Vol de bétail à Sédhiou : Trois boeufs volés en Guinée-Bissau gardés à la gendarmerie

Trois boeufs, présumés volés en Guinée-Bissau, ont été découverts dans la localité de Dianah Malary, située dans le département de Sédhiou, sans documents attestant de leur provenance. Selon les informations recueillies, ces animaux ont été retrouvés sans que les propriétaires bissau-guinéens ne se soient encore manifestés pour les réclamer.

L’enquête menée par les autorités compétentes a confirmé que ces boeufs ont été volés, mais jusqu’à présent, aucun propriétaire n’a été identifié. Dans l’attente de nouvelles directives du Procureur, les gendarmes ont été contraints de les garder à la brigade de gendarmerie locale.

Cette situation laisse les autorités dans l’impasse, car elles ne peuvent ni vendre, ni abattre ces animaux sans propriétaires déclarés. De même, les laisser partir sans certitude sur leur origine illégale est également impossible, dans le respect des procédures légales.

Le sort de ces boeufs reste donc en suspens, en attendant que les propriétaires légitimes se manifestent ou que des décisions légales soient prises pour déterminer leur sort. En attendant, cette affaire souligne les défis posés par le vol de bétail transfrontalier et la nécessité d’une coopération renforcée entre les autorités des pays voisins pour lutter contre ce fléau.

CAN 2023 : La Guinée-Équatoriale domine la Guinée-Bissau et se rapproche des huitièmes de finale

Lors de la Coupe d’Afrique des Nations 2023, la Guinée-Équatoriale a réalisé une performance convaincante en battant la Guinée-Bissau 4-2, s’appuyant sur un triplé d’Emilio Nsue. La Guinée-Équatoriale a montré sa puissance offensive en prenant le dessus sur la Guinée-Bissau lors d’une victoire 4-2 au Stade Alassane-Ouattara.

Emilio Nsue a ouvert le score pour le Nzalang Nacional à la 21e minute, mais la Guinée-Bissau a riposté avec un but contre son camp d’Esteban Obiang à la 37e minute. Cependant, la deuxième mi-temps a été un cauchemar pour la Guinée-Bissau, avec Josete Miranda marquant à la 46e minute, suivi d’un triplé d’Emilio Nsue aux 51e, 61e minutes.

Malgré un effort tardif de José Correia qui a marqué pour la Guinée-Bissau à la 90e+3e minute, la victoire équato-guinéenne était déjà scellée. Avec cette victoire, la Guinée-Équatoriale est bien positionnée pour se qualifier pour les huitièmes de finale de la CAN 2023, tandis que la Guinée-Bissau est dans une situation difficile après avoir subi sa deuxième défaite consécutive dans le tournoi.

La compétition continue d’offrir des moments passionnants, et les équipes continueront à se battre pour une place dans les phases éliminatoires.

Victoire Éclatante du Mali : 6-2 contre la Guinée-Bissau à la CAN 2024

L’équipe nationale du Mali a signé une victoire impressionnante lors de son premier match à la Coupe d’Afrique des Nations 2024 en écrasant la Guinée-Bissau sur le score de 6 à 2. Les Aigles du Mali ont fait preuve de puissance offensive et de maîtrise tactique tout au long du match.

Composition de l’équipe malienne :

Gardien : Djigui Diarra (Young Africans/Tanzanie)

Défenseurs : Falaye Sacko (Montpellier/France), Kiki Kouyaté (Montpellier/France), Moussa Diarra (Toulouse/France), Mamadou Fofana (Amiens/France)

Milieux : Yves Bissouma (Tottenham/Angleterre), Lassana Coulibaly (Salernitana/Italie), Amadou Haidara (Leipzig/Allemagne)

Attaquants : Kamory Doumbia (Brest/France), Youssouf Niakaté (Banni Yas/Émirats arabes unis), Sekou Koita (RB Salzburg/Autriche)

Le Mali a dominé chaque aspect du jeu, avec une performance exceptionnelle de son attaque et une défense solide. La Guinée-Bissau, de son côté, doit maintenant se préparer pour son prochain match contre la Côte d’Ivoire le 13 janvier à 21h.

Le Mali poursuivra sa campagne à la CAN 2024 avec un match contre l’Afrique du Sud le 16 janvier à 21h. Les fans de football sont impatients de voir si l’équipe malienne maintiendra cette impressionnante dynamique tout au long du tournoi. Restez connectés pour les dernières actualités et analyses de la CAN 2024.

Guinée-Bissau: la police bloque l’accès au Parlement

En Guinée-Bissau, un groupe de militants dont des députés de la coalition PAI-Terra Ranka ont été dispersés à coups de grenades lacrymogènes par les forces de l’ordre devant le Parlement, ce mercredi 13 décembre. Les députés ont répondu à l’appel du président de l’Assemblée, Domingos Simões Pereira, également leader de la coalition, qui a décidé de poursuivre les sessions malgré la dissolution de l’Assemblée décidée par décret présidentiel.

L’accès au Parlement était bloqué depuis les premières heures de la matinée par des forces de l’ordre, armés de matraques et de grenades lacrymogènes. Toutes les rues adjacentes étaient également interdites d’attroupement.

Malgré ce dispositif impressionnant, la dizaine de députés de l’opposition accompagnés par des militants visiblement déterminés à franchir les portes de l’hémicycle ont tenté de braver l’interdiction. 

La police est alors entrée en action, lançant des grenades lacrymogènes. Débandade dans les rangs des militants et des députés dont certains ont alors rejoint le siège du PAIGC, à quelques centaines de mètres de l’Assemblée.

Le président du Parlement Domingos Simões Pereira n’est pas sorti de sa résidence placée sous haute surveillance. 

Domingos Simões Pereira considère la décision du président Embalo concernant la dissolution de l’Assemblée nulle et sans effet. Il a appelé les députés de son parti à ne pas se laisser intimider et à poursuivre la résistance.

« Nous disons et continuons à dire que le décret du président qui a dissout le Parlement n’a pas respecté les principes constitutionnels », a déclaré à la presse Armando Mango, porte-parole de la coalition Pai-Terra Ranka. 

Selon lui, l’article 94 stipule clairement que le Parlement ne peut en aucun cas être dissout dans les 12 mois suivant les législatives. « Nous allons poursuivre les sessions », a-t-il affirmé devant le siège de la coalition, juste après avoir subi les tirs de lacrymogène.

Guinée-Bissau: la police bloque l’accès au Parlement

En Guinée-Bissau, un groupe de militants dont des députés de la coalition PAI-Terra Ranka ont été dispersés à coups de grenades lacrymogènes par les forces de l’ordre devant le Parlement, ce mercredi 13 décembre. Les députés ont répondu à l’appel du président de l’Assemblée, Domingos Simões Pereira, également leader de la coalition, qui a décidé de poursuivre les sessions malgré la dissolution de l’Assemblée décidée par décret présidentiel.

L’accès au Parlement était bloqué depuis les premières heures de la matinée par des forces de l’ordre, armés de matraques et de grenades lacrymogènes. Toutes les rues adjacentes étaient également interdites d’attroupement.

Malgré ce dispositif impressionnant, la dizaine de députés de l’opposition accompagnés par des militants visiblement déterminés à franchir les portes de l’hémicycle ont tenté de braver l’interdiction. 

La police est alors entrée en action, lançant des grenades lacrymogènes. Débandade dans les rangs des militants et des députés dont certains ont alors rejoint le siège du PAIGC, à quelques centaines de mètres de l’Assemblée.

Le président du Parlement Domingos Simões Pereira n’est pas sorti de sa résidence placée sous haute surveillance. 

Domingos Simões Pereira considère la décision du président Embalo concernant la dissolution de l’Assemblée nulle et sans effet. Il a appelé les députés de son parti à ne pas se laisser intimider et à poursuivre la résistance.

« Nous disons et continuons à dire que le décret du président qui a dissout le Parlement n’a pas respecté les principes constitutionnels », a déclaré à la presse Armando Mango, porte-parole de la coalition Pai-Terra Ranka. 

Selon lui, l’article 94 stipule clairement que le Parlement ne peut en aucun cas être dissout dans les 12 mois suivant les législatives. « Nous allons poursuivre les sessions », a-t-il affirmé devant le siège de la coalition, juste après avoir subi les tirs de lacrymogène.

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