Homosexualité : Imam Libass Lahi Appelle les Autorités à Prendre leurs Responsabilités

En ce jour de Tabaski, l’Imam Libass Lahi, khalife des Baye Fall, a profité de l’occasion pour aborder un sujet sensible et controversé devant des milliers de fidèles. Lors de son sermon, il a exprimé son inquiétude profonde concernant l’homosexualité, qu’il a qualifiée de « pire maladie » pouvant atteindre une personne.

Une Prise de Position Ferme

Imam Libass Lahi a dénoncé le silence de certaines autorités sur cette question, les exhortant à prendre leurs responsabilités. Selon lui, il est crucial que les dirigeants n’hésitent pas à dire la vérité et à agir contre ce qu’il considère comme un fléau.

« Le prophète Mouhammed (PSL) avait affirmé que c’est le mal que je crains plus pour vous », a-t-il rappelé, soulignant ainsi la gravité de la situation selon les enseignements islamiques.

Un Appel à l’Action

Le guide religieux a insisté sur la nécessité pour les autorités de ne pas rester indifférentes face à l’homosexualité. Il a critiqué ce qu’il perçoit comme une inaction ou une peur de s’exprimer ouvertement sur le sujet. Pour Imam Libass Lahi, le moment est venu pour les dirigeants de montrer du courage et de prendre des mesures concrètes pour contrer ce phénomène.

Réactions et Controverses

Les déclarations de l’Imam ont suscité diverses réactions parmi les fidèles et la société civile. Si certains soutiennent sa position, d’autres appellent à la tolérance et au respect des droits individuels, y compris ceux des personnes homosexuelles. Ce débat reflète les tensions et les divisions au sein de la société sénégalaise sur les questions de mœurs et de liberté individuelle.

Le sermon de l’Imam Libass Lahi lors de la prière de la Tabaski a mis en lumière un débat délicat et complexe. En appelant les autorités à prendre leurs responsabilités, il a ouvert un dialogue sur un sujet qui reste tabou pour beaucoup. La manière dont les dirigeants répondront à cet appel pourrait avoir des implications significatives pour la cohésion sociale et les droits humains au Sénégal.

Homosexualité : Imam Libass Lahi appelle les autorités à prendre leurs responsabilités

En ce jour de Tabaski, l’Imam Libass Lahi, khalife des Baye Fall, a profité de l’occasion pour aborder un sujet sensible et controversé devant des milliers de fidèles. Lors de son sermon, il a exprimé son inquiétude profonde concernant l’homosexualité, qu’il a qualifiée de « pire maladie » pouvant atteindre une personne.

Une Prise de Position Ferme

Imam Libass Lahi a dénoncé le silence de certaines autorités sur cette question, les exhortant à prendre leurs responsabilités. Selon lui, il est crucial que les dirigeants n’hésitent pas à dire la vérité et à agir contre ce qu’il considère comme un fléau.

« Le prophète Mouhammed (PSL) avait affirmé que c’est le mal que je crains plus pour vous », a-t-il rappelé, soulignant ainsi la gravité de la situation selon les enseignements islamiques.

Un Appel à l’Action

Le guide religieux a insisté sur la nécessité pour les autorités de ne pas rester indifférentes face à l’homosexualité. Il a critiqué ce qu’il perçoit comme une inaction ou une peur de s’exprimer ouvertement sur le sujet. Pour Imam Libass Lahi, le moment est venu pour les dirigeants de montrer du courage et de prendre des mesures concrètes pour contrer ce phénomène.

Réactions et Controverses

Les déclarations de l’Imam ont suscité diverses réactions parmi les fidèles et la société civile. Si certains soutiennent sa position, d’autres appellent à la tolérance et au respect des droits individuels, y compris ceux des personnes homosexuelles. Ce débat reflète les tensions et les divisions au sein de la société sénégalaise sur les questions de mœurs et de liberté individuelle.

Le sermon de l’Imam Libass Lahi lors de la prière de la Tabaski a mis en lumière un débat délicat et complexe. En appelant les autorités à prendre leurs responsabilités, il a ouvert un dialogue sur un sujet qui reste tabou pour beaucoup. La manière dont les dirigeants répondront à cet appel pourrait avoir des implications significatives pour la cohésion sociale et les droits humains au Sénégal.

Touba : La dépouille d’un présumé homosexuel expulsée du périmètre de la ville

Une affaire délicate a récemment secoué Touba, la capitale du mouridisme. Selon les informations recueillies par Seneweb, la dépouille d’un présumé homosexuel a été expulsée vendredi dernier du périmètre du titre foncier de la ville.

La vigilance des membres du dahira Moukhadimatoul Khidma, chargé de la gestion des lieux de culte et des cimetières, a été déterminante. Ces derniers ont empêché l’inhumation de ce tailleur de 38 ans au cimetière de Bakhiya. Informés du statut du défunt avant l’arrivée de la dépouille, les membres du dahira ont opposé un refus catégorique au cortège funèbre.

Face à cette situation, les proches du tailleur décédé ont finalement admis qu’il était homosexuel, selon un membre du dahira contacté par Seneweb. Cet aveu a confirmé les informations qui avaient précédé l’arrivée de la dépouille, justifiant ainsi l’expulsion du corps hors des limites de la ville.

Cette expulsion met en lumière les tensions et les défis liés aux questions de sexualité et de religion dans certaines communautés du Sénégal.

Homosexualité : Oumar Youm Presse Ousmane Sonko de Respecter ses Engagements

L’ancien ministre Oumar Youm a exprimé son indignation suite à l’arrestation de Bah Diakhaté, qualifiant les accusations portées contre lui de « délire ». Dans un post sur Facebook, Youm a fermement demandé qu’on cesse de « nous ridiculiser », tout en apportant son soutien à Diakhaté.

Oumar Youm a également rappelé la position de son camp politique lorsque la question de la criminalisation de l’homosexualité avait été soulevée à l’Assemblée nationale. Il a souligné qu’il avait déclaré, depuis la tribune de l’Assemblée, que la majorité parlementaire n’avait pas l’intention de dépénaliser l’homosexualité. « Chose faite! », a-t-il écrit.

L’ancien parlementaire a adressé un message implicite au Premier ministre actuel, en lui rappelant sa promesse de criminaliser l’homosexualité. « À celui qui avait promis fermement de criminaliser l’homosexualité de passer aux actes », a déclaré Oumar Youm, ajoutant qu’il espérait que cette proposition serait clairement exprimée lors de la déclaration de politique générale (DPG) du Premier ministre.

Le débat sur l’homosexualité a refait surface après une conférence tenue le 16 mai dernier à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, co-animée par Ousmane Sonko et Jean-Luc Mélenchon. Lors de cet événement, Sonko a affirmé que ce sujet pourrait devenir un « casus belli » dans les relations entre l’Occident et des pays comme le Sénégal. Il a également déclaré que l’homosexualité était « tolérée » sous nos tropiques, un commentaire qui a suscité une vive controverse.

Suite à ces déclarations, Bah Diakhaté, un activiste réputé proche de l’ancien régime de Macky Sall, a été arrêté par la division des investigations criminelles. Il est accusé d’avoir tenu des propos outrageants à l’encontre du Premier ministre Ousmane Sonko et du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye.

La situation a engendré une série de réactions, certaines plus virulentes que d’autres, démontrant la sensibilité et la polarisation autour de la question de l’homosexualité au Sénégal. La pression est désormais sur le gouvernement et ses représentants pour clarifier leur position et prendre des mesures conformes à leurs engagements antérieurs.

Débat sur l’Homosexualité : Thierno Bocoum rappelle à Sonko son engagement de criminalisation devant « And Sam Jikko Yi »

Le débat sur l’homosexualité refait surface au Sénégal, suscitée par une discussion entre Ousmane Sonko, président de Pastef, et Jean-Luc Mélenchon, leader de La France Insoumise, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. La position de Sonko, souvent perçu comme un politicien antisystème, a été jugée moins ferme que celle du président Macky Sall sur cette question sensible.

Lors de leur rencontre à l’UCAD 2, Sonko a exprimé une position nuancée : « La question du genre n’est pas nouvelle dans nos sociétés qui les gèrent à leur façon et selon nos réalités socioculturelles. Elles ne peuvent être l’apanage des pays étrangers. On ne peut pas nous imposer la propagande de l’homosexualité. » Cette déclaration a été perçue par certains comme une position modérée, voire ambiguë, sur un sujet qui divise profondément la société sénégalaise.


Thierno Bocoum, président du mouvement Agir, a saisi l’occasion pour rappeler à Ousmane Sonko son engagement antérieur concernant la criminalisation de l’homosexualité. En évoquant le soutien de Sonko au mouvement religieux And Sam Jikko Yi, Bocoum a souligné : « Ils avaient opté pour la criminalisation. Ils l’avaient déclaré publiquement et l’avaient aussi signé à travers le mémorandum des législatives 2022 de AND SAMM JIKKO YI (ASJ) » ASSOCIATION POUR LA PRESERVATION DES VALEURS (APV). »


Pour Bocoum, la position actuelle de Sonko ne va pas assez loin. Il estime que se limiter à une déclaration de principe sur les valeurs socioculturelles n’est pas suffisant. « Se limiter à dire que cela ne fait pas partie de nos valeurs, ce n’est pas faire plus que le régime précédent qu’ils avaient accusé d’en faire la promotion », a-t-il argumenté. Bocoum invite Sonko et le gouvernement à passer des paroles aux actes en criminalisant l’homosexualité, conformément à l’engagement pris devant And Sam Jikko Yi.


Le débat sur l’homosexualité au Sénégal est souvent marqué par des tensions entre les valeurs traditionnelles et les influences extérieures. Le pays, majoritairement musulman, voit souvent cette question comme un test de la résistance de ses valeurs face à la mondialisation et aux pressions internationales pour les droits des LGBTQ+.


Le rappel de Bocoum met en lumière les contradictions potentielles dans les positions des politiciens sur des sujets sensibles et pose la question de la cohérence et de l’engagement. Alors que Sonko se positionne souvent comme un critique des politiques de Macky Sall, son engagement antérieur avec And Sam Jikko Yi le pousse à clarifier sa position actuelle.


La demande de Thierno Bocoum pour une action concrète en matière de criminalisation de l’homosexualité place Sonko face à un choix délicat : rester fidèle à ses engagements antérieurs ou adapter sa position à un discours plus modéré et potentiellement plus inclusif. Ce débat promet de continuer à diviser l’opinion publique et à influencer le paysage politique sénégalais dans les mois à venir.

ledakarois.sn

Loi criminalisant l’homosexualité : Thierno Bocoum presse le gouvernement

Thierno Bocoum, président du mouvement AGIR, a réitéré l’importance pour le nouveau gouvernement de respecter sa promesse d’adopter une loi criminalisant l’homosexualité. Cette déclaration intervient après que le Premier ministre Ousmane Sonko a abordé la question lors d’une conférence co-animée avec Jean Luc Mélenchon le jeudi 16 mai.

Bocoum a rappelé que cette promesse de criminaliser l’homosexualité avait été faite publiquement par le gouvernement précédent et qu’elle avait également été inscrite dans le mémorandum des législatives 2022 de l’Association pour la préservation des valeurs (APV).

Dans son message, Bocoum exhorte les dirigeants actuels à adopter une position définitive et claire sur la question du gordjiguénisme, appelant à ce que cette position soit matérialisée par une loi. Il estime que simplement dire que cela ne fait pas partie des valeurs du pays n’est pas suffisant, soulignant que cela équivaudrait à ne pas aller au-delà de ce que le régime précédent avait fait, et que ce dernier avait été accusé de promouvoir l’homosexualité.

Cette prise de position de Thierno Bocoum met en lumière l’importance de la question de l’homosexualité dans le débat politique sénégalais et souligne l’attente de la société civile vis-à-vis du gouvernement actuel pour qu’il prenne des mesures concrètes sur cette question.

Révélation choquante : Un candidat à la Présidentielle accusé d’homosexualité

Lors de son passage sur l’émission « Tolluway » sur Seneweb, Babacar Lo Ndiaye, président de la Convergence des forces républicaines (CFR), a fait une déclaration qui risque de susciter de vives réactions. Selon lui, parmi les 19 candidats retenus par le Conseil constitutionnel pour l’élection présidentielle, il y aurait un candidat homosexuel soutenu par des mouvements LGBT, dont l’Osiwa, connue pour son engagement en faveur des droits des homosexuels.

Babacar Lo Ndiaye a donné des détails supplémentaires, affirmant que ce candidat n’a ni femme ni enfant, et qu’il a pris pour cible à plusieurs reprises le président Macky Sall. Il a également prévenu que si ce candidat persistait dans ses attaques, il serait publiquement dénoncé. Selon lui, si ce candidat était élu, l’une de ses premières décisions serait de légaliser l’homosexualité, ce qu’il considère comme « très grave » pour le Sénégal.

Le président de la CFR a appelé le Conseil constitutionnel à être plus vigilant et a également révélé qu’un autre candidat parmi les 19 serait soutenu par des narcotrafiquants.

Ces déclarations ont rapidement suscité l’indignation et les réactions, mettant en lumière les tensions et les sensibilités autour de la question de l’homosexualité dans la société sénégalaise, ainsi que les enjeux politiques entourant la campagne électorale.

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