Serigne Assane Mbacké (Ex-Pastef) : « L’intérêt général prime toujours sur l’intérêt personnel »

Dans un communiqué adressé à la nation sénégalaise, Serigne Assane Mbacké, président du mouvement Appel 221 affilié à l’ex-Pastef, exprime sa satisfaction quant à l’élection de Bassirou Diomaye Faye à la présidence de la République. Il appelle ainsi à l’unité autour du nouveau président pour veiller sur le projet commun, soulignant que l’intérêt général doit toujours prévaloir sur les intérêts personnels.

Le communiqué commence par saluer l’organisation et le déroulement du scrutin présidentiel, soulignant la démocratie qui a prévalu lors de cette élection. Mbacké félicite ensuite le peuple sénégalais pour son choix démocratique en faveur de l’alternance, comme l’histoire politique du pays l’a souvent démontré.

Le président du mouvement Appel 221 adresse également ses félicitations au Président élu, Bassirou Diomaye Faye, soulignant qu’il a été le choix non seulement du mouvement Pastef en général, mais aussi de son leader, Ousmane Sonko, en particulier.

Mbacké appelle ensuite à l’union de tous les Sénégalais autour du nouveau président, les exhortant à travailler ensemble pour soutenir, accompagner et encadrer le nouveau dirigeant, dans l’intérêt du projet commun pour un avenir meilleur.

Il affirme son propre engagement envers le pays, soulignant que son action est motivée par l’intérêt général et non par des aspirations personnelles. Il cite également le discours du président Diomaye Faye lors du 64e anniversaire de l’indépendance, soulignant l’importance de la volonté collective des Sénégalais pour le développement du pays.

Serigne Assane Mbacké appelle à l’unité, à la justice et à l’équité pour le bien-être du Sénégal, réaffirmant ainsi son engagement envers son pays et ses concitoyens.

Ensemble, travaillons pour l’intérêt du Sénégal! Vive le Sénégal ! Vive l’équité ! Vive la justice !

Controverse parmi les députés de l’ex-Pastef : Vote contre la loi d’amnistie

Au sein de l’Assemblée nationale sénégalaise, une vive controverse a émergé alors que les députés de l’ancien parti Pastef ont finalement choisi de voter contre la loi n°05/2024 portant amnistie, après s’être abstenus lors des travaux en commission des lois.

Initialement, la majorité des députés de l’ex-Pastef avait sollicité des éclaircissements de la part de la ministre de la Justice, Aïssata Tall Sall, sur les infractions spécifiques qui seraient couvertes par la loi d’amnistie. Lors des débats en commission des lois, la ministre avait souligné que toutes les infractions criminelles et correctionnelles commises lors des manifestations entre 2021 et 2024 entreraient dans le champ d’application de la loi.

Cependant, malgré ces explications, les députés de l’ex-Pastef ont décidé de voter contre la loi d’amnistie lors du scrutin final. Ils ont rejoint leurs collègues du Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR) ainsi que de Taxawu Sénégal dans leur opposition à cette proposition de loi.

Le vote final a vu 94 députés, principalement de la majorité et du groupe parlementaire Liberté, démocratie et changement, approuver la loi d’amnistie. En revanche, 48 députés ont exprimé leur opposition, tandis que deux se sont abstenus.

La loi d’amnistie a été élaborée pour traiter les infractions survenues lors des manifestations entre 2021 et 2024. Cependant, la décision des députés de l’ex-Pastef de voter contre cette mesure souligne les divisions persistantes au sein de l’Assemblée nationale sur des questions clés, malgré les débats et les clarifications fournies par le gouvernement.

Cette décision risque de susciter des réactions diverses au sein de la population, avec des opinions divergentes sur la nécessité de l’amnistie dans le contexte politique actuel. Les implications de ce vote se feront probablement sentir dans le paysage politique sénégalais, soulignant la complexité des enjeux liés à la justice et à la réconciliation nationale.

Ex-Pastef : Ibrahima Guéye et Bentaleb Sow libérés

La vague de libération des détenus se poursuit au Sénégal. Ce mercredi, plusieurs personnes incarcérées ont été élargies de prison, parmi lesquelles figurent les Patriotes Bentaleb Sow et Ibrahima Guéye, également connu sous le nom de « Nay lerr ».

Ibrahima Guéye, plus connu sous le surnom « Nay lerr », avait été arrêté il y a plusieurs mois suite à ses interventions dans les médias, au cours desquelles il critiquait ouvertement le président de la République et adressait des reproches à la police et à la gendarmerie.

Quant à Bentaleb Sow, il était membre de la cellule de communication du parti désormais dissous, Pastef. Son arrestation était liée à une affaire concernant le séjour illégal de l’avocat franco-espagnol Juan Branco au Sénégal.

Après avoir passé un certain temps en détention, les deux hommes ont finalement recouvré leur liberté ce mercredi.

Ces libérations interviennent dans un contexte où la question des libertés individuelles et de l’opposition politique est au centre des débats au Sénégal. Elles soulèvent également des interrogations sur le respect des droits de l’homme et de la liberté d’expression dans le pays.

Il convient de noter que ces libérations pourraient être perçues comme un signe de détente de la part des autorités sénégalaises, mais l’avenir politique de ces hommes demeure incertain dans un pays où les tensions politiques persistent.

Réaction d’Amadou Ba (ex-Pastef) à la fixation de la Présidentielle au 2 juin

Suite à la proposition faite lors du dialogue national de fixer la date de l’élection présidentielle au 2 juin et de permettre à Macky Sall de rester au pouvoir jusqu’à l’intronisation de son successeur, Amadou Ba, mandataire de Bassirou Diomaye Faye de l’ex-Pastef, a vivement réagi, qualifiant cette proposition d’illégale et de non négociable.

Dans une déclaration à RFI, Amadou Ba a exprimé son refus catégorique de cette proposition, la qualifiant de fraude aux décisions du Conseil constitutionnel. Selon lui, reporter l’élection de quatre mois supplémentaires tout en permettant au président sortant de rester au pouvoir pendant cette période va à l’encontre des principes constitutionnels du pays.

Pour Amadou Ba, il est impératif que l’élection présidentielle se tienne avant la fin officielle du mandat de Macky Sall, fixée au 2 avril. Cette position reflète le souhait de nombreux opposants politiques qui estiment que tout report au-delà de cette date constituerait une violation flagrante de la Constitution et des principes démocratiques.

La réaction d’Amadou Ba souligne les tensions persistantes autour de la question de la date de l’élection présidentielle au Sénégal, ainsi que les divergences d’opinion au sein de la classe politique. Ces dissensions pourraient potentiellement compliquer davantage le processus électoral et accentuer les divisions au sein de la société sénégalaise.

Amadou Ba (ex-Pastef) refuse toute modification de la liste des candidats à la présidentielle : Un appel à respecter la légalité

Alors que la polémique enfle autour de la composition définitive des candidats à l’élection présidentielle du 25 février 2024, Amadou Ba, mandataire de la « coalition Diomaye Président », se positionne avec fermeté contre toute tentative de reprise du processus électoral pour modifier la liste des candidats retenus par le Conseil constitutionnel.

Dans une déclaration publiée sur sa page Facebook, Amadou Ba est catégorique : « Aucun dialogue, la démission de Macky ou la suppléance du Président de l’assemblée nationale ne peuvent JURIDIQUEMENT modifier la liste des candidats déjà retenus par le Conseil constitutionnel ». Cette affirmation met en lumière la rigueur juridique et la fermeté de sa position quant au respect de la légalité dans le processus électoral en cours.

L’exemple qu’il donne pour illustrer sa pensée est sans équivoque : « Si on « REPORTE » la coupe d’Afrique ou la ligue des champions même de plusieurs mois, à l’arrivée, seules les équipes DÉJÀ QUALIFIÉES y participeront ». Cette analogie sportive simplifie un concept juridique complexe en soulignant que seuls les candidats déjà validés par le Conseil constitutionnel peuvent légitimement prétendre à participer à l’élection présidentielle.

Amadou Ba enfonce le clou en soulignant qu’une reprise du processus électoral pour modifier la liste des candidats nécessiterait une « ANNULATION complète de l’élection présidentielle ». Il insiste sur le fait qu’aucun décret ou loi constitutionnelle ne peut permettre une telle annulation partielle, soulignant ainsi la nécessité de respecter scrupuleusement les règles établies.

Ces propos mettent en lumière la position ferme d’Amadou Ba et de la coalition Diomaye Président en faveur du respect des principes démocratiques et de l’ordre juridique établi. Dans un contexte politique où les débats font rage, cette déclaration rappelle l’importance cruciale de la légalité et de la stabilité institutionnelle pour garantir l’intégrité des processus électoraux et la démocratie dans le pays.

Dialogue entre Ousmane Sonko et Macky Sall : Les conditions posées par l’ex-Pastef

L’éventualité d’un dialogue entre Ousmane Sonko et le président Macky Sall suscite l’attention de l’opinion publique sénégalaise. Khoureychi Thiam, membre de l’ex-Pastef et proche d’Ousmane Sonko, a apporté des éclaircissements sur ce sujet lors de son passage dans l’émission Tolluwaay sur Seneweb le mercredi 14 février.

Selon M. Thiam, Ousmane Sonko n’est pas opposé au dialogue, mais sous certaines conditions. Il a souligné que Sonko est un homme de paix et de dialogue, mais qu’il exige des préalables pour toute discussion. « Ousmane Sonko est un homme de paix, de dialogue. Le président Sonko n’a jamais dit qu’il ne discuterait pas. Mais dans certaines conditions, il a promis de ne jamais discuter avec un pistolet sur la tempe. Il est important de discuter parce que tout tourne autour de la discussion, mais il y a des préalables », a-t-il affirmé.

Parmi les préalables évoqués par M. Thiam figurent la libération des détenus politiques, y compris Ousmane Sonko lui-même, et la reconstitution de l’appareil politique du parti Pastef, qui a été dissous. Il a également souligné l’importance pour Macky Sall de dialoguer avec Ousmane Sonko en tant qu’homme politique et non en tant que simple citoyen.

Ainsi, selon Khoureychi Thiam, la responsabilité de favoriser un climat propice au dialogue entre Sonko et Macky Sall repose davantage sur le président de la République. Si Macky Sall respecte les préalables énoncés, cela pourrait ouvrir la voie à un dialogue constructif entre les deux parties.

Réaction d’Amadou Ba (ex-Pastef) à la loi d’amnistie : Des doutes persistants sur la liberté de Sonko, Diomaye et Cie

Dans le cadre des efforts visant à apaiser le climat politique tendu au Sénégal, le président Macky Sall envisage la mise en place d’une loi d’amnistie générale. Cette mesure pourrait conduire à la libération de plusieurs détenus politiques, dont Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye, actuellement en détention.

Cependant, la réaction d’Amadou Ba, membre de l’ex-Pastef et mandataire national de Bassirou Diomaye Faye, ne semble pas être empreinte d’optimisme. Sur sa page Facebook, il exprime ses doutes quant à l’efficacité et à la pérennité de cette loi d’amnistie.

« Une loi d’amnistie est une simple LOI ORDINAIRE qui est adoptée à la majorité simple, même pas une majorité qualifiée de 3/5e. La loi d’amnistie est de nature purement législative et non constitutionnelle. Elle peut être facilement répudiée par une nouvelle Assemblée nationale qui mettra en place une commission d’enquête indépendante sur les événements amnistiés de 2021 à 2024 », a-t-il écrit.

En d’autres termes, Amadou Ba soulève le risque que cette loi d’amnistie, bien que permettant la libération des détenus politiques, ne leur offre aucune garantie à long terme. Il met en lumière la possibilité qu’une nouvelle législature puisse remettre en question les dispositions de cette loi et mener de nouvelles enquêtes sur les événements survenus entre 2021 et 2024.

Cette réaction souligne les incertitudes persistantes entourant la situation politique au Sénégal, malgré les tentatives de résolution par le biais de mesures telles que la loi d’amnistie.

Arrestation de responsables de l’ex-Pastef aux Parcelles Assainies : Tensions en vue des élections

Des tensions ont éclaté aux Parcelles Assainies, une commune de Dakar, suite à l’arrestation de plusieurs responsables de l’ex-Parti Pastef, dont le député Abass Fall. Ces arrestations interviennent alors que le pays se prépare pour des élections présidentielles à venir.

Selon des informations obtenues, les responsables de l’ex-Pastef avaient l’intention de lancer leur campagne électorale dans la région. Cependant, les Forces de défense et de sécurité ont interdit leur rassemblement, ce qui a conduit à leur arrestation.

Mimi Touré se justifie sur son soutien au candidat de l’ex-Pastef après le rejet de sa candidature par le Conseil constitutionnel

Dans un post sur X, Aminata Touré s’est justifiée sur sa décision de soutenir le candidat de l’ex-Pastef, après que le Conseil constitutionnel a rejeté sa candidature.

Mimi Touré informe avoir reçu, le 22 janvier 2024, une délégation de l’ex-Pastef et de Lacos composée d’Habib Sy, des députés Birame Soulèye Diop, Abass Fall, Ayib Daffé, de Yassine Fall et d’El Malick Ndiaye. Elle souligne qu’à cet effet, des échanges riches et approfondis ont porté sur la situation nationale et les urgences nationales en direction de l’élection présidentielle, notamment « les agressions constantes perpétrées par le régime de Macky Sall contre la démocratie sénégalaise et les droits humains matérialisées par l’élimination honteuse par voie judiciaire et par la manipulation frauduleuse des parrainages des candidats de l’opposition ».


Au sortir des larges concertations, l’ex-Première ministre a décidé de soutenir le candidat de l’ex-Pastef pour l’élection présidentielle du 25 février 2024, afin de réformer les institutions, de mettre fin à l’hyperprésidentialisme et au népotisme d’État, afin d’éliminer définitivement la pauvreté au Sénégal et d’établir une vie décente pour tous les Sénégalais y compris les jeunes, les femmes, les personnes âgées, les travailleurs et les concitoyens de la diaspora, lit-on dans le post.
Aminata Touré invite tous les responsables, militants et sympathisants de son mouvement Mimi2024 à rejoindre le candidat de l’ex-Pastef pour une large victoire au soir du 25 février 2024.

Affaire des militants de l’ex-Pastef à la Médina : Le Juge Mamadou Seck envoie les 9 prévenus en prison

Malgré les avertissements des forces de l’ordre, les jeunes, portant des tee-shirts à l’effigie d’Ousmane Sonko, ont tenté de poursuivre leur activité. La situation a dégénéré, et les policiers ont dispersé le groupe, aboutissant à l’arrestation de neuf militants pour participation à une manifestation non autorisée et trouble à l’ordre public.

Le juge d’instruction Mamadou Seck a pris la décision d’inculper les neuf prévenus et de les placer en détention, soulignant ainsi la gravité des charges retenues contre eux. Cette décision souligne l’importance des procédures judiciaires dans le maintien de l’ordre public et met en lumière les tensions persistantes entre les militants politiques et les forces de l’ordre au Sénégal. L’évolution de cette affaire sera suivie de près par la population et les observateurs politiques alors que le pays se prépare pour des échéances électorales futures.

Moustapha Sarré de l’Ex-Pastef affirme que la candidature de Ousmane Sonko doit être acceptée

Moustapha Sarré, secrétaire national à la formation et directeur de Daraay Cheikh Anta Diop de l’ex-Pastef, a exprimé son point de vue lors de son passage dans l’émission JDD sur iRadio le 8 janvier 2024. Selon lui, « rien ne doit empêcher la candidature de Ousmane Sonko » à l’élection présidentielle de 2024, affirmant que leur leader est toujours dans la course.

Sarré a souligné que l’emprisonnement récurrent des opposants les plus en vue avant chaque élection présidentielle est un problème majeur dans la République. Il a déclaré que Sonko a déposé un dossier complet au Conseil constitutionnel, est toujours électeur et éligible, et que personne ne peut expliquer son empêchement de participer à l’élection.

Le rejet de la candidature de Sonko par le Conseil constitutionnel a surpris Sarré, qui a affirmé que toutes les pièces nécessaires avaient été fournies. Il a accusé le Conseil constitutionnel de violer sa propre jurisprudence, soulignant que Sonko est toujours candidat, éligible et électeur, et qu’aucune condamnation définitive ne justifie son exclusion.

Sarré a annoncé qu’un rabat d’arrêt sera déposé dès la notification de l’arrêt de la Cour suprême, insistant sur la poursuite de la candidature de Sonko. Cette déclaration met en lumière les tensions et les contestations entourant le processus électoral au Sénégal.

Moustapha Sarré de l’Ex-Pastef : « Notre plan reste Ousmane Sonko »

Suite à la décision de la Cour suprême confirmant l’arrêt de la Cour d’appel dans l’affaire opposant Mame Mbaye Niang à Ousmane Sonko, Moustapha Sarré, secrétaire national à la formation de l’ex-Pastef, a réaffirmé que « le plan reste et demeure Ousmane Sonko ». Il a été interrogé sur la possibilité que Habib Sy soit envisagé comme un plan B pour Sonko, et M. Sarré a souligné le rôle important de Habib Sy en tant qu’allié du Pastef.

Habib Sy, un allié fidèle : M. Sarré a salué Habib Sy en tant que grand allié du Pastef, soulignant son soutien constant, surtout pendant les moments difficiles. Il a insisté sur le fait que Habib Sy ne peut pas être considéré comme faisant partie du système, soulignant son intégrité et son absence d’implication dans des affaires de corruption ou de langage agressif contre les adversaires politiques.

Soutien aux députés de PASTEF : M. Sarré a exprimé son point de vue selon lequel Habib Sy, en tant qu’ancien coordinateur de Yewwi Askan Wi, mérite le soutien des députés du Pastef. Il a souligné que Habib Sy a occupé des postes de responsabilité dans le PDS (Parti démocratique sénégalais) mais qu’il ne devrait pas être critiqué pour des actes de détournement de fonds ou des comportements inappropriés.

Plan demeure Ousmane Sonko : Même avec les spéculations sur Habib Sy, M. Sarré a réitéré que le plan principal du Pastef reste Ousmane Sonko. Il a indiqué que le parti prévoit de faire un recours, affirmant que le Conseil constitutionnel a violé sa propre jurisprudence en rejetant certaines pièces du dossier de Sonko. M. Sarré a souligné que jusqu’à présent, ils ne savent pas exactement ce qui est reproché à Sonko et qu’ils attendent la notification.

Bassirou Diomaye Faye maintenu dans la course : M. Sarré a également commenté la situation de Bassirou Diomaye Faye, affirmant que ce dernier reste dans la course. Il a regretté ce qui s’est passé avec Bassirou Diomaye Faye en termes de parrainage, le qualifiant d’inacceptable.

Cette déclaration de Moustapha Sarré met en lumière la position ferme du Pastef envers Ousmane Sonko malgré les défis juridiques, et elle souligne l’importance de Habib Sy en tant qu’allié du parti.

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