Louga : Arrestation de l’auteur présumé du viol d’une étudiante, arrêté à Saint-Louis

Le commissariat central de Saint-Louis a procédé à l’arrestation de S. Dia, un apprenti chauffeur soupçonné d’avoir violé une étudiante dans un bâtiment en construction à Louga. Cette affaire a suscité l’indignation et a mis en lumière les dangers auxquels sont confrontées les femmes dans les transports en commun.

L’étudiante Y. F. S., âgée de 21 ans, a été victime de cette agression alors qu’elle se rendait de Kébémer à Saint-Louis dans la nuit du dimanche au lundi dernier. Elle a embarqué dans un bus en compagnie de S. Dia, présenté comme un apprenti chauffeur.

Le trajet a pris une tournure terrifiante lorsque, arrivé à Louga, l’apprenti chauffeur a changé de direction et conduit la victime dans un endroit isolé, un bâtiment en construction inachevé. Sous la menace et l’intimidation, il a alors commis l’acte abject de viol sur l’étudiante.

Après avoir perpétré cet acte odieux, S. Dia a pris un autre véhicule pour se rendre à Saint-Louis. Une fois arrivée à destination, Y. F. S. a courageusement relaté les détails de son calvaire à ses proches. Son grand frère a rapidement localisé le suspect à la gare routière de la vieille ville de Saint-Louis, où il a été appréhendé par les autorités.

Une enquête a été menée par le lieutenant Bachir Ndao, chef de la sûreté urbaine, et le présumé violeur a été déféré au tribunal de grande instance de Saint-Louis à l’issue de celle-ci.

Cette affaire révèle la vulnérabilité des femmes dans les transports en commun et souligne la nécessité de renforcer les mesures de sécurité pour protéger les passagers, en particulier les femmes et les jeunes filles. Elle met également en lumière l’importance de la sensibilisation et de l’éducation pour lutter contre les violences sexuelles et garantir la sécurité de tous.

Cet incident tragique sur la plage de Diamalaye met en lumière une série de crimes présumés, impliquant un guérisseur traditionnel et une étudiante.

Voici un résumé des événements :

Le commissariat de l’Unité 15 des Parcelles-Assainies a récemment déféré M. M. T. pour viol, attentat à la pudeur et charlatanisme. M. M. T. était un guérisseur et a été surpris en train de violer une étudiante, N. A. T., sur la plage de Diamalaye.

Les autorités ont été alertées par des cris de détresse émanant de la plage dans la nuit du mardi 12 mars, entre 22h et 23h. À leur arrivée, elles ont découvert M. M. T. entre les jambes de la victime, tentant de l’empêcher de crier.

Selon les déclarations de la victime aux enquêteurs, elle aurait sollicité l’aide du guérisseur pour des problèmes liés à un être surnaturel. Un rendez-vous avait été fixé pour une séance de bain mystique sur la plage de Diamalaye.

Pendant la séance, le guérisseur aurait profité de la situation pour violer l’étudiante, malgré ses appels à l’aide. Il aurait prétendu maîtriser l’esprit maléfique qui tourmentait la jeune femme.

Lors de l’interrogatoire, le guérisseur a reconnu les faits, mais a prétendu ignorer les raisons de son acte. Des preuves matérielles, notamment un arsenal mystique découvert à son domicile, semblent corroborer les accusations.

La victime a subi des blessures attestées par un certificat médical, confirmant les violences subies.

À la suite de l’enquête menée par le commissaire M. Khouma, le guérisseur M. M. T. a été déféré au parquet pour répondre des accusations de viol, attentat à la pudeur et charlatanisme.

Cet incident met en lumière les dangers associés à la manipulation et à l’abus de confiance dans le contexte de pratiques mystiques et traditionnelles. Les autorités doivent rester vigilantes pour protéger les citoyens contre de tels actes répréhensibles.

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