Un an de gouvernance : Le Président réaffirme son engagement pour un Sénégal souverain et prospère

Lors du Conseil des ministres de ce mercredi, le Président de la République a marqué le premier anniversaire de son accession à la magistrature suprême, survenue le 24 mars 2024, après une victoire éclatante au premier tour avec 54,28 % des suffrages exprimés. Cet événement historique a consacré la troisième alternance démocratique au Sénégal et confirmé l’adhésion populaire à son projet de transformation nationale.

Les élections législatives du 17 novembre 2024 ont renforcé cette dynamique, avec une majorité absolue de 130 députés obtenue par la coalition présidentielle dirigée par le Premier ministre Ousmane Sonko. Cette victoire offre au gouvernement les moyens d’agir efficacement pour mettre en œuvre les réformes promises aux Sénégalais.

Dans son discours, le Chef de l’État a exprimé sa profonde gratitude envers le peuple sénégalais pour sa confiance et son engagement constant. Il a souligné l’importance de la paix, de la concorde nationale et du sens des responsabilités dans la construction d’un Sénégal plus souverain, juste et prospère.

À l’aube de sa deuxième année de mandat, le Président a réaffirmé sa détermination à accélérer les réformes structurelles. Il a insisté sur plusieurs priorités :

• La reddition des comptes, pour une gouvernance transparente et responsable ;

• Le redressement économique, afin de stabiliser les finances publiques et attirer les investissements ;

• La relance des activités économiques et sociales, avec un accent sur l’emploi, l’éducation et la santé.

Ces engagements s’inscrivent dans l’Agenda national de Transformation, lancé le 14 octobre 2024, qui constitue la feuille de route du gouvernement pour un Sénégal émergent.

Alors que le pays entame cette deuxième année sous sa gouvernance, le Président a renouvelé son appel à la mobilisation générale pour concrétiser les aspirations du peuple. La confiance accordée par les Sénégalais demeure un moteur essentiel pour la mise en œuvre des grandes orientations stratégiques visant à garantir une croissance inclusive et un bien-être durable pour tous.

Éducation : Un geste de solidarité et d’engagement envers les étudiants de la commune de Tivaouane Peulh, Niague et Niacoulrab par un natif de la localité

L’Amicale des Étudiants Ressortissants de Tivaouane Peulh (ADERTP) a eu l’honneur de recevoir Dr Amath Wade, responsable politique au quartier Niague et membre de la coalition Diomaye Président. Ce dernier a effectué une visite de solidarité et de partage à ladite Amicale, qui siège à l’appartement situé à Ouest Foire.

« Nous avons l’habitude de mener cette activité depuis plus de dix ans : aller à la rencontre de nos frères et sœurs étudiants de Tivaouane Peulh, Niague et Niacoulrab. Lors de cette visite, j’ai également rappelé aux étudiants l’importance de la solidarité et du partage. Nous leur avons ainsi apporté des denrées alimentaires destinées à soutenir les étudiants de la commune. Ce geste témoigne de notre engagement constant envers leur bien-être », a expliqué Dr Amath Wade.

Soutenir les étudiants est en effet un acte citoyen qui contribue au développement de la société. L’éducation est un moteur essentiel du progrès, et aider les étudiants – que ce soit financièrement, moralement ou académiquement – favorise l’émergence d’une jeunesse plus compétente et engagée. « C’est une responsabilité collective qui profite à toute la société, car une jeunesse bien formée et soutenue est un gage d’avenir meilleur », a-t-il ajouté.

Les étudiants bénéficiaires ont salué l’initiative de Dr Wade, soulignant que faciliter la restauration des étudiants est une action louable. Dans de nombreux pays, y compris au Sénégal, les étudiants font face à des difficultés financières qui impactent leur alimentation. Des mesures comme la subvention des repas, la création de cantines universitaires accessibles ou encore la promotion de partenariats avec des restaurants locaux peuvent grandement améliorer leur quotidien.

Ce type d’initiative mérite d’être encouragé et soutenu par les autorités, ainsi que par tous les acteurs du secteur de l’éducation.

Développement territorial : La mairesse de Kahone plaide pour un engagement participatif et inclusif

“Développer le Sénégal à partir des territoires constitue, pour moi, la meilleure approche qui permettra d’atteindre les objectifs de développement durable et de sortir définitivement du groupe des pays en voie de développement d’ici à 2050”, a déclaré Fatou Sène Diouf, maire de la commune de Kahone, au terme d’une masterclasse organisée au Maroc.

“Je salue l’organisation, par l’ADM en collaboration avec CGLU Afrique, de cette Masterclasse Afrique, tenue du 15 au 25 février à Rabat. Son objectif principal est de sensibiliser et de renforcer les capacités des collectivités territoriales du Sénégal afin de leur permettre de faire face aux défis climatiques en utilisant la méthodologie du coaching territorial”, a ajouté la mairesse de Kahone.

“À travers ce benchmarking, nous avons appris et découvert beaucoup de choses. La masterclasse a été très riche en enseignements. Nous félicitons le directeur général de l’ADM et l’encourageons à persévérer dans cette direction. Cette belle initiative démontre à suffisance son engagement dans la mise en œuvre de la politique du gouvernement pour l’atteinte des objectifs du plan Sénégal 2050. Cet engagement montre aussi le rôle essentiel que l’ADM doit continuer à jouer dans l’amélioration du processus de décentralisation, dont la finalité est sans nul doute le développement territorial.”

“Je voudrais enfin remercier sincèrement le directeur général de l’ADM et son équipe, les autorités et experts marocains ainsi que CGLU Afrique. Le développement du Sénégal est notre priorité. J’invite chacun à faire preuve d’engagement et de détermination pour que le Sénégal décolle.”, a conclu Fatou Sène Diouf.

Le Sénégal honore ses engagements financiers avec le remboursement partiel de son Sukuk 2016-2026

Le 26 janvier 2025, l’État du Sénégal procédera au paiement des profits semestriels ainsi qu’au remboursement partiel de son emprunt islamique « Sukuk État du Sénégal 6% 2016-2026 », pour un montant global de 11,810 milliards FCFA, selon un communiqué de la Direction générale de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM).

Ce Sukuk, émis le 20 juin 2016, s’inscrit dans une stratégie innovante de financement conforme aux principes de la finance islamique. L’objectif initial était de mobiliser 150 milliards FCFA auprès des investisseurs de l’Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA). Les fonds levés ont permis d’acquérir des actifs spécifiques dont l’usufruit a été mis en location au Sénégal, générant une marge annuelle de profit de 6% pour les souscripteurs.

Le Sukuk offre une alternative crédible aux obligations classiques grâce à son respect des principes de la finance islamique, qui proscrit l’intérêt (riba) et privilégie le partage des profits et des pertes. Ce mécanisme financier attire une clientèle soucieuse d’investissements éthiques et conformes à des valeurs religieuses, tout en participant au développement des infrastructures et de l’économie locale.

D’après la BRVM, les titres Sukuk État du Sénégal 6% 2016-2026 seront cotés ex-marge de profits à partir du 22 janvier 2025. Cela signifie que les investisseurs souhaitant profiter des prochains paiements de profits doivent acquérir ces titres avant le 21 janvier 2025.

Malgré leur potentiel avéré, les Sukuk demeurent sous-exploités dans l’espace UEMOA. La région gagnerait pourtant à renforcer ce segment de marché, qui représente une véritable opportunité pour diversifier les sources de financement et stimuler la croissance économique.

En misant sur des instruments financiers islamiques comme le Sukuk, le Sénégal s’inscrit dans une dynamique mondiale où les capitaux islamiques jouent un rôle croissant dans le financement des infrastructures, de l’éducation, et de projets durables. Leur popularisation dans l’espace UEMOA pourrait constituer un levier majeur de développement, tant pour les États que pour les investisseurs institutionnels et particuliers.

Le Dakarois Quotidien & Le Dakarois Sports N°359 – du 31/12/2024 ET 01/01/2025

🔴 FEMME DE L’ANNÉE 2024 – ANTA BABACAR NGOM : UNE ICÔNE DE RÉSILIENCE, DE LEADERSHIP ET D’ENGAGEMENT CITOYEN

🔴 PRÉPARATION DE LA COUPE DU MONDE DE BEACH SOCCER 2025 : LE SÉNÉGAL PLANIFIE DEUX TESTS CONTRE LES ÉMIRATS ARABES UNIS
🔴 23 JOUEURS CONVOQUÉS POUR LA CAN DES MALENTENDANTS : LES « LIONS » DÉFENDENT LEUR TITRE EN FÉVRIER 2025

Proclamation des Résultats et Démission : Un Engagement pour la Démocratie et l’Unité Nationale

Après la proclamation des résultats définitifs des élections législatives du 17 novembre 2024 par le Conseil constitutionnel, je tiens à renouveler mes sincères remerciements aux concitoyens et concitoyennes qui ont porté leur choix sur la liste de la coalition Takku Wallu Sénégal que j’ai eu l’honneur de diriger.

Je réitère également toutes mes félicitations au peuple sénégalais pour son attachement indéfectible à la tradition démocratique de notre pays et aux valeurs de paix et de stabilité qui fondent notre vivre ensemble. C’est dans l’esprit de cette vitalité démocratique et des valeurs qui la sous-tendent que j’avais accepté de diriger la liste de la coalition Takku Wallu Sénégal.

Conformément à l’engagement que j’avais pris à ce sujet, je démissionnerai de mon mandat de député à l’ouverture de la prochaine législature, afin qu’il en soit tiré les conséquences de droit.

Je souhaite plein succès aux députés nouvellement élus.

Vive le Sénégal uni, dans la paix, la stabilité et la cohésion nationale.

Message de félicitations et d’engagement pour les daaras au Sénégal

Au nom de tous les patriotes et en tant que produit des daaras, je tiens à exprimer mes plus vives félicitations à Son Excellence Monsieur le Président de la République du Sénégal, Béchir Diomae, pour son engagement exemplaire envers les daaras, les maîtres coraniques, les élèves coraniques, ainsi que toutes les initiatives visant à renforcer leur rôle dans le développement national.

La validation de la Journée des Daaras, ce 28 novembre 2024 à Dakar, marque un tournant décisif pour notre nation. C’est une reconnaissance historique de l’importance des daaras dans la construction d’un Sénégal souverain et prospère.

Je suis particulièrement touché par l’idée évoquée par Son Excellence concernant la mise en place d’assises pour les daaras, une initiative formidable et une étape clé pour renforcer leur organisation et leur rôle au Sénégal. Cette démarche représente une opportunité historique pour structurer davantage ces établissements coraniques, les rendre plus solides et les intégrer efficacement dans notre système éducatif.

En tant que produit des daaras, fort d’une expérience personnelle et d’un profond respect pour cette tradition, je tiens à souligner que les daaras au Sénégal sont nombreux et diversifiés. On peut distinguer quatre types principaux :

  1. Le Dara Héritage, profondément ancré dans l’histoire religieuse du pays, issu des enseignements des fondateurs tels que Cheikh Ibrahim Niass, Cheikh Amadou Bamba, Cheikh Sidiya Malik et d’autres grandes figures religieuses. Ces leaders ont été des piliers de l’enseignement coranique, et leur héritage continue de nourrir et d’inspirer les générations actuelles.
  2. Le Dara Traditionnel, où les héritiers des grandes figures religieuses perpétuent les enseignements coraniques dans un cadre structuré et fidèle à la tradition.
  3. Le Dara Moderne, qui intègre des éléments contemporains tout en conservant les bases de l’enseignement coranique, dans le but de répondre aux défis actuels tout en préservant la tradition.
  4. Le Dara de Quartier ou de Village, qui réunit des élèves dans un cadre localisé, souvent dirigé par des maîtres coraniques dans des contextes plus modestes. Ces daaras répondent à des besoins de proximité et jouent un rôle essentiel dans leurs communautés.

Il est crucial que l’initiative du Président visant à organiser et structurer les daaras à l’échelle nationale prenne en compte ces différentes réalités. La mise en place d’assises nationales pour les daaras est une démarche excellente, qui permettra de résoudre de nombreux défis actuels et d’apporter des solutions durables pour tous les types de daaras.

Je tiens également à insister sur l’importance de l’intégration des daaras dans le système éducatif national. Cette réforme fondamentale permettra de renforcer leur rôle en tant que composantes essentielles de l’éducation nationale, tout en préservant leur héritage et leur mission spirituelle. Grâce à la vision du Président et à l’engagement des ministères concernés, notamment celui de l’Éducation, cette intégration offrira aux élèves coraniques des opportunités de réussite à la fois religieuse et académique.

Par ailleurs, je salue les récentes conventions signées par le Ministère de l’Éducation, en collaboration avec d’autres ministères clés tels que ceux de l’Agriculture, de la Jeunesse et des Sports, de l’Environnement, des Forces Armées et de la Famille. Ces partenariats créent une synergie essentielle pour promouvoir et soutenir les daaras.

Nous avons désormais la responsabilité, en tant que citoyens et acteurs de la société, de concrétiser ces engagements. L’année 2025 doit être marquée par des résultats tangibles, afin que la 4e édition de la Journée Nationale des Daaras soit un succès, illustrant notre engagement collectif et notre travail concret.

En tant que produit des daaras, je m’engage à soutenir pleinement cette initiative pour garantir son succès. C’est une occasion unique de travailler ensemble, sous la direction éclairée du Président, pour donner aux daaras les moyens de s’épanouir et de contribuer à un Sénégal prospère, juste et souverain.

Enfin, je remercie une fois de plus Son Excellence Monsieur le Président de la République, Béchir Diomae, pour sa vision et son soutien indéfectible aux daaras. Que cette initiative soit un tremplin pour la réussite de notre système éducatif, le bien-être des élèves coraniques et la valorisation du patrimoine spirituel et culturel du Sénégal.

Cheikh Baye Mbaye Niass al Kaolakhi
Patriote engagé et héritier des valeurs des daaras

Crise dans l’Enseignement Supérieur au Sénégal : Le SAES dénonce le non-respect des engagements du MESRI

Le Syndicat autonome de l’Enseignement supérieur (SAES) monte au créneau face à ce qu’il qualifie de non-respect des engagements pris par le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI). Dans un communiqué publié le 23 novembre, suite à une réunion de son bureau national tenue la veille, le syndicat critique la gestion du ministre Abdourahmane Diouf et alerte sur les conséquences néfastes pour le secteur universitaire.

Le SAES déplore des engagements non tenus par le MESRI, notamment concernant les tournées effectuées dans les universités publiques. Ces manquements, selon le syndicat, ont déjà entraîné des perturbations dans certaines institutions. Les problèmes se manifestent également dans l’orientation des nouveaux bacheliers : le ministère est accusé d’avoir imposé des quotas d’inscription largement supérieurs à la capacité d’accueil des universités, sans prévoir les infrastructures ni les ressources nécessaires pour y faire face.

Le syndicat pointe du doigt des lacunes structurelles importantes. Parmi elles, la non-livraison des infrastructures pédagogiques et sociales, un déficit d’enseignants, ainsi qu’une insuffisance du budget alloué annuellement. Ces carences mettent en péril la stabilité et le fonctionnement normal des universités, malgré les efforts des enseignants et chercheurs pour maintenir un semblant d’équilibre.

Parmi les revendications du SAES, la question de la pension de réversion pour les ayants droit des enseignants décédés demeure centrale. Pour le syndicat, il s’agit d’une question de justice et d’équité qui ne saurait faire l’objet de négociations. Le ministre Abdourahmane Diouf a, de son côté, justifié le retard en évoquant la disparition du décret relatif à cette mesure dans les méandres administratifs. Une explication jugée insuffisante par le SAES, qui s’étonne de l’absence de signature d’une nouvelle version pourtant maintes fois annoncée.

Malgré ces différends, le SAES affirme rester ouvert au dialogue avec les autorités, à l’exception du point relatif à la pension de réversion, qu’il considère non négociable. Le syndicat appelle ses membres à la mobilisation pour exiger la résolution définitive des problèmes soulevés et préserver les acquis obtenus au fil des années.

La crise qui secoue l’enseignement supérieur au Sénégal met en lumière des enjeux majeurs pour l’avenir du secteur, tant pour les étudiants que pour les enseignants. Alors que les tensions persistent, la capacité du MESRI à répondre aux revendications sera déterminante pour garantir la stabilité du système universitaire.

Kaolack : Journée des Forces Armées, Mouhamadou Moctar Watt salue l’engagement des Forces Armées

À l’instar des autres régions du pays, Kaolack a célébré ce vendredi 8 novembre la Journée des Forces Armées sous le thème : « Vers la souveraineté technologique et industrielle des Forces Armées ». La cérémonie s’est déroulée au camp Sémou Djimith Diouf. Le gouverneur de la région de Kaolack, Mouhamadou Moctar Watt, qui a présidé l’événement, a souligné l’importance du rôle des Forces Armées et la pertinence du thème de cette année.

« Comme dans les autres zones militaires du Sénégal, Kaolack n’a pas fait exception dans la célébration de cette journée des Forces Armées. Cette année, avec une légère avance de 48 heures, nous avons célébré cet événement le 8 novembre 2024. C’est l’occasion, pour nous et pour l’ensemble de la communauté nationale, de rendre un vibrant hommage à nos compatriotes qui ont fait le choix de l’uniforme pour servir la République. Ce sont des femmes et des hommes engagés, veillant à notre sécurité et assurant l’intégrité territoriale de notre pays », a déclaré le gouverneur Mouhamadou Moctar Watt.

« Chaque année, un thème spécifique est choisi, et cette année, le thème retenu est « Vers la souveraineté technologique et industrielle des Forces Armées ». Ce thème est aligné sur les grandes orientations stratégiques du nouveau référentiel de politique publique, qui met un accent particulier sur la souveraineté. Il est important de souligner que les Forces Armées jouent un rôle central dans la vie de la République. Ainsi, lorsque nous parlons de souveraineté, cette institution doit être mise en avant », a ajouté le gouverneur.

Selon lui, l’absence de souveraineté entraîne une dépendance, une situation qui peut fragiliser l’efficacité et l’interopérabilité des différentes composantes des forces de défense et de sécurité. « Habituellement, nous nous approvisionnons sur divers marchés, avec des fournisseurs aux caractéristiques variées. Cela rend parfois délicate l’interopérabilité sur le terrain, et peut même devenir une source de fragilité, comme nous l’avons constaté lors des crises de la COVID-19 et du conflit ukrainien. C’est pourquoi il est désormais impératif pour tous les États d’œuvrer pour une souveraineté technologique et industrielle en matière de défense et de sécurité », a plaidé l’autorité administrative.

« Les forces de défense et de sécurité sont de grandes consommatrices de technologies, mais aussi de sciences en général. De nombreuses inventions ont été développées initialement pour les forces armées, avant de connaître des applications civiques. Prenons l’exemple de l’Internet : à l’origine, il s’agissait d’une invention destinée à l’armée américaine, mais qui s’est ensuite démocratisée », a rappelé le gouverneur Watt.

Audit des Finances Publiques du Sénégal : Le Président Bassirou Diomaye Faye Réaffirme Son Engagement pour la Transparence

Le dimanche 6 octobre 2024, le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a réagi publiquement aux résultats provisoires de l’audit des finances publiques couvrant la période de gestion de 2012 à 2024. Cet audit, commandité en collaboration avec le Fonds Monétaire International (FMI), est perçu comme un moment décisif dans l’évaluation de la gestion économique du Sénégal sous les précédents gouvernements.

Dans un message publié sur son compte X (anciennement Twitter), le chef de l’État a salué le soutien et la coopération du FMI tout en soulignant l’importance de cet exercice de transparence. « Je salue l’esprit collaboratif du FMI, suite à la divulgation des résultats provisoires de l’audit des finances publiques du Sénégal, après la gestion 2012-2024. Je réaffirme mon engagement ferme, comme je l’ai dit lors de ma prestation de serment, à faire du Sénégal un partenaire sûr et fiable », a-t-il déclaré.

Depuis son investiture, Bassirou Diomaye Faye s’est positionné comme un fervent défenseur de la bonne gouvernance et de la transparence budgétaire. La gestion efficace des ressources publiques est un élément central de son programme, et cette première étape d’audit vise à restaurer la confiance des partenaires internationaux et des citoyens. Cette action fait suite à sa promesse d’éradiquer la mauvaise gestion financière qui, selon de nombreuses critiques, a entaché les administrations précédentes.

La coopération avec le FMI, au-delà de l’audit, témoigne de la volonté du gouvernement actuel de renforcer les relations avec les institutions financières internationales. En réaffirmant cet engagement pour la transparence, le président Faye souhaite offrir une nouvelle dynamique aux relations économiques du Sénégal. L’audit provisoire, bien qu’attendant encore ses résultats définitifs, pourrait jouer un rôle crucial dans la formulation des futures politiques économiques et financières du pays.

Les défis sont nombreux pour l’administration Faye, qui a hérité d’une économie marquée par des controverses autour de la gestion des fonds publics. Le président a déjà montré sa détermination en prenant des mesures concrètes pour redresser la situation économique et pour poser les bases d’un développement durable. Cet audit s’inscrit ainsi dans une volonté plus large de renforcer la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale, notamment auprès des bailleurs de fonds et des investisseurs étrangers.

Les résultats définitifs de cet audit sont attendus avec impatience. Ils auront un impact significatif non seulement sur l’image du gouvernement, mais aussi sur les orientations économiques futures du Sénégal. L’audit, qui vise à mettre en lumière les zones de mauvaise gestion et à promouvoir une meilleure allocation des ressources, pourrait ouvrir la voie à des réformes profondes dans le cadre de la gestion publique.

Le peuple sénégalais, ainsi que les observateurs internationaux, surveillent de près cette évolution, espérant voir des changements concrets qui amélioreront la situation économique et la gestion des finances publiques. Pour le président Faye, il s’agit d’une étape clé pour consolider son mandat et pour démontrer que la lutte contre la corruption et la mauvaise gestion est bien plus qu’une promesse électorale, mais une réalité politique en cours de réalisation.

En somme, cet audit des finances publiques représente une occasion pour le Sénégal de prouver son engagement envers la transparence et la bonne gouvernance, deux piliers essentiels pour attirer de nouveaux investissements et consolider la confiance des partenaires économiques internationaux. Le président Bassirou Diomaye Faye, en réitérant son attachement à ces principes, envoie un signal fort pour l’avenir économique du Sénégal.

Guy Marius Sagna à Lomé : légitimité d’un engagement ou ingérence politique ?

L’honorable Guy Marius Sagna, député de la CEDEAO, s’est récemment retrouvé au centre d’une polémique lors de sa conférence de presse à Lomé. Alors que sa présence au Togo soulève des interrogations, notamment face aux tensions politiques qui secouent son propre pays, le Sénégal, il a tenu à justifier son déplacement en s’appuyant sur les prérogatives accordées aux députés de la CEDEAO.

Pour légitimer sa présence à Lomé, Guy Marius Sagna a invoqué l’acte additionnel de la CEDEAO sur le renforcement des prérogatives du Parlement. Selon lui, cet acte stipule que les députés de la CEDEAO ne sont pas seulement les représentants de leur pays d’origine, mais aussi ceux de l’ensemble des peuples de la Communauté. Ce principe lui donnerait, d’après ses explications, le droit de s’exprimer et de s’impliquer dans les affaires d’autres États membres.

En mentionnant également l’article 18 de cet acte, qui précise qu’un député de la CEDEAO demeure en fonction même après la dissolution de son Assemblée nationale, il renforce sa légitimité légale. Bien que cet argument soit fondé sur des bases juridiques solides, le timing et le contexte de son intervention sont loin de dissiper les critiques.

Si Guy Marius Sagna tente de se positionner en défenseur des droits humains et de la bonne gouvernance, certains observateurs se demandent si son engagement à Lomé ne s’apparente pas à une forme d’ingérence. En effet, alors que le Sénégal traverse une période de troubles politiques, sa présence dans un autre pays de la région en crise est perçue par ses détracteurs comme malvenue, voire opportuniste. La question se pose donc : un député de la CEDEAO doit-il intervenir dans les affaires internes d’un État membre lorsque son propre pays fait face à des défis majeurs ?

Les critiques pointent notamment un manque de sensibilité aux réalités locales. Intervenir dans une situation politique complexe sans avoir une connaissance approfondie des dynamiques en jeu pourrait être contre-productif, voire exacerber les tensions. Ainsi, bien que la CEDEAO prône l’intégration régionale et la coopération entre les États membres, les observateurs soulignent que ces interventions doivent être mesurées et respectueuses des souverainetés nationales.

Dans son discours, Guy Marius Sagna a rappelé que les objectifs fondamentaux de la CEDEAO incluent la promotion des droits humains, de la démocratie et de la bonne gouvernance. En tant que député, il estime avoir le devoir de veiller au respect de ces principes, où qu’il se trouve dans la région. Cependant, la perception d’une intervention extérieure dans des crises internes, surtout lorsque le pays d’origine du député est lui-même en proie à des tensions, complique la lecture de son engagement.

Cette situation met en lumière les défis auxquels sont confrontés les représentants régionaux de la CEDEAO. Comment équilibrer l’exercice de leurs prérogatives avec la nécessité de respecter les réalités politiques nationales ? Le risque d’être perçu comme un acteur externe tentant de s’immiscer dans les affaires intérieures d’un autre État est bien réel.

Si l’argument juridique de Guy Marius Sagna est recevable, la légitimité de son action est, elle, sujette à débat. Dans un contexte où la région ouest-africaine traverse des crises politiques récurrentes, l’engagement des députés de la CEDEAO doit faire preuve d’une grande prudence. Les tensions au Sénégal, couplées à la situation à Lomé, posent la question de l’opportunité de son intervention.

En définitive, bien que Guy Marius Sagna ait tenté de justifier sa présence à Lomé en se référant aux textes de la CEDEAO, cette démarche mérite une réflexion plus profonde. L’Afrique de l’Ouest fait face à des défis complexes qui nécessitent une approche diplomatique, réfléchie et respectueuse des dynamiques locales. Ce n’est qu’à ce prix que les députés de la CEDEAO pourront réellement servir les intérêts des peuples qu’ils représentent.

Le Sénégal face aux défis de la gouvernance financière : les engagements du ministre des Finances

Dans un contexte marqué par des interrogations croissantes sur la gestion des finances publiques, le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, s’est exprimé lors de la revue annuelle des projets financés par la Banque mondiale au Sénégal. Cette intervention fait suite à la récente communication du gouvernement sur l’état des finances publiques, et vise à clarifier la position de l’exécutif concernant les défis actuels et les perspectives pour l’avenir.

Cheikh Diba a salué l’engagement du gouvernement pour une gestion rigoureuse, transparente et efficiente des finances publiques. Cependant, il n’a pas hésité à reconnaître certaines « insuffisances notoires » dans la gouvernance budgétaire et financière. Selon le ministre, ces failles doivent être corrigées par des « mesures vigoureuses », avec pour objectif d’optimiser l’utilisation des fonds publics.

La situation est d’autant plus préoccupante que les marchés financiers, notamment ceux des euro-obligations, ont réagi négativement à la récente sortie du gouvernement. Cette situation délicate nécessite des efforts soutenus pour rassurer les partenaires financiers du Sénégal. « Une communication transparente et responsable sera engagée pour préserver la confiance des partenaires et des marchés financiers », a affirmé le ministre, témoignant ainsi de la volonté du gouvernement de restaurer la crédibilité du pays sur la scène internationale.

Le ministre a également évoqué les attentes concernant les observations à venir de la Cour des Comptes. Il a réitéré l’engagement du gouvernement à renforcer la gouvernance financière du pays, en particulier en matière de gestion de la dette, du budget et de la trésorerie de l’État. « Le gouvernement réaffirme, sans équivoque, sa volonté d’améliorer la gouvernance financière et de renforcer l’intégrité du cadre de gestion », a-t-il déclaré, insistant sur la mise en œuvre d’actions concrètes pour éviter que de telles insuffisances ne se reproduisent à l’avenir.

En somme, alors que le Sénégal traverse une période de turbulences financières, le gouvernement, sous l’égide du ministère des Finances, se veut rassurant quant à sa capacité à redresser la barre. Il mise sur des réformes structurelles et une communication ouverte pour restaurer la confiance des investisseurs et des partenaires internationaux, tout en s’engageant à une gestion plus transparente et efficiente des ressources publiques.

Réunion du Ministre de l’Éducation Nationale avec les Syndicats : Engagement pour une Éducation Inclusive et Équitable

Ce lundi 13 mai 2024, le Ministre de l’Éducation Nationale, Moustapha M. Guirassy, a tenu une réunion avec les secrétaires généraux d’une quarantaine de syndicats qui n’ont pas atteint un score de 10% lors des élections de représentativité. Cette rencontre s’inscrit dans la continuité des discussions entreprises depuis sa prise de fonctions au sein du ministère de l’Éducation Nationale.

Au cours de cette réunion, qui s’est étendue sur quatre heures, plusieurs sujets ont été abordés, notamment ceux liés à l’équité et à l’inclusion dans la gestion du système éducatif. Le Ministre a salué l’engagement et la détermination des syndicats à accompagner le projet de transformation systémique visant à construire une école où chaque acteur contribue à façonner l’avenir de la nation.

À la fin de la rencontre, le Ministre Guirassy s’est félicité des échanges fructueux et a promis d’engager des concertations avec tous les services techniques et les ministères concernés pour trouver des solutions à court terme. Il a également affirmé son engagement à prendre des décisions collégiales et concertées sur des questions telles que la signature des arrêtés d’admission au Certificat d’Aptitude Professionnelle (CAP) et le problème des enseignants décisionnaires.

Le Ministre s’est engagé à assurer davantage de paix et de stabilité dans le secteur de l’éducation, soulignant l’importance de travailler ensemble pour relever les défis et garantir un système éducatif de qualité pour tous les citoyens du pays.

Pape Alé Niang prend les rênes de la Radiotélévision sénégalaise (RTS) avec un engagement pour le service public

Pape Alé Niang a officiellement pris ses fonctions en tant que directeur général de la Radiotélévision sénégalaise (RTS) lors d’une cérémonie de passation de service qui s’est déroulée ce vendredi 10 mai dans les locaux de la RTS. Succédant à Racine Talla, son objectif clair est de placer haut le flambeau du service public de l’information et de refléter le pluralisme politique, culturel et social.

Dans ses premières déclarations, le nouveau directeur général s’est engagé à promouvoir le débat démocratique et à faire de la RTS un instrument au service de la vérité, de la transparence et du progrès de la société sénégalaise. Il reconnaît également la compétence des agents de la RTS et promet de leur offrir la liberté d’exprimer leur talent, tout en permettant l’expression des sensibilités diverses.

Pape Alé Niang met l’accent sur l’innovation comme l’un des défis majeurs à relever, affirmant son intention de travailler en collaboration avec ses collaborateurs pour répondre aux besoins du public. Il prévoit également de réaliser un bilan de la situation de la RTS afin de déterminer sur quelles bases partir et quels leviers utiliser pour améliorer l’institution.

Cette prise de fonction marque le début d’un nouveau chapitre pour la RTS, avec un leadership qui s’engage à placer les intérêts du public au cœur de ses préoccupations et à faire de la chaîne publique un véritable pilier de l’information et du débat démocratique au Sénégal.

Le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye réaffirme son engagement envers les droits humains lors d’une audience avec Amnesty International

Le vendredi 3 mai 2024, le président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a reçu en audience Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International, en compagnie de représentants de l’organisation au Sénégal et en Afrique. Cette rencontre, rapportée par Seydi Gassama, directeur exécutif de la section Amnesty International au Sénégal, a été l’occasion pour le président Faye de réaffirmer son engagement envers la protection des droits humains et la bonne gouvernance économique et financière.

Lors de cette audience, le président Faye a exprimé sa détermination à prendre des initiatives concrètes visant à renforcer la protection des droits humains sur le territoire sénégalais. Il a également souligné l’importance de la promotion de la paix et des droits humains tant au niveau régional qu’international.

Parmi les sujets abordés lors de cette rencontre, le chef de l’État a manifesté ses préoccupations concernant la situation à Gaza, dénonçant les graves violations des droits humains et du droit international humanitaire qui y ont lieu. Cette prise de position démontre l’engagement du gouvernement sénégalais envers la défense des droits fondamentaux, tant au niveau national qu’international.

Cette audience témoigne de la volonté du président Faye de collaborer avec des organisations internationales telles qu’Amnesty International pour promouvoir une culture des droits humains et de la bonne gouvernance, contribuant ainsi à renforcer l’état de droit et la démocratie au Sénégal.

Aminata Touré sur les Nominations et les Appels à Candidatures : Pragmatisme et Engagement

Dans un entretien avec l’OBS, Aminata Touré, ancienne Première ministre du Sénégal, a exprimé son point de vue sur les premières décisions prises par le nouveau Président Bassirou Diomaye Faye, notamment en ce qui concerne les nominations et les appels à candidatures.

Elle a tout d’abord salué le triomphe de la démocratie au Sénégal malgré les défis rencontrés, soulignant que les nouveaux dirigeants ont déjà posé des actes qui vont dans le bon sens. Elle a particulièrement noté une réduction du « bling-bling protocolaire », la publication des rapports de contrôle, et une prise en charge sérieuse des questions foncières.

Mme Touré a encouragé le nouveau gouvernement à persévérer dans la voie du changement, soulignant que cela reflète les aspirations de la grande majorité des Sénégalais. Elle a également appelé ses compatriotes à être acteurs du changement en modifiant leurs comportements et en respectant les lois et règlements.

Interrogée sur son absence dans le nouveau gouvernement malgré les attentes, elle a souligné que sa récompense était la victoire du processus démocratique le 24 mars. Elle a également exprimé son soutien à l’introduction de nouvelles personnalités dans le gouvernement, apportant ainsi de nouvelles énergies et idées.

Sur la question des appels à candidatures, elle a souligné la complexité de pourvoir tous les postes par ce moyen, compte tenu du grand nombre de postes à pourvoir dans divers secteurs de l’État. Elle a estimé que l’urgence de répondre aux besoins pressants des citoyens, tels que la campagne agricole imminente et la jeunesse en attente, nécessitait un pragmatisme dans le processus de nomination.

Pour conclure, Aminata Touré a insisté sur l’importance de nommer des cadres compétents et averti que s’éloigner des promesses électorales pourrait conduire au népotisme. Elle a appelé à un équilibre entre la nécessité de répondre rapidement aux besoins du pays et le respect des principes démocratiques.

Abdoulaye Wade réaffirme son engagement envers le PDS lors d’une rencontre avec son équipe de communication

Abdoulaye Wade, l’ancien président de la République du Sénégal, a récemment manifesté son profond engagement envers son parti politique, le Parti Démocratique Sénégalais (PDS), lors d’une rencontre avec certains membres de son équipe de communication. L’objectif de cette réunion, qui s’est déroulée ce mardi, était visiblement de motiver et d’encourager davantage ses collaborateurs en vue des prochaines échéances politiques.

Lors de cette audience, Abdoulaye Wade a accueilli le groupe des porte-paroles, quelques membres de l’équipe de communication digitale, ainsi que la secrétaire nationale en charge de la communication. Cette réunion a été officiellement annoncée par le PDS via un communiqué, soulignant que « Me Wade a longuement échangé avec les jeunes sur des valeurs telles que la loyauté et la conviction. »

Nafy Diallo, via ce même communiqué, a mis en avant les propos de l’ancien président, soulignant qu’il « a insisté sur l’importance du travail et a encouragé la formation des jeunes. »

Pendant deux heures, Abdoulaye Wade a partagé son savoir sur l’histoire et le parcours du PDS, ainsi que sur son propre héritage politique. La commémoration du prochain cinquantième anniversaire du PDS a été discutée, et le communiqué précise que le président Wade a également donné des directives aux porte-paroles et à leurs adjoints pour une communication plus efficace du parti, adaptée au contexte actuel.

Abdoulaye Wade a exprimé sa confiance en la relève, affirmant que « la jeune génération éduquée et porteuse de valeurs solides » assure l’avenir du parti. Il a également saisi l’occasion pour adresser des prières pour le bien-être du pays.

Cette rencontre témoigne de l’engagement continu de Abdoulaye Wade envers le PDS et de son désir de voir le parti prospérer sous la direction d’une nouvelle génération dynamique et engagée.

Vers une résolution de la crise dans les collectivités territoriales : Engagement du nouveau ministre Balla Moussa Fofana

Le gouvernement s’engage fermement à résoudre la crise qui secoue les collectivités territoriales depuis près de deux ans. Sous la houlette du tout nouveau ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des territoires, Balla Moussa Fofana, une dynamique de dialogue et de recherche de solutions concrètes s’est amorcée.

Lors de sa récente rencontre avec les membres de l’Intersyndicale des travailleurs des collectivités territoriales, le ministre Fofana a reconnu la légitimité des revendications des travailleurs tout en réaffirmant la détermination du gouvernement à mettre fin à cette crise persistante. Dans un communiqué de presse, il a souligné la nécessité de travailler ensemble pour formuler des propositions soutenables conformes aux dispositions légales en vigueur.

Au-delà des discussions sur les revendications salariales, le ministre a mis en lumière les répercussions de la grève sur les citoyens, notamment en ce qui concerne l’accès aux documents d’état civil. Cette prise de conscience témoigne d’une sensibilité aux préoccupations de la population et renforce l’urgence d’une résolution rapide du conflit.

L’approche collaborative du ministre Fofana se manifeste également par sa volonté de nouer un partenariat avec l’Intersyndicale pour améliorer les conditions de travail des agents des collectivités territoriales. Cette démarche vise à renforcer l’efficacité des services publics et à garantir la qualité des prestations offertes aux citoyens.

En outre, le gouvernement affirme son engagement en faveur de la décentralisation et de la construction de collectivités territoriales viables et porteuses de développement. Cette vision ambitieuse reflète la volonté de promouvoir une gouvernance locale dynamique et inclusive.

Enfin, la disponibilité du Premier ministre Ousmane Sonko à rencontrer l’Intersyndicale dans les meilleurs délais, sur la base des propositions formulées par le groupe de travail, illustre l’importance accordée à ce dossier au plus haut niveau de l’État.

Dans un contexte marqué par des tensions sociales, l’engagement du gouvernement à trouver des solutions durables et concertées constitue un pas significatif vers la résolution de la crise dans les collectivités territoriales. La voie du dialogue et de la collaboration semble ainsi ouvrir des perspectives encourageantes pour l’avenir de ces institutions essentielles à la vie démocratique et au développement local.

Révélations sur le Président Diomaye Faye : Son Engagement Méconnu dans les Arts Martiaux

Dans le tumulte de la politique sénégalaise, une facette peu connue du président de la République, Bassirou Diomaye, émerge : son implication passionnée dans les arts martiaux. Cette révélation surprenante nous est offerte par son ancien entraîneur, Maître Diop, qui partage des détails intrigants sur le côté moins connu de la personnalité du président.

Selon les dires de Maître Diop, entre 2003 et 2004, le président Diomaye s’est lancé dans la pratique du Viet Vo Doa, un art martial vietnamien. Ce choix témoigne d’un intérêt profond pour les disciplines martiales exigeantes. Son entraîneur le décrit comme un homme d’une grande sérénité et d’une discipline exemplaire, des qualités qui transcendent le monde politique dans lequel il évolue.

Ce qui est frappant dans ce témoignage, c’est l’image d’un président résolu et concentré, loin de l’image publique souvent associée aux hommes politiques. Pour Maître Diop, la discipline et la détermination de Diomaye Faye étaient palpables, révélant une force intérieure impressionnante qui ne peut être attribuée à de la timidité, mais plutôt à une conviction profonde.

Cependant, en raison de contraintes de temps inhérentes à ses fonctions officielles, le président Diomaye a dû élargir ses horizons et s’engager dans d’autres disciplines martiales, notamment le Systema du DUC. Cette polyvalence démontre un intérêt continu pour l’apprentissage et le développement personnel, même au plus haut niveau de responsabilité politique.

L’entraînement du président Diomaye avec Maître Diop, notamment sur la gestion de la peur, révèle un aspect de préparation mentale souvent négligé dans le monde de la politique. Cette capacité à affronter et à surmonter les défis personnels et professionnels est une qualité précieuse pour tout leader, et elle semble être ancrée profondément dans la personnalité du président Diomaye.

Ces révélations sur l’engagement méconnu du président Diomaye Faye dans les arts martiaux offrent un regard fascinant sur un aspect peu exploré de sa vie. Elles soulignent également l’importance pour les dirigeants politiques d’avoir des passions et des intérêts en dehors de leurs fonctions officielles, ce qui enrichit leur personnalité et renforce leur capacité à relever les défis avec résilience et détermination.

Bassirou Diomaye Faye : Engagement pour une nation juste et prospère

La prise de fonction de Bassirou Diomaye Faye en tant que cinquième président de la République du Sénégal a suscité des réactions positives, mettant en lumière son engagement envers la cohésion nationale et le progrès tant attendu par le peuple sénégalais.

Habib Sy, candidat à l’élection présidentielle du 24 mars dernier, a exprimé son admiration pour la détermination du président Faye à préserver la cohésion nationale dans un pays en quête de prospérité. Il a salué le discours d’investiture du nouveau président, mettant en avant l’importance de la construction d’un Sénégal juste et prospère au sein d’une Afrique en progrès.

Dans son discours inaugural, Bassirou Diomaye Faye a réaffirmé son engagement à travailler sans relâche pour garantir la paix et la cohésion nationale. Il a souligné que son élection représentait un engagement clair du peuple sénégalais en faveur d’un avenir meilleur, à la fois pour le Sénégal et pour l’Afrique dans son ensemble.

Pour Habib Sy, un soutien du président Faye, ces perspectives nationales, sous-régionales, africaines et mondiales présentées dans le discours d’investiture témoignent de l’engagement du président en faveur d’un avenir prometteur pour le Sénégal et le continent africain. Il a qualifié le discours d’investiture de « très belle prestation », exprimant son optimisme quant à la capacité du président Faye à mener à bien sa mission.

Reconnaissant les défis qui attendent le nouveau président, Habib Sy reste convaincu que Bassirou Diomaye Faye est à la hauteur de la tâche qui lui incombe. Avec son expérience politique et ses conseillers dévoués, le président Faye est bien équipé pour faire face aux défis à venir.

En conclusion, l’élection de Bassirou Diomaye Faye marque le début d’une nouvelle ère pour le Sénégal, caractérisée par un engagement renouvelé envers la justice, la prospérité et la cohésion nationale. Sous la direction du président Faye, le Sénégal aspire à un avenir meilleur, où chaque citoyen peut réaliser son plein potentiel et contribuer à la construction d’une nation forte et unie.

Serigne Mboup : Hommage de ses militants à son engagement pour le Sénégal

Dans un témoignage émouvant, Ndiaya Mbow, Directrice de campagne du Président Serigne Mboup, a rendu hommage à son leader pour son dévouement sans faille envers le pays et sa vision économique éclairée. Malgré la défaite électorale de leur campagne, elle a tenu à mettre en lumière les idéaux portés par Serigne Mboup pour le développement du pays.

« Le Président Serigne Mboup est un homme vaillant, un véritable soldat de l’économie qui lutte inlassablement pour le progrès socio-économique de notre nation », a déclaré Ndiaya Mbow. Selon elle, l’épanouissement et la restauration de la dignité humaine passent par le travail acharné et le respect mutuel, des valeurs que Serigne Mboup incarne pleinement.

Les valeurs de « AND NAWLE AND LIGGUEY » du Président reflètent, selon elle, sa personnalité et son engagement. Ces valeurs sont également perçues comme un levier de création de richesse pour le pays.

L’entrée en politique de leaders de la stature de Serigne Mboup est motivée principalement par l’indignation face aux dérives du « système » qui pèsent sur le Sénégal. « Si aujourd’hui des hommes de sa stature ont rejoint la scène politique, c’est beaucoup plus pour exprimer leur indignation, sonner l’alarme et dénoncer les multiples dérives du « système » qui pèsent sur notre nation », a souligné la Directrice de campagne.

Ndiaya Mbow a exprimé un vœu pieux pour que : « YA ALLAH SWT, dans sa miséricorde, lui permette de partager et de concrétiser sa vision économique progressiste, décentralisée et patriotique avec tous les Sénégalais ». Elle espère ainsi voir un Sénégal plus prospère, plus juste et plus pragmatique où des termes comme « création d’emplois », « décentralisation et territorialisation des activités économiques » résonneront comme une réalité.

Mamadou Lamine Dianté, Pilier de la Coalition Diomayeprésident à Kolda : Mobilisation et Engagement sans Faille


Dans la région de Kolda, le leader du MCE Ande/Nawlé, Mamadou Lamine Dianté, incarne le soutien inébranlable de la coalition Diomayeprésident, principale force de l’opposition sénégalaise. Sa détermination et son engagement sur tous les fronts ont galvanisé les militants et électeurs en vue des élections présidentielles du 24 mars.

De la commune de Kolda jusqu’au niveau départemental, Mamadou Lamine Dianté déploie ses efforts pour mobiliser et rassembler les partisans de la coalition Diomayeprésident. Son expérience en tant qu’ancien secrétaire général du SAEMS lui permet de réconcilier des familles politiques divergentes en faveur d’un objectif commun.

Lors de l’accueil de la caravane de la coalition Diomayeprésident, conduite par le duo Sonko-Diomaye, à Kolda, Mamadou Lamine Dianté a démontré un engagement sans faille. Aux côtés de Seydina Oumar Touré, ancien capitaine de gendarmerie, il a mobilisé les foules malgré les conditions difficiles, sous un soleil de plomb.

La présence active de Mamadou Lamine Dianté dans la campagne électorale témoigne d’une nouvelle force politique émergente à Kolda. Sa capacité à unir les différentes forces en faveur de la coalition Diomayeprésident laisse entrevoir des perspectives de succès pour cette formation politique dans la région.

Les discours des leaders de la coalition, notamment celui de Bassirou Diomaye Faye, mettent en avant les promesses de développement économique pour la région de Kolda. Ils s’engagent à exploiter les potentialités inexploitées de la région afin de créer des opportunités d’emploi pour les jeunes et les femmes.


À travers son engagement indéfectible et sa mobilisation sans relâche, Mamadou Lamine Dianté incarne le dynamisme de la coalition Diomayeprésident à Kolda. Son travail acharné et sa détermination renforcent les chances de victoire de cette formation politique dans la région, tout en offrant l’espoir d’un véritable développement pour ses habitants.

Ousmane Sonko: Engagement pour la justice sans vengeance

Lors d’une conférence de presse ce vendredi, Ousmane Sonko, leader de Pastef, a tenu à clarifier sa position concernant la justice et la gouvernance future du Sénégal. En réponse aux préoccupations sur d’éventuelles représailles en cas de victoire de son candidat Bassirou Diomaye Faye à la présidence, Sonko a affirmé qu’il n’y aura pas de chasse aux sorcières, mais plutôt une quête de justice.

« Je veux être clair, il n’y aura pas de vengeance mais il y aura de la justice dans toute sa rigueur. Nous allons veiller à ce que justice soit rendue au peuple sénégalais », a déclaré Ousmane Sonko, soulignant qu’il n’y aura pas de place pour l’impunité sous leur gouvernance.

Sonko a souligné l’importance de se concentrer sur les défis à venir et a souligné qu’il n’y avait pas de temps à perdre dans des actes de représailles. Il a toutefois mis en garde contre toute forme d’impunité, affirmant que la justice sera appliquée avec rigueur.

Lors de cette conférence de presse conjointe avec son candidat Bassirou Diomaye Faye, Sonko a également tenu à dissiper les préjugés sur le caractère de Faye, affirmant qu’il n’est pas une personne malveillante, contrairement à ce qui peut être dit.

Cette déclaration de Sonko reflète une vision de gouvernance axée sur la justice et l’équité, tout en rejetant toute forme de revanche ou de partialité. Cela s’inscrit dans une volonté de bâtir un avenir où la justice est au service du peuple, sans distinction ni discrimination.

L’École 17 de Pikine : Un Renouveau en vue grâce à l’engagement de Coumba Gawlo Seck

L’école Pikine 17, dans un état de délabrement depuis plusieurs années, est sur le point de bénéficier d’une cure de jouvence. Cette initiative, portée par Coumba Gawlo Seck à travers son association Lumière pour l’Enfance, en partenariat avec l’Ambassade du Japon, représente un investissement significatif de 70 000 euros.

Grâce à ce financement, l’école retrouvera bientôt sa splendeur, pour le plus grand bonheur de ses 300 élèves et des enseignants de la banlieue dakaroise.

Lundi dernier, Coumba Gawlo, présidente de l’association, et Son Excellence Izawa Osamu, l’ambassadeur du Japon, ont procédé à la signature du contrat de don, officialisant ainsi cette précieuse contribution. Ce geste s’inscrit dans le cadre du programme du Japon dénommé Assistance aux Projets Locaux (APL), qui vise à soutenir les initiatives locales contribuant à la sécurité humaine.

Cette collaboration exemplaire entre des acteurs de la société civile et une ambassade étrangère illustre la puissance de l’engagement citoyen et de la solidarité internationale. Elle témoigne également de la détermination de Coumba Gawlo Seck et de ses partenaires à améliorer les conditions d’éducation et de vie des enfants sénégalais, et à promouvoir un avenir meilleur pour les générations futures.

Agression de Maimouna Ndour Faye : Condoléances et engagement ferme de Macky Sall

Le président de la République du Sénégal, Macky Sall, a vivement condamné l’agression brutale dont a été victime la journaliste Maimouna Ndour Faye, qualifiant cet acte de violence de lâche et inexcusable.

Dans un communiqué officiel, le chef de l’État a réaffirmé que la liberté de la presse est un droit fondamental qui doit être préservé et respecté en toutes circonstances. Il a souligné que toute forme de violence à l’encontre des professionnels des médias est inacceptable, et que les responsables de cette agression devront répondre de leurs actes devant la justice.

Macky Sall a exprimé tout son soutien à Maimouna Ndour Faye et a réitéré son engagement à garantir un environnement sûr et paisible pour tous les acteurs des médias dans le pays.

La journaliste Maimouna Ndour Faye, également directrice de la télévision 7 TV, a été victime d’une agression sauvage dans la nuit du jeudi 29 février au vendredi 1er mars 2024.

Cette condamnation ferme de la part du président Macky Sall souligne l’importance de la liberté de la presse et la nécessité de protéger les professionnels des médias contre toute forme de violence et d’intimidation.

Cheikh Yerim Seck réagit aux accusations de Tariq Ramadan : « Vous sentez-vous morveux ?

Cheikh Yérim Seck a vivement réagi aux récentes déclarations de Tariq Ramadan concernant le présumé financement occulte d’Ousmane Sonko. Dans un texte intégral, il adresse une réponse cinglante à Tariq Ramadan, l’interrogeant sur son intervention dans cette affaire.

Se demandant si Tariq Ramadan se sent morveux, Cheikh Yérim Seck nie avoir mentionné le nom de ce dernier dans son propos sur l’argent qatari. Il invite Tariq Ramadan à retenir son souffle verbal, prévoyant de situer prochainement le rôle précis de chaque personne et de chaque financement dans ce qu’il qualifie de complot international visant à déstabiliser le Sénégal, complot qui, selon lui, a échoué lamentablement.

Le journaliste conclut en affirmant que l’affaire du financement qatari révélera ses secrets, malgré les réponses automatiques des partisans d’Ousmane Sonko. La tension autour de cette affaire semble s’intensifier, promettant des révélations futures.

Quitter la version mobile