils de Serigne Bassirou Khoudia Mbacké, descendant de Serigne Mouhamadou Lamine Bara Mbacké Khadim Rassoul, a rendu son dernier souffle hier soir vers 23 heures à Mbacké Kadior selon les informations de Seneweb.

Ses obsèques auront lieu ce mercredi à Touba, et la cérémonie religieuse est prévue pour vendredi prochain dans la ville sainte. Le regretté Serigne Abdou Khadim Mbacké était le grand frère de Serigne Cheikh Thioro Mbacké, qui est le porte-parole de la famille de Gouy-Mbind.

Pikine Tally Bou Bess : Décès d’un homme lors d’une dispute conjugale

Un homme est décédé lors d’une dispute avec sa femme à Pikine Tally Bou Bess, un quartier de Pikine, au Sénégal. L’incident a été marqué par le fait que l’homme a apparemment fait une crise, entraînant sa mort. La dispute conjugale a pris une tournure tragique, mettant en lumière les circonstances particulières du décès.

Les détails spécifiques de la dispute, de la crise et de la cause du décès ne sont pas fournis dans le texte. Les affaires familiales et les situations de ce type peuvent être complexes et sensibles. L’enquête policière et médicale serait nécessaire pour déterminer les circonstances exactes du décès et établir les responsabilités, le cas échéant.

Nécrologie : La presse sénégalaise endeuillée avec le décès d’un Doyen

Le monde de la presse nationale est en deuil suite au décès hier à Rufisque du Doyen Mame Ongué Ndiaye. Cet homme a indéniablement été l’une des plus belles plumes du Sénégal. Il a exercé son métier à travers les différentes époques du Sénégal, depuis l’indépendance jusqu’à nos jours.

Il a exercé son métier sous les régimes de Senghor, Diouf, Wade et Macky Sall. Mame Ongué Ndiaye s’est particulièrement illustré en tant que journaliste militant, occupant les fonctions de Directeur de Publication et de Rédacteur en chef de « L’Unité », l’organe central du Parti socialiste sous la présidence de Léopold Sédar Senghor et Abdou Diouf. Il avait maintenu une collaboration avec certains journaux privés locaux avant de se retirer complètement dans sa vieille ville, où il aimait raconter l’histoire politique qui y était riche.

Selon le journal « Le Témoin », il aimait rappeler qu’il siégeait aux instances supérieures du Parti, étant souvent convié aux réunions du bureau politique par le président Senghor lui-même. Mame Ongué Ndiaye collaborait avec des cadres du Parti socialiste, tels que le regretté Premier ministre Habib Thiam, ainsi que des ministres tels que Jacques Baudin, Thierno Bâ et Doudou Sine.

Ces dernières années, malgré sa maladie, il continuait à fréquenter les lieux publics de Rufisque et profitait de chaque occasion pour porter un regard critique sur le travail de ses jeunes confrères.

Senenews

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