Fête du Travail : Le président Diomaye Faye réaffirme l’engagement du gouvernement envers les travailleurs

À l’occasion de la célébration de la fête internationale du Travail, ce jeudi 1er mai 2025, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, s’est adressé à la nation pour exprimer son soutien indéfectible aux travailleuses et travailleurs du Sénégal. Dans un message solennel publié sur ses réseaux officiels, le chef de l’État a réaffirmé « l’attachement profond » de son gouvernement aux valeurs de dialogue social, de dignité, de justice et d’équité dans le monde du travail.

« Le gouvernement répondra avec rigueur et responsabilité aux engagements qu’il a souscrits », a-t-il déclaré, saluant le rôle essentiel des travailleurs dans la construction d’un Sénégal souverain, juste et prospère.

Conscient des défis économiques actuels, le président Faye a souligné la nécessité d’une cohésion nationale autour d’objectifs communs. Il a annoncé la poursuite de réformes ambitieuses pour renforcer la protection des travailleurs, améliorer leurs conditions de vie et bâtir un environnement favorable à un travail décent.

« Face aux défis économiques actuels, nous continuerons à promouvoir des réformes ambitieuses pour garantir un travail décent, consolider notre pacte de stabilité sociale et bâtir ensemble le Sénégal que nous voulons », a-t-il insisté.

Depuis son investiture, le président Diomaye Faye a multiplié les signaux en faveur d’une gouvernance basée sur l’écoute et la concertation. Cette déclaration du 1er mai s’inscrit dans cette volonté de renforcer la confiance entre les partenaires sociaux et les autorités publiques. Elle intervient alors que plusieurs syndicats attendent des mesures concrètes sur l’emploi des jeunes, la sécurité sociale, le pouvoir d’achat et le respect des conventions collectives.

Alors que le président tend la main au dialogue, les principales centrales syndicales du pays ont, de leur côté, saisi l’occasion pour renouveler leurs revendications. Amélioration des salaires, revalorisation des pensions de retraite, meilleure couverture médicale, fin des contrats précaires dans la fonction publique : les attentes sont nombreuses.

Kaolack – Fête du Travail : l’UDEN hausse le ton face aux lenteurs administratives

À l’occasion de la célébration de la fête du Travail ce jeudi 1er mai 2025, l’Union démocratique des enseignants et enseignantes du Sénégal (UDEN), affiliée à l’UNSAS, section Kaolack 1, a vivement dénoncé les nombreux dysfonctionnements qui minent le système éducatif, en particulier dans la région de Kaolack.

Le secrétaire général de la section, Omar Diallo, entouré de ses camarades, a profité de cette journée symbolique pour dresser un tableau sombre de la situation des travailleurs de l’éducation. « Le paiement des rappels de primes, les indemnités de logement, les heures supplémentaires non versées… Autant de revendications qui restent sans suite », a-t-il déploré.

Parmi les points soulevés, le syndicat insiste sur la régularisation des actes administratifs : avancements, intégrations, titularisations, validation des diplômes… autant de procédures qui traînent depuis des années. « Nous avons des enseignants qui attendent leurs rappels depuis cinq ans, d’autres ne sont toujours pas intégrés dans la fonction publique. C’est inacceptable », a dénoncé M. Diallo.

À cela s’ajoute la dégradation des conditions de travail : manque d’infrastructures scolaires, classes surchargées, équipements pédagogiques insuffisants… Une situation qui, selon le syndicat, compromet la qualité de l’enseignement et démotive les professionnels du secteur. « Ces blocages administratifs ont des conséquences graves : démotivation, baisse de rendement, et parfois même des abandons de poste », a-t-il alerté.

Pour l’UDEN, les promesses faites par les autorités restent largement insuffisantes. Le syndicat menace de durcir le ton si aucune mesure concrète n’est prise avant la fin de l’année scolaire. « Nous n’excluons pas de boycotter les examens », a averti M. Diallo.

Thiès – Sotracom : Les travailleurs crient leur détresse face à six mois d’arriérés de salaires

À Thiès, les ouvriers du chantier Sotracom, situé sur l’axe Zac–Thiès–EPT, sont à bout. Depuis octobre 2024, ils affirment n’avoir reçu aucun salaire. Sur les 300 travailleurs mobilisés, seuls 43 auraient été partiellement payés. Une injustice que dénonce vigoureusement leur porte-parole, Mountakha Dieng, qui rappelle que tous ont signé des contrats en bonne et due forme. « Nous n’avons rien perçu depuis six mois », a-t-il déclaré face à la presse.

Ce mouvement de colère s’inscrit dans un contexte où le gouvernement affirme avoir réglé une bonne partie des dettes dues aux entreprises du BTP. Pourtant, sur le terrain, les ouvriers disent ne rien avoir vu de ces financements. Une situation qu’ils jugent incohérente avec les discours officiels. « Nous continuons de souffrir en silence pendant que d’autres encaissent », s’indigne un travailleur.

Derrière ces retards de salaires, c’est une profonde crise sociale qui se dessine. De nombreux ouvriers ne peuvent plus envoyer leurs enfants à l’école, ni assurer les repas quotidiens. Les loyers sont impayés, la survie est devenue un combat quotidien. « Nos enfants ne vont plus à l’école. Nous n’arrivons même plus à assurer les repas », confie un ouvrier, la voix brisée par l’émotion.

Face à l’urgence, le collectif de travailleurs interpelle directement les autorités. Il demande une intervention immédiate du gouvernement, du ministère du Travail, mais aussi des responsables de l’entreprise Sotracom. Les ouvriers réclament le paiement intégral des salaires dus et une clarification sur la gestion des fonds publics débloqués pour le secteur.

Si aucune solution n’est trouvée dans les jours à venir, les travailleurs menacent de durcir leur mouvement. Grèves, sit-in ou blocage des travaux sont envisagés. « Trop, c’est trop. Nous n’avons plus rien à perdre », préviennent-ils. Cette crise pourrait bien devenir un test social pour les nouvelles autorités, appelées à agir sans tarder.

1er Mai 2025 : Le PIT-Sénégal dénonce les « dérives sociales » du régime et appelle à la mobilisation des travailleurs

En ce 1er mai 2025, journée dédiée à la célébration du travail, le Parti de l’Indépendance et du Travail du Sénégal (PIT-Sénégal) a dressé un constat alarmant sur la situation sociale du pays. Dans sa déclaration, le parti fustige la politique actuelle du régime, marquée selon lui par une « vague de licenciements arbitraires, une pression fiscale accrue sur les entreprises et une flambée du coût de la vie », affectant durement les populations. Le PIT déplore également le « gel jugé inacceptable des bourses familiales », essentiel pour de nombreux foyers. Face à ces dérives qu’il qualifie « d’antisociales et d’anti-économiques », le PIT-Sénégal lance un appel à la mobilisation générale des travailleurs pour défendre leurs droits et exiger un changement de cap.

In extenso la Déclaration du Secrétariat du Comité Central 

1er MAI 2025 

JOURNÉE INTERNATIONALE DES TRAVAILLEUSES ET TRAVAILLEURS 
Ce 1er MAI 2025 donne l’occasion de nouveau au PIT- Sénégal de rendre un vibrant hommage à toutes celles et à tous ceux dont les lourds sacrifices ont permis d’appréciables conquêtes sociales et démocratiques pour le monde du travail, que ce soit au Sénégal ou ailleurs dans le monde. 

Cette commémoration se déroule dans un contexte international complexe et incertain, avec des    contradictions et des tensions exacerbées entre les puissances impérialistes découlant, entre autres, de la féroce guerre commerciale déclenchée par le Président Trump, du retour des nationalismes étroits cultivés par les forces populistes d’extrême droite, des attaques réitérées contre le multilatéralisme, de la course au surarmement… 

Des évolutions particulièrement dangereuses venant s’ajouter aux conflits susceptibles de dégénérer en embrasement régional (guerre Russo-Ukrainienne, génocide du peuple palestinien à Gaza, menaces contre l’Iran, tragédie à l’est du Congo avec le soutien du Rwanda au M23…)  En fait, un basculement de la géopolitique mondiale gros de facteurs de crises susceptibles de déclencher une troisième guerre mondiale, dont on voit bien qu’elle correspondrait à une barbare régression de civilisation. 

Un tel contexte amène le PIT- Sénégal à proclamer, aujourd’hui plus qu’hier, que les forces de paix et de progrès doivent renforcer leur mobilisation pour stopper cette course insensée vers le chaos généralisé. 

À cet effet, partout dans le monde, les travailleurs doivent être à l’avant-garde du combat. 

Au Sénégal, le 1er MAI 2025 est célébré sur fond d’inquiétude et d’angoisse des travailleurs. En effet, au lieu d’honorer ses engagements envers le monde du travail, le nouveau régime, depuis son installation, multiplie les attaques contre les droits fondamentaux des travailleurs. Par le biais d’une surprenante et brutale politique de déflation, des dizaines de milliers d’agents publics ont été arbitrairement licenciés dans un climat de haine et de revanche politique inacceptable. Des jeunes, recrutés dans le cadre du programme « Xeyu Ndaw Yi », en ont été les premières victimes : ils ont été renvoyés sans ménagement, ni solution de rechange, comme s’ils n’avaient aucun droit. D’autres, moins jeunes, ont été enlevés de leur poste de travail sous le motif sidérant d’appartenance politique à l’ancien Parti au pouvoir. 

Le PIT- Sénégal se félicite en conséquence de la mise sur pied du Rassemblement National des Travailleurs Licenciés pour recouvrer les droits manifestement piétinés par le régime en place. D’autant que de grandes entreprises privées – dont des segments stratégiques entiers sont en crise du fait des décisions irréfléchies du gouvernement – de même que des PME/PMI fragilisées par la pression fiscale, sont implicitement encouragées à procéder aux mêmes licenciements, au mépris bien souvent de la législation du travail. Il faut ajouter que cette spirale infernale contre le monde du travail aggrave une situation sociale déjà bien difficile pour les populations, avec la flambée des prix des denrées et services de première nécessité.  

Dans le même élan d’offensive contre les droits acquis, le régime est dans l’agression des libertés fondamentales : celles d’opinion, d’expression, de presse, de formes pacifiques de protestation publique. En attestent, entre autres, les nombreux emprisonnements pour délit d’opinion et les sévères et mesquines mesures de musellement de la presse. 

Cependant, ce qui se profile à l’horizon n’est pas moins alarmant. En effet, tout porte à croire que le pays sera replongé dans une politique d’ajustement structurel avec, entre autres, de probables baisses de salaires, la suppression des subventions publiques, de possibles coupes dans les budgets sociaux, et bien d’autres mesures anti-sociales risquant d’être imposées par le FMI lors des négociations de prêts à venir… 

Les Sénégalais sont donc en train d’éprouver, à leur corps défendant, la vacuité des discours populistes, foncièrement démagogiques, qui leur ont été servis pour susciter et entretenir un espoir légitime de changement réel. 

En tout état de cause, le PIT-Sénégal affirme son rejet total de toute démarche visant à faire porter le poids de la crise aux travailleurs et aux couches populaires les plus vulnérables. Dans ce cadre, le PIT-Sénégal dénonce le gel inadmissible des bourses familiales tout en espérant que ce gel ne cache pas une volonté qui ne dit pas son nom de les supprimer. Le PIT réaffirme son engagement aux côtés des masses laborieuses pour faire échec aux offensives antisociales du Gouvernement. Le Parti salue la naissance du Front Syndical pour la Défense du Travail qui rassemble toutes les confédérations et centrales syndicales du pays, aux fins de protection des emplois, des acquis sociaux et pour le respect de la législation du travail et des   libertés fondamentales dont le droit syndical. 

Pour le PIT-Sénégal, il ne peut y avoir de PACTE SOCIAL crédible et viable sans garantie concernant les emplois et des salaires décents, le strict respect de la législation du travail, sans des perspectives claires et précises d’un dialogue social permanent, franc, sincère et productif. De même, le PIT considère qu’il ne peut y avoir de relance économique véritable sans apurement de la dette intérieure. 

Au total, en ce 1er MAI  2025, le Parti de l’Indépendance et du Travail du Sénégal en appelle à la mobilisation générale des travailleurs. D’une part, contre toutes les dérives antisociales et anti-économiques du régime, contre la vie chère, contre le chômage et notamment celui des jeunes et, d’autre part, pour des mesures fortes   d’apaisement   du délétère climat social et politique qui fragilise l’unité et la cohésion nationales. 

VIVE LE 1er MAI ! 
VIVE LES TRAVAILLEUSES ET TRAVAILLEURS DU SÉNÉGAL ET DU MONDE ! 
VIVE LA SOLIDARITÉ INTERNATIONALE AGISSANTE DES TRAVAILLEURS ET DES PEUPLES !

1er Mai 2025 : La Ligue Démocratique dénonce une “liquidation sociale” et appelle à la résistance

À l’occasion de la fête du travail, la Ligue Démocratique (LD) a publié une déclaration sans concession sur la situation sociale au Sénégal. Dans un ton alarmiste, le parti d’opposition évoque une « liquidation sociale » orchestrée par le gouvernement, marquée, selon elle, par des vagues de licenciements, des atteintes aux libertés médiatiques et une détérioration généralisée des conditions de vie.

Selon la LD, le Sénégal traverse une « blessure sociale béante ». Le secteur du BTP, autrefois moteur d’emplois, serait à l’arrêt, avec des milliers d’ouvriers remerciés et des chantiers suspendus. Le parti pointe du doigt une « gestion comptable irresponsable », qu’il assimile non pas à de simples mesures d’austérité, mais à une « démolition délibérée des acquis sociaux ».

Le parti dénonce également les 30 000 licenciements dans la fonction publique, les qualifiant d’« acte de piétinement des familles sénégalaises », réalisé sans concertation ni dispositifs d’accompagnement. Pour la LD, il ne s’agit pas d’une réforme structurelle mais d’une manœuvre à visée clientéliste, destinée à favoriser des recrutements partisans.

Autre point de tension soulevé dans le communiqué : la situation des médias au Sénégal. La Ligue Démocratique révèle que 381 organes de presse sur 639 ont été déclarés non conformes par le ministère de la Communication. Elle y voit une volonté de museler les voix critiques. « Asphyxier l’information, c’est mutiler la conscience citoyenne », déclare le parti, qui accuse le pouvoir en place de substituer le débat démocratique à une « propagande d’État ».

La LD s’indigne également du maintien de prix « scandaleusement élevés » du carburant et de l’électricité, malgré la baisse des cours mondiaux du pétrole. Elle dénonce la suspension des bourses de sécurité familiale, qui aurait privé des milliers de foyers vulnérables de leur ultime filet de protection, dans un contexte marqué par une campagne agricole jugée catastrophique.

Face à ce qu’elle qualifie de « régression inacceptable », la Ligue Démocratique lance un appel à l’unité des travailleurs, syndicats et mouvements progressistes. Le texte exhorte les anciennes figures des luttes sociales à sortir de leur silence, estimant que le pays se trouve à un « point de bascule ».

1er Mai 2025 : Le président Bassirou Diomaye Faye rend hommage aux travailleurs et insiste sur le dialogue social

À l’occasion de la fête internationale du travail, célébrée ce jeudi 1er mai 2025, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a adressé un message fort à l’ensemble des travailleurs sénégalais. Lors du Conseil des ministres du 30 avril, il a salué « la contribution déterminante des travailleurs à la stabilité sociale et au développement économique du pays », exprimant ses « chaleureuses félicitations, ses encouragements et son soutien permanent » à leur endroit.

Dans un contexte économique marqué par des réformes et des attentes sociales élevées, le Chef de l’État a mis un accent particulier sur la nécessité de renforcer le dialogue social. Il a instruit le gouvernement d’œuvrer, en concertation avec les syndicats, à consolider les mécanismes d’écoute et de négociation, dans le respect des droits des travailleurs et des engagements internationaux du Sénégal.

Parmi les mesures prioritaires évoquées :

La promotion du travail décent, en conformité avec le Code du travail et les conventions de l’Organisation internationale du travail (OIT) ; Le repositionnement de l’administration du travail, afin d’en améliorer l’efficacité, les moyens d’action et la proximité avec les réalités du terrain ; La réactivation des comités d’hygiène et de sécurité au travail dans tous les ministères, avec une actualisation du cadre réglementaire pour prévenir les risques professionnels et améliorer les conditions de travail.

Le président Diomaye Faye a également annoncé qu’il recevra, dans l’après-midi du 1er mai, les responsables des principales centrales syndicales, à l’occasion de la traditionnelle remise des cahiers de doléances. Cette rencontre, hautement symbolique, s’inscrit dans une volonté affichée de renouer avec une gouvernance sociale fondée sur la concertation, le respect et la transparence.

Kaolack/ Fête du Travail : Le cahier de doléances de la Coalition des centrales syndicales du Sénégal sur la table du préfet et dénonce l’attitude du Gouverneur

A Kaolack, les travailleurs affiliés à la Coalition des centrales syndicales du Sénégal (CCSS) ont organisé une marche pour célébrer la fête du Travail. Ainsi, ils ont remis leur cahier de doléances au préfet du département de Kaolack. Ces travailleurs ont également dénoncé l’attitude du gouverneur de région qui, selon eux, n’a pas voulu partager avec eux. , »Nous sommes là pour fêter le premier mai. Mais à notre grande surprise, on a pas vu d’autorités sinon monsieur le préfet. Parce qu’on avait écrit, il y’a une semaine à monsieur le gouverneur pour qu’ils nous reçoivent parce qu’on a un cahier de doléances à remettre mais à notre grande surprise, on a pas vu le gouverneur ni d’adjoints. Il nous a délégué monsieur le préfet. On a remis le cahier de doléances au préfet. C’est une attitude que nous dénonçons jusqu’à la dernière énergie parce qu’au moment où le président de la République a reçu les secrétaires généraux des syndicalistes, aujourd’hui nous aimions que le gouverneur soit là pour partager avec les travailleurs  » , a regretté Gagne Siry Lo, coordonnatrice de la coalition des 5 centrales du Sénégal (CCSS).
Elle poursuit.  « Nous comptons poursuivre notre plan d’action. Il y’a pas mal de revendications comme des secteurs tels que l’éducation, la santé et les collectivités locales. Vous savez ce qui se passe à Kaolack. Nos camarades des collectivités locales qui sont surtout affiliés à la CNTS, qui ont eu des ponctions de salaire alors que c’est une grève nationale qui est décrété par l’intersyndicale de la coalition. Nous sommes en coalition. Aujourd’hui, il y’a la CNTS, la CNTS FC, le CSA et l’UNSAS, et nous pensons qu’avec l’unité syndicale, nous pourrons bien prendre en compte les préoccupations des travailleurs « , a conclu Gagne Siry Lo.

Amadou Ba adresse un message d’encouragement aux travailleurs sénégalais à l’occasion de la fête du Travail

En cette journée emblématique du 1er Mai, l’ancien Premier ministre Amadou Ba a tenu à adresser un message vibrant d’encouragement et de reconnaissance à tous les travailleurs du Sénégal. Dans une déclaration empreinte de sincérité et de respect, il a salué le dévouement et l’engagement quotidiens des travailleurs, soulignant leur rôle essentiel dans le progrès et le développement de la nation.

« En cette journée du 1er Mai, je souhaite une excellente fête à tous les travailleurs. Votre dévouement, votre engagement et votre contribution quotidienne sont au cœur du progrès de notre nation. Sachez que votre travail est inestimable et que vous êtes les piliers sur lesquels repose notre société. Que cette journée soit synonyme de repos bien mérité et de célébration en votre honneur », a exprimé Amadou Ba.

Ces paroles résonnent comme une ode à la valeur du travail et à l’importance cruciale des travailleurs dans la dynamique sociale et économique du Sénégal. En reconnaissant leur dévouement et leur contribution, l’ancien Premier ministre souligne leur rôle central dans la construction d’un avenir meilleur pour tous.

La reconnaissance de l’effort des travailleurs ne se limite pas à une simple déclaration, mais témoigne d’une profonde appréciation pour leur labeur quotidien. Dans un contexte où les défis sont nombreux, où les exigences professionnelles peuvent être ardues, cette reconnaissance revêt une importance particulière.

En souhaitant aux travailleurs une journée de repos bien mérité, Amadou Ba met en lumière l’importance de l’équilibre entre travail et repos, soulignant ainsi l’importance du bien-être des travailleurs.

Le message d’Amadou Ba réaffirme l’importance fondamentale des travailleurs dans la société sénégalaise et leur contribution essentielle au progrès et au développement du pays. C’est un appel à la reconnaissance et à la valorisation du travail, moteur de toute société en quête de prospérité et d’harmonie.

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