Affaire Moustapha Ba : Adama Gaye en garde à vue à la DIC pour diffusion de fausses nouvelles

Le journaliste sénégalais Adama Gaye a été placé en garde à vue ce jeudi, dans les locaux de la Division des investigations criminelles (DIC). Cette décision intervient après son interrogatoire pour diffusion de fausses nouvelles.

Adama Gaye est au cœur de cette affaire suite à ses déclarations controversées sur Sen TV. Il avait affirmé que l’ancien ministre Mamadou Moustapha Ba avait été tué, une allégation qui a rapidement suscité l’indignation et le scepticisme. Convoqué par les autorités, le journaliste n’a pas été en mesure de fournir des preuves pour étayer ses propos.

Après son interrogatoire, les autorités ont décidé de placer Adama Gaye en garde à vue. Selon les informations disponibles, il devrait être déféré au parquet lundi prochain, sauf modification de dernière minute.

Cette affaire intervient dans un contexte où la diffusion de fausses informations est de plus en plus pointée du doigt, notamment avec l’essor des médias numériques. Les autorités sénégalaises renforcent leur vigilance face à ce phénomène, particulièrement lorsqu’il concerne des personnalités publiques ou des sujets sensibles.

Les propos d’Adama Gaye sur Mamadou Moustapha Ba, une figure politique connue, ont suscité une onde de choc et mis en lumière les responsabilités des journalistes dans la vérification des informations avant leur diffusion.

Au Sénégal, la diffusion de fausses nouvelles est considérée comme une infraction passible de sanctions pénales, notamment lorsque ces informations peuvent troubler l’ordre public ou porter atteinte à l’honneur d’une personne.

Le cas d’Adama Gaye pourrait relancer le débat sur la réglementation des médias et la responsabilité des journalistes dans un environnement marqué par une prolifération des contenus non vérifiés.

Cette affaire met en lumière les défis auxquels sont confrontés les médias sénégalais, entre liberté d’expression et responsabilité professionnelle. Le sort d’Adama Gaye dépendra des suites judiciaires, mais ce dossier pourrait servir de rappel sur l’importance de la vérification des informations avant leur publication.

DERNIÈRE MINUTE : Fanta Sall libérée après une garde à vue expresse

Fanta Sall, tête de liste départementale de la coalition « Takku Wallu Sénégal » à Koungueul, a été placée en garde à vue dans la soirée du vendredi au samedi. Ceci serait liée aux affrontements entre le convoi de « Pastef » et ses camarades. Toutefois, peu après l’annonce de cette information, la députée de la XIVe législature a été ensuite libérée, a-t-on appris à travers l’émission « Jakaarlo » de la TFM.
Dans la même affaire, les deux commissaires de Police de Koungueul et de Kaffrine ont été mutés, ont relayé nos confrères de Seneweb.

Gendarmerie de Sébikotane : Ameth Ndoye placé en garde à vue

Ameth Ndoye, chroniqueur à la Sen TV, a été placé en garde à vue ce jeudi dans les locaux de la brigade de recherches de Sébikotane. Selon les informations obtenues par Ledakarois.sn, il est poursuivi pour défaut de permis de conduire ainsi que pour faux et usage de faux. Les autorités ont déjà entamé les démarches nécessaires pour faire la lumière sur cette affaire, et Ndoye devrait être déféré au parquet demain, vendredi.

Les faits remontent au 21 octobre dernier, lorsque Ameth Ndoye a été impliqué dans un accident de la route. Un motocycliste avait percuté le véhicule qu’il conduisait. Les gendarmes dépêchés sur les lieux pour effectuer les constats d’usage ont alors demandé à Ndoye de présenter son permis de conduire. À défaut, il leur aurait remis une attestation dont le numéro de permis de conduire s’est avéré appartenir à une autre personne, selon une source autorisée.

Après cette découverte, les gendarmes de Sébikotane ont lancé un avis de recherche contre le chroniqueur, qui a finalement été appréhendé par la brigade de recherches de Faidherbe. La gendarmerie a ouvert une enquête pour éclaircir les circonstances entourant l’usage de ce faux document et déterminer si d’autres infractions sont en cause.

Cette affaire met en lumière la rigueur des forces de l’ordre dans la lutte contre l’utilisation de documents falsifiés, surtout en ce qui concerne la conduite sur la voie publique, un enjeu majeur de sécurité routière.

Ameth Ndoye pourrait être inculpé pour ces faits dès son défèrement au parquet. Le délit de faux et usage de faux est sévèrement réprimé par la loi sénégalaise, et il risque une peine pouvant aller jusqu’à plusieurs mois de prison si les faits sont avérés. Le défaut de permis de conduire est également passible de sanctions. L’évolution de cette affaire sera suivie de près, notamment en raison de la notoriété de l’accusé dans le milieu des médias.

Prolongation de la garde à vue de Bougane Guèye Dany : Vers un déferrement au procureur

La garde à vue de Bougane Guèye Dany, leader du mouvement Gueum sa Bopp, se prolonge à la gendarmerie de Bakel. Selon son avocat, Me El Hadji Diouf, Bougane Guèye Dany devrait être déféré demain, lundi, devant le procureur de Tambacounda.

Arrivé ce dimanche à Bakel pour assurer la défense de son client, Me Diouf a informé la presse de cette évolution, tout en annonçant que Bougane Guèye Dany envisage de porter plainte contre la gendarmerie. Selon lui, le leader du mouvement Gueum sa Bopp accuse la gendarmerie de diffamation à travers un communiqué qu’il qualifie de mensonger.

Pour rappel, Bougane Guèye Dany a été arrêté le 19 octobre 2024 par la brigade territoriale de gendarmerie de Bakel. Il est accusé de refus d’obtempérer lors d’un contrôle de sécurité établi sur la route reliant Semme à Bakel, une zone où des mesures de sécurité avaient été renforcées en raison du déplacement du président Bassirou Diomaye Faye dans la région.

Cette affaire pourrait prendre une tournure juridique importante dans les prochains jours, alors que Bougane Guèye Dany conteste les circonstances de son arrestation et dénonce ce qu’il perçoit comme une atteinte à son image.

Bougane Gueye Dany placé en garde à vue pour refus d’obtempérer et rébellion

Selon une publication de Thierno Bocoum, leader du mouvement « AGIR », Bougane Gueye Dany, président du mouvement « Gueum Sa Bopp », a été placé en garde à vue. La notification de sa détention serait intervenue ce samedi 19 octobre 2024, pour « refus d’obtempérer et rébellion ».

Thierno Bocoum, via un post sur les réseaux sociaux, a exprimé son indignation face à cette arrestation, la qualifiant d’« inacceptable ». Cette nouvelle intervient dans un contexte politique tendu à l’approche des élections législatives du 17 novembre, où de nombreux acteurs politiques dénoncent des actions qu’ils estiment être des tentatives d’intimidation ou de répression de la part des autorités.

Bouagane Gueye Dany, connu pour son engagement politique et son franc-parler, est une figure populaire dans le paysage politique sénégalais. L’arrestation de cet homme influent pourrait avoir des répercussions importantes, notamment au sein de ses soutiens et du mouvement « Gueum Sa Bopp », qui a souvent prôné la transparence et la défense des droits des citoyens.

Le motif de l’arrestation reste cependant à éclaircir, et aucune communication officielle des autorités n’a encore été publiée sur cette affaire.

Diéguy Diop en garde à vue pour escroquerie sur les deniers publics

L’ex-directrice de la Promotion de l’économie sociale et solidaire, Diéguy Diop, a été placée en garde à vue ce jeudi par la Division des Investigations Criminelles (DIC) après un interrogatoire approfondi, selon des sources concordantes.

Responsable au sein de l’Alliance pour la République (Apr), elle est poursuivie pour des faits d’escroquerie portant sur des deniers publics. Selon les informations recueillies, elle devrait être présentée au procureur ce vendredi, à moins d’un changement de programme.

Cette affaire marque un nouveau tournant dans la lutte contre la corruption et la mauvaise gestion des ressources publiques, à un moment où les autorités sénégalaises intensifient les contrôles sur la gestion des fonds publics.

Libération de Bougane Guèye Dany après sa garde à vue : Retour sur les accusations

Le leader du mouvement Gueum Sa Bop, Bougane Guèye Dany, a été libéré ce mardi après avoir passé plusieurs heures en garde à vue. Convoqué par la Division de la lutte contre la cybercriminalité, l’entrepreneur et homme politique avait été interrogé dans le cadre d’une enquête portant sur des accusations d’injures publiques et de diffamation.

Ces accusations sont liées à des déclarations récentes qu’il a faites lors de ses apparitions médiatiques, où il aurait tenu des propos jugés offensants à l’égard de certaines personnalités. Connu pour son franc-parler et son engagement politique, Bougane Guèye Dany a souvent critiqué la gestion des affaires publiques et n’a jamais hésité à pointer du doigt les dysfonctionnements qu’il perçoit dans la gouvernance du pays.

La convocation de Bougane par la Division de la lutte contre la cybercriminalité fait suite à plusieurs plaintes pour diffamation déposées contre lui, principalement par des personnalités politiques et médiatiques qu’il a visées dans ses discours. Ces dernières estiment que les propos de l’opposant violent les règles de la décence publique et portent atteinte à leur honneur.

Lors de son audition, il a été questionné sur la nature et les intentions de ses déclarations, ainsi que sur les preuves qui étayent ses propos. Selon les premières informations, Bougane aurait défendu son droit à la liberté d’expression tout en démentant avoir enfreint les lois en vigueur.

La libération de Bougane Guèye Dany a été accueillie avec soulagement par ses partisans. Sur les réseaux sociaux, le hashtag #LibérezBougané a rapidement circulé, mobilisant de nombreux sympathisants qui dénoncent ce qu’ils perçoivent comme une tentative d’intimidation à l’encontre d’un opposant politique influent.

Pour rappel, Bougane Guèye Dany est à la tête de Gueum Sa Bop, un mouvement politique qu’il a fondé pour prôner un changement radical de la gouvernance sénégalaise. Entrepreneur à succès dans les médias, il a également une influence non négligeable dans le paysage médiatique du pays, ce qui renforce son impact politique.

Ce récent épisode ne devrait pas freiner les ambitions politiques de Bougane Guèye Dany. Son arrestation et sa libération risquent même de galvaniser sa base et d’accroître son soutien populaire. Cependant, cet incident rappelle les tensions croissantes entre le pouvoir en place et certains opposants, dans un contexte où les limites de la liberté d’expression sont régulièrement questionnées.

« Accusations de Diffamation : Bougane Guèye Dany Placé en Garde à Vue par la Cybercriminalité »

Bougane Guèye Dany, leader du mouvement Gueum Sa Bop et patron du groupe de médias D-Media, a été placé en garde à vue le 2 octobre 2024. Cette arrestation est survenue après sa convocation par la Division de la cybercriminalité. Il est accusé de diffamation et d’injures publiques à la suite de propos tenus lors de récentes interventions médiatiques. Ces déclarations, jugées offensantes par les autorités, ont déclenché une enquête à son encontre.

Le contexte de cette arrestation s’inscrit dans une période de tensions politiques au Sénégal, où Bougane Guèye Dany, un opposant actif, a fréquemment critiqué les actions du gouvernement, notamment celles du président Bassirou Diomaye Faye et du Premier ministre Ousmane Sonko

La CAP dénonce la garde à vue de Yérim Seck et appelle à sa libération

La Coordination des associations de presse (CAP) a vivement réagi à la garde à vue du journaliste Cheikh Yérim Seck, interpellé mardi pour « diffusion de fausses nouvelles et diffamation ». Le journaliste est accusé d’avoir remis en question les chiffres avancés par le gouvernement sur la situation économique du Sénégal lors de son passage à l’émission diffusée sur 7 TV.

Cheikh Yérim Seck avait notamment émis des doutes sur les données officielles concernant le respect des critères de convergence dans le cadre des levées de fonds sur le marché de l’UEMOA. Il avait basé ses déclarations sur des informations provenant du site du ministère des Finances, tout en affirmant ne pas accorder de crédit aux chiffres du gouvernement.

Face à cette situation, la CAP a dénoncé une atteinte à la liberté de la presse et à la liberté d’expression. Elle a rappelé que ces libertés sont garanties par la Constitution du Sénégal et a demandé la « libération immédiate » de Cheikh Yérim Seck. Pour l’organisation, le journaliste n’a fait qu’exercer son droit à la libre expression, soulignant qu’« en l’absence d’une certification des chiffres annoncés par la Cour des comptes, tout citoyen est en droit de commenter ces données ».

La CAP a exhorté les autorités judiciaires à respecter les principes constitutionnels tout en appelant à une gestion responsable de cette affaire, qui pourrait affecter la liberté des médias dans le pays. Elle a également exprimé son regret concernant le non-respect des engagements pris lors de la rencontre entre les patrons de presse et le ministre des Finances le 13 septembre dernier. Ces engagements devaient notamment améliorer les relations entre les autorités et les médias.

En conclusion, la CAP a plaidé pour un débat public contradictoire et argumenté, tout en assurant aux entreprises de presse un environnement propice à leur développement.

La Coordination des Associations de Presse (CAP) dénonce la garde à vue du journaliste Cheikh Yérim Seck et réclame sa libération

Dans un communiqué parvenu à Dakaractu, la Coordination des Associations de Presse (CAP) a exprimé son indignation suite à la garde à vue du journaliste Cheikh Yérim Seck, tout en réclamant sa libération immédiate au nom de la liberté de presse et d’expression. Le journaliste est poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles et diffamation, suite à ses déclarations lors d’une émission diffusée sur la chaîne 7 TV.

Les propos de Cheikh Yérim Seck, ayant conduit à son audition, concernaient des critiques envers les chiffres économiques communiqués par le gouvernement sénégalais, qu’il a remis en question. Seck a soutenu ses affirmations en s’appuyant sur des données publiées par le ministère des Finances, affirmant que le Sénégal avait pu lever des fonds sur le marché de l’UEMOA en respectant les critères de convergence liés à la dette et au déficit budgétaire. Cependant, ses propos ont été jugés diffamatoires par les autorités.

Face à cette situation, la CAP a rapidement réagi en rappelant que le Sénégal est un État de droit où les libertés de presse et d’expression sont protégées par la Constitution. L’organisation a également souligné que, tant que les chiffres gouvernementaux n’ont pas été certifiés par la Cour des comptes, tout citoyen, y compris un journaliste, est en droit de les commenter librement, dans le respect de la loi.

Dans son communiqué, la CAP a fermement demandé la libération de Cheikh Yérim Seck, tout en appelant les autorités judiciaires à respecter les principes constitutionnels garantissant la liberté d’expression. Selon elle, la détention du journaliste constitue une atteinte grave à ces libertés, fondamentales dans toute démocratie.

L’affaire met en lumière une nouvelle fois les tensions récurrentes entre la presse et les autorités sénégalaises, dans un contexte où la liberté d’expression, bien que garantie par la loi, fait face à des défis croissants.

RSF demande la libération de Cheikh Yerim Seck après son placement en garde à vue

Reporters Sans Frontières (RSF) a lancé un appel en faveur de la libération de Cheikh Yerim Seck, journaliste sénégalais, placé en garde à vue après avoir contesté des chiffres économiques fournis par le Premier ministre Ousmane Sonko lors d’une émission télévisée. Dans un post publié sur X (anciennement Twitter), l’organisation a dénoncé cette détention, affirmant qu’« aucun journaliste ne doit être privé de liberté pour avoir exercé son métier ».

RSF insiste sur la nécessité de protéger la liberté de la presse et le droit des journalistes à exprimer des opinions divergentes, sans crainte de représailles. Cette intervention souligne une fois de plus les tensions entre le gouvernement et certains médias au Sénégal, sur fond de débats politiques et économiques animés.

Cheikh Yérim Seck placé en garde à vue pour diffusion de fausses nouvelles et diffamation

Le journaliste et analyste Cheikh Yérim Seck a été placé en garde à vue hier par la Division spéciale de cybersécurité (DSC), après son audition sur des propos tenus lors d’une émission télévisée sur la chaîne 7tv. Cette mesure fait suite à des accusations de « diffusion de fausses nouvelles » et de diffamation, en lien avec des déclarations faites après une conférence de presse du gouvernement sur l’état des finances publiques.

Lors de cette émission, Cheikh Yérim Seck avait contesté les chiffres avancés par le Premier ministre, affirmant qu’ils étaient inexacts. Selon lui, ses propos étaient fondés sur des données provenant d’organismes spécialisés dans le domaine financier. « Je n’ai diffamé personne, j’ai dit des faits étayés par tous les organismes spécialisés sur la question », a-t-il déclaré. Il a également insisté sur le fait qu’il ne cherchait qu’à accomplir son devoir journalistique, en respectant l’authenticité des faits.

Malgré ses explications, cette intervention a été perçue comme une remise en cause directe des déclarations officielles du gouvernement, entraînant ainsi son audition puis sa mise en garde à vue. Cheikh Yérim Seck a défendu sa position, se qualifiant de simple relais d’informations, dans le cadre de son rôle de journaliste, sans intention malveillante.

Cette affaire met une nouvelle fois en lumière la complexité des rapports entre le gouvernement et les médias au Sénégal, notamment en ce qui concerne la liberté de la presse et la diffusion d’informations sur les finances publiques.

Le déroulement de cette enquête pourrait raviver le débat sur les limites de l’expression journalistique dans un contexte de tension politique et de gestion des informations publiques.

Cheikh Yérim Seck placé en garde à vue : une enquête de la Division spéciale de Cybersécurité

L’ancien journaliste de Jeune Afrique, Cheikh Yérim Seck, a été placé en garde à vue ce soir dans les locaux de la Division spéciale de Cybersécurité. Selon des informations exclusives obtenues par Seneweb, son arrestation survient suite à un interrogatoire mené par les autorités compétentes.

Les raisons précises de cette garde à vue n’ont pas encore été révélées, mais il est probable que les allégations portent sur des infractions liées à la cybersécurité, un domaine qui suscite de plus en plus d’attention dans le contexte actuel du Sénégal. Le procureur a ordonné son arrestation après l’interrogatoire, indiquant une volonté de mener une enquête approfondie sur les circonstances entourant son cas.

Cheikh Yérim Seck, qui a fait ses preuves en tant que journaliste, est connu pour ses analyses incisives et ses commentaires sur la situation politique et sociale du pays. Sa garde à vue soulève des inquiétudes parmi ses collègues et les défenseurs des droits de l’homme, qui craignent que cette action ne soit perçue comme une tentative de répression à l’encontre des voix critiques.

Il est prévu que Cheikh Yérim Seck soit déféré au parquet demain, sauf changement de programme. Cette affaire attire déjà l’attention des médias et du public, alors que beaucoup attendent de voir comment elle évoluera dans les jours à venir.

Khadim Ba Placé en Garde à Vue pour Infraction Douanière : Une Affaire en Pleine Controverse

L’homme d’affaires sénégalais Khadim Ba a passé la nuit dernière à la brigade de gendarmerie de la Foire, suite à une mise en garde à vue ordonnée par la Douane. Il est accusé d’infraction liée à la réglementation des changes, un délit pour lequel les autorités douanières lui réclament la somme colossale de 215 milliards de francs CFA, selon les informations rapportées par Libération. Cependant, Khadim Ba rejette catégoriquement ces accusations.

L’enquête, selon les avocats de Khadim Ba, se concentrerait sur la société Dermond Oil & Gas Africa, mais leur client n’aurait aucun lien juridique avec cette entreprise. « Monsieur Khadim Ba n’est ni le représentant légal de la société Dermond Oil & Gas Africa, ni son directeur général ou président du conseil d’administration », ont précisé ses conseils. De plus, ils insistent sur le fait qu’il n’est pas importateur de produits pétroliers. « C’est la Société africaine de raffinage (Sar) qui est l’importateur dans cette affaire et non Khadim Ba, qui est totalement étranger à toute infraction douanière liée à la réglementation des changes. »

Convoqué à deux reprises les 19 et 24 septembre 2024 avant son interpellation le 25 septembre, Khadim Ba et ses avocats dénoncent la procédure suivie, la qualifiant de « nulle ». Ils reprochent notamment aux autorités de ne pas avoir respecté son droit à être assisté par ses conseils durant l’enquête. « Monsieur Khadim Ba a subi toutes ces violations alors même qu’il n’a rien à se reprocher », ont-ils déclaré, soulignant qu’aucune disposition légale ne l’obligeait à rapatrier des devises étrangères dans cette affaire.

Dans le procès-verbal signé à la Douane, Khadim Ba a lui-même exprimé son désaccord sur la manière dont les événements se sont déroulés. « Mon droit à être assisté par mes avocats a été violé ainsi que mon droit à organiser ma défense », a-t-il affirmé, tout en contestant l’ensemble des infractions qui lui sont reprochées. Il conclut en soulignant son droit fondamental à préparer une défense adéquate face aux accusations formulées contre lui.

L’affaire Khadim Ba, qui suscite de vives réactions dans le milieu des affaires sénégalais, pourrait bien prendre une tournure judiciaire importante dans les jours à venir. Les avocats de l’homme d’affaires semblent prêts à contester chaque étape de cette procédure, qu’ils estiment entachée de vices de forme.

Affaire Lat Diop et 1Xbet : 5 Milliards de Corruption Supposée, l’Ex-DG de la LONASE en Garde à Vue

La reddition des comptes se poursuit à grande vitesse, et la Division des Investigations Criminelles (DIC) est au centre de nouvelles révélations. Ce samedi 21 septembre 2024, l’ancien ministre des Sports et ex-directeur général de la LONASE, Lat Diop, a été entendu par les enquêteurs pendant plus de 10 heures. Au cœur de cette affaire, une accusation de corruption portée contre lui par Mouhamed Dieng, patron de 1Xbet Sénégal.

Selon des informations exclusives, Mouhamed Dieng aurait dénoncé Lat Diop, affirmant lui avoir remis la somme colossale de 5 milliards de francs CFA, échelonnée en plusieurs versements. Ces fonds auraient servi à Lat Diop pour acquérir divers biens immobiliers, notamment une maison à Grenoble, en France. Ces graves accusations ont conduit à l’interpellation de l’ancien directeur de la LONASE, qui se retrouve en garde à vue à la DIC, poursuivi pour détournement de deniers publics et blanchiment de capitaux.

Lat Diop, de son côté, nie en bloc les accusations et parle de « pure délation ». Son avocat, indigné, a également exprimé son scepticisme face à la procédure : « Comment se fait-il que celui qui déclare avoir corrompu soit libre, tandis que celui qu’il accuse est placé en garde à vue ? »

L’affaire continue de secouer le paysage politique et économique, alors que le pool judiciaire financier, fraîchement mis en place, poursuit sa croisade contre la corruption. L’enquête est en cours, et les autorités promettent de faire la lumière sur cette affaire de grande envergure.

Les prochains jours seront déterminants, avec des révélations attendues sur les détails de cette affaire qui pourrait bien marquer un tournant dans la gestion de la reddition des comptes au Sénégal.

Arrestation de Mamadou Fawzi Dione : Le Directeur Administratif et Financier de l’Agence de Réglementation Pharmaceutique en garde à vue pour détournement de fonds publics

Mamadou Fawzi Dione, directeur administratif et financier de l’Agence de la Réglementation Pharmaceutique (ARP), a été arrêté et placé en garde à vue par la Sûreté urbaine (SU). Selon le quotidien Libération, M. Dione est soupçonné d’avoir détourné des deniers publics, une affaire qui remonterait à l’époque où il exerçait en tant que gestionnaire à la Direction Générale de la Santé Publique.

D’après les premières informations, le mis en cause aurait profité de sa position stratégique pour effectuer d’importants retraits sur un compte appartenant à la structure qu’il gérait, hébergé à la banque Crédit du Sénégal. Le montant du préjudice s’élèverait à plusieurs millions de francs CFA, selon des sources proches du dossier.

Le journal Les Échos souligne que l’enquête en cours permettra de faire la lumière sur les montants précis détournés et les méthodes utilisées par M. Dione pour réaliser ces transactions suspectes. Pour l’instant, ce dernier est toujours en garde à vue, où il est entendu par les enquêteurs de la Sûreté urbaine.

Cette arrestation intervient dans un contexte où les autorités sénégalaises renforcent leur lutte contre la corruption et les détournements de fonds publics, un fléau qui affecte divers secteurs de l’administration. L’affaire de Mamadou Fawzi Dione, si elle est confirmée, viendrait s’ajouter à la liste des scandales de malversations qui secouent régulièrement l’opinion publique sénégalaise.

La suite de l’enquête et les résultats des auditions de M. Dione détermineront les suites judiciaires de cette affaire qui retient déjà l’attention des médias et des citoyens.

Sidy Diop en garde à vue : Le chanteur dans la tourmente judiciaire

Le célèbre chanteur Sidy Diop se retrouve au cœur d’une situation délicate. Arrêté par les forces de l’ordre, il a été placé en garde à vue à la Brigade de Hann Maristes. Selon les informations recueillies, l’artiste sera déféré ce mardi devant le procureur de la République près du Tribunal de grande instance de Dakar.

Sidy Diop est poursuivi pour deux infractions : défaut de permis de conduire et absence d’assurance. Lors d’un contrôle de routine, il n’a pas été en mesure de présenter les documents requis pour la conduite de son véhicule. Il s’agit d’une situation fâcheuse pour l’artiste, d’autant plus qu’il conduisait une nouvelle voiture.

Selon les sources, plusieurs tentatives d’intervention ont été faites auprès de la Brigade de gendarmerie pour obtenir sa libération. Cependant, ces démarches se sont avérées infructueuses. Les autorités semblent déterminées à suivre le cours légal des choses, malgré la notoriété de Sidy Diop.

Cette affaire risque d’avoir des répercussions sur la carrière du chanteur, alors que ses fans attendent de voir comment la situation évoluera. En attendant, Sidy Diop devra répondre de ses actes devant la justice.

Arrestation à Dakar : Un jeune mécanicien en garde à vue pour vol à l’arraché

M. Sarr, un jeune mécanicien de 18 ans résidant à la Médina, se trouve actuellement en détention entre les mains des éléments de la police de Reubeuss. Il est soupçonné d’avoir commis un vol à l’arraché en collaboration avec son acolyte, Ch. T. Mbengue, qui est actuellement en fuite. Les deux individus sont accusés d’avoir arraché un téléphone de marque iPhone 14 Pro Max sur la corniche de l’Anse Bernard. La victime de ce vol n’a pas encore été identifiée.

Selon les informations recueillies par Seneweb, M. Sarr et son complice seraient des habitués des actes criminels. Ils sont fréquemment repérés au plateau, où ils auraient commis plusieurs vols par le passé. Malgré un échec lors d’une première tentative le samedi 13 avril 2024, cela n’a pas découragé les deux individus.

En début de soirée, les deux malfrats, circulant à bord d’une moto, se sont rendus à l’Anse Bernard pour choisir une nouvelle cible. Vers 19 heures, ils ont repéré une personne tenant son portable. Sans perdre de temps, ils ont arraché le téléphone avant de prendre la fuite. Heureusement, un médecin libanais, travaillant à la clinique « Belle Vie », a été témoin de la scène. Sans hésitation, il a poursuivi les voleurs à bord de sa voiture.

Le médecin a réussi à alerter la Brigade de Recherches (Br) du commissariat de Reubeuss, qui se trouvait en patrouille à proximité. Les policiers ont rapidement pris en chasse les voleurs et ont réussi à intercepter M. Sarr près de la mosquée Omarienne. Son complice, Ch. T. Mbengue, a quant à lui réussi à s’échapper.

M. Sarr est actuellement en garde à vue pour vol à l’arraché. Lors de son interrogatoire, il a impliqué son acolyte, Ch. T. Mbengue, qui est activement recherché par les forces de l’ordre.

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