Réunion politique à Dakar Arena : El Malick Ndiaye critique l’entrée payante du rassemblement de Pastef et galvanise ses militants

Le ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens, El Malick Ndiaye, a vivement critiqué l’organisation d’un meeting politique avec entrée payante, lors d’un rassemblement du parti Pastef tenu à Dakar Arena. S’exprimant ce samedi devant les militants de son propre parti, il a qualifié cette initiative de « du jamais vu », soulignant l’anomalie d’exiger une participation financière pour assister à un événement politique.

Dans son discours, El Malick Ndiaye n’a pas manqué de rendre hommage à la détermination des militants présents. « Vous êtes la force de ce pays, et chaque jour, vous le prouvez. Ce que vous faites, c’est plus que du militantisme, c’est un combat pour l’avenir de notre nation », a-t-il lancé, affirmant que leurs actions perturbent profondément leurs adversaires politiques. Selon lui, l’impact des militants se fait sentir à la fois « dans leur chair et leur conscience », car « ils savent que le temps de leur système est compté ».

Le ministre a ensuite souligné que le changement en cours n’était pas qu’un simple slogan, mais une réalité tangible façonnée par les efforts des militants. « Vous êtes en train de changer l’histoire, et cela se voit dans chaque regard, chaque geste. Cette force collective est invincible », a-t-il ajouté, saluant l’engagement continu des membres du parti.

En conclusion, El Malick Ndiaye a fait appel à la responsabilité civique de ses partisans, en les encourageant à maintenir la propreté du lieu. « Nous sommes des patriotes, nous sommes responsables. Nettoyons Dakar Arena avant de rentrer. Ce lieu doit rester aussi propre que notre engagement pour un Sénégal meilleur », a-t-il insisté, avant de remercier les militants pour leur force et leur dévouement.

Ce discours galvanisant s’inscrit dans un contexte de rivalité politique marquée, où chaque parti cherche à mobiliser ses troupes tout en affirmant sa légitimité sur l’échiquier national.

Le Dakarois Quotidien & Le Dakarois Sports N°297 – du 15/10/2024

🔴 PLAN QUINQUENNAL 2025-2029 DU « SÉNÉGAL 2050 » / MOBILISATION DE 18,5 MILLIARDS F CFA : LA MARGE DE CONTRIBUTION DU SECTEUR PRIVÉ FIXÉE À 40%
🔴 SORTIE D’EL MALICK NDIAYE SUR LA SITUATION FINANCIÈRE DE DDD : « SES PROPOS NE REFLÈTENT PAS LA RÉALITÉ », SELON L’INTERSYNDICALE

🔴 CHAMPIONNATS DU MONDE DE BOXE SAVATE : LA SÉNÉGALAISE CLAIRE MARIE DRAMÉ CROQUE DANS L’OR
🔴 RÉHABILITATION DE SON STADE EN COURS : CASA SPORTS NE DÉBUTERA PAS LA LIGUE 1 À ALINE SITOÉ DIATTA

Lancement de la circulation simultanée des trains miniers et du TER à Diamniadio : Un nouveau souffle pour le trafic ferroviaire sénégalais

Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens, El Malick Ndiaye, a inauguré une étape cruciale pour le transport ferroviaire au Sénégal avec la mise en circulation simultanée des trains des opérateurs miniers (ICS et GCO) et du Train Express Régional (TER) à la gare ferroviaire de Diamniadio. Cette avancée, saluée par le ministre, marque une étape significative dans la redynamisation du trafic ferroviaire, essentielle à la croissance économique du pays.

Lors de cet événement, El Malick Ndiaye a félicité les équipes ayant permis cette réalisation, soulignant que ce progrès va stimuler le secteur des transports et renforcer l’économie nationale. « La concomitance des trains miniers et du TER va optimiser l’utilisation des infrastructures ferroviaires et augmenter la capacité de transport des marchandises et des passagers », a déclaré le ministre. Il a rappelé que l’absence de cette simultanéité avait durement impacté l’économie, causant une perte estimée à 7 milliards de francs CFA par an pour les sociétés minières depuis la mise en service du TER en janvier 2022.

Le ministre est également revenu sur les perturbations récentes du TER, notamment dues à la défaillance du poste de signalisation de Rufisque. Cet équipement clé, qui régule le trafic ferroviaire entre Yeumbeul et Diamniadio, a subi des dommages suite aux fortes pluies. « Le poste de signalisation, d’une importance capitale pour la sécurité des trajets, souffre d’une erreur de conception, étant situé dans une zone basse sujette aux inondations », a précisé El Malick Ndiaye.

Pour remédier à cette situation, des travaux de rénovation sont en cours et une solution structurelle durable est en préparation. « En plus des mesures d’urgence, nous concevons un nouveau poste de signalisation sur un étage, à l’abri des inondations, garantissant ainsi une meilleure résilience face aux intempéries futures », a-t-il ajouté.

La reprise simultanée des activités ferroviaires pour les trains miniers et le TER représente un soulagement pour les opérateurs économiques. En effet, le ralentissement du trafic ferroviaire avait considérablement affecté le secteur minier et la circulation des passagers, engendrant des pertes pour l’État du Sénégal.

Ce projet marque ainsi un tournant dans l’optimisation des infrastructures de transport et réaffirme l’engagement des autorités à moderniser le réseau ferroviaire du pays, en garantissant sécurité, fiabilité et durabilité des équipements. Grâce à cette relance, le Sénégal espère voir son trafic ferroviaire reprendre de l’élan et jouer un rôle central dans l’économie nationale et régionale.

Avec ces mesures en cours, le gouvernement du Sénégal montre sa volonté de renforcer le transport ferroviaire, contribuant ainsi à la relance économique et à l’amélioration du quotidien des usagers du TER et des opérateurs miniers.

Augmentation des accidents de la circulation : El Malick Ndiaye annonce de nouvelles mesures pour la sécurité routière

Face à la recrudescence des accidents de la circulation, le ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens, dirigé par El Malick Ndiaye, a dévoilé une série de nouvelles mesures destinées à renforcer la sécurité routière. Malgré les nombreuses initiatives de prévention et les appels constants à la prudence, les accidents meurtriers continuent de se multiplier sur les routes du pays, causant de nombreuses victimes.

Le ministère a exprimé ses condoléances aux familles des victimes et souhaité un prompt rétablissement aux blessés. Selon un communiqué officiel, les principales causes de ces accidents sont liées à des comportements humains irresponsables, tels que le non-respect du code de la route, la négligence, les excès de vitesse, et les dépassements dangereux. Les cinq derniers accidents majeurs, survenus récemment, sont tous attribuables à des erreurs humaines, notamment des dépassements irréguliers et l’endormissement au volant.

Renforcement des Contrôles Routiers :

  • Le ministère prévoit d’intensifier les contrôles sur les routes, en multipliant les points de contrôle et en renforçant les sanctions. Ces contrôles visent à dissuader les comportements dangereux et à garantir le respect des règles de sécurité.

Repos Obligatoire pour les Chauffeurs :

  • Les chauffeurs seront soumis à des périodes de repos obligatoires pour prévenir la fatigue, l’une des principales causes d’accidents. Cette mesure sera strictement appliquée, avec des sanctions sévères, y compris l’emprisonnement ou le retrait du permis de conduire pour les contrevenants.

Enquêtes Systématiques en Cas d’Accident Mortel :

  • Des enquêtes systématiques seront menées pour établir les responsabilités en cas d’accident mortel. Tous les acteurs impliqués seront tenus de rendre des comptes, ce qui devrait contribuer à renforcer la discipline sur les routes.

Responsabilisation des Opérateurs de Transport :

  • Le ministère exhorte les opérateurs de transport à assumer pleinement leurs responsabilités en matière de respect des normes techniques des véhicules, de formation et de sensibilisation des employés, ainsi que de gestion des heures de travail et de la fatigue.

Modernisation des Infrastructures :

  • Des projets liés au nouveau code de la route, à la vidéo-verbalisation, à la création de centres de formation et d’examen, à l’amélioration des centres de contrôle technique, et à la mise à niveau des routes nationales seront accélérés.

Le ministère rappelle à tous les usagers de la route l’importance de signaler tout comportement inapproprié de la part des chauffeurs. La coopération des citoyens est essentielle pour réduire le nombre d’accidents et préserver des vies.

Ces nouvelles mesures témoignent de la volonté du gouvernement de renforcer la sécurité routière et de réduire le nombre de victimes d’accidents de la route. Le ministère des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens s’engage à poursuivre ses efforts pour assurer des conditions de circulation plus sûres pour tous les usagers.

Des officiels du Tchad, reçus par le ministre Malick Ndiaye, disent vouloir s’inspirer du modèle de transport sénégalais

Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens, Monsieur Malick Ndiaye, a reçu ce mardi 6 août la ministre des Transports et de l’Aviation civile du Tchad, Madame Fatime Goukouni Weddeye.

Accompagnée d’une forte délégation, dont le Ministre des Affaires étrangères du Tchad, Monsieur Abderaman, et l’ancien ambassadeur, Adoum Younousmi, Madame Fatime Goukouni Weddeye, qui effectue actuellement une visite au Sénégal pour solliciter le soutien de Dakar à la candidature du Tchad au poste de directeur général de l’ASECNA, a déclaré qu’elle est venue pour “s’inspirer” de la politique nationale des transports du Sénégal.

Dans son discours, elle a salué les efforts du Sénégal dans la modernisation de ses infrastructures et de son système de transport.

“Nous voulons développer un partenariat d’échange et de partage d’expérience avec le Sénégal, qui a bâti un système de transport moderne à travers son aéroport international (AIBD), son TER, son BRT et sa compagnie aérienne Air Sénégal”, a expliqué Madame Fatime Goukouni Weddeye.

“Nous voulons nous inspirer des textes et des procédures du Sénégal. Nous voulons savoir ce qui se fait ici dans le domaine des transports”, a-t-elle conclu.

Prenant la parole, le Ministre Malick Ndiaye, dans un discours aux accents panafricanistes, a exprimé à sa collègue tchadienne sa satisfaction et ses remerciements pour l’intérêt que son pays porte au système de transport sénégalais.

“Le Tchad est un pays frère du Sénégal et peut compter sur l’expérience, l’expertise, la volonté et la générosité du Sénégal pour bâtir son système de transport”, a-t-il déclaré.

“Le Sénégal mettra à la disposition du Tchad ses différents experts dans le domaine du transport”, a-t-il ajouté. C’est dans ce sens qu’il a invité sa collègue à faire venir au Sénégal une mission d’experts pour s’imprégner des bonnes pratiques en matière de transport.

“Les États africains doivent, entre eux, être en mesure de partager leurs expériences en matière de transport. Plus nous sommes unis, plus nous sommes forts”, a-t-il estimé.

“L’Afrique, malgré sa diversité culturelle, constitue un même peuple”, a-t-il affirmé.

Le ministre n’a pas manqué de souligner les projets de désenclavement du gouvernement du Sénégal. Pour lui, le désenclavement reste un grand défi pour les gouvernements africains.

Mais ce défi est réalisable, selon les deux jeunes ministres, qui estiment que grâce à leur jeunesse et leur dynamisme, ils réussiront à réaliser les projets de leurs gouvernements.

Sécurité routière : Le Ministre des Transports annonce des mesures radicales suite à un tragique accident à Louga

Ce lundi, le ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens, El Malick Ndiaye, s’est rendu sur les lieux d’un grave accident de la route survenu dans la région de Louga, causant la mort de 11 personnes et faisant 8 blessés. Le ministre, profondément affecté par l’ampleur des dégâts, a promis une accélération des mesures de sécurité routière radicales pour prévenir de telles tragédies à l’avenir.

Lors de sa visite, El Malick Ndiaye a observé de près les conséquences de la collision entre un camion et un minibus, puis s’est rendu à l’hôpital de Louga pour évaluer l’état de santé des blessés. Pointant du doigt les comportements dangereux des conducteurs, il a affirmé que « 80 % des causes des accidents relèvent du facteur humain. On ne peut pas laisser cette situation perdurer ».

Face à cette situation alarmante, le ministre a annoncé une série de mesures strictes visant à réinventer le système de transport du pays. Parmi ces mesures figurent :Un règlement mis à jour et rigoureusement appliqué pour encadrer la conduite sur les routes.Des règles plus strictes concernant l’entretien et la gestion des infrastructures routières.Pour assurer que tous les véhicules en circulation respectent les normes de sécurité.L’utilisation de la technologie pour surveiller et sanctionner les infractions en temps réel.Un système de pénalisation des conducteurs fautifs par le biais de points retirés sur leur permis de conduire.

Une sanction sévère pour les conducteurs ne respectant pas les règles de sécurité.

    El Malick Ndiaye a souligné la nécessité de ces mesures, malgré leur dureté, pour garantir la sécurité de tous sur les routes : « Il nous faut réinventer notre système de transport. Un nouveau code de la route sera mis en place et sera rigoureusement appliqué. C’est dur, mais c’est comme cela que cela va se passer ».

    En outre, le ministre a assuré que le gouvernement prendrait toutes les dispositions nécessaires pour soutenir les familles des victimes et les blessés, réaffirmant ainsi l’engagement de l’État à assumer pleinement sa mission de sécurité routière. Ces mesures visent à créer un environnement routier plus sûr et à réduire significativement le nombre d’accidents, protégeant ainsi la vie de nombreux citoyens.

    L’aéroport de Saint-Louis rejoint l’ASECNA : Un bond en avant pour la navigation aérienne au Sénégal

    Après une décennie de démarches infructueuses, l’aéroport de Saint-Louis au Sénégal a officiellement intégré l’Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA). Cette décision a été adoptée lors de la 73ème session du Comité des Ministres de l’ASECNA, tenue le 26 juillet 2024 à Ouagadougou. Le ministre sénégalais El Malick NDIAYE, accompagné de ses équipes, a su convaincre ses homologues grâce aux mises aux normes satisfaisantes de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) de l’aéroport de Saint-Louis.

    Après trois mois de discussions intensives et de corrections des anomalies, le Ministre NDIAYE et son équipe ont réussi à obtenir l’aval des autorités de l’ASECNA. L’examen de la demande du Sénégal figurait parmi les points principaux de l’ordre du jour de cette session. Grâce à la résolution adoptée par le Comité des Ministres, l’aéroport de Saint-Louis sera intégré aux activités communautaires de l’ASECNA dès le 1er janvier 2025.

    Cette intégration apportera une meilleure sécurité de la navigation aérienne et permettra au Sénégal de réaliser des économies annuelles de près de deux milliards de francs CFA. Ces économies couvriront les charges de personnel, la maintenance, et le calibrage des équipements de navigation aérienne, de météorologie et de sécurité incendie. L’ASECNA prendra en charge la gestion des services de navigation aérienne à partir de janvier 2025, tandis que AIBD SA continuera à gérer les aspects commerciaux de l’aérogare de Saint-Louis, se concentrant sur sa croissance et le développement des activités connexes.

    Le ministre NDIAYE a également exprimé son accord de principe pour l’intégration future de la Gambie à l’ASECNA, sous réserve de la satisfaction des conditions nécessaires.

    La cérémonie d’ouverture de la session a été honorée par la présence du Premier Ministre du Burkina Faso. À cette occasion, Monsieur Anûuyirtole Roland SOMBA, Ministre burkinabè chargé des Transports aériens, a été officiellement installé en tant que nouveau Président du Comité des Ministres, succédant à son homologue congolais.

    Les ministres présents ont été reçus par le Président burkinabè, le Capitaine Ibrahim TRAORE, Chef de l’État du Faso, et ont rendu hommage au mémorial Thomas SANKARA.

    L’examen et l’approbation des rapports des comités d’experts, ainsi que ceux du Président du Conseil d’administration et du Directeur général de l’ASECNA, ont permis des discussions approfondies sur des sujets cruciaux, incluant la sécurité, la gestion financière, les ressources humaines, les investissements, et le projet ambitieux de ciel unique pour l’Afrique.

    Avec cette intégration, l’ASECNA, créée à Saint-Louis le 12 décembre 1959 et comptant aujourd’hui 19 États membres, renforce sa mission de sécurisation de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar.

    Le ministre des Transports El Malick Ndiaye réfute les accusations de népotisme et annonce des poursuites judiciaires

    Le ministre des Transports, El Malick Ndiaye, a annoncé une plainte contre ses détracteurs qui l’accusent de népotisme dans le recrutement du personnel de son cabinet. Cette déclaration a été faite lors de l’émission « Faram faccé » animée par le journaliste Pape Ngagne Ndiaye sur la chaîne TFM.

    L’affaire a pris de l’ampleur lorsque des accusations ont émergé, affirmant que le ministre aurait intégré des membres de sa famille au sein de son ministère. Ces accusations ont rapidement enflammé le débat politique, en particulier parmi les rangs de l’opposition, qui y voit un exemple flagrant de népotisme.

    En réponse à ces allégations, El Malick Ndiaye a fermement rejeté les accusations, les qualifiant de sans fondement. Il a précisé que les recrues de son cabinet ont été sélectionnées sur la base de leur compétence et de leur expérience, et non en raison de leurs liens familiaux. Le ministre a également souligné que cette campagne de dénigrement vise à ternir sa réputation et celle de son ministère.

    Pour appuyer la défense du ministre, Ousseynou Ly, conseiller spécial du Président Bassirou Diomaye Faye, a pris la parole. Il a affirmé qu’il ne s’agit pas de favoritisme, mais plutôt de la sélection d’hommes de confiance par le chef de l’État. Selon lui, ces nominations reposent sur la compétence et la confiance, et non sur des relations familiales. Ousseynou Ly a insisté sur le fait que le président et son gouvernement sont déterminés à choisir des personnes qualifiées pour occuper des postes stratégiques afin d’assurer le bon fonctionnement de l’administration.

    La polémique autour de ces nominations reflète une fois de plus les tensions politiques croissantes dans le pays. L’opposition, utilisant ces accusations pour critiquer le gouvernement, appelle à plus de transparence dans les processus de recrutement au sein des ministères.

    El Malick Ndiaye, en annonçant sa décision de porter plainte, espère non seulement rétablir son intégrité mais aussi dissuader les futurs détracteurs de propager des informations qu’il considère diffamatoires. Cette démarche judiciaire montre la volonté du ministre de défendre son honneur et de clarifier la situation auprès de l’opinion publique.

    L’affaire est maintenant entre les mains de la justice, et les prochains développements seront suivis de près par l’ensemble du paysage politique national. En attendant, le ministre Ndiaye continue de se concentrer sur ses fonctions, insistant sur son engagement à servir le pays avec intégrité et transparence.

    Sénégal : Vers une révolution écologique avec un cadre réglementaire pour les voitures électriques

    Le lundi 14 juillet, le ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens, Malick Ndiaye, a annoncé un nouveau cadre réglementaire visant à promouvoir et encadrer l’usage des voitures électriques au Sénégal. Cette initiative marque un tournant significatif dans les efforts du pays pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et adopter des technologies de transport plus durables.

    Lors d’un atelier dédié à la mise en place de ce cadre réglementaire, M. Ndiaye a souligné l’importance d’inciter les concessionnaires, les importateurs et les usagers à opter pour les véhicules électriques. « Il est nécessaire de mettre en place un cadre réglementaire permettant d’inciter les concessionnaires, les importateurs et les usagers à opter pour les véhicules électriques », a-t-il déclaré.

    Le nouveau cadre vise à favoriser le développement des voitures électriques au Sénégal tout en luttant contre les émissions de gaz à effet de serre. « Le cadre de réglementation examiné aujourd’hui concourt résolument au développement des voitures électriques au Sénégal et à la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre dans le secteur des transports », a affirmé le ministre.

    L’introduction des véhicules électriques nécessite une stratégie bien réfléchie et coordonnée en matière de réglementation. M. Ndiaye a annoncé que le Sénégal bénéficie du soutien de l’Angleterre, notamment par le biais de la société Manufacturing Africa, une entreprise anglaise. « Avec l’aide de la société Manufacturing Africa, nous allons chercher les voies et moyens de doter notre pays non seulement d’un cadre réglementaire, mais aussi des dispositifs nécessaires pour pousser les Sénégalais à utiliser davantage les véhicules électriques », a-t-il ajouté.

    En parallèle, le ministre a annoncé l’élaboration d’un « schéma directeur global » des infrastructures et des systèmes de transport au Sénégal. Ce plan vise à assurer une multimodalité et une intermodalité entre les différents types de transport, particulièrement à Dakar. « L’objectif de ce schéma est d’avoir une multimodalité et une certaine intermodalité entre les types de transport afin de reconfigurer les infrastructures et les transports, particulièrement à Dakar », a-t-il expliqué.

    La transition vers la voiture électrique est perçue comme une opportunité de réduire les coûts et d’améliorer le confort des transports publics. « La transition vers la voiture électrique permettra non seulement de réduire les coûts mais aussi d’impacter positivement les populations, parce qu’il y aura des transports de masse très confortables, avec des tarifs préférentiels », a assuré Malick Ndiaye.

    Le ministre a également exhorté le secteur privé national à investir dans les infrastructures de recharge pour voitures électriques. « Je l’invite […] à ne pas être attentiste au risque de laisser le vide actuel aux multinationales et de perdre cette grande opportunité », a-t-il averti. Il a précisé que les offres locales seront étudiées avec diligence par les ministères concernés.

    La mise en place de ce cadre réglementaire pour les voitures électriques au Sénégal représente une étape clé vers un avenir plus vert et plus durable. En combinant le soutien international, une réglementation claire et une invitation ouverte au secteur privé, le Sénégal se positionne comme un pionnier de l’adoption des technologies de transport écologiques en Afrique de l’Ouest.

    Retour des Pèlerins de la Mecque : Promesse de Rectifications pour les Prochaines Éditions

    Le premier groupe de pèlerins sénégalais est revenu des Lieux Saints de la Mecque après avoir accompli le Hajj pour l’édition 2024, marquant ainsi un moment de réjouissance et de réflexion pour la communauté musulmane du Sénégal.

    Le retour de 285 pèlerins à bord de l’Airbus A330-Neo d’Air Sénégal a été salué par un accueil chaleureux orchestré par plusieurs personnalités, parmi lesquelles le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens, El Malick Ndiaye, le directeur de l’aéroport, Cheikh Bamba Dieye, et le directeur général de la santé, Barnabé Ndiaye.

    Le ministre El Malick Ndiaye a exprimé sa satisfaction quant aux conditions d’accueil réservées au premier groupe de pèlerins et a souligné l’engagement du gouvernement à améliorer les services pour les éditions futures du Hajj.

    « Nous avons pris toutes les mesures nécessaires pour assurer que nos pèlerins accomplissent le Hajj dans les meilleures conditions possibles. Malgré les défis rencontrés, nous nous engageons à évaluer cette édition et à apporter les ajustements nécessaires pour les prochaines. Nous sommes ici pour accueillir nos pèlerins avec le soutien et les prières du président de la République. Nous exprimons également notre gratitude pour leur dévotion et leur engagement », a déclaré le ministre.

    Il a également adressé ses condoléances aux familles des pèlerins décédés et a fait part de ses prières pour ceux qui sont encore à la Mecque, souhaitant leur retour en toute sécurité.

    « Nous prions pour le repos des âmes de ceux qui nous ont quittés et pour le retour sûr de ceux qui continuent leur pèlerinage. Notre présence ici vise non seulement à accueillir nos pèlerins mais aussi à leur témoigner notre respect et notre reconnaissance pour leur dévotion », a-t-il ajouté.

    Le retour des pèlerins sénégalais marque la fin d’une étape importante et souligne l’importance continue de soutenir et d’encourager les pèlerinages religieux dans des conditions optimales.

    Tabaski 2024 : El Malick Ndiaye invite à la solidarité nationale et à la cohésion sociale

    En ce jour sacré de l’Aïd El Kébir, le ministre des Infrastructures, des Transports aériens et terrestres, El Malick Ndiaye, a adressé un message fort de solidarité et de cohésion sociale au peuple sénégalais. Lors de la prière de l’Aïd El Kébir, célébrée à la mosquée de Loumbeul dans la commune de Dahra Djoloff, M. Ndiaye, accompagné de l’adjoint au préfet de Linguère, Aly Baydi Kane, a appelé à l’entraide et à l’unité nationale.

    Un Appel à la Solidarité

    Dans son discours, El Malick Ndiaye a souligné l’importance de la solidarité nationale, particulièrement en cette période de fête. Il a exhorté les Sénégalais aisés à partager avec les plus démunis, rappelant ainsi les valeurs de générosité et de fraternité qui caractérisent cette fête religieuse.

    « En ce jour de l’Aïd El Kébir, les Sénégalais nantis doivent faire preuve de solidarité et d’entraide envers les personnes nécessiteuses », a déclaré M. Ndiaye.

    Prier pour le Développement du Pays

    Le ministre a également demandé des prières pour les nouvelles autorités du pays, afin qu’elles puissent mener à bien les projets de développement socio-économique du Sénégal. Il a exprimé l’espoir que les efforts du gouvernement en matière d’infrastructure et de transport aérien et terrestre porteront leurs fruits pour le bien-être de tous les citoyens.

    Soutien aux Paysans et Préparatifs pour l’Hivernage

    Reconnaissant les défis particuliers de la période pré hivernale, El Malick Ndiaye a informé que le gouvernement a pris toutes les dispositions nécessaires pour soutenir les paysans. Cette période est cruciale pour l’agriculture, et des mesures ont été mises en place pour garantir un hivernage pluvieux et bénéfique.

    Appel aux Guides Religieux

    El Malick Ndiaye a aussi lancé un appel aux guides religieux pour qu’ils continuent de prier pour la paix, la prospérité et la stabilité sociale au Sénégal. Il a particulièrement sollicité l’imam Mbaye Seck, qui a dirigé la prière des deux Raakas, de prier pour un hivernage pluvieux, essentiel pour la saison agricole à venir.

    En ce jour de célébration, El Malick Ndiaye a rappelé les valeurs fondamentales de solidarité, de cohésion sociale et de soutien communautaire. Son message vise à renforcer l’unité nationale et à encourager les Sénégalais à travailler ensemble pour un avenir meilleur. Les prières pour la paix, la prospérité et un hivernage pluvieux résonnent comme un appel à l’action collective pour le bien-être du Sénégal.

    La colère des chauffeurs sénégalais : Contestation de la légalisation des applications de transport Yango, Heetch et Yassir par le gouvernement

    La scène du transport au Sénégal est actuellement le théâtre d’une vive controverse, alimentée par les déclarations récentes du ministre des Transports, El Malick Ndiaye. En effet, lors d’une réunion de prise de contact, le ministre a annoncé son intention de légaliser les nouveaux modes de transport, notamment les applications Yango, Heetch et Yassir. Cette décision a immédiatement suscité l’indignation parmi les chauffeurs sénégalais, qui dénoncent une concurrence déloyale et menacent de paralyser le secteur du transport en signe de protestation.

    Le mouvement « Dolel transport », représentant une grande partie des chauffeurs du pays, a exprimé son mécontentement face à cette décision du gouvernement. Selon El Malick Diop, chargé de communication du mouvement, cette initiative est perçue comme une trahison envers ceux qui ont soutenu le président Bassirou Diomaye Faye lors de son élection. Les chauffeurs estiment que la légalisation de ces applications favorisera une concurrence injuste et aura des conséquences désastreuses sur leurs moyens de subsistance déjà précaires.

    La situation est d’autant plus tendue que les chauffeurs ne se contentent pas de manifester leur désapprobation ; ils menacent également d’actions plus directes. En effet, le mouvement « Dolel transport » a évoqué la possibilité de paralyser complètement le secteur du transport dans les jours à venir. Cette menace pèse lourdement sur un pays où le transport est un élément vital de l’économie et de la vie quotidienne.

    Au cœur du débat se trouve le décret 847, qui régit les activités des applications de transport au Sénégal. Les chauffeurs demandent son abrogation, arguant qu’il favorise une concurrence injuste et nuit à leurs moyens de subsistance. Ils exhortent également les autorités à prendre des mesures plus strictes pour protéger les intérêts des chauffeurs locaux et garantir l’équité dans le secteur du transport.

    Face à cette montée de tension, les autorités sénégalaises sont confrontées à un dilemme complexe. D’une part, elles doivent répondre aux préoccupations légitimes des chauffeurs et veiller à ce que leurs droits soient protégés. D’autre part, elles doivent également prendre en compte les besoins émergents de la société en matière de transport et encourager l’innovation dans ce domaine.

    Dans l’attente de décisions officielles, la situation reste tendue et l’avenir du secteur du transport au Sénégal reste incertain. Les prochains jours seront cruciaux pour voir comment les autorités et les acteurs du secteur répondront à cette crise croissante et s’ils parviendront à trouver un terrain d’entente pour assurer un avenir durable et équitable pour tous les acteurs du transport dans le pays.

    ENQUÊTE OUVERTE SUR LA CRISE: EL MALICK NDIAYE DÉBARQUE « EN COLOMBO » À DDD

    Le récent mouvement de grève orchestré par les travailleurs de la société nationale de transport urbain et interurbain, Dakar Dem Dikk (DDD), a secoué le secteur des transports au Sénégal. Accusant leur directeur général, Ousmane Sylla, de favoritisme dans les promotions du personnel, les travailleurs ont immobilisé l’ensemble des bus de la compagnie, entraînant une perturbation significative des services.

    Le ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens, El Malick Ndiaye, a pris la situation en main et s’est rendu au siège de DDD pour évaluer la crise. Après avoir entendu les plaintes des travailleurs, il a promis d’ouvrir une enquête approfondie pour démêler les causes profondes de la grève et déterminer les problèmes soulevés.
    Le directeur général de DDD, Ousmane Sylla, a réfuté les accusations de partialité dans les promotions, invoquant les défis inhérents à la gestion des ressources humaines. Il a également annoncé qu’avant chaque nomination, des tests sont organisés au préalable ; des mesures visant à évaluer les compétences des nouveaux promus, dans un effort d’impartialité au sein de l’entreprise.
    Le ministre de tutelle, de son côté, a tenté de calmer les travailleurs en soulignant que les problèmes soulevés chez DDD ne sont pas un cas isolé, mais plutôt répandus dans plusieurs secteurs publics et parapublics. Il s’est engagé à résoudre les problèmes spécifiques rencontrés par DDD et a exhorté les travailleurs à reprendre leurs activités pour éviter de perturber davantage les citoyens.
    Un geste qui a, pour le moment, suffit à calmer les ardeurs qui prenaient des proportions incontrôlables la situation avec le récent acte de vandalisme. En effet, tel le relatait l’édition du Dakarois Quotidien de ce lundi, dix (10) bus de la compagnie ont été gravement endommagés au dépôt de Ouakam, dimanche dernier.
    La direction de DDD a fermement condamné ces actes de sabotage dans un communiqué officiel, promettant d’ouvrir une enquête approfondie pour identifier et traduire en justice les responsables de ces actes répréhensibles.
    L’engagement du ministre à résoudre ces problèmes est un premier pas garantissant la continuité des services essentiels de transport pour les citoyens qui ont beaucoup souffert de ce mouvement d’humeur.

    LEDAKAROIS

    Le Dakarois Quotidien N°165 – du 39/04/ ET 01/05/2024 – AFFAIRE L’OPPOSANT À LA BIMAO ET TRANCHÉE PAR LE TRIBUNAL DU COMMERCE DE DAKAR : BOUGANE SOMMÉ DE PAYER PLUS DE 700 MILLIONS

    🔴 AFFAIRE L’OPPOSANT À LA BIMAO ET TRANCHÉE PAR LE TRIBUNAL DU COMMERCE DE DAKAR : BOUGANE SOMMÉ DE PAYER PLUS DE 700 MILLIONS
    🔴 ENQUÊTE OUVERTE SUR LA CRISE : EL MALICK NDIAYE DÉBARQUE « EN COLOMBO » À DDD

    El Malick Ndiaye exprime sa gratitude lors de son pot de départ

    El Malick Ndiaye, dans un élan de reconnaissance et de gratitude, a tenu à exprimer ses sincères remerciements à ses collègues et amis lors de son pot de départ. Ce moment empreint de chaleur humaine restera gravé dans sa mémoire comme une illustration éloquente de l’équipe exceptionnelle qu’ils ont formée ensemble.

    Dans un message touchant, El Malick Ndiaye a partagé combien il avait apprécié travailler avec chacun de ses collègues. Il a souligné que leur soutien, leur collaboration et leur amitié avaient enrichi son parcours professionnel d’une manière qu’il n’aurait jamais pu imaginer.

    Alors qu’il entame un nouveau chapitre de sa vie, El Malick Ndiaye a assuré à ses collègues qu’il conservera précieusement les souvenirs des moments partagés. Il reste convaincu que leurs chemins se croiseront à nouveau dans le futur.

    Il a conclu en exprimant sa gratitude pour la générosité, la gentillesse et l’amitié sincère dont il a été entouré. Ce message témoigne de l’impact positif qu’El Malick Ndiaye a eu sur ses collègues et de la profondeur des liens tissés au sein de leur équipe.

    El Malick Ndiaye : Un Parcours entre tradition familiale et engagement politique

    El Malick Ndiaye, actuellement ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens dans le gouvernement dirigé par Ousmane Sonko, incarne une fusion entre héritage familial et engagement politique. Son parcours, marqué par des choix et des convictions, reflète une trajectoire singulière.

    Né en 1983 à Dahra Djolof, El Malick Ndiaye aurait pu porter un tout autre nom. À sa naissance, son père envisageait de lui donner le nom de son frère, El Hadji Mor Ndiaye. Cependant, ce dernier, n’ayant pas d’enfant, aspirait à attribuer le nom de son fils à celui du vénéré El Hadji Malick Sy de la confrérie tidiane. C’est ainsi que le jeune El Malick Ndiaye est devenu le porteur de ce nom chargé de tradition et de spiritualité.

    Son engagement politique n’est pas en reste. Avant de rejoindre les rangs de Pastef, le parti de Sonko, Ndiaye a milité auprès de différentes figures politiques. Il a été associé à Aj/Pads de Landing Savané et a travaillé aux côtés d’Ibrahima Fall de Taxaw Temm, ancien candidat à la présidentielle. Cette diversité d’expériences témoigne de son intérêt pour les idéaux et les mouvements politiques variés.

    Diplômé en management, commerce international, transport et logistique, Ndiaye apporte à son poste ministériel une expertise multidimensionnelle. Son rôle en tant que secrétaire national à la communication de Pastef souligne son implication dans la stratégie et la diffusion des idées du parti.

    La trajectoire d’El Malick Ndiaye illustre la rencontre entre tradition familiale et engagement citoyen. En tant que ministre, il incarne un leadership moderne ancré dans les valeurs traditionnelles, tout en portant une vision progressiste pour le développement des infrastructures et des transports au Sénégal. Son parcours atypique en fait une figure politique prometteuse, capable de conjuguer héritage et innovation dans son action gouvernementale.

    El Malick Ndiaye Nomme Ministre des Transports : Un Choix Surprenant pour Certains

    Au sein du nouveau gouvernement, dirigé par Sonko, une nomination a suscité des réactions mitigées : celle d’El Malick Ndiaye à la tête du département des Transports. Alors que certains anticipaient sa nomination au ministère de la Communication, en raison de son rôle en tant que secrétaire national chargé de la communication au sein de Pastef, sa nouvelle responsabilité a surpris bon nombre d’observateurs politiques.

    El Malick Ndiaye, déjà ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens dans le gouvernement précédent, apporte une expertise significative dans le domaine. Peu de gens savent que Ndiaye possède une expérience professionnelle dans le secteur aéroportuaire, en plus d’être un professionnel certifié du Commerce International et de la Logistique.

    Cette nomination a soulevé des questions quant aux motivations derrière ce choix apparemment inattendu. Certains spéculent sur les besoins du gouvernement en matière de compétences techniques spécifiques dans le secteur des transports, tandis que d’autres y voient peut-être une tentative de diversification des responsabilités ministérielles au sein du cabinet.

    Quoi qu’il en soit, El Malick Ndiaye se retrouve désormais face à un défi de taille en tant que ministre des Transports. Son expérience antérieure dans le domaine lui confère une base solide, mais il devra également faire face à des attentes élevées de la part du public et du gouvernement en matière de développement et de gestion des infrastructures de transport.

    L’avenir de son mandat sera scruté de près, alors que les citoyens s’attendent à des progrès tangibles dans un domaine aussi vital pour l’économie et la connectivité nationale.

    Présidentielle : Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye unis pour la victoire, affirme El Malick Ndiaye

    Dans un message empreint de fierté et de confiance, El Malick Ndiaye, Secrétaire général chargé de la communication du parti Pastef/Les Patriotes, a partagé sur sa page Facebook son soutien inébranlable envers le leader du parti, Ousmane Sonko, et le candidat Bassirou Diomaye Faye dans la perspective de l’élection présidentielle.

    « Fier de notre leader et de notre candidat ! » a proclamé El Malick Ndiaye, témoignant ainsi de l’admiration qu’il porte à ces figures majeures de Pastef/Les Patriotes. Cette déclaration reflète la détermination et la cohésion au sein du parti en vue du scrutin présidentiel à venir.

    El Malick Ndiaye a également rendu hommage aux députés du parti, saluant leur classe et leur participation à un débat parlementaire bien argumenté et fondé sur des principes. Cette reconnaissance souligne l’engagement et la compétence des représentants de Pastef/Les Patriotes dans l’arène politique.

    Le Secrétaire général chargé de la communication a conclu son message en annonçant une collaboration étroite entre Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye, affirmant qu’ils parcourront ensemble le pays pour assurer une victoire dès le premier tour, exprimant ainsi sa confiance en un succès électoral.

    Ces déclarations de soutien et de solidarité au sein de Pastef/Les Patriotes témoignent d’une unité affichée avant l’élection présidentielle. Il sera intéressant de suivre le développement de cette collaboration et son impact sur la campagne électorale à mesure que le scrutin approche.

    El Malick Ndiaye dénonce les ennemis internes de l’opposition sénégalaise

    Dans le contexte brûlant de la crise politique actuelle au Sénégal, El Malick Ndiaye, Secrétaire National à la communication de l’ex-Pastef, a pris la plume pour réagir et dénoncer ce qu’il considère comme des ennemis infiltrés au sein de l’opposition. À travers une contribution incisive, Ndiaye pointe du doigt certains membres de l’opposition qu’il accuse d’être des « loups déguisés en agneaux ».

    Des avocats de circonstance selon El Malick Ndiaye

    Dans sa contribution intitulée « Les avocats de circonstance des victimes ! », El Malick Ndiaye affirme que ces opposants internes à l’opposition ne sont pas guidés par des principes ou des valeurs universelles, mais plutôt par des intérêts personnels dissimulés et une jalousie grandissante.

    Critiques envers les membres de l’opposition

    Sans citer de noms, Ndiaye interroge la présence de ces opposants lors des combats passés du Pastef contre des lois contestées telles que le parrainage et le report. Il souligne également leur absence lors des manifestations contre l’annulation de la liste des titulaires de Yewwi. L’accusation principale réside dans le manque de soutien visible de ces opposants envers les actions du Pastef, notamment envers les victimes, les blessés, et les détenus politiques.

    Réponse à l’opposition interne

    El Malick Ndiaye prévient que ces opposants à l’opposant vont bientôt souffrir, anticipant une intervention du président Ousmane SONKO qui, selon lui, mettra fin à la récréation. Il exprime également sa confiance dans le projet politique porté par le candidat Bassirou Diomaye Faye, annonçant un triomphe imminent.

    Soutien aux députés de Pastef Les Patriotes

    En conclusion, Ndiaye exprime son soutien aux députés de Pastef Les Patriotes, affirmant qu’ils ont toujours œuvré pour l’intérêt supérieur des Sénégalais. Cette contribution reflète la tension politique persistante au Sénégal et l’existence de fissures au sein même de l’opposition. L’avenir politique du pays semble suspendu à la résolution de ces divergences internes.

    Levée du Bracelet Électronique d’El Malick Ndiaye : Une décision judiciaire au Cœur de l’actualité Politique

    Dans le paysage politique sénégalais déjà mouvementé, une décision judiciaire récente a attiré l’attention de tous les observateurs : la levée du bracelet électronique d’El Malick Ndiaye, ancien membre du mouvement ex-Pastef. Cette mesure, prise à la veille d’un événement politique majeur, soulève des questions sur les implications juridiques et politiques qui en découlent.

    El Malick Ndiaye a été au centre d’une affaire judiciaire complexe, accusé de diffuser des fausses nouvelles et de perturber l’ordre public. Cette affaire, survenue dans un contexte politique tendu, a attiré l’attention des médias et du public, devenant un sujet de débat et de controverse.

    Le 20 février 2024, l’avocat d’El Malick Ndiaye, Me Moussa Sarr, a déposé une requête auprès du juge d’instruction du 1er cabinet d’instruction, Oumar Maham Diallo, demandant la mainlevée du bracelet électronique qui surveillait les mouvements de son client. Cette requête a été acceptée par le juge, qui a ordonné la levée de la mesure de placement sous surveillance électronique.

    La décision du juge Maham Diallo a des implications importantes à la fois sur le plan juridique et politique. Sur le plan juridique, elle signifie que Ndiaye n’est plus soumis à la surveillance par bracelet électronique, ce qui lui offre une certaine liberté de mouvement. Cependant, il lui est toujours assigné de rester dans la région de Dakar, ce qui limite ses déplacements.

    Sur le plan politique, cette décision intervient à un moment critique, alors que le pays se prépare à un événement politique majeur : le vote du projet de loi sur l’amnistie générale des faits liés aux manifestations politiques. La levée du bracelet électronique pourrait potentiellement avoir des répercussions sur l’issue de ce vote et sur l’avenir politique d’El Malick Ndiaye.

    La levée du bracelet électronique a suscité des réactions diverses au sein de la classe politique et de la société civile. Certains voient cette décision comme une étape vers la réhabilitation de Ndiaye, tandis que d’autres la critiquent comme un signe de clémence excessive envers un accusé de crimes graves.

    Dans ce contexte, il est crucial de surveiller de près les développements ultérieurs de cette affaire et de comprendre les implications plus larges pour la justice et la politique au Sénégal. La décision du juge Maham Diallo pourrait avoir un impact durable sur le paysage politique et juridique du pays, faisant de cette affaire un sujet de discussion et de débat continu.

    El Malick Ndiaye condamne l’agression de Maimouna Ndour Faye

    Suite à l’atroce agression dont a été victime la journaliste Maimouna Ndour Faye, plusieurs personnalités se sont exprimées pour condamner cet acte de violence odieux. Parmi elles, El Malick Ndiaye, secrétaire national à la communication du parti dissous Pastef, a pris la parole pour exprimer son indignation face à cette attaque choquante.

    Dans un post sur X, El Malick Ndiaye a vivement condamné l’agression de Maimouna Ndour Faye, déplorant le caractère violent et lâche de l’acte perpétré à son encontre. Il a exprimé ses vœux de prompt rétablissement à la journaliste, lui souhaitant une guérison rapide et complète.

    De plus, El Malick Ndiaye a souligné l’importance que justice soit rendue dans cette affaire, espérant que les responsables de cette agression seront identifiés et traduits en justice. Il a ainsi exprimé sa solidarité avec Maimouna Ndour Faye et son engagement à soutenir toute action visant à garantir la sécurité des professionnels des médias et à lutter contre l’impunité.

    Cette réaction de condamnation de la part d’El Malick Ndiaye illustre la ferme volonté de la société civile et des acteurs politiques de condamner toute forme de violence et d’assurer la protection des journalistes dans l’exercice de leur métier.

    Présidentielle 2024 : « Aucun report n’est ni possible ni envisageable », affirme El Malick Ndiaye de PASTEF

    El Malick Ndiaye, Secrétaire National à la communication du parti PASTEF, exprime sa conviction que le président Macky SALL ne tolérera aucun report de l’élection présidentielle de 2024.

    Selon El Malick Ndiaye, un report de l’élection présidentielle n’est ni possible ni envisageable. Il souligne que le président Macky SALL ne prolongera pas son mandat, car cela pourrait conduire le pays vers le chaos, comme l’a déclaré le président lui-même. Ndiaye insiste sur le fait que Macky SALL ne souhaite pas partir avec un tel passif.

    Il appelle également le camp du président à avoir le courage d’affronter le candidat d’Ousmane Sonko, représentant du peuple, dans cette élection présidentielle. Ces déclarations de El Malick Ndiaye reflètent la ferme position de PASTEF face à la perspective de l’élection de 2024 et mettent en avant la détermination du président sortant à respecter les échéances électorales.

    El Malick Ndiaye dénonce les six Sages du Conseil Constitutionnel et exige la libération de Diomaye Faye

    El Malick Ndiaye, secrétaire national à la communication de l’ex-Pastef, exprime une colère persistante face à la décision du Conseil constitutionnel d’écarter le leader Ousmane Sonko. Il critique vivement le choix du Conseil constitutionnel de se baser sur un « dossier de diffamation (imaginaire) » pour éliminer Sonko, dénonçant cette décision comme un rejet de la volonté du peuple sénégalais.

    « Choisir un prétexte aussi insignifiant qu’une prétendue diffamation entre deux acteurs politiques pour éliminer le président Ousmane Sonko témoigne de votre ferme volonté de tourner le dos au vaillant peuple sénégalais. L’histoire vous jugera », fulmine El Malick Ndiaye.

    Selon lui, l’histoire retiendra qu’en 2024, sept magistrats ont confisqué la volonté populaire en écartant le chef de l’opposition pour un simple lapsus : avoir utilisé « IGE » à la place de « IGF ». Il considère cette raison comme légère, soulignant qu’il s’agit d’une condamnation à six mois avec sursis pour un simple lapsus.

    Par ailleurs, El Malick Ndiaye demande la libération immédiate de Diomaye Faye, candidat de l’opposition qu’il qualifie de « véritable et de la rupture ». Il clame : « Maintenant, pour l’égalité des chances entre candidats, le président Bassirou Diomaye Faye doit être immédiatement libéré. Diomaye mooy Sonko ! »

    Réclamation d’Amadou Bâ contre la candidature de Bassirou Diomaye Faye : El Malick Ndiaye déclare, « C’est peine perdue »

    Dans une réponse cinglante publiée sur X, El Malick Ndiaye qualifie Amadou Bâ de « tricheur » et suggère que sa réclamation vise davantage à éliminer ses concurrents qu’à participer loyalement à la compétition électorale. Il soutient que la candidature de Diomaye Faye est inattaquable et prédit que la candidature d’Ousmane Sonko, autre figure controversée, sera validée partout où la justice sera rendue.

    La réclamation d’Amadou Bâ, adressée au Conseil constitutionnel, vise également la candidature de Cheikh Tidiane Dièye, président de la Plateforme Avenir Senegaal Bi Ñu Bëgg. Les allégations portent sur des infractions telles que l’appartenance à une entité politique dissoute, la présentation de faux documents devant le Conseil constitutionnel, la formation irrégulière de la coalition et le non-respect de l’appartenance au parti ou à la coalition qui les a investis.

    La décision du Conseil constitutionnel sur ces réclamations sera rendue le samedi 20 janvier, et son impact sur le paysage politique sénégalais avant l’élection présidentielle est lourd de conséquences. La situation actuelle soulève des interrogations quant aux évolutions futures de la scène politique du pays.

    El Malick Ndiaye : « Ousmane Sonko maintient sa candidature

    Après la condamnation d’Ousmane Sonko, El Malick Ndiaye prend la parole pour assurer que le leader de l’ex Pastef reste candidat à la présidentielle. Il critique également la nature politique des audiences et dénonce une tentative d’élimination du favori par des procès.

    Suite à la décision de la Cour Suprême condamnant Ousmane Sonko, El Malick Ndiaye s’exprime pour réaffirmer la détermination du leader de l’ex Pastef. Malgré la condamnation, El Malick Ndiaye soutient que « Ousmane Sonko maintient sa candidature à la présidentielle. Nous sommes convaincus que sa candidature sera maintenue. »

    Cependant, il exprime son mécontentement face à la décision de la Cour Suprême, qualifiant ces audiences de « politiques ». Il affirme que l’objectif est d’éliminer Ousmane Sonko et considère le verdict comme non courageux en raison du non-respect de l’exception d’inconstitutionnalité.

    « Ces audiences sont éminemment politiques mais rien d’autre. C’est une honte qu’on essaie d’éliminer le favori de la présidentielle par des procès. L’objectif c’est d’éliminer Ousmane Sonko. Ce verdict n’est pas courageux parce que l’exception d’inconstitutionnalité devrait être respectée par la Cour Suprême », conclut El Malick Ndiaye, exprimant ainsi son mécontentement vis-à-vis de la décision judiciaire. La situation politique au Sénégal reste tendue, et l’issue de cette affaire continue de susciter des réactions passionnées. Restez à l’écoute pour plus de développements.

    Interdiction du meeting d’investiture de Sonko : El Malick Ndiaye dénonce une « provocation »

    Le préfet de Dakar a récemment pris la décision d’interdire le meeting d’investiture prévu par la coalition Sonko 2024, suscitant des réactions vives de la part des responsables politiques, notamment El Malick Ndiaye, le responsable de la communication de Pastef. L’autorité territoriale a invoqué trois motifs pour justifier cette interdiction, à savoir la « menace de troubles à l’ordre public, l’entrave à la libre circulation des personnes et des biens, et le risque d’infiltration de personnes mal intentionnées ».

    Pour El Malick Ndiaye, ces motifs sont perçus comme une « provocation » de la part des autorités. Dans une déclaration sur le réseau social Facebook, il a exprimé le mécontentement de la coalition Sonko 2024 face à cette décision. Il a souligné que l’interdiction intervient alors que le candidat de la coalition adverse organise librement des meetings d’investiture à travers le pays. Cette disparité dans le traitement des événements politiques est perçue comme une tentative de décourager les partisans de Ousmane Sonko.

    « Nous venons de recevoir l’arrêt portant interdiction de notre cérémonie d’investiture du 30 décembre 2023. Au même moment, le candidat de la servitude volontaire est en train de multiplier les meetings d’investiture un peu partout dans le pays. Ceci n’est qu’une provocation de plus, mais nous invitons les militants et sympathisants à rester à notre écoute », a déclaré El Malick Ndiaye sur Facebook.

    Cette interdiction soulève des questions sur la liberté d’expression et de réunion dans le contexte politique du pays. Les partisans de Sonko 2024 réitèrent leur appel à la mobilisation et appellent à la vigilance face à ce qu’ils considèrent comme une tentative de restreindre leur espace politique. La situation suscite également l’attention de la société civile et des observateurs internationaux, qui surveillent de près le climat politique à l’approche des échéances électorales.

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