L’armée sénégalaise démantèle un site d’orpaillage clandestin à Kéniéba

Les forces de la Zone militaire N°4 ont procédé ce vendredi au démantèlement d’un site d’orpaillage clandestin installé sur les rives de la Falémé, dans la zone de Kéniéba, région de Tambacounda. L’annonce a été faite par la Direction de l’information et des relations publiques des armées (Dirpa).

Cette opération de sécurisation s’inscrit dans le cadre des efforts soutenus des forces armées sénégalaises pour lutter contre l’exploitation illégale des ressources naturelles et ses répercussions sur l’environnement. Elle a permis la saisie de 16 groupes électrogènes, 10 panneaux solaires ainsi que divers matériels utilisés pour l’extraction illégale de l’or.

Selon les autorités militaires, cette intervention vise à freiner les activités illicites qui prolifèrent dans certaines zones reculées du pays, notamment dans les régions riches en ressources minières. L’orpaillage clandestin, en plus de son impact sur l’économie nationale, représente une menace réelle pour les écosystèmes locaux, notamment en raison de l’utilisation de produits chimiques nocifs et de la déforestation qu’il engendre.

Les autorités ont réaffirmé leur détermination à intensifier les opérations de surveillance et de sécurisation pour protéger le territoire national contre ces pratiques illicites. Elles appellent également les populations à collaborer avec les forces de défense et de sécurité afin de préserver les ressources naturelles du pays.

Bakel : Le fils du maire à la tête d’un gang démantelé après une série de cambriolages

Un fait divers secoue la commune de Bakel. Selon les informations rapportées par L’Observateur et reprises par Seneweb, B. S., fils du maire de la ville, serait le cerveau d’un gang qui a semé la terreur ces derniers mois. Lui et ses complices ont été arrêtés par la gendarmerie après une série de cambriolages ciblant des personnalités locales.

Dans la nuit de mercredi à jeudi dernier, le groupe a notamment cambriolé les domiciles du préfet de Bakel, de son adjoint ainsi que celui du coordonnateur de l’ONG GRDR. Les malfaiteurs ont emporté des téléviseurs chez le préfet et deux motos au domicile du représentant de l’ONG.

L’enquête menée par la gendarmerie a rapidement permis d’identifier les membres du gang. B. S., déjà connu du fichier judiciaire, a été interpellé et n’a pas tardé à dénoncer ses complices. Ces derniers ont tenté de fuir en se jetant dans le fleuve, mais ils ont été rattrapés par les forces de l’ordre.

Lors de leur arrestation, deux kilogrammes de chanvre indien ont également été saisis. Les individus sont poursuivis pour association de malfaiteurs, vols en réunion et détention de produits stupéfiants. Leur déferrement au parquet de Tambacounda était prévu ce lundi 17 mars.

Sénégal : Un réseau de trafic de drogue démantelé, la drogue dissimulée dans des micro-ondes

Un réseau sophistiqué de trafic de drogue a été mis au jour grâce à la vigilance d’un agent de la Gendarmerie. Les trafiquants utilisaient un stratagème ingénieux pour acheminer du haschich du Maroc vers le Sénégal : dissimuler la drogue à l’intérieur de fours à micro-ondes neufs.

Selon le journal Libération, l’affaire a éclaté lorsque le gendarme, intrigué par l’envoi suspect d’un micro-ondes, a décidé de l’inspecter. En le démontant, il a découvert un kilogramme de haschich soigneusement dissimulé. Informée de cette découverte, l’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) a immédiatement mis en place une livraison surveillée.

Cette opération a conduit à l’arrestation de deux individus : A. Valéra, le destinataire du colis, et son complice A. Dior. Les perquisitions effectuées par les forces de l’ordre dans le quartier de Rebeuss ont permis de saisir six autres micro-ondes contenant également de la drogue, ainsi qu’un stock supplémentaire de 2,9 kg de haschich dissimulé sur le toit du domicile de Valéra.

Cette affaire met en lumière l’ingéniosité sans cesse renouvelée des trafiquants pour tenter d’échapper aux contrôles. Grâce à la vigilance des forces de sécurité, ce réseau a été neutralisé, empêchant ainsi l’arrivée de plusieurs kilogrammes de drogue sur le marché sénégalais. L’enquête se poursuit afin d’identifier d’éventuels complices et remonter la filière jusqu’à ses sources d’approvisionnement.

L’Armée Sénégalaise Démantèle un Grand Site d’Orpaillage Clandestin à Saraya : 26 Orpailleurs Arrêtés

Dans le cadre de l’opération Sentinelle Est, lancée par l’armée sénégalaise depuis le 11 février dernier, le commandement de la zone militaire n°04 a intensifié ses efforts pour sécuriser le Sud-est du pays et endiguer la montée de la violence et de la criminalité organisée dans le département de Saraya.

Le 34e Bataillon d’infanterie, basé à Kédougou, a mené une opération d’envergure pour démanteler un site d’orpaillage clandestin, connu comme un foyer du grand banditisme. Situé entre les villages de Bokhodi, ce site a été le théâtre d’une intervention décisive des forces armées sénégalaises.

Lors de l’opération, 26 individus de nationalité malienne et burkinabè ont été appréhendés et remis aux autorités de la brigade de gendarmerie de Saraya pour les procédures judiciaires nécessaires. En plus des arrestations, les militaires ont détruit sur place 32 machines concasseurs d’or, également appelées dragues, utilisées illégalement pour l’extraction de minerais.

Un important lot d’équipements a été saisi, comprenant 25 motos, 11 groupes électrogènes, 4 tricycles, 8 motopompes et 5 panneaux solaires, qui ont été confisqués et remis à la garde de la gendarmerie.

Ces opérations de sécurisation se poursuivront afin de nettoyer cette zone des activités illicites d’exploitation minière et de préserver l’intégrité du domaine forestier environnant.

Les autorités militaires ont exprimé leur détermination à maintenir la pression sur les activités criminelles dans la région, soulignant l’importance de telles opérations pour la protection des ressources naturelles et la sécurité des habitants.

Trafic de drogue démantelé : Un dealer et son lieutenant arrêtés par la gendarmerie

Une opération menée par la Brigade de gendarmerie de Keur Massar a abouti à l’arrestation d’un dealer nommé Serigne Saliou Thiam et de son lieutenant, Dame Diop, dans une affaire de trafic de drogue. Les détails de cette opération ont été rapportés par Libération.

Les gendarmes ont réussi à infiltrer le réseau de trafic de drogue, notamment en se faisant passer pour des acheteurs potentiels. Ayant pris contact avec Serigne Saliou Thiam, les enquêteurs ont commandé 100 pièces d’ecstasy. Avant de procéder à la livraison, le dealer a envoyé son lieutenant, Dame Diop, pour s’assurer de la qualité du produit auprès des faux clients.

Après avoir vérifié un échantillon de trois pièces, jugé conforme, les enquêteurs infiltrés ont été conduits par Dame Diop à l’appartement de Serigne Saliou Thiam. Sur place, ce dernier a remis aux gendarmes les 100 pièces d’ecstasy commandées, évaluées à une valeur totale de 700 000 francs CFA, soit 7000 F CFA l’unité.

Pris en flagrant délit, Serigne Saliou Thiam et Dame Diop ont été arrêtés sur-le-champ par les forces de l’ordre et conduits à la Brigade de Keur Massar pour la suite des procédures judiciaires.

Cette opération démontre l’efficacité des forces de sécurité dans la lutte contre le trafic de drogue et leur capacité à infiltrer les réseaux criminels pour les démanteler.

[En direct] L’armée israélienne déclare avoir démantelé la brigade du Hamas à Khan Younès

Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Ismaïl Haniyeh, est attendu ce jeudi 1er février ou ce vendredi en Égypte pour discuter d’une nouvelle trêve dans la bande de Gaza où les combats et les raids israéliens se poursuivent en dépit d’une situation humanitaire critique. Dans le nord de l’enclave et en Cisjordanie, ainsi qu’au Liban avec le Hezbollah, la situation reste très tendue également.

Ce qu’il faut retenir

■ Les États-Unis annoncent imposer ce jeudi des sanctions contre des quatre colons israéliens en Cisjordanie qui se verront interdits de séjour et leurs avoirs éventuels gelés.

■ Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Ismaïl Haniyeh, est attendu ce jeudi ou ce vendredi en Égypte pour discuter d’une initiative formulée lors d’une réunion le weekend dernier à Paris entre le directeur de la CIA, William Burns, et des responsables égyptiens, israéliens et qataris.

■ L’armée israélienne affirme avoir démantelé la brigade du Hamas à Khan Younès. Cette ville est pillonnée par l’armée israélienne depuis plusieurs semaines. Au cours de la nuit dernière , des témoins ont fait état de frappes israéliennes à proximité de l’hôpital Nasser deKhan Younès. Dans le même temps, Israël poursuit également ses raids meurtriers en Cisjordanie occupée.

■ Selon le dernier bilan du ministère de la Santé du Hamas, 1er février, 27 019 personnes ont été tuées à Gaza depuis le début de la guerre, le 7 octobre dernier. Les morts sont en majorité des femmes, des adolescents et des enfants. On dénombre 66 139 blessés. Dans un nouveau bilan du 1er février, l’AFP décompte 1 163 personnes côté israélien, lors de l’attaque du Hamas le 7 octobre 2023

21h18 : [Témoignage] « On ne peut pas rentrer à Khan Younès »

Sur le terrain, Israël poursuit ses raids meurtriers dans la bande de Gaza, où la situation humanitaire est désastreuse. « Je suis toujours chez ma sœur. Rien n’a changé », témoigne Asma, qui ne perd toutefois pas espoir. Réfugiée à Rafah chez sa sœur, elle prie pour un arrêt des combats, qui lui permettra de revenir chez elle à Khan Younès.

Mais pour le moment, le danger est trop grand. « Il y a toujours des attaques, des bombardements, explique-t-elle à notre correspondant à Jérusalem,Sami Boukhelifa. L’armée israélienne est entrée [profondément] à Khan Younès. Elle est dans le centre de Khan Younès. Elle y mène beaucoup d’opérations. On ne peut pas y aller, non ! »

Combats, déplacements forcés… au milieu du chaos, une bonne nouvelle cette semaine : de l’aide humanitaire a été distribuée dans le sud de la bande de Gaza. « Nous ici, on en a reçu. Ma sœur aussi. On a tous eu de la farine. Les familles [nombreuses] qui comptent 11,12 ou 13 membres, ont droit à davantage d’aide. On leur donne quatre ou cinq sacs de farine. Les petites familles ont le droit à un ou deux sacs. Et c’est gratuit ». Mais face au manque, certaines familles revendent une partie de leur ration alimentaire. Seul moyen d’avoir un peu d’argent, pour subvenir à leurs autres besoins.

20h52 : Les Houthis du Yémen affirment avoir ciblé un navire marchand britannique en mer Rouge

Les Houthis du Yémen ont déclaré que leurs forces navales avaient ciblé un navire marchand britannique non identifié dans la mer Rouge dans le cadre de la campagne du groupe visant à perturber la navigation pour protester contre le bombardement israélien de Gaza. Plus tôt jeudi, l’organisation britannique des opérations commerciales maritimes (UKMTO) a déclaré qu’une explosion avait été signalée à distance au large du côté tribord d’un navire à l’ouest de Hodeidah au Yémen.

Le navire et l’équipage ont été déclarés sains et saufs, a indiqué l’UKMTO. Il n’était pas clair s’il s’agissait du navire ciblé par les Houthis. Les attaques des Houthis contre les navires « persisteront jusqu’à ce que l’agression cesse et que le siège de la bande de Gaza soit levé », a déclaré le porte-parole militaire des Houthis dans un communiqué.

19h51 : L’armée américaine affirme avoir abattu un drone au-dessus du golfe d’Aden

L’armée américaine a déclaré avoir abattu jeudi un drone au-dessus du golfe d’Aden, le dernier d’une série d’incidents en cours près du Yémen. « Le 1er février, vers 5h00 (heure de Sanaa) [02h00 TU], les forces du commandement central américain ont engagé et abattu un drone au-dessus du golfe d’Aden », a indiqué le Commandement central des États-Unis (Centcom) dans un communiqué. « Aucun blessé ni dégât n’a été signalé. »

Le Centcom a déclaré que les forces américaines ont également détruit un « véhicule de surface sans équipage (USV) explosif sans équipage » dans la mer Rouge, et que deux missiles balistiques antinavires ont été lancés depuis le territoire contrôlé par les Houthis plus tard dans l’après-midi.

19h36 : L’armée israélienne brûlerait des centaines de maisons inhabités à Gaza, selon une enquête d’Haaretz

Le journal israélien Haaretz affirme avoir obtenu des informations exclusives selon lesquelles les commandants de l’armée israélienne ont ordonné à leurs troupes de mettre le feu à des maisons inoccupées de Gaza. « Une fois que la structure et tout ce qu’elle contient ont été incendiés, on la laisse brûler jusqu’à ce qu’elle devienne inutilisable », a écrit Haaretz. Le journal a cité trois responsables de l’armée israélienne qui ont été le « fer de lance » des opérations à Gaza, qui ont confirmé que c’était une pratique courante.

Cet article fait suite à l’aveu de hauts responsables israéliens selon lesquels le pays cherche une « zone tampon » autour du périmètre de Gaza, censée, selon eux, empêcher de futures attaques contre Israël.

19h24 : L’armée israélienne déclare avoir démantelé la brigade du Hamas à Khan Younès

L’armée israélienne a démantelé la brigade du Hamas palestinien à Khan Younès, a déclaré jeudi le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, alors que Tsahal a intensifié ces dernières semaines son offensive dans la principale ville du sud de la bande de Gaza. « Nous finalisons nos missions à Khan Younès. Nous allons aussi atteindre Rafah et éliminer les éléments terroristes qui nous menacent », a-t-il dit à propos de la ville se situant à la pointe sud de l’enclave palestinienne, à la frontière avec l’Egypte.

De nombreux civils palestiniens ont fui vers le sud de la bande de Gaza puis jusqu’à Rafah à mesure que la vaste offensive lancée par Israël en représailles à l’attaque du Hamas le 7 octobre s’est élargie dans l’étroite bande côtière, densément peuplée.

L’armée israélienne avait dans un premier temps focalisé ses bombardements et opérations terrestres dans le nord de l’enclave palestinienne, où vivent quelque 2,3 millions de personnes. Après avoir dit être parvenue à prendre le contrôle de la zone, l’armée israélienne a intensifié ses opérations dans le sud de Gaza, principalement dans et autour de Khan Younès.

La ville de Rafah, où se trouve l’unique point de passage frontalier avec la bande de Gaza non contrôlé par Israël, est la principale voie d’acheminement de l’aide humanitaire dans l’enclave depuis le début de la guerre, il y près de quatre mois.

18h49 : Le Hamas donne une « confirmation préliminaire positive » concernant la proposition de trêve et libération d’otages, selon le Qatar

Le Hamas a donné une « première confirmation positive » à une proposition de trêve dans la bande de Gaza et de libération d’otages détenus dans le territoire palestinien, a déclaré jeudi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères du Qatar. « La réunion de Paris a permis de consolider les propositions […] Cette proposition a été approuvée par la partie israélienne et nous avons maintenant une première confirmation positive de la part du Hamas », a déclaré Majed al-Ansari, en référence à une réunion le week-end dernier entre représentants américains, israéliens, qataris et égyptiens en France.

« Le chemin à parcourir est encore très difficile. Nous sommes optimistes parce que les deux parties ont accepté les prémisses qui conduiraient à une prochaine pause. Nous espérons que dans les deux prochaines semaines, nous serons en mesure de partager de bonnes nouvelles à ce sujet », a-t-il ajouté.

Le Hamas a fait état cette fois-ci d’une proposition en trois phases, dont une pause dans les combats de six semaines, avec prolongation possible. Au cours de cette période, Israël devra libérer entre 200 à 300 prisonniers palestiniens n’étant pas détenus sous un régime de haute sécurité, en échange de 35 à 40 otages captifs à Gaza, selon une source au sein du Hamas proche des médiateurs égyptiens et qataris. De 200 à 300 camions d’aide humanitaire pourront aussi entrer chaque jour dans la bande de Gaza.

Selon les autorités israéliennes, 132 otages restent détenus à Gaza, dont 27 seraient morts.

18h33 : Israël défend les colons en Cisjordanie après des annonces de sanctions américaines 

Israël a estimé jeudi qu’il n’y avait « pas de place pour des mesures exceptionnelles » contre les colons israéliens en Cisjordanie occupée, où les violences se sont accrues en marge de la guerre à Gaza, après des sanctions annoncées par Washington. « La majorité absolue des colons de Judée et Samarie [Cisjordanie, ndlr] sont des citoyens respectueux de la loi, dont beaucoup combattent actuellement pour la défense d’Israël. Israël agit contre tous ceux qui violent la loi partout », a affirmé dans un communiqué le Bureau du Premier ministre.

18h17 : L’attaque du 7 octobre a fait 1 163 morts, selon un nouveau bilan de l’AFP

L’attaque du Hamas palestinien le 7 octobre contre Israël a entraîné la mort de 1 163 personnes côté israélien, en majorité des civils, hommes, femmes et enfants de tous âges, selon un nouveau décompte réalisé par l’AFP à partir des derniers chiffres officiels disponibles jeudi.

Pour parvenir à ce bilan, l’AFP a croisé les données publiées séparément par la Sécurité sociale israélienne (Bitouah Léoumi), l’armée, la police, la Sécurité intérieure (Shin Bet) et le Bureau du Premier ministre. Ce nouveau décompte apparaît en hausse par rapport au chiffre obtenu selon la même méthode à la mi-décembre (1 139 morts), notamment par la prise en compte des personnes prises en otages le 7 octobre par les commandos du mouvement islamiste palestinien et dont la mort a été confirmée depuis lors.

17h57 : L’Irlande demande une révision de l’accord UE-Israël en raison de problèmes de droits

L’Irlande est en discussion avec d’autres membres de l’Union européenne qui souhaitent une révision de l’accord d’association UE-Israël au motif qu’Israël pourrait violer la clause relative aux droits de l’homme de l’accord, a déclaré jeudi le Premier ministre Leo Varadkar. « Les relations UE-Israël sont fondées sur un accord qui contient une clause relative aux droits de l’homme, et beaucoup d’entre nous pensent qu’Israël pourrait enfreindre cet accord », a déclaré Leo Varadkar à la presse à l’issue d’un sommet européen à Bruxelles. « C’est quelque chose dont nous parlons […]. Il n’y a pas d’accord total, mais c’est quelque chose que j’ai réclamé aujourd’hui et en décembre dernier. »

Un certain nombre d’États de l’Union européenne parlent également d’une éventuelle reconnaissance commune d’un État palestinien après le conflit actuel, a-t-il aussi déclaré. «Une autre chose dont nous parlons est la reconnaissance. Un certain nombre d’États de l’UE agissant ensemble pour reconnaître la Palestine pourraient permettre une négociation plus équitable après la fin de la guerre à Gaza dans et autour d’une solution à deux États », a-t-il déclaré.

L’Irlande est depuis longtemps un défenseur des droits des Palestiniens et les ministres ont déclaré à plusieurs reprises que le gouvernement envisageait de reconnaître un État palestinien. S’exprimant à la fin du sommet européen, Varadkar a déclaré qu’il y avait beaucoup de « pays partageant les mêmes idées » autour de la table de l’UE.

17h30 : Washington impose des sanctions contre des colons israéliens en Cisjordanie

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