Le tribunal de commerce hors classe de Dakar a rendu une décision cruciale aujourd’hui à midi, autorisant la société Global Com à organiser des fanzones sur l’ensemble du territoire sénégalais dans le cadre de la Coupe d’Afrique des Nations. Cette décision met fin à un litige juridique entre Global Com, la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise (RTS) et SD Consulting.
Le conflit juridique a éclaté lorsque la RTS et SD Consulting ont affirmé détenir un droit exclusif pour l’installation de fanzones pendant la Coupe d’Afrique des Nations, suscitant ainsi une confrontation avec Global Com. Les enjeux étaient importants, non seulement pour les parties concernées, mais aussi pour les supporters sénégalais qui attendaient avec impatience la mise en place de ces espaces dédiés pour suivre les matchs de la compétition continentale.
Le juge des référés du tribunal de commerce hors classe de Dakar a tranché en faveur de Global Com, autorisant ainsi la société à organiser des fanzones sur tout le territoire sénégalais. Cette décision a été saluée par Global Com, qui a exprimé sa volonté de fournir une expérience immersive et passionnante aux supporters tout au long du tournoi.
La décision du tribunal met fin à l’opposition de la RTS et de SD Consulting, qui ont soutenu avoir des droits exclusifs sur les fanzones. Cela ouvre la voie à la mise en œuvre des plans de Global Com pour ces espaces de rassemblement dédiés au football.
Bien que cette décision soit un triomphe pour Global Com, des réactions sont attendues de la part de la RTS et de SD Consulting. La manière dont ces entreprises réagiront à la décision du tribunal pourrait influencer l’atmosphère autour de l’organisation des fanzones.
Le litige a soulevé des questions importantes sur la concurrence entre les entreprises privées et les institutions publiques dans le domaine de l’organisation d’événements. Les répercussions de cette décision sur la manière dont de futurs événements seront planifiés et exécutés au Sénégal restent un sujet de discussion.
Avec l’autorisation en main, Global Com se concentrera maintenant sur les préparatifs concrets pour offrir aux supporters sénégalais une expérience inoubliable pendant la Coupe d’Afrique des Nations.
La décision du tribunal de commerce marque un tournant dans cette bataille juridique, permettant à Global Com de concrétiser ses plans pour les fanzones. L’histoire continue d’illustrer les dynamiques complexes entre les acteurs privés et publics dans le paysage événementiel sénégalais. Les prochains développements et réactions des parties concernées seront scrutés de près par le public et les observateurs de l’industrie.
Le premier tour de cette Coupe d’Afrique des nations en Côte d’Ivoire est terminé, et c’est donc l’heure d’un premier bilan. De la qualification in extremis des Éléphants à l’épatant parcours de la Guinée équatoriale, en passant par le sérieux sénégalais et le spectacle offensif délivré, retrouvez les tops et les flops du premier tour de la CAN 2024.
LES TOPS
Le Sénégal et le Maroc au rendez-vous
Champion d’Afrique en titre, le Sénégal n’a pas tremblé lors de ce premier tour. Sûr de leurs forces, sereins et concentrés, les Lions de la Teranga ont tenu leur rang, tordant le cou aux destins funestes de précédents champions de ces dernières années. Aliou Cissé et ses hommes ont même réalisé un carton plein – trois matches, trois victoires –, le seul de ce premier tour. Mention aussi pour le Maroc, demi-finaliste du dernier Mondial et logiquement désigné parmi les favoris de cette CAN. Les Lions de l’Atlas ont pris 7 points sur 9 et seront plus que jamais attendus.
Les « petites équipes » créent la surprise
Il y a les favoris d’un côté et de l’autre les « petites équipes » que l’on n’attendait pas. En premier lieu le Cap-Vert qui s’est offert la première place du groupe B. Les Requins Bleus ont battu le Ghana et le Mozambique et tenu la dragée haute à l’Egypte en obtenant un match nul. Premiers qualifiés pour la phase finale de la compétition, les Capverdiens affronteront la Mauritanie en huitième de finale. Des Mourabitounes qui ont aussi fait sensation dans cette compétition en décrochant la première victoire de leur histoire dans une CAN et par la même occasion leur première qualification en huitièmes. Même chose pour la Namibie qui a remporté la première victoire de son histoire face à la Tunisie et qui affrontera l’Angola, qui a brillamment décroché la première place du groupe D, en huitièmes.
Une avalanche de buts et du spectacle
On a vibré durant la première phase de la compétition. Seulement trois rencontres se sont achevées sur un 0-0. Les artificiers ont fait parler la poudre avec 89 buts marqués en 36 matches (2,47 buts/match en moyenne) ; à titre de comparaison, 100 buts furent inscrits sur toute la CAN 2022 au Cameroun. Certaines rencontres de la troisième et dernière journée resteront dans les mémoires, comme la résurrection camerounaise face à la Gambie, le retour du Mozambique face au Ghana, les dernières minutes suffocantes entre le Cap-Vert et l’Égypte, la qualification historique de la Mauritanie contre l’Algérie…
Du public dans les stades
C’est souvent le point noir des Championnats d’Afrique des nations : la faible affluence dans les stades en dehors des matches du pays hôte. Force est de constater que cette édition 2024, a su remédier au problème. Malgré un petit retard à l’allumage et une polémique sur l’affluence et la vente de billets lors des premiers matches de la compétition, le public est au rendez-vous. Les matches ne se jouent pas à guichet fermés mais les stades sont en général au trois quart pleins, du jamais vu ou presque pour une CAN.
L’étonnante Guinée équatoriale et son meilleur buteur Emilio Nsue
C’est sans doute l’une des sensations de cette CAN. La Guinée équatoriale a réussir l’exploit de terminer première du groupe A devant le Nigeria et la Côte d’Ivoire. Le tout avec la manière puisque les Équato-guinéens ont inscrit neuf buts en trois matches portés par leur buteur de 34 ans qui évolue habituellement en troisième division espagnole. Déjà auteur de cinq réalisations, Emilio Nsue est en tête du classement des buteurs. Le Nzalang nacional a par ailleurs réussi la prouesse de battre la Côte d’Ivoire 4 à 0 dans un match incroyable qui a bien failli coûter sa place en huitième aux Éléphants. Prochaine étape pour Nsue et ses coéquipiers : la Guinée contre qui elle jouera sa place en quart de finale le 28 janvier prochain.
LES FLOPS
La Côte d’Ivoire humiliée
Alors qu’elle avait plutôt bien démarré sa CAN en l’emportant 2-0 face à la Guinée-Bissau, la Côte d’Ivoire a complètement loupé ses deux derniers matches. Incapable de revenir au score face au Nigeria, les Éléphants ont connu une humiliation totale face à la Guinée équatoriale en passant à côté d’un match qu’elle a perdu 4 à 0 chez elle face à son public. Une déroute qui a coûté son poste au sélectionneur français Jean-Louis Gasset, remplacé par son adjoint Emerse Faé pour le reste de la compétition. Qualifiés in extremis en tant que meilleurs troisièmes, les Ivoiriens font figure de miraculés mais auront-ils les ressources mentales nécessaires pour le huitième de finale qui les attend face au Sénégal, champion d’Afrique en titre et vainqueur de ses trois matches de poule ?
L’Algérie et Belmadi à côté de la plaque
Il paraît loin, le temps où les Fennecs régnaient sur l’Afrique. C’était en 2019, et depuis, l’Algérie va bien mal. Sortis au premier tour de la CAN 2022, éliminés sur le fil de la course à la Coupe du monde 2022, les Verts prennent à nouveau la porte après trois matches de cette CAN 2024. Djamel Belmadi, le bouillant sélectionneur, n’a plus les mots ni la formule pour faire gagner l’Algérie. Le technicien s’est surtout illustré en se querellant avec la presse. Après la défaite fatale contre la Mauritanie, l’homme qui a dirigé les Fennecs pendant six années a laissé sa place. Son successeur devra rebâtir une équipe fatiguée par ces échecs récents.
La Tunisie inoffensive
Un petit but, c’est tout ce que la Tunisie aura été capable d’offrir au public en l’espace de trois matches. Les Aigles de Carthage se sont montrés complètement incapables d’emballer le moindre match. Défaits 1-0 par la Namibie, les Tunisiens ont arraché le match nul face au mali 1-1 mais ils ont été muselés par l’Afrique du Sud 0-0 dans un match qui leur aurait pourtant permis de se qualifier en cas de victoire. Le sélectionneur Jalel Kadri a remis sa démission après l’élimination de son équipe.
Le Ghana se saborde
Habitué à jouer les premiers rôles, le Ghana rentre dans le rang. Deux ans après la gifle reçue au Cameroun (élimination au premier tour), les Black Stars revivent le même cauchemar en Côte d’Ivoire, avec en prime cette impression d’avoir creusé leur propre tombe. Battus sur le fil par le Cap-Vert, neutralisés par l’Égypte, les Ghanéens ont craqué dans le money time face au modeste Mozambique ; alors qu’ils menaient 2-0, les frères Ayew et leurs coéquipiers ont été rejoints dans le temps additionnel. Deux points au compteur, c’est trop peu pour se hisser parmi les meilleurs troisièmes. Sans surprise, l’entraîneur Chris Hughton a été remercié. Et le Ghana doit à nouveau tout revoir de fond en comble.
La quête du Graal contrariée de Mo Salah
Devenu roi avec Liverpool, Mohamed Salah court toujours après la consécration continentale avec l’Égypte. Deux fois déjà, il a échoué en finale. À 31 ans, l’attaquant ne veut plus passer à côté de la CAN. Mais cette édition ivoirienne commence mal pour lui. Buteur sur penalty lors du premier match, le Pharaon a été touché aux ischio-jambiers lors de la deuxième rencontre. Une blessure qui pourrait le priver du reste de la compétition, selon les dires de son club de Liverpool, qui préfèrerait le faire revenir au Royaume-Uni pour qu’il s’y soigne.
L’équipe nationale du Sénégal, dirigée par Aliou Cissé, fait sensation à la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2023, affirmant sa position dominante lors de la phase de groupes. Avec une performance parfaite de trois victoires en trois matchs, huit buts marqués et seulement un encaissé, les Lions du Sénégal se démarquent comme l’une des équipes les plus redoutables du tournoi.
À la suite de ces phases de poule impressionnantes, la Confédération Africaine de Football (CAF) a rendu hommage aux acteurs clés qui ont contribué au succès de l’équipe sénégalaise. Aliou Cissé, le sélectionneur des Lions, a été honoré du titre de meilleur entraîneur des phases de groupe, reconnaissant ainsi sa gestion tactique exceptionnelle et son rôle dans les performances de l’équipe.
Un autre talent sénégalais a été mis en lumière, en la personne de Lamine Camara. Le jeune milieu de terrain s’est vu décerner le titre de meilleur jeune joueur de la compétition, une distinction méritée pour ses deux buts marqués au cours des trois premiers matchs de la CAN 2023.
Cette reconnaissance de la CAF souligne non seulement la puissance collective de l’équipe sénégalaise, mais met également en avant les individus qui se sont distingués par leurs performances exceptionnelles. Alors que la compétition progresse, les Lions du Sénégal restent l’une des équipes à surveiller, portées par la vision et le leadership d’Aliou Cissé et le talent prometteur de joueurs comme Lamine Camara.
La Fédération ivoirienne de football explore une option inédite pour renforcer son équipe nationale de football lors de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) actuelle. Selon des informations de L’Equipe, la Fédération souhaite obtenir un « prêt » d’Hervé Renard, actuellement sous contrat avec l’équipe de France féminine jusqu’à la fin de l’été 2024.
La situation est inhabituelle, car cela impliquerait qu’un entraîneur soit « prêté » par une fédération à une autre pour une compétition internationale en cours. En l’occurrence, la Fédération ivoirienne de football espère que Hervé Renard prendra en charge la sélection ivoirienne pour le reste de la CAN, remplaçant ainsi Jean-Louis Gasset, récemment écarté après une phase de groupes difficile.
La proposition n’est pas de résilier le contrat d’Hervé Renard avec l’équipe de France féminine, mais plutôt d’obtenir une autorisation spéciale pour qu’il assume temporairement les responsabilités d’entraîneur de la Côte d’Ivoire. Actuellement, Hervé Renard est sous contrat avec la Fédération française de football (FFF) jusqu’à la fin de l’été 2024, ce qui rend cette demande d’emprunt assez inhabituelle.
Des discussions sont en cours entre les fédérations ivoirienne et française pour concrétiser cette proposition. Une réunion s’est déroulée au siège de la FFF pour évaluer la faisabilité de cette demande. À ce jour, la Fédération ivoirienne n’a pas reçu de réponse négative de la part de la FFF, ouvrant la possibilité pour Hervé Renard de rejoindre la Côte d’Ivoire pour la suite de la compétition.
La présidence de la République ivoirienne s’est également impliquée d’un point de vue diplomatique pour tenter de convaincre Hervé Renard de rejoindre la sélection ivoirienne. Les discussions se poursuivent, et pour l’instant, Hervé Renard n’a pas fait de commentaires publics sur cette demande surprenante.
L’issue de cette situation reste incertaine, mais l’idée d’un prêt d’entraîneur entre deux fédérations nationales marque une innovation dans le monde du football international. La Côte d’Ivoire, en quête de renforts pour améliorer ses performances dans la CAN en cours, espère que cette démarche atypique se concrétisera.
La Direction générale des impôts et des domaines (DGID) du Sénégal a enregistré des résultats positifs en 2023, avec des recouvrements de 2.300 milliards de francs CFA, soit 85 % de l’objectif fixé pour l’année fiscale. Cette performance marque une progression de 161 milliards de francs CFA par rapport à l’année précédente, soulignant la dynamique de performance de la DGID au cours des dix dernières années, selon le directeur général, Abdoulaye Diagne.
S’exprimant lors de la rentrée fiscale de la DGID, M. Diagne a indiqué que l’objectif pour 2024 est de collecter 2.700 milliards de francs CFA, en alignement avec les prévisions économiques du pays pour cette année. Pour atteindre cet objectif, la DGID prévoit la mise en place d’un dispositif légal et technique de facturation électronique, permettant un suivi en temps réel des flux financiers.
La démarche de « départementalisation progressive » est également envisagée pour rapprocher la DGID de ses usagers, améliorant ainsi le cadre législatif et la qualité des services fiscaux. Le cadastre, considéré comme le fer de lance de l’élargissement de l’assiette fiscale, sera au centre des préoccupations, avec des initiatives telles que la dématérialisation du livre foncier.
La DGID prévoit également d’améliorer le ciblage du contrôle fiscal en se concentrant sur des acteurs stratégiques tels que les professions libérales, les revenus fonciers et les personnes physiques à haut revenu. Ces mesures visent à renforcer la gestion fiscale et à optimiser les recettes pour soutenir le développement économique du pays.
En politique le hasard n’existe point ! Les détracteurs de Amadou Ba au sein de l’Apr pourraient avoir ce dernier à l’usure, si les nouveaux pourparlers entre le pouvoir et une partie de l’opposition débouchent sur un report de la présidentielle.
Il faut être né de la dernière pluie en politique pour croire que le chef de l’Etat va recevoir une partie de son opposition en ce moment crucial sans que, pour sauver sa face, la rencontre soit reliée à des d’obscurs calculs politiques.
Cette fois-ci, une fois n’est pas coutume, les apparences pourraient ne pas être trompeuses. Il y a un faisceau d’indices qui devraient amener l’observateur averti à admettre que Macky Sall gagnerait beaucoup à faire reporter la présidentielle, pour se donner le temps d’opter pour un autre format de transition qui écarterait Amadou Ba de la course.
Depuis quelque temps, on ne voit pas le président Sall s’afficher avec son candidat, au moins depuis qu’une image, largement partagée à travers les réseaux sociaux, montre le président de la République semblant snober son Premier ministre qui lui tendait la main pour le saluer avec la déférence due à son rang.
Plusieurs fois, le président Macky Sall a présidé des cérémonies auxquelles le Premier ministre n’a pas été associé.
Autre ombre au tableau : il laisse le ministre du Tourisme, Mame Mbaye Niang, multiplier les attaques contre le chef du gouvernement, comme si cela rencontrait son adhésion. Mame Mbaye a même poussé l’affront, à travers sa dernière sortie, jusqu’à révéler que des gens à l’Alliance pour la république, conseillent au président de le chasser du gouvernement à cause de ses assauts répétitifs.
En d’autres circonstances, Macky, qui n’est pas du genre à laisser ses ministres remettre en cause ses choix, l’aurait limogé depuis longtemps, comme il l’a fait avec tous ceux qui ramaient à contre-courant, au sujet de la question du « 3e mandat » de Me Moussa Diop à Sorry Kaba, en passant par Moustapha Diakhaté.
Ainsi, avec cette phase 2 du dialogue à laquelle souscrit le Parti démocratique sénégalais, Amadou Ba doit craindre pour son sort.
De plus, même les « spoliés » des parrainages, qui n’ont pas répondu à l’invitation du président Macky Sall hier, mercredi, ne devraient pas cracher sur un dialogue.
Au fond, c’est de l’huile au coude des légitimistes au sein de l’Apr, qui ne vont pas s’en servir avec une maladresse d’ours pour avoir Amadou Ba à l’usure. Aminata Touré, qui s’illustre par un jeu d’ombre, ne devrait pas cracher sur ce dialogue, quand bien même elle fait semblant d’être toujours rancunière envers le chef de l’Etat.
Itou pour Pastef, qui pourrait en profiter pour obtenir des faveurs en faveur de Ousmane Sonko. Ce dernier pourrait revenir dans le jeu, si la présidentielle est reportée.
Finalement dans cette opération, le plus grand perdant risque d’être Amadou Ba.
Le Ministre Aminata Angélique Manga à Victorine Ndéye: “Quel culot de tenter d’interdire aux militants arborant T-shirts et pancartes à l’effigie de Angélique de mettre les pieds à Niaguis !”
Madame le ministre n’est ni réalité politique ni enjeu électoral!
«Immersion dans sa localité», vous dites ! Immersion : définition simple et facile du dictionnaire : passage, séjour d’une personne dans un autre pays, une autre société, un environnement ou une culture étrangère afin de mieux les comprendre. Merci Thérèse Sammy Boissy. En voulant défendre l’indéfendable, vous avez fini d’admettre que vous n’êtes pas bien chez nous, à Niaguis, que vous « n’êtes Ziguinchoroise que de nom », tel votre néo politicienne aimait à le rappeler avec beaucoup de mépris envers les Casamançais, avant de se retrouver parachutée à Niaguis, faute d’avoir les reins solides pour la bataille de Ziguinchor. Paradoxalement, celle que vous traitez de « SDF », a son ancrage partout en Casamance. Elle a l’ancrage sociologique, l’ADN socioculturel, le sens élevé de la politique et le vécu qu’il faut pour prétendre parler et agir au nom des populations du Sud du Sénégal, contrairement à votre Apatride qui ne sait pas où mettre les pieds. Donc subitement, celle qui vient de découvrir la région sans en connaitre nullement les cultures, et comment puisque n’ayant jamais vécu à Ziguinchor, < est devenue une réalité palpable >. Pouff de rires!!! Le cas échéant, elle ne se serait pas fait laminer outrageusement par « une politicienne en perte de vitesse »dont la mobilisation à Niaguis qui semble être votre fief, a bloqué le cortège du Premier ministre à telle enseigne que ce dernier a interpellé Angélique, (nommons la puisque vous êtes assez lâches et peureuses pour ne pas le faire), pour lui demander ce qui se passe. La vidéo dans laquelle le Pm Amadou Ba félicite Angélique pour sa mobilisation exceptionnelle a fini de faire le tour de la toile. Dégustez-la et respirez! Grand bien vous fera. Laminée à Niaguis, malmenée à Fanda, vous avez essayé de prendre votre revanche à Enampor dans son Royaume. Là vous avez reçu la raclée de votre vie, car malgré les millions dépensés pour acheter ses responsables et ses « Calebasses », vous avez appris à vos dépens qu’à Enampor, qu’à Ziguinchor, il n’y a qu’une seule Reine et elle s’appelle Angélique. Et de grâce, cessez de raconter des mensonges! Les « Calebasses de la Solidarité » ont été introduites à Ziguinchor et à Sédhiou depuis 2017 par cette digne fille de la région en partenariat avec la Suisse. N’oubliez pas comment vous êtes venue à Ziguinchor, comment vous avez gagné Niaguis, comment vous avez été pernicieusement soutenue pour devenir maire! Et malgré tout, vous n’êtes passée que de justesse. Pas besoin de préciser la différence de voix! Vous savez. Nous savons. Et vous savez que nous savons. Je comprends votre quête de légitimité à tout prix dans le département. Qui n’aurait pas tenté de faire pareil puisque votre électorat ne représente même pas 1% de l’électorat du département. Mais dites moi Madame, quand vous achetez des militants déjà acquis à la cause du Parti, où est la plus-value que vous nous apportez? Quelle valeur ajoutée? Aucune ! Quand on veut justifier son inutilité, on finit cette fois-ci, oui, par créer la zizanie. Quel culot de tenter d’interdire aux militants arborant T-shirts et pancartes à l’effigie de Angélique de mettre les pieds à Niaguis! Do toko defati dé! Votre réaction est symptomatique de la peur que vous avez suite à la grande mobilisation de cette dernière à Bignona, Ziguinchor, Enampor, Oussouye et Cap-Skirring. « Angélique SDF », c’est curieux. Elle dont les parents sont domiciliés à Ziguinchor alors qu’il y en a une qui a été obligée d’acheter un domicile des mains d’un expatrié, juste avant les locales passées, afin de justifier sa résidence dans la commune qu’elle dirige. Thérèse Sammy Boissy, s’il y a SDF, c’est donc bien votre patronne. Vous étiez où durant les difficiles moments de BBY à Ziguinchor? Vous vous glorifiez d’un bloc maraicher de moins d’un ha? Quel impact sur les centaines de femmes malgré tous les instruments dont vous disposez? Qu’avez-vous fait de concret à Niaguis ? Ce poste de santé inauguré par le Pm n’est-il pas un programme du PUMA bien antérieur à votre sélection à Niaguis? Le magasin de stockage n’est-il pas de la DER? N’êtes-vous pas présentement en train de vous débattre contre dans des problèmes liés au foncier ? Si ces mêmes populations vous adulent comme vous le prétendez, pourquoi importer des parents de Bissau, des personnes de Gambie, de Goudomp, de Bircama, de Simbandy pour vos mobilisations? Qui voulez-vous tromper avec vos folklores et fanfaronnades ? Si vous pensez que le tapis rouge vous sera déroulé à Ziguinchor pour faire votre défilé et déambuler comme bon vous semble, ma chère, c’est faire preuve de naïveté politique innommable ! Quand on pose des actes politiques, faut s’attendre à des réponses politiques. En attente des prochains et des prochaines. Quand vous voulez, où vous voulez. Comme vous voulez. Cela ne dépend que de vous. Pour cette fois, nous considérons que vous vous êtes trompée, ça peut arriver, c’est humain. Mais la prochaine fois, vous l’apprendrez à vos dépens. Déjà, retenez cette leçon, ça vous fera de l’expérience.
Mamadou Ba, Enseignant, Membre fondateur APR Ziguinchor, Chef de Cabinet de Mme le Ministre Angélique MANGA GUEYE.
Le Président de la République a pris les décisions suivantes :
Madame Fatou Isidora MARA NIANG, Conseiller des Affaires étrangères principal, Ambassadeur, est nommée Secrétaire général du Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, en remplacement de Monsieur Mame Baba CISSE, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Maguèye GUEYE, Conseiller des Affaires étrangères, précédemment Adjoint au Directeur du Protocole, des Conférences et de la Traduction au Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, est nommé Directeur du Protocole, des Conférences et de la Traduction au Ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, en remplacement de Monsieur Christian Alain Joseph ASSOGBA, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Bocar Malick MBOW, Ingénieur de Conception en Géologie et Géotechnique, est nommé Secrétaire général de l’Agence des Travaux et de Gestion des Routes (AGEROUTE Sénégal).
Madame Ramata DANFAKHA, Administrateur des services de santé, précédemment en service à la Direction générale des Etablissements de Santé, est nommé Directeur du Centre hospitalier régional Thierno Birahim NDAO de Kaffrine, en remplacement du Monsieur Babakar SENE, appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Babakar SENE, Administrateur des services de santé, précédemment Directeur du Centre hospitalier régional Thierno Birahim NDAO de Kaffrine, est nommé Directeur du Centre hospitalier national Seydi El Hadji Malick SY de Tivaouane, poste vacant.
Monsieur Alioune FALL, Conseiller en Travail social, précédemment Responsable des ressources humaines à la Direction générale de l’Action sociale, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Thiès, poste vacant.
Monsieur Modou TINE, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de kaffrine, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Louga, poste vacant.
Monsieur Modou ANE, Conseiller en Travail social, précédemment en service à la Direction générale de l’Action sociale, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Kolda, poste vacant.
Monsieur El hadji Malick SALLA, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de Gossas, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Tambacounda, poste vacant.
Monsieur Aliou DIA GUEYE, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de Linguère, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Saint-Louis, poste vacant.
Monsieur Abdoul Hamady BA, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de Fatick, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Matam, poste vacant.
Monsieur Mamadou DIEYE, Conseiller en Travail social, précédemment Chef du Service départemental de l’Action sociale de Nioro, est nommé Directeur régional de l’Action sociale de Fatick.
Madame Rokhaya TERA, Titulaire d’un Diplôme supérieur de Comptabilité et de Gestion, est nommée Inspecteur des Affaires administratives et financières au Ministère de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur informel, poste vacant.
Monsieur Cheikh BA, Titulaire d’un Doctorat d’Etat en Relations internationales, est nommé Inspecteur technique au Ministère de l’Artisanat et de la Transformation du Secteur informel, poste vacant.
Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 24 janvier 2024 au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Macky SALL.
A l’entame de sa communication, le Président de la République a présenté ses condoléances aux familles des victimes de l’accident de la route, survenu hier nuit entre Gossas et Diourbel, et souhaité un prompt rétablissement aux blessés.
Poursuivant son adresse, le Président de la République a particulièrement félicité et encouragé les joueurs et l’encadrement de l’équipe nationale de Football du Sénégal, les « Lions de la Téranga », pour leur brillante qualification aux 8èmes de finale de la 34ème édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) qui se déroule en République de Côte d’Ivoire.
Le Chef de l’Etat est par la suite revenu sur l’inauguration du Bus Rapid Transit (BRT), le 14 janvier 2024, en remerciant les autorités administratives, les maires et populations mobilisées, pour l’accueil chaleureux le long du trajet.
Il a également félicité le Ministre des Infrastructures, des Transports Terrestres et du Désenclavement, l’Administration territoriale, les maires des communes traversées, le CETUD, l’AGEROUTE et la société d’Exploitation Dakar Mobility pour le travail remarquable effectué afin d’assurer la mise en service, dans les délais, du BRT : un moyen de transport moderne qui va faciliter les déplacements et améliorer le cadre de vie dans les départements de Guédiawaye et Dakar.
Le Président de la République a ainsi invité le Ministre des Transports terrestres à accélérer la restructuration des réseaux de transport dans la région de Dakar et à intensifier le processus d’actualisation du plan de circulation (des camions, bus, taxis, véhicules de tourisme, cyclomoteurs et autres) dans la capitale.
Abordant le développement et le financement durable de l’entretien routier, le Président de la République a notamment magnifié la réalisation, depuis 2012, de près de 3000 km de routes revêtues, de 7000 km de pistes aménagées, de 23 ponts et de 289 km d’autoroutes réceptionnées (ou en cours), sans compter les 200 km d’autoroutes dont le financement est acquis, concernant l’axe Tivaouane Saint – Louis. A cet égard, le Chef de l’Etat a demandé au Gouvernement de renforcer les ressources à l’entretien du réseau routier classé et d’engager une évaluation pragmatique et une réflexion stratégique sur la doctrine financière appliquée au Fonds d’Entretien routier Autonome ( FERA).
Le Chef de l’Etat a, enfin, demandé, au Ministre chargé des Infrastructures, d’accélérer la mise en œuvre du Programme Spécial de Désenclavement.
Revenant sur la séance solennelle 2024 , de l’Académie nationale des Sciences et Techniques du Sénégal sur le thème « L’intelligence artificielle : enjeux éthiques et défis humains », qu’il a présidée, le 15 janvier 2024, le Chef de l’Etat a félicité les membres de l’Académie pour leur contribution majeure au développement éducatif, scientifique et technique du Sénégal.
Il a demandé au Premier Ministre d’asseoir le renforcement de l’institution qui s’érige, de par sa composition et des expertises membres, en véritable Conseil stratégique du Gouvernement sur les questions scientifiques et techniques.
Le Président de la République a, par ailleurs, invité le Ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique à finaliser, dans les meilleurs délais, le processus de validation inclusive, de la Stratégie nationale d’Intelligence artificielle, afin d’assurer de son financement rapide et son déploiement systématique.
Sur le climat social, la gestion et le suivi des affaires intérieures, le Chef de l’Etat est revenu sur les sujets suivants :
● le succès et les enseignements de la Journée nationale de l’Equité, tenue le 16 janvier 2024 : en félicitant la Ministre du Développement Communautaire, de la Solidarité nationale et de l’Equité sociale et territoriale et l’ensemble des responsables de programmes impliqués pour les résultats exceptionnels obtenus, en termes de réalisations d’infrastructures et d’interventions sociales, dans toutes les communes et localités du Sénégal, matérialisant ainsi la politique d’inclusion. Le Président de la République a notamment invité le Gouvernement à finaliser le projet de loi d’orientation de la Protection sociale et la mise en place de la Caisse Autonome de Protection sociale Universelle (CAPSU).
● la préservation du Patrimoine historique de Saint- Louis : en demandant aux Ministres en charge de la Culture et du Patrimoine historique, de l’Urbanisme et des Domaines, de prendre toutes les mesures requises, en liaison avec la commune de Saint- Louis, pour protéger les sites et monuments nécessaires à la préservation du classement de l’île de Saint- Louis dans le Patrimoine mondial de l’UNESCO.
AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES
● le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur la situation internationale ;
● le Ministre des Finances et du Budget a fait une communication sur la situation d’exécution budgétaire ;
● le Ministre, auprès du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, chargé de la Bonne gouvernance et de la Promotion des Droits humains a fait une communication sur la préparation du Forum national sur les droits humains et de la bonne Gouvernance.
Les huitièmes de finale de la CAN 2024 débutent ce samedi 27 janvier avec l’affiche Angola-Namibie et finissent mardi 30 janvier sur un Maroc-Afrique du Sud. Entre-temps, il ne faudra pas rater les chocs Nigeria-Cameroun, Mali-Burkina Faso, et surtout Sénégal-Côte d’Ivoire.
La phase de groupe de la CAN 2024 a pris fin ce mercredi 24 janvier et on connaît désormais les 16 pays qualifiés pour les huitièmes de finale de la CAN 2024. Le miracle ivoirien a eu lieu et les Éléphants se sont qualifiés grâce à la défaite de la Zambie face au Maroc (0-1) Mais la Côte d’Ivoire, qui a limogé son sélectionneur ce mercredi, va devoir faire beaucoup mieux que lors du premier tour pour réussir l’exploit de sortir le Sénégal, champion d’Afrique en titre et intraitable depuis le début de la CAN avec trois victoires en trois matches. Le choc Nigeria-Cameroun vaudra également le détour entre deux équipes se sont croisées au même stade de la compétition à la CAN 2019 en Égypte. Les Super eagles étaient sortis vainqueurs du duel (3-2). Épatante au premier tour, la Guinée équatoriale, avec le meilleur buteur de la compétition, Emilio Nsue (5 buts), affrontera la Guinée et voudra rester sur sa lancée du premier tour en ayant terminé première d’une poule où logeaient la Côte d’Ivoire et le Nigeria. En trois participations, le Nzalang Nacional a toujours atteint les quarts de finale. Miraculée au premier tour, l’Égypte, recordman des titres (7), devra sortir le grand jeu pour se défaire de la RD Congo qui a l’air d’en avoir gardé sous la semelle au premier tour. La faillite des gros comme l’Algérie, la Tunisie, le Ghana accouché d’affiches surprises comme Angola-Namibie ou Cap-Vert-Mauritanie des petits derbys entre invités surprises. Le match des outsiders pour le titre sera aussi un beau derby de l’AFrique de l’Ouest entre le Mali et le Burkina Faso.
Samedi 27 janvier
17h : Angola- Namibie, Stade de la Paix (Bouaké)
20h: Nigeria – Cameroun, Stade Felix Houphouet – Boigny (Abidjan)
Sous l’impulsion de l’adjoint au gouverneur de la région chargé des affaires administratives, Sidi Guissé Diongue, un forum régional sur les mutilations génitales féminines (MGF) s’est tenu ce mercredi 24 janvier 2024. Organisé par le ministère de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’Enfant à travers sa représentation régionale, cet événement visait à réunir les acteurs concernés pour échanger sur les solutions à adopter pour éradiquer les MGF.
Mariama Diallo, directrice régionale de la famille de Ziguinchor, a souligné l’importance de cette initiative dans la lutte contre les MGF au niveau national. Elle a rappelé les conséquences néfastes de ces pratiques sur la santé reproductive des femmes et a souligné les efforts déployés pour sensibiliser les femmes et les communautés locales.
Flavien Mandef, juriste et éducateur spécialisé à l’AEMO, a mis en lumière le lien entre les pratiques de MGF et les régions frontalières. Il a souligné que les régions situées à proximité des frontières sont les plus touchées en raison des pratiques plus courantes dans les pays voisins.
Les données présentées par le spécialiste ont révélé que les régions de Ziguinchor, Sédhiou et Kolda sont particulièrement affectées en raison de la présence d’ethnies pratiquant les MGF. Cette réalité ethnique a conduit à des taux élevés de MGF dans ces régions.
Fatou Cissé, présidente régionale des Badiènes Gox, a appelé à une mobilisation collective pour lutter contre ce phénomène. Elle a souligné le besoin d’une implication de tous les acteurs et a noté que la législation actuelle ne prévoit pas de mécanismes de dénonciation efficaces.
En conclusion, il ressort de ce forum que les MGF sont une pratique répandue dans les régions frontalières, avec des taux élevés dans les zones de Matam à Sédhiou et Kolda. Cependant, des efforts sont déployés pour sensibiliser et éduquer les communautés locales, et des partenariats sont en cours pour lutter contre ce fléau.
La scène politique sénégalaise est secouée par des tensions croissantes, alors que des candidats recalés par le parrainage pour les élections présidentielles demandent un report du scrutin en remettant en question l’intégrité du fichier électoral. Cependant, le mouvement Action Républicaine s’oppose fermement à cette demande, affirmant que le processus électoral est transparent et que tout report pourrait avoir des conséquences graves sur la stabilité politique du pays.
El Hadji Almareme Faye, coordonnateur du mouvement Action Républicaine, a exprimé son désaccord avec l’idée d’un report des élections, soulignant la fluidité et la rectitude du fichier électoral. Selon lui, le processus électoral, y compris la vérification des candidatures par le Conseil constitutionnel, a été mené de manière transparente et inclusive.
Le mouvement condamne ce qu’il considère comme un « débat puéril, malsain, voire ridicule » initié par les candidats recalés et une partie de la mouvance présidentielle. Ils estiment que remettre en question le calendrier électoral pourrait entraîner des troubles et retarder la mise en œuvre de politiques publiques nécessaires au bon fonctionnement des institutions.
Almareme Faye a salué la maturité de la démocratie sénégalaise et le travail de la Direction générale des élections (DGE) ainsi que du Conseil constitutionnel dans la vérification des candidatures. Il a également rappelé le choix du président sortant, Macky Sall, de ne pas se représenter pour un troisième mandat, montrant ainsi sa volonté de préserver la stabilité du pays.
Le mouvement Action Républicaine appelle à l’union sacrée de toutes les forces politiques et invite à la victoire éclatante d’Amadou Ba dès le premier tour des élections. Ils considèrent que le profil d’Amadou Ba est nécessaire pour assurer la continuité vers l’émergence du pays, soulignant son expérience et son engagement envers le Plan Sénégal Émergent (PSE).
La situation politique reste tendue au Sénégal, avec des débats animés autour du processus électoral et des appels à la vigilance pour garantir des élections libres et équitables. La communauté internationale surveille de près l’évolution de la situation, soulignant l’importance de maintenir la stabilité politique dans la région.
Les dernières heures ont été marquées par des manifestations et des tensions au Sénégal, alors que les jeunes libéraux expriment leur mécontentement face à l’exclusion de Karim Wade des élections présidentielles prévues pour 2024. La situation a atteint un point critique avec des barrages routiers sur la Voie de Dégagement Nord (VDN) à Dakar, perturbant la circulation et attirant l’attention nationale sur les enjeux politiques.
L’exclusion de Karim Wade, ancien ministre d’État et fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, a suscité un fort mécontentement parmi les jeunes libéraux, membres de l’Union des Jeunesses Travaillistes et Libérales (UJTL). Ils dénoncent ce qu’ils considèrent comme une manœuvre antidémocratique visant à écarter un candidat sérieux du processus électoral.
La principale raison invoquée pour l’exclusion de Karim Wade est la question de la double nationalité. Cependant, les partisans de Wade affirment qu’il a renoncé à sa nationalité française en 2018, fournissant des preuves telles qu’une déclaration de perte signée par le consul de l’ambassade de France au Qatar et un décret de renonciation publié par le gouvernement français. Malgré ces preuves, le Conseil constitutionnel aurait maintenu l’exclusion de Wade de la liste des candidats.
L’UJTL a émis une déclaration exigeant la réintégration immédiate de Karim Wade parmi les candidats à la présidentielle et appelant à la mobilisation des jeunes dans tout le pays. Ils invitent également la direction du Parti démocratique sénégalais (PDS) et la coalition KARIM2024 à utiliser tous les moyens légaux pour rétablir les droits de Karim Wade.
Face à ces manifestations, les forces de défense et de sécurité, notamment la gendarmerie, ont été déployées pour rétablir l’ordre et dégager les barrages routiers. La situation reste tendue, soulignant les divisions politiques profondes et les enjeux émotionnels entourant le processus électoral au Sénégal.
La communauté internationale observe de près l’évolution de la situation, soulignant l’importance de garantir des élections libres, équitables et transparentes pour assurer la stabilité politique et la démocratie dans le pays. Les prochains jours seront cruciaux pour voir comment les acteurs politiques et les autorités sénégalaises répondront à cette montée de tensions.
Le monde du football est de nouveau confronté à un triste épisode de propos racistes, cette fois-ci dirigés contre le joueur congolais Mbemba. Walid Regragui, acteur présumé de ces comportements inacceptables, se voit infliger une suspension notable en réponse à cette violation grave des principes d’inclusion et de respect.
La sentence, émise après une enquête approfondie, impose à Walid Regragui une suspension de 4 matchs, dont 2 avec sursis. Ces mesures disciplinaires soulignent l’engagement des instances dirigeantes du football à prendre des sanctions sévères pour éradiquer le racisme du sport.
Le fait que de tels incidents surviennent malgré les efforts continus pour promouvoir la diversité et l’égalité dans le football met en évidence la nécessité persistante de sensibilisation et d’éducation. Les joueurs, les dirigeants et les supporters doivent unir leurs forces pour créer un environnement sportif inclusif où le racisme n’a pas sa place.
Il est important de noter que ces événements ont été rapportés par Ledakarois.sn, soulignant ainsi le rôle crucial des médias dans la dénonciation et la sensibilisation autour de ces questions. L’affaire suscite également des discussions sur la manière dont le football peut continuer à évoluer vers un espace respectueux et égalitaire pour tous.
En fin de compte, cette suspension envoie un message clair : le racisme n’a pas sa place dans le football ni dans la société. Les autorités sportives et les acteurs du football ont la responsabilité collective de faire en sorte que ces incidents soient traités avec rigueur et que des mesures préventives soient mises en place pour éliminer le racisme du sport que nous chérissons tous.
om Sainfiet, le sélectionneur de l’équipe nationale de la Gambie, a annoncé sa démission après l’élimination de son équipe au premier tour de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024. La Gambie a enregistré trois défaites lors de la phase de groupes contre le Sénégal, la Guinée et le Cameroun, ne parvenant pas à se qualifier pour les huitièmes de finale.
Lors d’une conférence de presse, Tom Sainfiet a déclaré : « Je veux annoncer que c’est mon dernier match comme sélectionneur de la Gambie, j’ai un contrat jusqu’en août 2026, mais il est temps pour moi de partir. » Il a également évoqué d’autres projets personnels et le désir de sa fille de sept ans de ne pas le voir poursuivre une nouvelle aventure à l’âge de 50 ans.
La fédération gambienne a remercié Tom Sainfiet pour ses « cinq ans et demi de services incroyables » et a souligné sa contribution à la qualification de l’équipe pour deux CAN consécutives, notamment en atteignant les quarts de finale en 2022.
La démission de Tom Sainfiet laisse un poste vacant de sélectionneur pour l’équipe nationale gambienne, et la fédération devra désormais chercher un remplaçant pour guider l’équipe dans les compétitions à venir.
Une rumeur persistante évoque une possible rencontre entre le président Macky Sall et les candidats recalés lors du processus électoral. Cette audience, si elle se concrétise, ferait suite à une lettre envoyée par les candidats évincés. Cependant, Aminata Touré a pris l’initiative de se distancer de cette démarche.
Dans une déclaration sur Facebook, l’ancienne Première ministre a clairement indiqué qu’elle n’était « en aucune manière intéressée par une rencontre avec Macky Sall », soulignant qu’il l’avait « illégalement renvoyée de l’Assemblée et fait annuler (ses) dizaines de milliers de parrains pour (l)’éliminer de l’élection présidentielle ».
Aminata Touré a plutôt invité le Chef de l’État à « faire respecter la date officielle de l’élection présidentielle du 25 février, d’organiser des élections libres et transparentes et de libérer les milliers de prisonniers politiques qui croupissent dans les prisons ».
Elle a également souligné l’importance de l’unité au sein de l’opposition, affirmant que celle-ci « devra s’unir pour battre son candidat Amadou Ba dès le 1er tour et engager notre pays sur le chemin du changement véritable ».
Cette déclaration de Mimi Touré met en lumière les divisions au sein des candidats recalés quant à la perspective d’une rencontre avec le président Sall, soulignant des divergences d’opinions et d’approches face à la situation électorale.
Le nombre de demandes d’asile en France a atteint un niveau record en 2023, avec 142 500 demandeurs, selon les données provisoires de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). Cette augmentation de 8,6 % par rapport à l’année précédente s’inscrit dans une tendance observée également chez les voisins européens.
En 2023, près de 142 500 demandes de protection internationale ont été enregistrées par l’Ofpra, dont environ 123 400 premières demandes d’asile. Ce chiffre dépasse le précédent pic enregistré en 2019, avant la crise sanitaire, qui était de 132 000 demandes.
Selon Julien Boucher, le directeur de l’Ofpra, cette hausse, bien que significative, reste inférieure à la moyenne européenne estimée entre 15 et 20 %. L’Allemagne, en particulier, a enregistré quelque 350 000 demandes en 2023, mettant en lumière une tendance européenne plus généralisée.
Les ressortissants afghans demeurent les premiers demandeurs d’asile en France pour la sixième année consécutive, avec plus de 17 500 premières demandes. Ils sont suivis par des personnes originaires du Bangladesh, de Turquie, de la République démocratique du Congo, et de la République de Guinée.
Le taux de protection de l’Ofpra, représentant la part de demandes acceptées, a augmenté en 2023, atteignant 33 %, soit une hausse de 4 points par rapport à 2022. Parallèlement, le délai moyen de traitement des dossiers a diminué, passant de 5,2 mois en 2022 à 4,2 mois en 2023.
Cette accélération du traitement des dossiers est devenue une priorité pour le ministère de l’Intérieur, bien que cette démarche ait été critiquée en interne. Les agents de l’Ofpra ont récemment fait grève pour la quatrième fois depuis octobre 2023, dénonçant une « politique du chiffre fondée sur des objectifs irréalistes ». Leur mouvement de grève s’est également opposé au projet de loi immigration controversé adopté mi-décembre. Ce projet prévoit une refonte du système d’asile, suscitant des préoccupations parmi les agents de l’Ofpra.
Le parcours du Sénégal dans la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024 suscite déjà des analyses et des spéculations quant aux adversaires potentiels en huitièmes de finale. Avec une perspective positive, nous examinons les équipes susceptibles de croiser le chemin des Lions de la Teranga et les stratégies à envisager pour atteindre les quarts de finale.
Le Sénégal, fort de sa victoire contre le Cameroun, aborde les prochains matchs avec ambition, nourrissant l’espoir de remporter le trophée sous le regard du Président Alassane Ouattara. Malgré les performances décevantes de certaines équipes, l’auteur souligne que le tournoi réserve encore des défis redoutables.
L’auteur rappelle la qualité de l’adversaire équatorien, comparant sa solidité à celle de toutes les équipes qualifiées en Coupe d’Afrique. Les victoires éclatantes contre l’Équateur et le Brésil témoignent de la puissance offensive du Sénégal, mais des ajustements tactiques sont suggérés pour maximiser le potentiel des joueurs.
Le discours souligne la nécessité pour le sélectionneur Aliou Cissé de prendre des décisions courageuses, notamment en ce qui concerne les joueurs cadres trentenaires comme Sadio Mané et Gana Gueye. L’auteur pointe du doigt un possible complexe de Cissé envers ces joueurs, appelant à une utilisation stratégique des talents.
En termes de stratégie, l’article met en avant la nécessité de faire preuve de courage, notamment envers Gana Gueye et Kouyaté, qui, selon l’auteur, ne seraient plus à leur place au milieu du terrain. Des ajustements tactiques sont préconisés pour optimiser les performances de l’équipe et éviter les écueils, comme ceux rencontrés lors du match contre le Cameroun.
Enfin, l’auteur analyse les scénarios possibles en fonction de la position finale du Sénégal dans le groupe. Si le Sénégal termine deuxième, il devra affronter le Nigéria, classé deuxième dans le groupe A. En revanche, en cas de première place, les Lions de la Teranga pourraient rencontrer la Côte d’Ivoire, la RDC, la Zambie ou la Namibie.
En conclusion, l’article offre une perspective éclairante sur les défis à venir pour le Sénégal dans cette CAN 2024 et souligne l’importance des choix tactiques du sélectionneur pour maximiser les chances de succès.
Lors de la cérémonie de baptême du nouveau bâtiment de guerre lance-missile le « Niani », le Président de la République du Sénégal, également chef suprême des armées, a exprimé la gratitude de la République envers les familles des cinq commandos marins portés disparus en mer le 6 janvier dernier. Cette déclaration a été faite dans le cadre d’une cérémonie symbolique visant à honorer le sacrifice de ces héros nationaux.
Le Président a rendu hommage aux commandos marins disparus lors de leur mission d’interception d’un navire impliqué dans le trafic international de stupéfiants. Leur disparition tragique rappelle non seulement l’exigence de rigueur du métier du marin, mais souligne également le risque inhérent au service militaire, tout en mettant en lumière la noblesse de l’engagement militaire, caractérisé par le don de soi et le sacrifice suprême.
Le Président Macky Sall a souligné que ces héros ont incarné jusqu’au bout les valeurs fondamentales des devises des armées sénégalaises, affirmant que « On nous tue, on ne nous déshonore pas » et de la Marine nationale « En mer, pour la patrie ».
Il a conclu en affirmant que le Sénégal ne baissera jamais pavillon face au trafic illicite, soulignant ainsi la détermination du pays à lutter contre les menaces qui pèsent sur ses frontières maritimes.
Rappelons que la disparition des cinq commandos de la marine sénégalaise est survenue lors d’une intervention anti-trafic de stupéfiants au large de Dakar, témoignant du courage et de l’engagement de ces hommes dans la protection de la nation.
L’Association Internationale de la Presse Sportive (AIPS) en Afrique a élevé la voix contre les accréditations délivrées aux influenceurs lors de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) en Côte d’Ivoire, débutée le 13 janvier dernier. Dans une déclaration, l’AIPS a rappelé à la Confédération Africaine de Football (CAF) et au Comité Local d’Organisation que les accréditations presse sont strictement réservées aux journalistes professionnels dûment identifiés, qu’ils soient attachés à un média ou indépendants.
L’AIPS, relayée par L’As, a souligné que les Youtubeurs, les utilisateurs de Facebook, les publicistes et les lobbyistes ne sont pas considérés comme des professionnels de la presse et ne sont pas soumis au code de déontologie de la profession.
En insistant sur la différence fondamentale entre le travail journalistique et les activités d’influence, l’AIPS a mis en garde contre la confusion potentielle lors des conférences de presse, soulignant que les professionnels de la presse diffusent des informations tandis que d’autres cherchent simplement à générer du buzz.
Cette déclaration de l’AIPS, adressée à la CAF et au Comité Local d’Organisation, vise à sensibiliser sur l’importance de préserver l’intégrité des accréditations presse et à éviter toute confusion dans le cadre de l’un des plus grands événements sportifs du continent africain. L’AIPS espère que ses préoccupations seront prises en compte pour garantir un environnement professionnel pendant la CAN 2024.
La coalition Karim24, représentant le candidat Karim Wade, a tenu un point de presse ce lundi pour réagir à l’invalidation de la candidature de leur leader à l’élection présidentielle. Ils ont qualifié cette décision du Conseil constitutionnel de « coup d’État » visant à propulser un autre candidat, en l’occurrence Amadou Bâ, qu’ils estiment impopulaire.
Magatte Sy, mandataire de la coalition K24, a déclaré que c’est une « injustice flagrante » et que le PDS ainsi que toute la coalition K2024 exigent la réintégration immédiate de Karim Wade. Il a annoncé que toutes les voies de recours seront empruntées pour obtenir la réintégration du candidat.
Le Parti démocratique Sénégalais (PDS) estime que Karim Wade fait face à des injustices politico-judiciaires depuis près d’une décennie. Contestant la crédibilité du Conseil constitutionnel, le parti affirme que « l’élection ne se tiendra pas sans la participation de notre candidat ». Ils appellent toutes les sections, fédérations et structures du parti à se réunir pour faire face à cette situation et préparent la résistance.
En réaction à cette décision, le PDS exige également la dissolution du Conseil constitutionnel. Les militants sont appelés à se mobiliser en préparation du retour imminent de Karim Wade. La situation politique au Sénégal reste tendue à l’approche de l’élection présidentielle.
Une violente altercation a éclaté lors d’une conférence de presse préalable à un match, opposant des journalistes guinéens et sénégalais. Le conflit a débuté lorsque, selon un reporter de Ledakarois.sn, un journaliste sénégalais a interrogé Guilavogui sur les déclarations d’Aguibou Kamara qualifiant les Gambiens de nullards.
La question a irrité un journaliste guinéen, qui s’est levé pour affirmer que cette affaire était close et que de telles questions n’étaient pas appropriées. En réaction, les journalistes sénégalais se sont levés, soulignant qu’ils n’avaient pas été interrompus lors de la conférence de presse d’Aliou Cissé.
Des échanges animés ont suivi, entraînant une intervention rapide pour séparer les deux groupes de journalistes, évitant ainsi une escalade potentielle de la situation. Cette confrontation souligne les tensions croissantes entre les médias des deux nations, mettant en lumière la nécessité d’un dialogue constructif pour prévenir de futurs incidents lors de ces événements médiatiques.
Une polémique a éclaté entre le sélectionneur marocain, Regragui, et le joueur congolais Chancel Mbemba, après le match entre le Maroc et la RD Congo. En zone mixte, Mbemba a laissé entendre que Regragui lui aurait tenu des propos racistes. Cependant, le sélectionneur marocain réfute fermement ces accusations et qualifie Mbemba de menteur.
Regragui a réagi aux accusations de Mbemba en déclarant : « J’ai dit à Desabre : « Ramène-le moi, il pète un câble, il raconte n’importe quoi. Je n’ai pas aimé ça car il insinue beaucoup de choses. Donc s’il a des images autres que celles que l’on voit à la télévision, qu’il les sorte, avec plaisir. Et il verra exactement ce qu’il s’est passé. » » Il explique qu’avant de lui serrer la main, Mbemba les aurait pris à partie, lui et son adjoint, sur le bord de la touche avant la fin du match, en utilisant un langage irrespectueux. Regragui ajoute qu’il a essayé de comprendre la situation en lui demandant pourquoi il le traitait ainsi, mais que Mbemba a refusé de lui serrer la main et a commencé à crier.
Regragui conclut en suggérant aux Congolais de laisser tomber cette affaire, soulignant l’importance de se concentrer sur le prochain match contre la Tanzanie. Il mentionne également la forte communauté congolaise au Maroc.
La polémique entre Regragui et Chancel Mbemba souligne les tensions survenues lors du match entre le Maroc et la RD Congo. Les déclarations contradictoires mettent en lumière la nécessité de vérifier les faits avant de tirer des conclusions hâtives. La situation rappelle l’importance du fair-play et du respect sur et en dehors du terrain lors de compétitions internationales.
Il y’a juste 3 mois, le responsable politique, Kéba Kanté, fils de l’ancien Directeur Général du Port Autonome de Dakar (PAD), et ancien Ministre chargé du Plan Sénégal émergent (PSE ), Cheikh Kanté et initiateur du mouvement » la Grande offensive des républicains (GOR) » avait rallié le PDS.
Un ralliement politique de taille, qui annonça la fin de Benno dans le Ndiambour et qui apporta la joie dans les rangs des libéraux sous la houlette de Karim Wade pour la reconquête du pouvoir perdu en 2012 avec le règne de Macky.
Poisse ou malchance, l’espoir vient de s’estomper avec la décision du conseil constitutionnel. Karim Wade, fils et ministre de l’ancien président Abdoulaye Wade et premier adjoint du secrétaire général du parti démocratique sénégalais (PDS), a été définitivement écarté de la course présidentielle du 25 février prochain. En effet, il ne figure pas sur la liste définitive des vingt candidats validés par le Conseil constitutionnel, publiée tardivement ce samedi 20 janvier après une longue journée d’attente. Motif : sa double nationalité qui fait débat depuis plusieurs jours dans le pays suite au recours déposé par le député Thierno Alassane Sall malgré un décret en attestant soit publié par le ministère français de l’intérieur.
Le fils de Cheikh Kanté avait promis de remporter la victoire contre la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) à Fatick, Louga et Dakar. « Je m’adresse au président Karim Meissa Wade. Au soir du 25 février 2024, je prends l’engagement devant tout le monde que je vais battre le Bby à Fatick, à Louga et à Dakar, » avait-t-il déclaré
Pour mémoire, le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et Karim Wade ont publié une déclaration ce 21 janvier, portant de graves accusations à l’encontre de deux juges du Conseil constitutionnel, Cheikh Tidiane Coulibaly et Cheikh Ndiaye. Le PDS suspecte ces juges de corruption, sans toutefois fournir de détails précis.
Cette situation embarrassante ne pourrait-il pas, à terme, fortement réduire l’offre politique avec le risque d’un désistement de la base militante ?
Face à cette situation, le nouveau lion du PDS poursuivra t-il le combat du recours entre enquête parlementaire et saisie des juridictions internationales ?
Que va t-il faire de ses bases politiques éparpillées entre Fatick, Dakar, Louga et Mbacké ? Mieux, quel sera son discours lors de son meeting du 11 Février prochain qui suscite moult interrogations sur son avenir politique ?
La subdivision des douanes de Kaffrine, située dans le centre du Sénégal, a annoncé avoir réalisé des performances exceptionnelles en 2023, en collectant un total de 324 millions 675 mille 259 francs CFA. Ces résultats représentent une augmentation significative par rapport à l’année précédente, dépassant les attentes avec un glissement positif de 239% en valeur relative.
Le chef de la subdivision régionale des douanes de Kaffrine, le commandant Papa Makhmout Fall, a déclaré que ces résultats financiers exceptionnels reflètent l’efficacité des opérations menées au cours de l’année 2023. Le montant collecté représente un glissement positif de 188 millions 550 mille 426 francs CFA en valeur absolue par rapport à l’année 2022.
La subdivision des douanes de Kaffrine a également joué un rôle prépondérant dans la lutte contre la criminalité transfrontalière et les trafics divers. Les unités ont traité un total de vingt-trois affaires contentieuses, saisissant 2279 kilogrammes de produits prohibés, d’une contrevaleur estimée à 168 millions 455 mille 363 francs CFA.
La subdivision a intensifié ses efforts dans la lutte contre la contrebande de médicaments contrefaits, qualifiée de « véritable fléau de santé publique dans la région ». Seize affaires contentieuses ont été menées, aboutissant à la saisie de 1748 kilogrammes de médicaments contrefaits, évalués à 168 millions 455 mille 363 francs CFA.
En ce qui concerne la contrebande de chanvre indien, le commandant Papa Makhmout Fall a informé que seulement 163 kilogrammes ont été saisis au cours de trois affaires contentieuses, totalisant une contrevaleur de 20 millions 350 000 francs CFA.
Les performances remarquables de la subdivision des douanes de Kaffrine en 2023 témoignent de l’efficacité de ses opérations dans la collecte de recettes douanières et la lutte contre diverses formes de criminalité. Ces résultats soulignent l’importance cruciale des efforts continus pour assurer la sécurité et le respect des réglementations aux frontières.
Un accident tragique s’est produit dans la région de Kédougou, au Sénégal, où un camion-citerne malien a malheureusement raté un virage, se renversant aux abords de la route avant de s’embraser. L’incident a entraîné la perte de plusieurs vies, toutes les personnes à bord du véhicule ayant péri dans les flammes dévastatrices.
Le drame s’est déroulé lorsque le camion-citerne malien a échoué à négocier un virage, provoquant son renversement. La violence de l’impact a entraîné un incendie qui a rapidement consumé le véhicule. Les autorités locales n’ont pas encore pu déterminer avec précision le nombre exact de passagers présents à bord au moment de l’accident, mais aucun survivant n’a pu être sauvé des flammes.
Les équipes de secours ont rapidement réagi pour éteindre l’incendie qui ravageait le camion-citerne. Cependant, une fois le feu maîtrisé, la découverte macabre de deux squelettes humains à l’intérieur du véhicule a confirmé le pire. Les passagers n’ont malheureusement pas eu la chance de s’extraire du camion avant qu’il ne soit complètement calciné.
L’ampleur de la tragédie est d’autant plus dévastatrice étant donné qu’aucun survivant n’a été retrouvé. Les circonstances exactes de l’accident, ainsi que le nombre de passagers à bord, restent à éclaircir. Cet incident souligne les risques associés au transport de matières inflammables et met en lumière la nécessité de renforcer les mesures de sécurité sur les routes.
Ce drame à Kédougou, résultant du renversement et de l’incendie d’un camion-citerne malien, rappelle cruellement la vulnérabilité des usagers de la route. Les autorités locales mènent actuellement des enquêtes pour comprendre les causes exactes de l’accident et pour tenter de fournir des réponses aux familles endeuillées. La tragédie souligne l’importance cruciale des mesures de sécurité routière pour prévenir de tels incidents et protéger la vie des usagers de la route.
Une affaire tragique secoue la région de Sédhiou au Sénégal, impliquant le décès d’une adolescente de 15 ans, battue à mort par ses propres parents. L’affaire, révélée par Seneweb et approfondie par Libération, a conduit à l’arrestation des parents de la victime, L. Danfa et F. Badji. Le drame s’est déroulé dans la nuit du 18 au 19 janvier à Pontadoss, un village de la commune de Kaour. Les parents seront déférés au parquet ce lundi après avoir été placés en garde à vue à la gendarmerie de Goudomp.
Selon les informations fournies par Libération, les faits se sont déroulés dans la nuit du 18 au 19 janvier à Pontadoss. La victime, A. Danfa, âgée de 15 ans et élève en classe de 5e, aurait succombé à ses blessures lors de son évacuation du poste de santé du camp militaire de Goudomp à celui du village de Fanda, dans la région de Ziguinchor. Le drame a été déclenché par le reproche des parents, qui auraient désapprouvé la participation de leur fille à une soirée dansante sans leur consentement.
Les parents de la victime, L. Danfa et F. Badji, ont été placés en garde à vue à la gendarmerie de Goudomp et seront déférés devant le parquet ce lundi. Cette procédure judiciaire témoigne de la gravité des accusations pesant sur eux dans le cadre de la mort de leur propre fille.
Cette affaire a suscité une vive émotion dans la région de Sédhiou et au-delà. La brutalité de la situation et le lien familial entre les accusés et la victime accentuent le choc ressenti par la communauté. Les détails supplémentaires émergent peu à peu, jetant la lumière sur les circonstances tragiques qui ont conduit à la perte de la jeune A. Danfa.
L’affaire de la fille de 15 ans battue à mort par ses parents à Sédhiou souligne l’importance de l’intervention rapide des autorités judiciaires dans de tels cas. La tragédie a suscité une profonde émotion et soulève des questions sur la nécessité de sensibiliser davantage sur les droits des enfants et la lutte contre la violence familiale.
(Casablanca) – Quelques jours seulement après sa dernière et on ne peut plus gigantesque mobilisation à Orkadiéré, son village natal, et dans la foulée de la puissante et inédite marée humaine au stade de Mbao, Abdou Karim SALL remet ça.
Cette fois-ci, c’est hors de nos frontières, et à nouveau de fort belle manière, quelque part dans un remarquable coin de l’Afrique du Nord, au Maroc précisément.
Et tout cela pour l’élection du Premier ministre Amadou BA comme Président de la République du Sénégal le 25 février prochain.
Par le biais de la branche marocaine de son mouvement « AKS Doolé Diaspora », le responsable de l’APR et Benno Bokk Yakaar (BBY) de Mbao que, d’ailleurs, certains surnomment affectueusement « l’homme aux trois bases politiques (Mbao, Orkadiéré et Diaspora) », a réussi la grande prouesse de réunir en cette après-midi du dimanche 21 janvier 2024, plusieurs centaines de ses inconditionnels à Casablanca.
Ce grand rassemblement politique qui avait pour cadre une des grandes salles de spectacle du mythique hôtel Hyatt Regency, sis au centre de la capitale économique du Royaume chérifien, a encore été un modèle de réussite en termes de mobilisation de militants de la mouvance présidentielle au niveau de la Diaspora sénégalaise.
Dans la salle en question, l’assistance était totalement acquise à la cause du Maire de Mbao dont la seule et unique préoccupation aujourd’hui est d’élire dès le premier tour de la présidentielle à venir le candidat du Président Macky SALL et de BBY. « Amadou BA, candidat de l’espoir, de la continuité et de la stabilité », dixit l’ancien Ministre de l’environnement et du développement durable du Sénégal et, non moins, Coordonnateur de la Convergence des Cadres Républicains (CCR) du département de Pikine.
Salle comble, bien colorée et animée, brouillante et grouillante de monde, presque tous les représentants des différents groupes sociaux d’émigrés sénégalais au Maroc étaient là, scandant à tout-va le nom de leur candidat Amadou BA.
Ces passionnés de politique, qui n’ont d’yeux que pour AKS, sont venus des quartiers et villes du Maroc où l’on note une forte présence d’expatriés sénégalais. Conscients et très optimistes du reste pour la suite des événements, ces derniers ne se font aucun doute quant à la la succession du Président Macky par son Premier ministre actuel. « Amadou BA, 5ème président du Sénégal, ce sera juste une formalité », clame haut et fort un militant de l’APR du Maroc, venu de Fèz qui est, sans nul doute, l’un des quartiers qui accueille le plus de sénégalais au pays du Roi Mouhamed VI.
La même conviction se lisait sur le visage de ces nombreuses braves dames sénégalaises, infatigables travailleuses dans cette partie du Maghreb. Idem chez ces dizaines et dizaines de délégations en provenance des localités de Oulfa, Bouskoura, Settat, Mohammedia, El Jadida, Ain-Seba, Fès, Rabat, Meknés, Essaouira, Marrakech, Agadir et Tanger. Celles de Laayoune et Dahla, deux villes situées à la frontière avec la Mauritanie voisine, ne sont pas non plus en reste.
Aujourd’hui, les militants de l’APR, et par extension de BBY au Maroc sont un et indivisible. Et c’est grace à l’entregent et aux actions salutaires, menées en coulisses, sans tambour ni trompette, par Abdou Karim SALL afin de recoller les morceaux, faire taire les querelles inutiles et insuffler du sang neuf dans les différentes coordinations politiques de la mouvance présidentielle au niveau du royaume chérifien.
« AKS a réussi là où plusieurs médiateurs et autres facilitateurs ont échoué », lance Elimane Faye, responsable politique de l’APR à Casablanca. Pour lui, ce qui reste à faire est que tous descendent sur le terrain politique avec des visites de proximité quotidiennes auprès des sénégalais du Maroc pour les convaincre à voter Amadou BA le 25 février 2024.
« Nous sommes persuadés de pourvoir renverser la tendance au Maroc par rapport aux dernières joutes électorales, mais cela demande du boulot et beaucoup de sacrifices », fait remarquer un de nos interlocuteurs, expatrié sénégalais, domicilié à Casablanca depuis plus d’une décennie. Et celui-ci de conseiller à ses camarades que « tout doit désormais se faire dans la transparence et l’unité, mais surtout dans la solidarité et un engagement politique sans faille ».
Ce que l’hôte de marque de la communauté politique de l’APR et BBY du Maroc semble confirmer. « Si on veut gagner haut la main la prochaine présidentielle, il faut d’ores et déjà taire toutes nos querelles et se concentrer sur l’essentiel », avertit Abdou Karim SALL.
Un message bien saisi par l’assistance, vraisemblablement déterminée à faire élire Amadou BA dès le premier tour de l’élection présidentielle qui se tiendra dans un peu plus d’un mois.
À la fin du grand rassemblement de Casablanca qui a été une réussite totale, Abdou Karim SALL a exprimé toute sa satisfaction avec mention spéciale aux organisateurs. « Vous n’avez ménagé aucun effort pour réussir avec brio le pari, oh combien difficile, de la mobilisation pour cet événement politique d’envergure. Je vous en félicite très sincèrement. Je tire un grand coup de chapeau aux camarades venus des coins les plus reculés du Maroc pour assister à cette démonstration de force. Je vous en serai éternellement reconnaissant. Maintenant, le plus important est le rendez-vous historique du 25 février prochain. Préparez-vous à aller voter massivement pour notre candidat Amadou BA, 5ème Président du Sénégal », conclut en beauté Abdou Karim SALL sous les ovations d’une foule impressionnante et surexcitée.
L’équipe nationale du Sénégal doit faire face à un coup dur avec le forfait d’Abdallah Sima pour la CAN 2024. Le joueur, qui évolue au sein du club Glasgow Rangers, retourne dans son club suite à une blessure contractée lors de l’entraînement.
Abdallah Sima a passé des examens après s’être blessé lors de l’entraînement de mercredi. Les résultats ont révélé une lésion du long adducteur de la cuisse gauche, entraînant une longue période d’indisponibilité. Constatant la gravité de la blessure, les staffs médicaux de l’équipe nationale sénégalaise et de Glasgow Rangers ont pris la décision de renvoyer le joueur dans son club pour bénéficier d’une prise en charge optimale.
Le départ d’Abdallah Sima représente une perte importante pour l’équipe nationale du Sénégal, qui comptait sur la contribution du joueur pendant la CAN 2024. La lésion du long adducteur nécessitant une période prolongée de récupération, l’équipe devra trouver des solutions alternatives pour pallier cette absence.
La Fédération Sénégalaise de Football (FSF) a confirmé le forfait d’Abdallah Sima et a souligné la nécessité de permettre au joueur de se remettre de sa blessure dans un environnement optimal, d’où sa décision de le renvoyer à Glasgow Rangers.
Le forfait d’Abdallah Sima est un revers inattendu pour l’équipe nationale sénégalaise en quête de succès à la CAN 2024. Les supporters et les responsables de l’équipe devront ajuster leurs attentes et soutenir les autres joueurs dans la poursuite de leurs objectifs dans le tournoi continental.
L’homme incarne la sagesse, l’attention, cultive la sérénité et rassuré par sa demande et son esprit rassembleur.
N’est-ce pas les qualités tant attendues pour porter un manager de notre cher pays de la teranga, le Sénégal?
Pour rappel, il suffit de jeter un coup d’œil sur le rétroviseur de ce haut fonctionnaire ayant occupé des stations de confiance dans les organes les plus sensibles de l’Etat. Les temps forts de Monsieur Amadou BA ont été toujours marqués par sa maîtrise des dossiers, la diligence dans les affaires et la courtoisie dans son approche.
N’est-ce pas, ce sont ces critères tant attendus d’un homme d’État. Il l’est jusqu’au bout des ongles.
Toujours pour mémoire, le Premier Ministre Amadou BA, candidat de la grande coalition victorieuse, BBY, a toujours relevé le défi des missions qui lui sont toujours assignées notamment Directeur Général des impôts et des domaines, Ministre des finances et du budget, Ministre des affaires étrangères et Premier Ministre.
Sans oublier sa contribution sociale et internationale qu’il a toujours apportée aux concitoyens d’ici et d’ailleurs.
Ce formateur chevronné de la prestigieuse école, l’ENA, a imprimé sa marque d’expériences et de rigueur. Ses qualités sont reconnues et appréciées par toutes, même les néo-opposants.
Chers concitoyens,
Les vertus de notre cher Sénégal doivent être sauvegardées par un Président de cette envergure, aux qualités sociales, humaines et professionnelles incontestables. Notre candidat incarne toutes ses valeurs et qualités humaines qui lui ont permis de poser des actes de consolidation de l’unité nationale et de la cohésion sociale au moment où d’autres prétendants à la station suprême de notre République s’attardaient sur des aspects puériles qui frisent parfois même le ridicule. C’est ce qui lui a permis de gagner une longueur d’avance sur ses adversaires qui ne lui arrivent pas à la cheville.
En s’appuyant sur les réalisations du Président Macky SALL, le Bâtisseur, Mr Amadou Ba garantit à la fois la continuité de l’État et la cohérence de la perspective d’une nouvelle phase du PSE performant au profit de tous.
Il nous faut Amadou pour les raisons ci après :
_ Aimer le pays, comme il l’a toujours montré. _ Montrer le bon exemple à travers son parcours. _ Assurer la continuité dans le social. l’économie , la sécurité et rassurer les sénégalais.
Doter le pays d’un nouvel air sans haine ni mépris.
prôner la réconciliation nationale.
Utiliser les ressources du pays pour l’essor économique:
mobiliser, sous la direction éclairée du PR Macky Sall, tous les sénégalais épris de paix, de stabilité et de développement pour un score de 52,78% au soir du 25 février 2024.
Pape Modou Fall Président du parti RV/Dëgg Moo woor Coordonnateur de la CR/2SR
Suite à la publication par le conseil constitutionnel de la liste définitive à 20 candidats autorités à se présenter à l’élection présidentielle de février 2024, Boubacar Camara a fait face la presse nationale ce dimanche 21 janvier 2024, à l’immeuble arona Coumba ndoffene Diouf, pour remercier ses collaborateurs et décerne une mention spéciale à nos militants, sympathisants et proches.Une occasion pour président Boubacar Camara de déplorer du fait que d’autres candidats crédibles et engagés ont été écartés par le système inique du parrainage ou par des procédés manifestement excessifs, en nommant Ousmane sonko comme le principe leaders de l’opposition.
» La situation est marquée par trois absences frappantes, celles du président sortant, du principal leader de l’opposition et du candidat du premier parti historique de l’opposition. Au-delà de cette caractéristique de scrutin des grandes absences », l’élection présidentielle prochaine se déroule dans un contexte de fragilité multiforme. Au plan international, le Sénégal apparaît comme un îlot de stabilité dans un océan sous régional dans lequel la paix est constamment menacée. Cette situation précaire est encore plus inquiétante au vu des sources internes de tension comme les atteintes répétées et flagrantes aux droits et libertés, un processus électoral dévoyé, la politisation de l’administration et la perception d’un déficit d’impartialité de la justice. Au plan national, la situation est marquée par une économie malmenée par un endettement public excessif et l’ancrage dans la pauvreté, la crise de l’éducation et de la santé, le chômage chronique et l’insécurité galopante.
Il ajoute que la crédible et l’alternatif des offres traditionnelles, certains candidats en plus d’un parcours digne de respect et d’un discours pertinent, symbolisent la rupture. Les axes essentiels de leurs préoccupations sont la promotion d’un capital humain épanoui à travers la prise en charge par l’État de l’éducation et de la santé, la souveraineté sous toutes ses formes. l’industrialisation, la sauvegarde des ressources naturelles et la lutte contre la mal gouvernance et la corruption. Dans ce groupe, je me reconnais et le programme économique et social TABAX constitue la traduction de notre vision qui consiste à bâtir un Sénégal prospère par un capital humain épanoui à partir de l’exploitation judicieuse des ressources naturelles Il faut garantir la victoire.
Sur ce reste à voir si les sénégalais sont optés pour la rupture ou bien préfèrent la continuité parce qu’il y a deux groupes de candidats: ceux qui symbolisent la continuité soit ouvertement soit implicitement .
D’autres part nous sommes en présence de ceux qui préconisent le changement auquel aspire le peuple sénégalais car disposant de programmes politiques,d’économiques et sociaux. Avant de lancer un appel à tous les candidats porteurs d’une offre de rupture et aux électeurs à se joindre à lui afin de garantir, par un vote utile, la troisième alternance qui doit permettre de :
Consolider ce qui a été bien fait ;
Refaire ce qui a été mal fait ;
Défaire ce qui a été mal fait;
Faire ce qui aurait dû être fait.
Monsieur Camara dit être prêt à gouverner harmonieusement le Sénégal en mettant en synergie toutes les forces vives de la nation, et dit de ne pas être le premier plan B de personnes il a travaillé pour en arriver là car en 2019 lorsqu’on m’avait éliminé en pariainage j’avais tous entendu mais ça m’a servi de leçon.
Il terminera par dénoncer les dispositifs du fichier électoral pour les élections présidentielles de 2024. Il éclairci que j’avais proposé un report pour les élections présidentielles, parce que j’avais pas et j’ai pas confiance au dispositif du fichier. Nous avons bien travaillé toute pour réussir le parrainage avec propre logiciel. » Je ne suis pas plan B de personne, j’ai mon parti, j’ai mes ambitions donc ses paroles venant de certains personnes sont infondés. Être plan B d’un coalition ou parti politique d’un personne je suis pas ses genres d’homme politique… » a-t-il conclu, le président Boubacar Camara.
Le 4ème Salon International de l’Économie Solidaire à Paris a été marqué par la participation active d’Ibrahima Bachir Dramé, Expert Pétrolier sénégalais, qui a animé une conférence sur les ressources naturelles, mettant l’accent sur l’exploitation du pétrole et du gaz ainsi que les enjeux pour le Sénégal. Sa présentation a attiré l’attention de nombreuses personnalités, notamment des investisseurs, entrepreneurs et acteurs du développement.
Ibrahima Bachir Dramé a partagé son expertise lors d’une conférence détaillant les aspects de l’exploitation des ressources naturelles, avec un focus particulier sur le secteur du pétrole et du gaz. Son intervention a permis d’éclairer l’auditoire sur les défis et les opportunités liés à ces secteurs clés pour l’économie sénégalaise.
L’expertise d’Ibrahima Bachir Dramé dans le domaine des hydrocarbures a été chaleureusement accueillie par l’auditoire à Paris. En reconnaissance de ses contributions exceptionnelles, il a été honoré par le prix de l’expertise lors de cet événement international.
La reconnaissance internationale d’Ibrahima Bachir Dramé, Expert Pétrolier, à travers ce prix, représente une fierté pour le Sénégal. Sa participation active à ce salon renforce la visibilité du pays dans le domaine des ressources naturelles et témoigne du savoir-faire de ses experts.
Les présentations et discussions lors du salon ont probablement contribué à sensibiliser les participants aux enjeux économiques liés à l’exploitation des ressources naturelles, ouvrant ainsi des perspectives de collaboration et d’investissement pour le développement durable du Sénégal.
La remise du prix de l’expertise à Ibrahima Bachir Dramé souligne son engagement et son excellence dans le domaine de l’expertise pétrolière, renforçant la position du Sénégal sur la scène internationale en matière de ressources naturelles.
Le Secrétaire d’État américain, Antony Blinken, a entamé une tournée africaine de une semaine, mettant en lumière les réalisations issues des engagements pris lors du sommet États-Unis-Afrique de Washington il y a plus d’un an. La visite vise à souligner les progrès économiques, commerciaux et sanitaires découlant de ce sommet.
La première étape de la tournée est le Cap-Vert, suivi de la Côte d’Ivoire, du Nigeria, et enfin de l’Angola. Chaque étape est soigneusement sélectionnée pour illustrer des aspects spécifiques des relations entre les États-Unis et l’Afrique.
Bien que l’accent soit mis sur les aspects positifs des liens économiques, commerciaux et de santé, des questions de sécurité seront inévitablement abordées. La situation au Sahel, en particulier au Mali et au Burkina Faso, sera discutée lors des étapes en Côte d’Ivoire et au Nigeria, étant donné leurs frontières communes avec ces régions.
Le soutien des États-Unis à la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) sera souligné, en particulier en ce qui concerne la crise au Niger. Cette approche reflète la volonté américaine de collaborer étroitement avec les acteurs locaux pour résoudre les défis régionaux.
La visite en Angola sera l’occasion de remercier le gouvernement angolais pour son engagement en faveur de la stabilité dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC). Cela souligne l’importance accordée à la coopération régionale et à la résolution des conflits.
La tournée africaine d’Antony Blinken cherche à renforcer les relations positives entre les États-Unis et l’Afrique, tout en abordant les défis sécuritaires. Elle met en lumière l’engagement continu des États-Unis envers le continent africain et la collaboration avec les pays et organisations régionales pour promouvoir la stabilité et le développement.
Le Maroc et la République démocratique du Congo (RDC) se sont quittés sur un match nul (1-1) lors de leur rencontre ce dimanche 21 janvier au stade Laurent Pokou de San Pedro lors de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024.
Contrairement à leur précédente rencontre face à la Tanzanie, le Maroc a ouvert le score rapidement avec un but d’Achraf Hakimi à la 6e minute, sur un corner tiré par Hakim Ziyech. Youssef En-Nesyri avait déjà mis la pression sur le portier congolais avec une tête puissante à la 2e minute.
La RDC, après avoir eu un nombre important d’occasions lors de leur match contre la Zambie, a connu des difficultés contre les Lions de l’Atlas. Ils ont raté une belle opportunité à la 33e minute après un corner de Kakuta dévié par Sélim Amallah et manqué par Chancel Mbemba.
La RDC aurait pu égaliser avec un penalty obtenu après une main de Sélim Amallah, mais Cédric Bakambu a manqué son tir en croisant trop sa frappe, qui a touché le poteau gauche à la 41e minute.
L’égalisation de la RDC est finalement survenue à la 77e minute, avec Silas Katompa Mvumpa marquant du plat du pied après un centre d’Elia Meschack. Dans les instants qui ont suivi, la RDC a failli prendre l’avantage, mais Samuel Moutoussamy n’a pas concrétisé (79e).
Cette égalisation laisse le Maroc en attente de sa qualification pour les huitièmes de finale, alors que la RDC cherche à se positionner favorablement dans le tournoi. Les deux équipes ont des ambitions différentes, le Maroc visant le titre, tandis que la RDC cherche à réaliser une performance notable.
Le match entre le Maroc et la RDC à la CAN 2024 a été marqué par des moments forts, avec le Maroc ouvrant le score rapidement et la RDC réussissant à égaliser en seconde période. Cette rencontre a ajouté de l’excitation au tournoi et a montré que la compétition est ouverte avec des équipes déterminées à atteindre les sommets.
Le Conseil constitutionnel a validé la liste définitive des candidats à l’élection présidentielle du 25 février 2024, dont Amadou Ba, candidat de la coalition Benno Bokk Yaakar (BBY) au Sénégal. Suite à cette validation, Amadou Ba a exprimé sa satisfaction et s’est tourné vers la préparation de la campagne électorale.
Amadou Ba, également Premier ministre du Sénégal, a salué la décision du Conseil constitutionnel, qu’il considère comme un tournant décisif dans le processus électoral du pays. Il a souligné la vitalité de la démocratie sénégalaise sous le contrôle d’institutions républicaines fortes et impartiales.
Le candidat de la coalition BBY a déclaré : « À partir d’aujourd’hui, notre attention est portée sur la préparation de la campagne électorale qui nous donnera l’occasion de partager avec nos compatriotes notre offre programmatique pour un Sénégal prospère dans l’unité, la stabilité et la paix. »
Amadou Ba a lancé un appel à toutes les Sénégalaises et tous les Sénégalais pour qu’ils contribuent à faire de l’élection présidentielle un moment fort de consolidation de la démocratie et du renforcement des institutions de la République.
Il a également exhorté les militants et sympathisants de la coalition BBY à une forte mobilisation et à un engagement sans faille pour assurer une victoire éclatante dès le premier tour, le soir du 25 février 2024.
Amadou Ba, en tant que candidat de la coalition BBY, se tourne vers la prochaine étape du processus électoral, prêt à partager son programme avec les électeurs et appelant à une mobilisation active en vue de remporter l’élection présidentielle.
Suite au rejet de la candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle de 2024 par le Conseil constitutionnel, Mamadou Lamine Diallo, candidat à cette élection, a exprimé son mécontentement dans un tweet. Il a critiqué l’acharnement, selon lui, de Macky Sall, Amadou Ba et BBY (Benno Bokk Yakaar) contre Maître Abdoulaye Wade et sa famille.
Mamadou Lamine Diallo a exprimé son étonnement face à la décision du Conseil constitutionnel et a déclaré sur Twitter : « Franchement, il m’est difficile de comprendre l’acharnement de Macky Sall, de Amadou Ba et de BBY contre Maître Abdoulaye Wade et sa famille ». Il a souligné que Karim Wade a fait preuve de courage patriotique en renonçant à sa nationalité française, acquise de manière involontaire à sa naissance.
Mamadou Lamine Diallo a conclu son tweet en indiquant que « la lutte pour le renforcement de l’État de droit se poursuit ».
Le Conseil constitutionnel a rejeté la candidature de Karim Wade à l’élection présidentielle de 2024. Cette décision a suscité des réactions et des critiques de la part de certains acteurs politiques, dont Mamadou Lamine Diallo.
La réaction de Mamadou Lamine Diallo n’a pas été unanimement bien accueillie sur les réseaux sociaux, certains internautes exprimant leur désaccord avec sa position. La question de la candidature de Karim Wade et les divergences politiques continuent de susciter des débats passionnés au Sénégal.
Les commerçants du marché Saint Maurs des Fossés de Boucotte, à Ziguinchor, ont tenu une conférence de presse le samedi 20 janvier 2024 pour dénoncer l’absence de mesures prises par la mairie suite à l’incendie dévastateur du 5 décembre 2023. Cette tragédie a plongé la moitié du marché dans l’obscurité, privant les commerçants d’électricité pendant plusieurs jours.
Serigne Kassé, secrétaire général du marché, explique la détérioration des conditions depuis l’incendie : « La moitié du marché est privée d’électricité depuis le 5 décembre dernier, et malgré nos appels à la commune de Ziguinchor, aucune action concrète n’a été entreprise. »
Face à cette inaction, les commerçants ont pris des initiatives personnelles, investissant un montant considérable pour rétablir l’électricité. Cependant, les travaux ont été entravés par des anomalies, laissant le marché dans une situation précaire.
« Nous nous sommes sacrifiés à hauteur d’un million trois cent soixante mille pour refaire l’électricité, qui a beaucoup d’anomalies sur nos travaux », déclare Serigne Kassé.
La situation est critique, avec des interruptions fréquentes dans l’alimentation électrique depuis l’incident. Certains commerçants, tels que ceux vendant des produits périssables comme la viande et le poisson, subissent d’importantes pertes.
« Des vendeurs de poulets, des vendeurs de viande, des vendeurs de poissons qui utilisent l’électricité 24 heures sur 24 voient tous leurs produits pourrir. Nous ne voulons pas que cela se reproduise, et nous appelons la commune à rétablir l’électricité rapidement », martèle Monsieur Kassé.
Malgré les démarches du délégué auprès de la mairie, aucune solution n’a été trouvée. Les commerçants, fatigués de cette situation, envisagent des actions plus drastiques si aucune mesure n’est prise.
« Ils nous avaient promis de faire les travaux le mardi dernier, mais rien. Un marché cinq jours sans électricité, c’est difficile. Si la mairie ne règle pas cette situation, nous passerons à la phase supérieure, c’est-à-dire que nous ne paierons pas les taxes », affirme Serigne Kassé.
Cette crise électrique met en péril les moyens de subsistance des commerçants du marché Saint Maurs des Fossés de Boucotte, les forçant à envisager des mesures de protestation radicales pour attirer l’attention sur leur détresse. La balle est maintenant dans le camp de la mairie de Ziguinchor pour résoudre cette crise et éviter des conséquences économiques dévastatrices pour la communauté locale.
La Journée de réflexion de l’Amicale des Administrateurs civils du Sénégal s’est tenue récemment sous la présidence d’Alioune Badara Diop, Secrétaire Général adjoint du gouvernement et représentant du Premier Ministre. La thématique centrale de cet événement était « La territorialisation des politiques publiques : quels leviers pour la mise en œuvre ? ». Diverses personnalités, dont le gouverneur de la région de Dakar et le président de l’association des anciens gouverneurs du Sénégal, ont participé à cette journée. Le président de l’Amicale, El Hadji Habib Kandji, a souligné l’importance de la territorialisation dans le contexte de l’Acte III de la décentralisation.
El Hadji Habib Kandji a exprimé la volonté de l’Amicale des Administrateurs civils de demeurer un lieu de réflexion sur les problématiques contemporaines liées à l’État et à l’Administration. Il a rappelé que la territorialisation des politiques publiques a été consacrée par l’État, en particulier au cours de la dernière décennie. L’Acte III de la décentralisation, en 2014, a approfondi ce processus en l’ancrant davantage dans la réalité des territoires, afin de favoriser leur développement endogène.
El Hadji Habib Kandji a souligné le rôle central des administrateurs civils dans la conception, la mise en œuvre, le contrôle, le suivi et l’évaluation des politiques publiques. Il a rappelé que la territorialisation consiste à adapter l’action de l’État aux spécificités de chaque territoire, en prenant en compte ses ressources et potentialités.
Alioune Badara Diop, représentant du Premier Ministre, a indiqué que depuis 2012, le gouvernement sénégalais a modifié sa démarche et son paradigme en matière de politique publique. La déconcentration et l’Acte III de la décentralisation ont été initiés pour mettre en œuvre la territorialisation des politiques publiques, rapprochant ainsi les services publics de la population. Il a souligné l’importance cruciale des administrateurs civils dans le bon fonctionnement de l’État, notant qu’ils occupent une place significative au sein de l’administration sénégalaise.
El Hadji Habib Kandji a conclu en soulignant l’importance des échanges entre les différents acteurs territoriaux, y compris les associations d’élus locaux, les corps de contrôle, la société civile et le secteur privé. Il a exprimé sa conviction que les réflexions issues de cette journée contribueront à la mise en œuvre de politiques publiques territorialisées, générant des impacts positifs pour les citoyens. Ces conclusions seront soumises au gouvernement pour favoriser une mise en œuvre plus efficace des politiques publiques au niveau territorial.
La cérémonie de vœux 2024 de l’Administration Pénitentiaire sénégalaise a été l’occasion pour le Colonel Abdoulaye Diagne de reconnaître les défis auxquels sont confrontés les agents, notamment l’insuffisance d’effectifs et la surcharge de travail. Dans son discours, le Directeur Général a également dévoilé ses ambitions pour l’amélioration des conditions de travail et la préparation à la réinsertion sociale des détenus.
Le Colonel Abdoulaye Diagne a souligné l’insuffisance des effectifs au sein de l’Administration Pénitentiaire. Pour remédier à cette situation, il a révélé qu’actuellement, 300 agents de tous grades suivent une formation à l’École Nationale d’Administration Pénitentiaire. Cette mesure vise à renforcer les ressources humaines et à mieux répondre aux exigences sécuritaires.
Le DG a effectué un examen rétrospectif des performances de l’année écoulée, saluant les résultats élogieux obtenus grâce à l’engagement de tous les acteurs. Il a souligné la maturation et la modernisation de l’institution, avec des progrès notables dans l’équipement du personnel et la création d’activités pour favoriser la réhabilitation des détenus.
Le Colonel Diagne a rappelé l’importance du respect des droits et de la dignité des détenus, les considérant comme des êtres humains dont la réinsertion sociale doit être au cœur des préoccupations. Il a appelé à la consolidation des acquis tout en soulignant l’importance de l’obligation de réserve et de loyauté envers la République pour le personnel pénitentiaire.
Le DG a encouragé le renforcement de la formation continue du personnel, notamment en collaborant avec la Direction des Ressources Humaines. Il a exprimé sa reconnaissance envers les anciens de l’Administration Pénitentiaire et a assuré de maintenir des relations fortes avec l’Association des Retraités.
Abdoulaye Diagne a conclu en reconnaissant que malgré les réussites, des défis subsistent. Il a appelé à la solidarité, la discipline, la rigueur, et le désintéressement pour aborder la mission de l’Administration Pénitentiaire comme un sacerdoce. Le DG a formulé des vœux de santé, paix, et réussite pour l’année 2024 à tous les membres du personnel, associant également leurs familles.
La cérémonie a également été l’occasion de remercier les partenaires publics et privés qui contribuent au succès de l’Administration Pénitentiaire dans ses missions de réinsertion sociale des détenus.
La validation technique du rapport de la RAC2023, couplée au partage du PAP3 du Plan Sénégal Émergent (PSE), a été l’occasion d’annoncer un engagement financier majeur en faveur de l’économie sociale, solidaire, et de la création d’emplois, avec une perspective ambitieuse pour 2035.
Le ministre de l’économie, du plan, et de la coopération, Doudou Ka, a déclaré lors de la rencontre au Radisson Blu de Dakar que le gouvernement s’engage à mobiliser plus de 1500 milliards de FCFA pour développer divers secteurs et résoudre la question de l’emploi des jeunes et des femmes d’ici 2035. Cet engagement financier vise à renforcer l’économie sociale et solidaire du Sénégal.
Doudou Ka a souligné que malgré les défis liés à la pandémie de Covid-19 et d’autres crises, les résultats obtenus en 2022 sont satisfaisants. Il a salué la qualité des propositions des acteurs tels que les partenaires au développement, la société civile, le secteur privé, et les collectivités territoriales. Le gouvernement prévoit d’optimiser les dépenses publiques, moderniser l’administration, et rationaliser les soutiens au secteur privé, en particulier aux PME/PMI.
Pour répondre à la problématique de l’emploi des jeunes, le gouvernement prévoit de mettre en œuvre le Programme PSE Jeunes, de poursuivre le programme Xeyu Ndaw Gni, d’étendre la formation professionnelle, et d’augmenter les lignes de financement. Des instruments tels que le FONSIS, le FONGIP, la BNDE, et la DER/FJ joueront un rôle clé dans cette stratégie.
Le secteur privé et la société civile ont appelé à renforcer la synergie des moyens d’action et à débloquer une ligne de financement, conformément aux recommandations du dernier conseil présidentiel sur la RAC du PSE. Ils ont également demandé un renforcement des capacités des acteurs de la société civile sur le PAP3. Le secteur privé souhaite l’opérationnalisation effective de la loi sur les PPP pour stimuler l’investissement privé.
Les partenaires au développement, représentés par Aminata Maiga, ont souligné l’importance de renforcer la paix, la stabilité, et la résilience face aux défis mondiaux. Ils encouragent le Sénégal à accorder une attention particulière aux enjeux sécuritaires transnationaux, à préserver la stabilité et la paix sociale, et à gérer la question climatique pour renforcer la résilience des populations.
L’annonce de plus de 1500 milliards de FCFA d’engagement financier, couplée aux initiatives en faveur de l’emploi des jeunes et de l’économie sociale, donne un élan significatif au développement économique du Sénégal. La collaboration entre le gouvernement, la société civile, le secteur privé, et les partenaires au développement reste cruciale pour atteindre les objectifs fixés dans le cadre du PSE d’ici 2035.
Une inquiétude momentanée a traversé les rangs des supporters sénégalais après que le sélectionneur de l’équipe nationale, Aliou Cissé, ait été victime d’un malaise suite à la victoire des Lions contre le Cameroun. Cependant, des nouvelles rassurantes émanent d’El Hadji Diouf, ancienne star du football sénégalais et coéquipier d’Aliou Cissé.
Après la victoire du Sénégal contre le Cameroun lors de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024, une ombre de préoccupation a assombri la célébration. Le sélectionneur, Aliou Cissé, a été victime d’un malaise nécessitant une hospitalisation. Des douleurs au ventre ont été signalées, créant une certaine appréhension parmi les supporters et les amateurs de football.
Cependant, El Hadji Diouf, qui a partagé le terrain avec Cissé et qui s’est entraîné avec les Lions, offre des nouvelles rassurantes sur l’état de santé de son ancien coéquipier. « On sait qu’il y a beaucoup de stress dans le football de haut niveau et ça se manifeste souvent par des douleurs au ventre. Aliou avait des maux de ventre avant et après le match. Mais il va mieux et il est avec l‘autre groupe de Lions qui est à l’hôtel, » a déclaré Diouf.
L’ancienne star du football sénégalais a souligné la nécessité de soins pour les joueurs, tout en indiquant que le coach, en plus de veiller sur sa santé, devrait discuter avec l’équipe pour tirer des enseignements du match contre le Cameroun. « Prions pour lui, » conclut El Hadji Diouf.
Ces événements mettent en lumière les défis et les pressions associés au football de haut niveau, soulignant que même les entraîneurs ne sont pas à l’abri des contraintes physiques et émotionnelles du sport qu’ils dirigent. La santé d’Aliou Cissé reste un point d’attention pour les supporters, mais les nouvelles positives apportent un soulagement bienvenu à l’aube d’autres défis à relever lors de la CAN 2024.
Suite au décès de Ndèye Fatou Kiné Diouf Diaga, Youssou Ndour présente ses condoléances à la famille Seck. Il partage la douleur à travers un post sur sa page Facebook.
»Diaga, Tu as été le premier public, 1re Fan et très grande contributrice de la carrière de celui que tu as tant aimé et protégé. Tu tires ta révérence, douce moitié de Thione, mais tu resteras à jamais dans nos prières. En ces moments douloureux, j’exprime toute ma tristesse en direction de tous ses enfants et à sa famille au premier rang duquel Wally à qui je présente mes sincères condoléances. » a réagi la star planétaire.
Après la qualification du Sénégal lors de la CAN 2023, Sadio Mané, l’attaquant étoile de l’équipe nationale, partage ses réflexions sur le match, soulignant la détermination de l’équipe à gagner malgré les défis rencontrés.
Sadio Mané s’exprime sur la qualification en déclarant : « Match bi tarone na, mais khamone naniou dina niou gagné. Nous avons traversé des moments difficiles, mais nous avons réussi à gagner. »
Le joueur vedette évoque brièvement les défis rencontrés pendant le match, soulignant peut-être des moments cruciaux où l’équipe a dû faire preuve de résilience pour décrocher la victoire.
Sadio Mané met en avant la détermination collective de l’équipe à atteindre la victoire, montrant ainsi la solidarité et l’esprit d’équipe qui ont contribué à la qualification.
Dans sa déclaration, Sadio Mané n’oublie pas d’exprimer sa reconnaissance envers les supporters qui ont soutenu l’équipe tout au long de la compétition. Il souligne l’importance du soutien des fans dans les moments cruciaux.
La déclaration de Sadio Mané se termine probablement par une note positive, évoquant peut-être les aspirations de l’équipe pour les prochains défis de la compétition.
Les mots de Sadio Mané reflètent la ténacité de l’équipe sénégalaise dans sa quête de la victoire à la CAN 2023. Sa déclaration offre un aperçu de l’état d’esprit de l’équipe et renforce le lien entre les joueurs et les supporters, créant une ambiance positive pour la suite du tournoi.
Après le match de la CAN 2023, Lamine Camara, joueur clé de l’équipe sénégalaise, réagit à chaud et apaise les inquiétudes quant à sa blessure. Sa déclaration rassurante est accompagnée d’un « Alhamdoulilah Dara Dalouma », exprimant sa gratitude et sa confiance.
Lamine Camara, visiblement soulagé, déclare après le match : « Alhamdoulilah dara dalouma… Je tiens à rassurer tout le monde, ma blessure n’est pas grave. Merci pour vos prières et votre soutien. »
Le joueur sénégalais offre des assurances concernant sa blessure, écartant les craintes d’une grave blessure. Sa déclaration témoigne de sa reconnaissance envers les supporters et de sa confiance en une récupération rapide.
Lamine Camara exprime sa gratitude envers ceux qui ont prié pour sa récupération et soutenu l’équipe. Il souligne l’importance du soutien des supporters dans les moments difficiles et partage sa reconnaissance envers leur engagement.
En concluant ses propos, Lamine Camara projette une attitude positive pour les prochains défis à venir dans la compétition. Sa déclaration vise à apaiser les inquiétudes et à maintenir un esprit positif au sein de l’équipe.
La réaction de Lamine Camara après le match de la CAN 2023 reflète à la fois la satisfaction de la victoire et la volonté de rassurer les supporters concernant sa blessure. Son « Alhamdoulilah Dara Dalouma » transmet un message de gratitude et de confiance, renforçant le lien entre l’équipe et ses supporters.
Suite à la victoire décisive du Sénégal lors de la CAN 2023, Abou Diallo, un membre essentiel de l’équipe nationale, exprime sa joie et sa satisfaction d’être qualifié pour les prochaines étapes de la compétition.
Abou Diallo, manifestant son bonheur, partage ses émotions après la victoire, déclarant : « On a gagné, on est content d’être qualifié ce soir. C’est une étape cruciale pour nous et pour nos supporters qui nous ont soutenus avec tant de passion. »
Le joueur sénégalais exprime sa satisfaction d’avoir atteint la qualification, soulignant que c’est un moment de fierté pour toute l’équipe. Il met en avant l’importance de cette victoire dans le contexte de la CAN et l’impact positif qu’elle aura sur la suite de la compétition.
Abou Diallo rend hommage aux supporters qui ont joué un rôle crucial dans le parcours de l’équipe. Il exprime sa gratitude envers leur soutien constant et souligne que cette qualification est également une réussite pour eux.
En regardant vers l’avenir de la compétition, Abou Diallo affirme que l’équipe reste déterminée à donner le meilleur d’elle-même. Il souligne que chaque match à venir sera abordé avec la même intensité et le même désir de succès.
La déclaration d’Abou Diallo reflète la joie et la satisfaction de l’équipe sénégalaise après cette victoire cruciale. Elle renforce le sentiment de camaraderie et de détermination au sein de l’équipe, créant une ambiance positive pour la suite de la CAN 2023.
Suite à la victoire éclatante du Sénégal contre le Cameroun à la CAN 2023, Kalidou Koulibaly, défenseur clé de l’équipe sénégalaise, exprime sa joie et son enthousiasme quant à la qualification. Pour lui, cette réussite représente la réalisation d’un rêve pour tous les fervents supporters de l’équipe nationale.
Kalidou Koulibaly s’est exprimé avec émotion sur la qualification du Sénégal après la victoire contre le Cameroun. Il a partagé son ressenti sur cette étape cruciale de la compétition en déclarant : « C’est un rêve réalisé pour tous nos supporters. La victoire d’aujourd’hui est le résultat de l’effort collectif et de la détermination de chaque joueur sur le terrain. »
Le défenseur sénégalais a laissé transparaître sa joie et son enthousiasme face à cette réussite qui rapproche l’équipe des huitièmes de finale de la CAN 2023. Il a souligné l’importance de la victoire dans le contexte de la compétition et l’a présentée comme un moment historique pour les supporters qui ont soutenu l’équipe tout au long de son parcours.
Kalidou Koulibaly a exprimé sa gratitude envers les supporters, reconnaissant le rôle crucial qu’ils ont joué dans cette qualification. Il a salué leur fidélité et leur soutien indéfectible, soulignant que cette victoire était également la leur.
En évoquant l’avenir de l’équipe sénégalaise dans la compétition, Koulibaly a mentionné que l’équipe reste concentrée et déterminée à aller le plus loin possible. Il a souligné que chaque match à venir sera abordé avec le même engagement et la même volonté de réussir.
La déclaration de Kalidou Koulibaly reflète la fierté et la satisfaction des joueurs sénégalais après cette victoire importante. Elle renforce également le lien entre l’équipe et ses supporters, créant une ambiance positive pour la suite de la compétition.
Après la défaite de l’équipe camerounaise face au Sénégal lors de la rencontre à la CAN 2023, l’entraîneur des Lions indomptables, Rigobert Song, a admis la supériorité de l’équipe sénégalaise. Song a souligné le manque de maturité de son équipe et a reconnu que les Sénégalais étaient les meilleurs lors de ce match crucial.
Rigobert Song a déclaré que le Sénégal avait été la meilleure équipe sur le terrain, capable de concrétiser ses occasions contrairement à son équipe. Il a salué la performance des joueurs sénégalais, soulignant qu’ils ont su répondre de manière efficace aux défis du match.
L’entraîneur camerounais a analysé le début de la rencontre, notant que ses joueurs ont eu du mal à entrer dans le jeu au cours des vingt premières minutes. Il a attribué cela à un manque de concentration et a souligné que ces détails sont cruciaux au plus haut niveau du football. Rigobert Song a admis que son équipe a manqué de maturité dans ce contexte compétitif.
Rigobert Song a pris l’entière responsabilité de la défaite, affirmant qu’il assumait cette responsabilité. Il a souligné que ses joueurs ont donné le meilleur d’eux-mêmes et a refusé de mettre la défaite sur le compte de quelqu’un d’autre que lui-même.
Malgré cette défaite, Rigobert Song reste optimiste quant à la qualification du Cameroun pour les huitièmes de finale de la CAN 2023. Il a souligné l’importance du dernier match de la phase des poules et a affirmé que son équipe se qualifiera pour le prochain tour, considérant le prochain match comme une « finale ».
Les gouvernements du Sénégal et de la Mauritanie travaillent conjointement sur un mécanisme de partage équitable des profits découlant de l’exploitation des ressources pétrolières et gazières dans le champ Grand Tortue Ahmeyim (GTA). Le ministre sénégalais du Pétrole et des Énergies, Antoine Diome, a souligné l’importance de cet audit des coûts pétroliers pour assurer la transparence dans le partenariat avec British Petroleum.
Antoine Diome a informé lors d’un point de presse qu’un audit des coûts pétroliers est en cours pour examiner en détail les dépenses liées au partenariat avec British Petroleum dans le cadre du projet GTA. Ce processus vise à garantir la transparence et à répondre aux attentes des populations des deux pays concernés.
Le taux d’exécution du projet Grand Tortue Ahmeyim atteint actuellement 91%. Cependant, les ministres des deux pays reconnaissent le retard de vingt-huit mois dans la sortie prévue des premiers barils de pétrole du champ GTA cette année.
Antoine Diome souligne que les deux États ont la responsabilité de veiller au suivi rigoureux du projet et à la préservation des intérêts des populations. Les réunions entre les ministres et leurs collaborateurs ont permis d’évaluer l’impact global du retard et des augmentations de coûts annoncées.
Les ministres rappellent l’existence d’un mécanisme déjà mis en place entre la Mauritanie et le Sénégal pour le partage des revenus du champ GTA. Ce mécanisme devrait assurer une répartition équitable des bénéfices résultant de l’exploitation des ressources pétrolières et gazières communes.
L’accent mis sur la transparence à travers l’audit des coûts pétroliers démontre l’engagement des deux gouvernements à garantir un partage équitable des revenus du champ GTA. Cette collaboration renforcée vise à assurer que les bénéfices tirés de l’exploitation des ressources pétrolières et gazières profitent aux populations des deux nations.
Un accident survenu ce vendredi à Keur Boumi, près de Louga, a coûté la vie à une personne et a laissé quatre autres blessées. La voiture dans laquelle ils circulaient a dérapé avant de percuter violemment un arbre, révèle une source sécuritaire. Les victimes, originaires de Pire dans la région de Thiès, ont été impliquées dans cet incident tragique, dont la cause demeure inconnue pour l’instant.
Selon la source sécuritaire, le véhicule de petit modèle a mystérieusement quitté la route avant de s’écraser contre un arbre. Les circonstances exactes de l’accident restent à déterminer, laissant les autorités enquêter sur les raisons qui ont conduit à cette tragédie.
Tant le passager décédé que les blessés sont tous résidents de Pire, dans la région de Thiès à l’ouest du Sénégal. L’homme qui a perdu la vie avait 45 ans, et les blessés ont été évacués en urgence à l’hôpital Amadou-Sakhir-Mbaye de Louga par les sapeurs-pompiers.
L’accident a suscité une enquête des autorités compétentes pour comprendre les circonstances exactes et les éventuels facteurs contributifs à cet incident. Les résultats de l’enquête pourraient apporter des éclaircissements sur la cause du dérapage du véhicule et la collision ultérieure avec l’arbre.
Les sapeurs-pompiers ont rapidement réagi, évacuant les blessés vers l’hôpital le plus proche pour recevoir les soins nécessaires. L’état de santé des survivants reste à établir, mais leur évacuation rapide témoigne des efforts déployés pour assurer leur prise en charge médicale.
Cet accident tragique à Keur Boumi a laissé une communauté en deuil et souligne l’importance de la prudence sur les routes. Les autorités continueront d’enquêter pour comprendre les circonstances exactes de l’accident, dans l’espoir de prévenir de futurs incidents similaires.
Comme face à la Gambie, le Sénégal n’a pas pris du temps avant d’ouvrir le score. Pour le compte de la deuxième journée du groupe C face aux Lions Indomptables, les joueurs d’Aliou Cissé ont réussi à mener au score grâce à une réalisation d’Ismaila Sarr (1-0).
Sur un corner difficilement repoussé, le ballon arrive dans les pieds d’Ismaila Sarr qui contrôle, se retourne et frappe dans le petit filet gauche d’André Onana. Le Sénégal mène désormais au score (1-0).
On le disait, ça se rapprochait pour le Sénégal. Sur un corner, Onana boxe le ballon qui retombe à l’entrée de la surface. Pape Matar Sarr gagne son duel et le ballon revient dans les pieds d’Ismaïlia Sarr au point de pénalty. Le joueur marseillais se retourne et tente sa chance. C’est légèrement contré par Anguissa. Onana est pris à contre-pied.
La Brigade de recherches de Keur Massar mène une enquête sur des soupçons de scandale financier à la Ville de Guédiawaye. Les gendarmes se sont saisis de l’affaire, après avoir reçu un soit-transmis du parquet de Pikine-Guédiawaye.
Dans le cadre de leurs investigations, ils ont placé en garde-à-vue et déféré au parquet, l’entrepreneur Ibrahima Ndao. Ce dernier est sous bracelet électronique. Aussi, les enquêteurs ont entendu le maire de Guédiawaye, Ahmed Aïdara. D’après « Libération », qui révèle cette affaire dans son édition du jour, ce dernier est au cœur du dossier. Ibrahima Ndao affirme lui avoir remis d’importants montants en espèces.
Tout est parti d’un virement de 79 millions 986 mille francs Cfa du Trésor public, dans le compte de l’entrepreneur. C’était une erreur, selon l’édile guédiawayois, entendu par les enquêteurs. «Cette année, explique Ahmed Aïdara, repris par « Libération », nous avons lancé un appel d’offres pour la livraison de fournitures scolaires d’un montant de 79 millions 983 mille 300 francs Cfan que devait réaliser l’entreprise Comptoir commercial Dabakh. Étant donné que l’année dernière, on avait le même marché avec la société Sotrel, dont la personne morale est le sieur Ibrahima Ndao, le secrétaire général Babacar Gaye, qui établissait l’acte d’engagement, s’est trompé en laissant le numéro du compte de la société Sotrel, ce qui a fait que le Trésor public a viré l’argent dans son compte par erreur.»
Versements d’espèces, défaut de décharges
Ibrahima Ndao conteste cette version. «L’argent versé dans mon compte, est mon dû», défend l’entrepreneur face aux gendarmes, affirmant qu’il s’agit d’une partie des 135 millions 640 mille francs Cfa que lui devrait la Ville de Guédiawaye, en contrepartie de prestations réalisées à son profit entre 2022 et 2023.
Quid des prestations supposées ? Ibrahima Ndao cite, notamment, 654 lampadaires (71 940 000 FCfa), 500 poulets (2 millions), 6 tonnes de dattes (14 millions), 9 tonnes de sucre (9,9 millions), des travaux dans le bureau du maire (2 millions) et dans son domicile (9,5 millions). L’entrepreneur évoque aussi des remises d’espèces à Ahmet Aïdara (7 millions, 15 millions, 4 millions, 2,5 millions, 500 000, 10 millions à un de ses proches nommé Oumar Sy…).
« Libération » rapporte que l’édile de Guédiawaye a réfuté ces affirmations de Ndao. «Il ne m’a jamais rien donné, ni en main propre ni par intermédiaire, jure-t-il. Nous n’avons signé aucun marché avec lui cette année. (…) S’il pense qu’on lui doit de l’argent, il n’a qu’à nous montrer des preuves.»
Le journal renseigne qu’Ibrahima Ndao a confessé être incapable de produire des pièces en ce sens, indiquant que tout se faisait «sur la base de la confiance».
«Il n’y avait jamais d’écrit, insiste l’entrepreneur. Ce n’était que des marchés de gré à gré, en présence de témoins. C’est après avoir versé le premier acompte, qu’Oumar Sy m’a envoyé ces documents, donc je viens de savoir que la Ville avait monté un dossier fictif.»
Dans l’ambiance électrique précédant le choc entre le Sénégal et le Cameroun lors de la CAN 2023, Aliou Cissé, l’entraîneur de l’équipe nationale sénégalaise, a sévèrement recadré un journaliste des Lions Indomptables lors de sa conférence de presse pré-match.
Le journaliste en question avait posé des questions incisives et provocatrices, remettant en cause la préparation et la stratégie de l’équipe sénégalaise. Aliou Cissé, visiblement agacé, a immédiatement pris la parole pour rétablir l’ordre et rappeler l’importance du respect dans le cadre de la compétition sportive.
L’entraîneur a souligné le professionnalisme attendu des médias et a exprimé son mécontentement face aux insinuations négatives. Il a insisté sur le fait que l’esprit sportif et la camaraderie doivent primer, même dans l’intensité d’une compétition aussi prestigieuse que la CAN.
Cette confrontation au cours de la conférence de presse met en lumière les tensions préexistantes entre les équipes en lice et l’impact significatif que peuvent avoir les médias sur le climat d’un tournoi majeur. Aliou Cissé, par son recadrage ferme, a clairement affirmé sa position et celle de son équipe en faveur d’une approche concentrée et respectueuse, soulignant l’importance de l’éthique sportive avant le match crucial contre le Cameroun. Cette interaction promet d’ajouter une dimension supplémentaire à l’intensité de la confrontation à venir sur le terrain.
Le projet « Feed the Future Sénégal Yiriwaa » a été officiellement lancé à Ziguinchor, porté par l’organisation Declic et financé par l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) à hauteur de trois millions de dollars (1 810 393 600 francs CFA) pour une durée de quatre ans. Lors de la cérémonie de lancement présidée par l’adjoint au gouverneur en charge des affaires administratives, Sidi Guissé Diongue, il a été souligné que ce projet vise à relever les défis liés à l’emploi et à l’insertion des jeunes.
Ce projet ambitieux ciblera initialement vingt-sept communes de la Casamance et impactera 50 collectivités territoriales d’ici 2027, selon les initiateurs. L’objectif principal est de promouvoir le leadership des jeunes, les dotant d’outils pour participer activement au développement de la région de Ziguinchor.
Déjà lancé en 2016 par l’organisation Declic, le projet « Feed the Future Sénégal Yiriwaa » vise à renforcer les capacités des jeunes, leur offrant un coaching pour développer leur confiance et relever les défis auxquels ils sont confrontés dans leurs communautés. La coordinatrice du projet, Aby Diallo, a souligné que l’objectif est de créer des structures où les jeunes peuvent être formés et coachés pour contribuer positivement au développement local.
Matten A Burton du bureau des croissances économiques à l’Usaid a également exprimé le soutien de l’agence américaine à ce projet, soulignant l’importance de créer des opportunités pour les jeunes de la Casamance. Le projet vise ainsi à favoriser l’intronisation des jeunes, la mobilisation et la participation active des jeunes et de la population dans le développement régional.
Selon un rapport récent de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP), le secteur postal a enregistré une diminution de 4 % de ses emplois en 2022, comptabilisant un total de 4 807 emplois, dont 3 329 permanents, 603 temporaires, et 875 prestataires. Cette tendance contraste avec l’année précédente, où une hausse de 8 % avait été observée malgré la pandémie mondiale.
L’Observatoire du secteur postal de l’ARTP a souligné que les investissements des opérateurs postaux ont atteint plus de 485 243 865 francs CFA en 2022, marquant une augmentation significative de 53,21 % par rapport à 2021. Bien que les emplois aient diminué, le chiffre d’affaires du secteur postal a continué de croître, passant de 13 milliards 403 millions 313 mille 100 francs CFA en 2020 à 17 milliards 145 millions 322 mille 597 en 2022.
Les revenus générés par les envois de colis nationaux de 2 à 20 kilogrammes ont connu une baisse de 14 % en 2022 par rapport à 2021, s’établissant à 380 935 281 francs CFA. En revanche, les envois internationaux ont enregistré une hausse significative de 87 %, passant de 1 milliard 618 millions 578 mille 634 francs CFA en 2021 à 2 milliards 33 millions 636 mille 434 en 2022.
Malgré ces fluctuations, le secteur postal maintient sa résilience face à la pandémie de Covid-19, avec un chiffre d’affaires en constante augmentation. Les experts soulignent que les indicateurs économiques du secteur, tels que le volume de courrier traité, les revenus générés, et la croissance annuelle, restent des éléments cruciaux pour évaluer son dynamisme et son adaptation aux avancées technologiques.
Dans une récente déclaration, Karim Wade, candidat potentiel à la présidentielle sénégalaise, a répondu aux allégations entourant sa nationalité. Il a souligné que le décret émis par le Ministre de l’Intérieur français actant sa renonciation à la nationalité française est une preuve tangible de sa constance.
Wade a qualifié la polémique de stérile et dangereuse, accusant Thierno Alassane Sall d’alimenter cette controverse pour gagner en visibilité et agir au nom du Premier ministre Amadou Ba. Il a critiqué les manœuvres déloyales d’Amadou Ba et souligné son manque de témérité face à la confrontation.
Malgré des informations suggérant que d’autres candidats pourraient avoir acquis d’autres nationalités, Karim Wade a annoncé qu’il ne déposerait aucun recours devant le Conseil Constitutionnel. Il a fermement exprimé sa conviction selon laquelle seule la décision du peuple sénégalais devrait prévaloir dans une élection présidentielle ouverte et inclusive.
Cette déclaration intervient dans un contexte politique tendu alors que le Sénégal se prépare pour les élections présidentielles, mettant en lumière les enjeux entourant la citoyenneté des candidats. L’annonce de la renonciation de Wade à sa nationalité française vise à apaiser les préoccupations concernant son éligibilité et à mettre un terme à la controverse.
Ziguinchor, le 16 janvier 2024 – Les Enseignants Associés de l’Université Assane Seck de Ziguinchor ont déclenché un mouvement de grève de 72 heures renouvelables pour protester contre le non-paiement des arriérés de salaires correspondant au premier semestre de l’année universitaire 2022-2023.
Le collectif, qui avait déposé un préavis de grève au rectorat le 16 décembre 2023, affirme avoir averti à l’avance de la situation précaire. Ayant observé une période de trente jours après le dépôt du préavis, les enseignants ont pris la décision de déclencher une grève de 72 heures, laquelle est susceptible d’être renouvelée si leurs revendications ne sont pas satisfaites.
Dans une correspondance adressée au recteur le 22 décembre 2023, les Enseignants Associés de l’UASZ ont mentionné avoir déposé les fiches de déclarations des heures de vacations effectuées par l’ensemble des vacataires il y a plus d’un mois. Selon eux, la grève s’accompagnera d’une rétention des notes d’examen, et celles-ci ne seront levées qu’après le paiement total et effectif des vacations.
Cette action vise à attirer l’attention des autorités universitaires sur les difficultés financières rencontrées par les enseignants associés, mettant en lumière la nécessité urgente de résoudre la question des arriérés de salaires pour assurer le bon déroulement des activités académiques au sein de l’université.
La journée du mardi 16 janvier 2024 restera gravée dans l’histoire de la région de Ziguinchor, marquée par une série d’inaugurations d’infrastructures publiques à caractère économique et social. Au cœur de ces cérémonies, le musée mémorial Le Joola, érigé en hommage aux victimes de cette tragédie maritime.
Le musée mémorial Le Joola revêt une importance particulière, symbolisant la mémoire collective de la douleur, de la tristesse et du deuil qui ont marqué la région il y a deux décennies. Le bateau Le Joola a chaviré au large du fleuve Gambie, causant la perte de plus de deux mille vies, dont mille quatre cents dans la région de Ziguinchor. La commune de Ziguinchor a elle-même enregistré neuf cent soixante-quatorze victimes.
Le Premier ministre, lors de la cérémonie d’inauguration, a souligné la nécessité de rendre hommage à ce drame en érigeant ce mémorial. Il a déclaré : « Le mémorial en souvenir du drame et des victimes sera une célébration de la vie, manifestant notre engagement permanent à dire plus jamais ça. Ce mémorial nous aidera à vivre dans la conscience de la nécessaire préservation des valeurs qui sauvent des peuples et encourage les actions pensées, ordonnées, rigoureusement évaluées au bénéfice de la communauté. »
Le Premier ministre a également souligné que le musée mémorial Le Joola devrait être un pas vers la paix définitive dans la belle région de Casamance. Il a rappelé l’importance de tirer les bonnes leçons de cette tragédie et de mettre en pratique ces enseignements pour mobiliser la communauté dans l’effort et la rigueur.
Cette inauguration marque un moment significatif dans l’histoire de Ziguinchor, rendant hommage aux victimes du passé tout en jetant les bases d’un avenir imprégné de paix et de souvenirs durables.
Le Directeur Général de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), Mamadou Mamour Diallo, a entrepris une visite à Grand-Médine, Unité 19 des Parcelles Assainies, pour aborder les problèmes d’assainissement avec les résidents. Accompagné d’une délégation d’ingénieurs, il a prêté une oreille attentive aux préoccupations des habitants et a assuré la mise en œuvre de solutions concrètes.
La communauté a exprimé ses inquiétudes concernant les inondations persistantes et les défis liés à l’assainissement dans la région. Certains ont souligné les difficultés rencontrées au fil des ans malgré les tentatives précédentes d’amélioration. Le Directeur Général a salué l’engagement des résidents dans l’amélioration de leur environnement et a promis des solutions efficaces.
Mamadou Mamour Diallo a apaisé les préoccupations de la communauté en annonçant le début des travaux d’assainissement en février 2024. Ces travaux, prévus sur une période de trois mois, ont pour objectif de résoudre les problèmes d’inondations et de reflux d’eaux usées dans la région. Il a souligné que la commune des Parcelles Assainies reçoit chaque année une importante allocation dans le cadre du Programme Décennal de lutte contre les inondations (PDLI), et une partie de ces fonds sera utilisée pour résoudre les problèmes spécifiques soulevés par la population.
Le Directeur Général a également dévoilé un programme ambitieux qui couvrira les unités 1 à 26 des Parcelles Assainies, ainsi que des quartiers de Pikine, une partie de Guédiawaye et les Maristes. Ce programme, qui s’inscrit dans le cadre d’un Partenariat Public et Privé, illustre l’engagement continu des autorités à améliorer l’assainissement dans ces zones.
Les travaux annoncés font partie intégrante des initiatives du gouvernement sénégalais visant à résoudre les problèmes d’assainissement et à améliorer la qualité de vie des citoyens. La population locale peut désormais envisager un avenir plus sec et sécurisé grâce à ces interventions planifiées.
Le Premier ministre Amadou Ba a présidé ce mardi 16 décembre à Ziguinchor l’inauguration du Mémorial Bateau Le Joola. Cet événement solennel, dédié à la mémoire des victimes de l’une des plus grandes catastrophes maritimes de l’histoire du Sénégal, a été marqué par des discours poignants et un appel à la responsabilité collective.
Amadou Ba, portant les salutations du Président Macky Sall, a souligné l’importance de ce mémorial en tant que « veilleur aux aguets » pour garantir que de tels drames ne se reproduisent plus. Il a rappelé l’impact dévastateur du naufrage du Bateau Le Joola le 26 septembre 2002, une tragédie qui a laissé une cicatrice profonde dans l’histoire du Sénégal.
Le Premier ministre a exprimé sa reconnaissance envers les associations des familles des victimes et des rescapés, soulignant leur rôle crucial dans la concrétisation de ce projet mémoriel. Il a également salué la contribution des autorités gambiennes et des acteurs locaux pour la réussite de ce mémorial, érigé avec une pensée inclusive.
Le Mémorial Bateau Le Joola a été décrit comme un lieu de recueillement et d’enseignement, soulignant la nécessité de tirer des leçons de cette tragédie pour promouvoir des comportements responsables. Amadou Ba a souligné que la mémoire ne vit que dans la paix, et ce musée de mémoire devrait contribuer à la paix définitive dans la région de Casamance.
Le discours du Premier ministre a également abordé les enjeux du développement de la Casamance, mettant en avant les vastes potentialités de la région pour devenir un pôle de richesse et de croissance. Il a insisté sur la nécessité d’une prospérité partagée pour garantir une paix durable, soulignant que Ziguinchor est une région stratégique avec des atouts tels que deux aéroports, dont un international, et un port.
En conclusion, Amadou Ba a rendu hommage à toutes les personnes ayant contribué à la réalisation de ce mémorial, affirmant qu’il sera « une école, un livre ouvert et un film d’anticipation, » servant de veilleur pour encourager des comportements toujours plus responsables.
L’inauguration du Mémorial Bateau Le Joola marque ainsi un moment significatif dans l’histoire du Sénégal, rappelant la nécessité de préserver la mémoire tout en promouvant des valeurs de solidarité, de cohésion et de responsabilité collective.
Le secrétaire général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP), Yellamine Goumbala, a qualifié, mardi, de »remarquable », le bilan de cette structure étatique de contrôle ces dix dernières années (2014- 2024).
»L’ARTP a eu un bilan remarquable qui a permis de mettre notre pays au rang des nations qui ont réussi le virage du numérique, à travers des technologies comme la 3G, la 4G et maintenant la 5G », a dit Yellamine Goumbala.
Il présidait l’ouverture du 7-ème Forum de partage et d’échanges avec des professionnels des médias sur les secteurs régulés, qui se tient à Saly-Portudal (Mbour), à l’initiative de l’ARTP.
« Depuis 2001, pas moins de cinq textes ont modifié ses missions, élargi ses compétences et adapté ses modes de fonctionnement, jusqu’à la loi de 2018 portant Code des communications électroniques », a ajouté M. Goumbala.
Dans la période 2014, a-t-il poursuivi, »beaucoup de projets ont été coordonnés et déroulés par l’ARTP ».
Il a notamment cité la mise en place d’un centre de supervision du trafic des opérateurs et de la lutte contre la fraude, la participation aux travaux sur la TNT et l’attribution de fréquences pour le système de communication du Train Express Régional (TER).
Le responsable de l’ARTP a listé « l’encadrement des promotions par décision de l’ARTP » parmi les projets coordonnés et déroulés depuis 2014, de même que « le réaménagement des bandes de fréquences 2,6 GHz et 800 MHz pour disposer des ressources nécessaires à l’exploitation de la 4G par les opérateurs, et la mise en place du Free Roaming en Afrique de l’Ouest ».
Pour l’année 2023 , Yellamine Goumbala a souligné que « 10 nouvelles priorités ont été érigés en projets urgents », avant d’ajouter que « 95% des actions ont été réalisées dont l’extension successive du périmètre des licences de SONATEL et de Free à la technologie 5G , la mise en place du Roaming national, la certification de l’ARTP à la norme ISO 9001 / 2015″.
»Pour les 23 ans d’existence de l’ARTP, le directeur général a décliné 10 priorités pour l’Autorité en 2024 », a fait savoir le secrétaire général de la structure.
No comment ! L’émission Balance de Walf a été interrompue pour sa diffusion de ce mardi suite à des échanges houleux sur le plateau entre le responsable politique de la coalition BBY, Cheikh Gadiaga et les représentants des familles des détenus sur l’affaire Sonko.
La venue du Premier Ministre Amadou Ba dans le département de Bignona a été le catalyseur d’une compétition politique effervescente entre les leaders locaux. Cependant, il est indéniable que le jeune maire de Sindian, Ansoumana Sané, a captivé l’attention et remporté la palme de la mobilisation, éclipsant ainsi les autres responsables politiques de la région.
De Baila à Coubanao, en passant par Bignona, Ansoumana Sané a démontré sa capacité à fédérer des milliers de partisans, créant ainsi une ambiance chaleureuse pour accueillir dignement le Premier Ministre et candidat de la Coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) pour les élections présidentielles à venir en février.
Les cris enthousiastes des jeunes scandant « ANSOU OLOLI, » signifiant « ANSOU, C’EST NOTRE ANSOU, » ont résonné tout au long de l’événement, témoignant de l’engagement et du soutien massif dont bénéficie Ansoumana Sané parmi la jeunesse locale.
La mobilisation exceptionnelle orchestrée par le maire de Sindian a indéniablement placé ce dernier au centre des projecteurs politiques. Sa capacité à rallier une telle adhésion populaire reflète non seulement son charisme personnel, mais également sa connexion profonde avec la population locale.
Dans ce contexte électoral, Ansoumana Sané semble émerger comme un acteur politique influent, capable de mobiliser les citoyens au-delà des clivages traditionnels. Sa popularité croissante pourrait avoir un impact significatif sur le paysage politique local et potentiellement national.
La visite du Premier Ministre Amadou Ba a donc non seulement été l’occasion de discuter des enjeux politiques majeurs, mais elle a également mis en lumière l’émergence d’acteurs locaux dynamiques, à l’instar d’Ansoumana Sané, qui pourraient jouer un rôle déterminant dans les prochaines échéances électorales. La scène politique locale semble ainsi être en pleine effervescence, promettant des développements intéressants à l’approche des élections présidentielles.
À l’occasion de la Journée Nationale de l’Équité, le Président Macky Sall a exprimé ses félicitations à Thérèse Faye Diouf pour son engagement exemplaire en faveur de l’équité au sein de la nation sénégalaise. Dans un discours vibrant, le Président a dressé le profil d’un cadre modèle, soulignant les qualités nécessaires pour contribuer au développement équitable du pays.
Thérèse Faye Diouf, figure emblématique de l’équité sociale, a été saluée par le Président pour son dévouement envers la promotion de l’égalité des chances, de l’inclusion et de la justice. Le Président a souligné l’importance de tels leaders engagés qui œuvrent sans relâche pour créer un environnement où chaque citoyen a la possibilité de prospérer, indépendamment de ses origines.
Le discours présidentiel a mis en lumière les caractéristiques d’un bon cadre, mettant l’accent sur la compétence, l’intégrité et la vision. Le Président Macky Sall a souligné que les bons cadres sont ceux qui comprennent les enjeux de l’équité et qui travaillent de manière collaborative pour instaurer des politiques et des initiatives favorisant une société juste et équilibrée.
Le Président a également encouragé d’autres leaders et cadres du pays à suivre l’exemple de Thérèse Faye Diouf, en s’investissant activement dans la promotion de l’équité à tous les niveaux de la société. Il a appelé à une mobilisation collective pour faire progresser l’agenda de l’équité, soulignant que cela est essentiel pour le développement harmonieux et durable du Sénégal.
En conclusion, le Président Macky Sall a réaffirmé l’engagement du gouvernement en faveur de politiques visant à renforcer l’équité et à créer un environnement où chaque citoyen peut réaliser son potentiel. La Journée Nationale de l’Équité a ainsi été l’occasion de célébrer les réussites et de réaffirmer la détermination du Sénégal à construire un avenir équitable pour tous.
Le groupe E de la Coupe d’Afrique des Nations 2024 (CAN) a été le théâtre d’une rencontre palpitante, mettant aux prises le Mali et l’Afrique du Sud. Dans un match où l’enjeu était crucial, le Mali a réussi à s’imposer brillamment avec un score de 2 à 0, prenant ainsi la tête du groupe.
Le début de la partie a été marqué par un rythme relativement lent de la part des hommes d’Éric Chelle, mais ils ont rapidement trouvé leur élan en seconde mi-temps. Le Mali a su faire preuve de ténacité et de stratégie pour prendre le dessus sur une équipe sud-africaine résolue.
Les supporters présents dans les gradins ont été témoins d’un spectacle captivant, alors que les deux équipes se livraient à une bataille acharnée sur le terrain. Les moments clés du match ont été marqués par des actions offensives impressionnantes et une défense solide des deux côtés.
Les deux buts décisifs du Mali ont été inscrits avec finesse, démontrant la qualité technique et le talent de cette équipe. Les joueurs maliens ont su capitaliser sur les opportunités qui se sont présentées, confirmant ainsi leur détermination à briller dans cette compétition prestigieuse.
Cette victoire propulse le Mali en tête du groupe E, conférant à l’équipe une position enviable dans la suite du tournoi. Les supporters maliens, fiers de la performance de leur équipe, peuvent espérer des succès futurs alors que le parcours dans la CAN 2024 se poursuit.
Le sélectionneur Éric Chelle, satisfait de la prestation de ses joueurs, souligne l’importance de la cohésion d’équipe et de la stratégie tactique dans le succès de ce match crucial. Les prochains défis qui attendent le Mali dans la compétition seront incontestablement relevés avec détermination et ambition.
La victoire du Mali contre l’Afrique du Sud restera gravée dans les mémoires des amateurs de football, soulignant l’excitation et l’intensité que la CAN 2024 apporte au continent africain. L’avenir du Mali dans cette compétition promet d’être palpitant, et les supporters peuvent attendre avec impatience la suite des événements passionnants qui se dérouleront sur les terrains de la CAN 2024.
La tristesse s’abat sur l’équipe nationale sénégalaise alors que Cheikhou Kouyaté, l’un des piliers de l’équipe, quitte la Tanière des Lions en raison du décès de son père. La Fédération sénégalaise de football a officialisé cette autorisation spéciale, permettant au joueur de se rendre à Dakar pour assister aux funérailles de son regretté père.
L’annonce a été faite via la page Facebook de la Fédération sénégalaise de football, exprimant ainsi la solidarité et la compréhension envers le joueur dans ces moments difficiles. La levée du corps est prévue demain mercredi à la mosquée de Khar Yalla à 17 h, suivie de l’enterrement à Yoff.
Ledakarois, en cette période douloureuse, présente ses plus sincères condoléances à Cheikhou Kouyaté et à sa famille, ainsi qu’à toute l’équipe nationale. La perte d’un être cher est toujours un moment déchirant, et le monde du football se joint à l’ensemble du peuple sénégalais pour partager ce moment de deuil.
Cette nouvelle souligne également la fragilité de la vie, même au milieu des compétitions sportives, et rappelle que derrière chaque joueur se trouve un individu avec des liens familiaux et des émotions profondes. En ces circonstances difficiles, la nation sénégalaise soutient son joueur emblématique, Cheikhou Kouyaté, et lui souhaite courage et réconfort dans cette période douloureuse.
Face à la montée de la polémique autour de sa double nationalité, Karim Wade a choisi de mettre un terme au débat en fournissant des preuves irréfutables de sa perte de nationalité française par renonciation. Dans un message publié sur sa page Facebook, le candidat de la coalition K24 a annoncé que le mandataire de sa coalition, Maguette Sy, avait déposé la copie de la preuve devant le Conseil constitutionnel.
« La fausse polémique sur ma nationalité française est une question définitivement réglée », a déclaré Karim Wade, invitant la classe politique à se recentrer sur les véritables priorités et les attentes pressantes des Sénégalais et de la jeunesse du pays.
Karim Wade a également exprimé sa gratitude envers Thierno Alassane Sall, qui l’avait informé de son inscription encore active sur les listes électorales en France, un pays où il n’a jamais exercé son droit de vote. Cette clarification vise à dissiper toute ambiguïté entourant sa nationalité et à rediriger l’attention vers les enjeux plus importants qui concernent la nation.
Cette démarche de transparence de la part de Karim Wade est susceptible de calmer les eaux agitées de la polémique qui a alimenté la scène politique nationale ces derniers jours. En mettant fin à cette controverse, le candidat souhaite rétablir la confiance et permettre à la campagne électorale de se concentrer sur les véritables enjeux qui préoccupent les citoyens sénégalais. La ballon est désormais dans le camp des acteurs politiques, appelés à se consacrer aux attentes urgentes de la population plutôt qu’à des débats stériles sur des questions de nationalité.
Un incident tragique a secoué la communauté de Yeumbeul aujourd’hui, alors qu’un homme a été mortellement heurté par le Train Express Régional (TER). Selon les informations fournies par nos confrères de la Rfm, l’accident s’est produit à hauteur de Yeumbeul Keur Mbaye Fall en cette journée du 16 janvier.
À l’heure actuelle, la circulation du TER est perturbée, avec une interruption entre Rufisque et Yeumbeul. Les autorités ferroviaires sont sur les lieux pour gérer la situation et enquêter sur les circonstances exactes de l’accident.
Cet incident soulève des questions sur la sécurité ferroviaire et met en évidence la nécessité d’une vigilance accrue pour éviter de tels drames. Les habitants de Yeumbeul et des environs sont profondément affectés par cette perte tragique.
La victime, dont l’identité n’a pas encore été révélée, laisse derrière elle une communauté en deuil. Il est crucial que les autorités prennent des mesures pour prévenir de futurs accidents et assurer la sécurité des usagers du TER.
Nous suivrons de près l’évolution de la situation et fournirons des mises à jour dès que de nouvelles informations seront disponibles. En ces moments difficiles, nos pensées vont à la famille et aux proches de la victime.
« Je tiens à souligner le rôle exceptionnel de Lamine Camara dans notre stratégie contre la Gambie. Sa contribution sur le terrain a été essentielle, et il a joué un rôle clé dans la victoire d’aujourd’hui », a déclaré Aliou Cissé lors de la conférence de presse après le match.
Sans entrer dans les détails spécifiques de la stratégie, le coach a salué les performances individuelles et collectives de ses joueurs, mettant en lumière la manière dont ils ont mis en œuvre les tactiques préétablies.
« Nous avions élaboré un plan de jeu, et je suis fier de la manière dont les joueurs l’ont exécuté sur le terrain. Lamine Camara a particulièrement brillé, et son impact a été décisif dans notre victoire », a ajouté Cissé.
La déclaration du sélectionneur suggère que des ajustements tactiques et des performances individuelles exceptionnelles ont été des éléments clés de la stratégie sénégalaise pour surmonter la Gambie. Les révélations de Cissé soulignent également la profondeur du talent au sein de l’équipe, avec des joueurs comme Lamine Camara jouant un rôle majeur dans le succès de la nation à la CAN 2023.
La visite du Premier ministre Amadou Ba, candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar aux présidentielles de 2024, suscite des tensions au sein de la jeunesse locale. Deux tendances émergent au sein de la coalition, avec des désaccords sur la manière d’accueillir le candidat.
Certains jeunes, affiliés à Cheikh Diop, prévoient d’accueillir Amadou Ba avec des brassards rouges en signe de protestation. En réponse, les jeunes se réclamant légitimes et mandatés par la jeunesse de Benno Bokk Yaakaar dénoncent ces rumeurs et menacent de faire face à toute tentative de sabotage.
Ousmane Ba, porte-parole des jeunes légitimes, a affirmé lors d’une conférence de presse que le candidat Amadou Ba sera accueilli les bras ouverts en grande pompe par la jeunesse de Benno Bokk Yaakaar à Ziguinchor. Il a rejeté les informations sur un accueil agité avec des brassards rouges, qualifiant ces allégations de fausses.
« Nous voulons faire comprendre à l’opinion nationale que le candidat Amadou Ba sera bel et bien accueilli les bras ouverts en grande pompe par la jeunesse de Benno Bokk Yaakaar ici à Ziguinchor », a déclaré Ousmane Ba.
Il a également averti ceux qu’il considère comme des « tierces personnes » cherchant à semer la division au sein de la jeunesse de Benno Bokk Yaakaar, les appelant à l’unité en vue des défis à relever à Ziguinchor.
« Nous lançons un avertissement à ces derniers qui veulent créer des agissements lors de la venue du candidat Amadou Ba. Nous ne les laisserons pas faire, nous ferons face à toute forme de menaces, à toute forme de perturbations », a ajouté Ousmane Ba.
La tension persistante souligne les enjeux importants entourant la campagne électorale dans la région de Ziguinchor et l’importance cruciale de l’unité au sein de la coalition Benno Bokk Yaakaar pour remporter les élections présidentielles de 2024.
Une partie significative du quai de pêche de Kafountine a été ravagée par une forte houle au cours des dernières heures, laissant la communauté locale confrontée à des dommages étendus. Les câbles de raccordement électrique de la Sénelec ainsi que les conduites d’eau potable vers les îles de basse Casamance ont été sévèrement endommagés, exacerbant les difficultés déjà présentes.
Les conséquences ne se limitent pas seulement aux infrastructures de base. Les cimetières de Kafountine et le site de pèlerinage d’El Hadj Oumar Foutiyou Tall sont également sur le point d’être engloutis, représentant une menace grave pour le patrimoine historique et culturel de la région.
Face à cette situation critique, le maire de Kafountine a lancé un appel urgent à l’aide. Les dégâts causés par la houle mettent en péril non seulement les moyens de subsistance des pêcheurs locaux mais également l’accès à l’électricité et à l’eau potable pour toute la communauté. De plus, la menace sur les sites historiques est une préoccupation majeure.
« Nous faisons face à une crise sans précédent. Les dégâts sont étendus et touchent chaque aspect de la vie à Kafountine. Nous lançons un appel à l’aide d’urgence pour soutenir la reconstruction du quai de pêche, des infrastructures essentielles, et pour protéger nos sites historiques menacés », a déclaré le maire lors d’une conférence de presse.
La solidarité et le soutien de la communauté nationale et internationale sont essentiels pour atténuer les conséquences de cette catastrophe. Les autorités locales travaillent activement à évaluer l’ampleur des dégâts et à mettre en place des mesures d’urgence. La situation à Kafountine nécessite une réponse coordonnée pour protéger la vie, les biens, et le patrimoine culturel de la région.
La Gambie a subi une défaite face au Sénégal lors du premier match de la poule C de la Coupe d’Afrique des Nations 2023, disputé ce lundi au stade Charles Konan Banny de Yamoussoukro. Malgré la volonté affichée par le coach gambien, Tom Saintfiet, de jouer offensivement contre les Lions, la stratégie a été contrariée par la pression constante de l’équipe sénégalaise.
« On faisait face à une grande équipe qu’on respecte, mais nos plans n’étaient pas de jouer de manière défensive. On avait mis en place un 4-3-2-1 pour attaquer le Sénégal et créer le danger, mais l’adversaire nous a obligés à défendre. On voulait attaquer, mais on ne pouvait pas. L’objectif était de créer des occasions et de marquer des buts, mais la pression haute du Sénégal ne nous a pas laissé de solutions pour garder la balle longtemps », a déclaré Tom Saintfiet lors de la conférence de presse après le match.
La Gambie, qui avait initialement l’intention d’adopter une approche offensive, a été contrainte de défendre face à la domination du Sénégal tout au long du match. Le plan tactique élaboré par Tom Saintfiet n’a pas pu être mis en œuvre efficacement en raison de la qualité du jeu sénégalais et de leur capacité à exercer une pression élevée sur le terrain.
« La pression haute du Sénégal a été un défi pour nous. Nous voulions jouer notre jeu, mais il est difficile de le faire lorsque vous êtes constamment sous pression. Malgré cela, nous devons apprendre de cette expérience et nous ajuster pour les prochains matches », a ajouté le coach gambien.
La Gambie cherchera à rectifier le tir dans les prochains matchs de la compétition, en ajustant potentiellement sa stratégie pour mieux s’adapter aux défis rencontrés sur le terrain contre des adversaires de haut niveau tels que le Sénégal.
Dans une séance académique solennelle de l’Académie Nationale des Sciences et Techniques du Sénégal, le Président Macky Sall a dévoilé les grandes lignes de la Stratégie Nationale sur l’Intelligence Artificielle (SNIA). Un engagement fort en faveur de l’innovation et du positionnement du Sénégal comme acteur clé dans la révolution scientifique et industrielle de l’Intelligence Artificielle (IA).
La SNIA repose sur la vision audacieuse d’une « IA éthique et de confiance au Sénégal, catalyseur de la créativité, notamment des jeunes », souligne M. Sall. Cette stratégie, articulée autour de six orientations stratégiques, vise à préparer le Sénégal à jouer un rôle de premier plan dans cette révolution technologique de dernière génération.
Promouvoir 100.000 talents en IA d’ici 2028 : Le Sénégal ambitionne de devenir un centre d’excellence en matière de formation en IA. L’objectif est de former 100 000 experts en Intelligence Artificielle d’ici 2028, investissant dans l’éducation pour favoriser l’émergence de talents locaux.
Bâtir un écosystème IA dynamique : La SNIA prévoit un programme de soutien intégral, de la recherche en laboratoire jusqu’à la commercialisation des produits IA. Un écosystème dynamique qui encourage l’innovation et soutient le développement des technologies IA.
Constituer un cluster national IA : La création d’une équipe nationale dédiée à l’IA vise à concentrer les compétences et à favoriser la collaboration entre les experts locaux, les entreprises et les institutions académiques.
Renforcer les Alliances régionales et internationales : Une approche solidaire pour assurer une coopération étroite avec d’autres nations, favorisant les échanges d’expertise et le partage des meilleures pratiques en matière d’IA.
Faire de l’IA l’affaire de tous les Sénégalais : Un programme national de sensibilisation est prévu pour impliquer la société dans le processus d’adoption et de compréhension de l’IA, faisant de cette technologie une opportunité accessible à tous.
Mettre en place une Gouvernance pour une IA éthique et de confiance : La SNIA préconise la mise en place d’un cadre juridique robuste, d’une structure de pilotage et de régulations pour garantir une IA éthique et de confiance.
Le Président Sall souligne que la mise en œuvre de la feuille de route IA nécessitera des investissements estimés à 7 milliards de FCFA au cours des deux prochaines années. Il met également en avant les initiatives de l’État pour créer un environnement propice à l’innovation, notamment des programmes éducatifs destinés à sensibiliser et former les étudiants et professionnels aux concepts de l’IA.
Dans cette perspective, des centres de recherche innovants seront mis en place, et un soutien particulier sera accordé aux startups technologiques œuvrant dans des secteurs clés tels que la santé, l’agriculture, l’éducation et la gestion des ressources naturelles. Ces actions visent à encourager la recherche, l’innovation et l’application de technologies basées sur l’Intelligence Artificielle, reflétant l’engagement du Sénégal à jouer un rôle de premier plan dans la révolution technologique en cours. La SNIA s’impose ainsi comme un catalyseur pour stimuler la créativité et l’excellence dans le domaine de l’IA au Sénégal.
Après la victoire impressionnante des Lions de la Teranga face à la Gambie lors du derby tant attendu à la CAN 2023, le Président de la République, Macky Sall, a exprimé ses félicitations chaleureuses envers l’équipe nationale.
Ayant suivi attentivement le déroulement du match, le président Sall a partagé ses éloges via les médias sociaux : « Félicitations à nos Lions pour cette belle et triomphale entrée en matière dans cette Coupe d’Afrique des Nations. Votre engagement et dévouement font vibrer le Sénégal! Nos prières vous accompagnent pour le reste de la compétition. »
Cette reconnaissance présidentielle souligne l’importance du succès des Lions pour le peuple sénégalais et met en avant l’engagement de l’équipe nationale sur le terrain. Alors que le Sénégal se prépare pour son prochain défi contre le Cameroun, les encouragements et le soutien du président Sall augurent d’une campagne prometteuse pour les Lions de la Teranga à la CAN 2023.
Dans la première sortie des Lions de la Teranga à la Coupe d’Afrique des Nations contre la Gambie, Lamine Camara a brillé de mille feux et s’est vu décerner le titre d’homme du match. La rencontre s’est soldée par une victoire éclatante de 3-0 en faveur des Lions.
Auteur d’un doublé, Camara n’a pas seulement marqué des buts, mais il s’est également révélé être un acteur central du jeu sénégalais, particulièrement au niveau de l’entrejeu. Sa performance exceptionnelle a captivé l’attention des spectateurs et a été récompensée par cette distinction bien méritée.
Sa contribution significative au succès de l’équipe, sa maîtrise technique et son impact au milieu de terrain ont indéniablement été des éléments clés dans la victoire des Lions de la Teranga. Cette reconnaissance en tant qu’homme du match souligne l’influence majeure de Lamine Camara dans le succès retentissant du Sénégal lors de cette première rencontre à la CAN.
Dans une affaire marquée par l’attaque tragique du bus de Yarakh en août dernier, un mandat d’arrêt international a été émis à l’encontre de Saër Fall, actuellement en exil aux États-Unis. Accusé d’avoir participé à l’incendie qui a coûté la vie à deux personnes, Fall attend l’examen de sa demande d’asile par la justice américaine ce mois-ci.
Le document, émis par le Doyen des juges Maham Diallo, détaille des charges graves contre Saër Fall. Ces accusations, couvertes par plusieurs articles du Code pénal, incluent notamment l’association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, la dégradation et les dommages liés à une entreprise terroriste, ainsi que des actes mettant en danger la sécurité publique.
Le mandat d’arrêt international s’étend au-delà de l’attaque du bus de Yarakh, couvrant la période d’août 2021 à août 2023. Le contexte décrit par le magistrat Maham Diallo fait référence aux appels à manifester d’Ousmane Sonko, visant selon le juge à perturber les procès de Mame Mbaye Niang et Adji Sarr.
Dans le cadre de l’enquête sur l’attaque du bus de Yarakh, huit individus ont été identifiés comme suspects, dont quatre ont été arrêtés. Saër Fall, cependant, est parmi ceux qui ont pris la fuite. Le Doyen des juges invoque des traités bilatéraux et des conventions multilatérales pour demander son extradition.
L’examen de cette affaire souligne l’importance des enjeux internationaux et des défis liés à la coopération judiciaire entre les nations dans la poursuite de la justice pour des actes de cette gravité. Les développements futurs détermineront l’issue de cette affaire complexe et son impact sur la sécurité publique.
En ce jour de match d’entrée du Sénégal champion en titre à la CAN-2023 face à la Gambie, un terrible accident s’est produit sur l’autoroute à péage. Selon iRadio, trois véhicules, dont un de transport en commun, sont entrés en collision à hauteur de Diamniadio, dans le sens AIBD – Dakar.
Le bilan fait état de 16 blessés, dont cinq dans un état grave, selon le commandant des sapeurs-pompiers du Pôle urbain. Nous y reviendrons.
Les habitants de Ross-Béthio ont organisé une marche ce dimanche pour exprimer leur mécontentement envers la Société d’exploitation d’ouvrages hydrauliques (SEOH), chargée du service public de l’eau dans leur commune du département de Dagana, et ont demandé son départ immédiat.
La principale préoccupation des manifestants est la qualité de l’eau fournie par la SEOH, qu’ils estiment être non potable et à l’origine de divers problèmes de santé dans la région. Les protestataires dénoncent également le coût élevé des factures d’eau, fixé à 275 francs par mètre cube, une somme jugée excessive.
Les porte-paroles des manifestants ont appelé l’État à intervenir, soulignant que la délégation du service public de l’eau à une entreprise privée devrait résoudre le déficit en eau dans la région. Ils ont également mentionné une pétition qui a recueilli plus de 3000 signatures en une journée, démontrant ainsi l’ampleur du mécontentement de la population.
Les protestataires insistent sur la nécessité pour l’État de trouver des solutions immédiates pour assurer un approvisionnement en eau potable dans la ville. Ils estiment que l’accès à une eau de qualité est un droit fondamental et demandent des mesures concrètes pour résoudre cette situation.
Le chef de l’agence SEOH de Ross-Béthio, Malick Ngom, a refusé de commenter la situation, laissant ainsi planer l’incertitude quant à la position de la société face aux revendications des habitants.
La marche à Ross-Béthio reflète les préoccupations urgentes des habitants en matière d’accès à une eau potable et de conditions de vie saines. Les autorités sont appelées à agir rapidement pour résoudre cette situation et répondre aux besoins fondamentaux de la population.
Dans un journal rappé avec un seul titre à la une, “Oil United Vs Green Team, deux rappeurs sénégalais Xuman et Keyti, dénoncent le sponsoring de la CAN par TotalEnergies. Ce clip vidéo produit grâce à un partenariat entre Greenpeace Afrique et Kick Polluters Out demande à la Confédération Africaine de Football (CAF) de suspendre cette collaboration qui ternit l’image du football africain.
Yaoundé, 12 janvier 2024 – Un clip vidéo mettant en scène deux rappeurs sénéglais célèbres a été publié aujourd’hui par Greenpeace Afrique et son partenaire Kick Polluters Out, un mouvement de créateurs et d’activistes africains luttant contre le sportwashing par les grands pollueurs. [1] La vidéo critique le parrainage par le géant des énergies fossiles TotalEnergies de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), la principale compétition internationale de football masculin en Afrique, qui débute le samedi 13 janvier au stade olympique d’Ebimpé, en Côte d’Ivoire. Greenpeace Afrique demande à la CAF d’exclure TotalEnergies de ce tournoi et encourage les fans de football du monde entier à partager la vidéo afin de s’engager non seulement pour leur équipe, mais aussi pour un avenir où l’air sera pur et libéré de la tyrannie des combustibles fossiles. Thandile Chinyavanhu, responsable de la campagne pétrole et gaz de Greenpeace Afrique, a déclaré : « Les énergies fossiles, qui sont le moteur d’entreprises comme TotalEnergies, empoisonnent les poumons des athlètes africains et des supporters de football. La science affirme que nous devons abandonner les combustibles fossiles au profit des énergies propres. Mais Total continue de déplacer des communautés pour de nouveaux forages pétroliers et de cracher des gaz à effet de serre avant d’expédier ses profits massifs en Europe. Total transforme la CAN, célébration de l’unité africaine, en une grotesque opération de greenwashing. « Il est temps de chasser TotalEnergies de nos stades. Notre passion pour le football est profonde, mais notre amour pour une Afrique propre et saine l’est tout autant », a-t-elle ajouté. Dans ce clip vidéo, les deux rappeurs décrivent une CAN d’un autre genre, opposant les Écologistes et les Pétroliers. D’un côté, les « Oil United, » tristement célèbres pour leur obsession envers l’exploitation excessive des ressources pétrolières et gazières, au détriment des écosystèmes naturels. Cette équipe s’oppose à la Green Team, dévouée quant à elle à la préservation de la planète face à la voracité des multinationales pétrolières. Ce match revêt une importance cruciale pour les générations actuelles et futures qui subissent chaque jour les affres des grands pollueurs.
Keyti du Journal Rappé a déclaré
“Notre devise est l’autonomisation des jeunes par l’information, car en réalité, les jeunes Africains sont ceux qui, à ce stade, peuvent réellement changer la dynamique de nos pays ». Cette parodie musicale dénonce le greenwashing de TotalEnergies, une compagnie qui se sert délibérément des millions de téléspectateurs de la CAN pour redorer son image, tout en continuant à tirer profit de l’extraction de combustibles fossiles qui détruisent le climat. Les deux artistes dépeignent TotalEnergies comme hypocrite, tout en décrivant ses nouveaux plans d’exploration des combustibles fossiles en Afrique comme un mépris flagrant de la crise climatique. Le clip vidéo vient s’ajouter à une autre vidéo publiée par la même équipe à de mêmes fins. Samm Farai Monro, cofondateur de Kick Polluters Out et Directeur de Magamba Network, a déclaré : « TotalEnergies est coupable d’avoir commis une faute. Elle aime donner d’elle-même une image propre et verte avec son parrainage de l’AFCON. Mais la réalité est bien différente. À l’heure où les scientifiques nous disent d’arrêter tout nouveau projet d’énergie fossile, Total développe plus de ressources pétrolières et gazières en Afrique que n’importe quelle autre entreprise[3]. En tant qu’Africains, nous devons donner un carton rouge à TotalEnergies. On aime le football mais on déteste la pollution !” Actuellement, TotalEnergies provoque une vague de destruction sur le continent africain. Elle construit l’oléoduc est-africain (EACOP) pour transporter le pétrole du lac Albert, en Ouganda, jusqu’au port de Tanga, en Tanzanie. Ce projet destructeur devrait entraîner le déplacement de plus de 100 000 personnes, selon la campagne Stop EACOP[4]. Au Mozambique, TotalEnergies est accusé d’attiser les conflits dans la région déjà instable de Cabo Delgado avec son projet de développement gazier de 20 milliards de dollars. En Afrique du Sud, Total a reçu le feu vert du gouvernement pour effectuer des forages pétroliers et gaziers en mer, malgré les inquiétudes fondées concernant l’impact sur la vie marine et l’environnement. Pour ajouter au contexte, Total a réalisé un bénéfice net stupéfiant de plus de 6,7 milliards de dollars au cours du troisième trimestre 2023.
FIN Regardez la vidéo et partagez-la sur YouTube, Instagram, X.
Notes [1] Voir Kick Polluters Out sur X pour plus d’informations sur le mouvement. [2] Rapport du PNUE sur la lutte contre le changement climatique [3] Qui finance l’expansion des combustibles fossiles en Afrique ? [4] Site web de Stop EACOP [5] Bénéfices de TotalEnergies pour le troisième trimestre 2023
Greenpeace Afrique est membre de Kick Polluters Out – un mouvement de créateurs et d’activistes africains qui s’opposent au sportwashing et au greenwashing pratiqués par les grands pollueurs. Le réseau est organisé par Magamba Network (Zimbabwe) et comprend Buni Media (Kenya) et Journal Rappé (Sénégal). Don’t Gas Africa, Fossil Free Football et Cool Down Network soutiennent également cette campagne. Contacts Pour plus d’informations, veuillez contacter Luchelle Feukeng, Responsable de la communication et du storytelling chez Greenpeace Afrique, lfeukeng@greenpeace.org Greenpeace International Press Desk : pressdesk.int@greenpeace.org, +31 (0) 20 718 2470 (disponible 24 heures sur 24). Pour les derniers communiqués de presse internationaux, suivez-nous sur Twitter @greenpeacepress
Le Premier Ministre, Amadou Bâ, a entamé une tournée économique dans le sud du Sénégal, débutant son séjour par Tambacounda où il a été accueilli avec les honneurs par les autorités administratives. Cette tournée vise à explorer les dynamiques socio-économiques de la région et à rencontrer les acteurs clés.
Arrivé à l’aéroport de Tambacounda vers midi, le Premier Ministre a débuté son séjour économique par une visite à Kolda. Durant sa visite, il a exploré le marché de Diaobé, inspecté le tronçon de Médina Yoro Foula, et pris connaissance des activités de la SODAGRI. Cette première étape a été marquée par des interactions avec les acteurs socio-économiques locaux.
La tournée économique du Premier Ministre a pour objectif de mieux comprendre les réalités économiques du sud du Sénégal. Il s’agit également d’échanger avec les entrepreneurs, agriculteurs et autres acteurs du secteur pour identifier les opportunités, les défis et les besoins spécifiques de la région.
Au cours de son séjour, le Premier Ministre Amadou Bâ prévoit des rencontres avec les acteurs socio-économiques des différentes localités visitées. Ces échanges permettront de recueillir des informations de première main, d’aborder les préoccupations des citoyens, et de discuter des perspectives de développement dans la région.
La tournée économique du Premier Ministre dans le sud du Sénégal témoigne de l’engagement du gouvernement à comprendre et à soutenir le développement économique régional. Ces visites sur le terrain offrent une occasion unique de renforcer la collaboration entre les autorités centrales et les acteurs locaux, contribuant ainsi à une croissance économique plus inclusive et équilibrée à travers le pays.
La cérémonie d’inauguration du Bus Rapid Transit (BRT) a vu la participation du président Macky Sall, avec Ahmed Aidara, maire de Guédiawaye, saluant le projet pour son impact sur la mobilité et l’emploi. Cependant, Ahmed Aidara a saisi cette occasion pour adresser une requête au président Sall concernant l’emploi des jeunes de Guédiawaye dans cette infrastructure cruciale.
Ahmed Aidara a exprimé sa reconnaissance envers le projet BRT, soulignant son importance tant pour la mobilité que pour l’emploi. Le maire a reconnu la valeur du projet, qui promet d’avoir un impact significatif sur la vie quotidienne des citoyens.
Cependant, Ahmed Aidara a formulé une demande spécifique au président de la République en lien avec l’emploi des jeunes de Guédiawaye. Étant donné que le projet prend son départ dans cette localité, le maire a plaidé en faveur de l’attribution d’un nombre significatif d’emplois aux jeunes de Guédiawaye dans cette nouvelle infrastructure.
Le projet BRT, d’un coût global de 419 milliards de francs CFA, prévoit déjà la création de 1000 emplois directs. De ce nombre, 35% seront dédiés aux emplois féminins, et 50% seront alloués aux communes traversées par le projet.
L’appel d’Ahmed Aidara en faveur de l’emploi des jeunes de Guédiawaye dans le cadre du projet BRT souligne l’importance de veiller à ce que les retombées de cette infrastructure bénéficient directement à la communauté locale. La création d’emplois, en particulier pour les jeunes, est un enjeu crucial pour le développement durable et l’inclusion sociale dans le cadre de projets d’une telle envergure.
La rencontre tant attendue entre l’Égypte et le Mozambique lors de la CAN 2024 a été marquée par des rebondissements inattendus. Le Mozambique, sur le point de réaliser un exploit historique, a été contré par une égalisation spectaculaire des pharaons égyptiens dans les dernières secondes du temps additionnel, aboutissant à un match nul (2-2).
Menés initialement (1-0), le Mozambique a renversé la situation en marquant deux buts en trois minutes, prenant ainsi l’avantage et mettant l’Égypte en difficulté. Tout semblait indiquer que le Mozambique allait remporter sa première victoire en phase finale de la CAN. Cependant, la détermination des Égyptiens s’est révélée cruciale, et ils ont réussi à égaliser à la 90+5, grâce à un penalty converti par la star Mohamed Salah.
Bien que le match se soit conclu sur un match nul (2-2), ce résultat peut être considéré comme un mauvais départ pour l’Égypte dans cette édition de la Coupe d’Afrique des Nations. Le groupe B, comprenant également le Cap-Vert, le Ghana et le Mozambique, s’annonce compétitif et les pharaons devront redoubler d’efforts pour améliorer leurs performances lors des prochains matchs.
Logés dans un groupe relevé, les défis s’annoncent nombreux pour l’Égypte. Avec des adversaires de taille, les pharaons devront rapidement se ressaisir, analyser les lacunes exposées lors de ce premier match, et mettre en place une stratégie plus solide pour les rencontres à venir. La compétition promet d’être intense, et l’Égypte devra montrer sa capacité à surmonter les obstacles pour espérer briller lors de cette 34ème édition de la CAN.
La rencontre entre l’Égypte et le Mozambique restera dans les mémoires en raison de son dénouement dramatique. Alors que le Mozambique était tout près de créer la surprise, l’Égypte a évité la défaite in extremis. Le parcours des pharaons dans cette compétition africaine reste incertain, mais l’équipe aura à cœur de se rattraper dans les prochains matchs pour atteindre ses objectifs dans cette CAN 2024.
Dans une déclaration passionnée, l’entraîneur de l’équipe nationale du Sénégal, Aliou Cissé, a souligné l’importance du match à venir contre la Gambie pour assurer une entrée prometteuse dans la compétition de 2024. « Nous devons gagner notre match avec la Gambie pour une bonne entrée à la compétition », a déclaré Cissé.
Ces mots reflètent la détermination de l’équipe à atteindre des sommets lors de cette compétition prestigieuse. Cissé, ancien joueur de renom, apporte une passion et une expérience inestimables à son rôle d’entraîneur, motivant ses joueurs à donner le meilleur d’eux-mêmes sur le terrain.
Les supporters sénégalais attendent avec impatience le début de la compétition et espèrent que l’équipe nationale pourra surmonter les défis à venir. Le match contre la Gambie est perçu comme un premier test crucial, et la victoire serait non seulement un soulagement, mais aussi un catalyseur pour la confiance de l’équipe.
Les joueurs clés de l’équipe sénégalaise se préparent intensément pour cette confrontation, conscient de l’importance de chaque moment dans cette compétition où la compétition est féroce. L’objectif de Cissé est clair : assurer une entrée mémorable, jetant les bases d’une performance exceptionnelle tout au long du tournoi.
Les supporters, quant à eux, sont prêts à rallier derrière leur équipe nationale, créant une atmosphère électrique dans les stades. Le soutien inconditionnel du peuple sénégalais jouera un rôle crucial dans l’inspiration des joueurs à atteindre de nouveaux sommets.
En conclusion, le message d’Aliou Cissé résonne comme un appel à l’unité et à la détermination. La victoire contre la Gambie serait plus qu’une simple réussite ; elle représenterait le début d’un parcours prometteur pour l’équipe sénégalaise dans la compétition de 2024.
Dans un tournant significatif du paysage politique, Ousmane Goudiaby, ancien Directeur de Cabinet du Ministre Aminata Assome Diatta et Responsable politique à Ziguinchor, a annoncé son ralliement à l’Union Centriste Sénégalaise (UCS).
C’est une décision qui ne passe pas inaperçue, marquant un chapitre important dans la trajectoire politique de Goudiaby. Son parcours professionnel et son expérience en tant que proche collaborateur du Ministre Aminata Assome Diatta apportent une valeur ajoutée à l’UCS.
Lors de l’annonce officielle, Goudiaby a souligné les raisons de ce choix, mettant en avant la vision centriste axée sur l’unité, le progrès et le service envers la population. Il a exprimé sa conviction que l’UCS représente le cadre idéal pour mettre en œuvre les idéaux qui lui tiennent à cœur.
Cette adhésion a été saluée au sein de l’UCS comme un enrichissement de leur diversité et un renforcement de leurs rangs. Le Président de l’UCS a accueilli chaleureusement Ousmane Goudiaby, soulignant l’importance des valeurs partagées et de la collaboration pour un Sénégal meilleur.
Les réactions ne se sont pas fait attendre, avec des membres de la communauté politique exprimant leurs félicitations et leur soutien à Goudiaby. Son passage à l’UCS suscite des discussions sur l’évolution du paysage politique local et les alliances qui pourraient émerger dans le futur.
L’arrivée d’Ousmane Goudiaby à l’UCS représente un moment significatif dans la dynamique politique actuelle. Sa décision de rejoindre ce mouvement centriste ouvre de nouvelles perspectives et souligne l’importance de la diversité d’idées pour le développement harmonieux du Sénégal.
Le Conseil constitutionnel sénégalais a rendu publique la liste des candidats à l’élection présidentielle du 25 février 2024, conformément aux dispositions constitutionnelles et du Code électoral. Ndiaga Sylla, expert juridique, partage son avis sur cette annonce, soulignant notamment les possibilités de réclamations offertes aux 93 candidats et appelant à une réforme du système de parrainage et des procédures liées au Conseil constitutionnel.
En vertu de l’article 30 de la Constitution et de l’article L.126 du Code électoral, le Conseil constitutionnel a publié la liste des candidats à l’élection présidentielle du 25 février 2024 le 12 janvier 2024. Ndiaga Sylla rappelle qu’il avait formulé des conseils aux requérants deux jours avant cette décision, soulignant la nécessité de respecter les délais de dépôt et de traitement des réclamations.
Les 93 candidats ont le droit de formuler des réclamations contre la liste des candidats dans les 48 heures suivant la publication, soit les 15 et 16 janvier. Le Conseil constitutionnel disposera alors de trois jours pour statuer sur l’ensemble des recours. Les candidats recalés pour divers motifs, tels que l’absence de pièces obligatoires, un fichier inexploitable, des parrainages non conformes, ou encore l’inéligibilité, peuvent déposer leurs réclamations au Greffe du Conseil constitutionnel.
Ndiaga Sylla souligne l’importance de lire intégralement la décision du Conseil constitutionnel du 12 janvier 2024, qui traite de la recevabilité de chaque candidature après des vérifications approfondies des dossiers de candidature. Il reviendra au Conseil constitutionnel de statuer sur les réclamations, potentiellement modifier ou confirmer la liste des candidats à l’élection présidentielle.
La liste actuelle, validant 21 candidatures, est déjà considérée comme au-dessus de la moyenne en Afrique. Ndiaga Sylla réitère l’urgence d’une réforme du système de parrainage ainsi que des procédures et délais de saisine du Conseil constitutionnel. Cette recommandation s’inscrit dans une perspective d’amélioration continue du droit électoral, évoluant au fil du temps et s’enrichissant de la jurisprudence.
L’analyse juridique de Ndiaga Sylla met en lumière les étapes cruciales à venir, notamment les réclamations des candidats et la décision finale du Conseil constitutionnel. Cette publication souligne également la nécessité d’ajustements dans les procédures électorales pour renforcer la transparence et l’équité dans le processus électoral au Sénégal.
Le candidat Thierno Cissé, condamné à six mois de prison ferme pour fraude au parrainage et mission de chèque sur un compte clôturé, a choqué l’audience en déclarant qu’il agissait sous les instructions divines d’Allah Soubhana Watala.
L’affaire a éclaté lorsque la Banque Islamique du Sénégal a alerté le Conseil constitutionnel sur un chèque émis par Thierno Cissé, dont le compte avait été clôturé. Lors de l’audience, le candidat a admis les faits, mais a affirmé qu’il agissait de bonne foi et qu’il avait exécuté ses « passifs » jusqu’au bout.
Interrogé sur qui lui avait donné l’instruction de déposer un faux parrainage, Thierno Cissé a déclaré : « C’est une instruction divine. L’être supérieur, Allah Soubhana Watala. »
Le président de l’audience a souligné le caractère sérieux des faits, rappelant à Thierno Cissé qu’il avait cherché à devenir président en tant que faussaire. Le candidat n’a pas répondu et a baissé la tête.
Le procureur a qualifié les faits d’extrêmement graves et a requis une peine d’emprisonnement d’un an ferme pour fraude au parrainage et six mois ferme pour mission de chèque sur un compte clôturé, accompagnée d’une amende ferme de 100 000 francs CFA.
Finalement, Thierno Cissé a été déclaré coupable et condamné à six mois de prison ferme, avec une amende ferme de 100 000 francs CFA.
À l’approche du choc entre le Sénégal et le Cameroun lors de la Coupe d’Afrique des Nations en Côte d’Ivoire, l’ancienne star du football sénégalais, El Hadji Diouf, a émis un avertissement clair aux Lions Indomptables. Défendant le titre acquis lors de la précédente édition, le Sénégal se présente comme un adversaire redoutable, et El Hadji Diouf veut s’assurer que le Cameroun est conscient de la tâche qui l’attend.
El Hadji Diouf, alias « Dioufy Fire », reconnaît la pression qui pèse sur l’équipe en tant que championne en titre. Cependant, il perçoit cette pression comme une force motivante plutôt qu’un fardeau. Il déclare : « Ce n’est pas une charge d’être attendu, je crois d’ailleurs que c’est une bonne pression. On a la meilleure équipe. On a les stars du moment et les joueurs qui prennent du plaisir sur un terrain et qui vont donner beaucoup de plaisir. »
L’avertissement le plus fort d’El Hadji Diouf s’adresse directement au Cameroun : « Avant de nous passer dessus, il faut se réveiller très tôt. » Cette déclaration souligne la confiance du Sénégal en sa puissance footballistique et en la qualité de son effectif. Dioufy Fire met en garde que la route pour battre les Lions de la Teranga ne sera pas facile.
El Hadji Diouf exprime la conviction que l’équipe a tiré des leçons de ses erreurs passées et est prête à défendre son titre. Il souligne l’importance de la pression positive, affirmant que cela servira de motivation pour les joueurs et sera transféré aux supporters. « Je crois que nous allons beaucoup appris de nos erreurs pour essayer de garder notre titre. »
L’ancienne star du football sénégalais conclut en exprimant la confiance du Sénégal à réaliser ce que les Anglais appellent le « back to back », c’est-à-dire remporter le titre de la CAN deux fois de suite. Cette déclaration renforce l’ambition et la détermination de l’équipe à marquer l’histoire du football africain.
L’avertissement énergique d’El Hadji Diouf crée une atmosphère palpitante avant le choc prévu entre le Sénégal et le Cameroun. Les Lions Indomptables sont clairement avertis : affronter le champion en titre ne sera pas une tâche facile, et les Lions de la Teranga sont déterminés à défendre leur titre avec acharnement.
Le Directeur général de l’Agence nationale d’aménagement du territoire (Anat), Mamadou Djigo a reçu Modou Diagne Fada, Ministre des Collectivités territoriales, de l’Aménagement et du Développement des Territoires pour une prise de contact par rapport aux perspectives de leurs départements respectifs, ce jeudi 11 janvier dans les locaux de l’Anat.
Retour en image de cette cérémonie solennelle qui vise à consolider les relations intrinsèques entre ces deux entités indissociables pour le développement du Sénégal à partir de ses territoires.
Les plus grands footballeurs du continent se sont donnés rendez-vous pour la Coupe d’Afrique des nations 2024 (13 janvier-11 février) en Côte d’Ivoire. Tous rêvent de brandir le trophée dans le ciel d’Abidjan au soir de la finale. Focus sur sept joueurs sur lesquels reposent les espoirs de millions de supporters pour cette CAN.
Qui régnera sur le continent africain lors des deux prochaines années ? La 34e CAN arrive, et les meilleurs joueurs d’Afrique ne pensent qu’à la finale prévue le 11 février 2024 au stade Alassane-Ouattara d’Abidjan. Avant le coup d’envoi en Côte d’Ivoire, la rédaction de RFI dresse le profil des sept joueurs les plus attendus de la compétition.
Sadio Mané, leader des champions d’Afrique – Sénégal
Honneur au champion en titre et meilleur joueur de la dernière édition au Cameroun. Sadio Mané, meilleur buteur de l’histoire du Sénégal (40 buts), est tout simplement le fer de lance des Lions. À 31 ans, l’attaquant reste la star et l’arme principale de l’équipe dirigée par Aliou Cissé. Il y a deux ans, il a mené son pays en terre promise, avec ce premier sacre tant attendu à Yaoundé face à l’Égypte. Aujourd’hui à Al-Nassr (Arabie saoudite), après six saisons dorées à Liverpool suivies d’un passage mitigé au Bayern Munich, Sadio Mané rêve de conserver le titre continental.
Victor Osimhen, Joueur africain de l’année et arme létale – Nigeria
Il avait manqué la CAN 2022, victime d’abord de multiples fractures au visage, puis testé positif au Covid-19 avant la compétition. Cette fois, Victor Osimhen sera bien présent. Et c’est auréolé d’un nouveau statut qu’il se présente en Côte d’Ivoire. L’ancien Lillois a pris une dimension gigantesque à Naples, où il reste sur deux saisons majeures, notamment la dernière où il a fini champion d’Italie et meilleur buteur de Serie A (26 réalisations). Devenu l’un des attaquants les plus redoutables au monde, le Super Eagle sera scruté en Côte d’Ivoire, où le Nigeria entend jouer les premiers rôles.
Yassine Bounou, dernier rempart à l’ambition dévorante – Maroc
Au sein des Lions de l’Atlas qui ont brillé lors d’une Coupe du monde 2022 historique, il a été l’un des meilleurs. Au Qatar, il a gardé sa cage inviolée notamment face aux flèches belges, espagnoles et portugaises. Yassine Bounou a même écœuré la Roja en repoussant deux tirs au but. Le gardien marocain a montré, à cette occasion, ce talent qui a fait de lui l’un des meilleurs portiers en Liga du côté du Séville FC, club avec lequel il a soulevé deux fois la Ligue Europa en trois ans. En toute logique, le Maroc débarque en Côte d’Ivoire avec le costume de favori. Et le sélectionneur Walid Regragui compte évidemment sur Yassine Bounou pour aller chercher une CAN après laquelle les Marocains courent depuis 48 ans.
Sébastien Haller, le revenant en quête de rebond – Côte d’Ivoire
Son histoire a bouleversé le monde du ballon rond. Mi-2022, Sébastien Haller, tout juste recruté par le Borussia Dortmund, mettait sa carrière en suspens quelques mois, le temps de soigner un cancer. Guéri et revenu à la compétition il y a tout juste un an, l’attaquant peine à retrouver l’éclat qui était le sien à l’Ajax Amsterdam. À Dortmund, l’Ivoirien a perdu sa place de titulaire et piétine (14 matches toutes compétitions confondues pour deux buts en Coupe d’Allemagne cette saison). Pour l’Éléphant, cette CAN à domicile peut être l’occasion de revenir à son meilleur niveau.
Riyad Mahrez, le Fennec revanchard – Algérie
C’est peu dire que l’année 2022 fut douloureuse pour l’Algérie. Les champions d’Afrique 2019 furent éliminés dès le premier tour de la CAN au Cameroun, avant de perdre leur billet pour le Mondial au Qatar dans les derniers instants face aux Lions indomptables. Deux échecs cuisants pour capitaine Mahrez, plus verni en club pour sa dernière saison à Manchester City, où il a signé le triplé Premier League-Cup-Ligue des champions. Parti en Arabie saoudite à Al-Ahli à l’été 2023, Riyad Mahrez compte bien montrer que les Fennecs ont toujours de l’appétit et laver l’affront de 2022.
Serhou Guirassy, la machine à marquer – Guinée
Il est l’une des nouvelles attractions de cet exercice 2023-2024, et le principal acteur de la très bonne première moitié de saison du VfB Stuttgart en Bundesliga. En Allemagne, Serhou Guirassy est en feu, et c’est toute la Guinée qui se prend à croire à une CAN de folie dans son sillage. Auteur de 10 buts sur les cinq premières journées, l’attaquant de 27 ans a poursuivi sur cette formidable lancée jusqu’à une blessure aux ischio-jambiers fin octobre. Cette lésion a cassé sa dynamique, mais Serhou Guirassy a retrouvé du rythme en décembre. Un retour idéal à l’heure de disputer sa première CAN.
Mohamed Salah, la quête du Graal africain se poursuit – Egypte
Devenu roi en Angleterre avec Liverpool, où il a conquis Premier League et Ligue des champions, Mohamed Salah court toujours après la consécration avec les Pharaons. International depuis 2011, l’attaquant n’a pas connu les conquêtes de l’Égypte du début des années 2000. Pire, il a échoué à deux reprises en finale : une première fois en 2017 face au Cameroun, une seconde fois lors de la dernière édition face au Sénégal. À 31 ans, le capitaine égyptien ne veut plus passer à côté d’une destinée en or avec son pays. Le buteur fera tout pour, enfin, mettre la main sur cette CAN qui lui échappe depuis des années.
Les joueurs de l’équipe nationale de football de la Gambie ont vécu une expérience terrifiante lors d’un vol récent, où un défaut d’oxygène a contraint l’avion à rebrousser chemin seulement neuf minutes après le décollage. Cet incident, qui a mis en danger la vie des passagers, soulève des préoccupations sérieuses quant à la sécurité aérienne et met en lumière les risques auxquels sont parfois confrontés les voyageurs, même au plus haut niveau du sport.
Dans une communication officielle adressée à la rédaction de Seneposte, la Fédération Gambienne a expliqué que le vol, opéré par la compagnie Air Côte d’Ivoire, a été interrompu en raison d’une perte de pression de la cabine et d’un manque d’oxygène. L’équipage, ayant rapidement identifié le problème, a pris la décision de retourner à Banjul pour assurer la sécurité des passagers.
Les membres de l’équipe nationale gambienne ont exprimé leur frayeur et leurs préoccupations quant à la gravité de la situation. Certains joueurs ont signalé des problèmes respiratoires et de sévères maux de tête pendant le vol. « Nous n’avions pas d’oxygène dans le vol, nous ne pouvions pas respirer. Certains d’entre nous ont mal à la tête et sont encore essoufflés », ont déclaré les joueurs sur Gamfoot.
Suite à cet incident préoccupant, l’équipe technique d’Air Côte d’Ivoire examine attentivement la situation pour déterminer la cause exacte du défaut d’oxygène et de pression de la cabine. Les résultats de ces enquêtes préliminaires seront essentiels pour comprendre les circonstances exactes de l’incident et prendre des mesures correctives afin d’assurer la sécurité des vols futurs.
Cet incident souligne l’importance cruciale des normes de sécurité dans l’industrie aéronautique. Alors que les joueurs gambiens retournent chez eux indemnes mais secoués, cet épisode met en lumière les défis auxquels peuvent être confrontés les passagers, même dans le contexte du transport aérien professionnel. Il est essentiel que les autorités compétentes prennent des mesures appropriées pour garantir que de tels incidents ne se reproduisent pas à l’avenir, préservant ainsi la sécurité et la confiance des voyageurs.