Alioune Sarr, ancien ministre, interpellé pour une affaire d’escroquerie foncière

Alioune Sarr, ancien ministre du Commerce puis du Tourisme et des Transports aériens sous la présidence de Macky Sall, a été interpellé mardi par la Section de recherches (SR) de Thiès, selon les révélations du journal Libération. Cette arrestation intervient dans le cadre d’une affaire d’escroquerie foncière, dans laquelle des promoteurs immobiliers accusent Sarr de leur avoir promis des terrains en échange d’un paiement.

Toujours selon Libération, pour éviter une procédure judiciaire, l’ancien ministre aurait tenté de régler l’affaire à l’amiable en émettant un chèque en faveur des plaignants. Toutefois, ce chèque aurait été rejeté pour insuffisance de fonds, ce qui a relancé les accusations.

Présenté devant le juge du deuxième cabinet du tribunal de Thiès, Alioune Sarr aurait cependant échappé à la détention grâce à une médiation pénale. Les deux parties seraient parvenues à un accord en présence du magistrat, à condition que Sarr respecte ses engagements envers les plaignants.

L’affaire, bien que marquée par une tentative d’entente à l’amiable, met en lumière les difficultés rencontrées dans la gestion des transactions foncières au Sénégal, un secteur souvent source de litiges et de controverses. Quant à Alioune Sarr, il semble avoir évité des poursuites judiciaires, mais il devra honorer ses promesses pour clore définitivement ce dossier.

Barthélémy Dias interpelle l’administration pénitentiaire sur les conditions de détention de Bougane Gueye

Le maire de Dakar, Barthélémy Dias, a vivement critiqué les conditions de détention du leader du mouvement Gueum Sa Bopp, Bougane Gueye Dany, actuellement incarcéré à la maison d’arrêt et de correction de Tamba. Lors de la conférence des leaders de la coalition Samm Sa Kaddu, Dias, ancien détenu lui-même dans plusieurs établissements pénitentiaires du pays, a exprimé son inquiétude quant au traitement réservé à Bougane Gueye.

Selon un membre du cabinet de Bougane, qui a récemment rendu visite au leader politique, celui-ci est détenu dans une cellule surpeuplée, abritant 48 personnes. Cette situation, perçue comme une atteinte à la dignité humaine, a suscité de nombreuses critiques de la part de ses partisans.

Dias, qui avait été emprisonné en 2005 à Tamba, n’a pas mâché ses mots pour décrire les conditions de détention dans cette prison. Il a qualifié l’établissement de « enclot pour chevreaux », soulignant l’inadéquation des infrastructures pour accueillir dignement des détenus. « Il est anormal d’emprisonner un leader politique d’un tel niveau dans des cellules insalubres et surpeuplées », a-t-il déclaré.

Cette prise de position intervient alors que la question des conditions carcérales au Sénégal devient de plus en plus préoccupante, avec plusieurs rapports mettant en lumière la surpopulation, l’insalubrité, et le manque de soins de santé dans les prisons du pays. Barthélémy Dias a ainsi appelé l’administration pénitentiaire à prendre des mesures urgentes pour améliorer la situation de Bougane Gueye et de l’ensemble des détenus.

En attendant, les partisans de Gueum Sa Bopp continuent de manifester leur soutien à leur leader, tout en espérant une amélioration de ses conditions de détention.

Thierno Alassane Sall interpelle Ousmane Sonko pour un débat public sur les dossiers clés de la nation

Dans une réaction postée sur le réseau social X, le leader de la République des Valeurs, Thierno Alassane Sall, a lancé un défi direct à Ousmane Sonko, l’actuel Premier ministre du Sénégal, l’invitant à un débat public sur des sujets de haute importance pour le pays. Ce geste intervient suite à une sortie récente du Premier ministre, qui avait proposé un débat, mais avec des choix précis de thèmes et de débatteurs.

S’exprimant fermement, Thierno Alassane Sall a contesté l’idée d’un débat sélectif, suggérant que de nombreux dossiers méritent d’être abordés. Il a notamment pointé du doigt des sujets brûlants comme les scandales autour de l’ONAS (Office National de l’Assainissement du Sénégal), de l’ASER (Agence Sénégalaise d’Électrification Rurale) et les questions liées à la banque JP Morgan. « Monsieur le Premier ministre veut choisir ses débatteurs et ses thèmes ? Pourtant, il y a matière à faire entre les dossiers ONAS, ASER ou encore JP Morgan », a-t-il déclaré. Il a également rappelé que son invitation pour un échange approfondi avec les différentes têtes de liste, notamment sur les programmes électoraux et sur l’Agenda Sénégal 2050, reste ouverte.

Thierno Alassane Sall a ensuite interpellé Pape Alé Niang, directeur général de la RTS, l’appelant à innover en organisant un débat réunissant toutes les têtes de liste ayant présenté leur programme pour la présidentielle de 2024. Selon lui, une telle initiative serait un signe fort pour la démocratie sénégalaise. « La démocratie s’épanouit à travers le débat », a-t-il souligné, avant d’inviter Ousmane Sonko à participer activement à cette confrontation d’idées.

Cette sortie de Thierno Alassane Sall vient confirmer son engagement pour un débat inclusif et transparent, dans une période où la campagne électorale sénégalaise s’intensifie. En attendant la réponse d’Ousmane Sonko, cette proposition de débat public pourrait bien s’imposer comme un moment clé de cette élection présidentielle, alors que les Sénégalais cherchent des réponses concrètes aux défis économiques et sociaux du pays.

Inondations à Matam : le maire de Ourossogui, Moussa Bocar Thiam, interpelle les autorités

Face aux récentes inondations dévastatrices qui frappent la région de Matam, le maire de Ourossogui, Moussa Bocar Thiam, exprime sa profonde inquiétude et son exaspération. Dépassé par l’ampleur des dégâts, il dénonce l’indifférence des autorités et exige une action immédiate pour venir en aide aux sinistrés.

Dans une déclaration poignante diffusée sur les ondes de la RFM, l’ancien ministre de la Communication a souligné l’urgence de la situation et regretté l’absence de mesures concrètes. « Je tiens à apporter mon soutien à tous ces sinistrés de la région de Matam. La question que tout le monde se pose ici, c’est pourquoi des moyens colossaux ne sont pas déployés immédiatement ? », a-t-il interrogé.

Pour Moussa Bocar Thiam, l’inaction des autorités face à cette catastrophe naturelle est incompréhensible, d’autant plus que des villages entiers, comme Belly Diallo, sont totalement dévastés et sans aucune assistance. Il a notamment pointé du doigt l’absence de coordination dans les interventions, déplorant que certaines zones touchées par les inondations soient ignorées lors des visites ministérielles.

L’ancien ministre appelle à la mise en œuvre immédiate du plan ORSEC (Organisation des Secours) pour apporter une réponse rapide et efficace à cette crise humanitaire. « On ne peut pas comprendre les visites de certains ministres ignorant les autres sinistrés qui sont dans les villages en détresse », a-t-il ajouté, exigeant une solidarité nationale pour sauver les milliers de personnes touchées par cette catastrophe.

Alors que les inondations continuent de ravager la région, les habitants de Matam restent dans l’attente d’une réponse des autorités compétentes, tandis que le maire de Ourossogui espère que son appel sera entendu au plus vite.

Perquisition à Saly : Jérôme Bandiaky alias « Sniper » interpellé avec une arme sans autorisation

Ce jeudi matin, une opération de la Division des Investigations Criminelles (DIC) a mené à une perquisition dans l’une des maisons de Jérôme Bandiaky, connu sous le pseudonyme « Sniper », à Saly dans le département de Mbour. Au cours de l’intervention, les enquêteurs ont mis la main sur une arme automatique de calibre 22, que l’intéressé détenait sans autorisation légale. En plus de cette arme, un pistolet d’alarme a également été saisi.

Simultanément, une fouille a été effectuée à son domicile à Dakar, où un sac contenant un million de FCFA a été découvert. Interrogé sur la provenance de cet argent, Bandiaky a affirmé qu’il s’agit de revenus générés par sa société, gagnés « à la sueur de son front ».

Durant l’audition, les enquêteurs ont également cherché à connaître ses affiliations politiques. Jérôme Bandiaky a confirmé qu’il est militant de l’Alliance pour la République (APR), le parti au pouvoir, mais n’appartient à aucun syndicat.

Les autorités ont profité de cette opportunité pour questionner Bandiaky sur l’affaire des deux gendarmes disparus, Fulbert Sambou et Didier Badji. Sur ce point, l’accusé a déclaré qu’il n’était au courant de l’affaire que via les réseaux sociaux, comme la plupart des citoyens.

Malgré l’audition, Jérôme Bandiaky reste en garde à vue et passera encore la nuit au commissariat du Plateau, où il est détenu pour la poursuite de l’enquête.

Aminata Touré interpelle Amadou Ba sur sa gestion passée des finances publiques

En conférence de presse ce lundi 16 septembre, Aminata Touré, ancienne Première ministre et actuelle présidente du mouvement Mimi 2024, n’a pas mâché ses mots envers Amadou Ba, leader de l’opposition et nouveau chef du parti politique Nouvelle Responsabilité. Au cours de cette rencontre avec la presse, Mme Touré a critiqué de manière incisive l’ancien ministre des Finances, pointant du doigt des zones d’ombre dans sa gestion passée sous le régime de Macky Sall.

Amadou Ba, qui a récemment officialisé son parti, semble adopter une posture plus combative à l’encontre du pouvoir en place, selon Mimi Touré. «Pour la première fois, il s’attaque directement au président de la République», a-t-elle souligné. Toutefois, au-delà des discours d’opposition, Mme Touré estime que M. Ba a des comptes à rendre au peuple sénégalais.

«Son mouvement s’appelle Nouvelle Responsabilité», a-t-elle rappelé avant d’ajouter avec insistance : «Il devrait aussi parler de ses anciennes responsabilités, notamment lorsqu’il était ministre des Finances sous Macky Sall.» Selon Aminata Touré, Amadou Ba devrait éclaircir plusieurs points relatifs à la gestion des finances publiques durant son mandat à ce poste clé. Elle sous-entend que l’ancien ministre aurait accumulé une fortune «immense», qu’elle juge suspecte pour un fonctionnaire de l’État.

Au-delà de ces allégations, Mme Touré a demandé des explications sur certains «dossiers financiers» qui, selon elle, n’ont pas encore été éclaircis. Si elle n’a pas spécifié les dossiers en question, son attaque directe pourrait bien intensifier la pression sur Amadou Ba, qui, de son côté, tente de s’imposer comme un opposant crédible face au régime de Macky Sall.

Ce duel entre Aminata Touré et Amadou Ba illustre les tensions croissantes sur la scène politique sénégalaise à l’approche des échéances électorales. Alors que Mme Touré semble vouloir se positionner comme une voix incontournable dans la course à la présidentielle, Amadou Ba, de son côté, cherche à redéfinir son rôle d’opposant après avoir été longtemps associé à l’administration de Macky Sall.

La question des finances publiques sous le régime de l’actuel président semble donc être au cœur des critiques et pourrait jouer un rôle déterminant dans le débat politique à venir. Tandis que l’opinion publique reste attentive, il est probable que ce face-à-face ne fasse que commencer, ouvrant ainsi la voie à d’autres révélations et confrontations sur la scène politique sénégalaise.

Tensions politiques autour de la reddition des comptes : Abdoul Mbaye interpelle Ousmane Sonko

Dans un climat politique marqué par des appels à la reddition des comptes, l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye a réagi aux récentes annonces de l’actuel Premier ministre Ousmane Sonko concernant l’ouverture de cette procédure. S’exprimant via une publication sur Facebook, Abdoul Mbaye a lancé un message fort, soulignant la nécessité d’une gestion prudente des attentes vis-à-vis de la justice.

Mbaye, qui a lui-même fait l’expérience d’une justice qu’il qualifie de « justice aux ordres », a averti Ousmane Sonko de ne pas tomber dans le piège de l’instrumentalisation de l’appareil judiciaire. « Quand on considère avoir été victime d’une justice aux ordres, il faut éviter de donner l’impression de lui donner des ordres. Le Premier ministre Ousmane Sonko doit s’en soucier », a-t-il écrit.

Cette remarque intervient alors que Sonko a exprimé son engagement à renforcer les processus de reddition des comptes dans un contexte politique tendu, où la demande de transparence s’accompagne souvent d’accusations de manipulation des institutions. Selon Mbaye, la justice doit rester indépendante et ne pas être utilisée comme un outil de menace ou de pression politique. « La justice n’est pas un instrument de menaces. La justice applique le droit », a-t-il affirmé.

L’ancien chef du gouvernement et actuel président du parti de l’Alliance pour la Citoyenneté et le Travail (ACT) a également rappelé l’importance de ne pas brouiller le message clé des récentes Assises de la justice. Ces assises, organisées pour repenser le rôle et le fonctionnement de la justice au Sénégal, ont mis en avant l’impératif d’une réforme pour restaurer la confiance des citoyens dans les institutions judiciaires.

La sortie d’Abdoul Mbaye illustre la complexité de la situation politique actuelle, où les acteurs doivent naviguer entre la nécessité d’une transparence accrue et la préservation de l’intégrité des institutions. Tandis que le Premier ministre Ousmane Sonko semble déterminé à engager un processus de reddition des comptes, ces avertissements soulignent l’importance de garantir que ce processus se déroule dans le respect total des principes de justice et d’indépendance.

Le débat autour de la reddition des comptes et de l’indépendance judiciaire reste central dans la vie politique sénégalaise, alors que les citoyens et les observateurs attendent de voir comment ces engagements se traduiront en actions concrètes dans les mois à venir.

Thierno Bocoum interpelle le président sur diverses questions politiques et institutionnelles

Dans une lettre ouverte adressée au président de la République sénégalaise, Bassirou Diomaye Faye, Thierno Bocoum, leader du mouvement AGIR, exprime ses préoccupations et ses attentes concernant plusieurs aspects de la gouvernance actuelle. Dans ce texte détaillé, il soulève des points cruciaux allant de la politique de reddition des comptes à la transparence dans les nominations, en passant par la justice et la gestion foncière.

Bocoum commence par saluer l’arrivée au pouvoir du président et rappelle son engagement en faveur d’une rupture systémique et d’une politique de transparence. Cependant, il souligne également la nécessité de surveiller de près les actions du gouvernement pour garantir le respect des promesses faites aux citoyens.

Le leader d’AGIR insiste sur la mise en place d’une politique de reddition des comptes transparente et efficace, exigeant que les rapports des organes de contrôle soient transmis au procureur de la République sans délai. Il demande également la déclassification des rapports de l’IGE pour une plus grande transparence.

Sur le plan judiciaire, Bocoum demande que toute la lumière soit faite sur les accusations de corruption portées par Karim Wade contre des juges du Conseil constitutionnel, ainsi que sur les conditions de son départ du Sénégal pour le Qatar.

En ce qui concerne les nominations, il critique le non-respect des promesses de recourir à des appels à candidatures pour les postes de directeurs généraux, soulignant l’importance de mettre la compétence et le mérite au cœur de la politique de nomination.

La gestion foncière est également abordée, avec des préoccupations quant à l’équité et à la transparence dans ce domaine crucial, ainsi que des questions concernant la déclaration de patrimoine du président, jugée incomplète.

Bocoum appelle le président à prendre en compte ses remarques et à agir en faveur d’une gouvernance plus transparente et équitable, respectueuse des engagements pris envers le peuple sénégalais.

Le SYNATRACS interpelle le nouveau ministre sur les difficultés du secteur des infrastructures et des transports terrestres et aériens

Le Syndicat national des travailleurs de l’aviation civile du Sénégal (SYNATRACS) adresse ses préoccupations au nouveau ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens, Malick Ndiaye, concernant les conditions de travail difficiles rencontrées par les travailleurs de l’aéroport de Diass.

El Hadj Fall, président du SYNATRACS, pointe du doigt plusieurs problèmes au sein de LAS (LIMA-AIBD-SUMMA), le gestionnaire de l’aéroport de Diass. Il évoque notamment des conditions de travail inadéquates, des formations insuffisantes et des promotions favorisant certains travailleurs au détriment d’autres, ce qui entrave le développement des activités du secteur.

Le syndicat revendique également l’effectivité des 5 % du capital de LAS accordés aux travailleurs depuis l’ouverture de l’aéroport de Diass, ainsi que le rappel des dividendes depuis 2018. Il demande en outre deux postes au Conseil d’administration de LAS et la signature d’un contrat similaire à celui de l’ASECNA pour les employés.

Le SYNATRACS invite le nouveau ministre à soutenir ces revendications et à éliminer le favoritisme observé. Il appelle également à faire de l’aéroport de Diass un véritable hub sous-régional, plutôt qu’un simple slogan, et demande que les chauffeurs de Cobus, chargés du déplacement des passagers vers les aéronefs, soient embauchés.

Cette interpellation du SYNATRACS met en lumière les défis auxquels est confronté le secteur des infrastructures et des transports terrestres et aériens au Sénégal, et souligne l’importance d’une action rapide et concertée pour y remédier.

Birahim Seck interpelle le gouvernement de Sonko: “Il faut taxer le tabac pour sauver la jeunesse”

Lors d’un récent atelier avec les journalistes en santé population et développement, Birahim Seck du Forum civil a souligné l’urgence pour le gouvernement de Ousmane Sonko de prendre des mesures décisives pour lutter contre le fléau du tabagisme qui menace la jeunesse sénégalaise. Il a rappelé que de nombreux experts ont souligné les dangers du tabagisme pour la jeunesse, tant sur le plan figuré que propre, et a exhorté le gouvernement à agir rapidement pour inverser cette tendance préoccupante.

En tant que représentant du Forum civil, M. Seck a mis en avant l’importance de la taxation des produits du tabac comme un moyen efficace de dissuader la consommation de tabac, en particulier chez les jeunes. Il a souligné que malgré les efforts déployés par les associations pour sensibiliser et obtenir des lois plus strictes sur le tabac, il reste encore beaucoup à faire pour protéger la jeunesse sénégalaise des dangers du tabagisme.

Selon M. Seck, une augmentation de la taxation du tabac permettrait non seulement de limiter l’accessibilité du tabac aux jeunes, mais aussi de générer des revenus supplémentaires pour lutter contre le tabagisme et prendre en charge les personnes souffrant de maladies liées au tabac, telles que le cancer. Il a souligné que le tabagisme entraîne des dépenses importantes pour le traitement des maladies liées au tabac, ce qui met en évidence l’importance de prendre des mesures préventives dès maintenant.

En plus de la taxation du tabac, le Forum civil s’engage à soutenir les associations qui œuvrent dans la lutte contre le tabagisme, notamment en plaidant pour l’interdiction définitive du tabagisme dans les lieux publics. M. Seck a souligné l’importance de cette mesure pour protéger non seulement les fumeurs, mais aussi les non-fumeurs des dangers du tabagisme passif.

Birahim Seck et le Forum civil appellent le gouvernement de Sonko à agir rapidement et de manière décisive pour lutter contre le tabagisme et protéger la jeunesse sénégalaise. La taxation du tabac et l’interdiction du tabagisme dans les lieux publics sont des mesures essentielles pour atteindre cet objectif crucial de santé publique.

Vinicius interpelle l’UEFA après de nouveaux cris racistes à son encontre

Vinicius a publié un message sur ses réseaux sociaux pour demander à l’UEFA de prendre des mesures contre les supporters de l’Atlético qui l’ont traité de « chimpanzé » avant le huitième de finale retour de la Ligue des champions contre l’Inter Milan.

Lors de l’accueil du bus de l’Atletico de Madrid pour le huitième de finale retour de la Ligue des champions contre l’Inter Milan, une partie des supporters a scandé des slogans racistes à l’encontre de Vinicius, le traitant de « chimpanzé ».

Une vidéo publiée sur les réseaux sociaux révèle le manque de respect envers le joueur du Real Madrid, qui a réagi lorsqu’il a vu ce qui s’était passé et s’est adressé directement à l’UEFA.

« J’espère que vous avez déjà réfléchi à sa sanction, c’est une triste réalité qui arrive même dans les matches où je ne suis pas présent », a écrit l’élève de Carlo Ancelotti sur X.

LaLiga, très active dans la lutte contre le racisme ces dernières saisons, a déjà dénoncé ce qui s’est passé autour du Cívitas Metropolitano, mais il n’y a toujours pas eu de réaction de la part de l’instance continentale

afp

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