Enquête sur l’Incident de l’Avion de Transair à l’AIBD : Implication Internationale pour la Vérité

Le Bureau d’enquête et d’analyse pour la sécurité de l’aviation civile (BEA) a été chargé de mener une enquête approfondie sur la sortie de piste de l’avion de Transair à l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) dans la nuit de mercredi à jeudi. Cet incident, survenu au moment du décollage de l’appareil affrété par Air Sénégal à destination de Bamako, au Mali, a fait 11 blessés, dont 4 graves.

Dans un développement récent rapporté par L’Observateur dans son édition de ce samedi, il est indiqué que le BEA ne sera pas seul dans sa mission d’éclaircir les circonstances de cet accident. Les pays d’origine des victimes non sénégalaises seront également impliqués dans l’enquête. Ces pays comprennent la France, l’Arabie saoudite, l’Australie et le Mali.

Cette décision témoigne de la volonté de garantir une enquête transparente et exhaustive, impliquant les autorités des pays concernés pour établir la vérité sur les causes de l’incident. En intégrant les pays d’origine des victimes dans le processus d’enquête, on garantit une approche collaborative et internationale pour identifier les facteurs contributifs et prendre les mesures nécessaires pour prévenir de futurs incidents.

L’implication de plusieurs nations dans cette enquête souligne l’importance de la coopération internationale en matière de sécurité aérienne. Alors que l’aviation civile est un domaine mondialisé, il est essentiel que les pays travaillent ensemble pour assurer la sécurité des passagers et des équipages, où qu’ils voyagent à travers le monde.

En attendant les résultats de l’enquête, les autorités et les experts continueront à travailler de manière diligente pour comprendre les circonstances exactes de l’incident de l’avion de Transair à l’AIBD, afin d’apporter des réponses aux familles des victimes et de renforcer la sécurité de l’aviation civile dans la région et au-delà.

Serigne Mboup et le Groupe CCBM Démentent Toute Implication dans la Revente de Kits pour Dialyse

Dans une déclaration officielle émise par la cellule de communication du groupe CCBM, Serigne Mboup, PDG de l’entreprise, a catégoriquement démenti toute allégation concernant son implication dans une affaire présumée de revente de kits pour dialyse.

La clarification intervient en réponse à des informations relayées par certains médias concernant une possible implication de Serigne Mboup dans cette affaire. Le communiqué souligne que le groupe CCBM n’a jamais été impliqué dans la vente de matériels médicaux et n’a jamais eu de transactions de ce genre avec des institutions sanitaires.

Par ailleurs, la déclaration précise que la société Carrefour Médical, qui est autorisée à mener de telles opérations, appartient bel et bien au frère de Serigne Mboup. Cependant, il est important de noter que Serigne Mboup n’a aucune participation dans les entreprises détenues par ses frères et sœurs, et n’exerce aucune influence sur leurs activités, celles-ci étant gérées de manière autonome.

Cette déclaration vise à dissiper tout malentendu et à rectifier les informations erronées concernant l’implication de Serigne Mboup dans des activités de revente de kits pour dialyse. En clarifiant sa position, Serigne Mboup et le groupe CCBM espèrent mettre fin aux spéculations et préserver leur réputation et leur intégrité dans le domaine des affaires.

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