Échauffourées verbales autour de la campagne électorale : Sonko s’en prend à Farba Ngom

Abdou Mbow réagit vivement aux propos de Sonko, l’accusant de mettre en péril la stabilité du Sénégal

Il devient urgent d’arrêter cet homme avant que ces propos irresponsables ne carbonisent le Sénégal. 
Que son bétail électoral le prenne pour dieu et n’ose même pas contredire ses saillies verbales, est une chose, mais que cela lui confère l’idée qu’il a droit quasi divin de vie ou de mort sur les Sénégalais qu’il prend pour ses sujets, devient dangereux pour notre pays. 
Un coup c’est la promesse de faire pourrir ceux qui oseront avoir un point de vue différent de lui sur la Casamance, qui sont voués à pourrir à Rebeuss, et ne se sentant plus, voilà notre Max-la-menace qui décide que les élections auxquelles participe Farba Ngom sont les dernières de sa vie. Rien que ça !!! 
Ce matamore nous fatigue et nous lui conseillons d’arrêter ou alors de prendre quelques congés, notre homme est en en surchauffe mentale et pas loin du burn out. 
« J’ai entendu qu’une personne sillonne le département, mallette à la main, distribue entre 50 et 80 millions. Mais je vous garantis que c’est la dernière élection à laquelle il prend part en tant que candidat et à fortiori en tant que distributeur automatique d’argent. ».  
C’est sa campagne à lui de prendre les Sénégalais pour des ânes auxquels on dit : « Donnez-nous la majorité et nous vous dirons à qui sont les 1000 milliards et nous les mettrons tous en prison » !!! 
Stoppez cet homme c’est un incendiaire qui veut consumer notre pays. Pour le livrer alors à qui ? C’est toute la question !! 

Thiès le, 07 novembre 2024

Abdou MBOW
Ancien Président du Groupe Parlementaire BBY
Candidat sur les listes de la Coalition Takku Wallu Senegal

Échauffourées à Ngodiba (Kaffrine) : Sos consommateurs s’implique pour apaiser la situation

Des tensions ont éclaté hier à Ngodiba, dans le département de Kaffrine, entre les jeunes de la localité et les gendarmes, suite à la saisine de Flexeau sur les compteurs des habitations présentant des factures impayées. Face à cette situation, le président de l’association Sos consommateurs de la région de Kaffrine, Dame Seck, a engagé une médiation pour ramener le calme. Il a ainsi saisi le gouverneur de Kaffrine et sollicité l’intervention de la plus haute autorité administrative de la région.

Dame Seck a déclaré : « Depuis que nous avons été informés de la situation à Ngodiba, il y a quelques mois, nous avons organisé une réunion avec les autorités locales et les représentants des sociétés Flexeau et de l’Ofor pour trouver une solution. Nous avons tenté de convaincre les autorités de trouver des solutions satisfaisantes pour les deux parties. »

Lors des négociations, certains habitants de Ngodiba ont exprimé leur incapacité à payer les redevances, demandant à être dispensés du paiement de factures totalisant environ 60 millions de Fcfa. Dame Seck a plaidé pour la poursuite des pourparlers jusqu’à la fin du ramadan, afin de permettre à chacun de trouver une solution.

Regrettant l’absence de progrès dans les négociations malgré les multiples relances adressées à Flexeau et à la préfecture, Dame Seck déplore également les violences perpétrées par les jeunes. Il souligne que les équipes de Flexeau et de la gendarmerie ont agi de manière inopportune en débranchant les compteurs pendant le mois de ramadan, même si la patience des habitants a été mise à l’épreuve. Il insiste sur la vulnérabilité des populations et leur incapacité à payer ces redevances.

En guise de solution, Dame Seck propose une réforme de la gestion de l’eau qui soit équitable pour tous les citoyens.

RDC: des échauffourées entre la police et des partisans de l’opposant Martin Fayulu à Kinshasa

En République démocratique du Congo (RDC), l’opposition a appelé mercredi 27 décembre à la manifestation. Le gouvernement a interdit le rassemblement, alors que l’opposant Martin Fayulu avait appelé, avec quatre autres candidats, à une marche pour demander l’annulation des élections générales qui se sont tenues la semaine dernière. Après des tensions le matin, la situation s’est calmé au cours de la journée.

La situation s’est brusquement tendue mercredi matin, alors qu’une centaine de militants attendaient devant le QG du parti Ecide (L’Engagement pour la Citoyenneté et le Développement) de commencer leur manifestation. « On devait se mettre en route à midi », confirme Martin Fayulu. Et peu avant 11 heures, des échauffourées ont débuté entre des militants, jeunes souvent très jeunes, et des policiers. Jets de pierre contre grenades assourdissantes et lacrymogènes. Le siège du parti s’est retrouvé encerclé par les forces de l’ordre et il y a eu quelques arrestations. 

Devant le siège du parti de Martin Fayulu, une centaine de jeunes attendaient le début de la manifestation. Avec un mot d’ordre pour cette journée. « Il y a eu un braquage électoral, nous ne pouvons pas tolérer ce genre de comportements, ces irrégularités qui continuent dans notre jeune démocratie », en dit un manifestant. « Moi en tant que jeune et un enseignant non payé, je veux tout faire pour chasser tous ces délinquants, qui sont en train de détruire le pays », enchaîne un autre.

Pendant une petite heure, les militants et les policiers se sont fait face. Des jets de pierre ont fusé au-dessus de l’entrée du bâtiment avant qu’un responsable d’Ecide ne sorte, avec un voile blanc. Il est parti discuter avec les policiers. Puis la situation s’est brusquement calmée, les jeunes sont ressortis du siège du parti, les policiers ont reculé, les blessés ont été évacués.

Des échauffourées avant même le début de la manifestation

Mais avant même le début de la marche, des échauffourées ont commencé avec les forces de l’ordre. Depuis, une partie du dispositif sécuritaire a été levé. Le responsable de la police de Kinshasa a tenu à rappeler que la manifestation était interdite et il met en cause les organisateurs. Selon lui, il y avait des mineurs parmi les manifestants devant le QG, notamment.

Pour le chef de la police de Kinshasa, le général Blaise Kilimbalimba, des éléments perturbateurs étaient présents ce matin : « Il s’est agit d’une manifestation non autorisée pour des raisons sécuritaires évidentes. Et vous avez vu comment, lorsque les organisateurs se sont entêtés, il y a eu effectivement des éléments perturbateurs de leur marche, qui ont commencé par des jets de pierre et qui les ont insécurisés. C’est alors que la police est venue pour réinstaurer le calme. »

Martin Fayulu, le seul parmi les candidats qui avaient appelé à se rassembler à être présent sur les lieux, a pour sa part dénoncé une utilisation de la violence pour empêcher toute manifestation. Martin Fayulu et ses alliés n’ont donc pas marché jusqu’à la Commission électorale comme c’était prévu. L’opposant dénonce l’usage de la force pour empêcher une manifestation et promet de nouveaux rassemblements à venir.

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