La 77ème assemblée mondiale de la santé s’ouvre à Genève sous le thème « Un monde mobilisé pour la santé, la santé pour tout le monde »

La 77ème Assemblée Mondiale de la Santé a débuté ce lundi au Palais des Nations à Genève, réunissant des délégués de presque toutes les nations pour discuter des enjeux de santé globale sous le thème : « Un monde mobilisé pour la santé, la santé pour tout le monde ». Cette importante rencontre se déroule en présence de Mouhamed El Gazaouini, Président de la République Islamique de Mauritanie et Président de l’Union Africaine, invité d’honneur de l’événement.

Lors de la cérémonie d’ouverture, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), a rappelé l’essence et la mission de l’Assemblée Mondiale de la Santé. « Nous ne devons pas perdre de vue ce que représente l’Assemblée Mondiale de la Santé. Presque chaque nation est représentée », a-t-il souligné. Il a également interrogé l’audience : « Pourquoi sommes-nous ici ? », avant de répondre : « C’est pour travailler à notre objectif commun qui a conduit à la création de l’OMS, la santé pour tous ».

Dr Tedros a insisté sur la vision avant-gardiste de la constitution de l’OMS, affirmant qu’elle était « le premier instrument de droit international à affirmer que le niveau de santé le plus élevé possible est un droit pour tous ». Il a noté que bien que 140 pays reconnaissent le droit à la santé dans leur constitution, ce droit reste non réalisé ou menacé dans de nombreuses régions du monde.

Selon Dr Tedros, la création de l’OMS était également visionnaire car, dans un monde moins connecté qu’aujourd’hui, elle reconnaissait que la promotion de la santé dans un pays profitait à tous. Il a exhorté les nations à rester engagées dans la réalisation de cet objectif global.

Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale du Sénégal, Dr Ibrahima Sy, accompagné d’une forte délégation, participe à cette rencontre mondiale de haut niveau. Leur présence témoigne de l’engagement du Sénégal à collaborer avec la communauté internationale pour améliorer la santé publique et garantir le droit à la santé pour tous ses citoyens.

L’Assemblée Mondiale de la Santé, qui se déroulera tout au long de la semaine, sera l’occasion pour les délégués de discuter de divers sujets cruciaux, notamment les stratégies pour renforcer les systèmes de santé, la réponse aux pandémies, la couverture sanitaire universelle et les efforts pour atteindre les Objectifs de développement durable liés à la santé.

Cette édition de l’Assemblée Mondiale de la Santé promet d’être une plateforme déterminante pour les échanges et la coopération internationale visant à renforcer la santé mondiale et à promouvoir l’équité en matière de santé pour tous.

Engagement fort en faveur des droits fondamentaux : Le Sénégal affirme sa détermination à Genève

À la 45e session du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies à Genève, le Sénégal a brillé en présentant son engagement inébranlable en faveur des droits fondamentaux. Lors de la présentation devant le Groupe de Travail sur l’Examen Périodique Universel (EPU), le représentant sénégalais a souligné la volonté du pays de promouvoir la justice, l’égalité, et le respect de la dignité humaine.

Cette tribune internationale a offert une occasion unique, devant 123 États intervenants, de réaffirmer la détermination du Sénégal à créer une société où chaque individu peut jouir de ses droits sans entrave. Les succès et les défis ont été partagés, mettant en lumière la conviction profonde du Sénégal selon laquelle la protection des droits de l’homme est cruciale pour bâtir un avenir équitable.

Les représentants internationaux ont noté avec satisfaction les progrès réalisés par le Sénégal, tout en formulants des recommandations pour renforcer davantage les acquis dans le domaine des droits de l’homme. L’engagement du Sénégal en faveur des droits fondamentaux a été salué, marquant ainsi la volonté du pays de jouer un rôle constructif sur la scène mondiale.

Le hashtag a été utilisé pour souligner cette forte implication du Sénégal dans la promotion de la justice. La vision du pays repose sur l’idée que la protection des droits de l’homme est un impératif moral, et le Sénégal se dit prêt à collaborer avec la communauté internationale pour relever les défis mondiaux.

Le rendez-vous est pris dans 4 ans et demi pour le 5e passage du Sénégal devant le Conseil des Droits de l’Homme à Genève. Une attente marquée par la ferme conviction de construire un monde où la dignité, l’égalité, et la justice sont des réalités concrètes.

Genève : Le président Macky Sall a rencontré les directeurs d’agences de l’ONU

Le président de la République Macky Sall a rencontré les directeurs d’agences de l’ONU dirigées par des Africains. Notamment le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Ngozi Okonjo-Iweala, DG de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et Gilbert Houngbo, patron de l’Organisation internationale du travail (OIT). C’était au cours d’un dîner de travail à Genève 

Après le camouflet d’Abuja, l’estocade de Genève pour les rentiers de la tension (Par Dr Yoro Dia)

Le Président Sall, invité du Haut-Commissaire aux Droits de l’Homme de l’ONU pour le 75e anniversaire de la déclaration universelle des Droits de l’homme

Après le camouflet d’Abuja, l’estocade de Genève pour les rentiers de la tension

L’invitation du Président Macky Sall à Genève à la commémoration du 75e anniversaire de la déclaration universelle des droits de l’homme de l’ONU par le Haut-Commissaire aux droits de l’homme de l’ONU est un autre camouflet pour l’opposition et les activistes rentiers de la tension qui présentent le Sénégal comme le désert en matière de respect des Droits de l’homme. Pour eux, le Senegal est devenu un goulag pour les droits de l’homme comme le Kampuchéa démocratique des Khmers rouges. Après Abuja avec la cour de la justice de la CEDEAO, Genève avec le Haut-Commissariat aux Droits de l’homme leur rappelle l’insignifiance de leurs excès.   Le camouflet de Genève intervient quelques jours après celui d’Abuja quand la cour de justice de la CEDEAO a estimé qu’aucun des Droits de Sonko n’avait été violé par l’Etat du Sénégal. Nul ne pouvant se prévaloir de ses propres turpitudes, l’opposition et leurs alliées, rentiers de la tension d’une certaine société civile ne pouvaient que faire profil bas tant ils avaient porté au pinacle la cour de justice de la CEDEAO. Ce qui n’était qu’une forme de manipulation et pression psychologique sur les juges. L’invitation faite au Président Sall par le Haut-Commissaire aux Droit de l’homme à l’occasion du 75e anniversaire de la Déclaration universelle risque de porter l’estocade à une certaine opposition et aux rentiers de la tension parce qu’on voit mal le Haut-Commissaire aux Droits de l’Homme de l’ONU inviter un chef d’Etat qui a un passif en la matière au 75eme anniversaire de la déclaration universelle pour aborder le thème « l’Avenir des Droits humains, de la paix et de la sécurité ». Cette invitation est la preuve si besoin en encore était de l’exemplarité de notre pays sur la question. Nos rentiers de la tension qui vivent du dénigrement du Sénégal à l’étranger vivent une grande souffrance parce que la communauté internationale aussi bien à Abuja, qu’à Genève rejette à juste titre la présentation qu’ils font du Sénégal présenté comme un goulag en matière de Droits de l’Homme. Une autre bataille perdue parce qu’on ne peut vivre durablement de l’industrie fake et de la manipulation comme faire croire qu’on va trainer le Sénégal à la CPI. Ou en est d’ailleurs cette procédure ou c’était simplement une « fanfaronnade » comme disait le Ministre Sidiki Kaba. La thèse de la « fanfaronnade » est confirmée et toutes les personnes de bonne foi ou de simple bon sens le savaient. Ce serait quand même un grand paradoxe que le Haut-Commissariat aux Droits de l’Homme de l’ONU invite en grande pompe un chef d’Etat passible de poursuite de crimes relevant de la CPI.
En invitant le Président Sall à la Commémoration du 75e anniversaire de la déclaration universelle des Droits de l’homme, le Haut-Commissaire confirme le leadership du Sénégal qui a su maintenir le cap malgré l’intermède de l’opposition insurrectionnelle alors que notre pays a toujours été habitué à une opposition légale et républicaine. Même cet intermède fait de vulgarité et de brutalité a été géré dans le cadre de l’Etat de Droit comme l’a affirmé la cour de justice de la CEDEAO et comme le confirme aujourd’hui cette invitation faite par le Haut-Commissaire au Président Sall à la commémoration du 75e anniversaire de la déclaration universelle des droits de l’homme qui deviennent de plus en plus le moteur de l’histoire pour les démocraties en lieu et place de la raison d’Etat. L’opposition et les rentiers de la tension ne pouvaient que perdre cette bataille à l’International parce que l’Etat du Sénégal défend les droits l’homme parce qu’ils sont consubstantiels à ses valeurs républicaines et traditions démocratiques plutôt que par simple esthétisme politique international.

Macky à Genève : Pastef Suisse saisit l’ONU et l’OMC

Pastef Suisse a réagi à la venue du président Macky Sall à Genève en adressant des courriers au Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme et à la Directrice Générale de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC). Le mouvement dénonce la répression sanglante au Sénégal, citant plus d’une cinquantaine de morts, des centaines de blessés et plus de 2000 détenus politiques. Les lettres soulignent également des atteintes aux droits politiques, à la liberté de la presse, et dénoncent la situation d’Ousmane Sonko, leader de l’opposition, actuellement détenu. Pastef Suisse interpelle les destinataires sur l’état des droits humains au Sénégal et appelle à une réaction face à la répression et aux violations des libertés

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